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Résultats de recherche pour verre

(2788 résultats)
Il y a 3 ans et 11 jours

Saint-Gobain achève la cession de toutes ses enseignes de distribution spécialisée au Royaume-Uni

Le géant des matériaux a annoncé jeudi 12 mai la signature d'accords définitifs en vue de la cession de International Decorative Surfaces (IDS), son activité de distribution spécialisée en revêtements de sol, plans de travail et stratifiés ainsi que de deux sites de transformation de verre spécialisés dans la production de double vitrage.
Il y a 3 ans et 13 jours

Illuminez les intérieurs avec les fenêtres pour toits plats Fakro !

Les fenêtres pour toits plats FAKRO apportent une lumière naturelle et offre une possibilité d'aérer la pièce tout en conjuguant une haute fonctionnalité avec des performances thermiques accrues. Maintenant chaque pièce sous un toit plat peut être à la fois chaleureuse et lumineuse.FAKRO propose quatre types de fenêtres de toit plat type F - fenêtre plane, qui se caractérise en effet par une haute performance thermo-isolante et son aspect moderne,type C - fenêtre pour toits plats avec coupole en polycarbonate,type G – fenêtre pour toits plats avec survitrage plan,type Z – fenêtre pour toits plats avec segment de verre incliné.Construction de nos fenêtres pour toits platsLe dormant des fenêtres pour toits plats est constitué de profilés en PVC multi-chambres, partiellement fabriqué à partir de matières premières recyclées.L'intérieur des profilés est remplie d'un matériau thermo-isolant (polystirène) qui améliore les performances du produit.La surface intérieure du dormant est de couleur blanche (RAL 9010). Les profilés en PVC sont composés de granulat à base de stabilisateur calcium-zinc, et non de plomb.Elles ont une grande résistance aux acides et une faible absorption de l'humidité : les fenêtres pour toit plat peuvent donc être utilisées dans chaque type de pièce.AvantagesConstruction avec haute efficacité énergétiqueGrâce à leur construction spéciale les fenêtres pour toits plats de Fakro ont des paramètres thermo-isolants très performants. Les fenêtres pour toits plats sont équipées d'un double, triple ou même quadruple vitrage.Beaucoup de lumière naturelleGrâce aux fenêtres pour toits plats, les pièces situées sous des toits plats baignent dans la lumière du jour. Elles ont en effet une surface vitrée 16% plus grande par rapport aux solutions proposées par la concurrence.Dimensions non standardLes fenêtres planes de type F peuvent être fabriquées dans des dimensions non standard (dans le cadre 60x60cm – 120x220cm). La possibilité de réaliser une fenêtre plane F précisément sur commande permet de remplacer facilement les anciennes lucarnes et d’améliorer l’isolation thermique de tout le bâtiment.Commande à distanceLes fenêtres motorisées pour toits plats sont commandées avec une télécommande (vendue séparément) dans le système Z- Wave sans fil. Le servomoteur installé dans l’ouvrant limite son exposition aux intempéries pour prolonger sa longévité et une utilisation sans faille. En plus ces fenêtres sont équipées d’un détecteur de pluie qui active la fermeture pendant la pluie.Pour en savoir plus : cliquez ici
Il y a 3 ans et 13 jours

Cyrkl : Le “Vinted” tchèque des déchets débarque en France

Cyrkl propose une plate-forme de revente des déchets pour mieux les valoriser. [©Cyrkl] Dans son dernier rapport, le Giec rappelle la nécessaire lutte contre le gaspillage à tous les niveaux, notamment ceux des déchets. En effet, ces derniers représentent 4 % des émissions de CO2 en France. « Il faut en finir avec le gaspillage de tous les produits qu’on achète et entrer dans une économie circulaire », déclare Bertrand Piccard, fondateur de Solar Impulse C’est pour aider les entreprises à réduire leur impact environnemental que la start-up tchèque Cyrkl a été créée il y a 3 ans. Cette plate-forme, basée sur l’économie circulaire, mixe marketplace et expertise. Cela, afin de trouver des solutions de valorisation des déchets et faciliter les synergies entre les acteurs industriels. Mais aussi d’augmenter l’utilisation de matières recyclées dans les processus de production. Solide d’une communauté de plus de 12 000 clients (Siemens, Saint-Gobain…), Cyrkl débarque en France. Cyrkl aide à la valorisation des déchets La start-up aide les industriels à transformer tous leurs déchets en ressources. Elle peut se comparer à la plate-forme de revente “Vinted”, qui permet de publier des annonces gratuitement. Et dans ce cas de figure, il s’agit de vendre des déchets. Ces derniers sont achetés par d’autres entreprises, à la recherche de matières secondaires, afin de les réutiliser ou de les recycler. L’idée est de bénéficier des meilleurs tarifs de vente et d’achat, en circuit court, le plus local possible. Actuellement, 12 catégories sont disponibles, avec notamment le bois, les matériaux de construction, les métaux, le plastique ou encore le verre. Lire aussi : Tri’n’Collect : La simplicité au service du recyclage des déchets De plus, Cyrkl propose plusieurs filtres de recherche dans lesquels se retrouvent le type et la localisation du déchet, la distance, le volume et la solution de transport. L’inscription est gratuite et donne accès au forfait “Cyrkl Free”, afin de pouvoir répondre à 5 offres et publier des annonces en illimité. Une offre premium (24€/mois) est également disponible. Elle permet d’accéder à un support d’experts. Elle garantit aussi un accès au numéro du vendeur, aux identités des partenaires commerciaux ou des clients possédant le badge “client vérifié”. La direction française de Cyrkl Par ailleurs, Cyrkl aide les entreprises à vérifier leur conformité réglementaire et les prix du marché pour mieux monétiser leurs déchets. Cet accompagnement permettrait des économies d’argent, allant de 15 à 45 % par an et une baisse de 200 à 700 t de CO2 à l’année. En ce qui concerne la direction, Alexandre Fembach a été désigné directeur de Cyrkl France. Après 7 ans dans le secteur du retail, il souhaite aider les entreprises à construire de nouveaux modèles d’affaires, plus en phase avec les enjeux environnementaux actuels. « La raréfaction des matières premières couplée à l’impact environnemental de leur extraction nous oblige à révolutionner notre modèle économique, déclare Alexandre Fembach. La force de notre start-up réside en notre capacité à trouver la valeur et l’usage qui se cachent derrière chaque déchet industriel pour nous préserver au maximum de l’extraction de ressources nouvelles. »
Il y a 3 ans et 23 jours

Ciel couvert pour une usine allemande de verre solaire dépendante du gaz russe

A l'intérieur du hangar coiffé d'une cheminée blanche, des bras mécaniques s'activent pour mettre en forme des plaques de verre destinées aux producteurs de panneaux solaires."Nous fournissons tous les grands fabricants en Europe", explique Torsten Schroeter, directeur général de la société GMB Glasmanufaktur Brandenburg. Chaque année, 10 millions de m2 de plaques sortent des fours de l'usine qui dégagent une vive lumière rouge et une chaleur intense.Or pour produire ce verre essentiel à l'énergie solaire , il faut ... du gaz, beaucoup de gaz.Grâce aux pipelines reliant la Russie à l'Allemagne, la ressource est disponible en abondance.Mais pour combien de temps ?Après la décision de Gazprom de suspendre, dès mercredi, les livraisons de gaz russe vers la Bulgarie et la Pologne, arguant de leur refus de payer en roubles comme exigé par Moscou, l'Allemagne craint d'être le prochain pays sur la liste."La sécurité de l'approvisionnement est actuellement garantie", a réagi le ministère de l'Economie et du Climat, tout en exprimant son "inquiétude" après l'annonce de Gazprom.D'autant que Berlin est par ailleurs sous pression croissante de ses alliés pour approuver un embargo sur le gaz russe.Or, le gouvernement du social-démocrate Olaf Scholz, allié aux écologistes et aux libéraux, soutient qu'un arrêt brutal des livraisons serait dévastateur pour l'économie du pays.Et pour cause: la Russie fournissait avant la guerre 55% des importations allemandes de gaz naturel, une part ramenée ces derniers mois à 40%."Pas d'alternative"Ce refus fait débat au sein de la classe politique allemande et parmi les experts dont certains jugent que la première puissance européenne serait en mesure d'encaisser le choc.Dans le camp de ceux pour qui la vie sans gaz russe est inimaginable à court terme, les industriels sont en première ligne."Un arrêt de l'approvisionnement en gaz russe signifierait pour nous un arrêt de la production", résume le patron de GMB, qui emploie 300 salariés.L'arrêt des flux de gaz impliquerait de stopper les fours, causant des dommages irréversibles.Cela obligera l'entreprise à "tout reconstruire", ce qui pourrait prendre plusieurs mois, voire des années, selon M. Schroeter.Car "il n'y a pas d'alternative" au gaz russe, déplore-t-il.L'utilisation de charbon ou pétrole, n'est pas adapté. Quant à l'électricité, l'entreprise a déjà investi dans un système hybride, permettant un chauffage électrique partiel dans ses fours, mais cela ne répond qu'à "10%" de ses besoins.L'hydrogène pourrait remplacer le gaz naturel, mais son développement n'est pas encore suffisamment avancé en Allemagne. Le gouvernement allemand frappe à toutes les portes pour diversifier ses sources d'approvisionnement mais estime ne pouvoir se passer du fournisseur russe avant mi-2024."Le moins cher""Les dernières décennies, marquées par la dérégulation du marché de l'énergie, nous ont conduits à choisir le gaz le moins cher, celui fourni par le gazoduc russe", a reconnu début février l'ancien vice-chancelier social-démocrate Sigmar Gabriel.Une fin des livraisons entraînerait des "interruptions de production", "des pertes d'emploi" et "des dommages massifs aux installations", a plaidé de son côté le BDI, puissant lobby industriel.Le géant de la chimie BASF a par exemple prévenu qu'une division par deux de l'approvisionnement en gaz russe suffirait pour "arrêter" son emblématique site de Ludwighsafen (Ouest), où travaillent près de 30.000 personnes.Parmi les secteurs les plus vulnérables à la consommation de gaz figurent l'industrie du papier, la sidérurgie et la chimie, selon un rapport de la banque LBBW.Même sans embargo, l'industrie allemande est déjà fragilisée par la flambée des prix de l'énergie, qui ont bondi sur un an de 39,5% en mars, après des augmentations de 22,5% en février et de 20,5% en janvier.Résultat: la verrerie de Tschernitz est à la peine pour rester compétitive face à la concurrence chinoise.Près de 170 gigawatt/heure de gaz sont consommés chaque année dans les fours de l'usine pour chauffer, à plus de 1.600 degrés, la matière première - du quartz ou du dolomite-, et la transformer en verre pour panneaux solaires.
Il y a 3 ans et 26 jours

Sur la future ligne 18 du Grand Paris Express, le tunnelier Caroline entre en gare

Employés du groupement Vinci-Spie, responsables de la Société du Grand Paris (SGP) ou élus, les 120 invités, installés à 30 m de la paroi à démolir, ont vu le bout du tunnel au bout d'une heure.Progressivement, la roue de coupe de Caroline, un monstre de 9 m de diamètre pour 110 tonnes fabriqué en Allemagne, a montré ses dents et mollettes derrière la paroi de béton prévue pour être facilement détruite, et méthodiquement laminée.Placés sous la protection de Sainte-Barbe, dont la statue est présente sur le chantier, les compagnons, qui ont le statut de mineurs, baptisent toujours les tunneliers d'un prénom féminin.Les débris ont commencé à tomber dans un bruit sourd. Progressivement déshabillée, l'ossature en fibre de verre a perdu pièce par pièce avant un final prévisible, l'écroulement de la paroi en deux temps.Depuis l'aurore, Caroline avait parcouru les deux derniers mètres pour entrer dans la "boîte-gare" de 23 m de profondeur et 65 m de long, future gare d'Antonypole qui doit accueillir à terme 12.000 voyageurs par jour.Des ouvriers ont hissé le drapeau de leurs entreprises entre les pales du tunnelier, mis au repos forcé pendant 36 heures, le temps de nettoyer la scène. "C'est un aboutissement, surtout que ça part de rien", savoure Christophe Orain, un ingénieur qui salue "une aventure humaine avec des machines révolutionnaires".15 m par jourL'arrivée de Caroline est un "gros événement: c'est le premier percement d'un tunnel dans une gare sur la ligne" 18, souligne Vianney Elzière, directeur de projet de la ligne. Mais il faudra patienter jusqu'à 2027 pour voir les trains circuler sur ce tronçon du Grand Paris express, constitué de quatre nouvelles lignes de métro (15, 16, 17 et 18) desservant la proche et la grande couronne.Lancé en décembre 2021, Caroline a creusé environ 800 m depuis sa base de départ de Massy (Essonne), à un rythme de 15 m par jour, pauses comprises. Le creusement d'une terre argileuse, et donc peu capricieuse, s'étant déroulé sans encombre, la première étape a été bouclée avec deux semaines d'avance. Mais devant les 5,2 km restant à parcourir jusqu'à Orly, M. Elzière veut "rester humble et modeste face à la nature".Au départ du tunnel, les chiffres donnent le tournis: 150 camions par jour pour évacuer les 9 fosses de déblai de 1.000 m2 chacune, deux silos d'accès de 36 mètres de profondeur pour 27 m de diamètre...Dans le tunnel, environ 2.500 voussoirs, ces morceaux de voûte pesant 7 tonnes chacun, ont été posés à un rythme d'une demi-heure par anneau de deux mètres. A l'intérieur de la jupe du tunnelier, situé à l'arrière de la roue et du bouclier qui garantit l'étanchéité, ils sont amenés par l'érecteur et fixés par deux ouvriers.Horizon 2030Dans le même mouvement, la terre forée, fluidifiée par une mousse, est évacuée via la vis d'extraction sur un tapis qui s'étire avec le tunnelier, long de 100 m dans sa version allongée. Quand Caroline atteindra Orly, le tapis convoyeur fera donc 6 km de long...Dans sa cabine, Giuseppe Sanchez fait avancer Caroline à l'aide de vérins hydrauliques de 6 m de long qui se propulsent sur les anneaux déjà posés. "Si je mets plus de pression vers la gauche, la direction bouge", explique le pilote qui s'oriente avec une cible millimétrée dont il doit dévier le moins possible.Les sept voussoirs d'un même anneau posés à l'intérieur de la jupe, la machine redémarre. Le vide créé par l'avancée du train est comblé par du mortier injecté entre le béton et la terre afin de consolider l'ouvrage. Entamée en 2020, la ligne 18 doit relier à l'horizon 2030 l'aéroport d'Orly à Versailles, à travers dix gares de la grande couronne pour un budget de 4,4 milliards d'euros, selon M. Elzière.A Massy, les travaux suscitent "plus une gêne qu'un enthousiasme" chez les habitants, reconnaît le maire (UDI) Nicolas Samsoen. "Mais ils savent que ça va changer leur vie."
Il y a 3 ans et 27 jours

De verre en reflets, les instants fugaces de Bruno Palisson

Dans le monde de Bruno Palisson, photographe, puis architecte, puis architecte et photographe, les miroirs de la maison des glaces sont sans tain. Rendez-vous avec le soleil, sans témoin. 8h00. Lors d’une matinée d’hiver, dès la fin du crépuscule, le soleil débordant de ses rayons m’offre pendant une heure un spectacle majestueux, renforcé par le […] L’article De verre en reflets, les instants fugaces de Bruno Palisson est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 31 jours

Le verre à occultation commandée Priva-Lite dans la Tour Saint-Gobain

Ce verre de haute technologie est utilisé pour gérer des espaces de confidentialité en un instant. Il est logiquement utilisé par des grands groupes pour créer des bureaux plus flexibles, ou par des hôpitaux qui souhaitent transformer les espaces des patients, et ainsi gagner en intimité.
Il y a 3 ans et 32 jours

Architecture innovation et performance énergétique : Le siège londonien de la BAFTA fait peau neuve grâce au verre eyrise  

• La rénovation du   »195 Piccadilly », siège social de la prestigieuse British Academy of Film and Television Arts (BAFTA) à Londres vient de s’achever. • Entre autres aménagements, des verrières de toit victoriennes ont été retrouvées pendant le chantier et recouvertes de verre à cristaux liquides. Tout un nouvel étage a été équipé du verre […]
Il y a 3 ans et 33 jours

Demi-niveaux et grandes ouvertures alu pour équipement mixte

Pour construire son nouvel espace jeunesse Guy Môquet, un équipement mixte de 1 700 m2, la mairie de Cabestany voulait un bâtiment attractif pour les enfants et adolescents. L’agence OECO ARCHITECTES a imaginé un monolithe de béton à la volumétrie atypique. Compact, pour répondre à l’enjeu de l’emprise au sol limitée, il s’élève sur plusieurs demi-niveaux. L’éclairage naturel constituait un enjeu essentiel pour créer des spatialités tout en connectant entre-elles les différentes entités. L’ouvrage se perce de multiples ouvertures en aluminium TECHNAL. Le centre de loisirs se déploie sur les trois demi-niveaux inférieurs. C’est un espace ouvert autour d’un hall, qui se recloisonne aisément selon les activités à l’aide de cloisons amovibles. Il s’habille de grands ensembles fixes/portes SOLEAL de 3,2 m de hauteur. La salle de danse bénéficie de la lumière du Nord à travers un mur-rideau GEODE de plus de 6 m de largeur sur 3 m de hauteur. Ce grand cadre est coupé en trois par des profilés en aluminium fins, tel un triptyque faisant l’éloge du paysage avoisinant. La façade s’anime et crée une sorte de repère dans la ville. Une porte repliable XXL AMBIAL, aux dimensions quasiment identiques, fait écho à ce mur de verre. Enfants et professeurs peuvent profiter de la terrasse qui s’ouvre totalement dès les premiers rayons du soleil. L’hébergement collectif (R+2 et R+3) accueille 6 dortoirs qui intègrent des châssis oscillo-battants SOLEAL pour faciliter la ventilation. La salle commune est pourvue d’un ensemble vitré de 11 m de large, composé de deux larges baies coulissantes, de châssis fixes et d’une porte SOLEAL. Elle permet de profiter de la terrasse au dernier niveau, qui domine et contemple le Canigou au loin, à l’abri de la Tramontane. Agence d’architecture : OECO ARCHITECTES (31) Maître d’ouvrage : MAIRIE DE CABESTANY (66) Fabricant Installateur : SPM (66) Photo : Technal – Kevin Dolmaire  
Il y a 3 ans et 33 jours

Demi-niveaux et grandes ouvertures alu pour équipement mixte

Pour construire son nouvel espace jeunesse Guy Môquet, un équipement mixte de 1 700 m2, la mairie de Cabestany voulait un bâtiment attractif pour les enfants et adolescents. L’agence OECO ARCHITECTES a imaginé un monolithe de béton à la volumétrie atypique. Compact, pour répondre à l’enjeu de l’emprise au sol limitée, il s’élève sur plusieurs demi-niveaux. L’éclairage naturel constituait un enjeu essentiel pour créer des spatialités tout en connectant entre-elles les différentes entités. L’ouvrage se perce de multiples ouvertures en aluminium TECHNAL. Le centre de loisirs se déploie sur les trois demi-niveaux inférieurs. C’est un espace ouvert autour d’un hall, qui se recloisonne aisément selon les activités à l’aide de cloisons amovibles. Il s’habille de grands ensembles fixes/portes SOLEAL de 3,2 m de hauteur. La salle de danse bénéficie de la lumière du Nord à travers un mur-rideau GEODE de plus de 6 m de largeur sur 3 m de hauteur. Ce grand cadre est coupé en trois par des profilés en aluminium fins, tel un triptyque faisant l’éloge du paysage avoisinant. La façade s’anime et crée une sorte de repère dans la ville. Une porte repliable XXL AMBIAL, aux dimensions quasiment identiques, fait écho à ce mur de verre. Enfants et professeurs peuvent profiter de la terrasse qui s’ouvre totalement dès les premiers rayons du soleil. L’hébergement collectif (R+2 et R+3) accueille 6 dortoirs qui intègrent des châssis oscillo-battants SOLEAL pour faciliter la ventilation. La salle commune est pourvue d’un ensemble vitré de 11 m de large, composé de deux larges baies coulissantes, de châssis fixes et d’une porte SOLEAL. Elle permet de profiter de la terrasse au dernier niveau, qui domine et contemple le Canigou au loin, à l’abri de la Tramontane. Agence d’architecture : OECO ARCHITECTES (31) Maître d’ouvrage : MAIRIE DE CABESTANY (66) Fabricant Installateur : SPM (66) Photo : Technal – Kevin Dolmaire   Cet article Demi-niveaux et grandes ouvertures alu pour équipement mixte est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 40 jours

Nelly Philipponnat, réélue présidente de CEKAL

Nelly Philipponnat, ingénieur ESTP, a depuis plus d’une vingtaine d’années assumé des postes de marketing, communication et de représentation au sein des différentes instances professionnelles en lien avec le matériau verre. Elle est actuellement directrice des bâtiments durables de Saint-Gobain Glass bâtiment France.Feuille de route 2022-2025Faire vivre le référentiel CEKAL au rythme des évolutions techniques pour un programme de certification exigeant, adapté à la réglementation et aux développements technologiques du secteur.Suivre les évolutions des textes européens et s’y adapter.Faciliter l’apprentissage des centres certifiés aux évolutions normatives relatives à la fabrication de produits entrant dans le domaine de compétence de CEKAL.Achever enfin le retour à un rythme de croisière après la crise de la pandémie, avec une vigilance toujours forte sur le suivi et l’évaluation des constituants qui équipent les vitrages.Mener à bien les évaluations annuelles du Cofrac.Échanger avec les centres certifiés et les informer, via les Rencontres régionales CEKAL organisées chaque année avec un nouveau programme. En 2022, elles se dérouleront à Nancy le 12 mai, à Grenoble le 5 juillet (avec la visite des laboratoires du CSTB), à Bordeaux le 19 octobre.Participer à la grande rencontre des acteurs du bâtiment avec la conférence CEKAL organisée le 5 octobre 2022 sur Batimat.Communiquer vers les utilisateurs, notamment au travers de la mise à disposition de vidéos sur les contrôles et le marquage pour les vitrages isolants, feuilletés et trempés et continuer à proposer un site Internet ouvert et transparent. Pour Nelly Philipponnat, présidente de CEKAL : "Le dévouement et l’implication à mes côtés des membres du nouveau Bureau, des présidents et membres des commissions et comités à notre cause commune seront, comme toujours, essentiels pour tenir l’objectif d'une certification rigoureuse qui bénéficie à toutes les parties prenantes. Nous aurons à cœur de faire vivre le référentiel au rythme des évolutions techniques, de suivre au plus près l'évolution des textes européens et s'y adapter, d’évaluer les constituants qui équipent les vitrages, et ne pas baisser la garde en matière de confidentialité et d'impartialité." Les membres du Bureau élus ou réélus sont les suivants : Nelly Philipponnat, présidenteJean-Claude Desnoues, vice-présidentJean-Paul Vieyres, trésorierJean-Marc Salzard, secrétaireEric Vivion et Jean Michel Lidou représentant les 2 collèges au sein de CEKAL
Il y a 3 ans et 40 jours

Plaque céramique : Laminam

Applicable en bardage rapporté, revêtement non ventilé ou collé, cette surface en grès-cérame s’adapte à tout système de façade : adhésif, avec agraphes, rivets, à cellules… Elle comprend une plaque de base renforcée structurellement par un filet en fibre de verre collé au dos, appelé 5+. D’épaisseur réduite et légère, elle ne surcharge pas la structure portante. Résistante aux sollicitations mécaniques, aux températures, à l’usure, aux agents chimiques, atmosphériques, à la corrosion et à l’abrasion ; réfractaire à l’humidité et aux rayons UV. Aspect pierres naturelles, bois, marbre, oxyde… Matières totalement recyclées et recyclables. Dimensions : 1 000 x 3 000 mm. Photo : Bâtiment sur le site pékinois des Jeux olympiques d’hiver 2022
Il y a 3 ans et 45 jours

"L’impact de la certification MASE sur la performance d’entreprise " : un très haut niveau de satisfaction des entreprises du BTP

La certification MASE valide la mise en place et le bon fonctionnement d’un système d’amélioration continue des performances Sécurité, Santé et Environnement. Le plus souvent, la première motivation des entreprises pour engager une telle démarche est de répondre à la demande d’un donneur d’ordre, généralement industriel. Cependant, l’enquête réalisée par l’OPPBTP et Mase montre que les entreprises retirent un intérêt fort de la certification MASE et font état de bénéfices pour la performance de l’entreprise qui vont bien au-delà de leurs attentes premières, exprimant un très haut niveau de satisfaction.« Au regard des résultats de cette enquête, la certification MASE représente indéniablement un outil au service de la performance, dont les bénéfices collatéraux se font ressentir à la fois sur l’image que l’entreprise renvoie à ses clients et partenaires, sur sa performance en prévention des risques, sur sa santé économique et la performance de son organisation mais également sur les équipes et la qualité de leur travail. Les difficultés exprimées par certains chefs d’entreprise à faire adhérer l’ensemble de leur personnel à cette démarche confirment par ailleurs la nécessité, en matière de culture de prévention, d’encourager la participation et l’expression des collaborateurs à tous les niveaux de l’entreprise, dès le début de la démarche, pour favoriser l’adhésion de tous. » analyse Virginie Renard, Directrice Prévention et Performance et Culture de prévention au sein de l'OPPBTP.Un niveau de satisfaction très élevé de la part des entreprises du BTP L’étude met en lumière une appréciation très positive de la part des dirigeants certifiés MASE, puisque 96% des entreprises interrogées déclarent que les efforts engagés pour la mise en place de la certification MASE en valaient la peine. En effet, la certification MASE rend les dirigeants plus confiants en l’avenir de leur entreprise (88% des entreprises interrogées). Cette confiance s’exprime par un sentiment de maîtrise des risques professionnels (84% des répondants - près d’un répondant sur deux donne cette raison en premier) et des situations du quotidien en général (69% des répondants).De plus, alors que 80% des entreprises ont entrepris une démarche de certification MASE afin de travailler avec certains donneurs d’ordre (pour 43% des entreprises interrogées, il s’agissait de leur première motivation), les bénéfices observés par les entreprises sont multiples et dépassent largement cet aspect marché. Un outil de consolidation de l’entreprise sur son marchéPremièrement, il apparaît que la certification MASE a un impact très positif sur l’un des aspects majeurs de la performance de l’entreprise : sa consolidation sur ses marchés.61% des dirigeants ont vu leur chiffre d’affaires progresser ou se maintenir grâce à la certification, et ce en particulier au sein des entreprises de moins de 20 salariés.Par ailleurs, la quasi-totalité des dirigeants (97%) souligne que la certification améliore nettement l’image de l’entreprise auprès de ses clients et partenaires. 81 % estiment qu’elle participe à améliorer leurs relations avec leurs partenaires et prestataires, et 80 % pensent qu’elle permet de fidéliser davantage leur clientèle. Enfin, la certification est également une source d’opportunités commerciales pour plus de 7 dirigeants sur 10.Un impact positif sur le travailUne très large majorité des dirigeants affirme que la certification améliore la qualité du travail (83%), et permet d’innover dans la manière de travailler au quotidien (80%).En revanche, l’appréciation est plus nuancée quant au gain de productivité que la certification peut leur apporter : 4 dirigeants sur 10 (42%) estiment que la certification a un impact positif sur la productivité.Des perceptions positives mais plus modérées concernant l’impact de la certification MASE au sein des équipes et du managementL’étude souligne également des résultats satisfaisants, concernant l’impact de la certification MASE au sein des équipes.66% des dirigeants estiment que la certification a amélioré la performance de leurs salariés, et 65% pensent qu’elle permet de les rendre plus autonomes sur le terrain. De plus, 62% estiment que la certification a eu un impact positif sur l’ambiance générale au sein de l’entreprise. Néanmoins, les résultats sont moins tranchés que pour les autres indicateurs, avec une part de réponse « Oui, tout à fait » plus faible.L’adhésion de l’interne, principal enjeu pour les chefs d’entreprisePar ailleurs, parmi les entreprises ayant estimé que la mise en place de la certification MASE avait été difficile (48%), 50% ont répondu spontanément que le plus difficile a été de faire adhérer le personnel à la démarche en faisant comprendre son utilité, les bénéfices pour tous et en partageant une vision. Or, l’adhésion des équipes est un critère important de la satisfaction des entreprises vis-à-vis de la certification MASE : plus les dirigeants perçoivent des bénéfices sur l’interne, plus la satisfaction est élevée. Cela pose donc la question de la présentation de la démarche MASE au sein de l’entreprise, puis de sa « traduction » en éléments concrets, compris et acceptés pour une application au quotidien. Les systèmes de management révèlent en effet toute leur efficacité lorsque l’ensemble de l’entreprise est embarqué, et que la culture prévention évolue à tous les niveaux.« MASE compte plus de 25 ans de retour d’expérience sur la réduction des accidents du travail grâce à la mise en place de notre système. Pour arriver à ces résultats et rester en phase avec les besoins d’aujourd’hui et de demain de nos adhérents, nous avons dû faire évoluer notre référentiel à plusieurs reprises. Même si nous en étions convaincus, cette enquête a permis de confirmer factuellement que notre système a non seulement un impact positif au niveau SSE, mais aussi sur la performance globale des entreprises du BTP. Et pour ceux qui penseraient que la sécurité coûte cher, détrompez-vous : seuls 9% des chefs d’entreprises interrogés pointent le coût lié à la démarche comme une difficulté. » commente Didier Méné, Président de MASE.« Cette enquête démontre tous les bénéfices qu’il y a à déployer une organisation d’entreprise sur la base d’un référentiel qui a fait ses preuves, et ce par la voix des personnes les mieux placées pour en témoigner. Nous sommes persuadés que ces systèmes doivent être promus et généralisés car ils représentent des opportunités de progresser de façon pérenne en prévention, en brisant le plancher de verre que tous déplorent aujourd’hui dans la diminution de la sinistralité. En effet, lorsque ces systèmes sont mis en oeuvre avec conviction et en partageant une vision mutuelle, alors ils sont incontestablement efficaces, tant en prévention que pour la performance globale des entreprises et de la société. » conclut Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP.Retrouvez les principaux résultats de l’enquête et des témoignages de chefs d’entreprise sur preventionbtp.fr.
Il y a 3 ans et 46 jours

Salamander et AGC Glass Europe concluent un partenariat stratégique d'innovation

Une combinaison qui soutient de manière optimale l'objectif de Salamander de toujours produire des fenêtres de qualité. Ce travail d'innovation de Salamander Industrie-Produkte GmbH a notamment convaincu la 29ème édition du concours TOP 100 de lui décerner le label TOP 100 2022 qui récompense sa force d’innovation supérieure à la moyenne.AGC Glass Europe est un leader européen du verre plat. Avec son vitrage isolant sous vide FINEO, AGC Glass Europe mise sur une technologie innovante. Ce vitrage ultra-mince (à partir de 6 mm d'épaisseur totale) atteint des performances thermiques et acoustiques inégalées, une meilleure transmission lumineuse et un poids réduit. De plus, FINEO est 100% recyclable. Ainsi, les fenêtres Salamander associées au verre sous vide FINEO obtiennent de meilleurs résultats en termes d'isolation thermique et acoustique, de résistance au vent et d'étanchéité. Le vitrage plus fin, les valeurs de performance énergétique plus élevées, se traduisent également par des économies potentielles sur les profilés et donc par une efficacité des ressources et une réduction des émissions de CO2. Les économies de poids permettent d'obtenir des tailles de fenêtres plus grandes ainsi que des formes, ce qui ne semblait pas possible jusqu'à présent dans le secteur du PVC et qui est totalement dans l'air du temps. Lors de la Fensterbau Frontale de Nuremberg en juillet, Salamander exposera cette "fenêtre du futur". En bref : la combinaison innovante de la fenêtre et du verre sous vide permet d'obtenir un meilleur design, de meilleures performances et même une meilleure durabilité. "C'est pourquoi nous nous réjouissons de ce partenariat exclusif avec AGC et nous sommes convaincus que cela va changer la donne pour les futurs systèmes de fenêtres. N'hésitez pas à passer sur notre stand au salon Fensterbau Frontale en juillet pour découvrir cette fenêtre du futur", déclare Till Schmiedeknecht, co-CEO.Serge Martin, CEO de FINEO Glass, déclare : "Nous sommes très enthousiastes quant à ce partenariat avec Salamander. Cela permettra d'apporter des solutions exceptionnelles sur le marché, en mettant clairement l'accent sur la performance, le design et la durabilité."Avec sa "stratégie myWindow", Salamander définit la fenêtre comme un produit de design tangible et durable, mis en scène avec style comme un lien entre la façade du bâtiment et la conception de l'espace de vie. L'esprit pionnier de cette entreprise traditionnelle plus que centenaire se perpétue dans ses produits - tels que le système modulaire greenEvolution - et au travers de ses employés. Le système de fenêtres multicompatible greenEvolution - avec ses solutions d'applications numériques - n'est qu'un exemple et une conséquence de cette culture et de la stratégie d'entreprise actuelle. Dans cette approche, l'entreprise a participé au "TOP 100" pour la première fois cette année et a obtenu le label. "Cette récompense nous conforte dans nos efforts pour nous imposer comme un leader de l'innovation et du design", déclare le co-CEO Götz Schmiedeknecht.
Il y a 3 ans et 47 jours

L’Europe peut s’affranchir des imports russes avant le milieu de la décennie grâce aux EnR

L'utilisation globale du gaz diminuera de 9% en 2024 par rapport au modèle d'avant-guerre de DNV. La plus forte croissance attendue est celle de l'énergie solaire qui, d'ici 2026, aura augmenté de 20%. Le report de la mise à la retraite de centrales nucléaires jouera également pour combler le déficit.Bien que le charbon soit nécessaire à très court terme pour répondre à la demande énergétique de l'Europe, d'ici 2024, le report de fermetures de centrales et la croissance du nucléaire joueront un rôle important pour combler le manque de gaz naturel. Les émissions liées à la consommation énergétique seront inférieures de 2,3% en Europe au cours de la période 2022-2030, par rapport à la trajectoire modélisée avant la guerre en Ukraine. Cela est dû à l'importance accrue des énergies à faible teneur en carbone (énergies renouvelables et nucléaire), à une plus grande efficacité énergétique et, à court et moyen terme, à une croissance économique plus faible."Comme ils l'ont fait pendant la pandémie de COVID-19, les dirigeants européens ont fait preuve de lucidité face à une crise, pour accélérer la transition énergétique du continent. Cette fois, l'Europe accroît sa sécurité énergétique tout en réduisant ses émissions", a déclaré Remi Eriksen, président du groupe et PDG de DNV.Le pivot de la Russie vers l'Est ne compensera pas entièrement la réduction des exportations de gaz vers l'Europe, en raison d'infrastructures limitées.En revanche, DNV estime que l'Europe elle-même produira 12% de gaz en plus en 2030, ce qui reflète la réaction de l'industrie à la hausse des prix du pétrole et du gaz à court terme et la réponse aux incitations de de l'UE. Le rôle du GNL importé est limité par la capacité de regazéification, la construction des infrastructures supplémentaires devant prendre de 2 à 5 ans. Toutefois, il constituera un volet de la stratégie globale de sécurité énergétique du continent.Il existe un risque de surcapacité dans le secteur du pétrole et du gaz vers la fin de la décennie, les entreprises cherchant à tirer parti des prix élevés et du déficit d'approvisionnement.La tendance à long terme reste baissière pour le pétrole, et la réduction de la croissance du PIB et le ralentissement de la mondialisation, conséquences du conflit, risquent de freiner davantage la demande. L'augmentation de la capacité pétrolière et gazière à l'horizon 2030 entraînera une baisse des prix, ce qui augmentera probablement un peu l'utilisation mondiale dans les années 2030."La guerre en Ukraine a secoué les marchés de l'énergie, mais la décarbonisation reste le thème central. Les entreprises du secteur de l'énergie devront trouver un équilibre prudent entre la nécessité de combler le déficit d'approvisionnement en pétrole et en gaz à court terme et celle d'éviter les actifs abandonnés à plus long terme", a déclaré Sverre Alvik, directeur de la recherche sur la transition énergétique chez DNV.Pour les consommateurs, il n'y a pas de fin immédiate en vue aux prix élevés de l'électricité. En 2024, les prix de l'électricité seront 12% plus élevés en Europe que si le continent ne s'éloignait pas de l'énergie russe. La hausse du coût des matières premières aura également un impact sur l'adoption des véhicules électriques, car le coût des batteries augmente. Pour l'Europe, cela signifie que la moitié des ventes de nouvelles voitures seront électriques en 2028 au lieu de 2027, bien que cela puisse être surmonté par des incitations politiques.*Dans le modèle de DNV, l'Europe comprend tous les pays européens, y compris les pays baltes, mais sans la Russie, l'Ukraine, la Biélorussie et la Turquie.
Il y a 3 ans et 48 jours

Style raffiné et lignes gracieuses pour Casa Farnesina avec les robinets Taormina de Ritmonio

L'intervention reflète la rigueur et la fluidité qui ont toujours constitué la signature stylistique de l'Architecte Dennerlein : le défi de conception était de pouvoir façonner un « tissu brut » de son choix, répondant aux souhaits du propriétaire, un entrepreneur passionné par le nautisme. Dans le projet global, Taormina est le détail qui atteste la grande attention de Dennerlein aux matériaux de qualité, des finitions capables de dicter un nouvel équilibre entre forme et fonctionnalité : la série revisite des éléments classiques dans une touche contemporaine, avec des lignes gracieuses. S'inspirant clairement de la station balnéaire sicilienne enviée dans le monde entier pour son charme et sa beauté, Taormina rehausse le style du projet et incarne la véritable expression du Made in Italy de Ritmonio. Le corps du mitigeur rappelle la forme des colonnes caractéristiques du théâtre antique de Taormina et ses lignes douces font référence aux criques et vagues sinueuses de la mer Méditerranée. Design raffiné également pour l'ensemble de la robinetterie pour baignoire, qui permet une expérience de bien-être à 360 °. Une solution à multiples facettes et polyvalente, conforme aux goûts des propriétaires, respectueuse de l'histoire dans la modernité, adaptée à ceux qui recherchent un style avec un attrait contemporain qui dure dans le temps. De plus, la série fait partie des produits à économie d’eau de Ritmonio, caractérisés par le débit d'eau ECO, inférieur à 9 L / m, pour sensibiliser à une utilisation responsable des ressources environnementales. Des lignes continues et circulaires, des transparences et un apport maximal de lumière naturelle constituent la philosophie de conception de la maison dans son ensemble et rendent le design harmonieux et sophistiqué. Cette âme « coquille » se retrouve également dans les plafonds, sur lesquels sont sculptés de grands plafonds traités à la feuille d'argent pour refléter la lumière et souligner la rondeur de l'ensemble du projet. L'espace de vie se caractérise par la présence de grandes parois vitrées, qui favorisent la transition harmonieuse avec la terrasse adjacente, pour une conception osmotique de l'intérieur-extérieur. Aux murs un papier peint à la texture chaleureuse, qui fait référence à la ligne d'horizon de la mer et rappelle la rayure des coquillages. Le sol est uniforme dans toutes les pièces : un travertin beige, qui traverse tout l'appartement, comme s'il s'agissait d'une seule peau. Le chauffage au sol et le système domotique de dernière génération ne sont que deux des nombreuses fonctionnalités technologiques qui améliorent les performances et le confort de la résidence. Tous les accessoires intérieurs ont été conçus et fabriqués à la main, grâce à un travail de menuiserie de haut niveau : des meubles aux armoires, jusqu'à la cuisine et les portes, dont certaines sont en verre et escamotables, conçues comme des « diaphragmes » de liaison entre un chambre et l'autre. En pensant précisément aux petits espaces d'un bateau, l’architecte. Dennerlein a choisi d'optimiser l'espace : de grandes pilules et armoires agissent comme des ailes pour séparer les fonctions et les environnements. La qualité des matériaux, le souci du détail et l'adaptation du travail se poursuivent également dans la salle de bain, où les finitions sont d'une valeur absolue : la pierre gris foncé embrasse la baignoire, où l'on retrouve un motif grec décoratif taillé en clous de chouette.
Il y a 3 ans et 49 jours

URSA lance BANKIZ, son configurateur de FDES – Fiches de Données Environnementales et Sanitaires – dédié à l’ensemble de ses produits

 Un nouvel outil digital, intuitif et gratuit, indispensable à l’heure de la RE 2020  URSA, spécialiste de l’isolation laine de verre minérale et polystyrène extrudé (XPS), lance son configurateur de FDES : BANKIZ.  Cette nouvelle plateforme en ligne, permettra à tous les acteurs (bureaux d’études thermiques, architectes…) d’établir en quelques clics le profil environnemental, personnalisé […]
Il y a 3 ans et 52 jours

Knauf Insulation ouvre son usine de recyclage de laine de verre

Le fabricant vient d'inaugurer une usine belge dédiée à l'économie circulaire.
Il y a 3 ans et 53 jours

La tarification du carbone met en jeu la "survie" de certaines industries en Europe, selon une étude

La tarification future des émissions de CO2 en France et en Europe menacerait la survie de certains secteurs industriels, notamment liés aux métaux (acier) et aux minéraux (ciment, verre), qui doivent donc investir rapidement pour faire baisser leurs émissions, analyse une étude du cabinet Deloitte et de La Fabrique de l'Industrie.
Il y a 3 ans et 54 jours

Prévention : EPI et EPC, l’innovation aide à réduire le risque

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine L’évolution constante des EPC et des EPI contribue à la réduction régulière des chutes de hauteur, première cause d’accidents et de décès dans le BTP. [©ACPresse] Il suffit de regarder des photos de chantiers prises il y a 30 ou 40 ans pour constater le fossé qui sépare ces périodes de l’époque actuelle, en termes de sécurité et de protection des personnes. Qu’il s’agisse d’équipements de protection individuelle (EPI) ou de protection collective (EPC), on est peu à peu passé du “bricolage” à un environnement très réglementé et sécurisé. Une évolution est liée à l’acceptabilité du port régulier des équipements de sécurité. Tous les corps de métiers en ont bénéficié. Et, dans une concurrence accrue, les entreprises de toutes tailles ont intégré l’intérêt de moyens de prévention optimisés et définis dès l’amont des travaux. Le temps où l’achat d’EPC/EPI était perçu comme une dépense s’éloigne. Ces équipements participent même à la rentabilité d’une opération : réduction des risques et aussi de la fatigue pour le personnel. Soit, au final, de meilleures conditions de travail et, avantage côté entreprises, plus de productivité. EPC : Lutter contre les chutes de hauteur Pour les petits chantiers sont proposés des “kits” d’échafaudages sur remorque, permettant d’assurer de façon simple la sécurité des interventions. [©Beta Diffusion] Une règle fondamentale : les EPC doivent toujours être privilégiés lorsque la situation le permet. Les EPI les remplacent, lorsqu’une solution collective s’avère impossible à mette en œuvre. Ils sont aussi des compléments indispensables, quels que soient les cas de figure. Face au risque majeur que sont les chutes de hauteur – première cause d’accidents graves et de décès dans le BTP -, les échafaudages de pied se sont progressivement imposés. Et ont beaucoup évolué avec les années. La mise en œuvre d’échafaudages à montage/démontage en sécurité s’est banalisée, rendant impossible les situations à risques. Pour les petits chantiers, les fabricants proposent des kits transportables sur une remorque, qui permettent d’échafauder la façade d’une maison courante. Par ailleurs, des avancées sont constatées pour assurer la continuité du maintien des protections collectives tout au long de la réalisation d’un chantier. Autre exemple allant dans le même sens, un coffrage développé par Hussor supprime l’usage d’une échelle ou d’une passerelle d’accès. Malgré toutes les initiatives et innovations concernant les EPC, les préventeurs estiment qu’il est possible d’aller plus loin. Ceci, via une réflexion globale associant conception des matériels, organisation des chantiers, modes opératoires et formation du personnel. Ils poussent à mieux développer des solutions de bon sens, toutes basées sur le principe de limitation du temps de travail en hauteur. La préfabrication répond à cette démarche, le développement spectaculaire des murs à coffrage intégré (MCI) aussi. Tout comme l’intégration de potelets de garde-corps dans les prédalles, les assemblages au sol, l’usage de drones en phase d’études… EPI : Une réponse pour tous les cas de figure La réalité augmentée s’immisce au niveau des lunettes de sécurité, intégrées au casque de chantier ou non. [©Daqri] Le confort et l’ergonomie sont les points sur lesquels les EPI ont le plus progressé. Les systèmes d’arrêt des chutes sont plus simples d’usage. Ils ont gagné en légèreté comme en performances. Les casques combinés avec des lunettes ou des masques rétractables sont devenus la norme. Et la plupart d’entre eux intègrent des “logements”, permettant de fixer des équipements, tels qu’écran facial, masque de soudeur ou coquilles anti-bruits. Dans le BTP, les blessures aux mains représentent 25 % des accidents avec arrêt et 25 % des accidents graves. Le port de gants adaptés est donc prioritaire. Les fabricants s’évertuent à proposer des gammes destinées à chaque métier, même si les modèles les plus spécifiques ne sont pas toujours disponibles chez les fournisseurs et négociants spécialisés… Sans nul doute, la chaussure de sécurité est l’EPI le plus universelle. Depuis une dizaine d’années, des progrès importants sont constatés en matière de confort et d’esthétique, tout en conservant les qualités de base qu’on doit en attendre : protection contre l’écrasement, la perforation, les brûlures et les contusions. En 2022, les verres des lunettes de sécurité sont devenus transparents, indéformables, ininflammables, résistants aux chocs et à l’abrasion. Ils ne forment pas d’éclats coupants en cas de rupture. Ils sont insensibles à la buée et ne déforment plus la vision. Mieux encore, un concept innovant de réalité augmentée intègre sur les lunettes une technologie holographique, permettant de projeter sur l’écran de protection des informations pertinentes, sans interférer avec le champ visuel du porteur. Et les EPI passent au 2.0 Plusieurs fabricants commercialisent des semelles connectées, visant surtout à prévenir les risques de chutes. [©Traxxs] Les objets connectés s’imposent aussi dans le monde du BTP. Très loin de l’image de “gadget” à laquelle ils sont parfois rattachés, ils ouvrent au contraire de nouvelles perspectives pour la prévention des risques. Ils présentent l’atout d’être assez peu onéreux et donc économiquement gérables sur des chantiers courants. Quelques exemples parmi plusieurs applications… La start-up française Rcup propose une solution de semelles connectées. Installées dans les chaussures, les semelles vibrent pour prévenir leur propriétaire en cas de port de charges trop lourdes ou d’approche d’un danger, tel qu’un engin de chantier. Les semelles sont aussi géolocalisées. Elles permettent de mieux identifier les zones de sécurité. Enfin, elles sont capables de détecter les chutes de plain-pied, en envoyant une alerte pour une intervention rapide. Autre approche, la société Parade a développé une gamme de chaussures équipées d’une fonction Dati (dispositif d’aide au travailleur isolé). Un capteur installé dans le talon permet une détection du risque de chute. Cad 42 commercialise des gilets intelligents et des capteurs, liés à une application, pour sécuriser les chantiers, définir des zones de danger ou détecter la présence d’un travailleur sous un cône de grue…  Le Japonais Biodata teste, à l’heure actuelle, une montre thermique, qui calcule la température corporelle et anticipe les “coups de chaleur”. Enfin, T2S intègre dans un EPI un système d’alerte pour travailleur isolé. En cas d’accident, l’EPI se connecte au réseau GSM et envoie une alerte à un service dédié. Le produit est en phase de test. Les grands espoirs de l’assistance physique Plusieurs fabricants travaillent à la mise au point d’exosquelettes, qui peuvent se décliner pour des applications diverses. [©Foc Innovation] On a beaucoup écrit sur les exosquelettes, développés à l’origine pour des raisons médicales, mais qui ont vite suscité l’intérêt du BTP. Le principe est simple : assister la contrainte physique lors du port de charges lourdes. Cette aide concernant les bras, les jambes, le bassin… Un moyen supplémentaire de réduire la fatigue et, à terme, les risques de troubles musculo-squelettiques (TMS). Un exosquelette peut se décliner sous plusieurs formes. La plus sophistiquée est souvent constituée d’une structure en carbone (donc assez légère), portée par un opérateur appelé à soulever des charges lourdes. L’appareil est équipé d’une batterie et de servo-moteurs. On trouve ensuite des modèles conçus pour les travaux “bras en hauteur”. C’est un système mécanique passif qui ne nécessite pas de batterie et de servo-moteurs. Porté par l’opérateur, il est adapté à toutes les interventions qui nécessitent de travailler mains et bras en hauteur. Dernière forme de l’exosquelette, le bras “zéro gravité”. Dans ce cas, l’appareil n’est plus porté par le compagnon, il compense le poids de l’outil, par exemple, un marteau perforateur, utilisé par l’opérateur. Néanmoins, les préventeurs estiment que les exosquelettes présentent certaines limites, du moins dans leur définition actuelle. Ils ont l’inconvénient de reporter la contrainte physique sur d’autres parties du corps. Ces solutions restent pour l’instant assez coûteuses et doivent encore être considérées comme des prototypes avancés. Leur banalisation sur les chantiers devrait encore prendre quelques années. Gérard Guérit Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 54 jours

Calvados : L’Esitc de Caen annonce la réalisation d’un chantier éco-responsable

Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine Elément de bordure en béton bas carbone prêt à être posé. [©Esitc Caen/JCoiffey] L’Esitc de Caen annonce la réalisation d’un chantier pilote éco-responsable. Mené par Cléo Guis, Thomas Latini et Aude Bourgeois, élèves en 5e année, le projet vise à développer des bordures de trottoirs réfléchissantes conçues à partir d’un béton bas carbone incorporant des débris de verre recyclés. Réalisé du 7 au 18 février dernier sur un chantier avenue André Morice à Caen, le test avait pour objectif de valider en conditions réelles la pertinence de cette solution. C’est d’ailleurs Eurovia, filiale de Vinci, qui a réalisé ces travaux. Tandis que François Moreno, ingénieur diplômé en 2000 à l’ESTIC de Caen, pilotait le chantier. Retrouvez l’actualité des entreprises en région Normandie Ainsi, le projet s’inscrit dans des thématiques importantes dans les recherches de l’Esitc : le développement durable et la sécurité routière. En effet, le ciment CEM III, retenu pour le chantier, est composé majoritairement de matières premières issues de l’économie circulaire. Il se complète alors avec les résidus de verre, eux-aussi utilisés de manière éco-responsable. La production des bordures est d’ailleurs confiée en partie à TEP Construction, une micro-entreprise gérée par des élèves de l’école. Pour les réaliser, les trois étudiants ont pu accéder aux ressources de l’école. Dans un premier temps en utilisant le laboratoire mis à disposition pour les recherches. Puis, dans un second temps, avec les partenariats de l’Esitc de Caen avec des acteurs institutionnels régionaux et industriels pour concrétiser le projet. Article paru dans le n° 99 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 60 jours

Un isolant en laine de verre recyclée et une ligne de production en 2023

Revibat, start up industrielle, lance des isolants acoustiques puis thermiques composés intégralement de déchets de laine de verre. Le premier outil industriel de production automatisé est prévu en 2023 avec un investissement prévu de plusieurs millions d’euros.
Il y a 3 ans et 61 jours

URSA intègre l’actionnariat de VALOBAT

URSA, comptant parmi les leaders européens dans la production de laine minérale de verre et de Polystyrène extrudé, intègre l’actionnariat de VALOBAT, futur éco-organisme multi matériaux du bâtiment.  Après un premier positionnement au sein de VALOBAT en qualité de préadhèrent, URSA confirme aujourd’hui son plein engagement dans la démarche collective de la REP Produits et […]
Il y a 3 ans et 62 jours

Émoi à Strasbourg après la disparition du "rayon vert" de la cathédrale

L'information était passée inaperçue, mais figure sur le site internet de la cathédrale à la rubrique "Le saviez-vous ?", au paragraphe consacré au rayon vert : "Avertissement : ce qui suit, a pris fin le mercredi 16 mars 2022. Le +verre brut+, laissant entrevoir jusqu'à cette date un +rayon de couleur verte+, a définitivement été obstrué".Sollicitée par l'AFP, la Direction régionale des affaires culturelles (Drac) du Grand Est, qui doit diffuser dans l'après-midi un communiqué de presse à ce sujet, a indiqué que le verre en question avait effectivement été remplacé lors d'une "restauration", confirmant une information du quotidien régional Les Dernières nouvelles d'Alsace (DNA).Ce "rayon vert", qui attirait des centaines de touristes et de curieux, apparaissait lors des équinoxes de printemps (le 20 ou 21 Mars à 11H38) et d'automne (le 22 ou 23 Septembre à 12H24) et "illuminait le Christ crucifié de la chaire" de la cathédrale, rappelle le site de l'édifice religieux.Le vitrail en question y avait été installé en 1876. Le soleil y traversait le pied gauche de Juda, ancêtre du Christ et fils de Jacob, pour produire le fameux rayon.Mais "la projection du soleil en un rayon de couleur verte était apparue très vraisemblablement à la suite d'une restauration datant de 1972 au cours de laquelle le pied de Juda aurait été remplacé par un verre brut et, de ce fait, très transparent", explique encore le site internet.C'est en effet cette année-là que le phénomène a été découvert par Maurice Rosart, un ingénieur-géomètre.Ce dernier a aussitôt crié au "scandale" lorsqu'il a appris que le rayon n'était pas au rendez-vous ce week-end : il "a été purement et simplement supprimé", s'est-il offusqué dans un courriel transmis à l'AFP."Cet acte est un mauvais coup porté aux Strasbourgeois, à la Culture, à la Laïcité, aux Lumières", a-t-il encore déploré, rappelant qu'un cache avait déjà été brièvement apposé au printemps 1990 sur le vitrail, empêchant le rayon de se former.Ce phénomène a longtemps alimenté les polémiques, entre partisans d'explications ésotériques et autorités ecclésiastiques qui n'ont longtemps vu derrière lui qu'un simple "hasard".
Il y a 3 ans et 62 jours

Configurateur de FDES pour les isolants URSA

URSA lance son configurateur de FDES : BANKIZ. Cette nouvelle plateforme en ligne, disponible sur www.bankiz-fdes.fr, permet d’établir en quelques clics le profil environnemental, personnalisé et adapté, de chacun des produits de l’indusriel. En matière d’isolation, les FDES, disponibles sur la base INIES, sont établies à partir de données collectives ou liées à un produit en particulier. Elles n’apportent donc pas toujours les réponses attendues par le maître d’œuvre, dans le cadre de sa problématique spécifique. Ce nouvel outil permet d’associer la disponibilité des données environnementales des gammes d’isolants de la marque et l’adaptabilité de ces dernières à chaque projet. La plateforme web en accès libre, -permet de calculer et délivrer les profils environnementaux personnalisés des produits isolants en laine de verre ou polystyrène extrudé de toutes les gammes URSA, en 3 étapes : sélection du type de bâtiment et d’ouvrage à isoler, choix des paramètres pour trouver le meilleur produit répondant à sa demande en termes de résistance thermique, épaisseur, conductivité thermique, nature de l’isolant… Et, calcul du profil environnemental. Une fois ce calcul effectué, BANKIZ fournit le profil environnemental du ou des produit(s) utilisé(s), et la FDES et son attestation de vérification. Les profils environnementaux ainsi établis peuvent être directement exportés dans les logiciels ACV via la plateforme EDEC.   Cet article Configurateur de FDES pour les isolants URSA est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 62 jours

Configurateur de FDES pour les isolants

URSA lance son configurateur de FDES : BANKIZ. Cette nouvelle plateforme en ligne, disponible sur www.bankiz-fdes.fr, permet d’établir en quelques clics le profil environnemental, personnalisé et adapté, de chacun des produits de l’indusriel. En matière d’isolation, les FDES, disponibles sur la base INIES, sont établies à partir de données collectives ou liées à un produit en particulier. Elles n’apportent donc pas toujours les réponses attendues par le maître d’œuvre, dans le cadre de sa problématique spécifique. Ce nouvel outil permet d’associer la disponibilité des données environnementales des gammes d’isolants de la marque et l’adaptabilité de ces dernières à chaque projet. La plateforme web en accès libre, -permet de calculer et délivrer les profils environnementaux personnalisés des produits isolants en laine de verre ou polystyrène extrudé de toutes les gammes URSA, en 3 étapes : sélection du type de bâtiment et d’ouvrage à isoler, choix des paramètres pour trouver le meilleur produit répondant à sa demande en termes de résistance thermique, épaisseur, conductivité thermique, nature de l’isolant… Et, calcul du profil environnemental. Une fois ce calcul effectué, BANKIZ fournit le profil environnemental du ou des produit(s) utilisé(s), et la FDES et son attestation de vérification. Les profils environnementaux ainsi établis peuvent être directement exportés dans les logiciels ACV via la plateforme EDEC.  
Il y a 3 ans et 66 jours

CLIMAVER®, le premier conduit aéraulique pré-isolé rigide sous Avis Technique de la marque ISOVER

Alternative aux gaines métalliques, CLIMAVER®  est un panneau de laine de verre rigide, façonnable en conduits et en raccords de ventilation et réalisable directement sur site. Sa conception technique étanche permet de transporter l’air chaud, tempéré ou froid dans les bâtiments et assure également le double rôle d’isolant thermique et acoustique. CLIMAVER® est adapté au marché […]
Il y a 3 ans et 67 jours

Journée Mondiale du Recyclage : Isover Recycling, la première filière au monde de recyclage des déchets de laine de verre

Le secteur du bâtiment génère 46 millions de tonnes de déchets par an en France, soit plus que les ménages (environ 30 millions de tonnes) et cinq fois moins que les travaux publics (220 millions de tonnes). Les déchets du bâtiment proviennent pour plus de 90 % des travaux de déconstruction et de réhabilitation et pour le reste de la construction neuve (7 %).D’autre part, le contexte du recyclage va aussi fortement évoluer dès le 1er janvier 2023 avec l’entrée en vigueur de la Responsabilité Élargie du Producteur (REP). ISOVER Recycling répond parfaitement à ces exigences à venir en assurant la reprise des laines de verre usagées issue du BTP.Pour ISOVER, “déchets” rime avec “ressources”En 2018, ISOVER a lancé son service de collecte et de recyclage, ISOVER Recycling dont l’objectif est d’éviter les enfouissements de laine de verre et favoriser leur recyclage. ISOVER Recycling est la première filière au monde de recyclage des déchets de laine de verre. Cette démarche d’éco-conception est l’un des piliers de la politique engagée par la marque afin de réduire les déchets et de préserver les ressources naturelles.Développé avec des partenariats entre la marque et différents professionnels du secteur du recyclage (collecteurs, syndicats) et des entreprises de curage, ISOVER Recycling s’adresse autant aux marchés diffus qu’aux grands chantiers de rénovation.La démarche répond par anticipation aux enjeux de collecte des déchets de la laine de verre qui représentera :plus de 150.000 tonnes par an à l’horizon 2030. Un gisement qui pourrait encore augmenter avec le plan de rénovation énergétique des bâtiments.Aujourd’hui, ce gisement s’élève à environ 100.000 tonnes.ISOVER s’engage pour l’économie circulairePrévention, tri sur chantier, recyclage, réutilisation, réemploi sont autant de leviers qui contribuent à la mise en place d’une économie circulaire pour une utilisation plus efficace des ressources.En plus d’ISOVER Recycling, ISOVER travaille à une nouvelle technologie de recyclage de la laine de verre au sein de son usine de Chemillé (49). Subventionné par la Commission Européenne et le programme Life, ce projet, nommé I-LOOP, a pour objectif de parvenir à une diminution significative des déchets de construction et de démolition mis en décharge d’ici fin 2023.Les ambitions d’ISOVER avec le projet I-LOOP sont de démontrer et de valider la faisabilité technique du recyclage de grandes quantités de déchets de laine de verre pour la fabrication du calcin, ainsi que la viabilité d’un modèle d’économie circulaire impliquant diverses parties prenantes tout au long de la chaîne de valeur de la déconstruction.
Il y a 3 ans et 68 jours

Une enveloppe métallique de 3.000 mètres carrés pour la nouvelle station de métro à Rennes

Une fabrication sur mesure en maille métallique spiralée de Codina Architectural, en collaboration avec Maille Metal Design.La station Cesson-Via Silva de la ligne B du métro de Rennes (France) est la première station de la future éco-cité ViaSilva, actuellement en cours d'aménagement. Située sur une place urbaine, elle est surélevée de 9 mètres par le viaduc sur lequel passent les voies ferrées et sert également de point de vue.La station de forme ovoïde a été habillée de mailles métalliques en aluminium anodisé de couleur naturelle. Les rubans métalliques viennent s'enrouler autour du viaduc sans toucher l'infrastructure. Cette configuration a été rendue possible grâce à un système de poutres faisant office de support, et qui libère également l'espace intérieur de la gare destiné aux quais, guichets et espaces de circulation. Des panneaux en bois de chêne ont été installés à l'intérieur pour contrebalancer l'acier inoxydable et le verre. Ils apportent de la chaleur à l'intérieur tout en agissant comme des isolants acoustiques.Pour permettre la réalisation de cette peau métallique désirée par Anthracite Architecture, Ludovic Alexandre et Antoine Massinon Architectes; et selon les plans architecturaux précis, l’entreprise Codina Architectural a collaboré avec Maille Metal Design afin de concevoir une enveloppe sur mesure en combinant plusieurs densités de mailles métalliques spiralées. L'idée était de réaliser un design spécifique en jouant sur l'épaisseur de la maille, les transparences, afin que chaque panneau puisse ensuite être fixé à la structure à l'aide du système de fixation TF-60, également conçu par Codina Architectural. Le résultat est une façade et un toit d'une surface totale de 2 758 m2 de rubans de mailles métalliques spiralées proposant une sensation de légèreté et un design unique et harmonieux.Fiche techniqueChantier : station de métro Cesson-Via Silva (ligne B Rennes).Localisation : Rennes (France).Promoteur : SEMTCAR.Architectes : Anthracite, Ludovic Alexandre et Antoine Massinon Architectes.Maille métallique : Codina Architectural.Modèle de maille métallique : sur mesure.Technique de fixation : TF-60.Surface de maille métallique : 2 758 m2Mise en oeuvre : Design Pose Concept, Grégory Barra.Distributeur France : Maille Metal Design.Photographie : Boreal Production. 2021
Il y a 3 ans et 68 jours

Ursa rejoint l’actionnariat de Valobat

Ursa intègre l’actionnariat de l’éco-organisme Valobat. [©Ursa] Le spécialiste dans la production de laine minérale de verre et de polystyrène extrudé, Ursa intègre l’actionnariat de Valobat. Après un premier positionnement au sein de l’éco-organisme en tant que pré-adhérent, l’industriel confirme son engagement. Ainsi, il s’inscrit dans la démarche collective de la Rep des produits et des matériaux de construction pour le bâtiment. Et permet à Valobat de renforcer son expertise en matière d’économie circulaire, de recyclage et de RSE. Les ambitions communes de l’Ursa et de Valobat « Par cette prise de participation, nous souhaitons accélérer ses actions liées à l’économie circulaire, et plus particulièrement, se positionner en acteur d’un éco-système vertueux », déclare Shadé Olajide, chef de projet économie circulaire d’Ursa. Lire aussi : Herige entre au capital de Valobat Et Jean-Pierre Laherre, Dg d’Ursa France, de conclure « Nous sommes engagés dans une démarche de transformation de nos modèles, dans le cadre de nos ambitions RSE. Aussi, être au cœur des décisions stratégiques de Valobat, qui rassemble de grands acteurs industriels et distributeurs du bâtiment, constitue une opportunité majeure. Plus largement, cela va nous permettre de contribuer à la transition écologique de la filière. »
Il y a 3 ans et 69 jours

Découvrez l'impression 3D, aussi appelée fabrication additive, avec 3DEXPERIENCE Make et Any-Shape

L'impression 3D, c'est quoi ? L’impression 3D est une méthode de fabrication qui consiste à déposer des couches de matériau les unes sur les autres. Lorsqu’elle est utilisée à l’échelle industrielle, l’impression 3D est appelée fabrication additive (FA), par opposition aux procédés de fabrication soustractive traditionnels comme le fraisage CNC. Cette technologie, inventée au début des années 1980, existe depuis environ quatre décennies. Alors que l’impression 3D apparaissait, au départ, comme une méthode de fabrication lente et coûteuse, elle est aujourd’hui plus rapide et abordable que jamais. Impression 3D : comment ça marche ? Un modèle 3D est d’abord découpé en centaines, voire milliers de fines couches horizontales par un logiciel dédié (« slicer »), pour ensuite être exporté en format G-code. Ce format d’impression 3D est un langage permettant à l’imprimante 3D de savoir où et quand déposer du matériau. Chaque couche correspond à la forme 2D exacte de l’objet à ses différents niveaux de hauteur. Par exemple, en imprimant une pyramide en 3D, la première couche (à la base de la pyramide) serait un carré plat, et la dernière (à la pointe de la pyramide) serait simplement un point. Les couches sont imprimées en 3D l’une sur et après l’autre jusqu’à ce que l’objet soit terminé. Les principales technologies d’impression 3D Il existe plusieurs moyens d’imprimer des objets en 3D. Les principaux procédés ou technologies d’impression 3D disponibles aujourd’hui sont les suivants :FFF (fabrication par dépôt de fil fondu) or FDM (« fused deposition modeling »), avec des bobines de filament plastique comme consommables SLA (stéréolithographie), où un laser ou projecteur de lumière photopolymérise (solidifie) de la résineFusion ou frittage de poudre (PBF, SLS, SMS…), des méthodes où des particules de matériau plastique ou métal sont fusionnées grâce à de puissants lasers Jet de matière (« material jetting » ou « binder jetting »), lorsque de microscopiques gouttes de matériau ou d’agent liant sont déposées sur un lit de poudre Ces technologies d’impression 3D possèdent chacune leurs forces et limites, et sont adaptées à différents types d’industries et de cas d’utilisation. Pourquoi opter pour l’impression 3D ? L’impression 3D offre de nombreux avantages. Sa principale valeur ajoutée réside dans sa capacité à imprimer des géométries très complexes qui resteraient impossibles à réaliser avec des méthodes de fabrication traditionnelles comme le moulage par injection. Autre facette importante de la fabrication additive : la rapidité. Malgré le fait que l’impression 3D d’un objet puisse prendre plusieurs heures, voire jours, le processus de fabrication de prototypes par la voie de méthodes classiques demeure bien plus long. Le prototypage rapide reste, en effet, l’une des utilisations professionnelles de l’impression 3D les plus répandues. Les prototypes peuvent être produits dans des délais très courts, avec l’avantage de pouvoir rapidement améliorer les modèles et d’imprimer chaque version. Cette technologie offre également de nombreuses possibilités au niveau des matériaux employés. Quels matériaux peut-on utiliser en impression 3D ? Il est possible d’imprimer en 3D avec presque n’importe quel matériau. Les matériaux d’impression 3D les plus courants sont à base de plastique, allant du PLA standard aux polymères haute performance tels que le PEEK ou le PEI, et bien d’autres encore. Il est même possible de renforcer les thermoplastiques avec de la fibre de carbone ou de la fibre de verre. Certaines niches voient également le jour depuis quelques années. Les scientifiques et chercheurs explorent la bio-impression 3D, les restaurateurs se lancent dans l’impression 3D alimentaire.
Il y a 3 ans et 69 jours

Isolation FOAMGLAS Enrobé – Des toitures accessibles solides et étanches

La forte résistance à la compression sans tassement du FOAMGLAS® offre une réponse innovante pour les toitures accessibles aux Piétons, et pour les parkings Véhicules Légers et Véhicules Lourds. Un nouveau cahier des charges visé par SOCOTEC vient valoriser cette solution (décembre 2021). Le parking de l’Institut Gustave Roussy de Villejuif (94) est actuellement en rénovation, et la solution FOAMGLAS® Enrobé a été sélectionnée par la maîtrise d’œuvre, le bureau d’études techniques E-LEVEN. Deux couches d’enrobé, de 5 cm chacune, forment la couche de roulement et la protection du complexe isolant (FOAMGLAS® READY F) + étanchéité (Derbicoat Uni et Derbigum GC4). Les valeurs des résistances à la compression des isolants sont validées en sortie d’usine, et il n’est pas encore demandé aux fabricants de s’engager sur 10 ans in situ sur une valeur minimale pour ces caractéristiques physiques. L’un des secrets du verre cellulaire FOAMGLAS® Pour ce type de toiture, la force de l’isolation en verre cellulaire FOAMGLAS®, constituée de bulles étanches et rigides, 100 % en verre, sans résine ni liant, provient de sa résistance à la compression : elle est élevée et surtout, elle ne diminue pas dans le temps, comme le démontrent des analyses faites sur des réalisations datant de plus de 40 ans. Le FOAMGLAS® F, utilisé pour le parking de l’Institut Gustave Roussy, est doté d’une résistance à la compression de 1 600 kPa (160 T/m2). En utilisant cette propriété physique du verre cellulaire, Pittsburgh Corning France a développé un système « iso-étanche » pour toiture accessible protégé directement et seulement par de l’enrobé. Il économise la dalle traditionnelle en béton de protection au-dessus de l’étanchéité pour les parking VL et PL. Il diminue les épaisseurs des complexes destinés aux toitures accessibles aux Piétons. Il se distingue aussi par une rapidité de mise en œuvre très appréciée, la toiture devenant exploitable dès le lendemain du coulage des enrobés. C’est cette rapidité de mise en œuvre, en plus de la sécurité qu’elle apporte face aux risques de tassement et aux risques d’infiltration d’eau (toiture compacte FOAMGLAS®) qui a été décisive dans le choix de cette solution pour le parking de l’Institut Gustave Roussy.
Il y a 3 ans et 70 jours

Moreau Kusunoki livre le "Pavillon" de Sciences Po Paris

EN IMAGES. Une émergence de verre au milieu d'un ensemble patrimonial fondé par les religieux et utilisé par l'armée : c'est le projet dessiné par Moreau Kusunoki pour Sciences Po.
Il y a 3 ans et 74 jours

Extension bois sur terrain enclavé

Une extension en bois de 50m2 magnifie cette maison rochelaise des années 1950. L'acier, le verre et le bois définissent le projet architectural. L'autre prouesse technique réside dans sa construction : le nouveau bâtiment s'est glissé sur un terrain de ville très enclavé... Visite.
Il y a 3 ans et 74 jours

Modénatures de façade sur mesure, sur ITE, pour une reconstruction à l'identique

La grande maison du 5 rue de l'Abbé Lemire, à Strasbourg, a connu une période tourmentée et a bien failli disparaître. Construite à la fin du XIX siècle, elle fut autrefois une école puis accueillit jusqu'en juin 2008 un service municipal d'accueil pour la petite enfance. Elle reste ensuite inoccupée quelques années avant qu'un nouveau projet voie le jour en 2013. Il s'agit d'intégrer ce bâtiment au centre d'hébergement et de réinsertion sociale de l'association Home Protestant, nouvellement construit juste à côté. L'opération est menée par le bailleur social Domial avec l'agence S&AA Patrick Schweitzer & Associés Architectes qui obtient un permis de construire pour réaménager la bâtisse en quatre logements et une micro-crèche.Démolir et reconstruireMais au moment de démarrer les travaux, le bâtiment s'avère infesté par la mérule. Ce champignon a dévoré une grande partie du bois de la structure et la démolition s'impose. La mairie exige que la maison soit reconstruite avec un rendu esthétique identique. L'agence S&AA obtient en 2016 un nouveau permis de construire pour un bâtiment neuf qui respecte cette exigence, à l'exception de quelques nouvelles fenêtres créées en pignons et l'ajout d'un volume à l'arrière pour abriter l'escalier. Le projet reproduit notamment l'ornementation de la façade sur rue. Les chaînages d'angles, les encadrements de fenêtres et les décors des allèges du premier étage sont reproduits fidèlement et la niche de la façade avant est toujours là, même si elle a perdu sa profondeur. Isolation par l'extérieur, enduit taloché et étiquette B à la clé Le bâtiment est construit en béton et enveloppé d'un système d'isolation thermique par l'extérieur (ITE) afin de répondre aux attentes de la réglementation RT 2012. Il obtiendra une étiquette énergétique B (consommation de 51 à 90 kWh d'énergie primaire par m2 et par an).Les travaux de façade sont confiés à la société Les Peintures Réunies qui travaille régulièrement avec les produits Sto. L'entreprise propose le système d'ITE StoTherm Vario 1 avec un enduit de finition organique Stolit K 1.5. Les panneaux de polystyrène expansé de 20 cm d'épaisseur sont collés sur le support en béton puis revêtus d'un sous-enduit mince StoLevell Uni armé d'un treillis en fibre de verre. La finition est assurée par l'application de l'enduit organique à base de résine acrylique Stolit K, d'aspect taloché. Sa teinte blanc cassé est la même que celle du bâtiment d'origine. L'architecte Patrick Schweitzer est satisfait : « Puisque l'exigence était de reconstruire le bâtiment à l'identique, nous devions choisir un enduit de finition lisse qui ressemble à l'enduit à la chaux de l'ancien bâtiment démoli. Le Stolit K1.5 remplit parfaitement cette mission ».Des modénatures fidèlement reproduitesLes modénatures de la façade ont été étudiées en amont du projet. Le service prescription de Sto prend très tôt contact avec le maître d'œuvre puis l'entreprise pour proposer de réaliser l'ensemble des éléments décoratifs avec les produits StoDeco. Fabriqués sur mesure dans un matériau minéral imputrescible et ininflammable à base de perlite expansée, le Vérolith, ces profils présentent une meilleure tenue dans le temps que les éléments en polystyrène revêtu de résine. Avec l'aide d'un géomètre, l'entreprise a au préalable réalisé des relevés et des moulages des décors d'origine. Puis, Sto l'accompagne dans le chiffrage de ces travaux peu courants. Après vérification des cotes sur le bâtiment construit, les modénatures sont fabriquées sur mesure et un technicien d'application assiste l'entreprise au démarrage de leur mise en œuvre. « Le chantier s'est ainsi très bien passé, souligne Patrick Schweitzer. Aucune reprise n'a été nécessaire ». Pour sa part, Barbara Boch, chargée d'opérations à la Direction de la Maîtrise d'Ouvrage de Domial, attendait une solution qui dure dans le temps : « Nous avons fait confiance à l'entreprise pour le choix des encadrements de fenêtres et des modénatures rapportées sur les façades. Il nous semble que les éléments StoDeco répondent à notre exigence de durabilité ».Profils collésLes profils sont collés sur la façade à l'aide du mortier-colle StoDeco Coll à base de liant hydraulique amélioré de résines synthétiques présenté sous forme de poudre à diluer.Ces éléments décoratifs ne restent pas à l'état brut. Ils sont recouverts de deux couches d'Irtop S V Mat, un revêtement souple d'imperméabilité. « Sa teinte a été choisie un peu plus soutenue que celle de l'enduit de façade afin de mieux souligner les motifs décoratifs », précise l'architecte.En juillet 2020, Domial a remis les clés du bâtiment terminé à l'association Home Protestant qui y accueille désormais des femmes isolées en grandes difficultés.Fiche technique Type de bâtiment : immeuble neuf à vocation mixte logements et crèche Localisation : 5 rue de l'Abbé Lemire, 67200 Strasbourg Surface de façade traitée : 300 m2 Maître d'ouvrage : Domial Maître d'œuvre : S&AA Patrick Schweitzer & Associés Architectes Entreprise applicatrice : Les Peintures Réunies Date de livraison : juillet 2020 Solutions utilisées : Système d'ITE StoTherm Vario 1 finition Stolit K1.5, modénatures et encadrements de fenêtres StoDeco
Il y a 3 ans et 74 jours

Le “4/5/10”, la solution d'Isover pour répondre aux exigences de la RE 2020

La solution ISOVERUn renforcement de l’isolation de l’enveloppe des bâtiments de 20 %, sans aucune perte de surface habitable grâce à l’association de la triple résistance thermique “4/5/10”.Cette préconisation donne la priorité à la sobriété énergétique des nouvelles constructions, tout en garantissant le confort des habitants été comme hiver !Une réponse aux exigences en matière de performances énergétiquesL’association de la triple résistance thermique “4/5/10” de l’isolation aide à bâtir des logements à faible empreinte carbone, ainsi que des maisons passives qui dépensent très peu d’énergie.Une réponse aux exigences sur le cycle de vie du bâtiment depuis sa construction jusqu’à sa destructionProduit éco-conçu et recyclable à 100 % et à l’infini, la laine de verre ISOVER est fabriquée en France à partir de matières minérales entre 40 % et 80 % de verre recyclé (calcin). Chaque étape de son cycle de vie est optimisée pour avoir un impact le plus faible possible sur l’environnement. Sont pris en considération : la consommation d’énergie, les émissions de gaz à effet de serre, la consommation d’eau, la génération de déchets, l’intégration de laines de verre usagées dans le process de recyclage pour en refaire du calcin réinjecté ensuite dans le process de production. Les produits et systèmes ISOVER bénéficient de FDES, permettant un calcul aisé des impacts carbone via une ACV dynamique du bâtiment, nouveauté demandée dans le cadre de la RE 2020.Concernant l’isolation en fibre de bois, Isonat fabrique ses matériaux à partir du bois de résineux issus de la région forestière des plaines de la Loire, dans un rayon maximal de 60 km autour de son usine de Mably (42).Une réponse aux exigences en matière de confort thermique été comme hiver, sans perdre de surface habitableLa RE 2020 vise à améliorer le confort de vie des occupants. Le système “4/5/10” préconisé par ISOVER participe activement au renforcement de l’isolation thermique et phonique de l’enveloppe des bâtiments. Les panneaux en laine de verre de type GR 30 permettent, à performance thermique équivalente, de regagner de la surface habitable.Partenaire expert, ISOVER s’engage à accompagner les acteurs de la constructionISOVER, engagé dans la réduction de l'empreinte environnementale des bâtiments et l’habitat durable, accompagne les professionnels du bâtiment, maîtres d’ouvrage, constructeurs et bureaux d’études thermiques avec une offre évolutive et des formations adaptées. Son objectif : les aider à répondre aux exigences de réduction de l’impact environnemental de la construction, dont les conditions pour les bâtiments neufs seront progressivement renforcées tous les trois ans jusqu’en 2031.
Il y a 3 ans et 75 jours

Isover va investir 120 M€ dans ses capacités de production

Saint-Gobain a annoncé mercredi 9 mars son intention d’augmenter les capacités des lignes existantes de production d’Isover et de créer une nouvelle ligne. Le groupe espère apporter, à l’horizon 2025 plus de 70 000 tonnes additionnelles d’isolants en laine de verre (dont 11 000 tonnes dès 2023) sur le marché français qui permettront de rénover l’équivalent de 100 000 logements supplémentaires chaque année.
Il y a 3 ans et 77 jours

Introduction aux Tâches sur Fieldwire : webinaire le 8 mars 2022

Découvrez comment utiliser les tâches Fieldwire pour gérer vos projets de constructionLes développeurs partagerons les flux de travail de leurs top clients, qui optimisent l’utilisation des tâches sur leurs projets. seront ensuite abordées les fonctions de base de Fieldwire afin de permettre à vos équipes de prendre en main la fonctionnalité la plus puissante et de se lancer !Le 8 mars 2022 à 14h Animé par Hugo Locussol - inscrivez-vous en cliquant iciProchain webinaire : Fieldwire pour les entreprises générales7 avril 2022 - Animé par Hugo LocussolDécouvrez comment les entreprises générales utilisent Fieldwire pour gérer leurs projets dans un environnement de construction de plus en plus complexe. Vous verrez comment les professionnels peuvent exploiter Fieldwire afin de créer un processus standardisé pouvant être utilisé dans toute l’entreprise.
Il y a 3 ans et 81 jours

ITE et briquettes pour un bâtiment de béton des années 1950

Aubervilliers connaît un foisonnement de projets de réhabilitation d’entrepôts. Le bâtiment 211 des années 1950 fait partie d’une vaste opération impulsée par Icade Foncière Tertiaire, filiale de la Caisse des Dépôts. L’entreprise MB Peinture qui a remporté l’appel d’offres pour l’ITE a choisi la pose de plaquettes une à une sur site et le système StoTherm Brick. L’entrepreneur a convaincu le maître d’ouvrage et l’architecte en réalisant un témoin avec l’aide du service technique de Sto. Le choix s’est porté sur la plaquette vieillie Domus Colombe moulée à la main aux arêtes irrégulières de couleur blanc crème produite par Wienerberger. Une fois les façades débarrassées de leurs auvents et autres ajouts accumulés pendant des décennies, les travaux ont commencé par la mise en évidence de la structure de l’édifice. Des profilés en acier thermolaqué gris-noir (RAL 7021) simulant des poteaux métalliques rivetés et des cadres de la même teinte soulignant les menuiseries. L’habillage des rives de toit, a fait appel à une autre technique Sto : le système de bardage ventilé StoVentec R Enduit à base de panneaux de billes de verre expansé. Ces panneaux ont été fixés sur une ossature en chevrons de bois espacés de 40 cm, eux-mêmes solidarisés à la structure porteuse par des pattes métalliques. Les plaques ont été fixées verticalement en face avant et horizontalement en sous-face du débord de toiture, voire cintrées sous les parties arrondies. Elles ont reçu après leur pose un sous-enduit mince armé d’un treillis de fibre de verre. La finition a été assurée par un enduit à base de résine acrylique Stolit K1 teinté à l’aspect taloché mat. La teinte foncée de cet enduit (RAL 7021) bénéficie de la technologie X-black, développée par Sto, qui réfléchit le rayonnement infrarouge du soleil et permet de réduire le coefficient d’absorption solaire de l’enduit. Le dessus a été capoté par une couvertine en tôle métallique. Une fois le squelette en place, le revêtement de façade a pu être mis en oeuvre par une équipe de six compagnons. Les panneaux de laine de roche de 1 200 x 600 mm calés sur la façade en béton au moyen de plots de mortier StoLevell Uni à base de ciment. Le sous-enduit mince obtenu à partir de la même poudre StoLevell Uni mélangée à de l’eau, armé d’un treillis en fibre de verre, a été appliqué sur les panneaux en laine de roche avant d’assurer la fixation mécanique par chevilles sur le mur support en béton. Les plaquettes de terre cuite ont ensuite été collées sur l’enduit au moyen d’un mortier de collage spécifique pour les plaquettes S1. Des tasseaux de bois réalisés sur mesure pour l’entreprise ont permis d’assurer un joint uniforme de 10 mm entre les plaquettes. Le jointoiement a été réalisé avec le StoColl FM-K, une poudre à base de liant hydraulique et d’adjuvants spécifiques mélangée avec de l’eau. Surface de façade traitée : 1 200 m2 Maître d’ouvrage : Icade Maître d’œuvre : Studio IX Architecture Entreprise applicatrice : MB Peinture Cet article ITE et briquettes pour un bâtiment de béton des années 1950 est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 82 jours

Le Quadrilatère Beauvais : DENFC, opacité et acoustique

Pour l’anecdote, c’est d’ailleurs ce dernier qui édicte, au sein d’un service à la création artistique, une commission appelée, entre autres, à soutenir les artistes vivants. Projet ponctué pour l’exemple d’une commande du plafond de l’Opéra de Paris à Marc Chagall en 1962 et de lois permettant l’affiliation à la sécurité sociale des artistes du spectacle en 1967, puis des peintres, sculpteurs et graveurs… Ces innovations ont permis des avancées dans le monde des musées et autres architectures dédiées au patrimoine vivant. Données qui alimentent encore aujourd’hui de très beaux projets de réhabilitations.C’est dans ce contexte politique et sociétal que la réalisation d’une galerie nationale de la tapisserie est confiée en 1969 à l’architecte André Hermant, assisté de Jean-Pierre Jouve. La proximité directe de la cathédrale Saint-Pierre et du rempart antique oriente le projet vers une architecture horizontale très contemporaine. La galerie nationale de la tapisserie est inaugurée en 1976. Propriété de l’État, la Galerie est reprise par la Ville de Beauvais en 2013. C’est en 2016 qu’elle devient « Le Quadrilatère ». Aujourd’hui, le projet culturel et artistique s’articule autour d’une identité « Patrimoine et Création ».Le quadrilatère : comme un carré en toiture « LE QUADRILATERE, ce polygone à quatre côtés, fait écho aux premiers plans tracés par André Hermant. » Cf. culture.beauvais.fr Par une vision oblique, on se rapproche aussi des lanterneaux de désenfumage carrés qui couvrent la toiture actuelle. Quasi invisibles au public, ils sont néanmoins des témoins réglementaires et horizontaux en adéquation, dans les faits, avec l’architecture des lieux. Voici pour la parenthèse historique au sujet d’un site chargé de mémoire, qui ne pouvait qu’engendrer une petite synthèse dans un communiqué qui n’en est pas moins professionnel.Année 2020 : feedback de travauxEn 2020, des travaux sont réalisés. Il s’agit, entre autres, de rénover une partie de la toiture de ce bâtiment ayant aujourd’hui plus de 40 ans. Intervenir dans le cadre d’un musée impose certains critères comme :Un désenfumage réglementaire,Une performance acoustique,Une maîtrise de la lumière naturelle (afin de privilégier une lumière artificielle propre à l’éclairage des expositions).Lanterneaux avec remplissage Pearl Inside : l'efficience d'un choixVia le CCTP, le choix de la maîtrise d’œuvre se porte entre autres sur des lanterneaux permettant de concilier lumière artificielle et expositions. Ils sont donc prévus en version opaque. L’entreprise Ramery Enveloppe agence Oise, chargée du projet, rajoute néanmoins une option avec un Pearl Inside intégré dans un PCA de 20 mm. Cette technologie Bluetek de remplissage polycarbonate intégrant des microbilles de verre permet une performance acoustique intéressante de l’ordre Rw = 28 (0 ;-2) Db et valeur Lia = 65 dB (impact du bruit de la pluie – réduction de l’effet peau de tambour).Le choix se porte aussi sur des lanterneaux de la gamme Therm, soit avec amélioration thermique, d’une valeur Urc de 2 à 2,1 W/m².K.Dans leur ensemble, les 23 lanterneaux Bluetek qui couvrent actuellement la tranche 1 du Quadrilatère sont composés comme suit :Bluesteel Therm Pneu 100/100,Remplissage Pearl Inside 20 mm opaque,Version standard (sans spoilers),Ouverture-fermeture par thermo-déclencheur calibré à 93° C,Costière biaise isolée 25 mm compris tôle d’accroche colaminée PVC ht. 350 mm (intérieur laqué blanc pur RAL 9010),Grille 1200 joules fixe (laquée blanc pur RAL 9010). Costière et grille 1200 joules sont laquées blanc, et complétées aussi d’un équipement supplémentaire. Il s’agit d’un barreaudage disposé dans la trémie existante. Les travaux du groupe Ramery Enveloppe – Agence Oise Forte d’environ 40 personnes, l’agence Ramery, située à Beauvais, est une inconditionnelle des travaux dédiés au bâtiment sur le secteur. En effet, le groupe Ramery, créé en 1972, s’articule autour de cinq métiers : les travaux publics, le bâtiment, l’environnement, les énergies & second œuvre et l’immobilier. Le Groupe représente actuellement près de 3 000 collaborateurs. Trois mois de travaux ont été dédiés à la rénovation du Quadrilatère par les équipes du Groupe Ramery. La rénovation de la toiture a tenu en la dépose totale du complexe d’étanchéité, et la repose d’une membrane soudée hybride EVALON® 3T France. La mission s’est déroulée entre mai et août 2020, incluant la pose des lanterneaux de toiture. « Un beau chantier. Tout s’est bien passé, y compris avec la Ville de Beauvais et le Responsable Régional Bluetek, Franck Bourdon, avec qui nous travaillons régulièrement » confirme Guillaume Tournant, Conducteur de Travaux du Groupe Ramery Enveloppe – agence Oise.MOA : Ville de Beauvais / Le Quadrilatère / Amiens (FR-80) / Contacts : Nathalie Peltier – Directrice du Service Patrimoine Bâti, Lucy Hofbauer – Directrice Le Quadrilatère et Anthony Monnier – Pilote TravauxCouverture : Ramery Enveloppe agence Oise / Amiens (FR-80) / Contacts : Guillaume Tournant et Romain Corrège – Conducteurs de Travaux et Mickaël Suys – Technicien ÉtudesFournitures : Bluetek / Luynes (FR-37) / Contacts : Franck Bourdon - Responsable Commercial et Olivier Grongnet – Responsable Prescription
Il y a 3 ans et 83 jours

Interview Aurélie Bareille, responsable de la division Certification et Évaluation

Dans le cadre de la Journée Internationale des droits des femmes le 8 mars, nous mettons à l'honneur des collaboratrices du CSTB aux parcours et métiers diversifiés. Aurélie Bareille, responsable de la division Certification et Évaluation au sein de la Direction Enveloppe du Bâtiment, prend la parole. Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ? Je suis Aurélie Bareille. Avec mon diplôme d'ingénieur Matériaux en poche et l'expérience de mon stage de fin d'étude chez Saint-Gobain Glass, je suis arrivée en 2006 au CSTB en tant qu'ingénieure évaluation dans le domaine des façades. Je suis ensuite devenue Rapporteure de Groupe Spécialisé et responsable du pôle Façade. Depuis juillet 2021, je suis en charge de la division Certification et Évaluation au sein de la Direction Enveloppe du Bâtiment. Sur quels types d'essais/évaluations travaillez-vous dans le cadre de vos activités destinées à favoriser l'émergence d'innovations ? Au CSTB, j'ai toujours travaillé dans le domaine de l'évaluation et de la certification des produits et procédés. Au début dans le domaine de la façade légère en verre puis, de manière plus globale, pour l'ensemble des procédés qui constituent l'enveloppe du bâtiment. Notre mission est d'accompagner les différents acteurs de la construction et de favoriser la mise sur le marché de leurs produits et procédés innovants. En tant qu'ingénieure Évaluation et responsable de la division Certification et Évaluation de la direction Enveloppe du bâtiment au CSTB, comment percevez-vous l'égalité femmes/hommes et les actions mises en place pour l'améliorer en sein de l'entreprise ? Depuis mon arrivée au CSTB, je n'ai jamais ressenti de différence à mon égard sur le fait que je sois femme ingénieure. En 2006, j'étais pourtant la seule femme ingénieure au sein de l'équipe, à l'exception de la responsable de la division. Au CSTB, nous avons la chance de pouvoir mener en parallèle une vie professionnelle et une vie de famille. Être maman de jeunes enfants ne m'empêche pas de mener une carrière riche et épanouissante. Aujourd'hui, mon équipe est composée de 44 personnes, comprenant 25 femmes à des postes d'ingénieure, auditrice et assistante, ce qui démontre une réelle évolution depuis ces dernières années. Au CSTB, la part des femmes se renforce à tous les niveaux de l'organisation, et notamment dans l'encadrement. A vos yeux, en quoi est-ce une avancée majeure ? Le fait de ne plus cantonner les femmes à certains métiers, comme cela a été le cas pendant des décennies, est pour moi une avancée majeure. Cela démontre que le CSTB, organisme scientifique et technique, a pris conscience de cet enjeu. Certaines femmes au CSTB vont même suivre le 8 mars une formation de Negotraining visant à les former à la négociation salariale, dans le but de réduire l'écart salarial qui subsiste entre hommes et femmes. Grâce à la commission égalité professionnelle Hommes-Femmes, ces actions vont, je l'espère, continuer de se développer au CSTB. Le milieu du bâtiment et de la construction est souvent perçu comme étant majoritairement masculin. Quel est votre sentiment à ce sujet ? Au début de ma carrière, lors des différentes réunions de travail, de normalisation, ou autre, les femmes étaient souvent en minorité. J'étais souvent la seule ! Depuis quelques années, le changement est réel et la mixité bien présente. Il me semble essentiel que les femmes puissent accéder à tous les métiers, même dans le monde du bâtiment et de la construction, souvent encore trop masculin. Cette mixité est essentielle pour notre société. Quelle femme vous inspire le plus et pourquoi ? Pour moi, Marie Curie est une femme inspirante. Jeune, elle a fui son pays pour pouvoir suivre des études supérieures à la faculté des sciences de Paris. En tant que physicienne et chimiste, détentrice du prix Nobel, elle a fait prendre conscience à la société que les sciences n'étaient pas réservées exclusivement aux hommes. Un modèle pour nous toutes !
Il y a 3 ans et 87 jours

Électricité en 2050 : l'Ademe publie plusieurs scenarios, avec et sans nucléaire

Face au réchauffement climatique, l'électricité occupera une place croissante, pour décarboner les transports, le bâtiment etc : elle devrait passer de 27% de l'énergie finale consommée aujourd'hui, à 42-56% au milieu du siècle, estime l'établissement public dans ces travaux prospectifs "Transition(s) 2050".Pour alimenter le débat présidentiel et éclairer les choix énergétiques futurs, quatre scénarios de société visant la neutralité carbone ont été élaborés. Inspirés des modèles du Giec (les experts climat de l'ONU), ils vont du plus sobre (S1) au "business as usual" (S4, habitudes inchangées).Mais in fine, devant la nécessité de sortir des énergies fossiles, tous les quatre seront fondés, à plus de 70%, sur les énergies renouvelables, photovoltaïque et éolien terrestre d'abord.Le S1 prévoit une sortie du nucléaire, avec le seul maintien en 2050 du réacteur de Flamanville en cours de construction. Le S2, à forte gouvernance locale, économie du partage généralisée..., voit les ENR se développer et le parc nucléaire historique se réduire peu à peu.Le scénario central (S3) suggère, pour limiter la pression sur les sols et paysages, deux options en plus : six réacteurs nucléaires EPR2, ou de l'éolien en mer notamment flottant, technologie non encore mature. Selon l'Ademe, leurs bénéfices économiques et CO2 sont proches, et l'option avec nucléaire légèrement moins coûteuse.Enfin le S4 inclut du nucléaire et de l'éolien flottant.Selon l'Ademe, globalement, le coût complet de production électrique en EUR/MWh devrait rester "relativement proche" en 2050 du niveau de 2020. Il n'inclut cependant pas les investissements hors système électrique (par exemple les rénovations énergétiques, plus ou moins étendues selon les hypothèses). C'est dans le scénario S2 que le coût du courant est le plus faible en 2050 (-12% par rapport à 2020), car avec l'efficacité et la sobriété, la demande plus modérée permet de se reposer sur les technologies plus compétitives (photovoltaïque, éolien terrestre).Enfin l'Ademe s'est penchée sur les besoins en métaux et matériaux. Elle anticipe ainsi des "consommations négligeables pour le béton, l'acier et le verre", mais des besoins accrus pour l'aluminium et le cuivre des véhicules.
Il y a 3 ans et 88 jours

2022 : Année Internationale du verre, une double cérémonie d'ouverture à l'ONU à Genève et au Palais du Luxembourg à Paris

Les interventions de 30 experts ont permis de mettre en lumière les dernières réflexions sur la manière dont le verre peut contribuer au développement de sociétés plus justes et durables, ainsi que les dernières avancées scientifiques et techniques.En France, le 11 février 2022, la Fédération des Industries du Verre et la Fédération du Cristal et du Verre ont organisé la conférence d'ouverture « Le verre pour un quotidien durable », au Palais du Luxembourg sous le parrainage de Catherine Dumas, Sénatrice de Paris et Présidente du Groupe Métiers d'Art.En introduction, la présentation de l'atelier Barrois a permis de mettre en avant le potentiel créatif et d'innovation du verre.« Le verre pour un quotidien durable » Deux tables rondes ont été ensuite organisées. La première dédiée au changement climatique a mis en avant les engagements et les actions concrètes de l'industrie verrière avec le témoignage de trois entreprises. Cette table ronde a démontré que la décarbonation est la priorité dans l'agenda de l'industrie verrière.La seconde a été consacrée à la diversité des usages du verre au travers de plusieurs témoignages d'utilisateurs (design, architecture, univers du luxe). Elle a ainsi présenté le formidable potentiel du verre dans le domaine de la création de formes et de produits, dans celui de l'habitat durable avec l'accès à la lumière renforcé et des performances thermiques améliorées. Et enfin dans le domaine du luxe, l'accent a été mis sur la contribution du verre aux succès des grandes marques françaises au niveau mondial. Pour Jacques Bordat, président de la Fédération des Industries du Verre : « le verre, omniprésent dans notre vie au quotidien, s'inscrit parfaitement dans une logique d'un monde durable. La transition de l'industrie verrière vers un monde décarboné est en marche. » Pour Jérôme de Lavergnolle, président de la Fédération du Cristal et du Verre : « la fierté de toute une profession de participer à cette formidable aventure grâce un matériau durable aux multiples usages et à la mise en œuvre de savoir-faire d'exception ». De très nombreux événements seront organisés tout au long de l'année 2022 afin de mieux faire connaître le verre, mettre en avant l'excellence et la diversité de ses métiers et savoir-faire et informer les jeunes générations des perspectives que l'industrie du verre peut leur offrir.Le site anneduverre2022 montrera les actions menées par la communauté verrière sur l'ensemble du territoire notamment à travers les routes du verre, initiative visant à faire connaître les sites verriers en France au plus grand nombre.
Il y a 3 ans et 88 jours

Kinemagic Access : la solution de remplacement de baignoire par une douche sécurisée en une journée

Avec Kinemagic Access, Kinedo innove pour tous et toujours plus de sécurité et de confort, fidèle à son engagement d’acteur de la silver éco. Cette nouvelle solution est en effet commercialisée à un prix résolument attractif (à partir de 2.990 euros TTC hors pose) et se double d’une mise en œuvre simplissime et rapide, sans gros travaux, ni poussière. Kinemagic Access : l’espace douche ajustable au budget maîtrisé et à la sécurité sans compromis À installer en niche ou en angle, Kinemagic Access reprend les fondamentaux qui ont fait le succès des références Kinemagic. Cet ensemble complet posable partout en seulement une journée est ainsi composé d’une paroi en verre de 6 mm traité anticalcaire, d’un receveur à revêtement antidérapant (livré avec kits de pieds et plinthes de finition), de panneaux de fond (en aluminium composite blanc) ainsi que de la robinetterie idoine (en versions mécanique ou thermostatique).Mais Kinemagic Access va plus loin et peut, à l’envi, se compléter d’options complémentaires comme des panneaux de fonds hauts, un siège rabattable avec assise large et ouverture amortie, une barre de maintien supplémentaire…Cet espace douche ouvert avec volet pivotant ou avec porte coulissante, décline deux propositions de verre. L’une est en transparent et la seconde comporte une bande centrale dépolie.Notons que le volet pivotant (avec ouverture intérieure/extérieure à 90°) et ou la porte coulissante (jusqu’à 77 cm de largeur de passage) assurent dans les deux cas un passage facile pour un confort d’utilisation optimal.Confort accru encore avec le receveur sélectionné par Kinedo de seulement 4 cm de haut qui assure un accès sans seuil, donc sans effort et en toute sécurité puisqu’il revendique également l’appartenance à la plus haute classification de résistance à la glissance (PN 24). Dans la même logique, mentionnons que Kinedo a doté Kinemagic Access d’une barre de maintien ergonomique, synonyme d’un accès à la douche facile et sûr.Et Kinedo n’en a pas omis l’aspect pratique puisque Kinemagic Access est équipé d’un boîtier robinetterie avec porte-flacons intégré. Pour une utilisation pérenne et un confort optimal dans le temps, précisons que Kinemagic Access bénéficie aussi d’un équipement douchette à main ultra-plate avec flexible anti-torsion.Pour parfaire l’équipement de Kinemagic Access, Kinedo lui adjoint une bonde horizontale extra-plate pivotant à 360° à haut débit (25 l./min) ainsi qu’une grille d’évacuation en inox brossé.Avec 6 largeurs au choix (65/70/75/80/85/90 cm recoupable jusqu’à 5 cm) et pas moins de 9 longueurs (100/110/120/130/140/150/160/170/180 cm recoupable jusqu’à 10 cm) Kinemagic Access prendra aisément place pour répondre à chaque contrainte, chaque situation et chaque envie, d’autant qu’il sera possible de lui adjoindre le kit d’adaptation pour transformer Kinemagic Access en version haute (les panneaux de fonds muraux couvriront alors jusqu’à 190 cm de haut).Kinemagic Access, nombre d’avantages aussi côté installateurs Pour les professionnels, Kinemagic Access constitue de parfaites réponses afin de transformer, en une journée seulement, un espace bain en un espace douche confortable et sûr.Avec Kinemagic Access, les professionnels s’assurent en effet d’une grande compétitivité sur chantier puisque la mise en œuvre est conçue pour ne pas générer de gros travaux qu’il s’agisse du sol, des murs ou encore de la plomberie.Réponse ultra-compétitive au raccordement direct par flexibles d’alimentation sur les canalisations existantes, Kinemagic Access leur garantit aussi moins de risques avec les panneaux de fonds qui assurent une étanchéité parfaite et couvrent les zones sans carrelage.Dans la même logique de compétitivité, soulignons que la plinthe découpable et la zone technique périphérique, judicieusement positionnée, permettent de palier toute contrainte (tuyaux évacuation et d’alimentation). De même, la pose encastrée avec receveur aux pieds réglables (hauteur de 15 cm) évite aussi tout recours à un ragréage. Kinemagic Access une campagne nationale et une offre de parrainage Afin d’accompagner ce lancement commercial, Kinedo a déployé, depuis fin 2021, une campagne de publicité TV nationale avec 6 spots inédits diffusés sur France TV ainsi que des achats d’espaces sur la presse print (Télé 7 jours, TV Magazine, TV Grandes Chaînes, Télé Loisirs, Notre Temps, Challenges, Historia). Notons enfin que Kinedo va aussi déployer une offre de parrainage avec la remise de chèques allant jusqu’à 150 euros pour le parrain et 50 euros pour le filleul.