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Il y a 4 ans et 41 jours

Travaux de rénovation de maison : quelles sont les précautions indispensables?

Si vous venez d’acquérir une nouvelle propriété ou tout simplement changer le style de votre architecture, vous pouvez lancer des travaux de renovation maison. Dans cette optique, il est indispensable de faire appel à une entreprise de rénovation de maison pour bénéficier de ses savoir-faire dans ce domaine. A la base, il s’agit effectivement d’un projet de grandes envergures qui nécessite l’intervention de plusieurs corps de métier. Par conséquent, vous devez vous organiser au mieux pour réussir à superviser ces multiples prestations, afin d’écarter d’éventuels problèmes. Gérer les priorités En principe, les travaux de renovation maison consistent à rafraichir votre décoration partiellement ou dans son intégralité. Dans cette optique, les interventions peuvent se résumer en un simple coup de peinture ou s’étendre vers de multiples réparations (plomberie, électricité…). De la même manière, vous pourrez être amené jusqu’à la mise en conformité de votre propriété, afin d’optimiser sa sécurisation. A ce stade, il est nécessaire de mettre en avant la protection des occupants, ainsi que de l’ensemble de vos équipements. Autrement, faire appel à une entreprise de rénovation de maison, vous laissera l’opportunité de respecter les règlements relatifs l’énergie renouvelable. Ainsi, vous aurez l’avantage de bénéficier de ses précieux conseils en conséquence pour le choix des dispositifs appropriés. Il peut s’agir entre autres de : poêles à granuler, pompes à chaleur, ou autres, selon votre besoin. De plus, ces matériels vous permettront de réaliser de l’économie en diminuant vos consommations énergétiques et réduire votre facture. Optimiser la performance de la maison Parmi l’une des priorités durant les travaux de rénovation de maison, les réparations et l’optimisation énergétique font parties des incontournables. Dans cette optique, faire appel à une entreprise de renovation de maison comme sur ce site vous permettra de bénéficier d’une intervention de qualité. A savoir : Evaluation de la performance de votre isolation de toiture et des combles. En effet, la déperdition thermique de votre couverture représente l’une des causes de surconsommation d’énergie domestique. En d’autres termes, une structure présentant un défaut d’étachéité augmentera votre besoin en chauffage de 30 %. Vérification de l’état des murs, des ouvertures et des sols. Après, la charpente, il est essentiel effectivement d’assurer l’isolation de ces parties, afin d’optimiser votre confort et vous permettre de rester bien au sec. Toutefois, il est à noter qu’avec ce type de chantier, l’opération peut nécessiter des travaux conséquents. Mise en place d’un système énergétique, en conformité avec les exigences législatives qui recommandent le changement des anciens chauffages. Planifier les opérations rapides Durant les travaux de rénovation de maison, des petites interventions sont parfois nécessaires pour leur efficacité, afin d’assurer son esthétique et sa performance. Ainsi, faire appel à une entreprise de rénovation maison vous permettra de bénéficier de précieux conseils pour illuminer encore plus vos pièces. Dans cette optique, ce spécialiste vous recommandera de changer ou de poser de nouveaux luminaires. En principe, ces travaux ne demandent pas beaucoup de main-d’œuvre et seront confiés à un électricien qualifié. Toutefois, si vous souhaitez gagner plus d’éclairage naturel, il vaut mieux placer de fenêtres. Pour ce faire, l’artisan effectuera un examen de l’endroit où elle sera installée. A ce titre, une opération sur une vieille maison sera certainement plus onéreuse qu’une intervention sur une demeure moderne.
Il y a 4 ans et 42 jours

Emmanuel Macron visitera le chantier de Notre-Dame jeudi, deux ans après l'incendie

"Cette visite sera l'occasion pour le chef de l'État de remercier à nouveau tous ceux qui ont permis de sauver la cathédrale des flammes, tous ceux qui œuvrent à sa reconstruction (charpentiers, échafaudeurs, cordistes, grutiers, facteurs d'orgue, maîtres-verriers, restaurateurs en peinture et sculpture, tailleurs de pierre, archéologues et chercheurs), ainsi que les 340.000 donateurs du monde entier qui rendent ce chantier possible", précise la présidence.Peu après la destruction de la toiture et de la flèche par les flammes le 15 avril 2019, le président Macron avait annoncé vouloir la reconstruire en cinq ans. Un an plus tard, dans un message vidéo, il avait renouvelé cette promesse malgré l'interruption du chantier pendant le premier confinement.Ce jour-là, le gros bourdon "Emmanuel" de la Tour Sud avait résonné à 20H00, comme un symbole de résilience.Le chef de l'État se rendra jeudi sur les planchers hauts de Notre-Dame et dans les voûtes du chœur avant de rencontrer les équipes mobilisées sur la phase de sécurisation, préalable indispensable à sa reconstruction à l'identique.Il sera accompagné de la ministre de la Culture Roselyne Bachelot, de la maire de Paris Anne Hidalgo, de son représentant spécial pour la reconstruction le général Jean-Louis Georgelin, de l'architecte en chef des monuments historiques Philippe Villeneuve, de Mgr Michel Aupetit, archevêque de Paris, de Mgr Eric Aumonier, représentant le diocèse de Paris et du recteur de la cathédrale Mgr Patrick Chauvet.Mais le chantier ne sera pas achevé en cinq ans. En revanche le monument doit être rendu au culte pour le 16 avril 2024, jour où doit être de nouveau célébrée une première messe dans la nef, a annoncé en décembre 2020 le général Georgelin.Quelque 833 millions d'euros ont été recueillis pour cette restauration grâce à une collecte nationale et internationale.
Il y a 4 ans et 42 jours

2020 : une année hors du commun pour le marché français du bricolage

Alors que les deux premiers mois de l’année 2020 affichent une progression du marché du bricolage dans la continuité de celle de 2019 (+3,4% de son chiffre d’affaires par rapport à 2018), la crise sanitaire a brisé cette dynamique lors du premier confinement. Cependant, dès le mois de Mai, le marché du bricolage a connu des progressions à deux chiffres, bénéficiant de l’engouement des Français pour l’amélioration de leur habitat, valeur refuge en ces temps de pandémie. Cette tendance de fond allant au-delà du rattrapage, le marché du bricolage atteint, en 2020, un chiffre d’affaires de 31 milliards d’euros, soit une progression de 13% par rapport à 2019, tous circuits confondus. La FMB / Fédération des Magasins de Bricolage et INOHA / l’Association des Industriels du Nouvel Habitat décryptent l’étude réalisée sur le marché du bricolage 2020. Le marché du bricolage en 2020 : un essor exceptionnel malgré le contexte difficile et l’interruption liée au premier confinement Malgré les deux premiers mois de l’année marqués par la poursuite des grèves (Gilets Jaunes), le marché du bricolage a continué de progresser. Le premier confinement de mars-avril, avec la fermeture d’une partie des magasins de bricolage et les restrictions de déplacement, a engendré une importante chute des ventes (entre -50% et -60%) et a stoppé cette dynamique. Dès le mois de mai, des progressions de ventes à deux chiffres ont traduit une tendance de fond allant au-delà du rattrapage. En effet, confinés, les Français ont eu le temps de profiter de leur habitat, d’en apprécier ses défauts et d’envisager le réaménagement de celui-ci pour les besoins du télétravail ou tout simplement pour mieux vivre ensemble. Pour certains, l’activité partielle a libéré du temps qu’ils ont mis à profit pour améliorer leur logement ou enfin se lancer dans des travaux sans cesse reportés par manque de temps. Percée du e-commerce La crise sanitaire a bien entendu favorisé la vente en ligne, renforçant logiquement les pure players (+84%). Cependant, les Grandes Surfaces de Bricolage ont orchestré et développé leur omnicanalité comme en témoigne la forte progression de leurs ventes en ligne (+111%). Cette crise a bouleversé la structure du marché. Cela s’est traduit par : • le maintien de la prédominance des GSB (70% des PDM valeur, en léger recul), • la progression des pure players (14% des PDM valeur) et des GSA (3% des PDM valeur), • la stabilité des négoces (13% des PDM valeur, en légère baisse). A noter, avec une part de marché qui atteint les 3%, les ventes en ligne des Grandes Surfaces de Bricolage représentent aujourd’hui un circuit de distribution en soi. 2020 : dynamisme pour presque tous les rayons avec un fort engouement pour l’outillage et la peinture En 2020, la quasi-totalité des rayons profite du dynamisme du marché à l’exception de celui du chauffage (+3%), pénalisé par la douceur des températures. Les grands gagnants sont incontestablement les rayons Outillage (+28%), bénéficiant de l’arrivée sur le marché de nouveaux bricoleurs, et Peinture (+22%) qui, après 3 ans d’érosion, a explosé en 2020. Ils sont suivis par ceux de la Quincaillerie (+20%) et de la Décoration (+16%), boosté par la ruée sur le papier peint. Ces chiffres sont le reflet de l’engouement des Français dans les travaux de rénovation et d’embellissement intérieur, qui sont parmi les plus accessibles. Le rayon Bois & Menuiserie (+6%) affiche également une très belle progression s’expliquant en partie par l’essor du télétravail et la nécessité de créer des espaces adaptés (aménagement de bureaux, rayonnage, …). Celui du Bâtiment (+6%) a, quant à lui, profité de la montée en compétence des bricoleurs. Les rayons Plomberie/Salles de bains / Cuisine (+9%) et Electricité (+11%) connaissent une croissance plus modérée. Les Français ne semblent pas avoir priorisé l’aménagement de ces pièces, qui nécessitent des travaux techniques importants. Par extension, même si le rayon Revêtements (+5%) est en progression, il a souffert de la moindre dynamique de la salle de bains et la cuisine. Le rayon Jardin (+14%) bénéficie de la météo très favorable lors du confinement du printemps qui se traduit notamment dans les chiffres de ventes de mobilier de jardin et de piscines. 2021 : des perspectives encourageantes En tenant compte notamment de l’épargne des Français (200 milliards d’euros), la politique gouvernementale en faveur de la rénovation énergétique des bâtiments, des comportements des nouveaux bricoleurs et de l’augmentation des transactions immobilières dans l’ancien, l’année 2021 laisse entrevoir des perspectives encourageantes pour le marché. Pour autant, même si le contexte est favorable, la visibilité sur le second semestre reste extrêmement faible en raison des perspectives économiques incertaines (conséquences Covid-19, pénurie des matières premières, etc). « Je me félicite de cette excellente année qui a été possible grâce à l’agilité, la réactivité et la persévérance des industriels mais aussi au dialogue constructif avec les enseignes pour répondre à une demande extrêmement forte des consommateurs. J’ai confiance en l’avenir car les Français font de leur Habitat une valeur refuge, source de leur bien-être ; et je sais la filière solidaire et responsable pour être au rendez-vous » déclare Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha. Pour Mathieu Pivain, Président de la FMB, « l’année 2021 est une année hors du commun, qui a été l’occasion pour les GSB de renforcer leur présence sur les ventes en ligne et de conforter leur prédominance sur le marché du bricolage. Cela a été rendu possible en premier lieu par la reconnaissance du caractère essentiel des magasins de bricolage, et par la consolidation réussie de leur omnicanalité. L’enjeu est aujourd’hui, avec la sortie de la crise sanitaire, de continuer d’accompagner au mieux les Français dans leurs projets d’amélioration de leur habitat, et de répondre présent face aux défis de l’économie circulaire et de la lutte contre le changement climatique ». http://www.inoha.org
Il y a 4 ans et 42 jours

Restauration de la salle des Etats du château de Ravel

Forteresse féodale, puis royale, offerte par Philippe le Bel à son chancelier Pierre Flote, demeure des familles d’Amboise, de la Rochefoucauld, puis de la famille d’Estaing, le château de Ravel, dans le Puy-de-Dôme, a conservé ses caractéristiques médiévales, adaptées aux exigences d’une demeure seigneuriale classique. Le château de Ravel, propriété privée, est classé au titre des monuments historiques. La pièce maîtresse du château, la salle des Etats d’Auvergne abrite une importante frise représentants les blasons d’une cinquantaine de provinces françaises, exécutée afin d’accueillir les Etats généraux d’Auvergne. Cet événement n’aura finalement jamais lieu, en raison du décès de Pierre Flote, tué à la bataille de Courtrai en 1302. Cette frise héraldique unique en France, aurait pu disparaître lors de l’incendie qui a ravagé 400m² dans la partie nord-ouest du château en juin 2016. S’ensuit alors un chantier de restauration en plusieurs étapes, exécuté sous la maîtrise d’oeuvre de Frédéric Didier, architecte en chef des monuments historiques, permettant de dégager des dispositions du XIIIe siècle et de les remettre en place dans cette partie du château : la grande chambre royale au 1er étage, la façade ouest et la tour nord-ouest, par exemple, retrouvent leur physionomie médiévale. Par chance, l’incendie n’a pas endommagé les peintures murales de la salle des Etats, situées pourtant au-rez-de-chaussée, directement sous les étages touchés par les flammes. Suite au sinistre, l’entresol crée tardivement est déposé et la salle des États a d’ores et déjà retrouvé ses volumes d’origine. Sur le chantier, le travail des restaurateurs consiste dans un premier temps à dégager les enduits dissimulant les peintures et à consolider ces dernières. Puis dans une seconde étape, ils procéderont à leur restauration, sous le contrôle scientifique et technique de la conservation régionale des monuments historiques. L’enjeu notamment sera de définir, en lien avec les propriétaires, l’architecte en chef des monuments historiques et les restaurateurs, jusqu’à quel point les parties disparues ou fanées seront restituées. La restauration de la salle des États a été sélectionnée parmi les opérations financées au titre du plan de relance dans le cadre de la mesure qui vise à conforter les opérations de restauration de monuments historiques relevant des collectivités ou de propriétaires privés. Le chantier a débuté fin 2020 et se poursuivra jusqu’en juillet 2021. Le montant total des travaux s’élève à 336 590 € dont une participation financière de 168 295 € dans le cadre de France Relance. Photo : salle des Etats pendant les travaux – 2BDM Architectes  
Il y a 4 ans et 43 jours

Hausse des matières premières : une crise à facteurs multiples

La hausse des coûts de matières premières impacte directement la production des matériaux de construction. [©ACPresse] Depuis plusieurs mois, le secteur des matériaux de construction est touché par une hausse des coûts de matières premières, voire de pénurie… Les différents syndicats et regroupements de professionnels alertent sur ces phénomènes qui impactent toute la chaîne de valeur. En cause ? Un amoncellement de facteurs. Pour Frédéric Boisse, secrétaire général du SNMI1 et du Mur Manteau : « Il y a eu plusieurs points de chauffe. Au Texas, l’hiver a été très rude et les productions de pétrole en ont subi les conséquences. Le pétrole est devenu plus rare et cela a généré une augmentation des prix du baril et donc des matières chimiques. » De son côté, le Syndicat national des industries de peinture, enduit et vernis (Sipev) fait le même constat. « Nous traînons plusieurs “boulets” et des difficultés d’approvisionnement, détaille Pascal Hoareau, président du Sipev. C’est une accumulation d’évènements qui a engendré l’augmentation des prix et la raréfaction des produits. Par exemple, une importante industrie a brûlé en Allemagne. Le Brexit impacte le transit du titane. Et certaines résines passent par le Texas qui a vécu une vague de froid. De nombreux matériaux sont concernés. Nous n’avons jamais connu ça auparavant. Toutes les entreprises sont touchées, que ce soit des PME ou des grands groupes. Pour la première fois, nous sommes obligés de refuser des commandes. Nous n’arrivons plus à fournir. Alors que nous sentons une reprise avec une augmentation de la demande dans le bâtiment. Mais nous ne fabriquons pas suffisamment en Europe. Car il n’y a pas que la France qui est concernée. » Une multitude de facteurs ont impacté le marché des matières premières Et Amaury Omnès, président de Afipeb2, de poursuivre : « Nous sommes dans un environnement mouvant. Cette hausse des prix est un record historique absolu et le styrène est très concerné ». Selon l’Association, le prix des billes de styrène aurait ainsi augmenté de 100 % depuis le premier déconfinement, c’est-à-dire, il y a moins d’un an. « De plus, les coûts des flux intercontinentaux ont explosé. C’est un phénomène unique. » La question de l’indépendance et de la réindustrialisation en France est essentielle. [©ACPresse] En effet, la crise sanitaire a engendré une déstructuration des marchés. D’autant plus que l’Asie a repris de plus belle depuis plusieurs mois. La Chine a mis un coup d’accélérateur dans son développement. « Le pays est en pleine expansion et investit dans ses structures et infrastructures, observe Frédéric Boisse (SNMI). Il absorbe naturellement les matières premières. La France ne détient pas des tonnes de matières de base et transformés ou des métaux rares… » Et Amaury Omnès (Afipeb) de compléter, « La Chine a repris très fortement et compte entre six mois et un an d’avance… » Tous les matériaux impactés Avec cette crise majeure pour les acteurs du BTP, la question de l’indépendance et de la réindustrialisation française est essentielle. « Il y a une réflexion à avoir sur la production européenne, reprend Amaury Omnès. Nous avons besoin de l’industrie en France. Nous avons pu le remarquer pendant cette pandémie. » Pascal Hoareau (Sipev) appuie cette réflexion. « Il faut se réveiller au niveau de l’Europe et reprendre notre indépendance. Il y a encore des freins à la relocalisation. Nous désintéressons les investisseurs avec trop de contraintes et un peu trop de rigueur. En France, le Plan de relance ne met pas suffisamment les moyens pour attirer les industries dans nos régions. Au Sipev, nous sommes engagés dans la chimie du végétal et le biosourcé. Ce sont des sources stratégiques d’autonomie. » Aujourd’hui, il est difficile de savoir quand la course folle des prix va s’arrêter. Selon le Synad : « La situation est complexe et mondiale, ce qui rend difficile de savoir jusqu’où iront les pénuries de matières premières et leurs conséquences. Ne disposant pas de visibilité à court terme, nos adhérents restent mobilisés. » Et Frédéric Boisse, de conclure : « Il faut travailler avec bon sens et solidarité, et éviter de tomber dans la spirale de la surconsommation, comme on a pu l’observé avec l’achat massif de papier toilettes lors du premier confinement… » 1Syndicat national des mortiers industriels.2Association française de l’isolation en polystyrène expansé dans le bâtiment.
Il y a 4 ans et 48 jours

Habitat écologique : 4 livres références incontournables pour tout comprendre

Que ce soit dans la peinture, la littérature, la sculpture, la politique ou la philosophie, chacun peut trouver ses maîtres à penser, ses référents. Quand on parle d’architecture, on pense immédiatement Vauban, Gaudi, Haussmann, Viollet le Duc ou plus récemment à Le Corbusier ou Frank Lloyd Wright, mais dans l’éco-construction, qui seront les référents du […]
Il y a 4 ans et 49 jours

Rénovation d’intérieur : quelques idées utiles pour des travaux réussis

Qu’il s’agit d’une construction neuve ou ancienne, il arrive un moment où il est nécessaire d’entreprendre des travaux de rénovation. Cette opération donne l’occasion de donner un coup de jeune à la construction et surtout à l’intérieur de la maison. Il faut dire qu’il s’agit d’une opération délicate qui ne s’improvise pas. Généralement, les travaux à réaliser peuvent varier en fonction de l’état du bâti. Dans les différentes pièces de la maison, il se pourrait qu’il nécessite tout simplement un coup de peinture, la pose d’un nouveau carrelage, réparation de la plomberie, aménagement de la cuisine… Découvrez d’ailleurs les détails sur les éventuels travaux à réaliser ci-dessous. Mise en place d’une nouvelle décoration Pour obtenir un bel intérieur répondant au mode de vie actuel, il faudra passer par la mise en place d’une nouvelle décoration chez soi. Comme affirmé précédemment, rien qu’un changement de peinture ou encore la mise en place d’un nouveau papier peint apporte une touche de nouveauté dans son logement. Il suffit notamment de choisir des couleurs tendance et aussi des matières appropriées. C’est pour cela qu’il est réellement conseillé d’agir lorsque sa décoration semble être vétuste. Au fil du temps, certains aspects de sa maison peuvent sembler être sinistre lorsque les peintures murales se défraichissent ou encore si le plafond démontre quelques signes d’humidité ou encore lorsque le carrelage de la salle de bain se dégrade… Les possibilités sont infinies. La rénovation intérieure est toujours un projet avantageux. L’idéal serait notamment de faire appel à une entreprise de rénovation maison comme sur ce site. Ce type d’entreprise est constitué d’experts qui sauront répondre aux besoins des propriétaires en fonction de leur budget. Leur savoir-faire permet de trouver des solutions innovantes afin de donner un coup de jeune à son logement vieillissant. L’isolation intérieure, un point essentiel à revoir L’isolation intérieure peut également être revue au cours des travaux de rénovation d’intérieur. Généralement, ce sera une occasion de procéder une isolation des murs par l’intérieur. Les travaux permettront notamment de réaliser jusqu’à 25 % d’économies sur les factures de chauffage. Il faut dire que les techniques à mettre en place sont nombreuses. Ce qui permettra notamment de profiter d’un confort thermique optimal au sein du logement. Il faut dire que les experts sauront parfaitement les solutions adéquates. Généralement, ils procèderont à la mise en place d’isolant avant même la pose d’un nouveau revêtement sur les murs ou d’un carrelage au sol. Ce sera la solution pour une rénovation concrète. Les possibilités pour la rénovation de la cuisine Si votre cuisine a également besoin d’une touche de nouveauté, il est possible d’y opérer diverses solutions. Les travaux permettront d’y installer un mobilier tendance et de lui conférer les fonctionnalités désirées. Il est par exemple possible d’obtenir une cuisine bien ouverte pour un gain de place et aussi pour faciliter la circulation à l’intérieur de la pièce. Il suffit de confier ces désirs aux professionnels pour optimiser l’espace et choisir de bons éléments pour la cuisine qu’il s’agit de meubles, plan de travail, électroménager, nouveau carrelage, luminaire, chaises, tables, espace de rangement… Si vous avez donc une cuisine peu fonctionnelle et défraîchie, des travaux de rénovation seront la solution pour un espace plus confortable et pratique. Elle deviendra la pièce où la famille pourra prendre les repas au cœur d’un cadre chaleureux et convivial.  
Il y a 4 ans et 52 jours

Nos conseils pour peindre son salon

Peindre un salon peut s’avérer être un vrai casse-tête. Étant le centre de l’habitat, embellir cette pièce de maison exige un travail colossal et une dose importante de méticulosité. Le moindre faux-pas peut donc être catastrophique. D’où les conseils suivants pour une décoration réussie et afin d’éviter les erreurs. Bien préparer la surface d’opération Re-combler les trous et les fissures Avant d’appliquer une quelconque peinture sur les murs de vos salons, songez à reboucher les crevasses présentes. Pour ce faire, n’hésitez pas  à  un appliquer de l’enduit de rebouchage sur les entailles et ensuite de le laisser se reposer pendant quelques heures. Si votre mur comporte quelques traces d’un ancien revêtement ou enduit, tenez-vous de bien gratter le mur avec un outil décapant afin d’ôter tout ce qui s’écaille. Nettoyer la surface de travail Une fois avoir comblé les trous et entailles sur les murs, vous devez dépoussiérer la surface le maximum possible. De cette manière, les grumeaux et autres parties granulées ne sauteront pas aux yeux lorsque le mur sera recouvert de revêtement. Pour ce faire, vous pouvez y passer l’aspirateur ou bien une éponge humide. Dans certains cas, on utilise de la lessive de soude diluée à l’eau pour faire partir les couches de graisse ou autres impuretés. Lisser le mur Pour des résultats optimaux, il convient d’appliquer un enduit de lissage d’une fine épaisseur de 1 mm sur le mur. Ce processus a pour but de désintégrer les bribes de particules granuleuses présentes dans le mur et de la rendre par conséquent polie. Vous devez ensuite le laisser sécher pendant 24 h le temps pour le mur de bien absorber le solvant. Puis, poncez la surface et époussetez-là à nouveau. Appliquer une sous-couche La sous-couche est une solution permettant au mur d’être davantage réceptif à des solvants plus ou moins agressifs comme la peinture. Par la même occasion, ce liquide aide à bien étaler et fixer la peinture appliquée. Choisir la peinture convenable Miser sur le solvant adéquat Lors de l’application de la peinture, vous avez le choix entre les deux solvants de base qui sont le glycéro et l’acrylique. Si vous optez pour la solution à base de glycéro, vous bénéficiez d’une peinture durable et très résistante. De par ses caractéristiques, ce solvant risque de froisser le mur et de le rendre peu lisse. Pour ce qui est de l’acrylique, il se nettoie facilement à l’eau et au savon. Trouver la bonne teinture La coloration doit dépendre du style du salon ainsi que de votre goût. Toutefois, nous vous recommandons le blanc étant donné que c’est une couleur standard et s’adapte de ce fait à toutes sortes de surface. Or, si vous souhaitez personnaliser davantage, nous vous conseillons de choisir la peinture selon votre personnalité. Si vous êtes d’une nature calme, simple ou discrète, nous vous recommandons les couleurs sobres comme les pastels. En revanche, si vous êtes une personne dynamique et agité, pourquoi ne pas opter pour des couleurs flashy ou vivaces ? Au cas où vous êtes un mélange de ces deux profils énoncés, choisissez les couleurs comme le vert, l’acajou, le marron et même le beige. Opter pour le style idéal La peinture et la décoration vont toujours de pair. Dans ce cas, nous vous conseillons de ne pas négliger les autres éléments d’embellissement comme les meubles. Si vous avez opté pour une peinture pastel, vous pouvez installer deux ou trois meubles de style shabby chic. Ceux-là donneront un aspect romantique à votre salon. Or, si vous avez choisi une peinture de couleur vivace, veuillez opter pour des meubles ou des objets ultra-modernes. Appliquer petit à petit la peinture Après avoir réuni le matériel nécessaire à savoir le rouleau, le pinceau  la  brosse à rechampir pour les angles, les pots de peinture, le bac à peinture, une grille d’essorage, le mélangeur, une éponge, la bâche de protection, le ruban adhésif de masquage, le papier à poncer et l’escabeau, vous devez peu à peu commencer à peindre. Avant tout, vous devez bien mélangez la peinture et la versez dans le bac. Ensuite, utilisez le pinceau pour peindre les angles entre le mur et le plafond. Trempez le tiers des poils dans la peinture pour éviter les éclaboussures. Puis, enduisez votre rouleau avec suffisamment de peinture et étalez la peinture à la verticale sur les murs puis à l’horizontale. Entre temps, travaillez par zone d’un mètre carré en commençant par le haut du mur. En outre, peignez l’intégralité du mur en une seule fois pour un résultat uniforme. Enfin, laissez-la peinture se sécher pendant quelques heures avant d’entamer la deuxième couche. Pour permettre à la peinture de bien sécher, vous pouvez y ajouter un ruban de masquage. Vous devez ensuite retirer ce ruban avant que la peinture ne sèche complètement. Si ce procédé vous semble trop compliqué, n’hésitez pas à contacter un professionnel comme un artisan peintre pour un résultat parfait. Il est le mieux qualifié pour peindre le mur à votre place.
Il y a 4 ans et 54 jours

Rénover une terrasse avec Owatrol

Synonyme de fiabilité et d'authenticité, le bois est souvent choisi dans les constructions de notre nouveau millénaire en particulier pour les terrasses qu'il habille avec sa beauté naturelle. Attention : qui dit beauté, dit soin ! L'heure n'est plus au délaissement et la tendance est à l'entretien pour faire renaître, à la protection pour faire durer ! On ne change pas, on prend soin, on améliore, on pérennise ! Pérenniser n'est pas si simple : il faut apprendre les bons réflexes car le bois vit et requiert une attention particulière. Le secret : avant de lui appliquer quelque finition que ce soit, il faut qu'il soit propre, puis choisir la finition adaptée.Marche à suivre et conseils d'OwatrolÉtape nettoyage : rappels essentielsOn dégrise un bois gris par l'usure du temps (UV, pluie …).On déshuile un bois encrassé par une ancienne finition huilée qui a cuit au soleil.On décape un bois avec un ancien revêtement très filmogène ou une ancienne peinture.Les conseils nettoyage d'Owatrol® :NET-TROL®, véritable cure de jouvence, dégrise en 15 min les bois juste gris, suivi d'un rinçage.AQUANETT® déshuile les bois encrassés par de vieilles huiles en 20 minutes, suivi d'un rinçage puis stabilisation.DILUNETT® décape jusqu'à 8 couches de peinture ! Suivi d'un rinçage puis stabilisation.Une fois le bois prêt, il faut le protéger :Étape protection - choisir la finition : huile, lasure ou saturateurL'huile apporte un bel aspect mais va souvent noircir dans le bois sous l'effet des UV et risque de l'encrasser. L'entretien est alors plus compliqué.La lasure apporte une finition filmogène qui risque de s'écailler dans le temps, il faudra décaper pour la maintenance.Le saturateur nourrit le bois en profondeur par imprégnation, sans laisser de film en extérieur. L'entretien est simple.Les conseils d'Owatrol® : le cas des bois exotiquesLes bois exotiques, ou les bois durs d'une façon générale, véhiculent l'idée qu'ils vont durer toujours tant ils sont durs et donc résistants… Mais comme toutes les autres essences, sans protection ils vont griser, ternir, se tacher, se déformer et parfois même se fendiller.Avec leurs pores très fins ou fermés ces bois denses ne laissent pas les produits pénétrer. Il faut donc un produit avec d'excellentes qualités de pénétration pour contrer cette densité. Seuls les saturateurs imprègnent et pénètrent en profondeur.Zoom : AQUANETT® + NET TROL® + d.1 "qualité marine" : comment rénover une terrasse en teckCette terrasse anciennement lasurée, grisée et vieillie sous l'effet des UV a été d'abord déshuilée avec AQUANETT® puis stabilisée et éclaircie au NET-TROL®. Ensuite pour nourrir son bois dense, le D.1 a été préconisé.D.1 mode d'emploi : Comme son titre l'indique, le D.1 possède des qualités marine qui font toute la différence. Il a été conçu pour les ponts de bateaux des climats extrêmes de Scandinavie pour résister à toutes les agressions violentes de ces latitudes vents, soleil, sel, pluie, neige. Sa résistance hors pair l'a fait tout naturellement gagner la terre ferme et ses qualités d'imprégnation exceptionnelles en font un saturateur de choix.Grâce à sa formulation technique qui lui confère une extrême fluidité, il rentre dans les supports pour les protéger de l'intérieur, en s'infiltrant partout. Il apporte en profondeur tous les principes actifs qui vont nourrir de l'intérieur, les fibres du bois exotique. À base d'huiles végétales, le D.1 nourrit intensément en profondeur.Dedans et aussi dehors : en rentrant dans le support, le D.1 ne laisse pas de film en surface et fait corps avec le bois en l'imprégnant : la protection est totale. Il le protège alors durablement de l'abrasion et des agressions.Maintenance simplifiée : grâce à l'effet vaccin du saturateur qui reste en mémoire dans le support, il suffit d'une passe en entretien après le nettoyage du bois au NET-TROL®.
Il y a 4 ans et 55 jours

Comment choisir la peinture pour la façade de sa maison?

Si vous envisagez de réaliser des travaux de ravalement de façade, sachez que la peinture est une étape souvent incontournable pour décorer et pour protéger les murs extérieurs de la maison. De ce fait, il est important de choisir le bon produit pour un rendu attrayant et pour assurer la pérennité du bâti. Actuellement, le marché propose différents types de peinture comme la peinture pliolite, la peinture à l’acrylique, la peinture glycérophtalique… Du coup, il s’avère être difficile de choisir. Mais le choix de peinture repose sur les conditions climatiques de la région, le type de support… Découvrez ci-après quelques conseils qui pourraient vous aider dans votre choix. Que dit la loi sur la peinture de façade ? Pour votre information, le ravalement de façade est une obligation légale. D’après l’article L.131-2 du Code de la Construction et de l’habitation, ce type de travaux doit être réalisé au moins tous les 10 ans sous peine de payer des amendes. La peinture de la façade est également réglementée en fonction de la région. Il faut dire que dans certaines régions, des couleurs précises peuvent être imposées par la commune. Heureusement, les fabricants ont pris compte de cette situation. De coup, il est possible de retrouver une large gamme de couleurs sur le marché. Le but est surtout de préserver une certaine harmonie architecturale régionale. Dans tous les cas, il est toujours prudent de se renseigner avant de choisir la teinte voulue. Pour cela, il est conseillé de faire appel à cet expert en peinture de façade en Haute Garonne  que vous pouvez contacter sur http://www.ravalement-peinture-31.fr/ . Il pourra se charger de se renseigner auprès du Plan Local d’Urbanisme ou encore du Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et d’Environnement ou CAUE. Choisir la peinture selon l’environnement tout autour et le support de la façade Il est indispensable de choisir la peinture en fonction du climat de la région. Il se pourrait que la maison se trouve dans une région où le climat est rude, c’est-à-dire une région où le gel, la pluie et les tempêtes sont réguliers. Souvent, pour ce type de région, le choix idéal sera la peinture pliolite. Pour les habitations localisées à proximité des zones industrielles ou des routes, notamment celles qui sont souvent exposées à la pollution, l’option idéale sera les peintures acryliques ou auto-nettoyantes. Celles qui sont localisées dans une zone humide, il faudra envisager des peintures micro-poreuses comme les siloxanes ou aussi les enduits à la chaux. Quant aux façades très exposées aux rayons UV, notamment celles qui sont dans les régions sud, près de la mer ou à la montagne, il vaut mieux opter pour la peinture siloxane ou encore les peintures pliolites. Le support de la façade reste également un point important à analyser avant de choisir la peinture adéquate. Généralement, les peintures acryliques conviennent à tous les supports sauf pour le métal. Ce type de peinture est facile à poser et à nettoyer sur les supports peu épais. Cependant, pour les façades ayant des aspérités et aussi les crépis, la peinture acrylique épaisse fera l’affaire. Quant à la peinture glycérophtalique, tous les supports lui sont compatibles sauf le ciment.  
Il y a 4 ans et 57 jours

Circouleur donne une seconde vie aux peintures acryliques

La start-up girondine récupère la peinture inutilisée, la reformule et en fait un produit pour les murs intérieurs, haut de gamme, peu émetteur de COV* et vertueux.
Il y a 4 ans et 60 jours

Une fresque géante du duo espagnol PichiAvo inaugurée au Quartier Latin

Réalisée sur la façade de l'ancienne librairie Boulinier, boulevard Saint-Michel, cette oeuvre, commandée aux deux artistes par Quai 36, société spécialisée dans la promotion de l'art dans l'espace public, s'étend sur 23 mètres sur 7 m (160 m2).Achevée au bout de douze jours au spray et à la peinture acrylique sous l'oeil des passants, cette oeuvre éphémère devrait rester visible six mois.Le thème de Poséidon, divinité des flots, fait référence aux fleuves, et à la Seine qui coule tout près.Duo formé en 2007, Juan Antonio Sánchez (Pichi) et Álvaro Hernández (Avo) alternent hyperréalisme et étrangeté, mêlant graffitis sauvages, références urbaines et classicisme, qu'il s'agisse de peindre sur le Houston Bowery Wall de New York ou de participer à une sculpture géante à Valence (Espagne).Le duo s'intéresse davantage au dialogue entre courants artistiques qu'à la critique sociale à la différence de street artists comme Banksy.Pichi et Avo sont particulièrement connus aux Etats-Unis et au Royaume-Uni: "nous travaillons presque toujours hors d'Espagne", a expliqué Pichi à l'AFP, soulignant que souvent les artistes sont plus appréciés quand ils viennent d'ailleurs. "Comme quand Le Greco est venu en Espagne!", a observé Avo.La fresque accompagne la période de travaux pour la mise en conformité du local de l'ancienne librairie Boulinier.Quai 36 a obtenu le concours de Groupama pour cette opération. En septembre 2020, elle avait lancé un vaste projet dans la ville de Versailles: dix artistes avaient réalisé dix fresques monumentales, créant un véritable musée à ciel ouvert.
Il y a 4 ans et 63 jours

Agir pour sauver la biodiversité et la planète

L’architecte engagée, Joanne Boachon, est la directrice et co-fondatrice de l’association Minéka. [©Cyril Fussien] A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, le 8 mars dernier, trois nouvelles femmes sont venues enrichir la communauté “Terre de Femmes”, de la Fondation Yves Rocher. Parmi elles, Joanne Boachon, une architecte lyonnaise engagée. Directrice et co-fondatrice de l’association Minéka, elle agit pour contrer le gaspillage massif dans le secteur du BTP. Cette association a pour but de démocratiser le réemploi dans la construction. Pour ce faire, elle collecte des matériaux délaissés par le BTP et qui sont destinés à la benne. Ceux-ci sont par la suite redistribués à des professionnels ou à des particuliers, à prix solidaire et accessible au “Minéstock”, un entrepôt dédié de 600 m2 appartenant à l’association. Depuis 2017, quelque 179 t de matériaux ont ainsi été sauvées. Dont 64 % étaient du bois, 12 % du vitrage, 8 % de la peinture et 6 % du métal. L’association Minéka collecte des matériaux, au “Minéstock”, délaissés par le BTP et qui sont destinés à la benne. [©Cyril Fussien]Depuis 2017, quelque 179 t de matériaux ont été sauvées. [©Cyril Fussien] L’association Minéka accompagne aussi de grandes maîtrises d’œuvre ou d’ouvrage dans leurs démarches de réemploi, sur des chantiers d’envergure en construction ou déconstruction. Près de 750 personnes ont déjà adhéré à l’association. La Fondation Yves Rocher engagée pour sauver la biodiversité Partager, soutenir et agir sont les maîtres-mots de la Fondation Yves Rocher. Elle a été créée en 1991 par l’industriel de la cosmétique Jacques Rocher. Avec pour espoir de pouvoir apporter sa pierre à l’édifice quant à la sauvegarde de notre planète. Sa mission est avant tout de soutenir des femmes et des hommes agissant pour changer le monde. Et d’encourager des projets porteurs de nouvelles solidarités. Engagée pour la préservation du monde végétal et en faveur de la biodiversité, la Fondation souhaite réussir à planter 100 M d’arbres. « Au bout du monde ou au bout de la rue, on peut tous s’engager pour changer le monde », déclare Jacques Rocher, président de la Fondation Yves Rocher et planteur d’arbres. “Terre de Femmes” voit le jour, en 2001. Ce prix récompense des femmes pour leurs actions et leurs engagements pour l’environnement. [©Paola Chapdelaine] Toujours dans cet esprit de soutien et de conservation, Jacques Rocher fonde en 2001 le Prix “Terre de Femmes”. Avec pour objectif de récompenser des femmes pour leurs actions et leurs engagements pour l’environnement. “Terre de Femmes” est aussi une communauté de lauréates qui s’entraident. Depuis 20 ans, près de 500 ont été récompensées. Des bidonvilles de Nairobi, au Kenya, aux vallées déforestées d’Ethiopie, en passant par les berges polluées en Ile-de-France, les actions de ces femmes s’étendent dans 50 pays différents.
Il y a 4 ans et 63 jours

Restauration du plafond du Grand Salon de Vaux-le-Vicomte

Le plafond du Grand Salon de Vaux-le-Vicomte fait l’objet d’une intervention d’envergure et urgente qui a débuté en janvier 2021. Une grande partie de la coupole est lézardée, des fissures et des craquelures apparaissent en de nombreux endroits et la totalité de la surface est fortement encrassée. Les élévations et termes en stucs nécessitent également d’être nettoyés. Cette restauration est incontournable afin que le château retrouve sa superbe et que le visiteur puisse appréhender la grandeur de l’œuvre de Nicolas Fouquet. En plus d’être restauré, l’ensemble de la structure (les termes, les élévations, la coupole) sera passé à la loupe et étudié. Le travail des conservateurs participera à révéler les secrets que cache encore le Grand Salon. Des traces de peinture, visibles par endroits, pourraient par exemple laisser supposer une polychromie originale, ou bien des dorures encadrant les fenêtres du premier étage, comme c’est le cas dans d’autres pièces. Afin de parachever cette restauration, les esquisses de l’œuvre inachevée de Charles Le Brun seront numérisées, colorisées et projetées sur la coupole. La gravure réalisée par Gérard Audran (1640-1703), notamment, restitue l’ensemble de la composition à partir de ces dessins. Grâce à elle, la reconstitution de cette fresque sur la coupole est possible à l’aide des dernières technologies de mapping vidéo. Des projecteurs discrètement insérés dans la pièce permettront de projeter ce dessin sur la surface éclaircie après restauration, de proposer une coloration de la sanguine originale et d’animer l’ensemble dans une vidéo éducative. Ainsi, la coupole restaurée sera magnifiée par une projection monumentale sur le Songe de Vaux de Jean de La Fontaine à l’automne 2021 puis par l’œuvre imaginée par Le Brun, pour la première fois devant les yeux du public en 2022.
Il y a 4 ans et 64 jours

Siniat dévoile une nouvelle gamme d’enduits prêts à l’emploi

Cette gamme est conçue pour offrir gain de temps et facilité d’emploi et elle répond parfaitement aux besoins sur chantier :pas besoin d’eau,pas de gâchage,qualité et consistance constantes,propreté (moins de poussière),réduction des déchets (pas de perte en fin de chantier),produit mécanisable (airless et machines à joint).Les enduits Prêts à l’emploi se caractérisent par leur blancheur extrême, leur pouvoir couvrant et leur ponçage aisé.Les enduits Prêts à l’emploi Siniat s’inscrivent dans une démarche globale de l’entreprise pour une construction durable et responsable : ils ont une durée de conservation rallongée à 12 mois et sont conditionnés dans des emballages éco responsables, composés à 50% de plastique recyclé et 100% recyclable.La nouvelle gamme d’enduits Prêts à l’emploi Siniat se compose de trois références rapidement identifiables grâce à un code couleur. Véritable repère pour les professionnels, la couleur est déclinée sur le corps du seau, le couvercle et l’anse pour une visibilité maximale.Les informations essentielles (nom du produit, fonction et principales caractéristiques techniques) bénéficient d’une lecture facile et claire.Afin de garantir une qualité certifiée, les enduits PRÉGY S, PRÉGY XS et PRÉGY L sont fabriqués en France et sont conformes aux normes et DTU en vigueur. Ils bénéficient du marquage sanitaire A+, niveau le plus faible d’émission de substances polluantes pour l’air intérieur.La nouvelle gamme d’enduits Prêts à l’emploi Siniat se décline en troisréférences pour couvrir tous les besoins sur chantier, en neuf commeen rénovation :deux enduits à joints PRÉGY S et PRÉGY XS, standard et allégé pour répondre au traitement des joints entre plaques de plâtre à bords amincis,un enduit de finition PRÉGY L, pour le lissage des murs et plafonds avant mise en peinture ou pose de revêtement.Enduits Prêts à l’emploi Siniat :une gamme de trois produits ultra performantsPRÉGY S est un enduit à joint à séchage se distinguant par une glisse parfaite facilitant la pose du produit (pas d’effort sous l’outil), une grande souplesse d’utilisation (ne colle pas, ne pèle pas), un excellent pouvoir couvrant évitant le spectre de bande pour un rendu uniforme, et un très faible retrait permettant une application en 2 passes sans nécessité de couche de finition. PRÉGY S est mécanisable (machines à joint).PRÉGY XS est un enduit à joint très allégé (60% plus léger que les prêtsà l’emploi standards) rendant son application plus aisée et offrant un temps de séchage réduit. D’une très grande blancheur, il se caractérise par sa finesse qui facilite le ponçage et permet un chantier plus propre, mais aussi par son excellent rendement. PRÉGY XS est mécanisable (machines à joint).PRÉGY L est un enduit de lissage et de surfaçage pour la finition des murs et des plafonds. Il séduit par son grain fin qui facilite le ponçage et offre une finition lisse, un excellent pouvoir garnissant et opacifiant et une blancheur extrême. Autre atout de taille, PRÉGY L est mécanisable (airless).
Il y a 4 ans et 65 jours

Tour Eiffel : le plomb provoque l'arrêt du chantier de peinture

Le chantier de peinture sur la Tour Eiffel est suspendu depuis début février en raison des traces de plomb mesurées a indiqué la société d'exploitation du monument (Sete)
Il y a 4 ans et 69 jours

Pénuries de substances chimiques essentielles à la fabrication de peintures, colles et vernis

Les fabricants sont depuis plusieurs semaines en difficulté pour se faire livrer les substances chimiques nécessaires à leur production. Des pénuries importantes, caractérisées par l'activation de clauses de forces majeures par leurs fournisseurs et des retards de livraison mettent la disponibilité des produits finis sous forte pression. Par ailleurs, la hausse générale des prix des matières premières a pour effet une augmentation très forte du coût de revient des produits.Une combinaison de facteurs hétérogènes a pour conséquence la perturbation des chaînes d'approvisionnement et ainsi la limitation des capacités de production des industries. Ces facteurs impactant significativement les fournisseurs de matières premières seraient liés à des problèmes graves de maintenance de certains sites de production (accidents et incidents majeurs, intempéries provoquant des arrêts techniques), des difficultés d'approvisionnement ou encore des tensions logistiques sur les transports. Ces interruptions ou forts ralentissements de livraisons des matières premières perturbent et diminuent les capacités de production des industries et donc leurs possibilités de servir en quantité et en heure les clients et les marchés.Les fédérations partenaires de la FIPEC constatent également que cette situation est généralisée au niveau européen.Une dépendance stratégique à une filière d'approvisionnement en difficultéLes professions subissent les conséquences de leur dépendance stratégique à une filière d'approvisionnement internationale qui est aujourd'hui en difficulté, sans visibilité à court terme sur une amélioration de la situation. Ces tensions provoquent également des mises sous allocation impactant tous les acteurs de la filière. Cette situation cristallise la fragilité de la filière dépendante des acteurs internationaux notamment en Asie et aux États–Unis.Jacques Menicucci, Président de la FIPEC, tient cependant à « saluer la formidable mobilisation des femmes et hommes de nos industries pour trouver les solutions à cette crise d'approvisionnements et servir dans les meilleures conditions possibles leurs clients et leurs marchés. »Des conséquences importantes sur les filières économiques à très court terme ?Les professions de la FIPEC sont intégrées dans de nombreuses filières. Les peintures, les encres, les colles, les vernis sont présents partout dans notre univers visible (objets, bâtiments, constructions, etc…). Toute fabrication est recouverte, protégée ou décoré par leurs produits. Une déstabilisation de ces industries peut donc avoir des effets extrêmement sensibles dans l'ensemble des filières d'activités économiques du pays.Ces filières, en plus d'être des acteurs significatifs de la relance de l'activité en France, participent à des activités stratégiques, par exemple dans le secteur de l'emballage alimentaire ou médical. D'autres ont fait l'objet d'appui considérables du gouvernement dans le cadre du plan de relance (par exemple, la rénovation thermique du bâtiment) qui ne doivent pas être pénalisées par cette situation. A ce stade, les industriels font tout leur possible pour tenir leurs engagements mais des choix stratégiques pourraient être pris par les adhérents de la FIPEC, pour éviter des situations de vente à perte ou assurer la sécurisation de filières essentielles, cela d'autant plus que le contexte de la pandémie de Covid19 a déjà fragilisé le secteur.Un appel au soutien des pouvoirs publics pour un cadre réglementaire adapté à la résilience de nos industriesLes adhérents de la FIPEC déploient quotidiennement une énergie sans précédent pour trouver des solutions industrielles de substitution à de nombreuses substances chimiques, et ainsi pallier aux défauts de livraison afin de sécuriser l'approvisionnement de leurs clients. Malgré tous ces efforts, leurs taux de service seront dégradés et les adhérents ne pourront être tenus responsables de cette situation de force majeure échappant à leur contrôle.De plus, des reformulations chimiques nécessiteront une modification de l'étiquetage des produits. Ces professions souhaitent des pouvoirs publics une réflexion urgente pour identifier les meilleures solutions opérationnelles pour rendre conforme réglementairement les adaptations d'urgence réalisées par les équipes de R&D des entreprises.Par cette action, l'objectif prioritaire de la FIPEC est de sécuriser au maximum les approvisionnements de nombreuses filières et d'anticiper d'autres situations de ce type à l'avenir grâce à une réglementation plus résiliente.
Il y a 4 ans et 69 jours

Peintures, colles, enduits, vernis : la Fipec constate une pénurie de matières premières

MATIERES PREMIERES. La pénurie de matières essentielles à la fabrication de mélanges chimiques affole le secteur de la parachimie, et pourrait avoir des conséquences pour le bâtiment. Explications de cette crise avec Gilles Richard, délégué général de la Fipec, qui représente les entreprises du domaine.
Il y a 4 ans et 69 jours

Acova modernise le process de traitement de surface de son usine historique de Vaux Andigny

Dans son unité de fabrication historique située dans l’Aisne, Acova, marque du groupe Zehnder, modernise le process de traitement de surface de ses radiateurs en acier afin de réduire leur impact environnemental et pérenniser son outil de production français. Un investissement de 3 millions d’euros au service de l’environnement… Dans le cadre de sa démarche RSE, Acova, fabricant français de radiateurs décoratifs et radiateurs sèche- serviettes dont l’usine historique est implantée à Vaux-Andigny, a entrepris, depuis quelques mois, la modernisation de l’ensemble du process de traitement de surface et de peinture, sans arrêt de la production. Représentant un investissement de 3 millions d’euros, celle-ci concerne : • le remplacement de la ligne automatisée de traitement de surface, fonctionnant initialement sur le principe de protection anticorrosion par cataphorèse, par un nouveau traitement basé sur l’autophorèse, une technologie innovante de protection anticorrosion beaucoup moins énergivore : consommation d’eau diminuée de 27% grâce à 3 cuves en cascade, 70% de rejet d’eau en moins, diminution de 90% des boues. • le changement du four de cuisson par un modèle fonctionnant au gaz. Doté d’un meilleur rendement et d’une récupération d’air chaud pour chauffer les bains de traitement de surface, sa mise en service sera effective en Mai 2021. Ce nouvel équipement et l’étuve de séchage vont permettre une diminution de 53% de la consommation d’énergie (gaz et électricité). … et de la qualité Made In France Cet investissement s’inscrit également dans la politique d’amélioration continue d’Acova. Si le nouveau procédé chimique de protection anti-corrosion des radiateurs par autophorèse réduit l’impact environnemental du process de fabrication, il garantit aussi la qualité et la durabilité des produits. En effet, cette nouvelle technologie offre ainsi : • une répartition uniforme de la couche anticorrosion même dans les zones les plus étroites du radiateur pour une protection parfaite. • une résistance exceptionnelle du radiateur, attestée par la tenue au test de brouillard salin 3 fois plus longue que le niveau d’exigence de la marque NF. Conjuguer savoir-faire historique et innovations durables Acova, dont le nom a pour origine l’acronyme de « Atelier de COnstruction de Vaux Andigny », est une marque pionnière qui a inventé le radiateur sèche serviettes mais aussi proposé les premiers radiateurs en couleurs dans les années 70. Aujourd’hui, ils sont disponibles dans une palette riche de plus de 50 couleurs et finitions. Grâce à la modernisation du process de traitement de surface, Acova réduit non seulement l’impact environnemental de ses produits mais pérennise également son outil de production pour offrir des radiateurs décoratifs de haute qualité en acier, fabriqués en France, qui continuent à évoluer pour s’adapter aux tendances de la décoration. L’usine de Vaux Andigny a fêté ses 100 ans en 2020 et emploie 178 salariés. http://www.acova.fr
Il y a 4 ans et 70 jours

Impact de la crise sanitaire sur le marché du Nouvel Habitat : les enseignements un an après

En 2020, La Covid-19 a eu un impact fort sur l’organisation et l’activité des Industriels du Nouvel Habitat (Inoha). Un an après le début de cette période inédite, Inoha, en collaboration avec Innoscape, spécialisé dans l’efficacité commerciale par l’usage de la donnée, a réalisé un sondage auprès de ses adhérents. Inoha dresse aujourd’hui un bilan sur les effets de la crise sanitaire et les nouveaux usages qu’elle a engendré. Mené fin 2020 par Inoha et Innoscape auprès des adhérents de l’association, le sondage sur l’impact de la crise sanitaire (coûts, activités, relations avec les enseignes de la distribution …) est riche d’enseignements et fait ressortir trois points marquants : . Des conséquences directes sur les coûts et les organisations des entreprises 57% des répondants ont constaté des surcoûts liés notamment à l’achat de protections sanitaires et aux ressources humaines pour 53% (intérim, CDD..). A cela s’ajoutent des hausses importantes des dépenses liées au fret maritime, multiplié par 5 depuis l’automne 2020, ainsi que l’augmentation du prix des matières premières et leur pénurie qui continuent depuis le début de l’année 2021. En 2020, les délais de livraison ont augmenté pour 55% des industriels. 80% des entreprises ont, en effet, eu des problèmes liés aux approvisionnements en aval, à leurs capacités de production et à la logistique (55%). C’est pourquoi 67% d’entre-elles estiment nécessaire de repenser leur logistique. « L’année 2020 a été extrêmement complexe. Nous avons dû faire face à une consommation absolument inattendue tant au niveau des volumes qu’au niveau de certaines familles de produits dont les ventes ont explosé en 2020. Les bricoleurs se sont lancés dans des travaux qu’ils n’avaient pas l’habitude de réaliser. Pour répondre à cette forte demande, nous avons, d’une part, recruté du personnel en intérim et en CDI. D’autre part, nous avons fait le choix de livrer tous nos clients distributeurs, avec un taux de service à 70%. Pour cela, nous avons mis en place des quotas de livraison. En fonction de nos capacités de production, nous nous sommes ainsi engagés à livrer des quotas de marchandises supplémentaires à condition que l’enseigne s’engage de son côté sur un volume de commande annuel » témoigne M. Clément des Boscs, Directeur Commercial Grands Comptes de Reca Peintures. . De la nécessite de renforcer le dialogue avec les distributeurs Le taux de service reste toujours au cœur des préoccupations des industriels du Nouvel Habitat. 78% des interrogés pensent que les enseignes vont mettre plus de pression sur ce sujet en 2021 alors que la supply chain reste désorganisée. En 2020, 75% ont vu leur taux de rupture augmenter de 10 points en moyenne ce qui représente des sources de tensions fortes dans la supply chain. 45% des répondants estiment que leur taux de service restera aussi dégradé en 2021 qu’en 2020. Pour réduire les risques, 65% des industriels pensent nécessaire d’augmenter leurs stocks. 75% estiment que leur activité a été impactée en 2020 par le manque d’interaction avec les enseignes et 80% pensent qu’elles risquent d’être limitées jusqu’à la fin de la crise sanitaire. Pour s’adapter à l’évolution des pratiques de leur écosystème et pour une meilleure collaboration avec les enseignes, 85% souhaitent améliorer leur processus internes en renforçant notamment la digitalisation de leurs outils commerciaux. 75% d’entre-eux pensent qu’il est essentiel de mieux partager avec les enseignes des indicateurs de performance communs. « Dès la fin du premier confinement, nous avons mis en place des outils d’analyse et nous avons joué la carte de la transparence avec nos clients distributeurs en leur indiquant nos niveaux de stock et la disponibilité de nos produits. Ceci nous a permis d’établir une relation de confiance pour anticiper leurs besoins », explique Philippe DONNET, Directeur Commercial Grand-Public du Groupe TTI, fabricant mondial d’outils. . Une opportunité pour développer de nouveaux business et l’e-commerce Durant la crise sanitaire, le consommateur a pris des habitudes d’achat en ligne qu’il n’est pas prêt d’abandonner. Afin de capter cette forte demande, 97% des industriels du Nouvel Habitat veulent renforcer leur présence sur les canaux de vente digitaux (sites d’enseignes, market places de pure players ou d’enseignes traditionnelles). 50% d’entre-eux ont d’ailleurs profité de cette période pour développer de nouvelles activités comme en témoigne Alexandre Jaouen, Directeur Retail Husqvarna Europe du Sud, représentant de la marque de jardin Gardena : « le marché du jardin a connu une croissance de 10% en 2020 ce qui a généré un intérêt de plus en plus important de la part de certaines enseignes. Nous avons ainsi développé notre présence dans des enseignes BtB telles que les quincailleries industrielles qui ne s’intéressaient pas jusqu’à présent à ce segment de marché mais aussi sur des sites de vente en ligne. En parallèle, nous avons lancé notre propre site marchand durant la fermeture des grandes surfaces de bricolage et de jardinage. Grâce à cet outil, nous pouvons montrer la largeur de nos gammes et être en contact direct avec les consommateurs. Les sites online de nos propres clients s’étant également renforcés, ils nous permettent aussi de présenter l’intégralité de notre offre de manière qualitative ». Dans cette période critique, cette forte dynamique de la vente en ligne a profité à tous les acteurs de la filière et notamment aux Industriels du Nouvel Habitat qui ont aujourd’hui des compétences dans ce domaine et ont atteint une maturité digitale. « Notre industrie a réussi à absorber le choc du premier confinement malgré des hausses de coût de production de près de 20% par rapport à la période normale. Cette crise a même été une réelle opportunité de repenser notre manière de travailler en faisant preuve d’agilité. Un an après le début de la pandémie, nous anticipons un bon premier semestre malgré les hausses de matières premières et surtout leurs ruptures qui risquent de nous limiter dans notre développement.» conclut Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha. http://www.inoha.org
Il y a 4 ans et 71 jours

Envie Le Labo, un éco-lieu inédit et une construction exemplaire à Paris 20e

Acteur associatif majeur de l’économie circulaire et de l’insertion, le réseau Envie ouvre « Envie Le Labo », un éco-lieu solidaire et associatif, au 10 rue Julien Lacroix à Paris 20e (Ménilmontant). Sa vocation : apporter des solutions concrètes aux citoyens pour les accompagner vers des modes de vie et de production durables, au sein d’une construction exemplaire. Envie Le Labo est désormais la première vitrine d’Envie à Paris, permettant notamment de s’équiper en appareils électroménagers rénovés et garantis.Œuvrant pour une société plus durable et solidaire au travers de l’inclusion et de l’allongement de la durée de vie des produits, Envie souhaite aujourd’hui franchir une nouvelle étape à travers Envie Le Labo, un éco-lieu inédit, pour affirmer cet engagement en faveur des citoyens, à l’échelle locale, régionale et nationale.A travers ses 560m², Envie Le Labo veut aussi prouver qu’il est possible de construire et d’aménager des bâtiments respectueux de l’environnement, et ce avec un budget resserré. En limitant ses besoins fonctionnels et esthétiques à l’essentiel (finitions brutes avec peu de peinture, par exemple) et en privilégiant autant que possible les matériaux récupérés, Envie Le Labo a pu éviter d’avoir recours à 20 tonnes d’éléments neufs.Les activités d’Envie Le Labo :Des activités en faveur d’une société plus durable et solidaire.Réparer ses équipements électroménagers :Des services de réparation de petits appareils sur place et de dépannage à domicile pour le gros électroménager seront proposés.Donner ses anciens appareils :Des collectes de proximité seront organisées mensuellement dans le quartier.Acheter reconditionné :La première vitrine d’Envie à Paris permettra de s’équiper en appareils électroménagers rénovés et garantis dans les ateliers d’Envie Trappes.Apprendre à agir :Des ateliers pratiques gratuits autour de la lutte contre le gaspillage (électroménager, textile, alimentaire), pensés pour les habitants, seront animés par les équipes d’Envie et par une communauté de professionnels.Des visites guidées gratuites d’Envie Le Labo, en tant que démonstrateur des possibles en matière d’économie circulaire et solidaire, seront proposées.Envie Le Labo ambitionne d’être un lieu au service de l’intérêt général. Dès la première année, l’activité de vente de produits rénovés garantis et de services de réparation va permettre :la création de 14 emplois franciliens, dont 8 en insertion à Paris et au sein d’Envie Trappes,la collecte de 500 tonnes de déchets supplémentaires issus d'équipements électriques et électroniques et la distribution de 2 650 appareils,de faciliter l’accès économique à des appareils électriques et électroniques pour des populations à bas revenus.Cette «maison de l'économie circulaire», de par sa forme et ses activités, sera une vitrine des savoir-faire locaux et nationaux du réseau Envie.
Il y a 4 ans et 72 jours

La campagne de peinture de la Tour Eiffel suspendue à cause du plomb

"Malgré toutes les précautions prises dès la conception du chantier (protections collectives et individuelles, procédures renforcées de séparation des espaces, mesures permanentes), la Sete a constaté le 3 février une récurrence de prélèvements indiquant une augmentation des taux de plomb présents en surface, dans l'enceinte du monument, et a ordonné, à titre de précaution, aux entreprises en charge des travaux de suspendre le chantier de peinture", a indiqué la Sete à l'issue de son conseil d'administration.Actuellement en train de "réétudier le mode opératoire, les mécanismes de protection individuelle et collective, les techniques d'entretien et de peinture", l'exploitant n'a pas encore fixé de calendrier de reprise des travaux.La Sete a augmenté le nombre de points de contrôle - 70 au lieu de 50 auparavant - ainsi que leur fréquence, désormais hebdomadaire. Suivant l'exemple de Notre-Dame, elle a demandé que "les résultats de ses prélèvements aux abords du monument soient publiés en open data sur le site de l'Agence régionale de santé (ARS)".Pour la 20e campagne de peinture de la célèbre dame de fer, l'un des monuments les plus fréquentés au monde dans l'ère pré-Covid, il a été choisi de retirer les couches de peinture détériorées de près de 30% de la surface de l'édifice, là où les campagnes précédentes n'en prévoyaient que 5%, afin "d'améliorer l'adhérence de la peinture sur la structure". C'est ce décapage qui a fait ressortir la présence de plomb présent dans les couches précédentes.Débutée en 2019 pour une fin initialement programmée en novembre 2022, l'opération, chiffrée à l'origine à 50 millions d'euros, vise à redonner pour les Jeux olympiques de 2024 la couleur "jaune-brun" voulue par Gustave Eiffel en 1907. Mais la suspension des travaux aura un impact sur leur durée et leur coût, prévient l'exploitant sans pouvoir encore les quantifier.En raison de la crise sanitaire, la Sete a par ailleurs annoncé un déficit de 52 millions d'euros au titre de l'année 2020.Fermée lors des deux confinements, de mi-mars à fin juin puis à partir de fin octobre, la Tour Eiffel, inaugurée il y a 132 ans, n'a été accessible que la moitié de l'année. Le site, qui compte environ 340 salariés, a recours à l'activité partielle.
Il y a 4 ans et 72 jours

Une peinture saine pour les chambres d'enfants

La plupart des peintures sont remplies de composants volatiles toxiques et de solvants qui, une fois libérés, altèrent la qualité de l’air. Choisir une peinture saine et respectueuse de l’environnement s’impose comme la solution évidente pour protéger l’espace dans lequel les enfants passent la plupart de leur temps, pour dormir mais aussi jouer.Nous passons près de 80% de notre temps dans des espaces clos. Alors pour limiter les sources de pollution intérieure et préserver l’environnement des enfants, ALGO PAINT®, fabricant de peinture écologique, développe une solution innovante : une peinture biosourcée formulée à base d’algues. Grâce à cette approche plus respectueuse de la nature, ALGO PAINT® s’affranchit totalement de la pétrochimie au profit du végétal et permet de préserver la qualité de l’air des intérieurs.Une peinture naturelle Fabriquée avec une résine végétale à base d’algues bretonnes, de pigments naturels et d’eau, la peinture d’Algo réduit considérablement le taux de C.O.V dans les intérieurs tout en étant peu odorante et non allergène.Les peintures Algo préservent la santé et l’environnement, en effet elles rejettent moins de 0,5 gramme de composé organique volatil par litre de peinture appliqué, elles ont ainsi été certifiées A+. Elles répondent également aux normes environnementales les plus exigeantes et bénéficient de certifications strictes comme l’Ecolabel Européen.Un vrai jeu d’enfantSans odeur ni émissions nocives par rapport aux peintures classiques, les peintures Algo sont idéales pour les chambres d’enfants. Le fort pouvoir couvrant de l’algue permet un meilleur rendement au mètre carré. Facile à appliquer, la peinture Algo offre un produit de qualité, lessivable et durable dans le temps.
Il y a 4 ans et 72 jours

Inflation des matières premières : les industriels de la peinture demandent des adaptations réglementaires

Comme bien des filières industrielles, les adhérents de la Fipec subissent des hausses brutales des coûts des matières premières. Des solutions pourraient être trouvées, mais elles nécessitent une évolution de la réglementation en matière d'étiquetage.
Il y a 4 ans et 72 jours

Peintures, enduits, vernis : fortes tensions sur les matières premières

Les entreprises industrielles spécialisées dans la fabrication de peintures, colles, encres, enduits, vernis et autres mélanges, subissent de fortes perturbations sur leurs capacités de production. De plus, certaines substances essentielles à la fabrication ne sont aujourd’hui plus disponibles, ou sous conditions d’allocation extrêmement strictes. Les fabricants, adhérents de la FIPEC, sont depuis plusieurs semaines en difficulté pour se faire livrer les substances chimiques nécessaires à leur production. Des pénuries importantes, caractérisées par l’activation de clauses de forces majeures par leurs fournisseurs et des retards de livraison mettent la disponibilité des produits finis sous forte pression. Par ailleurs, la hausse générale des prix des matières premières a pour effet une augmentation très forte du coût de revient des produits.    Les facteurs impactant significativement les fournisseurs de matières premières seraient liés à des problèmes graves de maintenance de certains sites de production (accidents et incidents majeurs, intempéries provoquant des arrêts techniques), des difficultés d’approvisionnement ou encore des tensions logistiques sur les transports. Ces professions subissent les conséquences de leur dépendance stratégique à une filière d’approvisionnement internationale qui est aujourd’hui en difficulté, sans visibilité à court terme sur une amélioration de la situation. Ces tensions provoquent également des mises sous allocation impactant tous les acteurs de la filière. Cette situation cristallise la fragilité de la filière dépendante des acteurs internationaux notamment en Asie et aux Etats-Unis. La FIPEC indique : nos adhérents déploient quotidiennement une énergie sans précédent pour trouver des solutions industrielles de substitution à de nombreuses substances chimiques, et ainsi pallier aux défauts de livraison afin de sécuriser l’approvisionnement de nos clients. Malgré tous ces efforts, nos taux de service seront dégradés et nos adhérents ne pourront être tenus responsables de cette situation de force majeure échappant à leur contrôle. De plus, des reformulations chimiques nécessiteront une modification de l’étiquetage des produits. Nos professions souhaitent des pouvoirs publics une réflexion urgente pour identifier les meilleures solutions opérationnelles pour rendre conforme réglementairement les adaptations d’urgence réalisées par les équipes de R&D de nos entreprises. Par cette action, notre objectif prioritaire est de sécuriser au maximum les approvisionnements de nombreuses filières et d’anticiper d’autres situations de ce type à l’avenir grâce à une réglementation plus résiliente.   Source : FIPEC    
Il y a 4 ans et 77 jours

Valoriser le patrimoine culturel à travers la réalité augmentée : quels obstacles juridiques ?

La réalité augmentée (RA) est un outil de développement stratégique qui permet de développer certaines initiatives culturelles et éducatives, et offre nombre d’opportunités commerciales. Le droit d’auteur génère toutefois des obstacles juridiques qui peuvent compromettre la viabilité des initiatives fondées sur la RA. La RA consiste à superposer des éléments calculés par un système informatique à la réalité en temps réel. Cette technologie permet ainsi de voir, à l’aide d’un dispositif – tel qu’un smartphone – des images élaborées par un logiciel dans un contexte réel. Un exemple célèbre est le jeu des Pokemons, où les images en mouvement de ces personnages de fantaisie apparaissent aux joueurs munis d’un smartphone doué d’une application spécifique en des lieux spécifiques. Elle s’applique à différents secteurs, dont le patrimoine culturel. La RA peut jouer un rôle dans l’éducation à l’histoire et à l’art d’une communauté. Ces éléments sont fondamentaux pour mieux développer une identité, aussi bien au niveau individuel que communautaire. À travers la RA, il est possible de valoriser les sites où se trouvent des biens culturels, ainsi que les collections des musées ou des archives qui hébergent ces biens. Ainsi, une RA sur un ou plusieurs tableaux du Louvre pourrait valoriser non seulement le tableau, mais également la collection du musée. À travers des reproductions et représentations d’objets culturels, un public large peut alors accéder non seulement aux objets qui composent actuellement le patrimoine culturel, mais aussi à des informations sur l’histoire de ce bien, les techniques qui ont permis de l’élaborer, ou le contexte historique de sa création. L’expérience de visite devient ainsi plus exhaustive, interactive, enrichissante ; en un mot, plus attrayante. On peut émettre l’hypothèse que tout cela peut avoir des retombées positives sur le développement culturel, ainsi que de façon plus indirecte, sur d’autres éléments, tels que l’évolution du secteur touristique alentour, mais aussi un intérêt croissant des opérateurs du marché qui développent des solutions RA. Les exemples de RA appliquée aux biens culturels se multiplient en France et ailleurs : citons le pont d’Avignon), l’Ara Pacis Augustae à Rome), des pièces du musée d’art Islamique à Berlin), les tableaux du musée Van Gogh à Amsterdam, ainsi que quelques tableaux de la Tate à Londres, ou de la Art Gallery of Ontario à Toronto ; ou encore les dinosaures exposés au musée de Trento. À travers ces exemples, on note que les objets concernés par la RA sont plutôt anciens ; ou bien il s’agit d’objets qui présentent un intérêt scientifique, mais pas artistique. Cette précision factuelle permet de comprendre qu’il est plus simple de développer une application RA sur des objets anciens ou de caractère scientifique que sur des objets à caractère artistique et ce en raison de l’absence de droit d’auteur sur les premiers. S’agissant des biens culturels à caractère artistique, ils incorporent une œuvre de l’esprit, c’est-à-dire la forme expressive d’une idée. C’est le cas pour la sculpture, la peinture, la littérature. Ce type d’œuvre peut faire l’objet d’un droit d’auteur. Ce droit couvre les œuvres originales, c’est-à-dire découlant de l’effort intellectuel d’une personne physique ; ainsi les œuvres générées par une machine, par un logiciel, ne pourraient pas être protégées. La protection concerne les œuvres qui ne sont pas particulièrement anciennes. En France et en UE, ainsi qu’aux États-Unis, les œuvres originales sont protégeables jusqu’à soixante-dix ans après la mort de l’auteur ou du dernier auteur. Ainsi, un bien culturel artistique peut être protégé par le droit d’auteur si son créateur est décédé il y a moins de soixante-dix ans. C’est le cas, par exemple, des tableaux de Jackson Pollock. La protection offerte par le droit d’auteur permet de jouir d’un droit exclusif sur les œuvres de l’esprit, ce qui confère une position sur le marché plutôt forte à son titulaire. En effet, en principe la présence du droit exclusif empêche d’exploiter une œuvre en l’absence du consentement de son titulaire. La protection des bases de données D’autre part, les collections des instituts du patrimoine culturel, c’est-à-dire les musées, bibliothèques, archives et instituts de dépôt légal pour le matériel audiovisuel ou radiophonique peuvent être qualifiés en tant que bases de données, c’est-à-dire comme recueils de données, informations, contenus et autres matériels, organisés de façon méthodologique et systématique et au sein desquels on peut accéder aux éléments individuellement. À certaines conditions, les bases de données dans l’UE peuvent jouir d’une protection qui limite l’extraction et l’exploitation des données les composant : il s’agit du droit sui generis sur les bases de données, une forme de protection juridique supplémentaire par rapport à celle offerte – éventuellement – par le droit d’auteur. En sa présence, il sera nécessaire d’obtenir l’autorisation du titulaire du droit avant de pouvoir copier et coller des éléments de la base de données dans un autre contexte. Cette forme de protection sur les bases de données peut venir se rajouter à celle couvrant les éléments qu’une telle base de données contient. Ainsi, une collection d’archives est une base de données et les documents contenus dans la collection peuvent être des œuvres de l’esprit protégées par le droit d’auteur. À titre d’exemple, la collection du musée George Pompidou peut être qualifiée en tant que base de données et elle est protégeable par le droit d’auteur de façon globale, ainsi que par le droit sui generis sur les bases de données, tout comme les œuvres de Pollock qui y sont contenues et exposées sont protégées par le droit d’auteur. Comment faire si on veut développer une application RA autour des œuvres de Pollock, Koons et d’autres auteurs contemporains ou de l’histoire récente exposés au centre Pompidou ? Il faut alors obtenir l’autorisation d’exploitation des droits d’auteur et sui generis auprès des titulaires, tout en étant attentif au respect de la paternité et de l’intégrité des œuvres exploitées, si l’autorisation est donnée. Globalement, le droit d’auteur peut faire obstacle à des exploitations telles que les reproductions et représentations nécessaires à des applications en RA. En effet, il s’agit d’un droit exclusif, et donc en l’absence d’autorisation l’œuvre ne peut pas être exploitée. Le consentement doit être fourni par le titulaire des droits patrimoniaux, c’est-à-dire des droits qui peuvent faire l’objet d’un contrat et qui couvrent les activités de reproduction et de représentation. Or, en raison des règles d’attribution de ces droits, il n’est pas toujours facile d’identifier qui détient les prérogatives et peut donc contrôler toute reproduction ou représentation. De plus, le créateur de l’œuvre – qui parfois ne détient plus les droits patrimoniaux en raison de la possibilité de les céder pour les monétiser – a toujours le droit d’être reconnu comme « père » de l’œuvre, ainsi que le droit au respect de la forme et de l’esprit de l’œuvre : c’est ce qu’on appelle les droits moraux, qui ne peuvent pas être cédés par contrat et qui durent au-delà des soixante-dix ans après la mort de l’auteur. De même, le droit sur les bases de données étant exclusif et se cumulant à la protection sur les éléments individuels composant la base de données peut vraisemblablement constituer une limite au développement de telles initiatives. Comment procéder alors ? Exceptions au droit d’auteur Les réponses sur la viabilité d’application RA peuvent être cherchées dans certaines exceptions au droit d’auteur, c’est-à-dire dans les règles qui permettent une exploitation des œuvres de l’esprit – ainsi que des bases de données – protégées même en l’absence d’une autorisation. On songe notamment à l’exception de citation, mais également à l’exception pédagogique, ainsi qu’à celles moins mentionnées par la presse et les œuvres de divulgation, telles que les exceptions sur les œuvres orphelines, et, plus récemment, sur les œuvres hors commerce, ou sur le data mining. Les exceptions sont expressément listées par le code de propriété intellectuelle français – à l’art. 122-5 notamment – et par les textes nationaux homologues au sein de l’UE. Une lecture creusée de ces dispositions révélant que seules certaines activités de reproduction et représentation pourraient être justifiées en l’absence du consentement du titulaire des droits, cette solution ne saurait être que partielle. D’autres solutions semblent par ailleurs pouvoir découler des normes exogènes aux droits de propriété littéraires et artistiques. On songe notamment aux règles sur la réutilisation des données publiques, qui peuvent s’appliquer également aux informations gérées par les instituts du patrimoine culturel et par les administrations et établissements publics voués à la gestion du patrimoine culturel. Mais là encore, il ne s’agit que de solutions partielles, puisque les conditions pour que ces normes interviennent ne sont pas toujours remplies. Il est possible que la pratique bien intégrée par le système français des accords collectifs entre les instituts du patrimoine culturel, les administrations gérant les biens culturels et les sociétés de gestion collectives (telle que l’ADAGP par exemple) fournisse, à terme, une solution plus exhaustive et vienne soutenir le développement de la RA. Cristiana Sappa, Professeur associé en droit des affaires, IÉSEG School of Management Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original. Photo : A la Conciergerie, la réalité augmentée permet de découvrir les lieux sous un autre oeil. La Conciergerie, Paris
Il y a 4 ans et 77 jours

Que faut-il retenir sur les travaux de ravalement de façade?

Nous décidons de ravaler la façade de notre habitation pour diverses raisons. Le ravalement de façade se définit comme la remise en bon état des murs extérieurs d’une maison ou d’un immeuble. À ce titre, il n’a pas pour vocation de modifier l’aspect originel de ceux-ci. Malgré cela, leur réalisation doit obéir à certaines règles. Justement, nous allons partager avec vous dans cet article tout ce que vous devez retenir sur ce procédé. Pourquoi procéder au ravalement de la façade de son logement ? La façade est une pièce maitresse de l’habitation. Elle supporte l’ensemble de la toiture et met les habitants à l’abri des intempéries. Pourtant, elle est constamment exposée aux différentes agressions. Des travaux de ravalement sont donc entrepris afin de la maintenir en bon état. Ils impliquent la réparation des imperfections des murs (fissures, décollement de la peinture, joints endommagés, etc.). Parfois, les travaux sont exécutés dans un but purement esthétique. Grâce à ceux-ci, nous procurons une nouvelle jeunesse à notre bâtisse. Dans tous les cas, il est conseillé de solliciter les services d’un façadier pour avoir un résultat irréprochable. En outre, il faut savoir que le ravalement de façade est une obligation légale. Aux termes de l’article L132-1 du Code de la construction et de l’habitation, tout propriétaire d’immeuble doit réaliser des travaux une fois au moins tous les 10 ans. Cette loi vise particulièrement à préserver la sécurité d’autrui. Effectivement, une façade en mauvais état peut s’effondrer à tout moment. Par conséquent, l’omission à cette obligation est punissable d’une peine pécuniaire qui s’élève à 3 750 €. Faut-il obtenir une autorisation préalable avant de ravaler sa façade ? Généralement, aucune autorisation préalable n’est requise pour remettre à neuf une façade. Pour éviter les mauvaises surprises, il est cependant plus prudent de s’informer sur les démarches administratives à suivre. Dans la majorité des cas, une déclaration préalable des travaux devra être déposée en mairie avant le ravalement de la façade. C’est surtout le cas si votre commune est assujettie à un Plan Local d’Urbanisme (PLU). Il est essentiel de consulter ce document. Il est fréquent qu’il impose ou interdise l’utilisation de certains matériaux de construction. Par ailleurs, si votre immeuble se trouve dans un espace protégé ou s’il a été classifié parmi les monuments historiques, il faudra obtenir un permis de construire. La même règle s’applique en cas de changement significatif de l’aspect extérieur du bâtiment ou de création d’une ouverture. Comment s’opèrent les travaux de ravalement de façade ? En raison de leur complexité, ces travaux ne peuvent être pris à la légère. C’est pourquoi il est préférable de les confier à un façadier professionnel comme https://www.facadier-93.fr/  . Le recours aux services de cet artisan constitue d’ailleurs une garantie de la solidité et de la durabilité de la structure. Pour ce qui est de leur déroulement, ils sont impérativement précédés d’un diagnostic approfondi de la façade. Ceci permet de détecter ses éventuels problèmes et de définir, par conséquent, la solution à adopter pour y remédier. À l’issue de cette première intervention, le façadier procède au nettoyage de la façade. C’est ce qui va lui donner un meilleur aperçu des défauts du mur dissimulés par les souillures. Pour ce faire, il peut choisir entre différentes techniques de nettoyage. Le plus courant demeure néanmoins le nettoyage à haute pression. Une fois bien propres, il passe à la réparation des murs. On peut également appliquer un traitement spécial sur leur surface afin de lutter contre le développement des algues et des mousses. Il réalise enfin les travaux de finition. Ces derniers se matérialisent par l’habillage des murs, en l’occurrence la pose d’un bardage, l’application d’une peinture ou d’un crépi. En plus d’enjoliver la façade, ces travaux offrent une protection optimale à celle-ci.
Il y a 4 ans et 82 jours

Utiliser l’impression en 3d de manière utile

L’usage de l’impression 3d est devenu populaire dans le monde professionnel, notamment dans le secteur médical et industriel. Cette nouvelle technologie a permis des avancées majeures dans plusieurs secteurs d’activités. Grâce à elle, les sociétés ont un gain de temps favorable dans le processus de développement. Découvrez ci-dessous comment utiliser cette révolution d’une manière utile et nécessaire. Comment fonctionne l’impression 3D ? Tout commence par un modèle numérique 3D créé par un logiciel. Ce modèle conçu est ensuite découpé en plusieurs couches pour que l’imprimante 3D puisse le lire convenablement. Le matériau utilisé par l’imprimante 3D est superposé couche par couche selon le modèle 3D et le processus de fabrication. Bien évidemment, les procédés de fabrication 3D utilisent différents types de matériaux comme : plastique, métaux, céramique, sable, biomatériaux, aliments, matières organiques, etc. Cependant les imprimantes d’entrée de gamme ne peuvent pas utiliser l’ensemble de ces matériaux. Chacune de ces machines traite les matériaux de différentes manières. C’est un point important à ne pas oublier et qui est malheureusement l’une des limites de cette révolution. Les procédés d’impression courants •   La stéréolithographie ou SLA C’est l’un des premiers procédés de l’impression 3D à avoir été mise en pratique. Elle a été créée par l’américain Charles Hull, fondateur de 3D Systems. Ce processus se base sur la création d’un modèle numérique pour la fabrication d’un prototypage. Il utilise un liquide photosensible (résine photopolymère) maintenu dans la cuve qui réagit avec le rayon laser ultraviolet et se durcit petit à petit pour former une forme précise. Généralement, ce type d’imprimante comporte quatre parties principales : le réservoir q, la plateforme perforée, le rayonnement UV et l’ordinateur qui commande la plateforme ainsi que le laser. Ce premier procédé est toujours mis en œuvre puisqu’il offre des finitions bien précises et abouties. D’ailleurs, si vous cherchez une impression 3d à Paris, optez pour cette solution. •   Le traitement numérique de la lumière ou DLP Ce traitement est similaire à la stéréolithographie, car il fonctionne avec des photopolymères. L’unique différence est la source de lumière. Cette seconde technique utilise effectivement des lampes à arc avec un panneau à cristaux liquides ou un dispositif à miroir déformable. Ces accessoires sont ensuite appliqués sur la surface de la cuve. Bien entendu, le temps de fabrication s’avère être plus rapide par rapport à la précédente. •   Le frittage laser ou fusion au laser ou SLS Il s’agit d’un processus d’impression par laser. Le faisceau laser ultra puissant va entrer en fusion une poudre compacte (le polyamide) positionnée sur la plateforme mobile. Ce matériau va être balayé par les faisceaux laser à des points bien précis définis par le fichier STL communiqué par l’ordinateur ou l’imprimante 3D. Au final, les particules vont se solidifier et former un prototype. L’avantage de cette technique est que vous aurez la possibilité d’employer la poudre comme support afin de créer des pièces plus ou moins complexes. La matière première est généralement de couleur blanche et va donner une surface poreuse. Vous pouvez la repeindre si vous désirez lui donner de la couleur. La céramique ainsi que la poudre de verre peuvent aussi être utilisés sans problème lors de la découpe au laser en ligne. •   La 3DP ou Three-Dimensional Printing La 3DP constitue la base du processus d’impression 3D de Z Corporation. Le principe est simple, il étale une fine couche de poudre de composite sur une plateforme. Ensuite, la tête d’impression va déposer de fine gouttes de glu colorées qui vont combiner entre elles pour obtenir un panel de couler. La plateforme s’abaisse lentement jusqu’à ce que les couches de poudre se collent et obtiennent l’objet final. Pour avoir une finition impeccable, il suffit de brosser ou de poncer l’excédent de poudre sur la pièce et de la chauffer pour achever la solidification. Comme vous pouvez le constater, la 3DP est une méthode très rapide et propose une grande variété de couleurs. Malgré le fait qu’elle manque un peu de précision et de qualité d’impression, son prix est 6 fois moins cher que l’imprimante 3D SLA. •   Fused Deposition Modeling ou FDM/FFF/MPD C’est une méthode très courante pour les impressions 3D. La majorité des imprimantes 3D personnelles suivent ce principe. Elle fait fondre le filament de matière thermoplastique à 200 °C par le biais d’une extrudeuse et dépose une par une les couches de plastique sur une plateforme. Le plastique chauffé se durcit afin de former l’objet imaginé par l’imprimante. La tête d’impression se déplace en fonction des coordonnées transmises par le fichier 3D correspondant au modèle 3D de l’objet à imprimer. Grâce à l’évolution, cette imprimante ne se limite plus à du plastique. Elle peut supporter les filaments composites à base de métal, de fibres de carbone et de bois. À part la société Stratasys qui l’a inventé, la fabrication par dépôt de fil fondu est aussi adoptée dans la médecine, les aliments agroalimentaires.
Il y a 4 ans et 83 jours

CECIL PROFESSIONNEL : SOLUTIONS POUR RÉNOVER DES MURS TACHÉS PAR LA MOISISSURE OU L’HUMIDITÉ

Peinture en aérosol PA MTD, impression IP TD et peinture PE MTE Auréoles d’humidité suite à une infiltration d’eau, peintures écaillées liées à un dégât des eaux, traces de moisissures, de nicotine ou de fumée, petites taches de la vie quotidienne… sont autant de marques qui peuvent salir, abîmer ou nuire à l’esthétique des murs intérieurs et des plafonds. CECIL PROFESSIONNEL, marque référente en négoce sur le marché de la peinture, propose des solutions pour rénover ces murs. La peinture en aérosol PA MTD, un blanc malin idéal pour des retouches rapides, l’impression IP TD, une sous-couche pour supports dégradés, et la peinture de finition PE MTE, un blanc sans tension qui masque les taches les plus difficiles. Haute performance et à haut pouvoir couvrant, ces peintures techniques de qualité professionnelle sont de conception et de fabrication française.   PEINTURE BLANC MALIN – PA MTD Pour des retouches rapides sur les taches les plus difficiles Pour recouvrir les taches difficiles sans avoir à repeindre tout le pan de mur ou le plafond, la peinture en aérosol PA MTD CECIL PROFESSIONNEL est idéale. En effet, anti-tache, elle permet de réaliser efficacement des retouches rapides sur les surfaces tachées ou abîmées des murs et des plafonds intérieurs en plaques de plâtre, plâtre, béton, briques… Son pouvoir bloquant évite la réapparition des taches, notamment en cas d’humidité, et stoppe les remontées de tanin. Isolante, d’une très bonne opacité et d’un haut pouvoir couvrant, elle masque les traces d’humidité, de suie, de crayon… et peut être utilisée pour des petites retouches sur des murs peints abîmés par un choc. La peinture PA MTD peut être appliquée en sous-couche avant une mise en peinture puisqu’elle empêche la migration des taches dans les peintures et revêtements de finition. Ce blanc mat malin offre un beau tendu et sèche rapidement. Aucune tache ne reste visible dès la première couche de PA MTD. Elle ne jaunit pas et recouvre parfaitement toutes les taches. Avec sa bombe ergonomique, elle est très facile et agréable à utiliser. Conditionnement : 400 ml Prix de vente conseillé : 12,50 euros TTC Points de vente : Négoces en matériaux   IMPRESSION POUR SUPPORTS DÉGRADÉS –  IP TD Idéale pour les dégâts des eaux et les taches difficiles La couche d’impression régule l’absorption des fonds, prépare le support, améliore l’adhérence, l’esthétique et le rendu de la finition. Parfaite en rénovation et compatible avec toutes sortes de finitions, l’impression IP TD CECIL PROFESSIONNEL a été conçue pour adhérer aux supports dégradés, tachés ou humides. Sa formulation additivée ciment isole et bloque les taches les plus difficiles : auréoles d’humidité, moisissures, suie, nicotine, graisse… sur du plâtre et ses dérivés, le ciment, la brique, le bois… Par ailleurs, elle fixe les fonds anciens et consolide les murs. Performante, l’impression IP TD peut s’appliquer directement sur des murs humides, suite à des dégâts des eaux ou une infiltration d’eau par exemple. Conditionnements : 2,5 L – 5 L – Prix de vente conseillés 2,5 L : 49,95 euros TTC – 5 L : 76,95 euros TTC   PEINTURE SANS TENSION –  PE MTE Un revêtement isolant qui masque les taches Sans siccatif (substance destinée à accélérer le séchage), la peinture sans tension PE MTE CECIL PROFESSIONNEL répond efficacement aux problèmes de phénomène de tension et d’écaillage au moment du séchage. De très bonne opacité, ce blanc mat permet de recouvrir les anciens fonds sans risque de les décoller. Il isole et masque parfaitement les défauts du support et les taches les plus difficiles : humidité, moisissure, suie… ce qui le rend idéal en rénovation. Offrant un gain de temps sur les chantiers, PE MTE peut être appliquée « mouillé sur mouillé » sur des fonds douteux et instables (badigeons, vieux plâtres) et est recouvrable par toutes sortes de finitions et colles à papier peint. Son séchage long assure une application uniforme sans trace de reprise ni d’écaillage. Multisupport, cette peinture convient en application sur les murs, plafonds et menuiseries, en béton et dérivés, plâtre et dérivés, plaques de plâtre cartonnées, anciennes peintures. Conditionnements : 5 L – 10 L Rendement : 10 – 12 m2/ L Prix de vente conseillés 5 L : 89,95 euros TTC 10 L : 134,95 euros TTC Points de vente : Négoces en matériaux
Il y a 4 ans et 85 jours

Cromology étend Rekupo, son service de collecte gratuite des déchets de chantier

Le groupe spécialisé dans la peinture déploie une offre ambitieuse pour la récupération des déchets, classés dangereux par la réglementation.
Il y a 4 ans et 90 jours

Bricolage et jardinage : 27% de risque cardiovasculaire en moins !

A l’heure où les salles de sports sont fermées, les voyages proscrits et le télétravail généralisé pour cause de crise sanitaire, de nombreux Français se sont lancés dans des travaux d’aménagement de leur habitat (peinture, rénovation de sols, …) comme en témoigne la progression des ventes dans le secteur fin 2020 (+4,78 % en valeur*). En s’appuyant sur des études et sur l’ouvrage « Bricole moi un mouton » écrit par l’anthropologue Abdu Gnaba, Inoha, l’association des Industriels du Nouvel Habitat, dévoile les bienfaits du bricolage et du jardinage sur la santé, tant d’un point de vue physique que psychique. Bricolage et jardinage, 27% de risque cardiovasculaire en moins Généralisé, le télétravail a entraîné une forte sédentarité des salariés qui n’ont plus à courir après un bus, un métro ou tout simplement marcher vers leur lieu de travail. Les deux confinements ont également obligé les retraités à rester chez eux. Or, rester assis pendant de nombreuses heures favorise l’obésité et de nombreux problèmes de santé (troubles de la circulation sanguine, sciatique, mal de dos…). Pour pallier à cette situation, nombre d’entre-eux ont opté pour les travaux manuels, activités physiques par excellence permettant de continuer à bouger et à se dépenser. En effet, selon l’Institut Karolinska de Stockholm, bricoler, jardiner, … tous ces loisirs permettraient de réduire de 27% les risques d’accidents cardiovasculaires et de 30% le risque de décès chez les personnes âgées de 60 ans. Rester actif contribue ainsi à une bonne santé et améliore l’espérance de vie. Bricolage et jardinage, c’est moi qui l’ai fait ! Si les bénéfices du bricolage et du jardinage sur le corps ne sont plus à prouver, il n’en demeure pas moins que ces activités ont également un effet positif sur le plan psychique. Refaire le carrelage de sa cuisine, décaper et peindre une armoire ancienne pour lui donner une nouvelle vie, repiquer des tomates sur son balcon, … sont autant de projets propices à l’évasion et au lâcher prise, bénéfiques pour le moral et l’estime de soi. Quoi de mieux que de dire « c’est moi qui l’ai fait ! ». Ces pratiques engendrent le plaisir de renouer avec soi, avec les autres et le monde environnant. Elles permettent aussi de créer du lien social, notamment chez les personnes âgées. Dans son livre Bricole moi un mouton, voyage d’un anthropologue au pays des bricoleurs, Abdu Gnaba fait référence au « Méditatif qui bricole pour se relaxer et surtout pour se ressourcer. Le bricolage permet à son esprit de se focaliser sur ce qu’il fait et de vivre pleinement l’instant. Cela s’apparente à une quête spirituelle. Il comprend le jardinier qui parle à ses plantes ! ». « A l’heure où les activités physiques restent limitées, il semble donc important d’opter pour une dose régulière de bricolage et de jardinage pour améliorer la santé publique ! » conclut Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha. * Source FMB  
Il y a 4 ans et 90 jours

La chapelle Rothko fête ses 50 ans

Située à Houston aux États-Unis, la célèbre chapelle qui abrite 14 peintures de l’américain Mark Rothko souffle ses cinquante bougies. L’édifice lie art, architecture et spiritualité dans son volume monolithique en brique, ouvert à toutes les confessions. L’anniversaire donne lieu à plusieurs évènements sur place et en ligne à partir de ce 26 février. La chapelle inaugurée en 1971 est une commande du couple philanthrope et collectionneur d’art moderne John et Dominique de...
Il y a 4 ans et 91 jours

Restauration des peintures murales d’Émile Bernard dans l’église de Saint-Malo-de-Phily

Les peintures murales de l’église de Saint-Malo-de-Phily en Ille-et-Vilaine ont été réalisées en 1933 par Émile Bernard et Alex Basileos. Elles évoquent trois épisodes de la Translation des reliques de Saint-Malo de Saintes à Guipry. Elles se sont dégradées depuis leur réalisation : elles présentent des craquelures de l’enduit et une usure de la couche picturale. La peinture de droite représentant le miracle de saint Malo a également subi un ruissellement depuis les verrières. Une étude préalable menée en 2019 par l’entreprise de Géraldine Fray a permis de mieux connaître les techniques du peintre, notamment à l’aide d’analyse en laboratoire, d’identifier les différents types d’altération et d’établir un protocole de restauration à l’aide de tests. La campagne de restauration des peintures murales a débuté en janvier 2021. Les interventions  portent également sur l’atténuation des coulures, grâce au nettoyage et aux retouches. Deux techniques sont utilisées : le trattegio, cette réintégration de lacune s’opère de manière visible mais discrète. Elle est constituée de petits traits juxtaposés qui, vus à une certaine distance, fusionnent grâce au principe de mélange additif des couleurs et le pointillisme, intervention selon le même principe que pour la technique du tratteggio mais les petits traits sont remplacés par des petits points. L’enjeu de ces retouches est de distinguer l’intervention de restauration de l’œuvre originale. La création d’une ventilation par aménagement d’une lame d’air en partie basse des vitraux, qui permettra l’écoulement des eaux de pluie et de condensation vers l’extérieur, est également programmée afin de contribuer à une meilleure préservation et conservation des peintures restaurées. L’ensemble de l’opération pour un montant total de 46 696€ subventionné à 40 % par la DRAC Bretagne, soit une subvention de 18 678€, devrait s’achever en mars-avril 2021. L’entreprise Géraldine Fray mandataire chargée de cette phase mobilise Stanislas Khasimov, Tristan Mahéo et Marie Smaniotto sur la restauration des peintures. L’entreprise Helmbold de Corps-Nuds intervient sur les vitraux.   Source : DRAC Bretagne Photo : © inventaire général  
Il y a 4 ans et 97 jours

Vinci – Leonard : La marche en avant

Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine. Promotion 2021 programme IA. [©Leonard] Depuis près de quatre ans, l’incubateur Leonard du groupe Vinci explore et contribue à l’émergence de nouveaux marchés et innovations. Que ce soit dans le domaine de la construction, de la mobilité ou encore de l’énergie et de l’immobilier. Il propose quatre programmes ouverts aux start-up, aux entreprises et aux entités et collaborateurs de Vinci. Il fonctionne de manière autonome, tout en stimulant les synergies apportées par ces acteurs avec les activités du groupe. « Le programme Seed est inspiré de Y Combinator1, explique Guillaume Bazouin, responsable de l’accélération chez Leonard. Le programme est ouvert aux start-up et entreprises en phase de prototypage. » Seed comprend un accompagnement d’experts Vinci, une certification de l’université de Stanford, un apport en capital à hauteur de 30 000 € et une mise en relation avec des investisseurs. Mais aussi, un hébergement dans les locaux parisiens de Leonard. Soit 1 500 m2 de coworking et 3 000 m2 de bureaux. « Pour Seed, nous avons plusieurs missions qui s’enchevêtrent. Nous souhaitons être la marche manquante dans l’accompagnement de ces start-up. Et même si c’est un risque d’investir dans ce type d’entreprises, nous nous y retrouvons en étendant nos savoir-faire. En 2020, 150 start-up ont postulé au programme. » De son côté, le rôle du programme Catalyst est de repérer des entreprises innovantes en hyper-croissance, mais qui ne sont pas encore déployées à grande échelle. « L’idée est de les accompagner vers le haut et de maximiser les chances de collaboration avec les entités de Vinci. » Des programmes spécifiques Le parcours Intrapreneurs s’intéresse au développement de projets à l’initiative des collaborateurs du groupe. Il permet de faire émerger de nouvelles activités. Enfin, le programme IA se concentre, comme son nom l’indique, sur l’intelligence artificielle. Et a pour ambition d’accélérer l’utilisation de cette technologie dans les métiers de la construction, des opérations des bâtiments et des infrastructures. « Nous contribuons à une multitude d’initiatives pour partager notre voix et faciliter le recrutement à nos programmes. » Par exemple, Leonard co-organise avec Cemex Ventures la plus grosse compétition de start-up au monde. L’incubateur travaille aussi avec les incubateurs des écoles, un réseau de partenaires ou organise des échanges… Cette année, Leonard accueille donc une nouvelle promotion d’acteurs pour chacun de ses programmes. Promo 2021 Pour cette promotion 2021, Leonard a sélectionné 44 nouvelles entreprises. « Les trois grandes thématiques choisies pour cette année, sont l’environnement, la sécurité et la mobilité », détaille Guillaume Bazouin, responsable de l’accélération chez Leonard. Parmi les entreprises sélectionnées, la start-up SustainEcho intègre Seed. Elle propose une solution d’automatisation du bilan carbone. Le Canadien Carbon Upcycling Technologies rejoint, quant à lui, Catalyst. L’industriel développe une technologie d’utilisation du carbone, qui permet de créer des additifs innovants pour le béton à partir des émissions de gaz CO2… En résumé, les entreprises participantes aux différents programmes rassemblent des projets autour de : – L’automatisation des opérations de construction et d’exploitation (robotique, cobotique), – Du monitoring à distance des chantiers et des infrastructures (drones, satellites), – La maintenance prédictive, mais aussi d’aide à la conception et au pilotage de projets (design paramétrique, échéancier…), – Des plates-formes collaboratives de gestion de projets et de sourcing de matériaux, – L’optimisation de l’efficacité énergétique et de réduction de l’impact environnemental des projets. 1Entreprise californienne qui apporte un capital de base, du conseil et de la mise en relation aux start-up durant ses premières phases. Les lauréats du programme Seed : PaintUp robotise les tâches pénibles et dangereuses liées au traitement de façade. Les premières applications commercialisées sont le nettoyage et la peinture jusqu'à 30 m de hauteur. Les solutions d’Orok se concentrent sur l’automatisation des opérations sur le tarmac des aéroports. Et ce, grâce à un système complet, composé d’une flotte de véhicules autonomes et d’un serveur de supervision. SustainEcho accompagne les organisations et les projets qui veulent engager ou renforcer leur démarche environnementale, en proposant une solution d’automatisation du bilan carbone. Tellux développe des solutions d'analyse et de détection rapide de la pollution dans les sols et sédiments par imagerie hyper-spectrale. Roomies réalise une plate-forme SaaS de collaboration et de gestion de projets à destination des architectes. Caeli Energie conçoit et fabrique de climatiseurs à forte efficacité énergétique et à très faible empreinte carbone pour les bâtiments résidentiels et le petit tertiaire. Rockease est une plate-forme en ligne, permettant de trouver la meilleure offre, de commander et de gérer la livraison de granulats sur chantier. Lokimo analyse et centralise des millions de données grâce à l'Intelligence artificielle, afin d'aider les professionnels de l'immobilier à identifier rapidement des zones à haut potentiel. Neoratceh développe des équipements de protection individuelle connectés pour les techniciens intervenant sur les réseaux électriques. Les lauréats du programme Catalyst : AI clearing (Pologne) travaille sur une plate-forme de suivi d’avancement de travaux d’infrastructures, basée sur des données géospatiales et alimentée par l’intelligence artificielle. Voyage Control (Royaume-Uni) est une solution logicielle destinée à améliorer la logistique de la construction et la gestion de la chaîne d'approvisionnement. Elle permet de rationaliser les processus, de renforcer la sécurité et de protéger l'environnement. vHive (Israël) est un logiciel qui permet aux entreprises de déployer des essaims de drones autonomes pour numériser leurs actifs et leurs opérations sur le terrain. Notamment pour l’inspection des tours télécoms, des grues, des façades et plus largement de tout type de constructions ou d’ouvrages d’art. Eave (Royaume-Uni) a développé un système complet de protection auditive pour les travailleurs de la construction, composé de protecteurs auditifs intelligents. Ils favorisent la conscience de leur environnement immédiat. Le système est renforcé d’une plate-forme en ligne pour surveiller les niveaux de bruit du chantier et l'exposition individuelle des travailleurs. Carbon Upcycling Technologies (Canada) développe une technologie d'utilisation du carbone, qui permet de créer des additifs innovants pour le béton à partir des émissions de gaz CO2. Viibe (France) est une technologie d'assistance audio/vidéo sans téléchargement, dédiée aux centres de support technique assurant un diagnostic expert à distance. Infogrid (Royaume-Uni) combine les plus petits capteurs IoT du monde et la puissance de l’intelligence artificielle. Le tout dans le but d’optimiser et d’automatiser la gestion des bâtiments. Offrant ainsi un gain de temps, d’argent, de protection de l'environnement, tout en améliorant la sécurité. nPlan (Royaume-Uni) aide les entrepreneurs à identifier, prévenir et anticiper les retards dans les grands projets de construction, en s’appuyant sur l’analyse de plus de 500 000 plannings de construction. La solution permet ainsi d’identifier les risques de retard sur les projets pendant l'appel d'offres et l'exécution, en formulant des recommandations pour les livrer dans les délais. Utilis (Israël) offre des solutions d'évaluation et de surveillance des infrastructures, basées sur l'analyse satellite “L-band Sar.”. Plus spécifiquement dans les secteurs de l’approvisionnement en eau et des infrastructures de transport. Omniflow (Portugal) est un lampadaire IoT intelligent alimenté par l'énergie éolienne et solaire, qui propose des solutions durables pour les villes intelligentes. Ils alimentent des services à forte valeur ajoutée, tels que des cellules 5G, des caméras de sécurité ou des capteurs IoT. Les lauréats du parcours intrapreneurs : Carapace (France) développe des solutions de monitoring des digues. Aval Portal (Allemagne) conçoit une plate-forme Saas qui numérise le processus d'élimination des déchets, en facilitant l'échange de données entre les entreprises industrielles et les sociétés de gestion des déchets. Digital Ummspannwerk (Allemagne) travaille sur des solutions de numérisation des sous-stations pour améliorer la sécurité. Patou Data (France) développe un outil de prévention du risque environnemental, en collectant et en analysant les données en temps réel sur les sites de construction. H2 Free (France) imagine des solutions de construction d'infrastructures pour la production et le stockage d'hydrogène. CO2 Footprint App (Allemagne) est une application de calcul d'empreinte CO2 pour les employés. Greenwatt (France) propose une offre de travaux d'amélioration de la performance énergétique pour l'industrie. Visco (Allemagne) collecte de données sur les rues et l'environnement pour la gestion de la ville, en utilisant des caméras installées dans les véhicules de gestion des déchets. Renov'ON (France) se positionne sur les rénovations thermiques de bâtiments résidentiels. PureNest (France) développe des solutions de captation et de traitement des déchets plastiques dans les fleuves. Recy'Peru (Pérou) est une marketplace pour la gestion des déchets au Pérou et en Amérique latine. On Again (France) est une plate-forme consolidant les différentes sources de matériaux issus du réemploi à destination des grands acteurs de la construction. Cet article est à retrouver dans le n°92 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 98 jours

100.000 œuvres transférées du Louvre au nouveau centre de conservation de Liévin de 18.500 m²

Le transfert d'un total de 250.000 œuvres et objets de toutes tailles devrait être achevé en 2024.Ce bâtiment de 18.500 mètres carrés traversé d'une grande nef avait été inauguré début octobre 2019. Il avoisine le Louvre-Lens, inauguré sept ans plus tôt, formant avec lui le deuxième pôle du premier musée français."Liévin est un outil au service du Louvre-Lens. Il y a une volonté que les collections nationales ne soient pas toutes à Paris", a expliqué le président-directeur du Louvre Jean-Luc Martinez lors d'une visite de presse dans le centre.Eclairés par des baies vitrées, 1.300 mètres carrés sont réservés aux chercheurs pour la consultation des œuvres. Fin mars, les collections auront été mises en ligne à plus de 80%, soit 480.000 notices d'œuvres sur un total de 550.000.Après avoir remarqué une œuvre sur le site, avec la documentation qui s'y rattache, "un chercheur d'Oxford ou un étudiant en thèse pourra demander à venir l'étudier". Cet outil est "un pas de géant dans la connaissance des collections", a souligné le patron du Louvre.9.600 mètres carrés sont dédiés à la conservation, dans des espaces adaptés aux différents formats, tapis, lapidaires, peintures, cadres, etc... Certains tableaux ou tapisseries de par leur taille n'ont jamais été déroulés depuis des décennies.La peur des inondations des réserves après les grandes crues de la Seine comme en 1910, et, dans une moindre mesure en 2016, avait conduit à cette décision d'externalisation.Une réserve dite "tampon" de 1.700 œuvres reste dans le sous-sol du Louvre, répondant aux besoins des conservateurs pour renouveler les accrochages.35.000 œuvres sont exposées à Paris et 35.000 autres en province.Le Musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg a procédé de la même façon à une externalisation de ses collections, et plusieurs musées des Pays-Bas sont en train de le faire.
Il y a 4 ans et 100 jours

D.Kube - La peinture facile à vivre

Il y a 4 ans et 107 jours

Un musée d'art moderne livré à l'Abbaye royale de Fontevraud

"Ce mélange d'époques, ce mélange de styles, ce voyage à travers tous les continents, il va y en avoir pour tous les goûts", s'enthousiasme Bruno Retailleau qui a initié le projet lorsqu'il était président de la région Pays de la Loire."Cet éclectisme est un atout", fait valoir l'homme politique au sujet de la collection de Martine et Léon Cligman. Le couple, qui vit à Paris, a rassemblé au fil des ans plus de 500 oeuvres, datant de 2.000 ans avant JC pour les plus anciennes et produites dans les années 1960 pour les plus récentes."Les biens immatériels, les oeuvres de l'esprit sont essentiels à notre vie sociale", souligne M. Retailleau. Les visiteurs, précise-t-il, ne pourront pas venir à partir du 19 décembre, comme prévu initialement, mais seront les bienvenus à Fontevraud dès que la situation sanitaire le permettra.Le musée rassemble des peintures, dessins et sculptures. Il permet également de découvrir l'histoire de l'Abbaye royale inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco, ainsi que la vie des époux Cligman, un industriel et une artiste qui ont donné leur collection privée à l'Etat et à la région."C'est une abbaye qui dans sa dimension est assez exceptionnelle à l'échelle européenne; ensuite, c'est une nécropole des souverains anglais; donc, de fait, on a un public ici qui est à forte connotation britannique", résume Christophe Batard, architecte en chef des Monuments historiques qui a réhabilité les lieux.Construite à partir du XIIe siècle, l'abbaye a été transformée en prison en 1814 et l'univers carcéral est très présent dans l'architecture du musée où le choix du mobilier et de l'éclairage a été étudié avec beaucoup de soin.Rodin, Delaunay et jumeaux ibejiLe bâtiment du musée a "un côté très austère, très brut, qui était très intéressant à exploiter pour nous", explique Christophe Batard. Près de l'édifice se trouvent l'église où repose Richard Coeur de Lion, roi d'Angleterre de 1189 à 1199, et sa mère, Aliénor d'Aquitaine, ainsi qu'un restaurant étoilé.Le musée n'est organisé ni en fonction des époques ni de la géographie car les oeuvres viennent des cinq continents, mais, au fil des salles, de magnifiques pièces sont mises en valeur.On peut notamment admirer un autoportrait d'Henri de Toulouse-Lautrec, peint en 1884, un buste de Balzac réalisé par Auguste Rodin, une toile de Robert Delaunay et des antiquités trouvées sur l'île de Chypre comme dans l'archipel des Cyclades.Les amateurs d'Egypte ancienne et d'art premier seront fascinés par plusieurs masques funéraires qui sont exposés non loin de statuettes de jumeaux ibeji du Nigeria."Né de la générosité de Martine et Léon Cligman,(...) ce nouveau musée est un remarquable témoignage de l'enrichissement des collections publiques par une collection privée", souligne la ministre de la culture, Roselyne Bachelot-Narquin, dans la brochure présentant le projet.Aujourd'hui âgés de 100 ans et 88 ans et mariés depuis six décennies, Martine et Léon Cligman ont expliqué avoir "voulu rendre à la France ce qu'elle nous a donné".Lui a fait fortune dans le domaine du textile avec des usines implantées à Tours, Angers ou Cholet. Elle est artiste et fille d'un couple de collectionneurs: Pierre et Denise Lévy qui sont à l'origine du musée d'Art moderne de Troyes (Aube).
Il y a 4 ans et 110 jours

Würth lance une nouvelle gamme de peinture à action dépolluante et de destruction des mauvaises odeurs

Le formaldéhyde, qui fait partie des Composés Organiques Volatiles (C.O.V.) et qui représente un danger important pour l'Homme, est présent dans de nombreux objets du quotidien (meubles...). C'est une substance irritante pour le nez, les yeux, la gorge et dangereuse pour la santé en cas de forte exposition.Würth propose ainsi à tous les professionnels du bâtiment une peinture qui permet de capter les molécules de formaldéhyde présentes dans l'air en les transformant en molécule d'eau : la peinture dépolluante.Pour compléter la gamme et offrir aux usagers un intérieur sain, la peinture Neutralis'air capte et détruit toutes les mauvaises odeurs durablement !Les deux produits qui composent la gamme : Peinture Neutralis'airArt. N° 0892 971 100Une peinture qui capte et détruit toutes les mauvaises odeurs durablement.Peinture DépolluanteTeintes clairesTeintes vivesArt. N° 0892 971 501 et 502Une peinture qui assainit l'air intérieur.Les + produits :Excellent pouvoir couvrant60 teintes pour la peinture dépolluanteApplication en 1 à 2 couchesRespect de la santé des applicateurs et usagersDémarche environnementale qui s'inscrit dans le développement durable des bâtiments
Il y a 4 ans et 110 jours

Le Groupe ISB investit sur ses sites industriels et logistiques

Pour servir sa marque SILVERWOOD, le Groupe ISB investit 1,45 million d’euros en 2020 dans l’augmentation de ses capacités de production. Il accompagne ses deux activités : la transformation de bois rabotés et le trading de bois bruts, produits de structure et panneaux, dans le but de mieux répondre à ses clients. Le programme d’investissement a représenté le montage d’une ligne de rabotage, opérationnelle sur le 1er semestre 2021 et le montage d’un tunnel autoclave pour augmenter la capacité de traitement des produits sortis d’usine sur le site d’Honfleur. Sur le site de Saint-Malo, le montage d’une ligne de rabotage pour raboter des profils complexes à destination de la finition (peintures, saturateurs). Le Groupe a fortement recruté dans cette période afin d’accompagner l’accroissement de ses capacités de production (environ 30 personnes en 2020). Par ailleurs, un accord d’entreprise a été conclu avec les partenaires sociaux pour travailler la nuit sur les sites de Moult, Honfleur et Nantes sur des périodes définies afin de répondre aux besoins de l’activité du Groupe. La capacité logistique a, en outre, été repensée en centralisant et spécialisant les plateformes nationales de distribution des bois rabotés. Pour sa marque SINBPLA, le Groupe ISB va s’appuyer sur 3 grandes plateformes logistiques portuaires à Honfleur, Nantes et Rochefort pour régionaliser son activité trading. Un plan de stock a été construit pour répondre aux besoins locaux de chaque marché. Ces 3 plateformes s’appuient sur des infrastructures portuaires solides. Le Groupe ISB va d’ailleurs renforcer ses infrastructures pour augmenter ses capacités logistiques avec un investissement de 600 000 euros en 2021. Concrètement, cette évolution logistique représente sur le site d’Honfleur, un nouvel AOT supplémentaire d’une superficie de 20 000 m2 et deux bâtiments légers de 2 500 m2 chacun pour accueillir du stockage. Sur le site de Nantes, le montage d’un bâtiment de 2 500 m2, le doublement de la capacité de traitement classe 2 et l’arrivée d’une nouvelle calibreuse pour les produits de structure. Sur le site de Rochefort, 1 bâtiment de 1 500 m2 pour augmenter la capacité de stockage et d’une piste résinée pour les traitements classe 2. Ce site va également faire l’objet d’un programme d’investissement conséquent sur trois ans ayant pour but de moderniser son outil de production (nouvelles machines), d’équiper ses machines de système de détection/extension d’incendie et de maîtriser plus fortement son empreinte environnementale. Lauréat du plan France Relance, le Groupe a reçu une subvention de l’Etat qui va venir soutenir les investissements déjà lancés dont certains vont permettre de réduire de manière conséquente sa consommation d’énergie. Cette aide, d’un montant de 800 000 euros, devrait également accélérer un projet d’investissement de nouvelles machines dans le but d’élargir son offre de produits de structure bois et des services associés.
Il y a 4 ans et 111 jours

Que faire face à la dégradation de la façade sa maison?

Plusieurs facteurs occasionnent la dégradation de la façade. Outre son vieillissement naturel, cette dernière tient sa source des intempéries répétitives, de la pollution ou encore des champignons parasitaires. Toutefois, il faut savoir que cet élément ne joue pas uniquement un rôle esthétique. Les murs de façade sont des structures sur lesquelles reposent la charpente et tous les autres éléments de la toiture. De ce fait, il est essentiel de garantir leur solidité et leur bon état. Ainsi, comment faut-il réagir face à la dégradation de la façade ? Retrouvez les réponses à cette problématique dans l’article. Quels sont les signes qui témoignent de la dégradation de sa façade ? Il est difficile d’évaluer l’état des murs extérieurs de son habitation sans les avoir diagnostiqués au préalable. Pour cette opération, l’idéal est de faire appel à un façadier professionnel comme celui qui se trouve sur https://www.facadier-peintre-02.fr/ qui exerce en Aisne. Une fois qu’elle a été diagnostiquée, il faudra la débarrasser des impuretés qui la recouvrent. Procéder ainsi permet d’avoir une meilleure visibilité sur les maux dont elle souffre. En effet, certains symptômes devront nous alarmer, car ils sont la preuve de l’altération de la façade. Entre autres, il s’agit de : La peinture qui s’effrite L’apparition des taches blanchâtres sur les murs La présence de fissures Les cloques qui s’étalent sur sa surface Si la majorité de ces problèmes ont été constatés, cela signifie que la façade manque d’étanchéité et permet les infiltrations de l’humidité. Pourtant, lorsque l’eau s’infiltre, elle peut causer des dégâts colossaux. Dans ce cas, le simple nettoyage ne suffit pas pour la remettre en état. Il faudra donc prévoir un ravalement de la façade. Quelles sont les mesures à prendre face à l’usure de la façade de sa maison ? Le type de travaux à entreprendre dépend entièrement de l’état général des murs extérieurs de la bâtisse. Pour qu’ils retrouvent leur beauté d’antan, une séance de nettoyage suffit parfois. Dans d’autres cas, des travaux de rénovation s’imposent. La remise en état de la façade commence nécessairement par le diagnostic. Ce dernier permet de déterminer l’ampleur des dégâts et de définir, en conséquence, la solution à adopter pour les corriger. C’est au cours de cette première intervention que le façadier professionnel dresse le devis des travaux. Ce document vous permettra de mieux vous préparer financièrement à leur exécution. Après le diagnostic vient le nettoyage des murs. Il est primordial de dégager les différentes souillures à leurs surfaces pour avoir un meilleur aperçu des problèmes qui les affectent. Pour ce faire, les professionnels en ravalement de façade ont recours à différentes techniques. Parmi celles-ci, il y a le nettoyage à haute pression, l’hydrogommage, la nébulisation, le ponçage, etc. C’est à ce stade qu’il faut également se débarrasser de la peinture de façade écaillée. Les travaux se poursuivent avec la réparation des défauts des murs. Cela implique le colmatage des fissures, la réparation des joints de la façade et les travaux d’isolation thermique si une rénovation complète est entreprise. La dernière étape se matérialise par la mise en place d’un nouveau revêtement de façade. Il peut s’agir d’une nouvelle peinture, d’un bardage de façade, d’un enduit ou d’un parement. Néanmoins, il faut veiller au respect des normes d’urbanisme applicables dans votre région. En outre, il est conseillé d’appliquer un traitement hydrofuge sur la façade pour l’étanchéifier et la protéger contre les intempéries.
Il y a 4 ans et 112 jours

GRÂCE AU SYSTÈME EXCLUSIF DE PROJECTION SANS BROUILLARD NESPRI, LES GALERIES LAFAYETTE DE SAINTES SE RÉNOVENT EN PLEIN JOUR

Programmés pendant la période estivale 2020, les travaux de rénovation des plafonds des Galeries Lafayette de Saintes imposaient un cahier des charges strict avec un impératif contextuel : avoir lieu pendant les heures d’ouverture du magasin sans bloquer les espaces d’achat. Repeindre les 2 700 m² de plafond de l’ensemble du magasin était donc un défi pour l’applicateur qui devait également respecter l’optimisation du délai d’intervention demandé par le maître d’ouvrage.   Système complet et unique de peinture par projection sans brouillard, Nespri était la solution la mieux adaptée pour cette réalisation. En 3 jours seulement, tous les plafonds du magasin ont été repeints, sans couper l’accès aux rayons à proximité. Le peintre a pu intervenir par petites zones, simplement recouvertes de protections plastiques, sans déménager les stands ni empêcher la circulation autour. Système révolutionnaire et breveté, Nespri permet une projection sans brouillard à l’intérieur comme à l’extérieur, même en cas de vent ! Pour la rénovation des plafonds des Galeries Lafayette de Saintes, l’utilisation de la solution Nespri a permis : d’assurer un travail impeccable sans fermeture du lieu et sans gêne pour les clients ; de repeindre tous les plafonds en 3 jours seulement (contre plusieurs semaines avec une mise en œuvre traditionnelle) ; de réduire significativement la pénibilité pour l’applicateur et de lui assurer un gain de productivité.   Côté environnement et santé, les plafonds ont été peints avec la peinture Nespri TeXX Mat classée A+ en émission pour l’intérieur grâce à sa teneur de moins de 1 g/L de COV. Son application est donc sans aucun danger pour les personnes autour.   Un système complet développé par Caparol Pour assurer la qualité et la fiabilité de son système de projection sans brouillard, Caparol a associé 4 éléments de haute qualité : une machine de projection Nespri PRO, système airless à membrane à pression constante, de dernière génération; un tuyau chauffant à 40 °C de 30 m ; une buse équipée de 2 sorties et d’une rallonge pour mieux visualiser l’orientation de la projection ; des peintures brevetées Nespri pour un résultat parfait avec 1 couche seulement (selon les peintures).   Des avantages uniques pour les applicateurs et pour les clients En proposant cette dernière génération de système par projection sans brouillard, Caparol répond à la fois aux impératifs de qualité et de performance des chantiers, mais également aux contraintes d’application pour les professionnels. Grâce au système Nespri, les gains de temps sont estimés à 35 % pour les applications intérieures et jusqu’à 50 % en extérieur (par rapport à une application traditionnelle au rouleau). La précision du système permet en outre de réduire les temps de préparation : une simple bande de masquage suffit à protéger les contours des fenêtres. Pour le peintre, Nespri permet une application plus confortable, sans avoir à se baisser ou à porter le pot de peinture. La machine à projection est directement alimentée et le tuyau de 30 m. permet une grande liberté de mouvement. Caparol a également pensé à la manutention avec une machine peu encombrante et maniable avec ses roues de transport. Grâce à la projection sans brouillard, fini les émanations accidentelles ou les équipements de protection superflus.
Il y a 4 ans et 113 jours

D.Kube, le nouveau conditionnement recyclable et Eco Label qui remplace le pot de peinture

Pourquoi une brique ?Dans sa démarche citoyenne et en parallèle du strict respect de la règlementation Durieu réfléchit constamment aux moyens de rendre ses produits toujours plus en adéquation avec le respect de l'environnement, plus pratiques, plus simples à utiliser… Cela passe aussi bien par l'amélioration ou l'aménagement des formulations que par la recherche packaging.Dans cette optique les équipes de Durieu ont lancé une étude pour un nouveau type d'emballage à la fois pratique à utiliser et à stocker et plus eco-friendly.Les désagréments d'un pot de peinture classiqueDifficile à ouvrir, à refermer,Perte de produit lorsque l'on verse le pot dans un contenant,Coulures de peinture sur le pot…L'idée est donc née de changer complètement de concept pour offrir un nouvel emballage en forme de brique.Les avantages immédiats du D.KUBEÉquipé d'un bec verseur avec bouchon, le versement, l'ouverture, et la fermeture sont facilités.Le stockage est plus simple en magasin et chez le particulier : la forme en brique du nouveau D.KUBE permet de le ranger facilement, sans perdre de place.Recyclage simplifié de la brique une fois son utilisation terminée.Nouvel emballage pour un contenu 100% efficaceL'innovation packaging du D.KUBE n'éclipse en rien une formulation pointue : dans le D.KUBE, on retrouve toute la qualité De Keyn d'une peinture acrylique haut de gamme :Application simple avec un très bon pouvoir couvrant résultant d'une très bonne opacité.Grâce à la qualité de ses résines, la peinture est lavable et offre une résistance renforcée à l'usure du temps.Très beau rendu mat bien garnissant qui permet de masquer les aspérités et les défauts du mur.Le plus - Atout stockage : D.KUBE est parfaitement adapté à son nouveau contenant avec une très bonne stabilité des pigments et l'absence de sédimentation, ce qui permet de garder la peinture longtemps ouverte ou non.Explications : une fois ouverte D.KUBE se conserve très bien (plusieurs années) dans des conditions normales de stockage. En effet au fur et à mesure de l'utilisation, la poche à l'intérieur de la brique se dégonfle et évite l'entrée de l'oxygène qui pourrait oxyder la peinture restante. Le produit se trouve alors naturellement à l'abri de l'oxygène et des bactéries et se conserve ainsi encore plus longtemps.Déco infinie : 45 teintes hyper tendance, blanc inclus.
Il y a 4 ans et 117 jours

MG Lilienfeld : La centrale, mais “Fabriquée en France”

« Une centrale est faite pour durer dans le temps, d’où le soin que nous apportons dans sa conception et sa construction », indique Valentin Mazzocchi, président de MG Lillienfeld. [©MG Lilienfeld] Le “Fabriqué en France” est un peu la marque de qualité de MG Lilienfeld. Installé en Isère, l’industriel est un incontournable de la centrale à béton. A son actif, quelque 175 unités en service sur l’ensemble du territoire. Depuis bientôt trente ans, l’industriel MG Lilienfeld est un incontournable de la centrale à béton. L’entreprise est née en 1992, à Morestel, en Isère. « En tant que telle, la marque Lilienfeld existait déjà, puisque créée dans l’immédiat après-guerre pour construire, justement, des centrales », confie Valentin Mazzocchi, président de MG Lilienfeld. L’héritage et le savoir-faire sont donc très forts dans l’entreprise. Aujourd’hui, la centrale à béton continue à être le cœur de l’activité, dont le montant s’élève 3,4 M€ en 2020. « En moyenne, nous construisons six unités par an, qu’il s’agisse de centrales sur mesure ou d’installations dites “mobiles”. » Car, c’est là une des spécialités connexes de l’entreprise. La particularité de ces outils : une installation rapide avec un génie civil réduit. Sous 15 j, les premiers bétons sortent du malaxeur. A ce niveau, MG Lilienfeld travaille principalement avec Teka ou OMG Sicoma. « Mais toutes les marques sont accessibles, suivant la demande du client », précise Valentin Mazzocchi. Outre le malaxeur, MG Lilienfeld maîtrise l’ensemble de la production de ses centrales. Le process débute au sein du bureau d’études intégré où opèrent trois ingénieurs qualifiés. « Nous disposons d’un logiciel 3D qui permet de visualiser toutes les subtilités des pièces à produire. » C’est l’humain qui fait la qualité Les études sont réalisées en étroite collaboration avec les clients, afin de répondre au plus juste à leurs attentes. « Une centrale est faite pour durer dans le temps, d’où le soin que nous apportons dans sa conception et sa construction », insiste Valentin Mazzocchi. Avec plus de 3 000 m2 d’atelier, complétés par une vaste zone de stockage extérieur d’une superficie de 2,6 ha, l’industriel dispose de toute la place nécessaire pour effectuer un travail de qualité. « Nous bénéficions d’outils de pointe pour assurer la fabrication, telles notre unité plasma HPI ou nos plieuses de 320 t. » L’atelier intègre aussi une cabine de peinture chauffée et ventilée. Mais surtout, c’est l’humain qui fait la qualité de la production. « Dix-neuf collaborateurs constituent les forces vives de l’entreprise. Ce sont toutes des personnes très qualifiées. Et celles travaillant dans l’atelier assurent aussi bien la fabrication des pièces que leur assemblage sur les unités en cours de fabrication. » Côté sous-ensembles, pour l’essentiel, MG Lilienfeld privilégie les industriels français. « Nous défendons le “Fabriqué en France” et nous mettons aussi en avant notre production locale, au cœur de notre territoire », reprend Valentin Mazzocchi. Cela permet une grande réactivité. Un élément qui caractérise l’entreprise, tant au niveau du montage des unités neuves que de la maintenance en cas de panne. Bien connaître la réglementation en vigueur « Nous avons nos propres équipes de montage. Il n’y a pas de sous-traitance. » Toujours le souci du meilleur service possible et l’écoute du client. Et le SAV, chacun est content lorsqu’il répond présent. Et s’il intervient tout de suite, c’est encore mieux. Des centrales à béton, MG Lilienfeld en comptabilise près de 175 en service sur le territoire national. Et quelques-unes aussi en dehors des frontières. « Nous savons accompagner nos clients à l’international. Nous l’avons déjà fait dans le passé. » Ceci, aussi bien pour installer des unités neuves que dans le cadre de réhabilitations. Une activité complémentaire, dont le chiffre d’affaires est variable d’une année à l’autre. « La rénovation peut être un thème complexe, car elle induit une notion de normes. Il est indispensable de bien connaître la réglementation. En tant que constructeur spécialisé, c’est un sujet que nous maîtrisons sur le bout des doigts », conclut Valentin Mazzocchi.
Il y a 4 ans et 119 jours

Rassemblement devant le siège de Total à l'appel des raffineurs de Grandpuits

Les raffineurs de Grandpuits sont en grève depuis le 4 janvier contre le projet de reconversion du site, où Total prévoit de cesser le raffinage "fin 2023" pour laisser la place à la production de biocarburants et de bioplastiques, et à l'exploitation de deux centrales solaires photovoltaïques.Cette reconversion va entraîner selon la CGT (majoritaire) "des suppressions d'emplois, notamment chez les sous-traitants", tandis que le groupe affirme "s'engager à accompagner chaque entreprise concernée par l'évolution du site".Le CSEC qui se tient mardi doit étudier un rapport d'expertise sur ce plan de reconversion, selon Adrien Cornet, délégué CGT de la raffinerie. Ce rapport "appuie toutes nos inquiétudes, en termes d'emploi, en termes de sécurité industrielle, en termes de maintenance", a-t-il assuré à l'AFP."C'est pour ça que c'était très important pour nous d'être là aujourd'hui, pour démontrer que ce n'est pas seulement une réunion de 8 heures", a ajouté l'élu CGT, pour qui les tenants de ce projet vont "décider de l'avenir de 80, 90 personnes".Des soutiens des grévistes ont aspergé l'une des entrées du siège de Total de peinture verte "pour repeindre physiquement la tour Total en vert", a expliqué Adrien Cornet.Les raffineurs présents, majoritairement membres de la CGT mais aussi de la CFDT et de SUD, ont déployé au sol une banderole sur laquelle était écrit "Derrière le PSE de Total, 700 familles menacées", autour de photos d'une cinquantaine de raffineurs."Il faut se manifester à un moment ou à un autre, parce que dans le projet de Total, l'emploi n'est pas pris en compte du tout", a souligné Daniel, l'un des raffineurs présents, qui n'a pas souhaité donner son nom de famille. "On ira jusqu'au bout quoi qu'il arrive, seul le résultat compte", a-t-il ajouté.Une nouvelle assemblée générale sera organisée mercredi pour décider de la suite du mouvement de grève.