Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Toute l'actualité du bâtiment

255860 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 13 jours

Le Carrefour International du Bois fêtera ses 30 ans du 1er au 3 juin 2022

En 2022, ce RDV unique en Europe fêtera également ses 30 ans d’existence ; l’occasion pour Jean PIVETEAU, nouvellement nommé Président du Carrefour International du Bois après Pierre PIVETEAU, Président du salon depuis 1992, d’évoquer ses attentes et ambitions pour cette prochaine rencontre. En effet, face à un contexte actuel exceptionnel pour toute la filière bois (augmentation de la demande mondiale de bois, tensions sur les marchés …) le Carrefour International du Bois est, plus que jamais, un événement incontournable pour rencontrer de nombreux acteurs et échanger avec eux sur l’ensemble des sujets liés à l’univers du bois.Jean PIVETEAU, nouveau Président du Carrefour International du Bois En octobre 2021, Jean PIVETEAU a pris la suite de Pierre PIVETEAU en qualité de Président du Carrefour International du Bois. Il a d’ailleurs présidé son premier comité de pilotage le 26 octobre dernier. « Ce salon est un outil de filière incontournable. C’est mon frère Pierre PIVETEAU qui l’a fondé au sein de FIBOIS Pays de Loire, porté par l’interprofession en partenariat avec le port de Nantes en 1992. L’idée était de mettre à disposition un outil pour permettre aux entreprises de la filière bois d’avoir un lieu pour présenter leurs produits et savoir-faire. Très vite, ce salon a rencontré un grand succès au point de prendre une dimension internationale tant du point de vue des exposants que des visiteurs », évoque Jean PIVETEAU. Reprendre le fil des échanges dans un contexte inédit pour toute la filière boisAvec sa fréquentation record de 11 500 visiteurs et ses 563 exposants, l’édition 2018 du Carrefour International du Bois fut un réel succès. Et alors que cette biennale vient de connaître une pause inédite de 4 ans, la commercialisation des stands est, à 4 mois de l’événement, toujours très encourageante : « le succès de la commercialisation des stands démontre l’impatience des exposants de se retrouver », explique Jean PIVETEAU. L’événement sera en effet l’opportunité pour tous les professionnels de reprendre contact, entre eux et avec les visiteurs, ainsi que de dresser le bilan de ces 4 années qui ont apporté leur lot de rebondissements au sein de la filière bois. En effet, depuis la dernière édition, l’utilisation du matériau bois a fait des bonds dans l’ensemble des secteurs d’activité et pans de la vie quotidienne. Pour Jean PIVETEAU, cela s’explique par une prise de conscience généralisée sur le fait que le matériau bois répond favorablement à l’actuelle, et indispensable, transition énergétique : « la 16e édition du Carrefour International du Bois sera également l’occasion de construire l’avenir au regard de l’augmentation mondiale de la demande de bois. Ce salon est d’ailleurs le lieu unique et idéal où les utilisateurs de bois vont rencontrer des fabricants, des exploitants, des transformateurs ou encore des institutionnels et distributeurs pour trouver des solutions à chacun de leurs besoins ». Le Carrefour est effectivement un indéniable temps fort pour échanger, entre professionnels, sur les marchés actuels et les perspectives. C’est aussi le moment pour les visiteurs de sécuriser leurs approvisionnements. Des thématiques fortes au cœur des échangesLe Carrefour International version 2022 fera du sujet de la ressource l’une de ses priorités lors de ses temps de conférences. Pour Jean PIVETEAU l’enjeu est très clair : « la filière doit rassurer les utilisateurs de notre matériau : Il y a du bois dans les forêts. Chaque année, seulement 80 % de l’accroissement biologique de la forêt française est récolté. Devant la forte demande du marché, notre pays doit montrer sa capacité à se réindustrialiser et à investir dans les usines de transformation : le plan de relance de l’État devrait y contribuer fortement ». Le Président du salon ajoute que les acteurs de la filière bois se mobilisent d’ailleurs à travers un Manifeste visant à interpeller les candidats à l’élection Présidentielle avec 23 propositions concrètes pour défendre les intérêts de la filière et les bénéfices du matériau bois. Les organisateurs du salon proposeront par ailleurs 3 nouveaux formats de conférences : des tables rondes en format long, des conférences en mode plateau TV et des formats pitch sur l’espace innovation du Hall 1.
Il y a 3 ans et 13 jours

Un retour presque à la normale pour la montagne lors des vacances d'hiver

La montagne retrouve son niveau d’avant-crise, mais avec des situations contrastées selon les massifsAprès un hiver 2021 qui a été caractérisé par la fermeture de l’ensemble des remontées mécaniques et infrastructures de ski, sur l’ensemble du territoire national, les réservations pour les vacances d’hiver 2022 se rapprochent de celles observées en 2020, avant le début de la pandémie. Pour autant, dans le détail, cette situation est loin d’être homogène entre tous les massifs français.Ainsi, « les massifs de reports de l’hiver 2021 » qui avaient tiré leur épingle du jeu parce qu’ils n’étaient pas orientés à 100 % sur la pratique du ski reculent nettement par rapport à l’an dernier à l’instar des Vosges et du Jura pour retrouver leurs niveaux de 2020. Seul le Massif central poursuit sa progression, mais avec un échantillon plus faible. Logiquement, les Alpes – qui concentrent la majorité des stations de ski françaises – reprennent des couleurs par rapport à 2021 : + 135,2 % de réservations. Elles reviennent presque à leur niveau d’avant-crise, avec - 5,5 % de réservations. Le Massif central est le massif qui s’en sort le mieux : + 88,9 % par rapport à 2020 et les Pyrénées ne sont pas en reste avec + 69,1 % par rapport à 2020 même si, pour ces deux massifs, le volume de réservations n’a rien de comparable avec les Alpes. Les Alpes représentent 65 % des réservations contre 75 % avant le CovidCette progression du Massif central et des Pyrénées se fait sentir sur les parts de marché. Les Alpes dominent toujours largement le marché 2021 avec 65 % des réservations, mais les Pyrénées et le Massif central pèsent de plus en plus avec 8 % et 20 % des parts de marché. Les Vosges et le Jura sont au même niveau qu’il y a deux ans.Cette évolution peut s’expliquer par la conjonction de deux phénomènes qui se nourrissent mutuellement : La demande n’est plus exclusivement entretenue par la pratique intense du ski, ce qui peut décourager les réservations dans des stations où les forfaits de remontées mécaniques sont très coûteux et où les alternatives au ski sont peu développées.Même si les Français qui ont la chance de pouvoir partir aux sports d’hiver disposent de budgets conséquents compte tenu du coût de ce type de vacances, ils n’échappent pas aux problématiques de pouvoir d’achat qui se posent en ce moment. Or, dans certaines grandes stations vont se cumuler des coûts d’hébergements élevés (et en hausse par rapport à 2020) et des coût de forfaits également élevés.Les Alpes du Sud décrochent davantage que celles du Nord…Les réservations de dernière minute sont beaucoup plus fréquentes qu’auparavant, ce qui permet aux vacanciers de se renseigner sur l’enneigement. Or, pour ces vacances d’hiver, l’enneigement est incertain dans les Alpes du Sud. De plus, elles sont moins accessibles et moins bien desservies par le train, il faut donc s’y rendre en voiture et les stations du sud pourraient souffrir de la réglementation sur les pneus hiver obligatoires depuis le 1er novembre dernier dans ces départements. La mer est désormais une destination toute saison !Toussaint, Noël, février, depuis la fin 2020, la mer affiche des niveaux de réservation élevés en toute saison. Ce qui avait été considéré comme un choix par défaut alors que les stations de ski étaient fermées à Noël 2020 puis en février 2021, le littoral a finalement su fidéliser et trouver ses adeptes, même en février... Et cela concerne l’ensemble du littoral français, sans distinction ! Qui affiche même des progressions par rapport à 2021 où il avait constitué une destination de report.L’outre-mer plombé par les contextes locauxPour une minorité de Français, les vacances de février riment avec départ au soleil en plein milieu de l’hiver. Et à ce titre, l’outre-mer est traditionnellement une destination de choix à cette saison. Mais les contextes sanitaires et sociaux ont eu raison des réservations cette année dans les Antilles françaises contrairement à La Réunion qui voit le volume de ses réservations augmenter.
Il y a 3 ans et 13 jours

La Banque des territoires a déployé les 8 Mds d'euros de prêts pour le logement social

INVESTISSEMENTS. L'intégralité des fonds annoncés depuis 2018 dans divers plans exceptionnels, dont France Relance, a été engagée, déclare la Banque des territoires. La filiale de la Caisse des dépôts tire également son bilan 2021 pour l'Île-de-France.
Il y a 3 ans et 13 jours

Holcim renforce encore sa branche Solutions & Produits

ACQUISITION. Après avoir achevé l'acquisition de PRB le 9 mai dernier, Holcim annonce le rachat d'un acteur polonais spécialisé dans les mortiers secs, les systèmes d'isolation et les composants chimiques pour le bâtiment.
Il y a 3 ans et 13 jours

15 ans de marathon pour produire 21 000 logements en Guyane

Pour enrayer la dynamique du logement illégal et anticiper une démographie galopante, l’opération d’intérêt national multisite en démarrage en Guyane ne lésine pas sur l’ambition. Les 21 000 logements programmés d’ici à 2035 correspondent à un triplement du rythme de production et à un investissement total évalué à 3 milliards d'euros, avec les équipements publics associés
Cimbat
Il y a 3 ans et 13 jours

Plusieurs cessions pour Saint-Gobain au Royaume-Uni

CESSION. Le géant des matériaux de construction, Saint-Gobain, annonce se séparer de son activité de distribution spécialisée en revêtements de sol, plans de travail et stratifiés au Royaume-Uni. En parallèle, il va aussi vendre deux usines de transformation de verre dans le pays.
Il y a 3 ans et 13 jours

La Cnil alerte sur la hausse des cyberattaques visant des entreprises

MALVEILLANCE. Les attaques de type "rançongiciel" se sont multipliées en 2021. Elles visent notamment des petites et moyennes entreprises.
Il y a 3 ans et 13 jours

Oise : le nouveau centre de secours de La Chapelle-en-Serval inauguré

La ville de La Chapelle-en-Serval vient de se doter d’un nouveau centre de secours au 249, route de Plailly.
Il y a 3 ans et 13 jours

Comment Akzonobel compte doubler le nombre de points de vente Sikkens Solutions en France

RÉSEAU DE DISTRIBUTION. Passer de 121 à 250 points de vente Sikkens Solutions en cinq ans. C'est l'objectif que s'est fixé le groupe Akzonobel afin de conquérir de nouvelles parts de marché et couvrir l'ensemble de l'Hexagone. Il entend pour cela s'appuyer sur un modèle hybride combinant enseignes en propre et réseau de partenaires agréés indépendants.
Il y a 3 ans et 13 jours

L'artisanat du bâtiment en croissance au 1er trimestre 2022 malgré un contexte incertain et la menace de l'inflation

Malgré la conjoncture encourageante, la CAPEB reste néanmoins très préoccupée pour les mois à venir en raison de la hausse continue du coût des matériaux (+18% au 1er trimestre 2022) et de l’énergie ainsi que des tensions sur l’approvisionnement en matériaux et équipements. L’artisanat du bâtiment, qui a créé 26.000 emplois nets sur le marché du travail en 2021, pourrait en créer tout autant en 2022 si l’activité demeurait favorable toute l’année.Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Si les indicateurs d’activité de ce 1er trimestre sont au vert, le contexte économique et géopolitique reste une source de très grandes inquiétudes pour les entreprises artisanales du bâtiment. Elles sont impactées par les conséquences de la guerre en Ukraine, comme beaucoup, notamment en termes d’approvisionnements et de prix. Cela étant, elles sont malgré tout au rendez-vous de la croissance en ce début d’année. Notre objectif en 2022 est de maintenir leur activité et leurs emplois. Nous travaillons à des solutions pour les y aider et ferons des propositions dans le cadre des Assises du bâtiment annoncées par Bruno Le Maire lors de notre Congrès le 22 avril dernier, et que nous attendons avec impatience ».Conjoncture du 1er trimestre 2022 : une croissance encourageanteActivité globale dans l’artisanat du bâtiment : l’activité globale des entreprises artisanales du bâtiment enregistre une hausse de +3,5%, par rapport au même trimestre de l’année précédente.Une croissance dans le neuf – Avec +3% de croissance (comme au 1er trimestre 2021), la construction neuve progresse notamment en maison individuelle. Une conjoncture positive portée par les mises en chantier en hausse de +12,8% (390.700 logements soit 44.200 de plus qu’au 1er trimestre 2021). Autre indicateur favorable, le nombre de logements autorisés en hausse de 24% sur l’année en février 2022 (484.000 logements ont été autorisés à la construction, soit 93.700 de plus qu'au cours des 12 mois précédents).Néanmoins, ces chiffres positifs doivent s’apprécier en regard du niveau d’activité de la période de référence (mars 2020 à février 2021) qui était particulièrement bas en raison du premier confinement où les autorisations avaient fortement reculé et où de nombreux chantiers n’avaient pas pu démarrer. S’y ajoute l'entrée en vigueur de la Réglementation Environnementale 2020 au 1er janvier 2022 qui a provoqué un nombre exceptionnel d'autorisations de logements individuels accordées en février 2022 (+20,5%), suite aux permis déposés en décembre 2021.Une croissance dans l’ancien qui se poursuit – L’activité en entretien-rénovation enregistre une croissance de +4% en comparaison avec le 1er trimestre 2021 et profite du dynamisme des travaux de performance énergétique des logements qui progressent de +4,5% au 1er trimestre 2022 soutenue notamment par les aides de « MaPrimeRenov’ ».Activité régionale – Au premier trimestre, les écarts de croissance entre les régions se sont légèrement accrus et se situent entre +2% et +4,5%. La région PACA-Corse, avec une hausse de 2%, se situe un peu en retrait de la moyenne nationale. En revanche, cinq régions affichent des hausses au-dessus de la moyenne nationale : la Bretagne et Centre-Val de Loire (+4,5%), mais aussi le Grand Est, les Hauts-de-France et la Nouvelle-Aquitaine (+4%).Activité globale de l’artisanat du bâtiment en volume +3,5% au 1T2022Tendance annuelle : +11,2% (du 1T21 au 1T22)Travaux d’Amélioration de Performance Énergétique du Logement(évolution en volume des entreprises artisanales du bâtiment)+4,5% au 1T2022Tendance annuelle : +14% (du 1T21 au 1T22)Construction neuve(évolution en volume des entreprises artisanales du bâtiment)+3% au 1er trimestreTendance annuelle : +9% (du 1T21 au 1T22)Entretien-amélioration(évolution en volume des entreprises artisanales du bâtiment)+4% au 1er trimestreTendance annuelle : +12,5% (du 1T21 au 1T22)L’activité de l’artisanat du bâtiment en régions+3,5% au 1T2022 ((du 1T21 au 1T22)L’activité de l’artisanat du bâtiment en régions+3,5% au 1T2022 ((du 1T21 au 1T22)L’emploi reste dynamique L’artisanat du bâtiment a créé 26.000 emplois sur le marché du travail en 2021 et pourrait en créer tout autant en 2022 si l’activité demeure favorable jusqu’à la fin de l’année et si les freins à son développement sont levés, à commencer par la simplification des démarches administratives et réglementaires.Intentions d’embauche : la tendance en début d’année était plutôt favorable aux créations d’emplois. Pour autant, même si le nombre d’entreprises prévoyant d’embaucher ou de maintenir leurs emplois était significatif fin 2021- début 2022, la guerre en Ukraine et ses conséquences pourraient conduire les professionnels à être plus prudents vis-à-vis de leurs recrutements.Augmentation des prix et difficultés d’approvisionnement (Etude CAPEB/Xerfi avril 2022)Conséquences d’une combinaison de plusieurs facteurs (crise sanitaire, guerre en Ukraine…), la hausse des prix de l’énergie et les difficultés d’approvisionnement continuent de peser sur l’activité de l’artisanat du bâtiment. Afin de mesurer concrètement leurs conséquences, la CAPEB a souhaité renouveler en avril 2022 l’étude qu’elle avait déjà menée en juillet 2021 et en janvier 2022 auprès de 1.700 entreprises artisanales du bâtiment.Les résultats montrent une forte accélération de la hausse moyenne du prix des matériaux ces derniers mois (+18% au 1er trimestre 2022). De nouveau ce trimestre, la menuiserie-serrurerie est l'activité qui connaît la plus forte hausse (de +21,5%), causée notamment par l'envolée du prix du bois et de l'acier. Si la hausse touche toutes les entreprises, seules 60% d’entre elles déclarent la répercuter, au moins pour partie, auprès de leurs clients (contre 45% en janvier 2022). En effet, en moyenne, ces entreprises ne répercutent pas la totalité des hausses mais le font à hauteur de 43% (contre 33% en janvier 2022). Pour information, en moyenne, le poids des achats des matériaux et matériels représente 30% des charges d’une entreprise dans le bâtiment.56% des entreprises déclarent que les délais d’approvisionnement et la pénurie des matériaux posent des difficultés de production et d’organisation, notamment des modifications de plannings et des réorganisations des équipes. Les entreprises interrogées restent toutefois plutôt optimistes : 53% d’entre elles déclarent envisager une stabilité de l’activité dans les 6 prochains mois, 31% déclarent une activité en hausse et 16% une activité en baisse.Conjoncture de l’Artisanat du Bâtiment au 1er trimestre 2022, constats complémentaires : La croissance de l’activité en ce début d’année profite à l’ensemble des corps de métiers avec des évolutions comprises entre 3 et 4%. Les travaux d’électricité affichent la croissance la plus dynamique avec 4%, tandis que la hausse atteint 3,5% (conforme à la moyenne nationale) pour la menuiserie-serrurerie, l’aménagement-décoration-plâtrerie et la maçonnerie. Les travaux de couverture-plomberie-chauffage connaissent une progression légèrement plus modérée avec une hausse de 3%.La trésorerie des entreprises artisanales du bâtiment se dégrade : le solde d’opinions s’établit à -12 points avec 20% des entreprises déclarant une détérioration de leur trésorerie et 8% une amélioration. A noter également que 15% des entreprises font état de besoins de trésorerie (contre 8% au même trimestre de l’année précédente) et 62% d’entre elles déclarent un besoin supérieur à 10.000 €.Le nombre de jours de carnets de commandes s’élève à 103 jours début avril, soit une progression de 12 jours par rapport à la même période de l’année précédente. Cette tendance laisse supposer une bonne dynamique d’activité pour les prochains mois malgré un certain nombre de tensions sur la production.Au 1er trimestre 2022, 40% des entreprises déclarent une baisse des marges, contre 5% une hausse, soit un solde d’opinions de -35 points, en forte baisse par rapport au même trimestre de l’année précédente (-1 point).Un solde d’opinion stable concernant le travail en sous-traitance : tout en restant inférieur à sa valeur du début d’année 2021, le poids des entreprises réalisant de l’activité en sous-traitance se stabilise à hauteur de 14%, soit une valeur comparable à celle du premier trimestre de l’année 2020.19% des entreprises déclarent travailler pour les collectivités locales (contre 14% au premier trimestre 2022).
Il y a 3 ans et 13 jours

Construction modulaire hors-site : enjeux, évolutions et impacts sur les bureaux de contrôle

La construction hors-site et ses avantages pour le secteurElle est issue DFMA - Design for Manufacturing & Assembly -, “Concevoir pour la Préfabrication et l’Assemblage”. Cette méthode moderne de construction intègre dans un processus industriel tous les métiers du bâtiment et impose à l’ensemble de la filière de se réinventer et d’adapter ses méthodes.En pleine croissance, la construction hors-site représentera d’ici 2030, 20% des bâtiments construits dans le monde (source : McKinsey). Cet essor s’explique notamment par la raréfaction de la main d’œuvre qualifiée, la hausse du coût de la construction et des sinistres, l’allongement des retards sur les chantiers et la prise en compte croissante des impacts environnementaux du secteur de la construction.Les grandes différences entre les modes constructifsLa construction traditionnelleÉconomiqueLes retards de livraison sont en moyenne de 5 mois sur près de 30% des programmes immobiliers livrés (source : UFC Que Choisir, 2017).L’augmentation des coûts de construction est de +5,5% entre 2019 et 2021 en France (source : INSEE, 2022).La baisse cumulée de la productivité sur les chantiers est de 19,3% depuis 2001 (souce : Xerfi).ÉcologiqueLe béton représente 8% des émissions mondiales de CO2 (source : Guardian, 2019).L’équivalent d’1,5 milliard d’euros de produits et matériaux non utilisés sur les chantiers sont jetés, ou à minima stockés chaque année sans être répertoriés par les 400.000 entrepreneurs français du BTP.La sinistralité a augmenté de 75% en 10 ans (source : SMABTP).La construction hors-siteÉconomiqueLa productivité d’un ouvrier sur un chantier classique correspond à 20% de son temps, contre 80% pour une construction hors-site (source : Etude université de Aalto).La non-qualité dans le bâtiment coûte quasiment 10 milliards d’euros par an, soit environ 10% du chiffre d’affaires du secteur (source : Agence qualité construction).Les accidents de travail sont réduits car l’environnement de travail en usine présente moins de risques.ÉcologiqueLes coût des transports sont divisés par 5 car les matériaux peuvent être stockés en usine, à l’inverse des chantiers sur lesquels ils sont livrés au compte-goutte et où ils peuvent se dégrader. De plus, les ouvriers n’ont pas besoin de se déplacer sur chaque opération.Les ressources sont mieux gérées et triées ce qui permet une réduction du gaspillage.L’utilisation de matériaux renouvelables ou recyclables est facilitée : bois, acier, matériaux biosourcés, etc.Le recyclage des matériaux est mieux optimisé grâce à la démontabilité des éléments et modules ou leur réutilisation dans un autre lieu et parfois pour un tout autre usage.Construction hors-site et RE2020Construire hors-site permet de diminuer significativement l’empreinte carbone des ouvrages, ce qui fait de cette méthode constructive un atout majeur pour la mise en application de la RE2020.Entrée en vigueur le 1er janvier 2022, la RE2020 est la nouvelle réglementation environnementale qui vient remplacer la réglementation thermique 2012 (RT2012). Un de ses objectifs est de limiter les gaz à effet de serre générés par la construction du bâtiment et les consommations d’énergie.D'une démarche projet à une démarche produit : les impacts sur les bureaux de contrôleAlors que le développement de la construction hors-site en France en est à ses prémices, cette méthode constructive si particulière est une opportunité à saisir pour l’ensemble du secteur dont les bureaux de contrôle technique. Toutes ces évolutions engendrent un profond changement dans les méthodes de travail... et nécessitent l’engagement de tous les acteurs !L'évolution de la mission du contrôleur techniqueLe rôle d’un bureau de contrôle technique est de contribuer à la prévention des aléas techniques dans la réalisation des ouvrages.Dans le cadre d’un projet industrialisé, le contrôleur technique s’implique davantage en phase de conception. Son rôle est de vérifier la faisabilité de la conception, de la conformité des solutions industrielles mais aussi de détecter les techniques non- traditionnelles ou innovantes nécessitant des justifications spéciales de type ATEX.En phase exécution, la mission de contrôle technique sur le chantier est complétée par des vérifications hors-site en usine. En phase chantier, des points de contrôle spécifiques à ce mode constructif sont réalisés.Le contrôleur technique doit prendre en compte les spécificités de ce mode constructif, et comprendre sa philosophie pour remplir au mieux sa mission principale de prévention des risques et des aléas.Pour Elia Abou Chaaya, Directeur de l’Activité hors-site de BTP Consultants : « La construction hors-site révolutionne le secteur et impacte tous les acteurs impliqués dans l’acte de construire, des autorités publiques jusqu’à l’utilisateur final, en passant par les assureurs, les concepteurs et les bureaux de contrôle. Actuellement, le rythme classique d’un contrôleur technique, même s’il intervient à toutes les phases, n’est pas adapté à l’industrialisation. C’est tout un état d’esprit qui évolue, en passant d’une démarche projet à une démarche produit. Par cette démarche de standardisation, les constructeurs ou les maîtres d’ouvrage cherchent l’optimisation du temps, des coûts des matériaux et des services intellectuels. La mission de contrôle technique initialement prévue pour un “projet”, s’adapte donc pour amener plus de valeur ajoutée en phase conception et est complétée par des vérifications en usine. »Les changements pour le coordinateur SPSLe coordonnateur SPS intervient à toutes les phases d’une opération de construction et a pour rôle d’évaluer les risques sur le chantier et les interventions ultérieures sur l’ouvrage.Sur des projets de construction hors-site, le coordonnateur SPS adapte sa vision pour prendre en compte le risque d’accidents maîtrisé en usine, la réduction de la phase chantier et le traitement particulier des livraisons et du mode de montage des modules. De plus, les interventions ultérieures sur l’ouvrage sont mieux définies et mieux maîtrisées que dans un schéma traditionnel.La nécessité de l'évolution de l'arsenal réglementaireLes normes, les règles et les validations des techniques “non-traditionnelles” allongent les délais et peuvent complexifier l’aboutissement d’un projet. La France doit savoir innover par rapport au cadre réglementaire actuel. Les concepts de mise en sécurité des bâtiments doivent être remis à plat et les règles de l’art de tous les corps d’état doivent être repensées autour d’un processus d’industrialisation de la construction.Comment BTP Consultants fait bouger les lignes de la construction hors-site ?Pour Roland Le Roux, Président du Groupe BTP Consultants : « Conscient des atouts et du potentiel de la construction hors-site en France, BTP Consultants s’est très tôt positionné comme précurseur du contrôle technique pour ce type de construction. Nous avons créé une direction dédiée aux projets hors-site et formé un réseau national d’une vingtaine de collaborateurs capables de répondre aux spécificités de ces interventions. À travers notre soutien au Campus Hors-Site lancé par Pascal Chazal et l’organisation d’événements sur le sujet, nous nous engageons au quotidien pour sa démocratisation en France. »Le bureau de contrôle est un acteur-clé dans un projet de construction, et son rôle est particulièrement central dans les projets de construction hors-site qui font parfois appel à des techniques et des méthodes innovantes.Pour Pascal Chazal, Fondateur du Campus hors-site : « BTP Consultants réalise un module dédié au contrôle technique sur la plateforme du campus hors-site. Son implication aux côtés des différentes parties prenantes du chantier, sa compréhension de l’approche industrielle et sa capacité à s’y adapter sont autant de facteurs essentiels pour que la mission de contrôle technique soit au service d’un projet de construction hors-site réussi. Avec l’industrialisation du concept et la reproduction des projets issus de la même conception, le contrôleur technique maîtrise de plus en plus sa démarche de vérification et de contrôle. Il adopte une approche industrielle et optimise ainsi le temps à passer pendant la réalisation. »Les chiffres clés 2021 de BTP ConsultantsChiffre d’Affaires : 57M€Nombre de collaborateurs : +450Nombre de projets en cours : +12000Nombre d’agences en France : 28Note moyenne de satisfaction clients : 8,7/10Note moyenne de satisfaction collaborateurs : 8,9/10
Il y a 3 ans et 13 jours

Avant/après : spectaculaire rénovation pour ce deux-pièces délabré

EN IMAGES. Cet appartement, tombé en décrépitude, s'est transformé en élégant petit cocon, grâce à l'intervention de l'architecte d'intérieur Hélène Paoli.
Il y a 3 ans et 13 jours

Démocratiser la Gestion Technique du Bâtiment pour répondre aux défis énergétiques

La mise en œuvre du Décret BACS (Building automation & control systems), qui prévoit d’équiper les bâtiments tertiaires de systèmes d’automatisation et de contrôle d’ici 2025, constitue l’un des moyens d’atteindre les objectifs ambitieux fixés par le dispositif éco-énergie tertiaire. La crise COVID et le développement du télétravail ont changé la manière dont nous occupons les espaces de travail et il convient d’adapter la gestion des bâtiments à ces nouveaux enjeux.Passer la GTB à l’échelle pour réussir la décarbonation des bâtimentsInitialement réservée aux bâtiments de plus de 2000 m2 et pensée à l’échelle d’un site, la GTB (gestion technique du bâtiment) de première génération est bien souvent perfectible. Elle fonctionne généralement sur la base de protocoles fermés, difficiles à exploiter et coûteux à entretenir. Pour réussir le pari de la décarbonation des bâtiments à horizon 2050, il est nécessaire de passer la GTB à l’échelle et d’offrir aux propriétaires, en particulier multisites, des solutions simples et peu coûteuses à mettre en œuvre.Les dernières innovations en la matière permettent de déployer rapidement des systèmes multi-protocoles couplés à des applications SaaS disposant d’interfaces simplifiées. L’enjeu est triple : faire remonter les données émanant des bâtiments, les analyser, et permettre la supervision à distance des équipements à l’échelle d’un parc pour agir rapidement et de façon groupée. C’est cette capacité à agir sur plusieurs bâtiments simultanément qui change la donne.Ces solutions permettent également de faire communiquer les « petits » bâtiments qui, jusque-ici, ne disposaient pas de GTB intégrée notamment à cause des coûts. Offrant plus de souplesse, plus simples à déployer et moins chers, ces nouveaux systèmes de pilotage à distance des équipements révolutionnent l’exploitation des bâtiments et vont permettre de massifier les actions d’efficacité énergétique.Piloter les bâtiments à distance pour s’adapter aux nouveaux usagesAssocié à des solutions de type EMS (Energy Management System), le pilotage à distance des équipements maximise les économies d’énergie tout en faisant gagner du temps aux équipes terrain. Réglage des programmations horaires, des consignes de températures ou de l’éclairage, prévision météorologiques et adaptation des régulations grâce à l’intelligence artificielle : il est désormais possible de piloter ces actions à distance, 24h/24 et 7 jours/7, via des applications intuitives. A la clé, moins de déplacements sur sites pour les équipes de maintenance, une réactivité accrue en cas de dérive constatée et une amélioration du confort pour les occupants.Un bâtiment connecté, capable d’être piloté à distance, aura plus de facilité à optimiser sa consommation et à adapter son fonctionnement à son occupation et son usage. Cela représente une nouvelle source de valeur fondamentale pour les bâtiments.Ajoutons que ces systèmes numériques interopérables fonctionnent avec des protocoles ouverts et sont sécurisés contre le risque de cyber-malveillance. Avec le développement du BOS (Building Operating System) qui permet de gérer les multiples applications liées aux services dans le bâtiment, on assiste à une révolution du smart building.Offrir des systèmes économiquement plus avantageuxDésormais, l’enjeu est de déployer ces systèmes dans un maximum de bâtiments. Pour cela, les coûts de l’installation et de la licence doivent être raisonnables pour inciter les propriétaires à investir dès maintenant dans la supervision.Pour faciliter cette transition, des financements existent au travers de fiches CEE consacrées aux systèmes de gestion technique du bâtiment. L’installation et l’entretien doivent être rapides et simples afin de limiter les moyens humains.Ces solutions innovantes pour piloter les bâtiments représentent un levier puissant pour réduire l’empreinte environnementale de l’immobilier tertiaire en France tout en permettant un retour sur investissement mesurable aux maîtres d’ouvrage.Tribune de Cyril Sailly, Président co-fondateur d’advizeo by setec (Linkedin)
Il y a 3 ans et 13 jours

Haute-Garonne : pose de la première pierre de la résidence senior Quai-Saint-Pierre à Toulouse

La future résidence senior de Toulouse, Quai-Saint-Pierre, proposera 89 logements et 43 places de parking.
Il y a 3 ans et 13 jours

Puy-de-Dôme : des petits et moyens projets à Châtel-Guyon en 2022

Voirie, eau et assainissement, aménagements urbains… La ville de Châtel-Guyon continue d’investir pour améliorer le cadre de vie de ses habitants.
Il y a 3 ans et 13 jours

Jason deCaires Taylor : Pirates des Canaries

L’ensemble “Traverser le Rubicon” se compose d’un groupe de 35 personnages, qui marchent vers une entrée et un mur sous-marins. Ce dernier, qui est à la fois industriel et organique, s’étend de 30 m de long et 4 m de haut, et contient une seule porte en son centre. Il est la métaphore de l’absurdité, des notions de territoires, dans le monde naturel, qui plus est, sous-marin. [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote] Ouvert en 2016, le Museo Atlántico est le premier musée 100 % aquatique, en Europe. Dans la baie de Las Coloradas, à Yaiza, à la pointe Sud de Lanzarote, une île de l’archipel espagnol des Canaries, les plongeurs peuvent admirer les sculptures de l’artiste britannique Jason deCaires Taylor (né en 1974), organisées en douze groupes, créant un véritable dialogue visuel entre art et océan. Sur quelque 2 500 m2 sous la mer et à environ 15 m de profondeur, le sculpteur a immergé, parmi la faune et la flore marines endémiques, quelque 300 statues de béton, à taille et aux allures humaines. Tour à tour, ses sculptures évoquent la crise migratoire (“Le Radeau de Lampedusa”, un bateau transportant 13 réfugiés sculptés, version moderne du “Radeau de la Méduse” du peintre Théodore Géricault, datant de 1818), l’environnement ou la vie quotidienne. Elaborées en béton au pH neutre et en matériaux non-polluants, compatibles avec l’environnement, elles créent des mini-éco-systèmes. La vocation du Museo Atlántico est à la fois « la préservation, la conservation et l’éducation sur le milieu marin et la nature » et « un appel à la défense des océans ». En harmonie avec la faune et la flore Une évidence pour cette île volcanique, qui, depuis les années 1970, a su préserver son identité, grâce notamment à l’éco-tourisme. Et ce, sous l’action de l’artiste du pays César Manrique (1919-1992), à travers des sculptures monumentales, dont il a parsemé l’île, et à son engagement environnemental. Les sculptures de Jason deCaires Taylor s’inscrivent dans une démarche similaire, une vraie dynamique écologique. Ce pionnier du land art sous-marin reconnu depuis 2006 a très tôt été sensibilisé à la protection des fonds marins. C’est en 2006 que Jason deCaires Taylor, après avoir touché à la photographie, à la plongée et réalisé des sculptures de pierre, a fondé le premier parc de sculptures subaquatique au monde, sur la côte Ouest de la Grenade aux Antilles. Un succès qui le conduira à renouveler l’expérience, cette fois au large de Cancún (Mexique), en 2009, avec le Musa (dit “Underwater Art Museum”), puis à Lanzarote en 2016. [©Jason deCaires Taylor]Les sculptures de l’artiste britannique se font coloniser par la faune et la flore marines. Elles accueillent toutes sortes de poissons. En prenant les profondeurs comme “murs” d’une galerie géante, Jason deCaires Taylor donne à voir un spectacle inouï. [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote]Installées courant 2016 au Museo Atlántico de Lanzarote, les premières œuvres du sculpteur ont été “envahies” par les coquillages, les algues et les coraux. Et aussi “visitées” par les poissons. Elles sont même parfois méconnaissables : des objets inertes qui sont absorbés par l’océan. En quelque sorte des « natures mortes, qui est un thème récurrent de mon œuvre, car il démontre assez simplement la beauté de l’évolution ». [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote] Installées courant 2016 au Museo Atlántico de Lanzarote, les premières œuvres du sculpteur ont été “envahies” par les coquillages, les algues et les coraux. Et aussi “visitées” par les poissons. Elles sont même parfois méconnaissables : des objets inertes qui sont absorbés par l’océan. En quelque sorte des « natures mortes, qui est un thème récurrent de mon œuvre, car il démontre assez simplement la beauté de l’évolution ». [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote] La composition “The Human Gyre” met en scène plus de 200 figures, qui crée une vaste formation circulaire ou giratoire. « Cette installation incarne notre vulnérabilité face aux cycles de l’océan, qui fournit l’oxygène que nous respirons, régule notre climat et est une source vitale de nutrition pour des millions de personnes. » [©Jason deCaires Taylor/CACT Lanzarote] D’ailleurs, ses œuvres aident à reconstituer les récifs coralliens, très souvent menacés, transformant ainsi le Museo Atlántico en récif artificiel à grande échelle. La progressive disparition des sculptures est dans la logique même du projet de Jason deCaires Taylor. Elles sont vouées à se fondre dans leur milieu. L’éco-sculpteur présente des statues, qui « représentent un point d’entrée vers un monde différent et favorisent une meilleure compréhension de notre précieux environnement marin et de combien nous dépendons de lui ». Les habitants de Lanzarote, eux-mêmes, ont servi de modèles pour la plupart des œuvres, créant un paysage sous-marin peuplé de gens ordinaires. Un clin d’œil pour un archéologue du futur…
Il y a 3 ans et 13 jours

Bilan de l'activité des entreprises de génie électrique et climatique en 2021

Conjoncture : une année 2021 dynamique, 2022 bien orientée Au 4ème trimestre 2021, le chiffre d’affaires a progressé de 3% par rapport au même trimestre de l’année précédente. L’année 2021 dans son ensemble a été particulièrement favorable à la profession : La tendance annuelle atteignant 14,8% à un an d’intervalle, ce qui va bien au-delà d’un simple effet de rattrapage après une année 2020 perturbée par la crise du Covid-19. La comparaison à deux ans d’intervalle confirme la bonne tenue de l’activité puisque la croissance est de 2% sur cette période. Au vu des carnets de commandes, les entreprises de génie électrique et climatique devraient réaliser encore de belles performances en début d’année 2022.La comparaison à deux ans d’intervalle confirme la bonne tenue de l’activité puisque la croissance est de 2% sur cette période. Au vu des carnets de commandes, les entreprises de génie électrique et climatique devraient réaliser encore de belles performances en début d’année 2022.
GDA
Il y a 3 ans et 13 jours

Yvelines : reconstruction du grand bassin royal des jardins du château de Saint-Germain-en-Laye

À Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), la réalisation du grand bassin Le Nôtre devrait être achevée d’ici à la fin de l’été 2022.
Il y a 3 ans et 13 jours

Neoen annonce une forte croissance de son chiffre d'affaires trimestriel

Le producteur français d'énergies renouvelables Neoen a enregistré une forte hausse de son chiffre d'affaires au premier trimestre, en progression de 36% grâce à la mise en service de certains actifs l'an dernier.
Il y a 3 ans et 13 jours

namR calcule le potentiel de production photovoltaïque de toutes les toitures de France

Spécialiste de la géolocalisation et de l’analyse des données publiques, namR classe les villes qui produisent le plus d’électricité photovoltaïque, ainsi que celles au potentiel le plus important
Il y a 3 ans et 13 jours

La crise a peu affecté le patrimoine des ménages français

La crise a peu affecté la composition du patrimoine des ménages, qui privilégient toujours les produits financiers et les biens immobiliers, même si l'assurance-vie et l'épargne retraite augmente depuis 2018.
Il y a 3 ans et 13 jours

Hausses de prix : quels sont les secteurs de l'artisanat du bâtiment les plus touchés ?

ENQUÊTE. La crise inflationniste touche l'ensemble des artisans du bâtiment, mais certains segments d'activité sont davantage touchés que d'autres. La profession attend ainsi avec "impatience" les "Assises du bâtiment" promises par le gouvernement.
Il y a 3 ans et 13 jours

Legrand annonce une progression de 13,3% de ses bénéfices net au 1er trimestre

Le fabricant français de matériel électrique Legrand a enregistré une hausse à deux chiffres de ses bénéfice net et chiffre d'affaires au premier trimestre, ce qui lui permet de maintenir ses objectifs pour 2022.
Il y a 3 ans et 13 jours

Colas porte la croissance des activités BTP du groupe Bouygues au premier trimestre 2022

RÉSULTATS. Sur les trois premiers mois de l'exercice 2022, les activités de construction du groupe Bouygues affichent un chiffre d'affaires en croissance. Une performance principalement due à la bonne dynamique de Colas, surtout à l'international.
Il y a 3 ans et 13 jours

L'Etat annonce des subventions pour les entreprises les plus consommatrices d'énergie

INFLATION. Pour aider les entreprises consommatrices de gaz et d'électricité dans le contexte actuel de flambée des prix énergétiques, l'exécutif annonce une aide qui prendra la forme de subventions. Bercy précise qu'il s'agit d'un dispositif "temporaire, ciblé et plafonné".
Il y a 3 ans et 13 jours

Nouvelle cheville bi-matière Duoxpand

Fischer, qui ne cesse d’enrichir cette gamme, lance une nouvelle cheville bi-matière pour tous les matériaux de construction, la DuoXpand. Universelle, cette cheville rallongée est conçue pour la fixation d’éléments d’ossatures, de menuiseries... et assure une transmission douce des forces dans les matériaux. En outre, elle bénéficie du nouvel agrément ETA-21/034 (Evaluation Technique Européenne) qui garantit une tenue sûre dans tous les matériaux.Fischer DUOLINE : La gamme bi-matièreHaute qualité, les chevilles de la gamme DUOLINE sont fabriquées à partir d’une combinaison de matériaux souples et rigides. Les principes de fonctionnement fréquemment éprouvés, associés à la combinaison de 2 matières, élargissent le champ d’applications avec une capacité de charges nettement supérieure à celles des chevilles nylon traditionnelles et une plus grande sécurité. Une cheville tout terrain La nouvelle cheville rallongée bi-matière DuoXpand fischer est conçue pour la fixation d’ossatures de façade en bois ou en métal, de carports, de menuiseries (portes, fenêtres...), de construction bois, de meubles de cuisine, d’installation électrique... Universelle, elle s’adapte à tous les matériaux : béton, béton cellulaire, brique pleine, brique creuse, parpaing... Une expansion douce qui n’endommage pas les matériauxLa cheville DuoXpand se compose d’un corps bi-matière et d’une vis (tête fraisée ou hexagonale). Le corps principal gris en nylon (1) de haute qualité garantit la résistance de la fixation, tandis que l’expansion des lamelles rouge apporte une sécurité supplémentaire.Sa géométrie brevetée (2) assure une expansion douce dans le matériau de construction évitant ainsi d’endommager les parois des matériaux creux et permettant un ancrage près du bord.Pour une installation sûre, des ergots anti-rotation empêchent la cheville de tourner dans le trou lors de l’installation.La cheville est facile à mettre en œuvre. Une fois le trou foré, elle s’insère à l’aide d’un marteau. Le vissage de la vis dans la cheville va provoquer l’expansion des lamelles de blocage. Dans les matériaux de construction pleins, la conception de la cheville garantit une répartition égale de la charge dans le support.Dans les briques perforées, les lamelles s’expansent au niveau des parois et créent un verrouillage de forme dans les cavités. 2 versions pour répondre à toutes les applicationsLa DuoXpand avec la vis à tête fraisée est particulièrement adaptée à la fixation d’éléments en bois. Pour les structures métalliques, la DuoXpand avec vis hexagonale et rondelle intégré convient mieux car cela évite la corrosion de contact entre l’élément fixé et la vis.La zone d’expansion, avec 2 profondeurs d’ancrage, permet une utilisation flexible dans tous les matériaux de construction selon l’ETE : 50 mm dans le béton, les briques pleines et creuses,70 mm dans tous les autres matériaux de construction du béton au béton cellulaire.Deux profondeurs d’ancrage supplémentaires de 140 et 160 mm assurent un ancrage sûr dans le parpaing.Points de vente : Négoces, Négoces en matériaux et GSB
Il y a 3 ans et 13 jours

Une toute nouvelle "académie" pour le commerce du bois

Il s'agit d'une nouvelle formation disponible en e-learning pour tout savoir sur le bois, destinée aux professionnels du bois - et plus particulièrement à ses vendeurs, lancé le 3 mai par l'association LCB.
Il y a 3 ans et 13 jours

Vendée : construction d’un poste central de police municipale aux Sables-d’Olonne

Aux Sables-d’Olonne (Vendée), les travaux du nouveau poste central de police municipale avancent. Ils devraient être livrés en juin 2022.
Il y a 3 ans et 13 jours

Avec Floorify, jetez un coup d'œil dans les chambres d'étudiants les plus branchées

Floorify est le meilleur des deux mondes : l'aspect unique du terrazzo et tous les avantages des revêtements de sol en vinyle rigide. Ce sol n'est pas seulement beau, il est aussi résistant et économique. Comment ne pas aimer ? C'est également ce qu'ont pensé Tom Platteeuw et Kenneth De Smet, les jeunes propriétaires du logement pour étudiants KOTanique à Malines. KOTanique a été entièrement rénové en 2021 et se compose de 6 chambres étudiantes branchées, avec sanitaires privés, une cuisine commune entièrement équipée et un espace de détente confortable.Pour KOTanique, ils étaient à la recherche d'un sol esthétique, résistant et facile à utiliser. Ils ont choisi le sol en vinyle Verona pour donner une touche ludique à l'intérieur de la maison d'étudiants. Le copropriétaire Tom – qui est également architecte et a dirigé la rénovation – a déjà reçu de nombreux échos positifs vis-à-vis du revêtement de sol Verona. Le design s’est avéré déterminant et s’inscrivait parfaitement dans le reste de son projet. En raison de la nuance de couleur naturelle des carreaux de terrazzo, le sol peut difficilement être distingué d'un véritable sol en terrazzo. " En outre, le fait que le motif soit moucheté est très pratique car le revêtement de sol paraît moins vite sale. Le choix parfait pour notre maison d’étudiants ! "Les étudiants font un usage intensif de la cuisine et de la salle à manger communes. Dès lors, ils voulaient un revêtement de sol qui soit robuste, doux et silencieux, facile à nettoyer et simple d’utilisation. Bienvenue Floorify!" Floorify s'est avéré être le choix idéal pour notre rénovation. Le fait que nous puissions également poser le revêtement de sol facilement et rapidement nous-mêmes était également très appréciable. Nous avons ainsi gagné du temps et économisé des coûts d’installation supplémentaires. "Tom est ravi de son choix de revêtement de sol pour Kotanique. "Le design jeune et frais convient à la fois au Kotanique et à ses jeunes résidents ! Nous recevons sans cesse des échos très positifs concernant notre revêtement sol Verona. Je recommande certainement Floorify à mes clients." Vous avez de l'inspiration pour donner un nouveau look à votre intérieur existant ou à votre projet ? Avec un sol en vinyle de Floorify, vous obtenez le même aspect et la même sensation que le terrazzo, le bois ou le béton. Visualisez les sols Floorify en grand format chez un revendeur près de chez vous ou commandez des échantillons gratuits rapidement et facilement sur le site www.floorify.com.
Il y a 3 ans et 13 jours

Vendée : restauration de l’église Notre-Dame-de-l’Assomption de Boufféré à Montaigu

À Montaigu, une opération de restauration est menée sur l’église Notre-Dame-de-l’Assomption de Boufféré.
Il y a 3 ans et 13 jours

Var : la place Daviddi et ses abords à Hyères ont été inaugurés

À Hyères, l’inauguration de la nouvelle place Daviddi a eu lieu le 9 avril dernier après cinq mois de travaux.
Il y a 3 ans et 13 jours

Ora Ito : L’art en plein ciel

Ora Ito (né en 1977) est “l’enfant terrible du design”. Passionné par Le Corbusier qu’il a découvert très jeune et qu’il a collectionné, une fois adulte, Ora Ito a choisi l’architecte comme totem. [©Mathieu Colin] En 2010, le designer Ora Ito apprend par un ami avocat que le gymnase, édifié sur la terrasse de La Cité radieuse construite par Le Corbusier entre 1945 et 1952, est à vendre. Cette salle n’a jamais été restaurée. Le site est à couper le souffle avec son toit-terrasse, véritable pont de navire en plein ciel (à 56 m d’altitude). Le regard y embrase le paysage à 360°. Mais des constructions parasites en dénaturent le point de vue. Ces dernières ont été classées aux Monuments historiques avec l’ensemble du bâtiment en 1984, donc impossible de les détruire. Avec l’appui de la Fondation Le Corbusier, qui veut redonner au lieu son aspect d’origine, puis avec le soutien de l’ensemble de la copropriété de la Cité, les obstacles sont levés. Ainsi, un espace d’art contemporain voit le jour. L’enfant terrible du design L’idée du projet d’Ora Ito se base sur le fait que ce lieu était à l’origine dédié au festival d’art d’Avant-garde avec Tinguely, Klein, Béjart… Il faut dire que la passion pour Le Corbusier a débuté très tôt chez le designer, vers 7 ans. « Le Corbusier, architecte intelligent, se réinvente au fil du temps », explique Ora Ito. En installant ce centre d’art sur la terrasse, il reprend à son compte la philosophie corbuséenne de l’accueil et du partage. Ora Ito a décidé de nommer cette nouvelle galerie le Mamo pour “Marseille Modulor”. Paquebot de béton entre terre et ciel, La Cité Radieuse s’orne d’un toit-terrasse qui est devenu un lieu d’exposition. [©Sébastien Véronèse]Le Sika ComfortFloor Pro, système de revêtement de sol à usage piétonnier à base de résine polyuréthane coulée sur sous-couche manufacturée collée, a été mis en œuvre dans le gymnase. [©Sika][©Sébastien Véronèse]La Cité radieuse du Corbusier retrouve sa splendeur et sa jeunesse d’antan. [©Sébastien Véronèse]« Aujourd’hui, je pousse la collectionnite jusqu’à acquérir toutes les cuisines que Le Corbusier avait dessinées pour La Cité radieuse et que je stocke à l’abri. Sa pluridisciplinarité – il était designer, peintre, poète et architecte -, son travail des couleurs, sa rigueur m’inspirent […] Il a livré une œuvre intemporelle, qui caractérise l’essence même du design et de l’architecture. » [©Fondation Le Corbusier] Le terme de “Modulor” faisant référence à la réflexion sur le comportement de l’homme, sur l’équilibre des volumes, de leurs dimensions et proportions qui amène Le Corbusier à établir une grille de mesures s’appuyant sur le “Nombre d’Or”. Il construit sa grille par rapport aux différentes parties du corps humain et l’appelle “le Modulor”. « Nous avons baptisé notre galerie Mamo, pour faire la nique au Moma de New York », sourit Ora Ito. Rénovation et mise en œuvre Ora Ito vend sa collection d’art contemporain et les travaux commencent, dont le montant s’élèvera à plusieurs millions d’euros. Un long travail de recherche effectué par des experts de la Fondation Le Corbusier débute pour rendre au site sa coque de béton originelle. Voilà chose faite depuis 2013. « Le béton est pour moi une matière extraordinaire, qui me plaît par sa minéralité, son intégration, sa brutalité… », conclut Ora Ito. La problématique autour des façades en béton de La Cité radieuse a duré 10 ans. La façade Ouest à été rénovée, puis sont venus les travaux d’étanchéité de la terrasse et la reconstruction des 12 appartements. La façade Sud a, elle aussi, eu le droit à un  coup de jeune. Mais en gardant l’esprit corbuséen. De ce fait, les murs ont été refaits à l’identique. Le coffrage des bétons a été réalisé avec le même type de bois qu’à l’origine. Dans le gymnase, c’est le système ComfortFloor Pro de Sika qui a été mis en œuvre pour rénover l’espace. Le Mamo au sommet de la Cité radieuse est un lieu de création en plein ciel. Le chef d’œuvre de Le Corbusier s’offre ainsi un nouveau territoire en devenant l’écrin et le tremplin de la création à venir.
Il y a 3 ans et 13 jours

L'artisanat en croissance, mais sous la tension des hausses de prix

La note trimestrielle de conjoncture de la Capeb montre une croissance solide, mais des perspectives limitées par les hausses de prix, en partie seulement répercutées par les entreprises artisanales.
Il y a 3 ans et 13 jours

Val-d’Oise : une salle d'embarquement redorée au terminal 2G de l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle

Le terminal 2G de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle offre un meilleur accueil aux passagers à travers sa nouvelle salle d’embarquement.
Il y a 3 ans et 13 jours

Hérault : 6,5 millions d’euros destinés à la réhabilitation du centre ancien de Clermont

Le département de l’Hérault s’est engagé dans la rénovation de 233 logements privés, situés dans le centre ancien de la commune de Clermont.
Il y a 3 ans et 13 jours

Eiffage annonce une hausse de son activité travaux et concessions au 1er trimestre

La branche travaux (plus de trois quarts de ses revenus) a vu son activité progresser de 7,8% à 3,6 milliards d'euros, principalement par croissance organique, indique Eiffage qui dispose pour la suite d'un carnet de commandes "solide" (17,3 milliards d'euros, soit +3% sur un an).Dans la construction, le marché des équipements publics reste dynamique, le résidentiel plus "en retrait", indique Eiffage.Du côté des infrastructures, le chiffre d'affaires en France baisse de 1,4%, à 889 millions d'euros, du fait notamment de la fin des travaux sur le chantier éolien offshore de Saint-Nazaire. Mais dans le reste de l'Europe, il est en forte hausse (+42,1%, à 466 millions), avec la montée en puissance des travaux sur le chantier de la ligne à grande vitesse HS2 en Angleterre et sur l'autoroute E18 en Norvège.Les concessions sont elles en hausse de 22,1% (768 millions d'euros sur le trimestre).Le trafic tous véhicules sur l'APRR a de fait augmenté de 24,6% par rapport au premier trimestre 2021. Les concessions aéroportuaires de Lille et Toulouse enregistrent aussi une hausse sensible du trafic passagers (x 2,9 par rapport au 1er trimestre 2021, mais encore -40,8% par rapport au 1er trimestre 2019). Le groupe, qui avait retrouvé depuis 2021 ses niveaux de résultats d'avant Covid, confirme ainsi ses perspectives 2022, avec une nouvelle progression des résultats, en travaux comme en concessions.
Il y a 3 ans et 13 jours

Hauts-de-Seine : la requalification de la RD920 entre Bourg-la-Reine et Antony touche à sa fin

Transformé en boulevard, le dernier tronçon de la RD920 à Bourg-la-Reine vient d’être livré.
Il y a 3 ans et 13 jours

Essonne : reconstruction de l’école Louise-Michel à Étampes

À Étampes, les travaux de reconstruction de l’école Louise-Michel débuteront d’ici à la fin de l’année 2022.
Il y a 3 ans et 13 jours

Alpes-Maritimes : extension de l’école du Vieux-Bourg à Cagnes-sur-Mer

La municipalité de Cagnes-sur-Mer prévoit une extension des locaux de l’école du Vieux-Bourg.
Il y a 3 ans et 13 jours

À Paris grâce à HBAAT, l'école du Louvre retrouve la pierre originelle de l'aile de Flore

    A l'heure où la planète s'asphyxie, le mythe de Babylone et de ses jardins suspendus fait toujours rêver. Les villes irrespirables et congestionnées se tournent vers le ciel, cherchant leur salut sur les toits. Il faut verdir et planter à tout prix. L'architecture devient support végétal, et même terre agricole […] Lire l'article