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Il y a 3 ans et 198 jours

Rénovation énergétique, la part des équipements techniques

Dans un projet de rénovation énergétique, avoir une approche globale, en commençant par une enveloppe étanche et isolée, puis la ventilation et enfin les équipements. Actuellement avec la disparition progressive du fuel, beaucoup investissent dans les équipements à bois (bûches et granulés) et pompes à chaleur… Artibat 2021 / Intervenants : Guillaume Jambut, Manager des Ventes – Daikin / Ange-Marie Desbois, Chef de projet bâtiment durable – ALEC du Pays de Rennes Interrogés par Stéphane Miget Voir les vidéos d’Artibat 2021
Il y a 3 ans et 198 jours

Rénovation énergétique, la part des équipements techniques

Dans un projet de rénovation énergétique, avoir une approche globale, en commençant par une enveloppe étanche et isolée, puis la ventilation et enfin les équipements. Actuellement avec la disparition progressive…Cet article Rénovation énergétique, la part des équipements techniques est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 198 jours

Val-de-Marne : 26 M€ consacrés aux travaux des écoles

Dans le département du Val-de-Marne, les chantiers de rénovation et d’extension des écoles s’échelonneront jusqu’en 2023, voire plus.
Il y a 3 ans et 198 jours

Saint-Malo : le chantier du pont de la Madeleine se poursuit

Le projet de rénovation du pont de la Madeleine est en avance sur le calendrier initial.
Il y a 3 ans et 198 jours

Juan-les-Pins : la réhabilitation de l’ancien hôtel Le Provençal se poursuit

À Juan-les-Pins, les travaux de rénovation de l’ancien hôtel Le Provençal peuvent se poursuivre. La nouvelle résidence haut de gamme sera livrée en 2024.
Il y a 3 ans et 198 jours

Docaposte accompagne l'Anah dans le déploiement de MaPrimeRénov'

En janvier 2020, l’Anah a mis en place MaPrimeRénov’, dispositif qui propose aux propriétaires occupants les plus modestes des aides pour réaliser des travaux de rénovation énergétique de leur logement. Depuis le 1er janvier 2021, cette aide est proposée à tous les propriétaires occupants, les propriétaires bailleurs ainsi que les syndics de copropriétés. Cet élargissement du nombre de bénéficiaires, à l'appui du plan de relance du gouvernement, a entraîné une forte montée en charge du nombre de dossiers à instruire.Ainsi, depuis sa mise en œuvre en 2020, l’Anah a reçu plus de de 700 000 dossiers de demande d'aide MaPrimeRénov'. Actuellement plus de 2 000 dossiers sont déposés quotidiennement. Malgré les conditions difficiles liées à la crise sanitaire et à ses impacts, l’Anah et Docaposte ont su s'adapter pour répondre à cette demande.Dans ce cadre, et après le gain de l’appel d’offres public, Docaposte gère à la fois l’instruction des dossiers d’aide « MaPrimeRénov’ », et la gestion du centre d’appels et l’assistance aux usagers (téléphone, emails et formulaires web). Les volets instruction et assistance sont opérés au travers de la plateforme multicanal qui dispose des briques technologiques nécessaires à une gestion dématérialisée des dossiers. Le volume de dossiers à traiter mobilise quotidiennement plusieurs centaines de collaborateurs basés en régions sur le territoire français. Docaposte s’est démarquée par son expertise pour traiter l’intégralité des services attendus par l’Anah, en réunissant des savoir-faire sur l’instruction des dossiers de demandes d’aide et d’assistance personnalisée auprès des citoyens pour la constitution de leurs dossiers. Ses compétences pour gérer la montée en charge du dispositif ont également été déterminantes dans le choix de l’Anah.Docaposte démontre ainsi sa capacité à accompagner les organismes publics dans leur transformation et la numérisation de leurs services aux citoyens en proposant, dans des délais contraints, une plateforme nationale multicanale de la relation entre un opérateur public et ses usagers.« Docaposte est un partenaire national engagé depuis le début de MaPrimeRénov' au plus près des équipes de l’Anah. Docaposte nous a apporté dans ce projet son expertise de la relation à l'usager pour mettre en œuvre cette politique publique d’envergure au service de tous les Français et de la rénovation énergétique des logements. S’agissant d’une nouvelle aide, le partenariat Anah / Docaposte est essentiel pour travailler en continue à l’amélioration de la relation usager. » souligne Valérie Mancret Taylor, Directrice générale de l’Anah.« Docaposte est fière d’accompagner l’Anah sur ce projet stratégique de transition énergétique. Nous mettons au service de l’Anah notre double maîtrise des savoir-faire d’instruction et de relation aux citoyens. La confiance accordée par l’Anah récompense l’engagement et le professionnalisme de nos équipes. », ajoute Olivier Vallet, Président Directeur Général de Docaposte.
Il y a 3 ans et 198 jours

Une ambitieuse rénovation architecturale et muséographique à Orléans

La municipalité d’Orléans s’est engagée dans un vaste programme de modernisation pour son muséum créé en 1823, fermé en août 2015 et renommé MOBE (muséum d’Orléans pour la biodiversité et l’environnement) en 2017. Après 7 ans de travaux, il ouvre enfin ses portes. La réussite de ce triple chantier (architecture, muséographie, collections) consiste à immerger les visiteurs dans l’extraordinaire complexité de notre écosystème par un parcours de visite à la fois exigeant, accessible et élégant. En sus de leur restauration, l’informatisation en cours des 435 000 spécimens est un défi brillamment relevé afin de diffuser largement ces trésors nationaux. Source : Drac Centre-Val de Loire  
Il y a 3 ans et 198 jours

Anne Hidalgo attaquée sur la transition écologique à Paris par ses alliés EELV

Plantation de 170.000 arbres, rénovation énergétique des bâtiments, nouveau schéma directeur pour le réseau de chaleur, lutte contre les nuisances sonores, fin du plastique dans les cantines: "Paris a toujours un temps d'avance et Paris donne le la", a affirmé Mme Hidalgo en présentant au Conseil de Paris un ensemble de 16 délibérations sur la transition écologique."Nous nous interrogeons sur la séquence de communication que vous nous imposez aujourd'hui", a commenté Fatoumata Koné (EELV), pour qui cette "superposition de sujets dans un seul et même débat" contraint le conseil municipal "de les traiter à la hâte"."Cela ne nous semble pas être à la hauteur de l'enjeu des nécessaires transformations écologiques et climatiques", a ajouté la présidente du groupe écologiste, soutien de Yannick Jadot pour la présidentielle.Critiquant les forêts urbaines promises par Mme Hidalgo, "très coûteuses", Chloé Sagaspe (EELV) a également dénoncé "une grande opération de communication environnementale dont on peut se demander si elle ne répond pas davantage à des fins médiatiques et électoralistes plutôt qu'à de véritables ambitions écologiques" pour la capitale."Je suis très surprise de votre propos", a répondu Mme Hidalgo à Mme Koné, défendant des "décisions concrètes", "budgétées et encadrées", et lui reprochant d'épargner le plan de relance de 30 milliards d'euros annoncé mardi par l'exécutif, qui "n'est pas au rendez-vous" pour aider les collectivités, "dirigées pour certaines par des élus verts"."Cela ne vous choque pas, vous préférez vous faire applaudir par les Républicains?", a demandé Mme Hidalgo, qui doit recevoir jeudi le soutien du Parti socialiste pour l'élection présidentielle. "Choisissez vos combats, vos partenaires et aussi vos adversaires.""C'est votre campagne, on a compris", a lancé Rachida Dati (LR), pointant du doigt "des risques sur la faisabilité technique et financière" du schéma directeur du réseau de chaleur et un objectif de 75% d'énergie renouvelable pour 2030 "intenable"."Vous êtes à 4%, abonnée à 4% et vous n'irez pas plus loin", a encore dit Mme Dati en référence aux sondages les plus défavorables à Mme Hidalgo, lui reprochant de faire du Conseil de Paris "une tribune de (sa) campagne électorale désespérée et désespérante."Depuis la réelection d'Anne Hidalgo en juin 2020, les tensions sont récurrentes au sein de la majorité de gauche, comme sur la 5G ou les projets d'aménagement urbain.
Il y a 3 ans et 198 jours

Nouveau site www.siporex.fr : Une source d’inspiration pour les projets d’aménagement en SIPOREX

Pour la construction de cloisons dans la maison ou pour les travaux de rénovation – aménagement intérieur et décoration – SIPOREX répond à de nombreux besoins. En effet, que ce soit pour moduler des pièces avec des cloisons droites ou courbes, habiller des murs, créer des meubles de rangement, concevoir une cuisine extérieure… tous ces projets d’aménagement intérieur et extérieur sont si faciles à réaliser avec la nouvelle gamme de carreaux en béton cellulaire et la colle Easyfix SIPOREX. Pour valoriser les multiples avantages des solutions SIPOREX et les possibilités infinies d’aménagement quelles offrent, Xella France lance le nouveau site www.siporex.fr. Véritable source d’inspiration pour les professionnels comme les particuliers, ce site présente, à travers différents exemples de réalisations, le béton cellulaire SIPOREX comme une solution rapide et pratique à mettre en œuvre, et parfaitement adaptée à tous les projets. Entrez dans l’univers SIPOREX, trouvez l’inspiration et créez vos projets Le nouveau site SIPOREX a été entièrement pensé pour assurer la meilleure expérience utilisateur. Responsive, il offre une navigation fluide et agréable sur ordinateur comme sur Smartphone ou tablette. Riche en visuels inspirants, il délivre des informations claires et didactiques. La structure est simple, les pages sont épurées et le contenu aéré. Une homepage défilante permet de visualiser, d’un seul coup d’œil et de manière intuitive, les principales rubriques du site internet. L’internaute, qu’il soit bricoleur ou professionnel, peut choisir parmi 6 grandes rubriques : – SIPOREX : retrace l’historique de la marque, son offre et son positionnement au sein de Xella France. – La gamme : présente les avantages du béton cellulaire, les caractéristiques techniques illustrées de visuels pour chaque produit (carreaux et colle) et les certifications. Le guide pratique SIPOREX intégrant les conseils de mise en œuvre y est également disponible en téléchargement. – Votre projet : propose des réalisations en carreaux de SIPOREX, avec la liste des outils, des accessoires et la quantité de matériaux nécessaires pour reproduire le projet. L’internaute peut ainsi se projeter dans des réalisations concrètes. – Trouver nos produits : permet à l’internaute de trouver rapidement, avec un simple code postal, les points de vente partenaires les plus proches de chez lui. – Téléchargement : rassemble l’ensemble des documents téléchargeables : brochures techniques, guides de pose et certifications. – FAQ & Contact : liste les principales questions que les internautes peuvent se poser sur le béton cellulaire, son utilisation… et propose un formulaire de contact pour une mise en relation facile avec la marque. En bas de la homepage, l’internaute accède au Social Wall #AvecDesSi ils l’ont fait, des projets d’aménagement d’instagrammeurs(euses) repartagés sur la nouvelle page instagram SIPOREX. Véritable lien entre le réseau social et le site web de la marque, ce Social Wall permet de fédérer une communauté autour de SIPOREX et d’être proche des utilisateurs, en valorisant les projets finis, divers et variés. Il montre également que les solutions SIPOREX sont tout-terrain et accessibles à tous et contribue à faire du site une vraie source d’inspiration pour les internautes ! Résolument orienté projets utilisateurs, le site www.siporex.fr veut éveiller les envies d’aménagement à travers des visuels de réalisations concrètes, créatives… et la base line de la marque « Avec des SI on peut tout faire » prend tout son sens.
Il y a 3 ans et 198 jours

Les notaires franciliens publient 30 propositions "pour un habitat accessible"

Mélange de propositions nouvelles ou déjà portées par d'autres, la liste a notamment été remise à la ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon, ainsi qu'à la présidente de la région et candidate à l'élection présidentielle Valérie Pécresse, a souligné lors d'une conférence de presse Marc Cagniart, vice-président de la chambre des notaires de Paris, et membre du groupe de travail à l'origine du livret.Afin de soutenir l'effort de rénovation, les notaires franciliens proposent par exemple de "restituer à l'acquéreur d'un logement tout ou partie des droits de mutation applicables à la transmission du bien, sous condition de la réalisation des travaux de rénovation" pour en améliorer la performance énergétique.Les droits de mutation font partie des frais payés lors d'une vente immobilière, au profit des collectivités locales."L'inconvénient", a reconnu M. Cagniart, serait "une perte de recettes pour les collectivités", et il faudrait prévoir une compensation de l'Etat.Pour favoriser l'accès à la propriété, les notaires suggèrent en outre de "réduire le coût du foncier" en étendant aux parcs privé et intermédiaire des dispositifs qui dissocient le foncier et le bâti, comme le bail réel solidaire (BRS - le foncier reste détenu par un organisme de foncier solidaire).Ils encouragent aussi la promotion des "modes alternatifs d'accès au logement": co-acquisition par un particulier et un investisseur institutionnel, flexi-propriété (acquisition d'un bail pour une durée de 50 ans avec des droits proches de ceux d'un propriétaire), ou encore habitat participatif.
Il y a 3 ans et 198 jours

Bâtiment passif : l'énergie la moins chère est celle que l'on ne consomme pas

Exemple pour le gaz : chauffage et l'eau chaude d'un appartement entre 70 et 80 m²La Commission de régulation de l'énergie (CRE) a estimé, à partir du calculateur Wattissime (cité dans la revue Capital), qu'un couple vivant dans un appartement de 80 m² à Lyon allait voir sa facture de gaz pour le chauffage et l'eau chaude passer de 93,50 € par mois à 144,65 €, soit une augmentation de 51,15 € entre janvier 2021 et octobre 2021 (+54,7%). Dans un bâtiment passif : Le faible appoint de chaleur nécessaire pour chauffer les appartements passifs est souvent apporté par une mini-chaufferie collective alimentée au gaz. Pour un appartement passif de 70 m², une enquête récente[1] portant sur 700 logements passifs construits entre 2010 et 2018 montre que la dépense moyenne des ménages pour leur chauffage et l'eau chaude est seulement de 20,83 € par mois. Avec le même taux d'augmentation, cette dépense pourrait passer à 32,30 €, soit une augmentation de 11,47 € par mois…Exemple pour le chauffage et l'eau chaude d'une maison individuelleLa Commission de régulation de l'énergie (CRE) a aussi estimé qu'un ménage avec deux enfants vivant dans une maison de 120 m² à Rennes allait voir sa facture de gaz pour le chauffage et l'eau chaude passer de 136,88 € par mois à 217,38 €, soit une augmentation de 80,50 € (+58,8%).La facture moyenne d'énergie dans le logement des français est de 134 € par mois (source Ministère de la Transition Ecologique) pour une surface moyenne de 101,8 m² (source Eurostat), soit 1 608 € par an, ce qui revient à 15,8 € par m² habitable et par an, soit 2,8 fois plus élevé que pour une maison passive !En effet, pour les maisons passives : La plupart des maisons passives recourent à l'électricité et n'ont pas besoin de gaz, lequel demande un abonnement supplémentaire puisque l'électricité est de toute façon incontournable. Aussi les maisons individuelles passives se chauffent avec à un appoint électrique associé parfois à un poêle à bois.La consommation moyenne des maisons individuelles passives est de 3 950 kWh pour une surface de 142 m² (échantillon de 61 maisons individuelles passives)[2]. Cette consommation comprend l'ensemble des usages de la maison (y compris les appareils audiovisuels, informatiques, électroménagers) et représente une dépense de 67 € par mois (52,7 € de consommation et 14,3 € d'abonnement), soit 804 € par an, ce qui revient à 5,7 € par m² habitable et par an.Si l'on ne considère que le chauffage, la dépense réelle de chauffage d'une maison passive de 100 m² est en moyenne de 220 € par an et on a rencontré beaucoup de propriétaires de maisons individuelles passives qui ne dépensent en chauffage que 1 euro par m² et par an, soit seulement 100 € par an !!! (à comparer aux 15,8 € par an pour la moyenne nationale).Les bâtiments passifs : le vrai bouclier tarifaire pour l'énergie, avec en plus une garantie de confort et de qualité de l'air intérieurSelon le gouvernement, le prix de l'électricité devrait augmenter de 4% en février 2022. Les hausses du prix de l'énergie ne vont impacter les occupants de maisons passives que de façon très marginale, moins de 3 € par mois tous usages compris !!Les bâtiments passifs (appartements, maisons mais aussi bureaux, écoles…) sont des bâtiments très sobres au plan énergétique : ils consomment deux à trois fois moins en moyenne qu'un bâtiment récent et sont beaucoup moins sujets aux évolutions des prix de l'énergie.Leur performance énergétique est garantie par une ingénierie qui conçoit des bâtiments très bien isolés, supprimant la quasi-totalité des ponts thermiques et assurant une étanchéité à l'air optimale (4 à 6 fois meilleure que les bâtiments conventionnels les plus récents) tout en respectant les principes hygiéniques (renouvellement d'air)[3]. La ventilation double flux assure une bonne qualité de l'air intérieur (particulièrement importante pour un bon apprentissage dans les écoles).C'est pourquoi les bâtiments passifs assurent un confort (qui surprend parfois les visiteurs) tant dans les logements que dans le tertiaire (école, bureau, maison de retraite, etc.) avec une absence de paroi froide et de courant d'air (la température est quasi constante à tous les endroits du logement) et une stabilité de la température, y compris l'été (avec une bonne gestion des protections solaires lors des périodes estivales). Le bâtiment passif permet d'éviter les besoins de climatisation (ou les réduit fortement dans les bâtiments tertiaires).Sa principale contrainte est qu'il ne supporte pas les malfaçons et les erreurs de conception, faute de quoi, il perd en efficacité et il faut alors compenser par des consommations d'énergie supplémentaires (ce qui est aussi le lot des bâtiments conventionnels !).En France, ce sont plusieurs milliers de bâtiments qui atteignent le standard passif (labellisé ou non) et contribuent aux engagements de l'Etat de réduire de 50% la consommations d'énergie des bâtiments et de 84% les émissions de gaz à effet de serre des bâtiments à l'horizon 2050.Les bâtiments labellisés passifs représentent une surface construite de 274 000 m² dont la moitié environ sont des logements et l'autre moitié des bâtiments tertiaires, publics ou privés, pour un ensemble de 380 opérations. 160 757 m² sont en cours de labellisation par La Maison Passive France.Si le passif est maintenant bien connu dans la construction neuve, il a aussi sa place dans les stratégies de rénovation[4]. Les opérations de rénovation énergétique poursuivent deux objectifs majeurs : la préservation de l'environnement et la maîtrise des dépenses énergétiques (ou des charges). La rénovation passive consiste à « épuiser le gisement », c'est-à-dire à optimiser les niveaux d'isolation de l'enveloppe des bâtiments, à valoriser les apports internes et solaires et à garantir un bon niveau d'étanchéité à l'air du bâtiment. Et, comme l'exprime si bien l'US Passive House, « We have the tools. We have the knowhow. We have the passion. We can do this ! »Les caractéristiques du Label Bâtiment Passif « classique »Besoin de chaleur pour le chauffage≤ 15 kWh par m² de surface de référence (proche de la surface habitable)Consommation d’énergie tous usages (chauffage, eau chaude, ventilation, appareils électriques)≤ 120 kWhep/m² exprimé en énergie primaire (ep)Étanchéité à l’air sous 50 PaN50 ≤ 0,60 volume/heureDe nouveaux labels ont été récemment mis en place pour privilégier le choix des énergies renouvelables des bâtiments passifs (Labels Bâtiment Passif PLUS et PREMIUM), dans la perspective de la transition énergétique et de la lutte contre le réchauffement climatique.[1] Philippe Outrequin, Charges locatives des logements sociaux passifs, mars 2021[2] Catherine Charlot-Valdieu et Philippe Outrequin, Maisons individuelles passives, édition Le Moniteur, 2019[3] Dans le cadre de la lutte contre la pandémie, les collectivités locales font placer dans les écoles des capteurs de CO2 pour avertir des besoins d'aération. Dans les bâtiments passifs, la VMC double flux est fréquemment associée à un capteur de CO2 afin d'optimiser la qualité de l'air intérieur.[4] Voir Catherine Charlot-Valdieu et Philippe Outrequin, La réhabilitation énergétique des logements, édition Le Moniteur, septembre 2018, 330 pages
Il y a 3 ans et 199 jours

Industrialiser la rénovation énergétique, pourquoi ? Comment ?

Dans cette interview, Olivier Villeneuve (Directeur marketing et développement du groupe Hors-Site) et Matthieu Garcia (Dirigeant Emenda) nous expliquent ce qu’est la massification de la rénovation énergétique et comment la…Cet article Industrialiser la rénovation énergétique, pourquoi ? Comment ? est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 199 jours

Focus sur le plan ambition bois construction 2030

La RE 2020 donne un avantage au matériau bois, la filière bois est prête à répondre aux questions du BTP concernant le bois dans la construction. 10 engagements sont pris dans le cadre du plan ambition bois construction 2030. Cependant, la filière est dépendante à environ 50 % du bois d’importation… La Bretagne a anticipé la situation avec un programme de plantation… Artibat 2021 / intervenant : Olivier Ferron – Délégué Général de FIBOIS Bretagne Interrogé par Stéphane Miget   « 1 / 3 »Focus sur le plan ambition bois construction 2030Industrialiser la rénovation énergétique, pourquoi ? Comment ?Tension sur les prix, pénurie de matériaux, à quand un retour à la normale ?Mettre en adéquation besoins des entreprises et formations« 1 / 3 » Voir les vidéos d’Artibat 2021  
Il y a 3 ans et 199 jours

Un plan de rénovation des écoles "sans précédent" présenté par Marseille

Les écoles marseillaises vont faire l'objet d'un chantier de rénovation "sans précédent", selon le maire socialiste Benoît Payan, qui a dévoilé un plan à 1,2 milliard d'euros.
Il y a 3 ans et 199 jours

Montblanc : le chantier d’insertion pour la rénovation du foyer rural Émilien-Soulié est achevé

La commune de Montblanc a procédé à un nouveau chantier d’insertion afin de rénover le foyer rural Émilien-Soulié.
Il y a 3 ans et 199 jours

Ostwald : rénovation de la salle du Hussard

À Ostwald, la première phase des travaux de rénovation de la salle du Hussard a été achevée en 2020. Les travaux continuent cet automne.
Il y a 3 ans et 199 jours

Le système de bâti-support Prevista répond aux exigences des installateurs jusque dans les moindres détails

Dans les projets d'extension de salles de bains, les systèmes de bâti-supports présentent des avantages décisifs. Ils rendent possible de nouvelles installations ou des rénovations sans devoir effectuer de fastidieuses modifications. Grâce à une multitude de détails bien pensés, le système de bâti-support Prevista de Viega, développé conjointement avec des artisans, facilite encore davantage les travaux sur le chantier.
Il y a 3 ans et 200 jours

Avignon : requalification des espaces publics en centre-ville

À Avignon, plusieurs projets de rénovation urbaine ont été prévus dans le cœur de ville.
Il y a 3 ans et 200 jours

Artibat : Il est revenu le temps des salons de la construction

Plus de 1 000 fabricants et distributeurs ont répondu présents pour la 17e édition du salon Artibat 2021. [©Acpresse] Avec plus de 1 000 exposants, sur quelque 65 000 m2de surface d’exposition, le salon Artibat 2021 ouvre ses portes le 13 octobre. Ceci, au Parc des expositions de Rennes. Plus de 40 000 visiteurs professionnels sont attendus dans ses allées. Cet évènement incontournable de la filière est le premier grand rendez-vous sectoriel physique depuis le début de la pandémie. Il est donc très attendu par les exposants. Tant pour la rencontre conviviale avec les professionnels de la construction que pour le potentiel d’affaires qu’il génère. Pareil du côté des visiteurs ! Artibat s’annonce comme LE rendez-vous de la profession, surtout après cette année si particulière. Rappelons qu’avec 2 405 visiteurs et 80 exposants, la première édition des Construction Days, expérience 100 % outdoor, s’est avérée être une réussite « porteuse d’affaires, plébiscitée pour son format inédit et sa convivialité ». Pendant 3 j, en septembre dernier, l’évènement a confirmé la reprise du secteur et ses perspectives de croissance boostées par l’innovation. Un avant-goût d’Artibat… Rénovation énergétique vue par Cirq Les visiteurs connaissent bien Artibat et apprécient ce qu’ils viennent y trouver. A savoir, le rapport direct avec les exposants, la possibilité de toucher les produits, les tester et découvrir les dernières nouveautés.  Un bassin de rencontres entre tous les acteurs du bâtiment, voici la meilleure manière de décrire le concept de Cirq en 2021. Start-up et industriels seront présents sur le même espace tout au long du salon, rassemblés autour de la même thématique forte : l’innovation. Ainsi, les enjeux de la rénovation énergétique face au dérèglement climatique, fruit du partenariat Artibat et Novabuild, l’allié “solutions climat” en Pays de Loire, seront largement abordés et sous tous les angles dans un espace dédié. Cet événement dans l’événement mettra en lumière, lors de conférences, les solutions innovantes pour massifier la rénovation énergétique des bâtiments de logements individuels et collectifs. Ou encore informer sur l’entrée en vigueur des nouveaux impératifs de la RE 2020. Précisons que la scène Cirq constituera aussi une tribune de premier plan pour les 8 start-up sélectionnées. Toujours plus d’animations De plus, l’AQC vous donne rendez-vous sur son stand n° F13 (Hall 5) et vous propose de découvrir deux “Serious game” (“Jeux sérieux”) sur la qualité de l’air intérieur. Par ailleurs, Artibat et son partenaire HB Développement vont vous faire vivre une expérience aussi unique qu’immersive. Venez tester l’installation temporaire sur 130 m² du projet dénommé “Confort d’usage, Ressentir pour mieux construire”. Ce dernier a pour ambition d’inviter à s’interroger, repenser et/ou apporter des aménagements et solutions. Qui permettraient d’améliorer ou d’adapter le quotidien des personnes âgées ou en situation de handicap. Enfin, venez expérimenter les dernières innovations en matière de prévention des risques professionnels musculo-squelettiques. Et découvrez les nouvelles solutions de prévention des chutes, d’assistance… Rejoignez-nous sur le stand K03, hall 10B. Bon salon.
Il y a 3 ans et 200 jours

Marseille présente son plan de rénovation des écoles à 1,2 milliard d’euros

Ce 11 octobre, le maire de Marseille, le socialiste Benoît Payan, a dévoilé le plan de rénovation des 470 écoles municipales qui respectera un même référentiel en termes de confort des élèves et enseignants ainsi que de qualité du bâti. Une société publique dédiée partagée avec l’Etat déroulera sur les neuf prochaines années ce programme représentant 1,2 milliard d’euros d’investissements et 600 000 m².
Il y a 3 ans et 200 jours

Face à des conditions indignes, Marseille déploie un plan de rénovation de ses écoles

ANNONCE. Le maire de la seconde plus grande ville de France a détaillé le plan de rénovation des écoles de Marseille, qui doit transformer les établissements en lieu optimal pour l'apprentissage. Problème d'étanchéité, pollution sonore, sanitaires défaillants... La municipalité compte mener des travaux d'ampleur.
Il y a 3 ans et 200 jours

Marseille présente un plan de rénovation de ses écoles sans précédent

"C'est le plus grand chantier que la ville de Marseille a initié depuis les années 1960", a insisté le maire lors d'une conférence de presse en présence de la plupart de ses adjoints, pour ce dossier très attendu, promesse de campagne de la nouvelle majorité de gauche.Quelque 814 millions d'euros seront notamment affectés aux 174 écoles (sur 472) les plus délabrées pour des rénovations lourdes ou des reconstructions."La carte des inégalités scolaires se confond avec la carte des inégalités sociales", a fait remarquer le maire, selon qui l'ancienne municipalité de droite, dirigée pendant 25 ans par Jean-Claude Gaudin, dépensait en moyenne 113 euros par enfant et par an dans les quartiers Sud de la ville, plus aisés, contre 94 euros dans les quartiers Nord, plus pauvres, où se concentrent les deux tiers des écoles à rénover.La moyenne nationale de dépense des mairies pour les écoles est de 176 euros par enfant et par an, a-t-il affirmé. Avec ce plan sur neuf ans, le maire porte ce montant à 533 euros par enfant et par an, "un choix politique".La mairie va réaliser ce plan "dans le cadre d'un partenariat public/public avec l'Etat", via une société dédiée que le maire présidera. Selon la municipalité, ce chantier va créer "des milliers d'emplois" et apportera près de 2,27 milliards d'euros de retombées économiques pour le territoire.Pour l'heure, le montant de la participation de l'Etat n'est pas connu, a reconnu M. Payan, assurant que les discussions avec l'Elysée étaient en cours.Le président de la République, qui avait annoncé sans la chiffrer une aide pour les écoles de Marseille début septembre, est à nouveau attendu en fin de semaine.En priorité seront rénovées les écoles qui ne répondent pas aux normes sanitaires et de sécurité, a détaillé le maire, ajoutant que 16 chantiers démarreront dès 2022.L'ensemble des rénovations sera par ailleurs inscrit dans "la transition écologique", la mairie visant une économie énergétique de 40% à l'issue des travaux, et les réhabilitations seront privilégiées.Au-delà de "rattraper son retard", la mairie de Marseille espère avec ce plan "prendre de l'avance" en étant la première collectivité à investir dans un outil de gestion prédictive pour l'entretien de ses écoles.
Il y a 3 ans et 200 jours

L'intérêt des Français pour l'immobilier ne faiblit pas, porté par l'envie de plus d'espace et de confort

Avec la généralisation du télétravail, les projets immobiliers s'organisent autour de nouvelles attentes : gagner de l'espace et se rapprocher de la nature pour gagner en confort de vie. Le critère de la luminosité monte lui aussi en puissance : les confinements de 2020 ont clairement laissé des traces ! Alors que beaucoup d'actifs naviguent désormais la semaine entre leur bureau et leur domicile, l'intérêt pour les résidences semi-principales se renforce. Une dynamique qui profite largement aux villes moyennes et aux environnements ruraux, mais annonce surtout un nouveau volume record de transactions dans l'immobilier ancien, qui pourrait même battre celui de 2019, meilleure année de tous les temps !Une demande boostée en région et des maisons faisant l'objet de convoitisesSur les 9 premiers mois de l'année 2021, la demande progresse de 18% au national. Si cette augmentation est à relativiser au regard d'une année 2020 chaotique, elle confirme pourtant l'appétence bien réelle des Français pour la pierre. Les investisseurs, qu'ils soient aguerris ou néophytes, profitent pleinement de taux d'intérêt autour de 1% sur 20 ans. Les Français restent très actifs et recherchent cette valeur refuge qui semble hermétique à la crise. La demande pour les maisons progresse fortement (+18% au national) par rapport aux appartements (+10%), traduisant l'envie des Français de gagner en surface et de disposer d'un extérieur.Paris renoue avec la croissance après une année 2020 plutôt calme, avec une demande en hausse de 12%. L'Île-de-France confirme quant à elle son dynamisme (+13%), notamment la seconde couronne où l'offre de maisons est encore abondante. Dans les régions, on observe un phénomène similaire : les acquéreurs s'éloignent des grandes métropoles pour rejoindre la périphérie, où ils vont chercher de l'espace, de la verdure et du calme. Au sein des agences Laforêt, beaucoup de candidats à l'achat expriment leur envie de cultiver leur potager pour gagner en autonomie et en qualité alimentaires, reflétant de nouvelles aspirations. Après la qualité énergétique il y a quelques années, c'est donc désormais un gain de confort qui est recherché.Une offre qui régresse encore sur un marché déjà très tenduAu national, l'offre de biens disponibles à la vente régresse de 18%. Une tendance qui s'explique par deux phénomènes concomitants : d'un côté, des primo-accédants qui n'ont pas de logement à mettre sur le marché ; de l'autre côté, des propriétaires de maison ou d'appartement avec terrasse ou jardin, qui finalement hésitent à quitter une situation déjà confortable.Sur Paris, toutefois, l'offre semble se reconstituer progressivement (+24%), mais cette hausse ne représente en réalité que quelques biens supplémentaires par agence. Cette évolution est notamment due à la remise sur le marché de meublés touristiques dans les grandes métropoles, où les touristes peinent encore à revenir.En Île-de-France, l'offre est atone (0%). Les maisons marquent un léger recul de 6 % tandis que les appartements progressent (7%), rééquilibrant le marché. Enfin, les régions illustrent là encore leur dynamisme, avec une offre qui régresse de 26% sur les 9 premiers mois de l'année. Les agences immobilières n'ont jamais eu aussi peu de biens à proposer et le marché est en flux tendu, notamment sur les maisons individuelles.Vers une nouvelle année record des transactionsSi le nombre de transactions augmente de 23% sur les 9 premiers mois de l'année vs 2020, ce qui semble logique après une année compliquée, il est intéressant de constater qu'elle progresse également de 12% par rapport à 2019, année de tous les records dans l'immobilier ancien. Les ventes s'accélèrent tant sur les maisons que sur les appartements. L'investissement locatif stimule l'achat de petites surfaces, avec des primo-accédants qui veulent aussi profiter des conditions de financement exceptionnelles.Paris retrouve des couleurs, avec une activité positive par rapport à l'an dernier (+27%), notamment sur les 3 derniers mois. La progression du volume de ventes en Île-de-France est en ligne avec la dynamique nationale (+23%), tandis que les régions sont elles aussi très actives (+22%). Partout, les rotations sont néanmoins freinées par un stock de biens appauvri.Une augmentation des prix régulière, sauf à ParisD'une manière globale, les prix au m2 enregistrent une légère accalmie, mais continuent toutefois de progresser avec +4,9% au national, à 3 345 €/m2. Si l'euphorie du premier semestre s'est un peu estompée durant l'été, l'effet de rareté soutient la hausse avec des maisons qui en portent l'essentiel (+7,1% vs +4,3% pour les appartements).En région, les prix s'emballent : la hausse globale est de 7,3% (à 2 398 €/m2), voire de 8,3 % pour les maisons ! Cette évolution est liée à l'arrivée de citadins au pouvoir d'achat élevé qui n'hésitent pas à acheter au prix fort le bien auquel ils aspirent.À Paris, la baisse constatée l'an dernier s'amortit (-0,8% à 10 430 €/m2). Une situation qui s'explique notamment par un marché parisien toujours privé de sa clientèle internationale. En Île-de-France, on constate l'exact inverse de ce qui se passe en région. Si les prix progressent de 4,3% en moyenne (à 4 543 €/m2), cette hausse concerne davantage les appartements (+4,6%) que les maisons (+3,8%). Il semble que nous ayons atteint un palier, avec des acquéreurs qui ne peuvent plus s'aligner ou qui n'ont plus la volonté d'acheter à n'importe quel prix.Délais de vente : un recul jamais vu !Les délais de vente, c'est-à-dire le temps entre la mise en vente et la vente effective du bien, régressent de 2 semaines au national (14 jours), passant sous la barre des 80 jours, à 78 jours. Les acheteurs sont conscients que le secteur immobilier échappe à la crise et se décident vite. Et c'est encore une fois en région que la tendance est la plus marquée, avec une chute de 18 jours par rapport aux 9 premiers mois de 2020, et même de 22 jours par rapport à la même période en 2019, passant à 81 jours : une situation jamais vue ! Les projets, quels qu'ils soient (investissement locatif, résidence semi-principale ou principale, etc.), sont au rendez-vous !Le délai de vente accélère également en Île-de-France, perdant 13 jours en 12 mois, pour s'établir à 63 jours. Paris préserve sa réputation de marché fluide, mais marque néanmoins le pas avec un délai de 75 jours (-2 jours) qui varie peu par rapport à l'an dernier alors qu'il était de 59 jours en 2019 !Des négociations qui se montrent relativement stablesLa négociation sur le prix à la vente évolue peu par rapport à 2020. Elle est en moyenne de 4,5% (-0,10 point) au national. La pression reste néanmoins forte sur les acquéreurs, qui ont peu de temps pour se positionner et donc pour négocier. À Paris, l'écart entre les prix de vente et d'achat stagne à 2,90% (0 point vs 2020). Il en va de même pour l'Île-de-France (2,80%, soit -0,7 point), qui a toutefois perdu 1 point de capacité de négociation par rapport à 2019 (3,80%). En région, là aussi, la discussion reste équivalente à ce qu'elle était à la même période l'an dernier, soit un écart de 4,70% (-0,40 point).ConclusionIl est fort probable que l'on se dirige vers une nouvelle année record, après celles de 2018, 2019 et 2020. Le marché de l'immobilier ancien est définitivement le grand gagnant de l'après-Covid-19. La volonté d'une partie de la population d'exercer son activité en télétravail plusieurs jours par semaine se traduit concrètement par des acquisitions de surfaces plus grandes à l'extérieur des grands centres urbains.L'inflation qui se dessine, et qui pourrait s'accompagner d'une remontée progressive des taux d'intérêt, reste néanmoins à surveiller. Tout comme l'augmentation des coûts des travaux de rénovation énergétique liée à un prix des matières qui s'envole et sera peut-être un frein à l'accession ou à la location dans les mois à venir.Le secteur de la construction neuve, à la peine du fait d'une indisponibilité de matériaux, mais aussi de certaines décisions locales qui limitent le nombre de chantiers, conduit les investisseurs à s'orienter vers l'ancien, créant une pression plus forte sur les prix. Reste enfin à savoir si l'engouement actuel des Français pour les résidences semi-principales et rurales sera durable. Les néoruraux trouveront-ils ce qu'ils sont venus chercher à la campagne ou regretteront-ils, après un premier hiver, leur vie citadine ? Rendez-vous dans quelques mois pour le savoir…
Il y a 3 ans et 201 jours

Atelier du Pont restructure le siège de l’ESA à Paris

Situé en plein cœur du XVe arrondissement de Paris, le siège de l’Agence spatiale européenne (ESA), est en pleine transformation, une restructuration menée par Atelier du Pont (Anne-Cécile Comar & Philippe Croisier) avec Bouygues Construction rénovation privée.  Livraison prévue de l’ouvrage de 11 592 m² : fin 2022. Communiqué. Un nouveau décollage pour l’Agence spatiale européenne […] L’article Atelier du Pont restructure le siège de l’ESA à Paris est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 202 jours

L’importance de faire des travaux de rénovation d’une maison

Même si parfois, le coût pour les travaux de rénovation peut être assez onéreux, il est important de faire quelques changements dans sa maison. Étant donné que cela peut être bénéfique sur le long terme tant pour le bien immobilier que pour ses occupants. Voyons dans cet article les avantages que vous pouvez obtenir en réalisant des travaux de rénovation de sa propriété. Vous pouvez également y découvrir  une idée du budget que vous devez préparer en amont pour la concrétisation de votre projet de remise à neuf ou de modernisation de votre maison. Pourquoi doit-on entamer des travaux de rénovation à l’intérieur et à l’extérieur de sa maison ? Faire appel à un professionnel est préconisé pour concrétiser votre projet de rénovation maison. En effet, seule une entreprise spécialisée dans ce domaine peut vous offrir des prestations de qualité selon vos exigences dans la mesure du possible. D’ailleurs, que vous venez d’acquérir une nouvelle maison ou que vous habitez dans une ancienne maison, rénover votre bien est un investissement rentable sur le long terme. Mais dans ce cas, il faut que les travaux soient bien accomplis et réglementés. Aussi, lorsque vous rénovez votre maison, vous pouvez bénéficier de plusieurs avantages comme : L’amélioration de l’aspect esthétique de votre bien immobilier : les travaux de rénovation peuvent donner un coup de jeune à un logement et rendre la rendre plus désirant. L’augmentation de la valeur marchande de votre bâtiment : Si, vous envisagez de vendre ou de louer la maison plus tard, dépenser quelques budgets dans les travaux de rénovation seront certainement rentabilisés dans un court délai. L’optimisation de votre confort et la réduction de la consommation énergétique : quand vous renouvelez les matériels isolants de votre maison par des matériaux plus performants, sachez que vous gagner plus de confort au quotidien. En plus de cela, vous  pouvez en même temps réaliser d’importantes économies sur vos factures d’énergie. La préservation du bon état de la maison : au cas où vous négligez certains travaux de restauration, les dégâts peuvent empirer et leur réparation peut être très coûteuse. Donc, il est nécessaire de procéder à quelques rénovations périodiques. Quel budget doit-on prévoir pour réaliser des travaux de rénovation de sa maison ? Certes, estimer un budget précis sur les travaux de rénovation n’est pas facile, vu que le coût de ces travaux peut varier non seulement en fonction des types de chantiers. Toutefois pour déterminer approximativement le montant à prévoir pour la rénovation de votre maison, vous devez définir les opérations à réaliser et adresser une demande de devis à une entreprise de renovation de maison. Il peut s’agir d’une intervention lourde, partielle ou légère. Concernant les travaux de rénovation lourde qui requièrent des gros œuvres, le tarif est plus dispendieux. Pour une rénovation complète, vous devez prévoir un budget de plus 1000 € TTC par m² . Tandis que pour une rénovation partielle comme la réfection de la salle de bains ou d’une cuisine, vous devez compter pas moins de  500 € TTC par m².  Et pour une rénovation légère comme le changement des revêtements de sol ou muraux, le coût peut varier entre 150 et 500 € TTC par m². Cependant, le plus judicieux est toujours de faire une comparaison de devis et de prestations, quel que soit le type de travaux de rénovation que vous projetez.
Il y a 3 ans et 203 jours

[Livre] Les clés du confort thermique écologique – interview Claude Lefrançois et extraits #BGT 014

Après son premier ouvrage sur la construction ou rénovation écologique, Claude Lefrançois publie chez Terre Vivante, un nouveau livre qui traite d’un sujet essentiel, mais souvent trop mal connu, auquel aspirent pourtant les maîtres d’ouvrages lors des travaux de construction ou d’amélioration énergétique de leur maison. Destiné aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels, ce livre […]
Il y a 3 ans et 204 jours

Cannes : la chapelle Saint-Cassien sera rénovée en avril 2022

La Ville de Cannes va lancer la rénovation de la chapelle Saint-Cassien. L’opération s’étalera jusqu’en avril 2022.
Il y a 3 ans et 204 jours

Cergy : rénovation énergétique de l’École Nationale Supérieure de l’Électronique et des Applications

Les bâtiments de l’École Nationale Supérieure de l’Électronique et des Applications (ENSEA) font l’objet de travaux de rénovation thermique pour réduire leur facture énergétique.
Il y a 3 ans et 204 jours

Edilteco® France sera présent au salon Artibat, dans le Pôle Gros Œuvre

Cette nouvelle version Politerm® R est conçue avec du polystyrène recyclé et s'inscrit dans une démarche d'économie circulaire et responsable.EDILTECO® récupère les chutes obtenues lors de la découpe des panneaux sur ses lignes de fabrication afin de réintégrer le PSE dans les processus de production.Les chutes sont broyées pour collecter les billes de PSE qui sont ensuite introduites dans la chaîne de fabrication avec les autres billes de PSE neuves.Politerm® R permet d'isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc.Autre solution de sol exposée sur le stand : LA CHAPE XXs®, chape légère et fibrée qui se destine à l'amélioration de l'affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol.LA CHAPE XXs® est conçue à base de billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l'adjuvant EIA (Diamètre 2 - 3 mm).La densité du mélange - 1200 kg/m3 - est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures.Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d'une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques.Sa simplicité de mise en oeuvre va permettre de l'utiliser pour de nombreux usages : chapes adhérentes ou désolidarisées, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolation acoustique aux bruits de chocs, dressage de surface et mise à niveau des planchers ; en toiture à pente nulle ou pente jusqu'à 15 %, avec recouvrement par membrane étanche (DTU 43.1).Autre avantage, LA CHAPE XXs® peut être utilisée à partir d'une faible épaisseur : 1 cm en pose adhérente sur béton, 2 cm en pose désolidarisée sur bois, 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). Pour l'applicateur c'est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l'assurance d'une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d'usages multiples.Pour la façade, les gammes « best-seller » ECAP® et EDIL-Therm® PSE dans une version sans fixatif seront exposées.Pour finir la nouvelle gamme planchers présentera : Delti-Poutrelles, une gamme complète de poutrelles précontraintes. Conçues en T inversé avec un crantage bi-alterné sur le dessus et des armatures dépassantes de chaque extrémité de la poutrelle, une attention particulière est portée sur la finition des poutrelles.Cette parfaite maîtrise des finitions leur assure une épaisseur de talon sans accumulation de béton et des abouts de poutrelle parfaitement droits, notamment par l'utilisation de séparateurs en PSE lors du moulage.Conçue dans les règles de l'art, la gamme Delti-Poutrelles respecte l'ensemble des exigences du référentiel DTU 23.5. Certifiée conforme au référentiel de certification NF 395 Poutrelles en béton pour systèmes de planchers à poutrelles et entrevous, cette gamme assure d'excellentes performances à la flexion et garantit la réalisation de planchers robustes, stables et durables dans le temps.Il existe 3 gammes de poutrelles et chacune rassemble plusieurs types de poutrelles. Chaque gamme commence par « DP » suivi de la hauteur de la poutrelle (de 110 à 130) et du type de précontrainte. La gamme RE est dotée d'un renfort en acier passif permettant de gagner en portée sans étai.Elles permettent d'atteindre de grandes portées 5,10 m de long sans étais et 8,30 m avec étais, qui offrent une grande liberté de conception des bâtiments en réduisant sensiblement la nécessité de murs de refend. Du fait de l'attention portée à la qualité de fabrication, la gamme Delti-Poutrelles est en mesure de supporter des charges importantes.DELTIVOUTAIN + CI – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre son correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main.Brevetée, cette solution bénéficie aujourd'hui d'un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d'isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1 «Planchers et accessoires de plancher» qui ont examiné respectivement ce procédé.Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d'assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l'isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en oeuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation.Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d'une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l'économie d'éléments structurels devenus inutiles.Artibat est depuis 31 ans le salon de référence pour les professionnels du bâtiment. Partenaire des artisans et des majors du BTP, EDILTECO® suit une politique d'innovation basée sur des objectifs apportant gain de performances aux produits, tout en augmentant la simplicité et la rapidité d'application.Ces trois journées de rencontres et d'échanges seront donc l'opportunité pour EDILTECO® de révéler le potentiel et les compétences de ses solutions et innovations.
Il y a 3 ans et 204 jours

Quel est le type de marbre idéal pour rénover la salle de bain?

Parmi les endroits où on passe le plus de temps, figure la salle de bain. Celle-ci doit rester en tout temps opérationnelle et confortable. Or que ce soit la baignoire, le lavabo ou les toilettes, ces installations vieillissent assez vite. Ils nécessitent un entretien régulier et quelques fois les renouvellements. Mais parfois pour il est indispensable de procéder à une rénovation totale pour rendre cette salle plus ergonomie et plus esthétique. Quitte à le faire, il vaut mieux opter pour un matériau solide, élégant et durable, le marbre. Il en existe plusieurs sortes. Voici un guide pour mieux choisir. Le marbre gris pour ceux qui misent sur l’élégance Le marbre gris reste une référence dès que l’on parle de revêtement de salle de bain. Il est assez polyvalent. Mais son atout principal reste son esthétisme hors du commun. Il apporte une touche de modernité à la salle. Mais aussi, il installe une ambiance cosy. On compte par ailleurs plusieurs déclinaisons de marbre gris. Puisqu’il s’agit d’un matériau assez cher et difficile à transporter, mieux vaut faire appel à un professionnel en rénovation de salle de bain pour sa pose. On trouve auprès des entreprises spécialisées différentes sortes de marbres gris. Le plus connu reste celui avec sa surface ornée de veines blanches. Ces dernières forment des motifs qui sont pourtant naturels. On l’utilise pour la couverture du sol de salle de bain et les murs. Il existe des variantes de marbre grises avec un petit ton de bleu. Ceux-ci sont très prisés à cause de cette couleur unique. Ceux-ci possèdent aussi des veines de couleur bleu-gris très élégant. On appelle aussi cette variété, le marbre de bateig. Le marbre noir et le marbre blanc pour une déco minimaliste Le marbre noir n’est pas prisé, car il donne à la salle de bain une ambiance sombre. Si on opte pour cette solution, il est indispensable d’assurer un bon éclairage à l’intérieur de cette pièce. Toutefois cette couleur reste très élégante et ne vieillit pas avec le temps. Le noir se marie avec toutes les nuances. En réalité on opte pour cette variante pour l’effet de brillaence qu’il produit une fois poli. Il ne se détériore pas non plus au contact d’un objet tranchant. Il offre ainsi durabilité et esthétisme. Il existe par ailleurs plusieurs types de marbre noir. On a ceux avec des veines blanches et ceux qui en sont dépourvus. Le choix entre les deux est juste une question de préférence. Sinon il existe aussi une version avec des veines dorées pour une décoration de salle de bain plus originale. Pour ceux qui veulent opter pour une salle de bain plus classique, ils se tourneront vers le marbre blanc. Celui-ci est parfait pour une petite salle de bain. Il donne l’illusion que cette dernière est spacieuse. Enfin, le marbre blanc avec des motifs gris mérite aussi qu’on s’y intéresse. Mais il n’est pas trop populaire à cause de sa couleur trop banale.
Il y a 3 ans et 204 jours

« Innovation, fiabilisation de l'acte de construire et rénovation » Romain Mège - Directeur de Domaine d'Action Stratégique Recherche

Romain Mège - Photo&nbsp;: Raphaël DautignyIl est assez rare de voir rénovation, fiabilisation et innovation cohabiter au sein d'une même thématique de recherche. C'est pourtant le parti pris du CSTB pour les dix prochaines années, qui se positionne ainsi sur le renforcement des innovations dans le domaine de la rénovation, alors que la majorité des dépenses R&D du secteur privé alimente la construction neuve. Le CSTB s'inscrit dans une logique forte de partenariat afin d'être au plus proche des besoins du terrain et de diffuser le plus largement les connaissances développées. Il se doit d'être fédérateur en jouant le rôle du maillon manquant entre les développements universitaires en amont et les besoins de l'acte de construire, associés à la fiabilisation. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 205 jours

Anglet : rénovation de la bibliothèque municipale

À Anglet, la bibliothèque municipale fera l’objet de travaux de modernisation.
Il y a 3 ans et 205 jours

Nantes : le musée Dobrée sera entièrement rénové fin 2023 ou début 2024

Le chantier de rénovation du musée Dobrée de Nantes vient d’être lancé. Ce dernier ne rouvrira ses portes que fin 2023 ou début 2024.
Il y a 3 ans et 205 jours

Saint-Germain-en-Laye : réouverture du musée Maurice-Denis

Le musée Maurice-Denis a fait l’objet d’un chantier de rénovation pendant trois ans. Il a rouvert ses portes le 18 septembre dernier.
Il y a 3 ans et 205 jours

SALON ARTIBAT, EDILTECO® FRANCE PRÉSENTE SON NOUVEAU POLITERM® R

EDILTECO® France sera exposant du salon Artibat, au sein du Pôle Gros Œuvre, Hall 10A – Stand D52. Le fabricant y présentera notamment le nouveau Politerm® R, procédé d’agrégat isolant idéal pour élaborer une multiplicité de formules de chapes, de mortiers et bétons légers thermo-acoustiques. Cette nouvelle version Politerm® R est conçue avec du polystyrène recyclé et s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire et responsable. EDILTECO® récupère les chutes obtenues lors de la découpe des panneaux sur ses lignes de fabrication afin de réintégrer le PSE dans les processus de production. Les chutes sont broyées pour collecter les billes de PSE qui sont ensuite introduites dans la chaîne de fabrication avec les autres billes de PSE neuves. Politerm® R permet d’isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc. Autre solution de sol exposée sur le stand : LA CHAPE XXs®, chape légère et fibrée qui se destine à l’amélioration de l’affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol. LA CHAPE XXs® est conçue à base de billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (Diamètre 2 – 3 mm). La densité du mélange – 1200 kg/m3 – est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures. Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d’une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques. Sa simplicité de mise en oeuvre va permettre de l’utiliser pour de nombreux usages : chapes adhérentes ou désolidarisées, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolation acoustique aux bruits de chocs, dressage de surface et mise à niveau des planchers ; en toiture à pente nulle ou pente jusqu’à 15 %, avec recouvrement par membrane étanche (DTU 43.1). Autre avantage, LA CHAPE XXs® peut être utilisée à partir d’une faible épaisseur : 1 cm en pose adhérente sur béton, 2 cm en pose désolidarisée sur bois, 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). Pour l’applicateur c’est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l’assurance d’une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d’usages multiples. Pour finir la nouvelle gamme planchers présentera : Delti-Poutrelles, une gamme complète de poutrelles précontraintes. Conçues en T inversé avec un crantage bi-alterné sur le dessus et des armatures dépassantes de chaque extrémité de la poutrelle, une attention particulière est portée sur la finition des poutrelles. Cette parfaite maîtrise des finitions leur assure une épaisseur de talon sans accumulation de béton et des abouts de poutrelle parfaitement droits, notamment par l’utilisation de séparateurs en PSE lors du moulage. Conçue dans les règles de l’art, la gamme Delti-Poutrelles respecte l’ensemble des exigences du référentiel DTU 23.5. Certifiée conforme au référentiel de certification NF 395 Poutrelles en béton pour systèmes de planchers à poutrelles et entrevous, cette gamme assure d’excellentes performances à la flexion et garantit la réalisation de planchers robustes, stables et durables dans le temps. Il existe 3 gammes de poutrelles et chacune rassemble plusieurs types de poutrelles. Chaque gamme commence par « DP » suivi de la hauteur de la poutrelle (de 110 à 130) et du type de précontrainte. La gamme RE est dotée d’un renfort en acier passif permettant de gagner en portée sans étai. Elles permettent d’atteindre de grandes portées 5,10 m de long sans étais et 8,30 m avec étais, qui offrent une grande liberté de conception des bâtiments en réduisant sensiblement la nécessité de murs de refend. Du fait de l’attention portée à la qualité de fabrication, la gamme Delti-Poutrelles est en mesure de supporter des charges importantes. DELTIVOUTAIN + CI – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre son correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main. Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d’isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1 «Planchers et accessoires de plancher» qui ont examiné respectivement ce procédé. Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d’assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l’isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en œuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation. Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d’une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l’économie d’éléments structurels devenus inutiles.
Il y a 3 ans et 205 jours

MaPrimeRénov' : une prime efficace dont l'avenir mérite d'être éclairci, dit la Cour des Comptes

MaPrimeRenov affiche de bons retours pour l&#39;instant, dit la Cour des Comptes. Mais, l&rsquo;avenir du dispositof m&eacute;rite d&rsquo;&ecirc;tre &eacute;clairci d&egrave;s maintenant si l&rsquo;on veut r&eacute;ussir la massification de la r&eacute;novation &eacute;nerg&eacute;tique
Il y a 3 ans et 206 jours

Logement social : vers une massification de la rénovation

L'amplification des programmes de rénovation trouve un nouveau souffle à travers des démarches industrialisées reproductibles, mais doit désormais aussi embarquer l'enjeu de décarbonation de l'énergie. L'exploitation, elle, gagne en efficacité grâce à la numérisation.
Il y a 3 ans et 206 jours

Bizanos : rénovation de la mairie

Les travaux prévus dans le cadre du projet de rénovation de la mairie ont débuté.
Il y a 3 ans et 206 jours

RénoStandard, des solutions de rénovation globale optimisées pour les maisons individuelles

Pour faciliter la rénovation globale de maisons individuelles en secteur diffus, le CSTB pilote le projet grâce à des solutions standardisées. «&nbsp;Les maisons individuelles standardisées peuvent être réhabilitées grâce à une offre de solutions globale&nbsp;»&nbsp;: c'est la conviction des porteurs de RénoStandard, l'un des neuf projets développés dans le cadre du programme PROFEEL, qui vise à développer et accompagner l'innovation au service de la rénovation énergétique des bâtiments. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 206 jours

Les fontaines du Domaine de Sceaux ont été rénovées

Les fontaines du Domaine de Sceaux ont connu plusieurs mois de rénovation. Elles viennent d’être inaugurées.
Il y a 3 ans et 206 jours

La 3e édition du Trophée Béton Pro est en marche

Le Trophée Béton Pro a pour objectif de récompenser des réalisations exemplaires en béton, construites en France au cours des cinq dernières années. [©Trophée Béton Pro] Jeudi 21 octobre 2021 aura lieu la conférence de lancement de la 3e&nbsp;édition du Trophée Béton Pro. Qui s&rsquo;intitule “L’architecture béton en héritage”. Ceci, en présence des architectes&nbsp;: Isabelle Buzzo, Philippe Prost, Jean-Philippe Spinelli, Charles-Henri Tachon et Ingrid Taillandier. Organisée par les associations Bétocib et Cimbéton, sous le patronage du ministère de la Culture, cette distinction biennale a pour objectif de récompenser des réalisations exemplaires en béton, construites en France au cours des cinq dernières années. Du logement individuel au logement collectif, de l’équipement privé à l’équipement public, culturel ou sportif, de l’ouvrage d’art à l’aménagement urbain… en neuf comme en rénovation. Il s’agit aussi de sensibiliser le grand public à l’architecture en béton. Le jury sera composé de représentants du ministère de la Culture, d’architectes, d’ingénieurs, d’élus, d’entreprises, d’industriels et de représentants d’institutions. La sélection des lauréats se fera sur la qualité architecturale et constructive des ouvrages. Et ce, en s’appuyant sur des critères. Tels que la pertinence de l’utilisation du béton et de la mise en œuvre du matériau, l’usage esthétique…&nbsp;
Il y a 3 ans et 206 jours

Raboni Normandie dans le giron de Saint-Gobain

Saint-Gobain a finalisé l’acquisition de Raboni Normandie. [©Raboni Normandie] Saint-Gobain a finalisé l’acquisition de la société Raboni Normandie. Qui est un distributeur multi-spécialiste de matériaux de construction sur le marché de la rénovation résidentielle. Ainsi que de l’efficacité énergétique en France. Raboni Normandie emploie plus de 100 personnes, dispose d&rsquo;un réseau de 12 points de ven. Et a réalisé un chiffre d&rsquo;affaires d&rsquo;environ 30 M€ en 2020. Ces points de vente permettront de compléter la présence territoriale de Point.P en Normandie. Où l’enseigne est déjà implantée avec un réseau de 70 distributeurs. Saint-Gobain renforce ainsi ses positions sur le marché de la distribution en France.
Il y a 3 ans et 206 jours

Ouverture d'une collecte de dons pour la restauration du mobilier Pierre Paulin du Palais d'Iéna

Chef d'œuvre architectural construit par l'architecte Auguste Perret en 1937 à l'occasion de l'exposition universelle, le Palais d'Iéna abrite le CESE depuis plus de soixante ans.Afin de le réhabiliter et de préserver son patrimoine architectural et mobilier, le CESE s'est doté le 10 décembre dernier d'un outil innovant avec la création du Fonds de dotation Co-construire. Ce fonds a pour objet la réalisation et le financement d'actions d'intérêt général à caractère culturel et scientifique visant la restauration, la préservation et la modernisation du Palais d'Iéna et de son mobilier. Aujourd'hui, le travail doit se poursuivre avec la rénovation des espaces intérieurs et notamment de la salle hypostyle qui a subi les outrages du temps.Pour meubler cette salle, le Palais d'Iéna a bénéficié dans les années 80 d'une importante commande publique du Ministère de la Culture à Pierre Paulin dont le travail s'harmonise avec la vision de l'architecte Auguste Perret. Ces œuvres, qui font partie des collections du Mobilier national, sont aujourd'hui considérées comme des pièces majeures du design du XXe siècle. Elles ont été conçues en concertation avec le Mobilier national et son Atelier de Recherche et de Création (ARC). Soutien des métiers d'art et de la création depuis le XVIIème siècle, le Mobilier national a pour mission première l'ameublement des palais de la République, qui constituent une vitrine de prestige pour valoriser la richesse de ses collections et l'excellence des savoir-faire des métiers d'art français.Ce mobilier a aujourd'hui besoin d'une restauration d'ampleur qui sera conduite sous le contrôle du Mobilier national : les éléments clés d'une série de 8 salons s'intégrant dans la salle hypostyle, soit 64 fauteuils, 32 lampadaires et 8 tapis retrouveront leur état d'origine.C'est pourquoi le CESE, d'abord avec le soutien de la Fondation du patrimoine et ensuite en partenariat avec le Mobilier national, annonce l'ouverture d'une collecte de dons en ligne en vue de la restauration du mobilier Paulin, auquel chaque citoyen qui le souhaite pourra participer au financement de la restauration grâce à des dons déductibles fiscalement : https://www.fondation-patrimoine.org/77811Jean Grosset, Président du Fonds Co-Construire, déclare « Devenir mécène du fonds Co-Construire dans le cadre juridique légal du mécénat, c'est participer à la restauration du mobilier signé par le designer Pierre Paulin pour le Palais d'Iéna. C'est aussi soutenir l'action d'une assemblée représentative de l'ensemble des Français favorisant dialogues et compromis. »Hervé Lemoine, Directeur du Mobilier national, déclare : « Je me réjouis que cet ensemble de mobilier ayant subi les outrages du temps puisse, aujourd'hui, bénéficier d'une vaste opération de restauration et de rénovation, en lien constant avec l'expertise des ateliers et manufactures du Mobilier national. »
Il y a 3 ans et 206 jours

Logement : peut-on joindre le durable à l'agréable ?

Le gain, pour la planète, mais aussi pour le confort au quotidien, est globalement perçu et compris. Pourtant, certains critères qui contribuent également très concrètement à rendre le logement plus durable restent encore secondaires pour les Français.Focus sur les grands enseignements de cette étude d'envergure, qui met en évidence à la fois les bénéfices du logement « vert », tels que perçus par les 4 500 Français interrogés, en termes d'environnement et de qualité de vie, mais aussi les domaines d'actions qui restent, en la matière, à expliquer et renforcer.Le Baromètre annuel Qualitel-Ipsos évalue depuis 2017 la qualité des logements telle qu'elle est perçue par les Français. L'édition 2021 est réalisée en partenariat avec l'Anah.Une large et vertueuse prise de conscience, mais…Le logement, levier essentiel de la transition écologique. Conscients que la transition environnementale passe par les comportements individuels, les Français considèrent le logement comme un champ d'action déterminant : dans le top-6 des « éco-gestes » à adopter, deux concernent l'habitat : réduire la consommation d'énergie (67%) et limiter la consommation d'eau (42%) chez soi.Ainsi, loin de l'effet de mode, le logement durable est perçu comme essentiel par une large majorité de Français. 75 % d'entre eux ont à coeur d'habiter une maison ou un appartement respectueux de l'environnement. Pourtant, lorsqu'on leur précise la définition de l'habitat durable, c'est-à-dire « un lieu respectueux de l'environnement, préservant la qualité de vie et le bien-être de ses occupants, où les coûts de construction et d'usage sont maîtrisés », seuls 30 % estiment qu'ils vivent actuellement dans un tel logement.Un logement durable... absolument : pour habiter plus durable, une large majorité de Français (59%) – et deux tiers des 35-60 ans – seraient prêts à réaliser des travaux de rénovation. Dans une moindre mesure, une part importante de la population serait prête à changer de logement (51%).Les jeunes générations sont les plus disposées à changer leur façon d'habiter : la moitié des 18-34 ans serait même prête à payer un peu plus cher pour un logement plus durable (contre 31% des plus de 60 ans).Une sensibilité à « l'habiter durable » croissante, mais ne constituant pas encore un critère d'achat ou de location décisif, toutes générations confondues. Le respect de l'environnement n'a été un critère de choix que pour 4% des sondés, loin derrière le classique triptyque localisation (64%), prix (54%), surface (42%).Le logement durable vu par les français : des éclairages encore nécessairesAux yeux des Français, le logement durable est d'abord et avant tout assimilé aux économies d'énergie, signe que les politiques publiques en la matière ont porté leurs fruits.Toutefois, d'autres éléments tels la préservation de la biodiversité ou l'accès aux transports, sont jugés plus secondaires. Seuls 17% des Français jugent que la proximité des infrastructures (transports en commun, commerces, écoles, travail) est un critère indispensable au logement durable, alors même que les transports, a fortiori individuels, sont le premier poste d'émissions des gaz à effet de serre (source : Ministère de la Transition Écologique et Solidaire). Signe que la notion de logement durable est encore loin de prendre en compte les éléments extrinsèques au logement.On observe un certain décalage entre l'impact environnemental réel d'un équipement et son importance aux yeux des Français. Par exemple, Le bac de tri sélectif arrive en tête des équipements jugés indispensables au logement durable (pour 41% des Français) loin devant la pompe à chaleur (14%) ou la présence d'un panneau solaire/éolienne (17%), contribuant pourtant tout autant à la préservation de l'environnement.Ces quelques décalages de perceptions plaident pour plus de pédagogie autour de l'ensemble des actions qui rendent un logement réellement durable.Les atouts des logements durables : au-delà du respect de l'environnement, un gain de confort de vie largement constatéAvec un échantillon représentatif de 4 500 Français, le Baromètre propose un comparatif inédit des bénéfices entre les logements perçus comme durables par leurs habitant et les logements non-durables. Le logement durable ne suppose aucun « sacrifice » sur le plan du confort de vie, bien au contraire : il obtient une note de qualité globale* de 7,9/10 contre 5,6/10 pour le non-durable (*indice Qualiscore, sur la base de 17 critères).Il est perçu comme avantageux sur le plan économique, (82% des occupants de logements durables sont satisfaits du coût du logement hors loyer/emprunt vs. 54% dans le non durale) d'autant plus que les Français pronostiquent majoritairement (62%) la mise en place de malus écologiques sur les logements non-durables.Il procure un bénéfice immatériel à ses habitants - un sentiment de fierté : 96% des occupants de logements durables s'estiment fiers de leur logement, contre 69% des occupants de logements non durables.Les logements répondant à un cahier des charges environnemental exigeant sont jugés plus confortables par leurs habitants, quels que soient les critères (niveau d'humidité, isolation acoustique, etc.). 45% des occupants de logements de moins de 10 ans certifiés par QUALITEL sont très satisfaits du confort thermique contre 25% des occupants de logements tout aussi récents, mais non-certifiés.Et l'existant n'est pas en reste : la rénovation a elle aussi des effets significatifs sur le caractère durable du logement et sur le confort de vie. 40% des propriétaires qui ont réalisé des travaux avec l'Anah considèrent leur logement comme durable (vs. 30% pour la moyenne des Français).Le logement à l'aube de grands bouleversementsLes Français anticipent une évolution significative de la réglementation, à moyen terme. Une large majorité de la population (61%), pense probable que d'ici 10 ans, il y ait obligation de rénover son logement s'il ne respecte pas certains critères.Les plus jeunes sont les plus convaincus des changements majeurs dans les 10 ans à venir : la majorité des 18-35 ans (56%) juge probable que d'ici 10 ans, tous les logements neufs soient autonomes en énergie (contre 43% des plus de 60 ans).Contre l'étalement urbain, une majorité de Français plaide pour plus de densité. 56% préfèrent qu'on construise « à la verticale, quitte à avoir des bâtiments plus hauts », alors que 44% préféreraient « construire à l'horizontale en étalant la ville, quitte à diminuer la superficie des sols naturels ou agricoles ». Les moins de 35 ans expriment un avis plus tranché contre l'artificialisation des sols : ils sont 64% à privilégier la densité.Tous les résultats de l'étude sur www.qualitel.org/barometre-qualitel-2021