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Toute l'actualité du bâtiment

255889 actualités disponibles
Il y a 3 ans et 32 jours

L’échangeur d’Agen opérationnel à la fin de l’année

Le futur échangeur 6.1 de l’A62 au niveau d’Agen Ouest est en cours de travaux. Il est le deuxième en chantier du plan d’investissement signé le 26 janvier 2017 entre l’État et Vinci Autoroutes. Sa mise en service est prévue fin 2022.
Il y a 3 ans et 32 jours

Ingérop acquiert Acterra, un cabinet précurseur dans le domaine du changement climatique

Cette acquisition répond à la volonté d’Ingérop de renforcer son offre d’ingénierie et de conseil par des expertises pointues et d’amplifier son action dans toutes ses activités en faveur de la transition écologique, axe prioritaire de sa stratégie d’entreprise « Vision 2025 ».Acterra, précurseur de l’adaptation et de la résilience au changement climatiqueDepuis plus de 15 ans, Acterra accompagne ses clients à chaque étape de leur action : apport d’expertise dans les phases de diagnostic des impacts du changement climatique, définition de stratégies et de programmes d’actions, accompagnement du changement et assistance à la maîtrise d’ouvrage, réformes institutionnelles et organisationnelles, suivi et évaluation de politiques et projets, accès à la finance climat, recherche & innovation. Le cabinet intervient auprès de bailleurs de fonds (AFD, GIZ, FFEM, Banque Mondiale, etc.), d’organisations internationales (PNUE, PNUD, FAO, Green Climate Fund), de gouvernements et d’agences nationales (ADEME, Agences de l’Eau, OFB, Ministères de l’Ecologie), de collectivités locales (Métropole Aix-Marseille, Communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise) et d’entreprises privées.Basé à Marseille, le cabinet Acterra emploie 8 personnes et réalise un chiffre d’affaires d’environ 1,2 million d’euros, en progression constante depuis sa création.Un rapprochement synonyme de synergie, de complémentarité et d’engagementTout en restant une entité indépendante, pilotée par son dirigeant actuel, Stéphane Simonet, Acterra rejoindra Ingérop Méditerranée, dont le siège est également basé à Marseille, faisant jouer de ce fait pleinement la synergie et la complémentarité des équipes.L’expertise de l’entreprise viendra naturellement irriguer l’ensemble des projets portés par Ingérop dans ses différentes missions et activités (bâtiment, eau, énergie, industrie, infrastructures & mobilité, transport, ville) et permettra ainsi à Acterra d’élargir son champ d’action. En effet, la capacité d’adaptation et de résilience au changement climatique est un enjeu primordial aujourd’hui, quel que soit le projet - public ou privé, son échelle - locale à internationale, ou la nature de la mission confiée.Enfin, Acterra renforcera le savoir-faire d’Ingérop en matière de recherche et de développement de services climatiques, comme de formation, pour renforcer l’expertise de l’ensemble des collaborateurs et clients du groupe.« Je me réjouis de ce rapprochement avec le cabinet Acterra, qui s’inscrit parfaitement dans notre vision stratégique 2025. En effet, les enjeux liés au changement climatique sont aujourd’hui au cœur des préoccupations de tous nos clients et des projets que nous portons. L’expertise des équipes d’Acterra et la reconnaissance de leur savoir-faire au niveau international sont pour nous de véritables atouts pour l’avenir. », précise Yves Metz, président d’Ingérop.Pour Stéphane Simonet, dirigeant du Cabinet Acterra: « Acterra a connu ces dernières années une croissance importante de ses activités en France comme à l’international. Le rapprochement avec Ingérop va nous permettre de poursuivre ce développement et d’enrichir notre gamme de services et de solutions grâce aux synergies créées avec les différentes entités du groupe. Il s’agit donc pour nous de la bonne décision, au regard de l’urgence climatique et des besoins en constante évolution de nos clients, et du bon partenaire, dont la stratégie, les valeurs et le modèle de gouvernance s’inscrivent pleinement dans notre vision entrepreneuriale. »
Il y a 3 ans et 32 jours

Lhyfe annonce l’approbation du document d’enregistrement par l’Autorité des marchés financiers dans le cadre de son projet d’introduction en Bourse sur le marché réglementé d’Euronext à Paris

Une ambition : devenir un leader européen de la production d’hydrogène vert Un pure player français indépendant de la production d’hydrogène vert issue d’énergies renouvelables Un site industriel en France déjà opérationnel : 1ère unité au monde en connexion directeavec des éoliennes produisant de l’hydrogène vert destiné à la mobilité Une capacité démontrée à remporter des projets de premier plan à […]
Il y a 3 ans et 32 jours

Emmanuel Macron veut une "grande nation écologiste"

Lors de son discours de victoire, Emmanuel Macron a promis une nouvelle méthode et de faire de la France une grande nation écologiste.
Il y a 3 ans et 32 jours

Emmanuel Macron veut une "grand nation écologiste"

Lors de son discours de victoire, Emmanuel Macron a promis une nouvelle méthode et de faire de la France une grande nation écologiste.
Il y a 3 ans et 32 jours

Nouveauté le pack protec 10 : protection renforcée et grande largeur du volet roulant

LE VOLET PROTEC 10 : UNE SOLUTION IDEALE POUR LES HABITATIONS EXPOSÉES AU VENT Ce nouveau volet Protec 10 cumule tous les avantages en termes de performances techniques, finitions et fonctionnalités. L’identification des différents vents en France a permis à Wizeo de développer trois sections de lame, plus ou moins épaisses, afin de garantir un […]
Cimbat
Il y a 3 ans et 32 jours

GOLDSMITH - Portrait

L'architecte Klaas van der Molen, diplômé en 1996 de l'Académie de Rotterdam, consacre ses recherche à l'architecture flottante. Diplômé en 1996 de l'Académie de Rotterdam, Klaas van der Molen est cofondateur de BAR en 1998. Le centre de musique du XXIe siècle à Utrecht fut remarqué par le prix Rietveld 2011. En […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 32 jours

Sur les routes de la mobilité électrique

Le boom du marché des véhicules électriques accélère le déploiement du réseau de bornes de recharge, partout où la voiture individuelle circule en masse : les grands axes autoroutiers, les parkings publics, les garages résidentiels, et jusqu’aux portes des hypermarchés. A côté des compagnies pétrolières ou des grands énergéticiens, de nouveaux acteurs émergent.
Il y a 3 ans et 32 jours

Le négoce bois-panneaux à l’orée de la crise

La demande est forte, mais les hausses de prix oscillent entre 20 et 110 % en ce début d’année 2022, selon les produits et les essences. De quoi freiner la demande, craignent les négociants en bois-panneaux, qui observent des premiers signaux de ralentissement.
Il y a 3 ans et 32 jours

Oise : la Municipalité de Compiègne lance un appel aux dons pour restaurer les Picantins de l’hôtel de ville

Plus de 80 000 euros seront nécessaires pour remettre en état les Picantins de l’hôtel de ville de Compiègne.
Il y a 3 ans et 32 jours

Vaucluse : réouverture de l’espace jeunesse d’Entraigues-sur-la-Sorgue

L’espace jeunesse d’Entraigues-sur-la-Sorgue reprend du service au sein d’un cadre renouvelé.
Il y a 3 ans et 32 jours

L'architecte Jean-Michel Wilmotte dessine la Maison virtuelle de l’Ukraine

La Cité internationale ne dispose pas d’une Maison de l’Ukraine mais, pour offrir à ces personnes les meilleures conditions d’accueil, elle a demandé à l’architecte Jean-Michel Wilmotte d’imaginer une Maison virtuelle de l’Ukraine. Ce projet, hautement symbolique mais ancré dans la réalité, vise trois objectifs : offrir aux étudiants, chercheurs et universitaires un logement au sein des 43 maisons que compte le campus, les accompagner tout au long de leur séjour et préparer l’avenir de la jeunesse et de la communauté universitaire ukrainienne. Afin de financer ce projet, la Cité internationale lance une campagne d’appel aux dons, une vente en NFT de 3 dessins de Jean-Michel Wilmotte ainsi qu’une vente aux enchères chez Sotheby’s des dessins et d’une œuvre conçue par Jean-Michel Wilmotte.Une Maison virtuelle de l’Ukraine pour accueillir les talents de demain, accompagner leur réussite et préparer leur avenirAccueillir les talents de demainPremier site d’accueil des étudiants et chercheurs internationaux à Paris depuis bientôt 100 ans, la Cité internationale universitaire de Paris est solidaire du peuple ukrainien. Il n’existe pas de Maison de l’Ukraine sur le campus, mais le projet de Maison virtuelle de l’Ukraine permet de pallier effectivement cette absence. Grâce à ce projet, d’ici le mois de juin 2022, des étudiants, chercheurs et universitaires touchés par la guerre seront accueillis au fil de l’eau dans les chambres qui se libèreront sur le campus puis, à compter de la rentrée 2022, ils le seront dans des hébergements réservés au sein des 43 maisons du campus.Accompagner leur réussiteLes étudiants, chercheurs et universitaires touchés par la guerre seront accompagnés dans leurs démarches. Ils pourront bénéficier gratuitement de toute notre offre d’accompagnement : soutien financier, social, psychologique, médical et linguistique. Ils pourront également trouver un appui dans l’offre culturelle et artistique proposée sur le campus. Ils partageront la vie quotidienne de près de 7 000 résidents de 150 nationalités. En lien avec les universités et les grandes écoles franciliennes, nous accompagnerons également les étudiants ukrainiens logés dans d’autres résidences en Île-de-France pour constituer une communauté ukrainienne bien réelle mais symboliquement réunie sous cette bannière de la maison de l’Ukraine. La Cité internationale se place ainsi en pivot de l’accueil en lien avec l’opérateur Campus France, les Crous et les établissements d’enseignement supérieurs franciliens.Protéger et préparer leur avenirLa Maison virtuelle de l’Ukraine symbolise l’espoir d’un renouveau fondé sur la connaissance et les valeurs de tolérance. Elle permettra de préserver l’avenir des étudiants, chercheurs et universitaires en exil dans une perspective de moyen terme : préserver la jeunesse et la communauté universitaire et académique ukrainienne. L’université ukrainienne ne doit pas être sacrifiée et toute une génération d’étudiants venant de ce pays meurtri doit retrouver sa place au milieu de la jeunesse du monde et de ce campus international unique chargé d’histoire qu’est la Cité internationale universitaire de Paris. Le talent de Jean-Michel Wilmotte au service d’une œuvre collectiveL’architecte Jean-Michel Wilmotte a accepté de participer à ce projet innovant et d’accompagner la Cité internationale, haut lieu architectural chargé d’histoire, dont il partage l’ambition d’accompagner et de préparer l’avenir de la communauté universitaire et académique ukrainienne en pariant sur la jeunesse, le savoir et la raison.L’agence Wilmotte & Associés a imaginé un pavillon, réminiscence de l’architecture constructiviste, dont les volumes et l’utilisation des matériaux rappellent le drapeau ukrainien. Cette œuvre numérique est aussi une façon de mettre en avant l’art et la culture comme réponse au fracas et aux destructions de la guerre. Trois œuvres ont été dessinées : la façade de la maison, une chambre et un espace collectif avec un piano.Une campagne d’appel aux dons, une vente en NFT et aux enchèresPour concrétiser son projet, la Cité internationale lance :Le 19 avril une campagne d’appel aux dons et une vente en NFT des 3 dessins de Jean-Michel Wilmotte,Le 9 juin une vente aux enchères chez Sotheby’s France, Europe et New-York des 3 dessins et d’une œuvre conçue par Jean-Michel Wilmotte.Les fonds recueillis permettront d’héberger jusqu’à 500 étudiants, chercheurs et universitaires touchés par la guerre en Ukraine dans les 43 maisons du campus, de les accompagner tout au long de leur séjour (aides administratives, suivi médical et psychologique, apprentissage du français, offre culturelle…) et de constituer un fonds d’aide d’urgence. Ce dispositif s’adresse également aux résidents ukrainiens présents sur le campus au moment du déclenchement de la guerre et à leurs familles proches qui les auront rejoints.Faire un don ou acheter une œuvre en NFT : maisondelukraine.fr
Il y a 3 ans et 32 jours

Val-de-Marne : confortation des rues Albert-1er et Marguerite à Fontenay-sous-Bois

À Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne), le gros œuvre du chantier des rues Albert-1er et Marguerite a commencé.
Il y a 3 ans et 32 jours

Pyrénées-Atlantiques : livraison des deux derniers bâtiments du quartier Kléber à Biarritz fin avril 2022.

À Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), l’aménagement de la ZAC de Kléber entre dans sa dernière phase.
Il y a 3 ans et 32 jours

Oise : fin de la première phase de restauration des salles de l’hôtel de ville de Compiègne

À Compiègne (Oise), les premiers travaux de restauration des salles de l’hôtel de ville sont achevés.
Il y a 3 ans et 32 jours

Isolation biosourcée : levée de fonds pour Gramitherm

Le fabricant de panneaux isolants à base d'herbe de prairie annonce un tour de table et un nouvel actionnaire de référence.
Il y a 3 ans et 32 jours

Haute-Garonne : extension de la station d’épuration de Plaisance-du-Touch

La ville de Plaisance-du-Touch (Haute-Garonne) se lance dans l’extension de sa station d’épuration. Les travaux débuteront fin 2022.
Il y a 3 ans et 32 jours

[Livre] Végétaliser son toit par Gernot Minke

Végétaliser les toits : une réponse pertinente au dérèglement climatique ? Ce livre va vous donner toutes les astuces pour réaliser ou faire-faire un toit végétal ! Les toits végétalisés sont une des solutions pertinentes pour limiter le dérèglement climatique : ils rafraîchissent en été, réchauffent en hiver, purifient l’air et abritent la biodiversité. De plus, […]
GDA
Il y a 3 ans et 32 jours

Quartier Bercy-Charenton : la Mairie revoit ses ambitions

Le 12e arrondissement de Paris a finalement abandonné ses tours de béton. Les 6 orientations présentées par Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la Maire de Paris, et Emmanuelle Pierre-Marie, Maire du 12e arrondissement de Paris, font la part belle « à la végétation urbaine ». Les réflexions entamées il y a 20 ans ont été révisées afin de correspondre aux attentes des riverains et celles, « écologiques et sociales » affichées par la municipalité. Dans le cahier des...
Il y a 3 ans et 34 jours

Comment stocker vos marchandises et entreposer vos machines ?

Le désordre peut s’installer très vite lorsqu’on ne prête pas attention aux systèmes de stockage des marchandises dans une entreprise. En effet, le flux des produits à vendre mélangé avec les stocks ainsi que les machines de production vont devenir ingérables si on ne choisit pas une méthode qui s’adapte à nos produits. L’espace de stockage doit être facile d’accès et bien organisé pour pouvoir optimiser au maximum son exploitation. Quels sont donc les méthodes de stockage de marchandises et les systèmes utilisés pour entreposer les machines ? Les différents types de méthodes pour stocker les marchandises Un espace se doit d’être bien organisé pour que son exploitation soit pratique et opérationnelle. Pour y arriver, il faut prendre en compte la nature des produits, leur importance et leurs caractéristiques. –      La méthode de stockage ABC Il s’agit d’une technique de gestion de stock qui va mettre de l’ordre dans un entrepôt par l’intermédiaire du classement des produits par leur degré d’importance. Ainsi, les marchandises seront catégorisées en 3 classes à savoir A, B et C. Les marchandises qui sont dans la classe A sont celles qui ont le plus de valeur, pendant que la classe B renferme la valeur moyenne et la classe C celles de moindre valeur. Pour que la chaîne logistique soit efficace, il faut que la méthode de stockage suive certaines règles. Entre autres, les marchandises dans la classe A, les plus demandées doivent être placées dans les rayons qui sont au milieu de l’entrepôt. Celles qui sont dans la classe B ou C peuvent être sur le côté ou en arrière-plan. Par la suite, les produits les plus importants doivent être placés le plus proche des entrées et des sorties. Ceci va permettre de diminuer les va-et-vient et va améliorer le flux de marchandises. –      Les méthodes de stockage LIFO et FIFO Notons que l’acronyme FIFO signifie First In First Out. Ce qui veut dire « premier entré, premier sorti ». Le principe est de gérer le système de rayonnage de telle sorte que les marchandises arrivent d’un côté et sont prélevées de l’autre côté des rayons. Il s’agit donc d’une méthode qui respecte l’ordre d’arrivée des produits. Ce qui rend ce système idéal pour gérer les produits comestibles. Pour avoir plus de rapidité, il est possible d’avoir une manutention en double accès c’est-à-dire que l’accès aux produits peut s’effectuer des deux côtés du rayon, à savoir l’entrée et la sortie. Quant au système LIFO, le principe est tout le contraire de FIFO. Notons d’abord que LIFO veut dire Last In, First Out. Ainsi, les derniers arrivés sont les premiers à sortir. Ce système est adapté pour les produits qui ne périssent pas et qui n’ont pas de date de limite de consommation. Il va permettre de limiter l’empilement des marchandises. Les différents types de rayonnages dans les bâtiments de stockage Le système de stockage par l’intermédiaire des rayonnages permet d’optimiser l’espace et d’exploiter chaque mètre carré disponible. Cependant, il existe plusieurs types de rayonnages en fonction des dimensions et des rotations des produits. Le système est également choisi en fonction du type de bâtiment, si il est démontable comme les tentes industrielles ou un bâtiment en dur équipé logistiquement. Ainsi, pour un stockage industriel, le choix va se faire entre le système à accès direct et le système compact en prenant en compte le nombre de références avec la quantité de produits pour chaque référence et la fréquence du flux. –      Le système de rayonnage à accès direct Les rayonnages à accès direct bénéficient d’un accès facile car les produits de base ou les produits récupérés fréquemment sont placés dans les allées de travail. Sauf que, ce système va rapidement encombrer les rayons principaux en cas d’une gestion de stock non maitrisée. Par ailleurs, ce type de système comprend trois catégories de rayonnages. –      Le rack à palettes qui peut être à simple ou à double profondeur : il s’agit d’un système de stockage pratique que ce soit pour un entrepôt de petite, de moyenne ou de grande taille. En effet, les racks à palettes peuvent s’adapter à n’importe quelle charge et à n’importe quel volume de produits. –      Le rayonnage qui est sur des bases mobiles : la mobilité est acquise par l’intermédiaire des rails. Aussi, les rayons sont équipés de moteurs avec un dispositif de contrôle pour sécuriser le déplacement des racks. Ce système est surtout employé dans les entrepôts frigorifiques. –      Les rayonnages cantilever: il s’agit du système utilisé pour stocker les machines industrielles dans les grands bâtiments de stockage. En fait, les rayons sont composés de colonnes où des bras en porte à faux facilement emboitables se fixent pour pouvoir supporter le poids des charges importantes. Ces derniers vont permettre aux rayons d’accueillir des tuyaux, des profilés en métal ou des machines surdimensionnés. Ce système est utilisé par les entreprises dans le secteur de l’automobile ou dans la fabrication des machines industrielles et des pièces détachées. –      Le système de rayonnage compact Ce système de stockage va permettre de disposer d’une plus grande capacité de stockage par rapport au système à accès direct. Ainsi, on peut distinguer le rayonnage drive-in ou drive-through qui consiste à introduire une allée dans les rayonnages pour permettre aux chariots élévateurs de déposer les charges. Ces allées comportent des rails pour faciliter le va-et-vient des machines. Ensuite, il y a les rayonnages push-back qui consistent à incliner légèrement les canaux de stockage pour que le retrait des palettes se fasse par la gravité. En effet, la partie en avant est construite avec une hauteur plus faible. D’autre part, le rayonnage avec le système Pallet Shuttle assure le chargement et le déchargement des palettes avec une navette motorisée. D’un autre côté, le rayonnage dynamique se caractérise par des canaux à rouleaux qui sont légèrement inclinés pour faciliter le déplacement des palettes. Même si celui-ci se fait suivant la gravité, la vitesse peut être contrôlée. Enfin, il est possible d’automatiser les différents types de rayonnages par l’intermédiaire des transstockeurs. Il s’agit d’utiliser des navettes de transfert placées à chaque niveau de rayon pour augmenter la fréquence du flux des marchandises.
Il y a 3 ans et 34 jours

Succès du 11e Forum International Bois Construction

Avec pour objectif d’être une nouvelle fois au plus près de l’actualité constructive de la filière bois et biosourcée, et des enjeux environnementaux, la 11e édition du Forum International Bois Construction, qui s’est déroulée du 6 au 8 avril 2022 à Epinal et à Nancy, a été un véritable succès. Ce rendez-vous annuel de la filière bois a rassemblé plus de 4000 participants, doublant ainsi la fréquentation de sa dernière édition du Grand Est, en 2019. Pendant 3 jours, le Forum a été rythmé par plus de 160 conférences, 4 expositions majeures et un salon qui a réuni plus de 150 exposants, répartis dans les 3 halls du Centre Prouvé de Nancy. Grâce au soutien de l’ADEME, le Forum Bois Construction s’affirme comme le premier Forum éco-conçu de par sa scénographie en bois de France, sa table de replantation et la réduction continue de ses émissions de carbone. Le 11e Forum Bois Construction a réussi à réduire son empreinte carbone par rapport à celle de l’édition parisienne de 2021, atteignant ainsi 49 teq CO2. Les émissions incompressibles seront quant à elles neutralisées par le financement de la plantation de 2 000 arbres sur la parcelle de La Chapelle-aux-Bois, située dans la forêt d’exception de Darney-la-Vôge près d’Epinal et qui a été dévastée par les scolytes. Retrouvez toutes les vidéos tournées par l’équipe Batijournal TV lors de l’événement… Photo : Jad Sylla – FBC Cet article Succès du 11e Forum International Bois Construction est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 34 jours

Architecture en bois et nature pour le siège social d’ASI Reisen

L’entreprise ASI Reisen (Alpin-Schule Innsbruck), spécialiste des vacances écologiques actives et des voyages d’aventures, propose à ses clients un programme alternatif à mille lieues de l’« overtourisme » et de l’industrie des croisières. Afin de communiquer ces valeurs même à l’extérieur, le cabinet international d’architectes Snøhetta a conçu un bâtiment en bois original pour le siège social de l’entreprise à Natters. ASI Reisen s’est installé dans un coin tranquille au beau milieu de la forêt et des champs, littéralement bien nommé « Au calme ». L’intérieur du bâtiment prolonge cette tranquillité promise. Les concepteurs ont habillé les plafonds avec des panneaux acoustiques Ligno® Acoustique light. Les espaces « open office » généreux sont ainsi préservés du bruit et du stress. Le profil irrégulier « nature » des panneaux ennoblit l’espace intérieur avec une surface de lattes esthétique en sapin blanc clair. Les fenêtres généreuses offrent une vue imprenable sur la forêt et les montagnes du Tyrol. Les clients et les visiteurs sont accueillis dans le Base Camp, un hall d’entrée représentatif sur deux étages. La partie centrale de la zone de bureaux s’élève sur plusieurs étages à travers des galeries ouvertes. Elle comprend des espaces de travail individuels, des niches de réunions, une pièce de repos et une cafétéria. Son intérieur à la conception essentiellement ouverte offre au bâtiment une grande flexibilité aux besoins futurs. La façade en bois utilise une méthode de finition issue du Japon. La technique Shou Sugi Ban (Yakisugi) conserve le bois grâce à la carbonisation. Le bois clair des espaces intérieurs forme ainsi un contraste élégant avec la façade sombre. Photo : Lignotrend Maître d’ouvrage : ASI Reisen – Alpinschule Innsbruck GmbH Maîtrise d’œuvre : Cabinet d’architectes Snøhetta, Osl
Il y a 3 ans et 34 jours

Antoine THEBAULT prend la présidence du groupe familial

Le Groupe THEBAULT, ETI industrielle familiale française spécialiste des panneaux de contreplaqué en Pin Maritime, Peuplier et Okoumé, annonce la nomination d’Antoine THEBAULT à la présidence du groupe. Antoine THEBAULT, petit-fils du fondateur, représente la 3ème génération à la direction de l’entreprise familiale. A 42 ans, diplômé de l’école d’ingénieurs ESITC de Paris, il a occupé, pendant 14 années, des fonctions d’encadrement dans des groupes internationaux du BTP comme EIFFAGE puis NGE. En 2016, il rejoint le groupe familial alors dirigé par son père Jean-Charles THEBAULT et ses deux oncles Benoit et Henri-Jean THEBAULT. Après un parcours d’intégration à différents postes au sein du groupe, il prend la direction du site de fabrication de contreplaqués Pin Maritime de Solférino (40) pendant deux années, participe au déploiement de l’unité de Bois Déroulés de Champagne de Marigny-le-Châtel (10) avant d’intégrer la direction opérationnelle du groupe en 2020 à Magné (79).
Il y a 3 ans et 34 jours

En Normandie, les transports en commun passent au vert avec l'essor du BioGNV

En 2021, la production de gaz vert « Made in Normandie » prend un nouvel élan avec l'essor du réseau de méthaniseurs : à ce jour, 19 unités injectent dans les réseaux et contribuent à desservir 24 stations d'avitaillement en GNV/BioGNV. Et ces chiffres devraient doubler en 2022 ! A l'occasion de la Semaine Européenne de la Mobilité, GRDF en Normandie dresse un état des lieux de cette révolution verte dans les transports normands. GRDF soutient la révolution verte des transports normands Aujourd'hui, un bus sur quatre vendu en France circule au GNV/bioGNV. Les collectivités normandes plébiscitent largement ce carburant pour verdir leurs flottes de bus. Cette année, par exemple, Caen la Mer et Le Havre ont respectivement commandé 200 et 55 bus fonctionnant au GNV pour renouveler leur parc de véhicules de transports en commun. A Caen, la mise en service des premiers bus GNV est effective depuis septembre. A Argentan dans l'Orne, première agglomération normande autonome en été en gaz vert depuis l'année dernière, les transports publics se modernisent. En charge de la compétence mobilité depuis le 1er juillet 2021, Argentan Intercom a mis en service ses trois premiers bus au GNV le 30 août. « Nous avons investi sur le bus au GNV. C'est plus propre, avec un carburant produit localement, et c'est un moyen non négligeable de faire des économies. Par rapport au gazole, nous faisons 36 % d'économies sur le coût du carburant. » explique Frédéric Leveillé, Président de l'intercommunalité.En Normandie, 15 stations privées et 9 stations publiques d'avitaillement sont d'ores et déjà opérationnelles, une dizaine de nouvelles stations est en cours d'étude pour renforcer la demande La mise en service de stations d'avitaillement se multiplie dans la région pour suivre la montée en puissance de ce carburant alternatif. Récemment, une nouvelle station multi-énergies (gaz, hydrogène, électricité) au sud d'Evreux (à la croisée de la N154 et N13, un carrefour logistique important dans le département) a vu le jour. LE SDEM Syndicat d'Energies de la Manche a aussi en projet une station GNV/bioGNV pour alimenter les transporteurs de l'agglomération de Carentan les Marais (zone élargie de la baie du cotentin : Carentan, Isigny, Sainte-Mère-Eglise, etc.) En Normandie, 19 unités de méthanisation injectent déjà dans les réseaux GRDF, et une quarantaine de projets devrait voir le jour en 2022 ! Le bioGNV est obtenu par la méthanisation de déchets organiques divers et parfois combinés : ordures ménagères, boues des stations d'épuration, produits agricoles et tontes des espaces verts... Tous les véhicules GNV sont compatibles avec le BioGNV, ce qui permet une interchangeabilité simple. C'est une énergie locale et renouvelable. A ce jour, la Normandie compte 19 méthaniseurs en injection. En 2022, ce réseau devrait connaitre une forte croissance avec 40 nouveaux projets, en partenariat avec les agriculteurs locaux.Pour Aymeric Cotrel, Directeur GRDF en Normandie : « L'agriculture joue un rôle essentiel dans la production d'énergie et particulièrement en ce qui concerne la méthanisation où plus de 90% de la production est issue du monde agricole. Cette filière est indispensable pour la transition écologique du territoire normand. La méthanisation crée une passerelle entre le monde agricole et le monde urbain. En approvisionnant les véhicules bien sûr, mais aussi en créant de la ressource énergétique pour injecter du gaz pour chauffer les foyers ou les équipements publics. Nous accompagnons quotidiennement les agriculteurs dans cette diversification de leur métier. »Mathieu Deschamps, agriculteur-méthaniseur, bientôt « avitailleur »Niché dans un petit village de Seine Maritime à Cléville, Mathieu Deschamps éleveur, est aussi méthaniseur depuis 10 ans. Le biométhane que son unité produit, est injecté dans les réseaux de GRDF depuis juin 2021 et dessert l'équivalent de la consommation annuelle de 2 000 logements ou de 100 bus roulant au GNV. Convaincu par les avantages de cette énergie verte, l'agriculteur envisage de créer une station d'avitaillement avec des partenaires à quelques kilomètres de son site de méthanisation. Ce projet devrait voir le jour à l'automne prochain. « Notre démarche est centrée sur l'économie circulaire et la production locale. Ce projet de point d'avitaillement nous permet d'ancrer notre activité de méthanisation localement. »
Il y a 3 ans et 35 jours

Démanteler les éoliennes ? Plutôt "accélérer" la transition, estime le président d'Engie

"L'enjeu aujourd'hui, ce n'est pas de ralentir la transition énergétique et encore moins de partir en marche arrière, c'est au contraire d'accélérer", a-t-il répondu à un actionnaire l'interrogeant sur "le démantèlement des éoliennes" prôné par la candidate d'extrême droite, à l'occasion de l'assemblée générale annuelle de l'entreprise."L'idée qu'on puisse démanteler des éoliennes lorsqu'elles sont en fin de vie ça fait partie de nos obligations de le faire, sinon ça me paraît plutôt une forme d'aberration", a déclaré M. Clamadieu."Il faut que nos projets de développements renouvelables s'intègrent dans leur environnement local, mais je pense que la priorité pour nous, c'est vraiment d'avancer ; le nous étant Engie mais aussi la France et l'Europe", a conclu le dirigeant, dont le groupe est désormais un acteur important des énergies renouvelables. La candidate d'extrême droite et finaliste de l'élection présidentielle propose dans son programme "un moratoire sur la construction de toute nouvelle éolienne, sur terre ou mer", tandis que leur démantèlement serait "engagé progressivement".
Il y a 3 ans et 35 jours

Faut-il faire des propriétaires de pavillons des "micro-promoteurs" ?

LOGEMENT. La fondation Terra Nova défend, dans une note, l'opportunité de résoudre la crise de la production de logements sans artificialiser des terres naturelles : il suffirait de densifier les zones pavillonnaires. La création d'un statut de micro-promoteur permettrait de simplifier les démarches pour les propriétaires actuels des terrains, qui amélioreraient ainsi leur situation.
Il y a 3 ans et 35 jours

Bercy-Charenton : François Leclercq réconcilie la majorité parisienne

URBANISME. C'est une majorité municipale unie qui a présenté, le 21 avril, les grandes orientations d'un projet Bercy-Charenton "entièrement revu" avec l'aide de l'agence François Leclercq Associés. Cette enclave au sud-est de la capitale voit sa programmation divisée par deux.
Il y a 3 ans et 35 jours

Paris 2024 : les travaux du centre aquatique de Marville ont commencé

CHANTIER. Dans le cadre des Jeux olympiques et paralympiques 2024, un centre aquatique servira de site d'entraînement pour le water-polo, dans le parc départemental des sports de Marville, en Seine-Saint-Denis. C'est le 21 avril 2022 que les travaux ont officiellement été lancés.
Il y a 3 ans et 35 jours

Un nouveau directeur des opérations pour Wicona France

La marque, filiale du groupe Hydro, choisit la promotion interne pour la direction des opérations en France.
Il y a 3 ans et 35 jours

L'université Sorbonne Nouvelle se dote d'un tout nouveau campus, gigantesque et coloré

ARCHITECTURE. L'architecte et urbaniste Christian de Portzamparc signe le nouveau campus de la Sorbonne Nouvelle, à Nation, à l'Est de la capitale. Batiactu a pu visiter cet établissement végétalisé et tout en ondulation, et vous le présente en images.
Il y a 3 ans et 35 jours

Journée de la Terre : selon une nouvelle étude, 1 Français sur 5 est climatosceptique

Dans le même temps, l’environnement, supposé être l’une des préoccupations majeures des Français (sondage Elabe), n’a été que peu abordé dans le cadre des débats à la Présidentielle. Si certains experts évoquent une forme de déni collectif sur le sujet, d’autres une méconnaissance persistante ou encore un enjeu tellement intériorisé qu’il ne représenterait plus véritablement une bataille à mener, qu’en est-il réellement ? L’urgence climatique est-elle perçue comme telle par les Français ? Sont-ils prêts à changer ou pensent-ils qu’il est simplement trop tard et qu’il faudra « faire avec » ? Décryptage de l’étude OpinionWay réalisée pour PrimesEnergie.fr, principal financeur privé de la transition énergétique.« Nous entendons régulièrement une petite musique qui nous raconte que l’enjeu climatique est désormais intégré par le plus grand nombre, les résultats de l’étude nous montrent que ce n’est pas tout à fait vrai. Non seulement 1 Français sur 5 ne croit pas au réchauffement climatique, mais parmi les autres, la moitié ne semble pas prendre la mesure du défi qui nous attend », constate Nicolas Moulin, fondateur de PrimesEnergie.fr.« Une part significative des répondants ne fait pas de lien direct entre le dérèglement climatique et les thématiques sociales et pourtant, les périodes de sècheresse de plus en plus intense en France et dans le monde, comme actuellement dans l'Ouest des Etats-Unis, vont avoir des conséquences directes sur la production alimentaire et donc générer ou renforcer une inflation préexistante. Opposer la lutte pour le climat aux enjeux sociaux est un contresens total, le niveau de réchauffement sur lequel nous pouvons agir aujourd’hui va totalement conditionner l’ensemble des autres sujets jugés plus prioritaires par la majorité des Français ».1 Français sur 5 est climatosceptique21% des Français sont climatosceptiques avec des différences très sensibles selon la région et l’âge.Les habitants du Sud-Est, particulièrement confrontés à des phénomènes météorologiques extrêmes ne sont « que » 18% à ne pas croire au réchauffement climatique. Une proportion qui monte à 26% soit plus d’1 Français sur 4 dans le Nord-Ouest du pays.Les plus climatosceptiques (25%) vivent dans des communes de 2 000 à 20 000 habitants contre 20% dans les zones rurales et 18% en région parisienne. Le critère de l’âge est le plus déterminant avec des écarts de 15 points entre les plus climatosceptiques (29% des 35-49 ans) et les moins climatosceptiques (14% des + de 65 ans). En revanche pas de différence significative entre les femmes et les hommes (respectivement 21% et 20%).Conflit générationnel ?Si une majorité de Français (79%) ne doutent pas du réchauffement du climat, ils sont toutefois 63% à considérer qu’il y a des sujets plus prioritaires (emploi, sécurité, pouvoir d’achat, santé). A nouveau, le critère le plus déterminant pour observer des différences de perception est générationnel avec 71% des 35-49 ans qui considèrent que d’autres sujets sont prioritaires contre 52% des 18-25 ans, soit près de 20 points d’écart.Lutter pour le climat… sans changer nos modes de vie ?Par ailleurs, 75% considèrent qu’il est possible de concilier lutte pour le climat, croissance économique et mode de vie des pays développés en réalisant des économies d’énergie. A nouveau, les 35-49 ans sont les plus enclins à penser cela possible (81% contre 70% chez 25-34 ans et chez les 50 – 64 ans).Dans le même temps, près de la moitié des Français (47% des personnes interrogées) pensent qu’il est trop tard pour inverser le cours du réchauffement climatique et même 57% pour les 35-49 ans.A contrario, 44% des jeunes de 18 à 24 ans et seulement 39% des + de 65 ans pensent qu’il est trop tard. Les plus jeunes et les plus anciens se rejoignent dans une forme d’optimisme.Méthodologie : étude et analyse réalisée au 1er trimestre 2022 par OpinionWay auprès d’un échantillon de 1022 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
Il y a 3 ans et 35 jours

Présidentielles : qui est le plus eco-responsable ?

En chiffrant le poids carbone de chaque mesure, elle fait apparaître l’influence déterminante du choix pro-nucléaire des candidats, et les lacunes de Marine Le Pen dans les autres domaines. Son choix de privilégier le pouvoir d’achat n'intègre pas l’impératif de décarbonation.En matière d’énergie nucléaire, les deux candidats font le choix de nouveaux réacteurs pour accélérer la décarbonation, avec un léger avantage pour Marine Le Pen: le programme d'Emmanuel Macron prévoit 6 nouveaux réacteurs pour économiser 32 Mt CO2 éq par an, soit de 7% de l’empreinte totale de la France, contre 10 nouveaux réacteurs pour Marine Le Pen, et une économie potentielle 54 Mt CO2 éq par an, soit 12% de l’empreinte nationale annuelle une fois les centrales actives.En matière de renouvelables, Marine Le Pen recule sur les éoliennes, avec un excès potentiel de 6 Mt CO2 éq de plus par an, soit 1,5% de l’empreinte nationale annuelle, alors qu'Emmanuel Macron propose de poursuivre leur développement.En matière d’énergies fossiles, Emmanuel Macron propose la fin du charbon, pour une économie potentielle de 14 Mt CO2 éq par an, ce qui représente 3,2% de l’empreinte nationale annuelle. Marine Le Pen ne s’engage pas.Pour décarboner l’industrie, Emmanuel Macron propose un investissement de plus de 5 milliards d’euros, qui ferait économiser 5 Mt CO2 éq, soit 1,1% de l’empreinte carbone annuelle. Mme Le Pen ne se prononce pas sur le sujet.Pour réduire les émissions des transports, Emmanuel Macron et Marine Le Pen souhaitent développer les technologies hydrogène. Cette dernière propose de remonter la limite de vitesse à 90 km/h, ce qui engendrerait des émissions estimées à 0,4 Mt CO2 éq, soit 0,1% de l’empreinte carbone annuelle de la France.En matière de logement, les deux programmes manquent de précision pour bien chiffrer l’impact, même si Emmanuel Macron avance plus d'objectifs sur la rénovation des logements, et que Marine Le Pen évoque simplement un prêt d’aide à la rénovation.Pour Alexis Normand, CEO de Greenly : "La campagne présidentielle est encore une occasion manquée de sensibiliser les Français aux enjeux climatiques qui assombrissent pourtant leur avenir. Dans son sixième rapport paru le 4 avril 2022, le GIEC a présenté une feuille de route complète des actions à mettre en œuvre dès à présent, pour limiter efficacement le réchauffement à 1.5° degrés."Malgré la clarté des propositions et l’urgence, les discussions sur le climat n’ont représenté que 2,7% du temps de parole des candidats. Stratégie délibérée ou faible niveau de conscience, les candidats n’ont pas souhaité utiliser ce temps de débat privilégié pour sensibiliser leurs électeurs. Il ne reste que peu d’études qui ont tenté d’évaluer l’impact climatique des propositions des candidats.Pour Alexis Normand, CEO de Greenly : "Les experts climats de Greenly ont souhaité pallier ce manque d’information en chiffrant les propositions des candidats du second tour. L’étude mesure l’impact des propositions des candidats par secteur, au regard de la trajectoire sectorielle prescrites par GIEC et des recommandations."Le GIEC évoque une fenêtre de tir de trois ans pour agir avant que l’objectif des 1.5° devienne inatteignable. Les programmes des candidats sont-ils de taille pour affronter le problème majeur de ce siècle ?MéthodologieCet exercice de chiffrage s’est concentré sur les propositions les plus précises, en donnant des ordres de grandeur étayés par des hypothèses scientifiques, sur l’impact estimé pour chacun des secteurs les plus émissifs : Énergie, Industrie, Transports, Construction/Logements.
Il y a 3 ans et 35 jours

Jeudi Webinaire : panorama des matériaux biosourcés et leurs usages avec Yves Hustache – Karibati

Pour réduire son impact carbone dans une construction ou une rénovation, le choix des matériaux aura aussi son importance, certains ayant un bilan environnemental et des caractéristiques techniques peu favorables. Les matériaux biosourcés présentent ainsi de nombreux avantages. Yves Hustache nous présente dans le cadre d’un « Jeudi webinaire » un panorama de ces matériaux et de […]
Il y a 3 ans et 35 jours

Seigneurie veut aller plus vite sur le verdissement de ses peintures et l'ITE

STRATÉGIE. La marque Seigneurie, du groupe PPG, vient de présenter son plan de responsabilité sociale et environnementale (RSE). Il prévoit vingt-trois actions dans les domaines de l'environnement, l'humain et la santé.
Il y a 3 ans et 35 jours

Les activités BTP de Vinci en très bonne forme au premier trimestre 2022

RÉSULTATS. Le groupe dirigé par Xavier Huillard a enregistré des performances particulièrement bonnes au premier trimestre 2022, largement soutenues par l'activité à l'international. L'intégration de Cobra IS n'est pas étrangère à ces résultats, mais la major progresse aussi bien en croissance organique.
Il y a 3 ans et 35 jours

Hydrogène vert : 10 milliards d’euros de retombées économiques en France d’ici à 2030 pour les fabricants de matériel électrique

Avec l’étude de marché du GIMELEC, le syndicat professionnel de la filière électronumérique, publiée le 14 avril, Le potentiel économique colossal que l’hydrogène décarboné représente en France est maintenant connu, évalué jusqu’à 10 milliards d’euros cumulés d’ici 2030 pour les fabricants de matériel électrique et d’automatismes, dont une grande partie de PME et d’ETI.Pour Rodolphe de BEAUFORT, Délégué général adjoint du GIMELEC : « L’hydrogène est déjà massivement utilisé dans l’industrie sous sa forme dite grise, c’est-à-dire produite à partir d’énergies fossiles. Il y a aujourd’hui un véritable regain d’intérêt pour le substituer par sa forme verte, ou décarbonée, conséquence collatérale de l’explosion du prix du gaz liée à la guerre en Ukraine. On entend beaucoup parler de l’hydrogène pour son usage dans les transports, des voitures aux trains en passant par l’aviation légère. L’étude du GIMELEC montre quant à elle que la performance environnementale et énergétique de l’hydrogène se joue surtout et d’abord dans l’industrie. C’est là, à court terme, dans les usines sidérurgiques, chimiques et de raffinage qu’il permet le plus fort gain en termes de décarbonation. On parle de 11 millions de tonnes de CO2 pouvant être évitées chaque année soit 15% des émissions de l’industrie. » Plusieurs Gigafactories d’électrolyseurs s’apprêtent à sortir de terre en France : Aspach (2022), Béziers (2023), Belfort (2024), et Vendôme (2025). Elles devront répondre aux besoins qui vont exploser d’ici 2030. L’étude du GIMELEC confirme le potentiel d’environ 6,5 GW d’électrolyseurs à installer d’ici 2030 en France, puis 18 GW sur la décennie suivante. Ces potentiels, ventilés sur les sept principales régions industrielles du pays, font ressortir le défi de construction des infrastructures nécessaires. Ce potentiel devrait être repris dans la prochaine Stratégie Nationale Bas Carbone afin que la France se mobilise pour la décarbonation de son industrie puis la promotion des alternatives de mobilité propre, en complément de l’électrification directe. La réussite de la stratégie hydrogène de la France dépendra en grande partie de la mobilisation des acteurs industriels, constructeurs de matériel électrique et d’infrastructures, pour coordonner leurs efforts et répondre ainsi à la croissance exponentielle de ce marché. Cela est d’autant plus nécessaire que la concurrence internationale se met en place, notamment dans les pays asiatiques.Pour Rodolphe de BEAUFORT, Délégué général adjoint du GIMELEC : « Oui, nous identifions un potentiel en forte croissance atteignant, dès 2030, 3 milliards d’euros par an de retombées économiques pour les fabricants de matériel électrique en France. Oui, il y aura des recrutements massifs, en particulier dans les territoires où se concentreront les efforts de développement de l’hydrogène, en Méditerranée et dans la Vallée de la Seine, mais aussi partout sur le territoire national et européen, notamment dans les usines de composants électrotechniques qui sont à la base de ces nouvelles infrastructures énergétiques. Mais il faut pour cela que tout l’écosystème industriel travaille de concert. C’est tout l’objet du groupe hydrogène constitué par le GIMELEC à l’issue de son étude : fédérer les offreurs de technologies au service du développement des capacités industrielles et de la compétitivité de ce secteur. »
Il y a 3 ans et 35 jours

Chauffage : comment l'Etat veut "tuer" le recours aux énergies fossiles

TRANSITION ENERGETIQUE. Le conflit ukrainien entraîne l'Union européenne et la France à accélérer leur transition énergétique, de manière à supprimer, à terme, le recours aux énergies fossiles. Dans le domaine du chauffage, cela confirmera l'avantage offert à des équipements tels que les pompes à chaleur.
Il y a 3 ans et 35 jours

Le béton bas carbone fait un siège

En cours de construction près de Montaigu (85), le futur siège d’Edycem fait office de laboratoire d'expérimentation des bétons bas carbone que l’entreprise commence à commercialiser.
Il y a 3 ans et 35 jours

Le verre à occultation commandée Priva-Lite dans la Tour Saint-Gobain

Ce verre de haute technologie est utilisé pour gérer des espaces de confidentialité en un instant. Il est logiquement utilisé par des grands groupes pour créer des bureaux plus flexibles, ou par des hôpitaux qui souhaitent transformer les espaces des patients, et ainsi gagner en intimité.
Il y a 3 ans et 35 jours

« Il était une fois demain » à la mairie d’Enghien

L’exposition réalisée par l’artiste Chris Morin-Eitner, « Il était une fois demain », habille les façades de la mairie d’Enghien-les-Bains (Val-d’Oise). Elle se compose de neuf œuvres imprimées en format monumental sur le parvis. Jusqu’au 15 septembre 2022. Architecte et photographe, Chris Morin-Eitner se nourrit de ses voyages, de ses photographies de paysages et des […] L’article « Il était une fois demain » à la mairie d’Enghien est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 35 jours

Collectivités : lancement d'un outil gratuit pour réduire leur facture énergétique

PRATIQUE. L'association Amorce et le cabinet spécialisé en développement durable Inddigo ont travaillé ensemble à proposer un outil numérique à destination des élus. Zoom sur cette aide en ligne.
Il y a 3 ans et 35 jours

En Auvergne-Rhône-Alpes, les artisans font part de leur inquiétude

CONJONCTURE. Vers la mi-avril, les remontées des entreprises artisanales de la deuxième région française en termes de contribution au Produit intérieur brut étaient loin d'être rassurantes. L'antenne locale de la Capeb propose une dizaine de mesures pour leur apporter une bouffée d'oxygène.