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Il y a 3 ans et 72 jours

Le gouvernement étudie des aides ciblées pour réduire l'impact de la crise ukrainienne

Le Premier ministre Jean Castex réunit mardi les représentants des filières concernées et les organisations syndicales et patronales pour mettre au point un "plan de résilience" afin de faire face aux conséquences du l'invasion de l'Ukraine et des sanctions internationales contre la Russie.Face à la nouvelle flambée des prix de l'énergie, "il faut des aides pour les Français qui ont besoin de leur voiture pour se rendre au travail", être "attentif a ceux pour lesquels c'est insupportable de payer l'essence aussi cher", a indiqué Mme Borne."L'objectif est que tous ceux qui veulent aller travailler ne soient pas pénalisés par le prix du baril et à la pompe très important", a-t-elle dit.Emmanuel Macron a annoncé lundi que les aides gouvernementales sur l'essence seraient "améliorées" autour d'une "approche indemnité kilométrique et indemnité inflation" pour faire rapidement face à la flambée des prix des carburants."Il faut être attentif aux filières, les industriels, les agriculteurs, les pêcheurs" qui pourraient pâtir des "ruptures d'approvisionnement" ou d'une "augmentation importante des prix", en raison des sanctions contre la Russie, a ajouté Mme Borne.Elle a notamment évoqué l'activité partielle, mise en place pendant la crise sanitaire. "Des entreprises qui voient leur production arrêtée car un composant leur manque peuvent mobiliser de l'activité partielle de longue durée, c'est un outil qui peut protéger dans la durée les emplois", a-t-elle dit.Relevant que pour certains matériaux, comme le titane, la France est très dépendante de la Russie, des efforts vont être faits pour réduire cette dépendance, mais dans l'intervalle il faut "protéger les emplois", a-t-elle fait valoir.Interrogé sur RTL, le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger a souhaité "des aides ciblées aux entreprises, et des aides au pouvoir d'achat pour les ménages, particulièrement les plus modestes".Dans "les secteurs qui sont les plus impactés, l'agriculture, l'automobile, la sidérurgie, la métallurgie, sans doute bien d'autres, là il faudra des aides spécifiques aux entreprises pour qu'elles puissent tenir", a-t-il dit.
Il y a 3 ans et 72 jours

Invitation presse

Présentation du partenariat : Petit déjeuner Vendredi 4 mars 2022 à 9h IFA de Bourges 149-151 rue de Turly – 18000 Bourges Le projet : L’IFA BOURGES : Institut de Formation des Apprentis de Bourges, CHATREIX CARECO : Recycleur Automobile local membre d’un réseau National, MILWAUKEE  : Fabricant d’outillage électroportatif Marché Professionnel, s’associent autour d’un […]
Il y a 3 ans et 72 jours

Le Groupe Elcia expose sur Nordbat avec des nouveautés pour tous les professionnels du secteur

Gestion des SAV et 3D : de nouvelles fonctionnalités ProDevis pour les Installateurs / RevendeursLogiciel n°1 de chiffrage, facture et gestion commerciale Menuiserie, Store, Fermeture depuis plus de 20 ans, ProDevis continue d’évoluer pour toujours plus répondre aux besoins de ses 21 000 utilisateurs.Faire rimer gestion des SAV avec simplicité et réactivitéDépannage, SAV, fin de chantier : gérer les interventions chez ses clients peut vite devenir chronophage, sans compter les coûts cachés pouvant en découler. Pour gagner en temps, en simplicité et en efficacité, le nouveau module Interventions de ProDevis permet de :Gérer tous types d’interventions de manière globaleSimplifier leur traitementBénéficier d’une analyse fine et précise de cette activitéLa 3D : une arme supplémentaire pour faciliter la venteParticipant au Concours des meilleures innovations NordbatLe mode de consommation du particulier a évolué : face à des produits de Menuiserie toujours plus personnalisables, ce dernier demande de plus en plus de voir le rendu final de sa fenêtre, son portail ou sa porte d’entrée avant de l’acheter, comme il le ferait pour sa cuisine ou sa nouvelle voiture. Les Installateurs / Revendeurs ont donc besoin d’outils graphiques pour mieux présenter leurs produits, projeter leurs clients dans leur projet, tout en les rassurant sur le produit qui lui sera livré. Avec l’interface entre ProDevis et les configurateurs 3D BatiTrade, plus de 21 000 menuisiers réalisent leur projet de portails, clôtures, portes de garage, garde-corps, portes d’entrée, pergolas, lames de terrasse ou encore placard/dressing en 3D. En quelques clics, ils donnent naissance au produit du particulier sous ses yeux, et l’intègrent en réalité augmentée ou dans une photo de sa maison pour faciliter la vente.Toujours plus de simplicité pour les fabricants de menuiseriesLogiciel de fabrication de menuiseries PVC et Alu sur-mesure, Ramasoft apporte simplicité, fiabilité et autonomie dans toutes les étapes de fabrication. Désormais ouvert à la fabrication de menuiseries bois, Ramasoft se connecte également avec ProDevis pour simplifier la gestion commerciale des fabricants du secteur. Après avoir chiffré leurs menuiseries les plus complexes avec Ramasoft, ces derniers pourront importer automatiquement leurs chiffrages dans ProDevis et ainsi y piloter toute leur gestion commerciale. Inversement, toutes les commandes signées dans ProDevis pourront être transférées dans Ramasoft en un clic pour lancer en fabrication.Des devis +simples +rapides et +vendeurs pour les professionnels du bâtiment chiffrant occasionnellement des produits Menuiserie, Store, FermetureQu’ils soient maçons, charpentiers, architectes, entreprises d’isolation ou encore constructeurs de maisons individuelles, certains professionnels du bâtiment, non spécialisés en Menuiserie, sont parfois amenés à réaliser des devis pour une fenêtre, un portail ou encore une porte d’entrée. Même si cette activité de Menuiserie reste occasionnelle pour eux, ils ont tout autant besoin de chiffrer rapidement pour être réactifs face aux demandes de leurs clients. Pensée et adaptée à leurs besoins, la solution de chiffrage et commande 100% Web ProDevis c’est :Une solution Menuiserie, Store, Fermeture équipée d’un configurateur de vente 100% métier pour créer des devis facilement et passer des commandes en un clicPlus de 1 750 tarifs de +600 fournisseurs de fenêtres, portes, volets... toujours à jourUne solution 100% web, disponible tout le temps et de partout (sur PC, smartphone et tablette)Un abonnement en ligne simple, en 5 minutes pour utiliser immédiatement la solutionUn abonnement attractif de 55€ HT/mois adapté à leur activité et sans engagement pour une liberté totaleEn bonus : une application mobile synchronisée avec l’application web, disponible sous iOS et Android pour remplacer ses notes papiers avec prise de photos, vidéos, dessins et notes vocales
Il y a 3 ans et 73 jours

Le temple mondial de la production de moteurs Diesel pour l'automobile se convertit à l'électrique

Cette transition est hautement symbolique pour la majorité d'Emmanuel Macron, qui affiche la réindustrialisation de la France comme une de ses priorités, à quelques semaines de l'élection présidentielle, mais les retombées en matière d'emplois sont à nuancer.A Trémery, une trentaine d'ouvriers travaillaient ainsi un après-midi de février sur la première petite ligne de moteurs électriques."Ça fait avant-gardiste. On nous demande tout de suite ce qu'on en pense, comment ça se passe, comment ça se monte", souffle Cédric Metz, des bouchons dans les oreilles contre le vacarme mécanique.L'opérateur a travaillé pendant 20 ans sur les moteurs essence et Diesel avant de passer à l'électrique.L'usine de Trémery, ouverte en 1979 par Citroën sur 89 hectares près de Metz, avait établi son record en 2017 avec près de deux millions de moteurs produits, dont 80% de Diesel. Mais l'étoile de cette motorisation a pâli avec le scandale du Dieselgate et le spectre d'une interdiction européenne des moteurs thermiques en 2035.Alors Trémery et ses 2.500 salariés, passés sous la bannière de Stellantis après la fusion de PSA avec Fiat-Chrysler, ont été convertis aux moteurs essence, et de plus en plus vite à l'électrique.La première ligne de montage électrique a remplacé en 2019 un des trois ateliers Diesel. Le moteur produit équipe désormais les Peugeot 208, Opel Corsa, DS3 ou Citroën C4 électriques.Guidés par un ruban magnétique, des chariots traversent la ligne, distribuant les pièces de poste en poste à une trentaine d'ouvriers. Des robots prennent la main sur certains postes et contrôlent le travail final."On est partis dans l'électrique, on y va et on ne va plus s'arrêter", lance le responsable de la ligne, Stanislas Kohout, qui vient aussi du Diesel. "On a la fierté d'être les premiers".A quelques mètres de là, une deuxième ligne tout aussi compacte est en cours de démarrage: si la première avait été conçue pour produire 120.000 moteurs par an, puis dopée à 180.000, la deuxième en promet 300.000."Occasion de relocaliser"Dans un bâtiment voisin, Stellantis et son partenaire japonais Nidec montent une ligne qui fabriquera des rotors et des stators, éléments essentiels du moteur électrique qui sont pour le moment largement importés d'Asie."La seule chose qui nous limite est le manque de composants électroniques, il y en a partout sur un moteur électrique", souligne le directeur de l'usine Marc Bauden.Les tâches n'ont pas beaucoup changé, mais "il y a moins de pièces à assembler", souligne M. Kohout. "C'est beaucoup plus automatisé, mais on crée de nouveaux métiers", explique-t-il. "Les îlots robotisés demandent un certain savoir-faire"."Je ne pense pas que ce soit inquiétant, parce qu'il y a de la demande", souligne Yosra Idir, 39 ans, une des rares femmes de la ligne, qui serre des boulons sur un moteur. "A un moment donné, il faudra ouvrir des lignes pour pouvoir suivre la demande des clients (...) On va tous finir à l'électrique".L'électrification de l'industrie automobile pourrait pourtant causer la suppression de 52.000 postes en France, notamment chez certains sous-traitants, selon une projection à 2030 du cabinet AlixPartners.A Trémery, avec l'automatisation et les délocalisations, le nombre de salariés a déjà été divisé par deux en vingt ans.A l'inverse, une vingtaine de milliers d'emplois pourraient être crées dans des nouveaux métiers, autour des bornes de recharge par exemple. La reconversion d'usines comme Trémery, ainsi que les trois usines de batteries électrique qui doivent ouvrir dans le nord de la France, célébrées par le gouvernement, ne vont pas tout compenser."Il y a beaucoup à faire autour de la croissance de l'électrique", c'est "une occasion de relocaliser", souligne l'économiste Bernard Jullien, de l'université de Bordeaux. Mais avec des moteurs qui demandent beaucoup moins de main d'oeuvre, "il va falloir se partager la rareté".Chez Renault par exemple, l'usine de moteurs de Cléon (Seine-Maritime) "pourrait satisfaire une très large part de la demande européenne" du groupe, souligne-t-il.Qui produira le dernier moteur Diesel? L'économiste mise sur l'Espagne, la Roumanie ou le Maroc, près des dernières grosses usines d'assemblage de Renault et Stellantis.
Il y a 3 ans et 73 jours

Au Quadrilatère de Beauvais : Yona Friedman – L’exposition mobile

Avant une importante période de travaux de restructuration de son bâtiment, le Centre d’art de Beauvais (Oise) propose une exposition consacré à Yona Friedman. Jusqu’au 2 juillet 2022. Consacrée à l’artiste et architecte Yona Friedman disparu en 2019, l’exposition rend hommage à l’inventivité et à la pensée foisonnante de ce touche-à-tout, qui, sa vie durant, […] L’article Au Quadrilatère de Beauvais : Yona Friedman – L’exposition mobile est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 76 jours

Négoce Connecté, le rendez-vous de l’accélération digitale du négoce et du BtoB

Comment transposer les atouts historiques du négoce dans un univers omnicanal et mobile first ? Quel peut être le rôle des négoces dans un monde dominé par les plateformes telle qu’Amazon et où les grandes marques sont tentées par la vente directe ? Comment répondre aux évolutions des comportements d’achat des PME, des pros, des artisans ?Autant de questions passionnantes qui seront abordées, jeudi 24 mars 2022 par des dirigeants et acteurs du négoce devant un public de retailers du secteur. Ne manquez pas la seconde édition du rendez-vous de l’accélération digitale du négoce et du BtoB organisé à Paris par Diamart Connect.Inscrivez-vous* dès maintenant sur : https://www.negoceconnecte.fr/Pourquoi participer à cet événement ?C’est une journée pour networker avec plus d’une centaine de décideurs et rencontrer des partenaires innovants comme Unifai, Mirakl, Alkemics, Akeneo ou encore Sum Up.Une deuxième édition avec un programme enrichi : 4 tables rondes de haut vol avec des dirigeants pour partager leur vision du négoce de demain :Des rencontres avec les solutions technologiques les plus pertinentes lors de One-to-One qualifiés, une journée ponctuée d’échanges et de networking entre acteurs clés du secteur.Inscrivez-vous* dès maintenant sur : https://www.negoceconnecte.fr/* invitation gratuite pour tous les cadres et dirigeants du négoce et commerce B2B, sous réserve de programmer 2 à 3 rendez-vous one-to-one avec des acteurs technologiques qualifiés
Il y a 3 ans et 76 jours

Dossier détails : parois extérieures pivotantes

    Si les parois mobiles sont légion en architecture intérieure, elles se font beaucoup plus rares en façade et en toiture, leur manipulation redéfinissant la fonction essentielle du clos-couvert. Quand les concepteurs en reçoivent la commande, ils se confrontent à divers paramètres d'ingénierie qui participent au […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 77 jours

+4% sur le TRV depuis le 1er février 2022 : un impact bien plus important qu’annoncé sur les factures d’énergie des Français

À cela vient de s’ajouter un fort climat insécuritaire du fait de la crise ukrainienne et des conséquences actuelles et à venir sur le prix du gaz, entre autres. En septembre 2021, les experts de Cherpas publiait un rapport qui démontrait qu’opter pour le tarif heures pleines / heures creuses plutôt que le tarif de base n’était pas une alternative si avantageuse qu’elle y paraîtrait pour faire des économies. Loin d’être aussi rentable qu’espéré, alors que près de 50% des Français sont abonnés à ce type d’offre pour leur électricité, il ferait même plutôt perdre de l’argent à de nombreux ménages que l’inverse. Tenant compte de l’augmentation de +4% du TRV (Tarif Réglementé de l’Electricité) depuis le 1er février dernier, Cherpas a actualisé pour ce début d’année les données de son analyse, afin de voir si la confrontation entre le tarif de base VS le tarif heures pleines / heures creuses était toujours pertinente. Dans ce contexte de flambée des prix et malgré l’application du « bouclier tarifaire », la startup a constaté que cette hausse récente du TRV est venue changer totalement la donne, car même si elle se limite à 4% en moyenne, elle cache en réalité des évolutions tarifaires très disparates. Ainsi selon ses simulations, la plateforme Cherpas s’est aperçue que :Pour le tarif de base, le TRV subissait une augmentation moyenne de +11,6%.Pour le tarif heures creuses, le TRV augmente significativement de +8% alors que celui aux heures pleines ne subit qu’une hausse limitée de +1%.Qui sont les plus impactés par cette hausse du TRV ?Loin de mettre tout le monde sur un pied d’égalité, cette hausse de 4% du tarif réglementé de l’électricité fait majoritairement peser la hausse sur les foyers les plus modestes mais aussi les foyers les plus éco-responsables dans leur consommation. Effectivement, l’électricité des heures pleines est plus « charbonnée » car elle utilise les centrales de gaz et de charbon, tandis que l’électricité des heures creuses fait appel à l’énergie nucléaire. Comme l’indique le Syndicat de gestion des énergies de la région lyonnaise (Sigerly), « limiter les forts appels de puissance sur le réseau électrique en hiver limite la production d’électricité à partir d’énergies fossiles ».En d’autres termes :Sur les 11 millions de foyers concernés par les tarifs de base, 95% ont une consommation énergétique égale ou inférieur à 9kVA et cela concerne en grande majorité des foyers modestes. Pour ces consommateurs, la hausse du TRV depuis le 1er février 2022 atteint les 11,6%.Parallèlement, les ménages avec une part d’heures creuses dans leur abonnement supérieure à 70% subissent une hausse 2.6 fois plus importante que ceux ayant une part d’heures creuses inférieure à 30%.Cherpas, l’outil qui analyse gratuitement vos contrats et vous propose la meilleure offreFace à ces changements majeurs, le consommateur est légitimement perdu. Comment savoir si l’on paye le prix juste ? Qui croire ? Seul face à des conditions générales peu lisibles et des calculs complexes, il est difficile d’obtenir une réponse claire. D’autant plus en cette période géopolitique instable qui fait craindre le pire sur l’économie et notamment sur le prix du gaz. C’est ici que la plateforme Cherpas intervient en éclairant le consommateur face à l’opacité de l’évolution des politiques tarifaires.Alors que beaucoup de consommateurs l’ignorent encore, il est tout à fait possible de changer de fournisseur d’énergie à tout moment, sans frais et sans coupure, pour bénéficier d’offres plus intéressantes. L’application web Cherpas permet d’analyser en un rien de temps ses abonnements domestiques : électricité et gaz, internet et mobile. Une tâche fastidieuse, sur laquelle de nombreux consommateurs rechignent à se pencher.Grâce à un algorithme en veille constante sur les tendances du marché, Cherpas propose très rapidement des offres moins onéreuses et plus adaptées à la consommation quotidienne d’un foyer. L’entreprise se rémunère via les commissions proposées par certains fournisseurs, mais en mettant en avant toutes les offres du marché sans valoriser certaines par rapport à d’autres. Cela dans un souci de transparence et d’éthique.Grâce à Cherpas, ses membres ont réalisé en moyenne une économie de 219 € par an pour un foyer se chauffant à l’énergie électrique. Forte d’une croissance soutenue, l’application web compte aujourd’hui plus de 14 000 utilisateurs actifs (3 000 en septembre dernier) et supervise actuellement plus de 22 000 contrats.
Il y a 3 ans et 80 jours

Stratégie française pour l'énergie et le climat : France Gaz Liquides publie son cahier d’acteur

Convaincue que les gaz et biogaz liquides ont dès aujourd’hui un rôle à jouer dans ce processus de décarbonation, France Gaz Liquides a activement participé aux groupes de travail initiés par le ministère pour élaborer cette nouvelle SFEC, et vient tout juste de publier son cahier d’acteur. Le chauffage au gaz propane, une solution pertinente en rénovation et possible dans le neuf« Le choix des consommateurs engagés dans la transition énergétique s’inscrit d’autant plus dans une contrainte économique qu’ils résident au sein des territoires non ou mal desservis par les réseaux de gaz naturel ou d’électricité », mentionne le cahier d’acteur, rappelant combien précarité énergétique et décarbonation sont des sujets d’attention pour la filière.Disponibles dès à présent sur 100% des territoires, le propane et le biopropane apparaissent comme une solution accessible, pertinente et économique dans le cadre de rénovations, affichant une réduction immédiate de 50% d’émissions de GES pour le propane et de 80% pour le biopropane dans le cadre d’une substitution d’un chauffage au fioul par une chaudière gaz à Très Haute Performance Energétique (THPE). En cela, les gaz et biogaz liquides sont forts d’un potentiel de décarbonation immédiat dans la rénovation.Dans le cadre de constructions neuves, France Gaz Liquides rappelle également que « les gaz liquides renouvelables présentent les mêmes atouts de performance et de disponibilité que leurs équivalents d’origine fossile (même molécule dans les deux cas) », puisqu’ils permettent d’atteindre les critères de performance environnementale fixés par la RE2020 avec ou sans mécanisme de compensation carbone. En complément de l’électricité, et à partir de systèmes hybrides, ils sont un allié de choix à prendre en compte. Lié à la création de bioraffineries aujourd’hui matures telles que celle de La Mède ou celle de Grands-Puits, la disponibilité du propane d’origine renouvelable, le biopropane – déjà d’1TWh en 2021 – nécessite à moyen terme l’appui de technologies de production innovantes pour diversifier les sources d’approvisionnement et réduire les coûts. En cela, « la filière se tient à disposition des pouvoirs publics pour étudier les solutions techniques et réglementaires nécessaires à mettre en œuvre pour permettre aux biogaz liquides de disposer d’un cadre permettant leur développement pour participer à la décarbonation de l’économie française. »Une énergie compétitive pour réduire l’impact climatique de nombreux professionnels dont c’est l’unique solution« Les industriels et les professionnels doivent partout en France, sans être dépendants de la présence d’un réseau de gaz, être en mesure de réduire leur consommation d’énergie et leur impact climatique. Pour tous leurs usages, chauffage comme process, il s’agit de leur permettre cette transition sans compromettre leur compétitivité ».Disponibles en tout point du territoire, aisément transportables et stockables et faciles d’utilisation, les gaz et biogaz liquides sont une réponse adaptée à la diversité des besoins énergétiques des professionnels en quête d’une solution énergétique faiblement carbonée, polyvalente, performante et autonome. Que ce soit pour les activités industrielles, agricoles, artisanales ou de tourisme, ils ont le potentiel de répondre dès à présent aux exigences liées à la rénovation des bâtiments, et d’assurer l’alimentation en énergie de milliers de professionnels dont ils sont la seule alternative énergétique efficiente pour allier production et qualité de l’air.Les équipements fonctionnant aux gaz liquides permettant d’intégrer sans aucune modification ni surcoût leur version renouvelable, les gaz et biogaz liquides sont définitivement un acteur clé à prendre en compte dans la décarbonation des milieux professionnels, tous secteurs confondus.L’opportunité d’une mobilité immédiatement abordable en préservant la qualité de l’air même dans les centres urbains, avec un carburant Crit’Air 1 : le GPL et le bioGPL.À l’heure où les prix des carburants flambent et où pouvoir d’achat et mobilité durable cohabitent difficilement, le GPL se présente comme une solution immédiatement disponible pour permettre l’accès à la mobilité verte des particuliers et professionnels, pour le transport des personnes comme des marchandises. Avec un prix à la pompe de 40% inférieur à celui du diesel et de 50% inférieur à celui de l’essence et 20% d’émissions de CO2 de moins que l’essence – et jusqu’à 80% de moins avec sa version renouvelable –, le GPL, classé Crit’Air 1, est l’un des carburants les moins chers et les moins polluants qui soient actuellement. Fort d’un maillage de 1 500 stations déjà en place sur tout le territoire et ne nécessitant aucun investissement supplémentaire pour accueillir le GPL renouvelable dans sa chaîne de distribution comme dans les véhicules, le GPL est clé dans la dynamique de verdissement du parc automobile en complément du développement des infrastructures, notamment électriques, non immédiatement disponibles.Décarbonés, souverains, accessibles, et abordables, avec 11 millions d’utilisateurs sur tout le territoire, et l’ambition de devenir 100% renouvelables à l’horizon 2050, les gaz liquides, déjà en transition vers le renouvelable, font partie intégrante des solutions à intégrer dans le mix énergétique de demain… dès à présent.
Il y a 3 ans et 85 jours

Les associations de cyclistes très critiques envers la mairie de Paris

"Les élus ont choisi les Grands Boulevards, l'un des axes les plus stratégiques et prioritaires du Plan Vélo, pour enterrer cet objectif", estiment Paris en Selle et Mieux se déplacer à bicyclette (MDB) après la présentation mardi 15 février en réunion publique du projet de pérennisation des "coronapistes" - créées pendant la crise sanitaire pour désengorger les transports en commun - de cet axe majeur de Paris."Les élus ont renoncé à aménager le boulevard Saint-Martin sur près d'un demi-kilomètre" où "les cyclistes ne disposeront pas de piste cyclable séparée du trafic automobile et devront circuler dans la voie bus", déplorent les deux associations dans un communiqué diffusé jeudi 17 février."Sur le reste de l'axe, le projet retenu comporte des pistes unidirectionnelles de chaque côté d'une largeur trop faible, qui ne sera pas à même d'accueillir le volume de vélos", reprochent-elles encore aux élus qui ont "choisi de faire du vélo une variable d'ajustement".Avec 250 millions d'euros consacrés aux pistes et au stationnement vélo, la pérennisation de plus de 50 km de "coronapistes" et un travail "sur de nouvelles pistes cyclables", "notre ambition est maintenue et amplifiée", s'est défendu vendredi à l'AFP David Belliard, adjoint (EELV) à la transformation de l'espace public.Sur le boulevard Saint-Martin, plus étroit que les autres, l'élu écologiste, qui évoque lui un "petit tronçon de 180 m" non sécurisé, "comprend l'agacement, la déception" des cyclistes mais assume le choix de "conserver un couloir de bus", choix "d'équilibre entre les transports en commun, les piétons et les vélos".Le baromètre des villes cyclables publiée le 10 février par la Fédération des usagers de la bicyclette (FUB) était assez critique envers Paris, qui a récolté la mention D, "synonyme d'un climat moyennement favorable au vélo", et perdu cinq places pour se classer 12e sur 38 parmi les grandes villes.Alors que les déplacements à vélo ont explosé dans la capitale avec la crise sanitaire (+ 67 % en 2020), "les usagers du vélo réclament une politique vélo plus ambitieuse, en commençant par un réseau cyclable complet et sans coupure", insiste Paris en Selle.M. Belliard relativise ce classement, estimant que les résultats du baromètre "sont plutôt positifs, sauf sur la sécurité. C'est pour cela qu'on investit énormément".
Il y a 3 ans et 85 jours

VIPros, bien plus qu’un simple programme de fidélité !

Après avoir réussi à fédérer les industriels, puis à gagner sa légitimité auprès des artisans du Bâtiment, VIPros va plus loin encore avec une offre de services unique sur le marché… La relation client, un enjeu stratégique Durant des années, le schéma classique « industriel > distributeur > client professionnel » régissait toute la promotion des ventes et la fidélisation clients. Si les 3 acteurs de ce triptyque conservent leur importance, force est de constater que leur rôle évolue au sein de cette relation et qu’il devient stratégique pour chacun de mieux connaître les 2 autres… C’est en partant de ce constat que depuis 4 ans, VIPros facilite la relation et les échanges entre Industriels et Clients professionnels, tout en favorisant la concrétisation des transactions auprès des réseaux de distribution. Fort de cette nouvelle dynamique, et fidèle à cette stratégie, VIPros va plus loin aujourd’hui en associant la conquête de nouveaux clients à l’animation de la relation et à la fidélisation des plus actifs d’entre eux. Du Cash et des Points cadeaux Si le point cadeau reste l’ADN du programme VIPros, la conquête de nouveaux clients passe par des offres plus immédiates et plus « matérialisables ». Voilà pourquoi, VIPros propose désormais des offres Cashback et des réductions immédiates pour développer les relations commerciales, tout en conservant les VIPoints cadeaux pour fidéliser les clients les plus impliqués. Bien mieux qu’un simple centre de gestion De nombreuses offres de remboursement partiel (O.D.R.) sont régulièrement proposées aux clients professionnels, mais toutes reposent sur un même processus, à la fois laborieux et dissuasif : découpe de code-barres, preuve d’achat, coordonnées du bénéficiaire, Iban… pour un remboursement effectif sous 6 à 8 semaines ! Désormais cela relève du passé grâce à un dispositif VIPros « clé en main » : • Inscription rapide sur vipros.fr • Enregistrement unique de son Iban Professionnel • Liberté d’acheter ses produits là où l’on veut • Cumul des offres Cashback de toutes les marques partenaires • Remboursement sous 6 à 8 jours… Sans oublier qu’une marque partenaire peut activer et piloter très simplement ses offres via la plateforme VIPros… De même qu’elle peut négocier des bonus supplémentaires valables chez tel ou tel distributeur. Parole au grand gagnant de l’opération Série illimitée VIPros Entreprise 1000 Jardins : Rémi IMPELLETIERI – Matthieu VAGLIENTI Rémi IMPELLETIERI « Avec mon ancienne société j’étais déjà très actif dans le programme VIPros, l’équipe est au top, et toutes les actions proposées sont attractives. Fraîchement associés et une nouvelle société créée, j’ai décidé de nous inscrire très rapidement et nous avons participé l’année dernière à l’opération « Série Illimitée VIPros » avec comme gros lot « Le fameux camion Ford Transit Custom » ; comme tout le monde, je pensais qu’on gagnerait une gourde ! Finalement mi-novembre, je reçois un coup de téléphone de l’équipe VIPros. Mon associé n’en revenait pas, il ne m’a pas cru de suite, il lui a fallu un nombre incalculable de preuves pour enfin me croire.  Nous avons gagné le camion… Incroyable, cela n’arrive pas qu’aux autres !! L’accueil de toute l’équipe a été formidable du début à la fin. Merci encore à eux et à toutes les marques partenaires pour toutes ces offres tout au long de l’année, les points cadeaux et les réductions (cashback) gagnés facilement. » Bien plus économique qu’un dispositif mono-marque ou mono-enseigne La mutualisation des investissements constitue le premier R.O.I. pour les industriels partenaires du programme VIPros. De tels dispositifs nécessitent une rigueur, des contrôles (notamment juridiques), et des niveaux de sécurisation que peu d’acteurs peuvent assumer. Sans oublier le recrutement constant de nouveaux clients, l’information et l’animation permanente des entreprises inscrites, l’analyse des besoins et le ciblage des offres… Autant de moyens que VIPros peut déployer grâce à la force collective de ses partenaires. Nicolas GROS – Directeur Division Outillage Bosch « Bosch fait partie des pionniers au sein du programme VIPros car dès le début nous avons cru à l’intérêt de mutualiser nos investissements et nos actions pour aller au devant des professionnels. Un tel dispositif nous permet de capter l’attention de ceux qui sont amenés à utiliser, et donc acheter nos produits… Nous pouvons y valoriser nos innovations et nos services. Les synergies et l’équipe dédiée nous permettent de gagner un temps précieux dans cette démarche ! » Sabrina ROUGET – Responsable de la Promotion des Ventes ACOVA « Depuis des années, chez Acova, nous avons la volonté de récompenser nos clients installateurs pour leur fidélité, et grâce au programme VIPros, nous sommes heureux de leur offrir un avantage supplémentaire. Ce concept de partenariat entre plusieurs marques nous a semblé très pertinent et adapté aux besoins des artisans. Il était important pour nous, en tant que marque de référence sur le marché français des radiateurs, d’intégrer ce programme dynamique et innovant, qui nous permettra également de toucher de nouveaux installateurs et d’élargir notre visibilité auprès des artisans. » Un dispositif unique sur le marché La combinaison des offres promotionnelles, couplée à des outils de communications ciblés, des opérations de recrutement de nouveaux membres, des animations régulières des communautés et une analyse pointue des besoins des professionnels confèrent au programme VIPros un intérêt grandissant pour tous les acteurs du marché… Une expérience et une avance que l’équipe VIPros entend maintenir et dupliquer dans tous les secteurs du BtoB.
Il y a 3 ans et 85 jours

Tracktor lève 12 millions d’euros pour simplifier la location de matériel de chantier partout en France et en Europe

La startup souhaite continuer à investir massivement pour offrir la meilleure expérience client du marché, devenir le standard de la location en France et étendre son réseau de loueurs en Europe.Lancée en 2017 par deux ingénieurs experts du secteur, TRACKTOR digitalise l’activité de location des PME du BTP et de l’industrie. La plateforme permet aux professionnels de s’affranchir de toutes les contraintes de la location traditionnelle : ils accèdent instantanément aux prix déjà négociés de plus de 400 loueurs partout en France. Toutes leurs locations sont centralisées dans un outil unique qui leur donne plus de visibilité pour optimiser leurs dépenses.Tracktor a déjà conquis plus de 3.500 entreprises des secteurs de la construction et de l’industrie, à qui elle permet de louer du matériel en 3 clics, quel que soit leur besoin, leur faisant ainsi gagner jusqu’à 3h sur la gestion de chaque location. L’entreprise, qui connaît une forte croissance, souhaite en 2022 multiplier par trois le volume d’affaires réalisé en 2021.Cette nouvelle levée de fonds va permettre à Tracktor de recruter de nouveaux talents pour doubler ses effectifs d’ici la fin de l’année. L’entreprise a pour ambition d’offrir la meilleure expérience client du marché en investissant massivement dans sa technologie et le développement de son produit : une application mobile viendra intégrer les besoins de ses clients sur le terrain, et un outil de gestion permettra de centraliser 100% de l’activité de location et de dématérialiser les flux internes des PME. Le deuxième enjeu sera de développer sa notoriété pour devenir le standard du secteur en France et de préparer son expansion en Europe dès 2023.Les nouveaux investisseurs ont apprécié cette proposition de valeur unique sur un marché de la location de matériel de chantier en très forte croissance et encore très peu digitalisé qui pèse plus de 5 milliards d’euros en France et 30 milliards d’euros en Europe (et plus de 70 milliards d’euros en Europe d’ici 10 ans).Pour Idir Ait Si Amer, co-fondateur de Tracktor : « Nous avons choisi AXA Venture Partners et Bpifrance car nous partageons une vision et une ambition communes : nous souhaitons devenir le 1-stop shop de la location de matériel de chantier en offrant la meilleure expérience client du secteur grâce à la Tech. »Pour François Robinet, Managing Partner d'AXA Venture Partners : « La crise du Covid a été un catalyseur pour l'adoption de solutions digitales notamment pour les particuliers mais aussi pour les entreprises. Nous pensons que les années qui viennent verront l'avènement d'un grand nombre de marketplaces BtoB. Dans cette optique et en établissant une véritable place de marché dédiée à la location de matériels, Tracktor peut profondément transformer le marché pour l'industrie du BTP. Nous avons été convaincus par cette vision portée par Idir et Julien et pensons qu’ils sauront la mettre en œuvre en France et à l'étranger. »Pour Victoire Millerand, Directrice d’investissements, et Claire Castel, Chargée d’investissements sénior au sein du pôle Digital Venture de Bpifrance : « Nous sommes convaincus de la pertinence de la proposition de valeur de Tracktor et de leur capacité à transformer fortement ce marché vaste et peu digitalisé à ce jour. Nous sommes ravis d’accompagner cette équipe de qualité dans la prochaine étape de son développement. »
Il y a 3 ans et 86 jours

Quelle que soit la durée du chantier, les sanitaires sont obligatoires

Les professionnels du secteur des sanitaires mobiles alertent leurs clients du risque de sanctions financières qu'ils encourent dans un communiqué du 16 février.
Il y a 3 ans et 87 jours

"Les énergies renouvelables ont déjà gagné", pour le patron de Voltalia

Pour Sébastien Clerc, à ce jour, "les renouvelables sont un pari plus que gagné", grâce à l'effondrement des coûts. "Aujourd'hui l'acheteur d'électricité qui s'engage sur un contrat de 10-20 ans, qu'il soit distributeur d'électricité, entreprise, État... choisit à 95% le renouvelable car c'est l'énergie la moins chère quasiment partout", dit le patron de cette entreprise française, rare société à mission cotée, présente en Amérique latine, Afrique, Europe.Sébastien Clerc entrevoit au moins 20 ans d'essor mondial sans obstacle majeur pour le secteur.Les investisseurs se bousculent. Et le sujet de la place n'en est pas vraiment un, dit-il : "Pour répondre aux besoins mondiaux en électricité, couvrir l'équivalent de l'Aquitaine de panneaux photovoltaïques suffit".Il ne nie pas les contestations. "Parce que les installations se voient. C'est le phénomène Nimby (not in my backyard), pas dans mon jardin."L'éolien concentre à ce stade les critiques. Rien ne dit que ce ne sera pas demain le cas du solaire, dont les champs de 30 voire 100 hectares finiront par se voir, note-t-il. "Les oppositions vont finir par arriver."Le président français Emmanuel Macron, qui veut pousser le solaire, a ainsi demandé, "un juste équilibre" entre installations au sol et sur les toits. Sauf que poser sur les toits coûte plus cher, c'est moins efficace (panneaux pas forcément orientés idéalement, non mobiles), note le directeur de Voltalia."Aujourd'hui on fait encore comme si on avait le choix", ajoute-t-il. Mais face au réchauffement climatique et à la nécessité de verdir l'énergie, "in fine, on va faire tout ce qu'on peut. "Et il y aura plein de renouvelable, partout dans le monde", assure-t-il.Préparer les nuits sans ventPour lui, c'est surtout la suite de l'aventure, dans 20 ans, qui porte les grandes inconnues, quand les renouvelables auront atteint une part critique : comment fera-t-on la nuit en l'absence de vent ?"Aujourd'hui les énergies renouvelables avancent toutes seules, et c'est notre job, développeurs, industriels, de faire que cela se passe au mieux. Mais à un certain point, disons au-delà de 50% de parts de marché, les gouvernements auront leur rôle à jouer". Par exemple contribuer à assumer le surcoût du stockage sur batteries, quand ni gaz ni charbon ne seront plus là pour servir de "tampon".Une première réponse, "encore sous le radar", est qu'il faudra adapter l'heure de nos consommations, insiste Sébastien Clerc.Par exemple, faire marcher les ballons d'eau chaude quand il y a du soleil et/ou du vent. Idem pour le chauffage, en faisant monter la température aux bonnes heures pour ensuite stocker la chaleur dans la pièce (ce qui imposera des bâtiments mieux isolés). Moduler aussi les horaires de l'industrie.Quid du stockage à grande échelle? Aujourd'hui le stockage du courant est assuré essentiellement par des "step" ("stations de transfert d'énergie par pompage", installées entre deux retenues d'eau). Une solution mature, mais qui suppose d'avoir des montagnes, note M. Clerc.Pour le moment plus chères, les batteries devront prendre le relais, suggère le développeur, également acteur dans le stockage, qui évoque aussi l'hydrogène, mais son rendement moindre."Quand je mets 100 kWh pour stocker de l'énergie avec de l'hydrogène, j'en récupère environ 30%. Avec la batterie, je récupère plus de 80%, et environ 90% avec la step", décrit-il.Ces sujets ne sont pas forcément les plus urgents pour un pays comme la France, largement adossée au nucléaire, ajoute-t-il. Mais ils le sont par exemple en Grande-Bretagne, lancée dans un vaste programme renouvelable pour échapper à sa dépendance au gaz : le pays a investi l'an dernier plusieurs milliards d'euros dans les batteries."Il faut réfléchir à tout cela, mettre de la recherche-développement... C'est un vrai problème conceptuel : s'approcher du 100% renouvelables, on ne sait pas encore comment on fait. Mais on le fera".
Il y a 3 ans et 87 jours

Quelle place pour le hardware dans les innovations BTP ?

Côté magazine Côté magazine Quelle place pour le hardware dans les innovations BTP ? Maquettes 3D et applications digitales commencent à faire partie du quotidien des acteurs de la construction. Mais où en sommes-nous des innovations dites « hardware », tels les équipements, le matériel et l’outillage ? Trois solutions à découvrir soutenues par Constructech Club.     Plus mobile que les dalles tactiles existantes, facilitant l’usage horizontal, sur table, Adok permet de retrouver le confort d’utilisation des plans papier, avec tous les avantages du numérique. « Notre Hub tactile permet de mener des revues de plans, avec des personnes en présentiel et d’autres connectées à distance. »Photo : Adok 1/ Avec Adok, les chantiers sont au bout des doigts Adok a développé un Hub tactile mobile. C’est un produit 3 en 1 qui embarque un PC Windows 10, un picoprojecteur et un système tactile. Cette technologie permet de transformer toutes les surfaces planes en interface tactile. Paul Péretié, CEO d’Adok, est parti du constat que les appareils collaboratifs disponibles dans les salles de réunion ou sur les chantiers n’étaient pas au niveau de nos smartphones ou de nos tablettes, en termes de facilité d’usage, de flexibilité, de mobilité et d’interactivité. De plus, les investissements pour passer au BIM – avec pour objectif de remonter des informations terrain, d’avoir des plans toujours à jour et de suivre la progression du chantier – étaient énormes d’un point de vue logiciel, mais n’avaient pas forcément les interfaces et notamment les appareils « hardware » pour faciliter ce passage au BIM. Cet appareil Made in France permet de mener des revues de plans et des réunions collaboratives sur une table, dans un bureau, dans une base-vie de chantier, ou dans tous les environnements de travail habituels. Paul Péretié précise que le développement de cette technologie a nécessité trois ans de recherche. « Ce système tactile fonctionne par reconnaissance d’images, et permet de retrouver la même précision et réactivité qu’un écran tactile traditionnel. » 2/ Carlita, prévenir les risques TMS dans la pose de carrelage et dallage Proposée par la start-up Robotile, la Carlita est une machine mécanique d’assistance à la pose de carrelage et dallage permettant de minimiser les efforts du compagnon, ainsi que les positions douloureuses à l’origine de TMS (troubles musculo-squelettiques) lors de la pose d’éléments de grands formats sur de grandes surfaces. Elle permet également un gain de temps qui est variable selon le format mis en œuvre et l’organisation des tâches. Son fondateur, Serge Sémété, nous explique que le principal avantage de Carlita est le fait que l’utilisateur reste en position debout et ne supporte plus le poids de l’élément à poser. « Le bénéfice physique est complet pour les muscles et articulations sollicités lors de la pose au sol, avec une charge de 10 à 30 kg à déposer en porte-à-faux devant soi : jambes, bras, mains et dos sont préservés. Une étude avec des capteurs d’efforts sur une pose manuelle d’éléments de 80 x 80 (16 kg/u) et une pose identique avec la Carlita affiche une réduction d’effort pour tous les muscles sollicités. Notre système équilibre la charge qui est en “apesanteur”. » La Carlita, un système très simple, robuste, durable et si nécessaire réparable sur chantier. Le compagnon n’a plus qu’à se soucier du placement de son carreau. La préhension des éléments est réalisée par des ventouses. Celles-ci sont très résistantes et la technologie a été éprouvée sur les postes robotisés des usines des fabricants. Photo : Robotile 3/ Instavox, le smartphone devient un talkie-walkie professionnel Instavox permet de reproduire les fonctions d’un réseau talkie-walkie professionnel (appel instantané d’un groupe prédéfini de personnes sur simple appui d’un bouton) à partir d’un smartphone grand public ou durci en utilisant les réseaux des opérateurs ou les réseaux Wifi. L’avantage essentiel de cette technologie est la complémentarité entre le « software » et le « hardware ». La solution répond aux contraintes de limite de portée des talkies-walkies conventionnels tout en proposant du matériel pouvant être utilisé dans des conditions propres aux projets de construction qui sont parfois extrêmes ; tel est le cas des casques antibruit et des micros déportés. « Nos clients utilisent sur leurs chantiers nos casques antibruit connectés à notre application sur leur smartphone talkie- walkie. Équipés d’un connecteur professionnel raccordé à leur radio, ils utilisent la fonction “push to talk” d’Instavox pour communiquer sur le chantier. L’avantage de ce casque dans les environnements très bruyants est qu’il permet de communiquer de façon très claire et très audible », explique Nicolas Grante, CEO d’Instavox. Pour communiquer entre les chantiers, les différents intervenants utilisent l’application Instavox couplée à des micros déportés – Bluetooth ou filaire – connectés aux smartphones. « En effet, les gants de protection des intervenants sur le chantier ne permettent pas de naviguer sur un smartphone. Il faudrait retirer les gants chaque fois qu’ils souhaitent communiquer et cela n’est pas possible », précise Nicolas Grante. Instavox ajoute également des fonctionnalités de géolocalisation permettant de savoir à n’importe quel moment où se situe chaque utilisateur, mais aussi des fonctionnalités d’appel vidéo instantané permettant de réaliser des levées de doute immédiates. Comme pour un talkie-walkie, le gain de temps dans la communication opérationnelle est le principal avantage de la solution Instavox : plus besoin d’appeler les collaborateurs un par un pour communiquer une information. D’une simple touche sur le smartphone, on communique verbalement un message à l’ensemble de l’équipe. Photo : Instavox À propos de Constructech Club  C’est une structure d’accompagnement qui aide à booster la productivité et la rentabilité des métiers du BTP, grâce à l’identification et à l’adoption de solutions technologiques. • Favoriser la montée en compétences des TPE et PME dans leurs transformations digitales. • Décrypter les innovations pour aider les chefs d’entreprise dans le processus de prise de décision. • Proposer 600 solutions référencées couvrant toute la vie du bâtiment.   Diana Gonzalez À propos de Constructech Club  C’est une structure d’accompagnement qui aide à booster la productivité et la rentabilité des métiers du BTP, grâce à l’identification et à l’adoption de solutions technologiques. • Favoriser la montée en compétences des TPE et PME dans leurs transformations digitales. • Décrypter les innovations pour aider les chefs d’entreprise dans le processus de prise de décision. • Proposer 600 solutions référencées couvrant toute la vie du bâtiment.   Bilan du Club Le hardware – ou solution physique – fait son apparition également dans le secteur depuis quelque temps et se développe de plus en plus. Ce type d’innovation demande un panel important de métiers et de compétences (mécanique, technique, électrique, software) et des coûts importants en recherche et développement. La mise sur le marché est plus longue par rapport à une solution digitale et les investisseurs peuvent s’avérer plus frileux. On retrouve ce type d’innovation dans la sécurité des chantiers et des personnes travaillant sur les chantiers, dans la surveillance de bâtiments, dans la communication et dans bien d’autres domaines encore.  Des « business models » alternatifs à l’achat du matériel ou de l’équipement permettent de conquérir de nouveaux clients et ainsi sécuriser la pérennité et la croissance des start-up qui développent ce type de solution. On peut citer le « leasing » (location de longue durée) et le HAAS (Hardware-as-a-Service). Ce dernier fournit le matériel – ou la machine – accompagné d’autres composants complémentaires tels que logiciels, maintenance et support, dans le cadre d’une offre mensuelle prépackagée. Rubriques Rubriques Actualités Bâtiment digital Paroles d'experts Dossiers Produits Web TV Le magazine Cet article Quelle place pour le hardware dans les innovations BTP ? est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 87 jours

Coop Strasbourg : la programmation au service de la sobriété

Côté magazine Côté magazine Coop Strasbourg : la programmation au service de la sobriété C’est en 2015 que l’architecte Alexandre Chemetoff a été missionné pour la réhabilitation du site de la friche industrielle de la Coop à Strasbourg. Neuf hectares dépoussiérés avec comme maître mot le réemploi poussé à l’extrême. Car si les usages ont bien changé, les bâtiments, eux, sont restés. Par Lucien Brenet L’histoire a débuté au début du siècle dernier, en 1902, date de naissance de la coopérative commerciale d’Alsace (Coop) à Strasbourg. L’objectif de ce grand ensemble, imaginé par des ouvriers, était de regrouper une multitude d’acteurs en un seul et même lieu afin d’acheter ensemble des produits alimentaires et de les distribuer au prix le plus juste. Forte de son succès, l’initiative n’a cessé de se développer. À son apogée, elle comptera plus de 100 000 sociétaires et 500 supermarchés coopératifs dans le Bas-Rhin. Une expansion qui s’est traduite physiquement, par la construction de nombreux bâtiments. Mais toutes les histoires ont une fin, et la Coop d’Alsace finira par être liquidée en 2015. Mais cette fin n’était pas un point final, car une question restait en suspens. Que faire de tous ces bâtiments, très anciens pour la plupart, et qui se dégradaient à grande vitesse ? « Nous avions sur le site des bâtiments de 1902, 1930, 1950, 1960 et des années 1970. Cette diversité devait être préservée », raconte Karim Tounounti, directeur opérationnel chez le maître d’ouvrage SPL Deux-Rives Strasbourg. Le projet Coop Culture était né.     Photo : Pierre Frigeni pour la SPL Deux-Rives Sur le site de l’ancienne Coop d’Alsace,  pas moins de 45 000 m2 de bâtiments ont été réhabilités. Photo : A-Chemetoff-et-associés S’appuyer sur l’existant Le programme de sauvetage a été présenté au congrès Bâtiment durable qui s’est tenu en octobre dernier. Et pour cause : sur le site de la Coop, il n’était pas question de détruire pour reconstruire. Cap était mis sur le réemploi. Pour préserver au maximum ce patrimoine immatériel strasbourgeois, il a été décidé de réemployer non pas les matériaux, mais bien les bâtiments. Pour ce faire, la SPL choisit pour maître d’œuvre l’architecte urbaniste paysagiste Alexandre Chemetoff en 2015. Dans la réhabilitation de cette friche industrielle, sobriété était le maître mot, et la sauvegarde des bâtiments a été lancée pour un coût de moins de 1 000 €/m2. Coût total de l’opération ? Un peu plus de 23 millions d’euros. « L’économie vient de la démarche programmatique et de l’intelligence situationnelle. C’est cette programmation qui nous a permis de rester sobres en travaux », assure Karim Tounounti. Sur le site, il restait à désenfumer et désamianter les bâtiments, avant de les mettre aux normes actuelles, de les isoler et de les adapter à leurs futurs usages. Cette photo présente le bâtiment de l’Union sociale avant réfection. Photo : A-Chemetoff-et-associes Réaffectation plutôt que destruction En effet, à la base, le programme était défini comme une opération publique de bâtiment culturel. « Mais nous avons convenu [avec la ville de Strasbourg] d’établir une programmation adaptable et de lancer les travaux tout en finalisant la programmation. » Une réaffectation avec pour ambition de faire de ce quartier un centre névralgique, et de conserver cet esprit de coopération et de proximité qui y a régné pendant plus d’un siècle. « Nous avons aussi défendu l’importance d’en faire un quartier de vie et que soient donc intégrés au programme entre 400 et 500 logements poussés par des promoteurs immobiliers. » Certains logements s’organisent et s’organiseront autour de places et de jardins partagés, principalement autour de l’ancien siège de l’administration de la Coop et de la maison des syndicats. Les premiers habitants, eux, arriveront l’année prochaine. Le quartier, situé entre un port industriel et des infrastructures ferroviaires, « fait figure de parc, où les équipements et les espaces publics sont mis à disposition de tous », développe Karim Tounounti. Pour ce qui est des équipements justement, les anciens bâtiments accueillent des ateliers d’artistes, une salle d’exposition dans la salle hypostyle et une brasserie dans la salle d’embouteillage de la cave à vin, une maison du projet, les réserves des musées de la ville de Strasbourg, des espaces de coworking… Circulez, il n’y a rien à voir Un lieu de vie décontracté (plutôt qu’apaisé), où les voitures sont acceptées, mais ne sont plus les bienvenues. L’ensemble de la voirie est réservé à la rencontre, aux piétons et aux cycles. Et si la circulation automobile n’est pas interdite à proprement parler, le quartier ne compte aucune place de stationnement en surface. Le stationnement se polarise aux abords du quartier, dans un parking public mutualisé. Le quartier est accessible par le réseau métropolitain de pistes cyclables, le tramway D StarCoop-Petit Rhin ou la gare régionale de Kehl-am-Rhein. L’espace public reste globalement très minéral, car, pour ce qui est de planter de nouveaux arbres, les contraintes sont nombreuses en raison de parcelles déjà largement occupées par le bâti. Pour autant, le quartier renferme un réseau de petites places publiques et de jardins partagés qui structurent la vie de quartier permettant l’installation de tables communes, de barbecues, voire d’aires de jeux. En mars 2023, un nouveau parc urbain de 5,6 hectares verra le jour à proximité du quartier. Agrémenté d’une grande noue de collecte des eaux pluviales et d’équipements sportifs, il fera office de bol d’air frais, dans un quartier déjà bien rafraîchi. Les anciens ateliers de la Coop ont été rénovés et accueillent désormais des artistes. Photo : Alex Flores Pour éviter d’importants coûts d’exploitation, ce bâtiment de 12 000 m2 destiné à recevoir du public a été divisé en sept espaces indépendants les uns des autres. Photo : Pierre Frigen Ce bâtiment autrefois destiné à la logistique a été entièrement rénové pour accueillir les réserves muséales de la ville de Strasbourg. Photo : Pierre Frigeni 1 / La Virgule, l’atelier des coopérateurs À l’époque, ce site accueillait l’ensemble des bâtiments liés à la maintenance, et tout ce qui servait au bon fonctionnement de la Coop (garage, menuiserie, etc.). « La programmation a saisi l’occasion de relocaliser certains artistes dans ces bâtiments à des tarifs très avantageux. » C’était tout trouvé. Cette multitude de petits ateliers s’est transformée en pépinière d’artistes. Le petit œuvre a consisté en une mise en conformité des lieux, en des travaux d’isolation et d’électricité. 2 / L’Union sociale Bâtiment central du quartier, cet ensemble logistique de 8 200 m2 répartis sur cinq niveaux accueille désormais la réserve muséale de Strasbourg. « À l’origine, les réserves de Strasbourg étaient réparties en différents sites, et étaient donc très éclatées. Ce qui entraînait des difficultés dans l’organisation des cycles et des rotations des expositions. » Le bâtiment de l’Union sociale, en plus de centraliser l’ensemble grâce à ses grandes surfaces, répond aussi à un besoin d’inertie thermique, essentielle pour la conservation des œuvres. À l’origine, la ville de Strasbourg souhaitait que ces réserves soient accessibles aux visiteurs, ce qui aurait impliqué une mise aux normes coûteuse. « Nous avons trouvé un compromis en transformant les portes de quais d’origine en baies vitrées sécurisées. En notre qualité d’aménageur, nous avons rendu visible l’intérieur du bâtiment depuis l’espace public sans que le bâtiment ne soit accessible au public pour autant », détaille Karim Tounounti. 3/ La cave à vin C’est un peu le cœur du quartier. Ce bâtiment de 12 000 m2, destiné à accueillir du public, risquait d’entraîner d’importants coûts d’exploitation. La parade ? Elle est toute simple. Alexandre Chemetoff a simplement divisé le bâtiment en sept espaces indépendants les uns des autres. L’ensemble renferme désormais une cave à vin donc, mais aussi une salle d’exposition, des bureaux, une halle alimentaire, d’anciennes cuves à vin, comme un ultime témoignage des usages d’antan…   Fiche technique • Maître d’ouvrage : SPL Deux-Rives Strasbourg • Maître d’œuvre : Alexandre Chemetoff & Associés • 1 000 habitants • 50 000 m2 d’activités socioculturelles et économiques • 45 000 m2 de bâtiments réhabilités Cet article est extrait de Planète Bâtiment n°67 > Consulter la version numérique 
Il y a 3 ans et 87 jours

Photovoltaïque : la course au rendement

Côté magazine Côté magazine Photovoltaïque : la course au rendement Après des années de développement tous azimuts, les industriels se fixent sur les technologies bien maîtrisées. L’amélioration des solutions passe par la gestion intelligente de la ressource. Si les industriels du secteur photovoltaïque poursuivent leurs recherches et développements sur les panneaux solaires pour en améliorer les rendements, les équipements affichent actuellement un optimum de rendement d’environ 20 % ; il est de 22 % avec des cellules monocristallines, 25 % avec des capteurs de technologie dite d’« hétérojonction ». Les débats se situent désormais sur d’autres terrains. À savoir : comment mieux exploiter l’énergie disponible ? Rendement élevé, performance stable, disponible en versions hybrides, associée à d’autres équipements techniques ou couplée à la mobilité : la solution photovoltaïque s’intègre désormais dans les offres énergétiques innovantes. Panneaux Spring hybrides de DualSun. Photo : DualSun Des produits adaptés aux contraintes des bâtiments   La filière bâtiment connaît les nombreux freins à l’installation d’une toiture photovoltaïque. Les principaux reposent sur les contraintes de structures et d’intégration architecturales. Ce dernier semble bel et bien contourné par la proposition d’Edilians de tuiles solaires de couleur rouge. Certes, il ne s’agit pas d’un produit performant, puisque le changement de teinte lui fait pratiquement perdre 20 % de capacité : 59 Wc pour un grand module de 16 cellules contre 75 Wc pour la version noire. Le concepteur qui augmentera la surface de captage en conséquence sera aussi déçu : leur coût est plus important. Il reste que cette solution était attendue depuis pratiquement quinze ans et permet de la développer sans difficulté. Pour les usagers qui souhaitent produire leur eau chaude sanitaire et leur électricité avec leur toit, la solution hybride de DualSun devient très populaire ; elle est pourtant disponible depuis une dizaine d’années… Elle devrait par ailleurs bénéficier de l’élan fourni par le projet européen Sun Horizon. Depuis plusieurs années, le constructeur automobile américain Tesla développe une offre résidentielle avec tuiles photovoltaïques et batteries de stockage. Ces équipements sont attendus en France en 2022. Photo : Tesla Le tuilier européen Edilians répond à la demande d’installation de toits solaires en neuf et en rénovation dans les zones de protection du patrimoine architectural urbain et paysager en déclinant ses modules solaires dans une version de teinte terre cuite. Photo : Edilians Coupler pour optimiser   Le principe sur lequel il se fonde avait été lancé au milieu des années 2000 par l’entreprise Airwell : associer des capteurs photovoltaïques à une pompe à chaleur pour augmenter son coefficient de performance au regard de l’énergie de réseau consommée. Similaire, Sun Horizon diffère par son ambition : il embarque vingt partenaires – des fournisseurs de capteurs solaires thermiques et photovoltaïques, de pompes à chaleur, de ballons de stockage, des énergéticiens, des laboratoires et des universités – et s’adapte aux besoins de neuf pays européens, de la Norvège à l’Espagne. Cette recherche vise une optimisation quasi intégrale des solutions mises en œuvre, qu’il s’agisse de chauffage ou de rafraîchissement, et quel que soit le climat : froid, tempéré ou chaud. En France, les principaux acteurs investis dans ce projet sont le CEA, le fabricant de pompes à chaleur gaz BoostHeat et DualSun. Le travail d’ingénierie a d’ores et déjà abouti à la définition de cinq ensembles technologiques qui répondent aux besoins de confort tout au long de l’année. Depuis quelques mois, ils sont mis à l’épreuve dans huit bâtiments (résidentiels, tertiaires, centre de sport), en Allemagne, Belgique, France et Espagne. Les économies de coûts d’exploitation visées sont de 30 à 85 %. L’échéance de la démonstration est fixée à la fin de l’année 2023 (voir le site https://sunhorizon-project.eu).   Rec Solar commercialise depuis 2020 les panneaux Alpha Pure de technologie dite d’« hétérojonction » des cellules, d’une puissance améliorée de 18 % (380 W/m2 contre 320 W/m2 en version classique). Ces matériels répondent au manque d’espace pour produire de l’électricité d’origine renouvelable. Photo : Rec Solar D’un niveau de 375 W/m2, la série Spring de DualSun fait aussi partie des matériels permettant d’optimiser les installations. Vers l’autonomie énergétique   Comment synchroniser efficacement la production solaire et la consommation d’énergie ? Question cruciale quand on sait que, en très peu de temps, la production d’électricité sur site s’accompagnera d’une électrification de la majorité des usages résidentiels et, vente de véhicules électriques oblige, de ceux liés à la mobilité. Cependant, avec les tableaux électriques actuellement installés, difficile de dépasser un ratio d’autoconsommation de plus de 30 %. Pour résoudre cette difficulté, Schneider Electric prépare la sortie, au printemps 2022, d’un gestionnaire d’énergie spécifiquement adapté aux futurs équipements résidentiels. Nommé Wiser Energy Center, cet élément à placer à proximité de la gaine technique logement a pour fonction de recevoir : – les informations de l’ensemble des sources d’énergie du bâtiment (réseau, capteurs photovoltaïques, batteries de stockage, voire générateur d’électricité) ; – et celles des différents équipements à alimenter (pompes à chaleur, chauffe-eau et recharge des véhicules électriques). L’informatique embarquée dans ce tableau électrique a pour but de gérer les usages et de porter l’autoconsommation à un optimum de 80 %. Autre fonction possible : limiter l’appel de puissance sur le réseau à celui fixé par le contrat. Toutes les fonctions de contrôle sont accessibles par smartphone. Ce développement d’une intelligence entre la production d’électricité sur site et les consommations du bâtiment va-t-il engendrer une révolution ? André Joffre, PDG du bureau d’études Tecsol et observateur de la filière solaire, en est convaincu. Selon lui, les signaux forts de ces évolutions sont lisibles à travers les technologies de communication actuellement développées par des fournisseurs tels que Enphase ou Tesla. Enphase s’est imposé comme fabricant de micro-onduleurs à fixer au dos de chaque capteur et dont l’intérêt est d’augmenter la production globale d’électricité sur un site. Son catalogue est complété de batteries et d’une solution de gestion d’énergie connectée qui donne la main pour utiliser l’énergie, la stocker ou la rejeter sur le réseau. Même chose chez Tesla. Avec ses tuiles photovoltaïques et ses batteries Powerwall promises depuis des années, le tout associé aux véhicules électriques, cet industriel promet une quasi-autonomie énergétique des logements. Disponibles dès le printemps 2022, ces composants en rupture totale avec les habitudes de conception prises depuis des décennies semblent pourtant en phase avec les attentes globales en matière de maîtrise de l’énergie et de réduction des émissions de carbone. Bernard Reinteau Vers plus de rendement et de capacité de stockage « Il faut s’attendre à de fortes évolutions des solutions photovoltaïques au cours des prochaines années. Les industriels devraient dépasser le plafond de verre des 30 % de rendement des cellules. Les recherches en cours laissent penser que l’on va régulièrement gagner des points de performance avec les technologies multicouches. Cependant, un travail est encore nécessaire pour les améliorer en termes de pérennité, de stabilité et de coût. Ces efforts sont très importants, car les investisseurs font face à un manque d’espace, notamment en Europe. Il en va de même pour le stockage d’électricité. Les batteries affichent aujourd’hui des capacités de 200 à 300 Wh/kg. L’innovation laisse entrevoir une densité de l’ordre de 1 000 Wh/kg et ouvre de nouvelles perspectives. » Daniel Mugnier responsable de l’agence Tecsol Auvergne-Rhône-Alpes, président., Agence internationale de l’énergie (AIE). Cet article est extrait de Planète Bâtiment n°67 > Consulter la version numérique 
Il y a 3 ans et 93 jours

Pratique du vélo en ville : Montreuil ville cyclable en plus forte progression ces deux dernières années

Pour Patrice Bessac, maire de Montreuil : « Meilleure progression en Seine-Saint-Denis : Montreuil ! Comment ne pas se réjouir de ce classement issu d'une enquête de satisfaction menée auprès de celles et ceux pour lesquels nous travaillons au quotidien à améliorer, sécuriser, faciliter les déplacements alternatifs. En deux ans, Montreuil s'est fortement impliquée et a fait preuve d'un réel volontarisme dans l'amélioration du partage de la voirie en aménageant 7 nouveaux kilomètres de pistes cyclables au sortir du premier confinement qui ont permis d'améliorer le réseau cyclable, de réduire les coupures et de renforcer les liaisons avec les autres réseaux comme celui du RER V, le réseau vélo de la Région Île-de-France. »Avec son adjoint en charge des mobilités et de la ville cyclable, Olivier Stern, Montreuil prête une attention renforcée à cette enquête de satisfaction spontanée qui se reproduit tous les deux ans car, c'est pour elle une façon de mesurer et d'évaluer les efforts qu'elle met en œuvre pour répondre à la diversité des besoins de mobilité des habitants. Montreuil est la ville d'Île-de-France qui enregistre la plus forte progression et qui creuse l'écart avec les autres villes. Montreuil obtient une des meilleures notes à la question de l’ouverture au double sens cyclable des rues en sens unique, résultat de la mise en place généralisée à toute la ville de la zone 30.Au-delà, Montreuil est récompensée pour l'écosystème favorable à l'usage du vélo qu'elle a réussi à générer et qui transparaît au travers de la bonne note obtenue dans les catégorie « trouver un magasin ou un atelier de réparation de vélo » et « efforts faits en faveur du vélo par la ville sont importants ».En effet, les cyclistes montreuillois ayant répondu au questionnaire de ce baromètre saluent les efforts de la Ville faits en faveur du vélo et disent se sentir en sécurité dans les rues résidentielles. Deux catégories qui permettent à Montreuil de creuser l'écart avec d'autres collectivités.Bien entendu, et comme dans toutes les villes, des efforts restent à mener notamment sur le stationnement de véhicules motorisés sur les aménagements cyclables, sur les solutions alternatives à mettre en œuvre lors de travaux sur les itinéraires cyclables, sur le manque de respect de la part des conducteurs de véhicules motorisés ou encore sur le nombre de vols de vélo.Si Montreuil progresse c'est que la Ville s'est engagée depuis plusieurs années maintenant dans un plan vélo qui repose sur l’apaisement de la circulation et sur la création d’un réseau complet et sans coupures d’aménagements cyclables. Montreuil conçoit son développement en protégeant l’environnement, en favorisant la santé des Montreuillois et en préservant leur qualité de vie. Le développement de ce réseau de transport alternatif au déplacement automobile est un des éléments essentiels de la politique menée par la Ville en faveur des mobilités durables et de la lutte contre la pollution de l’air.En juin 2018, Montreuil a adopté un plan vélo sur cinq ans, destiné à rendre ce mode de déplacement plus populaire en programmant des aménagements qui en facilitent et en sécurisent la pratique.Ce Plan vélo concrétise l'attachement de la Ville de Montreuil à concevoir des politiques publiques de déplacement qui préservent l'environnement en réduisant les émissions de gaz à effet de serre pour améliorer la qualité de vie en ville. Ce mode de déplacement est performant, économe, souvent plus rapide que la voiture sur de courts trajets et bon pour la santé.Le Plan vélo de Montreuil compte cinq volets d'action, financés à hauteur de 30 % ou 50 % par la Région Île-de-France :Sécuriser et améliorer la qualité des déplacements cyclables ;Développer l’offre de stationnement vélo ;Proposer des services aux cyclistes ;Promouvoir le vélo ;Évaluer, en concertation avec les usagers, la progression de la politique vélo de la Ville.Le Plan vélo adopté par le Conseil municipal de juin 2018 s'est fixé pour objectifs de contribuer à :améliorer les aménagements et itinéraires cyclables continus, structurants et sécurisés pour renforcer et apaiser le partage de la voirie ;augmenter l’offre de stationnement sécurisé, dans les nouvelles constructions et sur l’espace public (nouveaux parcs de stationnement Véligo' et arrivée de 20 Vélobox dans les rues) ;garantir un meilleur partage de la voirie par des aménagements luttant contre les points noirs de vitesse et d’insécurité routière, en confortant ainsi le passage à la ville à 30 km/h généralisés en juin 2018 et permettant la mise en double sens de toutes les rues pour les cyclistes ;poursuivre l’expérimentation de la suppression des répétiteurs installés sur les feux tricolores créant naturellement un sas-vélo qui renforce la sécurité des cyclistes et piétons ;soutenir le marquage Bicycode permettant d’identifier un vélo volé ou perdu.Le Plan vélo de Montreuil c'est : 28 km d’itinéraires cyclables, 4 400 places de stationnement (2 200 arceaux), 11 pompes à vélo publiques en libre service, l’installation en 2018 de la première borne publique de réparation de vélo en Île-de-France et, une augmentation de 13 à 21 stations Vélib’ ainsi que de multiples associations de cyclistes et points de vente.
Il y a 3 ans et 101 jours

Plus de 90% des responsables énergie pensent que leur entreprise réussira à réduire ses émissions CO2 de 55% en moins de 10 ans

D’après l’étude, ils ne sont que 7% à déclarer que leur entreprise n’a pas encore engagé d’actions concrètes pour baisser ses émissions et atteindre les ambitieux objectifs de neutralité carbone fixés par l’Union Européenne.La transformation écologique et énergétique des entreprises bat son plein, poussée par le double facteur des objectifs climatiques européens et des attentes des citoyens. C’est ce que révèle une nouvelle étude effectuée par l’institut OnePoll pour Statkraft, le plus grand producteur d’énergie renouvelable d’Europe. Lors de cette vaste enquête menée dans huit pays européens dont la France, 16,000 particuliers et 620 industriels responsables des achats d’énergie ont été interrogés sur leurs perspectives en matière de transition énergétique.Le constat est sans appel : 80% des Français déclarent être préoccupés par le changement climatique. Ils ne sont en outre que 10% à estimer que la lutte pour le climat ne relève pas de leur responsabilité personnelle et près de 69% à souhaiter davantage d’initiatives gouvernementales en faveur du climat. Cette tendance lourde dans les attentes des consommateurs constitue un puissant moteur de la transformation des entreprises.Enfin l’étude révèle que les Français, à l’instar des autres peuples européens, tiennent les producteurs de combustibles fossiles comme premiers responsables du changement climatique, devant l’utilisation de plastiques à usage unique et le transport.L’énergie renouvelable reste quant-à-elle la source d’électricité préférée des Français : Ils ne sont que 4% à avoir une opinion négative de l’énergie solaire, devant l’éolien terrestre avec à peine 13% d’opinion défavorable, contre 29% d’avis négatif pour nucléaire. De plus, 61% des sondés considèrent comme important que l'électricité qu'ils utilisent à la maison provienne d'une source renouvelable.Des bouleversements industriels à venirParmi les industriels européens, les Français sont aussi ceux qui sont les plus fermement convaincus que leur secteur d’activité va connaitre une profonde transformation. En effet, 70% des professionnels français interrogés estiment avec conviction que leur secteur industriel connaitra de grands bouleversements au cours des trois décennies à venir, soit près de 20 points de plus que leurs homologues Européens.L’industrie automobile en sera un exemple emblématique. L’enquête confirme en effet l’engouement populaire pour les véhicules hydrides ou tout électrique. Plus de 20% des Français compte se séparer de leur véhicule thermique au profit de l’électrique au cours des 24 prochains mois. Cette tendance s’accentuera fortement avec la démocratisation progressive de la mobilité électrique, puisque 58% des personnes qui n’envisagent pas d’adopter de véhicule électrique à ce jour, pointent leurs prix excessifs comme frein numéro un.Nos industriels français ont aussi une vision précise de l’action gouvernementale qu’ils souhaitent voir venir en soutien à leur transition énergétique.Parmi les diverses initiatives que le gouvernement devrait selon eux prendre, les professionnels français citent les subventions pour les énergies renouvelables comme étant le facteur le plus important, suivis des subventions pour les industries électro-intensives, les subventions pour l'énergie en général, et enfin une mise en place rapide et efficace des plans climatiques gouvernementaux.
Il y a 3 ans et 103 jours

Une île paradisiaque au Vietnam, livrée aux ambitions démesurées des promoteurs

Quelque 200 Sud-Coréens ont les été premiers visiteurs étrangers depuis 20 mois à débarquer sur l'île, nichée à quelques encablures du Cambodge, dans les eaux cristallines du golfe de Thaïlande."C'est la première fois que je quitte la Corée du Sud depuis le début de la crise sanitaire (...) Je me sens en sécurité. On est tous vaccinés", commente à l'AFP Tae Hyeong Lee.Le groupe logera dans un resort de 12.000 chambres, pourra se promener en gondole, s'étourdir sur les manèges du parc d'attractions, taper la balle sur un 18 trous immaculé, nourrir les girafes au zoo safari et jouer à la roulette dans un casino digne de Las Vegas."Je suis tellement excitée à l'idée d'accueillir nos premiers visiteurs", s'enthousiasme Ngo Thi Bich Thuong, employée du gigantesque complexe, baptisé Phu Quoc United Center.Sur plus de 1.000 hectares et des kilomètres de littoral au nord-ouest de l'île, il a ouvert ses portes il y a six mois, en pleine pandémie.Le puissant conglomérat vietnamien VinGroup (BTP, tourisme, automobile, centres commerciaux, éducation...) a investi 2,8 milliards de dollars dans le projet.Les ambitions du groupe du milliardaire Ph?m Nh?t Vu?ng sont grandes: faire de Phu Quoc "une nouvelle destination internationale sur la carte touristique mondiale".40.000 chambres d'hôtelLe bétonnage se propage ailleurs sur l'île."En tout, 40.000 chambres d'hôtel ont été construites, sont prévues ou en cours de construction", relève Ken Atkinson, vice-président du Conseil consultatif du tourisme vietnamien. "C'est plus de clés d'hôtel qu'à Sydney".Au sud, un autre promoteur, Sun Group, a investi dans des parcs de loisirs et un téléphérique de près de 8 kilomètres, l'un des plus longs du monde, enregistré au Guinness des records."L'île d'émeraude" est longtemps restée à l'écart des circuits touristiques, se consacrant à la pêche, la culture du poivre vert et l'élevage de perles.La nature y est si florissante qu'en 2006 elle est classée "réserve mondiale de la biosphère" par l'Unesco.Mais les plages de sable blanc ne tardent pas à attirer les investisseurs qui rêvent d'en faire un nouveau Phuket, l'île thaïlandaise qui a accueilli dix millions de visiteurs internationaux en 2019.En 2012, un aéroport international est ouvert à Phu Quoc. Sept ans plus tard, cinq millions de touristes, dont plus de 500.000 étrangers - des Chinois, Russes, Japonais, Sud-Coréens - déferlent sur les plages."Déluge de plastique"Même si une partie de l'île reste classée zone protégée, ce développement éclair inquiète."Phuket a mis des années à grandir, mais le Vietnam a tendance à vouloir tout faire d'un seul coup", déplore Ken Atkinson. "Je ne pense pas que l'on accorde suffisamment d'attention à ce qui serait dans l'intérêt à long terme de Phu Quoc".Les eaux cristallines regorgent de récifs coralliens et les plages étaient autrefois des lieux de ponte plébiscités par les tortues vertes et les tortues imbriquées, des espèces menacées.Aucune nidification n'a eu lieu ces dernières années, relevait l'UNESCO en 2018.Et les déchets plastiques engendrés par le tourisme ont déjà eu un effet désastreux sur l'écosystème.Avant la pandémie, environ 160 tonnes d'ordures étaient générées chaque jour, d'après le Fonds mondial pour la nature (WWF).L'organisation dénonçait "un déluge presque inimaginable de plastique" qui menaçait la vie marine. Elle mettait en garde contre une gestion des déchets "inadaptée" face à l'explosion du tourisme."De plus en plus de visiteurs sont conscients de l'environnement, ils ne voudront pas se rendre sur des plages jonchées de détritus ou se baigner dans une mer polluée par les eaux usées", prévient Ken Atkinson.Mais les habitants, coupés de la manne financière des touristes étrangers depuis des mois, ont hâte de voir les affaires repartir."Si Phu Quoc ne se développait pas, ce ne serait qu'une perle non découverte", estime Chu Dinh Duc qui a monté une petite structure hôtelière à l'écart des gigantesques resorts.Lai Chi Phuc, guide touristique, attend aussi avec impatience le retour des visiteurs."Tout le monde voulait s'échapper de Phu Quoc quand j'étais enfant", se souvient le jeune homme de 33 ans, parti longtemps travailler sur le continent. "Grâce aux touristes, j'ai pu enfin revenir dans mon île".
Il y a 3 ans et 104 jours

Béton Solutions Mobiles : Une table de réunion au top !

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine [©La Fermeture Moderne] « Elle est juste incroyable cette table de réunion. Elle est tellement belle, s’exclame Philippe Tibère-Inglesse, président de Béton Solutions Mobiles. C’est la seconde réalisation de la menuiserie bois S2B et de la métallerie La Fermeture Moderne pour nous. La première table était tout en béton. Mais là, ils se sont surpassés et m’ont fait la surprise de la rendre entièrement connectée grâce à des chargeurs USB. Et le must se trouve sous la table, les pieds en acier reprennent la forme de nos silos à ciment. En plus, à nos couleurs ! » Voilà un chef d’entreprise ravi. Et il n’est pas le seul : « Nous n’avons que des retours super positifs de nos collaborateurs ».  Une table de réunion hors normes Cette table de réunion de 3,60 m de long pour 2,00 m de large a nécessité 420 kg de chêne et 162 kg d’acier. Elle est équipée de 8 chargeurs à induction invisibles, de 20 prises USB et de 4 prises 220 V. « Le cahier des charges était clair. Je voulais un beau chêne pour une belle table avec des pieds métalliques. Et correcte en termes de tarif », précise Philippe Tibère-Inglesse. « Nous connaissons Béton Solutions Mobiles depuis des années, raconte Alexis Brachet, directeur général de La Fermeture Moderne et président de S2B, les deux sociétés faisant partie du groupe Verre Bois Métal. Nous travaillons sur leurs centrales, notamment celles de Gennevilliers. Nous avons bien cerné son président. Il est très corporate, et aime ce qui est de qualité et insolite à la fois. Il aime se démarquer des autres. Pour répondre à son cahier des charges et aller au-delà de ses espérances, nous avons optimiser le budget. Afin de limiter les coûts, nous avons appliqué des processus de Lean Management1 dans cette opération, de la conception à nos ateliers. Ainsi, nous avons pu connecter la table et customiser les pieds qui, en plus d’être esthétiques et surprenants, contiennent des trappes d’accès pour tous les éléments électriques de la table. » 1Chasse au gaspillage par les acteurs d’une organisation dans leurs process. Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 104 jours

Eqiom : Les Ardoines se parent de beaux bétons

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine La gare des Ardoines, à Vitry-sur-Seine fait la part belle au béton architectonique. [©Gérard Rollando/Eqiom] Bien que les lots T2A et T2B de la ligne 15 du Grand Paris Express soient réalisés par des groupements d’entreprises distincts, ils ont un point en commun. Tous deux profitent du même fournisseur de bétons. En l’occurrence Eqiom. Mais l’industriel n’est pas seul dans cette aventure, s’étant associé à Lafarge et à la Société Francilienne de Béton (SFB, groupe Nivet). Toutefois, il est le mandataire de l’opération. « Ces deux lots nécessitent un total de 760 000 m3 de bétons, à livrer sur des chantiers répartis sur près de 14 km entre Villejuif et Champigny-sur-Marne, au Sud-Ouest de Paris », résume Fateh Kichah, responsable coordination grands chantiers d’Eqiom. Et de poursuivre : « Au total, nous avons mobilisé neuf unités de production ». Dans le détail, Eqiom a dédié ses centrales d’Alfortville et de Lagny-sur-Marne. Lafarge a mis à disposition son installation de Bercy et une unité mobile à Villiers-sur-Marne. Quant à SFB, il a réservé ses deux unités de Valenton et celle de Bonneuil. A quoi s’est ajoutée une centrale mobile installée sur le site des Ardoines, à Vitry-sur-Seine et une autre, à Villiers-sur-Marne.  Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 104 jours

Vendée : Aerolithys comble un bassin de saumurage

Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine Remplissage de l’ancien bassin de saumurage à l’aide du béton mousse Aerolithys. [©Béton Mousse Technologie] Détruite lors d’un violent incendie en février 2020, la fromagerie Eurial de Luçon, appartenant à la coopérative Agrial, a dû être momentanément fermée. Mais très vite, le propriétaire a décidé de la réouverture des lieux. Et ainsi, de la transformation de la fromagerie en une usine agro-alimentaire. Ceci, en repartant des bases encore présentes de l’ancienne occupation. C’est le Groupe Angevin, à travers son entité Donada, qui a été désigné pour réaliser l’opération de reconstruction et de réaménagement. Avec un défi majeur à résoudre : la présence d’un ancien bassin de saumurage de 1 200 m3 à combler. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Pays-de-la-Loire Pour ce faire, le choix s’est porté sur Béton Mousse Technologie (BMT) et sa solution Aerolithys. Le bassin de 50 m x 12,50 m x 2 m, l’équivalent d’une piscine olympique, a été rempli du béton produit en direct depuis la centrale mobile de BMT. Choisie pour sa très faible densité (380 kg/m3), sa rapidité de mise en œuvre (150 m3/j) et permettant d’être support de dallage, Aerolithys a convaincu l’ensemble des acteurs. Tant et si bien que ce béton mousse a aussi été mis en œuvre pour isoler le toit-terrasse d’une partie de l’usine. Ainsi, 40 m3 supplémentaires ont été coulés, permettant à la fois d’en assurer l’isolation, et l’étanchéité. De quoi permettre au lieu de retrouver une utilité, de se remettre de l’incendie et d’offrir la possibilité aux anciens employés de retrouver le chemin de l’usine agro-alimentaire flambant neuve. Article paru dans le n° 98 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 105 jours

Transition énergétique : des besoins en métaux qui inquiètent

Les ministres européens de l'Industrie ont réfléchi mardi à Lens (Pas-de-Calais) aux modes d'approvisionnement futurs de l'Europe en métaux "critiques" de la transition énergétique, afin de réduire leur énorme dépendance et leur retard vis-à-vis de la Chine, qui investit sur ces secteurs depuis une vingtaine d'années.Voici, secteur par secteur, leur utilisation, et les tentatives de substitution en cours pour essayer de diminuer leur consommation, telles qu'expliquées dans le rapport "sécuriser l'approvisionnement de l'industrie en matières premières minérales" présenté aux ministres, et dont l'AFP a obtenu copie partielle.1 - Éoliennes:Les éoliennes utilisent de l'aluminium, du cuivre, du plomb, du manganèse, du nickel. Elles ont aussi besoin de métaux plus rares, classés comme "critiques" par l'Union européenne comme le niobium, ou des terres rares pour fabriquer les aimants permanents de la turbine, comme le dysprosium (Dy), le neodynium et le praséodyme ajoutés à des alliages de fer, et du bore."Des recherches actives sont actuellement en cours pour concevoir des aimants sans terres rares pour les éoliennes à terre, mais pas sur les parcs offshore où le remplacement reste complexe", souligne le rapport de l'industriel Philippe Varin, présenté aux ministres européens.L'Europe est autonome à 58% pour la conception, la fabrication et l'assemblage d'éoliennes (grâce au Danois Vestals et à l'allemand Siemens essentiellement), "sans compter les usines installées par des acteurs non européens comme General Electric en France".Plus on remonte la chaîne de valeur, plus la dépendance européenne augmente vis-à-vis de l'Asie. La Chine à elle seule couvre 54% des besoins européens en matières premières pour les éoliennes, contre 1% pour l'UE.2 - Panneaux photovoltaïques:Le principe de base des panneaux solaires repose toujours sur du silicium, auquel on ajoute des alliages de terres rares pour doper les performances, comme le germanium, le gallium, l'indium, le molybdenum, le sélénium, le tellurium.L'Europe est quasiment absente des différentes étapes de la chaîne de valeur, dépendant à 70% de la Chine pour l'assemblage, à 90% pour les cellules photovoltaïques, et à 53% pour les matières premières autres que le silicium. "L'arrivée de nouvelles technologies innovantes pourrait contribuer à faire émerger" des acteurs européens, souligne le rapport.3 - Moteurs électriques:Pour sortir du pétrole, les moteurs électriques, comme ceux des éoliennes, ont besoin d'aimants permanents pour convertir l'électricité en force motrice, et donc des alliages de terres rares (dysprosium, neodynium, praséodyme) ajoutés à des alliages de fer et à du bore.L'Europe ne fournit que 1% des métaux bruts dont elle a besoin pour cela, alors que la Chine en procure 65% et 55% des métaux raffinés.4 - Batteries électriques:Les batteries Li-ion pour l'automobile utilisées en Europe sont produites à 66% en Chine (13% aux Etats-Unis, 13% dans les autres pays d'Asie et 8% dans le reste du monde). Elles reposent sur des anodes à base de graphite, des cathodes à base d'alliage de nickel, cobalt et manganèse ou aluminium, ainsi que du lithium.Pour améliorer les performances (les échanges d'électrons), on ajoute d'autres métaux en très petite quantité comme le titane, le silicium ou le niobium.L'énergie qu'une batterie est capable de stocker est directement conditionnée par la quantité de lithium que le matériau contenu dans l'électrode positive (cathode) est capable de contenir et d'échanger.Les batteries devraient garder leur composition actuelle en nickel, cobalt, manganèse et lithium au moins jusqu'en 2030-35 étant donné les investissements énormes pour construire des usines. Ensuite, les prochaines générations devraient voir réduire leur teneur en cobalt au profit du nickel.L'Union européenne qui commence tout juste à lancer ses premières giga-usines de batteries produit seulement 1% des métaux bruts dont elle a besoin, 8% des matériaux raffinés et 9% de ses électrodes.
Il y a 3 ans et 106 jours

L'UIMM s'inquiète d'une "pénurie de compétences" dans l'industrie

"Il manque à peu près 70.000-75.000 emplois qu'on pourrait immédiatement pourvoir mais il manque des candidats", a déploré Eric Trappier lors d'une rencontre avec l'association des journalistes économiques et financiers (Ajef).L'UIMM regroupe 42.000 entreprises représentant 3,5 millions de salariés des industries aéronautique, automobile, ferroviaire, navale, métallurgique, nucléaire et électronique."On souffre de la désindustrialisation qu'on observe depuis 20 ans, a-t-il jugé, la fermeture en 2013 des hauts fourneaux de l'usine de "Florange est restée dans la mémoire de beaucoup comme (le symbole, ndlr) d'une filière qui disparaît très vite".Il faut donc selon lui une "mobilisation nationale": "aller dans l'industrie c'est noble".Encore faut-il des formations adaptées. "On a de bonnes écoles d'ingénieurs mais on a besoin de plus de techniciens" capables de réparer des robots qui équipent de plus en plus les usines, de gérer les systèmes d'information nécessaires à la production."Il faudrait que l'Éducation nationale prenne conscience qu'elle a un devoir d'orienter vers les filières qui en ont le plus besoin", que les enseignants viennent avec leurs classes dans les usines, a estimé Éric Trappier, par ailleurs PDG de Dassault Aviation."On a besoin très en amont d'avoir des jeunes qui arrivent avec un bagage scientifique, d'avoir des enfants sensibilisés aux sciences" et "revenir dès le plus jeune âge à l'apprentissage des mathématiques", selon lui.
Il y a 3 ans et 108 jours

Résultats du troisième appel à projets France Relance visant à renforcer l’accompagnement à la transformation numérique des TPE et des PME

Opéré par Bpifrance, le troisième appel à projets, lancé le 14 septembre dernier, a permis de retenir 12 groupements d’opérateurs supplémentaires (liste des lauréats en annexe). Ainsi, avec 42 groupements retenus lors des trois appels à projets, ce sont au total plus de 93.000 entreprises qui pourront suivre gratuitement ces formations financées par France Relance. Les TPE et PME pourront, par exemple, bénéficier de formations leur permettant d’améliorer leur référencement en ligne, de mieux communiquer avec leurs clients, de gérer leur notoriété, d’utiliser les réseaux pour recruter ou encore de numériser la gestion de leur facturation et sécuriser les données de leur entreprise. Les sessions organisées par les opérateurs lauréats permettent d’établir un premier bilan : Parmi la variété de thématiques proposées, les plus couramment délivrées concernent la communication, la recherche et la fidélisation de clients (37%). La visibilité sur les réseaux sociaux (21%) et le développement des ventes (16%) sont également très demandés. Grâce au troisième appel à projet, des accompagnements sur la thématique de la cyber-sécurité peuvent être proposés.A ce jour, les régions les plus représentées sont l’Ile-de-France (18% des entreprises accompagnées à fin 2021), l’Auvergne-Rhône-Alpes (16%) et le Grand-Est (13%). Ce troisième appel à projet permet de renforcer l’offre dans les collectivités d’Outre-Mer, notamment à la Réunion, en Guyane et en Nouvelle-Calédonie.Ce dispositif a aussi pour ambition de s’adapter aux besoins des métiers et des secteurs d’activité. A ce titre, des groupements spécialisés proposent des formations spécifiquement adaptées aux secteurs suivants : artisanat, bâtiment, commerce, tourisme, hébergement et restauration, conseil et ingénierie, automobile…Deux tiers des sessions ont eu lieu à distance, en raison notamment de la situation sanitaire.Le programme des sessions de formation gratuites est publié sur le site francenum.gouv.fr.
Il y a 3 ans et 108 jours

Le centre commercial Leclerc de Saint-Just-en-Chaussée choisit Portalp pour sécuriser et fluidifier les accès de son magasin

Depuis près de 60 ans, Portalp fabricant français de portes automatiques sur-mesure, propose une offre globale de produits et services pour la sécurité et l’accès des bâtiments dans de nombreux secteurs dont le commerce. C’est pour cette expertise et pour la proximité que fournit son réseau français de 26 agences régionales que le centre commercial Leclerc, situé à Saint-Just-en-Chaussée (Oise), a fait appel à Portalp pour le remplacement des deux portes d’accès au magasin. Des portes SAS sur-mesure D’une superficie de 6500 m2 le centre commercial de Saint-Just-en-Chaussée, composé d’un supermarché Leclerc et d’une galerie marchande, accueille chaque jour près de 2500 clients. A l’origine, il était équipé de deux portes tambours rendant difficile l’accès avec un chariot. De plus, ce système s’avérant en panne régulièrement, Monsieur Deschamps, Directeur du centre, a souhaité  le remplacer pour bénéficier de portes mieux adaptées au fort trafic. Il a fait appel à Portalp qui lui a proposé une solution sur-mesure pour conserver, au maximum, la structure existante encore fonctionnelle Les portes SAS automatiques composées, chacune, de quatre vantaux fixes et de deux vantaux mobiles s’ouvrant en même temps pour fluidifier l’accès ont remplacé les installations dysfonctionnelles. « La problématique technique était de s’adapter au diamètre des deux structures cintrées existantes« , explique Christophe Ferrero, technico commercial Portalp. En amont de la fabrication de ces produits spécifiques, l’expertise de Mohamed Touach conducteur de travaux Portalp a été capitale dans la prise de cotes et la vérification de celles-ci avant leur transmission au bureau d’études pour la réalisation du plan d’exécution. « Une fois celui-ci dessiné, il est à nouveau contrôlé et validé avec le client. Et comme ce sont des portes automatiques sur-mesure, le plan est très détaillé pour que les techniciens réalisent la pose dans les règles de l’art » ajoute Lionel Landois, chef des ventes Ile-de-France Portalp. Avant la pose des deux nouvelles portes SAS coulissantes Portalp, le sol a été carrelé pour une meilleure planéité, les rails cintrés des portes d’origine enlevés et remplacés par ceux de Portalp qui ont été scellés dans une réservation pour maintenir les portes en partie basse. Compte tenu de la grande largeur de passage et pour être en conformité avec la norme EN 16005, la sécurité  des clients est assurée par trois détecteurs situés de part et d’autre, des portes SAS cintrées ainsi qu’un supplémentaire au milieu du passage libre. Un délai de fabrication et de pose très court « Le délai de fabrication de ces portes automatiques sur-mesure est de seulement 8 semaines et il faut compter 12 semaines de l’étude à la livraison. C’est ce qui fait notre spécificité chez Portalp » indique Christophe Ferrero. L’installation de chaque porte SAS a été réalisée par cinq techniciens en une semaine. Pour faciliter et optimiser le temps de pose sur chantier, la structure aluminium des portes, dont chaque vantail pèse 120 kg, est pré-assemblée et pré-percée en usine. « Afin d’optimiser la durée de vie et la fiabilité de ces deux nouvelles structures, nous avons proposé à Monsieur Deschamps un contrat de maintenance assuré par notre équipe régionale qui intervient 7 jours /7, 24 h/ 24. Une offre qu’il a immédiatement accepté car celle-ci lui permet de bénéficier en plus d’une extension de garantie à cinq ans » conclut Christophe Ferrero. Cette offre de maintenance complète le service que Portalp propose tout au long d’un projet à ses clients. De l’accompagnement à l’étude en passant par la fabrication sur mesure et made in France, les équipes expérimentées de Portalp fournissent une offre globale et complète au secteur des petites et grandes enseignes. http://www.portalp.com/
Il y a 3 ans et 108 jours

Schindler confirme son positionnement d'ascensoriste 4.0

Le groupe Schindler déplace à lui seul plus d’un milliard de personnes dans le monde chaque jour. D’origine suisse, créé en 1874, le groupe familial est présent en France depuis le début des années 60 par le rachat de la célèbre société Roux-Combaluzier. En France, l’ascensoriste assure le bon fonctionnement de 150 000 appareils, avec 60 millions de trajets par jour. Schindler couvre l’intégralité des activités liées aux ascenseurs, escaliers mécaniques et trottoirs roulants, du design à installation en passant par la maintenance, la réparation et la rénovation. Complètement intégré dans le quotidien de tous, l’ascenseur, un service d’utilité quasi-public, est le moyen de transport le plus utilisé au monde. Ce secteur connaît aujourd’hui une transformation industrielle 4.0 au cœur des Smart Cities d’aujourd’hui et de demain.Schindler : acteur des Smart Cities de demainPour assurer la pérennité de ses services, Schindler fait preuve d’innovation au quotidien avec, au cœur de son action, l’expérience passager. Il mise sur l’IA et la digitalisation pour : optimiser les temps d’attente et de trajet, proposer une télésurveillance intelligente en assurant un service sans interruption (anticipation des dysfonctionnements et des pannes…) et mettre à disposition des services connectés pour les usagers. Depuis 2018, tous les ascenseurs Schindler sont dotés d’une box connectée baptisée le Cube, siège de la maintenance prédictive. Grâce à cette technologie, il est possible d’anticiper les dysfonctionnements en relayant toutes les données relatives à l’ascenseur. La maintenance prédictive c’est : plus de 20 000 ascenseurs connectés, plus de 1000 paramètres surveillés en temps réel et une intervention des techniciens, en moyenne, 5 fois plus rapide. Dans une logique de responsabilité sociétale et environnementale, Schindler intègre dans le développement de son offre digitale, des technologies d’Edge Computing (filtrage de données pour ne pas engorger le Cloud).Schindler, un acteur éco-responsableLe nouveau siège social de Schindler se situe dans un bâtiment durable, le Quartz, certifié HQE et BREEAM, équipé pour répondre au développement digital de son activité. Situé à Vélizy-Villacoublay, en région parisienne, le Quartz héberge non seulement le siège de la maintenance prédictive mais également son centre d’appels. Schindler participe à cette évolution industrielle qui vise à changer le paysage urbain de demain. C’est dans cette optique que l’entreprise poursuit sa transformation sur le plan comportemental, technologique, organisationnel et RSE afin d’apporter un bénéfice à ses clients, partenaires et collaborateurs : politique zéro papier, électrification de la flotte automobile, partenariats avec des ONG, campagne de diversité, etc…
Il y a 3 ans et 114 jours

L'accès mobile : l'avenir du contrôle d'accès sans fil

Utilisés comme GPS puis comme carte de paiement, les smartphones évoluent à grande vitesse et deviennent de véritables clés digitales. Grâce à ces derniers, il est désormais possible d’accéder à un bâtiment, sur un ou plusieurs sites, de manière totalement sécurisée.Un récent rapport sur le marché du contrôle d’accès démontre que les utilisateurs voient dans l’accès mobile plusieurs avantages tels que la praticité, le coût et la sécurité. Les identifiants mobiles, lecteur d’empreinte et reconnaissance faciale, sont considérés comme plus sécurisés qu’un badge ou une clé. Le comportement humain est également considéré comme un avantage de l’accès mobile. Par exemple, un employé ne remarquera pas tout de suite avoir perdu son badge d’accès alors que cette personne sera plus soigneuse avec son smartphone.Uniformiser la gestion de la sécurité et des accès avec un smartphone D’après une étude* menée par IFSEC Global et ASSA ABLOY Opening Solutions, deux tiers des entreprises prévoient d’adopter un système de contrôle d’accès mobile dans les deux prochaines années. Avec le téléchargement des identifiants mobiles qui a connu une augmentation de 220% entre 2018 et 2019 et qui continue de croître, selon une étude Omdia**, le contrôle d’accès mobile est l’avenir. D’un point de vue de la gestion de la sécurité, la facilité d’utilisation d’un smartphone est un atout majeur. En effet, les identifiants mobiles peuvent être envoyés à distance et un administrateur peut annuler ces derniers à tout moment. Il n’y a plus de besoin de récupérer les badges des visiteurs occasionnels ou des personnes arrivant à la fin de leur contrat. Financièrement, cette solution est plus intéressante puisqu’elle permet de ne plus imprimer les badges physiques.Les lecteurs sans fil Aperio, une solution de contrôle d’accès mobile pour les bâtiments Les solutions sans fil Aperio offrent un moyen très simple d'étendre le nombre de portes sous contrôle d'accès ou pour remplacer les serrures mécaniques par du contrôle d'accès intelligent. Parce que les solutions Aperio sont sans fil et alimentées par une pile, leur installation est rapide et économique et leurs coûts de fonctionnement et de maintenance en seront donc réduits. L’accès mobile Aperio fonctionne grâce à la technologie Seos®, une plateforme innovante dotée d’une technologie de cryptographie et d’authentification de pointe ainsi que d’une protection à la confidentialité inégalée. Déverrouiller une porte, avec les solutions sans fils Aperio, est simple et intuitif. Les utilisateurs présentent leur smartphone aux lecteurs, sans avoir à ouvrir l’application, tel qu’ils le feraient avec un badge classique. Les produits Aperio peuvent lire simultanément plusieurs technologies de badges. Ainsi, tous les accès n’ont pas vocation à être mobile et les responsables sécurité n’auront pas à migrer tous les identifiants sur une seule et même plateforme. Les lecteurs sans fil Aperio sont pensés pour une compatibilité maximum : les entreprises peuvent utiliser des badges RFID tout en utilisant des identifiants dématérialisés simultanément sur le même équipement. Les lecteurs Aperio permettent de réduire les coûts d’installation et d’extension dans un bâtiment grâce à leur compatibilité avec les systèmes existants. Rapides à installer et peu énergivores en énergie, les lecteurs sans fil Aperio s’intègrent parfaitement avec les systèmes de plus de cent fabricants de contrôle d’accès.
Il y a 3 ans et 121 jours

Kingspan rejoint l’équipe Mercedes-AMG Petronas Formule 1 comme partenaire officiel

Kingspan pilotera le nouveau groupe de travail sur le développement durable pour l’équipe Mercedes. La mission de ce groupe de travail sera de rassembler l’expertise de divers domaines pour contribuer à atteindre l’objectif de l’équipe : réduire les émissions de CO2 dans le sport automobile grâce à de nouvelles approches et technologies. Toto Wolff, directeur d'équipe et PDG de l'équipe de Formule 1 Mercedes-AMG PETRONAS : « Nous sommes ravis d'accueillir Kingspan dans notre équipe à la fois en tant que partenaire et en tant que président de notre nouveau groupe de travail sur le développement durable. Trouver une entreprise dont les ambitions sont de proposer des solutions durables qui visent à réduire les émissions de carbone dans leur industrie correspond exactement à notre vision et représente une réelle opportunité pour les deux partenaires. Nous faisons de réels progrès dans la transformation de notre entreprise pour qu'elle fonctionne de manière plus durable. La capacité de partager l'expertise, les ressources et l'inspiration avec Kingspan via notre nouveau groupe de travail sur la durabilité contribuera véritablement à accélérer le changement et la sensibilisation au sein de notre équipe et, espérons-le, de notre sport. »Basé en Irlande, Kingspan est l’un des acteurs mondiaux en matière de solutions d'isolation et d'enveloppe du bâtiment pour des bâtiments à haute performance énergétique et à faible émission de carbone. Après avoir lancé son premier programme de développement durable (Net Zero Energy) en 2011, le groupe poursuit le déploiement de son plan d’action climatique « Planet Passionate », qui s'appuie sur des objectifs scientifiques d’envergure alignés sur le scénario de 1,5 degré du GIEC. Kingspan vise la neutralité carbone d'ici 2030, avec notamment une politique d’achat et d’approvisionnement responsable pour réduire l’empreinte carbone de ses activités (optimisation de la chaine logistique avec la mise en place de circuits courts et recours aux énergies renouvelables).De son côté, l'équipe Mercedes-AMG Petronas F1 s'est fixé pour objectif de réduire de 50% les émissions de CO2 dans ses opérations d'ici 2022 et travaille sur des objectifs ambitieux pour atteindre la neutralité carbone. L'usine de châssis de haute technologie de l'équipe à Brackley, au Royaume-Uni, utilise déjà des énergies renouvelables pour alimenter toutes ses opérations, tandis que son centre technologique de Brixworth dans le Northamptonshire produit plus de la moitié de son électricité à l'aide de panneaux solaires et d'une usine CCHP sur site.Cet engagement fait écho aux produits, systèmes et technologies de Kingspan qui répondent aux défis critiques de l'environnement bâti, notamment l'amélioration de l'efficacité énergétique, la réduction du carbone incorporé, l’économie circulaire et la préservation des ressources naturelles en particulier l’eau.Les produits Kingspan ont été utilisés pour aider à créer des bâtiments haute performance dans le monde entier pour la société mère de l'équipe, Mercedes-Benz.Gene Murtagh, PDG de Kingspan Group : « Deux des grands défis de notre époque sont la décarbonisation des transports et la décarbonation de l'environnement bâti. Kingspan et l'équipe de Formule 1 Mercedes AMG Petronas partagent la même détermination à relever ces défis grâce à la technologie, l'innovation et le travail d'équipe. Je suis ravi de transmettre ce message à un public de 500 millions de fans de Formule Un. »La haute performance, la durabilité, le travail d'équipe et l’innovation sont les thèmes clés de ce nouveau partenariat. Le logo Kingspan sera présent sur les voitures de l’équipe lors du Grand Prix d'Arabie Saoudite, alors que Lewis Hamilton se bat pour le championnat des pilotes et que Mercedes-AMG Petronas vise le prix des constructeurs.
Il y a 3 ans et 122 jours

Aux Etats-Unis, les locataires défavorisés cibles des incendies mortels

Dans le quartier populaire du Bronx à New York, dimanche 9 janvier, un feu provoqué par un radiateur électrique a tué 17 personnes, dont huit enfants, dans un immeuble en brique de type HLM.Mercredi dernier, un terrible incendie dans une habitation à Philadelphie avait fait 12 morts, dont huit enfants.Ces deux tragédies constituent les pires catastrophes à cause d'un feu que ces deux villes aient connues depuis des années. Leur emplacement - dans des appartements construits pour les ménages défavorisés - n'est pas une coïncidence, selon des défenseurs du droit au logement."Quand j'ai lu les infos, je me suis dit, vu le quartier et le type de bâtiment, ce sont des logements sociaux", remarque Jenna Collins, une avocate des services sociaux de Philadelphie, à propos de l'incendie de New York."J'étais encore moins surprise quand j'ai entendu qu'un chauffage d'appoint électrique était en cause", a-t-elle ajouté, expliquant que les appartements financés par l'Etat ne sont souvent pas suffisamment chauffés en hiver.Pendant la pandémie, les prix de l'immobilier ont atteint des niveaux record. Cette hausse a éloigné encore un peu plus la perspective de s'acheter un logement pour de nombreux Américains.Dans le même temps, la réserve de logements subventionnés pâtit, dans de nombreuses villes, des retards dans les travaux et entretiens, qui créent les conditions pour de tels désastres."Ce type d'habitation a été plus négligé que tout autre", souligne Lena Afridi,directrice par intérim du Pratt Center for Community Development à New York. "Les gens vivent où ils peuvent, et dans les deux cas, ils se sont installés dans des lieux qui n'étaient pas sûrs parce que cela semblait préférable à dormir dans la rue. Mais cela ne devrait pas être la seule alternative."Des années d'attenteAucun Etat ni ville américaine majeure ne disposait l'année dernière de suffisamment de logements disponibles pour les ménages ayant des moyens très réduits, d'après la National Low Income Housing Coalition, une ONG.En centre-ville à New York et Philadelphie, il y avait moins d'habitations abordables que la moyenne nationale de 37 de ces logements pour 100 locataires défavorisés.Cette pénurie conduit à des situations comme celle de Philadelphie, où l'habitation qui a brûlé abritait environ 26 personnes, 8 au rez-de-chaussée et 18 aux premier et deuxième étages, selon un pompier.La ville a assuré dans un communiqué que les détecteurs de fumée fonctionnaient lors de l'inspection au printemps l'année dernière. Mais ils n'ont pas marché au moment du feu."C'est parce que ce bâtiment était surpeuplé qu'autant de vies ont été perdues", insiste Jenna Collins.A Philadelphie, la liste d'attente pour des logements sociaux est fermée depuis des années aux nouveaux candidats. Et certains qui ont réussi à s'inscrire attendent depuis des décennies.Construire, mais aussi réparerA New York, l'immeuble de 19 étages qui a pris feu hébergeait de nombreux habitants qui dépendent des aides du gouvernement, selon les médias américains.Lena Afridi pense que le manque de travaux de maintenance a contribué à la catastrophe, évoquant des témoignages de locataires qui utilisaient des radiateurs électriques mobiles et avaient pris l'habitude d'ignorer les alarmes à incendie à cause des nombreuses fausses alertes.Le président des Etats-Unis Joe Biden entend investir des milliards de dollars dans les logements sociaux, via un vaste plan social et environnemental de 1.800 milliards de dollars. Mais le texte, baptisé "Build Back Better" (Reconstruire en mieux), est dans l'impasse au Congrès.Ce n'est de toute façon qu'une partie de la solution, note Lena Afridi. "Il s'agit moins de construire que de nous assurer que les bâtiments existants soient sûrs", affirme-t-elle.
Il y a 3 ans et 125 jours

Artisanat : les véhicules Mercedes-Benz désormais mieux référencés et plus accessibles

CONDITIONS DE TRAVAIL. Une convention de partenariat vient d'être signée entre la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) et le distributeur automobile Mercedes-Benz France afin de mieux référencer et de faciliter l'accès aux véhicules utilitaires légers de la marque allemande.
Il y a 3 ans et 125 jours

Cemex s'associe à Case Construction Equipment pour intégrer des véhicules à faible émission de carbone dans sa flotte européenne

Les véhicules - des bulldozers, des chargeuses sur pneus et des tractopelles - seront utilisés par les activités matériaux de CEMEX dans plusieurs pays, notamment en France, en Espagne, en République tchèque, en Pologne, en Allemagne et au Royaume-Uni. En France, la première série de machines a d'ores et déjà été livrée à Nîmes (30), à Brébières (62) et en région toulousaine :2 bulldozers 1650M2 tractopelles 580ST1 chargeuse sur pneus 1121G2 chargeuses sur pneus 521GD'autres machines seront livrées dans les semaines à venir dans les autres pays concernés.Des équipements à faible émission de carboneCes machines étant plus légères par rapport à celles du marché, elles utilisent moins de carburant pour se déplacer et émettent donc moins de CO2. Le moteur étant monté à l'arrière de la machine, il n'est pas nécessaire d'installer un contrepoids très lourd pour équilibrer la charge à l'avant de la machine.Par ailleurs, CASE fait partie du groupe FIAT Automobiles et fabrique ses propres moteurs, plus économes en carburant et à combustion propre. Grâce à ces nouveaux types de moteurs, la taille des filtres utilisés pour éliminer les particules de gaz d'échappement est réduite ce qui permet de limiter les consommations d'énergie.« En tant que leader mondial de l'industrie des matériaux de construction, nous nous sommes engagés à mener le secteur vers une économie moins carbonée. Nous examinons chaque domaine de nos activités afin de maximiser notre efficacité en termes d'action climatique. Notre flotte de véhicules industriels est un élément clé en la matière, c'est pourquoi nous sommes très satisfaits de ce contrat avec CASE. Ce partenariat apporte en effet un avantage environnemental significatif à nos opérations européennes : les véhicules que nous avons sélectionnés intègrent une technologie avancée et une consommation de carburant réduite grâce à un rapport poids/puissance amélioré. Cela nous encourage à poursuivre notre collaboration avec CASE afin d'explorer d'autres opportunités d'améliorer la durabilité de nos activités, » précise Craig Hooper, responsable de la flotte des équipements mobiles pour CEMEX Europe.« CEMEX est un groupe mondial très engagé en faveur du développement durable et de l'action climatique, au travers des solutions qu'il fournit et de l'optimisation de ses opérations. Nous sommes heureux que ce leader de l'industrie des matériaux de construction nous ait choisis pour le soutenir dans ses efforts actuels et à venir, », déclare Andrea Rapali, Directeur Grands Comptes Europe de CASE.
Il y a 3 ans et 126 jours

Le maire du XVIe demande le classement de la place du Trocadéro pour contrer un projet de la maire PS Anne Hidalgo

Le projet de la maire PS Anne Hidalgo constitue "une véritable rupture historique", estime Francis Szpiner dans un courrier daté du 5 janvier, confirmant une information du Parisien. Ce projet prévoit d'aménager un espace piéton entre le centre de la place du Trocadéro et le parvis des Droits de l'homme, mondialement célèbre pour sa vue plongeante sur la Tour Eiffel.Ce réaménagement, partie intégrante du projet "OnE" visant à végétaliser et piétonniser la perspective allant de cette place au Champ-de-Mars, "porterait atteinte à une forme urbaine caractéristique des grandes places parisiennes haussmanniennes déjà mise à mal par d'autres projets réalisés ces dernières années" par l'exécutif municipal de gauche, dénonce le maire du XVIe arrondissement.Il cite deux places emblématiques de la capitale, République et Bastille, où la circulation automobile est passée de circulaire à demi-circulaire afin de faire la part belle aux piétons et aux mobilités douces."La composition urbaine de la place telle que nous la connaissons" constitue "un marqueur historique majeur inchangé depuis près de 160 ans", souligne M. Szpiner. Selon lui, ce projet revient à "effacer purement et simplement la place du Trocadéro du paysage urbain parisien".Alors que la place offre aujourd'hui "une ouverture monumentale dégagée", l'amphithéâtre couperait le site "de son environnement et de l'arrondissement" en raison d'une "mise en impasse" des avenues qui convergent vers elle, estime l'élu d'opposition.Le premier adjoint (PS) d'Anne Hidalgo, Emmanuel Grégoire, a qualifié de "baroque" cette demande de classement, estimant auprès de l'AFP "qu'un chemin intelligent permettant de concilier tous les usages est possible et souhaitable pour valoriser cet exceptionnel espace patrimonial"."Un espace vert sera bien mieux pour les riverains et les visiteurs qu'un rond-point automobile pollué et bruyant", ajoute le bras droit de Mme Hidalgo.
Il y a 3 ans et 127 jours

L'économie française résiste dans l'ensemble au variant Omicron

L'activité devrait rester stable en janvier, selon la banque centrale qui relève des difficultés d'approvisionnement légèrement amoindries mais des problèmes de recrutement persistants et concernant toujours plus d'une entreprise sur deux.L'économie échappe jusqu'ici à la désorganisation redoutée en raison de l'explosion des contaminations au Sars-Cov-2, d'après les résultats de l'enquête mensuelle réalisée auprès de 8.500 chefs d'entreprise du 20 décembre au 6 janvier. Quatre sur cinq ont répondu durant la première semaine de janvier."Pour le moment, les difficultés d'approvisionnement et de recrutement ont supplanté les problématiques d'absentéisme", relève Hélène Tanguy, directrice des enquêtes de la Banque de France.En dépit de la flambée épidémique liée à la propagation fulgurante du variant Omicron, la croissance s'est élevée à 0,6% au quatrième trimestre par rapport au précédent, confortant la prévision d'une hausse du produit intérieur brut de 6,7% pour l'ensemble de l'année 2021.De son côté, le ministre de l'Économie Bruno Le Maire s'était dit la semaine dernière "très confiant pour la croissance française".Pour le mois de décembre, l'enquête de la Banque de France a mis en évidence une progression à la fois dans l'industrie et les services, ainsi que dans une moindre mesure dans le bâtiment.Dans l'industrie, le taux d'utilisation des capacités de production est supérieur en novembre et en décembre à la moyenne sur 15 ans dans tous les secteurs, sauf pour l'automobile et l'aéronautique.Le produit intérieur brut (PIB) devrait ainsi être en janvier, comme en décembre, supérieur de 0,75% à son niveau de début 2020, juste avant la crise sanitaire liée au Covid 19.Fortes disparitésMais l'indicateur d'incertitude repart à la hausse, surtout dans les services. Cet indicateur est réalisé à l'aide d'un algorithme de "text mining" relevant "des mots qui signalent de l'incertitude" dans les entretiens des enquêteurs avec les chefs d'entreprise, a expliqué le directeur général de la Banque de France, Olivier Garnier.Les perspectives restent malgré tout favorables.Pour le mois de janvier, "dans l'industrie comme dans le bâtiment on a toujours des carnets de commande qui sont très au-dessus de la moyenne historique", selon M. Garnier.Il relève néanmoins que dans l'automobile, ainsi que dans l'informatique et l'électronique, on s'attend "à un repli de l'activité qui ne tient pas directement à la vague Omicron mais à la persistance des difficultés d'approvisionnement, notamment dans le domaine des semi-conducteurs".Pour les services, la Banque de France prévoit une activité en léger repli en janvier, avec de fortes disparités entre "le travail temporaire et les services aux entreprises, qui sont bien orientés", et à l'inverse l'hébergement, la restauration et l'événementiel, secteurs pour lesquels on observe une "forte détérioration en lien avec le contexte sanitaire".Ainsi, pour l'hébergement, l'activité se situerait à 64% du niveau d'avant-crise en ce début d'année, contre 80% au quatrième trimestre 2021, alors que dans la restauration elle diminuerait dans le même temps de 85% à 75%.Concernant l'inflation, "on n'est plus en phase d'accélération" pour les prix de production dont la hausse a atteint 17% sur un an en novembre, rappelle Olivier Garnier. Si le nombre d'entreprises déclarant des hausses de prix reste à un niveau élevé, il se replie par rapport à novembre.Les prix à la consommation des produits manufacturés devraient au contraire voir leur hausse s'accélérer, bien qu'à un niveau beaucoup plus faible, pour atteindre 1,4% en rythme annuel au premier trimestre.L'inflation dans les services accélèrerait aussi, mais la hausse des prix dans son ensemble serait freinée en cours d'année par un "effet de base" au deuxième semestre, du moins si les prix de l'énergie se stabilisent.
Il y a 3 ans et 129 jours

BETON MOUSE TECHNOLOGIE lance AEROLITYS

Béton Mousse permet de vastes applications ! Sous la marque Aérolithys, Béton Mousse Technologie propose un service de béton mousse,livré, mélangé et coulé en place. Sans polystyrène et sans sable, c’est une solution avec unfaible impact environnemental, nécessitant moins de transport et produisant zéro déchet dechantier. Proposé en différentes densités (de 300 à 500 kg/m3), le béton mousse permet unevaste gamme d’applications ( ravoirage allégé, remblai d’engineering, Isolation sous dallage ettoit-terrasse…). Fluide et auto-compactant, le béton mousse Aérolithys permet aussi de réduirela pénibilité du travail et d’augmenter la productivité de vos chantiers ( 150 m3/ j coulés). Embarquée sur un 32 t, notre unité mobile de mélange et de pompage assure d’excellentesperformances de production, afin de répondre aux besoins des petits ou des grands projets.
Il y a 3 ans et 132 jours

AGC et EyeLights ont uni leurs forces pour présenter un pare-brise à réalité augmentée au CES 2022

Les technologies combinées de pare-brise et d'affichage cumulent plusieurs avantages parmi lesquels la plus grande taille d'écran virtuel (550 pouces) et la distance de projection affichée à 50 mètres du conducteur. La technologie AGC Automotive transforme le pare-brise en un écran virtuel rendant les informations visibles même avec des lunettes de soleil ! L'écran virtuel est alimenté par le système d'exploitation EyeLights pour une conduite augmentée en utilisant la vision par ordinateur et les capacités de l'IA.Les affichages conventionnels sont distrayants. Le pare-brise réalité augmentée améliore la sécurité active en affichant les informations là où elles doivent être.Avec toutes les informations dans le champ de vision - cette technologie vous permet de rester concentré sur la route.Pour Romain DUFLOT, PDG de EyeLights : « Nous sommes convaincus que le pare-brise réalité augmentée sera la prochaine interface homme-machine et qu'à l'avenir, les écrans disparaîtront totalement du tableau de bord. L'interface de pare-brise réalité augmentée apporte une interface transparente, plus large et plus sûre pour libérer tout le potentiel de la réalité augmentée dans les voitures. »Pour Patrick Ayoub, responsable des capteurs automobiles et de la vision chez AGC R&D : « De nombreux acteurs s'efforcent d'apporter de nouvelles technologies HUD(*) complexes sur le pare-brise, cependant ils négligent souvent les nombreuses contraintes optiques strictes du pare-brise. AGC et EyeLights ont partagé la même vision : développer un concept à la fois disruptif et pragmatique et nous sommes maintenant prêts à le produire en série et à améliorer l'expérience de conduite. »(*) HUD: Affichage tête haute
Il y a 3 ans et 133 jours

L’OPPBTP lance la nouvelle édition de son challenge 100% mobile 100 minutes pour la vie

La prévention des risques toujours essentielle dans le parcours de formation des jeunesLa sécurité au travail et sur les chantiers représente un enseignement incontournable, intégré dans les programmes de la formation initiale. L’opération « 100 minutes pour la vie » constitue la première étape forte de sensibilisation des apprentis aux enjeux de santé et sécurité au travail. A l’image de la mission de l’OPPBTP, cette campagne a pour ambition d’inculquer aux jeunes qui rejoignent le BTP les bons réflexes tout en changeant le regard qu’ils peuvent porter sur la notion de risque.Étendue chaque année à de plus en plus d’établissements, cette action a permis de sensibiliser plus de 210.000 apprentis à la prévention des risques depuis sa création en 2009.Un challenge reconduit en 2022L’OPPBTP lance l’édition 2022, qui se tient du 3 janvier au 4 février 2022.Ce challenge, d’envergure nationale, permet d’interpeller les jeunes sur la prévention des risques de façon originale et ludique par le bais de l’application smartphone « Challenge 100 minutes pour la vie » disponible sur Google Play et Apple Store. Chaque jour et pendant 2 semaines à compter de la date de leur inscription, les participants ont pour objectif de remporter un maximum de points en répondant correctement à des questions liées à la prévention des risques ou correspondant à des mises en situation fictives. Les participants peuvent également se lancer des défis pour gagner des points supplémentaires. L’application envoie des notifications pour leur signifier un challenge ou une nouvelle série de questions.Plus de 200 questions et mises en situation ont été imaginées, saisies et illustrées pour nourrir les deux séries de challenges correspondant aux spécialités Bâtiment et Travaux publics.Un dispositif de communication est mis en place sur les réseaux sociaux de l’OPPBTP et des établissements participants. Des publications sponsorisées sur Instagram et Facebook sont prévues pour mobiliser les jeunes à rejoindre ce challenge.A la fin du challenge, l’OPPBTP récompensera dans chaque région de France les dix participants ayant obtenus le plus de points, avec à chaque fois :Une console de jeu nouvelle génération (1er prix)Une carte cadeau Décathlon de 400 € (2ème prix)Une carte cadeau Décathlon de 200 € (3ème prix)Sept cartes cadeau Décathlon de 100 € et des coffrets bande dessinées Prev’en bulles de l’OPPBTP (du 4ème au 10ème prix).De plus, les deux établissements ayant la plus grande proportion de participants par rapport à leur effectif et la meilleure moyenne remporteront respectivement un babyfoot et 500 € de bons d’achat Décathlon.Toutes les informations relatives au BTP Challenge Prévention sont disponibles ici.Bilan de l’édition 2021Ainsi, en 2021, près de 16.000 élèves et apprentis de la filière BTP, de tous niveaux et de tous cursus (Brevet professionnel, CAP, BTS et Bac Pro) ont participé au challenge mobile dans plus de 160 établissements. Le côté ludique de l’application ainsi que la qualité des enseignements et conseils en prévention qu’elle permettait de véhiculer ont été salués par l’ensemble des établissements participants.Pour Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP : « Les outils numériques nous offrent une opportunité unique de proposer une nouvelle façon d’appréhender la prévention. Grâce à ce challenge 100 % mobile, nous avons pu développer un mode de fonctionnement basé sur des interactions courtes mais fréquentes et sur une durée plus longue que les années précédentes, afin d’ancrer les messages de prévention dans le mode de pensée des futurs professionnels du BTP. Cela présente également l’avantage de toucher un nombre de jeunes quasiment illimité. L’application, développée par SPARTED, répond ainsi aux besoins des jeunes tout en nous permettant d’établir un nouveau mode de conversation avec eux, en faveur de la prévention des risques professionnels. »
Il y a 3 ans et 133 jours

Transmanut : La Toupie-Pompe pour une livraison en direct

La nouvelle Toupie-pompe de chez Transmanut. [©Transmanut] Présent sur le marché des solutions mobiles pour l’approvisionnement en chapes avec la Mobil’Chape, Transmanut propose désormais la Toupie-Pompe. « Tout est parti de la demande de l’un de nos clients historiques, explique Florent Coude, chargé d’affaires. Nous avonspris comme base d’une toupie classique sur laquelle nous avons adapté nos trémie, pompe et nettoyeur haute pression. La chape coule de la cuve de toupie dans la trémie et est directement pompée. » L’installation intègre un réservoir hydraulique avec réfrigérant et prise-pompe. La trémie de pompage est dotée d’une sonde de niveaux. Le niveau haut arrête la rotatation de la toupie et le niveau bas stoppe le pompage. Une radiocommande gère la pompe à distance et augmente plus ou moins le flux. L’ensemble tourne à un débit de 18 m3/h. Avec une capacité de refoulement de 80 m à l’horizontale et de 10 étages à la verticale. « La première Toupie-Pompe a été livrée début décembre 2021. Et nous avons déjà plusieurs projets en cours. Nous avons un objectif d’une dizaine de machines par an à la vente. A la réception de la toupie, nous avons un mois de travail dessus, avant livraison. » Alors que le marché des chapes est parfois limité par la disponibilité des matériaux, la livraison in situ par ce type de solutions devient une option des plus crédible.
Il y a 3 ans et 134 jours

Total Energies va construire la centrale solaire de Prony Resources (nickel) en Nouvelle-Calédonie

Le projet, dont le coût n'a pas été dévoilé, prévoit en phases successives l'installation d'une centrale solaire d'une puissance installée totale de 160 MW, ainsi que des capacités de stockage de batteries de 340 MWh, en remplacement d'une grande partie de l'électricité produite actuellement à partir de charbon qui alimente le site minier, souligne un communiqué commun.La première centrale, d'une puissance de 30 MW, sera mise en service en 2023. La majeure partie des installations seront situées sur des terrains appartenant à l'usine hydrométallurgique du Grand Sud de Prony, une surface de quelque 150 hectares.Les deux partenaires seront liés par un contrat d'achat d'électricité renouvelable (PPA) d'une durée de 25 ans.Le projet couvrira près des deux tiers des besoins en électricité du site et permettra d'éviter chaque année l'émission de près de 230.000 tonnes de CO2, indique le communiqué.Prony s'engage à "accompagner son fournisseur et partenaire industriel historique Enercal dans la conversion au gaz de sa centrale thermique au plus tard en 2025", à développer "un programme de serres solaires" pour les tribus kanaks du grand sud, et sur place, "à installer des panneaux surélevés", pour protéger la végétation et le maquis minier, a expliqué le président de Prony Resources Antonin Beurier, cité dans le communiqué.Actuellement, le groupe émet 25 tonnes de Co2 par tonne de nickel produit et prévoit de réduire ses émissions directes et liées à l'achat d'électricité à 16 tonnes en 2025, selon une publication du groupe.Le directeur-général de Total Energies Renouvelables France, Thierry Muller a lui aussi indiqué que les deux sociétés s'engageaient à "protéger les ressources naturelles et la biodiversité ainsi qu'à améliorer la vie des communautés locales".A fin septembre, la capacité brute de production d'électricité renouvelable de Total Energies est de 10 GW et le groupe souhaite atteindre une capacité de production et stockage de 35 GW en 2025 et de 100 GW en 2030.Prony Resources (PRNC), détenu à 51% par des intérêts locaux néo-calédoniens et à 49% par le négociant suisse Trafigura allié à la direction du groupe, a repris au printemps les mines calédoniennes du groupe brésilien Vale. Il a bénéficié d'un soutien financier de l'Etat français.Il vient d'annoncer un méga-contrat avec le constructeur automobile Tesla, devenu son premier client pour le nickel destiné aux batteries électriques. Mercedes-Benz est également son client.
Il y a 3 ans et 135 jours

Pyramides d’Or Prix Bâtiment Bas Carbone : Valoptim primé

Les partenaires des Pyramides d’Or organisées par la FPI France récompensent les meilleures constructions en en France. Le promoteur immobilier Valoptim a obtenu le Trophée Pyramides d’Or Prix Bâtiment Bas Carbone 2021, parrainé par EDF. La PME qui s’affirme face aux grands groupes souhaite poursuivre sa stratégie verte. Le projet primé « My Wood Loft » est réalisé à 100% en bois pour Sorita à Montreuil pour la superstructure et le parement, elle est construite sur un remblai issu de matériaux inertes recyclés de démolitions de l’ancien batiment. Il s’agit d’un habitat vert hybride et « full connected » avec des technologies sur application mobile permettant la gestion de l’éclairage, du chauffage et des occultations. Le projet vise le maintien de la cohabitation entre humains et animaux en ville. Pour cela, on y trouve le plus grand mur à microfaune en IDF dont la fonction est multiple. Pour la gestion de la faune et la flore de ces résidences Valoptim a mis en place un accompagnement par un entomologiste au service des habitants. Pour promouvoir ses propres projets et contribuer à d’autres objectifs environnementaux au-delà de son secteur d’activité, Valoptim fait partie du Club PME WWF France. Valoptim défend une démarche économique et des standards écologiques exigeants en prenant en compte les intérêts des habitants et des collectivités. Toujours au courant des dernières tendances technologiques, la société réalise en outre les projets d’innovation comme par exemple les impressions dupliquées 3D des appartements franciliens. Cet article Pyramides d’Or Prix Bâtiment Bas Carbone : Valoptim primé est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 136 jours

Top 10 des vidéos les plus vues sur Batinfo en 2021

10 - Bosch au salon IAA Mobility 2021 de MunichDes voitures aux vélos à assistance électrique, en passant par les motos, les scooters et les voitures de course électriques, Bosch développe des solutions de mobilité pour tous types de véhicules. Votre smartphone et votre maison connectée sont même intégrés à ces solutions de mobilité.9 - Une borne de recharge mobile pour les véhicules électriques du Tour de FranceEn 2021, Enedis a une nouvelle fois démontré que le Tour de France est possible en véhicule électrique. Parmi les dispositifs mis en place : une borne de recharge mobile développée avec la start-up bretonne Drop'n Plug pour permettre aux véhicules électriques du Tour de France de se recharger sur chaque étape.8 - USINE 4. Qu’est-ce que l’industrie 4.0 ?Kévin met en place les usines du futur, des usines 4.0. Cette technologie permet de combiner l'automatisation avec les données pour anticiper des phénomènes et réagir de la meilleure manière à ce qu'il se passe dans une usine. Découvrez comment.7 - L'usine Saint-Gobain à Emerchicourt (59)L’usine Saint-Gobain d’Aniche-Emerchicourt, qui produit 600 tonnes de verre chaque jour, souhaite à travers ce projet réduire les émissions de CO2 issues du processus de fabrication de verre en y intégrant un maximum de déchets de verre (calcin) recyclés à la qualité maîtrisée et ainsi favoriser le réemploi de matières et de produits en fin de vie.6 - Certification QB Service pose de FenêtresLe CSTB a créé QB « Service pose de fenêtres » qui permet de choisir une entreprise fiable, dotée de personnel de mise en œuvre formé régulièrement aux règles de l'art et dont les compétences et l'organisation sont vérifiées par le CSTB.5 - L'hôtel Holiday Inn à Cannes prend le pas de la transition énergétique avec Hellio - GEO PLCEngagé dans une démarche éco-responsable, la direction de l’hôtel Holiday Inn situé à Cannes a fait appel à l’expertise de Hellio - GEO PLC pour réduire la consommation d’eau de son établissement.4 - MILLET : L'engagement durable - PROSENS, un partenariat local et durableTravailler avec des entreprises aux valeurs semblables aux nôtres, avec des valeurs environnementales est important pour nous. Quand ces entreprises sont également locales c'est encore mieux !3 - Gouttière rampante nantaise - tutorielRetrouvez les étapes et les bonnes pratiques pour l'installation d'une gouttière rampante en zinc RHEINZINK ainsi que de ses accessoires les plus courants : talons, équerres, joint de dilatation, doublis.2 - Formez-vous avec WürthWürth présente dans cette vidéo toutes les informations sur ses programmes de formation.1 - Comment faire glisser le joint de collerette autour du conduit ?Voici deux petites astuces pour faire glisser le joint de collerette autour du conduit facilement et sans risquer de l'endommager.
Il y a 3 ans et 139 jours

Nouveau support genoux à roulettes

Le support genoux à roulettes d’EDMA se présente sous la forme d’une paire de coques munies chacune de 3 roulettes amovibles permettant une rotation fluide à 360°. Cela donne à l’utilisateur la possibilité d’effectuer des déplacements rapides sans laisser de marques sur le sol.Très léger, le support genoux à roulettes EDMA intègre un coussin en gel qui rime avec confort lors de stations à genoux prolongées. La sangle qui assure son maintien sur la jambe, a été conçue pour réduire la tension à l’arrière du genoux, offrant ainsi un support qui sait se faire oublier.Rendant l’artisan particulièrement mobile sur sa zone de travail, le support genoux à roulettes d’EDMA est une solution « gain d’effort » de plus dans la gamme d’EDMA, puisqu’elle retarde l’apparition de la fatigue dorsale en permettant un travail proche du sol.
Il y a 3 ans et 140 jours

Poêles à combustible liquide Qlima – Chaleur homogène et budget maîtrisé

Le chauffage pèse de plus en plus lourd dans le budget annuel des Français. Permettant de se chauffer rapidement, sans faire augmenter de façon drastique la facture énergétique, les poêles à combustible liquide ont bénéficié ces dernières années de nombreuses avancées techniques. Économiques à l’achat comme à l’utilisation, pouvant fonctionner instantanément dès que le besoin s’en fait sentir, ils connaissent un succès croissant pour faire face aux affres de l’hiver. Qlima, leader européen sur le marché des poêles à combustible liquide, propose deux appareils peu gourmands en énergie, les modèles SRE 4035 C et R 8128S C-2. En utilisant un combustible Qlima à 0,075 € TTC/kWh*, l’économie réalisée peut atteindre 35 %, par rapport à un radiateur électrique radiant au tarif de 0,171 € TTC/kWh. Classés A, ne nécessitant aucune installation spécifique et parfaitement sécurisés, ces modèles Qlima apportent rapidement chaleur et confort aux intersaisons comme au cœur de l’hiver. En quelques minutes, la puissance de chauffe associée à un ventilateur performant (sur le modèle SRE 4035 C) réchauffe agréa-blement la pièce de façon uniforme. 100 % de sécurité Répondant à la très stricte norme NF, les poêles à combustible liquide Qlima garantissent un chauffage haute performance totalement sécurisé. Les appareils sont équipés d’un détecteur de CO2, d’un système anti-renversement en cas de choc et d’un arrêt automatique si la température de la pièce est trop élevée. Deux grandes familles d’appareils Le modèle Laser SRE 4035 C Qlima nécessite une alimentation électrique pour la mise en route et la régulation électronique. Ses nombreuses fonctions permettent de chauffer sans gaspiller : par exemple, le mode Save coupe et redémarre l’appareil automatiquement pour maintenir la température demandée sans fluctuations énergivores. Rapide, sécurisé et très silencieux, le poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima est, quant à lui, idéal pour un apport ponctuel de chaleur sans électricité. À haut rendement, il est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion.   Poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima Particulièrement puissant, le poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima permet de chauffer rapidement de grandes surfaces (jusqu’à 60 m2). La chaleur produite se propage uniformément au moyen du ventilateur intégré. En seulement cinq minutes, l’appareil diffuse une chaleur confortable dans l’espace de vie. Le brûleur à bec bunsen du poêle Qlima utilise la forme gazeuse du combustible dans la chambre de combustion. Les effets sont remar-quables : démarrage rapide (environ 45 secondes), odeurs considérablement réduites, y compris au démarrage et à l’extinction, et régulation de la combustion très précise. La régulation du poêle se fait en effet de 100 W en 100 W. Cela procure une chaleur constante, confortable, sans variations de température désagréables. De plus, un système d’air pulsé chauffe la pièce très rapidement grâce à une répartition équilibrée de l’air chauffé, perpétuellement brassé. Les + signés Qlima Avec le SRE 4035 C Qlima, la consommation de combustible est réduite de 8 %. Doté d’un mode Save, avec marche et arrêt automatiques, l’appareil maintient la température programmée sans variations de chaleur. Un capteur mesure la température ambiante, et le poêle s’autorégule en fonction de la chaleur choisie. La fonction Fuzzy Logic sert à contrôler les conditions de température et ajuste le fonction-nement du poêle. Elle repère les problèmes éventuels et les indique par codes erreurs. Pour une totale sécurité, le SRE 4035 C est équipé d’un témoin de flamme qui contrôle la qualité de combustion, d’un système anti-renversement qui coupe immédiatement le poêle s’il vient à se renverser, de parois froides, d’un bouton de sécurité enfant et d’un détecteur de CO2. Ce dernier contrôle en permanence l’atmosphère de la pièce, et permet d’arrêter automatiquement l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. Grâce à son grand réservoir d’une contenance de 5 litres, le poêle SRE 4035 C Qlima, peu gourmand en combustible, dispose d’une autonomie maximale de 40 heures.   Poêle électronique Laser SRE 4035 C Qlima Type de brûleur : à injection électronique Puissance : de 1 190 à 3 500 W Volume pièce : de 22 à 60 m2 Autonomie : de 13,5 à 40 h Consommation (max.) : 0,365 l/h Capacité du réservoir : 5 l Dimensions : L 436 x P 313 x H 435 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 399 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce   Poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima Particulièrement mobile, le poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima, qui fonctionne sans avoir besoin d’être branché à une prise de courant, constitue un chauffage autonome idéal dans les pièces de vie, ainsi que dans les garages, ateliers, vérandas… Convenant pour le chauffage des surfaces de 20 à 42 m2, l’appareil affiche une puissance de 2 850 watts. Grâce à son réservoir d’une contenance de 5,2 litres, ce modèle offre jusqu’à 17,5 heures d’autonomie. À utiliser dans un espace ventilé, le poêle à mèche Qlima est équipé d’un système unique de brûleur à double combustion qui permet d’optimiser ses performances. Le principe consiste à brûler les gaz issus de la première combustion au moyen d’un brûleur supérieur, afin d’obtenir une efficacité énergétique proche de 100 %. Avec ce système breveté, la combustion est propre, sans condensation, et les émanations d’odeurs considérablement limitées. Les + signés Qlima Ultra performant, le R 8128S C-2 Qlima intègre de nombreux systèmes de sécurité : • Un dispositif de contrôle d’atmosphère qui mesure en permanence le taux de CO2, et arrête l’appareil par extinction totale du brûleur avant que la teneur en CO2 n’atteigne 1 %. • Une sonde qui déclenche l’arrêt total de l’appareil dès que la température de la pièce est trop élevée (33 °C). • Un dessus tempéré, en conformité avec la norme de sécurité en vigueur. • Un système d’arrêt automatique qui se déclenche en cas de choc ou de renversement.   Poêle à mèche R 8128S C-2 Qlima Type de brûleur : double combustion Puissance : 2 850 W Volume pièce : de 20 à 42 m2 Autonomie : 17,5 h Consommation (max.) : 0,297 l/h Capacité du réservoir : 5,2 l Dimensions : L 455 x P 295 x H 505 mm Garantie : 4 ans Prix public indicatif : moins de 249 euros TTC Points de vente : GSB, GSA et sites e-commerce www.qlima.fr