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Il y a 4 ans et 15 jours

Loi climat et logement : l'Assemblée s'attaque à l'enjeu majeur des passoires thermiques

Il sera d'abord interdit, lors du renouvellement d'un bail ou de la remise en location, d'augmenter le loyer de ces logements classés F et G en performance énergétique, un an après la promulgation de la loi, examinée en première lecture.En 2025 pour la classe G et en 2028 pour la F, ils ne feront plus partie des "logements décents". Selon le gouvernement, 1,8 million de logements seront ainsi interdits à la location.Comme prévu, les députés ont élargi la mesure aux logements classés E en 2034, via un amendement du rapporteur Mickaël Nogal (LREM). Cette décision aura un impact "très important en nombre de logements et l'objectif ne sera pas atteint au rythme actuel et prévisible de la capacité de rénovation de la filière", a commenté mardi le président de la Fédération nationale de l'immobilier (FNAIM), Jean-Marc Torrollion."Interdire la location de logements F et G est une ambition nécessaire. Interdire la location de logements E, représentant à eux seuls un quart du parc de logements actuellement loués, dans un horizon irréaliste, revient à mettre en péril les conditions de logement à moyen terme de près de 5 millions de Français", ont mis en garde dans un communiqué trois organisations de professionnels de l'immobilier, la FNAIM, l'UNIS et l'UNPI.A l'Assemblée, des oppositions de tous bords se sont abstenues en critiquant une "interdiction en trompe-l'oeil" (Vincent Descoeur, LR), car devant passer par un éventuel recours devant la justice."Pensez-vous que quelqu'un qui croupit dans un logement insalubre va avoir pour réflexe d'aller saisir le juge?", a lancé le socialiste Guillaume Garot.Un "faux débat", aux yeux de la ministre du Logement Emmanuelle Wargon mettant en avant l'"obligation légale" de mettre en location un "logement décent" avec la possibilité pour le locataire d'"en appeler à la responsabilité du bailleur"."Marchands de sommeil"Dans la majorité, François Pupponi (MoDem) a reconnu "une avancée", mais "les marchands de sommeil peuvent dormir tranquille. Une personne en situation irrégulière qui loue une chambre avec sa famille ne va pas porter plainte, c'est là où le bât blesse".De l'aveu de tous, la rénovation énergétique de logements est décisive dans la lutte contre le réchauffement climatique. Le bâtiment (logement et bureaux) représente un quart des émissions de gaz à effet de serre en France.Et "aujourd'hui c'est un logement sur six qu'on peut qualifier de passoire thermique, ça veut dire 4,8 millions de logements dans lesquels des ménages ont trop chaud l'été et trop froid l'hiver", a souligné la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili en début d'après-midi.La "cible" du gouvernement est d'atteindre un "parc bas carbone en 2050", pour "l'ancien" comme le "neuf", avec une moyenne de "B", en matière de performance énergétique, rappelle Emmanuelle Wargon.La proposition du gouvernement est jugée insuffisante par la gauche et les écologistes, qui ont plaidé, comme la Convention citoyenne pour le climat, pour des "rénovations obligatoires" d'ici à 2040 et d'importants soutiens financiers pour les ménages.Le gouvernement défend lui l'ensemble des aides disponibles (MaPrimeRenov' notamment) et a ajouté dans la loi un dispositif de soutien bancaire pour les ménages modestes, avec une "garantie partielle" de l'Etat pour les "prêts avance mutations", gagés sur la revente de biens ou lors de la succession.Les députés ont en outre adopté un amendement gouvernemental de "programmation" pour deux périodes de cinq ans, précisant que les aides publiques à la rénovation devront être "stables" , "modulées en fonction des ressources des ménages", avec "un reste à charge financièrement soutenable".Dans la foulée d'un récent rapport, l'Assemblée a aussi voté un "accompagnement individualisé", pour guider les ménages à toutes les étapes de la rénovation.Outre l'interdiction des locations, un amendement MoDem fixe un calendrier d'obligation d'audit énergétique pour les logements mis en vente: en 2022 pour les classes F et G et en 2025 pour les logements E.Comme le font déjà les professionnels de l'immobilier, les propriétaires qui louent ou vendent eux-mêmes leurs biens devront afficher le diagnostic de performance énergétique sous peine de sanction, selon un amendement de Mickaël Nogal (LREM).La définition d'une "rénovation performante" a été précisée: un gain d'au moins deux classes pour atteindre A, B ou C, ainsi que "l'étude" et le "traitement" de "six postes de travaux ": "isolation des murs, des planchers bas, de la toiture, menuiseries extérieures, ventilation, et production de chauffage et d'eau chaude".Un objectif "inatteignable", selon les professionnels de l'immobilierLes professionnels de l'immobilier ont jugé mardi "inatteignable" l'objectif de rénovation en 2034 des logements classés E sur l'échelle de Diagnostic de performance énergétique (DPE), soit un quart du parc immobilier actuel, après l'adoption par le Parlement d'une loi sur l'interdiction à la location des "passoires thermiques"."L'impact est très important en nombre de logements et l'objectif ne sera pas atteint au rythme actuel et prévisible de la capacité de rénovation de la filière", a commenté auprès de l'AFP le président de la Fédération nationale de l'immobilier (FNAIM), Jean-Marc Torrollion.L'Assemblée nationale a voté à l'unanimité lundi soir l'interdiction de la mise en location des logements classés F à partir de 2028 et de ceux classés G à partir de 2025.Les députés ont élargi la mesure aux logements classés E en 2034."Interdire la location de logements F et G est une ambition nécessaire. Interdire la location de logements E, représentant à eux seul un quart du parc de logements actuellement loués, dans un horizon irréaliste, revient à mettre en péril les conditions de logement à moyen terme de près de 5 millions de Français", ont mis en garde dans un communiqué trois associations de professionnels de l'immobilier, la FNAIM, l'UNIM et l'UNPI."En pratique, avec cette nouvelle contrainte, E, F, G, nous allons avoir 12 ans, pour rénover près de la moitié du parc locatif privé en France", ajoutent-ils estimant que la "rénovation des logements E" est "un objectif inatteignable en 2034".M. Torrollion fait état par ailleurs d'"un risque de désinvestissement massif dans le parc privé locatif si les aides ne suivent pas"."Nous pensons que ce qui serait raisonnable c'est qu'après 2028 on tire les enseignements de ce qu'on a réussi à faire et qu'on puisse retarder la mise aux normes des E à 2040", a-t-il ajouté.L'obligation de rénovation reposera sur une nouvelle méthode de calcul du DPE. Elle sera en vigueur à partir du 1er juillet et éliminera la référence à la consommation énergétique sur la base des factures passées pour s'appuyer sur les caractéristiques physiques du logement comme le bâti, la qualité de l'isolation, le type de fenêtres ou le système de chauffage pour attribuer un classement sur une échelle de A à G.Coénove dénonce un nouveau passe-droit pour l'électricitéCoénove dénonce les seuils retenus donnant un avantage indu à l'électricité et visant de manière détournée à massifier l'électrification des usages du bâtiment, sans prendre en compte la question de la sécurité d'approvisionnement ni même le porte-monnaie du consommateur.Conscient des faiblesses du DPE et voulant en faire le « 1er outil de la rénovation énergétique », le Gouvernement a mis en place depuis 2 ans un vaste chantier de fiabilisation en vue de son opposabilité au 1er juillet 2021.Pour atteindre l'objectif de neutralité carbone d'ici 2050, un critère de poids vient compléter l'échelle du DPE : le carbone. Le DPE se définit donc désormais par une double échelle, une pour l'énergie et une pour le carbone, la moins bonne performance des deux venant définir la classe énergétique du logement. Un système en apparence équilibré mais dont les barreaux sont en fait mal calibrés.Imbroglio sur les seuilsPour limiter les sauts de classes entrainés par le simple changement de méthode, la focale a été mise sur les plus mauvaises classes, les F & G dites passoires thermiques. Pourtant au final, 600.000 logements électriques sortiront tout de même de ces classes, sans que leurs propriétaires n'aient réalisé le moindre geste de rénovation... les factures seront donc toujours aussi élevées, le confort toujours autant dégradé.Par ailleurs, le desserrement des exigences énergie notamment sur les classes A et B, les amenant respectivement à 70 et 110 kWhEp/m2.an, soit un relâchement de 40% par rapport à l'exigence actuelle, est totalement incompréhensible au regard de l'enjeu d'efficacité énergétique pour toutes les énergies, sauf à considérer que l'une d'entre elles en est dispensée.Rien en effet ne justifie de relâcher la pression sur les exigences énergétiques, et surtout pas les 2 usages complémentaires du DPE dont le poids est tout relatif. « Sous couvert de fiabilisation, le gouvernement choisit une fois encore de favoriser l'électricité dans le bâtiment, faisant fi des alertes à la prudence sur la pointe hivernale pourtant répétées par RTE » déplore le Président de Coénove Bernard Aulagne.
Il y a 4 ans et 15 jours

Olivier Véran annonce le financement de la rénovation du CHU de Bordeaux

Le ministre de la Santé a annoncé un engagement de l'Etat de 240 millions d'euros pour la restructuration du CHU de Bordeaux, un projet de 800 millions d'euros sur les 10 prochaines années.
Il y a 4 ans et 15 jours

Le label RE2020, "l'amorce de la réglementation d'après" (Philippe Pelletier)

ENTRETIEN. Après l'annonce de la création d'un futur label RE2020, le président du Plan bâtiment durable Philippe Pelletier pose son regard sur l'industrie de la construction et de la rénovation, dans une interview pour Batiactu. Rencontre.
Il y a 4 ans et 15 jours

Juridique : La gestion environnementale des chantiers

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine. Les produits destinés au réemploi ne prennent pas le statut de déchet… [©ACPresse] La Loi Agec a réformé les diagnostics “déchets des bâtiments”, en créant le diagnostic Produits Matériaux Déchets (PMD). Selon cette loi,“les produits et équipements destinés au réemploi ne prennent pas le statut de déchet1”. A cette fin, le diagnostic PMD doit être établi avant tout chantier de destruction ou de réhabilitation significative. Et ce, afin de maximiser le taux de réemploi. Il doit fournir la nature, la quantité et la localisation des matériaux, produits de construction et équipements. Ainsi qu’une estimation de leur état et les possibilités de réemploi sur le site de l’opération ou sur un autre site. Déjà applicable, le diagnostic PMD ne sera obligatoire qu’à compter du 1er juillet 2021. Evacuation et élimination des déchets Si le maître d’ouvrage est responsable à titre principal des déchets générés, une obligation de nettoyage et de remise en état des lieux pèse sur le maître d’œuvre. Ceci, en raison de son obligation de livraison en parfait état. Ce qui suppose l’évacuation des déchets générés. Mais les déchets, même non dangereux, ne s’abandonnent pas simplement dans la nature. Leur transport et leur élimination, voire leur valorisation et leur gestion, sont très encadrés. Le producteur des déchets est tenu d’en faire assurer leur élimination dans des conditions sans effets néfastes pour l’homme ou la nature2. Et leur collecte comme leur transport ne peuvent être assurés que par une entreprise y ayant été autorisée par l’administration3. Bien entendu, ceci n’est le cas qu’à défaut de réemploi. En tout état de cause, des registres doivent être tenus, comme le bordereau de suivi des déchets. Enfin, le déboisement ou l’exploitation de carrières peut être soumis à des autorisations environnementales de la direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (Dreal). Celles-ci font en général partie de l’obtention de permis de travaux. Et sont parfois couplées à des obligations de compensation (reforestation, capture et déplacement des animaux concernés, réintroduction d’espèces protégées…). Performances du bien livré Les intervenants à l’acte de construire ont une obligation de résultat qui englobe la mise en conformité aux exigences réglementaires environnementales. [©ACPresse] Il est exigé du maître de l’ouvrage qu’il justifie, lors de la réalisation d’un bâtiment neuf, de la satisfaction aux performances énergétiques et environnementales déterminées par la réglementation thermique. L’application de la RE 2020, qui a vocation à remplacer la RT 2012, a été reportée au 1er janvier 2022. Cette nouvelle réglementation ne contrôle plus seulement la consommation énergétique des bâtiments neufs, mais aussi leur bilan carbone. Tout en incluant l’analyse du cycle de vie des matériaux et des équipements employés. La RT Existant4, globale ou par élément en fonction de l’ampleur des travaux, est son équivalent pour les opérations de rénovation.Une performance énergétique supérieure aux prescriptions est, quant à elle, récompensée par l’octroi d’un bonus de Coefficient d’occupation des sols (COS)5.Enfin, il existe toute une gamme de labels réglementaires (HQE…) et d’engagements environnementaux volontaires, qui sont intégrés dans les documents contractuels et lient ainsi leurs parties. Le fondement des actions en responsabilité avant réception pour non-respect des exigences réglementaires, tout comme des engagements contractuels environnementaux, est la responsabilité contractuelle de droit commun. En effet, les intervenants matériels comme intellectuels à l’acte de construire sont tenus, avant réception, d’une obligation de résultat qui englobe la mise en conformité du projet constructif aux exigences réglementaires environnementales. Pierre LacoinAvocat à la CourCabinet 1792 Avocats 1L. 541-4-4 Code de la construction et de l’habitation. 2L. 541-2 Code de l’environnement.3L. 541-8 Code de l’environnement.4R. 131-25 et s. Code de la construction et de l’habitation.5R. 111-21 Code de la construction et de l’habitation. Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 15 jours

Prévenir les émissions de poussières sur chantier

Cet article est à retrouver dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine. Les risques poussières les plus importants sont liés à la présence de silice cristalline, que l’on retrouve dans plusieurs composants des travaux de gros œuvre. [©Hilti] Le risque lié aux poussières, présent pour l’ensemble des métiers du BTP, est parfois ignoré. Car il n’est pas toujours visible. Et n’impacte pas de façon immédiate la santé du personnel de chantier ou d’atelier. Au niveau des chantiers de gros œuvre, les sources principales de danger sont identifiées de longue date. C’est en priorité la silice cristalline sous toutes ses déclinaisons. Etant présente à l’état naturel dans le sable et les carrières, on la retrouve en toute logique dans la plupart des composants des travaux de gros œuvre. A commencer par le béton, le ciment, les mortiers, les enduits, les plâtres. Ainsi que de nombreux matériaux complémentaires, comme les carrelages et les faïences. Lutter contre les poussières Lorsqu’elles sont inhalées, les poussières de silice pénètrent facilement dans les poumons. Elles peuvent provoquer des insuffisances respiratoires et des maladies graves, comme la trop connue silicose des mineurs et des carriers. Du fait de l’étendue des matériaux contenant de la silice, de nombreuses professions sont exposées au risque : du tailleur de pierre au maçon, en passant par toutes les actions nécessitant de buriner, de percer, de tronçonner, de rainurer…Les risques liés à l’inhalation de poussières d’amiante, de plomb, de bois… concernent assez peu les entreprises de gros œuvre. Mais peuvent être un problème dans les opérations de rénovation, et plus encore dans des phases de déconstruction.Plus les poussières sont fines, mieux elles pénètrent dans l’organisme et en particulier dans le système pulmonaire. Lorsque leur taille est comprise entre 10 et 100 µm, on estime que les poussières circulent jusqu’aux fosses nasales. De 5 à 10 µm, elles atteignent les bronchioles. Et en-dessous de 5 µm, elles suivent les voies respiratoires jusqu’aux alvéoles pulmonaires. Une réglementation précise La silice sous ses différentes formes (quartz, cristobalite et tridymite) est classée dans la catégorie des agents chimiques dangereux (ACD) définis à l’article R. 4412-3 du Code du travail. De ce fait, les entreprises doivent appliquer les dispositions spécifiques relatives à la prévention des risques chimiques, définies dans les articles R. 4412-1 à R. 4412-57 du Code du travail. Par ailleurs, les articles R. 4412-154 et R. 4412-155 indiquent les valeurs limites d’exposition aux poussières (VLEP), en cas de présence simultanée de poussières alvéolaires contenant de la silice cristalline et d’autres poussières alvéolaires non silicogènes. La concentration moyenne en silice cristalline inhalée par un travailleur pendant une journée de travail de 8 h ne doit pas dépasser 0,1 mg/m3 pour le quartz, et 0,05 mg/m3 pour la cristobalite et la tridymite. Autant ces valeurs limites d’exposition peuvent être mesurées et contrôlées dans des lieux fermés, comme une unité de préfabrication, autant l’approche est complexifiée sur un chantier, par définition ouvert et en évolution permanente. Comme pour l’ensemble des risques professionnels, l’entreprise doit pouvoir évaluer de manière concrète le risque poussières, pour ensuite le traduire dans son Document unique (DU). Les questions qui doivent être posées se situent à plusieurs niveaux : l’activité de l’entreprise expose-t-elle les salariés aux poussières ? Si oui, quelles sont les situations de travail qui exposent les salariés à ces dernières ? A quelle fréquence, quelle durée, quelle intensité les salariés sont-ils exposés ? Les réponses à ces questions doivent permettre de déboucher sur des actions de prévention les plus adaptées, les solutions étant nombreuses. Zoom sur la structure de la silice cristalline. [©INRS] Matériaux, modes constructifs et procédures au cœur du problème La brumisation, une solution efficace en extérieur pour limiter la propagation des poussières. [©DR] Il existe nombre de solutions permettant de limiter l’empoussièrement des chantiers, sachant que les risques doivent aussi être évalués en fonction des ciments utilisés. Les ciments purs (CEM I), mais aussi la grande majorité des ciments au calcaire (CEM II/LL), ainsi que les ciments au laitier produits en France (CEM II/A-S et CEM III) ne contiennent pas de silice cristalline. Seuls, les ciments au laitier et cendres (CEM V) ou les ciments à la pouzzolane (CEM II/A-P ou CEM II/A-M P-LL) peuvent contenir une fraction infime de silice cristalline. Ce sont surtout les opérations de ponçage, de perçage et de rainurage qui sont des sources d’émissions de poussières en quantité variable. Et dont il faut se protéger. Les poussières émises par ces traitements peuvent contenir des éléments de silice cristalline, mais aussi une faible proportion de nanoparticules. Ces dernières années, la commercialisation de ciments, de mortiers, de mortiers-colles et d’enduits à faible émission de poussières contribue aussi à limiter l’empoussièrement des postes de travail. Lorsque ces actions ne sont pas possibles ou difficiles à mettre en œuvre, il faut réfléchir à l’optimisation de l’organisation, visant à limiter l’exposition aux poussières. Notamment, en s’organisant pour réduire le nombre de salariés exposés, pour diminuer leur temps de présence grâce aux rotations de postes. Ou encore en limitant la co-activité entre les différents corps d’état sur le chantier. D’autres pistes peuvent compléter les moyens de prévention, comme la limitation de l’accès aux zones concernées, l’aspiration à la source, la brumisation des zones de travail à risques... Matériels, outillages et protections Le choix des matériels et des outillages entre aussi en ligne de compte. Depuis plusieurs années, les industriels de l’outillage électroportatif font évoluer leurs productions pour intégrer la prévention du risque poussières. Pour les outils électroportatifs, il faut privilégier le matériel à vitesse lente qui produit moins de poussières. Ce dernier doit être équipé d’un système intégré de captage des poussières. Et relié à un aspirateur équipé de filtres adaptés. Des matériels comme les tronçonneuses ou les carotteuses à eau vont dans le même sens. Les perceuses et perforateurs peuvent être équipés de dispositifs d’aspiration et de mèches creuses pour orienter et aspirer les poussières. Pour les meuleuses, des carters d’aspiration sont disponibles. Des ponceuses compactes sont aussi conçues avec un collecteur de poussières, afin d’en absorber un maximum. Les opérations de rénovation lourde impliquent parfois des démolitions et déconstructions partielles. Ces interventions sont sources de risques à plusieurs niveaux : empoussièrement, risques d’écrasement, manutentions importantes… Aussi, elles sont de plus en plus souvent effectuées par des robots commandés à distance, parfois en complément des opérations de sciage. Lorsque toutes les actions de protection collective ne peuvent pas être mises en place, il faut prévoir des équipements de protection individuelle (EPI). Notamment de ceux de protection respiratoire, qui doivent être équipés au minimum de filtres de classe P2. Et obligatoirement de classe P3 pour les activités génératrices de poussières de silice ou de bois durs. Selon les travaux, il faut utiliser un masque jetable anti-poussières ou un masque réutilisable avec filtre de type P, pour des tâches de faible empoussièrement et de courte durée. De nombreux matériels électroportatifs sont équipés d’un système intégré de captage des poussières et reliés à un aspirateur équipé de filtres adaptés. [©Fischer] Sensibiliser l’encadrement et le personnel Lorsque des protections collectives sont inadaptées à la situation, le port d’EPI est indispensable. [©OPPBTP] Comme pour l’ensemble des risques professionnels, l’encadrement se doit d’informer et de sensibiliser le personnel aux travaux sources de poussières et aux mesures de prévention à adopter. Pour ce faire, il est nécessaire d’établir une notice de poste pour chaque situation de travail exposant les travailleurs à des agents dangereux, tels que les poussières. Cette notice est destinée à informer les salariés des risques auxquels leur travail peut les exposer et des dispositions prises pour les éviter. La notice rappelle les règles d’hygiène, ainsi que les consignes relatives à l’emploi des équipements de protection collective ou individuelle. La sensibilisation passe aussi par des actions d’information et par l’édition de messages réguliers, afin que les mesures de prévention deviennent des automatismes, au niveau de l’encadrement, du personnel de chantier et d’atelier. Pour les entreprises de moins de 50 salariés, il existe aussi des dispositifs d’aides financières spécifiques. L’assurance maladie propose l’aide “Bâtir +” pour améliorer la sécurité et l’hygiène sur les chantiers du BTP. Les Caisses d’assurance retraite et de santé au travail (Carsat) peuvent aussi intervenir au niveau financier auprès des petites entreprises grâce aux “Subventions prévention TPE/PME”. Enfin, comme le démontre une enquête réalisée il y a quelques années par l’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP), l’investissement dans des mesures efficaces de prévention protège le personnel, améliore les conditions de travail… Et par suite, la productivité de l’entreprise. Il aura fallu du temps pour que ce lien évident soit reconnu, car on peine toujours à admettre que des “dépenses” de prévention représentent en fait un investissement pour l’entreprise.   Gérard Guérit Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 4 ans et 15 jours

Le Musée de la Chaussure retrouve son charme d’antan grâce aux tuiles Edilians

En juin 2019, un violent orage de grêle traverse le département de la Drôme provoquant d’importants dégâts dans de nombreuses communes parmi lesquelles Romans-sur-Isère. La ville voit un grand nombre de ses monuments historiques endommagés, les toits abîmés. Classée en état de catastrophe naturelle, elle entreprend alors d’importants travaux de réparation de ses bâtiments emblématiques dont la rénovation globale des toitures du Musée de la chaussure avec les tuiles Delta 10 Ste Foy et Canal 50 Restauration Poudenx d’Edilians.   Un patrimoine à préserver Située entre Grenoble et Valence, Romans est chargée d’histoire. Le cœur de la vieille ville abrite des ruelles étroites et nombre de patrimoines tels que la collégiale Saint-Barnard, élevée à l’emplacement d’une abbaye fondée en 838 sur les bords de l’Isère, ou encore son Musée international de la chaussure, installé dans l’écrin prestigieux de l’ancien couvent de la Visitation. Après la tempête de grêle de juin 2019, le Musée de la chaussure, qui expose une exceptionnelle collection de 16.500 souliers en tout genre, se retrouve contraint de fermer ses portes au public. Deux mois plus tard, la mairie lance un appel d’offres pour réparer non seulement les dommages subis par le musée mais également par l’ensemble des édifices sinistrés, classés à l’inventaire des monuments historiques, en commençant par la collégiale. Les Architectes des Bâtiments de France sollicitent alors Eric Sirvent, responsable commercial d’Edilians en charge de ce secteur, pour leur présenter différents modèles de tuiles Canal destinées à la couverture de l’église. Séduits par l’esthétique de la Canal 50 Restauration Poudenx, ils décident finalement de l’utiliser plutôt pour restaurer une partie des toitures du Musée de la chaussure. Rappelant les véritables tuiles d’autrefois, elle leur permet, en plus, de respecter l’une des clauses du cahier des charges de la ville : une reconstruction à l’identique afin de pouvoir bénéficier des indemnités prévues par les assurances dans le cadre d’une catastrophe naturelle.   Restaurer tout en respectant l’histoire Spécialisée dans la rénovation et partenaire d’Edilians depuis plus de 30 ans, l’entreprise Chovin remporte l’appel d’offres de la ville de Romans-sur-Isère et se voit confier la rénovation de la totalité de la charpente du Musée de la chaussure avec pour mission de respecter l’esthétique d’origine de ce patrimoine ancien. Pour ce faire, les architectes des Bâtiments de France ainsi que ceux de la commune valident deux types de tuiles terre cuite d’Edilians. Avec son grand moule faiblement galbé à relief, la tuile à emboîtement Delta 10 Ste Foy, en coloris rouge, remplace fidèlement les tuiles plates Saint-Vallier de la structure centrale du Musée. Une fois enlevées les plaques de fibrociment revêtues d’amiante découvertes en sous-toiture, la tuile Canal 50 Restauration Poudenx recouvre les deux autres ailes à 4 pans du site, dotées d’une pente de toiture de 36% environ. Issue de la Sélection Patrimoine, cette tuile canal à tenons a été posée dessus/dessous afin d’épouser parfaitement la forme des nouvelles plaques ondulées et ainsi renforcer l‘étanchéité. « Choisie en coloris Antique, elle se marie à la perfection avec les bâtiments environnants » souligne Nicolas Robin, gérant de l’entreprise Chovin. Au total, 2.865 m2 de tuiles terre cuite Edilians dont 1.910 m2 de Canal 50 Restauration Poudenx et 955 m2 de Delta 10 Ste Foy ont été mises en œuvre par trois charpentiers couvreurs de l’entreprise Chovin, à raison de 50 m2 par jour. Frontons, rives, faîtières et closoirs d’étanchéité complètent cet ensemble composé de plus de 30.000 tuiles.   Après plus de 6 mois de travaux, le Musée de la chaussure qui a pu ouvrir ses portes en temps et en heure en juillet 2020, attend désormais la fin de la crise sanitaire pour accueillir à nouveau des visiteurs. Nul doute qu’ils seront charmés par la qualité de la restauration à l’identique des toitures, à l’image de la ville de Romans-sur-Isère qui envisage de rénover la chapelle du musée ainsi qu’un monastère situé à proximité avec les mêmes prescriptions. http://www.edilians.com
Il y a 4 ans et 15 jours

La protection des bétons

Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine L’îlot Saint-Urbain à Strasbourg. Chaque bâtiment bénéficie de sa propre teinte. Des lasures signées Keim. [©Keim] Depuis maintenant un an, les masques sont entrés dans notre quotidien. Se protéger des virus, protéger les autres… Tel est son rôle. Le béton, lui, est habitué depuis bien longtemps à accueillir une protection contre les diverses agressions de son environnement. Appliqués à jeune âge, lors de la construction ou en rénovation, ces produits existent sous différentes formes et répondent à une multitude de problématiques. Mais aussi, à la folie architecturale en fonction de ses attributs. Tour d’horizon des protections pour béton. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Retrouvez cet article dans le n° 93 de Béton[s] le Magazine
Il y a 4 ans et 16 jours

Propreté à Paris : "le premier geste écologique, c'est une ville propre", selon Valérie Pécresse

"Le premier geste écologique, c'est d'avoir une ville propre, c'est la propreté, c'est de nettoyer sa ville", a déclaré la présidente divers droite de la région, favorite pour conserver son poste aux prochaines régionales selon un sondage Ipsos diffusé samedi.Alors que l'exécutif municipal accuse la droite et l'extrême-droite d'être derrière une "campagne de dénigrement", Mme Pécresse répond qu'"à l'origine du mouvement #saccageParis, les journalistes de TF1 ont trouvé des citoyens, des citoyens qui ont posté un hashtag sur Internet. Alors bien évidemment, l'opposition parisienne s'en est saisie".Jeudi sur RTL, Anne Hidalgo a accusé Pierre Liscia, candidat divers droite aux dernières municipales dans le XVIIIe arrondissement et porte-parole dans la capitale de Libres!, le mouvement de Valérie Pécresse, d'être "derrière beaucoup" des comptes Twitter à l'origine de cette "campagne très orchestrée".Pierre Liscia "défend les Parisiens, il défend ces citoyens qui aimeraient tellement que leur ville soit propre", lui objecte Mme Pécresse qui affirme que Paris est "la seule ville qui n'a pas demandé à bénéficier du fonds propreté de la région Île-de-France", doté de 4 millions d'euros. "Et bien, elle devrait le faire."Anne Hidalgo a promis d'engager "avant l'été" la décentralisation de certaines compétences, dont la propreté, de la mairie centrale vers les 17 mairies d'arrondissement. Elle a aussi maintenu vouloir doubler, au cours de son second mandat, de 500 millions à 1 milliard d'euros le budget dédié à l'entretien et à la rénovation des rues de la capitale."Il ne saurait y avoir un transfert de compétences sans un transfert des moyens et des effectifs!", rétorque dans un communiqué publié lundi le groupe d'opposition LR. Pour ce faire, le groupe Changer Paris réclame "une réorganisation de la direction de la propreté" et "une modernisation des outils".
Il y a 4 ans et 16 jours

Travaux de toiture : quels sont les éléments indispensables à respecter?

A la base, il est important de noter que votre charpente joue un rôle stratégique dans la structure de votre maison. En effet, elle contribue à la protection des occupants tout en assurant votre confort intérieur. De plus, elle vous offre une grande qualité esthétique en rehaussant le design extérieur de votre immeuble. Autrement dit, il est crucial de réaliser de manière systématique vos travaux de toiture, si vous souhaitez garantir sa longévité. Toutefois, vous devez noter que ces opérations se passent en hauteur, ce qui nécessite un certain sang-froid et une grande capacité de résistance aux pressions. Par conséquent, il est recommandé de faire appel à une entreprise de couverture pour mener à bien votre chantier. Les normes à suivre Dans la pratique, les travaux de toiture sont des opérations très complexes qui demandent une grande maîtrise technique. En effet, une petite erreur de calcul peut engendrer de graves conséquences notamment pour les vieilles maisons. Leurs charpentes présentent une certaine fragilité qui risque d’entraîner facilement leur affaissement ou de favoriser les infiltrations dans le cas d’un toit-terrasse. Recourir au service d’une entreprise de couverture comme https://www.travaux-toiture-31.fr/ vous permet ainsi de bénéficier d’une prestation de qualité. Pour ce faire, ce professionnel respectera les étapes suivantes pour réaliser la rénovation de votre charpente : Evaluation de l’état de votre armature, Diagnostic de l’existant, Planification des interventions utiles en tenant compte de la forme du toit, l’ensemble des revêtements récupérable, le type d’isolation. Préparations du chantier (papiers administratifs…), Dépose de la toiture, Les formalités administratives indispensables Dans la plupart des cas, les propriétaires préfèrent garder les mêmes types de couvertures, en cas de remplacement lors des travaux de toiture. Dans cette optique, vous n’avez pas besoin remplir des formalités administratives. Autrement, faire appel à une entreprise de couverture qualifié vous offrira l’avantage de bénéficier de précieux conseils dans les trois scénarios qui suivent. Et ce, compte tenu du fait qu’ils visent particulièrement à transformer l’aspect esthétique ou la disposition de votre propriété. A savoir : la vision extérieure du revêtement ou de la charpente. En effet, quand vous décidez de changer de style de votre architecture ou d’implanter de nouveaux accessoires, il est nécessaire de faire une déclaration auprès votre localité. la surélévation ou l’ajout d’un étage nécessite une demande de permis de construire. le changement de la structure extérieure de toute votre bâtisse requiert l’obtention d’un visa de la part de votre mairie. Notamment si vous sous situez à proximité d’un monument et d’un parc régional. Il vous informera à l’occasion qu’il est impératif de prendre une autorisation pour l’utilisation d’un échafaudage durant l’intervention, particulièrement s’il vient empiéter sur la voie publique. L’importance de la performance de votre toiture De façon concrète, vous devez noter que votre revêtement assure en moyenne 30 % du maintien de la chaleur dans votre maison. De ce fait, si vos travaux de toiture sont mal faits, vous verrez votre facture d’énergie augmenter exponentiellement. Ainsi, faire appel à un professionnel en travaux de toiture vous permettra de profiter d’un bon système isolation par extérieur, si vous le souhaitez. Vous aurez aussi l’opportunité de bénéficier de plus d’espaces habitables tout en préservant votre confort thermique. Il peut également vous conseiller d’utiliser des panneaux photovoltaïques, pour vous laisser la possibilité de produire votre propre énergie renouvelable. Ce qui favorisera la diminution de votre consommation. De plus, vous aurez l’avantage d’avoir belle maison dotée d’une esthétique moderne et à la fois élégante.
Il y a 4 ans et 16 jours

L'accompagnateur rénov va "mettre de la sécurité et de la confiance", Olivier Sichel

ENTRETIEN EXCLUSIF. Accompagnateur rénov, financement du reste à charge, incompréhension avec les architectes et certains artisans : Olivier Sichel, auteur d'un rapport sur la rénovation des passoires thermiques, s'explique dans les colonnes de Batiactu.
Il y a 4 ans et 19 jours

namR, la start-up qui connaît tout du bâti français

Risque climatique, rénovation énergétique… namR se présente comme une puissante aide à la décision. Sa force : des données contextuelles, géolocalisées et interopérables sur chacun des bâtiments de l’Hexagone.
Il y a 4 ans et 19 jours

Quartier de la Dame Blanche à Garges-lès-Gonesse : 194 logements à rénover

La copropriété de la Résidence Fabien, dans le quartier de la Dame Blanche Ouest, fait l’objet d’une deuxième phase de rénovation dans le cadre du plan de sauvegarde.
Il y a 4 ans et 19 jours

JO-2024 de Paris : le village des médias a-t-il la poisse ?

Avec le village des athlètes et le centre aquatique olympique (CAO) de Saint-Denis, le village des médias fait partie des chantiers amiraux des JO-2024. Leur lancement s'échelonne sur 2022 et tout doit être bouclé pour décembre 2023. Construit sur les communes de Dugny, La Courneuve et Saint-Denis, et sur une partie du parc départemental Georges-Valbon, le village des médias doit accueillir techniciens et journalistes du monde entier à l'été 2024, avant d'être transformé en éco-quartier de 1.300 logements."La Seine-Saint-Denis a besoin de logements", répètent en coeur élus et aménageurs, qui réclament la part "d'héritage" promise par les JO pour ce département très pauvre.Un argument martelé en septembre dernier quand le village des médias semblait menacé au milieu de discussions des organisateurs visant à faire des économies. Il sera finalement construit en deux fois, avant et après 2024. Mais, la suspension ordonnée mardi par la Cour administrative d'appel de Paris fait figure de premier obstacle judiciaire dans le mécano des JO. Jusqu'ici, seul un échangeur autoroutier à Saint-Denis avait donné lieu à une procédure, mais les travaux avaient pu reprendre."Regarder l'impact""Il faut regarder l'impact sur le calendrier et les suites", explique pudiquement la Solideo (Société de livraison des ouvrages olympiques), affairée depuis mardi soir à éplucher l'ordonnance en référé qui a suspendu une partie de l'autorisation environnementale délivrée par le préfet de Seine-Saint-Denis en novembre 2020.Celui-ci peut représenter une autorisation, en attendant un recours au fond qui prendra sans doute plusieurs mois. Depuis un an, le directeur général de la Solideo, Nicolas Ferrand, l'assure: malgré le confinement, "les délais sont tenus". Chargée de construire les ouvrages pérennes pour les JO, elle supervise 62 ouvrages allant du village des athlètes à des rénovations de gymnases, en passant par des ponts et passerelles.S'agissant du village des médias, le temps presse néanmoins.Selon les termes de l'ordonnance, la Solideo et la préfecture de Seine-Saint-Denis, ont défendu l'urgence des travaux, car "les tâches de viabilisation réalisées doivent impérativement être effectuées avant la mise à disposition des lots aux opérateurs immobiliers, dont le début des chantiers doit se faire au plus tard le 30 septembre 2021".En clair, les lots ont été attribués à des promoteurs et doivent être viabilisés d'ici septembre, afin d'être à l'heure pour les Jeux.JO prétextePour les deux associations qui ont saisi la justice (le Mouvement national de lutte pour l'environnement MNLE 93 et le Collectif pour le Triangle de Gonesse), il s'agit d'une opération d'aménagement nocive pour l'environnement, avec les JO en guise de prétexte.A cet égard, le juge des référés a mis en avant le fait qu'il n'est pas avancé de "solutions alternatives permettant de limiter l'atteinte portée aux espèces protégées et, en particulier, d'éviter l'urbanisation, sur une superficie d'environ huit hectares, de la frange sud-ouest de l'aire des Vents laquelle pouvait en tout état de cause faire l'objet d'une réhabilitation adaptée à son état"."On est dans l'aménagement du territoire plus que dans les Jeux", reconnait l'un des acteurs du dossier. Quant un autre concède "des difficultés" sur le village des médias, "depuis la candidature" de la France aux JO. "En même temps, politiquement, ce serait compliqué d'y renoncer", commente une autre source.Interrogé par l'AFP, le conseil départemental de Seine-Saint-Denis n'a pas encore réagi.Autre péripétie autour du village, la plus grande incertitude règne autour de sa desserte via la ligne 16, au Bourget, qui a peu de chance d'être prête à temps.De son côté, le comité d'organisation Paris 2024, chargé d'organiser les épreuves, dont l'épreuve de tir non loin du village des médias, n'a pas souhaité s'exprimer.
Il y a 4 ans et 19 jours

Carglass Maison repris par Mutares et HomeServe

Ces deux acteurs sont actionnaires respectivement à hauteur de 80 et 20 % du spécialiste dans les travaux de rénovation, de réparation et de dépannage d'urgence à domicile.
Il y a 4 ans et 20 jours

Travaux de toiture : les éléments indispensables pour la réussite de votre projet

Dans la pratique, les travaux de toiture peuvent être limités sur de simples nettoyages ou démoussages des tuiles ou d’ardoises. Autrement, dans certains cas, ces opérations nécessitent le remplacement des revêtements en passant par la réfection de votre charpente. Pour ce faire, les professionnels doivent respecter certaines conditions et subissent d’énormes pressions, afin de mener à bien leur mission. Par conséquent, la réalisation de ces tâches demande une grande polyvalence de leur part. C’est pourquoi, il est impératif de faire appel à un couvreur compétent pour assurer la supervision de votre chantier, afin d’écarter tout danger. Finalité des travaux de toitures Il est bon de noter qu’un projet en travaux de toiture coûte relativement cher ; donc, il ne serait pas sage de vous lancer dans une telle aventure sur un coup de tête. Autrement dit, il s’agit d’une intervention qui devrait être préparée à l’avance, afin de vous éviter d’être pris au dépourvu. En effet, dès que vous constatez une fuite dans votre revêtement, un plan de rénovation peut éventuellement s’imposer pour vous mettre à l’abri d’un risque d’inondation. Et avant d’arriver à ce stade, il serait plus malin de faire appel à une entreprise de couverture qualifiée pour entretenir de manière systématique votre charpente. Au fil des ans, les tuiles ou les ardoises finissent effectivement par se dégrader et perdent leur étanchéité. Ainsi, l’intervention de l’expert permet de détecter au préalable les failles sur votre armature et de procéder rapidement à leur remplacement. Dans d’autres circonstances, une rénovation complète de votre structure s’avère nécessaire, afin de garantir sa performance. Ce sera l’occasion pour vous de changer l’aménagement de vos combles, en surélevant vos charpentes et obtenir ainsi plus d’espaces. Prix des travaux de toitures En général, la formule proposée ainsi que le tarif varient selon l’entreprise sollicitée. Mais dans l’ensemble, les professionnels en travaux de toiture à l’exemple de cette entreprise de couverture en Suisse que vous pouvez contacter sur ce site estiment les couts des opérations par rapport aux critères suivants : La surface du support à traiter, compte tenu du temps et des produits nécessaires. L’état de votre revêtement, puisque c’est l’élément principal qui déterminera le type d’intervention adéquat (démoussage et/ou renouvèlement). La gamme de matériaux (tuiles, terre cuite, ardoises naturelles, béton, synthétiques…) pour évaluer leur coût et la technique de pose requise. Le budget représente réellement un poste important pour assurer le succès de votre projet, dans la mesure où sa concrétisation dépendra de vos moyens financiers. Par conséquent, avant de faire appel à une entreprise de couverture, vous devez penser à demander un devis et effectuer un comparatif pour choisir la meilleure offre. L’isolation en travaux de toitures Cet aspect constitue également une part non négligeable pour garantir la réussite de vos travaux de toiture. Un bon système d’isolation permet de préserver le confort de votre habitat, en ne laissant pas la chaleur s’échapper à travers votre structure. Si c’est le cas, votre maison consommera plus d’énergie, ce qui fera augmenter votre facture, tout en limitant votre confort thermique. C’est la raison pour laquelle, il est important de faire appel à une entreprise de couverture pour prendre en charge votre chantier. Pour ce faire, il optera entre trois sortes de systèmes : Le dispositif par l’intérieur, L’isolation par l’extérieur, Le mécanisme par soufflage réservé aux combles inhabités.
Il y a 4 ans et 20 jours

Emmanuel Macron interpellé sur l'obligation de rénovation énergétique

Cette large alliance inclut la CFDT, l'Association des maires de France (AMF), le Crédit Mutuel, l'Association des industries des produits de construction (AIMCC), le Réseau Action Climat, l'association de consommateurs CLCV, ou encore des élus locaux et européens."Monsieur le Président, l'incitation actuelle à des gestes de travaux dispersés et non coordonnés gaspille les fonds publics et ne permettra pas d'atteindre les objectifs nationaux 2030-2050. Tout le monde s'accorde sur le fait que sans obligation de rénovation, la transition climatique est vouée à l'échec", écrivent-ils.Nourris de retours d'expériences de rénovations réussies, ils proposent "un mécanisme innovant", jugé "pragmatique, progressif, et acceptable socialement": "l'obligation conditionnelle de rénovation performante"."Un ménage, y compris très modeste, ne se verrait contraint à la rénovation énergétique que s'il dispose d'offres techniques et d'une proposition financière permettant de préserver ou améliorer son pouvoir d'achat tout en maîtrisant sa trésorerie (économies d'énergie permettant de financer l'emprunt). L'obligation s'élargira à mesure que les entreprises du bâtiment et du secteur financier proposeront des offres plus pertinentes", explique le courrier."Deuxièmement, l'obligation vise la performance. Nous demandons que soit inscrite dans la loi une définition adéquate de la rénovation performante: un bâtiment rénové performant est un bâtiment atteignant le niveau BBC rénovation ou équivalent (classe A ou B)", précise-t-il.Les signataires proposent "que les acquéreurs de maisons de classes F et G (une centaine de milliers par an) soient systématiquement accompagnés pour choisir les offres techniques et financières les plus pertinentes". Ils suggèrent "la même démarche dans les copropriétés, quelle que soit leur classe énergétique, lors de +faits générateurs+ comme le ravalement de façade"."Les tribunaux viennent de condamner l'État pour inaction climatique", rappelle la lettre. "La Convention citoyenne pour le climat demande une obligation de rénovation. Le Haut conseil pour le climat vous recommande de le faire. Vos parlementaires eux-mêmes sont prêts à prendre leur responsabilité. Qui plus que vous aura cette légitimité à lancer cette dynamique?", demandent-ils au chef de l'Etat.Cette proposition est aussi signée notamment par l'Association nationale des Compagnons Bâtisseurs, la Fondation Abbé Pierre, la Fondation Hulot, l'Institut négaWatt, Enercoop, ou le groupe de BTP Rabot Dutilleul.
Il y a 4 ans et 20 jours

Fortement critiquée sur l'entretien de Paris, Hidalgo promet d'engager la décentralisation "avant l'été" pour plus d'efficacité

"Je ne pense pas qu'on puisse s'occuper, par exemple, de problèmes de propreté au quotidien dans les quartiers depuis un niveau central qui est l'Hôtel de Ville de Paris. Donc c'est une compétence que je veux déconcentrer, c'est-à-dire que les maires d'arrondissement aient les moyens d'organiser dans leurs arrondissements les tournées de propreté", a affirmé Mme Hidalgo, réélue en 2020 et candidate potentielle de la gauche à l'élection présidentielle de 2022.Cette décentralisation, les 17 maires d'arrondissement "vont l'avoir très rapidement", a assuré l'élue socialiste. "Avant l'été, nous allons engager cette décentralisation, pas que sur la propreté.""La décentralisation est une façon d'aller vers plus d'efficacité: plus on est dans la proximité pour gérer des questions de proximité, mieux, je crois, on s'en sort", a encore déclaré la maire de Paris, qui a maintenu son engagement de campagne de doubler au cours de son second mandat de 500 millions à 1 milliard d'euros le budget dédié à l'entretien et à la rénovation des rues de la capitale."Donner la propreté aux arrondissements sans donner les moyens qui sont consacrés, ça n'a aucun sens", a réagi la maire LR du 7e arrondissement Rachida Dati lors d'une conférence de presse préparatoire au prochain Conseil de Paris."Mettre un milliard d'euros sur la propreté sans réorganisation, sans vision, sans modernisation, c'est encore de l'argent jeté par les fenêtres", a-t-elle poursuivi.Depuis fin mars, l'exécutif parisien fait face à ce qu'il qualifie de "campagne de dénigrement" sur les thèmes de la propreté, mais aussi de l'entretien et des choix du mobilier urbain, sous le mot-dièse #saccageParis qui circule sur Twitter.Sur RTL, Anne Hidalgo a accusé Pierre Liscia, candidat divers droite aux dernières municipales dans le XVIIIe arrondissement, d'être "derrière beaucoup" des comptes Twitter à l'origine de cette "campagne très orchestrée"."Sur les 5 jours où cette campagne a pris forme, il y a eu 5.200 tweets à auteur unique. Mille tweets par jour, ce n'est rien", affirmait mercredi à l'AFP le chercheur Carlos Moreno, proche de Mme Hidalgo.Pour cet urbaniste, conseiller spécial pour une "ville intelligente" à la mairie de Paris, il y a derrière #saccageParis "une vraie problématique autour des déchets, de la propreté, de l'esthétisme et des nouvelles urbanités qui vient se croiser avec un phénomène, l'astroturfing, qui lui est une manipulation politique, militante".
Il y a 4 ans et 20 jours

SensorFlow : la robinetterie sans contact revisitée pour une hygiène sans concession

L’hygiène des mains est primordiale pour limiter la diffusion des bactéries et prévenir la transmission des virus tels que la Covid-19. La robinetterie électronique sans contact ne devant plus être une option dans la conception et la rénovation des sanitaires publics de tout établissement, Porcher lance SensorFlow. Entièrement sans contact, rapide à installer et facile à entretenir, la robinetterie électronique SensorFlow est la solution pour répondre aux normes d’hygiène attendues aujourd’hui par les utilisateurs. Le sans contact revisité pour une hygiène sans concession Soigneusement conçue pour garantir une hygiène irréprochable, la gamme de robinetterie SensorFlow est équipée : • d’un capteur infrarouge positionné au niveau de l’aérateur afin de détecter parfaitement les mains (champ de détection de 11 cm) et d’activer, sans contact, le débit d’eau, pour limiter la diffusion des bactéries ; • d’un corps en laiton chromé, à la surface lisse, garantissant sa durabilité ; • d’un circuit d’eau optimisé pour réduire la stagnation d’eau et le développement des bactéries. Seul un faible volume d’eau reste dans le mitigeur ; • d’un cycle de rinçage automatique anti-stagnation programmable ; • d’un brise jet 3 litres /minute qui concilie hygiène et économie d’eau ; • de flexibles en PEX (Polyéthylène réticulé) limitant l’adhérence du biofilm et par conséquent contribuant à lutter contre les infections. Le design fluide et arrondi des robinets électroniques sans contact SensorFlow participe également à l’hygiène en empêchant l’eau de stagner et en facilitant son nettoyage. Par ailleurs, pour une sécurité d’utilisation, SensorFlow dispose d’une butée de sécurité réglée à 43° C. Il est néanmoins possible d’utiliser la deuxième butée fournie dans le pack pour élever davantage la température. Une conception pensée pour tous les espaces Alimentée sur secteur ou par pile, la gamme SensorFlow se compose de 9 modèles de robinetteries électroniques pour lavabos, plans ou à fixation murale, répondant à toutes les configurations : • robinets monofluide sur gorge • mitigeurs sur gorge • robinet monofluide mural • robinets monofluides muraux en traversée de cloison • mitigeurs muraux en traversée de cloison Facilité d’installation et d’entretien Grâce à la technologie innovante EasyFix®, à la batterie et à l’électrovanne intégrées dans le corps du robinet, l’installation de Sensorflow est simple. Ceci facilite le changement d’une robinetterie mécanique par une électronique, dans tous les sanitaires, et ceci même en l’absence de raccordement électrique, grâce aux modèles à piles. Avec ses composants pré-assemblés offrant une diminution du temps d’installation de 30%, SensorFlow garantie des coûts de montage maîtrisés. Une fois installé, SensorFlow est entretenu et réparé simplement, sans couper l’eau, ni démonter la robinetterie grâce à un accès par le haut du corps. Avec la nouvelle gamme de robinetterie électronique sans contact SensorFlow, professionnels et utilisateurs ont l’assurance d’opter pour un équipement alliant hygiène, sécurité, facilité d’installation et de maintenance. http://www.porcher.com
Il y a 4 ans et 21 jours

Yvelines : le Département investit 525 M€ dans la rénovation énergétique de quinze collèges

Un grand plan d’investissement de 525 M€ a été lancé par le conseil départemental des Yvelines, portant sur la rénovation énergétique de quinze collèges.
Il y a 4 ans et 21 jours

Plusieurs projets de rénovation et d’aménagement d’infrastructures sportives à Avignon

La Ville d’Avignon prévoit de rénover ses équipements sportifs dans le cadre de l’opération « Avignon, Terre de Jeux 2024 ».
Il y a 4 ans et 21 jours

Loi climat: le gouvernement veut créer un "accompagnateur rénovation"

Le gouvernement veut créer une mission d'"accompagnateur rénovation" destinée à aider "de A à Z" certains ménages réalisant des travaux d'isolation de leur logement, a annoncé Barbara Pompili.
Il y a 4 ans et 21 jours

Rénovation d’intérieur : quelques idées utiles pour des travaux réussis

Qu’il s’agit d’une construction neuve ou ancienne, il arrive un moment où il est nécessaire d’entreprendre des travaux de rénovation. Cette opération donne l’occasion de donner un coup de jeune à la construction et surtout à l’intérieur de la maison. Il faut dire qu’il s’agit d’une opération délicate qui ne s’improvise pas. Généralement, les travaux à réaliser peuvent varier en fonction de l’état du bâti. Dans les différentes pièces de la maison, il se pourrait qu’il nécessite tout simplement un coup de peinture, la pose d’un nouveau carrelage, réparation de la plomberie, aménagement de la cuisine… Découvrez d’ailleurs les détails sur les éventuels travaux à réaliser ci-dessous. Mise en place d’une nouvelle décoration Pour obtenir un bel intérieur répondant au mode de vie actuel, il faudra passer par la mise en place d’une nouvelle décoration chez soi. Comme affirmé précédemment, rien qu’un changement de peinture ou encore la mise en place d’un nouveau papier peint apporte une touche de nouveauté dans son logement. Il suffit notamment de choisir des couleurs tendance et aussi des matières appropriées. C’est pour cela qu’il est réellement conseillé d’agir lorsque sa décoration semble être vétuste. Au fil du temps, certains aspects de sa maison peuvent sembler être sinistre lorsque les peintures murales se défraichissent ou encore si le plafond démontre quelques signes d’humidité ou encore lorsque le carrelage de la salle de bain se dégrade… Les possibilités sont infinies. La rénovation intérieure est toujours un projet avantageux. L’idéal serait notamment de faire appel à une entreprise de rénovation maison comme sur ce site. Ce type d’entreprise est constitué d’experts qui sauront répondre aux besoins des propriétaires en fonction de leur budget. Leur savoir-faire permet de trouver des solutions innovantes afin de donner un coup de jeune à son logement vieillissant. L’isolation intérieure, un point essentiel à revoir L’isolation intérieure peut également être revue au cours des travaux de rénovation d’intérieur. Généralement, ce sera une occasion de procéder une isolation des murs par l’intérieur. Les travaux permettront notamment de réaliser jusqu’à 25 % d’économies sur les factures de chauffage. Il faut dire que les techniques à mettre en place sont nombreuses. Ce qui permettra notamment de profiter d’un confort thermique optimal au sein du logement. Il faut dire que les experts sauront parfaitement les solutions adéquates. Généralement, ils procèderont à la mise en place d’isolant avant même la pose d’un nouveau revêtement sur les murs ou d’un carrelage au sol. Ce sera la solution pour une rénovation concrète. Les possibilités pour la rénovation de la cuisine Si votre cuisine a également besoin d’une touche de nouveauté, il est possible d’y opérer diverses solutions. Les travaux permettront d’y installer un mobilier tendance et de lui conférer les fonctionnalités désirées. Il est par exemple possible d’obtenir une cuisine bien ouverte pour un gain de place et aussi pour faciliter la circulation à l’intérieur de la pièce. Il suffit de confier ces désirs aux professionnels pour optimiser l’espace et choisir de bons éléments pour la cuisine qu’il s’agit de meubles, plan de travail, électroménager, nouveau carrelage, luminaire, chaises, tables, espace de rangement… Si vous avez donc une cuisine peu fonctionnelle et défraîchie, des travaux de rénovation seront la solution pour un espace plus confortable et pratique. Elle deviendra la pièce où la famille pourra prendre les repas au cœur d’un cadre chaleureux et convivial.  
Il y a 4 ans et 21 jours

Le géant francilien du logement social Seqens va investir 4,5 milliards d'euros

RELANCE. La filiale d'Action Logement créée en 2019, qui gère 100.000 HLM en Ile-de-France, va "participer à la relance" en produisant 15.000 nouveaux logements et 22.000 rénovations dans les cinq ans.
Il y a 4 ans et 21 jours

Transition énergétique : plus de 1.000 écoles vont être rénovées en France

AIDE. La FNCCR a annoncé le lancement d'un appel à projets pour la rénovation énergétique de 1.000 écoles dans l'hexagone, à travers son programme Actee. Cette aide accompagnera les collectivités en préparant un plan d'investissement.
Il y a 4 ans et 21 jours

L'association d'élus Amorce s'inquiète de la multiplication de Pac non performantes

RÉNOVATION. L'association d'élus Amorce est revenue sur les faveurs accordées par les pouvoirs publics au chauffage électrique, via la RE2020 et le décret tertiaire.
Il y a 4 ans et 21 jours

La gare Paris-Montparnasse franchit une étape majeure de sa transformation avec l'installation de sa nouvelle passerelle en verre

Dernière ligne droite avant la fin de la transformation de la gareLors de cette 3e phase de rénovation de la gare Montparnasse, le remplacement de la passerelle en béton par un majestueux ouvrage en métal et en verre vient sublimer le hall Vasarely. Une opération emblématique qui marque l'étape finale de la modernisation de la gare avec un élément totémique. Cette passerelle marque une étape clé dans la progression du chantier de transformation de la gare. Elle sera finalisée puis mise en service en fin de chantier dans quelques semaines.Une avancée qui illustre les promesses de ce projet de transformation : améliorer le confort des visiteurs, et ouvrir la gare sur la ville en y apportant plus de lumière naturelle.Une performance technique remarquableLa passerelle est arrivée en quatre tronçons d'une vingtaine de mètres de long et 2 à 5 mètres de large. Le plus lourd pèse 17,2 tonnes.Les quatre tronçons ont été acheminés sur 4 nuits d'affilées par convois exceptionnels jusqu'à la rue du Commandant René Mouchotte sans incidence sur l'activité de la gare et dans le respect des mesures sanitaires. Pour permettre leur acheminement final, les tronçons ont été déchargés depuis la rue par une grue et ont été tractés dans la gare au niveau du quai transversal où ils ont été transférés sur des rails. Un acheminement exceptionnel tant par la conception de la passerelle que par son assemblage sur place.Ce projet de transformation reflète les ambitions de SNCF Gares & Connexions et Altarea Commerce : fluidifier la circulation de tous les voyageurs, restructurer les interfaces de la gare avec le quartier et développer son attractivité avec une nouvelle programmation de commerces et de services répondant aux attentes de tous.Rendez-vous dans quelques semaines pour découvrir le nouveau visage de la gare avec l'ouverture de la passerelle au grand public et son offre enrichie de commerces et services.Données et chiffres clés4e gare en termes de trafic130 commerces et restaurants attendusArchitectes : AREP et Jouin MankuDémarrage des travaux : 2017Fin de la transformation de la gare : septembre 2021
Il y a 4 ans et 21 jours

1 000 postes en alternance à pourvoir chez Bouygues Construction

Depuis 3 ans, Bouygues Construction mène une démarche active en faveur de l’emploi des jeunes. La campagne de  recrutement des alternants 2021 « Agis pour ton avenir » lancée le 1er avril sur les réseaux sociaux rappelle que  l’alternance est l’une des meilleures voies d’accès aux métiers du bâtiment, des travaux publics et des énergies & services. 1 000 postes très divers sont à pourvoir à travers la France sur l’ensemble des métiers du groupe : compagnons, ingénieurs, fonctions transverses, etc. L’entreprise a pour ambition d’atteindre 10 % de ses effectifs en alternance à horizon 2025. Ce taux, actuellement à 5% à l’échelle du groupe, est une étape qui doit permettre d’atteindre l’objectif de 7% en fin d’année.    Visuel : Bouygues Construction, rénovation Morland à Paris
Il y a 4 ans et 22 jours

À Marseille, des architectes luttent contre un contrat global pour la rénovation d'écoles

ARCHITECTURE. Des organisations professionnelles et syndicales du bâtiment et de l'architecture de la région Sud ont contesté le choix récent de la mairie de Marseille d'opter pour le marché global de performance pour rénover cinq écoles Gep. La mairie a dû renoncer à cette décision.
Il y a 4 ans et 22 jours

Les trois rendez-vous de Fabien Gantois, nouveau président du Croaif

ARCHITECTURE. Des rénovations énergétiques "ambitieuses" qui ne détruisent pas notre patrimoine esthétique ; des lieux de vie et de travail présentant une meilleure qualité d'usage ; la structuration d'une filière francilienne du biosourcé : voilà quelques thèmes abordés par le nouveau président du Conseil régional de l'ordre des architectes d'Ile-de-France.
Il y a 4 ans et 22 jours

Le Printemps marseillais met la priorité sur les écoles

Lors du vote de son premier budget primitif établi à 1,525 milliard d’euros, la nouvelle municipalité de Marseille a adopté une délibération portant sur une autorisation de programmes de 85 millions d’euros destinée à financer la rénovation de six écoles Geep. Cela a failli créer la polémique. Avant l’amendement du texte, la Ville avait opté pour le marché global de performance.
Il y a 4 ans et 26 jours

Comment ajouter de l’allure à un bâtiment?

Les baies vitrées sont des installations de premier choix pour ceux qui souhaitent construire une magnifique maison à vue surprenante. L’esthétique de ce type de menuiserie ajoute un côté très stylé à un bâtiment, si bien que certains restaurants l’adoptent pour attirer plus de clientèle. De plus, la fonctionnalité des baies vitrées les rend très agréables. Les avantages des baies vitrées Une baie vitrée, c’est avant tout une vue imprenable sur l’extérieur. Elle permet de contempler la beauté du paysage sans avoir besoin de sortir. La transparence des baies vitrées garantit un éclairage optimal toute la journée grâce à la lumière naturelle. Cela impacte de façon positive sur la facture d’électricité puisqu’il n’est pas nécessaire d’allumer la lumière durant la journée. La manière dont les baies vitrées sont installées procure plus de place. Elles sont également très pratiques et très faciles à poser. Qu’elles soient utilisées comme fenêtre ou comme porte, les baies vitrées ne risquent pas de claquer accidentellement à cause du vent. Les baies vitrées sont idéales pour assurer l’isolation phonique. Ce qui les rend parfaits pour équiper une chambre de bébé. Elles sont classées d’excellents isolants thermiques. En hiver, elles donnent la possibilité de contempler la neige sans être exposé au froid de l’extérieur. Entre la baie vitrée coulissante et celle qui est fixe, on peut les choisir selon leur emplacement. Quoi qu’il en soit, l’esthétique et la praticité des baies vitrées permettent d’y recourir dans différents milieux. On rencontre les baies vitrées dans des boutiques de vêtements de luxe ou encore des restaurants haut de gamme. L’installation de ce type de menuiserie contribue à la promotion de ce type d’activité. Où trouver les plus belles baies vitrées ? Les baies vitrées peuvent être choisies, que ce soit pour les travaux de construction ou de rénovation. Pour s’assurer d’avoir accès à des matériels de qualité, l’idéal est de recourir à un spécialiste en la matière. Il existe, en effet, des entreprises de renom qui œuvrent depuis longtemps dans le monde de la menuiserie, surtout dans celui des baies vitrées. Pour qu’elles puissent répondre davantage aux attentes et aux besoins des clients, ces dernières peuvent être conçues sur-mesure. Ainsi, pour un commerce, un restaurant ou encore un logement, il n’est pas regrettable de procéder à l’installation de baies vitrées. Pour le choix des fenêtres, il est également possible d’opter pour un design minimaliste unique. Non seulement, il propose tous les avantages d’une baie vitrée, mais offre également un aspect très stylé au bâtiment. La finesse de ce genre de fenêtre met en valeur la beauté de ce dernier tout en évitant de le tasser. Il est également possible de choisir un coulissant minimaliste original avec un seuil invisible. C’est parfait pour les personnes qui n’aiment pas voir le cadre autour. Il existe différents types de baies vitrées selon le style qu’on souhaite reproduire. Mis à part les coulissantes, il y a aussi les guillotines ou encore les pivotantes. A chacun de faire son choix pour trouver son petit bonheur.
Il y a 4 ans et 26 jours

Les délégataires de CEE candidatent au poste d'accompagnateur rénov

RÉNOVATION. Les professionnels des certificats d'économie d'énergie (CEE) accueillent favorablement la proposition du rapport Sichel de créer un accompagnateur rénov, et souhaitent s'inscrire dans la démarche.
Il y a 4 ans et 26 jours

Trophées Coach Copro, Lorenove Grands Comptes et Lorillard Façades, acteurs majeurs du grand prix du jury

Premier concours en France qui récompense les réalisations de rénovation énergétique les plus exemplaires, Les Trophées Coach Copro visent à valoriser et affirmer la nécessité de rénover énergétiquement les copropriétés. L’Agence Parisienne du Climat, en soutien de la Ville de Paris, de la Métropole du Grand Paris et de l’ADEME, et en partenariat avec les ALECS de la métropole parisienne (Plaine Commune, CAEU, MVE, ALEPTE, ALEC, POLD et GPSO) ont lancé la seconde édition de ce grand concours qui a récompensé – le mercredi 24 mars dernier – les travaux les plus remarquables, répondant à des critères de sélection précis, en phase avec la transition écologique du territoire. Cette année, à nouveau, deux entités du Groupe Lorillard : Lorenove Grands Comptes et Lorillard Façades apparaissent comme des acteurs majeurs de la transition énergétique en ayant contribué à la rénovation de la copropriété Jean Jaurès, lauréate du Grand Prix du Jury. LA COPROPRIETE DE LA RUE JEAN JAURES PARIS Située dans le 19ème arrondissement parisien, cette copropriété de 41 logements, construite en 1979, a bénéficié des dispositifs Copropriété Objectif Climat et OPATB 19 de la Ville de Paris. La conception du projet de rénovation a inclus l’isolation thermique extérieure des façades et de la toiture, le changement des menuiseries, l’amélioration des systèmes de ventilation et de production d’eau chaude sanitaire. Sur ce projet, c’est à nouveau l’agence de maîtrise d’oeuvre, Réanova, qui est intervenue et qui a collaboré avec les entités Lorenove Grands Comptes et Lorillard Façades, du Groupe Lorillard.                                       Le chantier, démarré en janvier 2019, s’est achevé en février 2020. Lorenove Grands Comptes a réalisé la pose en rénovation de 110 menuiseries. Les anciennes menuiseries en aluminium, simple vitrage, ont été remplacées par des fenêtres Khélio 2 et des coulissants Lumys, en aluminium bicolores, finitions blanc en intérieur et Anodic Natura en extérieur. Les menuiseries situées côté rue, ont été équipées d’un vitrage technique permettant un affaiblissement acoustique de 34 dB. 28 volets roulants ont également été changés par des coffres, isolés intérieurement et équipés de volets roulants Thermo-Reflex. Lorillard Façades a réalisé toute l’isolation et la rénovation des différentes façades avec un système ITE en panneaux résoliques de 90 mm sur les pignons et en rez-de-chaussée, un système ITE en Laine de Roche de 160 mm avec enduit mince sur l’ensemble des façades restantes. L’étiquette de performance énergétique (énergie primaire) des logements est passée de 296 kWhep/m²/an (E) à 121 kWhep/m²/an (C). Pour plus d’information sur ce chantier : https://paris.coachcopro.com/fiche-de-site/3fc8c96c-80c3-4884-a3d9-11353d33f2a7                                         PLUSIEURS CHANTIERS EN LICE Parmis les 20 copropriétés candidates, 3 autres projets, pour lesquels Lorenove Grands Comptes est également intervenu, étaient en lice pour les Trophées. Une anecdote qui tend à souligner l’expertise de la marque en matière de rénovation énergétique des bâtiments. – Résidence des Jardins Albertivillariens. Située sur la commune d’Aubervilliers (93) cette résidence de 69 logements, construite en 1974, a bénéficié d’une rénovation énergétique rassemblant les prestations d’isolation thermique extérieure des façades et des pignons, l’isolation des planchers bas, la réfection de la toiture terrasse (710 m²), l’amélioration de l’électricité des parties communes des sous-sols, la mise en oeuvre d’une ventilation mécanique contrôlée hygroréglable ainsi que le remplacement des fenêtres d’origine. Sur ce projet, l’agence de maîtrise d’oeuvre, Réanova, qui a déjà plusieurs fois collaboré avec le Groupe Lorillard, s’est adressée très logiquement à celui-ci pour la mise en oeuvre. Proposant des prestations globales avec ses partenaires – Lorillard Façades pour la rénovation et l’isolation de façade, Protectéa, spécialiste du désamiantage et déplombage – Lorenove Grands Comptes est apparu comme un interlocuteur privilégié : l’approche plurielle du Groupe se fait mutualisante dans ses expertises, pour la réussite d’un projet. Le projet a donc articulé 4 experts, 4 acteurs collaboratifs travaillant en commun, Lorenove Grands Comptes, Lorillard Façades, Soprema (travaux d’étanchéité) et EMC-Airtec (réfection du système de ventilation) ; chaque entreprise intervenant selon son domaine d’expertise, lors des différentes phases du chantier. Pour faciliter l’échange collaboratif avec Reanova, Lorenove Grands Comptes est désigné mandataire financier principal pour un projet à plus d’un million d’euros : Lorillard Façades, Protectéa et Lorenove Grands Comptes représentant 85% du montant total du marché. Le chantier, démarré au printemps 2017, s’est achevé en avril 2018. La réalisation finale atteint 187 fenêtres LUMYS, en aluminium finition Anodic Natura, intérieur et extérieur, qui s’adaptent parfaitement aux façades existantes, et apportent un maximum de luminosité et de confort de vie à l’habitant. L’étiquette de performance énergétique (énergie primaire) des logements est passée de 241 kWhep/m²/an (E) à 135 kWhep/m²/an (C). Pour plus d’information sur ce chantier : https://alec-plaineco.coachcopro.com/fiche-de-site/2d97249e-0749-4cf3-9670-5a06008f0fe7 – Résidence du Clos de la Garenne Située sur la commune de Fresnes (94), cette copropriété a été construite dans les années 1960 et se compose de 12 bâtiments (répartis en 11 copropriétés) et plus de 1100 logements. Les bâtiments vieillissent mal, les façades en béton enduit ne sont pas isolées et présentent des tâches, des fissures, de la mousse par endroit. Par ailleurs la mauvaise performance thermique de l’enveloppe et des menuiseries simple vitrage ainsi qu’un système de ventilation défaillant engendrent des phénomènes de condensation et l’apparition de moisissure à l’intérieur des logements. Pour réaliser cet ambitieux projet de rénovation, le conseil syndical du Clos de la Garenne a fait appel au groupe pluridisciplinaire Île-de-France Energies pour réaliser l’audit architectural et énergétique et pour une mission de maîtrise d‘oeuvre. Le chantier, démarré début 2019, s’est achevé en février 2020. Lorenove Grands Comptes a été missionnée pour le remplacement des menuiseries privatives, la fermeture des loggias, le remplacement de 13 persiennes (par des persiennes en aluminium) en rez-de-chaussée sur le bâtiment E, la pose de volets roulants et le détalonnage des portes intérieures pour une meilleure circulation de l’air. 307 menuiseries aluminium simple vitrage ont été rénovées par des fenêtres Khelio 2 et des coulissant Lumys, en aluminium de finition Anodic Natura. Des volets roulants ont été mis en oeuvre également. La fermeture des loggias a également été réalisée avec des coulissants Lumys. L’étiquette de performance énergétique (énergie primaire) des logements est passée de 307 kWhep/m²/an (E) à 209 kWhep/m²/an (D). Pour plus d’information sur ce chantier : https://energie-caue94.coachcopro.com/fiche-de-site/9db92a50-be45-4037-a4d7-054251eea5cc – Copropriété de la rue Edouard Lockroy Paris Située dans le 11ème arrondissement parisien, cette copropriété de 52 logements, construite en 1974, a bénéficié du dispositif EcoRénovons Paris de la Ville de Paris. Le chantier a démarré en janvier 2019. En premier lieu, une intervention de désamiantage a été nécessaire avant la réalisation des travaux de façades. Le ravalement s’est accompagné du remplacement de l’ensemble des menuiseries ainsi que de l’isolation des planchers bas sur locaux non chauffés, de la mise en place d’un système de ventilation mécanique hygroréglable type-A, ainsi que d’une amélioration du réseau de chauffage. Lorenove Grands Comptes a remplacé les 79 menuiseries en bois, simple vitrage, par des fenêtres aluminium Khelio 2 et des coulissants aluminium Lumys, finition blanc intérieur et marron extérieur. Les portes du hall et de l’accès du toit-terrasse ont également été rénovées par des portes aluminium. L’étiquette de performance énergétique (énergie primaire) des logements est passée de 151 kWhep/m²/an (D) à 98 kWhep/m²/an (C). Pour plus d’information sur ce chantier : https://paris.coachcopro.com/fiche-de-site/33a1dc03-75c3-4121-a1bd-bfd7e85d17b4   Rappelons que les Trophées métropolitains CoachCopro poursuivent deux objectifs : valoriser les rénovations en copropriétés les plus remarquables et mettre en avant les acteurs professionnels qui interviennent conjointement sur ces opérations d’envergure. Cependant, les projets qui candidatent doivent répondre à plusieurs critères et notamment : – posséder le statut de copropriété ; – être situés sur le territoire de la métropole du grand Paris ; – avoir réceptionné l’opération de rénovation énergétique entre le 1er janvier 2016 et le 15 novembre 2020 (chantier terminé) ; – atteindre au moins 30 % de gains énergétiques projetés ; – ne pas avoir déjà candidaté aux Trophées CoachCopro 2019. Pendant ces 4 mois, le jury a étudié les projets candidats au regard de 4 critères : leur financement (coût et aides obtenues), leur aspect durable, leur reproductibilité et leur innovation. Engagés pour la réhabilitation des bâtiments à travers le développement durable et la valorisation du patrimoine bâti Lorenove Grands Comptes et Lorillard Façades sont fiers de contribuer à prouver qu’une éco-rénovation de qualité est possible, accessible et duplicable. 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Il y a 4 ans et 26 jours

Fin 2021 : livraison des wagons de chantier du projet de réhabilitation du train de la Rhune

La société Metalliance fournira les trois wagons de chantier nécessaires au lancement du projet de rénovation de la voie et de la crémaillère du train de la Rhune d’ici fin 2021.
Il y a 4 ans et 26 jours

Longjumeau : un nouveau visage pour l’école Sainte-Anne

L’école Sainte-Anne a fait l’objet d’une rénovation et d’une extension. Le groupe scolaire dispose de nouvelles infrastructures.
Il y a 4 ans et 27 jours

Les rénovations labellisées basse consommation ont bondi en 2020

ÉTUDE. Les résultats de l'observatoire BBC, piloté par Effinergie, montrent que la rénovation basse consommation progresse, mais uniquement dans le résidentiel. Les constructions labellisées reculent en 2020, mais moins que la construction en général.
Il y a 4 ans et 27 jours

Transition énergétique : près de 16.000 communes vont rénover leurs bâtiments publics

AIDE. Le programme Actee va financer la rénovation énergétique de plusieurs milliers de bâtiments publics français. Les lauréats de cet appel à projets veulent s'assurer de la longévité de leurs structures.
Il y a 4 ans et 27 jours

La Pierre plate, à Bagneux, ou la rénovation urbaine par le "rez-de-ville"

EN IMAGES. Une opération de renouvellement urbain d'un quartier Anru, au sud de Paris, est l'occasion, pour le duo d'aménageurs publics qui mène le groupement lauréat, de penser la réactivation d'un grand ensemble par les rez-de-chaussée.
Il y a 4 ans et 27 jours

Hexaom fait une bonne année 2020 portée par la rénovation

Hexaom, premier constructeur français de maisons, annonce une activité en progression de près de 5% en 2020 grâce notamment à un rebond au second semestre dans la rénovation.
Il y a 4 ans et 27 jours

En Allemagne, le patrimoine moderne d'après-guerre passe au double vitrage

Knauf Insulation lance son concours international « Race to Zero » pour les étudiants afin de trouver de nouvelles façons de réduire les émissions de CO2 des bâtiments et d’améliorer la vie de leurs occupants. Inscriptions jusqu’au 28 mai 2021. L’édition 2021 du concours « Race to Zero » est ouvert aux […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 28 jours

Le gouvernement mise sur l'accompagnement pour créer un "big bang" de la rénovation énergétique

Ce professionnel accompagnera "les ménages pour déterminer quels travaux sont nécessaires, à quel coût et de quelles aides chacun pourra bénéficier", souhaite la ministre dans un entretien au Parisien, ajoutant qu'il pourra "orienter les ménages vers les bons artisans et superviser les travaux"."Cet accompagnement de A à Z, c'est le maillon qui créera un big bang des rénovations", selon elle. Elle évalue le coût moyen à 1.200 euros par logement, "financés par l'État pour les plus modestes".L'idée d'un accompagnateur destiné à suivre les travaux de rénovation énergétique, afin de simplifier l'ensemble des démarches, a été développée initialement dans le rapport Sichel, présenté à la mi-mars et préconisant un accompagnateur pour les propriétaires de passoires thermiques.Ces passoires, à savoir les logements possédant un diagnostic énergétique entre F et G, doivent par ailleurs être interdits à la location pour 2028, selon le projet de loi climat dont l'examen a débuté lundi et doit s'étendre sur trois semaines à l'Assemblée nationale.La ministre propose aussi dans cet entretien au Parisien l'exclusion du marché locatif des logements disposant d'un diagnostic en catégorie E en 2034, qui n'entrent pas aujourd'hui dans la catégorie des passoires."Si nous y parvenons, nous passerons de 1,8 million de logements concernés par une obligation de rénovation (pour les seuls F et G) à 4 millions", affirme la ministre.Sur le thème de la publicité enfin, Mme Pompili préconise l'apposition d'"étiquettes environnementales" dans chaque spot ou réclame. Cela s'appliquerait d'abord sur les publicités pour véhicules et l'électroménager, avant que la mesure ne soit étendue."Nos engagements ne peuvent se réduire à la question de l'interdiction des avions publicitaires ou des publicités sur les énergies fossiles", souligne encore la ministre.
Il y a 4 ans et 28 jours

Acoustique sur mesure

Acoustique sur mesure En neuf ou en rénovation, pour traiter l’acoustique, il n’existe pas de solution toute faite, chaque cas est particulier. Bien traiter cette question signifie, en premier lieu,…Cet article Acoustique sur mesure est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 28 jours

Strasbourg : le Conseil de l’Eurométropole alloue 700 k€ à la rénovation et l’extension du Rhénus Sport

Le projet de rénovation et d’extension du Rhénus Sport de Strasbourg est relancé. Le Conseil de l’Eurométropole versera 700 k€ pour sa réalisation.
Il y a 4 ans et 28 jours

Barbara Pompili annonce un "big-bang" pour la rénovation énergétique

MESURES. Dans les colonnes du Parisien, la ministre de la Transition écologique a annoncé un "big-bang" des rénovations énergétiques via un certain nombre de mesures qui seront prises dans le cadre du projet de loi climat et résilience.