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Il y a 3 ans et 284 jours

Le Grand Palais Éphémère

Émission Bati-Journal.TV  Construction Éphémère en bois : Le Grand Palais Éphémère Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation. Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission sur la thématique « Construction Éphémère en bois » avec Christophe Veau-Cahon, directeur général projets de GL Events  venu nous parler du Grand Palais Éphémère de Paris. Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 284 jours

Auditorium du Forum Bois Construction

Émission Bati-Journal.TV  Construction Éphémère en bois : l’Auditorium du Forum Bois Construction Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation. Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission sur la thématique « Construction Éphémère en bois » avec Steven Ware, architecte à Art Build venu nous présenter l’Auditorium éphémère du Forum Bois Construction 2021. Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 284 jours

Les crèches : berceau de la construction de demain

Émission Bati-Journal.TV  Les crèches : berceau de la construction de demain Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation. Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission sur la thématique « Les crèches : berceau de la construction de demain » avec Géraldine Viot, architecte à l’AREP et Robert Janez, architecte chez Janez-Nguyen Architectes Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 287 jours

Entretien avec Jean-Michel Servant, Président de l’Interprofession Nationale France Bois Forêt

Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation. Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’entretien de Jean-Michel Servant, nouveau président de l’Interprofession nationale France Bois Forêt depuis le 23 juin 2021 sur le plateau TV. Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 287 jours

L’intelligence de la surélévation

Émission Bati-Journal.TV  L’intelligence de la surélévation Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation. Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission sur « L ‘intelligence de la surélévation », avec Pablo Katz, architecte-urbaniste Pablo Katz Architecture, Christophe Lemaitre, directeur WeWood, Bouygues Bâtiment France Europe et Sébastien Nerva, directeur développement Construction bois, LINKCITY Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 287 jours

Les nouvelles pistes de la mixité

Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation. Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission sur la thématique « les nouvelles pistes de la mixité » avec Anne Carcelen, architecte et Julien Amossé, chargé d’affaires chez AIA Ingénierie. Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 287 jours

Solutions et outils pour façades bois

Émission Bati-Journal.TV  Solutions et outils pour façades bois Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation. Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission sur la thématique « Solutions et outils bois pour façades bois » avec Adrien Parquier, responsable technique à l’UMB-FFB, Michel David, gérant à la SARL David & Fils et Julien Lamoulie, ingénieur construction au FCBA. Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 287 jours

Les enjeux du carbone

Émission Bati-Journal.TV  Les enjeux du carbone Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation. Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission sur la thématique « Les enjeux du carbone » avec Christian Hackel, architecte associé chez M’Cub Architectes et Stéphane Cochet, architecte chez A003 Architectes. Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 287 jours

La construction d’hier et demain – dix dates à retenir

Émission Bati-Journal.TV  La construction d’hier et demain – Dix dates à retenir Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation. Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission sur la thématique « La construction d’hier et demain » dans laquelle Jean-Marc Pauget, expert construction bois au CNDB nous rappelle dix dates à retenir. Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 287 jours

Construire et reconstruire avec les feuillus

Émission Bati-Journal.TV  Reconstruction de la cathédrale de Notre-Dame de Paris – Construire et reconstruire avec les feuillus Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation. Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission sur la thématique « Reconstruction de la cathédrale de Notre-Dame de Paris » avec Frédéric Epaud, chercheur au CNRS pour nous parler de la construction et de la reconstruction avec les feuillus. Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 287 jours

La maquette de la charpente avant l’incendie

Émission Bati-Journal.TV  Reconstruction de la cathédrale de Notre-Dame de Paris – La maquette de la charpente avant l’incendie »  Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation. Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission sur la thématique « Reconstruction de la cathédrale de Notre-Dame de Paris » avec Frédéric Epaud, chercheur au CNRS pour nous parler de la construction et de la reconstruction avec les feuillus. Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 287 jours

Menton : dernière phase des travaux pour la restauration extérieure du palais de Carnolès

La consolidation de la terrasse et des trois balcons marque la dernière étape du chantier de rénovation du palais de Carnolès. Cette opération sera réalisée d’ici l’été prochain.
Il y a 3 ans et 287 jours

Rénovation : la Cour des comptes exhorte à rénover la Coupole de l'Institut de France

PATRIMOINE. De nombreux travaux sont nécessaires pour protéger certains sites de l'Institut de France, dont fait partie l'Académie française. Or, l'institution a peu de fonds pour faire face à l'ampleur des rénovations nécessaires.
Il y a 3 ans et 287 jours

Notre rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises est en ligne

Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020. La crise sanitaire, qui frappe l'ensemble de la planète, a profondément modifié notre perception du monde, accélérant un mouvement initié et renforçant les attentes de la société. Le CSTB, guidé par sa volonté de répondre à ces enjeux cruciaux, mobilise l'ensemble de ses compétences pour contribuer à l'émergence de solutions répondant à ces nouveaux défis. La refondation de la Recherche, engagée par le CSTB en 2019, affirme son ambition autour de quatre domaines d'action stratégiques : « Bâtiments et quartiers pour bien vivre ensemble », « Bâtiments et villes face au changement climatique », « Innovation, fiabilisation de l'acte de construire et rénovation », « Economie circulaire et ressources pour le bâtiment ». L'introduction à ces enjeux par le Président, la Directrice générale déléguée et le Directeur général adjoint en charge de la Recherche et Développement du CSTB, le partage de projets emblématiques 2020 et d'actions RSE, donnent une vision globale des avancées du CSTB au service de ses clients et partenaires, sa contribution aux objectifs de développement durable et des perspectives pour demain. Découvrez notre Rapport RSE
Il y a 3 ans et 287 jours

Toiture active et GarantieToiture25®, le couple gagnant pour la maîtrise d’ouvrage proposé par FOAMGLAS®

Encouragés par les nouvelles réglementations énergétiques et environnementales, et compte tenu du prix du foncier, les maîtres d’ouvrage, les architectes et les constructeurs privilégient de plus en plus les toitures actives à haute performance thermique : toiture accessible aux piétons, toiture végétalisée ou avec jardin, toiture solaire, toiture technique fortement sollicitée… Mais, réparer de telles toitures en cas de fuite coûte très cher. Pour cette raison, FOAMGLAS® a mis au point la GarantieToiture25® qui permet d’assurer à la maîtrise d’ouvrage qu’elle n’aura pas de réhabilitation de ses toitures à prévoir pendant au moins 25 ans. Les engagements de FOAMGLAS® sont véritablement révolutionnaires dans le secteur de l’isolation des toitures plates et entraînent de vraies économies : – Une résistance à la compression sans tassement (minimum 0,5 mm) garantie 25 ans, – Une résistance thermiques garantie 25 ans, – Une garantie sur l’étanchéité de l’ouvrage engageant FOAMGLAS® auprès du maître d’ouvrage pendant 15 ans après les 10 ans de garantie décennale de l’entreprise, – Une expérience de plus de 60 ans en Europe, avec des résultats prouvant que la résistance à la compression et la résistance thermique du FOAMGLAS® sont inaltérables dans le temps en technique « Toiture compacte ». Toiture technique Logements collectifs, Malakoff (92) D.T. de Malakoff HABITAT (rénovation) Toiture jardin Logements collectifs, Paris 12e Architecte : Beguin Macchini (75) (rénovation) Toiture accessible aux piétons Maison du département, Bourgoin Jaillieu (38) Architecte : Charon Rampillon (38) Toiture végétalisée Centre aquatique Les Iris, Antony (92) Architecte : BVL (75) Toiture solaire Océanopolis, Brest (29) Architecte : Jacques Rougerie (75) La toiture compacte FOAMGLAS® : un complexe isolant + étanchéité solide et étanche dans la masse
Il y a 3 ans et 287 jours

Les importations-exportations de matériels et d'outils profitent aussi de la reprise

ÉCONOMIE. Les industriels du bâtiment, des travaux publics et de la manutention ont vu leurs importations et exportations repartir de plus belle au premier semestre 2021, leur permettant de remonter la pente du Covid. La bonne tenue de l'investissement, les aides gouvernementales et le soutien à la rénovation énergétique expliquent cette situation.
Il y a 3 ans et 287 jours

Nouveau Comité Directeur pour l'AFIPEB sous la présidence renouvelée d’Amaury Omnès

Les membres de l’AFIPEB ont réélu Amaury Omnès - Directeur Général de Hirsch Isolation - en tant que Président de l’association. Ils ont élu Joaquim Correia - Directeur Marketing Stratégique de Knauf - en qualité de Vice-Président.Accompagné de Jean-Michel Guihaumé, Délégué Général de l’AFIPEB, Amaury Omnès a pour ambition de porter les enjeux de l’industrie du polystyrène expansé (PSE) et d’agir pour contribuer au développement de bâtiments performants sur le plan thermique et environnemental.Les enjeux de la filière s’articulent autour de six piliers :RE 2020Démontrer les vertus du PSE en tant que matériau isolant et les efforts de la filière pour la décarbonation des bâtiments dans un contexte de valorisation du biosourcé par les pouvoirs publics via la réglementation.RénovationPromouvoir les bénéfices de la rénovation énergétique des bâtiments et des énergies renouvelables. A cet égard, l’AFIPEB a rejoint le réseau « ENGAGÉ POUR FAIRE », initié par l’ADEME et le plan Bâtiment Durable.InnovationEtendre l'usage du PSE issu de la biomasse - matériau fabriqué à partir de bio-naphta et de bio-gaz - provenant de la valorisation de ressources renouvelables. Il contribue à réduire l’impact environnemental, notamment en terme d’émissions de CO2, et inscrit durablement ces isolants dans les modes constructifs actuels et à venir.RecyclageDévelopper le recyclage des chutes de produits neufs et collaborer activement au projet européen « Life+ PolyStyreneLoop » ciblé sur les déchets de polystyrène expansé issus des chantiers de démolition.Responsabilité élargie du producteur pour les produits et matériaux de construction du bâtiment (REP PMCB)Contribuer activement à la construction de cette filière REP dans une perspective d'améliorer la valorisation des déchets de PSE.EnvironnementRéinstaller le PSE comme matériau incontournable par sa pertinence (ratio poids carbone/performance thermique) et son efficience (performance technico-économique).De façon proactive avant l'obligation réglementaire, promouvoir les bonnes pratiques permettant d’éviter toute dispersion de granulés dans la nature. A ce titre, l’AFIPEB adhère à l’Opération Clean Sweep® (OCS), programme international de lutte contre la dispersion de particules dans l’environnement.Engagée et active, cette nouvelle équipe travaillera au développement et à la préservation d’une industrie française bien implantée sur l’ensemble du territoire. Elle s’attachera également à mettre en valeur les isolants PSE, performants et durables, qui participent de manière conséquente à la réduction de l’impact environnemental des bâtiments.
Il y a 3 ans et 288 jours

Conception écosystémique

Émission Bati-Journal.TV La construction biosourcée – conception écosystémique Emmanuel Pezres et Charlotte Picard, architectes à la ville de Rosny-sous-bois Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission sur la thématique « La construction biosourcée » avec Emmanuel Pezres et Charlotte Picard architectes à la ville de Rosny sous Bois venus nous parler de conception écosystémique. Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 288 jours

La structure bois traditionnelle à Paris

Émission Bati-Journal.TV La construction bois d’hier et demain – La structure bois traditionnelle à Paris Christophe Gomas (président Prenn Diagnostic) Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission sur la thématique « La construction bois d’hier et demain » avec Christophe Gomas, président de Prenn Diagnostic venu nous parler de la structure bois traditionnelle à Paris. Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 288 jours

Nouveau siège de RATP Habitat à Paris

Émission Bati-Journal.TV Vers la neutralité carbone avec le matériau bois – Nouveau siège de RATP Habitat à Paris Philippe Croisier, architecte Atelier du Pont Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission sur la thématique « Vers la neutralité carbone avec le matériau bois » avec Philipe Croisier, architecte chez Atelier du Pont, venu nous présenter le nouveau siège de RATP Habitat à Paris. Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 288 jours

Construction d’une maison de santé pluridisciplinaire

Émission Bati-Journal.TV La construction géosourcée – Construction d’une maison de santé Benoît Sindt architecte Studiolada sur le plateau TB de Bati-Journal Du 15 au 17 juillet 2021, à l’occasion du Forum Bois Construction, les équipes de Bati-Journal.TV donnent la parole aux professionnels en présentant une nouvelle édition du plateau TV installée dans le Grand Palais Éphémère. Retrouvez l’émission sur la thématique « la construction géosourcée » avec Benoît Sindt, architecte à Studiolada, venu nous présenter la construction d’une maison de santé pluridisciplinaire. Bati-Journal.TV, un événement organisé par Éditions des Halles et le Forum Bois Construction, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt en partenariat avec Wood Surfer, Planète Bâtiment et Atrium, patrimoine et rénovation.
Il y a 3 ans et 288 jours

Le projet de loi climat sera adopté fin juillet

Réunis jusque tard dans la nuit de lundi à mardi pour une commission mixte paritaire parmi "les plus longues de la Ve République" selon le gouvernement, les parlementaires des deux chambres ont trouvé un compromis sur ce projet de loi dense, inspiré des propositions de la Convention citoyenne pour le climat.Présenté début 2021, le projet de loi "climat et résilience" traduit une partie des 146 propositions de la Convention citoyenne pour le climat qu'avait retenues Emmanuel Macron. Elles vont de la suppression de certaines lignes aériennes intérieures en cas d'alternatives de moins de 2H30 en train à l'interdiction de location des logements passoires thermiques."Capacité à dépasser les clivages"Associé à d'autres lois et au plan de relance, ce texte "permet" à la France "de tendre vers l'objectif de -40%" des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030, assure l'entourage de la ministre.Lors de la commission mixte, le Sénat dominé par la droite "est revenu sur les reculs environnementaux qui étaient des lignes rouges pour le gouvernement, sur l'artificialisation des sols, les menus végétariens et encore la rénovation énergétique des logements", s'est-on félicité à Matignon."Il faut saluer cette capacité à dépasser les clivages politiques pour faire avancer l'écologie toujours plus loin", s'est réjouie sur Twitter la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili. Plus d'une centaine de textes d'application sont attendus, dans la foulée des ultimes votes de l'Assemblée et Sénat la semaine prochaine et de la promulgation du texte.Selon le rapporteur LREM à l'Assemblée Jean-René Cazeneuve, "l'un des combats les plus durs" entre députés et sénateurs a porté sur l'extension des zones à faibles émissions, sans véhicules polluants, aux agglomérations métropolitaines de plus de 150.000 habitants d'ici le 31 décembre 2024.Le délai n'a pas été assoupli comme le réclamaient les sénateurs, mais ils ont obtenu l'expérimentation d'un prêt à taux zéro pour l'achat de véhicules propres destiné aux habitants à proximité.Concernant l'implantation d'éoliennes, les députés se sont opposés à un droit de veto du maire souhaité par le Sénat. Mais "sans remettre en cause l'objectif", le maire pourra donner "son avis", selon Jean-René Cazeneuve.Le député évoque un texte "complété" par d'autres éléments venus du Sénat pour développer l'hydroélectricité, impliquer davantage les collectivités locales ou renforcer le volet accompagnement, notamment sur le forfait mobilités durables."Opération sauvetage""On a montré qu'on avait une vraie conscience de la problématique et qu'on voulait aussi lier tout ce qui était climat avec l'économie", souligne auprès de l'AFP le sénateur Jean-François Longeot, président centriste de la commission de l'Aménagement du territoire et du Développement durable."Chacun avait des totems" mais "on est arrivés à ne pas être moins-disant", d'après le député MoDem Erwan Balanant, qui souligne les "dix jours de négociations en amont". Le projet de loi est très critiqué par les ONG environnementales et les écologistes pour son "manque d'ambition"."Si une opération sauvetage a pu être menée par les parlementaires sur quelques mesures (zones à faibles émissions, menus végétariens, etc.), il n'y a pas eu de miracles et la loi reste très éloignée des objectifs climatiques et des attentes des citoyens", aux yeux de WWF France.Cet accord en CMP "se résume au plus petit dénominateur commun entre les chambres", ont aussi critiqué les socialistes, pointant "un accord au rabais, un échec pour la planète".Le 1er juillet, c'est le Conseil d'Etat qui a donné neuf mois à l'Etat pour prendre "toutes les mesures utiles". La plus haute juridiction administrative française a relevé que les trajectoires actuelles de la France ne lui permettent pas de respecter ses engagements dans le cadre de l'accord de Paris.
Il y a 3 ans et 288 jours

Nouvelle tuile rénovation faible pente

EDILIANS enrichit sa gamme de tuiles avec MÉDIANE RÉNO Gélis. Fidèle à l’esprit des tuiles canal du Sud, c’est une tuile à emboîtement grand moule fortement galbée destinée aux toitures à faible pente avec 5 coloris au choix pensés pour se fondre dans le décor naturel de la région toulousaine : Paysage, Rouergue, Rouge, Terroir et Tradition. Cette tuile offre une grande flexibilité et facilité de mise en œuvre, particulièrement adaptée aux contraintes de la rénovation grâce à son double jeu de pose dont un latéral de 3,5 cm considéré comme le plus grand du marché, et un longitudinal de 1,6 cm, un pureau latéral variable de 205 à 240 mm,11,1 à 13,6 tuiles/m2 selon recouvrement, des repères facilement identifiables.  Elle est compatible avec toutes les versions de la gamme MÉDIANE Gélis et ses accessoires (plain pan, faîtage, rive…).
Il y a 3 ans et 288 jours

Projet urbain : lancement des chantiers du Grand Val d’Aran à Colomiers

À Colomiers, la rénovation urbaine du quartier Grand Val d’Aran s’inscrit dans la politique de la Ville. Le projet entre dans sa phase opérationnelle.
Il y a 3 ans et 288 jours

Gérard Sénior : « Nous souhaitons accompagner la digitalisation de la filière »

Gérard Sénior a été élu à la présidence de Qualibat.[©ACPresse] Vous venez d’être élu président de Qualibat. Pouvez-nous nous rappeler ce qu’est cette association ?  Gérard Sénior : Qualibat est un organisme de qualification et de certification, qui a pour mission de valoriser les entreprises disposant d’un savoir-faire et de compétences. Ceci, afin que la confiance soit de mise dans chaque projet de construction et de rénovation. L’objectif principal de Qualibat est de promouvoir la fiabilité dans le bâtiment, en identifiant les acteurs de confiance du secteur. Aujourd’hui, près de 70 % des chantiers réalisés sur notre territoire le sont par des entreprises qualifiées ou certifiées. Nous sommes présents partout en France auprès des professionnels. Par nos permanents d’abord, répartis dans 10 délégations régionales et plus de 35 agences, mais aussi au travers de nos commissions d’examen, qui rassemblent près de 3 000 professionnels bénévoles, dans chaque département de l’Hexagone.  L’association comprend 26 organismes, tels que l’AQC, la Capeb, le CSTB, la FFB, l’Unsfa…. Aujourd’hui, elle recense 58 000 clients, dont 48 000 qualifiés RGE. Cette certification concerne les travaux liés à l’efficacité énergétique et aux énergies renouvelables. Les différentes commissions attribuent plus de 100 000 qualifications par an dans 124 000 catégories de travaux. Les commissions nationales attribuent plus particulièrement de sujets “technicités” de haut niveau, comme le béton armé, l’ossature bois, le bas carbone, l’amiante, les Monuments historiques… Alors que les catégories de travaux, dites “critiques”, bénéficient davantage d’audits dans le cycle d’attribution de la qualification. Ainsi, les experts Qualibat réalisent plus de contrôle sur les chantiers. C’est sont entre 16 000 et 26 000 audits qui sont réalisés par an. Prenant à cœur la certification de nos clients, nous nous employons à accompagner les entreprises dans ce processus de certification. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 289 jours

La CAPEB et Pôle emploi nouent un partenariat pour favoriser les embauches dans le secteur du BTP

Les entreprises artisanales confèrent, en effet, au bâtiment sa place de deuxième secteur en nombre d’établissements dans les territoires urbains et en zones rurales. Le secteur du bâtiment est l’un des secteurs qui a vu son activité croître ces dernières années, à l’exception de 2020. La transition écologique, au travers de la rénovation thermique des bâtiments, la transition numérique ou encore la rénovation du patrimoine ouvrent des opportunités d’emploi et de nouveaux besoins en compétences. Dans ce contexte, le partenariat entre la CAPEB et Pôle emploi vise un double objectif :Répondre à des besoins croissants de ce secteur qui connaît, depuis la fin du premier confinement en mars 2020, un niveau d’ offres équivalent à celui de l’année 2019 ;Agir conjointement sur les difficultés de recrutement récurrentes afin d’offrir de nouvelles opportunités de retour à l’emploi des demandeurs d’emploi. La volonté commune de la CAPEB et Pôle emploi est notamment de renforcer le travail en commun entre leurs réseaux respectifs, au plus près des entreprises artisanales, afin de faciliter le partage d’information sur les métiers et leurs spécificités locales. Cette coopération va se traduire par la mise en place de référents bâtiment, au niveau le plus pertinent, par la fiabilisation des informations des demandeurs d’emploi et par l’identification des compétences transférables afin d’élargir les recrutements à des candidats venant de secteurs différents en mobilisant, si nécessaire, les dispositifs de formation du secteur. Ce partenariat inclut également le repérage et l’accompagnement des demandeurs d’emploi ayant un projet de création ou de reprise d’entreprise. Pour Jean-Christophe Repon, Président de la CAPEB : « Le manque de main d’œuvre et la quasi-pénurie de main d’œuvre qualifiée sont le quotidien de nombre de nos entreprises. Malgré la période Covid, les commandes repartent, les carnets de commande se remplissent et, double peine pour les chefs d’entreprises, ils ne trouvent plus de salariés. Les acteurs publics de l’emploi et les forces vives économiques doivent définitivement collaborer d’une nouvelle manière dans le but de faire « matcher » au plus près des territoires l’offre et la demande d’emploi. Nous sommes dans un secteur, le bâtiment, qui est très attractif, où des carrières professionnelles peuvent se construire vite et bien. C’est le propos qu’il faut tenir aux jeunes, hommes et femmes, au moment de leur orientation afin de résoudre en profondeur ce problème d’emploi. » Pour Jean Bassères, Directeur général de Pôle emploi : « Pôle emploi se mobilise aux côtés des professionnels depuis longtemps et encore davantage dans la période que nous traversons pour agir contre les difficultés de recrutement. Cet accord en est la traduction. Le bâtiment propose des emplois qui se renouvellent et a toujours autant besoin de nouveaux talents dans tous les corps de métiers. Notre rôle est fondamental pour attirer différents profils vers ce secteur en forte demande et aussi pour promouvoir la création ou la reprise d’entreprise dans le secteur de l’artisanat du bâtiment. »
Il y a 3 ans et 289 jours

A Lyon, un urbanisme vert par petites touches

"Tout ce qui est au-dessus de 50 mètres" - définition administrative d'un immeuble de grande hauteur - "a été enlevé", décrypte-t-on à la société publique chargée d'aménager le site, la SPL Part Dieu. 100.000 mètres carrés de constructions sont passés à la trappe, presque exclusivement des bureaux.Végétalisé et "apaisé", le premier quartier d'affaires de France hors Paris doit devenir un endroit "à vivre", au service de ses habitants, ambitionnent les écologistes qui présentaient là leur premier grand chantier depuis leur arrivée à la tête de Lyon il y a un an."On ne veut plus d'hyper-spécialisation. Le mot clef, c'est rééquilibrage des usages", souligne-t-on à la SPL.Deux voies de circulation ont été réservées aux "modes doux" de déplacement. Et les rares espaces verts prévus seront un peu plus généreux.Michel Le Faou, qui pilota la politique d'urbanisme de la précédente équipe, s'attendait à "beaucoup plus percutant": pour lui, les écologistes "se sont contentés de +greenwasher+ le projet existant".VertueuxCar la transformation de ce quartier symbolique des errements des années 70, avec son architecture brutaliste et la priorité donnée à la voiture, était déjà bien engagée, selon des orientations dont nombre étaient "écolo-compatibles" .D'autres chantiers, moins écologiquement vertueux, étaient trop avancés pour être remis en cause. Les nouveaux élus ont dû avaler la construction d'un spectaculaire gratte-ciel jouxtant la gare, dont les premiers étages commencent à sortir de terre.Le président de la métropole, Bruno Bernard, écologiste lui aussi, et le maire de la ville, Grégory Doucet, se sont aussi retrouvés à couper le ruban après l'achèvement des travaux du centre commercial de La Part-Dieu - le plus vaste d'Europe en centre-ville.Un complexe certes désormais coiffé d'agréables terrasses végétalisées remplaçant un ancien parking mais symbole pour nombre d'écologistes d'une frénésie de consommation honnie.Quid de la suite ? Piétonnisation devant les écoles, plantations de mini-vergers, réduction des places de parking au profit du vélo: de multiples annonces depuis un an esquissent par petites touches la ville verte de demain.Mais l'opposition reproche aux écologistes un manque d'ambition, attesté par l'absence de ces grands projets qui ont marqué les mandatures précédentes, comme la réhabilitation des berges du Rhône et de la Saône."Ce qui a porté la visibilité de Lyon depuis 40 ans était sa capacité à se projeter vers l'avant grâce à des projets emblématiques", estime M. Le Faou. "On en voit peu sortir et ceux en cours sont soumis à réinterrogation ou mis en +stand-by+".Ce choix de prendre son temps avant de fixer les grandes orientations de la ville pour des décennies, les Verts l'assument pleinement."Je ne veux pas signer les permis de construire de bâtiments qu'il faudra détruire dans moins de quarante ans", affirme l'adjoint à l'urbanisme de la ville, Raphaël Michaud qui dénonce le lancement d'opérations trop "expérimentales" dans le passé.Bling-bling"Un projet qui part à la poubelle... Un autre... Encore un autre", confirme le promoteur local Didier Caudard-Breille, réputé pour ses sièges sociaux à l'architecture innovante, en égrainant les projets bloqués depuis l'arrivée des Verts. Il dit avoir appris l'abandon d'un projet de tour "par la presse".Il est certes parvenu à sauver son projet de rénovation/extension d'un vieil immeuble de La Part Dieu, mais en acceptant d'en sacrifier la partie "la plus novatrice": piscine, salle de sport et spa ouverts aux résidents - fortunés - de l'immeuble."On a mis à la place du logement social", se félicite M. Michaud. Le jeune élu reconnaît "des négociations parfois très dures avec les promoteurs" mais, dit-il, c'est une des conditions pour que Lyon survive au dérèglement climatique". Les futurs projets, assure-t-il, seront tous examinés sous le prisme de leur contribution à la transition écologique de Lyon.Même le nouveau quartier branché de la Confluence, où se multiplient les initiatives écologiques, ne trouve pas grâce à ses yeux. Trop "bling-bling", avec ses architectes stars (Kengo Kuma, Jean Nouvel, Rudy Ricciotti, Odile Decq...)."On y a beaucoup tenté mais, en matière d'écologie, c'était de la communication qui s'est faite dans des conditions financières exorbitantes, alors que dans le même temps on a abandonné d'autres quartiers", dénonce-t-il. Avec le projet Hikari, qui ambitionnait de devenir le premier îlot urbain à énergie positive d'Europe, "on s'est ridiculisé".En matière de planification urbaine, les Vert ne partent pas d'une page blanche à Lyon. Sans être la "ville du quart d'heure" appelée de leur voeux, l'agglomération est déjà largement multipolaire, surtout avec l'émergence des nouveaux quartiers de Gerland, de La Soie et bientôt de La Saulaie, où cohabitent assez harmonieusement bureaux et logements.Mais l'attractivité de la troisième ville de France a propulsé les prix de l'immobilier à des niveaux jamais atteints en province."La priorité du mandat, c'est le logement abordable, pas le logement tout court", insiste M. Michaud. Des outils ont été mis en place ou renforcés, comme les baux fonciers solidaires et l'augmentation du budget consacré au logement social.Mais s'il veut tenir ses ambitieux objectifs, l'exécutif devra trouver où construire, puisqu'il s'est engagé à ne pas bétonniser des surfaces encore intactes et à rebasculer en zones agricoles nombre de terrains jusqu'alors promis à l'urbanisation.
Il y a 3 ans et 289 jours

A Montréal, KANVA Architecture transforme un musée en outil immersif de sensibilisation et d’éducation à l’urgence de préserver les milieux naturels

La rénovation du Biodôme de Montréal par le cabinet d’architecture KANVA a consisté à... Cet article A Montréal, KANVA Architecture transforme un musée en outil immersif de sensibilisation et d’éducation à l’urgence de préserver les milieux naturels est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 3 ans et 290 jours

MaPrimeRénov': plus de 380.000 dossiers déposés en 2021

Lancée le 1er janvier 2020, MaPrimeRénov’ est devenue la principale aide de l’Etat à la rénovation énergétique des logements.A la fin du 2e trimestre 2021, plus de 380.000 dossiers ont été déposés et plus de 862M€ de primes validésMaPrimeRénov’ connait une très forte dynamique qui ne faiblit pas. 382.442 demandes ont déjà été déposées depuis le début de l’année, 195.000 l’ont été au 2e trimestre contre 185.000 au 1e trimestre 2021. Avec un délai moyen de réponse de 11,5 jours ouvrés, 297.003 dossiers ont été acceptés, pour un montant total de 862 millions d’euros de primes.MaPrimeRénov’ est ensuite versée à l’issue des travaux. 184.215 demandes de paiement ont ainsi été reçues et près de 146.124 ont été payées.88% des bénéficiaires sont satisfaits de MaPrimeRénov’, 69% d’entre eux n’auraient pas fait réaliser ces travaux sans cette aideMaPrimeRénov’ permet de financer les travaux d’isolation (murs, planchers, combles, fenêtres), de chauffage, de ventilation ou d’audit énergétique. Parmi les travaux les plus sollicités le changement de système de chauffage (64%), suivi des travaux d’isolation (32%). Les autres travaux (ventilation, audit, etc.) et l’assistance à maîtrise d’ouvrage représente 4% des demandes.A l’issue de ces travaux, 97% des bénéficiaires sont satisfaits du confort de leur logement.63% des dossiers déposés concernent des ménages aux revenus modestes et très modestesLes ménages modestes et très modestes restent les principaux bénéficiaires de MaPrimeRénov’, avec 63% des dossiers déposés depuis le début de l’année. MaPrimeRénov’ rencontre également un fort succès auprès des ménages aux revenus intermédiaires (33%). De nouveaux objectifs et un budget en hausseDevant le succès de MaPrimeRénov’, le gouvernement a fixé de nouveaux objectifs à l’Anah avec 700.000 à 800.000 primes distribuées en 2021, contre 500.000 initialement prévues. Par ailleurs, le budget prévisionnel alloués à MaPrimeRénov’ a été augmenté à 2,4 milliards d’euros, contre 1,7 milliards en début d’année, afin de répondre à l’engouement des Français pour la rénovation énergétique.
Il y a 3 ans et 290 jours

Un chantier de réhabilitation Quai Voltaire à Paris met à jour des trésors perdus

De plus en plus à l’étroit, le Musée d’Orsay s’est porté acquéreur d’un ancien hôtel particulier. Les travaux de rénovation ont mis à jour les vestiges d’un hôtel particulier du XVIIème siècle.
Il y a 3 ans et 290 jours

Athis-Mons : les travaux engagés sur les équipements sportifs continuent cet été

La rénovation du revêtement du terrain de football de la Cité de l’Air et la création d’un terrain multisport au parc d’Ozonville s’effectueront cet été.
Il y a 3 ans et 290 jours

19e édition des Coulisses du Bâtiment organisée par la FFB

Les 14 et 15 octobre prochains, les Coulisses du Bâtiment ouvriront leurs portes partout en France. [©DR] Les dates sont tombées ! Les 14 et 15 octobre prochains, les Coulisses du Bâtiment ouvriront leurs portes partout en France. Organisées par la FFB depuis 2003, elles permettent aux jeunes de découvrir l’envers du décor des chantiers. En effet, tous les curieux auront la possibilité de découvrir les secrets de fabrication et de rénovation. Grâce à l’investissement et à la détermination des professionnels, ce rendez-vous sera le moyen d’échanger entre les professionnels du métier et les étudiants. De quoi donner aux jeunes un aperçu des divers métiers du bâtiment. Chaque année, les Coulisses du Bâtiment accueillent 75 000 visiteurs à travers 4 500 sites en France.  Comme l’année dernière, cet évènement fera appel au digital. En 2020, c’était une visite de chantier en direct sur YouTube qui avait été réalisée. Pour l’édition 2021, le dispositif est renouvelé et sera aussi disponible sur Linkedin. L’ensemble des informations sur ce rendez-vous seront disponibles à partir de septembre.  Charline David
Il y a 3 ans et 294 jours

MaPrimeRénov' : près de 150.000 primes payées en 2021

RÉNOVATION. La dynamique de MaPrimeRénov' ne faiblit pas, d'après les derniers chiffres publiés par l'Agence nationale de l'habitat (Anah). D'après l'organisation, près de 150.000 primes ont d'ores et déjà été payées sur l'année 2021.
Il y a 3 ans et 294 jours

Rénovation des équipements sportifs à Compiègne cet été

Le centre d’archerie, le cercle hippique et le stade équestre du Grand Parc feront bientôt l’objet de travaux de rénovation dans le cadre du label Terre de Jeux 2024.
Il y a 3 ans et 294 jours

Plaisance-du-Touch : rénovation de la couche de roulement sur la RD 24

Du 19 au 23 juillet 2021, le conseil départemental de la Haute-Garonne procédera à la rénovation de la couche de roulement sur la RD 24, rue des Mésanges à Plaisance-du-Touch.
Il y a 3 ans et 294 jours

Les Directeurs de Domaines d'Action Stratégiques du CSTB s'expriment

Photo : Hemis - Bertrand GardelSur quels « sujets de société » le CSTB porte-t-il ses efforts de recherche ? Sophie Moreau - Photo : Raphaël Dautigny Le « bien vivre ensemble » est un objectif ambitieux qui touche l'humain et suppose des actions dynamiques mises en œuvre par la collectivité au sens large. Sophie Moreau, Directrice de Domaine d'Action Stratégique « Bâtiments et quartiers pour bien vivre ensemble » Alexandra Lebert - Photo : Raphaël Dautigny Le CSTB fédère les compétences, construit une vision transverse des sujets, et nourrit les collectifs dont vont émerger des solutions. L'ambition est de densifier le pilotage de la recherche pour utiliser au mieux les compétences internes et la dotation recherche et de construire des partenariats plus forts. Alexandra Lebert, Directrice des Domaines d'Actions Stratégiques « Bâtiments et villes face au changement climatique » et Directrice de Domaine d'Action Stratégique Recherche « Économie circulaire et ressources pour le bâtiment » Romain Mège - Photo : Raphaël Dautigny Il est assez rare de voir rénovation, fiabilisation et innovation cohabiter au sein d'une même thématique de recherche. C'est pourtant le parti pris du CSTB pour les dix prochaines années. Romain Mège, Directeur de Domaine d'Action Stratégique « Innovation, fiabilisation de l'acte de construire et rénovation » Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 294 jours

Baromètre de la rénovation énergétique : un rythme de travaux sans précédent

Une dynamique positive qui s'est poursuivie début 2021 témoignant de l'intérêt croissant des Français pour l'amélioration des performances énergétiques de leur habitat. Conséquence du lancement de MaPrimeRénov' et du renforcement général des aides au financement des travaux ? Prise de conscience environnementale ou simple contrainte économique ? Appréhension de la valeur verte de l'immobilier ou anticipation des nouvelles obligations de rénovation pour les propriétaires-bailleurs ?PrimesEnergie.fr, l'un des principaux délégataires CEE* accompagnant les particuliers dans la réalisation et le financement de leurs travaux, a analysé plus de 210.000 projets qu'il a financés en 2020 et au premier trimestre 2021 via le dispositif des primes énergie. Tour d'horizon des principaux enseignements.Un niveau record d'aides aux ménagesCela a été largement évoqué, la crise sanitaire et les confinements successifs ont permis aux Français de mieux conscientiser le besoin de travaux de rénovation énergétique dans leur logement et cela se voit dans les chiffres. Le nombre de chantiers financés par PrimesEnergie.fr : 146.845 rénovations en 2020, représente un chantier financé toutes les 3 minutes environ sur l'ensemble du territoire. Au total, ce sont ainsi 240 millions d'euros de primes énergie qui ont été reversés aux ménages pour un montant moyen de 1634€, en augmentation de 32€ par rapport à 2019. Un record depuis la création du dispositif en 2010. « Si l'on met de côté quelques semaines durant lesquelles l'activité du secteur a été stoppée par la crise sanitaire, nous n'avons jamais financé autant de travaux que depuis le début d'année 2020. Confort thermique, valorisation d'un patrimoine immobilier, conscience environnementale exacerbée par la crise ou volonté de faire des économies... Les raisons d'agir n'ont pas manqué pour les ménages qui ont passé beaucoup plus de temps chez eux, entre confinements et télétravail, concrétisant parfois des projets de longue date.La refonte des aides au financement avec MaPrimeRénov' d'un côté, et les primes énergie de l'autre, a sans doute amélioré la lisibilité de dispositifs qui restent souvent méconnus. Pour 2021, la tendance reste forte avec, et c'est une évolution majeure dans la politique gouvernementale, le passage depuis quelques mois d'une phase d'incitation à une nouvelle phase d'obligation en matière de rénovation énergétique. Avec l'exclusion des logements les plus énergivores du parc locatif à partir de 2023, c'est un changement de paradigme qui va directement impacter de nombreux propriétaires dans les années à venir », analyse Nicolas Moulin, fondateur de PrimesEnergie.frUne explosion du rythme des rénovationsAprès une phase de choc lors de la mise en place du premier confinement mi-mars 2020, le rythme des rénovations a progressivement repris sa marche en avant après une courte pause estivale, le second confinement, entré en vigueur le 30 octobre 2020, ayant eu par ailleurs un impact moindre grâce aux protocoles sanitaires en place. Si la chute du nombre de travaux de rénovation réalisés sur la fin 2020 a été contenue, la reprise début 2021 a explosé pour atteindre un niveau jamais vu depuis 2010. Sur le seul T1 2021, 65 205 chantiers ont été financés par PrimesEnergie.fr, soit presque deux fois plus qu'au T1 2020.Un effet MaPrimeRénov' sur les travaux privilégiés par les FrançaisPour une rénovation énergétique efficiente, il est nécessaire d'améliorer en temps 1 l'enveloppe du bâtiment, puis de remplacer le système de chauffage. Ces conseils, assez bien ancrés dans l'esprit des ménages, se retrouvent dans les principaux postes de travaux effectués en 2020. L'isolation du toit, qui représente à lui seul 30% des déperditions thermiques des logements, représente plus d'un quart des chantiers financés en 2020 (26%). Suivent ensuite les pompes à chaleur (13,3%), les chaudières à très haute performance (12,5%), puis l'isolation des murs (11,3%). Le remplacement de fenêtres, bien qu'étant moins efficace sur le plan énergétique, a néanmoins représenté 9% des primes reversées sur l'année.Cette stabilité générale cache toutefois quelques évolutions directement liées à la mise en place de MaPrimeRénov' début 2020. L'isolation des combles, qui a été exclue du dispositif MaPrimeRénov', a enregistré une forte baisse en 2020 alors qu'elle représentait 36% des chantiers en 2019. A l'inverse, les pompes à chaleur, qui font partie des travaux les mieux remboursés par MaPrimeRénov', ont enregistré une hausse substantielle puisqu'ils ne représentaient que 10,6% des chantiers en 2019. Cet impact de MaPrimeRénov' est spectaculaire sur les systèmes de chauffage au bois, aux-aussi particulièrement bien subventionnés : le nombre de chantiers financés par PrimesEnergie.fr a augmenté de +40% sur l'année 2020 par rapport à 2019.Cap sur les rénovations globales des logementsFin de l'isolation des combles à 1€, arrêt du « Coup de pouce » permettant le remplacement d'une ancienne chaudière gaz par une plus récente ainsi que celui permettant l'installation d'un radiateur électrique performant... à partir du 1er juillet 2021, le dispositif des primes énergie évolue.Si ces changements ont pu être perçus comme un coup de rabot sur le dispositif, il s'agit en réalité d'une évolution qui va dans le sens de l'Histoire de la rénovation énergétique des logements, avec un double objectif : réduire les effets d'aubaine pour des artisans peu scrupuleux, et orienter les Français vers des rénovations globales et plus performante des logements. Jusqu'en 2025, 5 milliards d'euros seront mobilisés chaque année via le dispositif des Certificats d'Economie d'Energie, qui reste entièrement cumulable avec MaPrimeRénov pour les ménages.Dans le cadre de ces rénovations globales des logements, un des enjeux ces prochaines années sera d'accompagner les ménages dans le choix de leurs travaux, via la réalisation d'audits énergétiques. Ces derniers permettront d'identifier clairement les priorités et ainsi d'optimiser le programme global de rénovation du logement.
Il y a 3 ans et 294 jours

La mise en ordre du musée Carnavalet

  Si la fonction de tour de guet n'est plus d'actualité, celle d'observatoire territorial connaît un nouvel essor, nourrie de préoccupations environnementales autant que de prétextes à attirer le touriste. La commande ainsi formulée semble peu propice à l'écriture contemporaine, laquelle risque d'être […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 295 jours

Le Club de l’Amélioration de l’Habitat fait six recommandations pour un renouveau urbain réussi

Aujourd’hui plus que jamais les valeurs d’entraide, de solidarité et d’efforts partagés doivent être soutenues pour accompagner la sortie de crise sanitaire et la reprise des mécanismes économiques dans l’intérêt collectif, tel que défini par les plans de relance gouvernementaux. Dans cette perspective, il apparaît que les activités du bâtiment peuvent jouer un rôle essentiel car elles ont par nature la faculté d’associer et fédérer les acteurs des filières du marché en produisant de la croissance et en favorisant la qualité de vie des populations.En ce sens, le Club de l’Amélioration de l’Habitat (CAH) oeuvre depuis sa création, il y a bientôt 30 ans, dans l’objectif de dynamiser et optimiser les travaux de rénovation du parc résidentiel existant au profit tant de son écosystème que des habitants eux-mêmes.Pour donner corps à ces principes fondateurs, les 2èmes assises du Club et son ouvrage “Réenchantons nos espaces de vie”, issu de travaux d’études partagés par les membres du Club et les experts métiers, matérialisent la vision contextuelle du marché du CAH sous deux angles d’approches et d’analyses distincts mais convergents et complémentaires.Ces deux thématiques partagent un même dénominateur, une même volonté ; mobiliser les forces vives du marché pour en soutenir sa dynamique, optimiser ses performances et accompagner ses multiples transitions : énergétiques, environnementales, urbaines, démographiques, numériques…Ses transitions caractérisent une évolution civilisationnelle devenue incontournable pour assurer le bien-être et l’avenir de l’Humanité dans les futures décennies.Opérations de Requalification Architecturale, Environnementale et Urbaine : les 6 recommandations pour un renouveau urbain réussi1 - Changer de maille pour revitaliser les îlots de quartierEn définissant un îlot de quartier comme nouvel espace urbain homogène et structuré, véritable organisme habité vivant.En qualifiant et quantifiant les besoins de rénovation et requalification du bâti localisé dans l’îlot en vue de rendre le lieu de vie plus attractif et valorisant.En favorisant le développement de la biodiversité, la réduction de l’étalement urbain et de l’artificialisation des sols. 2 - Associer les habitantsEn accompagnant tous les acteurs de la rénovation (maîtrise d’oeuvre/entreprises) dans leur relation avec les habitants et les maîtres d’ouvrage.En validant un diagnostic partagé par tous, chaque habitant volontaire expert de son cadre de vie deviendra ainsi expert de son quartier. 3 - (Ré)inventer la gouvernanceEn mobilisant les synergies publiques/privé et en associant les aménageurs, services publics, promoteurs, bailleurs sociaux, maîtres d’oeuvre, entreprises, industriels, notaires, agents immobiliers, concessionnaires de réseaux d’énergie… 4 - Développer de nouveaux outils numériquesEn mettant en place l’outil QIM, Quartier Intelligent Modélisé, proposé par la démarche OPERAEU et au-delà même de la jonction numérique du BIM (Building) et du CIM (City), il s’agira de modéliser l’ensemble des données territoriales intégrant les SIG (Système d’Information Géographique). 5 - Optimiser les synergiesEn mettant en place la méthode CQFD (Coût, Qualité, Fiabilité, Délai) pour optimiser les économies d’échelle, gagner en coût, qualité et délai.En proposant des outils collaboratifs pour ne plus penser exclusivement en “silo” mais par démarche partagée.En privilégiant les principes de l’économie circulaire. 6 - Valoriser les innovationsEn donnant à un bâtiment ancien des performances égales ou supérieures à celles des constructions neuves.En sortant de la seule performance thermique pour embrasser tous les sujets : confort, santé, bien-être, coût global et bilan carbone.En favorisant la créativité industrielle (process de fabrication off site).Retrouvez l’ensemble des résultats de l’enquête d’opinion CAH/Qualitel-IPSOS et la présentation de la démarche de requalification architecturale OPERAEU dans l’ouvrage de référence du CAH “Réenchantons nos espaces de vie”.Disponible en précommande le 29 juin sur le site www.cah.fr Visionnez le replay des 2èmes Assises du CAH en diffusion sur le site du Club
Il y a 3 ans et 295 jours

Une étude analyse les possibles raisons de la fin des offres de travaux à 1 € dans le résidentiel

Finies donc les offres à 1 € pour certaines opérations à succès, les primes jusqu'ici accordées vont globalement baisser de moitié pour l'isolation et fortement diminuer pour le chauffage gaz et les radiateurs électriques.D'autres aides financières perdurent toutefois, comme MaPrimeRenov', les primes issues des Certificats d'Économies d'Énergie¹ classiques, etc… Mais qui ne suffiront plus à couvrir un financement à 100 %.Une étude réalisée par Hellio, acteur de la maîtrise de l'énergie, auprès de ses bénéficiaires un an après avoir réalisé des travaux d'isolation de combles ou changé de chauffage pour une chaudière gaz ou à granulés de bois, apporte quelques éclairages sur les possibles raisons de cette diminution des aides : ces types de travaux se révèlent peu économes lorsqu'ils sont réalisés de manière isolée, et de surcroît, sans souci de maîtrise des éco-gestes. L'économie réalisée est également minimisée face à l'augmentation régulière des tarifs de l'énergie. La suppression des offres à 1 € pour ces travaux a aussi été décidée par le gouvernement pour mettre fin aux arnaques, à défaut d'une politique de contrôle suffisante. « Le sens de l'histoire veut que ces opérations doivent désormais se dérouler dans le cadre de bouquets de travaux et de rénovation globale, tout en étant sensibilisé à la maîtrise de sa consommation d'énergie. Des aides existeront encore, mais les ménages auront systématiquement un reste à charge pour leurs travaux de rénovation énergétique », commente Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques Hellio.Une étude menée sur plusieurs postes de travaux de HellioDans le détail, cette étude a été menée auprès de 13 819 bénéficiaires Hellio ayant isolé leurs combles il y a plus d'un an, ainsi que 842 ménages ayant remplacé leur équipement par une chaudière gaz à haute performance énergétique et 390 foyers par une chaudière à granulés de bois.Historiquement, Hellio a démarré son activité auprès du grand public avec l'isolation des combles, avant de lancer ses programmes de chauffage : d'abord les chaudières à granulés, puis le gaz, et enfin tout récemment la pompe à chaleur. En se positionnant sur plusieurs énergies de chauffage, Hellio souhaite proposer à chaque ménage le système le mieux adapté à la situation géographique, à la configuration du logement, mais aussi aux habitudes, et non pas imposer une solution unique sous prétexte de pouvoir mobiliser un maximum d'aides.Le spécialiste des économies d'énergie déploie ainsi des offres intégrées, de la réalisation des travaux jusqu'à la prise en charge administrative et l'avance des aides, en s'appuyant sur des équipements de qualité : des chaudières à granulés HS France, des chaudières gaz Viessmann et des pompes à chaleur de marques Daikin, Saunier Duval et Viessmann.Des petites économies…Si la majorité des répondants interrogés par Hellio indiquent avoir réalisé des économies sur leurs factures d'énergie un an après leur geste de travaux, celles-ci sont loin d'être spectaculaires.En effet, ¾ des répondants ayant réalisé des travaux d'isolation de combles indiquent avoir économisé moins de 100 € sur leur facture annuelle.Même constat du côté des répondants pour la chaudière gaz qui déclarent à 59 % avoir réalisé des économies annuelles inférieures à 100 € ; ils sont seulement 17 % à avoir vu leur facture annuelle diminuer de plus de 150 €.Les résultats sont un peu plus probants pour la chaudière à granulés, avec des économies légèrement supérieures : 67 % des répondants estiment avoir économisé plus de 150 € annuels, dont 49 % avec des économies supérieures à 250 €. La chaudière à granulés semble donc générer davantage d'économies. Mais cette différence ne s'explique pas forcément par la performance de l'équipement : « Les typologies de maisons ne sont pas les mêmes. Le granulé remplace souvent le fioul, dans des grandes maisons en zones plutôt rurales. Le gaz est davantage présent en zones urbaines, en appartements, où les gens sont raccordés au réseau de gaz. Le budget pour chauffer les maisons au fioul est souvent plus important du fait de la superficie des habitations supérieure à la moyenne, de l'ordre de 160 m² », précise Arthur Bernagaud, responsable des solutions Hellio pour le particulier.… corrélées à davantage de confortPour les 3 postes de travaux, les répondants sont unanimes et estiment tous bénéficier de davantage de confort. Le gain énergétique sur la facture dépend aussi des usages et de l'ordre dans lequel les travaux sont réalisés : « La théorie est de 30 % pour les économies d'énergie quand on remplace une chaudière, mais parfois il arrive qu'il n'y ait pas d'économies car celles-ci sont aussi corrélées aux usages ou liées à un manque d'isolation. Chez Hellio, nous essayons de changer les comportements, de parler de sobriété énergétique avec nos clients », analyse Artur Bernagaud.L'effet rebond, soit l'augmentation de l'utilisation d'un équipement suite à une diminution de son coût de fonctionnement, est l'une des principales explications : après avoir isolé, l'utilisateur ne baisse pas son chauffage ou a tendance à utiliser davantage ses équipements pour une raison de confort.« Notre partenariat avec Schneider Electric dans le pilotage de la consommation d'énergie prend tout son sens. L'enjeu est de vulgariser l'importance des écogestes et de la sobriété énergétique, pour arriver à une rénovation qui a de l'impact sur la facture », ajoute Marina Offel.Le choix d'une chaudière à granulés constitue un bon moyen de changer son comportement avec un geste environnemental, au-delà de recourir à une énergie renouvelable : « Le chargement des granulés donne conscience de sa consommation, c'est différent pour le gaz car on ne le charge pas. Les utilisateurs d'une chaudière à granulés sont ainsi plus attentifs à leur consommation d'énergie », explique Arthur Bernagaud.Privilégier les bouquets de travaux et la rénovation globaleAutre enseignement à relever, ces travaux isolés sont peu déclencheurs d'autres travaux. Plus de ¾ des répondants de l'étude sur l'isolation des combles n'envisagent pas de réaliser d'autres travaux de rénovation énergétique. Cette proportion est un peu moins importante chez les bénéficiaires d'une nouvelle chaudière gaz (58%) et d'une nouvelle chaudière à granulés (54%).Un constat qui va à l'encontre des efforts déployés actuellement par l'État pour encourager les particuliers à entreprendre des rénovations globales, incluant plusieurs postes de travaux, pour plus d'efficacité. Les chiffres de l'enquête TREMI réalisée par l'ADEME en 2017 confirment l'ampleur de la tâche à accomplir puisque 75% des travaux de rénovation en maisons individuelles n'ont pas permis à ces logements de changer de classe DPE.Mais ces types de travaux sont tout de même voués à perdurer puisqu'ils font partie des gestes préconisés dans le parcours d'une rénovation globale du fait du confort qu'ils apportent.« Les gestes de travaux isolés comme l'isolation des combles n'ont plus lieu d'être en 2021. Aujourd'hui, avec la fin des offres à 1 €, les efforts sont faits pour défendre l'isolation dans le cadre de bouquets de travaux ou d'une rénovation globale, voire mieux avec un isolant local et/ou biosourcé, de plus en plus demandé par les ménages, soucieux de recourir à des matériaux plus écologiques », analyse Marina Offel.La stratégie de Hellio est de faire du cas par cas, en fonction de la réalité de chacun. Car le reste à charge d'une rénovation globale (entre 20 000 et 25 000 € une fois les aides déduites) peut constituer un frein pour les ménages.Hellio recherche ainsi la meilleure solution à mettre en œuvre pour arriver à un gain énergétique performant, tout en bénéficiant d'un maximum d'aides : « Cela devient systématique de faire le bout à bout, dans un ordre de travaux bien établi afin d'arriver à des économies réelles. Lorsque nos clients nous appellent pour changer leur chaudière, nous leur demandons systématiquement si le logement est isolé car cela aura une incidence sur le choix de l'équipement de chauffage. Nous les encourageons vivement à privilégier les bouquets de travaux avec au moins 2 gestes car ils sont plus efficaces et moins coûteux que de les faire séparément », détaille Arthur Bernagaud.Diminuer les aides pour stopper les arnaquesGrâce au dispositif Coups de pouce lancés par l'État en 2019 dans le cadre du dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie (aides financées par les fournisseurs d'énergie tels que Total, Engie, Leclerc, etc.), il était possible jusqu'alors de faire isoler ses combles ou de changer son chauffage pour 1 € symbolique.Problème : cette offre attractive a très vite suscité l'intérêt de sociétés peu scrupuleuses et a donné lieu à de nombreuses arnaques. Pour se prémunir contre ces abus, il est important de rappeler que l'une des clés est de faire appel à un artisan certifié RGE (Reconnu Garant de l'Environnement) et de ne pas accepter une offre proposée lors d'un démarchage téléphonique, puisque celui-ci est interdit depuis le 1er septembre 2020.« Au départ, ces offres à 1 € étaient une bonne chose car elles étaient faites par des acteurs compétents et conscients que le reste à charge est le principal frein pour les ménages à engager des travaux ; elles ont permis de massifier les travaux de rénovation énergétique chez les particuliers en situation modeste. Mais, les contrôles de ces chantiers et les poursuites engagées contre ces entreprises ont été insuffisants, ne permettant pas de neutraliser des effets d'aubaine ! », déplore Marina Offel.Décision a donc été prise par le gouvernement de diminuer les aides financières :Le Coup de pouce Isolation des combles et planchers sera maintenu jusqu'au 30 juin 2022, mais ses forfaits seront diminués de moitié dès le 1er juillet 2021. Concrètement, les primes devraient ainsi passer d'une moyenne de 20 € par mètre carré actuellement, à une fourchette comprise entre 8 à 12 € (sur un coût compris entre 20 et 25 € par mètre carré de surface isolée).Concernant le chauffage, le cumul entre les primes CEE et MaPrimeRénov' qui permettaient des offres à 1 € pour l'installation d'équipements de chauffage (gaz, pompes à chaleur, chaudière biomasse…) était déjà conditionné à un reste à charge obligatoire depuis janvier 2020 : de 10 % du coût des travaux pour les ménages très précaires à 60 % pour les revenus plus élevés. Un moyen aussi de responsabiliser les consommateurs qui seront sans doute plus vigilants dans le choix de leur entreprise. Car débourser plusieurs milliers d'euros induit d'être davantage attentifs à la qualité des travaux. Le reste à charge pour une chaudière gaz sera donc plus important à partir du 1er juillet 2021, en fonction des revenus du ménage : entre 1 600 et 2 000 € contre 500 à 600 € avant.Les barèmes d'aides restent en revanche inchangés pour la chaudière à granulés de bois et la pompe à chaleur (air/eau ou eau/eau ou hybride) qui continuent de bénéficier du Coup de pouce Chauffage.1 Le dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie, appelés CEE, a été mis en place par l'État en 2006 pour financer la transition énergétique. Ce dispositif oblige les fournisseurs d'énergie à inciter les consommateurs à réaliser des économies d'énergie avec des objectifs à respecter pour des périodes données. Les ménages aux revenus modestes à très modestes peuvent bénéficier d'un soutien renforcé. Afin d'obtenir des Certificats d'Economies d'Energie (CEE), les fournisseurs d'énergie peuvent distribuer des aides financières aux particuliers pour financer partiellement ou totalement leurs travaux d'économies d'énergie.
Il y a 3 ans et 295 jours

Retrouvez la prise de parole d'Hervé Charrue - Directeur général adjoint en charge de la recherche et du développement du CSTB

Hervé Charrue - Photo : Raphaël DautignySur quels « sujets de société » le CSTB porte-t-il ses efforts de recherche ? L'incarnation des sujets et leur appropriation ont été au cœur de la démarche de la refondation de la Recherche du CSTB, aboutissant à quatre domaines d'action stratégiques. Cela passe en priorité par une ambition avec, comme finalité, « des bâtiments et des quartiers pour bien vivre ensemble » qui s'appuie sur une recontextualisation des principaux défis sociétaux comme « des bâtiments et des villes face au changement climatique », qui adresse largement les clés de la réussite par « l'innovation, la fiabilisation de l'acte de construire, la rénovation » et, pour finir, mobilise « l'économie circulaire et les ressources pour le bâtiment ». Bien évidemment, et c'est sans doute ce qui fait la différence entre le CSTB et ses partenaires par rapport aux autres acteurs, ceci suppose une approche systémique et pluridisciplinaire, tant socioéconomique que technique de ces domaines d'action stratégiques. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 296 jours

Raupur Acoustic, la plaque isolante associant confort thermique et isolation acoustique

57 % des français s’estiment aujourd’hui plus sensibles à la qualité de l’environnement sonore qu’auparavant*. Déjà en 2017, 77 % des Parisiens déclaraient avoir été réveillés la nuit par des bruits de voisinage**.C’est pourquoi REHAU a mis au point un produit unique qui associe le confort thermique et le confort acoustique lors de l’installation de plancher chauffant-rafraîchissant : la plaque isolante RAUPUR ACOUSTIC. La sous-couche acoustique mince de 3 mm (SCAM) est directement intégrée sous la plaque REHAU classique en polyuréthane RAUPUR. Le poids reste léger, la plaque maniable et la hauteur de réservation inchangée.Faisant partie des produits les plus performants du marché, RAUPUR ACOUSTIC assure une atténuation de 23 dB aux bruits de chocs entre étages, c’est-à-dire principalement les bruits de pas et de chute d’objets.En allant plus loin que les exigences actuellement demandées dans la construction de logements collectifs et individuels accolés (généralement de l’ordre de 20-21 dB d’atténuation), RAUPUR ACOUSTIC contribue donc au confort des utilisateurs en réduisant les nuisances sonores et les bruits de voisinage.« Lorsqu’un objet tombe, les ondes vont se transmettre jusqu’à l’ossature du bâtiment par les murs.L’intérêt de poser une sous-couche acoustique, est d’étouffer ce bruit avant qu’il n’atteigne les parois » commente Franck Delaboissière, délégué technico-commercial REHAU pour les régionsRhône Alpes et Languedoc Roussillon.* Source : Centre d’information et de documentation sur le bruit, juillet 2020.** Source : Baromètre Qualitel.Destinée à la construction neuve et à la rénovation, la plaque isolante RAUPUR ACOUSTIC est idéale pour les logements collectifs, mais aussi les hôtels, les immeubles de bureaux, les établissements de santé ou d’enseignement où elle contribue à réduire les bruits de chocs et de pas liés aux allées et venues constantes. Enfin, en maison individuelle, RAUPUR ACOUSTIC s’avère être un allié pour limiter les bruits et favoriser la tranquillité à chaque niveau de l’habitation.« RAUPUR ACOUSTIC séduit les bureaux d’études, les architectes et les constructeurs par sa facilité d’utilisation et sa multi-compatibilité. Ce produit tout en un leur permet de garantir une pose parfaite de la sous-couche acoustique sur la totalité du sol et de gagner du temps sur les chantiers. » complète Franck Delaboissière.Combinant une large palette de bénéfices dont des économies de transport, de manutention et de temps de pose grâce à sa fonction 2 en 1,RAUPUR ACOUSTIC est un matériau idéal tant pour les professionnels qui le mettent en œuvre que pour le consommateur final au quotidien.
Il y a 3 ans et 296 jours

Charente-Maritime : Chacun sa route, chacun son chemin…

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine La nouvelle promenade du Port Neuf à La Rochelle. [©LafargeHolcim/Spie Aménagement Littoral] La Rochelle travaille à la rénovation de la digue de Port-Neuf à Chef-de-Baie, transformée en une vaste promenade. Pour cela, LafargeHolcim a proposé un total de quatre types de bétons, pour deux lots distincts. « Pour la partie génie civil, il s’agissait de créer un muret de protection, explique Sébastien Mabille, commercial en charge du dossier. Il nous fallait une prise rapide et une résistance aux effets du littoral, nous avons donc prescrit un béton Chronolia. »Ce dernier a été mis en œuvre par l’entreprise Echart GC. Sur la promenade, le choix a été fait de déterminer les différents modes de circulation par des finitions de béton spécifiques. Un béton bouchardé, un béton imprimé et un béton légèrement désactivé, pour les piétons d’un côté, les cyclistes de l’autre, et au centre, les skates et autres rollers. « A ce niveau, la difficulté était liée une accessibilité au chantier très réduite. Ces bétons décoratifs ont donc été mis en œuvre à la pompe par Chatelier Pompage Service. De fait, nous avons adapté nos formulations afin qu’elle soit pompables… » Lire aussi les autres actualités en région Tous les bétons ont été fournis à partir des deux centrales LafargeHolcim de La Rochelle. A savoir, celles de Pallice et de La Jarne.« Les coulages ont eu lieu sur trois mois, avec des perturbations dues aux intempéries. Nous coulions selon une rythmique de deux interventions par semaine, avec des volumes de 50/80 m3, grâce à quatre à cinq toupies à chaque fois », conclut Sébastien Mabille. Au total, 5 000 m3de bétons auront été coulés le long du littoral rochelais. Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 296 jours

Nouvelle-Aquitaine : Une région dynamique

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine En Nouvelle-Aquitaine, les carrières et matériaux de construction ont généré un chiffre d’affaires de 1,09 Md€. [©ACPresse] La région Nouvelle-Aquitaine représente 57 400 établissements travaillant dans le bâtiment, dont 24 % traitant de gros œuvre. Au total, l’ensemble du secteur pèse 12,3 Md€, soit 7,9 % du PIB régional. Un chiffre d’affaires qui se répartit à 58 % pour l’entretien-rénovation et 42 % pour la construction neuve. Du côté des effectifs, le secteur représente 99 770 personnes, auxquelles s’ajoutent 42 615 emplois non-salariés et 11 602 intérimaires en équivalent temps plein. Les effectifs de la branche sont en constante augmentation depuis 2016 et ont retrouvé le niveau qui était le leur en 2013. La locomotive de la région étant, de loin, la métropole bordelaise. En comparaison, les travaux publics génèrent “seulement” 4 Md€ de chiffre d’affaires, avec 4 751 établissements référencés sous le code NAF “Travaux publics”, et 896 entreprises adhérentes à la Caisse des congés payés des TP. Au total, ces derniers pèsent 24 104 emplois salariés, plus 2 527 emplois non-salariés et 4 017 intérimaires en équivalent temps plein. Des effectifs qui ont retrouvé un niveau quasiment similaire à celui de 2013.  Lire aussi les autres actualités en région Par ailleurs, les carrières et matériaux de construction ont généré un chiffre d’affaires de 1,09 Md€. Ceci, avec 342 entreprises représentant 761 sites de production, répartis entre 383 unités de granulats, 233 de BPE et 145 de minéraux industriels, pierres de construction et roches ornementales. Sur le milliard d’euros de chiffre d’affaires, 481 M€ proviennent des granulats, 433 M€ du BPE et 176 M€ des autres branches. Au total, 7 892 emplois dépendent des carrières et matériaux de construction.  Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine