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Résultats de recherche pour monuments

(931 résultats)
Il y a 5 ans et 347 jours

La restauration du Château de la Mercerie en Charente se poursuit

Le château de la Mercerie se situe à Magnac-Lavalette-Villars, à une vingtaine de kilomètres au sud d’Angoulême, dans la campagne Charentaise. Inscrit au titre des Monuments historiques par arrêté du 19 octobre 2012, il appartient actuellement à une société qui a consenti un bail emphytéotique à la commune de Magnac-Lavalette-Villars, pays d’Horte et Tardoire L’édifice souffre de différents désordres notamment au niveau des toitures ce qui a entraîné l’altération des décors. Les structures de charpente et de plancher bois sont également sérieusement atteintes. Des blocs de pierre sont tombés du donjon sur les couvertures en tôles de la galerie des Vernet, provoquant d’importantes infiltrations et compromettant la stabilité de la charpente métallique. La charpente du donjon subit depuis plusieurs années d’importantes infiltrations. Le logis XIXe siècle est sujet à de nombreuses infiltrations entraînant le pourrissement des bois de charpente et de planchers. Il a été renforcé par des étaiements récents. La galerie d’acajou présente de nombreuses fuites et la charpente fléchit. Les travaux actuels concernent la restauration extérieure et intérieure de la galerie des Vernet, long couloir trapézoïdal qui fait la jonction entre le manoir et la galerie des azulejos. En 2015, avait eu lieu la mise hors d’eau, restauration des charpentes et couvertures du manoir, des poivrières du donjon, de la galerie d’acajou. Les menuiseries extérieures (manoir, galerie d’Acajou, galerie des Azulejos) ont été entièrement refaites par les bénévoles sous la direction et l’encadrement du maître d’œuvre, Denis Dodeman – ACMH. Les planchers des différents niveaux ont été renforcés et les parquets restaurés. La fin de la restauration du manoir : menuiseries intérieures ; restauration des décors intérieurs en staff et bois ; restauration des maçonneries extérieures, pose d’un habillage en pierre de taille sur le soubassement en moellon ; remplacement de la porte en rez-de-jardin ; reprise en sous-œuvre de la façade Ouest de la future résidence d’artiste ; dans le donjon un escalier est en cours de création permettant à l’accès à l’étage du manoir ; création d’un portail pour l’accès principal, s’est déroulée en 2016 et 2017. Source et photo : Drac Nouvelle-Aquitaine  
Il y a 5 ans et 347 jours

La chapelle d’axe de la cathédrale Saint-Étienne de Cahors récemment restaurée

La restauration de la chapelle d’axe vient de s’achever. Elle a été rendue possible par la révision préalable des couvertures, achevée en 2014. Après un long temps d’assèchement, le décor et les peintures murales ont pu être restaurés. Les toiles marouflées historiées, également restaurées, ont été réinstallées dans les niches prévues à cet effet. L’éclairage naturel a été amélioré par le nettoyage de la verrière, et l’éclairage artificiel revu. La chapelle est maintenant clôturée par une nouvelle grille, s’inspirant de la table de communion du XIXe siècle. Ce chantier prend tout son sens dans le cadre du 900e anniversaire de la cathédrale. L’opération, d’un montant de près de 390 000 euros, entièrement financée par l’État, a été réalisée sous la maîtrise d’ouvrage de la Drac d’Occitanie (CRMH) et dirigée par Jean-Louis Rebière, architecte en chef des Monuments historiques. Les travaux ont été exécutés par une majorité d’entreprises locales : charpente-couverture : groupement d’entreprises Duplouy – Dubois (Laval-de-Cère, Lot) ; vitraux : Queyrel (Montaigu-de-Quercy, Tarn-et-Garonne) ; ferronnerie : Malbrel (Capdenac, Lot) ; peinture-décor : Marie-Lys de Castelbajac (Lot et Paris) ; arts du feu : De Chant-Viron (Asnières-sur-Seine, Hauts-de-Seine) ; électricité-sûreté : Montelec (Montauban, Tarn-et-Garonne) Source : Drac d’Occitanie – Photo : La chapelle avant restauration – JF Peiré – Drac d’Occitanie
Il y a 5 ans et 347 jours

Restauration de la chapelle du Saint-Sépulcre de la cathédrale de Rodez

La restauration et la mise en valeur de la cathédrale de Rodez, classée monument historique et propriété de l’État, s’est poursuivie en 2019 par la restauration de la chapelle du Saint-Sépulcre. Il s’agit de la première étape de la campagne de travaux 2018-2021, qui comporte également la consolidation et la restauration du massif occidental, en cours de réalisation. Les travaux dans la chapelle viennent de s’achever. Le public peut redécouvrir ce lieu remarquable dont les murs, les voûtes et les décors ont été restaurés. Le chantier a notamment permis de traiter la clôture de pierre finement sculptée, de révéler les décors de candélabres peints sur les piliers monumentaux supportant la voûte, ainsi que les vestiges d’un décor historié sur le mur faisant face au retable polychrome. L’opération, d’un montant proche de 500 000 euros, a été conduite sous la maîtrise d’ouvrage de la Drac d’Occitanie (CRMH) et dirigée par Christophe Amiot, architecte en chef des Monuments historiques Les travaux ont été réalisés par les entreprises qualifiées : maçonnerie, pierre de taille : entreprise Vermorel (Salles-la-Source – Aveyron) ; décors peints : société Malbrel (Capdenac – Lot) ; restauration de sculptures : atelier Quelart (Paris) ; menuiserie, dépose et protection de tableau : société Malbrel (Capdenac – Lot) ; électricité : société AGV- Flottes (Onet-le-Château – Aveyron). Source : Drac d’Occitanie – Photo : JF Peiré – Drac d’Occitanie  
Il y a 5 ans et 352 jours

Le GMH annonce un partenariat avec Autodesk pour préparer le BIM de Notre Dame de Paris

Le GMH, Groupement des Entreprises de Restauration de Monuments Historiques, annonce la signature d’une convention de partenariat avec Autodesk, afin de travailler au projet BIM des travaux de restauration de Notre Dame de Paris.
Il y a 5 ans et 353 jours

GHH, AGP et Autodesk, partenaires BIM pour Notre-Dame-de-Paris

C’est Art Graphique & Patrimoine (AGP), membre du GMH et de sa commission BIM, qui coordonnera le développement du modèle BIM de la cathédrale en lien avec les corps de métiers de GMH et d’Autodesk.[©Art Graphique & Patrimoine] GMH a signé une convention de partenariat avec l’éditeur de logiciels Autodesk, pour préparer le BIM des travaux de restauration de Notre-Dame-de-Paris, après l’incendie survenu le 15 avril dernier. « Notre Dame et Paris sont chers à notre cœur. Nous avons été touchés par ce qui est arrivé à ce symbole parisien, précise Nicolas Mangon, vice-président stratégie et marketing, architecture ingénierie et construction chez Autodesk. Nous pensons qu’accompagner les meilleurs experts du BIM pour le patrimoine, comme Art Graphique & Patrimoine et le GMH, aidera à préserver notre héritage culturel pour les générations à venir.Autodesk pilotera les équipes avec un support technologique, humain et méthodologique pour créer un modèle BIM de Notre Dame, destiné à être partagé avec toutes les entreprises qui participent à la restauration. Les avancées technologiques, qui seront ainsi réalisées, aideront l’ensemble du secteur de la préservation des monuments historiques. » Art Graphique & Patrimoine, membre du GMH  Groupement des entreprises de restauration de monuments historiques, le GMH qui rassemble les entreprises spécialisées dans les travaux de restauration, s’est retrouvé impliqué dans le sauvetage et la préparation des travaux de la cathédrale parisienne. Et ce, par l’intermédiaire des entreprises-membres, travaillant sur place et à grâce à ses relations suivies avec le ministère de la Culture.  Ainsi, par le biais de à ce partenariat, le Groupement va aider ses adhérents à s’engager dans une démarche BIM. L’objectif de cette mise en œuvre de la maquette numérique est de représenter un cas concret d’application pour appuyer la mission formatrice de la commission BIM et le développement des entreprises du GMH. Egalement d’être à la disposition de la maîtrise d’ouvrage, la maîtrise d’œuvre et des entreprises spécialisées pour l’usage BIM dans le cadre des travaux de mise en sécurité et de reconstruction de Notre-Dame-de-Paris. Enfin, de faciliter le travail collaboratif, ainsi que les opérations diverses d’études, de projets, de travaux et de maintenance sur l’ouvrage. C’est Art Graphique & Patrimoine (AGP), membre du GMH et de sa commission BIM, qui coordonnera le développement du modèle BIM de la cathédrale en lien avec les corps de métiers de GMH et d’Autodesk. L’article GHH, AGP et Autodesk, partenaires BIM pour Notre-Dame-de-Paris est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 5 ans et 354 jours

Restauration des menuiseries extérieures du Palais du Rhin

En 2017, l’architecte en chef des monuments historiques M. Dufour, a établi une étude diagnostic sur l’état sanitaire des menuiseries du Palais du Rhin à Strasbourg. Bon nombre d’entre elles étaient dans un état médiocre surtout sur la façade Sud. La DRAC Grand Est a engagé des travaux de restauration dont l’objectif n’est pas de retrouver des menuiseries neuves ou totalement étanches thermiquement mais, dans un rôle d’exemplarité, de restaurer la substance ancienne authentique, de perpétuer les savoirs faire anciens et de les améliorer au maximum du confort qu’elles peuvent apporter aux occupants. Une recherche stratigraphique a permis de montrer qu’elles étaient brunes à l’origine. Les verres anciens « floutés » seront remis au profit des verres industriels. Montant total de l’opération 462 653 euros TTC. Financée par l’État – DRAC Grand Est
Il y a 5 ans et 354 jours

Les Coulisses du Bâtiment : Voir l’envers du décor !

Affiche de la 17e édition des Coulisses du Bâtiment. [©FFB] Le 10, 11 et 12 octobre 2019, plus de 200 chantiers et ateliers ouvriront leurs portes. Organisée par la Fédération française du bâtiment (FFB), la 17e édition des Coulisses du Bâtiment s’installe partout en France. Elle permet de découvrir ou d’en savoir plus sur un chantier, un atelier ou la rénovation. Ceci, avec tous leurs secrets de fabrication ! La nature des sites à visiter est diverse. L’évènement présentera des immeubles d’habitation, des bureaux, des équipements sportifs, des musées, des maisons, des monuments historiques et bien plus encore.  Le secteur du bâtiment compte 30 métiers que les différents visiteurs pourront observer durant leur parcours sur le site. Avec la possibilité d’interagir avec les professionnels présents sur place. Ces derniers pourront ainsi partager leurs expériences de “bâtisseurs” durant les 3 j de l’évènement. Les Coulisses du Bâtiment comptent chaque année environ 75 000 visiteurs. Soit près de 1 276 300 sur 4 190 sites répartis dans toute la France. Et ce, depuis 2003. Klara Gluzicki L’article Les Coulisses du Bâtiment : Voir l’envers du décor ! est apparu en premier sur ACPresse.
Il y a 5 ans et 354 jours

GMH et Autodesk font rentrer le BIM à Notre-Dame

TECHNOLOGIES. Le Groupement des entreprises de restaurations de monuments historiques et l'éditeur Autodesk annoncent ce 18 juin la signature d'une convention de partenariat pour intégrer le BIM aux futurs travaux de restauration de Notre-Dame de Paris.
Il y a 5 ans et 359 jours

Iconem : la start-up française spécialisée en numérisation 3D des sites patrimoniaux

Créée en 2013, Iconem est une start-up française spécialisée dans la numérisation 3D des sites patrimoniaux. Grâce à cette technologie innovante, Yves Ubelman (architecte de formation spécialisé dans la représentation et la documentation des sites archéologiques) et Philippe Barthelemy (ncien pilote d’avion et d’hélicoptère) ce sont plusieurs modèles 3D de monuments, de patrimoine rural et urbain qui sont exposés. L’occasion d’effectuer un voyage virtuel et immersif dans un patrimoine international. Dans la vidéo, vous pouvez y apercevoir différents sites : 1. Minaret of Jam (Afghanistan) 2. Mont Saint-Michel (France) 3. Haghpat (Armenia) 4. Age Old Cities Exhibition (Institut du Monde Arabe, Paris) 5. Angkor (Cambodia) 6. Le Louvre (France) 7. Trinity Church (France) 8. Mosul (Iraq) 9. Syria Matters Exhibition (Museum of Islamic Art, Doha) ©Iconem
Il y a 5 ans et 361 jours

Les 103 sites historiques de la Mission Patrimoine dévoilés

HISTOIRE. Le ministre de la Culture Franck Riester et l'animateur Stéphane Bern ont présenté ce mardi 11 juin 2019 les 103 monuments retenus par la Mission patrimoine en péril pour bénéficier de financements prioritaires visant à les rénover. Détails.
Il y a 6 ans et 1 jours

Jean-Philippe Nuel : Intercontinental Lyon – Hôtel Dieu

Longtemps considérée comme une ville de passage, Lyon (69) est désormais l'une des métropoles françaises incontournables. Capitale de la culture européenne en 2013, terre de la Fête des Lumières, de la Biennale d'Art contemporain, et accueillant désormais la Coupe du Monde de Football féminin, Lyon n'a plus rien à prouver. Il lui manquait peut être encore un lieu à la hauteur de ses ambitions, entre luxe et patrimoine. Et c'est là que Jean-Philippe Nuel intervient. Niché au cœur de l'un des plus impressionnants monuments de la capitale des Gaulle, l'Hôtel Intercontinental lyonnais transmet l'histoire de cet ancien hôpital à l'architecture d'exception. Fermé en 2010, l'hospice accueillait malades et femmes enceintes depuis près de huit siècle, ayant ainsi – d'après la légende – contribué à la naissance d'un Lyonnais sur trois depuis plusieurs décennies. Doté d'une façade monumentale de 360 mètres défilant le long du Rhône, l'Hôtel Dieu est un joyau architectural, paré notamment d'un grand dôme culminant à 32 mètres signé Soufflot, célèbre pour avoir été l'architecte en chef de Notre Dame de Paris durant 20 ans et pour avoir réalisé le Panthéon entre 1757 et 1790. La réhabilitation d'un tel bien patrimonial – comprenant la plus grande opération de rénovation privée d'un site classé – contenait donc bien sûr son lot de contraintes et ne devait en aucun cas dénaturer l'édifice constituant l'un des épicentres de la ville des lumières. Afin de valoriser l'enveloppe spectaculaire dans laquelle le lieu de résidence prend place, l'architecte d'intérieur Jean-Philippe Nuel préconise une ambiance « monacale et précieuse » selon ses propres mots. Un luxe humble et discret, ne volant surtout pas la vedette à la pierre et aux volumes de l'Hôtel Dieu, mais, au contraire, créant un pont entre la riche histoire de l'ancien hôpital et sa nouvelle vie, entre le XIXème siècle et la période contemporaine. Les 13 000 mètres de l'Intercontinental sont répartis sur 3 étages. Le rez-de-chaussée, scindé en deux par une rue centrale ouverte à tous, comprend, d'une part, un espace de réception et de l'autre, le restaurant Epona, une salle lumineuse s'ouvrant sur une terrasse paisible aux allures de cloître. Situé en retrait à ce niveau, un centre de conférence de 1 500 mètres carrés nommé l'Académie prend place dans l'ancien jardin pharmaceutique et comporte 12 salles de réunions modulables dont une plénière de 433 mètres carrés. Les deux et troisièmes niveaux sont dédiés aux 144 chambres et suites réparties en plusieurs catégories constituent un ensemble harmonieux de pénates aux textures et aux choix de couleurs similaires. Allant de 28 mètres carrés pour les Chambres Supérieures à 40 mètres carrés pour les Chambres Deluxe, la première catégorie offre des vues sur les cours et les jardins historiques du Grand Hôtel-Dieu tandis que les Chambres exécutives avec vue – de même superficie – s'ouvrent sur le quartier de la Fourvière ou le Rhône.Un panorama sur le fleuve dont bénéficient également les locataires des Suites Duplex (45-55 mètres carrés), chambres emblématiques de l'auberge. Dotées de larges fenêtres doubles hauteur s'élevant à 7 mètres, ces appartements comprennent un salon au rez-de-chaussée et un espace nuit ainsi qu'une salle de bain au sous-sol.Plus grande Suite lyonnaise, la Suite Présidentielle concentre tout le luxe de l'établissement dans ses 150 mètres carrés (pouvant s'étendre à 210 mètres carrés grâce à deux chambres communicantes). Obéissant à un traitement de couleurs différent que ses voisines, son décor alterne motifs floraux et camaïeu de rouge et s'ouvre sur un balcon traversant dominant le Grand Dôme. Espace d'exception, ce Grand Dôme constitue le cœur de l'hôtel. Jadis abritant une chapelle ouverte sur les salles où reposaient les malades, la coupole de 500 mètres carrés héberge désormais le bar de l'hôtel. Avec son architecture néo-classique et son sol en marbre damé, le lieu ne cherchait qu'à être sublimer, sans grand effort. Une tâche à laquelle s'est attelé Jean-Philippe Nuel en proposant un mobilier élégant et discret, alternant banquettes convexes en toiles unies de 7 mètres de long et soieries lyonnaises Verel de Belval. Afin que les clients ne sirotent pas leurs cocktails dans un brouhaha inaudible, le maître d'œuvre installe de grands paravents aux propriétés acoustiques apparaissant comme une seconde peau. Des œuvres de Manuel Paul Cavaillier terminent d'habiller ce lieu déjà exceptionnel. Temple de luxe et du bon goût, l'Intercontinental Lyon – Hôtel Dieu redonne ses lettres de noblesse à un monument délaissé depuis bientôt 10 ans. Pour en savoir plus, visitez le site de Jean-Philippe Nuel Photographies : Eric Cuvillier
Il y a 6 ans et 2 jours

Restauration du musée Carnavalet par Remmers

Fondé en 1949, le groupe Remmers est une entreprise familiale allemande de 1 500 employés qualifiés, spécialisée dans la fabrication de produits pour la restauration et la rénovation de monuments historiques et de bâtiments anciens. Remmers est actif dans plus de vingt pays, avec une gamme complète de plus de 400 produits. LE MUSÉE CARNAVALET Installé dans les hôtels Carnavalet et Le Peletier de Saint-Fargeau, au cœur du Marais, un des quartiers où le patrimoine architectural préhaussmanien a été le mieux préservé, le musée de l’Histoire de Paris est situé dans une des zones touristiques les plus fréquentées de la capitale. Sa restauration constitue un projet prioritaire pour la Ville de Paris et son actuel maire qui veut en faire «une étape incontournable pour les visiteurs français et étrangers se rendant à Paris ». La réalisation de ce chantier fut un réel défi, compte tenu de la présence de plomb sur les façades. Un total de 26 mois de restauration avec une équipe de quinze techniciens, d’octobre 2017 à février 2019, a été nécessaire pour nettoyer 4 000 m2 et rendre au musée sa beauté originale. Sa réouverture est prévue fin 2019. Maîtrise d’ouvrage : Ville de Paris ; architecte mandataire : François Chatillon Architecte ; architecte associé : Snøhetta ; muséographe : Nathalie Crinière, Agence Clean Galena a été utilisé sur plusieurs chantiers de rénovation prestigieux : Le musée du Louvre à Paris Le musée Carnavalet  Le musée des Beaux-Arts d’Anvers  Westminster Hall (Big Ben) à Londres  L’hôtel de Rohan à Paris  L’hôtel Intercontinental à Paris
Il y a 6 ans et 15 jours

Notre-Dame: reconstruire la charpente en bois est "probablement la bonne solution"

Pascal Prunet, l’un des architectes des monuments historiques chargé de la restauration du monument, a plaidé dans ce sens, lors d'une audition publique.
Il y a 6 ans et 15 jours

Un mois après l'incendie de Notre-Dame, où en est le chantier ?

POINT D'ÉTAPE. Sécurisation du bâti, enquête judiciaire et préservation des éléments restants, comment se porte le chantier de Notre-Dame, plus d'un mois après l'incendie qui a emporté la flèche et la toiture ? Membre de l'équipe de maîtrise d'oeuvre, l'architecte en chef des monuments historiques Pascal Prunet a déroulé le récit des travaux d'urgence lors d'une audition au Sénat.
Il y a 6 ans et 17 jours

Enquête et diagnostics toujours en cours pour Notre-Dame de Paris

Franck Riester, le ministre de la Culture, a dressé, mercredi 15 mai 2019, en présence de Justin Trudeau, Premier ministre canadien, un premier bilan de la catastrophe. « Notre-Dame de Paris dans sa structure architecturale est sauvée, mais il reste encore du travail pour diagnostiquer l’étendue des dégâts et pour sécuriser ce qui reste le point le plus problématique du site : la voûte », a t-il assuré, en précisant que « les opérations de conservation et de sécurisation sont toujours en cours ». A l’issue de cette phase de diagnostic qui pourrait durer « plusieurs semaines », la période de « restauration » à proprement parler de la cathédrale Notre-Dame de Paris pourra débuter. L’enquête sur le déclenchement de l’incendie n’est pas terminée : « Actuellement, ce sont des robots qui retirent les gravats qui sont à l’intérieur de Notre-Dame de Paris pour, d’une part, être analysés par les experts du ministère de la Culture, tant en matière d’archéologie qu’en matière de monuments historiques, notamment avec le laboratoire de Recherche des Monuments historiques, mais aussi par la police pour voir s’il n’y a pas des indices qui permettraient d’expliquer l’origine de l’incendie ». Pour le ministre, il est prématuré de tirer des conclusions. Source : Ministère de la Culture Photo : Anna Ader
Il y a 6 ans et 17 jours

Adoption du projet de loi pour la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris

L’Assemblée nationale a adopté le projet de loi pour la conservation et la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris qui institue une souscription nationale. Si la mobilisation populaire est exceptionnelle, grâce notamment à l’action de la Fondation de France, de la Fondation du Patrimoine, de la Fondation Notre-Dame et du Centre des Monuments nationaux, il est prématuré de considérer que « nous aurions trop de fonds collectés, plus qu’il n’en faut pour restaurer la cathédrale » a rappelé le Ministre de la Culture, Franck Riester, à l’Assemblée nationale. Un grand nombre de dons doivent être concrétisés. Par ailleurs, le coût total des travaux n’a pas encore été chiffré, la phase de diagnostic n’ayant pas encore débuté. Photo : Anna Ader
Il y a 6 ans et 23 jours

Dans le sillage de Notre-Dame, un fonds d'urgence pour le patrimoine

PRÉSERVATION. La fondation du patrimoine a décidé de clôturer, un mois après l'incendie, la collecte pour Notre-Dame de Paris. Mais souhaite profiter de l'engouement autour de la préservation du patrimoine pour sauver d'autres monuments, des "petites Notre-Dame".
Il y a 6 ans et 26 jours

Prix de la Fondation pour les Monuments Historiques : envoyez votre candidature !

La 11e édition des prix et soutiens de la Fondation pour les Monuments Historiques a été lancée le 15 janvier. Une première session de candidatures avait été ouverte du 15 janvier au 15 mars regroupant quatre prix permettant à des propriétaires de monuments historiques ou de jardins, publics ou privés, d’obtenir une aide financière sur un programme de travaux défini. Il s’agit de l’appel à projets Restauration, du Prix French Heritage Society, du Prix François Sommer pour la Chasse et la Nature et du Prix Décors Sculptés Parcs et Jardins. Des jurys composés d’experts se réuniront par la suite pour sélectionner une quinzaine de projets lauréats. La seconde session qui a débuté depuis le 15 avril se terminera le 15 juin. Elle regroupe : L’appel à projets Accessibilité qui a pour but d’encourager un programme de travaux (immeuble, bâti ou non, classé ou inscrit au titre des monuments historiques ou situé aux abords) prenant en compte des aménagements destinés à favorises l’accueil des personnes en situation d’handicap. => Déposer votre candidature pour l’appel à projets « Mise en Accessibilité 2019 » Le Prix du Jeune Repreneur où la Fondation pour les Monuments Historiques, Patrice Besse et Dominique de la Fouchardière (SLA Verspieren) s’unissent pour encourager la reprise récente d’un monument historique, classé ou inscrit. => Déposer votre candidature pour le Prix du Jeune Repreneur 2019 Le Grand Trophée de la plus belle restauration en partenariat avec le Groupe Figaro récompense un programme de restauration (extérieur et/ou décor intérieur) d’un monument privé ou de ses dépendances, classés ou inscrits ; ou un programme de restauration, de restitution ou de recréation d’un parc ou d’un jardin privé, classé ou inscrit. => Candidatez au « Grand Trophée de la plus belle restauration » 2019 Le Prix Dendrotech est offert par la société Dendrotech. Il propose une expertise dendrochronologique (datation du bois) en vue de la restauration et/ou de la mise en valeur des structures en bois d’un monument historique, classé ou inscrit. => Candidatez au « Grand Trophée de la plus belle restauration » 2019 Une troisième session aura lieu du 15 avril au 15 août et réunira les bouses d’études « Métiers d’art de la restauration avec le Crédit Agricole d’Île-de-France Mécénat » et « Recherches avec la Compagnie des Architectes en Chef des Monuments Historiques ». ©Fondation pour les monuments historiques 
Il y a 6 ans et 36 jours

Rairies Montrieux, un savoir-faire au service des monuments historiques

Rairies Montrieux est une entreprise française spécialisée depuis 7 générations, dans la terre cuite pour l’intérieur et l’extérieur des bâtiments anciens pour les professionnels et les particuliers, labellisée E.P.V. Entreprises du Patrimoine Vivant. Situé dans le Val de Loire, les savoir-faire, les expertises, acquises et transmises depuis des générations, permettent d’intervenir dans des projets de rénovation des monuments historiques (l’Eglise des Grands Augustins, le musée des Arts décoratifs, le château de Versailles…) Le processus de fabrication artisanal consiste a transformé l’argile en carreaux en terre cuite utilisés pour les façades, sols ou extérieurs. Les briques en terre cuite sont résistantes au feu, poreuses, résistantes au gel, et stables. La terre cuite étant un matériau 100% naturel, toute la fabrication de ce produit entre dans un processus respectueux de l’environnement. En effet, Rairies Montrieux s’engage à protéger les ressources, à recycler les eaux utilisées et à réduire l’utilisation d’énergie fossile. Découvrez les différents chantiers monuments historiques de Rairies Miontrieux  ©Rairies Montrieux
Il y a 6 ans et 43 jours

Quatre mois de sécurisation puis au moins 1 an de diagnostic pour Notre-Dame

PATRIMOINE. Les deux co-présidents du Groupement français des entreprises de restauration de Monuments Historiques (GMH) expliquent les travaux qui ont été réalisés sur la cathédrale meurtrie ainsi que le calendrier des futures interventions de sauvegarde puis de diagnostic. Malgré l'extrême prudence requise, ils estiment que le chantier pourrait – peut-être – durer moins de 10 ans.
Il y a 6 ans et 46 jours

Notre-Dame: et si tous les charpentiers «monuments historiques» se donnaient la main ?

Benoît Dulion, entrepreneur de l’Yonne, propose de relever le défi de restaurer la charpente de Notre-Dame en associant l’ensemble des charpentiers qualifiés.
Il y a 6 ans et 46 jours

Un rapport classé en 2016 pointait les risques d'incendie à Notre-Dame

POLÉMIQUE. Un chercheur italien du CNRS, spécialiste des questions structurelles dans les monuments historiques, avait étudié, en 2016, les dangers planant sur la charpente de la cathédrale. Un rapport trop sensible, classé "confidentiel défense" en raison du risque d'attentat, dont personne n'a tenu compte.
Il y a 6 ans et 50 jours

Assurances des entreprises : «Intervenir sur des monuments historiques présente des risques spécifiques»

Vanessa Coquelle est responsable des métiers de la Construction au sein de la filiale Assurances Deleplanque du groupe Verspieren, courtier en assurances. Elle nous expose les risques et les qualifications requises pour les entreprises qui interviennent sur des monuments historiques.
Il y a 6 ans et 51 jours

Quand des monuments renaissent de leurs cendres

Bibliothèque de Sarajevo incendiée, Notre-Dame de Dresde bombardée, Christ-Sauveur dynamité à Moscou: avant Notre-Dame de Paris, d'autres monuments historiques ont été entièrement rebâtis après des destructions majeures.
Il y a 6 ans et 51 jours

Notre-Dame: «Selon l’état de la maçonnerie, le coût de la rénovation peut varier de un à trois»

Pascal Asselin. Ancien vérificateur des monuments historiques, bâtiments civils et palais nationaux, l’actuel président de l’Untec détaille les difficultés propres aux chantiers de restauration du patrimoine.
Il y a 6 ans et 51 jours

Nouvelle tuile plate pour le patrimoine

La nouvelle tuile plate 18X28 ANTEIS Doyet d’EDILIANS, sera présentée en avant-première au salon ARTIBAT. Elle prolonge la tradition sur le toit et offre des couvertures de caractère aux anciennes bâtisses et aux monuments. Avec une surface et un nez destructurés imitant les tuiles marquées par le temps, un dépôt granulé variable sur la surface, cette nouvelle tuile enrichit la Sélection Patrimoine d’EDILIANS. Au pureau brouillé, toutes les tuiles ANTEIS Doyet ont une longueur légèrement différente pour reprendre l’irrégularité des toitures d’antan. Cette esthétique résulte d’un principe de découpe qui permet la production en continu de 50% de tuiles dont la dimension varie sur 1 cm. Equipée de deux trous de perçage et d’un tenon sur toute sa largeur, la tuile dispose d’une parfaite stabilité de mise en œuvre, même après sa découpe pour le traitement des points singuliers.
Il y a 6 ans et 52 jours

Incendie de Notre-Dame: «Les travaux en cours n’impliquaient aucun point chaud»

Rémi Fromont et son associé avaient réalisé en 2014 le relevé des charpentes de Notre-Dame de Paris. Aujourd’hui architecte en chef des Monuments historique, il met leurs travaux à disposition de Philippe Villeneuve, en charge de la cathédrale.
Il y a 6 ans et 52 jours

Notre-Dame: l'Espagne va revoir la sécurité électrique de ses monuments

L'Espagne va revoir la sécurité des installations électriques de ses grands monuments, "conséquence évidente" de l'incendie qui a ravagé la cathédrale Notre-Dame de Paris, a annoncé son ministre de la Cultureo.
Il y a 6 ans et 52 jours

Notre-Dame : « Nous ne sommes pas à l’abri de mouvements de l’édifice »

Frédéric Létoffé, le co-président du Groupement des monuments historiques (GMH), souligne que l’énorme quantité d’eau, utilisée par les pompiers de Paris pour éteindre l’incendie, génère des risques d’infiltration et de désordre dans la structure du monument.
Il y a 6 ans et 52 jours

La restauration des monuments historiques, un marché de niche pour des travaux périlleux

La zone du toit de Notre-Dame de Paris, d'où est parti lundi l'incendie qui a détruit une partie de la cathédrale, était restaurée par des spécialistes des monuments historiques, minuscule secteur qui regroupe quelques centaines d'entreprises.
Il y a 6 ans et 53 jours

Notre-Dame : après l'incendie, "rien n'est fini" selon l'ex-architecte en chef

TÉMOIGNAGE. Alors que le ministre de la Culture Franck Riester affirmait ce matin que la structure de la cathédrale Notre-Dame de Paris était "sauvée", "rien n'est fini", selon l'ancien architecte en chef des Monuments historiques Benjamin Mouton, en charge de l'édifice religieux jusqu'en 2013.
Il y a 6 ans et 53 jours

Récemment, des incendies de monuments marquants

Dans la nuit du 4 au 5 février 1994, le Parlement de Bretagne à Rennes a été ravagé par un gigantesque incendie provoqué par une fusée de détresse, lancée par un marin-pêcheur lors d’une manifestation. La charpente et plusieurs pièces du bâtiment avaient été détruites, des tapisseries historiques sauvées et protégées. Au lendemain du drame, une forte mobilisation avait permis de reconstruire le bâtiment dont la restauration totale a été réalisée en 10 ans avec un investissement de 55 millions d’euros, financés par l’État et par l’Association créée pour la renaissance du Parlement. Il est, actuellement, un des sites rennais les plus visités. Dans la nuit du 2 au 3 janvier 2003, un incendie a ravagé une grande partie du château de Lunéville, détruisant des appartements princiers, la toiture de l’aile sud-est et la chapelle royale. L’effondrement des toits avait provoqué d’importants éboulements de maçonnerie. L’association : Lunéville, château des Lumières, créée au lendemain du drame, a récolté un million d’euros de dons pour un coût total estimé des travaux de plus de 100 millions d’euros. Le conseil général de Meurthe-et-Moselle et le ministère de la Défense, copropriétaires de la partie incendié ont lancé la restauration en avril 2005. La restauration des toitures et des façades a été achevée en 2011. L’ensemble des travaux, notamment sur les pièces détruites et la chapelle, devrait être terminé en 2023.     Photo : Palais du parlement de Bretagne restauré – Guillaume Piolle – Wikimédia  
Il y a 6 ans et 59 jours

10 ans de restauration pour la collégiale de Thann

Édifiée principalement aux XIVe et XVe siècles, la collégiale Saint-Thiébaud de Thann est propriété de la ville. Sa flèche, de 78 m, est achevée, en 1516, par l’architecte Rémi Faesch. Classée au titre des Monuments historiques depuis 1841, elle présente une grande finesse de dessin et notamment des traçages raffinés, témoins des derniers feux du gothique rhénan et a très rapidement été reconnue comme un chef d’œuvre de l’architecture gothique. Les vitraux et une grande partie de la statuaire d’origine sont toujours en place. Cette statuaire, de même que les portails conservent des traces de polychromie ancienne. Depuis 2008, la Fondation pour la sauvegarde de la collégiale de Thann a récolté plus d’1 million d’euros au titre du mécénat (1 170 770 €), dont 733 500 € ont été alloués à la Ville de Thann pour la restauration de la collégiale. Depuis fin 2015, les travaux d’urgence sont réalisés et des campagnes de restauration engagées. La DRAC Grand Est a soutenu les travaux de sauvetage et de restauration au cours de ces dix dernières années à hauteur de 1,1 million d’euros (1 110 767 €), avec notamment la restauration du beffroi de la tour Nord en 2008, la tour octogonale en 2009, la protection des verrières du chevet en 2010, la restauration des parements intérieurs de la nef et du chœur en 2016 et aujourd’hui la restauration du portail Nord. Les travaux sont suivis par l’Architecte en chef des monuments historiques (ACMH), Richard Duplat. Les opérations actuellement conduites portent sur le portail Nord et la pile de contrefort, dont l’appareil et la statuaire sont en mauvais état, mais où subsistent de nombreux reliquats de polychromie. Des protocoles de nettoyage (compresses, laser, micro-gommage…) et de consolidation ont été mis au point par l’ACMH, Richard Duplat, sous le contrôle de la DRAC et avec l’assistance du comité scientifique. La prochaine phase de restauration envisagée concernera la restauration du niveau supérieur et inférieur de la Tour octogonale, la restauration de la tourelle d’escalier, des arcs-boutants et des pinacles d’angles. Photo: Edouard Heinrich, Fondation pour la sauvegarde de la collégiale de Thann Source : DRAC Grand Est
Il y a 6 ans et 59 jours

Restauration générale de l’abbaye de Saint-Amant de Boixe

Depuis 2016, la DRAC Nouvelle-Aquitaine-Conservation régionale des Monuments historiques (CRMH), site de Poitiers, et l’Unité départementale de l’architecture et du Patrimoine de Charente (UDAP 16) accompagnent la restauration générale de l’abbaye de Saint-Amant de Boixe, au titre du contrôle scientifique et technique de l’Etat sur le patrimoine protégé. C’est une ancienne abbaye bénédictine. Située sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, elle a fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques en 1840. Deuxième édifice religieux de Charente, après la cathédrale d’Angoulême, son architecture est représentative de l’art roman et gothique. Au vu de l’importance des travaux, un programme pluriannuel en plusieurs tranches fonctionnelles a été présenté par la commune de Saint-Amant de Boixe. Phase 1 : restauration du chœur (échafaudages extérieurs, pose d’un parapluie ; étaiements des voûtes et des arcs, consolidation et reprise structurelles, dépose de la couverture en tuiles creuses, dépose de la charpente). Cette tranche inscrite au programme 2016, a été budgétisée à hauteur de 354 000 € HT. Les travaux sont actuellement en cours. La DRAC Nouvelle-Aquitaine apporte une subvention de 35 % soit 123 900 €. Phase 2 : suite de la restauration du chœur (échafaudages extérieurs et intérieurs), enlèvement de la végétation, étaiements des baies, traitement et nettoyage des parements extérieurs, rejointoiement et enduits, fourniture et pose d’une charpente en sapin neuf, fourniture et pose de tuiles creuses vieillies, grillage anti-volatiles, dépose des vitraux. Phase 3 : restauration du bras du transept Nord et l’absidiole. Cette tranche est pré-inscrite au programme 2019 pour 465 000 € HT. Phase 4 : restauration du transept Sud et sacristie. Phase 5 : restauration de la crypte et du sol du chœur. Phase 6 : restauration intérieure du faux-carré. Les travaux sont suivis par Philippe Villeneuve, Architecte en chef des Monuments historiques (ACMH).     Source et photo : DRAC Nouvelle-Aquitaine  
Il y a 6 ans et 59 jours

Antiquité et biodiversité dans les Alpilles

Le Centre des monuments nationaux présente l’exposition « Antiquité et Biodiversité dans les Alpilles » du 23 mars au 30 septembre 2019 à la cité antique de Glanum. Elle est le fruit du travail réalisé depuis deux ans par les équipes de la Ligue de Protection des Oiseaux Provence-Alpes-Côte d’Azur dans le cadre de l’inventaire faunistique et floristique du parc archéologique de Glanum. Cette action s’inscrit dans la démarche nationale de partenariat entre le Centre des monuments nationaux et la LPO, mais également dans le cadre de l’insertion de la cité antique au sein du Parc naturel régional des Alpilles et du programme européen LIFE. Un atelier famille est organisé le mercredi 17 avril 2019 de 14h à 16h30, dans le cadre de cette exposition, l’atelier « Oiseaux des Alpilles ». Photo : Lézard ocellé © Nicolas Fuento / LPO PACA  
Il y a 6 ans et 60 jours

L’arc de triomphe empaqueté : la future œuvre de Christo

En collaboration avec le Centre des Monuments Nationaux (CMN) et le Centre Pompidou, Christo a pour ambition de créer une œuvre temporaire. En effet, l’Arc de Triomphe sera empaqueté au moment de l’exposition Christo au Centre Pompidou du 6 au 19 avril 2020. Le projet nécessite 25 000 mètres carrés de tissu recyclable en polypropylène argent bleuté et 7 000 mètres de corde rouge. Cette réalisation entre dans le cadre de l’exposition au Centre Georges Pompidou qui se déroulera du 18 mars au 15 juin 2020. Cette dernière retracera la période parisienne de Christo et Jeanne-Claude de 1958 à 1964 ainsi que le projet « Le Pont-Neuf empaqueté, Projet pour Paris, 1975-1985. » L’Arc de Triomphe empaqueté sera entièrement autofinancé (Il ne bénéficiera d’aucun financement public ou privé) par Christo grâce à la vente de ses études préparatoires, dessins, collages du projet ainsi que des maquettes, œuvres des années cinquante-soixante et des lithographies originales dédiés à d’autres sujets. © André Grossmann, 2019 Christo
Il y a 6 ans et 65 jours

Les 18 projets emblématiques de la mission Bern 2019 : 5 sites ultramarins sélectionnés

L’édition 2019 du Loto du patrimoine a été lancée et ce sont 865 dossiers qui ont été déposés. L’an dernier, cette action avait permis de rapporter 22 millions d’euros dans le but de restaurer 269 monuments jugés en péril. Cette année, parmi les 18 monuments emblématiques, on retrouve 5 sites ultramarins sélectionnés pour cette deuxième édition du loto du patrimoine.  Les Façades des rues Victor Hugo et Bouillé à Saint-Pierre en Martinique © Fondation du patrimoine Les rues Victor Hugo et Bouillé représentent un réel centre d’activité économique pour la ville. Aujourd’hui, les façades sont dégradées, laissées à l’abandon depuis de nombreuses années il s’agit de préserver cette architecture remarquable qui raconte l’histoire de cette ville prospère.  Le Relais Barcarel à Saint-Laurent-du-Maroni en Guyane ©Fondation du patrimoine Maison typique de la ville pénitentiaire que fut Saint-Laurent-du-Maroni, ce relais se trouve au au cœur du quartier historique. Bâtie par un ancien bagnard dans les années 1880, elle prospéra d’abord en étant utilisée comme magasin de cartes postales puis de matériel pour orpailleurs. Elle a la particularité d’être la seule maison à ossature bois avec un remplissage en briques apparentes de la ville.  Les Temples tamouls des Casernes et du Gol à Saint-Pierre et Saint-Louis ©Fondation du patrimoine Les deux temples de l’Île de la Réunion présentent un état sanitaire très préoccupant nécessitant d’importants travaux. Le Temple tamoul des Casernes est ancien bâtiment de l’usine des Casernes et depuis 1850, le bâtiment est affecté au culte. Le Temple du Gol est plis ancien lieu de culte hindou de la Réunion. Il a été construit en 1852.  Le Phare de l’île aux Marins à Saint-Pierre-et-Miquelon ©Fondation du patrimoine Tour métallique de 7 mètres de haut, le phare a été achevé en 1876 et a été maintenu en activité jusqu’en 1961, année de l’interfiction de la navigation dans cette passe.  L’humidité, le sel et les longues périodes de gel provoquent la corrosion des aciers, l’expansion des bétons, et l’éclatement des peintures d’où la nécessité de sécuriser et restaurer le phare.  L’Eglise de Morne-à-l’Eau en Guadeloupe ©Fondation du patrimoine L’Eglise de Morne-à-l’Eau est une architecture emblématique d’Ali Tur. Construite en 1930, l’église domine le parvis sur lequel ouvre le presbytère, lui aussi dessiné par Ali Tur. Le clocher en béton est en mauvais état et ne répond plus aux normes sismiques. Ci-dessous la liste des 13 autres monuments sélectionnés : – Viaduc des Fades – Puy de Dôme – Château de Maulnes – Yonne – Glacière d’Etel – Morbihan – Moulins de la Fontaine – Loir et Cher – Bibliothèque Fesch à Ajaccio – Corse-du-Sud – Moulin de Bar-sur-Seine – Aube – Beffroi de Béthune – Pas-de-Calais – Château de By, maison de Rosa Bonheur – Seine-et-Marne – Abbaye Sainte-Marie de Longues-sur-mer – Calvados – Amphithéâtre gallo-romain de Saintes – Charente-Maritime – Fort de Brescou à Agde – Hérault – Ruines du château de l’Étenduère – Vendée – Abbaye Notre-Dame de Sénanque – Vaucluse Pour en savoir plus sur les 18 projets emblématiques de la Mission Bern, vous pouvez visiter le site de la fondation du patrimoine.    
Il y a 6 ans et 66 jours

Les vitraux d’Arnaut de Moles restaurés à Auch

Le chantier de la chapelle Saint-Louis à Auch a été conçu, avec une phase expérimentale visant à valider les protocoles de restauration qui seront ensuite généralisés dans les prochaines tranches. La Drac Occitanie, qui assure la maîtrise d’ouvrage et le contrôle scientifique et technique du chantier, lui accorde une attention particulière car trois baies garnies de vitraux exceptionnels ont été réalisées par le maître-verrier Arnaut de Moles au début du XVIe siècle (1509-1513). La restauration des vitraux a été confiée à deux ateliers de maîtres-verriers associés, Anne Pinto (Charente) et Claire Babet (Eure-et-Loir), qui ont notamment supprimé les plombs de casse et mis en œuvre la verrière de doublage. La critique d’authenticité, commandée par la Drac à Françoise Gatouillat et Michel Herold (Corpus Vitrearum-France, centre du vitrail André Chastel – CNRS Sorbonne), a permis de confirmer le caractère unique des verrières datées du XVIe siècle à près de 90 %. Leur qualité artistique exceptionnelle, évoquant le trait des meilleurs dessins de la Renaissance italienne, a aussi été soulignée. Il a pu être noté la spécificité des techniques employée, comme la multiplication des « montages en chef d’œuvre », illustrant l’expertise des maîtres-verriers du XVIe siècle. Enfin, la qualité des rares interventions de restauration effectuées par Hirsch au XIXe siècle a aussi pu être appréciée. Intégré au comité scientifique et technique, le Laboratoire de recherche des Monuments historiques de Champs-sur-Marne a eu l’occasion, en cours de chantier, de procéder à l’analyser d’échantillons de verre par faisceau d’ions sur l’accélérateur AGLAE (Accélérateur Grand Louvre d’Analyse Élémentaire). Cet examen exceptionnel a permis d’évaluer la structure du verre, de déterminer sa consistance, témoin d’une fabrication originelle d’une extrême qualité expliquant leur conservation exemplaire depuis cinq siècles. Un comité scientifique et technique pluridisciplinaire a été constitué, dès 2015, pour suivre la réalisation du chantier, confié à Stéphane Thouin, architecte en chef des monuments historiques, avec pour objectif de valider les interventions réalisées sur les verrières et de profiter de leur dépose en atelier pour en parfaire l’étude historique. Photo : Avant et après restauration : suppression du plomb de casse du visage – JF Peiré – Drac Occitanie  
Il y a 6 ans et 94 jours

OPUS 5 musical place de la Foi à Elancourt

Opus 5 (Bruno Decaris, architecte des Monuments Historiques, Agnès Pontremoli, architecte du patrimoine et Pierre Tisserand) a livré en octobre 2018 à Elancourt (Yvelines) la restructuration, pour 2 M¤ HT, d'un ancien centre "cuménique en école de musique (900 m² […] L'article OPUS 5 musical place de la Foi à Elancourt est apparu en premier sur Chroniques d'architecture.
Il y a 6 ans et 123 jours

"2 milliards d'euros nécessaires" pour le patrimoine, selon Stéphane Bern

RESTAURATION. En parallèle de son audition au Sénat, l'animateur Stéphane Bern a indiqué que les sites et monuments historiques français avaient besoin de deux milliards d'euros pour pouvoir financer leurs opérations de sauvegarde. La deuxième édition du Loto du patrimoine a été lancée ce 1er février.
Il y a 6 ans et 133 jours

Le Centre des monuments nationaux réunit un comité d'éminentes personnalités

PATRIMOINE. Le CMN fait appel à des personnalités réunies au sein d'un comité de soutien, pour l'aider dans la collecte de fonds et le développement de son image. Leur première initiative sera destinée à mobiliser des mécènes pour le chantier de rénovation de l'Hôtel de la Marine, sur la place de la Concorde à Paris.
Il y a 6 ans et 141 jours

19,6 millions d'euros déjà attribués à 231 projets grâce au Loto du patrimoine

La Fondation du Patrimoine a déjà attribué en 2018 19,6 millions d'euros provenant de la Française des jeux à 231 porteurs de projets de restauration de monuments, mais les besoins de financement immenses rendent impératif un nouveau loto, a indiqué mercredi à l'AFP sa directrice générale.
Il y a 6 ans et 142 jours

Loto du Patrimoine: des besoins de financements encore immenses

La Fondation du Patrimoine a attribué en 2018 19,6 millions d'€ provenant de la Française des Jeux à 231 projets de restauration de monuments, mais les besoins de financement restent immenses. ©F. Leroy
Il y a 6 ans et 149 jours

Fontainebleau : un appel à projets pour réhabiliter la Grande Ecurie du Roi

MODERNISATION. L'Etablissement public du château de Fontainebleau lance un appel à projets pour rénover le quartier des Héronnières, l'ancienne Grande Ecurie du Roi bâtie sous le règne de Louis XV. Classée au titre des Monuments historiques, il s'agit de l'une des plus grandes dépendances du site, s'étalant sur 8 hectares.