Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour bouygues

(3371 résultats)
Il y a 3 ans et 196 jours

Le chantier de l’ancien siège d’Airbus met l’accent sur l’économie circulaire

Acquis par Vilogia en 2019, l’ancien siège du Groupe Airbus à Suresnes est en train de devenir un bâtiment multi-usage qui accueillera une résidence étudiante de 270 logements, des commerces, des services et des entrepôts de stockage. Réalisés en conception-réalisation par un groupement piloté par Bouygues Bâtiment Ile-de-France Habitat Social, les travaux mettent l’accent sur l’économie circulaire. L’opération s’inscrit dans les objectifs environnementaux de Vilogia. En privilégiant la transformation de l’existant, Vilogia permet de réaliser une économie de 1 700 tonnes de CO2 par rapport à une opération de démolition/reconstruction classique. Les objectifs en termes de performance énergétique sont ambitieux : les logements seront labellisés NF Habitat HQE – QUALITEL (intégrant notamment la RT 2012 améliorée de 10%), malgré les contraintes que représentent une construction existante dans les bilans thermiques. La biodiversité n’est pas en reste, puisqu’un travail sera mené avec un paysagiste pour la création d’espaces verts en rez-de-chaussée et en terrasse. Enfin, les matériaux et produits présents in situ seront prioritairement réutilisés dans des filières de l’économie circulaire. A défaut de filière, les autres produits et matériaux seront recyclés. Plus de 85% des matériaux seront ainsi réemployés ou recyclés comme 1000 m² de pierre de façades récupérées sur site, et réemployées dans le nouveau projet, 150 mètres de linaire de cloisons vitrées réemployées dans un centre de formation, 1 000 m² de faux plafonds réemployés, 110 stores réemployés…   Photo : Tecnova Architecture  
Il y a 3 ans et 197 jours

Altarea participe au lancement d’un programme de recherche sur l’empreinte biodiversité des projets immobiliers

À l'initiative de Gecina et coordonné par l'Observatoire de l'Immobilier Durable, BIG vise à développer un référentiel commun d'indicateurs et d'outils de mesure pour définir et améliorer l'empreinte biodiversité des projets immobiliers, éclairer le choix des maîtres d'ouvrage et des investisseurs et mieux concilier les fonctions urbaines et écologiques des territoires.Face au constat sans appel d'une érosion massive de la biodiversité, 16 entreprises s'unissent pour transformer les pratiques vers un modèle plus respectueux du vivant :Aire Nouvelle, Altarea, Amundi, BNP Paribas Real Estate, Bouygues Immobilier, Covea Immobilier, Crédit Agricole Immobilier, Gecina, Groupama Immobilier, Korian, Linkcity, LVMH, Nexity, Perial Asset Management, Groupe RATP, Schneider Electric.BIG se développera autour de trois axes pour construire un référentiel commun sur l'enjeu de biodiversité avec :L'élaboration d'outils de mesure des “bénéfices“ de la biodiversité à l'échelle d'un projet immobilier (mesure de l'impact carbone, santé ou encore fraîcheur en ville).Le développement d'une plateforme de cartographie des contributions locales à la biodiversité (monitoring de la biodiversité, visualisation de la densification du bâti…).La mise en place de dispositifs d'appropriation de ces outils par les acteurs du secteur immobilier (animation d'une communauté d'échange, publication de guides et référentiels pour accompagner la montée en compétences des équipes internes).L'objectif est de mesurer les impacts liés à la biodiversité d'un bâtiment pour piloter les progrès. Cette démarche permettra d'éclairer les stratégies des investisseurs et participer ainsi à la convergence de la performance économique et financière avec la performance socio-environnementale des acteurs économiques. Ces travaux associeront notamment aménageurs, grands donneurs d'ordre, agences et institutions publiques, associations professionnelles et experts mobilisés sur le sujet de la biodiversité.Pour Sabine Desnault, Directrice exécutive R&D, innovation et RSE de Gecina : « Je suis très heureuse et honorée de la large mobilisation des partenaires fondateurs de BIG (Biodiversity Impulsion Group) face à l'urgence à préserver la biodiversité. Cela traduit leur engagement à ce que collectivement nous fassions évoluer le secteur immobilier en développant des outils de mesure et de visualisation communs. Convaincue que notre force réside dans notre capacité à coopérer, j'invite ceux qui le désirent à rejoindre l'initiative. ».Pour Loïs Moulas, Directeur Général de l'OID : « Accélérer la transition écologique dans le secteur immobilier a toujours été l'ADN de l'OID. Ainsi, BIG s'inscrit en droite ligne avec notre raison d'être : fédérer les acteurs, encourager le partage d'expériences et faciliter le passage à l'acte, en toute indépendance et transparence dans un objectif d'intérêt général ». Pour Nathalie Bardin, Directrice Exécutive Marketing stratégique, RSE et Innovation d'Altarea : « C'est une formidable initiative de place à laquelle Altarea est heureux de participer. Pour nous, la biodiversité et le climat participent du même combat : celui de protéger et de reconquérir le vivant. Et il y a urgence car la biodiversité s'effondre et nous pouvons inverser cette tendance. Si l'on sait mesurer l'empreinte carbone d'une opération, nous n'avons pas encore d'outil de mesure de la biodiversité. Avec BIG, nous allons ensemble pouvoir tester sur des opérations pilotes des indicateurs qui nous permettront d'avoir un référentiel commun et de progresser ».
Il y a 3 ans et 200 jours

François Teste du Bailler devient Directeur Général délégué de GCC

Ingénieur Polytech’Lille, François TESTE DU BAILLER a rejoint le Groupe Bouygues Construction en 1987, où il a occupé les postes d’Ingénieur Travaux et Chef de Service en Ile de France, puis de Directeur d’Exploitation en Alsace. Il a ensuite rejoint l’entité GFC Construction (actuel Bouygues Bâtiment Sud-Est), successivement en tant que Directeur Projet, Directeur Régional Grand Lyon, Directeur Général Adjoint puis Directeur Général Délégué.En 2011, il devient Directeur Délégué Rhône-Alpes Sud pour VINCI CONSTRUCTION FRANCE. Il occupera ensuite les fonctions de Directeur Délégué Bâtiment Rhône-Alpes puis de Directeur Opérationnel Centre Est. Depuis le 11 juin 2018, il dirige l’activité historique de GCC : le Pôle Construction.
Il y a 3 ans et 200 jours

Centre hospitalier de Sambre-Avesnois (Nord), par Brunet Saunier

A l’automne 2021, le nouvel hôpital de Sambre-Avesnois, d’une capacité de 265 lits et d’environ 34 000m², conçu par l’agence Brunet Saunier, a accueilli ses premiers patients. L’équipement de 34 000 m² SDO répartis sur quatre niveaux (69 M€) compte un service d’accueil des urgences, des unités d’hospitalisation MCO et soins critiques, un plateau médico-technique, […] L’article Centre hospitalier de Sambre-Avesnois (Nord), par Brunet Saunier est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 203 jours

Les Green Solutions Awards 2020-2021

Les « Green Solutions Awards » ont mis en lumière plus de vingt projets venant de 9 pays différents. Ce concours se révèle être un outil très efficace pour pouvoir identifier des projets exemplaires. 192 bâtiments au départ mais seulement 24 ont été remarqués au niveau international.  Ils ont été remarqués grâce à la mise en oeuvre des enjeux clés de la construction durable qui sont : la sobriété des matériaux, l’efficacité énergétique, le confort et la santé des usagers, la fabrication hors-site, la préservation de la biodiversité et l’économie circulaire. Les lauréats ont également été choisis pour leur potentiel d’inspiration des professionnels et de réplicabilité à grande échelle. Grand Prix Construction Durable Lauréat : Turo de la Peira (en photo) Barcelone, Espagne Maîtres d’ouvrage : Institut Barcelona Esports (IBE) ; Ajuntament de Barcelona Maîtres d’œuvre : Institut Barcelona Esports (IBE) ; Ajuntament de Barcelona Architectes : Anna Noguera ; Javier Fernández Responsable du site : Dídac Dalmau Mesures et budgets : Salvador Segura ; Cristina Carmona (Ardèvols Consultors Associats) Architectes paysagers : Anna Zahonero, Pepa Morán, Víctor Adorno Bureau d’études structures : Manel Fernández ; Ton Coll (Bernuz-Fernández-SLP) Bureau d’études environnement : Xavier Saltó. Caba Sostenibilidad ; Oliver Style Bureau d’études thermiques : Micheel Wassouf – Energiehaus Arquitectos ©Eric Duch Mention ex-aequo : Centre de Service Client de la State Grid Corporation de Chine Tianjin, Chine Maître d’œuvre : Customer Service Center of State Grid Corporation of China Maître d’ouvrage : Tianjin Scientific Academy of Residential Building Mention ex-aequo : Écocampus Provence Sainte-Tulle (04), France Maître d’ouvrage : Durance Lubéron Verdon Agglomération (DLVA) Maîtres d’œuvre : R+4 Architectes Forcalquier ; Leteissier Corriol Architecture & Urbanisme associé Marseille Bureau d’études thermiques : ADRET Embrun Bureau d’études structures : Gaujard Technologie Scop Avignon Entreprise : ARBONIS Certificateur : Bâtiments Durables Méditerranéens (BDM) Exploitant : Ecocampus Provence Mention ex-aequo : Humanscapes Habitat Auroville, Inde Maître d’ouvrage : Auropriya construction Maître d’oeuvre : Auroville Design Consultants Concepteur : Auroville Design Consultants Bureau d’études autres : Sunlit future Promoteur : Auroville Housing Service   Grand Prix Rénovation Durable Lauréat : Green Factory Lyon (69), France Maître d’ouvrage : Arioste Maître d’œuvre : Diagonale Concept – design global Assistance à Maîtrise d’ouvrage : Ressources Green Building RGB Bureaux d’études thermiques : Sequoia ; Emcon Architecte du patrimoine : Cecile Rémond Entreprises : Industherm ; JLC Menuiserie ; DDSG ; CJL Electricité ; AS Plomberie ; Mimenta Joao Mention ex-aequo : Triple Space Madrid, Espagne Maître d’ouvrage : Anomalia Business Design Maître d’œuvre : sAtt Triple Balance Bureau d’études thermiques : Alter Technica Ingenieros Bureau d’études environnement : Fundacion para la Salud Geoambiental Conception de l’éclairage : María Gil de Montes Mention ex-aequo : Rénovation Verte du Kunshan Civic Ethics Hall Kunshan, China Maître d’œuvre : Kunshan City Construction Investment & Development Group Co., Ltd. Maître d’ouvrage : Kunshan City Construction Investment & Development Group Co., Ltd. Bureau d’études thermiques : Jiangsu Research Institute of Building Science Co., Ltd Mention : Lycée Bréquigny Rennes (35), France Maître d’ouvrage : Région Bretagne Maître d’œuvre : Egis Architecte : Anthracite Architecture Constructeur : Legendre Construction Entreprise : CCL Constructions Maitre d’ouvrage délégué : Sembreizh AMO : Alterea   Grand Prix Quartier Durable Lauréat : Nanterre Cœur Université Nanterre (92), France Porteurs de projet : Bouygues Immobilier / Urban Era Aménageur : EPA Paris La Défense Opérateur du double Smart Grid : Dalkia Smart Building Initiateur du projet : Ville de Nanterre Mention : Parc Industriel de Suzhou Suqian Suqian, Chine Porteur de projet : Suzhou Sugian Industrial Park Planning and Construction Bureau Bureaux d’études techniques : Jiangsu Research Institute of Building Science Co., Ltd.   Grand Prix Infrastructure Durable Lauréat : Mehr.Wert.Pavillon Heilbronn, Allemagne Porteur de projet : Regionalverwaltung Planning d’exécution : 2hs architects and engineer PartGmbB Hebel Heisel Schlesier with Lisa Krämer and Simon Sommer Concept et design : Lisa Krämer ; Simon Sommer ; Philipp Staab ; Sophie Welter ; Katna Wiese ; Karsten Schlesier ; Felix Heisel ; Dirk E. Hebel ; Professorship for Sustainable Building ; KIT Karlsruhe Recherche de formes structurelles : Prof. Rosemarie Wagner ; Professorship of Building Technology ; KIT Karlsruhe Ingénieur chargé des essais : Prof. Matthias Pfeifer, Karlsruhe Maîtres d’œuvre : AMF Theaterbauten GmbH ; Udo Rehm / FC -planung GmbH ; Gebr. A. & F. Hinderthür GmbH ; Kaufmann carpentry and joinery GmbH ; GrünRaum GmbH Ingénieur chargé des essais : Prof. Matthias Pfeifer, Karlsruhe Parrains du projet : Waste Management Companies of the City of Heilbronn ; Ministry for the Environment ; Climate Protection and Energy Sector Baden-Württemberg ; Bundesgartenschau Heilbronn 2019 Gmb Partenaires du projet : AMF Theaterbauten GmbH ; Deutsche Foamglas GmbH ; Glas Trösch GmbH ; Hagedorn GmbH ; Heinrich Feess GmbH & Co. KG ; Magna Naturstein GmbH ; Schröder Bauzentrum GmbH ; DeFries ; Smile Plastics ; SPITZER-Rohstoffhandelsgesellschaft ; StoneCycling ; Studio Dirk van der Kooij Financement : GreenCycle GmbH ; Der Grüne Punkt – Duales System Deutschland GmbH (DSD) ; SER GmbH Mention ex-aequo : Ferme Urbaine de l’Arche Végétale Paris XXe (75), France Porteur de projet : Cueillette Urbaine ; Cuisine mode d’emploi ; Urban Leaf Entreprises : Cueillette Urbaine ; Urban Leaf Gestionnaire/Concessionnaire : Cueillette Urbaine Mention ex-aequo : Plan Lumières 4.0 Wallonie, Belgique Porteur de projet : Entreprise publique régionale SOFICO Assistance technique : Public Service of Wallonia Mobility and Infrastructures (SPW MI) Autre : Consortium LuWa (Citelum, DIF, Luminus, CFE)   Prix Énergie & Climats Tempérés Lauréat : Antonio Brancati Middle School Pesaro, Italie Maître d’ouvrage : Pesaro Municipality Maître d’œuvre : Architecte Margherita Finamore Certificateur : MDS MacroDesignStudio Entreprises de construction : CONSCOOP – Formula Servizi ; Forlì ; Idrotermica Coop ; Siem Impianti ; Cesena (FC) Mention ex-aequo : ArroyoFresno nZEB Passivhaus Plus Madrid, Espagne Maître d’ouvrage : Landevel S.L. Maître d’œuvre : Construcciones Amenabar S.A. Architectes : Daniel Diedrich + Talia Dombriz Arquitectos. Estudio DMDV Arquitectos SLP Bureau d’études thermiques : Daniel Diedrich Certificateur : Energiehaus arquitectos SLP (Micheel Wassouf) Mention ex-aequo : Bâtiments Neutres en Carbone Männedorf, Suisse Maîtres d’ouvrage : René Schmid AG ; Solaxess Maître d’œuvre : Umweltarena Mention ex-aequo : Rénovation Biosourcée de 24 Logements Sociaux Raon-l’Étape (88), France Maître d’ouvrage : Le Toit Vosgien Maître d’œuvre : ASP Architecture Bureau d’études thermiques : Terranergie Entreprises : Bielhmann ; Sertelet ; Isoleco ; MCV ; Watt Automation ; Eury ; PPE ; Laugel et Renouard ; Lenoir ; Captespace   Prix Énergie & Climats Chauds Lauréat : Centre Médico-Social de Rivière-Salée Nouméa (988), Nouvelle-Calédonie (France) Maître d’ouvrage : CAFAT Maître d’œuvre : Atelier d’architecture KASO Maître d’ouvrage délégué : SECAL Architecte : LAB Réunion Bureaux d’études : Laboratoire d’Écologie Urbaine ; ECEP ; SIGMA ; ES2 Autre : LFJ design paysage   Prix Bas Carbone Lauréat : 4 Logements Sociaux Passifs en Bois-Paille Plainfaing (88), France Maître d’ouvrage : SA HLM Le Toit Vosgien Maître d’œuvre : ASP Architecture Bureau d’études thermiques : Terranergie Mention : Entrepatios Las Carolinas Madrid, Espagne Maître d’ouvrage : Entrepatios. Promoción Las Carolinas Maître d’œuvre : GEOH Architecte : sAtt Arquitectura Triple Balance Bureau d’études structures : enmadera Facility manager: danielpascual.com Bureau d’études environnement : Técnica ECO Promoteur : Entrepatios. Promoción Las Carolinas Mention : Erweiterung Eisbärhaus, Neubau Bauteil C Kirchheim unter Teck, Allemagne Maître d’œuvre : BANKWITZ beraten planen bauen GmbH Maître d’ouvrage : BANKWITZ beraten planen bauen GmbH   Prix Santé & Confort Lauréat : Schroeder 2020 Kockelscheuer, Luxembourg Maître d’ouvrage : Schroeder & Associés Maître d’œuvre : AU21 Architecte : Architecture & Urbanisme 21 Bureau d’études autres : Goblet Lavandier & Associés Autres : BCR ; NEOBUILD ; äResto ; ERNST & PARTNER ; BIM CONSULT ; SECOLUX ; Service Incendie de Roeser ; SL – Sandra Leidner ; Virtual Rangers Mention : Passive House for the Elderly Camarzana de Tera, Espagne > Maître d’œuvre : Construcciones P. Sanchez Rodríguez S.L. Maître d’ouvrage : Cajimir, S.L. Architecte : CSO Arquitectura Bureau d’études structures : Fernando San Hipólito Certificateur : Energiehaus SLP Chef de projet : Javier Vega de Paz Mention : Bord’Ha Bordeaux (33), France Maître d’ouvrage : SCI BORD’HA Maîtres d’œuvre : Brachard De Tourdonnet (phase PC), Hobo (phase PRO et chantier) Bureau d’études thermiques : CAP INGELEC Bureaux d’études structures : AEC Ingénierie ; C.E.S.M.A Entreprises : DL Océan ; CIR PREFA ; Abside
Il y a 3 ans et 204 jours

Bouygues assure avoir payé le "prix juste" pour Equans

Le directeur général de Bouygues Olivier Roussat assure payer "un prix juste" pour racheter à Engie son entité de services multitechniques Equans, dans un entretien aux Echos.
Il y a 3 ans et 209 jours

Bouygues annonce un chiffre d'affaires sur neuf mois "à son niveau d'avant-crise"

Le chiffre d'affaires s'est élevé à 27,5 milliards d'euros sur la période, contre 27,6 mds EUR sur les neuf premiers de mois de 2019. Il s'affiche en progression de 10% par rapport à 2020.Le chiffre d'affaires des activités de construction est de 20,6 milliards d'euros sur les neuf premiers mois 2021, en hausse de 9% sur un an et tiré par la France (+16% sur un an), mais reste inférieur au niveau de 2019 (-5%).Le résultat opérationnel courant a atteint 1,141 milliard d'euros, en hausse de 23 millions d'euros par rapport aux neuf premiers mois 2019, "grâce à l'amélioration de la profitabilité de TF1 et Colas, et à la hausse des volumes" et des revenus chez Bouygues Telecom.La marge opérationnelle courante retrouve ainsi son niveau de fin septembre 2019 à 4,1%.Le bénéfice net à fin septembre a quant à lui atteint 807 millions d'euros, contre 848 millions d'euros sur les neuf premiers mois de 2019 (-4,8%). Il intègre une contribution d'Alstom de 219 millions d'euros.Par rapport aux neuf premiers mois de 2020, où il s'était élevé à 283 M EUR, il s'envole en revanche de 185%.Le niveau élevé du carnet de commandes "offre une bonne visibilité sur l'activité future", assure Bouygues.Avec ces résultats "en forte amélioration sur un an", le groupe a confirmé ses perspectives pour 2021, soit un chiffre d'affaires et un résultat opérationnel courant "très proches du niveau de 2019" et une marge opérationnelle courante "à son niveau d'avant-crise".Dans le détail, sur les neuf mois premiers mois de 2021, la contribution de Bouygues Telecom au bénéfice net part du groupe s'est élevé à 325 millions d'euros. Sur le mobile, l'opérateur compte désormais 14,6 millions de clients abonnés.Bouygues vient d'annoncer le rachat d'Equans, entité de services techniques dans l'énergie d'Engie, pour 7,1 milliard d'euros (sur la base d'une valeur d'entreprise de 6,7 milliards d'euros).Ce rachat changera le visage du groupe puisque la nouvelle entité combinée deviendrait son premier métier en termes de chiffre d'affaires et de salariés. La finalisation est attendue au deuxième semestre 2022.
Il y a 3 ans et 210 jours

Sur neuf mois en 2021, Bouygues gagne des marges dans le bâtiment et la route

RÉSULTATS. Le major français vient de publier ses résultats du troisième trimestre 2021. Le groupe enregistre notamment une progression de ses marges dans les secteurs de la construction et de la route.
Il y a 3 ans et 210 jours

Engie et Credit Agricole Assurances rachètent Eolia Renovables en Espagne

Le groupe d'assurances et le gazier français ont acquis "97,33% des parts d'Eolia Renovables" auprès du fonds canadien Alberta Investment Management Corportation", indique un communiqué.Les actifs opérationnels seront détenus à 60% par Credit Agricole Assurances et à 40% par Engie qui sera chargé de "développer et construire" un "pipeline de projets".L'opération permettra à Engie, en pleine transition vers les énergies vertes, de "réaliser son objectif de 50 GW de capacités renouvelables d'ici 2025", indique le communiqué.En 2020, Engie avait déjà investi dans les renouvelables dans la péninsule ibérique en acquérant un portefeuille hydroélectrique de 1,7 GW au Portugal auprès d'EDP.L'ancien monopole de service public vient par ailleurs de réaliser une opération géante en France, en se délestant de 40% de son activité auprès du groupe Bouygues qui lui a racheté sa filiale de services Equans pour 7,1 milliards d'euros. Ce qui lui laisse un pactole pour investir dans les énergies vertes, ses nouvelles priorités.L'acquisition d'Eolia Renovables permettra à Engie "de soutenir l'Espagne dans la poursuite de ses objectifs ambitieux en matière d'énergies renouvelables et de décarbonation", a salué la directrice générale d'Engie Catherine MacGregor, citée dans le communiqué.Le plan national énergie-climat espagnol, "l'un des plus ambitieux en Europe, vise une consommation d'énergie renouvelable de 32% d'ici à 2030 (contre 20% en 2020), la mise en service de 55 GW de capacités renouvelables supplémentaires et la décarbonation de l'ensemble du secteur de l'électricité d'ici 2050", précise Engie."Cette acquisition constitue une nouvelle étape dans notre engagement dans la lutte contre le changement climatique", a pour sa part noté Philippe Dumont, directeur général de Credit Agricole Assurances."Il contribue en outre à la réalisation de notre objectif, qui est de doubler nos investissements dans les énergies renouvelables pour atteindre une capacité installée de 11 GW à horizon 2025", a-t-il ajouté. Soit la consommation énergétique moyenne de quatre millions de foyers par an.La finalisation de l'opération devrait avoir lieu "dans le courant du premier trimestre 2022", sous réserve de l'obtention des autorisations nécessaires, y compris des autorités compétentes en matière de concurrence.A la Bourse de Paris, le titre Engie gagnait 2,24% jeudi matin à 13,4 euros. Celui de Credit Agricole SA gagnait 0,9% à 12,9 euros sur un marché stable (+0,1%).
Il y a 3 ans et 210 jours

Bouygues retrouve son niveau d'activité de 2019

Sur les neuf premiers mois de 2021, le chiffre d'affaires de la major s'élève à 27,5 Mds € contre 27,6 Mds € sur les neuf premiers de mois de 2019. Il s'affiche en progression de 10% par rapport à 2020.
Il y a 3 ans et 211 jours

Bouygues rachètera Equans à Engie pour plus de 7 milliards d'euros

Engie a annoncé entrer en négociations exclusives avec Bouygues pour la vente d'Equans, l'entité regroupant les activités de services techniques du géant de l'énergie.
Il y a 3 ans et 216 jours

Le rachat d'Equans par Bouygues en quatre chiffres

EXPLICATIONS. Le groupe Bouygues vient d'effectuer une acquisition conséquente auprès du groupe Engie, celle d'Equans, pour près de 7 milliards d'euros. Découvrez les enjeux essentiels de cette opération en quatre chiffres.
Il y a 3 ans et 216 jours

Avec le rachat d'Equans, Bouygues change de visage

Dans la nuit de vendredi à samedi, Engie, géant français de l'énergie, a annoncé avoir choisi Bouygues face à deux autres compétiteurs pour lui céder Equans, sa filiale regroupant divers services techniques pour les entreprises et collectivités - gestion de l'énergie dans les bâtiments, ventilation, climatisation, chauffage, numérique, électricité ou encore sécurité incendie.Ce rachat - le plus gros dans l'histoire du groupe créé en 1952 par Francis Bouygues - "est un changement complet et profond de dimension, qui va déplacer son centre de gravité", résume lundi à l'AFP une source proche du dossier.Historiquement connu pour la construction, son premier métier, Bouygues s'était déjà diversifié dans les télécoms (avec Bouygues Telecom) et les médias (avec TF1, en passe de fusionner avec M6). Mais son quatrième pôle "Energies & Services" restait relativement modeste avec un chiffre d'affaires de 4 milliards d'euros.L'intégration d'Equans - avec pas moins de 74.000 salariés et 12 milliards d'euros de chiffre d'affaires - va faire quadrupler de taille cette branche et en faire "le premier métier de Bouygues", soulignait ce dernier dans son communiqué samedi.Le groupe présidé par Martin Bouygues insistait notamment sur "le marché porteur des services multi-techniques", qui se trouve "à la convergence des transitions énergétique, numérique et industrielle"."Ces métiers-là sont un bon complément par rapport au BTP classique, et génèrent surtout une marge plus importante, avec des contrats de maintenance sur plusieurs années qui offrent une certaine visibilité. Et dans ce business, Bouygues était en peu en queue de peloton, avec une marge opérationnelle pour Bouygues Energies & Services plutôt modeste, à 2% en 2019", souligne Eric Lemarié, analyste actions chez Bryan, Garnier & Co.Prix "astronomique"Ce rachat "fait sens" également pour Frédéric Rozier, gestionnaire de portefeuille chez Mirabaud, "d'un point de vue géographique car Bouygues s'implante de manière assez importante dans ce business au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en Belgique. Et aussi d'un point de vue économique car on connait, notamment avec la transition écologique, les besoins de transformation dans les énergies et on sait qu'une croissance va être là".Il souligne aussi que ces métiers "ont moins de cyclicité. On a vu récemment dans l'immobilier qu'il peut y avoir des gros trous d'air".Cependant, M. Rozier juge qu'il y a également "beaucoup de questions sur la rentabilisation de cette acquisition: le prix est juste astronomique, avec des contraintes de conservation d'emplois et de créations d'emplois".Bouygues s'est en effet "engagé à ne mettre en oeuvre aucun plan de départs contraints en France et en Europe" pendant cinq ans, et à "la création nette de 10.000 emplois" sur la même période."Certes Bouygues n'a pas de dette" mais dans son pôle Energies & Services "le niveau de marge est plutôt inférieur à 3%. Or, le +business plan+ proposé se base sur des marges quasiment à 5%: alors d'accord il y aura peut-être des synergies, mais on se demande comment ils vont opérer pour que l'ensemble arrive à ce modèle de rentabilité jamais atteint jusqu'à présent", estime Frédéric Rozier.Le prix payé pour Equans "est cher, même si ce n'est pas tous les jours qu'on a un deal comme Equans à se mettre sous la main", renchérit Eric Lemarié.Si le titre chutait à la Bourse de Paris lundi (-5,96% à 15H12, à 33,47 euros), c'est parce que "le marché pense que Bouygues a payé un prix trop élevé, qu'il y a des risques d'intégration parce que l'entité est de taille importante et qu'elle est vraisemblablement composée d'une multitude de métiers différents, ce qui peut éventuellement compliquer l'exécution du deal", selon lui.M. Lemarié met aussi en avant le fait que "le deal ne sera finalisé qu'au deuxième semestre 2022 et qu'aujourd'hui on a peu de chiffres officiels, on rentre donc dans une période d'incertitudes, ce qui n'est jamais bon boursièrement parlant".
Il y a 3 ans et 217 jours

Pourquoi Bouygues casse sa tirelire pour racheter Equans

Grâce aux synergies et aux complémentarités entre sa filiale Energies & Services et celle d’Engie, le groupe français entend tirer profit d’un métier promis à un bel avenir.
Il y a 3 ans et 218 jours

Cession d'Equans par Engie : Bouygues rafle la mise

ACQUISITION. La décision était attendue et elle est tombée samedi 6 novembre. Exit Eiffage et le fonds américain Bain Capital ! Engie a porté son choix sur Bouygues pour la vente de sa filiale de services techniques dans l'énergie Equans. Retour sur l'opération et ses modalités.
Il y a 3 ans et 218 jours

Chantier EPR de Flamanville : Bouygues condamné pour travail dissimulé

Bouygues TP doit payer plus de 2 millions d'euros au Trésor public à la suite d'une affaire de travail dissimulé sur le chantier du réacteur nucléaire EPR de Flamanville.
Il y a 3 ans et 218 jours

Tout comprendre du rachat d'Equans par Bouygues

A l'issue d'un conseil d'administration tenu vendredi 6 novembre au soir, Engie a préféré l'offre de Bouygues - "la mieux-disante" - à celles d'Eiffage et de l'attelage Bain Capital-Fimalac pour la cession de sa filiale spécialisée dans les services techniques dans l'énergie.
Il y a 3 ans et 222 jours

Bouygues formalise son offre pour acheter Equans, filiale d'Engie

Un conseil d'administration doit avoir lieu cette semaine chez Engie pour débattre des offres présentées."Ce projet de rachat d'Equans s'inscrit dans la démarche stratégique de Bouygues visant à faire émerger un acteur majeur des services multitechniques", précise le groupe dans un bref communiqué, ajoutant qu'il ne compte pas recourir à une augmentation de capital pour financer cette acquisition.Bouygues avait annoncé fin août être intéressé par le rachat d'Equans, qui regroupe la majorité des activités de services techniques d'Engie (climatisation, chauffage et ventilation, électricité, numérique, mécanique, services généraux...)."Géographiquement, les marchés d'Equans, Europe et Etats-Unis, correspondent aux endroits où l'on souhaite se développer", avait alors argumenté Olivier Roussat, directeur général du groupe.Engie, détenu à 23,64% par l'Etat français, a lancé début septembre le processus de vente de sa filiale, sous l'oeil vigilant du gouvernement à l'approche de la présidentielle.Plusieurs offres sont en lice, dont celles du groupe français Eiffage et du fonds Bain Capital, allié au financier français Marc Ladreit de Lacharrière, fondateur du holding diversifié Fimalac.Spie, groupe de services multitechniques aux entreprises et collectivités, s'est retiré de la course mi-octobre.Avec 74.000 salariés, Equans représente un chiffre d'affaires de près de 12 milliards d'euros, selon Engie, qui espère tirer cinq à six milliards d'euros de cette opération.Sur le premier semestre 2021, le chiffre d'affaires du pôle Energies & Services du groupe Bouygues s'est élevé à 1,9 milliard d'euros.
Il y a 3 ans et 228 jours

La SGP signe deux nouveaux marchés de travaux pour les systèmes de la ligne 18

Le maître d’ouvrage du Grand Paris Express a notifié deux marchés d’équipement et de travaux, l’un, de haute tension-basse tension à Bouygues Energies Services/Colas Rail ; l’autre, portant sur les voies ferrées et le troisième rail à Alstom.
Il y a 3 ans et 228 jours

Surcoût et retard pour la très attendue nouvelle route du littoral à la Réunion

Entamé en 2014, ce chantier titanesque reliant Saint-Denis (nord) à La Possession (ouest) devait être livré en 2020-2021. Il ne sera cependant pas terminé avant 2027 ou 2028, et le montant des travaux atteindra finalement 2,2 milliards d'euros au lieu du 1,6 milliard initialement prévu, a indiqué mercredi Huguette Bello, présidente du conseil régional, au cours d'une assemblée plénière spéciale de la Région.Les élus régionaux ont d'ailleurs estimé que la Région n'avait pas la capacité financière de finir seule la route. Ils ont décidé de "négocier auprès de l'Etat une contribution financière complémentaire".Par ailleurs, la collectivité régionale risque aussi d'avoir à verser près d'un milliard d'euros d'indemnités diverses au groupement de BTP (Bouygues et Vinci) attributaire du marché de construction de cette route "interminable", a souligné Huguette Bello.Ces montants sont "aussi irréalistes que scandaleux" a estimé la présidente de Région. La collectivité va poursuivre les tentatives de conciliation avec le groupement et "portera ces affaires en justice", si un accord n'est pas trouvé.Au cours de cette séance spéciale, la Région devait notamment déterminer si les 2,7 km manquants pour terminer l'ouvrage devaient être construits en digue ou en viaduc, comme le reste de l'ouvrage. Mais à l'unanimité, majorité et opposition comprises, les conseillers régionaux ont décidé d'attendre de nouvelles expertise pour prendre une décision.Baptisée nouvelle route du littoral (NRL), l'ouvrage long de 12,7 km construits sur la mer est destiné à remplacer l'actuelle route à quatre voies entre Saint-Denis (nord) et la côte ouest.Cet axe de circulation, vital pour l'économie de l'île, régulièrement saturé, est également souvent fermé en raison de chutes de rochers venant de la falaise instable qui le surplombe, ou quand les conditions de mer sont dangereuses.Ce chantier sans fin avait provoqué l'agacement du président de la République Emmanuel Macron, qui avait en octobre 2019 déploré: "nous n'avons collectivement pas su être au rendez-vous".
Il y a 3 ans et 229 jours

Au Royaume-Uni, Bouygues veut accélérer sur la construction hors-site

TENDANCE. Au Royaume-Uni, le directeur de Bouygues UK a indiqué qu'il comptait avoir davantage recours à la construction hors site pour faire face à la pénurie de main d'oeuvre.
Il y a 3 ans et 229 jours

Isover, Placo® et Isonat s'associent pour accompagner le développement de la construction bois

Les trois marques entendent les accompagner dans l'accélération de leurs projets de construction bois en développant des partenariats pour co-construire des solutions en réponse aux problématiques techniques de ce mode constructif.Des expertises métiers au service des enjeux de la construction boisForts de leurs connaissances techniques dans les domaines de l'efficacité énergétique, l'acoustique, la protection au feu et l'hygrométrie, quatre enjeux majeurs de la construction bois, ISOVER, Placo® et Isonat proposent une gamme complète de solutions fabriquées en France :ISOVER conçoit des solutions d'isolation durable pour répondre aux enjeux d'efficacité thermique, d'acoustique et de protection au feu. Le spécialiste s'inscrit dans une démarche continue d'optimisation de l'impact environnemental de ses produits, de l'efficacité énergétique, de la qualité de l'air intérieur et du bien-être.Placo® est engagé dans le développement de produits dédiés à l'habitat durable. Pionnier de la plaque de plâtre en France, l'expert innove en permanence afin de proposer des solutions techniques qui répondent aux exigences acoustiques, thermiques, décoratives, de qualité de l'air intérieur… des particuliers et des professionnels.Isonat, entreprise innovante, est spécialisée dans l'isolation biosourcée en fibres de bois. L'entreprise conçoit et s'approvisionne en France pour l'ensemble de ses gammes et panneaux isolants dédiés à l'isolation par l'intérieur et l'extérieur.Ces trois experts comptent à leur actif plusieurs références dans le domaine. En témoigne leur participation au projet Sensations à Strasbourg, premier programme de structure bois en France développé par l'Eurométropole de Strasbourg et réalisé par Bouygues Immobilier et KOZ Architecture. Plusieurs solutions ont été prescrites : Placoplatre BA 18S et Placoflam® qui participent à la protection feu, la laine de verre GR 32 pour la performance thermique, Placomarine® pour la résistance à l'humidité, Placo® Duo'Tech® 25 et Domisol LR pour optimiser l'acoustique, les plaques de plâtre Activ'Air® pour la qualité de l'air intérieur.Des partenariats forts pour apporter des solutions à la hauteur des attentes du marché« Nous avons pour ambition de créer des synergies avec les acteurs de la construction bois, afin de faire grandir ensemble la filière. Notre récent partenariat avec MATHIS, acteur majeur dans la conception, la fabrication et la construction de bâtiments à structure en bois, témoigne de cette volonté forte. La multiplication de ce type de synergies va nous permettre de nourrir mutuellement nos réflexions pour apporter des solutions à la hauteur des attentes du marché. ». Nicolas FERRY, Directeur Marketing ISOVER, Placo® et Isonat« ISOVER et Placo® possèdent une expertise très complémentaire à celle de MATHIS pour relever les défis liés à la construction bois, notamment en termes de feu et d'acoustique. Cela nous a permis, dans des délais courts, de développer en partenariat le système de plancher AZURTEC-Placo® qui apporte une solution haute performance au marché. Nous avons également pu nous appuyer sur les compétences de l'équipe Développement Durable d'ISOVER et de Placo® pour réaliser la FDES de ce système. ». Frank Mathis, Président Directeur Général MATHIS« Faciliter l'accélération de l'avènement de la ville durable, s'accompagne immanquablement de la démonstration massive de l'aptitude durable à l'emploi des solutions constructives bas carbone. La construction de cette démonstration par l'évaluation, permet la structuration plus rapide des filières associées, grâce à la reconnaissance de leurs procédés en technique courante. Que ce soit à l'échelle du développement des produits, comme à l'échelle de la ville, c'est le but pragmatique que nous nous sommes fixés et que nous poursuivons au travers de toutes les missions d'accompagnement à l'innovation assurées auprès des plus grands donneurs d'ordres. Les nombreuses démarches d'évaluations engagées par ISOVER, Placo® et Isonat, entrent parfaitement dans cette même stratégie. ». Eric DIBLING, Fondateur et Dirigeant d'INGENECO Technologies ; Assistance à Maîtrise d'Ouvrage, Ingénierie, Expertise, Recherche« ISOVER, Placo® et Isonat sont engagés depuis de nombreuses années pour promouvoir des solutions innovantes, tout en assurant l'ensemble de la filière de la qualité des solutions proposées et mises sur le marché. Ainsi, les nombreux avis techniques dont ISOVER, Placo® et Isonat disposent, validant le domaine d'emploi et la mise en oeuvre des solutions, les validations par des essais feu ou acoustiques, sont autant d'éléments de preuve à disposition de nos clients. Les concepteurs de bâtiments bois peuvent donc s'appuyer en toute confiance sur notre expertise conjointe pour les accompagner sur leurs projets. » Stéphanie ROCHE, Responsable Marketing - Pôle Marchés Bâtiments ISOVER, Placo® et IsonatDes apporteurs de solutions globales pour toutes les paroisInformer, accompagner, guider : un coffret en édition limitéeISOVER, Placo® et Isonat ont créé à l'occasion du Forum International Bois Construction un coffret en édition limitée, conçu tel un guide de la construction bois pour les logements collectifs. Il est introduit par une présentation des valeurs et des engagements des trois experts en matière de gestion durable des ressources naturelles, d'éco-innovation, de logistique et de l'analyse du cycle de vie.Cet outil didactique se compose de 43 fiches produits recto/verso couvrant les quatre parois :cloisons,façades,planchers,toitures.Pédagogiques, elles présentent les fondamentaux de chaque solution via une vue 3D, leurs champs d'application, leurs bénéfices, leurs performances une composition détaillée schématisée du système et un descriptif technique.Des engagements durables pour répondre aux enjeux de la construction boisGestion durable des ressources et des matières premièresISOVER, Placo® et Isonat ont pour valeur commune la gestion durable des ressources et des matières premières. Tout est mis en oeuvre pour respecter cet engagement majeur au coeur de leur ADN. Par exemple, les laines de verre ISOVER contiennent entre 40 % et 80 % de verre recyclé. 100 % biosourcé, le liant de sa nouvelle laine est élaboré à partir de matières premières issues des industries céréalières et sucrières. Les plaques de plâtre Placo® concernées intègrent en moyenne 20 % de matières recyclées. Le carton utilisé provient de forêts gérées de manière responsable ou de matière 100 % recyclée. Placo® réalise une exploitation responsable de ses carrières souterraines et aériennes avec suivi environnemental et remise en état. De son côté, Isonat utilise le Pin Douglas, certifié PEFC, pour la fabrication de ses isolants. Les plaquettes de bois qui composent ses produits proviennent de déchets de scieries du bassin roannais, sourcés dans un rayon maximum de 60 km autour de l'usine.Éco-innovationLes trois experts mettent tout en oeuvre pour répondre aux exigences des professionnels visant des démarches de labellisation HQE, E+C-, Bâtiment Biosourcé… Leurs produits et solutions disposent de FDES, disponibles sur la base de données INIES et calculées sur une durée de vie de 50 ans. ISOVER et Placo® sont les premiers fournisseurs de FDES en France. Autre service exemplaire : l'offre LEAN by Placo® qui permet de minimiser les déchets sur chantiers en livrant la bonne quantité prédécoupée au bon endroit.Gestion de fin de vie des produitsISOVER et Placo® n'ont pas attendu l'avènement de la loi AGEC pour s'engager dans la gestion de la fin de vie de leurs produits. La laine de verre ISOVER et les plaques de plâtre Placo® sont recyclables à 100 % et à l'infini. ISOVER a mis en place la première filière au monde de recyclage de déchets de laine de verre issus du BTP : ISOVER Recycling. Premier recycleur de plaques de plâtre en France, la filière Placo® Recycling permet depuis 13 ans un recyclage des déchets de plaques de plâtre, réintroduits dans la production de nouveaux produits.
Il y a 3 ans et 232 jours

Premier « Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP »

Elle permet de s’adapter aux nouveaux besoins et également de repenser les problématiques liées à la prévention et de toujours améliorer la performance des entreprises. Avoir une vision claire des tendances d’innovation est ainsi devenu une nécessité stratégique pour l’ensemble des acteurs du secteur du BTP.Dans cette optique, Impulse Partners, CCCA-BTP et l’OPPBTP, acteurs engagés au service du secteur du BTP, se sont associés pour réaliser et publier un « Observatoire des tendances d’innovation du BTP ». Celui-ci décrypte les grandes tendances d’innovation, leurs impacts sur les métiers, la sécurité, la prévention et la formation.Son objectif est de permettre à tous les acteurs de la filière, qu’ils soient industriels, constructeurs, entreprises, grandes ou petites, mais aussi centres de formation, fédérations et organisations professionnelles, de comprendre et d’appréhender au mieux les principaux champs d’innovation à l’oeuvre dans le secteur, pour en faire un vecteur de transformation positive et durable. Pour cela, il sera enrichi régulièrement et diffusé chaque année.Les objectifs majeurs de l'innovationGrâce à une étude approfondie des acteurs de l’innovation dans le BTP, l’Observatoire révèle que les grandes tendances d’innovation se concentrent autour de trois objectifs majeurs :Accroître la productivité des entreprisesTrois tendances majeures transforment les métiers du BTP : les solutions de construction hors site permettent de réaliser 80 % de la production en usine, ce qui fait évoluer massivement les métiers, les méthodes de production et les risques qui y sont associés. Les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et ouvrages (capteurs IoT, plateformes BOS…) offrent l’opportunité de saisir de nouveaux marchés dans le smart building avec une très haute valeur ajoutée pour les métiers concernés. Enfin, les outils d’édition et de partage du jumeau numérique constituent l’un des leviers de la modernisation des métiers et renforcent la sécurité sur les chantiers.Réaliser des ouvrages de meilleure qualitéLa qualité des ouvrages repose sur leur conformité au cahier des charges, leur performance et l’impact environnemental des chantiers. Les solutions favorables à l’emploi du matériau bois, de plus en plus sollicité, bouleverse les chaînes de valeur traditionnelles et exigent des compétences nouvelles (logistique, levage, réglage…). Les plateformes et outils pour le réemploi constituent également un levier de transformation majeur, en particulier pour la filière déconstruction. Par ailleurs, les outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité accompagnent les professionnels dans une démarche de lean management et de contrôle qualité continu, vecteurs de productivité et de prévention des risques.Améliorer la sécurité sur les chantiersEnfin, l’amélioration de la sécurité sur les chantiers exige une anticipation des risques en amont ainsi qu’une gestion de ceux-ci au cours des travaux. Pour y parvenir, les EPI connectés et les dispositifs de détection des accidents (capteurs, robots caméra, intelligence artificiels) mobilisent un grand nombre d’acteurs de l’innovation, du fait de leur très fort impact sur la réduction du risque d’accident. En outre, les outils digitaux pour la formation des professionnels, tels que les outils e-learning ou utilisant la réalité virtuelle, permettent de former les collaborateurs aux bonnes pratiques et de les sensibiliser aux différents risques du chantier.Un Observatoire de l’innovation qui s’inscrit dans les missions du CCCA-BTP et de l’OPPBTPAfin de s’adapter aux évolutions majeures qui impactent le secteur (transition écologique, digitalisation…), l’innovation est au coeur des enjeux du BTP. Le CCCA-BTP et l’OPPBTP sont tous deux mobilisés pour accompagner son développement et aider l’ensemble des acteurs à s’en saisir pour en tirer tous les bénéfices. D’une part, le CCCA-BTP, premier acteur de l’apprentissage en France, a pour mission d’anticiper les métiers de demain et l’évolution des compétences pour adapter les parcours de formation et ainsi mieux répondre aux besoins des entreprises de la construction. D’autre part, en tant qu’organisme de branche, l’OPPBTP se positionne comme un moteur pour détecter, accompagner et promouvoir l’innovation au profit de l’ensemble des acteurs du secteur. L’analyse des tendances d’innovation sous l’angle de la santé-sécurité lui permet d’adapter les actions de prévention à mener au plus proche des problématiques émergentes. Dans ce cadre, l’Observatoire des tendances d’innovation du BTP représente un précieux outil de veille pour décrypter les tendances de la filière. Il permet à la fois de mettre en lumière le rôle de la formation dans l’évolution des compétences et d’apprécier les conséquences de l’innovation sur les métiers et les problématiques de sécurité. Sa promotion auprès de tous les acteurs est essentielle pour leur permettre d’évoluer collectivement vers une plus grande performance opérationnelle.Une méthodologie basée sur une étude des acteurs de l’innovation dans le BTPLe CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners ont décidé d’appuyer cet Observatoire sur les 222 start-up recensées au sein de l’écosystème d’Impulse Partners. En effet, celles-ci se développent depuis plusieurs années à un rythme accéléré et leurs champs d’action constituent un précieux révélateur des transformations en cours dans le BTP. L’ensemble des start-up a été regroupé en 41 champs d’innovation. Pour chacun de ces champs d’innovation, l’observatoire détaille les enjeux majeurs et les principaux outils et solutions développés par les innovateurs pour y répondre. La dynamique économique de chaque champ d’innovation a également été mesurée selon trois indicateurs clefs : le nombre de start-up, le chiffre d’affaires cumulé des acteurs et le volume de fonds levés par ceux-ci. Par ailleurs, l’observatoire donne une estimation du potentiel de transformation pour la filière, sur le plan des métiers, de l’impact en matière de prévention, ainsi qu’en termes de besoins nouveaux de formation pour les professionnels.Enfin, les partenaires ont également interrogé plusieurs professionnels représentant des grandes entreprises, entreprises de tailles intermédiaires, fédérations ou organisations représentatives de toute la profession :David Amadon, Directeur technique de la CAPEB Nationale ;Guillaume Bazouin, Responsable start-up et programme intrapreneuriat au sein de Leonard ;Mathieu Boussoussou, Responsable innovations durables au sein d’Eiffage Construction ;Valérie Cassous, Membre du directoire et directrice communication du groupe Cassous ;Jonathan Chemouil, Directeur innovation technique au sein de Demathieu Bard ;Dominique Chevillard, Directeur technique et de la recherche de la FNTP ;Christian Cremona, Directeur technique et R&D au sein de Bouygues Construction ;Isabelle Dubois-Brugger, R&D et Innovation Manager au sein de LafargeHolcim ;Marc Esposito, Directeur du Lab GSE ;Antoine Gibour, Directeur stratégie, marketing et innovation au sein de Léon Grosse ;Claire Guidi, Chargée de mission FFB ;Philippe Robart, Directeur technique de l’OPPBTP.Ces interviews ont largement guidé la structuration de l’observatoire et ont permis de collecter l’avis du marché sur les innovations recensées.Des tendances structurées autour de trois principaux objectifs : la productivité, la qualité et la sécuritéL’étude des 41 champs d’innovation et les échanges avec les entreprises ont permis aux trois partenaires de mettre en évidence trois objectifs majeurs à toutes démarches d’innovation dans le BTP, non exclusifs les uns des autres : atteindre un plus haut niveau de productivité, de qualité et de sécurité. Pour avancer dans chacune de ces directions, les acteurs peuvent mettre en oeuvre différents leviers d’action qui rassemblent plusieurs champs d’innovation complémentaires.Une plus grande productivité des entreprisesL’un des principaux défis pour le secteur du BTP est sa faible productivité. Il s’agit de l’un des seuls secteurs de l’économie dont la productivité n’a pas augmenté ces 20 dernières années, mais a au contraire baissé en Europe. Sur l’ensemble de la chaîne de valeur, industriels, concepteurs, constructeurs, exploitants de bâtiments et d’infrastructures cherchent à réduire leurs coûts pour consolider leurs marges. La productivité est donc le premier objectif majeur qui pousse à innover dans le secteur.L’observatoire fait ressortir six principaux leviers d’action : la maîtrise des coûts du foncier, des matières premières, de la main-d’oeuvre, des frais généraux des entreprises, des coûts d’usage des ouvrages, ainsi que la réduction du poids économique des équipements et de la logistique. Il révèle également que les trois champs d’innovation en faveur d’une plus grande productivité des entreprises les plus dynamiques sur le plan économique sont :✓ Les outils d’édition et de partage du jumeau numérique, qui permettent de partager l’information entre les différentes parties prenantes d’un projet de construction et d’assurer un suivi continu de l’information sur le cycle de vie d’un ouvrage. Ils s’imposent sur les grands projets de construction depuis plusieurs années et constituent l’un des principaux leviers de la transformation digitale et industrielle du secteur.✓ Les outils digitaux collaboratifs de suivi de chantier. Simples, mobiles et adaptés aux process et méthodes actuelles, ces outils digitaux permettent de digitaliser et d’optimiser le travail du chef ou du directeur de chantier pour assurer un suivi de l’avancement des tâches et partager les informations entre tous les acteurs.✓ Les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et ouvrages, tels que les capteurs IoT ou les plateformes Building Operating Systems. Ces dispositifs permettent d’optimiser les consommations énergétiques, d’organiser une meilleure gestion des déchets, d’assurer un confort aux usagers et de réduire les coûts d’exploitation. Ils ont également un fort potentiel de transformation des métiers du BTP vers des métiers à très haute valeur ajoutée.✓ Par ailleurs, l’observatoire fait ressortir les solutions de construction hors site parmi les champs d’innovation à fort potentiel de transformation des métiers du secteur, puisqu’elles permettent de réaliser 80 % de la production, ce qui développe fortement la productivité.Des ouvrages de meilleure qualitéLe deuxième enjeu majeur pour le secteur est l’amélioration de son niveau global de qualité. Les exigences de la maîtrise d’ouvrage se renforçant dans de nombreux domaines, cette exigence de qualité ne s’évalue plus seulement sur la simple conformité à un cahier des charges fonctionnel, mais aussi sur un nombre croissant de critères de performance (dont l’impact environnemental). Cette qualité s’évalue bien sûr sur l’ouvrage lui-même sur toute sa durée de vie, mais aussi au travers de critères propres aux chantiers (impact sur l’environnement, nuisances…).✓ Les outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité apparaissent comme étant à la fois les solutions innovantes les plus dynamiques et parmi les plus transformatrices du secteur. Elles permettent de détecter les erreurs de mise en oeuvre éventuelles, pour les corriger rapidement, afin d’en réduire les coûts et d’assurer que le construit est conforme au conçu.Parmi les champs d’innovation pour une meilleure qualité des ouvrages les plus dynamiques économiquement, on trouve également :✓ Les solutions pour la qualité de l’air : pour améliorer la santé et le confort des occupants, des capteurs IoT, des plateformes d’analyse des données et de simulation de la qualité de l’air se développent. Cette dynamique a par ailleurs été renforcée par le contexte de la crise sanitaire qui a placé cette problématique au coeur des enjeux du bâtiment.✓ Les solutions pour l’usage de nouvelles énergies sur les chantiers tels que les solutions hydrogène, les biocarburants ou l’électrification des engins et matériels, qui permettent de réduire les consommations d’énergie non renouvelables et les émissions de gaz à effet de serre.Enfin, les champs d’innovation pour la qualité au plus haut potentiel de transformation du secteur sont :✓ Les solutions favorables à l’emploi du matériaux bois, de plus en plus sollicité du fait de ses atouts écologiques et environnementaux. La construction bois est souvent synonyme de construction industrialisée et bouleverse à ce titre les chaînes de valeur traditionnelles. Le chantier bois exige par ailleurs des compétences nouvelles (logistique, levage, réglage…) pour des acteurs qui historiquement ont une meilleure maîtrise de la construction en béton.✓ Les plateformes et outils pour le réemploi. Le réemploi constitue un challenge important pour les fabricants de matériaux et leurs distributeurs, mais aussi un levier de transformation majeur pour la filière déconstruction, afin de permettre un démontage propre et sélectif des matériaux pouvant être réemployés.Un accroissement de la sécurité sur les chantiersLa sécurité sur les chantiers est un enjeu de progrès continu pour toutes les entreprises du BTP. Le secteur comporte en effet encore de nombreux risques contre lesquels des politiques de prévention, renforcées par l’innovation, peuvent être efficaces. Plusieurs champs d’innovation favorables à la productivité et à la qualité ont aussi un impact positif sur la sécurité. De plus, certains champs d’innovation peuvent être totalement focalisés sur ces enjeux de sécurité. Les deux leviers d’action identifiés pour accroître la sécurité sur les chantiers sont l’anticipation des risques en amont, ainsi que leur gestion pendant les travaux.L’observatoire fait ressortir trois champs d’innovation, qui sont à la fois les plus dynamiques et les plus transformateurs pour le secteur en matière de sécurité :Les EPI connectés : les équipements de protection individuelle sont de plus en plus connectés, afin de renforcer la sécurité des compagnons au-delà des protections dites classiques. Ils permettent, par exemple, d’alerter en cas de situations de danger (fuites de gaz, éboulement, etc.), de réduire les accidents Homme/machine, ou d’effectuer un suivi en temps réel des compagnons.Les dispositifs de détection des accidents : grâce à des outils tels que des capteurs, des robots caméras ou l’intelligence artificielle, de nombreux dispositifs permettent de réduire les accidents sur site en analysant les situations à risque, ou d’intervenir rapidement s’ils ont lieu.Les outils digitaux pour la formation des professionnels : on estime aujourd’hui à 430 000 les besoins annuels en formation initiale et continue. Ces nouveaux outils ont pour objectif de massifier la formation et de la rendre la plus impactante possible au travers de nouvelles méthodes pédagogiques (outils e-learning, formations en réalité virtuelle et augmentée, outils d’ancrage qui cumulent présentiel et digital…). Ils permettent de former les collaborateurs aux bonnes pratiques et de les sensibiliser aux différents risques du chantier.« Innover aujourd’hui dans notre secteur c’est aussi repenser les enjeux de prévention et de sécurité pour en faire des atouts pour la performance des entreprises. C’est aussi intégrer très tôt les besoins de formation et d’évolution de compétences. C’est le sens de notre partenariat avec l’OPPBTP et le CCCA-BTP dans la réalisation de cet observatoire. » Antoine Thuillier, Associé Impulse Partners.« En tant qu’Organisme de prévention des risques du BTP, nous sommes convaincus que la performance des chantiers rime avec prévention et que l’innovation technique est le premier facteur d’amélioration des conditions de sécurité et de travail. Sachons-nous saisir collectivement de cet observatoire des tendances d’innovation dans le BTP pour faire grandir la performance opérationnelle de nos chantiers et de nos opérateurs. » Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP.« Le digital est un facilitateur, un accélérateur. Il est d’une aide précieuse dans le parcours de formation des jeunes et des professionnels qui se forment tout au long de leur vie professionnelle. Mais au-delà de la transformation intrinsèque des métiers, le digital peut être également un facilitateur de l’articulation et de la coordination dans la réalisation des projets : un catalyseur de productivité. Il favorise le décloisonnement entre les métiers, pour gagner en polyvalence et en transversalité et contribue également à une plus grande ouverture entre les sujets (smartcity, bien être, etc.) » Franck Le Nuellec, Directeur Marketing, Développement et Innovation Stratégique de CCCA-BTP.Le rapport complet de l’Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP est disponible ici.
Il y a 3 ans et 232 jours

La Bourse de Commerce, un écrin en béton pour l’art contemporain

Ce bâtiment historique situé dans le Ier arrondissement de Paris accueille désormais la collection personnelle d’art contemporain de François Pinault [©Vladimir Partalo] Retrouvez bientôt en exclusivité la video sur la Bourse de Commerce Après 34 mois de travaux menés tambour battant, les équipes de Bouygues Bâtiment Ile-de-France Rénovation Privée ont livré la Bourse de Commerce à Pinault Collection. Ce bâtiment historique situé dans le Ier arrondissement de Paris accueille désormais la collection personnelle d’art contemporain de François Pinault. Son ouverture a eu lieu au printemps dernier. La Bourse de Commerce est le 3esite permanent de la collection d’art contemporain de l’entrepreneur français. Comme les deux précédents, le Palazzo Grassi et la Punta della Dogana à Venise, il a été rénové et aménagé par l’architecte japonais Tadao Ando. Accompagné, cette fois, de Niney et de Marca Architectes et Pierre-Antoine Gatier, architecte en chef des Monuments historiques. Pour le bâtiment parisien, Tadao Ando « a très vite eu l’intuition d’un cylindre dans la rotonde de la Bourse du Commerce », se souvient Thibault Marca, de Niney et Marca Architectes. Comme à son habitude, l’architecte japonais travaille avec des formes simples, voire primaires : le triangle, le carré, le cercle…, toujours inspirées de la nature. Le tout, ici, transposé dans un bâtiment historique. « Je pense que le béton est un matériau qui représente le XXIe siècle. Nous l’avons utilisé dans une forme géométrique simple au cœur d’un bâtiment pluri-centenaire. Non seulement la structure de ce bâtiment est conservée, mais elle reste vivante grâce à la création d’une nouvelle architecture », indique Tadao Ando. Un cylindre en écho à la circularité du bâtiment Il faut laisser glisser sa main sur ce béton lisse pour deviner combien ce travail a été minutieux et rigoureux. Lors de sa dernière visite du chantier, Tadao Ando a déclaré que ce béton figurait parmi les plus beaux qu’il ait jamais vus. Le cahier des charges pour le béton était de proposer une formulation innovante, qui puisse surprendre le public, tout en gardant le geste de l’architecte Tadao Ando. C’est-à-dire la reconstitution d’un béton à partir d’un calepinage de tatamis. « Le challenge consistait à proposer une solution démontable, car François Pinault n’est pas propriétaire du lieu. Il n’était donc pas question d’un voile massif en béton. Il a fallu imaginer une structure métallique habillée de part et d’autre, d’une peau de 12 cm d’épaisseur sur une hauteur de 9,33 m. Nous avons utilisé des bétons auto-plaçants, provenant de la centrale Unibéton d’Aubervilliers », explique Roland Merling, responsable national de la prescription chez Ciments Calcia. La Bourse de Commerce a ainsi été restaurée dans son état de 1889 sans l’altérer. [©Vladimir Partalo/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]La majestueuse verrière plafonne à 35 m de hauteur, datant de 1889. [©Marc Domage/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]Comme à son habitude, l’architecte japonais travaille avec des formes simples, voire primaires : le triangle, le carré, le cercle…, toujours inspirées de la nature. Le tout, ici, transposé dans un bâtiment historique. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]Pour accueillir le cylindre en béton et les œuvres d’art, la structure a été renforcée, les planchers, qui pouvaient jadis porter 250 kg/m2, supportent désormais 700 kg/m2. Et jusqu’à 1 t/m2 par endroits. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection] La Bourse de Commerce a ainsi été restaurée dans son état de 1889 sans l’altérer. Les ajouts techniques ont été réalisés, tout en préservant la structure « Celui-ci prend naissance en sous-sol, puis émerge au rez-de-chaussée, en s’immisçant à travers les trémies de la structure existante par la mise en œuvre d’une douzaine de poteaux. Ceci, pour éviter une réalisation massive et permettre de conserver la structure. Pour le plancher métallique, une dalle en béton a été coulée sur le dessus. Le cylindre est ici hybride, espace scénographique et symbolique, mais aussi technique. Il gère ainsi le climat, la lumière, l’acoustique… », insiste Thibault Marca. Pour accueillir le cylindre en béton et les œuvres d’art, la structure a été renforcée, les planchers, qui pouvaient jadis porter 250 kg/m2, supportent désormais 700 kg/m2. Et jusqu’à 1 t/m2 par endroits. Une formule de béton sur mesure Pour ce chantier d’exception, Unibéton et Ciments Calcia ont conçu une formule de béton sur mesure, qui a répondu à la complexité du coulage liée aux banches et aux armatures. Cette formule a aussi permis d’obtenir une teinte gris clair spécifique et homogène pendant toute la période de coulage, sur plusieurs mois. « Une caractérisation du béton avait lieu au départ de la centrale. Et ensuite, une deuxième lors de la mise en place à la pompe. » Quelque 650 m3 de béton esthétique ont été mis en œuvre, pour un total de 4 500 m3 pour la globalité du chantier. Composé de 863 panneaux perforés, le cylindre présente quatre ouvertures identiques. Autour de lui, un escalier en béton dessert quatre niveaux d’exposition, dont un en sous-sol. Il offre aux visiteurs des points de vue variés sur le bâtiment historique. Une fois avancé au centre de ce vaste espace, le visiteur lève naturellement le regard vers la majestueuse verrière, qui plafonne à 35 m de hauteur. Il y a encore quelques mois, un échafaudage de 600 t empêchait la diffusion de la lumière. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]Après 34 mois de travaux menés tambour battant, les équipes de Bouygues Bâtiment Ile-de-France Rénovation Privée ont livré la Bourse de Commerce à Pinault Collection. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection]Le geste de l’architecte Tadao Ando reconstitue un béton à partir d’un calepinage de tatamis. [©Patrick Tourneboeuf/Tadao Ando, NeM Architectes, Pierre-Antoine Gatier Courtesy Bourse de Commerce- Pinault Collection] Il y a encore quelques mois, un échafaudage de 600 t empêchait la diffusion de la lumière. Restaurée, la verrière laisse aujourd’hui la lumière du jour inonder l’intérieur du bâtiment. Elle remet en valeur le panorama marouflé de 1889, qui dépeint le commerce mondial sur les 1 400 m² de la voûte. Cette œuvre qui renvoie près d’un siècle et demi dans le passé peut désormais être observée de plus près. En montant sur une coursive qui entoure la cime du cylindre de béton, conférant à ce dernier une fonction tant pratique qu’esthétique. Une attente forte de l’acoustique Etant donné la position de la Bourse de Commerce, au centre de Paris, dans un lieu exigu, il n’y pas eu de grues. Aussi les banches ont, elles, été transportées à la main. Il ne devait y avoir aucun défaut lors du décoffrage. Pas question non plus de détruire certaines banches comme souvent sur d’autres chantiers. Une grande rigueur était de mise. Les critères du cahier des charges mettaient en avant la maîtrise maximale de l’acoustique. « Comme il y a un vide entre les deux voiles, nous avons imaginé des pièges à sons. Certains écarteurs de banche ont été munis d’amortisseurs acoustiques. En plus de la réalisation d’un gommage de la peau du béton, outre le lissage de l’entièreté de la teinte du béton, a permis de casser le renvoi unidirectionnel des ondes sonores et de le provoquer de façon multidirectionnelle. Et de participer à l’amélioration de l’acoustique du lieu », conclut Roland Merling.  Muriel Carbonnet
Il y a 3 ans et 238 jours

Les réseaux ont aussi leur chantier 4.0

Qui a dit que le Chantier 4.0 n’existait pas ? Le groupe Colas, Syslor et Bouygues Telecom ont réalisé une expérimentation en conditions réelles pour évaluer l’apport de la 5G aux solutions de réalités augmentées sur des chantiers de travaux pour les réseaux en sous-sol (eau, gaz, électricité, fibres…).
Il y a 3 ans et 238 jours

BIG-Bouygues-Baguet : l’île Seguin ou le quartier qui n’existera jamais ?

C’est une sorte de jour sans fin de l’urbanisme, une île impossible à reconstruire. Un défi que pourtant Bjarke Ingels Group (BIG), évacué par la porte à EuropaCity, vient par la fenêtre relever sur l’Ile Seguin à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Un symbole éclatant de l’esprit d’entreprise municipal. Explications. Les Boulonnais ne doivent plus savoir où donner […] L’article BIG-Bouygues-Baguet : l’île Seguin ou le quartier qui n’existera jamais ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 238 jours

Recycler le béton au fil de la Seine pour freiner le réchauffement de la planète

La France, où sont basés plusieurs géants mondiaux du bâtiment et des routes, est "en tête des pays européens en termes de recyclage des déchets de la construction", indique à l'AFP Mathieu Hiblot, secrétaire général de l'Union nationale des producteurs de granulats, lors de la visite d'une ancienne usine en démolition.Le tiers des granulats consommés dans le pays vient du recyclage, qui fournit surtout des ouvrages routiers.Sur le chantier de "demol", les pelleteuses s'activent. 20.000 tonnes de caillasse de béton doivent sortir du site, l'équivalent d'une petite carrière de pierres.Cette pratique, qui permet d'économiser des ressources naturelles extraites de carrières, est encouragée par l'Association mondiale du ciment et du béton (GCCA) pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.Le besoin de recyclage est d'autant plus fort que la fabrication du ciment - ingrédient essentiel du béton - génère trois fois plus d'émissions au niveau mondial que le transport aérien.Depuis 200 ans, pour en fabriquer, on cuit du calcaire dans des fours à 1.400°C, une cuisson qui dégage presque une tonne de CO2 par tonne de ciment fabriqué.La France s'est fixé des normes ambitieuses: à partir du 1er janvier 2022, une nouvelle réglementation intègrera l'impact carbone des bâtiments sur les trois phases de leur cycle de vie: construction, exploitation mais aussi fin de vie.Logistique des gravatsEn Ile-de-France, le recyclage est grandement facilité par le fait que la région densément urbanisée connaît de nombreux programmes de rénovation urbaine.Il bénéficie surtout d'un facteur unique: la Seine facilite le transport et la logistique des gravats. Ce qui réduit le nombre de camions sur les routes et permet de limiter le bilan carbone de la démolition.Sur le fleuve, d'immenses barges plates charrient chaque jour des milliers de tonnes de déchets de construction venus de toute la région parisienne.Des mini-ports répartis sur les berges d'est en ouest de la capitale servent de points de tri.A Saint-Denis, on charge. A Gennevilliers, on décharge. Sur le port, le site de recyclage de la filiale française du géant mexicain Cemex dispose d'une capacité de traitement de 200.000 tonnes de béton par an. Il y a 25 ans, ce recyclage a été impulsé par les géants des routes, les Vinci, Eiffage ou Colas (Bouygues).Toutes les barges ne vont pas au recyclage. Certaines filent jusqu'en Normandie, où elles sont déchargées... dans d'anciennes carrières de pierres.Mais "l'avenir, c'est démolir et réutiliser", juge le directeur adjoint de Cemex France, Francisco Aguilar, dans un nuage de poussière blanche.La "demande" en béton recyclé devient "de plus en plus forte" du côté du bâtiment, ajoute M. Hiblot.Derrière lui, une énorme concasseuse rouge avale et déchiquette les blocs qui arrivent sur un tapis roulant. Surnommé le "caviar", ce béton est issu des excédents de centrales à béton: celui qui a "pris" (séché) avant d'avoir eu le temps d'être utilisé.Le tout ressort en fin granulé. Il produira un béton très honorable.Sous son casque vert, le responsable de la centrale à béton du site Fodil Zemani affiche ses performances: son béton recyclé représente 60% de sa production totale.Le reste, pour 30%, est à base de granulat extrait de carrières, et pour 10%, un béton "ultra zéro carbone", où le liant du ciment, le clinker, particulièrement émetteur, est remplacé par des déchets de sidérurgie venant de Dunkerque.Pour l'instant, la part du béton recyclé dans les constructions neuves n'excède pas 5% en France, admet François Petry, patron du cimentier Lafarge Holcim France. Il demande une évolution des normes permettant l'incorporation de volumes plus importants de béton recyclé. L'ambition serait d'arriver à 20% pour certains types de béton.Pour Benoit Perez, responsable du concasseur de Cemex, "il y a aussi des progrès à faire côté démolition, mieux trier, enlever le bois, le plastique, le plâtre, afin de pouvoir faire du béton de qualité avec du vieux béton".
Il y a 3 ans et 246 jours

Atelier du Pont restructure le siège de l’ESA à Paris

Situé en plein cœur du XVe arrondissement de Paris, le siège de l’Agence spatiale européenne (ESA), est en pleine transformation, une restructuration menée par Atelier du Pont (Anne-Cécile Comar & Philippe Croisier) avec Bouygues Construction rénovation privée.  Livraison prévue de l’ouvrage de 11 592 m² : fin 2022. Communiqué. Un nouveau décollage pour l’Agence spatiale européenne […] L’article Atelier du Pont restructure le siège de l’ESA à Paris est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 248 jours

A Clermont, CRR porte en bois et isole en paille l’équipement sportif Saint-Jean

Bouygues Bâtiment Sud-Est et l’agence CRR Architecture sont mandatés pour construire le nouvel équipement associatif et sportif Saint-Jean à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Un ouvrage de 4 904 m² SHON ; coût de l’opération : 17,1 M€ TTC. Livraison prévue : fin mai 2023. Communiqué de la Ville de Clermont-Ferrand, maître d’ouvrage. Dans le cadre de la grande […] L’article A Clermont, CRR porte en bois et isole en paille l’équipement sportif Saint-Jean est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 249 jours

Bousculé, l'immobilier de bureaux mise sur son intégration dans la ville

Dans cet espace de 9.000 mètres carrés à deux pas de la gare Saint-Lazarre, les entreprises, essentiellement des start-up, peuvent louer un abonnement pour des salles ou des postes de travail sur des périodes assez réduites, en moyenne 18 mois, à des prix autour de 800 euros le poste de travail par mois, sur un engagement court."On propose de la flexibilité et de la simplicité. Les entreprises peuvent s'engager que pour six mois si elles veulent, et les salariés n'ont qu'à venir pour brancher leur ordinateur et profiter des services et animations. C'est pratique pour des entreprises en croissance, qui ne veulent pas d'un bail trop long et contraignant", décrit à l'AFP Stéphane Bensimon, le dirigeant de Wojo.Contrairement aux grandes tours d'immeubles dans les quartiers affaires, qui peinent à revenir à leur taux de remplissage d'avant-crise, son espace a vite rebondi et retrouvé une forte affluence. M. Bensimon rêve désormais d'implanter des espaces jusque dans des hôtels."Il y a de l'accueil 24/24, des restaurants, des salles de réunion. Avec la perte de client en voyages d'affaires, les hôteliers se montrent plus ouverts", juge-t-il.Plusieurs espaces ont déjà été installés dans des établissements du groupe Accor, qui détient Wojo à égalité avec Bouygues Immobilier."Le modèle de la tour des années 1960 dans lequel on amasse des gens dans un espace sans aucun service autre que la cantine est terminé", estime Philippe Bourguignon co-fondateur du Shack, un lieu de travail et de vie intégrée près d'Opéra, à Paris.Il espère développer ses projets de bureaux intégrés dans des magasins vacants des centres commerciaux, ou encore en profitant des espaces vides sous-loués par des grandes entreprises en raison du télétravail.Dans les métiers ou le télétravail s'est fortement développé, "pour faire revenir les collaborateurs, il faut que l'on soit mieux au bureau qu'à la maison", a également affirmé Loic Daniel, managing director à Nexity Immobilier mardi au cours d'une conférence lors du salon international de l'immobilier (Mipim).FlexibleAu delà de l'activité et de l'animation, la localisation joue aussi un grand rôle pour l'attractivité des bureaux."Avant même la pandémie, il y avait une forte demande pour les bureaux en centre-ville", observe Staffan Ingvarsson, dirigeant de Stockholm Business Region, chargé de l'attractivité de la capitale suédoise. "Quand on s'éloigne, cela devient plus dur. Plus les bureaux sont loin, plus il faut faire des efforts pour attirer des gens, avec des services."Mais le modèle flexible ne convient pas à tous les types d'emploi."Avec le télétravail, les entreprises sont tentées de réduire beaucoup les surfaces, en ayant recours au flex office, où aucun salarié n'a de place attribuée. Le bureau reste la deuxième dépense des entreprises, derrière les salaires", rappelle Ingrid Nappi, professeur de management et chercheur à l'ESSEC sur la chaire immobilier et développement durable."Or, tous les salariés ne souhaitent pas cette organisation", dit-elle, s'appuyant sur la troisième étude "mon bureau post Covid", qu'elle dirige, et qui a été présentée mardi au Mipim. "Le flex n'est adapté qu'à certains secteurs d'activités, avec notamment les CSP+, mais pas aux usagers de bureaux qui y passent toute la journée, comme les agents de maîtrise ou les employés qui veulent avoir leur place attitrée."
Il y a 3 ans et 249 jours

Amélie Quidor, DRH de Bouygues Construction

Amélie Quidor est nommée directrice des ressources humaines de Bouygues Construction fin 2021. Elle intègre, à ce titre, le comité exécutif de l'entreprise.
Il y a 3 ans et 249 jours

A Saint-Maixent-l’Ecole, UNIK : Vincent Lavergne fera-t-il école?

Construction industrialisée : la première opération d’hébergement Unik de Bouygues Bâtiment France Europe pour le ministère des Armées va voir le jour à Saint-Maixent-l’Ecole (Deux-Sèvres). Livraison prévu 2023. Vincent Lavergne Architecture Urbanisme (VLAU) est l’architecte d’un projet national de 46 opérations pour 120 000 m². Communiqué du constructeur. Bouygues Bâtiment France Europe et le Service d’infrastructure […] L’article A Saint-Maixent-l’Ecole, UNIK : Vincent Lavergne fera-t-il école? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 250 jours

Bouygues Construction renforce ses engagements en faveur de l’inclusion

Le géant du BTP a signé, le 6 octobre, la nouvelle charte de la parentalité en entreprise, placée sous le signe de l’inclusion. L’objectif du texte : encourager les entreprises à créer un environnement de travail pour permettre aux salariés-parents d’accéder à un rythme propice à une meilleure qualité de vie au travail.
Il y a 3 ans et 253 jours

Pouvoir d’achat : Bouygues promet un geste sur les bas salaires dès le mois de décembre

Face à l’envolée des prix de l’énergie et de l’essence, le groupe Bouygues SA (Bouygues Construction, Colas, Bouygues immobilier…) annonce, pour les bas salaires, des revalorisations collectives qui apparaîtront sur la fiche de paie de décembre.
Il y a 3 ans et 256 jours

Fabrice DENIS, Directeur général du pôle « Construire Autrement » chez Bouygues Bâtiment France Europe

Bouygues Bâtiment France Europe a annonce la nomination de Fabrice DENIS au poste de Directeur général du pôle « Construire Autrement ». Cette nomination fait écho à la stratégie carbone…Cet article Fabrice DENIS, Directeur général du pôle « Construire Autrement » chez Bouygues Bâtiment France Europe est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 257 jours

Un nouvel hôpital ultra-modulable

Le nouvel hôpital de Maubeuge va accueillir ses premiers patients prochainement. Attendu depuis plus de dix ans par la communauté hospitalière, le bâtiment est très lumineux, et propose 80% de chambres individuelles. Les façades homogènes aux lignes horizontales alternent un bardage à casquette ondulée doré et un bardage grille percé de 321 menuiseries signées WICONA. Autre particularité, le bâtiment est livré en BIM 7D. Vaste rectangle de béton, le bâtiment possède une vertu, à première vue peu évidente : être ultra-modulable comme l’explique Vasiliki Noula de chez Brunet Saunier Architecture « Le bâtiment s’apparente en quelle que sorte à une gaufre. C’est un monospace rectangulaire compact percé de six patios, ce qui nous permet d’avoir des services en forme de T, les uns à côté des autres. « Ainsi, en cas de besoin, la capacité en lits de chaque service peut augmenter ou diminuer, en prenant sur les services adjacents. » Sa construction a été confiée à Bouygues Bâtiment Nord-Est, mandataire d’un groupement constitué de l’agence d’architecture Brunet Saunier, de l’entreprise Montaron (filiale de Colas Nord-Est), du bureau d’ingénierie WSP, du bureau d’études environnement Etamine et de l’acousticien Sigma.   Photo : Franck Deletand  
Il y a 3 ans et 257 jours

Fabrice Denis, nouveau Dg du pôle “Construire Autrement” de Bouygues Bâtiment

Fabrice Denis vient d’être nommé directeur général du pôle “Construire Autrement”. [©Bouygues Bâtiment] Fabrice Denis vient de prendre la direction générale du pôle “Construire Autrement” de Bouygues Bâtiment France Europe. Cette nomination est en étroite corrélation avec la stratégie bas carbone du groupe de BTP. En effet, Bouygues souhaite accélérer la transformation de ses procédés de construction, afin d’apporter des réponses sur le long terme aux attentes de ses clients. C’est pour cela que le nouveau pôle “Construire Autrement” a été créé. Il a pour mission de réunir et de mobiliser les ressources logistiques et organisationnelles du groupe. Ceci, afin de limiter l’impact environnemental des projets. Et ainsi, de construire plus durable. « Nous devons répondre aux besoins et attentes de nos clients : préserver notre avenir, mais aussi celui de la planète. Bénéficier d’une croissance rentable, mais contributive. En bref, faire plus et mieux avec moins. Cela implique de “Construire Autrement” !, insiste Fabrice Denis.  L’organisation du pôle “Construire Autrement” Ce pôle inédit va voir la mise en place d’une nouvelle organisation basée sur trois piliers. D’abord, les directions ingénierie des différentes unités présentes sur l’ensemble de l’Europe vont permettre un déploiement des solutions innovantes des projets. Ensuite, deuxième pilier : la transformation, qui renforcera l’engagement de Bouygues Bâtiment France Europe sur quatre thématiques différentes et interdépendantes : l’environnement, l’industrialisation et la logistique, la construction bois et enfin, les produits et l’innovation. Dernier pilier : le pôle “Construire Autrement” pourra s’appuyer sur l’expertise de la société Elan. Cette dernière étant spécialisée dans les domaines du carbone, de l’économie circulaire, de la biodiversité, de l’énergie et des certifications. Pourvu de 130 collaborateurs, Elan accompagne promoteurs, maîtres d’ouvrage et investisseurs dans leurs projets. « Grâce à ce pôle, nous allons renforcer et accélérer les efforts engagés ces dernières années. Mais au-delà de l’organisation, nous misons sur notre état d’esprit collectif », continue Fabrice Denis.  Le parcours de Fabrice Denis  Diplômé de l’Ecole spéciale des travaux publics (ESTP) en 1993, le nouveau Dg débute sa carrière en qualité d’ingénieur travaux au sein de Rabot Dutilleul. En 2000, il rejoint le groupe Bouygues au poste de chef de projet. Il dirige ensuite l’activité industrie de sa filiale GFC Construction, à Lyon. En 2010, Fabrice Denis intègre Bouygues Bâtiment International et s’envole vers l’Asie pour devenir directeur général de Byme Hong Kong. Et ce, jusqu’à 2015. Il prend ensuite le poste de directeur général de Dragages Singapour, en charge de l’Asie du Sud-Est. En 2017, il revient en France et devient directeur Europe centrale de la filiale Bouygues Bâtiment France Europe. A partir de septembre 2019, il prend la tête de la direction générale stratégie construction bois, toujours au sein du groupe.  Charline David
Il y a 3 ans et 259 jours

Création du pôle Construire Autrement pour Bouygues Bâtiment France Europe

CARNET-NOMINATION. Bouygues Bâtiment France Europe a nommé Fabrice Denis à la tête du pôle "Construire Autrement".
Il y a 3 ans et 260 jours

Finistère : Système constructif modulaire pour l’armée

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Le “Bagdad” revisite les fondamentaux de l’immobilier tertiaire, pour les adapter aux contraintes de l’armée. [©Bouygues] En juin dernier, Bouygues Bâtiment Grand Ouest a signé un accord- cadre de 4 ans avec l’Etablissement du service d’infrastructure de la Défense de Brest. Ceci, dans le cadre de la loi de programmation militaire 2019-2025. Ce nouveau programme vise à construire plus vite les surfaces nécessaires. Nommé “Bagdad”, le projet revisite les fondamentaux de l’immobilier tertiaire, en les adaptant aux contraintes de l’armée. « Avec ce concept de bureaux agiles et adaptables, l’équipe de concepteurs- réalisateurs propose une démarche souple, permettant de faire évoluer la conception tout au long du développement des projets, explique Philippe Robinaud, président de Bouygues Bâtiment Grand Ouest. Tout en industrialisant la construction des bâtiments pour répondre au plus près des attentes de notre client : le ministère des Armées. » Lire aussi les autres actualités en région “Bagdad” va être testé à Brest dès le début 2022, puis sera dupliqué sur la base de Lorient.  Le projet prend en compte la conception bioclimatique, ainsi qu’une isolation et une étanchéité renforcées. Mais aussi la mise en œuvre de panneaux photovoltaïques en toiture. Puis, la gestion optimale de l’eau grâce à des toitures végétalisées, le traitement de la perméabilité des sols extérieurs, la gestion des eaux pluviales et une réduction des consommations d’eau. De plus, le travail sur l’inertie et la ventilation nocturne pour garantir un confort d’été passif. Et enfin, la lumière naturelle privilégiée pour assurer une vue sur l’extérieur dans chaque local, afin d’offrir un confort optimal.
Il y a 3 ans et 266 jours

Jessica Jung est la nouvelle directrice générale de Rénovation Privée

Portrait de Jessica Jung, la directrice générale de Rénovation Privée. [©Bouygues] Unité opérationnelle de Bouygues Bâtiment Ile-de-France, Rénovation Privée est le spécialiste des projets de rénovation tertiaires et résidentiels privés. L’entité sera désormais dirigée par Jessica Jung. Sa mission principale sera de développer l’entreprise sur le marché de la rénovation, en accord avec les défis climatiques. En effet, Rénovation Privée compte bien proposer des solutions innovantes pour répondre aux exigences environnementales du marché. Jessica Jung devra mettre en place un accompagnement global dans le processus de réalisation des projets immobiliers, qu’ils soient destinés à un usage professionnel ou privé.  « Je suis profondément et personnellement impliquée dans la transformation de nos manières d’agir face à l’urgence climatique, souligne Jessica Jung. La rénovation, plus frugale en matières premières, nous offre un rôle à jouer de premier plan, pour réaliser des bâtiments plus respectueux de la planète et du bien-être des personnes. » De plus, Jessica Jung est fière de représenter les femmes dans le secteur du BTP. Il est important de révéler l’ensemble des talents féminins du secteur et de laisser la place à chacun de s’épanouir. Jessica Jung sera sous la tutelle de Thierry Roulet, directeur général de Bouygues Bâtiments Ile-de-France, et d’Albin Dargery, directeur général en charge du pôle tertiaire privé.  Son parcours Diplômée de l’Ipag Business School en 2000 avec la spécialisation audit et contrôle de gestion, Jessica Jung intègre par la suite Bouygues Construction en tant que contrôleur financier. Elle évoluera au sein du groupe. Tout d’abord, au poste de chef de projet “Sap”1, puis en tant que secrétaire générale. En 2012, elle devient directrice commerciale “ouvrages fonctionnels” Rhône. Et en 2015, directrice de grands projets toujours au sein de Bouygues Bâtiment Sud-Est. Enfin, c’est en 2018 qu’elle rejoint la région Ile-de-France au poste de directrice de production. Jessica Jung a pris ses fonctions de directrice générale au sein de Rénovation Privée, le 1erjuillet 2021.  Charline David 1Progiciel d’applications de systèmes et produits de traitement des données.
Il y a 3 ans et 271 jours

Linkcity a livré la tour Sigma, à Dijon, après une rénovation radicale

RÉHABILITATION. A Dijon, la tour de bureaux Mercure a définitivement laissé place à la tour Sigma. Mi-juin, les équipes de Bouygues Bâtiment Nord-Est et Linkcity Nord-Est ont remis les clés d'un bâtiment intégralement métamorphosé, après plus de deux ans de travaux.
Il y a 3 ans et 272 jours

A Genève, un nouveau quartier pour "désenclaver" une maison de retraite bâti par Bouygues

CONTRAT. Le groupe Bouygues Construction, via sa filiale suisse, a été désigné pour réaliser un programme immobilier à Genève, autour d'une maison de retraite, pour la pérenniser et mieux l'intégrer à la vie du quartier.
Il y a 3 ans et 278 jours

Une nouvelle directrice générale pour Rénovation Privée (Bouygues Bâtiment IDF)

CARNET-NOMINATION. Jessica Jung prend les rênes de Rénovation Privée, unité opérationnelle de Bouygues Bâtiment Ile-de-France, spécialiste des projets de rénovation tertiaires et résidentiels privés.