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Il y a 3 ans et 324 jours

Barda’Clean : des plaques de parement auto-nettoyantes signées Perin & Cie

Le Barda’Clean est issu de la préfabrication en béton, il est conçu en partenariat avec Ciments Calcia. [©Perin & Cie] Les maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre recherchent avant tout des aspects environnementaux, durables et esthétiques pour leur projet de façades. Désormais, Barda’Clean est une marque de bardages issue de la préfabrication en béton. Ce produit a été développé par Perin & Cie, qui se positionne comme un nouvel acteur dans le domaine de la façade. Barda’Clean protège la structure et son isolation des intempéries, mais aussi de la chaleur du soleil. Il évacue la condensation pour améliorer dans le temps la qualité et le confort thermique du bâtiment. De plus, ce bardage préfabriqué s’adapte à toutes les structures et peut devenir un plafond ou une couverture. Il est idéal pour les projets de rénovation. Enfin, il permet un traitement graphique des façades. Un partenariat gagnant Barda’Clean est issu d’un partenariat avec le cimentier Ciments Calcia, qui a mis au point un ciment dépolluant par catalyse et auto-nettoyant. Garantissant une façade propre sans entretien. L’Avis technique utilisé pour ce produit est celui Fe l’Effix de Ciments Calcia. Les plaques de bardage peuvent se développer sur une surface maximum de 2 m2 pour une épaisseur Fe 2 cm. Elles sont ensuite accrochées par des agrafes selon le procédé VetiClip de Vetisol à une ossature métallique ou bois. Ce système de bardage rapporté ventilé se met en œuvre en neuf, en rénovation, pour le tertiaire ou le résidentiel collectif. Mise en œuvre du bardage dans une crèche à Issy-les-Moulineaux. [©Perin & Cie]
Il y a 3 ans et 325 jours

Portée par le bâtiment, la création d'emplois dans l'artisanat a bien résisté à la crise sanitaire en 2020

Si un effondrement de l'emploi était à craindre dans de nombreux secteurs, il semble que l'artisanat ait limité la casse. En 2020, les emplois salariés ont ainsi mieux résisté dans l'artisanat (+1,7% par rapport à 2019) que dans l'ensemble du secteur privé (-2%). Une tendance positive observée sur l'ensemble du territoire. Bonne surprise également du côté des indépendants : l'année a été marquée par une très légère augmentation des immatriculations (+1% par rapport à 2019) malgré la baisse d'activité des micro-entrepreneurs.Emploi salarié : il s'est maintenu sur l'ensemble du territoire malgré la criseEn 2020, malgré l'impact de la crise sanitaire et la crise économique qui en a découlé, l'emploi salarié a bien mieux résisté dans l'artisanat (+1,7% par rapport à 2019, soit 28.000 emplois créés) que dans l'ensemble du secteur privé où les effectifs ont diminué de 2% (-311.000).Évolution 2019-2020 des emplois salariés par région et par secteurToutes les régions enregistrent une légère croissance des emplois salariés mais la dynamique est moins forte dans les régions du centre-est de la France. C'est en Corse et en Provence-Alpes-Côte d'Azur que l'on observe les plus fortes augmentations (+3%). La création d'emplois a été moins forte dans le Grand-Est, en Bourgogne-Franche-Comté, en Auvergne-Rhône-Alpes, en Bretagne et en Centre-Val de Loire (+1%), mais le solde reste positif.Marielle Vo-Van Liger, Directrice Marketing et Communication MAAF : « Malgré la crise qui l'a touché de plein fouet, et qui pouvait faire craindre un effondrement de l'emploi, le secteur de l'artisanat a prouvé sa grande capacité de résistance et de résilience. Si certaines activités ont été plus pénalisées que d'autres à l'instar de la coiffure et des soins esthétiques, la faute aux multiples périodes de confinement qui n'ont pas eu les mêmes répercussions selon les secteurs, l'artisanat a réussi à maintenir ses emplois salariés dans toutes les régions, même les plus touchées par la crise. »La création d'emplois portée par le BTP et l'alimentationLa tendance positive observée à l'échelle nationale est menée par l'artisanat du BTP (+3% d'emplois par rapport à 2019, 24.100 emplois créés) et de l'alimentation (+3%, 5.100).Une croissance qui s'explique par la hausse de la demande en travaux de rénovation et de la consommation à domicile et par le retour vers les circuits de proximité. Les effectifs sont stables dans l'artisanat des services et de fabrication.Évolution 2018-2019-2020 des emplois salariés par secteurDans le détail, ce sont donc les secteurs du BTP qui sont les plus créateurs d'emplois et ce malgré l'arrêt des chantiers lors du premier confinement : maçonnerie générale/construction (+3%, soit 8.530 emplois créés en 2020), électricité / plomberie (+4%, 7.130 emplois) et travaux de finition du bâtiment (+2%, 6.760 emplois). Viennent ensuite la boulangerie-pâtisserie (+2%, 3.010 emplois), les services automobiles (+2%, 2.590 emplois) et la boucherie-charcuterie-poissonnerie (+3%, 1.610 emplois).Sans surprise, les secteurs qui ont connu les plus grandes pertes d'emplois sont les secteurs qui ont été les plus touchés par les confinements successifs : les transports (-4%, -540 emplois), la coiffure et les soins esthétiques (-2%, -2020 emplois).Une baisse des embauches à relativiser en dehors du crack du 1er confinementLes entreprises de l'artisanat ont réduit leurs embauches de 8% en 2020. Une baisse que l'on peut imputer aux mauvais résultats du 2ème trimestre 2020, période durant laquelle la France a été très strictement confinée. À cette époque, les entreprises de l'artisanat ont réduit leurs embauches de 32% par rapport à 2019. Un recul observé dans l'ensemble des secteurs : l'alimentation (-44%), les services (-35%), la fabrication (-34%) et le BTP (-23%).Toutefois, si l'on regarde les chiffres des trois autres trimestres, on observe que la dynamique de recrutement est relativement stable en 2020 par rapport à 2019 : -1% d'embauches au 1er trimestre, +2% au 3ème et –2% au 4ème.Évolution 2019-2020 des déclarations uniques d’embauche par secteurLa reprise des recrutements aux 3ème et 4ème trimestres est tirée par l'artisanat du BTP, avec des recrutements en hausse de 9% par rapport aux mêmes trimestres de l'année précédente.Dans les autres secteurs, on observe de légers reculs qui peuvent s'expliquer par une baisse d'activité, par la plus grande prudence des entreprises mais aussi par la moindre mobilité des salariés (ils ont été probablement moins nombreux à changer d'entreprise, il y a eu donc moins de remplacements à pourvoir). Seul le secteur de l'alimentation a subi une baisse importante des embauches au dernier trimestre 2020 (-18%, surtout des CDD courts).Catherine Élie, Directrice des études de l'ISM : « La baisse globale des embauches dans l'artisanat en 2020 a été fortement influencée par le coup de frein brutal porté aux recrutements dans la plupart des secteurs d'activité au 2ème trimestre, dans le contexte du premier confinement qui a mis le pays sous cloche et l'économie sur pause. Il faut donc relativiser cette baisse. Lorsqu'on regarde l'année dans son ensemble, on constate que la dynamique de recrutement s'est plutôt bien maintenue par rapport à 2019, attestant une nouvelle fois de la bonne résistance du secteur de l'artisanat face à la crise, grâce notamment aux dispositifs d'aide mis en place. »Création d'entreprises : très légère augmentation des immatriculationsÉvolution 2019-2020 des immatriculations en par trimestreBonne surprise : l'incertitude économique engendrée par la crise sanitaire n'a pas freiné la dynamique entrepreneuriale en 2020. Les immatriculations ont ainsi connu une légère augmentation d'1% sur l'ensemble de l'année.Encore une fois, c'est le 2ème trimestre 2020 qui fait exception : on enregistre à cette période un recul de 25% des immatriculations. Sur l'ensemble de l'année, la progression des immatriculations concerne surtout l'artisanat de fabrication (+4%) et le BTP (+2%). Le léger recul des immatriculations observé dans le secteur de l'alimentation (-2%) peut s'expliquer par une baisse des opérations de transmission-reprise, liée au contexte d'incertitude.Une baisse d'activité chez les micro-entrepreneursMoins couverts par les dispositifs d'aide, les micro-entrepreneurs de l'artisanat ont été sévèrement touchés par la crise. Cela d'autant plus que les chiffres d'affaires déclarés montrent une baisse moyenne de 12% de leur chiffre d'affaires, en particulier dans les activités de taxis-VTC (-57%) et de coiffure / esthétique (-32%).FOCUS : Revenus des travailleurs indépendants : ceux des micro-entrepreneurs sont deux à six fois moins élevésLes micro-entrepreneurs se distinguent des autres travailleurs indépendants par le niveau de leurs revenus, beaucoup plus faible.L'écart est le plus élevé dans les activités de l'artisanat de fabrication : en 2018, le revenu annuel moyen (charges payées) était de 3 871 € contre 33 949 € pour un indépendants du régime classique. * données 2019 non encore disponibles pour les travailleurs indépendantsTéléchargez l’étude complète en cliquant ici
Il y a 3 ans et 325 jours

Le CSTB et Cobaty signent un partenariat d'une durée de quatre ans

Joël LE GOFF, Directeur Général de Cobaty, Étienne CRÉPON, Président du CSTB - Crédit photo : COBATY-CSTBCobaty qui a pour ambition de rassembler l'ensemble des métiers du bâtiment, de l'urbanisme et de l'environnement, dans un cadre d'éthique et d'engagement environnemental et le CSTB, dont l'une des missions clé est de garantir la qualité et la sécurité des bâtiments et d'accompagner l'innovation de l'idée au marché, ont signé récemment une convention de partenariat pour quatre ans. Ce partenariat porte sur le développement et la mise en place de coopérations aux plans national et local, rassemblant les principaux champs de compétences de Cobaty et du Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) : L'architecture, les bâtiments, les techniques de construction ; La maîtrise des risques ; La réglementation (évolutions règlementaires) ; La certification ; L'énergie ; La qualité environnementale ; La qualité des ambiances aux échelles bâtiment et urbaine : qualité de l'air, acoustique urbaine, ... ; L'éclairage, le rayonnement électro-magnétique, ... ; L'eau et l'assainissement ; Le numérique, via les tests de logiciels ; La formation. À propos de Cobaty : Cobaty entend rassembler l'ensemble des métiers du bâtiment, de l'urbanisme et de l'environnement, dans un cadre d'éthique et d'engagement environnemental. Avec 4 700 adhérents répartis dans 132 associations, COBATY, grâce à la multiplicité de ses compétences et de son dynamisme, est devenue un interlocuteur apprécié des institutions et des collectivités territoriales. Cobaty est reconnue par les pouvoirs publics des pays dans lesquels elle est implantée. Rechercher et innover avec compétence est la réalité de COBATY. La détermination, la diversité, l'ouverture aux autres, la volonté de communication et le souci de la performance, au visa de l'expérience de ses membres, sont les qualités essentielles de cet ensemble unique et performant que constitue l'Association COBATY FEDERATION INTERNATIONALE qui, au fil des ans, est devenue une véritable Institution. À propos du CSTB : Entreprise publique au service de ses clients et de l'intérêt général, le CSTB a pour ambition d'anticiper les bâtiments et la ville pour demain en accompagnant et sécurisant les projets de construction et rénovation durable pour améliorer la qualité de vie de leurs usagers. Le CSTB, Centre Scientifique et Technique du Bâtiment, exerce cinq activités-clés : la recherche et expertise, l'évaluation, les essais, la certification et la diffusion des connaissances, organisées pour répondre aux enjeux des transitions énergétique et numérique dans le monde de la construction. Son champ de compétence couvre les produits de construction, les bâtiments et leur intégration dans les quartiers et les villes. Avec près de 1000 collaborateurs, ses filiales et ses réseaux de partenaires nationaux, européens et internationaux, le groupe CSTB est au service de l'ensemble des acteurs de la construction pour faire progresser la qualité et la sécurité des bâtiments. En savoir plus : Le site web de Cobaty Le site web du CSTB
Il y a 3 ans et 325 jours

Coénove s'inquiète des conséquences de la future loi climat sur le mix énergétique

La définition d'une rénovation « performante » limitée aux seules catégories A et B montre une ambition certes volontariste, mais qui va exclure des énergies pourtant indispensables à l'atteinte des objectifs de transition énergétique, et ce, alors même que la Direction générale de l'énergie et du climat indiquait dans une note récente qu'un parc au niveau A, B ou C permettrait de tenir les objectifs de neutralité carbone en 2050.Il faut savoir que, du fait du seul critère carbone, les logements gaz sont exclus de la classe B, même les plus performants, répondant aux exigences de la RT actuelle, la RT 2012. Rappelons que, dans le même temps, le seuil Energie de cette même classe B a été desserré, passant de 90 kWh Ep/an/m2 à 110 ... Drôle de performance ! Mais les Sénateurs ne semblent pas avoir vu la manœuvre !La réglementation qui serait issue de ce projet de loi exclurait donc les solutions gaz et flècherait très majoritairement la rénovation dite performante vers les solutions électriques avec les conséquences inévitables suivantes :Aggravation des pointes électriques imposant de renforcer les infrastructures d'acheminement de l'électricité pour un coût élevé,Restriction des choix donnés aux ménages à des solutions très coûteuses (PAC air/eau, chaudières bois ...), ce qui pose la question de la soutenabilité de cette mesure et son impact sur la décision de rénover.Ces amendements conduisent également à discriminer le gaz renouvelable avec un seuil carbone inaccessible à court terme, alors que le chantier de son déploiement est largement engagé.A vouloir laver plus blanc que blanc en excluant des solutions bien implantées dont le verdissement est en cours, on risque en définitive de freiner la rénovation et de passer à côté de l'objectif.
Il y a 3 ans et 325 jours

Covid : quelles répercussions économiques pour les acteurs du bâtiment ?

Comment les acteurs du Bâtiment se sont-ils adaptés aux conséquences des trois confinements durant les 14 derniers mois ? Une étude du groupe EBP fait le point.
Il y a 3 ans et 325 jours

Hôtel-Dieu: la gauche parisienne et la CGT espèrent un "moratoire"

La gauche parisienne et la CGT ont appelé à un "moratoire" sur le projet de rénovation de l'hôpital Hôtel-Dieu, dont un tiers de la surface a été cédé pour 80 ans à un promoteur immobilier.
Il y a 3 ans et 326 jours

Certivéa dévoile une radiographie inédite de la rénovation durable des bâtiments tertiaires en France

La rénovation énergétique des bâtiments existants est l'un des leviers prioritaires pour accélérer la transition écologique de notre pays et viser sa neutralité carbone à l'horizon 2050.673 bâtiments tertiaires rénovés, certifiés ou labellisés en développement durable depuis 2006En France depuis 2006, 673 bâtiments non résidentiels rénovés des secteurs public et privé, ont été certifiés ou labellisés par Certivéa pour leurs performances attestées en matière de développement durable. Localisés sur la quasi-totalité du territoire métropolitain, ces bâtiments sont concentrés sur la région Ile de France (80,5%).Ils concernent majoritairement des bureaux (86%) et des établissements d'enseignement (7%) et représentent au total une surface cumulée de 6,4 millions de m².Parmi les acteurs les plus engagés en faveur de la « rénovation durable » en France, on retiendra notamment les foncières GECINA, ALTAREA COGEDIM, BNP PARIBAS, mais aussi des acteurs publics comme l'Université de Bordeaux, la SNCF ou encore le Conseil Général des Alpes de Haute Provence.On note enfin que les acteurs qui engagent leur projet de rénovation en certification ou labellisation ont tendance à opter plutôt pour une démarche « multicritère » qui leur permet d'appréhender de front les questions d'énergie, de santé & confort des occupants, de management de projet responsable, etc.Patrick Nossent, président de Certivéa : « Le plan France Relance consacre la rénovation énergétique des bâtiments comme le chantier majeur pour un monde plus durable. Avec 4 milliards d'euros alloués à la rénovation des bâtiments publics, les décideurs territoriaux et les collectivités locales seront naturellement très attendus pour montrer l'exemple en initiant des projets de rénovation durable partout dans notre pays. La réglementation, avec le décret tertiaire, demande par ailleurs désormais à tous les acteurs du bâtiment non résidentiel, quelle que soit leur envergure, d'abaisser les consommations énergétiques de leur parc de 40% dès 2030. Si cette radiographie 2021 démontre l'engagement remarquable des foncières en particulier dans l'immobilier de bureau, elle est clairement destinée à évoluer dans les toutes prochaines années. A suivre ! »Secteur public : plus de la moitié des bâtiments certifiés en rénovation sont des établissements d'enseignementDans le détail, on compte à l'heure actuelle 75 bâtiments publics rénovés certifiés ou labellisés. Autant d'opérations « exemplaires » initiées par les acteurs publics, notamment les collectivités, pour lutter contre l'urgence climatique et offrir une qualité de vie meilleure à leurs concitoyens avec des bâtiments plus sobres en énergie, plus respectueux de l'environnement, de la santé et du confort des usagers. Plus de la moitié (53%) des bâtiments publics rénovés sont des établissements d'enseignement, et un peu plus du quart (28%) concerne des bureaux. Localisés dans 9 régions métropolitaines, ils sont concentrés entre l'Ile de France (38,7%) et la Nouvelle Aquitaine (32% ).Sur le podium des acteurs les plus investis en faveur de la rénovation durable, on retrouve l'Université de Bordeaux, la SNCF et le Conseil général des Alpes de Haute Provence.A l'instar des tendances observées sur le plan national, les acteurs publics optent majoritairement (62%) pour des démarches de certifications et labellisations globales.Le bureau, moteur de la rénovation durable dans le secteur privéAvec 596 opérations certifiées ou labellisées en rénovation depuis 2006, le secteur privé porte la très grande majorité (88,5%) des projets de rénovation durable.Le secteur de l'immobilier de bureau, qui représente à lui seul 93% des opérations est le moteur de la rénovation durable dans le privé. Le secteur de l'hôtellerie cumule 2% des opérations certifiées, le restant (5%) concerne les commerces, l'enseignement et la santé.En cohérence avec les tendances générales, ces projets sont répartis sur l'ensemble du territoire métropolitain avec une concentration en Ile de France (85% ).Sur le podium des acteurs les plus engagés en faveur de la rénovation durable dans le privé, on retrouve GECINA, ALTAREA COGEDIM et BNP PARIBAS.Pour retrouver plus de détails et notamment sur les secteurs du bureau et de l'enseignement, la radiographie Certivéa de la rénovation durable est disponible en téléchargement en cliquant ici.
Il y a 3 ans et 326 jours

Les travaux de Notre-Dame de Paris en timelapse

Les travaux sont colossaux, et l’enjeu est de taille : la cathédrale Notre-Dame de Paris, qui accueillait en moyenne 30 000 visiteurs par jour et qui tenait 2000 offices par an, est toujours fermée. Les dégâts sont immenses, la flèche surplombant Notre-Dame, qui mesurait 96 mètres et qui faisait l’objet d’une rénovation lorsque le brasier s’est déclenché, s’est effondrée sur la toiture en feu. Déformées par la chaleur du feu, les 40 000 pièces de l’échafaudage déployé pour l’atteindre constituaient une menace importante. Le découpage de l’échafaudage autour de la flèche s’est achevé en novembre dernier grâce au travail des échafaudeurs, cordistes, nacellistes et grutiers. La phase périlleuse des travaux de sécurisation et de consolidation, préalable à la restauration de l’édifice, devrait désormais s’achever avant l’été prochain.Pour témoigner de cet effort et pour partager l’avancée de ces travaux avec le monde entier, la Fondation Notre Dame a choisi Digibox, une société spécialisée en réalisation de timelapses et en suivi de chantiers. La solution Digibox est un boîtier connecté qui permet d’effectuer des prises de photos à intervalles réguliers et programmés pour répondre aux enjeux de la communication des projets de construction dans l'immobilier, le BTP, la rénovation de chantiers historiques. Il est utilisé aussi bien en tant qu’outil pour le suivi de chantier en temps réel que pour la réalisation de films dans un but de communication. Le produit final est une banque de photos intelligentes et la réalisation d’un film timelapse retraçant l’histoire d’un projet et de son chantier. La solution Digibox est déployée dans toute la France pour de nombreux secteurs d’activités et de chantiers différents.“L’incendie de Notre-Dame a été un véritable drame pour la communauté chrétienne et pour le monde entier, c’est un symbole de la France qui a été touché. Il est très important pour nous de pouvoir rassurer les fidèles et les donateurs sur l’avancée des travaux en cours, et grâce à la solution innovante proposée par le mécénat de Digibox, c’est chose possible. Sans les dons que nous recevons chaque jour, il serait impossible de restaurer le mobilier, de financer les aménagements intérieurs et de continuer à faire rayonner Notre-Dame le temps du chantier” explique Christophe Rousselot, délégué général de La Fondation Notre Dame.
Il y a 3 ans et 326 jours

Grand prix de l'Urbanisme 2021 : l'AUC ou la nécessaire rénovation de l'urbanisme

Décerné par le ministère de la Transition écologique, le grand prix de l’Urbanisme distingue cette année l'AUC, des architectes Djamel Klouche, Caroline Poulin, François Decoster et Alessandro Gess. Celle qui était, en 2008, la plus jeune des équipes lauréates de la consultation internationale du Grand Paris, voit ainsi […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 328 jours

Rénovations tertiaires : le bureau largement en tête des certifications

TERTIAIRE. Jusqu'à aujourd'hui, les bureaux et les écoles restent moteurs de la rénovation durable en France, d'après l'organisme Certivéa, qui a mené une étude sur les bâtiments non résidentiels certifiés depuis 2006.
Il y a 3 ans et 328 jours

«Les rénovations doivent se dérouler dans le cadre d’une approche globale », Frédéric Lafage, président de la fédération Cinov

A l’occasion de sa réélection à la tête de la fédération Cinov, Fréderic Lafage dresse le bilan de son premier mandat et se projette dans l’avenir.
Il y a 3 ans et 329 jours

Du bâtiment intelligent à un environnement sain

Au cours des années précédentes, NanoSources s'était concentré sur le développement commercial de produits innovants respectueux de l’environnement, centrés pour les milieux industriels, de la construction, de la rénovation du bâtiment, ou encore pour augmenter la production d'énergie du panneau photovoltaïque. Pour extérieurs et intérieurs de l’habitat, les solutions pour surfaces et matériaux se déclinent en nettoyant, démoussant, hydro-oléofuge imperméabilisant, à des produits dits «intelligents» qualifiés par la gamme SurfaShield.Ci-contre à gauche : photo d’un banc nettoyé puis traité partiellement à gauche par SurfaShield C, la partie de droite reste non traitée.Résultat après plus de deux ans, en extérieur.Sous forme liquide, applicable par pulvérisation, SurfaShield est un auto-actif qui rend en continue une surface: dépolluante (dépollue l’air extérieur et intérieur), autonettoyante, auto-stérilisante détruit toute présence de microbe, spore, bactérie…), dépourvue de traces de pollution, odeur, taches, fongiques, mousses sans modifier un mur ou tout matériau traité, le laissant totalement respirer. Dure plus d’une dizaine d’année, sans former de film.Ces produits intelligents, s’ancrent aux micropores des surfaces et s’activent par la lumière naturelle (du jour) ou artificielle agissant en continue et apportant à la surface traitée des performances multiples et durables.Photo de gauche : dépôt de bactériesPhoto de droite : bactéries désagrégées, sur une surface traitée avec SurfaShieldPour répondre à la crise du COVID-19, participer à freiner la pandémie de SRAS-CoV-2 NanoSources a été plutôt préparé ne se limitant pas uniquement aux gels antiseptiques pour les mains, mais à une série complète de préparations nettoyantes, désinfectantes, et de protections actives aux propriétés microbicides, antivirales et antiseptiques.Les boutons et les touches, les sièges utilisés quotidiennement sont parmi les surfaces les plus contaminées. Il a été démontré qu'un bouton d'ascenseur peut être près de 40 fois plus contaminé qu'un abattant de toilettes publiques. Même si la surface est désinfectée une ou deux fois par jour, la charge microbienne n'est éliminée qu'avec l'utilisation de produits intelligents, qui agissent constamment comme un bouclier de protection hygiénique de surface.Pour plus d'information consultez le site du fabricant : https://nanosources.fr/
Il y a 3 ans et 329 jours

Une toiture de 17.000 m² éclairée avec Onduclair Thermo

Cette nouvelle toiture est destinée à recevoir des panneaux photovoltaïques sur ses pentes orientées au sud. Les plaques en fibrociment amianté, devenues trop vieilles, étaient susceptibles, à terme, de présenter un risque pour les occupants du bâtiment et ne permettaient pas de répondre à ce nouveau projet. L'entreprise ETERA a été choisie pour la rénovation de cette très grande couverture de 17.000 m². Elle a assuré le désamiantage de l'ensemble, par la dépose des anciennes plaques, puis la pose de la nouvelle couverture qui devra recevoir les panneaux photovoltaïques.Des panneaux sandwich isolants avec un parement extérieur en acier ont été sélectionnés pour ce chantier et, pour que l'intérieur du bâtiment profite de la lumière du jour, les panneaux translucides en polycarbonate ONDUCLAIR THERMO ont été choisis pour ponctuer de sources lumineuses la nouvelle couverture.« La particularité des plaques ONDUCLAIR THERMO est qu'elles proposent la même épaisseur que les panneaux sandwich, elles sont parfaitement compatibles ce qui a facilité leur intégration dans la nouvelle couverture »affirme Laurent Ferret, le directeur d'ETERA.La solution ONDUCLAIR THERMO d'ONDULINE a en effet été spécifiquement développée pour être associée à des panneaux sandwich en couvertures neuves ou en rénovation et éclairer l'intérieur des bâtiments (usines, hangars agricoles, ERP...). La plaque ONDUCLAIR THERMO est composée de 2 parties : une plaque en polycarbonate ou en polyester et une plaque inférieure en polycarbonate alvéolaire. Sa transparence assure un confort maximal à l'intérieur des bâtiments grâce à une transmission lumineuse accrue.ONDUCLAIR THERMO - Facile à poser« La charpente était très ancienne, avec des entre axes entre pannes très irréguliers » ajoute Laurent Ferret,« il faut souligner la souplesse et la réactivité d'ONDULINE qui nous a permis de bénéficier de nos plaques ONDUCLAIR aux différentes dimensions demandées ».Le montage des panneaux ONDUCLAIR THERMO est simple et rapide. Les panneaux se posent à l'avancement, en même temps que les panneaux métalliques. Les panneaux sont dotés de renforts longitudinaux sous chaque nervure principale pour augmenter leur rigidité.Facile à mettre en œuvre et profitant d'une grande résistance aux impacts, la solution ONDUCLAIR THERMO est flexible selon les besoins des chantiers.Déclinée en de nombreuses épaisseurs (30, 40, 50, 60, 80, 100, 120, 140, 150 mm), elle permet une adaptation parfaite aux différents panneaux sandwich métalliques du marché.Les lames d'air des panneaux agissent comme un isolant naturel. Pour plus de confort et afin de satisfaire les besoins les plus exigeants en termes d'isolation, ONDULINE propose une option T (Confort Thermique) qui offre des coefficients d'isolation performants (jusqu'à 0,836W/m².K).Les solutions ONDUCLAIR THERMO se déclinent en une large gamme pour répondre à tous les besoins :ONDUCLAIR THERMO PC : système de panneaux sandwich dont la peau supérieure est en polycarbonate d'une épaisseur d'1 mm et la peau inférieure en polycarbonate alvéolaire.ONDUCLAIR THERMO PLR : système de panneaux sandwich dont la peau supérieure est en polyester d'une épaisseur d'1,2 à 1,6 mm et la peau inférieure en polycarbonate alvéolaire.ONDUCLAIR THERMO PC T et PLR T : systèmes avec option « Confort Thermique » pour une isolation accrue.ONDUCLAIR THERMO PC R et PLR R : systèmes avec option « Renforcé » pour une résistance aux charges accrue et une plus grande facilité d'installation en neuf ou en rénovation.ONDUCLAIR PC TR ET PLR TR : systèmes profitant des 2 options « Renforcé » et « Confort Thermique » permettant d'allier performance thermique, mécanique et facilité de mise en œuvre.
Il y a 3 ans et 329 jours

Les ventes de Saint-Gobain s'envolent avec la reprise de la construction

"Les ventes des mois d'avril et mai continuent à afficher de très bonnes tendances, soutenues par la dynamique du marché de la rénovation en Europe, tout particulièrement en France, la croissance des marchés de la construction en Amériques et en Asie-Pacifique, ainsi que par la poursuite de l'amélioration séquentielle des marchés industriels", explique Saint Gobain dans un communiqué.La situation sanitaire "reste toutefois incertaine, en particulier au Brésil - avec un impact limité sur nos activités - et en Inde, pénalisée sur les deux derniers mois" précise le groupe."Dans ces conditions, le résultat d'exploitation du premier semestre 2021 devrait clairement dépasser le niveau historique du second semestre 2020. La marge d'exploitation du premier semestre 2021 devrait ainsi atteindre un nouveau record", précise le communiqué.Néanmoins, le groupe n'a pas modifié l'objectif qu'il avait publié pour l'ensemble de l'année lors de l'annonce de ses résultats du premier trimestre le 29 avril.Il avait alors indiqué qu'il visait pour l'année "une forte progression du résultat d'exploitation à structure et taux de change comparables", avec une hausse de la marge d'exploitation de "plus de 100 points de base (1 point de pourcentage, ndlr) par rapport aux 7,7% de 2018"."Saint-Gobain va effectivement très bien, puisqu'on a fait des résultats record au 2e semestre et que le 1er semestre 2021 sera encore meilleur", s'est félicité le patron de Saint-Gobain Pierre-André de Chalendar, invité sur BFM Business."On a travaillé nos coûts, on a fait notre programme de transformation qui a été prêt un an plus tôt, on a insufflé un nouveau dynamisme avec une organisation très décentralisée par pays", a avancé M. de Chalendar pour expliquer les résultats des "douze derniers mois à fin juin, les meilleurs de notre histoire".A la Bourse de Paris jeudi, le titre Saint-Gobain a clôturé en tête du CAC 40, en hausse de 4,19% à 57,70 euros, dans un marché qui a terminé en léger recul de 0,21%.Depuis le début de l'année, le cours de l'action s'est envolé de plus de 50%, soit une hausse trois fois plus importante que celle du CAC 40 qui a progressé de 17,28% depuis janvier.En outre, l'assemblée générale du groupe a voté jeudi en faveur du changement de gouvernance avec l'arrivée à partir du 1er juillet de Benoit Bazin, actuel directeur général délégué, comme nouveau directeur général, alors que Pierre-André de Chalendar, actuel PDG, ne garde que la présidence du conseil d'administration.Au cours de la séance, M. Bazin a notamment réaffirmé l'ambition de Saint-Gobain de devenir "l'acteur central de la construction durable partout dans le monde".En réponse à la question d'un actionnaire, Pierre-André de Chalendar a souligné l'impact positif des plans de relance gouvernementaux sur l'amélioration des résultats du groupe.En France, "nous avons commencé à voir un petit impact de Ma Prim'renov dans la deuxième quinzaine de mars, en avril et en mai, et on va avoir un impact plus important au 2e semestre" a-t-il dit en précisant qu'il attendait aussi un impact positif des mesures de rénovation et d'isolation des bâtiments publics en 2022 et 2023.
Il y a 3 ans et 330 jours

Nouveau radiateur électrique Acova ATOLL : Confort et performance à prix doux

De nombreux logements sont encore chauffés par de vieux appareils électriques énergivores qui appellent à être remplacés par des modèles plus confortables et plus économiques tels que le nouveau radiateur électrique Acova ATOLL. Intégrant une interface de régulation en partie haute pour une plus grande ergonomie, il offre un excellent compromis entre design intemporel, performances et prix. UNE ESTHÉTIQUE UNIVERSELLE  Composé d’éléments plats verticaux blancs, le radiateur électrique horizontal Acova ATOLL présente un design sobre et bien pensé avec l’interface de régulation digitale intégrée en partie haute qui facilite l’accès aux commandes. Il se décline en 1 hauteur (575 mm) et 6 largeurs (de 397 à 1277 mm) pour offrir une solution de chauffage à toutes les pièces. De faible épaisseur (saillie au mur de 10,5 cm seulement), il bénéficie d’un encombrement réduit. Avec sa conception en aluminium et sa technologie à inertie fluide, Acova ATOLL assure un chauffage rapide, doux et homogène dans la pièce. DES PERFORMANCES ET DES FONCTIONNALITÉS AU SERVICE DU CONFORT Grâce à l’interface de régulation digitale intégrée, l’utilisateur accède à de nombreuses fonctionnalités lui permettant de réaliser des économies d’énergie : détection d’ouverture et fermeture de fenêtre (diminution automatique du chauffage jusqu’au mode Hors Gel en cas d’absence prolongée. Retour à la consigne après détection de la fermeture). indicateur digital de consommation, 3 programmes pré-enregistrés non modifiables et un personnalisable, régulation précise au 1/10ème de degré, sélecteur de modes (Confort, Eco, Hors Gel, Auto, Arrêt), fil pilote 6 ordres Pour que tous les utilisateurs, et notamment les personnes malvoyantes, puissent facilement accéder au confort procuré par Acova ATOLL, le fabricant a équipé ce radiateur d’une touche marche/arrêt en relief. Un signal sonore se met également en marche lors de la mise en chauffe et à l’arrêt du radiateur. La sécurité des personnes est également préservée grâce à la protection des parties actives (joue électronique et interface) contre les chocs (IK09 – mini IK04) et l’étanchéité (IP34 – mini IP24). Acova ATOLL peut être piloté à distance par smartphone, en rajoutant l’accessoire Acova Heatzy Elec’Pro. Ce programmateur connecté à la box du foyer en WiFi permet ainsi de piloter et gérer le chauffage à distance. Grâce à sa fixation en H et au faible poids de son matériau en aluminium, ATOLL est facile à installer. CARACTÉRSITIQUES TECHNIQUES  Acova, marque du groupe Zehnder, commercialise en France des radiateurs et sèche-serviettes de chauffage central et chauffage électrique destinés aux marchés de l’habitat, en neuf et rénovation. Le groupe Zehnder (618 millions d’euros de chiffre d’affaires) développe, produit et vend des solutions d’ambiance intérieures saines, confortables et économes en énergie, avec des offres complètes de chauffage, rafraîchissement, ventilation et purification d’air. Le groupe Zehnder est présent sur le marché français à travers ses marques commerciales Acova et Zehnder. https://acova.fr/
Il y a 3 ans et 330 jours

Pompe à chaleur + photovoltaïque en autoconsommation : un bon couple en neuf, comme en rénovation

Voici deux exemples, l’un en maison individuelle neuve, l’autre en collectif existant, montrant l’intérêt de l’association de pompes à chaleur et d’installations photovoltaïques en autoconsommation.
Il y a 3 ans et 330 jours

Nouvelle caméra thermique Testo 883

La caméra thermique Testo 883 voit tout et offre une assistance intelligente. [©Testo] La nouvelle caméra thermique Testo 883 a été spécialement développée pour les professionnels qui ont besoin d’un outil aux fonctions intelligentes pour détecter la moindre différence de température d’un bâtiment. Pour analyser en détail les images et pour réaliser rapidement des rapports thermographiques fiables avec une qualité d’illustration parfaite. Grâce à cette caméra thermique, aucune anomalie thermique pendant la maintenance électrique et mécanique n’est oubliée. Les plus de la caméra thermique Testo 883 La Testo 883 voit tout et offre une assistance intelligente. Elle recherche les ponts thermiques et les défauts d’isolation. Elle enregistre directement dans l’image thermique le lieu de mesure correspondant. Ceci, grâce à la technologie Testo SiteRecognition. En effet, cette dernière prend en charge l’enregistrement et la gestion des images thermiques de manière automatique. En évitant les confusions et les erreurs d’évaluation, cette fonction fait gagner du temps au technicien. Car l’attribution manuelle des images n’est plus nécessaire. De plus, la sensibilité thermique inférieure à 40 mK permet de mettre en évidence même les différences de température minimes lors du conseil en rénovation énergétique et de la thermographie des bâtiments. La caméra thermique bénéficie d’une résolution infrarouge de 320 x 240 pixels, extensible à 640 x 480 pixels. Pour réaliser une thermographie précise des bâtiments ou d’objets éloignés, son objectif standard 30° x 23° est remplaçable par un téléobjectif 12° x 9°. Toujours connecté pendant le travail Outre la gestion des lieux de mesure, le logiciel Testo IRSoft permet de réaliser aussi l’analyse, le traitement et la documentation détaillés des images thermiques. Il est téléchargeable gratuitement sur : www.testo.com/irsoft. Enfin, l’App Testo Thermography offre de nombreux atouts au technicien. Notamment, la réalisation d’analyses rapides sur site ou l’intégration des valeurs de mesure de la pince ampèremétrique Testo 770-3 dans l’image thermique. Et également l’utilisation d’un smartphone ou d’une tablette comme deuxième écran… Grâce à l’écran tactile qui facilite l’accès au menu et à l’outil de rédaction de rapports du logiciel intuitif Testo IRSoft, ces derniers sont créés de manière rapide et aisée. Les images infrarouges et réelles s’affichent simultanément à l’écran dès l’analyse et sont automatiquement ajoutées à celui-ci. Différents modèles sont disponibles (format PDF ou RTF au choix), tant pour une documentation courte et rapide que pour des rapports détaillés. Ils reprennent toutes les informations pertinentes sur le lieu et les tâches de mesure, ainsi que les résultats des analyses.
Il y a 3 ans et 330 jours

Isolation : quelles sont les failles dans un bâtiment ?

Le chauffage représente 60 % de la consommation énergétique des bâtiments et la facture flambe si la construction est mal isolée. Les déperditions thermiques alourdissent inévitablement la facture d’électricité et il faudra entamer des travaux d’isolation de l’extérieur ou de l’intérieur. Faisons le point sur les failles en matière d’isolation dans un bâtiment. Les failles d’isolation d’un bâtiment Les déperditions thermiques dans un bâtiment peuvent provenir du toit, des murs, des portes, des fenêtres, des planchers bas, des ponts thermiques ainsi que des fuites et du renouvellement de l’air. Le toit, les murs et le renouvellement de l’air Les professionnels de l’isolation se doivent de savoir d’où viennent les pertes de chaleur afin de conseiller au mieux les clients. L’artisan peut recommander à son client d’isoler son bâtiment avec Hellio, afin de réduire les déperditions thermiques. Il est à noter que : 30 % des déperditions thermiques dans un bâtiment proviennent du toit, lorsque la chaleur s’échappe des combles mal ou pas isolés 20 % proviennent des murs avec une déperdition de la chaleur en raison d’une isolation insuffisante à l’extérieur le renouvellement de l’air et les fuites, quant à eux, représentent également 20 % des pertes de chaleur dans un bâtiment Les ponts thermiques, les ouvertures et les planchers bas Les ponts thermiques sont responsables de 5 % des déperditions de chaleur dans une construction. Il s’agit de zones discontinues entre les parois de la structure et les matériaux qui finissent par rompre la barrière isolante. Les joints et les vitrages des portes et des fenêtres causent 15 % des pertes thermiques, tandis que 10 % proviennent des sols mal isolés. Isolation optimale : les solutions et les subventions existantes Une bonne isolation permet de maintenir un confort thermique optimal dans un bâtiment, en été comme en hiver. Elle réduit également les bruits provenant de l’extérieur et permet d’économiser sur la facture énergétique. Votre rôle sera donc également de renseigner vos clients à ce sujet. Les solutions pour une isolation optimale Les solutions d’isolation d’un bâtiment sont nombreuses, mais l’idéal est de se tourner vers un professionnel qui pourra diagnostiquer l’efficacité énergétique du logement. Il sera également en mesure d’identifier les sources des déperditions à traiter. Pour diminuer les pertes de chaleur dans un bâtiment, il conviendra de réaliser des travaux d’isolation du toit, des sols et des murs. Il faudra également : réduire les pertes thermiques en isolant par l’extérieur, limiter les fuites d’air via un calfeutrage ou de la mousse polyuréthane, opter pour des portes ainsi que des fenêtres isolantes. Isolation : les aides disponibles en 2021 L’État propose de nombreuses aides financières afin de vous accompagner dans votre volonté de transition énergétique pour le bâtiment. Ces aides permettent le financement de toute ou partie des opérations de rénovation énergétiques engagées. Les postes éligibles sont le changement de chauffage ainsi que les postes d’isolation thermique. En 2021, les Français peuvent bénéficier des CEE (certificats d’économies d’énergie) qui concernent des travaux liés à l’enveloppe de l’habitat. Il peut s’agir de l’isolation de la toiture/des combles, des planchers bas et des murs. Ils peuvent également profiter de la prime Coup de Pouce Isolation s’ils sont classés en tant que ménages « modestes ».
Il y a 3 ans et 330 jours

Anne Hidalgo inaugure le musée Carnavalet après une rénovation "titanesque"

Anne Hidalgo et la ministre de la Culture Roselyne Bachelot ont inauguré la réouverture du musée Carnavalet, après quatre années consacrées à la rénovation intégrale du plus vieux musée de la ville.
Il y a 3 ans et 330 jours

Rénovation du musée Carnavalet – Histoire de Paris

Chatillon Architectes, associé à Snøhetta et l’agence NC, Nathalie Crinière, signe la rénovation du musée Carnavalet – Histoire de Paris qui a rouvert ses portes le 29 mai 2021. Quatre années d’importants travaux ont été nécessaires pour magnifier le bâtiment, redécouvrir son architecture, le mettre aux normes, améliorer son accessibilité et l’expérience du visiteur, dans un seul et unique but : « tout renouveler, sans rien changer ». Tout l’enjeu du projet consistait à répondre à un grand nombre d’objectifs tout en conservant une continuité avec l’histoire et l’esprit du musée. Il s’agissait ainsi de redécouvrir certains volumes, rouvrir des fenêtres, remettre le bâtiment aux normes, le rendre accessible, créer un nouveau parcours de visite, et donner une touche contemporaine à l’ensemble grâce à de nouveaux aménagements, le tout sans rien dénaturer. Les quelque 3 800 œuvres exposées, sur les 625 000 que comporte la collection, trouvent désormais leur place au sein d’un parcours cohérent, pour la première fois chronologique, utilisant tous les interstices du monument au fil de plus de 180 vitrines créées sur mesure par l’agence NC, Nathalie Crinière.  « La rénovation place le visiteur au cœur du projet. L’accueil, le confort de la visite, l’accès aux jardins ont été particulièrement étudiés. De nouveaux espaces de circulation sont désormais adaptés au bâtiment », ajoute Valérie Guillaume, directrice du musée Carnavalet – Histoire de Paris. Chatillon Architectes a été sélectionné pour ce projet en raison, notamment, de sa vision centrée sur le respect du déjà-là, l’enjeu étant de restaurer et restructurer le musée sans perturber le charme d’un lieu particulièrement apprécié des Parisiens. L’agence considère effectivement chaque projet comme une occasion, éclairée par la connaissance, d’identifier la valeur de l’existant et les attentes de notre époque, et de faire entrer les deux en corrélation. Le musée retrouve son entrée d’origine, située au 23, rue de Sévigné, ouvrant l’accès au bâtiment le plus ancien de tout le musée : l’Hôtel de Lignéris. Dès leur arrivée, les visiteurs profitent ainsi d’un accueil réaménagé et adapté à un public en nette croissance. La circulation se fait désormais de façon plus fluide, agréable et respectueuse du site. Le sol de l’espace d’accueil a été choisi dans le but de créer une continuité avec l’extérieur, en évoquant les anciennes écuries. De grandes baies vitrées permettent de garder, là encore, le lien avec l’extérieur. Plusieurs façades, toitures, ainsi qu’une grande partie des menuiseries extérieures ont été restaurées. Chatillon Architectes a créé de nouveaux espaces de réserves sur site répondant aux normes de conservation préventive pour toutes les œuvres d’art de la collection, et mis l’ensemble du bâtiment aux normes techniques (électricité, sûreté des œuvres, sécurité incendie…). Les salles consacrées aux expositions temporaires ont elles aussi été restaurées et mises aux normes internationales en vigueur afin de pouvoir accueillir des expositions d’envergure.   Photo : Cyrille Weiner    
Il y a 3 ans et 330 jours

Rénovation énergétique : jusqu'à 800.000 demandes d'aides attendues en 2021

"MaPrimeRénov' est un succès incontestable pour la rénovation chez les particuliers", s'est félicitée la ministre mardi, lors de la séance des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale."Pour cette année, nous avions prévu 400 à 500.000 dossiers, nous en sommes aujourd'hui à 300.000, notre hypothèse est maintenant entre 700 et 800.000 dossiers de demande de +MaPrimeRénov'+, soutenue par le plan de relance", a-t-elle détaillé.Lancé en janvier 2020 pour remplacer le crédit d'impôt à la transition énergétique (CITE) chez les particuliers, ce nouveau dispositif a bénéficié à 200.000 ménages en 2020.Le gouvernement a réservé deux milliards d'euros de plus qu'initialement prévu pour cette seule prime d'ici à fin 2022. Alors qu'elle ne concerne que les propriétaires occupant leur logement, elle va être ouverte en cours d'année à ceux qui le louent à quelqu'un d'autre.La rénovation énergétique des logements est aussi un objectif régulièrement mis en avant dans la lutte contre le réchauffement climatique, le bâtiment (logement et bureaux) représentant un quart des émissions de gaz à effet de serre en France."En quatre ans, grâce à un meilleur ciblage progressif des aides, nous avons augmenté de 50% - de 4,8 TWh à 7,2 TWh - les économies d'énergies réalisées chez les ménages, ce qui nous permet d'être sur notre trajectoire sur les accords de Paris", a estimé Emmanuelle Wargon.
Il y a 3 ans et 331 jours

La gauche parisienne et la CGT espèrent un "moratoire" sur la rénovation de l'Hôtel-Dieu

"On veut un moratoire" afin de prendre en compte "tous les besoins hospitaliers" de la capitale, a déclaré Nicolas Bonnet-Ouladj, président du groupe communiste à la mairie de Paris, lors d'un point de presse devant l'Hôtel-Dieu, situé dans le 4e arrondissement.L'élu a d'ailleurs déposé un voeu sur ce projet, qui doit être débattu en fin de semaine au Conseil de Paris.Un tiers de l'Hôtel-Dieu (soit 20.000 mètres carrés) a été cédé fin 2019 au groupe Novaxia, via un bail de 80 ans d'une valeur totale de 241 millions d'euros.Le promoteur prévoit d'y installer, d'ici 2025, un "incubateur de biotechnologies", des logements étudiants, mais aussi des commerces et un restaurant gastronomique, entre autres."C'est un choix politique", a dénoncé Christophe Prudhomme, urgentiste et porte-parole du syndicat Amuf-CGT."On invite Anne Hidalgo et les élus parisiens à ne pas voter le plan local d'urbanisme et à discuter du projet", a ajouté celui qui est également candidat LFI aux élections régionales (tête de liste en Seine-Saint-Denis).Les opposants au projet réclament notamment la mise aux normes de certaines salles disponibles pour ouvrir "100 lits supplémentaires" et "développer de nouvelles activités médicales", en particulier en psychiatrie.
Il y a 3 ans et 332 jours

Le programme de formation aux économies d'énergie FEEBAT édite son rapport d’activité 2020

Quelques points saillants en 2020Création de nouveaux modules innovants présentiel-distanciel et 100 % distanciel, pour les professionnels en activité2020 aura été une année de fortes innovations pour la formation à la rénovation énergétique, avec AUDIT Reno pour les entreprises et les artisans, et DynaMOE pour les architectes et maîtres d’œuvre. Conçus dans un souci de qualité, d’innovations pédagogiques et de modalités adaptées au contexte actuel, ces modules sont disponibles sous plusieurs formats, mixant présentiel et distanciel ou 100 % distanciel. Elaborés dans le respect de la réglementation sur l’audit énergétique en maison individuelle, ils sont reconnus par les organismes de qualification concernés.Prise en charge des formations étendue aux Énergies renouvelables thermiquesMalgré le contexte sanitaire, ce sont plus de 3.500 stagiaires qui ont vu leur formation prise en charge en 2020 par FEEBAT dans le cadre du dispositif des CEE (1) (chiffres définitifs connus fin avril). Ils représentent 25% des stagiaires formés, tous ne faisant pas appel ou ne relevant de la prise en charge FEEBAT.Avec pour objectif la qualité des formations, FEEBAT a accompagné les organismes de formation et les formateursConcrètement, cette volonté s’est traduite par la mise à disposition de ressources pédagogiques, la conception et l’animation de sessions d’appropriation pour les formateurs, de jurys de formateurs, d’espaces d’échanges autour de certaines formations.Conception de parcours de grande envergure pour la formation initialeLes importants travaux conduits en 2020 vont déboucher en 2021 sur la conception des parcours de formation destinés aux enseignants des lycées, formateurs des CFA et enseignants-chercheurs des ENSAP (2).Bien former les enseignants et formateurs à la rénovation énergétique et leur donner les moyens de transmettre à leur tour aux jeunes, futurs professionnels du bâtiment et de l’architecture, sont des objectifs majeurs de FEEBAT. C’est pourquoi il est aujourd’hui crucial de concevoir les ressources pédagogiques qu’ils pourront utiliser auprès de leurs élèves, apprentis ou étudiants.Renforcement des synergies avec les acteurs clésOrganismes de contrôles de la formation, organismes de financement de la formation, autres programmes CEE… FEEBAT a rencontré tout au long de l’année 2020 un ensemble d’acteurs-clés, condition préalable à la mise en place ou au développement de synergies :FEEBAT a renouvelé son partenariat avec les organismes de contrôle de la formation, pierre angulaire de l’agrément des organismes de formation sur le module RENOVE, porte d’accès au RGE ;FEEBAT a mis en place un partenariat avec l’organisme de contrôle de la formation Qualit’EnR, sur le co-financement des formations Energies renouvelables thermiques. D’autres synergies se développent depuis ;FEEBAT s’est rapproché des programmes CEE ayant un lien avec ses travaux : SARE (3) lié au service FAIRE ; PROFEEL et OMBREE pour les outils qu’ils élaborent, pouvant être valorisés dans le cadre de formations ; RECIF, les Copros Vertes pour leur expertise reconnue sur l’audit en copropriété.FEEBAT travaille de longue date avec les organismes de financement de la formation professionnelle : Constructys, FAFCEA et FIF PL.Communiquer pour sensibiliser2020 a été l’occasion pour FEEBAT de déployer des actions de communication pour sensibiliser l’ensemble des acteurs, professionnels et enseignants/formateurs des futurs professionnels aux enjeux sociétaux de la formation à la rénovation énergétique.Le rapport d’activité complet FEEBAT 2020 est consultable à cette adresse.(1) Certificats d’Économies d’Énergie.(2) Écoles Nationales Supérieures d’Architecture et de Paysage.(3) Service d’Accompagnement pour la Rénovation Énergétique.
Il y a 3 ans et 333 jours

Elections régionales : les propositions de la FFB

À l’occasion des élections régionales des 20 et 27 juin 2021, la FFB émet quinze propositions prioritaires défendues par la profession et déclinables sur l’ensemble du territoire. Deux grandes thématiques sont mises en avant : promouvoir la reprise de l’activité et de l’emploi en valorisant l’apprentissage et les métiers en tension, en luttant contre les offres anormalement basses, en mettant fin à la sous-traitance en cascade, en prenant en compte les spécificités pour les marchés en BIM, en amplifiant les aides à la transmission d’entreprise. Et, valoriser durablement les territoires en refusant une lecture radicale du « zéro artificialisation » des sols, en accompagnant la RE2020, en dynamisant la valorisation des déchets de chantier à l’échelon local, en encourageant la rénovation énergétique des bâtiments et en valorisant le patrimoine historique et le potentiel touristique. Pour Olivier SALLERON, président de la FFB, « Les élus locaux ont été en première ligne face à la crise sanitaire du printemps dernier. Les professionnels du bâtiment ont été en première ligne pour relancer, très vite, l’activité. Dans les deux cas, il fut souvent question de pragmatisme et de ténacité. En dépit d’une baisse d’activité de 15 % au niveau national en 2020, le secteur du bâtiment est parvenu à maintenir ses effectifs et même à accroître de 10 % le nombre d’apprentis. Mais c’est maintenant que tout se joue ! Pour assurer leur rôle de moteur de l’économie régionale, les artisans et les entrepreneurs du secteur ont plus que jamais besoin de l’appui des décideurs régionaux. Faire le pari du bâtiment, c’est faire un pari gagnant pour la région, pour la jeunesse et pour celles et ceux qui aspirent à y vivre, à y élever leurs enfants et à y protéger leurs aînés.. ».
Il y a 3 ans et 335 jours

Centre Albert Schweitzer de Dammarie-les-Lys, une exposition lumineuse signée MAO

L’agence Mobile Architectural Office (Mao) a livré en 2019 la rénovation du Centre socio-culturel Albert Schweitzer à Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne). La façade en verre et acier inox brossé laqué agit comme une peau rassurante et signe le retour en grâce d’un équipement de quartier sensible. Plaine du Lys, morne plaine ? Inauguré en 1996, le centre de […] L’article Centre Albert Schweitzer de Dammarie-les-Lys, une exposition lumineuse signée MAO est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 335 jours

Relance : "Dommage qu'il n'y ait pas de mesures plus ciblées sur la rénovation", P. Boué

INTERVIEW. Fraîchement élu à la présidence de la Fédération des ascenseurs, Philippe Boué présente à Batiactu sa feuille de route et les grands chantiers qui attendent ses adhérents après plus d'un an de crise sanitaire. À l'heure d'une transition écologique réaffirmée, l'occasion lui a aussi été donnée de revenir sur l'impact carbone des ascenseurs.
Il y a 3 ans et 336 jours

Emploi : quels sont les métiers qui recrutent le plus dans le BTP en 2021 ?

RECRUTEMENT. Trois métiers semblent particulièrement concentrer les besoins d'embauche, selon un baromètre du groupe Synergie. Les cadres et ingénieurs bénéficient quant à eux d'un important afflux de CDI. D'une manière générale, la montée en puissance des chantiers de rénovation énergétique et des grands projets d'infrastructures stimule la demande.
Il y a 3 ans et 336 jours

Nord : l’accord qui valait 100 millions d’euros… environ

Sur les 388 millions d’euros engagés par le département du Nord pour favoriser la relance, 100 millions d’euros devraient être fournis par l’Etat, conformément à l'accord de relance départemental signé à Paris le 27 mai. Si le document ne définit pas dans le détail les sommes qui seront allouées à la collectivité, il acte la volonté de l’Etat de soutenir de nombreux projets ayant trait à notamment à la transition écologique : une aide de 8,3 millions d’euros permettra par exemple d’accélérer les travaux de rénovation énergétique sur les collèges.
Il y a 3 ans et 336 jours

Un blanc brillant signé Parexlanko

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le programme Felix Eboué s’est habillé d’une solution à base de chaux aérienne développée pour l’occasion par Parexlanko. [©Parexlanko] PARIS. Le programme Félix Eboué, sur la place du même nom, à Paris, accueillera 104 logements, dont 47 sociaux. Avec en plus, des commerces, une terrasse partagée sur le toit et un amphithéâtre dans le jardin. Imaginé par le cabinet Baumschlager Eberle Architekten, l’ensemble propose une signature architecturale en harmonie avec la dynamique du quartier. A savoir, une façade aux courbes douces, élégantes, blanches et brillantes. Pour répondre au cahier des charges, Parexlanko a proposé un badigeon stuqué à base de chaux aérienne. Et ce, pour une meilleure durabilité dans le temps. Celle-ci ayant la particularité de carbonater et de durcir comme la pierre, au contact de l’air.  Lire aussi :Retrouvez toute l’actualité En Région « Le badigeon devient de plus en plus résistant avec le temps et la finesse de son grain offre une belle surface soignée, explique Anne Speicher, architecte associée du cabinet Baumschlager Eberle Architekten. Son aspect présente un aplat lumineux quelque peu vibrant, voire poétique». Pour offrir une brillance parfaite, cette solution nécessite un réel savoir-faire. Une qualité que la maîtrise d’ouvrage du projet a su trouver auprès d’Antunes, entreprise de mise en œuvre. Une première couche de 5 mm d’enduit d’interposition (Parinter Renovation) a été appliquée pour gommer les aspérités du béton banché. Puis, deux premières couches de Calcilane Fond ont été réalisées à la spatule. Et pour terminer l’opération par deux autres couches de finition Calcilane Badigeon. Afin d’obtenir le résultat escompté, les applicateurs ont dû respecter les consignes de Parexlanko à la lettre. En observant le temps de séchage en deux couches. Au total, ce système se compose de 5 couches : 1 couche d’enduit d’interposition et 4 couches de badigeon. Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 336 jours

Rénovation énergétique: 7% du parc de logements a bénéficié d'aides publiques en 2019

Près de 2,1 millions de logements ont été rénovés en 2019 grâce à des aides publiques, soit 7% du parc français, indique l'Observatoire national de la rénovation énergétique.
Il y a 3 ans et 336 jours

Le Groupe Bouyer Leroux a finalisé l’acquisition du Groupe Maine

Acteur majeur dans le domaine de l’extrusion thermoplastique et doté d’un outil industriel performant, le Groupe MAINE est spécialisé dans la conception et la fabrication de profilés thermoplastiques pour de multiples applications dont celles des marchés de la clôture, de la fermeture et de la rupture de pont thermique destinée aux industriels de la menuiserie.Il s'est diversifié et dispose d’une large gamme de portails, clôtures, volets (battants, coulissants), persiennes, portes de garage... en aluminium et PVC pour les professionnels du bâtiment et le grand public.Cette acquisition permet aussi aux Sociétés SOPROFEN, SPPF, FLO, spécialisées dans la fabrication de coffres de volets roulants, de screens et de portes de garage, d’enrichir leurs offres en termes de produits et services. Les synergies entre ces dernières et le Groupe MAINE sont nombreuses : gammes complémentaires, innovantes et différenciées, destinées à la construction de logements neufs et à la rénovation, clientèles diversifiées, dispositifs industriels et logistiques performants et complémentaires, potentiel renforcé en matière de recherche et de développement et d’extrusion.Le Groupe MAINE dont le siège est à Ambrières les Vallées dispose de 3 sites industriels (Ambrières les Vallées - 53, Le Mans - 72, Perrignier - 74), emploie plus de 220 salariés et a réalisé un chiffre d’affaires d’environ 32 millions d’euros en 2019. L’intégration du Groupe MAINE, doté d’une forte culture de satisfaction du client et de qualité des produits, renforce le potentiel de croissance, d’innovation et la compétitivité du Métier des Fermetures pour l’Habitat du Groupe BOUYER LEROUX.
Il y a 3 ans et 336 jours

Juridique : L’obligation de sécurité-résultat de l’employeur

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine En matière de sécurité, l’employeur a une obligation de résultats, mais le salarié reste soumis à un devoir légal de prudence… [©DR] Une obligation de moyens impose à la victime d’apporter la preuve de la faute commise par la personne sur qui pèse l’obligation. Au contraire, une obligation de résultats n’implique pas que soit démontrée une quelconque imprudence ou négligence. Le simple fait de ne pas satisfaire au résultat pesant sur l’employeur – à savoir, assurer la sécurité de ses salariés – suffit donc à engager sa responsabilité.  L’obligation de moyens est générale et concerne notamment les accidents survenus lors de la décharge de matériaux, les tendinites, les maladies dues à l’exposition à des substances chimiques. Mais aussi, le harcèlement moral perpétré par un autre salarié du même employeur[1]. L’employeur peut aujourd’hui néanmoins tenter de s’exonérer de cette responsabilité, en démontrant “avoir mis en œuvre toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité, et protéger la santé physique et mentale des salariés prévues par les articles L. 4121-1 et L. 4121-2 du Code du travail[2]”.Malgré son nom, il s’agit aujourd’hui d’une obligation de moyens renforcée plutôt que d’une obligation de résultats. Attention, l’employeur doit démontrer avoir mis en œuvre “toutes les mesures”, et non pas simplement “des mesures” pour protéger ses salariés. Plusieurs options En cas de récidive ou de violation manifestement délibérée ayant exposé les salariés à un risque immédiat de mort ou de blessures de nature à entraîner une mutilation ou une infirmité permanente, l’employeur qui méconnaît son obligation peut être condamné à un an de prison, outre l’indemnisation du préjudice subi par son salarié. En cas de mise à disposition de salariés, cette obligation de sécurité pèse tant sur l’entreprise utilisatrice que sur l’entreprise de travail temporaire. Enfin, rappelons que les chantiers de bâtiment, de génie civil, ou de travaux de gros entretien et de rénovation, “où sont appelés à intervenir plusieurs travailleurs indépendants ou entreprises, entreprises sous-traitantes incluses”, sont en plus soumises à la présence d’un coordinateur sécurité et protection de la santé (CSPS). Ce dernier a pour mission de prévenir les risques croisés pour les salariés des différents intervenants[3]. Le devoir de prudence du salarié  Quant au salarié, il est soumis à un devoir légal de prudence[4], dont la violation peut constituer une faute grave, justifiant son licenciement. Et, par ailleurs, sa responsabilité civile peut être engagée en cas de faute intentionnelle. En contrepartie, le salarié dispose d’un droit d’alerte et de retrait[5]. Lorsqu’une situation de travail présente un danger grave et imminent pour sa vie ou sa santé, ou lorsqu’il constate une défectuosité des systèmes de protection, il en alerte immédiatement son employeur. Et peut se retirer, sous réserve de ne pas créer ainsi une nouvelle situation dangereuse.  L’employeur ne pourra pas contraindre ce salarié concerné à reprendre son poste et ne pourra pas le licencier pour ce motif (sous peine de nullité du licenciement prononcé). En revanche, si le salarié use de cette faculté en l’absence de danger réel ou a minima perçu, il s’expose à une retenue sur son salaire, cela même s’il reste à la disposition de son employeur. L’obligation du salarié de veiller à sa propre sécurité n’affecte cependant pas le principe de la responsabilité de l’employeur. Pierre LacoinAvocat à la CourCabinet 1792 Avocats 1Cass. soc., 21 juin 2006, n° 05-43.914.2Depuis un arrêt “Air France” (Cass. soc., 25 novembre 2015 n° 14-24.444).3Article L. 4532-2 du Code du travail.4Cass. soc., 28 mai 2008, n° 06-40.629.5Article L. 4131-3 du Code du travail. Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 336 jours

Rénovation de copropriétés : comprenez les clés d'un marché complexe en plein essor

BATIACTU BUSINESS CLUB. Jeudi 17 juin 2021, le Batiactu Business Club consacrera une visioconférence à la rénovation des copropriétés. De la prise de décision aux travaux, en passant par le financement, comment se saisir de ce marché porteur mais complexe ? Plusieurs acteurs viendront débattre : la Sem Ile-de-France Energies, le syndic Foncia et l'entreprise GTM (Vinci Construction), spécialisée dans la réhabilitation d'immeubles.
Il y a 3 ans et 337 jours

Rénovation énergétique : quel bilan des formations en 2020 ?

COMPÉTENCES. L'année dernière, les professionnels du bâtiment ont pu bénéficier d'une offre de formations élargie dans le domaine de la rénovation énergétique, d'après le rapport d'activité 2020 de l'organisme Feebat. Et de nouveaux modules devraient encore être lancés en 2021.
Il y a 3 ans et 337 jours

Baromètre emploi Synergie : les métiers qui recrutent dans le BTP

« Après une annus horribilis en 2020, marquée par l'arrêt quasi-total des chantiers au printemps et une chute de 15 % du chiffre d'affaires de la construction, le secteur retrouve du dynamisme et des perspectives. La Fédération Française du Bâtiment prévoit ainsi un rebond d'activité atteignant 11 % en 2021(2). Et le premier trimestre est encourageant. L'artisanat du bâtiment enregistre, de janvier à mars 2021, une activité en hausse de 9,5 % contre une baisse de 12 % au premier trimestre 2020 portée aussi bien par la construction neuve (+ 10 %) que par l'entretien-rénovation (+ 9 %) », souligne Virginie Gonzalez, responsable de marchés BTP, Tertiaire et Médical chez Synergie.Ce regain de forme suffit à aiguiser les tensions de recrutement sur un marché déjà pénalisé, avant la crise sanitaire, par une pénurie structurelle de main d'œuvre qualifiée, avec pour effet plusieurs dizaines de milliers de postes non pourvus chaque année. Dans sa dernière enquête, Pôle Emploi a recensé, dans la construction, près de 220.000 projets de recrutement pour 2021, dont 63% rencontrent ou anticipent des difficultés à trouver un candidat.« Dans ce contexte, l'intérim joue un rôle essentiel pour sourcer, attirer, former, accompagner les profils que les entreprises ne parviennent pas à recruter en nombre suffisant. Nous disposons, pour les fidéliser, d'outils comme le CDI intérimaire, qui associe les garanties d'un CDI et la flexibilité de l'intérim», explique Virginie Gonzalez.Parmi les métiers les plus recherchés en intérim destinataires du plus grand nombre d'offres entre janvier et avril 2021 - figurent ainsi les incontournables de la profession, qui souffrent depuis longtemps d'un manque de vocations et d'une insuffisance des filières de formation. Les électriciens, les maçons et les charpentiers se hissent aux trois premières places des profils les plus convoités, suivis par les ouvriers du BTP, les conducteurs d'engins de chantier et les couvreurs. Le Top 10 est complété par les peintres en bâtiment, les plombiers, les plaquistes et les menuisiers poseurs.« La demande est tirée vers le haut par le redémarrage de la construction neuve, par l'accélération des travaux de rénovation énergétique - avec le soutien d'aides publiques et du plan France Relance enfin par la réalisation de méga-chantiers comme la construction du Grand Paris, la préparation des Jeux Olympique 2024 ou encore la mise en œuvre de la liaison européenne Lyon-Turin », rappelle Virginie Gonzalez.En Ile-de-France, par exemple, plus de 68.000 postes seront à pourvoir, d'ici 2024, dans les secteurs du Bâtiment et des Travaux Publics. De son côté Pôle Emploi recense, pour 2021, près de 44.000 projets de recrutement en Ile-de-France, plus de 26.000 en Auvergne Rhône-Alpes, 24.000 en Bretagne et en Pays de la Loire, 19.000 en Nouvelle-Aquitaine et le même volume en Provence-Alpes-Côte d'Azur.« Au-delà des maçons, électriciens, charpentiers et autres familles professionnelles très connues, l'offre d'emplois en intérim, CDD et CDI est également très soutenue pour des métiers qui ne viendraient peut-être pas spontanément à l'esprit d'un jeune en réflexion sur son avenir. Coffreur bancheur, étancheur, grutier, serrurier-métallier, tunnelier, solier moquettiste, chauffagiste...Autant de professions où les perspectives de recrutement et de rémunération sont très favorables », détaille Virginie Gonzalez.Les offres de CDI affluent pour les cadres et ingénieurs du BTPPour répondre aux besoins récurrents du secteur, Synergie multiplie les programmes de formation sur-mesure, développe massivement les contrats d'apprentissage et de professionnalisation, élargit les passerelles de reconversion depuis certains secteurs industriels durement frappés par la crise (aéronautique, automobile...). Le groupe, enfin, accélère la féminisation des métiers, en s'appuyant sur des partenariats avec des associations de référence (Force Femmes, Elles Bougent, Femmes d'ici et d'ailleurs...) et des outils pionniers comme le forum Mix&Métiers.« Nous avons également lancé des programmes très innovants en insertion, comme le Parcours Dynamique Emploi qui transforme les clauses sociales des marchés publics en un véritable tremplin professionnel pour les personnes en situation de précarité, ou encore le dispositif 1.000 jeunes en CDII, au soutien des 16-25 ans fragilisés par la crise. Par ailleurs nous sommes très fiers de contribuer au succès de HOPE, une offre complète de formation et d'accès aux métiers du BTP, dédiée aux réfugiés, qui fédère un grand nombre de partenaires publics et privés », indique Virginie Gonzalez.Sur un marché en phase de reprise, les offres d'emplois en CDI sont elles aussi orientées à la hausse. La multiplication des grands projets d'infrastructures et d'amélioration de l'habitat a notamment stimulé la demande en profils d'encadrement. Dans le Top 10 des offres en CDI, sur les 4 premiers mois de 2021, apparaissent ainsi 5 métiers à vocation managériale : coordinateur de travaux (en 1re position), conducteur de travaux (3e), chef de chantier bâtiment (6e), chef de projet génie climatique (8e) et chef d'équipe bâtiment (10e). Le palmarès des profils les plus recherchés, en CDI, est complété par les métiers opérationnels structurellement pénuriques - électricien, maçon, couvreur, menuisier.
Il y a 3 ans et 337 jours

ACTIS TRISO-SUPER 12 sur les toits d’un immeuble haussmannien : quand isolation rime avec préservation du patrimoine

Véritables chefs d’œuvres architecturaux, les toitures mansardées des immeubles haussmanniens, revêtues de zinc et d’ardoise, sont classées aux monuments historiques de Paris. La rénovation de la toiture de l’une d’entre-elles, située dans le 17ème arrondissement, a fait l’objet de tout le savoir-faire de l’entreprise de couverture Le Méhauté, Compagnons du Devoir. Pour l’isoler par l’extérieur en préservant l’esthétique de l’ensemble, elle a choisi TRISO-SUPER 12 d’ACTIS, un isolant deux en un qui assure l’isolation thermique et l’étanchéité. Une solution d’isolation multicouches pour une esthétique préservée Vétuste et mal isolée, la toiture de 1200 m2 d’un immeuble haussmannien du 17ème arrondissement de Paris nécessitait une réfection totale pour apporter le confort, été comme hiver, à ses résidents. La copropriété a fait appel à l’entreprise Le Méhauté, Compagnons du Devoir, pour assurer les travaux. Celle-ci a opté pour TRISO SUPER 12 d’ACTIS, une solution d’isolation multicouches réflecteur qu’elle utilise depuis 15 ans en extérieur pour préserver l’esthétique des toitures. « A performance égale, cet isolant nous permet de ne pas trop surélever le toit comparé à un isolant plus épais. Après la pose du zinc, nous obtenons une épaisseur de 6 cm de plus que la toiture initiale » explique Cyrille Le Bris, gérant de l’entreprise. Une solution d’isolation extérieure deux en un Solution deux en un, TRISO-SUPER 12 d’ACTIS assure à la fois l’isolation thermique grâce à sa performance (R = 5,25 m2.K/W) ainsi que l’étanchéité à l’air, à l’eau et à la vapeur d’eau grâce à la membrane réfléchissante qui intègre un écran HPV. Elle permet ainsi d’économiser la pose d’un pare- vapeur, d’un écran de sous-toiture ou d’un écran pare-pluie. D’une épaisseur de 35 mm, TRISO-SUPER 12 bénéficie de 2 lames d’air naturelles créées par l’épaisseur du chevron d’une part, les liteaux de support de couverture d’autre part. TRISO-SUPER 12 est agrafé au chevron avant d’être tendu. Ses bords décalés avec languette adhésive débordant de 8 cm permettent d’effectuer un recouvrement des lés parfaitement étanche, tout en simplifiant la pose. « La performance et la mise en œuvre parfaite de cet isolant multicouches réflecteur réside dans la lame d’air qui doit être normalement de 3 cm. Pour assurer cette circulation d’air et éviter tout phénomène de condensation, nous re-chevronnons par-dessus en laissant une lame d’air d’au moins 4 cm. Nous posons également des chatières en quinconce, en partie haute de la toiture en zinc, comme le faisaient les anciens pour faire circuler l’air. Nous utilisons ce produit en isolation par l’extérieur depuis 15 ans et nous n’avons jamais rencontré de problème. Il faut simplement qu’il soit bien mis en œuvre ! » ajoute Cyrille Le Bris. Grâce aux performances de TRISO-SUPER 12 d’ACTIS, tous les résidents de ce bel immeuble du 19ème siècle, vont enfin accéder au confort de l’isolation moderne sans sacrifier au charme esthétique des toitures mansardées. A propos d’actis ACTIS est le leader européen sur le marché des isolants alvéolaires réflecteurs. Créée en 1980, ACTIS est une PME familiale française de 300 personnes, basée à Limoux en région Occitanie, qui a intégré le groupe Laurent Thierry en 2003. ACTIS possède 4 sites de production en France, certifiés ISO 9001 depuis 2005, et est présente dans 8 pays en Europe. ACTIS propose des solutions performantes et certifiées qui répondent à l’ensemble des besoins d’isolation : . pour tous les bâtiments (résidentiels et tertiaires) . pour toutes les applications (toitures, combles et murs) . en neuf comme en rénovation Les solutions ACTIS disposent de certifications délivrées par des organismes d’évaluation accrédités (ACERMI, BM Trada, CSTB, LNE…) https://www.actis-isolation.com/
Il y a 3 ans et 337 jours

Inauguration à Paris du musée Carnavalet après une rénovation "titanesque"

"Ce projet de rénovation était titanesque", a déclaré Mme Hidalgo lors de l'inauguration du musée, renommé "Musée Carnavalet-Histoire de Paris", où selon elle, "le défi était colossal pour loger un musée dans un bâtiment qui n'avait pas été pensé pour l'être"."Il fallait être un peu fou, en pleine période de disette budgétaire pour se lancer dans ce type d'aventure (...) mais la noblesse de la politique, c'est de savoir faire des choix", a-t-elle ajouté.Quatre années d'importants travaux ont été nécessaires pour rénover l'ensemble de l'édifice, fermé depuis octobre 2016, du ravalement des façades et des toitures jusqu'à la mise aux normes du site (électricité, sécurité incendie), pour un budget de 58,3 millions d'euros.Ouvert en 1880, le musée du IIIe arrondissement possède quelque 625.000 œuvres retraçant l'histoire de Paris de la Préhistoire à nos jours, dans deux hôtels particuliers historiques du Marais."Au moment où les Français retrouvent leurs musées et leurs monuments nationaux après de longs mois de privation, la réouverture au public de ce lieu chargé d'histoire marque de la plus belle façon la reprise de la vie culturelle parisienne", a souligné la ministre de la Culture.Roselyne Bachelot a également salué "l'ensemble des acteurs impliqués dans ce projet", "qui ont su reconstituer un parcours historique de 3.800 pièces sans perdre le charme de l'ancien musée".Les travaux de rénovation ont également permis de rendre accessible la visite à 95% aux personnes à mobilité réduite et près de 10% des oeuvres sont exposées à hauteur d'enfant."C'était une évolution nécessaire pour partager avec le plus grand nombre cette mémoire de Paris", a précisé Mme Hidalgo.Trois escaliers contemporains relient des parties du bâtiment et permettent de mener des visites thématiques le long d'un parcours réorganisé, construit de manière chronologique.Pour la première fois, la Renaissance fait son apparition dans le parcours du musée, qui s'ouvre également aux périodes du Moyen Âge et des XXe et XXIe siècles.Seul musée en accès libre de la capitale, l'établissement ouvrira ses portes au public le 29 mai prochain.Dans les salles d'expositions temporaires (les seules payantes), une exposition d'Henri Cartier-Bresson "Revoir Paris" accompagnera les premiers mois de la réouverture, suivie d'une exposition consacrée à Marcel Proust à partir de décembre.
Il y a 3 ans et 337 jours

Le groupe écologiste du Sénat présente sa "vraie loi climat"

"C'est la vraie loi climat", a déclaré Guillaume Gontard, le président du groupe, fustigeant dans le projet de loi porté par Barbara Pompili, inspiré des travaux de la Convention citoyenne pour le climat (CCC), "une vraie trahison démocratique".Selon M. Gontard, cette "loi crédible" doit permettre à la France d'atteindre l'objectif européen d'une baisse de 55% des émissions de gaz à effet de serre en 2030 (par rapport à 1990).A contrario, le texte du gouvernement, déjà voté en première lecture par les députés, "nous amène plutôt vers -35% grand maximum en 2030, donc très loin de l'objectif européen", selon Ronan Dantec.Les propositions du groupe écologiste du Sénat, qui compte 12 membres, se déclinent en 6 grands chapitres, transports, bâtiment, agriculture, industrie, énergie et déchets.Est notamment prévue l'interdiction à la vente des véhicules particuliers neufs utilisant des énergies fossiles (diesel ou essence) en 2030.Les écologistes du Sénat mettent sur la table également une obligation de rénovation énergétique complète dès 2024 au moment de la vente des logements ou des travaux de ravalement des immeubles.Option quotidienne végétarienne dans toute restauration collective, redevance sur les engrais azotés progressive dès 2023, arrêt à 50% des centrales en gaz en 2030... les différentes mesures seront déclinées en quelque 400 amendements lors de l'examen du projet de loi climat, les 2 et 3 juin en commission puis du 15 au 29 juin dans l'hémicycle.M. Gontard n'entretient pas "d'espoirs démesurés" quant à leur sort dans une chambre dominée par l'opposition de droite, mais estime possible d'obtenir "quelques avancées".Surtout, souligne-t-il, le contre-projet a vocation à nourrir le débat sur "un temps plus long", en particulier en vue de l'élection présidentielle de 2022.
Il y a 3 ans et 337 jours

Rapportés ou encastrés, Adesol a le couvre-joints de dilatation qu’il vous faut !

Spécialement pensés pour les professionnels, les couvre-joints de dilatation d’Adesol sont conçus pour minimiser les dommages structurels et permettent de sécuriser les voies d’évacuation dans les hôpitaux, les sites industriels et les centres commerciaux. Nos produits permettent d’absorber les mouvements tridimensionnels du phénomène sismique. Et pour une sécurité optimale, ils répondent à la norme Eurocode 8.  Le K-WORK d’Adesol est la solution de couvre-joints à encastrer. Il convient parfaitement aux joints exposés à des mouvements de 20 à 100 mm. Notre système réalisé en aluminium massif, comporte 2 cornières pré-percées dont les parties supérieures sont coulissantes et articulées. Le dessin strié lui donne un atout antidérapant. Ce produit parfait pour les zones de trafic intense correspond au cahier des charges des gares du Grand Paris Express.   Le K-PAD est un système de jonction sismique de sol pour joints larges exposés à un mouvement total de 60 mm (+/-30 mm ). Son système unique est réalisé en aluminium pour supporter les charges les plus lourdes. Spécialement pensé pour la rénovation, il suppose simplement de faire une engravure de la hauteur du revêtement et se fixe directement sur une chape sans vis apparentes. Son design spécifique supprime tous les risques d’effet de levier, souvent source de dégradations.
Il y a 3 ans et 338 jours

Pour la rénovation des ponts, les collectivités vont bénéficier d'un plan de soutien

INFRASTRUCTURES. De la définition des travaux à leur mise en oeuvre, les collectivités sont accompagnées par la Banque des territoires pour rénover des ponts. Un dispositif lancé récemment qui contribue à la résilience des territoires.
Il y a 3 ans et 339 jours

Rénovation ou neuf ? Quel marché est le plus porteur ?

Aucun secteur ou presque n’a été épargné de la crise engendrée par la pandémie de covid19. Le domaine du bâtiment et travaux publics ainsi que tous les autres secteurs qui s’y apparentent ont été le plus touchés.  Vous êtes artisan ? Vous vous demandez quel marché est le plus prometteur cette année et les années qui vont suivre entre la rénovation et le neuf. Cette rubrique est pour vous. La rénovation, un marché qui promet Personne n’a prévu qu’il y aurait une maladie réussissant à bouleverser le monde vers la fin de 2019. Avec le confinement total qui a commencé en 2020, tout projet a été délaissé. Néanmoins, on peut dire que le domaine de la rénovation reste très prometteur. Il l’a toujours été et le restera certainement. En effet, de très nombreux bâtiments ont besoin d’être rénovés en France. Et ce, dans différents domaines. Cela peut être des travaux de rénovation générale. Mais, on peut aussi rénover les différentes parties séparément. On parle notamment du ravalement de façade, de la rénovation de la toiture, des menuiseries et encore d’autres. Qui plus est, ces travaux sont indispensables pour la durabilité de la construction ainsi que le confort de vie des habitants. En outre, vous pouvez comparer en ligne les différents prix de la pose dans la rénovation pour proposer un prix concurrentiel. Les travaux de rénovation énergétique, les plus florissants Pour garantir un meilleur confort dans une habitation, on ne peut pas éviter les travaux de rénovation énergétique. Cela permet aussi de réduire la consommation et donc la facture ainsi que l’impact sur l’environnement. De plus en plus de Français investissent dans ces travaux. Qui plus est, l’État encourage ces types de travaux. ·        La rénovation des isolations Ce sont les isolations qui garantissent la performance énergétique d’un bâtiment. Il est donc impératif, voire obligatoire de les rénover lorsqu’elles commencent à devenir des passoires à chaleur. Et lorsqu’on parle d’isolation, c’est du sol au plafond en passant par les murs et les menuiseries. Vous n’aurez aucun mal à trouver un client pour de tels travaux. ·        La rénovation des systèmes sanitaires Les plomberies incluant les tuyauteries et les équipements sanitaires doivent également être rénovées, lorsqu’ils vieillissent. Qui  plus est, les fuites d’eau et les canalisations bouchées peuvent être dangereuses en affaiblissant la structure d’une maison. Il est donc impossible de se passer de ces travaux de rénovation et de réparation. Cette année où pour les années à venir, il y aura toujours des travaux de rénovation à faire. Il s’agit donc d’un marché toujours en devenir. Si vous êtes artisans, vous pouvez très bien trouver du travail dans ce domaine plus facilement. Crise ou pas crise, difficulté ou non, tout le monde s’occupera toujours de leur habitation. Qu’en est-il du marché dans le neuf ? Le marché dans le neuf a été plus touché que le domaine de la rénovation cette année. En effet, cela a connu un recul de 15 % rien qu’entre 2019 et 2020. Cela est notamment à cause des périodes de confinement qui ont littéralement gelé les chantiers. Quoi qu’il en soit, l’année prochaine semble plus prometteuse pour les professionnels de la construction. ·        Une hausse prévue en 2021 S’il n’y avait plus rien à faire pour 2020 dans le secteur de la construction neuve. On prévoit un rebond de 11 % cette année. C’est déjà ça, même si cela n’est pas assez pour combler les pertes que les entreprises et les artisans ont souffertes l’année dernière. Toutefois, des doutes subsistent encore et de nombreux travailleurs dans ce secteur n’auront pas encore leur part. ·        Un revirement possible Cette année, on a déjà commencé les campagnes de vaccination. On peut donc espérer que cela retourne la situation. Outre l’ouverture des chantiers, on attend aussi le retour des investisseurs qui se sont retirés pendant les périodes de confinement. Le marché dans le neuf devrait donc redevenir plus intéressant pour les artisans. Alors, rénovation ou neuf ? Quel marché est le plus porteur ? Tel qu’on a pu le constater, la rénovation comme le neuf ont été touchés par la crise engendrée par le Covid19. Cependant, le marché dans le neuf a été plus vulnérable. Malgré le fait qu’il présente de l’espoir pour cette année et surtout pour l’année prochaine. Il est évident que le domaine de la rénovation l’emporte. En effet, en tant qu’artisan dans un domaine déterminé, vous trouverez toujours des travaux de rénovation à réaliser. Mais ce qui rend le marché de la rénovation plus florissant, c’est qu’il est soutenu par l’État. Les différents crédits d’impôt et primes octroyés pour certains travaux en sont la preuve. Professionnel dans ce domaine ? Vous pouvez donc toujours compter sur ce marché pour trouver des occupations. Et ce, en attendant que le marché dans le neuf offre plus d’occasions.
Il y a 3 ans et 339 jours

Rénovation : les Français de plus en plus conscients de l'impact environnemental

ETUDE. Le spécialiste de l'immobilier Laforêt a dévoilé les résultats de la deuxième vague d'une enquête menée auprès des Français pour déterminer leurs critères d'achats d'un bien immobilier ainsi que ceux pour la rénovation énergétique. Téléchargez l'enquête.
Il y a 3 ans et 339 jours

Palmarès AFEX 2021 – Gitai Architects – Landroom – Désert du Néguev – Israël

La Chambre de Paysage appelé Landroom est un ouvrage d’architecture environnementale minimale conçu à la limite entre le vaste territoire et un simple objet paysager. Il est situé au bord du cratère Mitzpe Ramon dans le Néguev. Un espace ouvert au public qui fonctionne comme un observatoire des étoiles la nuit et fournit un abri […] L’article Palmarès AFEX 2021 – Gitai Architects – Landroom – Désert du Néguev – Israël est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 339 jours

Palmarès AFEX 2021 – Chaix & Morel et Associes – Rénovation et extension du siège de la Sécurité Sociale – Vienne – Autriche

La rénovation et l’extension du Siège administratif de la Sécurité Sociale autrichienne, est un projet situé au coeur de Vienne, à proximité immédiate de l’ensemble Wittgenstein, classé Monument Historique. Le projet s’inscrit dans la dynamique générale de régénération urbaine d’un quartier surchargé par la masse de l’ancien bâtiment, datant des années 1970. Découverte en vidéo. L’article Palmarès AFEX 2021 – Chaix & Morel et Associes – Rénovation et extension du siège de la Sécurité Sociale – Vienne – Autriche est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.