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ANALYSE. Alors qu'un incendie ravage une tour d'habitation de 27 étages, 0 Londres, Jean-Charles Du Bellay, spécialiste de la réglementation incendie, apporte son expertise sur ce drame.

Organisé dans le cadre de MAISON&OBJET PARIS, les RISING TALENTS AWARDS récompensent les jeunes designers les plus prometteurs du moment, sélectionnés parmi les diplômés de l'École Nationale Supérieure de la Création Industrielle (ENSI-Les Ateliers). Pour cette édition, huit lauréats exposeront leurs dernières créations lors de l'événement qui aura lieu en septembre prochain. Alexandre EchasseriauxDiplômé en 2013 de l'ENSCI-Les Ateliers avec félicitations du jury, Alexandre est d'abord formé, à l'École Boulle, au tournage ornemental et au métal en général avant de s'orienter vers le design industriel. Très influencé par l'artisanat ancien, le créateur réalise des objets hybrides situés entre technologie, traditions et techniques novatrices. En 2016, il monte en région parisienne CRAFTER STUDIO où il étend son savoir-faire à de nombreux domaines : design industriel, prototypage, etc. Son originalité et sa grande dextérité lui valent, en 2014, d'être lauréat des Audi Talents Awards et d'être nommé responsable de la direction artistique du FabLab du Centre Pompidou jusqu'en juillet 2017. Julien Phedyaeff & Christopher SanterreSortis de l'ENSCI-Les Ateliers en 2014, Julien et Christopher forment un duo complémentaire : le premier s'intéresse au prototypage et au travail de la matière tandis que le second se passionne pour la production industrielle. Leur attrait mutuel pour les modes et les habitudes de consommation les pousse à s'associer en 2015 sous le nom de L'Increvable SAS, une société d'électroménager visant à mettre l'utilisateur au centre des réalisations, pour des objets conçus et distribués de manière durable, réparable et évolutive.   Claire LavabreClaire est designer et photographe, diplômée de l'ENSCI-Les Ateliers en 2012. Après avoir multiplié les collaborations d'exception " avec Ronan et Erwan Bouroullec, Inga Sempé, Léon Ransmeier et l'agence d'architecture de Laurent Deroo ", elle crée son propre studio dans lequel elle jongle entre projets de design et d'architecture d'intérieur. Passionnée par les jeux d'optique, son travail mêle miroirs, cadres et lumières, créant des distorsions de vision, interrogeant les notions même de vanité, d'identité ou de dualité. Grâce à son univers unique et ses réalisations atypiques, les réalisations de Claire Lavabre ont été exposées à la Villa Noailles dans le cadre du festival Design Parade ainsi que le festival de Mode et de Photographie en Hyères en 2013, puis au Palais de Tokyo en 2014 et à la Great Design Gallery de Paris.   Luce CouilletSi Luce a d'abord emprunté la route du design produit lors de son apprentissage à l'ESAD de Reims, cette dernière se concentre par la suite sur la conception textile au sein de l'ENSCI-Les Ateliers, d'où elle sort diplômée en 2010. Son savoir-faire est unique : inspirée de la pratique artisanale du tissage et de la R&D low-tech, elle se dote d'une matériauthèque expérimentale aussi bien mise au service de la haute couture que de l'architecture d'intérieur ou encore du sport et des milieux médicaux. Récompensée en 2012 par le Grand Prix de la Création de la ville de Paris, elle rejoint cette année le showroom parisien DINES dans le but d'y fonder un laboratoire textile destiné aux architectes d'intérieur.   Jean-Baptiste FastrezDiplômé de l'ENSCI-Les Ateliers avec les félicitations du jury en 2010, Jean-Baptiste travaille durant trois ans auprès de Ronan et Erwan Bouroullec, tout en fondant son propre studio dans lequel il expérimente différentes créations, mêlant tradition et technologies. Grâce à ses travaux, le designer remporte le Grand Prix du Jury de la Design Parade 6 à la Villa Noailles en 2011, puis un Wallpaper Design Award en 2015 et est également exposé au Grand-Hornu (Belgique), au Mudac (Lausanne), puis au VIA (Paris). Certaines de ses "uvres sont même intégrées aux collections permanentes de grandes institutions, comme le Centre Pompidou, le musée des Arts Décoratifs de Paris, la Villa Noailles et la collection du Cnap.    Samy RioAprès avoir étudié l'ébénisterie durant quatre ans, Samy intègre l'ENSCI-Les Ateliers et se forme au design industriel. Grâce à ces deux savoir-faire, Samy sort de l'ENSCI-Les Ateliers avec les félicitations du jury, qu'il obtient grâce à un projet centré sur l'industrialisation de tubes de bambou en 2014 et qui lui permettra également d'être lauréat du Grand Prix Design Parade 10 à la Villa Noailles en 2015. Cette récompense lui offre l'occasion d'établir deux résidences l'année suivante : une au Cirva à Marseille, l'autre à la Cité de la céramique de Sèvres. Il collabore également avec la Galerie Kreo et travaille le bambou au NTCRI à Taïwan où il est invité à exercer au près de maîtres taïwanais. Ses réalisations questionnent sur les liens entre industrie et artisanat et techniques novatrices et traditionnelles.   Raphael Pluvinage & Marion PinaffoTous deux diplômés de l'ENSCI-Les Ateliers en 2013 pour l'un et 2015 pour l'autre, c'est pourtant grâce à leur travail respectif pour le studio Doshi Levien et Superflux à Londres que Marion et Raphaël commencent à collaborer ensemble. Le résultat est un premier projet, Papier Machine, en 2015 qui remporte l'Audi Talents Award en 2016 mêlant créations positives et légères de Marion et de réflexions technologiques, sociales et politiques de Raphael. Les différents fruits de leur collaboration ont été exposés à la Gaîté Lyrique et à la Biennale Internationale de Design de Saint-Étienne. Les designers ont en outre plus récemment contribué à l'élaboration de la scénographie d'un espace pour la Biennale Internationale de Design de Saint-Étienne de Mars 2017.   Lysandre GraeblingPassionnée par l'univers de la mode, Lysandre a d'abord étudié le stylisme avant de s'intéresser au design textile à l'ENSCI-Les Ateliers, d'où elle sort en 2013. Sa formation lui permet d'explorer différentes techniques liées aux tissus, comme le tissage, la maille, la broderie ou la sérigraphie. Son diplôme en poche, elle collabore avec de grandes maisons comme Hermès ou Sonia Rykiel pour laquelle elle dessine des motifs destinés à la ligne enfant. En 2015, Lysandre fonde le studio de design textile Tohu-Bohu avec Lucile Bonnaud où elles réalisent chaque saison une collection de motifs pour les créateurs de mode ou les architectes d'intérieur.   Maison&Objet, du 8 au 12 septembre 2017, au Parc des Expositions de Paris-Nord Villepinte. Photographies : Maison&Objet Pour en savoir plus, visitez le site de Maison&Objet

Organisé dans le cadre de MAISON&OBJET PARIS, les RISING TALENTS AWARDS récompensent les jeunes designers les plus prometteurs du moment, sélectionnés parmi les diplômés de l'École Nationale Supérieure de la Création Industrielle (ENSI-Les Ateliers). Pour cette édition, huit lauréats exposeront leurs dernières créations lors de l'événement qui aura lieu en septembre prochain. Alexandre EchasseriauxDiplômé en 2013 de l'ENSCI-Les Ateliers avec félicitations du jury, Alexandre est d'abord formé à l'École Boulle aux techniques de tournage ornemental et de travail du métal en général, avant de s'orienter vers le design industriel. Très influencé par l'artisanat ancien, le créateur réalise des objets hybrides situés entre innovation et tradition. En 2016, il fonde en région parisienne CRAFTER STUDIO où il étend son savoir-faire à de nombreux domaines : design industriel, prototypage, etc. Son originalité et sa grande dextérité lui valent d'être lauréat des Audi Talents Awards en 2014 et d'être nommé responsable de la direction artistique du FabLab du Centre Pompidou jusqu'en juillet 2017. Julien Phedyaeff & Christopher SanterreSortis de l'ENSCI-Les Ateliers en 2014, Julien et Christopher forment un duo complémentaire : le premier s'intéresse au prototypage et au travail de la matière tandis que le second se passionne pour la production industrielle. Leur attrait mutuel pour les modes et les habitudes de consommation les pousse à s'associer en 2015 sous le nom de L'Increvable SAS, une société d'électroménager visant à mettre l'utilisateur au centre des réalisations, pour des objets conçus et distribués de manière durable, réparable et évolutive.   Claire LavabreClaire est designer et photographe, diplômée de l'ENSCI-Les Ateliers en 2012. Après avoir multiplié les collaborations d'exception " avec Ronan et Erwan Bouroullec, Inga Sempé, Léon Ransmeier et l'agence d'architecture de Laurent Deroo ", elle crée son propre studio dans lequel elle jongle entre projets de design et d'architecture d'intérieur. Passionnée par les jeux d'optique, son travail mêle miroirs, cadres et lumières, créant des distorsions visuelles, interrogeant les notions même de vanité, d'identité ou de dualité. Grâce à son univers unique et ses réalisations atypiques, les réalisations de Claire Lavabre ont été exposées à la Villa Noailles dans le cadre du festival Design Parade ainsi que durant le festival de Mode et de Photographie en Hyères en 2013, puis au Palais de Tokyo en 2014 et à la Great Design Gallery de Paris.   Luce CouilletSi Luce a d'abord emprunté le chemin du design produit lors de son apprentissage à l'ESAD de Reims, cette dernière se concentre par la suite sur la conception textile au sein de l'ENSCI-Les Ateliers, d'où elle sort diplômée en 2010. Son savoir-faire est unique : inspirée de la pratique artisanale du tissage et de la R&D low-tech, elle développe une matériauthèque expérimentale aussi bien mise au service de la haute couture que de l'architecture d'intérieur ou encore du sport et des milieux médicaux. Récompensée en 2012 par le Grand Prix de la Création de la ville de Paris, elle rejoint cette année le showroom parisien DINES dans le but d'y fonder un laboratoire textile destiné aux architectes d'intérieur.   Jean-Baptiste FastrezDiplômé de l'ENSCI-Les Ateliers avec les félicitations du jury en 2010, Jean-Baptiste travaille durant trois ans auprès de Ronan et Erwan Bouroullec, tout en fondant son propre studio dans lequel il expérimente différentes créations mêlant tradition et technologies. Grâce à ses travaux, le designer remporte le Grand Prix du Jury de la Design Parade 6 à la Villa Noailles en 2011, puis un Wallpaper Design Award en 2015 et est également exposé au Grand-Hornu (Belgique), au Mudac (Lausanne), puis au VIA (Paris). Certaines de ses "uvres sont même intégrées aux collections permanentes de grandes institutions, comme le Centre Pompidou, le musée des Arts Décoratifs de Paris, la Villa Noailles et la collection du Cnap.    Samy RioAprès avoir étudié l'ébénisterie durant quatre ans, Samy intègre l'ENSCI-Les Ateliers et se forme au design industriel. Grâce à ces deux savoir-faire, Samy sort de l'ENSCI-Les Ateliers avec les félicitations du jury, qu'il obtient grâce à un projet centré sur l'industrialisation de tubes de bambou en 2014 et qui lui permettra également d'être lauréat du Grand Prix Design Parade 10 à la Villa Noailles en 2015. Cette récompense lui offre l'occasion d'établir deux résidences l'année suivante : une au Cirva à Marseille, l'autre à la Cité de la céramique de Sèvres. Il collabore également avec la Galerie Kreo et travaille le bambou au NTCRI à Taïwan où il est invité à exercer auprès de maîtres taïwanais. Ses réalisations questionnent sur les liens entre industrie et artisanat et techniques novatrices et traditionnelles.   Raphael Pluvinage & Marion PinaffoTous deux diplômés de l'ENSCI-Les Ateliers en 2013 pour l'un et 2015 pour l'autre, c'est pourtant grâce à leur travail respectif pour le studio Doshi Levien et Superflux à Londres que Marion et Raphaël commencent à collaborer ensemble. Le résultat est un premier projet, Papier Machine, en 2015 qui remporte l'Audi Talents Award en 2016 mêlant créations positives et légères de Marion et réflexions technologiques, sociales et politiques de Raphael. Les différents fruits de leur collaboration ont été exposés à la Gaîté Lyrique et à la Biennale Internationale de Design de Saint-Étienne. Les designers ont en outre plus récemment contribué à l'élaboration de la scénographie d'un espace pour la Biennale Internationale de Design de Saint-Étienne de Mars 2017.   Lysandre GraeblingPassionnée par l'univers de la mode, Lysandre a d'abord étudié le stylisme avant de s'intéresser au design textile à l'ENSCI-Les Ateliers, d'où elle sort en 2013. Sa formation lui permet d'explorer différentes techniques liées aux tissus, comme le tissage, la maille, la broderie ou la sérigraphie. Son diplôme en poche, elle collabore avec de grandes maisons comme Hermès ou Sonia Rykiel pour laquelle elle dessine des motifs destinés à la ligne enfant. En 2015, Lysandre fonde le studio de design textile Tohu-Bohu avec Lucile Bonnaud où elles réalisent chaque saison une collection de motifs pour les créateurs de mode ou les architectes d'intérieur.   Maison&Objet, du 8 au 12 septembre 2017, au Parc des Expositions de Paris-Nord Villepinte. Photographies : Maison&Objet Pour en savoir plus, visitez le site de Maison&Objet

Le numéro de juin de d'architectures est le rendez-vous annuel de l'architecture des espaces de travail, des hôtels, restaurants et boutiques.Retrouvez aussi le dessin de Martin Étienne, le Quèsaco, toute l'actualité du mobilier et du design (Salon de Milan) ainsi que Ross Lovegrove au Centre Pompidou, Thom Mayne à Vals, le nouveau concept hôtelier de Cyril Aouizerate, Philippe Starck à Singapour, le Design Museum de Londres par OMA et John Pawson, la nouvelle vague de transformations du CND de Pantin, les espaces aménagés par T&P Work UNit pour BETC, Aesop à São Paulo par les frères Campana... SOMMAIRE N°254 - JUIN 2017 > Le dessin de Martin Étienne> Brèves : expositions, hôtels, design, restaurants, transformation, espaces de travail,boutiques, installations, mobilier> Le Salon du meuble de Milan 2017> Dossier éclairage des bureaux et commerces : s'adapter à la nouvelle mutabilité des usages> Quèsaco ?BOUTIQUES / H"TELS / RESTAURANTS - Dossier réalisé par Maryse Quinton > De la niche à la chaîne, entretien avec Damien Perrot> Neri & Hu : boutique Sulwhasoo, Séoul> RCR et Pau Llimona : restaurant Enigma, Barcelone> OMA : boutique Repossi, Paris 1er> Peter Pichler et Pavol Mikolajcak : restaurant Oberholz, Obereggen, Italie>TAK : Hôtel Ccasa, Nha Trang, Vietnam> Sergio Peralta et Ideo : hôtel Finca Luz de Alba, Argamasilla de Alba, Espagne> Jakob + MacFarlane : boutique Frédéric Malle, Paris 4e> Joseph Grappin : boutique Mark'Style Tokyo, Paris 4e> François Lefelle : bar à bières La Capsule, Lille> Patrick Arotcharen : Écolodges Les Échasses, Saubion, Landes> LanD Studio : Treehouse M, province d'Anhui, Chine> Galerie des portraits ESPACES DE TRAVAIL - Dossier réalisé par Karine Dana > Flex office : quelle place pour l'usager ? Table ronde organisée par Karine Dana> MVRDV : MVRDV House, Rotterdam> Vincent & Gloria : KissKissBankBank, Paris 10e> h2o : Pôle image, Bourg-lès-Valence> SelgasCano : Second Home, Lisbonne> Supermachine Studio : Hubba-to, Bangkok> Linehouse : WeWork Weihai Lu, Shanghai> Encore Heureux : 507 Fab House, Châlette-sur-Loing> Bourbouze & Graindorge : Antigel, Nantes> Nicolas Dorval-Bory : Galleria P420, Bologne> Selencky Parsons : Selencky Parsons office, Londres> Ateliers O-S : étude notariale, Paris 8e> Galerie des portraits Pour en savoir plus, visitez le site de d'architectures

Prysmian Group, spécialiste mondial des câbles de distribution et de télécommunications, exposera l'ensemble des produits et services dédiés à l'éolien offshore à l'occasion du salon Offshore Wind Energy 2017 qui se tiendra à Londres du 6 au 8 juin prochain.

Dans le 9e arrondissement parisien, le groupe Legendre mène depuis septembre 2016 une opération de réhabilitation lourde au 54 rue de Londres. Fait insolite, on peut y apercevoir un retourneur à camion.

Depuis plus de 50 ans la marque italienne Pedrali fait figure de référence dans le domaine du design. Un positionnement que la marque confirme avec l'élégante chaise Fox dessinée par le designer Patrick Norguet. Après avoir dessiné les chaises VIC et VIC Metal pour Pedrali, le designer français Patrick Norguet, dont le talent n'est plus à prouver, réalise pour le compte de la marque italienne l'assise Fox, présentée cette année à l'occasion du Salone del Mobile de Milan. " C'est un projet sur lequel on a beaucoup travaillé. Le résultat de ce projet, c'est une chaise innovante, nouvelle, singulière, élégante et généreuse. C'est la résultat d'une mixité de différents matériaux : on a travaillé sur le bois, le bois massif et le plastique... et voilà ! On présente cette chaise qui est pour moi un archétype de simplicité. " Patrick Norguet, designer Destinée à l'aménagement intérieur, Fox se compose d'une coque mince ajourée en polypropylène renforcé de fibres de verre, logée dans un profil en bois courbé et arrondi aux extrémités, comme pour recevoir et englober l'hôte dans la chaleur du bois. Fox est disponible en cinq finitions de coque en polypropylène " sablé, marsala, bleu, blanc et noir ", et deux pour les pieds " tube acier chromé ou sablé, de section 14 millimètres pour la version Fox 3726 ; ou frêne blanchi ou teinté noir de section variable pour Fox 3716. Avec toutes ces finitions, le modèle offre un éventail de possibilités graphiques et saura donc s'adapter à tous les aménagements.Outre le confort permis par l'alliance du plastique et du bois, l'un utilisé pour sa solidité, l'autre pour sa finesse et sa résistance, Fox (dim. 605 x 535 x 790 centimètres), est par ailleurs empilable, réduisant ainsi l'encombrement.La polyvalence et la fonctionnalité sont garanties par les multiples combinaisons de couleurs entre le bois et la coque confortable, combinées avec les pieds en frêne à section variable. Pour en savoir plus, visitez le site de Fox. À propos de PedraliPedrali ou " L'essence italienne " : au-delà du slogan, cette formule représente de manière très juste une marque italienne familiale implantée à Bergame et Udine. Des valeurs qui se retrouvent dans les produits d'ameublement qu'elle propose depuis 1963 aux collectivités, lieux publics, bureaux et logement individuel. Chaque collection est le résultat d'une recherche rigoureuse et attentive de la matérialité " plastique, métal, bois et rembourré " et du dessin parfaits, afin de proposer à ses client des produits variés mais surtout innovants. Design et audace sont leurs maîtres mots. Cela n'a pas échappé aux experts du domaine qui ont remis de nombreux prix à la marque, notamment le prestigieux Compasso d'Oro pour la chaise Frida dessinée par Odo Fioravanti. Assises, tables, compléments d'ameublement et luminaires sont entièrement développés en Italie à travers un processus qui lie tradition et innovation, excellence technique et génie créatif. L'expérimentation de technologies de production, l'utilisation de matériels diversifiés et la collaboration avec de nombreux designers.Plus de 50ans de création, qui ont permis à ses produits d'intégrer des lieux prestigieux comme le Google Campus à Dublin (Irlande), le restaurant 3 étoiles Michelin Alain Ducasse de l'hôtel Dorchester à Londres (Royaume-Uni) et ou encore, la boutique haut de gamme Van Cleef & Arpels sur la Cinquième Avenue de New York (USA) et la bibliothèque Kanazawa Umimirai Library au Japon. Pedrali a en outre à c"ur la production de gammes durables, tant du point de vue du processus de fabrication que de la résistance, empêchant ainsi d'avoir à remplacer prématurément un produit. Au cours du processus de production, une attention particulière est également accordée aux matériaux employés, à la limitation de la consommation de matières premières et des ressources naturelles, le recyclage et le contrôle des émissions de CO2. Tous les produits sont ainsi conçus pour pouvoir être désassemblés aisément et profiter d'une seconde vie es produits qui emploient des polymères sont marqués ISO 11469 de sorte à être facilement identifiables lors du recyclage. En parallèle, le certificat FSC® C114358 pour la Chaîne de Traçabilité garantie la provenance du bois uniquement des forêts gérées de façon responsable et durable selon des normes environnementales, sociales et économiques strictes. Fox est lauréat des MIAW 2017 dans la catégorie Mobilier / ChaisePour en savoir plus, visitez le site de Pedrali. Le choix de la rédactionSon design épuré et les multiples combinaisons de matériaux et de couleurs que le modèle offre à ses utilisateurs, font de lui une réalisation exemplaire. Le Muuuz International Award reçu par Fox, et plus largement par la marque Pedrali, dans la catégorie Mobilier / Chaise, confirme l'engagement de l'entreprise dans la conception de pièces de mobilier durable, de qualité, qui n'en n'oublient pas le design.  

Volvo Construction Equipment a dévoilé à Londres l'EX2 : une mini pelle entièrement électrique aux émissions de carbone nulles et à l'efficacité 10 fois supérieure, sans compter des émissions sonores 10 fois plus faibles.

Concepteur d'édifices sans être architecte, assembleur de collages en trois dimensions sans être sculpteur, et photographe amateur, le Coréen Beomsik Won est un artiste singulier. Son domaine : la manipulation de photographies pour créer des architectures oniriques et surréalistes, Archisculpture Photo Project. Au fondement de ce travail de Beomsik Won : une vaste collection personnelle de photographies complétée au fil de ses années d'études à la Slade School of Fine Art de Londres ; et surtout une créativité sans limites. Un procédé que l'on peut qualifier à la fois de déconstruction et de reconstruction puisque l'artiste démantèle des bâtiments existants pour en créer de nouveaux. Divisé en deux chapitres, Collage et Antigravity, le projet propose des architectures chimériques paradoxalement placées le plus souvent dans des champs vides ou des décors sans aucun rapport avec sa composition, comme un port de plaisance, un canal ou des villes très excentrées. Beomsik Won parvient ainsi à mélanger styles, époques, dimensions et lieux, pour développer des édifices imaginaires monumentaux et des atmosphères spécifiques, entre le suffocant et le fantastique. Le spectateur peut notamment y voir un message testimonial de notre environnement construit actuel, à travers une vision soit utopique, soit distopique, mais définitivement imaginaire. " Mon intérêt envers l'architecture provient de son aspect gigantesque et de ses fonctions pragmatiques. Lorsque j'observe des bâtiments de grandes tailles ou ayant un design particulier, je prends une photo le plus souvent, donc j'ai récolté des centaines de clichés. Néanmoins, je ne peux pas utiliser ces photos directement car même si j'en suis le photographe, cela reste le travail de l'architecte. Ainsi, j'ai décidé de les utiliser comme supports matériels pour mes créations artistiques, tel que le marbre ou le bronze. " Beomsik Won C'est dans un respect très marqué des "uvres qu'il photographie, que Beomsik Won conceptualise son art, en y attachant une volonté de repenser l'architecture par le principe de déconstruction. Illustrations : Beomsik Won Pour en savoir plus, visitez le site de Beomsik Won

Cette consultation porte sur le choix d'une équipe complète d'experts à même de concevoir le projet le plus inspirant et le plus innovant pour la musique à Londres. Ce projet est à l'initiative du Barbican, du London Symphony Orchestra et de la Guildhall School of Music & Drama. Il sera financé par la City of […]

Le Prix de la Jeune Création Métier d'Art, mis en place par les Ateliers d'Art de France, est une récompense qui vise à propulser des designers de moins de 35 ans sur le devant de la scène. Pour cette édition, cinq lauréats ont exposé leurs travaux durant le salon Révélations. Portrait de ces créateurs en devenir à suivre de près.   Camille Bellot et Paul Bouteiller Tous deux passionnés par l'univers de la mode " elle, diplômée de l'école Duperré, spécialisée en mode et en environnement ; lui, de l'École de design de la Ville de Paris en communication visuelle, mode et design ", Camille et Paul décident de s'associer dans le but de " faire naître des figures graphiques dans l'espace ". De cette envie est né leur animal mystérieux, sorte de canidé aux crocs acérés, fait de bois et de papier. Leur création est hybride, entre costume, masque, totem, jeu de construction, masque ou sculpture, elle se situe à la croisée des chemins de nombreuses influences. Leur collaboration a ainsi déjà été repérée pour orner les boutiques de grands noms du monde du luxe, comme celles de John Galliano ou de Royal Quartz.   Marine DominiczakLe travail de Marine est basé sur " les relations qu'entretient le corps avec son environnement et sa perception au sein de la société ". Après une formation en design, elle se spécialise dans la joaillerie et intègre l'atelier bijou de la Haute École des Arts du Rhin de Strasbourg jusqu'en 2013. Remarquée grâce à l'un de ses premiers travaux Mes Cales (2013), série de galets en fonte d'aluminium inspirés d'empreintes corporelles, elle continue depuis d'explorer le rapport entre l'objet et le corps. Pour cette réalisation, la matière doit en effet être maintenue par la personne, la plaçant volontairement dans une situation d'immobilité. Ici, l'objet contraint son sujet. Aujourd'hui en résidence à Séoul (Corée), la créatrice continue de développer sa démarche, abordant notamment le sujet de la chirurgie esthétique ou de l'usage démesuré du miroir.   Yiyan ZhouAprès une formation en design à l'Université Normale de Shangaï (Chine) puis un emploi de graphiste pendant quatre ans, l'artiste originaire de l'est de la Chine commence une nouvelle vie à Paris, en 2007, où elle entame un cursus de photographie et de stylisme au Studio Berçot. Charmée par la douceur de la porcelaine, elle entre à la Manufacture de Sèvres. En découle White Blanc & Bai, collection de bijoux/sculptures dont la finesse est récompensée par le Grand Prix de la Création de la Ville de Paris. Yiyan organise ses bijoux autour de la figure du cercle, symbole de la perfection et figure omniprésente dans la culture chinoise. Son façonnage de la porcelaine a également été exposé lors de la Design Week de Milan de 2015 et à l'occasion de l'évènement " Bijoux, objets d'art en porcelaine " à la Galerie Minimasterpiece à Paris en 2016.   Maxime LeroyAvec la plume comme matière de prédilection, Maxime réalise des "uvres sculpturales et graphiques sur n'importe quel support, en exploitant tout le potentiel avec une grande dextérité. Après plus de dix ans de maîtrise de ce matériau atypique, le concepteur fonde sa marque, M. Marceau en 2013, puis collabore avec de grandes maisons comme Chanel, Givenchy, Jean Paul Gauthier ou encore Louis Vuitton. En parallèle, il enseigne également la plumasserie au lycée Octave Feuillet , unique établissement dédié à l'apprentissage ce savoir-faire rare.   Marie MassonCette jeune créatrice formée à l'École Nationale Supérieure d'Art de Limoge puis à la Central St Martin's School de Londres au département Ceramics, Jewellery and Furniture redéfinit la parure féminine et masculine. Avec ses bijoux sculpturaux, elle sublime les corps. Marie exerce à partir de matière animale et humaine et met en forme des objets insolites, comme des cravates en crin de cheval, des broches de plumes ou même des objets de toilette décorés de cheveux. Elle évolue aujourd'hui en tant qu'artiste indépendante et expose ses réalisations lors de nombreux événements français ou étrangers. Photographies : Portraits (de gauche à droite) :1) Camille Bellot et Paul Bouteillier2) DR Marine Dominiczak3) Yiyan Zhou4) Julien Cresp5) Julien Cresp Oeuvres :1) Julien Cresp2) Julien Cresp3) Julien Cresp4) Atelier M.Marceau5) Julien Cresp Pour en savoir plus, visitez le site de Révélations

Le Prix de la Jeune Création Métier d'Art, mis en place par les Ateliers d'Art de France, est une récompense qui vise à les propulser les designers de moins de 35 ans sur le devant de la scène. Pour cette édition, cinq lauréats ont pu exposer leurs travaux durant le salon Révélations. Portrait de ces jeunes talents, à suivre de près. Camille Bellot et Paul Bouteiller Tous deux passionnés par l'univers de la mode " elle, diplômée de l'école Duperré, spécialisée en mode et en environnement ; lui, de l'École de design de la Ville de Paris en communication visuelle, mode et design ", Camille et Paul décident de s'associer dans le but de " faire naître des figures graphiques dans l'espace ". De cette envie est né leur animal mystérieux, sorte de canidé aux crocs acérés, fait de bois et de papier. Leur création est hybride, entre costume, masque, totem, jeu de construction, masque ou sculpture, elle se situe à la croisée des chemins de nombreuses influences. Leur collaboration a ainsi déjà été repérée pour orner les boutiques de grands noms du monde du luxe, comme celles de John Galliano ou de Royal Quartz.   Marine DominiczakLe travail de Marine est basé sur " les relations qu'entretient le corps avec son environnement et sa perception au sein de la société ". Après une formation en design, elle se spécialise dans la joaillerie et intègre l'atelier bijou de la Haute École des Arts du Rhin de Strasbourg jusqu'en 2013. Remarquée grâce à l'un de ses premiers travaux Mes Cales (2013), série de galets en fonte d'aluminium inspirés d'empreintes corporelles, elle continue depuis d'explorer le rapport entre l'objet et le corps. Pour cette réalisation, la matière doit en effet être maintenue par la personne, la plaçant volontairement dans une situation d'immobilité. Ici, l'objet contraint son sujet. Aujourd'hui en résidence à Séoul (Corée), la créatrice continue de développer sa démarche, abordant notamment le sujet de la chirurgie esthétique ou de l'usage démesuré du miroir.   Yiyan ZhouAprès une formation en design à l'Université Normale de Shangaï (Chine) puis un emploi de graphiste pendant quatre ans, l'artiste originaire de l'est de la Chine commence une nouvelle vie à Paris, en 2007, où elle entame un cursus de photographie et de stylisme au Studio Berçot. Charmée par la douceur de la porcelaine, elle entre à la Manufacture de Sèvres. En découle White Blanc & Bai, collection de bijoux/sculptures dont la finesse est récompensée par le Grand Prix de la Création de la Ville de Paris. Yiyan organise ses bijoux autour de la figure du cercle, symbole de la perfection et figure omniprésente dans la culture chinoise. Son façonnage de la porcelaine a également été exposé lors de la Design Week de Milan de 2015 et à l'occasion de l'évènement " Bijoux, objets d'art en porcelaine " à la Galerie Minimasterpiece à Paris en 2016.   Maxime LeroyAvec la plume comme matière de prédilection, Maxime réalise des "uvres sculpturales et graphiques sur n'importe quel support, en exploitant tout le potentiel avec une grande dextérité. Après plus de dix ans de maîtrise de ce matériau atypique, le concepteur fonde sa marque, M. Marceau en 2013, puis collabore avec de grandes maisons comme Chanel, Givenchy, Jean Paul Gauthier ou encore Louis Vuitton. En parallèle, il enseigne également la plumasserie au lycée Octave Feuillet , unique établissement dédié à l'apprentissage ce savoir-faire rare.   Marie MassonCette jeune créatrice formée à l'École Nationale Supérieure d'Art de Limoge puis à la Central St Martin's School de Londres au département Ceramics, Jewellery and Furniture redéfinit la parure féminine et masculine. Avec ses bijoux sculpturaux, elle sublime les corps. Marie exerce à partir de matière animale et humaine et met en forme des objets insolites, comme des cravates en crin de cheval, des broches de plumes ou même des objets de toilette décorés de cheveux. Elle évolue aujourd'hui en tant qu'artiste indépendante et expose ses réalisations lors de nombreux événements français ou étrangers. Photographies :1) Julien Cresp2) Julien Cresp3) Julien Cresp4) Atelier M.Marceau5) Julien Cresp Pour en savoir plus, visitez le site de Révélations

C'est aux éditions 5 Continents qu'est sortie la monographie de Pablo Reinoso, sculpteur-architecte faisant sensation dans le monde de l'art depuis plus d'une dizaine d'années. Un ouvrage de 280 pages mêlant des photos et textes qui permettent de mieux connaître et de comprendre l'esprit du créateur. À l'âge de 14 ans, le jeune Pablo Reinoso visite Paris. Il parcourt alors le musée Rodin, la maison de Verre de Pierre Chareau, et découvre le sculpteur Henry Laurens : c'est une révélation pour l'adolescent argentin. Six ans plus tard, il forme son premier atelier de sculpture à Buenos Aires. À 23 ans, il s'installe à Paris, sur les traces de son voyage initiatique. C'est le début d'une longue carrière. Dès ses premiers travaux en Argentine, il prend l'habitude de produire par série, lui permettant d'aller jusqu'au bout de ses idées, afin de maîtriser au mieux l'objet qu'il manie, remanie ou transforme. Comme pour sa série Thoneteando, en 2004, le créateur détourne un symbole du design industriel : la chaise Thonet n° 14. Néanmoins, ce sont ses Bancs Spaghetti, deux ans plus tard, qui l'amènent sur le devant de la scène internationale. S'en suit alors une période de succès retentissant, jusqu'à réaliser une commande pour la terrasse sud du palais de l'Élysée, et deux sculptures disposées sur les rives de la Tamise à Londres (Royaume-Uni). Avec cet ouvrage, retrouvez un condensé exhaustif du travail de Pablo Reinoso. Des images d'archive, dont certaines inédites, étoffées de textes sincères qui retracent le parcours du Sud-américain et l'analysent : un texte du philosophe et épistémologue Michel Serres, un entretien avec le critique d'art Henri-Francois Debailleux et un autre avec l'écrivain et psychanalyste Gérard Wajcman. " Si j'en viens à penser que les productions de Pablo Reinoso excèdent leur nature propre, ce n'est pas parce qu'il serait impossible de la nommer, mais, considérée sous un certain angle, parce que chaque création peut se manifester et participer de natures diverses, multiples, voire opposées, en même temps ou successivement. " Gérard Wajcman Monographie de Pablo Reinoso, éditions 5 Continents, 280 pages, 80 euros Photographies : 1) Retour au végétal , 2015 , p. 130-131 2) Double Spaghetti , 2006 , p. 136-137 3) Chaise de l'harmonie , 2011 , p. 24-25 4) Personal Stool - Self Portrait , 2012 , p. 248-249 5 et 6 ) Ashes to Ashes , 2002 , p. 98-99 7) Two for Tango , 2012 , p. 166-167  8) Circular Bench , 2012 , p. 206-207 Pour en savoir plus, visitez le site de Pablo Reinoso     

C'est aux éditions 5 Continents qu'est sortie la monographie de Pablo Reinoso, sculpteur-architecte faisant sensation dans le monde de l'art depuis plus d'une dizaine d'années. Un ouvrage de 280 pages mêlant des photos et textes qui permettent de mieux connaître et de comprendre l'esprit du créateur. À l'âge de 14 ans, le jeune Pablo Reinoso visite Paris. Il parcourt alors le musée Rodin, la maison de Verre de Pierre Chareau, et découvre le sculpteur Henry Laurens : c'est une révélation pour l'adolescent argentin. Six ans plus tard, il forme son premier atelier de sculpture à Buenos Aires. À 23 ans, il s'installe à Paris, sur les traces de son voyage initiatique. C'est le début d'une longue carrière. Dès ses premiers travaux en Argentine, il prend l'habitude de produire par série, lui permettant d'aller jusqu'au bout de ses idées, afin de maîtriser au mieux l'objet qu'il manie, remanie ou transforme. Comme pour sa série Thoneteando, en 2004, le créateur détourne un symbole du design industriel : la chaise Thonet n° 14. Néanmoins, ce sont ses Bancs Spaghetti, deux ans plus tard, qui l'amènent sur le devant de la scène internationale. S'en suit alors une période de succès retentissant, jusqu'à réaliser une commande pour la terrasse sud du palais de l'Élysée, et deux sculptures disposées sur les rives de la Tamise à Londres (Royaume-Uni). Avec cet ouvrage, retrouvez un condensé exhaustif du travail de Pablo Reinoso. Des images d'archive, dont certaines inédites, étoffées de textes sincères qui retracent le parcours du Sud-américain et l'analysent : un texte du philosophe et épistémologue Michel Serres, un entretien avec le critique d'art Henri-Francois Debailleux et un autre avec l'écrivain et psychanalyste Gérard Wajcman. " Si j'en viens à penser que les productions de Pablo Reinoso excèdent leur nature propre, ce n'est pas parce qu'il serait impossible de la nommer, mais, considérée sous un certain angle, parce que chaque création peut se manifester et participer de natures diverses, multiples, voire opposées, en même temps ou successivement ", Gérard Wajcman Monographie de Pablo Reinoso, Editions 5 Continents, 280 pages, 80 euros Photographies : 1) Retour au végétal , 2015 , p.130-131 2) Double Spaghetti , 2006 , p.136-137 3) Chaise de l'harmonie , 2011 , p.24-25 4) Personal Stool - Self Portrait , 2012 , p.248-249 5 et 6 ) Ashes to Ashes , 2002 , p.98-99 7) Two for Tango , 2012 , p.166-167  8) Circular Bench , 2012 , p.206-207 Pour en savoir plus, visitez le site de Pablo Reinoso     

D'aucuns se souviennent peut-être du pavillon de l'agence Encore heureux installé sur le parvis de l'hôtel de ville de Paris en décembre 2015, durant la COP 21, l'occasion pour Julien Choppin et Nicola Delon d'illustrer concrètement leur démarche centrée autour de l’économie circulaire. ARUP à Londres a choisi une autre approche et mise sur l'industrie. […]

Dans le cadre du mois de la photo-OFF et de l'inauguration de ses nouveaux locaux, le Conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement des Hauts-de-Seine (CAUE92), ouvre ses portes avec une exposition, " L'ombre de l'angle ", mêlant photographie et architecture, deux domaines qui peuvent se sublimer mutuellement. Nanterre : un lieu d'aménagement aux aspects de fourmilière, où se développe à vitesse grand V logements, bureaux ou autres infrastructures. Ce territoire en mutation est donc un cadre parfait pour le CAUE du département qui a pour volonté de démocratiser la culture dans cette zone du Grand Paris, souvent délaissée par les collectivités. Pour le premier événement organisé dans son nouveau bâtiment, le CAUE a fait appel à 17 photographes de renom qui ont élaboré une sélection de visuels autour du thème de l'architecture donc. Une soixantaine de clichés exceptionnels de Sergio Grazia, Hélène Binet ou encore Laurent Kronental, met en lumière des édifices mondiaux atypiques comme le musée gallo-romain de Lyon (69), la Tate Modern de Londres (Royaume-Uni) ou le Viaduc et les Arcades du lac de Montigny-le-Bretonneux (78).Ce rassemblement d'artistes permet également d'aborder des problématiques diverses et variées traitant de la complexité des deux domaines, le bâti et la prise de vues, mais aussi l'incidence de l'un sur l'autre. Au final, c'est la notion même de commande qui est questionnée, ainsi que la relation entre artiste et créateur ; avec les libertés prises par l'un pour faire valoir son art face à celui de l'autre. C'est dans un cadre culturel trop rare et peu soutenu que cette exposition inaugure le nouveau CAUE de Nanterre, espérant y faire converger le plus de personnes possible, d'horizons différents, avec l'espoir secret d'insuffler plus de réflexion et d'engouement pour les arts. L'exposition L'ombre de l'angle du Caue92 se tiendra du 7 avril au 29 avril 2017 au Caeu92  - 279, terrasse de l'Université , Nanterre  (92) (France)  Photographies : 1) Jacques, 82 ans, Le Viaduc et les Arcades du Lac, Montigny-le-Bretonneux, 2015_Souvenir d'un futur © Laurent Kronental 2) Memorial 2 © Filip Dujardin 3) Musee?e gallo-romain. Bernard Zeh rfuss architecte, Lyon © Michel Denance? 4) Po?le culturel. O-S architectes. St-Germain-Le?s-Arpajon, 2015 © Cyrille Weiner 5) Lieu de vie. Muoto, Plateau de Saclay, 2016 © Maxime Delvaux 6) Po?le danse et musique. Joly&Loiret, Versailles, 2016 © Schnepp Renou 7) Pont sur le Basento. Sergio Musmeci et Zenai de Zanini, Potenza. 2016 © He?le?ne Binet 8) Tate Modern Switch House, Night View from Holland St. Herzog & de Meuron architectes, 2016 © NAARO 9) Maison du port. Zaha Hadid architectes, Anvers, 2016 © Boegly+Grazia 2016 Pour en savoir plus, visitez le site du CAUE92 Entrée libre du mercredi au samedi de 12 h à 18 hjusqu'à 22 h les soirs de débat et apéro-DJ.

Dans le cadre de mois de la photo-OFF et de l'inauguration de ses nouveaux locaux, le Conseil d'architecture, d'urbanisme et de l'environnement des Hauts-de-Seine (CAUE92), ouvre ses portes avec une exposition, L'ombre de l'angle, mêlant photographie et architecture, deux domaines qui peuvent se sublimer mutuellement. Nanterre : un lieu d'aménagement aux aspects de fourmilière, où se développe à vitesse grand V logements, bureaux ou autres infrastructures. Ce territoire en mutation est alors un cadre parfait pour le CAUE du département qui a pour volonté de démocratiser la culture dans cette zone du Grand Paris, souvent délaissée par les collectivités. Pour le premier événement organisé dans le nouveau bâtiment, le CAUE a fait appel à 17 photographes de renom qui ont élaboré une sélection de visuels autour du thème de l'architecture donc. Une soixantaine de clichés exceptionnels de Sergio Grazia, Hélène Binet ou encore Laurent Kronental, met en lumière des édifices mondiaux atypiques comme le musée gallo-romain de Lyon (69), la Tate Modern Switch House à Londres (Royaume-Uni) ou le Viaduc et les Arcades du lac de Montigny-le-Bretonneux (78).Ce rassemblement d'artistes permet aussi de parcourir des problématiques diverses et variées traitant de la complexité des deux domaines, le bâti et la prise de vues, mais aussi sur l'incidence de l'un sur l'autre. Au final, c'est la notion même de commande qui est questionnée, ainsi que les relations entre artiste et créateur ; avec les libertés prises par l'un pour faire valoir son art face à celui de l'autre. C'est dans un cadre culturel trop rare et peu soutenu que cette exposition inaugure le nouveau CAUE de Nanterre, espérant y faire converger le plus de personnes possibles, d'horizons différents, avec l'espoir secret d'insuffler plus de réflexions et d'engouement aux jeunes. Photographies : 1) Jacques, 82 ans, Le Viaduc et les Arcades du Lac, Montigny-le-Bretonneux, 2015_Souvenir d'un futur © Laurent Kronental 2) Memorial 2 © Filip Dujardin 3) Musee?e gallo-romain. Bernard Zeh rfuss architecte, Lyon © Michel Denance? 4) Po?le culturel. O-S architectes. St-Germain-Le?s-Arpajon, 2015 © Cyrille Weiner 5) Lieu de vie. Muoto, Plateau de Saclay, 2016 © Maxime Delvaux 6) Po?le danse et musique. Joly&Loiret, Versailles, 2016 © Schnepp Renou 7) Pont sur le Basento. Sergio Musmeci et Zenai de Zanini, Potenza. 2016 © He?le?ne Binet 8) Tate Modern Switch House, Night View from Holland St. Herzog & de Meuron architectes, 2016 © NAARO 9) Maison du port. Zaha Hadid architectes, Anvers, 2016 © Boegly+Grazia 2016 Pour en savoir plus, visitez le site du CAUE92

Cette résidence secondaire, conçue au Québec par Bourgeois / Lechasseur architectes, est située aux Îles de la Madeleine, face à la Dune de l'Ouest et la mer. La résidence est dérivée d'une exploration formelle développée en maquette de sable, dans le cadre d'une exposition du Wallpaper Magazine à Londres. Communiqué. Fatima est le village le […]

L'architecte français Marc Fornes, installé à New-York et fondateur de l'agence THEVERYMANY, vient de livrer Under Magnitude, une structure suspendue installée dans l'atrium du Orange County Convention Center d'Orlando (USA). Fidèle à ses habitudes, il réalise une sculpture organique dont la conception repose entièrement sur l'outil informatique. Depuis de nombreuses années, Marc Fornes crée aux quatre coins du Globe des installations organiques issud de son programme Computational Mesh Walking as structural Stripes. Ses réalisations ont ainsi été exposées dans des lieux prestigieux tels que la boutique Louis Vuitton de Londres, la foire Miami Art Basel, ou encore le Grand Palais à Paris. Under Magnitude est à ce jour la plus imposante de ses structures construites.L'ensemble, installé dans le vaste atrium mouluré du centre des congrès d'Orlando, a nécessité l'assemblage de pas moins de 4 600 bandes d'aluminium de seulement un millimètre d'épaisseur courbées à la main. Une finesse qui rime pourtant avec robustesse puisque la suspension blanche peut supporter le poids d'un homme. L'ensemble corallien rompt la monotonie de la pièce d'accueil où il s'installe. Photographies : Marc Fornes / THEVERYMANY Pour en savoir plus, visitez le site de Marc Fornes / THEVERYMANY

Elogie-Siemp vient de lancer les travaux d'un ensemble immobilier de 36 logements sociaux et de 2 locaux d'activité rue de Londres, dans le 9ème arrondissement de Paris.

Deuxième marché européen de l'investissement en immobilier de bureaux après Londres, Paris doit miser sur l'économie numérique et devenir "tech city".

New Ludgate, conçu à Londres par Fletcher Priest Architects pour le promoteur Land Securities, est la transformation d’un pâté de maison en un nouveau quartier, généreux et vivant. Il met en place un dialogue entre deux nouveaux bâtiments complémentaires tout en rétablissant et améliorant le domaine public autour des ouvrages et en ouvrant de nouvelles […]

Ely Court est un développement résidentiel de 44 appartements conçu par l'agence londonienne Alison Brooks Architects (ABA) au sein du South Kilburn Estate Regeneration Masterplan dans le quartier de Brent, à Londres. Ely Court fait partie de la Phase 1 du Programme ?Regeneration'. Le projet propose appartements et duplex dont 40% de logements sociaux. Communiqué […]

A l'occasion du Rising Talent Award UK, Maison&Objet propulse cette année encore, six designers émergeants sur le devant de la scène mondiale du design. Pour cette édition six des plus grands noms du milieu ont chacun été invité à choisir et présenter une nouvelle figure du design anglais. Les six créateurs sélectionnés, exposeront leurs travaux et partageront leurs univers avec des professionnels qui visiteront le salon, du 20 au 24 janvier 2017 à Paris.   Marcin Rusakrepéré par Ilse Crawford Marcin Rusak d'origine polonaise a choisi de s'établir à Londres en tant qu'artiste et designer. Diplômé dans les sciences sociales et dans l'Art, le designer nous livre un travail qui oscille entre exploration historique et réflexion sur les habitudes de consommation et les méthodes industrielles contemporaines. Pour sa collection Flora Temporaria, Rusak a principalement travaillé à partir de résine et de fleurs, évoquant voire réinterprétant les peintures flamandes du XVIe siècle. Selon le designer le motif floral représente la cherche de la décoration naturelle " la nature devient elle-même un élément de décoration ". Pour en savoir plus, visitez le site de Marcin Rusak   John Boothrepéré par Sir Paul Smith John Booth a grandi dans le nord de l'Angleterre, où très tôt il s'intéresse à l'Art et notamment au collage. Passionné par l'illustration et les motifs, il a étudié les imprimés de mode au Central St Martins College of Art and Design pour être créateur de textile. Très vite son travail est sollicité par de grands couturiers comme Rhodes, Galliano, Shannon, tous interpellés par ses réalisations et son "il pour capter les formes et les structures. L'artiste est touche à tout, il travaille en suivant son intuition et ne limite pas sa créativité. Il retranscrit ses motifs souvent de couleurs primaires par collage, tracé, broderies sur différents médiums comme la céramique, les textiles, les papiers. " Ce que je veux avant tout, c'est trouver un langage visuel puissant et me l'approprier pleinement. " Pour en savoir plus, visitez le site de John Booth   Giles Millerrepéré par Ross Lovegrove Giles Miller est passionné par le développement de nouveaux habillages. " Notre monde est constitué de ces surfaces, elles doivent donc être traitées comme un élément essentiel de nos intérieurs et doivent faire l'objet d'une attention particulière, compte tenu de l'impact qu'elles peuvent avoir sur nous. " Son studio se réapproprie des méthodes de revêtement dites traditionnelles comme la gravure à l'acide ou le moulage du zinc mais explore aussi de nouveaux matériaux, techniques et finitions. Si l'interaction avec l'environnement est primordiale pour ses surfaces design, Miller ne perd pas de vue la fonctionnalité. Pour en savoir plus, visitez le site de Giles Miller   Sebastian Coxrepéré par Jay Osgerby Sebastian Cox évolue depuis son enfance dans le milieu de l'artisanat. Pour le designer britannique la conception et la fabrication sont deux facettes complémentaires de son métier. Il a étudié le mobilier à Lincoln University et a complété sa formation par un Master de design. Dans une démarche écoresponsable, Sebastian travaille à partir de matériaux abondants et désuets. Sa méthode est traditionnelle mais sa démarche créative est contemporaine. Il recherche un esthétisme simple et lisible qui s'inscrit dans une mouvance fonctionnelle. Pour en savoir plus, visitez le site de Sebastian Cox   Studio Swinerepéré par Nigel Coates L'architecte japonaise Azusa Murakami et l'artiste britannique Alexander Groves forment le Studio Swine. Ils sont tous deux passionnés par les matériaux et les nombreuses opportunités qu'ils nous offrent. Les deux designers concernés par l'épuisement des ressources naturelles, transforment des matériaux usagés en pièces uniques au design impeccable. Cette démarche durable adoptée par Studio Swine se retrouve également dans leurs créations artistiques et cinématographiques, où ils interrogent les thèmes de l'identité régionale et de l'avenir des ressources dans le contexte de la mondialisation. Ils représentent l'avenir d'un nouveau design écoresponsable. Pour en savoir plus, visitez le site de Studio Swine   Zuza Menghamrepérée par Tom Dixon Refusant l'étiquette d'artiste ou de designer, Zuza Mengham préfère être caractérisée par son intérêt pour l'interaction entre l'espace et ses créations sculpturales. Diplômée en sculpture du Wimbledon College of Art, la créatrice a forge son style abstrait-moderniste à travers son travail sur l'acier. Elle ne cesse de tester de nouveaux matériaux pour ces objets sculpturaux, toujours à la recherche d'explorer de nouveaux rendus, techniques et inspirations. Pour en savoir plus, visitez le site de Zuza Mengham          

Peter Chadwick, graphiste profondément passionné et inspiré par le brutalisme, offre avec ce livre un large aperçu de ce style architectural fascinant au travers de prestigieux exemples. Édité en noir et blanc, l'ouvrage célèbre le mouvement et met en lumière de nombreux trésors de l'architecture brutaliste présents aux quatre coins du monde. Célébré, puis critiqué et souvent incompris le brutalisme architectural semble être redevenu, pour certains, une source d'inspiration ou du moins revenu au plus proche centre des intérêts, un constat militant que fait l'auteur. Au travers de ses aspects sauvages et primitifs ce mouvement architectural n'en n'est pas moins fascinant. Le livre de Peter Chadwick, dans une taille adéquate, offre un vrai aperçu du mouvement avec de nombreux exemples chinés partout dans le monde. A propos de l'auteur :Peter Chadwick travaille à Londres en tant que graphiste et directeur artistique. Il a étudié à la Chelsea School of Art avant de travailler pour Creation Records (le label indépendant le plus florissant des années 1990), où il a créé les albums de groupes phares tels que Primal Scream et Spiritualized. Après avoir fondé son propre studio, Zip Design, en 1996, il a organisé des campagnes pour des artistes majeurs, comme Groove Armada, Fatboy Slim et Hed Kandi. Grand passionné de brutalisme, Peter a ouvert le compte Twitter This Brutal House (@BrutalHouse). Peter Chadwick, Archi Brut, Paris, Phaidon, 2016, 224 pages. 350 illustrations noir & blanc, 39¤95, parution septembre 2016, 25x29cm, ISBN 978 0 7148 7228 5 Pour en savoir plus, visitez le site de l'éditeur Phaidon Illustrations et Photographies : 1. Archi Brut de Peter Chadwick, Phaidon 20162. Casar de Cáceres Bus Station, Cáceres, Spain, 2003 by Justo Garciá Rubio. Courtesy Justo Garciá Rubio (page 48-9)3. Nakagin Capsule Tower, Tokyo, Japan, 1972 by Kisho & Kurokawa Architect & Associates. Courtesy Dreamstime (page 27)4. Salk Institute, La Jolla, California, USA, 1965 by Louis Kahn. © Benjamin Antony Monn/ARTUR IMAGES (page 200-1)5. Assembly Building, Chandigarh, India, 1962 by Le Corbusier. Courtesy Fondation Leb Corbusier. Courtesy DACS (page 120)6. Stone House / Interni Think Tank, Milan, Italy, 2010 by John Pawson. Courtesy John Pawson (page 146)