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Il y a 3 ans et 364 jours

Objectif BBC Effinergie rénovation grâce à une ITE sur une résidence

La résidence de la Vanne à Montrouge a été construite au tournant de la décennie 1970. Après une consultation des habitants, CDC Habitat Social a lancé un projet global de…Cet article Objectif BBC Effinergie rénovation grâce à une ITE sur une résidence est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 0 jours

Une toiture de 17 000 m2 éclairée avec ONDUCLAIR THERMO

L’ancienne couverture de 17 000 m2 en plaques en fibrociment amianté d’un bâtiment de Chassagny en Auvergne-Rhône-Alpes a été déposée pour être remplacée par des panneaux sandwich en acier. Des panneaux translucides en polycarbonate ONDUCLAIR THERMO d’ONDULINE s’inscrivent dans la nouvelle toiture pour laisser passer la lumière du jour tout en profitant d’une excellente isolation. Cette nouvelle toiture est destinée à recevoir des panneaux photovoltaïques sur ses pentes orientées au sud. Les plaques en fibrociment amianté, devenues trop vieilles, étaient susceptibles, à terme, de présenter un risque pour les occupants du bâtiment et ne permettaient pas de répondre à ce nouveau projet. L’entreprise ETERA a été choisie pour la rénovation de cette très grande couverture de 17 000 m2. Elle a assuré le désamiantage de l’ensemble, par la dépose des anciennes plaques, puis la pose de la nouvelle couverture qui devra recevoir les panneaux photovoltaïques. Des panneaux sandwich isolants avec un parement extérieur en acier ont été sélectionnés pour ce chantier et, pour que l’intérieur du bâtiment profite de la lumière du jour, les panneaux translucides en polycarbonate ONDUCLAIR THERMO ont été choisis pour ponctuer de sources lumineuses la nouvelle couverture. « La particularité des plaques ONDUCLAIR THERMO est qu’elles proposent la même épaisseur que les panneaux sandwich, elles sont parfaitement compatibles ce qui a facilité leur intégration dans la nouvelle couverture » affirme Laurent Ferret, le directeur d’ETERA. La solution ONDUCLAIR THERMO d’ONDULINE a en effet été spécifiquement développée pour être associée à des panneaux sandwich en couvertures neuves ou en rénovation et éclairer l’intérieur des bâtiments (usines, hangars agricoles, ERP…). La plaque ONDUCLAIR THERMO est composée de 2 parties : une plaque en polycarbonate ou en polyester et une plaque inférieure en polycarbonate alvéolaire. Sa transparence assure un confort maximal à l’intérieur des bâtiments grâce à une transmission lumineuse accrue.   ONDUCLAIR THERMO – Facile à poser « La charpente était très ancienne, avec des entre axes entre pannes très irréguliers » ajoute Laurent Ferret, « il faut souligner la souplesse et la réactivité d’ONDULINE qui nous a permis de bénéficier de nos plaques ONDUCLAIR aux différentes dimensions demandées ». Le montage des panneaux ONDUCLAIR THERMO est simple et rapide. Les panneaux se posent à l’avancement, en même temps que les panneaux métalliques. Les panneaux sont dotés de renforts longitudinaux sous chaque nervure principale pour augmenter leur rigidité. Facile à mettre en œuvre et profitant d’une grande résistance aux impacts, la solution ONDUCLAIR THERMO est flexible selon les besoins des chantiers. Déclinée en de nombreuses épaisseurs (30, 40, 50, 60, 80, 100, 120, 140, 150 mm), elle permet une adaptation parfaite aux différents panneaux sandwich métalliques du marché. Les lames d’air des panneaux agissent comme un isolant naturel. Pour plus de confort et afin de satisfaire les besoins les plus exigeants en termes d’isolation, ONDULINE propose une option T (Confort Thermique) qui offre des coefficients d’isolation performants (jusqu’à 0,836W/m2.K).   Les solutions ONDUCLAIR THERMO se déclinent en une large gamme pour répondre à tous les besoins : ONDUCLAIR THERMO PC : système de panneaux sandwich dont la peau supérieure est en polycarbonate d’une épaisseur d’1 mm et la peau inférieure en polycarbonate alvéolaire. ONDUCLAIR THERMO PLR : système de panneaux sandwich dont la peau supérieure est en polyester d’une épaisseur d’1,2 à 1,6 mm et la peau inférieure en polycarbonate alvéolaire. ONDUCLAIR THERMO PC T et PLR T : systèmes avec option « Confort Thermique » pour une isolation accrue. ONDUCLAIR THERMO PC R et PLR R : systèmes avec option « Renforcé » pour une résistance aux charges accrue et une plus grande facilité d’installation en neuf ou en rénovation. ONDUCLAIR PC TR ET PLR TR : systèmes profitant des 2 options « Renforcé » et « Confort Thermique » permettant d’allier performance thermique, mécanique et facilité de mise en œuvre. www.onduline.fr
Il y a 4 ans et 1 jours

Rénovation de toiture : les principes de base à retenir pour rénover et isoler

Le toit de la maison est souvent sujet à la pollution, aux intempéries et toutes sortes d’agressions extérieures. Au fil du temps, il se dégrade petit à petit. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est toujours conseillé de faire inspecter la toiture régulièrement s’il y aurait des fuites ou autres dommages qui pourraient nuire à la structure de la maison et au confort des occupants. Voici d’ailleurs quelques principes pour réussir les travaux de rénovation de la toiture. Les bonnes raisons de passer par la rénovation de la toiture Plusieurs raisons poussent souvent les propriétaires à envisager des travaux de rénovation au niveau de la toiture de leur maison. Généralement, cette opération permet notamment d’assurer globalement l’étanchéité de la maison. C’est à dire, qu’elle permet d’être à l’abri de tous les problèmes durant de nombreuses années. En réalité, de nombreux facteurs peuvent porter atteinte à l’étanchéité de la toiture, comme les tuiles cassées, la porosité de la couverture, gouttières bouchées, chéneaux percés… Dans tous les cas, avant de commencer le chantier, l’idéal serait notamment de faire appel à un professionnel comme ce couvreur expérimenté dans l’Eure et Loire que vous pouvez contacter sur ce site pour réaliser un diagnostic de l’état de la toiture et de la charpente. Il saura adopter les solutions pour résoudre les problèmes d’étanchéité de la maison. Mais les propriétaires optent également pour ce type de travaux afin de modifier en mieux l’aspect extérieur de la maison. Il s’agit d’offrir un nouvel aspect esthétique à l’ensemble via la rénovation de la toiture. Là encore, il faudra compter sur le savoir-faire d’un professionnel sachant qu’il faudra respecter la pente de la toiture, les règles architecturales locales, le PLU, le climat de la région… Ce sera à partir de ces points qu’il sera possible de choisir la couverture idéale pour son logement, incluant le matériau adapté et le coloris idéal. Inclure l’isolation dans la rénovation de la toiture En plus de l’étanchéité, il est aussi important de se pencher sur l’isolation lors que la rénovation de la toiture. En réalité, un toit mal isolé peut engendrer d’importantes déperditions énergétiques. Notamment, depuis janvier 2017, lorsqu’on remplace au moins 50 % de la couverture de la maison, il devient obligatoire de réaliser des travaux d’isolation thermique. Là encore, les travaux d’isolation peuvent être réalisés sous différentes formes. On retrouve notamment l’isolation par l’extérieur. Elle consiste notamment à déposer des panneaux isolants sur la charpente avant de placer les éléments de la couverture. Certes, cette option peut être efficace, mais elle est onéreuse. Autrement, on retrouve également l’isolation par l’intérieur. C’est une solution moins coûteuse qui permet d’isoler efficacement la toiture. Il s’agit ici de réaliser une classique isolation sous rampants. C’est-à-dire que les panneaux d’isolants seront placés sous les pentes du toit et après cela, ils seront recouverts d’un film d’étanchéité avant d’appliquer des plaques de plâtre comme finition. Dans certains cas, le propriétaire sera aussi amené à isoler les combles perdus. Cette opération consiste notamment à dérouler un isolant sous forme de panneaux sur le plancher des combles. Mais il est aussi possible d’y projeter un isolant en vrac. Tout dépendra des souhaits des propriétaires, mais il faut dire que ces méthodes sont moins chères.
Il y a 4 ans et 1 jours

L'artisanat du bâtiment met en garde contre une hausse des prix

"Des difficultés d'approvisionnement en matériaux et matériels (...) se font déjà sentir depuis plusieurs semaines et (...) risquent de s'amplifier", a indiqué la Confédération de l'artisanat et des petites entreprises du bâtiment (Capeb) dans un communiqué."Conséquences d'une combinaison de plusieurs facteurs: crise sanitaire, arrêt de certaines industries, le prix des matériaux augmente fortement et les délais d'approvisionnement s'allongent", ajoute l'organisation.La Capeb estime que cette "situation critique" pourrait "être dommageable pour certaines catégories de travaux aidés dans le cadre de 'MaPrimeRénov+', une aide financière proposée par l'Etat pour la rénovation thermique des logements, "dès lors que les financements sont basés sur des calculs de coût au m²". "Ce phénomène augmenterait donc mécaniquement le reste à charge des bénéficiaires" des aides, ajoute-t-elle.Au premier trimestre, l'activité globale des entreprises artisanales du bâtiment a enregistré une hausse de 9,5%, par rapport au même trimestre 2020 où l'activité avait été en recul de 12% en raison du premier confinement et l'arrêt quasi total des chantiers.Les professionnels notent une croissance de 10% dans le neuf et de 9% dans l'activité en entretien-rénovation qui "profite du dynamisme des travaux de performance énergétique des logements".Malgré une "conjoncture encourageante" au premier trimestre, la Capeb se dit "prudente pour les mois à venir concernant notamment l'activité en construction neuve qui affiche un recul de 17,4% et des mises en chantier de 9,5% à la fin février 2021 sur les 12 derniers mois par rapport à la même période un an plus tôt".Conjoncture pour l'Artisanat du Bâtiment – résumé en chiffres :En ce début d'année, le volume d'activité progresse pour l'ensemble des corps de métiers qui voient leur activité croître entre 7 et 12%. L'électricité, la menuiserie-serrurerie et l'aménagement-décoration-plâtrerie se montrent les plus dynamiques avec des hausses comprises entre +10,5% et +12% au 1er trimestre 2021 par rapport au même trimestre de l'année précédente. La maçonnerie et la couverture-plomberie-chauffage enregistrent une croissance plus modérée, respectivement à +9% et +7%.La trésorerie des entreprises artisanales du bâtiment s'améliore : le solde d'opinions s'établit à 23 points avec 31% des entreprises déclarant une amélioration de leur trésorerie contre 8% une détérioration.Le nombre de jours de carnets de commandes s'élève à 102 jours début avril, soit une progression de 35 jours par rapport à la même période de l'année précédente.Par ailleurs, le nombre d'entreprises déclarant vouloir investir au cours des 6 prochains mois, est en forte hausse (12% contre 1% un an auparavant).Un solde d'opinions en hausse concernant le travail en sous-traitance ; Ainsi, 1% des entreprises notent une baisse de leur activité réalisée en sous-traitance tandis que 28% constatent une progression. Au total, ce sont 18% des entreprises qui déclarent réaliser des travaux en sous-traitance
Il y a 4 ans et 1 jours

Hager et Comelit associent leur expertise du logement connecté

Hager et Comelit associent leur savoir-faire sur le marché français pour déployer une solution intégrée et connectée, simple à mettre en oeuvre, répondant aux attentes des promoteurs et des bailleurs sociaux de faire bénéficier aux futurs résidents de logements collectifs de solutions connectées enrichies. Ce partenariat s’appuie sur les solutions éprouvées des deux marques : le contrôleur domotique connecté coviva de Hager et le vidéophone Maxi avec Android de Comelit. Une expérience de connectivité enrichie La solution proposée permet d’intégrer nativement l’application coviva de Hager dans le moniteur Maxi de Comelit, généralement installé à l’entrée d’un logement. Cette intégration centralise ainsi toutes les fonctionnalités connectées du logement sur un écran ergonomique de 7’’ tactile au design moderne, facilitant leur usage par les résidents, avec un passage intuitif d’une fonction à une autre. Depuis la même dalle tactile, l’utilisateur pilote avec coviva, son éclairage, ses volets et stores électriques, son chauffage et son système d’alarme, son assistant vocal, et avec la platine d’appel extérieur Switch, son système de vidéophonie. Moniteur Maxi 7’ de Comelit intégrant l’application coviva de Hager   L’éco-système coviva Pour accompagner le marché de la maison connectée en pleine croissance, Hager a créé, en 2016, la gamme coviva : une solution radio (sans fils) dotée d’une application mobile. Le contrôleur coviva a depuis vu grandir son éco-système et poursuit son ouverture, avec l’intégration de nombreuses fonctionnalités et de nouvelles solutions de fabricants1. Sa technologie radio sans fil permet une mise en oeuvre très simple, sans travaux, en proposant une solution connectée, en neuf comme en rénovation. Un marché porteur Avec une croissance estimée à 70 % entre 2019 et 20222, le marché du logement connecté est un marché porteur. Dans le secteur du logement collectif, la tendance est aussi à la connectivité, avec des programmes immobiliers incluant de plus en plus régulièrement des offres connectées pour les futurs résidents. Ainsi, en mai 2019, 76% des acquéreurs d’un logement 3 souhaitaient, ou appréciaient, que le promoteur propose une solution connectée en standard et/ou en option. Un partenariat, des valeurs communes Le partenariat entre la marque franco-allemande Hager et la marque italienne Comelit s’est construit autour de valeurs communes. Les deux entreprises familiales et indépendantes disposent toutes deux d’une forte expertise dans les solutions connectées, avec des offres complémentaires sur le marché résidentiel individuel ou collectif.   1 En 2021, Hager et Bubendorff ont lancé Link, une clé pour connecter et piloter facilement la plupart des volets radio Bubendorff avec le contrôleur domotique connecté coviva de Hager. 2 Etude smarthome GFK2017.
Il y a 4 ans et 1 jours

Alezio S Hybrid Gaz : La nouvelle solution flexible et innovante De Dietrich

Combinant les performances d’une pompe à chaleur Alezio S de 4 à 8 kW et d’une chaudière murale gaz à condensation Vivadens de 24 à 28 kW, Alezio S Hybrid Gaz est totalement adaptée aux projets en neuf ou en rénovation. Sa production d’eau chaude sanitaire est assurée par la chaudière murale gaz à condensation offrant un débit de 14 litres/minute. Simple et rapide à installer, cette solution intelligente peut être connectée au thermostat SMART TC° de De Dietrich compatible avec différents appareils tels que le Google Home ou Alexa d’Amazon.Alezio S Hybrid Gaz, un ensemble performant et économiqueAlezio S Hybrid Gaz combine les avantages d’une chaudière murale gaz à condensation à la performance d’une pompe à chaleur. Ainsi, l’utilisation de la pompe à chaleur permet de réaliser des économies significatives sur la facture d’énergie avec un COP élevé de 5,11 tout en profitant d’une eau chaude sanitaire à volonté assurée par la chaudière gaz à condensation. Le basculement de la régulation entre chaudière et pompe à chaleur s’effectue par paramétrage au choix quand, par exemple, la pompe à chaleur ne peut pas assurer à elle seule le chauffage de l'eau.Discrète et silencieuse, Alezio S Hybrid Gaz offre ainsi un haut niveau de confort en chauffage et de l’eau chaude sanitaire à volonté. Réversible, elle permet de rafraîchir l’habitat pendant les saisons chaudes. De plus, grâce à une consommation d’énergie propre et renouvelable à 100 %, Alezio S Hybrid Gaz est une solution respectant l’environnement et proposant des performances élevées conformes à l’eco-conception.Alezio S Hybrid Gaz intègre la chaudière murale gaz à condensation Vivadens De DietrichLa PAC Alezio S se couple idéalement avec une chaudière gaz à condensation Vivadens offrant un débit en eau chaude sanitaire de 14 litres/minute. La gamme Vivadens allie économies d'énergie, eau chaude à volonté, compacité et prix attractif. Pour cela, elle est équipée d’un corps de chauffe principal en inox pour une plus grande résistance à la corrosion et aux variations de température ainsi que d’un brûleur en inox, à prémélange total et à faibles rejets en NOx et CO. Vivadens bénéficie des 3 étoiles ECS Performance eau chaudeLa solution Alezio S Hybrid Gaz est équipée de l’interface connectée E-Pilot, innovation développée par De Dietrich. Tableau de commande intuitif offrant un accès simplifié à tous les modes de fonctionnement, E-Pilot s’adapte parfaitement au style de vie de chacun (sécurité enfants, fonction vacances, alertes anomalies…). L’information est présentée en texte clair, lisible et structurée. E-Pilot est également doté d’une fonction Bluetooth avec une application iOS/Android pour l’accompagnement à la mise en service, pour réaliser le bon paramétrage lors de l’installation par le professionnel. Enfin, les thermostats connectables Smart TC° (filaire) et Smart TC° RF (non filaire), peuvent être connectés avec Amazon Alexa, Google Assistant et IFTTT pour une gestion à distance de l’installation.
Il y a 4 ans et 2 jours

Lettres de mission climat : Le ministère de la Transition écologique publie son plan d’actions

Cette démarche reprend une recommandation formulée par Haut Conseil pour le Climat et a vocation à couvrir le périmètre le plus large possible en termes de politiques publiques. Ainsi, de nouvelles lettres de missions seront adressées à six nouveaux ministères[1] dans les prochains jours.La France s’est dotée d’une stratégie nationale bas carbone (SNBC) et d’un plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC) qui définissent une vision de long terme à la fois pour l’atténuation des changements climatiques comme pour le renforcement de la résilience des territoires et de l’économie.Le plan d’actions de chaque ministère est un outil opérationnel majeur qui complète cette vision stratégique et permet la planification et le suivi des actions à travers une batterie d’indicateurs.Le ministère de la Transition écologique est le premier à publier son plan d’actions. Il est construit autour des deux composantes clés des questions climatiques :l’atténuation, par la réduction des émissions de gaz à effet de serre : pour limiter l’impact des activités humaines sur le climat et l’environnement ;l’adaptation aux effets du changement climatique : pour limiter les impacts des évolutions du climat sur les sociétés humaines et l’environnement.Il s’agit d’un exercice inédit tant pour le niveau de détails exigé que pour la transversalité qu’il implique. Pour la première fois, des grands ministères couvrant des secteurs majeurs en termes d’émissions de gaz à effet de serre, comme l’agriculture ou l’économie, passent au tamis de la transition écologique l’ensemble de leurs politiques publiques, afin d’assurer un ancrage plus efficace de la lutte contre le changement climatique. Barbara PompiliCes plans d’actions seront analysés par le Haut Conseil pour le Climat et sont rendus publics de manière à ce que chacun puisse s’en saisir et suivre l’action de l’Etat. Il s’agit d’un exercice de transparence sans précédent qui s’inscrit dans la continuité de la création du haut Conseil pour le Climat par le Président de la République en 2018.En seulement deux ans, le Haut Conseil pour le climat est devenu un acteur majeur du débat public. Il apporte un éclairage utile sur les politiques du Gouvernement avec un rôle important dans l’évaluation des politiques publiques. Depuis sa création, le HCC a multiplié les rapports thématiques à la demande du Gouvernement ou en s’autosaisissant (rénovation des bâtiments, 5G, plan de relance, etc.).La France a été pionnière en créant le Haut Conseil pour le Climat. Pas moins de huit pays européens disposent aujourd’hui d’une instance équivalente.La loi climat européenne, à l’élaboration de laquelle Pascal Canfin, président de la Commission Environnement du Parlement Européen, a joué un rôle central, crée d’ailleurs un Haut Conseil pour le Climat Européen, inspiré par les modèles français et britannique. Le Conseil indépendant pour le climat européen comptera ainsi 15 membres de différentes nationalités.La Stratégie nationale bas-carbone (SNBC 2)Instituée par la loi de transition énergétique pour la croissance verte (LTECV), la SNBC constitue la feuille de route de la France pour mener sa politique d’atténuation du changement climatique et respecter ses objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre de court, moyen et long termes.La SNBC en vigueur, adoptée le 21 avril 2020, s’articule autour de deux ambitions : atteindre la neutralité carbone dès 2050 et réduire l’empreinte carbone des Français. Pour tendre vers ces objectifs, la SNBC définit pour le territoire français des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre pour les quinze prochaines années, traduits dans les budgets carbone nationaux couvrant les périodes 2019-2023, 2024-2028 et 2029-2033.Pour respecter ces budgets et atteindre les objectifs français en matière d’émissions, la SNBC définit 45 orientations pour mettre en œuvre la transition vers une économie bas-carbone, circulaire et durable, regroupées en 3 catégories :des orientations de gouvernance pour la mise en œuvre nationale et territoriale de la SNBC ;des orientations transversales sur l’empreinte carbone des Français, la politique de la France en matière d’économie, de recherche et d’innovation, d’urbanisme et d’aménagement, d’éducation et d’appropriation par les citoyens, d’emploi et de formation professionnelle ;des orientations sectorielles sur les transports, les bâtiments, l’agriculture, la forêt et le bois, l’industrie, la production d’énergie et les déchets.La SNBC bénéficie d’un jeu complet d’indicateurs de suivi disponibles sur le site internet du ministère de la transition écologiqueLe Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC 2)Le PNACC définit quant à lui les actions nécessaires pour adapter, d’ici 2050, les territoires de la France métropolitaine et outre-mer aux changements climatiques régionaux attendus. En cohérence avec les objectifs de long terme de l’Accord de Paris, et avec les objectifs pertinents des autres conventions internationales, la France devra s’adapter à la part de changement climatique que les émissions de gaz à effet de serre accumulées dans l’atmosphère rendent désormais inéluctable.Les 58 mesures inscrites dans le PNACC 2 se répartissent en 6 grands domaines d’action qui prennent en compte l’ensemble des problèmes posés par les impacts en cours et attendus du changement climatique :gouvernance : territorialisation du PNACC 2 et évolution des normes et réglementations pour tenir compte du climat futur ;prévention et résilience : amélioration de la prévention et renforcement de la résilience face à la recrudescence attendue des évènements extrêmes ;nature et milieux : adaptation et préservation des milieux pour garantir l’évolution favorable de la biodiversité et de notre patrimoine environnemental ;filières économiques : adaptation des grandes filières économiques impactées par le changement climatique, dont le tourisme, l’agriculture, la pêche et l’aquaculture, la forêt et sa filière bois, ainsi que le secteur de la finance et de l’assurance ;connaissance et information : amélioration des connaissances et des moyens de formation et d’information des acteurs et du grand public pour accélérer l’adaptation de la France et consolider les bases sur lesquelles se prennent les décisions ;dimension internationale : développement et export du savoir-faire français en la matière et influence de la diplomatie française dans les négociatLa politique nationale d’adaptation constitue le complément essentiel de notre politique d’atténuation du changement climatique.[1] Ministère de l’Education Nationale de la Jeunesse et des Sports Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, Ministère des Outre-Mer, ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, ministère de la Santé et des Solidarités, ministère de la Mer
Il y a 4 ans et 2 jours

MaPrimeRénov' connait une très forte dynamique au 1e trimestre 2021 avec plus de 185.000 dossiers déposés

A la fin du 1er trimestre 2021, plus de 185.000 dossiers déposés et plus de 317M€ de primes engagésGrâce à l’ouverte à tous les propriétaires occupants, MaPrimeRénov’ connait une très forte dynamique. Plus de 185.000 demandes ont déjà été déposées en trois mois, soit presque autant que sur l’année 2020 (191.690).Après un délai moyen d’instruction de 17 jours ouvrés, 116.899 dossiers ont été acceptés, pour un montant total de 317,4 millions d’euros de primes. MaPrimeRénov’ est ensuite versée à l’issue des travaux, 79.019 demandes de paiement ont ainsi été reçues et près de 58.000 ont été payées. 55% des travaux concernent le système de chauffageMaPrimeRénov’ permet de financer les travaux d’isolation (murs, planchers, combles, fenêtres), de chauffage, de ventilation ou d’audit énergétique. Parmi les travaux les plus sollicités le changement de système de chauffage (55%), suivi des travaux d’isolation (34%). Un forfait d’assistance à maitrise d’ouvrage (AMO) est également demandé (8%), celui-ci permet d’accompagner et conseiller les ménages pour la réalisation de ces rénovations plus ambitieuses. 59% des dossiers déposés concernent des ménages aux revenus modestes et très modestesInitialement réservée aux ménages les plus fragiles, MaPrimeRénov’ est désormais accessible à tous les propriétaires occupants, quels que soient leurs revenus. Pour autant, les ménages modestes et très modestes restent les principaux bénéficiaires, avec 59% des dossiers déposés depuis le début de l’année. MaPrimeRénov’ rencontre également un fort succès auprès des ménages aux revenus intermédiaires (36%). Par ailleurs, les régions Hauts de France, Auvergne Rhône Alpes et Ile-de-France sont les régions où le plus de dossiers ont été déposés.Téléchargez le bilan complet du 1e trimestre 2021 de MaPrimeRénov
Il y a 4 ans et 2 jours

Cap sur 2021, Bourneuf s’agrandit et se dote de nouvelles machines pour une année hors norme

Annoncé par Thierry Luce – Président du Groupe Lorillard- courant 2020, le plan d’investissement industriel du Groupe pour la partie bois s’élevait à 5,2 millions d’euros. L’activité bois, très porteuse, opère une évolution notable sur le marché des chantiers de rénovation où la demande client est de plus en plus forte, ainsi que dans le neuf, ce qui est encore plus récent et inhabituel. L’objectif était donc d’augmenter la capacité de production bois du Groupe de plus de 25 % d’ici 2022. Ainsi, 2,5 millions € viennent d’être investis chez Bourneuf, à Parigné L’Évêque, pour l’intégration entre autres d’un nouveau centre d’usinage au sein du nouvel agrandissement de près de 1000 m² de l’usine.   L’INVESTISSEMENT INDUSTRIEL COMME LEVIER DE COMPÉTITIVITÉ En service depuis janvier 2021, la nouvelle ligne de production accueille 4 machines neuves dont une tronçonneuse, une déligneuse, une corroyeuse et un centre d’usinage nouvelle génération. Mais l’intérêt majeur de cette nouvelle chaîne est son concept de commande modulaire qui va permettre à Bourneuf d’accroître sa productivité. La nouvelle extension du site des menuiseries Bourneuf à Parigné l’Evêque L’activité de Bourneuf, qui conçoit des menuiseries singulières, aux dimensions exceptionnelles, avec des profilés quasiment personnalisables, exige la nécessité de concevoir des pièces individuelles en toute flexibilité. Piloté en réseau, le nouveau centre d’usinage Conturex répond parfaitement à cette nécessité et prend en charge l’intégralité de l’usinage. Il reçoit les instructions et configurations du service Ordonnancement & Méthodes qui implémente et génère les fichiers de production selon les plans validés par le Bureau d’Etudes. Ce Conturex développé par la société Weinig, permet un usinage complet des composants d’une menuiserie en un seul passage. Mieux encore, la chaine est capable de fonctionner en autonomie totale dès lors que le magasin est « pluggé ». En effet, les équipements périphériques destinés à la fabrication de la menuiserie sont également inclus dans le processus d’automatisation. Cette automatisation va permettre de fournir plus de capacité de production à l’entreprise, qui comme le précise Pascal Joubert, Directeur Général : « doit répondre à un carnet de commande supérieur à 21 millions d’euros en 2021, alors que l’entreprise réalise d’ordinaire un chiffre d’affaires de 15 millions d’euros ». La production de mise en peinture doit conséquemment accroître son rendement. Une cabine de peinture et un pistolet double tête seront donc aménagés dans les prochaines semaines. Nouvelle installation Conturex, développée par la société Weinig, permettant un usinage complet des composants d’une menuiserie en un seul passage.   UNE SPÉCIFICITÉ PARTICULIÈRE Intégrée depuis 2016 au Groupe Lorillard, l’entreprise Les Menuiseries Bourneuf prospère sur son marché de niche : les menuiseries complexes. Comme l’explique Pascal Joubert « Notre spécificité c’est de réaliser des choses qui n’existent pas. C’est-à-dire que l’on conçoit des produits selon des besoins, souvent très compliqués, qui demandent beaucoup d’heures en bureau d’études avec une technicité et une conception peu communes ». Experte d’une menuiserie bois atypique et prestigieuse, l’entreprise en a fait ses lettres de noblesses. Sa capacité à répondre à des projets dont les besoins sont particuliers, tant dans la conception que dans l’esthétique, la place en partenaire de choix. Le bureau d’études a accueilli 2 nouveaux salariés et possède désormais 5 personnes pour répondre aux demandes de plus en plus nombreuses. Et en outre, en dehors des palaces et autres lieux haussmanniens prestigieux, Bourneuf répond nouvellement – et de plus en plus fréquemment – à des projets en construction neuve pour des écoles comme l’ENSAM à Angers, Mellinet à Nantes ou encore le lycée Corneille à Rouen. « Nos chantiers sont majoritairement en rénovation mais depuis quelques temps les demandes pour des bâtiments neufs sont de plus en plus fréquentes avec des projets intégrants des ensembles adossés à des épines en bois très hautes, des côtes dimensionnelles très importantes qui sortent des standards » précise Pascal Joubert.   UNE NOUVELLE CERTIFICATION Toujours en quête d’excellence, Bourneuf développe des menuiseries de très haute technicité. Dans cette continuité, l’entreprise a obtenu début 2021 la certification CR3 anti effraction pour ses fenêtres, en vertu des normes EN1627 à EN1630. Ces normes classifient les menuiseries selon un critère unique : le retard à l’effraction. Celui-ci est mesuré selon le temps de résistance et le type de matériel autorisé. La force physique avec l’aide d’outils tels qu’un pied de biche s’applique à une menuiserie CR3, capable de garantir un temps de résistance à l’effraction de 5 minutes. Cette nouvelle certification s’ajoute à l’homologation pare-balle FB6 NS ainsi qu’aux classifications coupe-feu 1h et pare-flamme ½ heure et vient renforcer la forte valeur ajoutée premium des huisseries Bourneuf. 2021 s’annonce être une année exceptionnelle pour Bourneuf. L’entreprise a ouvert une agence à Nantes et également à Bordeaux- en plus de Paris et Lyon – et va également embaucher 3 menuisiers dont un compagnon en formation depuis 1 mois, afin de faire face à cette croissance annoncée. Une ferveur pour le bois reviendrait-elle en force ? Pascal Joubert mise plutôt sur « l’activité actuelle du marché du bâtiment qui bénéficie du plan de relance, des aides de l’Etat pour le tertiaire, les écoles, etc. Il est indéniable que le bois est un matériau biosourcé qui a cette prévalence par rapport au PVC ; mais il ne faut pas oublier qu’une gestion PEFC est une exigence pour un mode de consommation maîtrisé du bois ». C’est dans le cadre de sa stratégie d’amélioration continue que le Groupe Lorillard poursuit ses investissements sur ses différents sites de production afin qu’ils bénéficient d’outils toujours plus performants et précis, et permettant davantage de personnalisation. Le prochain site à en bénéficier sera celui de la Menuiserie Meslin. Pascal Joubert qui pilote l’intégration de la Menuiserie Meslin au sein du Groupe, confirme qu’elle dispose également d’un fort carnet de commande et nécessite d’embaucher et d’investir dans un nouveau centre d’usinage (prévu sur Mai 2021). Une cabine de finition sera également installée en 2022. Avec l’acquisition de la Menuiserie Meslin, la représentativité de l’activité bois au sein du Groupe Lorillard se chiffre à 45 M€ (fourniture et pose et fourniture seule), soit un quart du chiffre d’affaires du Groupe. Partager la publication « Cap sur 2021, Bourneuf s’agrandit et se dote de nouvelles machines pour une année hors norme »
Il y a 4 ans et 5 jours

Les Français ayant réalisé des travaux de rénovation énergétique sont-ils satisfaits ?

ETUDE. UFC Que choisir a interrogé près de 2200 personnes ayant réalisé des travaux de rénovation énergétique afin d'en savoir plus sur leur motivation et d'évaluer leur niveau de satisfaction. Découvrez les principaux résultats.
Il y a 4 ans et 5 jours

50 millions d’euros de France Relance pour accélérer la mise en œuvre du Plan Séisme Antilles (PSA) en Guadeloupe et en Martinique

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, Bruno Le Maire, ministre de l’économie, des finances et de la relance, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, Sébastien Lecornu, ministre des Outre-mer, et Olivier Véran, ministre de la santé et des solidarités, annoncent les opérations qui sont retenues pour pouvoir d’un bénéficier de financement de France Relance et qui ont vocation à s’inscrire dans le troisième plan « Séisme Antilles » en cours de finalisation. Au total, pas moins de 31 bâtiments bénéficieront de France Relance dans le cadre d’un plan séisme Antilles.En Guadeloupe, le centre hospitalier de Basse-Terre sera mis aux normes parasismiques pour un financement de 13,7 millions d’euros, tandis que la Préfecture et la sous-préfecture pourront bénéficier de travaux de confortement d’envergure souhaités depuis de nombreuses années.En Martinique, les centres hospitaliers de Saint Esprit, du François et de Rivière-Salée seront étendus et reconstruits partiellement pour un financement de 16,3 millions d’euros. 24 bâtiments public utiles en matière de gestion de crise, comme les gendarmeries du Lamentin et de la Trinité, feront aussi l’objet de travaux afin d’en améliorer la résilience.Barbara Pompili : « L’approche se veut pragmatique. Le plan de relance permettra de financer des travaux pour lutter contre les cyclones en plus des séismes sans attendre l’inscription des normes paracycloniques dans la réglementation. Il s’agit d’une belle avancée pour les Antilles. »Bruno Le Maire : « France Relance est un plan d’investissement pour tous les Français et tous les territoires. Cette mesure de France Relance renforce la résilience parasismique aux Antilles, tout en contribuant au rebond du secteur du BTP. »Gérald Darmanin : « Le ministère de l’intérieur, au cœur de la gestion de crise, pourra grâce au plan de relance remettre à niveau des bâtiments indispensables en cas de crise, au bénéfice de la police, de la gendarmerie et des services préfectoraux. Il est en effet important que les services de secours à la population soient pleinement fonctionnels en pareilles situations. Hors période de crise, le service à la population en sera également renforcé. »Sébastien Lecornu : « Les opérations financées s'inscrivent dans un programme de travaux plus vaste, d'un montant total de 135 millions d’euros. C’est autant de moyens mis en œuvre pour soutenir le secteur du bâtiment et des travaux publics, et donc toute l’économie locale, sous l’impulsion de France Relance. »Olivier Véran : « La rénovation et la mise aux normes des centres hospitaliers des Antilles est au cœur du plan séisme Antilles. Ces travaux sont un gage de la qualité de la prise en charge des patients mais aussi de sécurité face au risque sismique.»
Il y a 4 ans et 5 jours

La filière bois au cœur de la stratégie bas carbone

Le Gouvernement vient d’annoncer des mesures pour accélérer la contribution de la filière bois-forêts dans la transition bas carbone. Par la signature d’un avenant ambition au contrat stratégique avec les acteurs de la filière et l’annonce de nouveaux dispositifs, les ministres en charge de l’Agriculture et de l’Alimentation, du Logement et de l’Industrie, renouvellent l’accompagnement apporté à ce secteur pour répondre au défi climatique. Cette actualisation du contrat, dans la perspective de France Relance, affirme trois objectifs majeurs. L’optimisation du puits de carbone du secteur forêt-bois au service des transitions écologiques et bas carbone. Une mobilisation renforcée de la filière et de l’Etat en faveur de la souveraineté industrielle de la France, en cohérence avec le potentiel forestier national et par un soutien aux implantations industrielles et à la relocalisation d’unités de transformation de bois. Une coopération intra et inter-filières pour renforcer les compétences, et optimiser le fort potentiel d’emploi du secteur forêt-bois notamment en milieu rural. Les ministres ont réaffirmé la détermination du Gouvernement dans la transition bas carbone et présenter plusieurs nouveautés, notamment en lien avec le plan France Relance, pour accélérer le développement de la filière bois-forêt : – Une nouvelle réglementation environnementale pour les bâtiments neufs (RE2020) qui encourage la mixité des matériaux. Emmanuelle Wargon a rappelé que la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs (RE2020) fixera un cadre pour atteindre les objectifs de décarbonation du secteur du bâtiment en valorisant notamment le stockage du carbone et donc la construction bois et biosourcée. La filière forêt-bois s’est dite prête à relever ce défi en présentant un plan « ambition bois 2030 » fondé sur dix engagements : former, développer l’offre de produits, planter et replanter, favoriser la mixité constructive, réduire les coûts, recycler en fin de vie, etc. – Un soutien renforcé à l’Accélérateur de croissance filière bois pour les PME et les ETI à hauteur d’un million d’euros. Attachée au développement des compétences pour les salariés comme pour les dirigeants, Agnès Pannier- Runacher a annoncé le soutien, à hauteur d’un 1 million d’euros, l’accélérateur de croissance filière bois pour les PME et ETI. Deux nouvelles promotions de 30 dirigeants intégreront cet accélérateur, opéré par Bpifrance avec l’appui du CSF Bois et cet outil aura vocation à être un levier pour renforcer la diversité des parcours et l’égalité des chances au sein de la filière. – Un appel à manifestation d’intérêt pour le développement de produits bois et de systèmes constructifs bois ouvert. Les trois ministres ont annoncé l’ouverture d’un appel à manifestation d’intérêt (AMI) pour le développement de produits bois et de systèmes constructifs bois innovants. Ouvert jusqu’au 13 juillet 2021, il vise à identifier l’ensemble des projets pouvant contribuer au changement d’échelle de l’offre industrielle d’éléments techniques tant de rénovation que de construction en bois. Ils devront également concourir à l’objectif de souveraineté nationale, avec la valorisation de ressource forestière française transformée sur le territoire. Des propositions sont attendues aussi bien dans la phase de production industrielle du matériau bois transformé (panneaux, poutres, lamellé collé, CLT…) que dans la phase de préfabrication d’éléments constructifs en bois. L’AMI englobe les principales techniques constructives à base de bois qui sont appelées à se développer de manière significative d’ici à 2035 avec la croissance de la demande intérieure.   Photo : Construction par Matis de la structure bois de Green Office Enjoy. ZAC Clichy Batignolles. Bouygues Immobilier. 75017 Paris. 23 juin 2017
Il y a 4 ans et 6 jours

Transition énergétique : une aide à la rénovation pour les piscines publiques

AIDE. Les collectivités pourront bénéficier d'une aide financière et d'un accompagnement pour rénover leurs espaces aquatiques. La FNCCR les invite à déposer leur dossier.
Il y a 4 ans et 6 jours

En 2020, la répression des fraudes a une nouvelle fois épinglé la rénovation énergétique

BILAN. Dans un contexte économique plombé par la crise du Covid et les changements de comportements qu'elle a induits, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a scruté de près le domaine de la transition écologique, en conduisant une vaste enquête sur les entreprises spécialisées dans la rénovation énergétique des logements. Les résultats sont accablants, notamment pour la crédibilité du label RGE.
Il y a 4 ans et 6 jours

JCDecaux repousse les limites de la scénographie urbaine pour Cartier

Plus d’un siècle après son ouverture en 1899 par Louis Cartier lui-même, l’édifice iconique du 13, Rue de la Paix écrit une nouvelle page de son histoire. Situé au cœur du quartier de la haute joaillerie, l’Hôtel particulier abritant la plus ancienne boutique de la Maison, entre dans un programme de rénovation de grande envergure. Désireuse de faire de la durée du chantier l’occasion de s’adresser autrement tant à ses clients qu’aux nombreux passants de la Rue de la Paix, Cartier a demandé à JCDecaux de concevoir une mise en scène qui marque les esprits et suscite l’émotion. Durant près d’un an ce ne sont pas moins de 100 personnes qui ont imaginé puis réalisé, sur site et en atelier, ce dispositif composé notamment d’une palissade entièrement habillée d’huisseries en bois peintes en noir, d’un espace de déambulation de plus de 25m de haut et de trois vitrines animées et mises en lumière.Aux côtés de l’équipe JCDecaux dédiée aux habillages événementiels, de très nombreux métiers et savoir-faire, architectes, artistes, scénographes, ingénieurs, alpinistes, maquettistes, sculpteurs, ferronniers d’art, peintres ou encore électriciens- ont apporté leur pierre à l’édifice.Profondément attachée à son histoire, Cartier a souhaité que l’ensemble des habillages reprenne fidèlement les détails de la façade de l’immeuble. Sur proposition de JCDecaux, la Maison a opté pour des décors exceptionnels dont un claustra monumental doré reprenant le monogramme Cartier dans l’esprit d’un moucharabieh, ou encore un passage couvert immersif entraînant les passants dans l’univers magique de la marque à la panthère.Cette réalisation est également une prouesse technique. En moins de 10 jours, JCDecaux et les sous- traitants ont conçu et installé :Une toile de plus de 500m2 habillant le passage couvert ;28 fenêtres décoratives sur-mesure comprenant chacune un encadrement couleur pierre, un balcon, un garde-corps « monogramme » en acier doré et un store rouge aux couleurs de la marque ;3 rangées de corniches fidèles à la façade ;Plus de 400m2 de panneaux façon marbre pour reproduire la boutique en trompe-l’œil ;3 vitrines décoratives animées et mises en lumière ;Plus de 50 éléments de décors faits main incluant des haut-de-colonnes, écussons, bas-de colonnes, logos et autres surfaces d’expression ;Une rangée de lanternes d’époque pour sublimer l’immersion historique ;4 caissons rétroéclairés afin d’orienter de nuit les clients de la marque ;La reproduction intégrale de la porte iconique du 13 Rue de la Paix avec ses nombreux détails ;Près de 150m d’huisseries en bois peintes en noir pour sublimer la palissade.A l’issue du chantier, les décors s’inscriront dans un processus de développement durable hautement exigeant, via un reconditionnement ou un recyclage à 100%.Isabelle Schlumberger, Directrice Générale Commerce, Marketing et Développement France, Belgique, Luxembourg et Israël de JCDecaux, a déclaré : « Nous sommes très fiers de ce partenariat avec Cartier et du formidable travail de nos équipes. En repoussant les limites de la scénographie urbaine sur le flagship mythique de la plus grande Maison de haute joaillerie mondiale, JCDecaux démontre son savoir-faire pluridisciplinaire et sa capacité unique d’embellir la ville en accompagnant les marques et magnifiant leur image à l’occasion de leurs projets de rénovation. »
Il y a 4 ans et 6 jours

Ehret fait évoluer sa gamme de volets battants avec le nouveau modèle Beaune

Une conception en aluminium résistante et durable.Conçue en aluminium, la gamme BEAUNE est pourvue d’un prétraitement et d’un processus de thermolaquage identique à l’ensemble de la gamme (y compris thermolaquage classe 2).Ce thermolaquage de haute qualité assure une parfaite résistance aux intempéries, aux rayures ainsi qu’une stabilité des coloris. Les surfaces en aluminium parfaitement recouvertes sont une garantie pour la protection durable des principaux composants.Pour les conditions extrêmes telles que la proximité de la mer, la piscine ou encore l’industrie chimique, EHRET a développé OCEANLINE plus, le prétraitement spécial qui apporte une protection supplémentaire contre la corrosion filiforme. BEAUNE remplit également les normes QUALICOAT et QUALIDECO. L’adjonction d’un cadre périphérique pour plus de robustesse et de rigidité. Un cadre périphérique assure une jonction entre les montants haut, bas, gauche et droit, liés entre eux par des équerres intégrées directement dans le cadre, ce qui confère plus de résistante et de rigidité à l’ensemble. L’équerre en aluminium est glissée dans la partie basse du cadre et en assure une liaison mécanique.Les cadres sont fabriqués sur mesure et s’adaptent à chaque embrasure de fenêtre . Ils sont mis en œuvre aussi bien sur constructions anciennes que neuves. Harmonisation des gammes. Evolution de la gamme DIJON, le modèle BEAUNE est désormais plus épais (32 mm). EHRET a choisi d’uniformiser l’ensemble des épaisseurs des gammes de volets battants, et de permettre à cette gamme de bénéficier de l’ensemble des accessoires et options pour la pose en rénovation comme en neuf. Pour habiller élégamment le volet, il est possible d’ajouter des barres et des écharpes en version B, BB, Z ou ZZ. Disponible avec l’ensemble de la gamme des options EHRET, BEAUNE peut être équipé :d’une protection anti-effraction. Les verrous et serrures supplémentaires constituent un autre obstacle efficace pour parer à l’intrusion d’inconnus. Les produits retardateurs d’effraction peuvent dans certains cas être montés et combinés postérieurement, ce qui permet de compléter et d’améliorer une installation déjà existante sans aucun problème d’un pré-cadre de montage (Z75 ou Z135) pour réaliser une pose simple et précise. Ce système de cadre annihile les opérations d’ajustement, de perçage et de montage des volets sur site. La pose extrêmement aisée et les nombreuses possibilités permettent de poser le volet en un minimum de temps. Dans le cas d’une pose avec pré-cadre, 2 équerres en aluminium par angle sont prévuesForte d’un savoir-faire de plus de 50 ans et à l’appui d’une expérience technique éprouvée, EHRET s’engage à livrer des solutions et systèmes de très haute qualité. La marque garantit une qualité constante à ses produits afin qu’ils soient dotés des plus hautes performances. En cela, elle propose aujourd’hui la gamme BEAUNE qui se décline en un large choix de designs, de finitions et d’accessoires pour répondre aux besoins de tous les logements, quel que soit l’usage ou la région.Disponible en 1,2,3 ou 4 vantaux, BEAUNE est proposée avec un nuancier de 213 coloris RAL et 3 coloris AkzoNobel -2100, 2700 et 2900- (disponibles sans plus-valuepour le volet et ses accessoires) afin de se fondre harmonieusement dans l’architecture existante.En tout, ce sont plus de 4.000 coloris qui sont proposés à la vente. Des variantes design avec des formes spécifiques (cintre, triangle...) sont également possibles pour répondre à des demandes personnalisées.
Il y a 4 ans et 7 jours

Montereau : rénovation terminée pour le parc de la Gramine

Les travaux de rénovation du parc de la Gramine, à Montereau, arrivent pratiquement à leur terme.
Il y a 4 ans et 7 jours

Rénovation énergétique : colère de l’artisanat du bâtiment après la publication du rapport Sichel

Si l’objectif poursuivi par ce Rapport est louable, et la CAPEB partage notamment l’ambition de multiplier les travaux de rénovation énergétique, elle considère que privilégier seulement les rénovations globales serait irréaliste. La CAPEB considère qu’il ne faut donc pas opposer les deux manières de faire (rénovation globale / rénovation par étapes) mais au contraire booster ces deux manières de rénover, tout en s’assurant d’un même niveau de qualité et de performances.Jean-Christophe REPON, Président de la CAPEB : « Ce rapport nous a étonnés, il entend trouver des solutions au marché de la rénovation énergétique qui ne décollerait pas assez vite, sans prendre en compte le comportement des ménages et de leurs contraintes, en cherchant simplement à organiser et uniformiser l’offre ! Nous attendons plus d’objectivité de la part des pouvoirs publics. A ce stade, nous espérons que les sénateurs qui, après l’Assemblée nationale, aborderont à leur tour ce sujet, auront en mémoire nos propositions »Changer d’échelleLa CAPEB partage l’objectif de réaliser des travaux de rénovation énergétique en masse, avec un changement d’échelle par rapport à aujourd’hui sans pour autant que cela se fasse au détriment de la qualité des travaux. Or, la réalité économique et les pratiques notamment des clients conduisent l’immense majorité des rénovations actuelles à se faire de façon étalée dans le temps du fait de difficultés techniques liées essentiellement aux interventions en site occupé, du coût important que représente une rénovation globale et de la priorisation des particuliers sur les travaux à effectuer.Pour arriver à changer d’échelle, il faut donc à la fois augmenter le nombre de rénovations énergétiques globales et le nombre de rénovations énergétiques par étape.Accompagnateurs pour les clients, facilitateurs pour les entreprisesLa création des accompagnateurs de la rénovation énergétique est une bonne idée car les dispositifs d’aide sont effectivement très complexes. Si le rapport reconnait la complexité et la difficulté à assimiler tous les dispositifs, alors il doit le reconnaitre aussi pour les entreprises. C’est pourquoi la CAPEB continue de demander, en symétrie, pour les entreprises la mise en place de facilitateurs pour les accompagner au quotidien dans le traitement de leur dossier de qualification RGE ou de demandes de CEE et/ou de MaPrimeRénov.Quels contours de missions pour ces accompagnateurs ?Mais la CAPEB s’interroge sur plusieurs points laissés dans l’ombre du rapport. Comment seront financés les accompagnateurs de la rénovation énergétique ? Ces accompagnateurs de la rénovation énergétique seront-ils en nombre suffisant pour accompagner tous les particuliers ? Quelles seront leurs compétences ? Quel sera leur statut ? La vision de « l’accompagnateur Rénov » qui apparait comme un nouveau métier dans le rapport et dont le recours serait obligatoire pour les ménages qui voudraient s’engager dans une rénovation globale comptant au moins 5 000 euros de travaux n’est pas acceptable.Son champ de compétences ne doit pas, en effet, empiéter sur celui des maîtres d’œuvre et entreprises du bâtiment qui jouent au quotidien un rôle d’information et de conseil auprès de leurs clients.Quelle réelle nouveauté en matière de financement ?Enfin, en ce qui concerne le financement des travaux de rénovation, la CAPEB ne voit pas dans le rapport Sichel de propositions de nature à réellement booster le nombre de travaux de rénovation énergétique réalisés.Plan d’actions : 7 propositions et demandes de la CAPEBC’est pourquoi la CAPEB formule ses propositions et demandes pour qu’un véritable débat constructif s’opère entre l’État et la filière.La CAPEB rappelle que les missions des accompagnateurs de la rénovation énergétique ne doivent pas empiéter sur celles des professionnels qui interviennent déjà et notamment que ce soient les maîtres d’œuvre ou les entreprises. Au contraire, ils doivent s’appuyer dessus.La CAPEB rappelle qu’elle est totalement opposée à ce que ces accompagnateurs de la rénovation énergétique préconisent des travaux ou sélectionnent des entreprises.Compte tenu du flou sur la nature et le contenu des missions des accompagnateurs de la rénovation énergétique, la CAPEB demande impérativement à être associée étroitement à l’élaboration du ou des décrets d’application qui préciseront les modalités de mise en œuvre de ces accompagnateurs de la rénovation énergétique.La CAPEB souhaite que la lutte contre la fraude et les Eco délinquants soit intensifiée. Pour la CAPEB, il faut distinguer la lutte contre la fraude et la question des non-qualités. La CAPEB rappelle que la grande majorité des entreprises RGE font correctement leur travail. C’est pourquoi, cela ne sert à rien de d’augmenter le nombre des contrôles pour toutes les entreprises sans discernement.Pour s’assurer de la qualité des travaux, la CAPEB propose de fixer, pour toutes les entreprises, un même pourcentage de contrôle à réaliser sur les chantiers réalisés. Et non, comme c’est le cas actuellement, un nombre fixe de chantiers contrôlés quel que soit le niveau d’activité de l’entreprise. La CAPEB propose également de faire varier ce pourcentage de contrôle applicable à une entreprise en fonction des résultats constatés sur le terrain lors des contrôle chantier réalisés précédemment pour cette même entreprise : allégement du taux de contrôle si les résultats sont satisfaisants ou renforcement dans le cas contraire. La CAPEB propose enfin de largement diffuser auprès des entreprises RGE l’ensemble des fiches d’auto-contrôle élaborées dans le cadre du programme PROFEEL qui seront disponibles début mai ainsi que les fiches pour aider à une bonne réalisation des réceptions de travaux avec les particuliers.La CAPEB rappelle sa proposition que tout particulier puisse, à l’occasion de la réalisation d’un premier geste, bénéficier gratuitement d’un audit énergétique pour bâtir un plan de travaux de rénovation énergétique de son logement étalés dans le temps pour ce qui reste à faire. Ce point est essentiel pour inciter les particuliers à poursuivre dans le sens d’une rénovation énergétique complète et performante de leur logement.Pour contribuer à l’amélioration de la qualité des travaux réalisés, et notamment en rénovation globale, la CAPEB rappelle sa proposition de revoir les obligations qui pèsent aujourd’hui sur les entreprises qui interviennent dans le cadre d’un GME.Il est, en effet, essentiel que les entreprises de corps d’état différents apprennent à travailler ensemble pour gérer au mieux l’organisation des travaux et les interfaces entre travaux, avec des responsabilités strictement limitées à leur champ d’intervention.Double nécessité : disposer d’une vision à moyen long terme et d’une analyse économique exhaustiveEn conclusion, la CAPEB, au nom de ses 57.000 entreprises adhérentes, réaffirme que les entreprises artisanales sont prêtes à relever de défi de la généralisation des travaux de rénovation énergétique, mais qu’elles ont besoin d’une vision de moyen terme s’appuyant sur des mesures stables et co-construites avec les pouvoirs publics et les acteurs de la filière.Au lieu de stigmatiser systématiquement l’offre, et notamment les entreprises, la CAPEB considère qu’il serait nécessaire d’approfondir, par une étude spécifique, la connaissance des réels comportements et attentes des clients en matière de rénovation énergétique permettant de comprendre les raisons profondes de la faiblesse de la demande et à la suite d’en déduire un plan d’actions opérationnel.
Il y a 4 ans et 7 jours

Paris-2024 : soupçons de propos sexistes et racistes, trois salariés de la Solideo suspendus

Cette enquête a été confiée "il y a quelques jours" au déontologue de la Solideo à la suite de l'envoi de questions par le journal en ligne Mediapart au sujet de propos sexistes, racistes et homophobes tenus au sein de l'établissement public, selon La Solideo."Nous avons été saisis de questions de la part de Mediapart qui nous a rapporté des accusations extrêmement graves et choquantes, suffisamment graves pour déclencher une enquête en interne et suspendre trois salariés afin de pouvoir établir la véracité des choses", a-t-elle expliqué.Selon les témoignages recueillis par Mediapart qui a publié dimanche un article sur le sujet, sur les trois salariés visés par ces accusations, deux sont des cadres de la société placés à des postes-clés."Il y a déjà eu des dysfonctionnements dans le passé qui ont été traités avec sérieux et à la hauteur de ce qui avait été établi, pas forcément sur les mêmes salariés. Mais là, il s'agit de nouvelles accusations, extrêmement graves", a précisé la Solideo.L'audit pourrait déboucher sur des sanctions concernant les salariés visés par ces accusations, a-t-elle ajouté.La Solideo, établissement public industriel et commercial (Epic) qui emploie une centaine de salariés, est présidée par la maire PS de Paris Anne Hidalgo.Chargée de construire les ouvrages pérennes pour les JO de Paris, la Solideo supervise 62 ouvrages allant du village des athlètes à des rénovations de gymnases, en passant par des ponts et passerelles."Les comportements déviants peuvent arriver dans n'importe quelle organisation", a réagi, contacté par l'AFP, le cabinet d'Anne Hidalgo qui affirme ne pas avoir eu connaissance de "l'étendue des accusations" avant l'enquête de Mediapart.Selon ce dernier, le cabinet a pourtant récupéré en novembre 2020 le rapport d'une ancienne directrice de la communication de Solideo alertant sur les "propos misogynes, racistes et homophobes échangés au quotidien".Si "cette ex-collaboratrice licenciée" a bien "fait état d'une série de choses" auprès du cabinet, celui-ci a "clos le chapitre" car la personne en question n'a pas "voulu saisir officiellement la maire, préférant s'en tenir à une solution transactionnelle avec son employeur"."Si ce que dit Mediapart est avéré, c'est particulièrement choquant", ajoute l'équipe de l'élue socialiste, qui "fait confiance" au directeur général de Solideo Nicolas Ferrand "pour prendre les décisions qui s'imposent à l'issue de l'enquête contradictoire"."Aucune décision n'a été prise pour lutter contre les responsables de tels propos jusqu'à ce que Mediapart s'en saisisse et enquête", a dénoncé la conseillère de Paris (La France Insoumise) Danielle Simonnet."A la Mairie de Paris, de tels faits se multiplient et revêtent un caractère systémique", soutient l'opposante à la maire, qui reproche à l'exécutif parisien de "couvrir les agissements et propos sexistes, racistes, LGBTphobes, au nom de l'entre-soi".
Il y a 4 ans et 7 jours

Commune d’Etrechy : deux projets subventionnés par la Région Île-de-France

La rénovation du stade Koffi Carenton et la réfection de la place Charles de Gaulle comptent parmi les projets bénéficiaires d’une aide régionale.
Il y a 4 ans et 8 jours

Perception de la RE2020 par la filière Bâtiment : un réel besoin d’information

Pour cette première, le "Grand Dossier du Mondial du Bâtiment", avait pour thème : "En quoi la RE2020 va-telle permettre de construire durable ?". À cette occasion, le Mondial du Bâtiment a organisé un sondage exclusif[1] sur la perception de la RE2020 par les acteurs professionnels de la filière.Les résultats du sondage font ressortir une certaine confusion chez les professionnels du bâtiment. Ainsi, à la question de savoir ce que signifie RE2020, seulement un peu plus d’un tiers des répondants ont choisi Réglementation Environnementale (36,5%). 28,5% pensent que cela désigne une Réglementation Énergétique, 20% qu’il s’agit de Rénovation Énergétique et 15% des répondants ne connaissent pas la signification du terme.Sans surprise, ils sont ainsi 74,9% à déclarer ne pas être suffisamment informés au sujet de cette réglementation.En revanche, et le point est également un reflet du dynamisme de la filière, ils sont 41,3% à estimer que la RE2020 est un moteur pour le développement de leur activité. Ainsi, seuls 14,1% des sondés pensent que la RE2020 est un frein au développement de leur activité. Ce chiffre est cependant à modérer puisque 44,6% déclarent ignorer quel impact, négatif ou positif, cela peut avoir.La RE2020 pendant le Mondial du BâtimentLe Mondial du Bâtiment et les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA se tiendront du 3 au 6 octobre 2022 à la Porte de Versailles.À cette occasion, la RE2020 sera la thématique de nombreux temps forts et animations :Des émissions dédiées seront organisées sur « Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment » qui se déclineront en version physique durant les 4 jours des salons ;Des conférences permettront de faire le point sur la mise en application de la RE2020 depuis plusieurs mois ;Des parcours thématiques seront proposés aux visiteurs.Les prochains « Rendez-vous du Mondial du Bâtiment » auront lieu le vendredi 7 mai. Le Grand Dossier abordera le thème : « REP : quels enjeux pour le secteur du bâtiment ? »[1] Sondage réalisé entre le 18 et le 31 mars auprès des visiteurs et exposants du Mondial du Bâtiment 2019 – 383 répondants
Il y a 4 ans et 8 jours

Le gouvernement propose un plan d'action pour réduire la pollution du chauffage au bois domestique

Si les buches de bois ou les granulés de bois sont une source d’énergie renouvelable et neutre en carbone qu’il faut encourager, leur combustion dans de mauvaises conditions peut également constituer une part significative de la pollution aux particules fines. Ainsi, en 2018, le chauffage au bois domestique était responsable de 43% des émissions nationales en PM 2,5, ainsi que plus de la moitié des très fines émissions en PM 1,0. Or, plus les particules sont fines, plus elles pénètrent profondément dans l’organisme.Le Centre International de la Recherche sur le Cancer a déclaré en 2013 les particules fines comme étant cancérogènes pour l’homme. Ainsi, les particules fines sont responsables d’environ 40.000 décès par an en France selon Santé Publique France, dont 17.000 pourraient être évités en respectant les valeurs limites recommandées par l’Organisation Mondiale de la Santé.Les principaux facteurs qui influencent la qualité de la combustion du chauffage au bois, et donc les émissions de particules fines, sont :la performance de l’appareil : il faut utiliser un appareil récent, correctement dimensionné et bien entretenu ; l’utilisation d’un combustible de bonne qualité avec un faible taux d’humidité ;les pratiques d’utilisation : il est préférable d’utiliser une méthode d’allumage par le haut, d’éviter une allure de fonctionnement ralentie et de s’assurer que l’apport d’air est suffisant.Le 13 avril 2021, les députés ont voté dans la loi Climat et Résilience l’objectif d’une baisse de 50 % des émissions de particules fines entre 2020 et 2030 dans les territoires les plus pollués, à savoir ceux couverts par un plan de protection de l’atmosphère. Le plan d’action « chauffage au bois domestique performant » permettra de répondre à cet objectif en accélérant le renouvellement des vieux poêles et des vielles cheminées au profit d’équipements performants, en développant l’utilisation de combustibles de qualité et en rappelant les bonnes pratiques d’utilisation des appareils.Ainsi, le plan d’action est décliné autour des 6 axes suivants : sensibiliser le grand public à l’impact sur la qualité de l’air d’un chauffage au bois avec des appareils peu performants ou un combustible de mauvaise qualité. A ce titre, la vétusté d’un appareil de chauffage au bois sera indiquée dans le nouveau diagnostic de performance énergétique et les ramonages, rendus obligatoires une fois par an, seront l’occasion de rappeler les subventions disponibles pour remplacer un appareil peu performant et fortement émetteur de particules fines ;renforcer et simplifier les dispositifs d’accompagnement pour accélérer le renouvellement des appareils de chauffage au bois. 600.000 appareils seront remplacés d’ici 2025 grâce aux aides à la rénovation énergétique des logements (MaPrimeRenov’) et aux fonds air bois mis à disposition par les collectivités territoriales et l’ADEME ;améliorer la performance des nouveaux équipements de chauffage au bois en faisant évoluer le label flamme verte au-delà du seuil « 7 étoiles » pour définir des niveaux de performance plus protecteurs pour la qualité de l’air ;promouvoir l’utilisation d’un combustible de qualité en développant un label pour attester de la qualité du combustible (faible taux d’humidité) et de son origine (issu de forêts gérées durablement). Le marché formel de la bûche représente aujourd’hui uniquement 20 % des bûches utilisées en France. L’objectif est de structurer le marché formel de la bûche pour qu’il représente 40 % des utilisations annuelles, dont 50 % est un combustible labellisé, d’ici 2030 ;encadrer l’utilisation du chauffage au bois dans les zones les plus polluées, en prenant des mesures adaptées aux territoires pour réduire les émissions de particules fines ;améliorer les connaissances sur l’impact sanitaire des particules issues de la combustion du bois.« Un Français sur quatre utilise le chauffage au bois, qui est un mode de chauffage neutre en carbone. Pour la moitié d’entre eux, c’est le principal moyen de chauffage. Je me réjouis de ce constat, tout en restant vigilante sur la performance du chauffage au bois domestique qui est le premier émetteur de particules fines en France. Car une combustion de mauvaise qualité peut émettre jusqu’à 10 fois plus de particules fines, particulièrement dangereuses pour la santé. Le plan d’action que nous proposons vise à œuvrer pour la cause climatique en promouvant un chauffage au bois plus performant tout en améliorant la qualité de l’air, sans les opposer. » Barbara Pompili« En tant que Président du Conseil National de l’air (CNA), je salue l’engagement du Gouvernement pour réduire les émissions de particules fines issues du chauffage au bois non performant. C’est un sujet de santé publique qui préoccupe les membres du CNA et sur lequel nous travaillons en lien étroit avec le Bureau de la Qualité de l’Air du Ministère de la Transition Ecologique. Ce plan d’action, qui s’inscrit dans le prolongement de ce qui a déjà été lancé depuis 2 ans pour aller vers des mobilités plus propres, contribuera à la reconquête de la qualité de l’air de nos territoires les plus pollués. » Jean-Luc Fugit
Il y a 4 ans et 8 jours

La rénovation du centre de Marseille épinglée par la chambre régionale des comptes

Dans un rapport rendu public cette semaine, la chambre des comptes de Provence-Alpes-Côte d'Azur ne ménage pas ses critiques envers la gestion par la Société locale d'équipement et d'aménagement de l'aire métropolitaine (Soleam), entre 2010 et 2018, de la ville meurtrie par l'effondrement d'immeubles insalubres qui avait fait huit morts en novembre 2018.La société, dont l'actionnaire majoritaire est la métropole Aix-Marseille-Provence dirigée par Martine Vassal (LR), a réalisé des opérations globalement "très éloignées des ambitions affichées et des attentes, sans qu'elle puisse en être tenue pour l'unique responsable", note-t-elle."La mainmise totale des collectivités actionnaires sur la Soleam leur permet d'imposer des bouleversements incessants affectant les projets que cet opérateur a engagés et de s'accommoder de leur mise en sommeil pendant de longues périodes", cingle le rapport.Il relève ainsi que les opérations d'aménagement, et notamment l'opération dite +Grand centre-ville+, confiées à la société avec un budget de 230 millions d'euros, qui devaient initialement s'achever en 2020 ont été prolongées jusqu'en 2025."Si quelques aménagements et équipements publics ont pu être réalisés, les objectifs en matière de logements étaient loin d'être atteints: sur les 1.500 logements nouveaux prévus initialement, 31 seulement avaient été réalisés fin 2018"."L'opération de soutien aux requalifications des immeubles par les propriétaires privés n'a pas non plus donné de résultats probants", note la chambre.Par ailleurs, "d'autres opérations, non prévues initialement, telles que la requalification de la place Jean Jaurès, se sont déroulées dans des conditions chaotiques", pointe-t-elle encore à propos de cet ancien parking transformé en aire de jeux mais violemment contesté par certains habitants."De ce fait, les coûts de gestion de cette opération (...) se révèlent particulièrement élevés au regard des chantiers réellement mis en oeuvre, des dépenses et recettes imputées à la concession".Pour la chambre régionale des comptes, la Soleam "a répondu au coup par coup aux demandes de ses collectivités actionnaires, sans réelle vision stratégique de moyen terme". La "multitude" d'acteurs la "cantonne" à un rôle "d'exécutant, davantage que de concessionnaire", déplore-t-elle.
Il y a 4 ans et 8 jours

"Le bâtiment est en retard sur ses objectifs de réduction des émissions", C. Le Quéré

ENVIRONNEMENT. La rénovation énergétique se fait bien trop lentement en France, constate Corinne Le Quéré, présidente du Haut conseil pour le Climat. Pour répondre à la logique bas carbone du gouvernement, il faudrait accélérer la rénovation et la formation.
Il y a 4 ans et 8 jours

Les ventes de Thermador s'envolent au 1er trimestre

Sur les trois premiers mois de l'année, le groupe basé à Saint-Quentin-Fallavier (Isère), en grande banlieue de Lyon, a facturé pour 127,0 millions d'euros de ventes, en hausse de 33,8% sur un an.A périmètre constant, la progression de ses ventes atteint encore 28,0%, selon un communiqué publié jeudi.Par rapport à son niveau du premier trimestre 2019 - comparaison qui permet de gommer l'impact du premier confinement - le chiffre d'affaires de Thermador reste en croissance de 28,7%, ce que le groupe qualifie d'"excellente performance".Il note que, sur douze mois glissants, son activité franchit pour la première fois de son histoire la barre des 400 millions d'euros.Le groupe ne fournit pas de prévisions sur la suite de l'exercice en cours, mais liste une série de facteurs susceptibles d'handicaper son activité dans les mois à venir: le ralentissement de l'économie découlant du nouveau confinement, la fermeture des grandes surfaces de bricolage, les perturbations du trafic dans le canal de Suez par lequel transite une partie de ses approvisionnements, la baisse des mises en chantiers de logements.Côté positif, Thermador note "l'engouement exceptionnel des Français" pour leur maison, leur jardin et leur piscine, trois de ses marchés majeurs. Il se réjouit également du coup d'accélérateur donné par le gouvernement à la rénovation énergétique des bâtiments, un autre de ses grands débouchés.Le titre Thermador, qui a connu ces derniers mois un très beau parcours boursier, s'échangeait jeudi 82,00 euros (+0,61%), non loin de ses plus hauts historiques, à la clôture de la Bourse de Paris. A ce prix, la société était valorisée 754 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 8 jours

Un nouveau directeur pour l’activité “toitures” de Sika

Sébastien Debétencourt est le nouveau directeur de l’activité toitures de Sika. [©Sika] Sébastien Debétencourt vient d’être nommé directeur de l’activité “toitures” de Sika, spécialiste notamment de l’étanchéité. Il officiera sous la responsabilité de Pascal Malafosse, directeur général de Sika France. Il devient aussi membre du comité de direction. Sébastien Debétencourt souhaite développer le marché des toitures et les solutions innovantes proposées par Sika.  « Le lancement prochain de la RE 2020 devrait donner une nouvelle orientation au marché et une impulsion à la demande pour des solutions d’étanchéité plus respectueuses de l’environnement. Nous souhaitons renforcer notre positionnement sur ce marché et la lisibilité de nos solutions durables, que ce soit les propriétés intrinsèques de nos membranes que nos diverses solutions en toitures solaires, végétalisées ou encore les cool roofs. Nos membranes d’étanchéité synthétiques sont particulièrement adaptées pour répondre à ces nouveaux enjeux et Sika dispose d’arguments et de services spécifiques pour répondre aux attentes nouvelles des donneurs d’ordre. Des toitures utiles et durables dans tous les sens du terme est notre démarche. Le marché de la rénovation qui connaît une forte progression constitue aussi une priorité pour nous. Nos solutions de membranes synthétiques ou liquides, légères et rapides à installer y constituent une réponse cohérente », explique-t-il. Son parcours Diplômé de l’université Paris 10 Nanterre en marketing opérationnel international, Sébastien Debétencourt rejoint Sika Mauritius en 2009 en tant que responsable commercial et marketing. Puis, est nommé directeur général en 2015. Il est promu au poste de directeur général de Sika Tunisie en 2017.
Il y a 4 ans et 8 jours

Rénovation en 2034 des logements E: un objectif "inatteignable", selon la profession

Les professionnels de l'immobilier ont jugé  "inatteignable" l'objectif de rénovation en 2034 des logements classés E sur l'échelle de Diagnostic de performance énergétique (DPE).
Il y a 4 ans et 9 jours

Décryptage d'expert : Le BIM, un levier pour améliorer le bilan carbone des bâtiments

Plus qu'une technologie, il s'agit d'une méthode de travail reposant sur le partage d'informations fiables tout au long de la durée de vie d'un bâtiment ou d'infrastructures, autour d'une maquette numérique en 3D.Parmi ses nombreux atouts, le BIM devrait aussi permettre d'améliorer le bilan carbone des bâtiments et de favoriser la rénovation énergétique. Le point sur ces enjeux avec Matthieu FERRUA, directeur de la BIM Factory chez ENGIE Solutions.Pouvez-vous rappeler en quoi consiste concrètement le BIM ?Le BIM est une technologie de maquette 3D qui intègre des données sur tout le cycle de vie du bâtiment, de la conception jusqu'à la déconstruction, en passant par la construction, l'exploitation et la maintenance.Conceptualisé depuis les années 70/80, le BIM a pris son essor dans les années 2000 dans le domaine de la construction industrielle et via certains architectes novateurs comme Frank Gehry, pour faciliter la création de formes architecturales complexes. Ce type de modélisation existait déjà dans l'industrie aéronautique et automobile, mais n'a été utilisé que tardivement dans le secteur du bâtiment, où il s'impose progressivement depuis le milieu des années 2010.Le principal avantage du BIM est qu'il permet de coordonner les données de différents corps de métiers intervenant sur un même bâtiment, qu'il s'agisse de l'architecture, de la plomberie, du génie climatique, de l'électricité...C'est tout l'enjeu du « BIM Management » de s'assurer que ces données, géométriques et d'informations, soient cohérentes, bien ordonnées et partagées le plus en amont possible. Cette mise en commun permet d'anticiper, de mieux visualiser et de s'approprier les ouvrages.Pour le secteur du bâtiment, le BIM est la porte d'entrée dans l'ère de la digitalisation. Il s'agit de rattraper un certain retard car, en comparaison à d'autres secteurs industriels, le monde du bâtiment s'est peu transformé depuis les années 1950. Le BIM est en effet un immense atout pour améliorer la rapidité, la qualité et la modularité des constructions. C'est aussi une composante clé des jumeaux numériques de demain. Nous commençons seulement à en mesurer les bénéfices.En quoi le BIM peut-il améliorer le bilan carbone d'un bâtiment ?Le BIM est un formidable outil pour calculer le bilan carbone d'un projet.Concrètement, la technologie BIM permet de modéliser des « objets BIM », comme une prise, une vanne ou un pan de mur, en y intégrant de l'information, notamment la quantité de carbone associée.Chez ENGIE Solutions, nous avons commencé à utiliser cette technique, au travers de l'offre ValoBIM©, pour optimiser le potentiel de réemploi des composants de bâtiments existants et enrichir les écosystèmes d'économie circulaire.En amont de la phase de déconstruction, un diagnostic des ressources est effectué et intégré dans un modèle BIM, ce qui nous permet de réaliser un rapport exhaustif incluant une mesure du bilan carbone de chaque objet/ressource, afin les valoriser au mieux : réemploi, recyclage, ou récupération d'énergie par incinération. Cette qualification des composants, localisés et quantifiés, nous permet d'élaborer des scénarios de réemploi et d'optimiser le bilan carbone total du projet. Par exemple, sur le projet ENGIE Campus, des économies de 41 tonnes de CO2, soit 304 allers-retours entre Paris et New York, ont été identifiées sur une partie de la phase déconstruction, et plus de 7 372 tonnes d'économies potentielles sur le projet futur, soit 28 424 allers-retours Paris-Londres en avion.Nous utilisons également cette technologie en phase de conception des ouvrages, pour déterminer les gains carbone liés au choix des composants (béton bas carbone plutôt que béton classique, par exemple), de manière à la fois rapide et précise. Pour le dire autrement, le BIM nous aide à identifier les gisements d'économies carbone possibles et donc à faire les choix les plus pertinents d'un point de vue économique et environnemental.Tout ceci est encore très récent. Nous travaillons actuellement avec le SERCE[1] sur l'intégration de cette donnée carbone à l'ensemble de la chaîne BIM. Doit-on calculer le carbone du composant tel qu'il est vendu par le fournisseur ? après transport ? Quid de sa mise en œuvre, de son cycle de vie et de son potentiel de recyclage ? Autant de questions qui méritent des réponses harmonisées entre les différents acteurs du bâtiment.Qu'en est-il de la rénovation énergétique ?C'est un autre atout du modèle BIM pour la transition énergétique du bâtiment. Il permet de réaliser de manière très précise le bilan thermique d'un bâtiment existant ou projeté, à partir de calculs thermiques dynamiques alimentés par le modèle. En les intégrant à la maquette 3D, nous pouvons identifier facilement les travaux les plus pertinents pour améliorer les performances d'un bâtiment. Il s'agit par exemple d'identifier une zone de défaillance thermique ou bien une pièce où l'isolant est mal réparti.Cette méthode d'optimisation énergétique est encore en phase de recherche et développement. Nous l'avons pour le moment testée sur des bâtiments tertiaires d'ENGIE Solutions et les résultats sont prometteurs. Le développement de cette technologie à grande échelle devra prendre en compte les contraintes et spécificités propres à chaque bâtiment et la nouvelle réglementation thermique. Le BIM ouvre de belles perspectives pour l'avenir de la rénovation énergétique !
Il y a 4 ans et 9 jours

L’entrevous « Deltivoutain + CI » d’EDILTECO® France reçoit un avis technique du CSTB et la reconnaissance des professionnels du btp avec le label Sageret

« DELTIVOUTAIN + CI » – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré permettant de limiter les ponts thermiques. Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d’isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1« Planchers et accessoires de plancher » qui ont examiné respectivement ce procédé. Cet Avis Technique, document de référence pour les professionnels de la construction, certifie la bonne conception de l’entrevous, sa conformité aux exigences de chaque chantier, et garantit la durabilité ainsi que l’efficacité du correcteur de pont thermique. De leur côté les professionnels du BTP ont plébiscité cette innovation par le biais de la 9ème édition du concours Sageret, qui vise à élire les meilleurs produits du BTP. Les professionnels ont décerné à EDILTECO® France le label « Élu innovation par les professionnels du BTP », dans la catégorie « Structure, Façade, Maçonnerie », pour le DELTIVOUTAIN + CI. Ce concours qui distingue et récompense les produits et les matériels les plus innovants dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics, est, pour EDILTECO®, un véritable gage de reconnaissance de la qualité et des performances de ses produits par ses pairs. C’est également une distinction qui salue la force novatrice de l’entreprise en matière technique et technologique. UN SYSTEME INGENIEUX Habituellement, les rupteurs sont des éléments indépendants, des pièces supplémentaires aux entrevous que les professionnels ajoutent à leur stock. Pour simplifier cela, DELTIVOUTAIN + CI a été conçu avec un rupteur intégré en sous face et sécable, de manière à faciliter la gestion des stocks et la préparation des chantiers. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre dès sa fabrication un correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main. Parfaitement découpé à la forme de chaque entrevous, le rupteur vient ensuite se fixer sur la partie supérieure du hourdis. Conçu en polystyrène (PSE), une fois mis en œuvre, le rupteur va réduire le pont thermique de la liaison entre le plancher et le mur dans le cas d’une isolation par l’intérieur. Le rupteur sécable sur chaque entrevous corrige le pont thermique créé notamment par la continuité des éléments en béton de la dalle vers le chaînage du mur. Il sépare la partie courante du plancher avec celle du chaînage périphérique et l’interruption locale de la dalle de répartition sur tout ou partie de son épaisseur. Si l’utilisation du rupteur n’est pas nécessaire, la partie sécable reste en place et ne gêne pas la mise en œuvre de l’entrevous. Ce concept innovant de produit « 2 en 1 » permet aux artisans de ne pas avoir à gérer de stock de rupteurs sur leur chantier et génère beaucoup moins de déchets. &nbsp; UNE MISE EN OEUVRE RAPIDE ET PRATIQUE La mise en œuvre de DELTIVOUTAIN + CI est similaire à celle des entrevous en polystyrène classiques, mais plus économique car elle ne nécessite pas de poutrelles périphériques et ne requiert pas de faux entraxe. En effet, l’entrevous de départ est un entrevous complet, non découpé, qui se pose en rive de plancher. Le rupteur sécable va venir se positionner au-dessus de l’entrevous de manière à épouser le chanfrein et assurer une parfaite correction du pont thermique dans le sens longitudinal, en rive du plancher. Il n’est donc pas nécessaire de poser une poutrelle en périphérie du plancher comme lors de l’utilisation de rupteurs longitudinaux « traditionnels ». Dans le sens transversal, de façon identique, le rupteur sécable sera recoupé pour être adapté à la largeur de l’entrevous, afin de juste le recouvrir. Il sera positionné sur la face supérieure afin d’assurer une correction du pont thermique en about de plancher. Afin de garantir le maintien des performances mécaniques, les entrevous ont une épaisseur de corps suffisante. En finalité, une seule découpe sera nécessaire pour la pose de l’entrevous d’arrivée, qui comme celui de départ, sera posé en rive de plancher, sans ajout de poutrelle. L’utilisation d’ancres plastiques sera nécessaire pour assurer le blocage des correcteurs de ponts thermiques lors du coulage du béton de la dalle. La livraison des poutrelles est systématiquement accompagnée d’un plan de préconisation de pose qui fournit les informations nécessaires à la mise en place des rupteurs. &nbsp; CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES – Largeur du rupteur en partie haute : 50 mm – Up 0.27 à 0,15 – Epaisseur des planchers compatibles : 17 – 20 – 25 mm (hauteurs coffrantes intégrant 5 mm de béton) – Entraxe des poutrelles des planchers compatibles : 600 – 630/640 -700 mm – Longueur des pièces CI : 1250 mm à recouper sur chantier – PSE Certifié ACERMI Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d’assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l’isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en œuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation. Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d’une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l’économie d’éléments structurels devenus inutiles.
Il y a 4 ans et 9 jours

Fin des offres d'isolation des combles à 1 euro en juillet

En revanche, "les bonifications pour le remplacement d'un chauffage aux énergies fossiles (fioul et gaz) par des énergies renouvelables" et celles "pour la rénovation performante des logements sont prolongées jusqu'en 2025", a précisé le ministère dans un communiqué.Le "'coup de pouce' pour l'isolation des combles sera diminué au 1er juillet, afin notamment de mettre fin aux 'offres à 1 EUR', qui malgré leurs bénéfices en termes de massification de la rénovation énergétique ont montré leurs limites", a-t-il précisé.L'isolation pour 1 euro des combles ou des planchers est une offre commerciale proposée par des entreprises signataires d'une charte avec le ministère chargé de l'écologie.En juillet, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) avait appelé les particuliers à la vigilance face à des offres de ce type accompagnées de fraudes et de campagnes massives et agressives de démarchage téléphonique.Avec pour objectif de "laisser le marché s'orienter progressivement vers des rénovations plus ambitieuses", le gouvernement a prévu le maintien d'"un coup de pouce 'isolation des combles et planchers'" pour les travaux engagés avant le 30 juin 2022 avec "un soutien important à ces opérations mais en mettant fin aux 'offres à 1 EUR'", indique le ministère."Les 'coups de pouce' pour l'installation de chaudières gaz très performantes et de 'radiateurs électriques performants' s'arrêteront le 1er juillet", ajoute-t-il.Ces évolutions ont été décidées dans le cadre des discussions en prévision de la prochaine période des certificats d'économies d'énergie (CEE) (2022-2025), un des principaux instruments de la politique de maîtrise de la demande énergétique et qui représentent aujourd'hui, selon le ministère, de l'ordre de 4 milliards d'euros d'incitation aux économies d'énergie chaque année.Le dispositif des CEE repose sur une obligation de réalisation d'économies d'énergie imposée par les pouvoirs publics aux vendeurs d'énergie - comme EDF, Engie, Total etc. - appelés les "obligés".Un arrêté définissant les principales bonifications a été publié vendredi.
Il y a 4 ans et 12 jours

En 2020, les crédits attribués à MaPrimeRénov n'ont pas été épuisés

RÉNOVATION ENERGETIQUE. D'après un récent rapport de la Cour des comptes, les crédits attribués à MaPrimeRénov en 2020 n'ont pas été entièrement dépensés. La faute à un rythme de décaissement trop ralenti.
Il y a 4 ans et 12 jours

5ème période des CEE : le Gouvernement précise les évolutions des bonifications

Selon le gouvernement les ajustements aux projets de textes soumis à la consultation début février permettront de mettre fin rapidement aux « offres à 1€ » tout en ménageant une transition pragmatique pour les professionnels et les consommateurs, notamment en conservant temporairement un « coup de pouce » pour l’isolation des combles.Un arrêté définissant les principales bonifications est publié ce jourLes certificats d’économies d’énergie (CEE) constituent un des principaux instruments de la politique de maîtrise de la demande énergétique mise en œuvre par le Gouvernement et représentent aujourd’hui de l’ordre de 4 milliards d’euros d’incitation aux économies d’énergie chaque année.En prévision de la prochaine période des CEE (2022 – 2025), certaines évolutions des différentes bonifications (dits aussi « coups de pouce ») avaient été soumises à la consultation le 9 février dernier et ont pu faire l’objet d’une phase de concertation avec l’ensemble des parties prenantes : énergéticiens, délégataires CEE, associations de consommateurs et de lutte contre la précarité énergétique, professionnels du bâtiment et de l’industrie.En effet, l’un des objectifs de la prochaine période est de renforcer l’efficience générale du dispositif des CEE, en limitant à 25 % du volume total de l’obligation la part des bonifications et « coups de pouce », bonifications qui augmentent les certificats accordés pour certaines opérations afin d’en encourager le développement. Les bonifications seront ainsi recentrées sur les actions qui poursuivent un objectif de décarbonation renforcée, un objectif social ou qui s’accompagnent de garanties de performance.C’est pourquoi les bonifications pour le remplacement d’un chauffage aux énergies fossiles (fioul et gaz) par des énergies renouvelables et les bonifications pour la rénovation performante des logements sont prolongées jusqu’en 2025.A l’inverse, les « coups de pouce » pour l’installation de chaudières gaz très performantes et de « radiateurs électriques performants » s’arrêteront le 1er juillet prochain. De même, le « coup de pouce » pour l’isolation des combles sera diminué au 1er juillet, afin notamment de mettre fin aux « offres à 1€ », qui malgré leurs bénéfices en termes de massification de la rénovation énergétique ont montré leurs limites.Afin de laisser le marché s’orienter progressivement vers des rénovations énergétiques vers des rénovations plus ambitieuses, plusieurs aménagements ont été prévus à l’issue de la consultation :Un coup de pouce « isolation des combles et planchers » sera maintenu pour les travaux engagés avant le 30 juin 2022. Les conditions de ce coup de pouce évoluent au 30 juin 2021 pour conserver un soutien important à ces opérations mais en mettant fin aux « offres à 1€ » Le délai d’achèvement des travaux pour les offres actuelles, engagées d’ici le 30 juin, a été allongé jusqu’au 30 septembre prochain. Pour les travaux qui avaient été engagés avant le 9 février et la mise en consultation des textes, ce délai est même allongé jusqu’au 8 février 2022, pour ne pas pénaliser des engagements commerciaux déjà pris et des opérations déjà planifiéesDe même, le calendrier a été assoupli pour les travaux engagés au titre du coup de pouce carbone pour les sites industriels soumis à quotas carbone qui pourront être achevés avant fin 2025La finalisation du cadre général de la cinquième période des CEE doit faire l’objet d’un décret à paraitre dans les prochaines semaines. Le Gouvernement annoncera prochainement les décisions qu’il retient à ce sujet à la suite de la phase de consultation.L’arrêté est consultable sur le site Legifrance ici :https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000043378689
Il y a 4 ans et 12 jours

Le Bâtiment s'engage aux cotés du Gouvernement à accueillir 15.000 jeunes talents bâtisseurs

Tous les métiers et toutes les fonctions sont concernés par ce dispositif réservé aux demandeurs d’emploi et stagiaires issus prioritairement des quartiers de la politique de la ville (QPV) et réfugiés en situation régulière.Avec le plan « 1 jeune, 1 solution », le dispositif « 15.000 jeunes talents bâtisseurs » s’appuie sur les mesures décidées par le Premier ministre Jean Castex au bénéfice des quartiers lors du dernier Comité Interministériel des Villes. C’est donc une action volontariste qui s’inscrit dans une démarche de long terme pour accueillir, former et stabiliser durablement des compétences au sein du bâtiment et ainsi agir sur l’emploi dans les territoires prioritaires.Pour réussir cette initiative, le ministère du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, le ministère du Logement et le ministère de la Ville, en lien avec les services de l’État, s’engagent à mobiliser les acteurs du service public de l’emploi ainsi que les réseaux associatifs, en lien avec les Conseils Régionaux et les Conseils Départementaux. Cette mobilisation permettra d’identifier 15.000 jeunes et demandeurs d’emplois qui veulent intégrer le secteur, actuellement en forte demande de main d’œuvre. La FFB portera également une attention particulière à l’intégration des réfugiés.La FFB et ses artisans et entrepreneurs adhérents s’engagent à proposer sur l’année 2021-22, à l’échelon national, 15.000 contrats de travail et stages dont des contrats d’apprentissage ou de professionnalisation en vue d’un emploi stable. Par ailleurs, la FFB renforcera ses actions d’information sur les métiers du bâtiment, mobilisera les dispositifs de la profession en matière de formation, de prévoyance et de prévention des risques.Pour Elisabeth Borne : « Derrière cette convention, c’est une nouvelle mobilisation massive qui se met en place pour l’emploi des jeunes et des habitants des quartiers prioritaires L’ensemble du service public de l’emploi sera de nouveau mobilisé pour accompagner les entreprises du bâtiment dans leurs recrutements et leur permettre de se saisir des dispositifs d’aide à l’embauche du plan "1 jeune, 1 solution" ».Emmanuelle Wargon salue : « En première ligne pour construire les logements d’aujourd’hui et de demain, et accompagner l’essor considérable de la rénovation énergétique en France, le secteur du bâtiment confirme aujourd’hui son rôle moteur pour l’emploi et son engagement aux côtés de l’Etat pour favoriser l’insertion professionnelle de tous nos jeunes. »Selon Nadia Hai : « « La vie des habitants des quartiers ne pourra changer qu’avec le développement de l’emploi et le renforcement de l’attractivité économique dans ces territoires. L’opération « 15.000 Jeunes Talents Bâtisseurs » est en ce sens une belle illustration de ce que le gouvernement fait dans les quartiers : agir concrètement et vite pour transformer le quotidien des gens. ».Le président de la FFB, Olivier Salleron, se réjouit : « Avoir de l’ambition pour l’emploi, c’est agir sur l’attractivité du secteur en communiquant sur les possibilités d’embauche et de carrières. C’est aussi afficher auprès de tous que le bâtiment reste un secteur d’avenir, nos métiers sont éternels ! Avec l’opération des « 15 000 jeunes talents bâtisseurs », la FFB prend à cœur son rôle fédérateur et est prête à accueillir les femmes et les hommes qui veulent préparer leur avenir professionnel dans notre secteur d’activité ».
Il y a 4 ans et 12 jours

Rénovation énergétique : "S'impliquer dans cette filière, c'est sauver la planète"

ÉNERGIE. La députée Marjolaine Meynier-Millefert a tenu une conférence sur le thème de la décarbonation du bâtiment à l'École des Ponts ParisTech. Elle a appelé les acteurs du bâtiment à se rassembler et à favoriser la formation, alors que la demande de rénovation explose.
Il y a 4 ans et 12 jours

Sylvania présente une gamme complète de luminaires extérieurs pour baliser, sécuriser et sublimer tous les espaces

Dans les espaces publics, l’éclairage extérieur est indispensable pour assurer la sécurité des biens, mais aussi des personnes lors de leurs déplacements et activités nocturnes. Il joue également un rôle décoratif quand il illumine les parcs, jardins et façades des bâtiments pour les embellir et les scénariser. Néanmoins, en transformant la nuit en crépuscule permanent, l’utilisation excessive de ces lumières artificielles peut avoir un impact négatif sur la biodiversité et la santé humaine. Dès lors, tenir compte de ces nuisances dès la conception ou la rénovation d’installations s’impose pour les prévenir voire les réduire, tout en réalisant des économies d’énergie non négligeables. Pour baliser, sécuriser ou sublimer tous les espaces extérieurs (hôtellerie, restauration, résidentiel, commercial, tertiaire…), Sylvania présente aujourd’hui une large gamme de luminaires LED au service d’un éclairage esthétique, durable et raisonné. &nbsp; Luminaires extérieurs Sylvania : respecter pour mieux révéler Depuis plusieurs années, la réglementation en matière d’éclairage extérieur ne cesse d’évoluer. Ce dernier doit désormais répondre aux exigences définies par : • l’arrêté du 20 avril 2007 relatif à l’accessibilité des personnes à mobilité réduite qui précise que les cheminements extérieurs accessibles doivent disposer d’un éclairement moyen horizontal d’au moins 20 lux, • l’arrêté du 27 décembre 2018 lié à la prévention, la réduction et à la limitation des nuisances lumineuses qui fixe un certain nombre d’obligations à respecter en fonction du type d’installations (publique, privée) et des applications (éclairage destiné à favoriser la sécurité des déplacements, éclairage extérieur des bâtiments non résidentiels, mise en lumière des parcs et jardins…). Parmi ces caractéristiques imposées figurent des horaires d’allumage/d’extinction, la densité surfacique de flux afin de limiter les sur-éclairements et des contraintes techniques telles que l’ULR nominal, le code flux CIE… ou encore une température de couleur ≤ 3000 K. Quelles que soient les applications, Sylvania offre une large gamme de luminaires LED performants pour répondre à tous les besoins d’éclairage extérieur, dans le respect des réglementations en vigueur. &nbsp; Orienter avec Interrata et START Bollard IP65 Pour baliser une allée ou délimiter un endroit à protéger, tel qu’une piste cyclable, Sylvania propose deux nouvelles solutions d’éclairage extérieur. Les nouveaux encastrés de sol LED Interrata sont spécialement conçus pour un éclairage vertical hautes performances (flux lumineux jusqu’à 2075 lm). Proposés en 4 diamètres (de 100 à 260 mm), ils sont disponibles en version fixe et à inclinaison variable, de +/- 30 degrés dans les deux sens, pour offrir un réglage plus précis de l’éclairage selon les applications. Composé d’un anneau rond en acier inoxydable et de vis anti-vandalisme, chaque luminaire bénéficie d’une grande robustesse quelles que soient les conditions météorologiques (température de fonctionnement de -20 à +45°C). Résistants au choc (protection IK10), certains modèles peuvent même supporter une charge statique maximale jusqu’à 2 000 kg et conviennent donc parfaitement pour les zones à trafic piétonnier et routier. Outre leur pot d’encastrement qui rend encore plus rapide leur installation, ils sont fournis avec un pré-câblage de 2 mètres qui assure l’étanchéité. Avec leur forme cylindrique (168 mm de diamètre), leur design élégant et leur finition noire, les bornes START Bollard IP65 apportent une touche contemporaine aux espaces extérieurs tels que les zones commerciales ou résidentielles collectives. Elles sont disponibles en version basse (0,5 m) ou haute (1 m). L’angle de faisceau de 60° dirige leur flux lumineux de 1100 lm vers le bas, permettant de répondre ainsi aux exigences réglementaires. Dotées d’un corps en aluminium hautement résistant au brouillard salin (test 1000 heures) et aux chocs (IK10), elles trouvent leur place aussi bien en ville que dans les régions en bord de mer. A la fois fonctionnels et esthétiques, Interrata et START Bollard IP65 doivent, pour répondre à la réglementation en matière d’accessibilité des personnes à mobilité réduite, être installés avec une distance d’implantation respectivement de 2 mètres pour les encastrés de sol, et de 2,50 à 5 m pour les bornes selon le modèle (bas ou haut). &nbsp; Sécuriser avec Kalani IP66 et START Surface IP66 Afin d’éviter les accidents ou d’éclairer une large surface, les luminaires extérieurs LED de Sylvania s’enrichissent d’une nouvelle gamme de projecteurs LED industriels et de hublots. Délivrant un flux lumineux de 6.200 jusqu’à 41.800 lm et une haute efficacité lumineuse allant jusqu’à 139 lm/W, les projecteurs extérieurs Kalani IP66 constituent un choix idéal pour les équipements sportifs, les parkings et toutes autres zones nécessitant un éclairage très puissant, ou en remplacement des technologies traditionnelles. Robuste de par sa conception en fonte d’aluminium, cette famille complète de luminaires se décline en 5 tailles différentes (de S à XXL), en blanc neutre (4 000 K) et en blanc chaud (3 000 K). Avec des angles de faisceau symétriques ou asymétriques, ils garantissent une excellente qualité de lumière (IRC>80) et une température de couleur homogène (SDCM
Il y a 4 ans et 12 jours

Macron interpellé sur l'obligation de rénovation énergétique

Soixante acteurs ont adress&eacute; une lettre ouverte au pr&eacute;sident Emmanuel Macron, plaidant pour que la r&eacute;novation &eacute;nerg&eacute;tique soit rendue obligatoire "lorsqu&#39;elle est int&eacute;ressante pour les m&eacute;nages".
Il y a 4 ans et 13 jours

Travaux de rénovation de maison : quelles sont les précautions indispensables?

Si vous venez d’acquérir une nouvelle propriété ou tout simplement changer le style de votre architecture, vous pouvez lancer des travaux de renovation maison. Dans cette optique, il est indispensable de faire appel à une entreprise de rénovation de maison pour bénéficier de ses savoir-faire dans ce domaine. A la base, il s’agit effectivement d’un projet de grandes envergures qui nécessite l’intervention de plusieurs corps de métier. Par conséquent, vous devez vous organiser au mieux pour réussir à superviser ces multiples prestations, afin d’écarter d’éventuels problèmes. Gérer les priorités En principe, les travaux de renovation maison consistent à rafraichir votre décoration partiellement ou dans son intégralité. Dans cette optique, les interventions peuvent se résumer en un simple coup de peinture ou s’étendre vers de multiples réparations (plomberie, électricité…). De la même manière, vous pourrez être amené jusqu’à la mise en conformité de votre propriété, afin d’optimiser sa sécurisation. A ce stade, il est nécessaire de mettre en avant la protection des occupants, ainsi que de l’ensemble de vos équipements. Autrement, faire appel à une entreprise de rénovation de maison, vous laissera l’opportunité de respecter les règlements relatifs l’énergie renouvelable. Ainsi, vous aurez l’avantage de bénéficier de ses précieux conseils en conséquence pour le choix des dispositifs appropriés. Il peut s’agir entre autres de : poêles à granuler, pompes à chaleur, ou autres, selon votre besoin. De plus, ces matériels vous permettront de réaliser de l’économie en diminuant vos consommations énergétiques et réduire votre facture. Optimiser la performance de la maison Parmi l’une des priorités durant les travaux de rénovation de maison, les réparations et l’optimisation énergétique font parties des incontournables. Dans cette optique, faire appel à une entreprise de renovation de maison comme sur ce site vous permettra de bénéficier d’une intervention de qualité. A savoir : Evaluation de la performance de votre isolation de toiture et des combles. En effet, la déperdition thermique de votre couverture représente l’une des causes de surconsommation d’énergie domestique. En d’autres termes, une structure présentant un défaut d’étachéité augmentera votre besoin en chauffage de 30 %. Vérification de l’état des murs, des ouvertures et des sols. Après, la charpente, il est essentiel effectivement d’assurer l’isolation de ces parties, afin d’optimiser votre confort et vous permettre de rester bien au sec. Toutefois, il est à noter qu’avec ce type de chantier, l’opération peut nécessiter des travaux conséquents. Mise en place d’un système énergétique, en conformité avec les exigences législatives qui recommandent le changement des anciens chauffages. Planifier les opérations rapides Durant les travaux de rénovation de maison, des petites interventions sont parfois nécessaires pour leur efficacité, afin d’assurer son esthétique et sa performance. Ainsi, faire appel à une entreprise de rénovation maison vous permettra de bénéficier de précieux conseils pour illuminer encore plus vos pièces. Dans cette optique, ce spécialiste vous recommandera de changer ou de poser de nouveaux luminaires. En principe, ces travaux ne demandent pas beaucoup de main-d’œuvre et seront confiés à un électricien qualifié. Toutefois, si vous souhaitez gagner plus d’éclairage naturel, il vaut mieux placer de fenêtres. Pour ce faire, l’artisan effectuera un examen de l’endroit où elle sera installée. A ce titre, une opération sur une vieille maison sera certainement plus onéreuse qu’une intervention sur une demeure moderne.
Il y a 4 ans et 13 jours

CDG Express et RER B: Valérie Pécresse menace SNCF Réseau

"Le conseil d'administration a mandaté ce matin le directeur général d'Ile-de-France Mobilités pour suspendre les péages payés à SNCF Réseau pour les (trains) du faisceau nord, c'est-à-dire les RER B et D notamment, si SNCF Réseau ne réalisait pas en temps et en heure (...) les études qui lui ont été demandées sur la désimbrication des travaux du RER B et CDG Express ", a déclaré Mme Pécresse à des journalistes.La dirigeante a accusé SNCF Réseau de "procrastiner", alors que l'étude est selon elle "indispensable".Les travaux de rénovation du RER B au nord de Paris sont en effet liés au chantier du CDG Express, une liaison rapide qui doit relier en 2025 la capitale à l'aéroport de Roissy, mais celui-ci est toujours menacé par une procédure judiciaire qui doit encore prendre plusieurs mois.Un jugement du tribunal administratif de Montreuil (Seine-Saint-Denis) a en effet stoppé les travaux début novembre 2020 en annulant une dérogation à l'autorisation environnementale permettant de traverser des zones où vivent des espèces protégées.La Cour administrative d'appel de Paris a autorisé la reprise du chantier en mars, mais elle doit encore se prononcer sur le fond."On ne peut pas avoir de plan B", a lancé Valérie Pécresse, rappelant que le projet du CDG Express comprend 500 millions d'euros (sur 2,2 milliards) destinés à l'amélioration du RER B.Elle a dit ne pas vouloir " prendre le risque que dans six mois, la Cour administrative d'appel annule l'autorisation environnementale de 500 millions de travaux de régénération du RER B " ."Il faut absolument qu'on ait plan B si jamais le juge confirmait l'annulation de l'autorisation environnementale, parce que ça voudrait dire repartir pour deux ans de procédure", a-t-elle poursuivi. "Et ça le RER B ne peut pas supporter!""Il faut que SNCF Réseau envisage ce scénario du pire", a insisté Mme Pécresse.Interrogé par l'AFP, SNCF Réseau s'est refusé à tout commentaire.
Il y a 4 ans et 13 jours

Ecoles de Marseille : les marchés globaux de performance seront finalement lancés

REVIREMENT. Alors qu'elles croyaient avoir obtenu gain de cause auprès de la mairie de Marseille, les organisations d'architectes et d'artisans, opposées aux marchés globaux de performance (MGP) prévus pour la rénovation lourde de cinq groupes scolaires, viennent d'apprendre que ces marchés seront passés. La mairie invoque les conditions drastiques du plan de relance.
Il y a 4 ans et 13 jours

Deux ans après l'incendie, Macron sur le toit éventré de Notre-Dame

De 47 m de hauteur, sous un ciel bleu parsemé de nuages, le président contemple le trou béant au milieu de la splendeur gothique, résultat de l'effondrement de la flèche sous l'action des flammes, le 15 avril 2019.Il loue "l'immense travail accompli" en deux ans et la "fierté collective" de voir la "Grande Dame" reprendre corps, mais insiste-t-il: "il va falloir tenir nos objectifs".Casque blanc sur la tête, combinaison grise et masque noir, c'est la première fois que le chef de l'État, accompagné de la maire de Paris Anne Hidalgo, revient officiellement sur les lieux depuis que la toiture et la flèche sont parties en fumée. Mais cette fois, il a pu observer au plus près l'ampleur de la tâche, à laquelle 35 entreprises sont dévolues, pour tenir l'objectif de 2024.L'échafaudage préexistant déformé par l'incendie a été enlevé à l'automne et une plateforme installée autour du toit du transept éventré. Acheminés par un ascenseur, entre 80 et 200 charpentiers, échafaudeurs, cordistes, suivant les tâches à effectuer, se hissent chaque jour sur le célèbre monument.Pierres instablesEn ce moment, ils sont 130, dirigés par une vingtaine d'architectes, à s'atteler avec prudence. "Il y a des endroits très fragiles, comme là où la flèche s'est fracassée et a fracassé la voûte", explique l'architecte en chef Philippe Villeneuve.De la plateforme, des cordistes s'élancent en rappel pour maçonner les pierres instables des voûtes du chœur. Une phase de sécurisation indispensable "pour éviter que les échafaudeurs ne prennent des risques lorsqu'ils vont démonter ces bouts de voûte", explique M. Villeneuve.C'est là même que s'érigera la nouvelle flèche, reconstruite à l'identique de celle ajoutée par Viollet-le-Duc au XIXe siècle. Dès 2024? "Tous les matins, je me lève dans cet objectif-là", veut croire M. Villeneuve, son successeur. "Viollet-le-Duc l'a montée rapidement. Il n'y a pas de raison qu'avec nos moyens modernes, on n'y arrive pas."Après être redescendu du toit et passé par le chœur, Emmanuel Macron, son représentant spécial pour la reconstruction, le général Jean-Louis Georgelin et Anne Hidalgo ont repris un ascenseur pour arriver sous les voûtes.A la croisée des transepts, l'un des charpentiers à l'œuvre sur les voûtes temporaires formule un vœu. "J'espère que ce sera, comme le veut la tradition, le plus jeune ouvrier de la société qui posera le coq" sur la flèche de la cathédrale.2024, objectif maintenu"Nous tiendrons le délai" de rendre Notre-Dame au culte et à la visite en 2024, a affirmé plus tôt sur France Inter le général Georgelin, "ce qui ne veut pas dire que tout sera terminé". La restauration de certaines chapelles sera "peut-être" encore en cours "et, bien sûr à l'extérieur il y aura des travaux", a-t-il prévenu.Quelque 833 millions d'euros ont été recueillis pour cette restauration grâce à une collecte nationale et internationale qui a rassemblé 340.000 donateurs.Si Mme Hidalgo, qui s'est dite "optimiste" sur les délais, et M. Macron mettent de côté leurs différends quand il s'agit de Notre-Dame, deux adversaires politiques, les leaders du Rassemblement national, Marine Le Pen, et de Debout la France!, Nicolas Dupont-Aignan, ont demandé sur Twitter: "Où en est l'enquête?"Deux ans après, les enquêteurs ont terminé leurs investigations dans les décombres, mais une longue phase d'analyse des prélèvements doit encore s'étendre sur plusieurs mois pour essayer de déterminer l'origine du sinistre.Des politiques saluent la reconstruction de Notre-DamePlusieurs responsables politiques essentiellement de droite et la maire socialiste de Paris Anne Hidalgo ont salué jeudi la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de Paris, ravagée il y a deux ans par un incendie. Marine Le Pen a demandé où en était l'enquête.La maire PS de Paris, Anne Hidalgo"Il y a 2 ans, #NotreDame était frappée par un terrible incendie. Alors que la restauration se poursuit, Paris lance un projet de valorisation patrimoniale et d'embellissement des abords de la cathédrale, afin de révéler toute la richesse du site et mieux accueillir les visiteurs" (Twitter).Sur le chantier, elle s'est dite "très impressionnée à la fois sur la partie technique de ce chantier monumental mais aussi par cette ferveur, cet engouement autour de ce défi regardé dans le monde entier". La présidente du RN et candidate à l'Élysée Marine Le Pen (Twitter) "Il y a deux ans, un violent incendie ravageait le cœur de la cathédrale #NotreDameDeParis. Nous gardons tous en mémoire ces images terribles qui nous ont affligés, mais aussi l'héroïsme des pompiers de Paris qui ont sauvé l'édifice. Où en est l'enquête ?" Le président des Hauts-de-France et candidat à l'Élysée Xavier Bertrand (Twitter) "Reconnaissance aux @PompiersParis qui sont intervenus à #NotreDameDeParis et à ceux qui ont contribué pour la reconstruction de ce joyau de notre patrimoine. #NotreDame est une part de l'âme française, merci aux artisans et aux métiers d'art qui permettront sa renaissance". La présidente de l'Ile-de-France Valérie Pécresse (Twitter) "Aujourd'hui 15 avril 2021, deux ans après le terrible incendie de #NotreDame, l'agence des espaces verts régionale offre 60 chênes de qualité exceptionnelle pour la rénovation de sa charpente. Déjà 10MEUR d'aides versées par l'Ile-de-France #EnsembleReconstruireNotreDame" Le chef de file des députés LR Damien Abad (Twitter) "Il y a 2 ans, un monument majeur de notre histoire prenait feu, un des plus éclatants témoignages de notre culture et de notre civilisation. Mais, comme un symbole, #NotreDameDeParis a su triompher des flammes ! #Reconstruction" Le numéro deux du RN Jordan Bardella (Twitter) "Le 15 avril 2019, nous avons dit qu'être Français est avoir eu le cœur qui saigne en voyant brûler Notre-Dame. Merci aux sapeurs-pompiers de Paris d'avoir sauvé l'une des plus belles créations de l'humanité, cette œuvre si française que nous saurons reconstruire et transmettre" Le maire LR de Nice Christian Estrosi (Twitter) "Il y a deux ans, l'incendie de #NotreDame de Paris a suscité un traumatisme et engendré une unité extraordinaire. Je veux rendre hommage aux pompiers engagés ce jour et porte l'espoir que cet édifice renaisse dans le respect de son histoire et son architecture". Le député et candidat à l'Élysée Nicolas Dupont-Aignan (Twitter) "Notre-Dame a tenu. Pas la patience des Français : où en est l'enquête deux ans après ? Nous voulons connaître la cause du brasier qui aurait pu détruire le symbole de nos racines, courageusement sauvé par nos pompiers. Au bout de deux ans, aucune piste... Que nous cache-t-on ?"
Il y a 4 ans et 13 jours

Haussmann de Design Parquet : le charme de l’ancien allié au confort d’aujourd’hui

Tout le monde n’a pas la chance de vivre dans un appartement de style haussmannien cependant il est très facile d’en adopter les codes sans gros travaux lors de la rénovation de son intérieur. Posé en point de Hongrie, le nouveau parquet HAUSSMANN de DESIGN PARQUET est la pièce maîtresse pour métamorphoser son habitat et bénéficier d’un sol élégant, conjuguant charme de l’ancien et confort d’aujourd’hui. Charme et élégance de l’ancien Le nouveau parquet Point de Hongrie Haussmann enrichit la gamme Design Déco de Design Parquet. Il dispose de tous les atouts pour offrir le charme et l’élégance du style haussmannien : couleur brune, aspect brossé et finition vernis satinée, lames présentant des nœuds bouchés et arêtes vieillies. Grâce à ses lames posées en chevron à 45°, le parquet Haussmann capte la lumière et magnifie le sol de toutes les pièces de l’habitat. Confort d’aujourd’hui Proposé en chêne massif et en semi-massif Loft Pro, il conjugue durabilité, stabilité, performances acoustiques et thermiques. En neuf ou en rénovation, il s’invite ainsi dans tous les projets, même les plus exigeants, en revêtant des sols chauffants rafraîchissants hydrauliques basse température, par exemple. De plus, sa finition vernis facilite son entretien au quotidien. En offrant charme d’autrefois et confort d’aujourd’hui, le parquet Haussmann de Design Parquet, a tout pour séduire ! Proposé également en Bâton Rompu, Haussmann ouvre le champ des possibles en matière de style. http://www.designparquet.fr
Il y a 4 ans et 13 jours

Tomra Sorting Recycling et Stadler UK ont été retenus pour le recyclage des déchets de chantiers

Ayant déjà travaillé sur plusieurs projets dans le monde, STADLER et TOMRA ont planché ensemble dès le début pour s'assurer que les installations et les équipements répondraient aux exigences spécifiques de VIRIDOR.Avec sa nouvelle usine, VIRIDOR a pu passer sa capacité de 65.000 tonnes/an à 75.000 tonnes/an (soit 17 tonnes/heure). L'usine fonctionne à pleine capacité. La qualité de la production a été considérablement améliorée grâce aux nouveaux équipements TOMRA.Les matériaux traités arrivent en mélange, ils sont fournis par le Comté de Suffolk. Ils passent d'abord par un process de séparation mécanique, comprenant un tambour de dosage, un séparateur balistique STADLER PPK, un tambour de criblage, des séparateurs balistiques STADLER STT 2000, des aimants overband et des séparateurs à courants de Foucault. Après cette étape de séparation mécanique, vient l'étape de séparation par air, puis le tri avec les capteurs optiques, les machines TOMRA AUTOSORT® tout nouvellement installées.Auparavant, trois trieurs optiques TOMRA étaient déjà en place. Ils ont été remplacés par 11 nouvelles unités TOMRA AUTOSORT®. Sauf une, relativement récente (4 ans), qui a juste nécessité une mise à jour logicielle.Les lignes de production ont été programmées pour séparer les fibres en mélange (matières de type carton, papier en mélange, journaux et brochures) et trier les plastiques par type de polymère (PET, HDPE, plastiques durs, films, pots, bacs et plateau...).Le système AUTOSORT® inclut les toutes dernières technologies de TOMRA pour offrir une précision avancée des tâches de tri complexes à cadence élevée. AUTOSORT® apporte une précision constante pour toutes les fractions de matériaux ciblés, même au sein de flux complexes, là où les technologies conventionnelles sont généralement mises en échec.Le résultat du tri est soumis à un contrôle qualité final avant d'être mis en balles prêtes à être transportées vers les clients finaux basés au Royaume-Uni. Les rebuts sont envoyés à l'incinération, ou en décharge.Grâce à la mise en place de ce nouvel équipement, VIRIDOR bénéficie d'avantages opérationnels tangibles :Augmentation du débit (10.000 tonnes supplémentaires par an)Pureté des fractions obtenues. A titre d'exemple, on obtient un taux quasi parfait, à 98,5%, sur les journaux et les brochures, et à 95% sur les polymères, tels que le PET, le PEHD et les plastiques mixtesGains de rentabilité, résultant du fonctionnement à pleine capacité de l'usineRéduction du risque d'arrêt des installationsFlexibilité de la production, permettant de s'adapter aux évolutions du marché, et des flux de matériaux entrantsBaisse des coûts, grâce au tri du PET et du PEHD effectué sur place, au lieu d'être envoyé dans une autre usine du groupe comme auparavant.Steven Walsh, Ingénieur Commercial chez TOMRA Sorting Recycling, commente : " Nous avons très bien travaillé avec STADLER sur ce projet, ayant déjà collaboré ensemble tant au niveau national et international. Avant la rénovation, ce site de VIRIDOR ne pouvait trier automatiquement que des plastiques et il dépendait du tri manuel pour le carton et le papier. Aujourd'hui, nous avons l'une des usines les plus automatisées du Royaume-Uni. En intégrant les équipements de TOMRA et son expertise technique, VIRIDOR peut produire des matériaux de qualité supérieure prêts à être réintégrés dans l'économie circulaire".Benjamin Eule, Directeur de STADLER UK Limited, ajoute : " Nous avons géré le projet d'ensemble, de la mise à l'arrêt de l'usine à la fourniture d'une solution clé en main plus moderne. Ce fut l'un des délais les plus courts de notre histoire ! Il n'aura fallu que trois mois entre la discussion initiale et la signature des contrats, puis 5 mois encore pour démarrer le projet sur site. En deux semaines de mise à l'arrêt, nous avons tout refait à neuf, à l'exception d'une des trieuses optiques de TOMRA sur laquelle a simplement été téléchargé la dernière version du logiciel. Le projet – y compris la démolition des anciens équipements – a pris 80 jours au total. Nous avons installé une nouvelle charpente métallique, des convoyeurs et tous les composants électriques nécessaires au processus. Nous avons également géré les processus de mise en service. "Derek Edwards, directeur de VIRIDOR RECYCLING, a déclaré : " C'est de loin l'investissement le plus important réalisé sur un site de traitement des déchets de chantiers, en Angleterre, ces dernières années. VIRIDOR se concentre sur le développement d'opportunités pour réintroduire des matériaux issus du recyclage dans le circuit productif. Nous considérons les déchets comme une ressource et, grâce à l'engagement de Suffolk en faveur du recyclage, nous sommes bien placés pour tirer le meilleur parti du recyclage des déchets du Comté du Sufolk, et pour vendre ces matériaux aux clients finaux basés au Royaume-Uni. Le plan d'investissement visait à augmenter la capacité de l'usine, mais aussi à adapter la qualité aux exigences du marché. L'usine dispose des mêmes matières premières qu'auparavant, mais peut désormais traiter 10 000 tonnes de plus par an. Nous sommes ravis de ses performances. "
Il y a 4 ans et 14 jours

2020 : une année hors du commun pour le marché français du bricolage

Alors que les deux premiers mois de l’année 2020 affichent une progression du marché du bricolage dans la continuité de celle de 2019 (+3,4% de son chiffre d’affaires par rapport à 2018), la crise sanitaire a brisé cette dynamique lors du premier confinement. Cependant, dès le mois de Mai, le marché du bricolage a connu des progressions à deux chiffres, bénéficiant de l’engouement des Français pour l’amélioration de leur habitat, valeur refuge en ces temps de pandémie. Cette tendance de fond allant au-delà du rattrapage, le marché du bricolage atteint, en 2020, un chiffre d’affaires de 31 milliards d’euros, soit une progression de 13% par rapport à 2019, tous circuits confondus. La FMB / Fédération des Magasins de Bricolage et INOHA / l’Association des Industriels du Nouvel Habitat décryptent l’étude réalisée sur le marché du bricolage 2020. Le marché du bricolage en 2020 : un essor exceptionnel malgré le contexte difficile et l’interruption liée au premier confinement Malgré les deux premiers mois de l’année marqués par la poursuite des grèves (Gilets Jaunes), le marché du bricolage a continué de progresser. Le premier confinement de mars-avril, avec la fermeture d’une partie des magasins de bricolage et les restrictions de déplacement, a engendré une importante chute des ventes (entre -50% et -60%) et a stoppé cette dynamique. Dès le mois de mai, des progressions de ventes à deux chiffres ont traduit une tendance de fond allant au-delà du rattrapage. En effet, confinés, les Français ont eu le temps de profiter de leur habitat, d’en apprécier ses défauts et d’envisager le réaménagement de celui-ci pour les besoins du télétravail ou tout simplement pour mieux vivre ensemble. Pour certains, l’activité partielle a libéré du temps qu’ils ont mis à profit pour améliorer leur logement ou enfin se lancer dans des travaux sans cesse reportés par manque de temps. Percée du e-commerce La crise sanitaire a bien entendu favorisé la vente en ligne, renforçant logiquement les pure players (+84%). Cependant, les Grandes Surfaces de Bricolage ont orchestré et développé leur omnicanalité comme en témoigne la forte progression de leurs ventes en ligne (+111%). Cette crise a bouleversé la structure du marché. Cela s’est traduit par : • le maintien de la prédominance des GSB (70% des PDM valeur, en léger recul), • la progression des pure players (14% des PDM valeur) et des GSA (3% des PDM valeur), • la stabilité des négoces (13% des PDM valeur, en légère baisse). A noter, avec une part de marché qui atteint les 3%, les ventes en ligne des Grandes Surfaces de Bricolage représentent aujourd’hui un circuit de distribution en soi. 2020 : dynamisme pour presque tous les rayons avec un fort engouement pour l’outillage et la peinture En 2020, la quasi-totalité des rayons profite du dynamisme du marché à l’exception de celui du chauffage (+3%), pénalisé par la douceur des températures. Les grands gagnants sont incontestablement les rayons Outillage (+28%), bénéficiant de l’arrivée sur le marché de nouveaux bricoleurs, et Peinture (+22%) qui, après 3 ans d’érosion, a explosé en 2020. Ils sont suivis par ceux de la Quincaillerie (+20%) et de la Décoration (+16%), boosté par la ruée sur le papier peint. Ces chiffres sont le reflet de l’engouement des Français dans les travaux de rénovation et d’embellissement intérieur, qui sont parmi les plus accessibles. Le rayon Bois & Menuiserie (+6%) affiche également une très belle progression s’expliquant en partie par l’essor du télétravail et la nécessité de créer des espaces adaptés (aménagement de bureaux, rayonnage, &#8230;). Celui du Bâtiment (+6%) a, quant à lui, profité de la montée en compétence des bricoleurs. Les rayons Plomberie/Salles de bains / Cuisine (+9%) et Electricité (+11%) connaissent une croissance plus modérée. Les Français ne semblent pas avoir priorisé l’aménagement de ces pièces, qui nécessitent des travaux techniques importants. Par extension, même si le rayon Revêtements (+5%) est en progression, il a souffert de la moindre dynamique de la salle de bains et la cuisine. Le rayon Jardin (+14%) bénéficie de la météo très favorable lors du confinement du printemps qui se traduit notamment dans les chiffres de ventes de mobilier de jardin et de piscines. 2021 : des perspectives encourageantes En tenant compte notamment de l’épargne des Français (200 milliards d’euros), la politique gouvernementale en faveur de la rénovation énergétique des bâtiments, des comportements des nouveaux bricoleurs et de l’augmentation des transactions immobilières dans l’ancien, l’année 2021 laisse entrevoir des perspectives encourageantes pour le marché. Pour autant, même si le contexte est favorable, la visibilité sur le second semestre reste extrêmement faible en raison des perspectives économiques incertaines (conséquences Covid-19, pénurie des matières premières, etc). « Je me félicite de cette excellente année qui a été possible grâce à l’agilité, la réactivité et la persévérance des industriels mais aussi au dialogue constructif avec les enseignes pour répondre à une demande extrêmement forte des consommateurs. J’ai confiance en l’avenir car les Français font de leur Habitat une valeur refuge, source de leur bien-être ; et je sais la filière solidaire et responsable pour être au rendez-vous » déclare Jean-Luc Guéry, Président d’Inoha. Pour Mathieu Pivain, Président de la FMB, « l’année 2021 est une année hors du commun, qui a été l’occasion pour les GSB de renforcer leur présence sur les ventes en ligne et de conforter leur prédominance sur le marché du bricolage. Cela a été rendu possible en premier lieu par la reconnaissance du caractère essentiel des magasins de bricolage, et par la consolidation réussie de leur omnicanalité. L’enjeu est aujourd’hui, avec la sortie de la crise sanitaire, de continuer d’accompagner au mieux les Français dans leurs projets d’amélioration de leur habitat, et de répondre présent face aux défis de l’économie circulaire et de la lutte contre le changement climatique ». http://www.inoha.org