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(819 résultats)
Il y a 7 ans et 171 jours

Jean Verville : Réhabilitation d'un chalet

Au c"ur de la forêt du Mont-Tremblant, parc national situé au sud du Québec (Canada), un vieux chalet en bois noir a fait peau neuve grâce à l'intervention de l'architecte local Jean Verville. Percée de larges ouvertures, cette résidence typique de la région offre à ses résidents une immersion totale dans la nature. Construit dans les années 1960, puis abandonné pendant une cinquantaine d'années, ce chalet entouré de majestueux arbres centenaires faisant face à la rivière du Diable, est à présent la résidence secondaire d'un couple et de leurs deux enfants. Pittoresque, il possède la particularité d'être conçu en " A Frame ", c'est-à-dire qu'il est constitué d'un pignon triangulaire de 8 mètres de côté à la base culminant 7 mètres de hauteur au faîtage, et de deux pans de toiture en zinc fortement inclinés, portés par une charpente en chêne, qui se prolongent jusqu'au sol. À l'origine, la bâtisse pyramidale de deux niveaux et 88 mètres carrés de surface de plancher, où se trouvaient un séjour, une cuisine et des sanitaires au rez-de-chaussée, et une chambre à l'étage, était sombre et excessivement cloisonnée. Pour sa rénovation, l'architecte canadien a complètement restructuré son aménagement intérieur afin de le rendre plus lumineux et d'installer une pièce de nuit supplémentaire pour les plus jeunes, au premier niveau. Il ajoute ainsi au rez-de-chaussée, contre le pignon ouest, une extension parallélépipède de plain-pied, de 5,5 mètres par 4, entièrement vitrée, dans laquelle il aménage un salon ouvert sur la cuisine d'origine, désormais en double hauteur, grâce au percement du plancher supérieur. Le deuxième couchage, parental, est pour sa part placé dans une mezzanine sous les combles, et dispose d'une large baie vitrée triangulaire offrant une vue incroyable sur les cimes de la forêt. Malgré un l'agrandissement latéral, la surface totale de plancher du chalet a diminué de 20 mètres carrés. Pourtant, la résidence en a gagné en désencombrement, confort et en sensation d'espace et de lumière, notamment par la création d'une ouverture zénithale qui éclaire les pièces de séjour tout de blanc vêtues. Un nid douillet au c"ur de la nature, parfait pour se détendre et admirer le paysage alentour. Pour en savoir plus, visitez le site de Jean Verville Photographies : Maxime Brouillet
Il y a 7 ans et 177 jours

SABO Project : Voltaire

Au fond d'une ruelle du 11e arrondissement de Paris, l'agence de design d'espace américaine SABO Project réalise pour un couple la restructuration d'un appartement situé dans un bâtiment industriel des années 1920. Un aménagement fonctionnel pour un espace libéré de tout mur, seulement occupé par un intrigant module central en aluminium doré. Situé au troisième étage d'une manufacture construite dans les années 1920, dont les locaux ont été réhabilités en logements il y a une dizaine d'années, cet appartement de 81 mètres carrés consiste en un volume simple de plan carré de 9 mètres de côté, mono-orienté sur rue. Afin de créer deux lieux de couchage et une salle d'eau sans perdre le cachet industriel du lieu, tramé par une ossature poteaux/poutres en béton brut de décoffrage, les designers américains ont conçu au centre de l'habitation un parallélépipède rectangle de 7 mètres par 3. Cet étrange volume doré aux bords arrondis coiffé par une chambre d'amis en mezzanine, permet de partitionner l'appartement sans le cloisonner, créant une zone salon côté fenêtres au nord, dans la continuité de la cuisine, un sas d'entrée au sud et une zone de rangement à l'ouest. Constitué de 40 plaques d'aluminium doré, le module dispose de volets verticaux en accordéon perforés qui permettent de le clore, doublés de planches de polycarbonate transparentes côté séjour, procurant de la lumière naturelle à l'intérieur de la partie nuit, tout en protégeant l'intimité de ses occupants. Dans la pièce de vie principale, les tons bleu pastel des murs et le bois du parquet, du mobilier et des luminaires contrastent avec la froideur du métal et la minéralité du plafond. Une solution fonctionnelle pour restructurer un appartement sans perdre la brutalité qui en fait le charme. Pour en savoir plus, visitez le site de SABO ProjectPhotographies : Alexandre Delaunay
Il y a 7 ans et 184 jours

Snøhetta : Aesop

Entre l'agence norvégienne d'architecture Snøhetta et la marque de cosmétique australienne Aesop, c'est une véritable histoire d'amour qui a débuté quand la firme a confié au studio le soin de dessiner sa boutique d'Oslo (Norvège). Six autres magasins ont suivi. La dernière en date, située à Londres (Royaume-Uni), a été imaginée comme un repaire futuriste de méchants de James Bond. C'est dans le quartier branché de Chelsea que prend place le nouveau point de vente d'Aesop, enseigne de soins pour la peau aux échoppes originales. Sur 108 mètres carrés, l'espace commercial de plain-pied est organisé autour d'un point central, d'où partent douze arches s'étendant vers les murs d'enceinte, à la manière d'un origami lentement déplié. Ce pilier est cerné par un évier circulaire " point commun de tous les magasins de la marque ", réalisé en acier inoxydable poli et en fibre de verre dont la nature réfléchissante évoque un miroir d'eau, une fontaine de jouvence. Les parois et les voûtes sont enduites d'argile rosée provenant du sud-ouest du pays, qui rappelle la base naturelle des produits, tout en contrastant avec les étalages verticaux en acier disposés le long des cloisons. Le tout offre, à l'image des soins proposés par Aesop, un savant mélange entre contemporanéité et tradition grâce à assemblage de matières et textures. Un écrin raffiné et énigmatique qui s'inscrit dans la continuité des réalisations uniques proposées par Snøhetta pour l'entreprise, aux quatre coins du monde. Pour en savoir plus, visitez le site de Snøhetta Photographies : Paola Pansini
Il y a 7 ans et 196 jours

État de GRÂCE : Le STUDIO

Dans le quartier d'Auteuil à Paris (16e), l'agence de design et d'architecture d'intérieur État de GRÂCE réalise la réhabilitation d'un studio d'habitation de 27 mètres carrés triste et terne en un cabinet de coaching professionnel. Avec son atmosphère tout en dualité, entre noirceur et clarté, le lieu semble en effet parfait pour une introspection. Né de la rencontre d'une entreprise de coaching, LES MOYENS et LES FINS, et de l'agence de design et d'aménagement d'intérieur État de GRÂCE, le projet consiste en la rénovation d'un ancien studio d'habitation rectangulaire de 27 mètres carrés " 8 mètres de longueur par 4 de large ", situé au troisième étage d'un bâtiment datant des années 1970, en un cabinet de consultation. Transformer un appartement qui, d'après les agenceurs, était " triste et peu accueillant à cause d'un couloir étroit et sombre, de couleurs, de peinture et de moquette criardes, d'une cuisine mal aménagée et d'une salle de bain toute en longueur ", en un endroit plein de sérénité était donc un défi de taille ! En réponse à la présence d'une seule de source de lumière, une baie vitrée toute hauteur située au fond de l'ancien logement, ils ont imaginé deux atmosphères opposées " l'une claire, l'autre sombre ", aux fonctions distinctes. La première zone, noire du sol au plafond, se compose de l'entrée, un hall de deux mètres carrés non cloisonné où se trouvent un vestiaire et une pièce d'eau. Cet espace est ouvert sur le second, en lieu et place de l'ancien salon, désormais salle de consultation, tout de blanc vêtue, propice au lâcher prise.L'élément visuel fédérateur des deux parties est le bois, utilisé pour les cadres des miroirs de la salle de bain, le bureau ou encore une étagère toute en longueur installée au milieu du mur le plus long du séjour. Parce que les petites surfaces ne font pas forcément de petits projets, les aménageurs ont accordé une grande importance au mobilier, dessiné par leur soin et fabriqué sur-mesure, en contreplaqué de bouleau, fibre de bois noir et métal peint, recréant ainsi l'ambiance d'un chez-soi. Le lieu, d'une grande simplicité, permet ainsi de s'isoler du monde extérieur le temps d'une séance. Pour en savoir plus, visitez le site de État de GRÂCE Photographies : YannaudinoaIllustrations : État de GRÂCE
Il y a 7 ans et 199 jours

Studio Vincent Eschalier : BlackPearl

Rénové en 2017, ce grand monolithe aux allures de navire tout habillé de noir semble avoir tout juste accosté dans le quartier de Paris-La Défense, à Courbevoie... Bienvenue sur le BlackPearl du capitaine Vincent Eschalier ! Depuis sa réhabilitation menée en 2017 par le Studio Vincent Eschalier, ce bâtiment datant des années 1970, localisé à Paris-La Défense a radicalement changé de visage. Rebaptisé BlackPearl pour l'occasion, en clin d'"il, à n'en pas douter, à sa forme triangulaire rappelant la poupe d'un bateau, et à sa façade, désormais habillée de grands voiles noirs de 3 x 25 mètres. Pourtant, nulle question ici de pirates damnés, de morts-vivants ou de trésors maudits, mais plutôt de vastes bureaux en open space. En effet, en plus d'avoir été désamianté et débarrassé de son ancien revêtement en pierre agrafée, le projet a été repensé de fond en comble par l'architecte pour se démarquer des constructions voisines tout en offrant un maximum de confort à ses usagers. Désormais coiffé d'un dôme en aluminium cuivré, il surplombe avec élégance le quartier d'affaires, tandis que les intérieurs ont été dénudés pour révéler la structure originelle en béton. Aujourd'hui, ce sont des cloisons vitrées qui assurent l'intimité des salariés, dont les espaces de travail profitent d'une belle hauteur sous plafond de 2,80 mètres. Un luxe, d'autant plus agréable que les bureaux ne pâtissent pas de leur exposition plein sud, puisque que les voiles métalliques installés en façade font office de brise-soleil, en plus d'être particulièrement graphiques. Ne manque finalement qu'un équipage de forbans pour que la comparaison avec le navire éponyme soit complète... Intitulé du projet : BlackPearlLieu : Courbevoie (92)Maîtrise d'ouvrage : 6e Sens ImmobilierMaîtrise d'"uvre : Studio Vincent EschalierSurface : 4 300 m2Montant des travaux : NCCalendrier : Livraison 2017 Photographies : DR Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Tertiaire - Réhabilitation Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de Studio Vincent Eschalier 
Il y a 7 ans et 199 jours

OMA et Gigon Guyer Architekten : Campus CentraleSupélec

Après Châtenay-Malabry (92), l'École Centrale Paris s'installe à Gif-sur-Yvette (91), sur le plateau de Saclay, sous une toute nouvelle enveloppe dessinée par l'agence néerlandaise OMA. Pour ce titanesque projet de 70 000 mètres carrés, OMA et de son architecte Rem Koolhaas ont conçu un ensemble situé aux antipodes des habituels laboratoires scientifiques ou autres bâtiments de recherche, souvent peu engageants, hermétiques et froids. L'agence imagine alors un bloc aérien composé de cinq niveaux en gradins organisés autour d'une vaste place centrale baignée de lumière grâce à une verrière en ETFE. Si les 20 000 mètres carrés de cet édifice alliant béton, acier et verre sont dédiés à l'enseignement " amphithéâtres, salles de cours, de recherche etc. ", ils comprennent également des bureaux, des lieux de restauration et de repos. Par opposition à l'extérieur de l'édifice, aux airs de forteresse, les différents espaces intérieurs sont extrêmement ouverts. Des parois mobiles disposées dans les lieux de vie commune " notamment dans l'agora, contenant le self, un stand de restauration rapide et de nombreux sofas ", permettant en outre une liberté d'aménagement de ces surfaces. Les zones se confondent, encourageant étudiants, chercheurs et personnel administratif et pédagogique à échanger, sans cloisonner les activités de chacun. Même si de prime abord l'établissement semble clos sur son environnement, les maîtres d'"uvre ont en réalité pris le parti de le relier au quartier en devenir et aux bâtiments voisins par le biais d'une rue diagonale. La réponse d'OMA au programme n'est donc pas uniquement architecturale, mais également urbaine, et prendra tout son sens lorsque les bâtiments du Plateau de Saclay seront construits. Un établissement aussi stimulant pour les étudiants que pour les habitants de Gif-sur-Yvette. En plus de casser les codes, il insuffle un nouveau souffle à une région jusqu'alors en manque de dynamisme. Photographies : Philippe Ruault Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Enseignement - Supérieur Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards, de OMA et de Gigon Guyer Architekten
Il y a 7 ans et 199 jours

CAB ARCHITECTES : ENSAE ParisTech

Les concepteurs de l'agence CAB ARCHITECTES, spécialisés dans le béton, signent cette fois un projet millimétré en acier. Situé à Palaiseau, c'est un écrin géométrique tout adapté pour accueillir l'ENSAE ParisTech... Avec son plan carré, sa structure en acier aux motifs orthogonaux minutieusement dessinés, ce projet livré en 2017 à Palaiseau (91) par l'agence CAB architectes pourrait être un temple dédié aux proportions et à la géométrie. C'est d'ailleurs un peu le cas, puisque le bâtiment accueille l'École Nationale de Statistique et de l'Administration Économique, laquelle a quitté Malakoff (92) pour se rapprocher de l'école Polytechnique, dorénavant positionnée sur le plateau de Saclay. Alors qu'ils ont l'habitude d'utiliser le béton " leur matériau fétiche ", les architectes ont profité de la carte blanche formelle donnée par le maître d'ouvrage pour s'essayer à l'acier, concevant un immeuble en structure poteaux-poutres sur 5 étages, destiné à héberger salles de cours, bureaux administratifs, bibliothèque et autres amphithéâtres mentionnés dans le programme. Un choix retenu pour ses propriétés esthétiques bien sûr, mais aussi pour la simplicité de mise en "uvre que représente la filière sèche, l'agence CAB, localisée dans le sud de la France, jugeant ce mode constructif plus facile à contrôler à distance. De ce parti pris résulte un projet sobre et par conséquent polyvalent : un bon moyen d'anticiper un éventuel futur changement de destination de l'édifice ! À l'intérieur, les matériaux particulièrement sobres contribuent également à l'atmosphère studieuse de l'édifice. Ainsi, le sol en béton et moquette ainsi que les cloisons en Fermacell " un matériau composé à base de gypse ", s'accordent parfaitement avec la structure métallique laissée apparente. De quoi étudier et travailler dans des conditions de calme optimum ! Intitulé du projet : ENSAE ParisTechLieu : Palaiseau (91)Maîtrise d'ouvrage : Groupe des Ecoles Nationales d'Economie et de Statistique (GENES)Maîtrise d'"uvre : CAB ARCHITECTESSurface : 15 400 m2Montant des travaux : 33 671 605 ¤ HTCalendrier : Livraison février 2017 Photographies : Aldo Amoretti Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Enseignement - Supérieur Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de CAB ARCHITECTES 
Il y a 7 ans et 199 jours

Kochi Architect's Studio : Ana House

Dans la banlieue de Tokyo (Japon), les architectes nippons du studio Kochi expérimentent le pouvoir de la couleur et son implication sur la perception spatiale dans un projet de rénovation d'une petite maison pavillonnaire. Entre patchwork et anamorphose, la Ana House trouble nos sens. Destinée à une famille de quatre personnes, cette résidence cubique de deux niveaux prend place dans un quartier où la densité de logements ferait le ferait presque passer pour un célèbre jeu de briques. Contrairement à son aspect extérieur, typiquement pavillonnaire, elle accumule les excentricités à l'intérieur où multiples pièces et espaces s'accumulent. Au rez-de-chaussée, d'une surface au sol de 46 mètres carrés, une salle à manger centrale est encadré par différentes salles qui s'organisent autour d'elle " l'entrée, le cellier, la cuisine, un salon, une bibliothèque, une chambre et la cage d'escalier ", toutes plus minuscules les unes que les autres ; tandis qu'au second niveau en double hauteur, c'est le palier qui fait cette fois-ci office de rotule entre le dressing, la salle de bain et deux chambres, séparées par une mezzanine donnant sur le rez-de-chaussée. À un aménagement spatial fonctionnel et décloisonné, Kazuyasu Kochi, architecte du projet, a préféré miser sur la perception visuelle, partant du principe que plus on voit de parties, plus l'impression de volume augmente. Le concepteur réalise ainsi des pans coupés obliques dans des cloisons qui dynamisent un plan orthonormé. Pour renforcer cet aspect morcelé et graphique, il applique en outre généreusement de la peinture murale. Cette application de la couleur s'inspire des travaux de Georges Rousse ou de Felice Varini qui, par le biais d'aplats, déforment la vision d'un volume, tout en créant une vision anamorphique depuis un point de vue donné. Dès lors, tous les murs monochromes se parent de couleurs pastel, qui renforcent les formes alambiquées des murs. Une technique innovante qui transforme un petit intérieur en une grande "uvre d'art ! Pour en savoir plus, visitez le site de Kochi Architect's Studio Photographies : Kazuyasu Kochi
Il y a 7 ans et 203 jours

Comment isoler le garage pour y créer une nouvelle pièce ?

Réaliser une cloison avec la solution Up Stil® garantit d'excellentes performances thermiques, de bonnes performances acoustiques, tout en étant très simple à mettre en "uvre. Ce système repose sur un nouveau type de montant intégrant un isolant en polystyrène expansé (PSE) qui permet de limiter les ponts thermiques.
Il y a 7 ans et 203 jours

Tramico présente une gamme isolation des cloisons, murs et planchers

Tramico propose une nouvelle gamme de bandes en mousse résilientes, permettant de réaliser l'étanchéité à l'eau, à l'air et aux bruits des cloisons intérieures. Les bandes se posent entre les rails de cloison et les planchers, plafonds ou rampants. La gamme comprend les produits Tramiband et Compristil.
Il y a 7 ans et 209 jours

ZAO/Standardarchitecture : Micro Hutong

Quel meilleur terrain de jeux pour un agenceur que les fameuses hutongs de Pékin (Chine), ces traditionnelles ruelles étroites et labyrinthiques qui fourmillent d'activités ? Zhang Ke, du groupe ZAO/Standardarchitecture, expérimente ainsi dans l'un de ces quartiers un peu spéciaux, les notions paradoxales d'intimité et de partage, dans une étrange construction aux volumes saillants. Les hutongs, ces ruelles composant le centre-ville de Pékin, sont de plus en plus désertées par leurs habitants qui leur préfèrent la périphérie de la mégalopole, disposant de logements plus grands et de plus larges espaces extérieurs. Partant d'une analyse critique de cet exode et à l'occasion de la Beijing Design Week de 2013, Zhang Ke installe dans le creux d'une rue en L une microarchitecture dans le but d'attirer les curieux et de rassembler les habitants du quartier de Dashilar. Le long de deux maisons en béton, le visiteur pénètre par une entrée en métal dans ce qui semble être une masure en décrépitude, arborant une façade en tôle ondulée et planche de bois de récupération, typiques des venelles pékinoises. Après avoir passé une salle d'accueil de 30 mètres carrés, sans cloison ni fenêtre ni porte, où seuls un canapé et quelques cousins semblent sous-entendre la fonction de salon, le promeneur découvre un atrium pavé de 10 mètres carrés, dont les matériaux " verre et ciment ", et les lignes contemporaines tranchent avec les pignons voisins faits de bric et de broc.Autour de ce patio, cinq impressionnants volumes vitrés irréguliers disposés sur deux niveaux, semblent se disputer le peu d'espace disponible. La cuisine et les toilettes sont littéralement exposées dans les deux blocs du rez-de-chaussée, tandis que les trois unités de couchage sont perchées plus haut dans trois cubes accessibles par des échelles et d'étroits passages.Ces modules de contreplaqué enduits de ciment anthracite, allant de deux à trois mètres carrés, sont introduits dans une structure métallique adaptable à toutes les configurations, offrant ainsi une multitude de possibilités de montage et de démontage dans d'autres lieux. Les vis-à-vis entre unités créent alors un jeu entre dedans et dehors, et entre les occupants des boîtes qui sont libres de voir et de se faire voir. Ici la notion d'intimité est gommée. Des sanitaires ont quant à eux été placés à l'extérieur, de l'autre côté du bâtiment, à l'abri des regards cette fois ; offrant par ailleurs aux voisins un petit coin flambant neuf. Un curieux OVNI, situé entre mise en scène artistique et architecturale, qui sera exposé lors de Biennale d'Architecture de Chicago 2017-2018, afin de démontrer le rôle des maîtres d'oeuvre dans la revitalisation de centres anciens délaissés. Pour en savoir plus, visitez le site de StandardachitecturePhotographies : ©ZAO/Standardarchitecture
Il y a 7 ans et 212 jours

La construction sèche élargit ses performances

Knauf, acteur de la construction sèche déploie de nouvelles réponses, en matière de résistance au feu, acoustique, cloisons anti-effraction et de sécurité pare-balles...
Il y a 7 ans et 219 jours

La construction sèche élargit ses performances

Knauf, acteur de la construction sèche déploie de nouvelles réponses, en matière de résistance au feu, acoustique, cloisons anti-effraction et de sécurité pare-balles...
Il y a 7 ans et 219 jours

La construction sèche élargit ses performances

Knauf, acteur de la construction sèche déploie de nouvelles réponses, en matière de résistance au feu, acoustique, cloisons anti-effraction et de sécurité pare-balles...
Il y a 7 ans et 240 jours

Rever & Drage Architects : Kvåsfossen

Si la Norvège est bien connue pour sa production de saumons, ces derniers fascinent bien au-delà de la période de Noël ! À Kvåsfossen (Norvège), les architectes locaux Rever & Drage ont conçu un espace d'exposition en bordure de falaise, accueillant les curieux désireux de voir évoluer les poissons dans leur environnement. Avec son implantation en L, le bâtiment de plain-pied de 450 mètres carrés est une ode à la montagne, dont il suit la courbe au plus près. Il se situe par ailleurs en contrebas d'une route, depuis laquelle on n'aperçoit uniquement ses deux toitures à quatre pans et leur cheminée, d'où aucune gaine technique disgracieuse ne dépasse. Les toits sont ici une cinquième façade à part entière de cet ensemble revêtu entièrement de lames de chêne teinté à base de goudron, qui rappellent les nuances de la végétation et des roches alentour. Pour profiter au maximum de vues sur cet environnement boisé d'exception, le centre bénéficie de larges baies vitrées, offrant un panorama à couper le souffle sur le cours d'eau et l'immense échelle à saumons, installée en 2014 et permettant aux smolts de remonter le courant malgré les barrages. En pénétrant à l'est dans ce lieu entièrement décloisonné, le visiteur découvre en enfilade un espace café/cuisine puis un grand espace d'exposition. La zone d'observation sur les rapides bénéficie d'une large baie vitrée avec banquette orientée au sud et une terrasse positionnée à l'extrémité ouest. Dehors, un escalier hélicoïdal mène à bassin souterrain permettant aux plus curieuxvisiteurs d'observer à hauteur d'"il les poissons peuplant la rivière. Un projet mettant en avant la production piscicole locale mais surtout le paysage prodigieux des cascades scandinaves. Pour en savoir plus, visitez le site de Rever & Drage Architects Photographies : Tom Auger
Il y a 7 ans et 245 jours

Notan Office : Le 13e

Surplombant les toits de Beyrouth (Liban), le 13e consiste en la surélévation d'un niveau d'une tour de douze étages par l'agence belge Notan Office. La construction monolithique et brute héberge un logement de 250 mètres carrés, parfaitement intégré dans le paysage urbain de la capitale libanaise. Ajouter un étage à un immeuble de logements comportait de nombreux défis pour les maîtres d'"uvre bruxellois. Le projet devait en effet s'adapter à l'organisation du bâtiment d'origine, avec notamment la présence centrale d'un bloc de circulations verticales et de gaines techniques, sans compter sur un réservoir d'eau présent sur le toit, qu'il a fallu déplacer. Ainsi, la construction est-elle divisée par les parties communes de l'immeuble qui desservent les différents logements de cette tour de 13 étages. Celles-ci sont l'occasion pour les architectes de créer une partition jour/nuit, avec à l'est, l'unique pièce de vie " rassemblant salon, salle à manger et cuisine ", et à l'ouest, les deux chambres et leur pièce d'eau. Cette résidence de plain-pied se fond avec le bâtiment existant mais aussi l'architecture de Beyrouth, par l'alliance du béton massif en structure et de matériaux locaux plus nobles, tels que le marbre blanc omniprésent au sol, le verre et le bois en habillage. Traversante, l'habitation est baignée de lumière naturelle, notamment grâce à un intérieur décloisonné et deux grandes baies vitrées ouvertes sur une terrasse au sud et un balcon au nord. Un projet culotté qui s'incorpore à merveille dans le paysage urbain stratifié du Paris de l'Orient. Pour en savoir plus, visitez le site de Notan Office Photographies : Ieva Saudargaité
Il y a 7 ans et 251 jours

ChartierDalix : R*Generation

Lauréate du concours lancé en 2014 par la marque automobile Renault, l'agence ChartierDalix, remodèle le Centre de design de l'iconique technopole du groupe, construit en 1996 à Guyancourt (78). Une architecture industrielle où les espaces de travail se mêlent à des zones de convivialité et d'échange. En somme, une main de fer dans un gant de velours. Si le duo d'architectes composé de Frédéric Chartier et Pascale Dalix fait aujourd'hui les gros titres pour le concours de la rénovation de la Tour Montparnasse, qu'il vient de remporter aux côtés des agences Franklin Azzi Architecture, et Hardel et Le Bihan, il mérite également d'être remarqué pour une autre rénovation : celle du centre de design de la marque Renault. Lors de la compétition lancée en 2014, le projet de l'agence parisienne s'est particulièrement distingué de ses concurrents par son respect du bâti d'origine dont les principales caractéristiques architecturales ont été conservées " structure métallique et toiture crénelée " ; mais aussi fonctionnelle " ateliers au rez-de-chaussée ; studios et circulations sur la mezzanine située à 3,6 mètres de hauteur afin de permettre le passage des véhicules. Chacun de ces services étant organisé autour d'espaces collectifs mis à disposition des collaborateurs : zones de travail informelles ou de détente. Les concepteurs se sont par ailleurs illustrés par leur démarche : le chef de projet de cette rénovation, Mathieu Terme, s'étant installé sur place trois jours par semaine durant la phase d'étude, dans le but de mieux en saisir les pratiques et usages. Les besoins actuels de la marque, ne sont plus ceux d'hier. Ainsi, la technopole, livrée en 1996, n'était plus adapté. Dans le Centre de Design, les effectifs du personnel ont par exemple doublé depuis son ouverture, passant de 260 à 500, et le nombre de marques pour lesquelles ces centaines collaborateurs officient a été multiplié par 5 " Renault, Samsung, Motors, Alpine et Lada. À nouvelles perspectives, nouvel écrin donc, nommé R*Generation. R pour Renault bien entendu, mais aussi pour " Régénérer ", " Revitaliser ", " Réactiver ", " Recréer ", " Ressourcer ", " Réaliser ", " Restructurer ", ou encore " Reconfigurer ", mots qui illustrent un changement de paradigme de la part du fabricant. " Ce projet est le reflet d'un monde professionnel qui change, qui se décloisonne et qui admet que le confort et la domesticité stimulent l'efficacité et la créativité. " Frédéric Chartier, co-fondateur de l'agence ChartierDalix Dans cette optique, la marque au losange pense dorénavant l'espace de travail comme un outil à part entière dans le processus de création ; un lieu provocant les opportunités de rencontres et de synergies entre les différents métiers que ce hangar héberge " tels designers, modeleurs, maquettistes ou experts qualité. Pour favoriser la mobilité et les interactions entre employés, les architectes ont dessiné des plateformes connectées " non-hiérarchisée " " wifi et prises électriques sont disposées un peu partout ", où tout le monde peut s'installer, tout en respectant la tranquillité de chacun par un fort travail sur les vues et l'acoustique. Outre cette attention portée sur l'intimité, ce traitement permet, dans ce qui est l'un des plus grands centres d'innovation au monde, d'assurer une certaine confidentialité des projets. Afin que cette dernière soit assurée, les concepteurs ont en outre imaginé une surface tampon positionnée à l'entrée du site, où éléments intérieurs et extérieurs peuvent interagir sans mettre en péril les secrets que l'institution renferme. Des zones ouvertes à tous sont donc disséminées un peu partout dans le Centre de Design. Elles permettent de multiples formes d'appropriation grâce à des formes et typologies variées : petites alcôves, gradins, grands plateaux et ateliers, dont le mobilier (tabourets, galettes et luminaires) et la signalétique ont été réalisés par le studio Joran Briand Associés. Entre chacune de ces aires, les architectes ont mis en place des jeux de transparences entre les cloisons. Selon les usages et la nécessité de confidentialité ces dernières sont, grâce à de la sérigraphie et une série de voilages, translucides pour une aire de rencontre ou opaques pour un local technique.Pour que tout le monde se sente comme à la maison dans ce vaste volume industriel, rideaux et panneaux de bois brut ont été installés. Ces éléments chaleureux contrastent avec la production utra-technologique du site. Les architectes ont ainsi résolu de multiples gageures en créant un lieu à la fois ouvert, pour favoriser les échanges, et fermé, afin d'assurer la discrétion nécessaire à la production industrielle. Un concept nommé " confidentialité active " par l'agence ChartierDalix. Pour en savoir plus, visitez le site de Chartier Dalix Photographies : Takuji Shimmura
Il y a 7 ans et 260 jours

Elimax, le système de cloisons astucieux

Le concept Elimax®, proposé par Construction Specialties, est constitué d’un système de cloisons astucieux sur ossature aluminium et d’un ensemble… Cet article Elimax, le système de cloisons astucieux est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 7 ans et 265 jours

GGA Architects : Maison à Urbino

Située sur une colline dominant l'ancienne ville fortifiée d'Urbino (Italie), la propriété édifiée par l'agence transalpine GGA Architects réinterprète la tradition en mêlant revêtements typiques de la région et conception contemporaine. Avec sa plateforme en béton ocre sur laquelle se trouve une piscine à débordement, l'ensemble, implanté en L, bénéficie d'une vue imprenable sur Urbino. Il se compose d'une habitation principale et d'un bâtiment auxiliaire qui reprend la forme caractéristique des granges de la région. Avec ses claustras en bois et ses murs de pierres sèches locales, la maison s'intègre avec brio à l'architecture vernaculaire à laquelle elle ajoute une touche actuelle et atypique par l'usage d'une structure en béton et de larges parois vitrées. " Si le projet, avec ses compositions et sa rigueur architecturale, interprète fidèlement les thèmes formels typiques de cette région italienne, dans ses intérieurs, dans le traitement des matériaux, la conception et son mobilier, il veut faire valoir sa remarquable contemporanéité. " GGA Architects L'entrée dans la demeure de trois niveaux, s'effectue par le sous-sol " accessible depuis l'extérieur via un escalier ", composé d'une salle de cinéma et d'un long corridor menant à l'annexe contenant une salle de sport et un spa. Au bout de ce couloir se trouve une série de marches menant à l'espace de vie situé au rez-de-chaussée. Ici, pas de cloisons : tout est ouvert. Les murs en béton sont agrémentés de larges baies vitrées qui, en plus d'encadrer le panorama d'exception, apportent de la luminosité à l'intérieur tout en le connectant à l'extérieur. Pour atteindre les espaces de nuit, il suffit de montrer un deuxième escalier qui conduit à une mezzanine comprenant la suite principale ainsi que deux autres chambres. Un projet à la fois original et intemporel qui réussit à incorporer une construction contemporaine à un site chargé d'histoire, tout en respectant le patrimoine et l'architecture de la belle Italie. Pour en savoir plus, visitez le site de GGA Architects Photographies : Ezio Manuciucca
Il y a 7 ans et 274 jours

OMA : Lab City

Implanté à l'origine à Châtenay-Malabry (92), l'École Centrale Paris s'installe à Gif-sur-Yvette, sur le plateau de Saclay (91) sous une toute nouvelle enveloppe dessinée par l'agence néerlandaise OMA. Pour ce titanesque projet de 70 000 mètres carrés, OMA et de son architecte Rem Koolhaas ont conçu un ensemble situé aux antipodes des habituels laboratoires scientifiques ou autres bâtiments de recherche, souvent peu engageants, hermétiques et froids. L'agence imagine alors un bloc aérien composé de cinq niveaux en gradins organisés autour d'une vaste place centrale baignée de lumière grâce à une verrière en ETFE. Si les 20 000 mètres carrés de cet édifice alliant béton, acier et verre sont dédiés à l'enseignement " amphithéâtres, salles de cours, de recherche etc..., l'ensemble comprend également des bureaux, des lieux de restauration ou simplement de repos. Par opposition à l'aspect extérieur de l'édifice, aux airs de forteresse, les différents espaces intérieurs sont extrêmement ouverts. Des parois mobiles disposées dans les espaces communs " notamment dans l'agora, contenant le self, un stand de restauration rapide et de nombreux sofas " les relient entre eux, permettant d'aménager différemment les surfaces. Les zones se confondent, encourageant étudiants, chercheurs et personnel administratif et pédagogique à échanger, sans cloisonner les activités de chacun. " OMA ne s'est pas contenté d'interpréter le cahier des charges ni même d'entrer dans la rationalité de l'ingénieur mais a cherché à comprendre notre modèle pédagogique, ses valeurs et ses principes, pour le traduire sous une forme à la fois architecturale et urbanistique ", Hervé Biausser, Directeur de l'ECP Même si de prime abord l'établissement semble clos sur son environnement, les maîtres d'"uvre ont en réalité pris le parti de le relier au quartier en devenir et aux bâtiments voisins par le biais d'une rue diagonale. La réponse d'OMA au programme n'est donc pas uniquement architecturale, mais également urbaine, et prendra tout son sens lorsque les bâtiments du Plateau de Saclay seront construits. Un établissement aussi stimulant pour les étudiants que pour les habitants de Gif-sur-Yvette qui, en plus de casser les codes, insuffle un nouveau souffle à une région jusqu'alors en manque de dynamique. Pour en savoir plus, visitez le site de OMA Photographies : Philippe Ruault
Il y a 7 ans et 280 jours

Saguez & Partners : Manufacture Design

Installée depuis 2003 dans la ville de Saint-Ouen (93), l'agence de design global Saguez & Partners pose ses valises dans le quartier des Docks, plus précisément dans l'ancienne halle Alstom qu'elle réhabilite en Manufacture Design, mêlant lieu de travail, réflexion, détente et créativité. Organisé autour d'un jardin tropical, cet immeuble industriel en U de 800 mètres carrés répartis sur trois niveaux est constamment baigné de lumière grâce à la présence de patios et d'une verrière double-hauteur disposée dans l'espace d'accueil, au centre du bâtiment. Un des objectifs principaux des concepteurs était de créer un espace de travail fortement lié à l'extérieur, concept que l'on retrouve aussi bien dans l'agencement intérieur libéré de toute paroi que dans les matériaux naturels utilisés, tels que le bois lamellé-collé, ou dans la végétation luxuriante dispersée sur l'ensemble, dedans comme dehors. Pour la réalisation de son nouveau siège, l'équipe de Saguez & Partners s'est posé la question du besoin physique de bureaux à une époque d'hyper-connexion, où n'importe qui peut accomplir n'importe quelle tâche depuis n'importe tout. L'entièreté du lieu est modulable, s'adaptant ainsi aux besoins de chacun à tout moment. La salle de sport se transforme par exemple aisément en pièce de réunion et les bibliothèques peuvent devenir cloisons pour créer rapidement des sphères intimes. Les postes de travail sont également ouverts : répartis sur deux plateaux, ils sont conçus pour faciliter l'échange et les synergies entre collaborateurs, qui peuvent dès lors bénéficier des élans créatifs de chacun. Des zones de détente sont également mises à disposition : une large terrasse, une tente bivouac et deux surfaces de restauration " dont une est accessible à tous, salariés comme Audoniens. Mais la Manufacture Design n'est pas uniquement réservée aux employés de Saguez & Partners. En effet, pour la première fois en France, une agence de design intègre une école à son organisme. Design Act, dirigée par Dominique Sciamma, propose en effet une formation complète axée sur l'urbanisme et le territoire de la Seine Saint-Denis à ses élèves. L'endroit accueille en outre des expositions temporaires et permanentes d'artistes, avec la volonté d'encourager les talents de demain. Ainsi, la Manufacture Design offre non seulement à ses collaborateurs un climat sain et agréable, mais fait surtout office d'incubateur de la création, grâce à un environnement complet et cohérent avec son domaine d'activité. Pour en savoir plus, visitez le site de Saguez & Partners Photographies : Saguez & Partners I Manufacture Design
Il y a 7 ans et 290 jours

Des cloisons réalisées à partir de déchets textiles

Se servir de déchets textiles pour fabriquer une cloison isolante et insonorisante, il fallait y penser. Et c'est à Charles Saade, étudiant à LISAA qu'on doit cette idée. Une idée remplie d'ingéniosité primée dans le cadre du concours Design Zéro Déchet 2017. Zoom.
Il y a 7 ans et 318 jours

Communes fleuries d'Occitanie : Alès joue le décloisonnement (3/4)

Partie prenante de la tournée occitane du jury national des villes et villages fleuris de France, Paysage Actualités a visité Alès le 4 juillet, troisième étape de son feuilleton numérique de l'été après Fraïsse-sur-Agout et Nîmes. Prochain épisode : Perpignan.
Il y a 7 ans et 329 jours

ÉCAL x Vitra : Workbays Village

Inspirés des structures bureautiques Workbays éditées par Vitra, les étudiants en Master Design de Produit de l'École Cantonale d'Art de Lausanne (Suisse), ou ÉCAL, présentent un ensemble de projets repensant les environnements de travail. Le tout est exposé à Toulon (83) dans le cadre de la Design Parade organisée par la Villa Noailles, sous le nom de Workbays Village. Créés par les designer Ronan et Erwan Bouroullec, les Workbays sont des éléments micro-architecturaux modulaires composés de profilés d'aluminium fins et de parois en feutre de polyester pressé, dont les dimensions et les revêtements varient selon les modèles, et permettent d'aménager et de cloisonner les espaces de travail sans travaux. Suite à un workshop animé au cours de l'année par Erwan Bouroullec et Camille Blin , designer et professeur, les étudiants de master de l'ÉCAL décident d'aller plus loin et d'offrir à ces volumes spécialement de nouvelles fonctions, notamment par l'ajout d'accessoires originaux. De cette idée naissent des hôtels capsules, calqués sur les modèles japonais ; un atelier de prototypage ; une salle de sport ou encore un bar. Finis les box austères et inflexibles des années 1960 ! " Grâce à cet atelier, nous avons essayé de souligner cette vision organique du bureau en ajoutant des fonctionnalités aux Workbays et à l'environnement de travail en soi, ce qui créerait plus d'interaction entre les utilisateurs et les meubles. " Camille Blin, professeur à l'ÉCAL Une animation 3D réalisée par TRAUM Inc., une compagnie d'audiovisuel spécialisée dans le numérique, permet aux visiteurs de se faire une idée plus précise des différentes utilisations que permettent ces Workbays. Un résultat qui assure à ses concepteurs un bel avenir dans le monde du design. Exposition " Workbays Village ", jusqu'au 24 septembre 2017 au Port des créateurs, place Savonnière, Toulon (83). Pour en savoir plus, visitez le site de l'ECAL et de la Villa Noailles Photographies : ECAL
Il y a 7 ans et 331 jours

Jaime Hayon : Hôtel Barceló Torre de Madrid

Grâce à une multitude de projets d'art, d'aménagement et de design produits, l'architecte d'intérieur espagnol Jaime Haynon s'est aujourd'hui bâti une réputation de renommée mondiale. Un savoir-faire mis aujourd'hui au service de sa cité natale, Madrid, avec l'aménagement de l'Hôtel Barceló situé dans la Tour de Madrid. Pour ce projet conçu au c"ur de la ville qui l'a vu naître, Jaime Haynon nous transporte dans un voyage architectural à travers l'histoire espagnole, teintée d'influences arabes et maures. Avec 258 chambres, réparties sur neuf des 34 étages de la Tour de Madrid, l'hôtel Barceló offre à ses résidents tout le luxe et le confort d'un établissement cinq étoiles : un restaurant, une partie piscine/spa ou encore un rooftop. L'ensemble est décoré d'éléments exubérants qui entrent en décalage avec une architecture épurée : sculptures, volumes colorés et autres objets fantasques, comme l'immense ours zébré réceptionnant les nouveaux arrivants. La présence de bleu et de vert aux tons pastel égaye le décor tout en assurant sa sobriété. Le bar, habillé de bois et de marbre, se dresse au fond de l'accueil, derrière deux cloisons percées d'arches, dont le motif est par ailleurs repris dans les étagères servant au rangement des bouteilles. Le meuble rejoint le plafond situé à six mètres de hauteur, lui-même affublé de miroirs, qui agrandissent encore un peu plus ce vaste volume. Avec cet ouvrage aussi luxueux que luxuriant, l'architecte d'intérieur madrilène redonne un coup de jeune à la mythique Tour de Madrid, réalisée par l'architecte Julián Otamendi dans les années 1950. Pour en savoir plus, visitez le site de Jaime Haynon  Photographies :KluderBie
Il y a 7 ans et 339 jours

Boîte dans la Boîte de Knauf : des systèmes constructifs autoportants singuliers

Le concept Boîte dans la Boîte de Knauf constitue une offre clé en main de cloisons légères et plafonds autoportants qui permettent de modifier l'agencement intérieur de locaux par la création d'espaces avec des solutions précalculées. 
Il y a 7 ans et 342 jours

O-office Architects : Work Studio

Basé à Guangzhou (Chine), le studio O-office Architects réhabilite une ancienne serre de 1 214 mètres carrés en siège social d'une société locale de design paysager. Les concepteurs conservent l'âme végétale du lieu en réalisant des espaces de travail à la manière de jardins d'hiver. De l'architecture originelle, l'équipe d'O-office Architects conserve la structure en acier au toit en dents de scie et larges parois vitrées. Les nouveaux occupants travaillent ainsi dans un cadre lumineux, directement relié à l'extérieur. Le rez-de-chaussée, parsemé de patios, est complètement ouvert et se compose notamment de l'accueil et d'un escalier central en béton poli aux marches irrégulières parsemées de plantes, qui sert également de lieu de réunions informel et de conférences. Les multiples bureaux et salles de travail sont disposés au niveau supérieur, sous une verrière inondée de lumière naturelle, reflétée par les différents matériaux " tels que l'acier et le bois " et surfaces blanches immaculées. Chaque zone est agrémentée d'une végétation spécifique " comprenant notamment deux arbres occupant la double-hauteur ", et séparée de sa voisine par des cloisons en verre. Le toit contribue également à cette transparence globale puisque, au milieu de panneaux opaques de couverture, sont placées des parties translucides. L'agence chinoise rend ici un bel hommage à l'histoire du bâtiment en s'inspirant de son passé botanique et réalise un espace professionnel agréable et lumineux. Photographies : Photos Liky Pour en savoir plus, visitez le site de O-office Architects
Il y a 7 ans et 352 jours

Arch Studio : Twisting Cour

Le studio Arch Studio, basé à Beijing (Chine), réhabilite une siheyuan " maison traditionnelle pékinoise avec cour ", dans le quartier historique de Dashilar. Avec les nouveaux aménagements de la cour et de l'intérieur imaginés par les architectes, cet ancien logement privé devient un espace de location atypique du centre-ville dont la structure intrigue les visiteurs. Longtemps réservées aux classes supérieures chinoises, les siheyuan ont longtemps été des espaces solennels et fermés sur eux-mêmes. Les concepteurs du projet Twisting Cour ont donc voulu réinterpréter cet ensemble d'habitation dans le but de respecter l'aspect majestueux de ces bâtiments tout en les transformant en espaces modernes de réception et de gîte. Pour cela les architectes ont conservé les quatre bâtisses de plain pieds qui composent l'ancien complexe, et les ont complétement ouvertes sur la cour centrale grâce à l'installation de baies vitrées et de grandes portes fenêtres coulissantes. La cour est reliée visuellement à l'intérieur du foyer par un ruban ondoyant en brique anthracite, tantôt sol, tantôt mur, ce qui crée un effet de continuité dynamique entre l'extérieur et les pièces de vie. Au sein de ces petites maisons, les cloisons sont amovibles et les espaces de rangement encastrés, pour un gain de place maximum. Tous les aménagements intérieurs sont neutres et épurés, les murs immaculés et les meubles en bois, avec ainsi, la possibilité de plaire au plus grand nombre. Le mobilier a été choisi en fonction de sa modularité et de sa mobilité afin de correspondre à tous les besoins. Grâce à une réhabilitation originale, Arch Studio redonne vie et dynamisme à un modèle de logement typique et élitiste en l'ouvrant à tous ceux qui souhaitent pénétrer dans ces demeures aristocratiques chinoises. Photographies : Wang Ning et Jin Weiqi Pour en savoir plus, visitez le site de Arch Studio
Il y a 7 ans et 357 jours

Du Côté de Chez Vous : Jeunes talents 2017

En janvier 2017, Du Côté de Chez Vous lançait un appel à tous les designers, étudiants, artisans ou simples passionnés en leur proposant d'imaginer un projet de " Jeux de (dé)construction ". La contrainte était de produire un objet facilement reproductible qui serait ensuite mis à disposition en open-source. Les travaux de ces designers de demain seront exposés du 9 au 13 septembre sur now! le Off lors de la Paris Design Week 2017. Grand Prix : Arronde, Camille Ravanel Diplômée de l'École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris en Design d'objets , Camille réalise ici une gamme de mobilier épurée dont les assemblages de bois constituent le seul motif décoratif. Alliant fonctionnalité et esthétisme, cette collection se compose de panneaux de bois, de pièces d'assemblage en métal ou en plastique et de pieds en métal. Arronde a séduit le jury aussi bien par sa facilité d'assemblage ne nécessitant ni colle, ni vis que par sa modularité lui permettant de se transformer en bibliothèque ou en cloison. Prix Étudiant : Cloison personnalisable, Caroline Chapron Actuellement élève aux Arts Décoratifs de Paris en Design d'objet, Caroline imagine Cloison personnalisable, largement inspirée par une problématique propre à de nombreux étudiants de la capitale : créer des cloisons et des séparations dans de petites surfaces ou des colocations sans pour autant être bricoleur. Avec ce système reposant sur un principe d'étais, il est désormais possible d'aménager son appartement comme on le souhaite sans être manuel. De plus, le système de rotules fixant les formes installées par Caroline offre au propriétaire de cet objet une grande liberté de customisation. Prix du Public : Plug and Make, Antoine Taillandier Choisi par le public à la suite d'une campagne de vote en ligne, Plug and Make s'inspire des jeux de construction. Il se compose d'une plaque de contreplaqué sur laquelle se fixent librement des éléments imprimés en 3D, créant ainsi un meuble idéal. La tablette est quant à elle découpée au laser, ce qui facilite la production en atelier. Les possibilités d'utilisation sont infinies ; pouvant aussi bien être placé verticalement qu'horizontalement ou en fixation murale, ce qui rend le tout aussi pratique que ludique. Coup de c"ur du Jury : Tabtouli, Lucie Lasjuilliarias Maroquinière dans une maison de luxe, Lucie ne s'arrête pourtant pas à l'utilisation unique du cuir et réalise ici un drôle d'objet en bois. Le résultat est Tabtouli une table basse de 185 x 80 centimètres, constituée de 43 facettes, capable de se déplier pour créer un lit d'appoint. Fonctionnant comme un origami, son interstice entre x et y permet de ranger son oreiller et sa couverture une fois qu'elle retourne à l'état de table basse. L'originalité et la modularité de cette création ont tant plu au jury qu'ils ont décidé de créer une nouvelle catégorie afin de récompenser sa conceptrice. Exposition now! le Off, du 5 au 12 septembre aux Docks " Cité de la Mode et du Design, Paris (xxe arrondissement) Photographies : DR Du côté de chez vous Pour en savoir plus, visitez le site de Du côté de chez vous
Il y a 7 ans et 360 jours

OEO Studio : FLOS Scandinavia Showroom

Situé dans un ancien garage pour tracteurs de 500 mètres carrés, le nouveau showroom de la marque de luminaires FLOS ouvre ses portes à Copenhague (Danemark). Une réhabilitation industrielle signée de l'agence de design OEO. Dans un hangar positionné sur les quais du sud de Copenhague, le studio OEO conçoit le nouveau magasin du fabricant italien FLOS. Les concepteurs proposent ici une identité visuelle brute et industrielle qui fait échos à la fonction initiale du bâtiment en brique et béton, celle de garage automobile, dont les portes toute hauteur ont été remplacées par de larges baies vitrées qui procurent de la lumière naturelle à un showroom haut de plafond " puisqu'il fallait à l'époque pouvoir y faire entrer un tracteur. L'intérieur se compose d'un vaste volume évidé et épuré, sans cloison ; où béton et teintes blanches et noires prédominent. Il se veut également sobre avec un unique espace d'exposition où les produits sont simplement présentés sur des estrades métalliques et un escalier central. Ce dernier, coffré en zone basse, puis plus aérien avec une seconde partie en feuille d'acier plié, est en réalité de présentoir pour les produits et ne dessert aucun étage. Au centre du volume, OEO Studio positionne une maisonnette archétypale, où sont placés des luminaires : la Cover House. Revêtu de bois à l'intérieur et à l'extérieur, celle-ci contraste ainsi avec le reste de l'édifice. La collaboration du studio OEO et de la marque FLOS offre donc un résultat alliant architecture et design, pour mieux présenter des gammes de luminaires éclectiques. Photographies : OEO Studio Pour en savoir plus, visitez le site de OEO Studio et de FLOS   
Il y a 7 ans et 363 jours

Otxotorena Arquitectos : Jaizkibel Student Dormitory

Les architectes espagnols de l'agence Otxotorena Arquitectos ont récemment transformé un palais traditionnel de San Sebastián en lieu d'enseignement, qu'ils ont par ailleurs agrandi afin d'y accueillir un internat pour les étudiants, sur une surface totale de 2820 mètres carrés. Placé sur les hauteurs de la ville, l'ancien palais privé datant du début du XXe siècle bénéficie d'un panorama imprenable sur la Baie de la Concha, qui constitue la toile de fond de ce projet. Son esthétique raffinée et néo-mauresque mêle arcs typiques, fenêtres inspirées des moucharabiehs, corniches travaillées et balcons aux garde-corps à volutes, dont un est soutenu par une colonne d'inspiration ionique. Les architectes ont peu touché à l'architecture du lieu d'origine aristocratique, conservant aussi bien le carrelage caractéristique de la région que les vitraux ou les escaliers en marbre, auxquels ils ont simplement ajouté quelques cloisons vitrées, apportant ainsi un contraste entre ancien et contemporain. Sur le terrain en pente, l'édifice a été complété par un nouveau corps de bâtiment horizontal en béton banché, agrémenté à l'est d'une façade en métal et de fenêtres-miroirs. Si le bâtiment réhabilité sert à l'apprentissage, le nouvel espace est, quant à lui, destiné à l'hébergement et à la vie étudiante avec une cinquantaine de dortoirs répartis sur trois niveaux. L'écriture architecturale de cette partie contemporaine s'inscrit en complète rupture avec le palais : aux carreaux de céramique chargés et autres colonnes antiques succèdent donc sols aux tons clairs et neutres, et murs où alternent revêtements vitrés, boisés et immaculés. Ce projet original permet aux étudiants du campus de Jaizkibel d'étudier et d'évoluer dans un cadre incomparable, bien loin des internats traditionnels peu engageants. Photographies : Rubén Pérez Bescós Pour en savoir plus, visitez le site de Otxotorena Arquitectos
Il y a 8 ans et 7 jours

Un bureau moderne et ergonomique grâce à Häfele

Des solutions modernes, fonctionnelles et attractives créées par les menuisiers et agenceurs. Nouveaux piètements de table électriques pour plans de travail à hauteur réglable, organiseurs efficaces, cloisons amovibles ou coulissantes intégrées au bureau, table dissimulée dans le meuble de rangement.
Il y a 8 ans et 9 jours

Andrew Berman Architect : Stapleton Library

Dans le cadre du projet d'extension de la Bibliothèque publique de New York (USA), l'architecte Andrew Berman restaure la bibliothèque Carrere et Hasting Carnegie, datant de 1907, à laquelle il ajoute une annexe de plain-pied de plus de 650 mètres carrés qui épouse la pente du terrain. Suite au projet de réhabilitation, l'ancien bâtiment fait désormais uniquement office de salle de lecture, principalement dédiée aux enfants, tandis que la nouvelle aile abrite les ouvrages et une médiathèque. Si la façade de la première partie n'a pas été modifiée, l'annexe, elle, est réalisée dans un esprit plus contemporain, avec un revêtement alliant verre et zinc et un intérieur épuré, associant bois, béton et acier.Malgré une enveloppe restée intacte, l'intérieur de la bibliothèque d'origine a entièrement été repensé par l'architecte, en accord avec l'aménagement et les matériaux utilisés dans le nouvel espace. L'agencement a par ailleurs été modifié, de façon à accueillir un mobilier plus informel et plus propice à la lecture. La nouvelle structure est réalisée de plain-pied, permettant ainsi aux personnes à mobilité réduite d'y accéder sans problème. Les lectures destinées à un public plus aguerri y sont rassemblées, séparées par une salle commune transparente. Le tout est baigné de lumière naturelle grâce à la façade vitrée et à la quasi-absence de cloisons. Les rayonnages sont également disposés le long des murs, de façon à ne pas encombrer et assombrir le lieu." Nous avons cherché à affirmer la pertinence et la primauté du livre. En tant que tels, tous les murs sont bordés de bibliothèques, mettant toute la collection de la bibliothèque à la vue et à portée de tous ses clients. " Andrew BermanL'équipement qui retrouve une seconde vie redynamise le quartier, devenant ainsi la ressource numérique de tout le voisinage et permet aux jeunes et aux moins jeunes de venir s'instruire ou se détendre dans un cadre lumineux et aéré. Photographies : Naho Kubota Pour en savoir plus, visitez le site d'Andrew Berman Architect
Il y a 8 ans et 22 jours

De la typographie politique de Ruedi Baur

Parfois une seule question suffit. L'entretien, prévu de longue date, se déroule en avril 2017 dans l'atelier Integral Ruedi Baur (IRB) dans le XIe arrondissement de Paris. L'espace est vaste et ordonné, ceux qui y travaillent ont le sourire en vous recevant. Il y a des livres partout où il y a des cloisons. Autour […]
Il y a 8 ans et 22 jours

URSA présente URSAFIX nouvelle technologie pour l'isolation des murs par l'intérieur

URSA, fabricant européen de laine de verre et polystyrène extrudé, fait évoluer son système URSAFIX, appui intermédiaire réglable dédié à l'isolation thermo-acoustique des murs, en contre-cloison, sur ossature métallique, en neuf comme en rénovation.
Il y a 8 ans et 34 jours

Métamorphose d'un appartement parisien

Charlotte Vinet a me?tamorphose? cet appartement de 71 m2 situe? rue Nicolet a? Paris. L'architecte d'intérieur a fait de nombreux changements, des cloisons ont e?te? abattues pour gagner de l’espace et de la luminosite? et certaines pie?ces ont e?te? de?place?es.
Il y a 8 ans et 35 jours

IROJE KHM Architects : The Flying House

Inspirée du domaine de l'aviation et des maisons traditionnelles coréennes, la Flying House (ou Pilot's House), dessinée par le studio IROJE KHM Architects, défie toutes les conventions. Le concepteur a imaginé cette habitation de 195 mètres carrés de façon à ce que son propriétaire, pilote de son état, puisse rester en apesanteur, même une fois redescendu sur terre. Située près de l'aéroport d'Incheon en Corée du Sud, la demeure se distingue de ses voisines par son agencement entièrement tourné vers un jardin central. Aucune fenêtre ne se trouve sur les murs périphériques mais sont toutes orientées vers le patio végétalisé qui s'étend du sol au toit-terrasse auquel on accède par plusieurs escaliers extérieurs. En haut de ces marches, une des terrasses intermédiaires est couverte par des auvents reprenant le profil et le revâtement en tuile des toitures des " Hanoks ", ces maisons coréennes typiques ; contrastant avec le reste de la construction, plus contemporaine. Le rapport entre dehors et dedans est très important pour le créateur, afin que ses occupants aient constamment l'impression d'être au grand air. Au rez-de-chaussée, les baies vitrées et l'aménagement décloisonné confèrent au lieu une grande luminosité. Le studio a également placé des éléments végétaux intramuros, comme dans la salle de bains où la présence d'herbe et d'un arbre donnent l'illusion d'être dans un jardin zen. Le choix des matériaux rappelle également ceux de la rue, avec l'utilisation récurrente du béton décliné ici sous plusieurs formes " poli au sol, brut dans les circulations ou en carrelage sur les murs. L'organisation intérieure fait quant à elle écho aux terminaux d'aéroport où les escaliers, agrémentés de garde-corps en verre, se croisent. Grâce à sa conception originale, la Flying House offre à son propriétaire le luxe d'être en permanence la tête dans les nuages. Photographies : Sergio Pirrone Pour en savoir plus, visitez le site de Iroje Khm Architects
Il y a 8 ans et 41 jours

Van Staeyen Interieur : GERM

Transformer une chambre maladroitement agencée en un paradis pour les enfants, c'est le défi que s'est lancé Johan Van Staeyen, créateur de Van Staeyen Interieur, pour son projet GERM. Avec un certain sens de l'originalité, ce concepteur a su créer la structure la mieux adaptée permettant aux petits de profiter au maximum de cette pièce dans laquelle ils passent tant de temps. Située au dernier étage d'une maison de campagne à Anvers (Belgique), cette pièce carrée et mansardée s'avérait difficile à aménager pour deux petits garçons. Le studio a donc imaginé un grand volume central regroupant espaces de nuit et salle de jeux, possible grâce à une grande hauteur de plafond. Au premier niveau de ce grand bloc, deux lits séparés par une cloison en bois, formant des sortes de cabines, donnent à chaque enfant l'impression d'avoir sa propre chambre. Aux pieds des lits, des espaces de rangements sont encastrés. Une salle de jeux aux fenêtres géométriques surplombe le tout . De part et d'autre de la chambre, de longs bureaux sont installés. La pièce joue avec des teintes claires (bois, peintures blanche et jaune) pour une utilisation optimale de l'espace et de la lumière. Epurée, fonctionnelle et ludique, cette chambre vous donnera sans aucun doute l'envie de retomber en enfance. Photographies : Van Staeyen Interieur Architecten Pour en savoir plus, visitez le site de Van Staeyen  
Il y a 8 ans et 42 jours

Adapter les lieux de vie dans un appartement à Paris

Pour cet appartement parisien, l'architecte Quentin Fruchaud a dû revoir la répartition des pièces, très liée aux usages en vogue lors de la construction au milieu des années 1970. Abattre les cloisons a été une des solutions retenues pour faire de cet espace un lieu plus agréable à vivre.
Il y a 8 ans et 43 jours

Chris Tate : Tent House

C'est au beau milieu de la végétation luxuriante de l'île de Waiheke (Nouvelle-Zélande) que se dresse cette étrange résidence triangulaire, aux faux airs de tente. Un ouvrage de 7 mètre de haut et de 70 mètres carrés conçu pour et par l'architecte Chris Tate, et aujourd'hui proposé ponctuellement à la location. En total décalage avec son environnement forestier, l'architecture de la bâtisse fait appel à la figure du triangle, que ce soit dans la toiture à deux pans ou dans la baie vitrée principale " liant les deux niveaux ", ou encore sur la terrasse orientée au nord (hémisphère sud oblige). Pour réinterpréter le retour aux sources et à la simplicité du camping, le concepteur a pensé la maison comme un seul et même espace dénué de portes et de cloisons, avec un rez-de-chaussée composé du salon, de la salle de bains, de la salle à manger et de la cuisine ; et une chambre à coucher au premier étage, accessible par un escalier hélicoïdal. L'intérieur sobre et tout de blanc vêtu " exceptées pour la cuisine et la porte de la salle de bains, peintes en noir ", contraste avec le revêtement noir de l'extérieur. Au c"ur de la nature et perché dans les arbres, dont on peut admirer la cime depuis la chambre, cet abri fortuné, plutôt que de fortune, accueille des " campeurs " qui aiment le confort, tout en gardant le cadre naturel environnant. Une "uvre plutôt exigüe mais qui s'avère malgré tout fonctionnel. La nuit, l'éclairage intérieur transforme cette tente de luxe en une lanterne de camping géante. Photographies : Simon Devitt Photographer Pour en savoir plus, visitez le site de Chris Tate
Il y a 8 ans et 43 jours

Turull Sörensen : Billy Mobile

À Barcelone, le studio catalan Turull Sorensen conçoit les nouveaux bureaux de Billy Mobile, une startup spécialisée dans la publicité mobile. Son objectif, réaliser des locaux à l'image de l'entreprise : jeune, dynamique et ludique.  Jeunesse, dynamisme et récréative sont donc les trois mots d'ordre qui régissent les 700 mètres carrés de l'entreprise. En effet, sur deux étages cohabitent loisirs et espaces de travail sur des plateaux entièrement décloisonnés. Ces derniers suivent alors un même plan : un îlot central dédié à la détente entouré de bureaux et d'espace de travail, qui prend la forme d'une piscine à boules au premier niveau car, après tout, le sérieux n'empêche pas le divertissement ! Le studio Turull Sorensen a ainsi pris le parti d'un aménagement festif avec un faux-plafond étoilé agrémenté de leds et de fausse pelouse. Le tout dans un style épuré où les matériaux naturels comme le bois ou le bambou ont la part belle. Grâce à la lumière apportée par les baies vitrées donnant sur une large terrasse aménagée " avec barbecue, coin jardin et hamac ", occuper ces locaux ne donne pas l'impression d'être dans des locaux professionnels mais plutôt dehors. Cet aspect est également présent au niveau supérieur dans l'espace de co-working, où une fresque murale marine orne tout un pan de mur.La zone extérieure offre donc une continuité et une cohérence avec un intérieur naturel et lumineux où effort et réconfort cohabitent en toute harmonie. Photographies : Marta Feduchi Pour en savoir plus, visitez le site de Turull Sörensen  
Il y a 8 ans et 54 jours

Rencontre avec : Jean-Charles de Castelbajac

Le VIA (Valorisation de l'Innovation de l'Ameublement) a 40 ans ! Pour fêter cet anniversaire, l'organisme s'offre une exposition itinérante, " No Taste for bad taste ". À l'occasion de sa présentation à l'Institut français de Milan, la rédaction de Muuuz a rencontré le touche-à-tout et inclassable Jean-Charles de Castelbajac qui s'est ici plié à l'exercice de la scénographie. Il y avait du second degré, de la poésie dans l'air, de l'émotion dans les mots et des étoiles dans les yeux. Muuuz : Pourquoi le VIA vous a-t-il choisi pour être scénographe de cette exposition ?Jean-Charles de Castelbajac : Je suis l'excellence incarnée ! Depuis 30 ans, je conçois de manière décloisonnée : j'ai toujours fais du design, de la mode, de l'art, etc. Au départ, j'étais comme un petit ruisseau à contre-courant, puis je suis devenu une rivière, un fleuve, maintenant je suis arrivé à la mer.C'est amusant que le VIA m'ait choisi. Quand on me l'a proposé, j'ai tout de suite accepté avec joie ! Comment avez-vous choisi le titre " No taste for bad taste " ?Nous l'avons choisi avec les équipes du VIA, mais il aurait également pu être " No taste for good taste " car le goût est quelque chose de subjectif. Personnellement, j'ai le goût de l'imparfait. Comment avez-vous opéré la sélection de quarante pièces de design français présentée lors de l'exposition ? et leurs dix valeurs associées (art de vivre, héritage, savoir-faire, élégance et touche de luxe, etc.) ?Tout ceci s'est décidé de manière collégiale, rigoureuse et arbitraire. Mon seul regret : qu'il n'y ait pas 10 pièces de plus qui parlent de demain car pour moi toute exposition doit annoncer la relève.Les dix valeurs essentielles qui nous ont permis de répartir notre sélection de quarante objets se sont imposées d'elles-mêmes, de concert avec le conseil supérieur du VIA. Moi, je leur ai juste donné une définition moderne en leur associant chacune un pictogramme que j'ai dessiné, car j'ai la passion des blasons. Pour moi un dessin en dit plus que de longues phrases. Parmi ces dix valeurs, dans laquelle vous reconnaissez-vous particulièrement ?" Le beau bizarre ! ", qui aurait pu être la onzième de ces valeurs ! ou le trouble, l'invisible, le mystère... Quels principes ont guidé votre intervention répartie en dix tentes ?L'idée était de parler de nomadisme, de voyage dans le temps. De faire quelque chose de très onirique, de très français, avec une référence au style national, à la tradition, et d'en faire perdurer le savoir-faire. En effet, ces tentes sont tout sauf modernes : leur chapiteau est en fonte, elles sont peintes à la main... mais elles sont avant tout l'expression d'un geste. La base de mon travail est ainsi de prendre l'histoire et de la transformer : je suis un conteur d'histoire. C'est ce que j'ai voulu dire dans ma scénographie, faire vivre aux visiteurs un voyage presque enfantin, régressif. Quelle histoire se cache donc derrière ces tentes ?Elles ont été faites à Paris par les Ateliers Richard, avec qui j'avais déjà travaillé dans les années 1970 dans le cadre de défilés de mode, et qui fabriquaient déjà ce type de structures du temps de la cour à Versailles. Avec eux, je voulais ramener le goût de l'excellence. Cela faisait longtemps que je n'étais pas autant rentré dans les détails, comme le faisait par exemple Mies van der Rohe dans ses maisons. J'ai aussi voulu créer toute une dramaturgie autour de l'arrivée de ces tentes, en dessinant des caisses en bois peintes dans lesquelles tout ce campement peut être transporté et qui peuvent s'emboîter comme un mécano. Comme un voyage de comédiens dans le temps ou les campagnes militaires de Jules César, chaque caisse contient ici un élément : les tentures, les montants, les chapiteaux, etc. " Au final, je n'ai jamais été aussi créatif. C'est fascinant ! Quand vous créez depuis cinquante ans, sans mélancolie : un classement générique émotionnel s'immisce à l'intérieur de vous. Le concept se met alors immédiatement en route... " Jean-Charles de Castelbajac Photographies :1) ©James Bort (www.jamesbort.com)3, 4, 5, ) ©Francesco Secchi Pour en savoir plus, visitez le site du VIA, du French design et de Jean-Charles de Castelbajac  
Il y a 8 ans et 54 jours

Rencontre avec : Jean-Charles de Castelbajac

Le VIA (Valorisation de l'Innovation de l'Ameublement) a 40 ans ! Pour fêter cet anniversaire, l'organisme s'offre une exposition itinérante, " No Taste for bad taste ". À l'occasion de sa présentation à l'Institut français de Milan, la rédaction de Muuuz a rencontré le touche-à-tout et inclassable Jean-Charles de Castelbajac qui s'est ici plié à l'exercice de la scénographie. Il y avait ici du second degré, de la poésie dans l'air, de l'émotion dans les mots et des étoiles dans les yeux. Muuuz : Pourquoi le VIA vous a-t-il choisi pour être scénographe de cette exposition ?Jean-Charles de Castelbajac : Je suis l'excellence incarnée ! Depuis 30 ans, je conçois de manière décloisonnée : j'ai toujours fais du design, de la mode, de l'art, etc. Au départ, j'étais comme un petit ruisseau à contre-courant, puis je suis devenu une rivière, un fleuve, maintenant je suis arrivé à la mer.C'est amusant que le VIA m'ait choisi. Quand on me l'a proposé, j'ai tout de suite accepté avec joie ! Comment avez-vous choisi le titre " No taste for bad taste " ?Nous l'avons choisi avec les équipes du VIA, mais il aurait également pu être " No taste for good taste " car le goût est quelque chose de subjectif. Personnellement, j'ai le goût de l'imparfait. Comment avez-vous opéré la sélection de quarante pièces de design français présentée lors de l'exposition ? et leurs dix valeurs associées (art de vivre, héritage, savoir-faire, élégance et touche de luxe, etc.) ?Tout ceci s'est décidé de manière collégiale, rigoureuse et arbitraire. Mon seul regret : qu'il n'y ait pas 10 pièces de plus qui parlent de demain car pour moi toute exposition doit annoncer la relève.Les dix valeurs essentielles qui nous ont permis de répartir notre sélection de quarante objets se sont imposées d'elles-mêmes, de concert avec le conseil supérieur du VIA. Moi, je leur ai juste donné une définition moderne en leur associant chacune un pictogramme que j'ai dessiné, car j'ai la passion des blasons. Pour moi un dessin en dit plus que de longues phrases. Parmi ces dix valeurs, dans laquelle vous reconnaissez-vous particulièrement ?" Le beau bizarre ! ", qui aurait pu être la onzième de ces valeurs ! ou le trouble, l'invisible, le mystère... Quels principes ont guidé votre intervention répartie en dix tentes ?L'idée était de parler de nomadisme, de voyage dans le temps. De faire quelque chose de très onirique, de très français, avec une référence au style national, à la tradition, et d'en faire perdurer le savoir-faire. En effet, ces tentes sont tout sauf modernes : leur chapiteau est en fonte, elles sont peintes à la main... mais elles sont avant tout l'expression d'un geste. La base de mon travail est ainsi de prendre l'histoire et de la transformer : je suis un conteur d'histoire. C'est ce que j'ai voulu dire dans ma scénographie, faire vivre aux visiteurs un voyage presque enfantin, régressif. Quelle histoire se cache donc derrière ces tentes ?Elles ont été faites à Paris par les Ateliers Richard, avec qui j'avais déjà travaillé dans les années 1970 dans le cadre de défilés de mode, et qui fabriquaient déjà ce type de structures du temps de la cour à Versailles. Avec eux, je voulais ramener le goût de l'excellence. Cela faisait longtemps que je n'étais pas autant rentré dans les détails, comme le faisait par exemple Mies van der Rohe dans ses maisons. J'ai aussi voulu créer toute une dramaturgie autour de l'arrivée de ces tentes, en dessinant des caisses en bois peintes dans lesquelles tout ce campement peut être transporté et qui peuvent s'emboîter comme un mécano. Comme un voyage de comédiens dans le temps ou les campagnes militaires de Jules César, chaque caisse contient ici un élément : les tentures, les montants, les chapiteaux, etc. Au final, je n'ai jamais été aussi créatif. C'est fascinant ! Quand vous créez depuis cinquante ans, sans mélancolie : un classement générique émotionnel s'immisce à l'intérieur de vous. Le concept se met alors immédiatement en route... Photographies :1) ©James Bort (www.jamesbort.com)3, 4, 5, ) ©Francesco Secchi Pour en savoir plus, visitez le site du VIA, du French design et de Jean-Charles de Castelbajac
Il y a 8 ans et 55 jours

Ursa fait évoluer son système Ursafix pour faciliter la pose de laine minérale

Expert du marché de la laine de verre et polystyrène extrudé, Ursa a lancé au début du mois la commercialisation de son nouvel Ursafix, qui consiste en un système d'appui intermédiaire réservé aux opérations d'isolation thermique et acoustique des murs en contre-cloison. Particulièrement ergonomique, ce système de fixation sur ossature métallique présente notamment l'avantage de permettre un maintien par butée, ne nécessitant donc pas de verrouillage préalable du cavalier.