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Toute l'actualité du bâtiment

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Il y a 3 ans et 40 jours

Haemmerlin dévoile Ergo-Compact, la brouette à bras rabattables

Haemmerlin présente la première brouette à bras rabattables. [©Haemmerlin] Haemmerlin innove en créant Ergo-Compact. Le spécialiste en matériels de chantier a développé cette brouette, dont les bras peuvent se replier sous la caisse pour faciliter son transport et son stockage. Ce concept a été imaginé pour rendre l’objet plus compact, mais aussi plus ergonomique, avec ses poignées bi-matières. Grâceà ce système, les bras ont pu être rallongés de 27 cm en comparaison à une brouette traditionnelle. Réduisant ainsi la charge de matériaux transportés de 25 % et évitant aussi les troubles musculo-squelettiques (TMS). De plus, la brouette permet un gain de place, car elle peut être suspendue à un crochet par son brancard. La résistance de l’Ergo-Compact En parallèle, des tests ont été réalisés pour déterminer la robustesse de l’Ergo-Compact d’Haemmerlin. La brouette peut aller jusqu’à 380 kg de charge. Elle est équipée d’une nervurée, ce qui explique sa solidité et sa rigidité. De plus, son châssis breveté CP2i est supposé être indéformable. Lire aussi : Trimble dévoile la version 2022 de ses solutions logicielles Tekla Il est doté de supports de caisse galvanisés et d’un butoir de déversement. Avec sa capacité de 100 l, l’Ergo-Compact offre aussi une grande contenance. Enfin, elle peut être équipée, soit d’une roue de 400 mm de diamètre à jante de métal flasque et roulement à billes (PF 128). Soit d’une roue increvable à jante polypropylène (PF 200).
Il y a 3 ans et 40 jours

La rusticité relative de Gens - Exposition à la maison de l'architecture Occitanie-Pyrénées

Face à l'urgence que représente la situation de milliers de migrants, de sans-abris, de réfugiés ou de personnes âgées sans logement digne, des réponses architecturales se proposent d'accueillir, de soigner, de conforter. Outil collaboratif initié par des architectes et des enseignant.es, la plateforme "Architecture et […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 40 jours

Triptyque remporte le prix ArchDaily “Building of The Year 2022”

Le cabinet d’architecture Triptyque a remporté le prix ArchDaily “Building of The Year 2022” pour le projet de la Villa M à Paris. [©Grégoire Gardette] Amener l’Amazonie à Paris avec un bâtiment tropical, véritable manifeste de la création d’un pacte entre la ville, la nature et la santé, voilà le défi que s’est lancé l’agence franco-brésilienne Triptyque avec la Villa M. Et pour ce projet, le cabinet d’architecture a remporté le prix ArchDaily “Building of The Year 2022”. « Nous voulions partager ce succès et la reconnaissance de notre travail avec nos principaux partenaires qui ont uni leurs efforts pour que la Villa Mvoit le jour », indique Triptyque Architecture. La Villa M plébiscitée Amener l’Amazonie à Paris avec un bâtiment tropical, véritable manifeste de la création d’un pacte entre la ville, la nature et la santé, voilà le défi que s’est lancé l’agence franco-brésilienne Triptyque avec la Villa M. [©Grégoire Gardette] « Nous avons conçu la Villa M comme un manifeste architectural naturaliste. Un bâtiment d’une époque nouvelle où l’homme ne s’oppose plus à la nature et au vivant. Hors normes, le projet actualise le mode haussmannien, figure du style parisien, tout en intégrant la santé en cœur de ville », expliquent Guillaume Sibaud et Olivier Raffaëlli, co-fondateurs de Triptyque Architecture. La Villa M se veut “la villa Médicis des médecins et des soignants” sur quelque 8 000 m2. Qu’est-ce qu’Arch Daily ? Créé en 2008, ArchDaily est le plus important site Internet dédié à l’architecture, avec plus de 13 M de visiteurs chaque mois. Chaque année, il propose son palmarès des lecteurs sur des milliers de projets candidats. Cette année, plus de 100 000 votes ont été exprimés au cours des trois dernières semaines avec 4 500 projets en lice.
Il y a 3 ans et 40 jours

Le Groupe Velux supprime la quasi-totalité du plastique de ses emballages de fenêtres de toit

Le Groupe VELUX, premier fabricant mondial de fenêtres de toit, a choisi d’agir de manière massive en supprimant les composants plastiques en polystyrène expansé (EPS) de ses emballages. Cette démarche s’inscrit dans sa stratégie de développement durable visant à rendre ses emballages mono-matériau, sans plastique et 100% recyclables à l'horizon 2030. Cette mesure a un impact direct sur l’environnement, mais aussi sur le climat. Elle contribue à réduire de 13% l'empreinte carbone des emballages des produits du groupe. Le Groupe VELUX a prévu de diminuer l’empreinte carbone des produits de 50% d’ici à 2030. Enfin, l’opération simplifie le recyclage pour les clients lors de la séparation et du tri des déchets d'emballage, rendant ainsi les processus d'élimination à la fois plus efficaces et moins coûteux. « Chez VELUX, nos engagements pour la planète et la nature sont au cœur de nos décisions sur l’évolution de nos produits et notre manière de produire » déclare André Dot, Président de VELUX en France. « Les emballages constituent un élément important de nos produits. Ils doivent donc être aussi respectueux que possible de l'environnement. Nous sommes fiers de réduire sensiblement la quantité de plastique que nous utilisons pour emballer et protéger nos fenêtres de toit. Il s’agit d’une étape capitale vers la réalisation de notre objectif de développement durable consistant à “rendre nos emballages plus verts ” ». Lancée en 2020, la stratégie de développement durable du Groupe s’inscrit dans le cadre d’un parcours de transformation sur 10 ans au cours duquel le Groupe VELUX sera pionnier dans les actions en faveur du climat et de la nature, créera des produits durables innovants et mènera une activité responsable.
Il y a 3 ans et 40 jours

L’Accorderie : échanger et coopérer localement

Face à une économie essentiellement basée sur les échanges monétaires et l’enrichissement personnel, il existe des alternatives qui permettent aux plus démunis de bénéficier de services gratuitement. C’est le cas de l’Accorderie, une solution d’échanges de services à l’échelle locale, d’un quartier ou d’un village. Une Accorderie œuvre dans le monde de l’économie sociale et solidaire, en […]
Il y a 3 ans et 40 jours

CENTRAL office for architecture and urbanism - Portrait

L'agence franco-belge Central office for architecture and urbanism a été fondée en 2015 à Bruxelles par Radim Louda, Paul Mouchet et Valentin Piret, à la suite du concours Europan 13 dont ils ont été lauréats. Leurs expériences préalables - chez Xaveer de Geyter, Bevk Perovi, B-architects, l'AUC et V+ - leur ont […] Lire l'article
Cimbat
Il y a 3 ans et 41 jours

Petites architectures dans le grand paysage, en Franche-Comté

Exposition « Petites Architectures dans le grand paysage » de Julien King-Georges, architecte-plasticien. A la Maison de l’architecture de Franche-Comté. Jusqu’au 25 mai 2022. Rêve d’enfant, utopie des grands.Manière d’habiter, de protéger, d’inviter, d’écouter…La cabane évoque à chacun une image, un souvenir, des moments de bonheur.Elle est l’abri primitif, le génie créatif, l’empreinte d’un passage.Elle appartient à […] L’article Petites architectures dans le grand paysage, en Franche-Comté est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 41 jours

Nice Méridia, Comte & Vollenweider, Stéphane Fernandez et KOZ dans l’oasis

L’EPA Nice Écovallée a désigné en mars 2022 l’équipe Bouygues Immobilier – Logirem, accompagnée des agences d’architecture Comte & Vollenweider, Atelier Stéphane Fernandez et KOZ architectes pour aménager « Oasis », les lots 2.3, 2.4 A et 2.4 B dans la ZAC Nice Méridia. Communiqué de la métropole. Le long du Parc de l’Université, l’EPA […] L’article Nice Méridia, Comte & Vollenweider, Stéphane Fernandez et KOZ dans l’oasis est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 42 jours

A Bordeaux, I-TER, modèle de mixité des fonctions selon ECDM

A Bordeaux (Gironde), l’opération immobilière I-TER (pour Inclure Inviter Innover), conçue par ECDM (Emmanuel Combarel et Dominique Marrec), se veut une opération qui encourage la mixité des fonctions et usages dans la métropole. Livraison prévue fin 2023. Communiqué. Situé sur la dernière parcelle non urbanisée de la place Ravezies, le projet immobilier I-TER qui s’inscrit […] L’article A Bordeaux, I-TER, modèle de mixité des fonctions selon ECDM est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 42 jours

Le palais des Vieilles Procuraties, joyau de Venise, retrouve sa splendeur

Témoin silencieux des siècles traversés par la Sérénissime, cet ancien haut-lieu du pouvoir vénitien est prêt à livrer ses secrets au visiteur, invité à s'engouffrer dans une enfilade d'arcades entourées de poutres en bois et de murs de briques.Pour les trois premiers jours d'ouverture, la visite est réservée aux seuls Vénitiens, dont 3.000 ont répondu présents en 72 heures, avant de s'élargir à partir du 13 avril aux touristes du monde entier.Maître d'oeuvre de cette transformation d'une surface de 12.000 m2, l'architecte anglais de renommée internationale David Chipperfield a été chargé par l'assureur italien Generali, propriétaire du palazzo, d'insuffler une nouvelle vie à cet édifice iconique."La place Saint-Marc figure parmi les plus célèbres du monde, mais aucun d'entre nous n'a jamais imaginé ce qui se cache derrière ces façades construites par plusieurs architectes sur une centaine d'années", a déclaré M. Chipperfield à l'AFP.Erigées au XIIe siècle, les Procuratie Vecchie furent dévastées par un incendie en 1512. L'édifice vénéto-byzantin fut remplacé en 1538 par une structure à trois étages, dans le style classique de la Renaissance italienne.Lion ailéJusqu'à la chute de la République de Venise en 1797, les procurateurs, hauts magistrats qui secondaient le Doge, chargés du Trésor de la ville mais aussi des Affaires sociales, y ont travaillé tout en y occupant des logements gratuitement.Sous les combles de l'édifice s'étendent désormais les locaux spacieux de The Human Safety Net, une fondation lancée par Generali pour venir en aide aux personnes les plus vulnérables, dont des réfugiés, ainsi que des salles d'exposition et un auditorium."Les procurateurs s'occupaient des veuves, orphelins et pauvres. Pour nous, c'est un bel hommage à l'histoire et à l'identité de ce bâtiment d'y avoir The Human Safety Net, qui oeuvre pour l'inclusion sociale", a expliqué sa directrice Emma Ursich.A la gauche de l'entrée principale, le lion ailé de Saint Marc, symbole de la cité mais aussi l'emblème de Generali, est incrusté dans le mur de marbre blanc. Une plaque commémore la naissance en 1831 à Trieste de l'assureur, qui a pris ses quartiers à Venise l'année suivante."L'édifice avait été malmené pendant une très longue période, des décorations ont été enlevées, des escaliers, ascenseurs et salles de bains rajoutés, de manière très désordonnée. Notre responsabilité était de lui rendre une certaine intégrité", commente M. Chipperfield.Le chantier aura duré trois ans, après une phase de conception de 24 mois visant à préserver autant que possible les structures existantes.Au premier étage, où Generali a toujours quelques bureaux après avoir transféré en 1990 son siège italien dans les environs de Venise, à Mogliano Veneto, les fresques et peintures murales ont été entièrement restaurées pour leur redonner de l'éclat.La demeure de Sissi"Ce n'est un secret pour personne que travailler avec l'administration en Italie est assez compliqué", ironise David Chipperfield. Planter le moindre clou dans un édifice historique réclame d'innombrables autorisations.Quant aux artisans, "vous pouvez vous retrouver avec les meilleurs du monde", car il y a une longue tradition en Italie, "ils restaurent des bâtiments depuis mille ans"."Il était essentiel de collaborer avec les artisans et fournisseurs locaux, en utilisant des techniques et des matériaux qui font partie de la tradition vénitienne", explique Cristiano Billia, directeur associé de David Chipperfield Architects Milan.Ainsi, pour les sols, murs ou plafonds, ont été utilisés le pastellone, un produit naturel à base de chaux, le terrazzo, composé d'un mélange de fragments de marbre coloré et de ciment, ou encore le marmorino, un enduit de finition à effet satiné.Juste en face, de l'autre côté de la place, se dressent les Nouvelles Procuraties, dont la construction fut achevée en 1640 et qui hébergeaient au milieu du XIXe siècle d'illustres membres de la dynastie des Habsbourg comme l'impératrice Sissi, pendant le règne des Autrichiens sur Venise.Sa demeure donnait sur les très secrets Jardins Royaux longeant le Grand Canal, eux-mêmes rouverts au public en 2019 à l'issue de cinq ans de restauration.
Il y a 3 ans et 42 jours

"Un déni de démocratie": à Strasbourg, une autoroute pas autorisée... mais déjà en service

Au coeur de cette bizarrerie administrative, on trouve un tronçon d'autoroute de 24 kilomètres: l'A355, qui contourne Strasbourg par l'Ouest, sorte de dérivation de l'A35 qui traverse déjà la capitale alsacienne du nord au sud.Selon Vinci il s'agit du "plus grand projet autoroutier de ces dernières années en France".Envisagé dès 1973, le projet a alimenté pendant des décennies une contestation farouche. Les opposants y voyaient un nouveau sacrifice de terres cultivables et de zones humides, contestant l'idée que ce contournement puisse désengorger l'A35, saturée par les trajets pendulaires des travailleurs rejoignant quotidiennement l'agglomération.Malgré les nombreuses manifestations, et en dépit des avis défavorables rendus par les instances de contrôle des atteintes à l'environnement (notamment l'Autorité Environnementale - AE), l'Etat, à travers la préfecture du Bas-Rhin, a accordé en 2018 à Arcos, filiale du groupe Vinci, l'autorisation de construire ce tronçon d'autoroute.L'autorisation a immédiatement été contestée en justice par l'association Alsace Nature. Trois ans plus tard, en juillet 2021, la justice a partiellement donné raison à l'association, constatant que le dossier d'autorisation était entaché d'"insuffisances", concernant l'impact de l'autoroute sur la santé, la pollution ou l'évolution du trafic automobile - autant d'aspects pourtant censés justifier la construction du contournement."Le juge s'est appuyé sur des arguments qui figuraient dans le premier avis de l'Autorité environnementale", souligne Pierre Ledenvic, le président de l'AE. "On peut regretter que ces arguments n'aient pas été pris en compte en amont par le maître d'ouvrage et par l'autorité qui a accordé l'autorisation", déplore-t-il."Meilleurs sols de France"Néanmoins, malgré ces manquements, la justice n'a pas annulé l'autorisation: elle a simplement imposé à Arcos de compléter son dossier pour que la préfecture puisse éventuellement délivrer un arrêté complémentaire d'autorisation.Mais si la procédure d'autorisation a dû reprendre au début, le chantier lui s'est poursuivi et l'autoroute flambant neuve a été inaugurée le 11 décembre dernier par Jean Castex qui a vanté ses "bénéfices écologiques et environnementaux".Pendant que les premiers véhicules empruntaient la nouvelle autoroute, qui a grignoté 450 hectares classés "parmi les meilleurs sols de France" pour leur qualité agronomique, Arcos a revu son dossier. Elle l'a soumis, comme le veut la procédure, à l'Autorité environnementale... qui a retrouvé les mêmes manquements."Effectivement, un certain nombre de recommandations que nous avions faites en 2018 n'ont pas été prises en considération", regrette auprès de l'AFP Nathalie Bertrand, auteure du second avis émis par l'AE.Les autres instances consultées ont également rendu des avis défavorables sur l'A355 et la procédure suit son cours avec la tenue d'une deuxième enquête publique après celle de 2018: jusqu'au 16 avril, les habitants sont une nouvelle fois invités à donner leurs avis sur la pertinence de ce qui reste présenté comme un "projet". Bien qu'il soit déjà achevé..."Clairement on a eu un passage en force et le fait de revenir devant la population, c'est presque de la provocation", estime la maire écologiste de Strasbourg Jeanne Barseghian, qui évoque un "déni de démocratie"."On a besoin de renouer la confiance avec les autorités, il faut que les avis qui sont donnés pèsent réellement sur les décisions prises", réclame l'élue. "Interroger les citoyens sur un projet déjà fait, c'est délétère, ça décrédibilise les procédures".Signalétique trompeuseSollicitée, la préfecture du Bas-Rhin ne précise pas comment elle compte prendre en compte tous ces nouveaux avis. Si la délivrance d'un nouvel arrêté de régularisation ne fait guère de doutes, la préfète peut imposer certaines mesures à la société Arcos en fonction des observations émises.En attendant, plusieurs milliers d'automobilistes empruntent bon gré mal gré cette autoroute chaque jour, se plaignant d'une signalétique trompeuse, qui incite à passer inutilement par la section à péage, et des tarifs élevés aux heures de pointe.La société Arcos refuse de transmettre le moindre chiffre à la presse, mais elle a dû répondre à l'AE qui évoque un trafic de "7.000 à 8.000 véhicules par jour".L'itinéraire historique, gratuit, reste "utilisé par plus de 170.000 véhicules par jour sur ses parties les plus chargées", rappelle l'AE.Tous les acteurs reconnaissent néanmoins que le contournement reçoit une partie du trafic des poids-lourds. Ceux-ci ont désormais l'interdiction de traverser la ville, sauf pour charger ou livrer: le nombre de camions sur l'A35 a diminué de près d'un tiers, soit environ 3.000 par jour, selon les chiffres du Sirac (service de l'information et de la régulation automatique de la circulation).Cependant, bon nombre de poids-lourds en transit sont encore réticents à emprunter le contournement payant: selon la CRS autoroutière, 70% des camions contrôlés sur l'itinéraire historique sont en infraction.
Il y a 3 ans et 42 jours

Plus d'un Français sur trois envisageraient d'équiper leur logement en ENR

RENOUVELABLES. Environ un tiers de nos compatriotes seraient prêts à installer une source d'énergie renouvelable dans leur logement, selon le dernier baromètre du principal organisme de qualification des ENR du bâtiment, Qualit'ENR. Une proportion qui bondit de 50% par rapport à 2019 et qui confirme l'intérêt des particuliers comme des professionnels.
Il y a 3 ans et 42 jours

Les prix de l'immobilier ancien toujours en hausse malgré la flambée de l'énergie qui pèse sur les acquisitions

Les tendances à l’œuvre depuis la sortie des confinements sont toujours là : succès des maisons individuelles plutôt que des appartements, hausse des prix sur l'ensemble du territoire sauf à Paris, offre insuffisante par rapport à la demande.Au premier trimestre, les prix au mètre carré ont progressé de 3,7% sur un an selon Laforêt, de 6% selon Orpi et de 8,2% selon la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), qui prend en compte les données de ses agences franchisées mais aussi celles recueillies sur des portails en ligne.Selon la Fnaim, c'est dans le Grand Ouest que les prix ont le plus augmenté, avec plus de 15% de hausse en Bretagne et près de 11% en Pays de la Loire.Mais la flambée des prix des carburants et de l'énergie commence à avoir des conséquences sur le marché, selon Orpi et Laforêt."S'il y a encore quelques mois, certains étaient prêts à faire quelques kilomètres de plus pour accéder à un bien, ils sont désormais regardants sur l'éloignement d'un logement par rapport aux infrastructures de transport ou leur lieu de travail. (...) De la même façon, certains foyers préfèrent opter pour un logement un peu plus petit pour ne pas subir leur facture d'énergie à terme", assure le président d'Orpi Guillaume Martinaud, cité dans le communiqué du réseau.Laforêt note également un léger regain d'intérêt pour les appartements et la région parisienne, possiblement imputables à la flambée des carburants et des coûts du chauffage."Le marché est contradictoire depuis quelques années maintenant", sourit Yann Jéhanno, président de Laforêt interrogé par l'AFP. "Evidemment, les maisons permettent, notamment en zone périurbaine, de répondre à cette demande de la pièce en plus, du jardin pour pouvoir s'isoler ou pour gérer les enfants, et en même temps on a de nouvelles aspirations qui engagent une partie des clients à revenir vers les centres-villes", dit-il.Les biens à l'extérieur des villes supposent souvent l'achat d'une voiture supplémentaire et peuvent être chauffés au gaz ou au fioul, énergies polluantes et de plus en plus chères, explique-t-il.Laforêt s'inquiète également de l'accès plus restreint aux crédits immobiliers, avec la remontée des taux d'intérêt conjuguée aux nouvelles règles qui plafonnent le taux d'endettement des ménages à 35% de leur revenu.
Il y a 3 ans et 42 jours

Bureaux : retour à la normale en Ile-de-France ?

CONJONCTURE. La demande placée de bureau en Île-de-France revient à des niveaux comparables à l'avant-pandémie, selon les statistiques de référence du groupement Immostat. Ce qui n'est pas le cas de l'investissement dans ce type d'actifs, en perte de vitesse.
Il y a 3 ans et 42 jours

À Marseille, des logements alimentés en biométhane issu de boues d'épuration

REPORTAGE. Au sein de la cité phocéenne, une unité de production transforme du biogaz en biométhane, une énergie 100% renouvelable. L'idée ? Décarboner le territoire euro-méditerranéen en fournissant du gaz vert à ses citoyens. Batiactu a pu visiter ce site qui ambitionne de s'agrandir.
Il y a 3 ans et 42 jours

Cheminée de l’Usine Roubaix signée Nathalie T’Kint : de l’âme du lieu

L’agence lilloise Nathalie T’Kint Architecture, avec French Light, a livré à Roubaix (Nord) en 2018 l’extension d’une… cheminée d’usine. Une réalisation patrimoniale autant que création contemporaine rendue possible avec la gamme Rythmic EVO 6 de Gantois Architecture. Le projet Les restaurations et réalisations architecturales de Nathalie T’Kint, architecte du patrimoine, sont toujours ancrées dans un […] L’article Cheminée de l’Usine Roubaix signée Nathalie T’Kint : de l’âme du lieu est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 42 jours

Le groupe Ramery poursuit sa croissance sur plusieurs fronts

Nouvelles activités et croissance géographique. Le groupe de BTP Ramery, qui a réalisé une bonne année 2021, compte poursuivre sa croissance en 2022 en s’appuyant particulièrement sur ces deux leviers. Aperçu de la stratégie développée par l’entreprise familiale nordiste qui fête ses cinquante ans cette année.
Il y a 3 ans et 42 jours

L'inflation plombe le volume d'activité des travaux publics

CONJONCTURE. Avant même le début de la guerre en Ukraine, les tensions sur les coûts de production montraient déjà des impacts sur l'activité du secteur des travaux publics, dans les premières semaines de l'exercice 2022.
GDA
Il y a 3 ans et 42 jours

« On peut rénover la ville sans la gentrifier », Patrice Leclerc, maire de Gennevilliers (Hauts-de-Seine)

Rénovation urbaine près de la future gare du Grand Paris, nouveau quartier en bordure du parc départemental des Chanteraines, transformation de la halle des Grésillons en pôle d’économie circulaire : alimentés par un budget annuel d’investissement de 60 millions d’euros, les chantiers en cours et en projet à Gennevilliers (47 000 habitants, Hauts-de-Seine) alimentent les réflexions politiques de son maire Patrice Leclerc. Il les a synthétisées dans son essai publié en janvier chez Arcane 17, sous le titre « Inventons un nouvel art de vivre populaire en ville ».
Il y a 3 ans et 42 jours

Paris : du haut de ses 3.300 ans, l'obélisque de Louxor s'offre une seconde jeunesse

PATRIMOINE. Trônant fièrement au centre de la place de la Concorde depuis 1836, l'obélisque de Louxor, cadeau de l'Égypte à la France, fait l'objet d'un minutieux chantier de rénovation opéré par Kärcher. Retour sur l'histoire du plus ancien monument de la capitale et sur les délicats travaux destinés à lui rendre sa splendeur d'antan.
Il y a 3 ans et 42 jours

Flambée des coûts de construction et incertitudes géopolitiques : le BTP doit s'adapter rapidement

Arcadis, société internationale d’ingénierie et de conseil, annonce la publication de son rapport annuel « International Construction Cost Index 2022 ». A destination des investisseurs, cet index compare les coûts de construction dans 100 métropoles mondiales. Il propose un décryptage des facteurs expliquant les coûts par grandes zones géographiques, ainsi qu’une analyse des grandes tendances du secteur.En France, la production dans le secteur de la construction qui avait chuté pendant la pandémie, s'est redressée en 2021. Le redémarrage violent de la demande a submergé les capacités de production de toute la filière d’approvisionnement. Le « just in time » a volé en éclat et les achats de précaution se sont amplifiés. Début 2022, la tendance établie auprès des constructeurs est semblable dans les Travaux Publics et le Bâtiment : il n’y a pas pénurie à date, néanmoins les délais de fournitures et les coûts ne sont plus garantis par les fournisseurs. Les prévisions initiales ébauchées avant le conflit ukrainien - de 3% d’augmentation de la production en 2022 - sont désormais largement remises en cause, le marché devenant extrêmement volatil.Le ministère de l'Économie et des Finances avait déjà appelé en 2021 les acheteurs publics à adapter certaines modalités d'exécution et de passation des contrats de la commande publique (prolongation des délais d’exécution, insertion de clauses de révision de prix, …), ces mesures ayant été mises à jour récemment en février 2022.Enfin, de nombreux autres facteurs conjoncturels contribuent à l’aggravation de cette crise comme la hausse historique de commandes de maisons individuelles en 2021 ou encore la pression s’exerçant sur la filière bois, poussant les majors à sécuriser leurs approvisionnements stratégiques.« Si la crise est mondiale et qu’elle affecte en priorité les pays occidentaux, on constate que les grandes villes françaises comme Paris et Lyon maintiennent leur compétitivité du point de vue des investisseurs internationaux. " Faire plus avec moins" sera la clé de la résilience à long terme pour le secteur de la construction, dans un contexte de forte inflation et d’incertitudes géopolitiques. » précise Nicolas Boffi, City Executive Paris chez Arcadis.Un "Guide pratique" en cinq points est présenté dans le rapport afin de faire face à la volatilité actuelle du marché.
Il y a 3 ans et 42 jours

La demande en immobilier de bureau revient à la normale au 1er trimestre

La demande placée, c'est à dire la surface totale de locaux où un nouvel occupant s'est installé, s'établit à 503.900 mètres carrés au premier trimestre.C'est 40% de plus qu'au premier trimestre 2021, et dans la moyenne des dix dernières années.Immostat, qui rassemble quatre acteurs majeurs du secteur, BNP Paribas Real Estate, CBRE, JLL et Cushman & Wakefield, ne donne que les chiffres pour l'Île-de-France, qui concentre l'essentiel du marché."Le marché a continué sur une dynamique qui avait pris corps au second semestre 2021 et a continué de bénéficier de conditions économiques qui étaient tout à fait favorables jusqu'à relativement récemment", commente pour l'AFP Virginie Houzé, directrice études et recherches chez JLL.Fait insolite, les loyers moyens des bureaux de seconde main (416 euros annuels par mètre carré) dépassent légèrement ceux des locaux neufs ou restructurés."Dans les loyers de seconde main, (...) vous pouvez avoir des immeubles de très bonne qualité, avec des loyers très élevés, qui vont tirer la moyenne vers le haut", notamment dans Paris intra-muros, explique Virginie Houzé.L'immobilier logistique (entrepôts), en pleine santé depuis plusieurs années, continue sa croissance rapide avec une demande placée en hausse de 31% pour les sites de plus de 10.000 mètres carrés.
Il y a 3 ans et 42 jours

Zéro artificialisation nette : regards croisés promoteurs-collectivités

URBANISME. Le Zan est résolument considéré comme l'un des enjeux majeurs de la décennie, à la fois par les promoteurs et par les collectivités. Vinci Immobilier et Toulouse Métropole ont témoigné, au salon BIM World, de la manière dont ils abordent ce nouveau paradigme.
Il y a 3 ans et 42 jours

Le Cnoa s'insurge de la destruction de logements construits par George Candilis à Toulouse

CONTROVERSE. L'Ordre des architectes a alerté le ministère de la Culture sur la démolition de résidences du Mirail, un quartier populaire du chef-lieu de la région Occitanie. Pour lui, cette opération est à la fois une "erreur écologique" et un "gâchis patrimonial".
Il y a 3 ans et 42 jours

La filière de l'éclairage impactée par une suite d’événements économiques imprévisibles

Le premier ministre vient de publier le 30 mars 2022 une Circulaire relative à l’exécution des contrats de la commande publique dans le contexte actuel de hausse des prix de certaines matières premières (1).Cette circulaire insiste sur l’imprévisibilité de l’environnement économique actuel ; elle vise à sensibiliser à nouveau les acheteurs publics au contexte difficile que traversent les entreprises, et à veiller à accéder aux demandes d’aménagement des contrats afin de ne pas mettre en danger leur pérennité, leurs emplois, le service public. Il y est précisé comment appliquer la théorie de l’imprévision aux contrats administratifs. Le gel des pénalités contractuelles dans l'exécution des contrats, et l’insertion d'une clause de révision des prix dans tous les contrats à venir font également partie des recommandations importantes de cette circulaire, qui conclue sur l’extension de l’imprévision aux contrats privés. Lors d’une communication récente, Le Syndicat de l’éclairage avait alerté sur les conséquences de ces difficultés d’approvisionnement sur les délais et les prix. Ce contexte de tensions se poursuit sans perspective d’amélioration en 2022. L’application du modèle de formule de révision des prix du syndicat à fin février montre une hausse de 3 à 5 % depuis décembre 2021. La plupart des fabricants, particulièrement touchés par cette inflation, doivent adopter un rythme de révision de leurs tarifs plus fréquent que par le passé. Il en est de même pour la durée de validité des offres de prix, qui tend à se raccourcir considérablement. Il n’est en effet pas soutenable pour les entreprises de notre secteur de s’engager au-delà d’un très court terme.Face aux circonstances exceptionnelles que nous devons affronter, la profession appelle l’ensemble de la filière à des efforts de compréhension et de solidarité.(1) Après la Circulaire du Premier Ministre du 16 juillet 2021 relative à l’aménagement des conditions d’exécution des marchés publics de l’État face aux difficultés d’approvisionnement, après la Fiche technique de la Direction des affaires juridiques de Bercy, sur les marchés publics confrontés à la flambée des prix et au risque de pénurie des matières premières, mise à jour le 18 février 2022.Voir également sur le même sujet un recueil de recommandations utiles pour l’ensemble des acteurs de la filière du bâtiment, publié par la Fédération française du bâtiment. »
Il y a 3 ans et 43 jours

« Territoire Habité » – 58 projets d’avenir pour le Grand-Orly Seine Bièvre

Territoire Habité – 58 projets d’avenir pour le Grand-Orly Seine Bièvre est une exposition présentée à Fresnes (Val-de-Marne) par les étudiant·es du DSAA Design d’Espace Territoires Habités de l’École Boulle. Jusqu’au 31 juillet 2022. L’École Boulle et l’Établissement public territorial Grand-Orly Seine Bièvre ont initié en 2016 un partenariat pédagogique portant sur des projets d’amélioration […] L’article « Territoire Habité » – 58 projets d’avenir pour le Grand-Orly Seine Bièvre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 43 jours

A Chanverrie, le projet Habiflex de 20 maisons, c’est S.MART

En mars 2022, Podeliha a dévoilé son concept innovant d’habitat déplaçable : Habiflex. Un premier projet de vingt maisons modulaires, signé de l’agence rochelaise S.MART Architecture verra le jour à Chanverrie (Vendée). Communiqué du maître d’ouvrage. « Habiflex est un concept inédit d’habitat flexible et transitoire, qui marque une nouvelle étape dans le mode d’habiter et dans […] L’article A Chanverrie, le projet Habiflex de 20 maisons, c’est S.MART est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 43 jours

Trois départements s'unissent pour reprendre la route nationale 19

INFRASTRUCTURE. Les présidents des départements de Haute-Marne, Haute-Saône et du Territoire de Belfort se sont exprimés en faveur du transfert des routes nationales à leur échelon de collectivités. Et c'est à l'unisson qu'ils se positionnent notamment pour reprendre la gestion de la RN19, ce qui permettrait entre autres d'accélérer le grand projet d'aménagement en cours.
Il y a 3 ans et 43 jours

Résultats en berne pour Vestas en 2021 à cause de la pandémie

Sur l'ensemble de l'année, le bénéfice net a été divisé par plus de quatre, à 167 millions d'euros contre 765 millions l'année précédente, le chiffre d'affaires a lui augmenté de 5,2% à 15,58 milliards d'euros, grâce à l'augmentation des prix.Les ventes réalisées sont conformes aux prévisions avancées auparavant par Vestas qui visait un chiffre d'affaires compris entre 15,5 et 16,5 milliards d'euros.Dans un secteur toujours tiré par les investissements mondiaux importants dans les énergies renouvelables, 2021 a aussi été une année record pour le carnet de commandes du groupe qui a atteint 47 milliards d'euros pour les éoliennes et les services.Pour 2022, le groupe table sur des ventes entre 15 et 16,5 milliards d'euros, avec un bond de 5% du chiffre d'affaires du secteur "services"."L'instabilité de la chaîne d'approvisionnement causée par la pandémie et entraînant une augmentation des coûts de transport et de logistique devrait continuer à affecter l'augmentation des coûts de transport et de logistique tout au long de l'année 2022", a relevé Vestas dans son rapport.Sur les années à venir, la demande pour l'éolien terrestre, où le groupe est numéro un, devrait rester à un niveau élevé.Pour l'offshore, dans lequel le fleuron danois entend rattraper son retard notamment face à Siemens Gamesa, l'activité devrait être forte l'an prochain d'après le carnet de commandes mais reculer légèrement à l'horizon 2025 et nécessiter de nouveaux investissements.A la Bourse de Copenhague, le titre reculait de près de 4% peu avant 10h00 GMT dans un marché en légère baisse (-0,58%).Fin 2021, Vestas employait quelque 29.000 personnes dans le monde, dont 6.000 au Danemark.
Il y a 3 ans et 43 jours

L'Ifremer alerte sur l'extraction sous-marine de granulats

L'extraction de granulats en mer "n'est pas sans conséquences pour le milieu" marin avec notamment une possible modification de la nature des fonds et une destruction de la faune selon l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer.
Il y a 3 ans et 43 jours

Le chantier Combo : une résidence en béton bas carbone ECOPact à Bordeaux

Combo : une résidence en béton bas carbone ECOPactLe projet Combo, une résidence de 35 appartements sur 5 niveaux a démarré en mai 2021 à Bordeaux, avec à la manœuvre le maître d’ouvrage Aquitanis, le cabinet d’architectes Leibar&Segneurin, le constructeur Ramery Bâtiment et l’Agence Lafarge Bétons Aquitaine.La volonté du cabinet d’architecture pour ce chantier était de réaliser des voiles architecturaux légèrement colorés et surtout à faible impact carbone.Pour le cabinet Leibar&Segneurin : « Dans un souci de responsabilité sociétale, et le regard que nous portons vis à vis des enjeux environnementaux à l’œuvre dans nos vies et dans la construction, le béton nous est apparu comme un matériau en cohérence avec le territoire dans lequel s’inscrit la résidence Combo, quai de Brazza à Bordeaux. Sa production locale, dans les carrières aux alentours de Bordeaux, diminue son empreinte environnementale et permet à ce matériau de relever les enjeux de demain. De plus, sa plasticité et sa grande pérennité, alliées à une mise en œuvre exigeante et soignée, en font « une véritable pierre coulée». La maîtrise de son économie ainsi que le recul dont on dispose sur son comportement dans le temps, sont également des facteurs qui plaident en sa faveur. La rencontre de ce matériau avec la géométrie singulière du projet en font une véritable réussite. »C’est ainsi que l’Agence Lafarge Bétons Aquitaine entre en jeu avec son offre de bétons bas carbone ECOPact. L’expertise de l’Agence, la réactivité de l’équipe qualité et la disponibilité du responsable technique ont été mis à disposition pour que chantier deviennent une référence locale.Pour Charles Descatoire, Chargé de Développements de Produits Spéciaux : « Ce chantier a été pour nous l’opportunité de tester notre gamme de béton bas carbone ECOPact en une application verticale. Cela nous a permis entre autres de mesurer la qualité de notre béton ainsi que d’éventuelles différences sur sa mise en œuvre. Le retour d’expérience est très positif et cela nous donne bon espoir pour l’avenir. Nos équipes qualité et commerciales sont désormais formées à répondre aux demandes de nos clients, de façon pertinente et précise. Le challenge a été relevé et nous sommes fier de cela.»Accompagnement et collaboration, clés de la réussiteAvant de couler le premier M3 de bétons, il y a eu différents échanges avec le cabinet d’’architectes et l’entreprise Ramery Bâtiment et des tests techniques pour obtenir le meilleur résultat possible :Des tests sur échantillons pour valider la teinte ;Des tests pour valider la méthode de coulage du béton pour garantir un parement parfait ;L’intervention du service qualité pour ajuster les formules ;Le suivi commercial et technique tout au long du chantier.Pour Anthony Rodrigues, Directeur Travaux chez Ramery Bâtiment : « Les conseils, les tests et le suivi des équipes Lafarge ont été précieux, nous avons travaillé ensemble à la réussite esthétique du projet. Nous avons été rassurés par le fait que ces bétons bas carbone ne changent pas la qualité et la mise en œuvre. L’utilisation de ces produits sera adaptée à la RE2020. »C’est ainsi que 1600m3 de bétons dont 1000M3 de bétons bas carbone ECOPact ont été coulés pour le chantier Combo, permettant de réduire l’impact carbone d’environ 100 tonnes.Pour Denis Garant, Directeur du Développement des Bétons Responsables : « Nous poursuivons le développement des bétons ECOPact partout en France et c’est très motivant lorsqu’on le voit des chantiers sortir de terre, comme c’est le cas à Bordeaux. Il est évident qu’avec la RE2020, nous verrons de plus en plus le béton bas carbone s’imposer pour le bien de l’environnement. »
Il y a 3 ans et 43 jours

"Nous sommes hostiles à une révision généralisée des prix", Marianne Louis (USH)

Les bailleurs sociaux ne seraient pas soumis à l'obligation de conclure des contrats à prix révisables ou actualisables, estime l'Union sociale pour l'habitat en s'appuyant sur une note juridique.
Il y a 3 ans et 43 jours

Le bloc béton d’Alkern est déjà beaucoup plus vert qu’on l’imagine

Alkern, leader du bloc béton préfabriqué, de l’aménagement extérieur et acteur important dans les TP, est déterminé à verdir ses produits et affiche déjà un bloc béton à moins de 10 kgCO2eq/m².
Il y a 3 ans et 43 jours

"L’impact de la certification MASE sur la performance d’entreprise " : un très haut niveau de satisfaction des entreprises du BTP

La certification MASE valide la mise en place et le bon fonctionnement d’un système d’amélioration continue des performances Sécurité, Santé et Environnement. Le plus souvent, la première motivation des entreprises pour engager une telle démarche est de répondre à la demande d’un donneur d’ordre, généralement industriel. Cependant, l’enquête réalisée par l’OPPBTP et Mase montre que les entreprises retirent un intérêt fort de la certification MASE et font état de bénéfices pour la performance de l’entreprise qui vont bien au-delà de leurs attentes premières, exprimant un très haut niveau de satisfaction.« Au regard des résultats de cette enquête, la certification MASE représente indéniablement un outil au service de la performance, dont les bénéfices collatéraux se font ressentir à la fois sur l’image que l’entreprise renvoie à ses clients et partenaires, sur sa performance en prévention des risques, sur sa santé économique et la performance de son organisation mais également sur les équipes et la qualité de leur travail. Les difficultés exprimées par certains chefs d’entreprise à faire adhérer l’ensemble de leur personnel à cette démarche confirment par ailleurs la nécessité, en matière de culture de prévention, d’encourager la participation et l’expression des collaborateurs à tous les niveaux de l’entreprise, dès le début de la démarche, pour favoriser l’adhésion de tous. » analyse Virginie Renard, Directrice Prévention et Performance et Culture de prévention au sein de l'OPPBTP.Un niveau de satisfaction très élevé de la part des entreprises du BTP L’étude met en lumière une appréciation très positive de la part des dirigeants certifiés MASE, puisque 96% des entreprises interrogées déclarent que les efforts engagés pour la mise en place de la certification MASE en valaient la peine. En effet, la certification MASE rend les dirigeants plus confiants en l’avenir de leur entreprise (88% des entreprises interrogées). Cette confiance s’exprime par un sentiment de maîtrise des risques professionnels (84% des répondants - près d’un répondant sur deux donne cette raison en premier) et des situations du quotidien en général (69% des répondants).De plus, alors que 80% des entreprises ont entrepris une démarche de certification MASE afin de travailler avec certains donneurs d’ordre (pour 43% des entreprises interrogées, il s’agissait de leur première motivation), les bénéfices observés par les entreprises sont multiples et dépassent largement cet aspect marché. Un outil de consolidation de l’entreprise sur son marchéPremièrement, il apparaît que la certification MASE a un impact très positif sur l’un des aspects majeurs de la performance de l’entreprise : sa consolidation sur ses marchés.61% des dirigeants ont vu leur chiffre d’affaires progresser ou se maintenir grâce à la certification, et ce en particulier au sein des entreprises de moins de 20 salariés.Par ailleurs, la quasi-totalité des dirigeants (97%) souligne que la certification améliore nettement l’image de l’entreprise auprès de ses clients et partenaires. 81 % estiment qu’elle participe à améliorer leurs relations avec leurs partenaires et prestataires, et 80 % pensent qu’elle permet de fidéliser davantage leur clientèle. Enfin, la certification est également une source d’opportunités commerciales pour plus de 7 dirigeants sur 10.Un impact positif sur le travailUne très large majorité des dirigeants affirme que la certification améliore la qualité du travail (83%), et permet d’innover dans la manière de travailler au quotidien (80%).En revanche, l’appréciation est plus nuancée quant au gain de productivité que la certification peut leur apporter : 4 dirigeants sur 10 (42%) estiment que la certification a un impact positif sur la productivité.Des perceptions positives mais plus modérées concernant l’impact de la certification MASE au sein des équipes et du managementL’étude souligne également des résultats satisfaisants, concernant l’impact de la certification MASE au sein des équipes.66% des dirigeants estiment que la certification a amélioré la performance de leurs salariés, et 65% pensent qu’elle permet de les rendre plus autonomes sur le terrain. De plus, 62% estiment que la certification a eu un impact positif sur l’ambiance générale au sein de l’entreprise. Néanmoins, les résultats sont moins tranchés que pour les autres indicateurs, avec une part de réponse « Oui, tout à fait » plus faible.L’adhésion de l’interne, principal enjeu pour les chefs d’entreprisePar ailleurs, parmi les entreprises ayant estimé que la mise en place de la certification MASE avait été difficile (48%), 50% ont répondu spontanément que le plus difficile a été de faire adhérer le personnel à la démarche en faisant comprendre son utilité, les bénéfices pour tous et en partageant une vision. Or, l’adhésion des équipes est un critère important de la satisfaction des entreprises vis-à-vis de la certification MASE : plus les dirigeants perçoivent des bénéfices sur l’interne, plus la satisfaction est élevée. Cela pose donc la question de la présentation de la démarche MASE au sein de l’entreprise, puis de sa « traduction » en éléments concrets, compris et acceptés pour une application au quotidien. Les systèmes de management révèlent en effet toute leur efficacité lorsque l’ensemble de l’entreprise est embarqué, et que la culture prévention évolue à tous les niveaux.« MASE compte plus de 25 ans de retour d’expérience sur la réduction des accidents du travail grâce à la mise en place de notre système. Pour arriver à ces résultats et rester en phase avec les besoins d’aujourd’hui et de demain de nos adhérents, nous avons dû faire évoluer notre référentiel à plusieurs reprises. Même si nous en étions convaincus, cette enquête a permis de confirmer factuellement que notre système a non seulement un impact positif au niveau SSE, mais aussi sur la performance globale des entreprises du BTP. Et pour ceux qui penseraient que la sécurité coûte cher, détrompez-vous : seuls 9% des chefs d’entreprises interrogés pointent le coût lié à la démarche comme une difficulté. » commente Didier Méné, Président de MASE.« Cette enquête démontre tous les bénéfices qu’il y a à déployer une organisation d’entreprise sur la base d’un référentiel qui a fait ses preuves, et ce par la voix des personnes les mieux placées pour en témoigner. Nous sommes persuadés que ces systèmes doivent être promus et généralisés car ils représentent des opportunités de progresser de façon pérenne en prévention, en brisant le plancher de verre que tous déplorent aujourd’hui dans la diminution de la sinistralité. En effet, lorsque ces systèmes sont mis en oeuvre avec conviction et en partageant une vision mutuelle, alors ils sont incontestablement efficaces, tant en prévention que pour la performance globale des entreprises et de la société. » conclut Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP.Retrouvez les principaux résultats de l’enquête et des témoignages de chefs d’entreprise sur preventionbtp.fr.
Il y a 3 ans et 43 jours

Un cycle de conférences sur la stratégie neutralité carbone accessible en ligne

L'Ecole des Ponts ParisTech organise du 4 au 8 avril un cycle de conférences internationales sur le thème de la "Stratégie neutralité carbone dans l'immobilier et le bâtiment à travers le monde à horizon 2050".
Il y a 3 ans et 43 jours

Comment Kiloutou pourrait atteindre le milliard en 2022

Au sortir d’une année 2021 de forte reprise et après avoir finalisé la plus grande opération de croissance externe de son histoire, le chiffre d’affaires du groupe de location s’apprête à franchir un cap symbolique.
Il y a 3 ans et 43 jours

Pyrénées-Atlantiques : la ville de Biarritz rénove ses équipements sportifs

La ville de Biarritz a mis en œuvre un programme de mise à niveau et de création de nouveaux équipements sportifs.
Il y a 3 ans et 43 jours

Vaucluse : les espaces publics et les écoles d’Apt sont en travaux

Plusieurs projets de végétalisation des espaces publics et des écoles sont attendus dans la commune d’Apt. Ces aménagements, portés par Véronique Arnaud-Deloy, passeront par la suppression de quelques places de parking.
Il y a 3 ans et 43 jours

Var : bientôt une usine de valorisation des déchets à Bagnols-en-Forêt

La nouvelle usine de traitement des déchets de Bagnols-en-Forêt, dans le Var, entrera en service au début 2023.
Il y a 3 ans et 43 jours

Val-de-Marne : la région Ile-de-France soutient à hauteur de 1,5 million d’euros le projet de rénovation du centre-ville de L’Haÿ-les-Roses

La ville de L’Haÿ-les-Roses a été élue lauréate de l’appel à projets régional « Cent Quartiers innovants et écologiques ». Elle vient, à ce titre, de recevoir une subvention de plus de 1 million d’euros de la région Ile-de-France
Il y a 3 ans et 43 jours

Val-de-Marne : Fresnes se dotera d’un nouveau parc d’activités en 2023

Le nouveau parc d’activités de Fresnes, dans le Val-de-Marne, comptera trois bâtiments dédiés aux PME et aux TPE du territoire.