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Il y a 2 ans et 284 jours

Le CIE veut sensibiliser les particuliers à une consommation de l'eau plus raisonnable durant l'été

Les particuliers, eux aussi sont impactés par des interdictions d’arrosage de jardins d’agrément, de potagers, de lavage de véhicules, remplissage des piscines etc...Il existe des gestes simples pour ne pas gaspiller l'eau, sans forcément perdre en confort.Bien sûr, ne pas laisser couler l'eau, limiter l'arrosage, mieux s'équiper, mieux consommer... Mais pourquoi, et surtout quel intérêt exactement ?Sensibiliser l'opinion fait partie de l'ADN du Centre d'Information sur l'Eau. Pour arriver ensemble à se mobiliser, les équipes du CIE sont convaincues qu'il est indispensable de bien expliquer les tenants et les aboutissants des enjeux auxquels nous faisons face.Des injonctions sans une bonne compréhension sont vaines.Restrictions d'eau, pourquoi ? La France a soif : il n'y a pas eu assez de pluie, les nappes phréatiques ne sont pas rechargées et les épisodes de canicule aggravent la situation. L'augmentation des températures a accentué l'évaporation des sols qui se sont asséchés. Seuls 5 départements échappent désormais à des restrictions d'eau imposées pour faire face à l'insuffisance des ressources.Restrictions d'eau, c'est quoi ? Ces mesures exceptionnelles de limitation et parfois même de suspension concernent tous les usages de l'eau. Les particuliers sont appelés, au même titre que les agriculteurs, les industriels, ou encore les activités commerciales et artisanales limiter leurs usages de l'eau.Etablies par arrêté préfectoral, ces mesures de restriction d'usage de l'eau prévoient l'interdiction d'arrosage aux heures les plus chaudes (généralement de 8h à 20h) et une réduction de consommation, notamment pour les agriculteurs et les industriels. Les espaces publics sont également concernés (interdiction d'arrosage de jardins, fermeture des fontaines...).
Il y a 2 ans et 291 jours

Nouvelle boulonneuse sans fil EINHELL IMPAXXO 18/400 indispensable aux travaux de bricolage et de mécanique

EINHELL, spécialiste de l’outillage électroportatif destiné aux travaux de bricolage et de jardinage, développe sa nouvelle gamme Professional à destination des bricoleurs aguerris et des professionnels avec sa boulonneuse sans fil IMPAXXO 18/400. Compacte, puissante et robuste, la nouvelle machine est dotée d’un moteur brushless et d’une force de serrage de 400 Nm. Proposée avec un […]
Il y a 2 ans et 291 jours

Le Château Louis XIV, somptueuse propriété de MBS, conçue par un cousin de Khashoggi

Louveciennes, ville cossue des Yvelines située à quelques encablures de Versailles et à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Paris, est connue pour son aqueduc, qui servait sous Louis XIV à acheminer l'eau de la Seine vers les jardins du Château de Versailles.Cette proximité avec le palais du Roi Soleil a inspiré le promoteur Cogemad, fondé et dirigé par l'homme d'affaires né au Liban, Emad Khashoggi. Emad Khashoggi est un cousin du journaliste saoudien de Jamal Khashoggi, critique du pouvoir saoudien, sauvagement assassiné en 2018 dans les locaux du consulat saoudien à Istanbul. Un crime dans lequel le renseignement américain a vu la responsabilité de Mohammed ben Salmane, ce qui a valu à MBS d'être ostracisé par les pays occidentaux.Le président américain Joe Biden lui a rendu visite le 15 juillet et MBS doit dîner jeudi soir avec Emmanuel Macron à l'Elysée, malgré la vive colère des défenseurs des droits de l'Homme qui jugent cette visite hautement inappropriée.En construisant le Château Louis XIV à Louveciennes, Emad Khashoggi a voulu rendre "hommage à l'architecture du XVIIe siècle", en faisant de son œuvre la "vitrine internationale de la splendeur du savoir-faire français", selon le site de Cogemad.Autour de ce luxueux palais de 7.000 mètres carrés, sorte de "petit" Château de Versailles, s'étendent 23 hectares de jardins à la française, conçus "en accord avec les théories d'André Le Nôtre concernant le Château de Versailles"."On y trouve des parterres de fleurs et des haies de buis brodées, des jeux de perspective, des ifs topiaires taillés en petites pyramides, un labyrinthe d'arbres, une petite ferme avec des chèvres, et des écuries", liste le site de Cogemad.Une centaine d'ouvriers ont travaillé sur cette demeure, construite entre 2008 et 2011."C'est du sur-mesure à 100%. On vend le projet de A à Z clé en main, mobilier compris", expliquait Emad Khashoggi dans la presse à l'époque.En 2015, le flamboyant édifice a été cédé à MBS pour 275 millions d'euros, devenant la propriété la plus chère du monde.Aux moulures, dorures et sculptures d'antan, elle allie fontaines connectées, salle de cinéma privée, aquarium géant..., offrant "les fastes de Versailles sous la révolution high tech".Le château comporte également plusieurs piscines et une cave à vin.
Il y a 2 ans et 294 jours

A deux ans des JO-2024, les Jeux ne font pas que des heureux

Quels profils ?Les opposants aux JO sont avant tout implantés en région parisienne, dans les territoires qui accueilleront la compétition mondiale. Au premier rang figure la Seine-Saint-Denis, qui reçoit la majorité des investissements publics pour ériger des réalisations pérennes.Saint-Ouen, Saint-Denis, La Courneuve, Dugny, Aubervilliers... Autant de villes qui vont bénéficier des projets olympiques, reconvertis ensuite en logements ou équipements publics.En face, la mobilisation est hétéroclite: aux riverains directement concernés par ces aménagements se mêlent des associations de défense de l'environnement et des oppositions politiques locales, majoritairement ancrées à gauche.Certaines de ces organisations sont déjà implantées et actives sur différentes sujets locaux, à l'image du Mouvement national de lutte pour l'environnement 93 et Nord Est parisien. Les autres sont plus récentes et diffuses, créées dans la perspective des Jeux, comme le "Comité citoyen de vigilance des JO 2024" ou le collectif "Saccage 2024".En mai dernier, Saccage 2024 a organisé des "Rencontres internationales anti-olympiques" à Saint-Denis et La Courneuve. Parmi ses invités figuraient des activistes mobilisés contre les JO passés (Londres, Tokyo) ou qui militent contre ceux à venir (Los Angeles)."Nous ne sommes pas les seuls à lutter contre cette mégamachine olympique qui ravage les terres que nous cultivons et les quartiers où nous vivons", affirme le collectif.Son discours altermondialiste rejette jusqu'à la compétition elle-même, "un sport compétitif, nationaliste et obsédé par le profit".Le nombre d'opposants à Paris-2024 est difficilement calculable et fluctue. A ce stade, les mobilisations ont rassemblé au maximum jusqu'à quelques centaines de personnes, dont des familles, et se déroulent sans débordement.Ces manifestants revendiquent une action non-violente.Quels combats ?Outre des défilés classiques, les opposants tentent d'innover à travers d'autres formats.A Saint-Denis en mai 2021, une poignée d'entre eux a coupé la circulation en installant de faux arbres en carton, des barrières de jardin et des tables pour transformer une route en "square éphémère".Ils dénonçaient les risques sur la santé de 700 élèves d'une école qui jouxte un échangeur autoroutier en construction pour les besoins des Jeux.A Aubervilliers, des militants ont occupé pendant quelques mois, jusqu'à leur évacuation par les forces de l'ordre en septembre 2021, une partie des jardins ouvriers promis à la destruction en vue de la construction d'une piscine d'entraînement pour les athlètes.Ces "JAD" ("Jardins à défendre") éphémères, version miniature de la ZAD ("Zone à défendre") de Notre-Dames-des-Landes, ont accueilli des habitants et des activistes plus chevronnés, le temps de débats entre les potagers.Les projets liés aux Jeux impliquent une artificialisation des sols à l'encontre de l'urgence climatique, estiment leurs détracteurs.Peu nombreux sur le terrain, ils amplifient la visibilité de leurs actions via les réseaux sociaux, qui font caisse de résonance avec d'autres luttes écologiques dans le pays.L'autre arme des opposants est judiciaire, via de nombreux recours devant le tribunal administratif ou directement devant la cour administrative d'appel de Paris, instance judiciaire désignée pour régler les contentieux liées aux Jeux.Quels résultats ?Un échangeur autoroutier, le futur village des médias et la piscine d'Aubervilliers ont été visés par des procédures judiciaires. Les requérants ont obtenu des délais dans le démarrage des travaux, mais aucun projet n'a été abandonné.Seule victoire notable à Aubervilliers, où la pugnacité des opposants a forcé la ville à réviser le projet d'origine. Sommée par le juge, la ville a corrigé son permis de construire en supprimant les constructions annexes de la piscine, prévues sur le périmètre des jardins.Aux yeux de nombreux opposants, les JO agissent toutefois comme "un rouleau compresseur" auquel il est ardu de résister.En réponse, les autorités rappellent l'opportunité qu'offrent les projets olympiques pour le développement de la Seine-Saint-Denis, soulignant que les contestations sont inhérentes à ces grands projets urbains, désormais tous sur les rails.
Il y a 2 ans et 300 jours

Les maisons saoudiennes se mettent aux tendances architecturales

Mais en 2020, en plein confinement, ce Saoudien de 52 ans a décidé de donner un coup de jeune à sa demeure : un patio donnant sur la rue, des murs en travertin gris et des fleurs dans le jardin."Nous avions deux choix : construire une nouvelle maison ou rénover l'ancienne", confie ce responsable des ressources humaines, en faisant visiter sa maison."Nous avons fait un pas vers l'amélioration de notre mode de vie", se réjouit-il.Ce père de famille a également égayé son jardin avec une piscine, un hamac et des amandiers importés de Thaïlande : un nouveau lieu de détente pour sa femme et ses sept enfants."Maintenant, il y a une utilisation optimale de l'espace", se félicite M. Madini.Selon des architectes et ingénieurs locaux, ces nouvelles tendances sont devenues l'archétype des projets de rénovation et de construction en cours à Ryad, avec des Saoudiens en quête de maisons chaleureuses plutôt qu'imposantes."Grand impact social"Dans un contexte de réformes sociales ces dernières années, l'Arabie saoudite a ainsi connu une "ouverture architecturale", constate Abdallah al-Jasser, propriétaire de l'agence de design qui s'est occupée de la maison de M. Madini."Les gens sont plus ouverts au changement et aux tendances", observe M. Jasser, ajoutant qu'ils y sont d'autant plus incités que l'achat de terres pour construire de nouvelles maisons est devenu très coûteux à Ryad.A l'image du pays, l'architecture de la capitale reste très austère avec pour seule fantaisie de minuscules fenêtres triangulaires typiques du Najd, la région centrale du royaume.La petite taille de ces fenêtres s'explique par le besoin de s'isoler du soleil, dans un pays où les températures tournent autour des 40 degrés Celsius une grande partie de l'année.Ces petites fenêtres offrent également "une plus grande intimité aux familles", ajoute Ali al-Luhidan, un architecte saoudien.Mais selon lui, et d'autres défenseurs d'une architecture plus moderne, ces espaces de vie mal éclairés et mal ventilés ont eu "un grand impact social" en contribuant à "une culture de fermeture sur soi".En 2018, les autorités ont rendu obligatoire, pour les nouveaux bâtiments, la présence de fenêtres plus grandes, en partie au nom de la santé publique, le soleil étant jugé essentiel au bon fonctionnement de l'organisme.De plus en plus de salons disposent ainsi de "baies vitrées donnant sur l'extérieur", se réjouit M. Luhidan : "tout est ouvert et c'est une nouvelle culture en Arabie saoudite"."Sans restriction"D'autres évolutions viennent aussi avec l'assouplissement des normes sociales promu par le jeune prince héritier Mohammed ben Salmane, dirigeant de facto qui, depuis cinq ans, tient son royaume d'une main de fer.Auparavant, la plupart des maisons comportaient des entrées et salons séparés pour les hommes et les femmes. Alors que la mixité se banalise dans les lieux publics, les villas n'abritent qu'une seule salle de réception pour optimiser l'espace, observe l'architecte M. Luhaidan.Et les nouvelles tendances ne se limitent pas qu'aux quartiers résidentiels, les grands centres commerciaux et d'autres espaces publics s'y mettent aussi.L'une des principales causes du changement : la fin, depuis 2019, de l'obligation de la ségrégation sexuelle, qui imposait aux restaurants d'avoir des entrées et espaces strictement séparés entre les familles et les hommes seuls."Les anciens designs répondaient à une culture de la séparation et de la ségrégation", explique Mohammed Abdelmoneim, chargé du design professionnel au sein d'une société de développement immobilier. Pour lui, la réforme a provoqué un "changement radical".Le Riyadh Front, un complexe commercial et gastronomique haut de gamme doté de fontaines et d'une promenade bordée d'arbres, rassemble ainsi des clients de tous âges, hommes et femmes, surtout après le coucher du soleil."Ces espaces ouverts connaissent un grand succès", assure M. Abdelmoneim, car "les gens y communiquent tous entre eux sans aucune restriction".
Il y a 2 ans et 305 jours

Le leitmotiv TECHNAL, des signes toujours plus épurées: carnet d’inspiration pour projet neuf ou de rénovation

Qui n’a jamais rêvé d’une vue panoramique pour profiter d’un coucher de soleil depuis son canapé ? Envie de ne faire qu’un entre la maison et le jardin ou la piscine grâce à des menuiseries de grandes dimensions. Installer des baies coulissantes, fenêtres ou portes au look 100 % épuré dont même les quincailleries sont […]
Il y a 2 ans et 305 jours

Feu vert de la justice pour la piscine d'entraînement d'Aubervilliers pour les JO2024

La cour administrative d'appel de Paris a donné son feu vert au projet de piscine d'entraînement d'Aubervilliers (93) en vue des JO de Paris 2024, dont la nouvelle mouture préserve les jardins ouvriers attenants.
Il y a 2 ans et 307 jours

Quel type de chaine de tronçonneuse choisir ?

La capacité d’une tronçonneuse peut dépendre de la chaine dont elle dispose. Vous devez alors vérifier cet élément avant de chercher l’appareil dont vous avez besoin. Notez que différents types de chaines peuvent être proposés sur le marché. Il faut alors prendre le temps de bien choisir l’option qui vous convient le mieux. La chaine chisel Le choix de ce type de chaine permet en principe de découper rapidement les branches dures. Cela est généralement dû au profil carré de cet élément au niveau des bords. Vous obtiendrez une surface rugueuse sur chaque zone que vous couperez avec votre tronçonneuse. Il vous est toutefois conseillé de solliciter un élagueur professionnel qui maitrise bien l’usage de ce type de produit. Il faut noter qu’il peut s’émousser rapidement si vous négligez son entretien. Il est plus judicieux de vous en servir pour réaliser des travaux de bûcheronnage. La chaine profil bas Facile à utiliser, une tronçonneuse avec « une chaine profil bas » nécessite un entretien régulier. Cela est aussi valable pour l’affutage que vous ne devriez en aucun cas négliger. Notez que ce type d’élément est conçu pour les petits appareils. Il est aussi prévu pour les usages professionnels. Il vous est de ce fait recommandé de faire appel à un professionnel comme cet élagueur dans le Drome sur ce site : https://www.elagueur-drome.fr/  pour utiliser ce produit. Vous éviterez ainsi de faire n’importe quoi tout au long de l’intervention. La chaine semi-chisel Ce type de chaine se présente avec des bords arrondis. Vous pouvez vous en servir pour couper efficacement de branches tendres. Il peut par exemple s’avérer utile si vous avez un sapin ou un bouleau dans le jardin. Notez que l’accessoire tourne plus lentement que les autres types. Vous avez aussi la possibilité de vous en servir pour travailler sur des surfaces sales et sèches. Ce qui fait que cet élément peut s’adapter à différentes catégories d’arbres. La chaine semi-skip Il faut savoir que le choix d’une chaine semi-skip ne permet pas de réaliser de coupes rapides. Vous pouvez en outre miser sur la précision que le produit peut vous offrir. Notez que ce type d’élément est plus apprécié par les professionnels en élagage d’arbres. Il permet d’obtenir une zone parfaitement lisse après chaque intervention. La chaine skip Le skip est un type de chaine très recherché sur le marché. Cela est particulièrement dû au fait que le produit garantit des surfaces parfaitement lisses après chaque intervention. Vous pouvez parfaitement miser sur cet élément si vous avez un grand guide-chaine. Ce dernier peut parfaitement dépasser les 32 pouces. Le fait qu’il fonctionne plus lentement vous garantira certainement plus de précision et un meilleur résultat pour chaque intervention. La chaine standard Enfin, vous pouvez toujours choisir une chaine standard si c’est ce qui vous convient le mieux. Vous obtiendrez de ce fait un guide de 24 pouces au maximum. Vous pouvez profiter pleinement de la rapidité de coupe du produit sans négliger la qualité du résultat. Cela est certainement dû au nombre de dents que possède l’accessoire. Il faut toutefois faire attention au fait que vous allez laisser des surfaces rugueuses si vous ne maitrisez pas vraiment l’appareil.
Il y a 2 ans et 309 jours

De plus en plus de franciliens choisissent de faire construire dans des départements limitrophes

En 2021, ce sont plus de 9 400 ménages franciliens qui ont demandé une autorisation de construire une maison neuve, soit une hausse de +34% par rapport à l’année précédente.Le Baromètre Domexpo souligne également une augmentation du nombre de franciliens choisissant de faire construire en dehors de leur région d’origine, notamment dans des départements limitrophes (passant de 23% en 2020 à 31% en 2021).Focus sur les résultats avec Domexpo...Projet de vie envisagé de longue date ou conséquences directes de la Covid-19 : en 2021, 9.409 ménages franciliens ont choisi de faire construire une maison individuelle et ont demandé une autorisation de construction, soit +34% par rapport à 2020 (et de +10% par rapport à 2019).Le dernier Baromètre Domexpo s’intéresse à la région choisie par ces particuliers, parmi lesquels :6.057 sont restés fidèles à l’Île-de-France, soit 64% (v/s 69% en 2020). Comme l’année dernière, les départements de prédilection sont la Seine-et-Marne (77) pour 34% d’entre eux, les Yvelines (78) pour 21% et l’Essonne (91) pour 19%.3.352 ont choisi de faire construire dans une autre région de France, soit 36% (v/s 31% en 2020).Focus sur les ménages qui font construire en dehors de l’Île-de-France...Parmi les 3 352 ménages franciliens qui ont souhaité faire construire une maison neuve en 2021 en dehors de l’Ile-de-France :35% ont choisi un département de la bordure Atlantique (v/s 33% en 2020), principalement en Vendée (85), dans le Morbihan (56) et en Gironde (33) ;31% l’ont fait sur un département limitrophe à la région francilienne (v/s 23% en 2020). Le trio de tête est composé de l’Oise (60), de l’Eure-et-Loir (28) et de l’Eure (27). Cette augmentation s’explique principalement par les envies / besoins des franciliens de s’éloigner des centres urbains, tout en conservant une activité professionnelle en région parisienne. Cette tendance a notamment été favorisée par la généralisation du télétravail ;7% ont opté pour la bordure Méditerranéenne (v/s 12% en 2020), essentiellement sur les départements du Var (83) et de l’Hérault (34).Pour Daniel Lair-Lachapelle, Président de Domexpo : « L’achat de maisons individuelles neuves a commencé à augmenter dès l’automne 2020 et s’est intensifié en 2021, notamment en Île-de-France, avec une hausse de 34% des demandes d’autorisations de construire. Les semaines de confinement liées à la Covid-19 ont en effet renforcé la volonté des Français de vivre dans une maison avec un jardin, et parfois celle de s’éloigner des centres urbains... Pour cela, en raison notamment de la tension sur les prix des terrains en Île-de-France mais aussi de la raréfaction de ceux-ci, les franciliens choisissent, de plus en plus souvent, de faire construire en dehors de l’Île-de-France, tout y en restant à proximité. Ils n’ont aujourd’hui plus peur de s’éloigner de cette région et de passer plus de temps dans les transports pour se rendre sur leur lieu de travail. L’Oise (60), l’Eure-et-Loir (28) ou l’Eure (27) figurent ainsi parmi les départements de prédilection. Rappelons aussi que la généralisation du télétravail a aussi permis d’amplifier cette tendance. »
Il y a 2 ans et 309 jours

La Clôture Française réinvente la personnalisation des clôtures avec Virtuose

Pour offrir enfin plus de possibilités aux particuliers, La Clôture Française, fabricant de clôtures et portails en PVC, bouscule le marché avec le lancement de « Virtuose » de la gamme Signature : un modèle 100 % personnalisable qui permet à chacun de créer la clôture de ses rêves en choisissant et mixant les impressions dont il a envie : effet bois, bambou, corde, haie, cuir, ou toute autre impression… les possibilités sont multiples et sans fin pour personnaliser la face intérieure de sa clôture, tout en respectant les normes imposées éventuellement par votre commune pour l’extérieur. Ultra-résistante au soleil et au vent, Virtuose est la touche déco finale qui sublimera votre extérieur.La Clôture Française, un virtuose des brise-vues !La clôture d’un jardin permet non seulement de délimiter un territoire, mais également de se protéger des regards indiscrets. Une clôture bien entretenue et embellie selon nos goûts peut alors faire la différence et refléter notre personnalité.La Clôture Française s’intéresse à cette partie du jardin souvent délaissée, en créant un univers de couleurs et de textures où seule l’imagination peut imposer des limites.Parmi les impressions proposées on pourra opter au choix entre : textures du bois, aspect de la pierre, nuances de la rouille, relief d'une haie végétale… le client peut même imprimer ses propres photos ou un dessin de son choix. Avec une finition parfaitement réaliste et une texture aussi vraie que naturelle, les visuels s’adaptent à toute dimension choisie.Qu’en est-il avec les règles d’urbanisme ? Selon la commune, il y a parfois certains paramètres à respecter au niveau des couleurs ou matériaux utilisés pour la façade extérieure. Pas de panique ! La solution de La Clôture Française est très flexible. Il est possible de personnaliser uniquement la partie intérieure de la clôture, laissant la façade extérieure neutre, en respectant l’architecture imposée.Une installation simple et robusteLe choix du client ne se limite pas seulement aux impressions. Les poteaux de La Clôture Française supportant les panneaux sont proposés en PVC ou en aluminium. Quant aux chapeaux en aluminium qui couvrent les poteaux, ils sont disponibles en 5 coloris (blanc, gris souris, gris anthracite, noir, bleu). Le projet est entièrement personnalisé pour vivre une expérience unique de A à Z !Côté installation : Virtuose s'installe sur un muret ou sur des plots béton en pleine terre. Les panneaux imprimés s'emboîtent très facilement dans des poteaux en aluminium gris anthracite ou en PVC blanc, eux-mêmes fixés à l'aide de platine à boulonner ou de tubes à sceller en acier galvanisés. L'installation est simple et rapide. Tous les panneaux sont découpés sur-mesure et sont à agencer selon les envies du propriétaire.En respectant les règles fournies par la marque et en suivant les 6 pas indiqués sur la notice de montage, la clôture est posée en une matinée ! En utilisant les meilleurs matériaux et en réunissant les technologies les plus modernes d'impression numérique haute définition, chaque clôture est une œuvre d’art unique qui représente parfaitement le goût et style de son propriétaire.Les prix sont proposés sous devis, à partir de 123,44 € TTC le mètre.Plus d’informations sur le site : ICI
Il y a 2 ans et 311 jours

Materrup et Duhalde BTP s’associent pour l’utilisation de ciment bas carbone

Jean Duhalde, président de Duhalde BTP et Mathieu Neuville, président de Materrup signent le partenariat pour l’utilisation de ciment bas carbone. [©Materrup] Materrup a mis au point le ciment local Materrup Clay Cement (MCC1) bas carbone à base d’argile crue. Ce matériau réduit de moitié les émissions de CO2 (350 kgeqCO2/t). Sans compromettre la performance ou la qualité du béton. Il constitue une réponse aux enjeux de la filière en quête de matériaux moins énergivores et moins nocifs au niveau mondial. Quant à Duhalde BTP, il est spécialisé dans des solutions optimisées pour des projets de construction. L’entreprise souhaite s’inscrire dans une dynamique visant à réduire son impact carbone. Et à faire évoluer le secteur vers des modes constructifs plus respectueux de l’environnement. L’argile comme atout pour le ciment « L’expertise du béton et de la construction de Duhalde BTP, associée à notre technologie MCC1, permet ainsi de décarboner dès aujourd’hui l’industrie de la construction, en s’appuyant sur un matériau local et abondant, à savoir l’argile », déclare Mathieu Neuville, président de Materrup. En effet, cette matière première est l’atout du ciment. Elle est facilement disponible et accessible sur l’ensemble de la planète. Ainsi, le MCC1 est déployé dans la première cimenterie de Materrup, située dans le Sud des Landes. Lire aussi : Les bétons se mettent au vert Et sera aussi utilisé dans les unités de production de béton Duhalde BTP pour proposer une gamme de produits locaux et vertueux. Au niveau de la mise en œuvre, le MCC1 requiert les mêmes conditions que le ciment traditionnel. Inutile de changer d’outils ou de matériels. Dès septembre 2022, de nombreux éléments préfabriqués pour des projets d’aménagement extérieurs seront disponibles (bancs, dalles gazon, jardinières…). D’autres applications de BPE seront aussi proposées comme des bétons pour pistes cyclables ou des bétons décoratifs.
Il y a 2 ans et 311 jours

Suspension d'un projet immobilier contesté dans un ancien couvent parisien

Petit coin de campagne dans une impasse proche du parc de Montsouris (XIVe, sud), le couvent des soeurs franciscaines, avec sa chapelle et son large jardin boisé, devait être partiellement rasé pour faire place à un projet de 135 logements porté par le groupe Action Logement, premier bailleur social de France.Mais le premier adjoint Emmanuel Grégoire, bras droit de la maire PS Anne Hidalgo, a annoncé jeudi en Conseil de Paris un sursis à statuer sur l'examen du permis de construire pour "que ce projet réponde à notre objectif de produire du logement à Paris" tout en assurant "la protection des espaces verts protégés" et en évitant "les densifications en coeur d'îlot".La maire (Générations) du XIVe arrondissement Carine Petit, membre de la majorité de gauche, a rappelé son opposition aux différentes moutures du projet et salué une décision "très importante par rapport au changement climatique". "Il n'est plus possible de faire la ville comme on la faisait il y a dix ans ou encore cinq ans", a-t-elle estimé.Une première demande de permis de construire, établie en 2019, avait été retoquée, et c'est l'instruction de la deuxième version qui fait l'objet d'un sursis à statuer, rendu possible par l'actuelle révision du PLU "bioclimatique" qui doit être adopté début 2023.Ce sursis à statuer est donc à la fois une mise en "attente" et une "invitation à poursuivre le dialogue", a estimé Emmanuel Grégoire, adjoint à l'urbanisme.Cette suspension lui était réclamée par l'élu écologiste Emile Meunier, pour qui le projet "détruit une partie de l'espace vert protégé", comporte "une part de logements privés trop importante et pas assez de logements sociaux", et reste de surcroît "beaucoup trop dense".En janvier, l'association France Nature Environnement (FNE) Paris, qui dénonce régulièrement les projets urbains de la mairie, avait réclamé un sursis à statuer et la "sanctuarisation du site" pour mettre un terme au projet.Une partie des riverains se sont aussi mobilisés contre ce projet immobilier.
Il y a 2 ans et 312 jours

Portalp invite les prescripteurs à découvrir Bloomframe® sur le salon Architect@Work Paris

Rendez-vous incontournable des architectes, architectes d’intérieur et autres prescripteurs (maîtres d’ouvrage, urbanistes et économistes), ARCHITECT@WORK est l’occasion pour les industriels de présenter leur innovation dans un écrin d’exposition. Ainsi, Portalp, fabricant français de portes automatiques, dévoilera Bloomframe®, ouverture de façade interactive et automatisée née du partenariat avec l’architecte néerlandais Hofman-Dujardin. Du 22 au 23 septembre 2022, l’équipe de prescription de Portalp sera heureuse d’accueillir les visiteurs à Paris sur son stand n°87 afin de leur expliquer tous les avantages de cette nouvelle solution architecturale conçue par Hofman- Dujardin et fabriquée et installée par Portalp dès l’automne 2022. http://www.portalp.com
Il y a 2 ans et 313 jours

JO-2024 : touchée mais pas coulée, la piscine d'entraînement d'Aubervilliers validée par la justice

"Le projet sur lequel la Cour s'est prononcée avait très nettement évolué par rapport au projet initial", a estimé la cour administrative d'appel de Paris dans un communiqué."Deux permis modificatifs sont intervenus, qui ont profondément modifié le projet d'origine en supprimant d'abord le restaurant initialement prévu, puis les équipements qui devaient empiéter sur le périmètre des jardins ouvriers", a-t-elle justifié.Pour obtenir ce feu vert, la ville d'Aubervilliers, sommée de revoir sa copie, a présenté au juge une nouvelle version du projet, délesté de certains équipements annexes.Elle a pour cela exclu l'objet central des crispations: la construction d'un "solarium", sorte de terrasse minérale grignotant 4.000 m2 de parcelles vivrières sur les 2,5 hectares (25.000 m2) des Jardins des Vertus.Les opposants voyaient dans cet équipement un symbole de la "bétonisation" qui asphyxie davantage les villes, à rebours selon eux de l'urgence écologique.Les travaux auraient causé "des conséquences difficilement réversibles" dans ce "noyau primaire de biodiversité", avait estimé le juge des référés en mars, sommant la ville d'arrêter cette partie du chantier.Les jardins concernés avaient déjà été détruits par les tractopelles."Le projet a été abandonné. Le solarium ne se fera pas", a affirmé jeudi la Ville d'Aubervilliers à l'AFP.Des engins de chantiers sont toujours présents sur site, a constaté l'AFP."Conformément à la décision du juge, il y a eu une remise en état pour éviter l'effondrement" du secteur, impliquant le comblement de fontis, des effondrements du sol en surface, a expliqué la Ville.Il reviendra à Grand Paris Aménagement, propriétaire du lieu, de décider de l'utilisation de ce terrain, accolé à d'autres parcelles de verdure demeurées intactes, a-t-elle ajouté."Cette décision est une victoire car elle prend acte du fait que les jardins sont sanctuarisés, le permis ne touche plus à ces espaces verts", a réagi auprès de l'AFP Ziad Maalouf, un des jardiniers à l'origine des recours, aux côtés de deux associations de défense de l'environnement."J'appelle Grand Paris Aménagement à pendre acte de cette décision et à reconstituer ces jardins détruits", a-t-il ajouté.Calendrier serréAprès deux interruptions par la justice, le chantier va donc pouvoir reprendre sur la partie autorisée."Deux grues se sont installées courant juin pour préparer la reprise des travaux", a d'ailleurs dévoilé la Ville. Le terrassement est "en cours d'achèvement" et le gros-oeuvre doit démarrer "d'ici fin juillet".La livraison de l'équipement est prévue en "avril 2024", juste à temps pour les Jeux (26 juillet-11 août).La tenue du calendrier est d'autant plus cruciale que le comité d'organisation de Paris-2024, sollicité à maintes reprises sur ce projet, a indiqué qu'il trouverait un autre site pour l'entraînement des nageurs si la piscine d'Aubervilliers ne voyait pas le jour dans les temps.Aubervilliers, qui rêve d'un bassin olympique depuis longtemps, bénéficie d'une enveloppe de 10 millions d'euros de la Solideo, la société chargée des ouvrages olympiques.Soit environ un tiers du budget total de la piscine, réévalué à 32 millions d'euros, la nouvelle version sans solarium faisant baisser la facture d'un million d'euros, a indiqué la Ville.A deux ans des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, la Seine-Saint-Denis tente d'engranger le maximum d'infrastructures pérennes qu'elle veut constituer en "héritage".La carte des sites a encore bougé fin juin, puisque les épreuves de tir quittent le département, qui accueillera en échange les phases de qualifications du tournoi de boxe.
Il y a 2 ans et 313 jours

Un bien-être thermique à construire - Livre

Évoquant des procédés aussi divers que le feu de cheminée, le sauna, les thermes romains, les jardins islamiques ou les bains japonais, l'autrice Lisa Heschong explore notre relation sensible et culturelle à toute une gamme d’atmosphères. Et elle appelle à se saisir […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 314 jours

Le shopping du mobilier urbain

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Bancs, jardinières, tables de pique-nique ou de ping-pong, cendriers ou encore poubelles et monuments… Le mobilier urbain habille les espaces publics. Les acteurs dans le domaine sont nombreux et chacun a sa “patte”. Béton[s] le magazine vous propose une petite sélection d’objets préfabriqués. Ici, le béton montre bien tous ses talents d’adaptation, que ce soit dans la forme, les teintes et l’usage… Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons Même s’ils ont été conçus, il y a déjà quelques années, les bancs lumineux fabriqués par l’Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons restent toujours de belles réalisations. En effet, 22 éléments de ce type ont été fabriqués pour l’Esplanade des Particules, chantier d’aménagement des extérieurs du Cern, en Suisse. Ils ont nécessité 600 l de Bfup SmartUP de Vicat, 1 000 fibres optiques installées à l’intérieur et 3 générateurs Led, d’une puissance totale de 10 500 lumens. Ces bancs de 6 m de long sont assemblés en trois parties et disposent de pieds réglables. Pour rappel, l’Atelier Mérillon – La Manufacture des Bétons est spécialisé dans la préfabrication en Bfup. [©Atelier Mérillon] Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? var gform;gform||(document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",function(){gform.scriptsLoaded=!0}),window.addEventListener("DOMContentLoaded",function(){gform.domLoaded=!0}),gform={domLoaded:!1,scriptsLoaded:!1,initializeOnLoaded:function(o){gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?o():!gform.domLoaded&&gform.scriptsLoaded?window.addEventListener("DOMContentLoaded",o):document.addEventListener("gform_main_scripts_loaded",o)},hooks:{action:{},filter:{}},addAction:function(o,n,r,t){gform.addHook("action",o,n,r,t)},addFilter:function(o,n,r,t){gform.addHook("filter",o,n,r,t)},doAction:function(o){gform.doHook("action",o,arguments)},applyFilters:function(o){return gform.doHook("filter",o,arguments)},removeAction:function(o,n){gform.removeHook("action",o,n)},removeFilter:function(o,n,r){gform.removeHook("filter",o,n,r)},addHook:function(o,n,r,t,i){null==gform.hooks[o][n]&&(gform.hooks[o][n]=[]);var e=gform.hooks[o][n];null==i&&(i=n+"_"+e.length),gform.hooks[o][n].push({tag:i,callable:r,priority:t=null==t?10:t})},doHook:function(n,o,r){var t;if(r=Array.prototype.slice.call(r,1),null!=gform.hooks[n][o]&&((o=gform.hooks[n][o]).sort(function(o,n){return o.priority-n.priority}),o.forEach(function(o){"function"!=typeof(t=o.callable)&&(t=window[t]),"action"==n?t.apply(null,r):r[0]=t.apply(null,r)})),"filter"==n)return r[0]},removeHook:function(o,n,t,i){var r;null!=gform.hooks[o][n]&&(r=(r=gform.hooks[o][n]).filter(function(o,n,r){return!!(null!=i&&i!=o.tag||null!=t&&t!=o.priority)}),gform.hooks[o][n]=r)}}); M.MmeNom** Prénom** Société Particulier Nom société* Secteur** Fonction** Adresse email** Adresse* Code postal* Ville* Pays* Code promo Je m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Il y a 2 ans et 315 jours

Alkern : Coquillages et pavés

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Alkern propose des pavés drainants en coquilles Saint-Jacques, issus d’un projet développé et breveté par l’Esitc de Caen. [©Alkern] A l’horizon 2024, Alkern s’est fixé comme objectif de développer des solutions plus responsables pour l’environnement. En prévoyant des investissements nécessaires. Mais l’industriel dispose déjà dans ses gammes des produits préfabriqués au service de la ville durable. Si l’activité du groupe se tourne majoritairement vers le bâtiment (50 % de l’activité), l’aménagement extérieur occupe tout de même 25 % de son chiffre d’affaires (les 25 % qui restent concernent les travaux publics). « Avec nos 55 usines réparties en France, dont deux en Belgique, nous sommes au plus proche des chantiers, explique Mathilde Bru, cheffe de produit aménagement extérieur et mobiliers urbains d’Alkern. Les solutions d’aménagement voyagent très peu, environ 80 km, le but étant de produire en local. Nous avons d’ailleurs des catalogues régionaux. Ils ont un tronc commun et des spécificités de coloris ou de formes en fonction du territoire. » Bordures, murets de séparation, dalles classiques ou à engazonner, jardinières, fontaines, bancs ou encore tables de ping-pong… Alkern s’est développé dans différents domaines. « Les solutions drainantes prennent de plus en plus de place », précise Mathilde Bru. Et Eric Colmard, prescripteur chez Alkern, de confirmer : « Depuis quelques années, il y a une vraie émergence des produits drainants, même s’ils existent depuis longtemps. Toutes les collectivités et autres acteurs de l’aménagement s’arment aussi contre des îlots de chaleur ». Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 315 jours

Près d'Amsterdam, un quartier pionnier "rend la terre aux gens"

Chacun construit à son rythme et selon ses envies à Oosterwold, un espace vert de 43 kilomètres carrés près d'Amsterdam. A condition de respecter certaines règles, comme dédier au moins la moitié de son terrain à l'agriculture urbaine."On peut tout construire nous-même et tout décider", explique Barbara van Schaick, 45 ans, au milieu de sa parcelle où pommes de terres, oignons et arbres fruitiers poussent à proximité de sa maison toujours en construction."C'est très agréable", "surtout combiné avec la promotion de l'agriculture urbaine", ajoute-t-elle auprès de l'AFP. Cette bio-informaticienne passionnée de jardinage a quitté la capitale néerlandaise pour se lancer dans "l'expérience Oosterwold" il y a près de deux ans.Le terrain, situé sur des "polders", ces zones gagnées sur la mer, était longtemps dédié à l'agriculture biologique, avant que la terre ne soit "rendue aux gens" en 2016 pour cette initiative imaginée par la firme MVRDV et un politicien néerlandais."Image romantique"Leur parcelle achetée, les résidents ont quartier libre pour construire logement et infrastructures, sous certaines conditions.Les habitations doivent être bien isolées et les habitants doivent privilégier les énergies renouvelables et pompes à chaleur. La moitié du terrain doit être consacré à l'agriculture urbaine et il doit y avoir des espaces de vie et de circulation publiques.Oosterwold est "unique", affirment fièrement ses habitants, même si tout n'est pas si simple, concèdent-ils.Devant une élégante bâtisse qui semble se fondre dans son vaste terrain vert, construite à l'aide d'un architecte et d'un entrepreneur, Nadine Alsaz, 55 ans, dit vivre dans un "paradis".Arrivée à Oosterwold en 2017, elle souligne que l'initiative permet aussi des échanges fondamentalement différents de ceux en ville, "où on se connait à peine".Les gens ont toutefois souvent une "image romantique" du projet, et peuvent sous-estimer la flexibilité nécessaire à sa mise en oeuvre, explique-t-elle.La construction des routes, qui se définit entre associations d'habitants, fait par exemple l'objet de discussions houleuses, que ce soit sur les matériaux à utiliser, la façon de procéder et ou la division des coûts."On aurait pu croire que construire une route serait plus facile", explique Barbara, alors que le chemin de terre cahoteux menant à sa parcelle attend toujours que les voisins se mettent d'accord.La construction coûte "beaucoup d'énergie", explique-t-elle, surtout pour ceux qui, comme elle, construisent tout de A à Z. Certaines parcelles sont abandonnées et laissées en friche.Et pour ceux qui n'ont pas d'expérience dans le domaine, l'agriculture urbaine est "un défi", ajoute Jeroen Dobber, 39 ans, qui a surtout choisi Oosterwold pour s'éloigner des contraintes dans les villes traditionnelles."Bonne pour le monde"De nombreux terrains proposés par l'initiative ont été achetés par des développeurs de projets immobiliers, et leurs locataires ne sont pas toujours aussi conscients de ce qui est attendu d'eux, observe-t-on.Certains déplorent également l'absence de services publics et d'école à proximité, mais selon M. Dobber, "ça va venir".Les habitants sont de tout âge, et de différentes opinions politiques, selon M. Dobber, mais la plupart ont un niveau d'études élevé, note-t-il.Et si des logements sociaux sont également en construction, l'augmentation des prix de la terre ne favorise pas la diversité.L'endroit est très populaire. Une deuxième phase du projet doit commencer en 2025 et tirera des leçons des premières années de l'expérience, en rendant par exemple la charge de l'évacuation des eaux et la construction de certaines routes à la municipalité d'Almere, à proximité.Oosterwold comptera 15.000 lots, dont un dixième a déjà été vendu, mais ne grandira pas plus que ça, garantit Nadine. Elle espère néanmoins que l'initiative, "bonne pour le monde", sera imitée ailleurs.
Il y a 2 ans et 319 jours

“1 immeuble, 1 œuvre” : L’importance de l’art dans la ville

L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. [©Eva Jospin] L’art ne laisse pas indifférent. On aime ou on déteste, mais il stimule les émotions. L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. « Il n’y a pas si longtemps qu’il existe une rupture entre l’architecture et les artistes, depuis que la construction s’est industrialisée et normalisée », insiste l’artiste Eva Jospin. C’est pourquoi en 2015, le ministère de la Culture et de la Communication a lancé le programme “1 immeuble, 1 œuvre”, en lien avec la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Ceci, afin d’accompagner les promoteurs et sociétés foncières dans cette démarche de soutien à la création artistique et de diffusion des arts plastiques. 72 signataires actuellement « Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. [©Emerige] Ils étaient 13 signataires alors, s’engageant à commander ou à acquérir une œuvre d’art auprès d’un artiste pour tout immeuble à construire ou à rénover. En 2018, c’est l’envol du programme de commandes artistiques. Aujourd’hui, les acteurs de l’immobilier sont toujours plus nombreux à s’engager volontairement, en signant la charte ministérielle, à financer l’acquisition ou la production d’une œuvre. Ils sont désormais 72, du grand groupe immobilier comme Emerige, dirigé par Laurent Dumas, à l’initiative de la proposition ministérielle, Vinci Immobilier, Bouygues Immobilier ou de plus petits acteurs, citons Bâti-Nantes ou des bailleurs sociaux à l’instar de Toit et Joie – Poste Habitat. Tous s’engagent à faire appel à un artiste vivant, en procédant à la commande ou à l’achat d’une œuvre existante, dans le champ des arts visuels. Et à prendre à leur charge la rémunération de l’artiste, ainsi que les coûts de réalisation et d’installation de l’œuvre. 554 œuvres produites, partout en France Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction. [Interconstruction] Au final, depuis sa création, l’association a vu la commande de 554 œuvres, partout en France. A l’intérieur ou à l’extérieur des bâtiments, dans les parties communes ou sur la place publique, un véritable parcours d’œuvres se dessine sur l’ensemble du territoire. Sculptures, peintures, installations lumineuses, photographies ou créations originales de mobilier : les réalisations renouent avec une pratique historique d’un dialogue concerté entre art et architecture. Et confirment la diversité et la richesse de la scène française. Depuis le lancement de l’opération, des artistes, émergents ou confirmés, ont convié habitants et visiteurs à la réflexion, à la rêverie, à la discussion, mais aussi au débat. Parmi lesquels Daniel Buren, Johan Creten, Gloria Friedman, Fabrice Hyber, Eva Jospin, Arik Levy, Théo Mercier, Yann Lestrat ou encore Prune Nourry. Le programme s’est aussi ouvert aux propositions artistiques temporaires conduites sur le temps de chantiers. « J’ai la conviction que l’art doit infuser dans la ville par l’architecture. Pour Linkcity, il est important de développer une vision artistique dans nos réalisations architecturales. C’est une vraie volonté de Linkcity. La majorité des opérations livrées comprennent une œuvre. Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. Un cheminement piéton « Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. [©Linkcity] « Je suis attaché à “L’empreinte du Mammouth”, réalisée par Stefan Shankland. Cette œuvre s’inscrit au cœur du lot O8 dans la Zac des Batignolles (Paris VIIe). L’artiste a utilisé le “Marbre d’ici”, qui est le nom donné à la nouvelle matière première produite à partir du recyclage des gravats et déchets de chantier. Réduits en poudre, mélangés à du ciment et coulés en strates, ces déchets inertes ont été transformés en une ressource : un matériau noble, un béton à haute valeur patrimoniale, esthétique et écologique, pour la réalisation d’un cheminement piéton sillonnant à travers le jardin au pied des immeubles du lot O8 », explique Philippe Da Silva. Et l’artiste Stefan Shankland, de poursuivre : « Cette œuvre produit un monument ordinaire à l’effigie de la transformation de la matière et crée une continuité entre l’avant, le pendant et l’après transformation urbaine. Le chantier est un métabolisme qui transforme les ressources naturelles au cours du temps et laisse, pour trace ultime de son activité, un immeuble. Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale ». Grâce à l’art contemporain « Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale. » ©Stefan Shankland] En 2021, Intercontruction a signé la charte “1 immeuble, 1 œuvre”, mais depuis plus de 20 ans, ce promoteur associe une œuvre d’art par construction. L’artiste est choisi en fonction du lieu et des habitants. « Derrière chaque œuvre, il y a un artiste. Comme tout chercheur, il évolue dans un processus méthodique de réflexion et d’exploration souvent long et intuitif. Nous souhaitons mettre un supplément d’âme dans nos constructions grâce à l’art contemporain. Nos chantiers les plus emblématiques ? Nous avons posé avec les artistes de Duoduo une œuvre en céramique sur un pignon d’immeubles à Vanves. Je me souviens aussi des photos de Corinne Mercadier à Courbevoie ou encore les peintures abstraites de Patrice Pantin, à Guyancourt », souligne Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction.En finançant l’acquisition d’œuvres artistiques dans leurs programmes immobiliers, les promoteurs soutiennent la création contemporaine et valorisent l’architecture. Cet engagement inédit améliore la qualité de vie des habitants, en permettant au plus grand nombre d’accéder à la création artistique. Aujourd’hui, le programme “1 immeuble, 1 œuvre” continue de fédérer et de mobiliser promoteurs immobiliers, sociétés foncières et bailleurs sociaux. De plus en plus nombreux à rejoindre le programme, désireux d’engager un échange et un partage autour d’œuvres d’art dans des lieux de vie ou de travail. « Depuis les années 1950, la commande artistique était l’apanage de la puissance publique notamment à travers le 1 % artistique. Des acteurs de l’immobilier commandaient des œuvres de manière individuelle. Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. L’art et l’architecture ne font plus qu’un “Matera”, œuvre d’Eva Jospin. [©Cyrille Dubreuil] Et de poursuivre : « Les projets qui m’ont beaucoup touché ? La forêt d’Eva Jospin dans le VIIe arrondissement. Cette œuvre pour Beaupassage a été réalisée, en 2017, dans d’anciens entrepôts appartenant à Emerige, rue de Tolbiac à Paris, et qui servaient d’atelier d’artistes mis à disposition par le groupe. Telle une grande forêt immersive dans la longueur de la galerie d’accès au boulevard, “La Traversée” est apposée le long du mur, côté droit. Côté gauche, cette futaie est réfléchie par des poly-miroirs plans. La forêt de carton, matériau de prédilection de l’artiste, forme un immense haut-relief de 530 cm de long par 280 cm de haut. Bois, branches, rameaux, racines, frondaisons, cimes, troncs, ramifications, feuilles, fruits, bourgeons, greffons, buissons, arbres, arbustes, tiges, mousses… Tout ce qui forme l’enchevêtrement sylvestre, mystérieux, insondable, voire labyrinthique d’une forêt devient, dans les mains d’Eva Jospin, un paysage modelé, découpé, incisé et ciselé dans du carton ». Et Eva Jospin, de reprendre : « A Massy-Palaiseau, dernièrement je suis intervenue sur toute une façade pour le cabinet Brenac et Gonzales Associés. Et également à Bagneux pour le cabinet Lambert Lenack. Les deux étant des commandes d’Emerige. J’ai utilisé la technique du béton matricé avec des bas-reliefs en carton, moulés. Je travaille sur les façades, sur toute l’architecture. L’art crée une passerelle, un langage avec le bâtiment ». Une expo photos sur les palissades de chantier Sacha Goldberger a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. On peut être une entreprise assise sur des milliards d’euros de gestion d’actifs en Europe, en Asie et en Amérique, et faire une pause dans le temps. C’est ce qu’a fait Ardian, présidé par Dominique Sénéquier, qui a confié au photographe Sacha Goldberger, le soin de donner vie à un chantier de réhabilitation de l’ancien immeuble d’Europe 1, rue François 1er à Paris. Les noms de la rue et du chantier lui-même (“Renaissance“) l’ont inspiré pour mettre en scène les artisans intervenant sur place pour restaurer l’immeuble racheté en 2018 par Ardian Real Estate, la branche “Immobilier” du groupe. Il a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. Chacun pose avec son outil de travail. Toutes ces réalisations témoignent du lien prégnant entre l’art et l’architecture, qui refait son apparition dans la construction et fait connaître à un plus grand nombre l’art contemporain. Muriel Carbonnet
Il y a 2 ans et 320 jours

Loire-Atlantique : poursuite de l’aménagement du secteur de Bagatelle à Saint-Herblain

Le quartier de Bagatelle à Saint-Herblain (Loire-Atlantique) continue sa métamorphose. De nouvelles parcelles de jardins familiaux sont en cours de construction.
Il y a 2 ans et 321 jours

Palmarès du festival international des jardins de Chaumont-sur-Loire

En juin 2022, le jury du festival international des jardins de Chaumont-sur-Loire (Loir-et-Cher) a annoncé le palmarès de sa trentième édition. A la fois mine d’idées et pépinière de talents, le festival redynamise l’art des jardins. Espace naturel dédié à la création, à l’imagination, à la poésie et à la nature, où l’art dialogue avec […] L’article Palmarès du festival international des jardins de Chaumont-sur-Loire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 323 jours

La Défense vise à devenir un grand jardin urbain avec son projet "Le Parc"

AMÉNAGEMENT. Les responsables de l'établissement public Paris La Défense ont dévoilé les plans du projet "Le Parc", qui doit verdir le quartier. Michel Desvigne, architecte-paysagiste chargé de ce dossier, souhaite notamment rendre hommage au passé des lieux.
Il y a 2 ans et 323 jours

Garden Metropolis – Métropole Jardin à arc en rêve

A travers un regard croisé sur quatre territoires, ‘Garden Metropolis Métropole Jardin’ explore à arc en rêve Bordeaux (Gironde) le potentiel futur d’un troisième type de ville, ni centre ni périphérie et sa capacité à offrir un cadre commun qui réponde à tous nos besoins. Jusqu’au 2 octobre 2022. La ville est, depuis le début de l’urbanisation […] L’article Garden Metropolis – Métropole Jardin à arc en rêve est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 323 jours

L'Association des maires de France (AMF) s'engage pour la reconstruction d'Irpin en Ukraine

"Nous annonçons aujourd'hui (mardi) une volonté forte de participer à l'échelle des collectivités locales à la reconstruction de l'Ukraine", a dit le président de l'AMF David Lisnard au côté du maire d'Irpin, ville de la banlieue de Kiev dévastée dans les premières semaines de l'invasion russe qu'il a présentée comme une "ville martyre et héroïque" pour avoir "stoppé l'attaque" sur la capitale ukrainienne."L'idée est que les collectivités françaises, les communes de France et les intercommunalités participent (à la reconstruction) par de l'ingénierie juridique, administrative, technique, ainsi que par la mobilisation de moyens financiers et celle des entreprises de nos territoires", a ajouté le maire LR de Cannes, qui s'est rendu en Ukraine dès le début de la guerre. "La ville d'Irpin a gagné, mais le prix a été très lourd", a reconnu M. Markouchine qui a insisté sur le besoin de reconstruire "avant l'hiver" certaines infrastructures de la ville où s'est rendu il y a deux semaines le président Emmanuel Macron, accompagné du Premier ministre italien Mario Draghi, le chancelier allemand Olaf Scholz et le président roumain Klaus Iohannis."L'un de nos plus grands problèmes, c'est l'infrastructure sociale, les écoles, les jardins d'enfants. Si on ne les reconstruit pas les enfants ne peuvent pas être scolarisés et les habitants ne peuvent revenir", a affirmé le maire qui a estimé à 50 millions de dollars les besoins les plus urgents.Selon l'AMF, 75% de la ville ont été endommagés, "avec plus de 12.000 bâtiments touchés et 885 bâtiments complètement détruits".
Il y a 2 ans et 325 jours

Un projet de végétalisation sur l'esplanade de La Défense débutera en 2024

Aujourd'hui, 35% de l'espace piétonnier du quartier d'affaires, long de 600 m, est végétalisé. Avec ce projet conçu par l'architecte-paysagiste Michel Desvigne, l'objectif est de porter cette part à 60% de l'esplanade, selon le directeur général de Paris La Défense, Pierre-Yves Guice."L'idée est de garder la cohérence du projet d'origine de Dan Kiley imaginé en 1972 en ajoutant des strates de végétalisation pour en faire un vaste parc sur dalle", a indiqué le paysagiste lors de la conférence de presse de présentation.Pour le président LR du département des Hauts-de-Seine qui finance le projet, Georges Siffredi, "le parvis minéral va connaître un changement radical" car cette "dalle de béton laissera la place à des ilots verts et de fraîcheur".L'esplanade a été bâtie sur des ouvrages du RER A, la ligne 1 du métro et l'autoroute A14.Entre les bassins Agam (au centre de l'esplanade) et Takis (en bas) et au pied des 450 platanes plantés il y a cinquante ans, des "strates intermédiaires" seront créées avec des arbres de mi-hauteurs, des grands parterres de plantes, une pelouse, des arbustes ou des haies."On veut révéler un jardin totalement méconnu de la région parisienne, qui reste fidèle à Dan Kiley et aux jardins classiques à la française", a détaillé le paysagiste Michel Desvigne, qui ne s'est "pas orienté vers une forêt urbaine" avec de grands arbres pour ne "pas occulter l'espace et tout le bâti", les tours du quartier d'affaires. Ce jardin se trouvera dans l'axe historique tracé par le jardinier de Louis XIV, André Le Nôtre, avec les deux autres jardins emblématiques des Tuileries et des Champs-Elysées.A partir de 2024, le projet "historique et qui va considérablement changer le quotidien des usagers", soit les 180.000 salariés et 42.000 habitants, sera "livré par séquences", a précisé le directeur général Pierre-Yves Guice.
Il y a 2 ans et 326 jours

Le futur parvis de Notre-Dame sera conçu comme une clairière

Parmi les quatre finalistes de cet appel à projet, c'est le bureau d'architecture Bas Smets, avec l'agence d'architecte et d'urbaniste GRAU et l'agence d'architecture Neufville-Gayet qui a été choisi par le jury présidé par la Maire de Paris, avec les représentants de l'Etablissement public chargé de Notre-Dame (EPRNDP) et du Diocèse de Paris.Le projet prévoit de longs couloirs arborés aux abords de la cathédrale pour offrir de l'ombre aux visiteurs en temps de grande chaleur, un parvis tel une clairière entourée d'arbres.La façade et ses vitraux resteront dégagés et ainsi mis en valeur.Derrière la cathédrale, l'espace entre le chevet et la Seine aujourd'hui divisé par des haies et clôtures, devient un square fait de pelouse, donnant une vue sur les arc-boutants et les vitraux de l'édifice gothique."Un lien est réalisé tout en finesse entre le parvis et la Seine, c'était un grand attendu", a indiqué Ariel Weil, maire de Paris Centre.L'enjeu de cet réaménagement sera également de renforcer la végétalisation des abords de l'édifice pour faire face aux changements climatiques et aux fortes chaleurs. Un dispositif technique facilitant le ruissellement de l'eau sur le parvis offrira même un îlot de fraîcheur aux visiteurs.En sous-sol, le parking souterrain devient le centre d'accueil des visiteurs et offrira une promenade intérieure donnant accès à la crypte archéologique et à une ouverture sur la Seine.La ville de Paris, qui prend complètement en charge le projet, débloque une enveloppe de 50 millions d'euros. Avec ce budget, les abords seront de nouveau accessibles aux visiteurs et aux fidèles au deuxième semestre de 2024. En même temps que la fin de chantier de la cathédrale. La totalité du projet sera définitivement livrée en 2027.Dans son domaine (architecture/aménagement de jardins en ville) Bas Smets est une étoile montante, déjà connu notamment pour la parc des Ateliers autour de la tour Luma à Arles et comme futur réaménageur du centre de Bruxelles.Le 15 avril 2019, un spectaculaire incendie s'est déclaré dans la cathédrale, provoquant l'effondrement de sa charpente, de sa flèche, de son horloge et d'une partie de sa voûte, ravagées par les flammes sous le regard catastrophé de millions de personnes à travers le monde.Emmanuel Macron a donné pour objectif la réouverture en 2024 de ce chef-d’œuvre de l'art gothique, même si certains travaux pourront se poursuivre après. Le monument doit notamment être rendu au culte pour "l'anniversaire" de l'incendie, en avril 2024.Avant 2019, l'édifice accueillait près de 12 millions de visiteurs, 2.400 offices et 150 concerts par an.Découvrez dans cette vidéo le projet porté par le bureau Bas Smets.
Il y a 2 ans et 326 jours

Comment entretenir efficacement votre pergola à lames ?

Une pergola à lames est une petite construction design de jardin recouverte d’aluminium. Elle permet de profiter pleinement de son extérieur et sert aussi de support à des plantes grimpantes. Mais pour pouvoir bénéficier sur le long terme de tous ses nombreux bienfaits, il est important de veiller rigoureusement à son nettoyage. Il s’agit d’un détail très important. Découvrez dans la suite quelques recommandations sur comment entretenir efficacement votre pergola à lames. Protéger la structure de votre pergola à lames en prenant des dispositions Premièrement, l’entretien d’une pergola à lames requiert un nettoyage régulier. Ce nettoyage doit être effectué au maximum deux fois par an. Pour ce faire, on recommande de contacter Dokteur.store afin de bénéficier du meilleur traitement qui soit possible. Tenir compte des différentes saisons est un atout dans ce processus. Au printemps par exemple, il est conseillé de faire un premier entretien en guise de préparation du matériel à la chaleur estivale. En le faisant, le matériel va retrouver son lustre originel. Ensuite, pendant l’automne on observe généralement la tombée des feuilles. Lorsqu’elles finissent de tomber, pensez donc à nettoyer les poteaux de gouttière et à dégager les gouttières. Veillez surtout à ce que l’eau circule correctement à l’intérieur des poteaux à l’aide de fils chauffants. Par ailleurs, la structure de la pergola ne nécessite pas des produits spécifiques pour sa mise au point. Pour ainsi dire qu’un jet d’eau avec une éponge ou un chiffon doux fera l’affaire. Procurez-vous du savoir noir pour l’obtention d’un rendu éclatant. Il est aussi important de laver les pieds métalliques et les traverses. Cette action vise à supprimer tout résidu susceptible d’entacher le revêtement de la structure de pergola. Le matériel devrait redevenir comme neuf si toutes ces précautions sont prises. Vérifier et maintenir la propreté des lames de pergola Concrètement, prendre soin des lames d’une pergola contribue efficacement à son entretien. Cela suppose de passer d’abord en revue et de donner un coup de nettoyage aux ailettes. Ainsi, on recommande de se munir de l’eau, de savon et de vinaigre blanc pour faire partir les tâches et traces résistantes. N’utilisez pas d’eau chaude ou de nettoyeurs haute pression ou de brosses à poils. Sinon, l’effet inverse se produira. Avec les éléments précités, sachez que les lames de pergola seront libérées de toutes les saletés encombrantes. Servez-vous également de l’eau claire après l’action du savon ou du vinaigre blanc pour faire le rinçage. Cependant, il peut arriver que les chutes de neige soient fréquentes dans les différentes zones d’habitation. On les remarque souvent en hiver. Face à cela, il est conseillé d’enlever la neige des amas susceptibles de peser sur votre pergola à lames. Autrement, le poids de la neige au fil du temps pourrait impacter le matériel. Ensuite, les difficultés s’enchaînent et les pièces ou tout l’équipement risquent d’être changés. Soyez donc circonspect pour ce qui est de l’accumulation de la neige. Pensez à laisser les lames ouvertes pendant les chutes de neige en les réglant à 90 degrés. Enfin, les déconvenues sont limitées et la sécurité de l’équipement est bien assurée. Plus le matériel est bien entretenu, plus il dure longtemps.
Il y a 2 ans et 327 jours

La robe en zinc Quartz-Zinc de VMZINC enveloppe les bureaux de la maison Rémy Martin à Merpins (16)

Ce bâtiment de 5.000 m2 connecte les chais de vieillissement d’un côté et le site d’embouteillage de l’autre. Il accueille, depuis juin 2021, les 130 collaborateurs, qui travaillaient jusqu’alors dans le centre-ville de Cognac.INCA Architectes et AIA Life Designers ont imaginé un grand parc paysager dans lequel le nouvel édifice, rappelant les chais historiques, est venu s’insérer. Ce bâtiment-promenade se distingue par deux parties longilignes reliées entre elles par des passerelles. Elles abritent toutes les fonctions et dessinent un véritable lieu de vie : accueil, bureaux, salles de réunions, restaurant, salle de sport, locaux du personnel. Des parvis, patios et jardins créent une transition douce entre le dedans et le dehors. Le paysage, la lumière, la nature et l’histoire ont été de précieuses sources d’inspiration pour donner du sens à ce programme dans le respect des valeurs de la Maison Rémy Martin.La matérialité de la pierre de Charente est réinterprétée en façade de manière contemporaine et se marie harmonieusement au zinc VMZINC qui habille la toiture. Cette couverture élégante et légère dans l’expression retranscrit avec soin du détail la conception architecturale. Le bureau d’études de l’entreprise Alain COUTANT Couverture et celui de VMZINC ont collaboré étroitement afin de s’assurer que les systèmes VMZINC puissent techniquement répondre aux attentes esthétiques. Au total, 7.000 m2 de solutions zinc ont été mises en œuvre, soit environ 60 tonnes : Joint Debout en couverture ; Profil à Emboîtement pour les sous-face et agrafage sur-mesure sur les rives et pignons.Un seul aspect de surface, le QUARTZ-ZINC, a été retenu. Ce zinc, qui se patinera avec le temps, joue avec la lumière, une composante essentielle du projet. Au fil de la journée et selon la météo, il se nuance et crée des reflets. Les matériaux sélectionnés ; le zinc, la pierre et l’aluminium ; se distinguent par leur noblesse, leur intemporalité et leur durabilité.Détails minimalistesLes lignes épurées de la toiture en zinc ont requis une grande technicité à l’image des rives au niveau des casquettes avec débords de toit en rez-de-chaussée et au premier étage. Travaillées le plus finement possible, ces pointes effilées passent de 34 cm à quasiment 0 cm d’épaisseur sur une longueur d’1,90 m.Pour Mathias COUTANT, Gérant de l’entreprise Alain COUTANT Couverture: « Une ossature secondaire en bois a été conçue pour venir vêtir le squelette d’acier. Des flasques métalliques, doublées de bois, font la jonction avec cette ossature secondaire afin de dessiner gracieusement cette pointe si fine qui borde le bâtiment. »Toutes les couvertures (hors casquettes) sont traitées en complexe de toiture chaude Toiture VMZINC : bac acier/pare-vapeur/isolant 240 mm en double couche/écran pare-pluie/ QUARTZ-ZINC PLUS.Des chéneaux ont été intégrés en milieu de versant afin de récupérer les eaux pluviales de la partie supérieure. Encaissés, ils disparaissent du regard et permettent d’assurer la continuité esthétique de la ligne des toitures.Logistique menée d'une main de maîtreLe bureau d’études de l’entreprise Alain COUTANT Couverture a réalisé les plans à partir d’une maquette 3D afin d’intégrer les éléments zinc à la charpente métallique et aux menuiseries aluminium. Il a calculé et défini ses besoins en zinc avant d’effectuer les commandes de bobines auprès de VMZINC. Pour respecter le rythme des meneaux en pierre et garantir un alignement visuel des différentes joints, VMZINC a produit ces bobines dans des dimensions sur-mesure. Elles ont été refendues (largeurs 530 mm et 467 mm) selon le pas de pose défini par les différentes solutions. L’objectif étant de faire coïncider les joints creux de la sous-face avec le joint debout des bacs de la couverture.Lors de la phase chantier, un groupement d’entreprises a été constitué (Alain COUTANT Couverture, BOUCHET Couverture et SMAC) assurant la livraison de l’ouvrage en un an après le démarrage des travaux.
Il y a 2 ans et 331 jours

Dans le Marais, une nouvelle place piétonne, concentré du Paris voulu par la mairie

L'entrée de métro Guimard, les trois bancs Davioud, la fontaine Wallace et les pavés, tous neufs ou restaurés, donnent une allure Second Empire à cette portion de la rue du Temple, à deux pas de l'Hôtel de Ville.Sur cette rue autrefois ouverte à la circulation, voitures, motos et scooters sont désormais interdits, vélos et trottinettes doivent mettre pied à terre, un arbre et de larges jardinières offrent un brin de végétalisation.La place Albert-Memmi, un intellectuel juif franco-tunisien mort en 2020, est un "démonstrateur de ce que nous voulons faire à Paris", a déclaré Emmanuel Grégoire, premier adjoint (PS) de la maire Anne Hidalgo, critiquée depuis 2021 par des opposants non politisés réunis derrière le mot-clé SaccageParis.Ces derniers accusent la majorité de gauche de délaisser le mobilier historique et dénoncent les aménagements modernes, photos à l'appui. Un collectif a même racheté un banc Davioud pour l'offrir à la ville, pour souligner l'urgence de les protéger.C'est l'un des bancs qui garnit désormais la place, a indiqué le maire PS de Paris Centre Ariel Weil, mettant en avant une "reconfiguration de tout le quartier", qui fait "place aux usages du futur" sans oublier le passé.SaccageParis "n'est pas le guide de notre action", a soutenu M. Grégoire, interrogé par l'AFP."En revanche, c'est notre souhait de montrer qu'on peut faire une transformation de Paris - plus de piétonnisation, plus de végétalisation - avec un haut niveau d'exigence", a ajouté l'adjoint à l'urbanisme, favori d'Anne Hidalgo pour sa succession en 2026.Une semaine auparavant, l'élu socialiste avait reconnu dans les critiques de SaccageParis des "irritants de bon sens", qui avaient "stimulé" ses services pour la rédaction de son "manifeste pour la beauté", référentiel du mobilier urbain dans lequel il réaffirme sa volonté de protéger le mobilier historique sans pour autant "figer" la ville.
Il y a 2 ans et 332 jours

Rajeunir, magnifier , donner une deuxième vie aux matériaux poreux ternes et farineux avec le Polytrol

PVC, tomettes, composites... ces matériaux qui habillent meubles, sols, gouttières, portes, … sont poreux par nature ou le deviennent avec le temps. Lorsque ce stade est atteint, leur aspect devient terne, farineux : ils perdent tout leur éclat et leur couleur et la décision de s'en débarrasser n’est pas loin… Il existe néanmoins des solutions pour donner une deuxième chance à tous ces ouvrages.Pourquoi le PVC vieillit mal sous les UV et les agressions climatiques ? Au fil des ans, sous l’action de l’oxygène, de l’eau et de la lumière de multiples microcavités se forment à la surface du plastique. Devenu poreux, le plastique perd son éclat, sa couleur ternit : elle se « perd », se « dilue » dans les cavités.Et la pierre ? De même, la pierre s’use sous l’effet de l’abrasion des passages répétés et devient de plus en poreuse car les microcavités présentes dans la pierre naturellement s’agrandissent. C’est la raison pour laquelle les tomettes deviennent ternes au cours du temps.Le principe est le même avec les parties métalliques polies ou chromées de certains supports (cycles en particulier) qui avec l’usure due à leur utilisation plus ou moins intensive, perdent leur éclat. Il faut donc trouver une solution qui permette de combler ces cavités afin d'arrêter le process et en même temps de redonner de l’éclat à tous ces supports.Dans cette optique, Durieu a mis au point le POLYTROL® dont la formulation fait presque des miracles ! Plastiques ternes, pierres vieillies, métaux polis ou chromés : il ressuscite aussi bien le mobilier de jardin que les gouttières PVC, les tableaux de bord de voiture, les parties PVC ou métal des cycles, les sols...Explications :À base de RUSTOL-OWATROL®, le POLYTROL® possède des propriétés mouillantes exceptionnelles qui vont redonner de la couleur instantanément grâce à un effet mouillé immédiat sur l’ouvrage mais surtout qui lui permettent d’agir de l’intérieur et d’assurer une protection durable. Au-delà de l’effet « mouillé », le POLYTROL® agit en profondeur dans le support. Il procède ainsi à une véritable restauration de la couche superficielle des plastiques, de la pierre ou des métaux polis ou chromés.Comment ?À la manière d’une crème cicatrisante, riche en résines, le POLYTROL® comble toutes les microcavités (nées de l’usure et des agressions climatiques) du support où il est appliqué. En plus de lui redonner de l’éclat, il l’imperméabilise, lui assure une excellente protection dans la durée et facilite son entretien car les saletés s’accrochent moins sur les ouvrages protégés avec le POLYTROL®.Le secret : grâce sa composition ultra technique, le POLYTROL® pénètre en profondeur et remplit toutes les microcavités du support avec ses résines. Grâce à leur effet miroir, les résines font ressortir la couleur et remettent à neuf l’aspect de tous les ouvrages en matériaux poreux ternis. • Le plus : avec une application soignée, le POLYTROL® ne dépose pas de film en surface évitant ainsi tout risque d’écaillage.Cure de jouvence : POLYTROL® by OWATROL® ou la deuxième vie des matériaux poreux ternis, PVC, pierres, chromes... !Fiche technique POLYTROL*Description produit : Rénovateur de couleurs pour plastiques, pierre, métal, ciment, carrelage…Propriétés :Restaure le brillant et assure la protection des métaux polis ou chromés : alu, chrome, laiton, bronze...Ravive la teinte et l’aspect des plastiques et gelcoats ternis (pare-chocs autos, coques de bateaux, meubles de jardin, volets).Régénère marbres, carrelages, pierres tombales, ardoises, terres cuites, dalles dont la coloration s’est altérée avec le temps.Redonne de l’éclat aux peintures et vernis ayant souffert des intempéries.Ne contient pas de silicone.Destinations :Maison / Sol / Huisserie : Carrelages, tomettes, marbres, ardoises, alu des baies vitrées, vérandas, peintures et vernis, laiton, bronze...Extérieur / Jardin : Meubles de jardin, volets, portillons, dalles, pierres tombales, terrescuites...Moto : Plastiques...Auto : Chrome, enjoliveurs, pare-chocs, tableaux de bord...Marine : Coque de bateau...
Il y a 2 ans et 332 jours

Pour Sorbonne Nouvelle, à Paris, le luxe c’est l’espace et le jardin de Babylone

« Le retrait progressif des façades respecte le prospect du couvent et crée une architecture de restanques dont les terrasses plantées font référence aux jardins suspendus qui jouxtaient la bibliothèque emblématique de Babylone », explique Christian de Portzamparc alors qu’il fait au printemps 2022 visiter à la presse Sorbonne Nouvelle. Ouvert en février 2022, ce nouveau campus […] L’article Pour Sorbonne Nouvelle, à Paris, le luxe c’est l’espace et le jardin de Babylone est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 333 jours

Fontaines, bancs... La "bible" de la Mairie de Paris pour le mobilier urbain

Poubelles, jardinières, fontaines, pieds d'arbres: le premier adjoint de la maire de Paris, Emmanuel Grégoire, a présenté son inventaire du mobilier urbain parisien, une "bible de l'intervention".
Il y a 2 ans et 333 jours

A Paris, l'aménagement urbain en question face aux vagues de chaleur

Fontaines brumisantes, ombrières, plantation d'arbres: la maire PS de la capitale, Anne Hidalgo, a fait de l'adaptation au changement climatique la priorité de son second mandat. En témoigne le plan "Paris frais" lancé en 2021.En supplément des 1.200 "fontaines à boire" en service, trente nouvelles, équipées de brumisateurs ont récemment été déployées, dont trois dites "mât-source" - accessibles aux enfants et aux personnes à mobilité réduite -, dit à l'AFP Dan Lert, adjoint (EELV) d'Anne Hidalgo chargé de la transition écologique.L'objectif, d'ici à 2024, est d'implanter 100 fontaines nouvelle génération, dont 50 "mât-source" dans la capitale, et d'équiper de brumisateurs 50 autres fontaines traditionnelles "Wallace".Des ombrières temporaires en bois, sorte de panneaux sous lesquels il est possible de s'abriter, seront aussi expérimentées dans "des jardins, des placettes et la cour d'une école", début juillet dans le XIIe arrondissement, ajoute M. Lert.Ces mesures "immédiates" ont un impact à court terme, quand le réchauffement climatique menace Paris, avec déjà des pics de chaleur avoisinant les 40°C au cours des dernières années.Pour la conseillère Modem de Paris Maud Gatel, il y a urgence à "arrêter de bétonner les îlots de fraîcheur existants"."Les arbres en pot ne rafraîchissent pas", soutient l'élue, dénonçant une "sorte de schizophrénie" de la mairie."Rustine"L'opposition LR partage ce ressenti: pour Valérie Montandon, l'équipe municipale "fait beaucoup de communication et de rustine". "Chaque emprise terrestre fait l'objet de projets" de construction, regrette-t-elle.La Ville se dit toutefois consciente que "les canicules vont se multiplier. C'est le premier défi climatique à Paris, avec l'accélération du changement climatique", relève Dan Lert, d'où l'urgence "d'accélérer la transition écologique".A moyen voire long terme, Christophe Nadjovski (PS), adjoint d'Anne Hidalgo chargé de la végétalisation de l'espace public, souhaite l'implantation de 170.000 arbres dans la capitale.Une mesure critiquée par Mme Montandon, qui estime que la méthode "Miyawaki" - petit écosystème forestier à la végétation dense -, est une "mesure en trompe-l'oeil. Soixante-et-un à 84% des arbres vont mourir au bout de 12 ans", selon elle.A plus long terme encore, les élus souhaitent voir "renaître la Bièvre" - une rivière enfouie depuis quelques décennies -, au niveau du parc Kellermann (XIIe arrondissement) "d'ici 2026". Cela créerait un "corridor de fraîcheur", selon M. Lert.L'ouverture à tous de la petite ceinture désaffectée en périphérie de Paris "sans y réaliser de constructions" permettrait aussi la création d'îlots de fraîcheur, relève Fatoumata Koné (EELV), présidente du groupe écologiste de Paris.Pour les futurs projets urbains, Mme Koné plaide "pour un quota minimal de pleine-terre garanti, et pour la préservation de la végétation déjà existante".Les choix d'aménagement urbain de la maire socialiste sont aussi contestés par ses opposants issus du mouvement SaccageParis.Lieux de rafraîchissementEn parallèle, la mairie assure une veille auprès des Parisiens "de plus de 65 ans ou handicapés" qui le souhaitent en "leur téléphonant" notamment durant les périodes de fortes chaleur.Lorsque Paris est placée en alerte canicule, des "salles rafraîchies sont ouvertes dans les mairies d'arrondissement", les parcs sont ouverts la nuit "car il y fait deux à trois degrés de moins qu'en ville", déclare Dan Lert.Mais Maud Gatel (Modem) regrette un manque "de communication et d'information" des Parisiens sur ces dispositifs, et réclame le recensement des "lieux de rafraîchissement comme les commerces".Quelque 600 commerçants parisiens offrent, depuis mars, la possibilité aux badauds de remplir leur gourde d'eau de Paris. Maria Mella, fondatrice de "The Naked Shop", boutique de vrac du IIe arrondissement, "a tout de suite voulu participer", pour lutter contre la pollution liée aux bouteilles en plastique.Selon les scientifiques, les canicules à répétition sont un marqueur sans équivoque du réchauffement de la planète et ces vagues de chaleur sont appelées à se multiplier, s'allonger et s'intensifier.
Il y a 2 ans et 338 jours

Fontaines, bancs : la "bible" de la Mairie de Paris pour le mobilier urbain

Destiné aux agents de la ville comme aux prestataires (Decaux, La Poste, Enedis), le "manifeste pour la beauté" est un référentiel d'aménagement en quatre tomes qui vise à clarifier "qui est propriétaire, qui s'en occupe, qui entretient", a expliqué l'adjoint à l'urbanisme lors d'un point presse.Emmanuel Grégoire, qui avait lancé fin 2020 cette démarche, s'était retrouvé début 2021 débordé par SaccageParis: des opposants dénonçant sur Twitter, photos à l'appui, le manque d'entretien du mobilier historique ou les choix de mobilier urbain moderne contestés.Ces critiques "ont aiguillonné plus qu'inspiré" le manifeste, a affirmé le bras droit d'Anne Hidalgo. "Les irritants remontés par SaccageParis sont des irritants de bon sens, ça nous a stimulés pour aller plus vite."Pour cette "remise à plat", l'exécutif parisien a mis en place une commission de régulation de l'espace public, qui aura la charge de superviser l'usage et l'entretien des nouveaux mobiliers urbains.Priorité de M. Grégoire, la protection du mobilier historique se matérialisera par un logo, synonyme d'interdiction de retrait, a-t-il indiqué.Cibles favorites de SaccageParis, les bancs en bois dits Mikado ont majoritairement été remplacés et 7.000 pieds d'arbres seront repris d'ici 2024, a indiqué M. Grégoire, qui privilégie une "grande bande de végétalisation" sur un alignement d'arbres.Certaines fontaines décriées vont disparaître, tout comme les modèles de jardinières en pots colorés ou les bacs en bois, "très mal entretenus" selon lui."On ne va pas tout changer du jour au lendemain", prévient M. Grégoire.Déployées en 2013 et 2016, les poubelles Bagatelle, proies des rats et des corneilles car ouvertes sur le côté, et facilement tordues, vont progressivement disparaître au profit des modèles Cybel, déployés depuis 2019."Les agents de la Ville sont très attachés aux bancs Davioud", a souligné le dauphin d'Anne Hidalgo pour les municipales de 2026, qui inaugurera le 21 juin, près de l'Hôtel de Ville, celui racheté aux enchères par des habitants qui l'ont offert à la Ville pour alerter sur sa protection.M. Grégoire veut aussi poursuivre un travail de retrait des panneaux directionnels devenus obsolètes, appelant à "libérer l'espace public" d'une partie du 1,3 million d'objets présents dans les rues parisiennes.
Il y a 2 ans et 339 jours

Butte-Rouge : des associations demandent le classement en Monument historique

PATRIMOINE DU XXe SIÈCLE. Des associations de défense du patrimoine interpellent la nouvelle ministre de la Culture sur le sort de la cité-jardin de la Butte-Rouge, à Châtenay-Malabry, la plus vaste d'Ile-de-France, en instance de rénovation.
Il y a 2 ans et 339 jours

Fabemi Terrasse et amp ; Jardin Quand dallage rime avec plage

Le soleil s’installe, les jours s’étirent, les vacances d’été approchent… et les piscines reprennent du service. Les particuliers et les paysagistes qui projettent de construire un bassin se tourneront naturellement vers CARRÉ D’ARC, marque du groupe Fabemi, dont l’offre variée en dallages et margelles comblera leurs attentes. Les plages de piscines habillées des collections Jouques, […]
Il y a 2 ans et 339 jours

La parole à Eco-Mobilier – Eurobois 2022

Depuis avril 2022, Eco-Mobilier a étendu son champ d’action, en étant agréé sur la filière bricolage et jardin et sur la filière jeux et jouets… Elle attend la publication du cahier des charges pour candidaté sur la filière construction bâtiment… Avec Fabien Cambon, Directeur technique Innovation – Eco-Mobilier Cet article La parole à Eco-Mobilier – Eurobois 2022 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 340 jours

A Reims, cinq maisons en béton impression 3D, une première en France

"C'est simple et beau. Parfois la simplicité n'est pas facile à obtenir": devant un mur d'apparence texturée, composé de fins boudins de béton empilés horizontalement les uns sur les autres, Rochdi Zardi, 60 ans, locataire qui emménagera le 1er juillet avec sa famille, affiche un large sourire."Ça fait un an que je cherchais un logement social de plain-pied", explique cet ancien enseignant et ancien gestionnaire de supermarché, qui ne travaille plus pour pouvoir s'occuper de sa femme lourdement handicapée.Le loyer pour sa future maison comportant trois chambres et un jardin, bâtie dans l'éco-quartier Rema'Vert sur un ancien site ferroviaire, s'élève à 920 euros par mois, au lieu de 700 pour son actuel appartement en étage."Ici, ce sera un peu plus cher comme loyer, mais quand on compare ce qu'on a, c'est très correct. Quand on voit les prix dans le privé! En plus, une maison comme ça, neuve!", s'exclame-t-il.De fait, les murs montés par l'aller-retour d'une tête d'imprimante chargée de béton liquide qui se solidifie en cours de formation, permettent la créativité. Notamment d'imaginer des murs courbes à la carte, un luxe pour un logement social.Ici, l'impression 3D n'a pas été utilisée partout, seulement pour 35 murs des cinq maisons reliées entre elles (cuisines, salles de bain, toilettes utilisant des murs classiques).Un mur entier 3D, réalisé par la startup XtreeE, basée à Rungis dans le Val-de-Marne, fait une vingtaine de centimètres d'épaisseur. Il est composé de deux parois de quelques centimètres, reliées entre elles par des raidisseurs (sortes de zigzag de béton) qui assurent la cohésion du tout. L'espace au centre est vide, et peut être utilisé pour accueillir un isolant, soit en laine de roche, soit en matériaux biosourcés comme le chanvre."Cela permet un chantier sec, en atelier, pas de béton coulé sous les intempéries, pour construire plus vite avec moins d'aléas et sans porter de parpaings, car les murs sont transportés en camion et portés à la grue", souligne Romain Duballet, directeur de XtreeE Studio.La technique permettrait surtout d'utiliser 50% de béton de moins qu'une construction traditionnelle avec un mur de béton armé coulé entre deux éléments de coffrage verticaux appelés banches, font valoir ses promoteurs."Liberté des formes"Un à trois murs ont été imprimés par jour. "Ce que la 3D permet surtout, c'est d'aller plus vite, de réduire la pénibilité de la construction", dit Florent Haas, directeur de l'agence Champagne du constructeur Demathieu Bard Construction qui a coordonné le chantier.La méthode permet aussi de réduire le gâchis. "En moyenne de l'ordre de 30% de matières sont gâchées sur un chantier classique", estime Emmanuel Coste, l'architecte du projet, pour qui son principal avantage est "la liberté des formes".L'initiative de la technique revient au bailleur social Plurial Novilia, installé en Champagne-Ardenne et en Ile-de-France, qui s'est battu pour obtenir une certification du procédé 3D par le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTV).Cette homologation garantit "l'assurabilité" aux cinq maisons en leur assurant la précieuse "garantie décennale" engageant la responsabilité des constructeurs, architecte compris, pendant dix ans contre des malfaçons, norme de construction française qui figure parmi les plus strictes du monde.Pour la 3D, "nous avons développé un béton de haute performance pour résister aux pressions, mais moins dosé en ciment pour réduire les émissions de gaz à effet de serre", explique Olivier Martinage, responsable de l'impresssion 3D béton du groupe cimentier Vicat qui a participé à l'aventure. Son prochain défi, utiliser aussi des granulats recyclés dans l'imprimante, pour réduire encore l'impact sur le climat, le processus de fabrication du ciment étant très émetteur de dioxyde de carbone.Mais pour l'architecte Emmanuel Coste, le principal défi à relever sera certainement d'arriver "à imprimer des murs avec autre chose que du béton"."Le béton c'est la solution qu'on a sous la main pour l'instant, mais il émet encore énormément de gaz à effet de serre, il est clair qu'il faudra en sortir".
Il y a 2 ans et 340 jours

Du ‘South Side’ de Chicago au jardin royal : herbe verte, spiritualité noire

Le ‘Serpentine Pavilion’ à Londres attire chaque année une attention mondiale. Pour cette édition 2022, l’artiste Theaster Gates apporte son activisme, son savoir-faire et sa spiritualité, tous enracinés à Chicago. Chronique d’Outre-Manche. La première fois, en 2015, que j’ai rencontré l’artiste américain Theaster Gates Jr, c’était dans le ‘South Side’ de Chicago. La population – […] L’article Du ‘South Side’ de Chicago au jardin royal : herbe verte, spiritualité noire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 341 jours

Suresnes accueille un colloque international sur les cités-jardins

Quelle place pour les cités-jardins dans les villes du XXIè siècle ? Ce concept qui a marqué l’évolution du logement populaire durant l’entre-deux-guerres à l’échelle locale, nationale, européenne et mondiale, peut-il proposer un modèle pour l’habitat futur ?  La question sera au centre du Colloque international « Des cités-jardins pour le 21è siècle » qu’accueille Suresnes les 23 et 24 juin 2022. Organisé par l’Association régionale des Cités-jardins d’Île-de-France, à l’occasion de son 10è anniversaire, ce colloque réunira 60 intervenants (chercheurs, habitants, collectivités, architectes) représentant 11 pays et plus de 20 cités-jardins. L’occasion de mettre en perspective les différentes dimensions d’un patrimoine commun : les cités-jardins d’Île-de-France, les premières cités-jardins anglaises (Letchworth et Hampstead), deux cités-jardins classées patrimoine mondial de l’Unesco (la cité Frugès de Le Corbusier et la cité du fer à cheval à Berlin) et d’autres cités plus confidentielles mais possédant un intérêt patrimonial, culturel, social ou touristique. En France, Henri Sellier, Maire de Suresnes de 1919 à 1941 et Président de l’Office public d’Habitations à bon marché de la Seine, fut à l’origine de l’implantation des quinze cités-jardins créées autour de Paris, dont neuf subsistent aujourd’hui. Avec ses 3100 logements, ses équipements publics variés, celle de Suresnes fut le véritable laboratoire d’un urbanisme social à échelle humaine. Les cités-jardins sont confrontées aujourd’hui, pour beaucoup d’entre elles, à la pression foncière et au renouvellement urbain. Réhabilitée de 1983 à 1996, la cité-jardins de Suresnes a été, avec celle de Stains, une des premières à bénéficier d’une protection. Les efforts pour la préserver ont été salués par l’attribution du label Patrimoine d’intérêt régional en 2018 et vont se poursuivre puisque la ville de Suresnes et Hauts-de-Seine Habitat vont lancer une réhabilitation décennale de la cité-jardins.
Il y a 2 ans et 344 jours

À la biennale de Versailles, des paysagistes invitent à ne faire plus qu'un avec le vivant

CULTURE. L'approche fondamentalement écologique des commissaires de cette exposition pousse le public à s'interroger sur la gestion humaine des sols. Les visiteurs sont même invités à participer à l'élaboration d'un jardin éphémère commun, défini dans une zone du potager du Roi, à Versailles.
Il y a 2 ans et 345 jours

Hauts-de-Seine : inauguration du jardin de l’Aigle-Blanc à Châtenay-Malabry

Le département des Hauts-de-Seine a financé l’intégralité du chantier de réhabilitation du jardin de l’Aigle-Blanc.
Il y a 2 ans et 346 jours

INTAIRIEUR, le label pour la Qualité de l’Air Intérieur s’étend aux bâtiments tertiaires

INTAIRIEUR® : Un nouveau référentiel à destination des bâtiments tertiairesD’abord réservé aux logements collectifs neufs et maisons individuelles neuves en bandes, INTAIRIEUR®, étendait en mai 2021, le champ de son référentiel aux maisons individuelles diffuses, permettant ainsi aux futurs acheteurs de connaître la Qualité de l’Air Intérieur (QAI) du bien qu’ils acquièrent et aux acteurs de l’immobilier neuf de valoriser leur engagement en matière environnementale et de santé publique.En cette année 2022, l’outil évolue pour permettre de valoriser la QAI des bâtiments réservés aux activités du tertiaire. Destinés à recevoir du public (bureaux, établissements de petite enfance, enseignement, hôtellerie, centres médico-sociaux) ces immeubles sont soumis à des normes strictes en matières de sécurité et d’environnement.Avec le label INTAIRIEUR®, les constructeurs, promoteurs du secteur peuvent désormais offrir à l’acquéreur professionnel le gage supplémentaire d’une démarche responsable et de qualité innovante de leur construction.La QAI résulte d’un équilibre fragile entres différents facteurs, qu’il s’agisse du choix des matériaux, des équipements, du mobilier, des conditions d’aérations, des systèmes de ventilation…Afin de pouvoir afficher la labellisation INTAIRIEUR®, les promoteurs et constructeurs doivent tenir compte de l’ensemble de ces facteurs en s’inscrivant dans une véritable démarche vertueuse, et ce, dès la conception du projet jusqu’à sa livraison.Une exigence partagée par tous les acteurs impliquésParce qu’il répond parfaitement à une problématique incontournable de notre société, le label INTAIRIEUR® fédère unanimement les grands acteurs du bâtiment.Maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage privés et publics, entreprises du bâtiment, institutions et professionnels de santé publique œuvrent ensemble pour l’amélioration de la Qualité de l’Air Intérieur.Le label permet maintenant :aux maîtres d’ouvrage de valoriser leurs projets immobiliers et de se démarquer,aux AMO, d’accompagner leurs clients dans une démarche où la sécurité et le bien-être des occupants sont au cœur des préoccupations,aux institutionnels, collectivités et aménageurs de mettre en œuvre des actions concrètes pour lutter contre la pollution de l’air intérieur,aux architectes de se démarquer à travers des projets innovants et responsables,aux particuliers de choisir leur logement en exigeant un air intérieur de qualité pour leur famille,INTAIRIEUR®, un outils de référenceAvec presque 5 années d’existence, le label INTAIRIEUR® a su s’imposer comme une référence en matière de valorisation et de contrôle de QAI sur l’ensemble du territoire.Aujourd’hui de nombreux maîtres d’ouvrage ont obtenu la labellisation pour leurs projets (ou sont en cours d’obtention) : Bouygues Immobilier, CDC Habitat, Cogedim, Coop Immo, Covivio,, Coop Immo, Crédit Agricole Immobilier, Elgea Habitat, Franco Suisse, Green City Immobilier, Groupe Arcade, Groupe Duval, Habitalys, Icade Promotion, Immobilière 3F, Kermarrec Promotion, La Cité Jardins, Linkcity, Mairie de Courbevoie, Marignan, Nacarat, Nodi, Pitch Immo, Promeo, Promologis, Promomidi, Saint-Georges Promotion, Searim, Toulouse Métropole Habitat, Vinci Immobilier.En 2019 le label a obtenu une récompense à l’ESSEC Business School aux Trophées de la Transformation et de l’Innovation.La Qualité de l’Air Intérieur, une préoccupation de santé publiqueLes français passent en moyenne 90% de leur temps dans des espaces clos dont l’air est 5 à 10 fois plus pollué qu’à l’extérieur. La Covid et les confinements qui ont suivi n’ont guère inversé la tendance et ont pour effet une véritable prise de conscience des dangers liés à la qualité de l’air intérieur. Irritations, nausées, céphalées, pathologies respiratoires…Chaque année en France, cette pollution est responsable de près de 20 000 décès prématurés et on estime à 19 milliards d’euros son coût socio-économique (prise en charge des soins, perte de productivité...).L’ensemble de la population est concerné par le problème et plus que jamais, la Qualité de l’Air Intérieur (QAI) est devenue un enjeu majeur de santé publique.Fruit d’une réflexion collective menée depuis plusieurs années entre pouvoirs publics, opérateurs privés et citoyens, le label INTAIRIEUR® permet au grand public de pouvoir choisir son logement en toute connaissance, avec la certitude que tout a été mis en oeuvre pour préserver la qualité de l’air intérieur de leur logement. Désormais, les usagers, gestionnaires et investisseurs pourront eux aussi choisir leurs locaux tout en tenant compte de ce paramètre.Le label INTAIRIEUR® propose un référentiel simple et fiable qui à l’image des autres certifications environnementales, permet de mettre en place un affichage clair et facilement reconnaissable par tous.
Il y a 2 ans et 351 jours

A Viroflay, le centre aquatique Les Bertisettes s’habille en WICONA

Contexte : reconstruire et valoriser Avec près de 40 % de sa surface couverte de forêts, Viroflay est l’une des communes les plus boisées de la proche couronne parisienne, partie intégrante de la communauté d’agglomération Versailles Grand Parc. C’est précisément à l’entrée de ville et en lisière de la forêt domaniale de Meudon que se situe le nouveau Centre Aquatique des Bertisettes (CAB). Un emplacement historique, occupé dès 1966 par l’ancienne piscine. Comment, sur cette parcelle contrainte, pentue et en forme de triangle aigu, reconstruire un équipement adapté aux attentes d’aujourd’hui et tirant parti de cet environnement ? Porté par Opalia, concessionnaire, et par le promoteur- constructeur GCC, le projet de l’Atelier Po & Po répond par un bâtiment compact en forme de proue. Sur 4 600 m2 en R+1, il accueille de plain-pied le hall, les vestiaires et trois bassins pour la compétition, l’apprentissage et le loisir ; au premier niveau : l’espace balnéo-détente, ainsi que des zones réservées au personnel. Le solarium et son jardin en toitures terrasses, les sheds vitrés de la halle bassins et, d’une manière générale, les volumes dialoguent avec l’urbain et les bois.  Enjeux : confort et lumière Le bâtiment s’ouvre aux paysages et à la lumière naturelle tout en maximisant son économie (isolation thermique renforcée, capteurs solaires en toiture, systèmes de récupération d’énergie, etc.) et en préservant le confort comme l’intimité des usagers. Par- delà les spécificités techniques, « le vrai luxe des équipements que l’on conçoit, c’est la lumière », souligne Jean-Luc Calligaro, architecte associé de l’Atelier Po & Po. Les fonctions et les vues dictent le choix des ouvertures : façades vitrées sur le hall d’accueil, grands ensembles composés à l’étage de l’espace détente, percées prolongées d’un garde-corps en toiture, sans oublier les verrières d’une toiture complexe… « Un traitement spécial est accordé à la façade vitrée de la halle bassins (sur rue), avec des ventelles métalliques posées à la verticale. L’enveloppe du rez-de-chaussée devient pleine sur la place de la fête, intégrant les ouvertures des bureaux du personnel, et se retourne sur la route du pavé de Meudon, où elle devient presque totalement opaque, intégrant là encore des ventelles métalliques au droit du vitrage de la halle bassins. » Conséquences pour le lot menuiseries extérieures : une variété inhabituelle de formes, de dimensions et de poses, assurée par les solutions aluminium Wicona et l’expertise de l’entreprise E2MK. Solutions WICONA : performances et adaptabilité Aux Bertisettes, la solution de façade MECANO mérite bien son nom. Elle se décline sur de nombreux murs-rideaux. L’un d’eux se déploie sur toute la façade nord, éclairant d’abord le hall d’accueil sur 40 m de long par 3,40 m de haut, puis les bassins, sur 30 m par 2,20 m, posé sur une allège maçonnée devant des ventelles métalliques. Un autre, en surplomb de la halle bassins, se compose de trapèzes de dimensions différentes, posés sur 35 m de long, inclinés en applique extérieure sur les poutres de Vierendeel de la charpente mixte bois-métal. La même solution MECANO sert aux larges ouvertures en étage mais celles des espaces détentes (8 m de long par 2,70 m), encadrées d’un bardage métallique, sont réalisées en châssis WICLINE 65 HI (haute isolation), dotées chacune d’un ouvrant à la Française. La même solution WICLINE 65 HI compose les ensembles donnant sur les terrasses et intégrant des portes WICSTYLE 65, ainsi que les ouvrants hauts et étroits (2 m par 80 cm) des bureaux de la façade ouest. Enfin, le système WICSTYLE 77 FP coupe-feu 30 minutes (EI30) a permis de réaliser les deux cloisons, dont une avec porte, séparant le hall d’accueil et la halle bassins. Un résultat fidèle aux promesses du concours « Les contraintes logistiques et techniques étaient nombreuses sur ce projet, mais la plus inattendue a été la Covid-19 », se souvient Victor Gros-Colas, directeur de projet de l’opération pour GCC Travaux. En dépit de cela, « la relation de confiance nouée dès la conception s’est poursuivie tout au long du chantier. Grâce à ce vrai partenariat, malgré les deux mois d’arrêt du printemps 2020, le résultat est fidèle au concours et le centre a ouvert dans les délais, en juin 2021 ». Copyright photo : Franck Deletang