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Résultats de recherche pour renovation

(13097 résultats)
Il y a 4 ans et 28 jours

Strasbourg : le Conseil de l’Eurométropole alloue 700 k€ à la rénovation et l’extension du Rhénus Sport

Le projet de rénovation et d’extension du Rhénus Sport de Strasbourg est relancé. Le Conseil de l’Eurométropole versera 700 k€ pour sa réalisation.
Il y a 4 ans et 28 jours

Barbara Pompili annonce un "big-bang" pour la rénovation énergétique

MESURES. Dans les colonnes du Parisien, la ministre de la Transition écologique a annoncé un "big-bang" des rénovations énergétiques via un certain nombre de mesures qui seront prises dans le cadre du projet de loi climat et résilience.
Il y a 4 ans et 28 jours

Viega : les rigoles de douches « Advantix Cleviva » en quatre couleurs attrayantes

Le fabricant de techniques d’installation Viega a ajouté quatre coloris à sa gamme de rigoles de douche « Advantix Cleviva ». Cette évacuation centrale innovante pour les douches de plain-pied est maintenant disponible en noir mat, or, cuivre doré et champagne. Les salles de bains peuvent ainsi parfaitement s’accorder aux tendances actuelles du design jusque dans le moindre détail. Le système permet même de combiner différentes grilles et supports de grille. La rigole de douche « Advantix Cleviva », développée par Viega, combine les avantages d’une rigole de douche et d’une évacuation centrale et permet une grande liberté de design. Dans les douches de plain-pied carrelées, la rigole « Advantix Cleviva » peut quasiment être placée n’importe où, de façon centrale, décentralisée ou directement le long du mur. Cette rigole de douche dirige l’eau le long d’un mince profilé en acier vers un point d’évacuation central. Cette conception facilite l’installation et sécurise l’étanchéité globale. Une grande liberté de personnalisation Avec ses quatre nouvelles couleurs, noir, or, cuivre doré et champagne, Viega permet de personnaliser l’aspect de chaque composant d’une installation. Grâce à ses profilés en acier inoxydable à revêtement PVD haut de gamme, le fabricant harmonise ses produits avec les tendances actuelles de la salle de bains, à l’instar de la robinetterie, des plaques de commandes de WC, des colonnes de douche, mais également des baignoires et des vasques. Une grande liberté de conception Les profilés en acier inoxydable de la rigole de douche « Advantix Cleviva » sont disponibles en différentes longueurs : 800, 1 000 et 1 200 millimètres. Ils peuvent également s’ajuster jusqu’à 300 millimètres. Il est ainsi possible de combiner plusieurs rigoles de douches en ligne. Les évacuations centrales disposent d’une hauteur d’évacuation standard de 95 à 155 millimètres, tandis que les variantes pour la rénovation proposent une hauteur d’intégration de 70 millimètres pour des sols particulièrement plats. Une version spéciale de 25 millimètres de hauteur permet même d’installer une évacuation d’eau verticale. La performance d’évacuation de la rigole « Advantix Cleviva » est de 0,4 l/s pour la hauteur d’intégration minimale et va jusqu’à 0,7 l/s pour l’évacuation standard. Un nettoyage simplifié au maximum La conception des rigoles de douche « Advantix Cleviva » de Viega facilite également grandement le nettoyage, un facteur important pour le client final. La rigole « Advantix Cleviva » se nettoie d’un simple coup d’éponge après la douche et la grille se retire aisément pour nettoyer le filtre. L’évacuation elle-même se nettoie en permanence grâce à la dynamique de l’eau.
Il y a 4 ans et 29 jours

Pour les Français, les avis clients sont essentiels pour choisir un artisan du Bâtiment

ETUDE. Les Français consultent-ils les avis clients avant de lancer des travaux de construction ou de rénovation ? Quels critères regardent-ils ? Réponses dans l'enquête de Plus que PRO et l'IFOP.
Il y a 4 ans et 29 jours

Vers un accompagnateur des ménages qui font des travaux de rénovation énergétique

RÉNOVATION ENERGETIQUE. La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, vient de dévoiler les axes sur lesquels les pouvoirs publics souhaitent avancer en matière de rénovation énergétique, en s'inspirant visiblement du rapport Sichel.
Il y a 4 ans et 29 jours

Olivier Sichel, le banquier qui n’a jamais entendu parler des architectes

Le rapport d’Olivier Sichel sur la réhabilitation énergétique des logements privés, remis le 17 mars 2021 au gouvernement, propose de rendre obligatoire le recours à des accompagnateurs de rénovation* agréés. Xavier Soule, PDG du Groupe Abvent (et architecte DPLG) a fait les comptes. Tribune. Paris, le 24 mars 2021 Avec la poussée écolophile des électorats […] L’article Olivier Sichel, le banquier qui n’a jamais entendu parler des architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 30 jours

Les chèques énergie arrivent dans les boîtes aux lettres à partir de lundi

Ce chèque, qui couvre une partie des factures d'électricité, de gaz ou de fioul ou encore des travaux de rénovation énergétique, "bénéficiera en 2021 à plus de 5,8 millions de ménages (contre 5,5 millions l'année dernière)", indique le ministère de la Transition écologique dans un communiqué vendredi.D'un montant de 150 euros en moyenne, le chèque énergie est envoyé automatiquement par voie postale aux personnes éligibles selon leurs revenus fiscaux, jusqu'à fin avril. Il ne nécessite donc aucune démarche.Plusieurs nouveautés ont permis cette année d'élargir le nombre de bénéficiaires, souligne le ministère. Il peut par exemple bénéficier aux résidants des EHPAD.Compte tenu de la crise sanitaire, la trêve hivernale a de nouveau été prolongée cette année, jusqu'à fin mai, protégeant les particuliers des coupures pour impayés (mais pas des réductions de puissance).Des associations de lutte contre la pauvreté comme le Médiateur de l'énergie s'inquiètent toutefois d'une "bombe à retardement", alors que de nombreux ménages souffrant de la crise sanitaire et économique souffrent de précarité énergétique.Le Médiateur avait ainsi récemment réclamé le doublement du montant moyen du chèque énergie à 300 euros.Dans un courrier au gouvernement, transmis à l'AFP, l'Observatoire national de la précarité énergétique se dit "très inquiet pour les douze millions de Français et de Françaises en situation de précarité énergétique aggravée par la crise sanitaire" et "sollicite le versement d'une aide exceptionnelle en leur direction".Il propose des "mesures significatives", qui pourraient "par exemple se traduire soit par l'abondement des FSL (Fonds de solidarité logement), soit par le versement exceptionnel d'un second chèque énergie, dont le montant serait susceptible d'atteindre le doublement du montant actuellement versé.
Il y a 4 ans et 30 jours

Forte mobilisation partout en France pour dénoncer le manque d'ambition du projet de Loi Climat

Le dimanche 28 mars, ce sont plus de 110.000 personnes selon les organisateurs et 44.000 selon le ministère de l'intérieur, qui se sont rassemblées partout en France, dont 55.000 à Paris et 10.000 à Lyon (12.000 à Paris et 4.000 à Lyon selon la Police), pour exiger une vraie Loi Climat, répondant à l'appel de plus de 684 organisations. Malgré le contexte sanitaire, les participants se sont rassemblés par milliers, pressés par l'urgence à agir.Car c'est ce lundi 29 mars que commencent les débats à l'Assemblée Nationale : les députés seront appelés à voter une loi “Climat et Résilience” qui manque cruellement d'ambition selon ces organisations. De très nombreux amendements ont été déclarés irrecevables, comme ceux concernant l'éco-responsabilité des entreprises, l'accompagnement des salariés en reconversion ou le renforcement du transport ferroviaire. Le gouvernement a laissé très peu de chances aux propositions de la majorité comme de l'opposition, quand il n'a pas dégradé l'ambition du texte, comme en matière de rénovation énergétique des bâtiments. On est très loin des mesures de la Convention citoyenne pour le Climat que le projet de loi était pourtant censé reprendre.“Qu'un président de la République trahisse sa parole auprès des citoyens c'est très grave pour notre démocratie, mais c'est plus grave encore que le gouvernement décide sciemment de ne pas faire ce qui est nécessaire. On ne négocie pas avec le climat, c'est une course contre la montre que nous devons gagner.”rappelle Cyril Dion, garant de la Convention citoyenne pour le Climat et présent en tête de cortège. A Paris, 55.000 personnes selon les organisateurs, 12.000 selon la Police, se sont rassemblées derrière la banderole “Pour une vraie Loi Climat, Stop au blabla” dénonçant l'écart entre les beaux discours d'Emmanuel Macron et de son gouvernement sur les enjeux climatiques et une loi Climat qui n'est pas du tout à la hauteur de ces ambitions. Dans le cortège festif, a été déplié un 2,5/10 géant sur une copie d'écolier, en référence à la note attribuée par la Convention Citoyenne pour le Climat à l'action gouvernementale en réponse à leurs propositions, et des pancartes représentant le Président de la République affublé d'un bonnet d'âne.“Avec ce projet de loi “Climat et Résilience”, Emmanuel Macron nous ment une fois de plus : celui qui se prétend le champion de la Terre est en réalité un véritable cancre du climat. Après la forte mobilisation de ce dimanche, nous nous assurerons que les députés aient bien en tête l'enjeu d'une loi ambitieuse pendant tous les débats sur la loi et nous nous donnons rendez-vous le dimanche 9 mai pour faire le bilan !“ annonce Elodie Nace, porte-parole du mouvement Alternatiba, organisateur de la Marche à Paris. Dès lundi et le lancement des débats en séance plénière, les mobilisations continuent pour maintenir la pression sur les députés. “C'est ce passage de relais entre les 150 membres de la Convention et les milliers de personnes qui veulent défendre leur travail qui marque le retour des Marches pour le Climat” souligne Anne-Sophie Lahaye, coordinatrice de Maintenant Ou Jamais, un réseau d'activistes en ligne mobilisés sur le projet de loi.Les organisations donnent déjà rendez-vous : si la loi est votée en l'état, elles seront de retour dans la rue le dimanche 9 mai pour juger du bilan d'Emmanuel Macron en matière d'environnement.
Il y a 4 ans et 30 jours

SikaRoof® i-Cure®, le premier système d’étanchéité liquide polyuréthane pour toitures à très faible odeur

Pour aller plus loin et répondre aux exigences environnementales, Sika a développé SikaRoof® i-Cure®, le premier système d’étanchéité liquide polyuréthane pour toitures, à faible teneur en COV et à très faible odeur.SikaRoof® i-Cure® : un système respectueux des utilisateurs et de l'environnementDéveloppé à partir d’une nouvelle formulation nommée i-Cure®, le système SikaRoof® i-Cure® se caractérise par une faible teneur en COV et peu de dégagement d’odeur, pendant et après l’application.Il se compose de deux résines polyuréthanes :Sikalastic®-631 : résine polyuréthane monocomposante appliquée à froid, sans joint, hautement élastique, à très faible odeur. De couleur rouge, facilement identifiable, elle est utilisée en première couche du système. Elle s’applique sans primaire sur les supports béton et offre une bonne adhérence à la plupart des supports. Elle est recouvrable en 2 à 4 heures.Sikalastic®-641 : résine polyuréthane monocomposante appliquée à froid, sans joint, hautement élastique et résistante aux UV, à très faible odeur. Elle est appliquée en seconde couche pour constituer un film étanche et continu.L’ensemble est complété ou non d’une armature selon les besoins. SikaRoof® i-Cure® est un système complet respectueux des applicateurs et de l’environnement, réalisable dans la journée, pour une étanchéité performante des toitures.SikaRoof® i-Cure® : une solution pour chaque chantierParticulièrement adapté à des projets de rénovation dans les milieux sensibles comme les hôpitaux, les écoles, les industries alimentaires et pharmaceutiques, SikaRoof® i-Cure® est un système complet, rapide à poser et responsable. Il se décline en 4 solutions adaptées aux différentes sollicitations de la toiture. Il propose une solution dédiée à la rénovation des couvertures sèches, SikaRoof® i-Cure® Réhabilitation couvertures.Il est également disponible en plusieurs coloris dont un RAL Blanc permettant de réaliser des toitures Cool Roof (Indice de Réflectance Solaire (SRI) initial = 108). Ce système est testé et approuvé selon l'ETAG 005 et validé par le CCT 48.
Il y a 4 ans et 30 jours

Construction, rénovation et extension de plusieurs crèches dans le Val-de-Marne

Le Département du Val-de-Marne étoffe ses infrastructures dédiées à la petite enfance en construisant de nouvelles crèches.
Il y a 4 ans et 30 jours

Rénovation énergétique : la mission Sichel mise sur l’accompagnement des ménages

La mission Sichel propose des accompagnateurs de rénovation lors des opérations de plus de 5000 euros ainsi qu'un « prêt avance mutation » pour inciter à la rénovation.
Il y a 4 ans et 31 jours

Rénovation énergétique : un amendement aux objectifs beaucoup trop bas

Un collectif d’acteurs du monde économique, de l’environnement et de la précarité tirent la sonnette d’alarme : la loi Climat et Résilience, telle qu’amendée en commission spéciale de l’Assemblée nationale,…Cet article Rénovation énergétique : un amendement aux objectifs beaucoup trop bas est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 33 jours

Loi climat: plus de 7.000 amendements au menu de l'Assemblée

Ces amendements sont encore en cours de traitement par les services de l'Assemblée et certains pourraient être jugés irrecevables, rappellent des sources parlementaires, à l'issue du dépôt des amendements jeudi.Les LR, hostiles à une "écologie punitive" pointent en tête avec 2.269 amendements, devant les LREM 1.728, ou les non inscrits (746) dont les élus écologistes Delphine Batho ou Matthieu Orphelin.Alors que le texte est très critiqué par les ONG environnementales, les députés LREM ont promis de défendre des "avancées" en séance, notamment sur le volet logement, où le texte prévoit l'interdiction de la mise en location des passoires thermiques en 2028 (logements classés F et G).La majorité veut reprendre à son compte certaines conclusions du rapport présenté le 17 mars par Olivier Sichel, le directeur de la Banque des territoires, qui suggère un "accompagnement" pour lever les freins à la rénovation thermique des logements.Dans la lignée de ce rapport, le gouvernement a d'ores et déjà déposé un amendement pour aider les ménages modestes à accéder au crédit, en vue d'une rénovation. Il s'agit d'élargir le périmètre du fonds de garantie pour la rénovation énergétique (FGRE), avec un mécanisme de "garantie partielle" des "prêts avance mutations", gagés sur la revente de biens ou lors de la succession.Certains députés LREM espèrent aussi obtenir la fin de la mise en location des logements classés E en 2034.On a des "idées pour être plus agressifs en faveur des vélos", a également assuré le rapporteur général Jean-René Cazeneuve (LREM), alors qu'une tribune dans le quotidien Libération, cosignée par son collègue Guillaume Gouffier Cha dénonçait l'absence de mesures pour le développement du vélo dans le texte initial.Le gouvernement tentera de répondre aux demandes des partisans de "la petite reine" avec un amendement qui élargit la prime à la conversion des véhicules les plus polluants à l'achat de vélos et vélos à assistance électrique.Quant au volet publicité, les députés pourraient définir plus précisément le "greenwashing" des entreprises, afin de mieux le sanctionner.L'ensemble du texte reste très critiqué par la gauche, les écologistes et les ONG environnementales. Des membres de la Convention citoyenne pour le climat et des associations appellent à des manifestations dimanche pour "une vraie loi climat".
Il y a 4 ans et 33 jours

Découvrez les lauréats des trophées CoachCopro 2021

EN IMAGES. Trois copropriétés ayant subi une rénovation particulièrement ambitieuse ont été désignées dans le cadre des trophées organisés par CoachCopro, l'outil d'aide et d'accompagnement de l'Agence parisienne du climat pour les copropriétés de toute la métropole du Grand Paris.
Il y a 4 ans et 33 jours

CAUE 69 : Partage d’expérience

L’union régionale des CAUE d’Auvergne – Rhône-Alpes a lancé une plate-forme regroupant expérience et bonne conduite pour la gestion des édifices remarquables du XXe siècle. [©Union régionale des CAUE] RHONE. L’Union régionale des Conseils d’architecture d’urbanisme et d’environnement d’Auvergne – Rhône-Alpes a lancé un observatoire, nommé Archi 20-21. Ceci, pour aider les acteurs de la construction ayant à faire à des édifices classés du XXe siècle. Pionnière en matière de recensement des constructions du siècle dernier dans la région. L’Union régionale des CAUE a publié le guide “Rhône-Alpes de l’architecture du XXe siècle”, en 2004…  En effet, ces réalisations sont de plus en plus concernées par les opérations de rénovation et de densification urbaine. Archi 20-21 est un observatoire régional. Il est conçu comme une plate-forme renseignée. Documentée et actualisée, de partage d’informations sur les postures adoptées lors d’intervention sur ces édifices. L’observatoire est actualisé par une campagne annuelle et constitue le lieu d’une diffusion des réalisations récentes. Il relie les exemples régionaux à des cas concrets nationaux ou internationaux. Et connecte les acteurs à des bases de données essentielles. Ceci, pour s’engager dans des bonnes pratiques et visiter des réalisations exemplaires.
Il y a 4 ans et 33 jours

Le constructeur de maisons Hexaom fait une bonne année 2020 porté par la rénovation

Sur l'année, le groupe a enregistré une hausse de +4,8% de son chiffre d'affaires, à 881,8 millions d'euros, une croissance qui "s'est majoritairement opérée sur le second semestre", selon un communiqué.Tous les métiers du groupe ont vu leur activité progresser, ajoute-t-il.L'activité Construction de maisons s'affiche en légère croissance (+0,1%), à 694,4 millions d'euros.La rénovation, "très fortement pénalisée par le confinement durant le premier semestre", a réalisé une progression de 8% sur l'année, et de 20,3% au seul second semestre, à 153,3 millions d'euros de chiffre d'affaires.Les activités "promotion immobilière" et "aménagement foncier" ont été "en très forte hausse à respectivement 23,6 millions d'euros, contre 2,1 millions en 2019, et 10,8 millions contre 4 millions en 2019" avec "la montée en puissance d'Hibana", la société de promotion immobilière créée en 2018, et "l'intégration en année pleine du groupe Plaire", le constructeur de maisons individuelles, promoteur et lotisseur, précise le communiqué.Le résultat net annuel ressort à 19,7 millions d'euros, en hausse de +6,5%.Sur le plan des prises de commandes, l'activité construction a vu un repli sur l'année de 3,4% en valeur mais elle "reste très bien orientée sur les deux premiers mois de l'année 2021 avec des prises de commandes en hausse de +4,5% en nombre et +7,9% en valeur", selon le groupe.Dans la Rénovation, les prises de commandes, en retrait de 5,3% sur l'année par rapport à 2019, sont sur les deux premiers mois de l'année 2021, "en très forte hausse de +244% par rapport à la même période de l'exercice précédent", précise-t-il.Hexaom anticipe "un objectif de chiffre d'affaires proche du milliard d'euros à fin 2021".
Il y a 4 ans et 33 jours

Strasbourg : le groupe hospitalier Saint Vincent a procédé à une rénovation de la maternité Sainte Anne

La maternité Sainte Anne, à Strasbourg, a fait l’objet de travaux de rénovation portés par le groupe hospitalier Saint Vincent.
Il y a 4 ans et 33 jours

Rénovation énergétique : Saint-Gobain lance un appel à solutions innovantes

Saint-Gobain lance un appel à solutions innovantes pour la rénovation énergétique des bâtiments, qui permettra aux lauréats sélectionnés d’être accompagnés.
Il y a 4 ans et 34 jours

Un collectif d'acteurs alerte sur la redéfinition des "rénovations performantes"

LOI CLIMAT. Un collectif de treize acteurs du secteur de la rénovation énergétique s'indignent de l'adoption d'un "amendement passé inaperçu" au projet de loi climat et résilience, redéfinissant le concept de "rénovation performante".
Il y a 4 ans et 34 jours

Démarchage téléphonique et rénovation : une amende record pour une entreprise

AMENDE. La DGCCRF, gendarme de la concurrence vient de sanctionner d'une amende "record" une société du secteur de la rénovation énergétique pour non-respect de l'interdiction de démarchage téléphonique dans ce domaine.
Il y a 4 ans et 34 jours

Wizzcad remporte l'appel à projets d'Elogie-Siemp mené en partenariat avec Impulse partner

Elogie-Siemp, 3ème bailleur social de la Ville de Paris, gère un patrimoine de près de 29.000 logements à Paris et en banlieue. Dans le cadre de son Plan Climat, Elogie-Siemp a lancé en partenariat avec Impulse Partners, accélérateur de start-up, un appel à solutions destiné à identifier des innovations permettant de meilleurs échanges, une meilleure conception, puis une meilleure gestion des chantiers en milieu occupé dans les logements de son parc immobilier.Wizzcad a rempli tous les critères pour convaincre Elogie-Siemp et remporter l'appel d'offres. En effet, Wizzcad est aujourd'hui le seul acteur disposant d'une technologie permettant la gestion des relations locataires lors de la rénovation de logements occupés. Dans un premier temps, un projet pilote va être mis en place sur une opération de réhabilitation globale avant une éventuelle utilisation plus large de la solution au sein de la société.« En France, 31% des locataires sont insatisfaits de la prise en compte de leurs demandes pour les réparations, questions et aménagement par leur bailleur. Une bonne communication entre les différentes parties-prenantes et essentielle tout au long des opérations de réhabilitation. Et aujourd'hui, Wizzcad est la seule solution à offrir un module dédié à la communication et à la satisfaction des locataires. Remporter cet appel à projets auprès d'un bailleur de référence en France est une belle reconnaissance pour notre plateforme collaborative et nous en sommes ravis ! »Cyril Perrin, CEO & Co-Founder de WizzcadL'attribution de l'appel à projets à Wizzcad prouve une nouvelle fois l'intérêt de sa technologie sur le marché du Smart Building, et en particulier pour les bailleurs. A ce jour, et en l'espace de trois ans seulement, Wizzcad a déjà opéré sur une centaine de chantiers différents de réhabilitation de milieux occupés et plus de 30 000 logements. Confrontés aux impératifs de lutte contre les logements énergivores (« passoires thermiques »), les bailleurs sont de plus en plus demandeurs de solutions fluidifiant et simplifiant l'ensemble des collaborations propriétaires - locataires - entreprises sur les chantiers de rénovation.
Il y a 4 ans et 35 jours

Rénovation urbaine: ces banlieues à la recherche d'un centre-ville

Au pied de la mairie de Bobigny (Seine-Saint-Denis), au milieu des tours de logements sociaux, les pelleteuses abattent les derniers vestiges du vieux centre commercial à l'allure d'entrepôt qui accaparait depuis les années 1970 le cœur de cette ville-préfecture populaire.D'ici 2023, cette galerie marchande, ou "boîte à chaussures", doit laisser place à un quartier flambant neuf aux larges rues piétonnes à ciel ouvert.Elles offriront aux 50.000 Balbyniens une multitude de commerces de proximité, un cinéma de six salles, des bancs à l'ombre des arbres et des fontaines rafraîchissantes. A l'échelle locale, une petite révolution urbaine."C'est important d'avoir un endroit où vous ne faites rien du tout. Vous vous retrouvez, vous vous asseyez sur les bancs. Les ados se retrouvent, zonent ici. C'est le rôle d'un centre-ville", explique à l'AFP l'architecte Pierre Alain Trévelo, dont l'agence TVK a conçu ce nouveau quartier.Jusqu'ici à Bobigny, une commune rurale qui s'est transformée à la faveur de l'explosion urbaine et démographique après la Seconde guerre mondiale, "il n'y avait pas de centre-ville", rappelle Benjamin Dumas, le directeur de cabinet du maire (PCF) Abdel Sadi. "Le lieu pour se retrouver, c'était la dalle."Le chantier s'inscrit dans l'effort de renouvellement et de revitalisation au long cours du centre de la ville, où se côtoient cités montées sur des dalles surélevées et bâtiments administratifs.Revitaliser le centre-villePensé selon l'architecture moderne et politique de l'époque, le quartier a surgi de la campagne au tournant des années 1960-1970 pour intégrer une importante population ouvrière dans cette ville traditionnellement communiste et répondre à la crise du logement. Mais, un demi-siècle plus tard, ce modèle a mal vieilli et est de plus en plus contesté.Sans faire dalle rase du passé, Bobigny cherche toutefois depuis une vingtaine d'années à adapter son urbanisme.La municipalité veut ramener au niveau du sol la circulation des piétons, qui se faisait en hauteur sur les dalles ou passerelles, et créer une continuité nouvelle dans le tissu urbain.L'une des cités a vu sa dalle démolie et deux tours abattues, pour l'ouvrir sur le reste de la commune. Une autre devrait voir une partie de ses dalles disparaître. C'est au milieu de cet ensemble que doivent s'insérer les nouvelles rues commerçantes.L'ancien centre-ville "n'était plus adapté, notamment à cause de la voiture, de la confiscation du rez-de-chaussée", estime M. Trévelo. "Il fallait redonner la primauté au piéton et chercher à faire une pièce fédératrice de tout ce qu'il se passe autour".Vingt ans de travauxDe l'autre côté de l'Ile-de-France, Evry-Courcouronnes tient un raisonnement similaire. La mairie compte démolir une partie de sa dalle de centre-ville et réaménager le quartier. Un chantier d'au moins vingt ans.Le chef-lieu de l'Essonne est né de la fusion récente de Courcouronnes et d'Evry, une ville nouvelle des années 1960 imaginée autour d'une dalle et d'un gigantesque centre commercial qui occupe près de la moitié du coeur de la ville, à une époque où la voiture était reine."L'habitant moyen de l'Essonne qui vient une fois à Evry, il arrive dans un parking sombre et dégueulasse, il sort par un escalier qui sent l'urine et arrive sur une dalle", soupire le maire Stéphane Beaudet (ex-LR).Malgré la concentration dans cette zone des services essentiels aux 70.000 habitants (université, tribunal, préfecture, centre sportif, poste...), l'inhospitabilité des lieux les dissuadent de s'y attarder.Selon des études menées pour le projet, explique l'élu, une personne flânant dans un agréable centre-ville de province marche au maximum à 3 km/h.A Evry, la vitesse de déplacement moyenne d'un piéton est de 5-6 km/h."La sauce ne prend pas", constate l'architecte Xavier Lauzeral, qui travaille sur la réhabilitation du centre d'Evry, "les échanges qui ont été imaginés entre les différentes fonctions commerciales et urbaines ne se sont pas produits".Sur place, les commerçants ne sont pas tous informés des travaux en gestation, qui devraient débuter dans quelques années, mais en comprennent l'utilité. "Ce n'est pas très vivant comme centre, à part les banques et les restos, il n'y a pas de boutiques. On n'a qu'une clientèle de bureau mais ça serait bien de pouvoir se diversifier", témoigne Sandrine Chareunphol, qui y tient un restaurant.Pour Xavier Lauzeral, il faut "revenir sur les fondements et la conception initiale de la ville" et surtout attendre que les habitants s'approprient leur nouveau centre. Les villes nouvelles savent que Rome ne s'est pas faite en un jour.
Il y a 4 ans et 35 jours

Le risque de concentration guette le secteur de la rénovation énergétique selon une étude

Un soutien public massif…La rénovation énergétique des logements est une « priorité nationale » du gouvernement et les moyens mis sur la table sont colossaux. 2 milliards d'euros supplémentaires seront injectés en 2021 et 2022 pour soutenir la rénovation thermique des bâtiments dans le cadre du plan France Relance. Cette nouvelle mesure, annoncée en septembre 2020, s'ajoute à l'arsenal déjà en place : plan de rénovation énergétique des bâtiments qui vise 500.000 rénovations par an, transformation du crédit d'impôt en prime (MaPrimeRénov) avec un budget rehaussé et un périmètre élargi…En parallèle, la 5ème période des CEE commencera en 2022 avec des objectifs en hausse. Ce dispositif est apprécié des pouvoirs publics car il ne leur coûte rien, tout le financement reposant sur les fournisseurs d'énergie et surtout leurs clients.… Insuffisant pour tenir les objectifsLe gouvernement souhaite notamment « le renforcement du soutien à la rénovation globale » et l'éradication des passoires thermiques à l'horizon 2030. Ces engagements sont structurants pour la filière de la rénovation énergétique car ils supposent de s'attaquer à deux problématiques lourdes : le financement et la constitution d'offres globales.Car une rénovation énergétique coûte cher et même avec les aides, le reste à charge est élevé. C'est même le principal frein à la rénovation. La situation concernant le reste à charge ne va pas changer à moyen terme, d'autant que le contexte économique très dur va aggraver le problème. L'impact économique de la crise sanitaire, qui s'éternise malgré le lancement de la compagne de vaccination, va se faire sentir longtemps. Les ménages risquent de faire preuve d'attentisme en 2021, voire au-delà, en reportant, quand ils le peuvent, leur projet de travaux.Les seules parades sont d'augmenter les aides. Les finances publiques le permettront-elles? Pas sûr. En revanche, les objectifs en hausse des CEE se traduiront peut-être par une augmentation du niveau des primes. En l'état, l'objectif de 500.000 logements rénovés par an à moyen terme semble peu probable. Atteindre 400.000 rénovations annuelles d'ici 3 ans serait déjà une bonne performance.L'autre difficulté à résoudre pour les acteurs du marché est de constituer une offre globale, simple et lisible, intégrant notamment audit énergétique, financement et réalisation des travaux.La bataille du leadMême si le marché de la rénovation énergétique ne tient pas toujours ses promesses, c'est un terrain de jeux pour une multitude de prétendants d'horizons divers. Fournisseurs d'énergie, fabricants de matériaux et d'équipements, négociants, enseignes de bricolage, délégataires ou encore courtiers en travaux, tous ont un objectif commun : être le point de contact des consommateurs. C'est le nerf de la guerre car il est synonyme de captation d'une part importante de la valeur.Mais la concurrence est très vive et le paysage proche de la saturation. Dans cet écosystème très atomisé, et durement touché par la crise sanitaire, tout pousse à une accélération de la concentration du secteur comme l'illustrent, par exemple, les rachats de Mychauffage. com par EDF ou Economie d'Energie par le groupe La Poste…Pour en savoir plus sur cette étude : www.lesechos-etudes.fr
Il y a 4 ans et 35 jours

MaPrimeRénov : "jusqu'à 800.000 dossiers" pourraient être déposés en 2021

RÉNOVATION ÉNERGETIQUE. La coordinatrice interministérielle en charge des rénovations énergétiques Anne-Lise Deloron, estime que si la tendance de ce début d'année se confirme, l'objectif des 500.000 dossiers MaPrimeRénov déposés en 2021 sera dépassé. Les copropriétés, notamment, sont de plus en plus nombreuses à lancer des travaux.
Il y a 4 ans et 35 jours

France Relance : 500 projets de rénovation des bâtiments de l'Etat signés

Premiers contrats signés parmi les 4214 projets de rénovation énergétique (pour un montant de 2,7 milliards d'euros) sélectionnés par le Premier ministre en décembre dernier ces 500 projets #FranceRelance représentent un montant global de 140 M€.
Il y a 4 ans et 35 jours

CEE : un peu plus pour la rénovation globale, un peu moins pour la grande précarité

Les obligés, leurs délégataires et les entreprises ont 15 jours pour s’adapter aux nouvelles modalités des CEE qui entrent en vigueur dès le 1er Avril 2021. Le but est de réduire le volume des CEE.
Il y a 4 ans et 35 jours

Rapport Sichel : les architectes de la rénovation regrettent une vision "hors-sol"

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Le rapport Sichel présenté au gouvernement mi-mars a fait réagir le président de l'association des architectes de la rénovation. Selon lui, les membres du groupe de travail ont une "mauvaise connaissance des acteurs" et inventent "des nouvelles méthodes", dans un système qu'il juge déjà opérationnel.
Il y a 4 ans et 35 jours

Construction neuve : 2021, péril en la demeure

Olivier Salleron, président de la FFB. [©ACPresse] Depuis le début de la crise sanitaire, les différents syndicats professionnels du bâtiment alertent sur la santé de la construction neuve. Le 23 mars dernier, la Fédération française du bâtiment (FFB) a réitéré ses inquiétudes et demandé des actions concrètes de la part des pouvoirs publics. En effet, le nombre de mises en chantier est descendu à 351 000 logements en 2020. Soit 10 000 de moins que la moyenne et un chiffre équivalent à l’entrée en crise du début des années 1990. « Et les évolutions à fin janvier ne rassurent pas, avec des permis encore en recul de 9 % en glissement annuel sur trois mois, après – 15 % en 2020, détaille Olivier Salleron, président de la FFB. Sans relance puissante et rapide, la barre des 300 000 logements commencés sera très probablement enfoncée au tournant 2021-2022. » Le non résidentiel neuf semble être encore plus atteint et cela ne devrait pas aller en s’arrangeant… Ainsi, les surfaces commencées chutent de 16 % en 2020. Tandis que, les surfaces autorisées enregistrent une baisse de – 19 % en 2020 et – 16 % en glissement annuel sur trois mois à la fin de janvier 2021. « L’année 2021 risque donc de se révéler la pire jamais observée depuis 1986, en termes de surfaces commencées. D’autant que tous les segments du non résidentiel participent de ce mouvement, y compris en commande publique. » De son côté, le secteur de l’amélioration-entretien reprend doucement. La pire crise de la construction neuve depuis 1986 Pour la FFB, les effets de MaPrimeRénov’ et des mesures prévues par France Relance commencent à avoir un impact. « Le bilan 2020 ne le révèle pas tout à fait pour l’ensemble, puisqu’au sens de la facturation, l’activité du quatrième trimestre s’inscrit encore en baisse de 2 % sur un an, hors effet de prix. » Toutefois, cette tendance ne permettra pas de compenser la précipitation de la construction neuve. Même constat en ce qui concerne l’emploi dans le bâtiment. « La dynamique de la rénovation énergétique permettra d’atténuer le choc, mais pas de l’empêcher. » Sachant que certains métiers du gros œuvre ne trouveront pas de passerelles avec la rénovation. L’année 2020 a enregistré une perte de 2 900 postes, soit – 0,2 %, principalement dans l’intérim. Un chiffre à nuancer selon la FFB. « Avec 44 000 logements commencés en moins en 2021 et un ratio de 1,6 emploi mobilisé dans l’ensemble de la filière par logement construit, 70 000 emplois se trouveront très fragilisés à l’horizon 2022. Et ce, au regard des délais de production. En tenant compte de la chute du non résidentiel neuf, aux environs de 100 000 emplois seront menacés. » La hausse des prix des matériaux, une conséquence de la pandémie Autre conséquence de la crise sanitaire : la hausse des prix des matériaux. Un phénomène remarqué depuis la fin 2020. L’augmentation a tout d’abord été observée sur les produits en acier et en cuivre, puis sur le bois de construction et les autres métaux non ferreux. « Le mouvement a gagné plus récemment les plastiques, le polyuréthane et le polystyrène. Il n’est pas rare de recevoir des annonces à + 30 %, voire plus encore, sur les produits du bâtiment. Les craintes se portent maintenant vers des équipements plus techniques, dotés de puces électroniques ou autres composantes en silicium. » Cet effet est renforcé par une difficulté d’approvisionnement et par conséquent de réalisation de chantier. « Or, force est de constater que la plupart des marchés restent signés à prix ferme, non actualisables, ni révisables. Et prévoient des pénalités de retard. Ces chantiers risquent donc de se révéler systématiquement à perte. » Face à ces différents constats, la FFB a formulé plusieurs propositions, afin de lever les blocages et accompagner les donneurs d’ordres. Ainsi, la fédération en appelle aux collectivités locales, afin d’accélérer la délivrance des permis de construire. De plus, elle demande, une fois de plus, la mise en place d’un “permis déclaratif” pour toutes les opérations réalisées sous permis d’aménager ou en zone d’aménagement concerté. Un appel au gouvernement et aux collectivités locales « Nous alertons aussi sur le risque que la loi Climat et Résilience ne débouche sur une politique foncière axée sur le seul objectif de lutte contre l’artificialisation des sols, aux contours mal maîtrisés. Sans prise en compte des besoins socio-économiques sur les territoires visés. » Par ailleurs, la FFB considère que le nouveau protocole engageant Action Logement, l’Etat et l’USH1 en faveur du logement social va dans bon sens. Mais, il faut aller plus loin… Elle propose de créer un crédit d’impôt sur les cinq premières annuités d’emprunt des primo-accédants. « Quant à l’investissement locatif, la FFB rappelle son souhait de voir majorer transitoirement la réduction d’impôt “Pinel”. » Concernant la RE 2020, la fédération continue de militer pour l’annonce rapide d’un accompagnement financier couvrant les surcoûts associés. « Enfin, pour permettre au secteur de tenir, il faut s’assurer que les surcoûts liés aux matériaux soient partagés des industriels jusqu’au client final. La FFB demande donc que soient réactivées, pour quelques mois, les ordonnances du printemps 2020. Ces dernières avaient transitoirement gelé les pénalités de retard. » La fédération demande aussi que le gouvernement « communique fortement en faveur de l’indexation des marchés ». 1Union sociale pour l’habitat
Il y a 4 ans et 36 jours

La FFB alerte sur la flambée des prix des matériaux et la baisse des constructions de logements

Activité : urgence construction neuveAinsi, après ré-étalonnage des modèles des services de l'État, le nombre des mises en chantier tombe à 351.000 logements en 2020, soit 10.000 de moins que la moyenne de long terme et un niveau équivalent à celui de l'entrée en crise du début des années 1990. Rapporté au nombre de ménages, c'est même au plus dur de cette crise qu'il faut se comparer ! Et les évolutions à fin janvier ne rassurent pas, avec des permis encore en recul de 9% en glissement annuel sur trois mois, après -15% en 2020. Sans relance puissante et rapide, la barre des 300.000 logements commencés sera très probablement enfoncée au tournant 2021-2022.Le choc s'avère encore plus violent pour le non résidentiel neuf. Les surfaces commencées abandonnent 16% en 2020. Et la chute n'a guère de raison de ralentir, puisque les surfaces autorisées s'affichent à -19% en 2020 et encore à -16% en glissement annuel sur trois mois à fin janvier 2021. L'année 2021 risque donc de se révéler la pire jamais observée depuis 1986 en termes de surfaces commencées. D'autant que tous les segments du non résidentiel participent de ce mouvement, y compris commande publique.A contrario, l'amélioration-entretien redresse la tête. Le bilan 2020 ne le révèle pas tout à fait pour l'ensemble, puisqu'au sens de la facturation, l'activité du quatrième trimestre s'inscrit encore en baisse de 2% sur un an, hors effet prix. Toutefois, on l'observe dans l'évolution de la rénovation énergétique, qui ressort stable sur la même période. De fait, le déblocage de MaPrimeRénov' au quatrième trimestre 2020 et le volet bâtiment de « France relance », quasi-exclusivement consacré à la rénovation énergétique, commencent à faire sentir leurs effets.Évidement bienvenus, ils ne suffiront pas à compenser la violente chute du neuf.Emploi : la menace se préciseL'emploi résiste dans le bâtiment, avec 2.900 postes perdus au total en 2020, soit 0,2%, uniquement dans l'intérim. Toutefois, avec 44.000 logements commencés en moins sur 2021 et un ratio de 1,6 emploi mobilisé dans l'ensemble de la filière par logement construit, 70.000 emplois se trouveront très fragilisés à l'horizon 2022, compte tenu des délais de production. En tenant compte de la chute du non résidentiel neuf, aux environs de 100.000 emplois seront menacés.La dynamique de la rénovation énergétique permettra d'atténuer le choc, pas de l'empêcher. D'autant que certains des métiers du gros-œuvre peineront à trouver des passerelles vers ceux de la rénovation et que la mise en œuvre de la RE2020 au 1er janvier 2022 risque de constituer pour eux une seconde lame de fond.Entreprises : attention à la dérive des coûtsBien que plus tardifs qu'anticipés, le choc de la pandémie se manifeste clairement dans les coûts depuis la fin 2020. Une fois les stocks épuisés, la désorganisation des filières productives et des transports internationaux conduisent à de fortes hausses des prix des matériaux. D'abord observé sur les produits acier et cuivre, puis sur le bois de construction et les autres métaux non ferreux, le mouvement gagne plus récemment les plastiques, le polyuréthane et le polystyrène. Il n'est plus rare de recevoir des annonces à +30%, voire plus encore, sur les produits bâtiment. Les craintes se portent maintenant vers des équipements plus techniques, dotés de puces électroniques ou autres composantes en silicium.Pour certains produits bois, PVC ou polyuréthane, cela se double de difficultés d'approvisionnement, donc de réalisation de chantier.Or, force est de constater que la plupart des marchés restent signés à prix ferme, non actualisables ni révisables, et prévoient des pénalités de retard. Ces chantiers risquent donc de se révéler systématiquement en perte.Le bâtiment tient, mais il faut l'aider à poursuivreMalgré la violente chute de 15% de l'activité en 2020, le bâtiment tient. Grâce aux puissantes mesures de soutien public rapidement décidées et à un déconfinement réussi, l'emploi a été préservé et les entreprises ont survécu au choc. Ce qui a permis, au plan macro-économique, de palier le décrochage d'autres secteurs.Pour permettre au bâtiment poursuivre dans cette voie. Pour le permettre, il faudrait tout d'abord lever les blocages et accompagner les donneurs d'ordres. À ce titre, la FFB en appelle aux collectivités locales, afin que la délivrance des permis s'accélère franchement. Dans cette même logique, elle réitère sa proposition de mettre en place un « permis déclaratif » pour toute opération réalisée sous permis d'aménager ou en zone d'aménagement concerté.Elle alerte aussi sur le risque que la loi Climat et résilience débouche sur une politique foncière axée sur le seul objectif de lutte contre l'« artificialisation des sols », aux contours mal maitrisés, sans prise en compte des besoins socioéconomiques sur les territoires visés.Une relance puissante et rapide du neuf passe aussi par le soutien de la demande, que la crise fragilise. Le nouveau protocole d'engagement Action logement-État-USH en faveur du logement social s'avère de bon augure. Mais il conviendrait d'aller plus loin pour permettre une véritable reprise de la primo-accession, fragilisée aujourd'hui par un avenir trop incertain, mais également par les recommandations –bientôt d'ordre règlementaires– du Haut Conseil de stabilité financière (HCSF). À cette fin, la FFB propose la mise en place d'un crédit d'impôt sur les cinq premières annuités d'emprunt des primo-accédants. Quant à l'investissement locatif, la FFB rappelle son souhait de voir majorer transitoirement la réduction d'impôt « Pinel ».Par ailleurs, afin de ne pas entraver la réalisation des opérations, la FFB continue de militer pour l'annonce rapide d'un accompagnement financier permettant de couvrir les surcoûts associés à la RE2020.Enfin, pour permettre au secteur de tenir, il faut s'assurer que les surcoûts liés aux matériaux soient partagés des industriels jusqu'au client final. La FFB demande donc que soit réactivée pour quelques mois les ordonnances qui, au printemps 2020, avaient transitoirement gelé les pénalités de retard et que le gouvernement communique fortement en faveur de l'indexation des marchés.Semaine de la prévention100% digital, la Semaine de la prévention repose sur un programme de quarante webinaires santé - prévention à la carte. Celui-ci sera accessible durant une semaine complète, du 29 mars au 2 avril prochain. Les objectifs sont de sensibiliser et d'informer les chefs d'entreprise, leurs salariés, les apprentis et les intérimaires sur les risques professionnels du BTP et les moyens de s'en prémunir. Cinq thématiques seront abordées: travaux en hauteur ;risque routier ;poussières et risque chimique ;accueil santé/sécurité sur chantier et au poste de travail ;*manutentions manuelles et troubles musculosquelettiques (TMS).Colloque InnovationLa FFB organise le 13 avril prochain de 16h à 17h30, un événement virtuel consacré à l'innovation, diffusé en direct depuis la Station F sur la chaîne YouTube de la FFB.Cet événement s'articulera autour de tables rondes consacrées à l'innovation vue sous les prismes de la transition écologique, la transformation numérique et le développement de nouveaux modes constructifs. Il comprendra des témoignages concrets sur des sujets tels que le béton vert et les nouveaux matériaux biosourcés, l'intelligence artificielle et les objets connectés, l'industrialisation et de nouveaux procédés constructifs.L'occasion de rompre avec les idées préconçues et de prouver que le bâtiment innove, que ce soit en termes de services apportés aux usagers, de transformation numérique, de transition écologique, d'organisation ou d'évolution des matériaux et procédés constructifs.
Il y a 4 ans et 36 jours

"La dimension carbone entrera dans le dispositif du décret tertiaire" (Philippe Pelletier)

RÉNOVATION ÉNERGÉTIQUE. La route est encore longue pour atteindre les objectifs de performance énergétique du parc tertiaire public, estime le président du Plan bâtiment durable. Si l'Etat semble armé et en ordre de marche, nombre de collectivités ont un besoin d'aide à l'ingénierie de projet.
Il y a 4 ans et 36 jours

Siniat dévoile une nouvelle gamme d’enduits prêts à l’emploi

Cette gamme est conçue pour offrir gain de temps et facilité d’emploi et elle répond parfaitement aux besoins sur chantier :pas besoin d’eau,pas de gâchage,qualité et consistance constantes,propreté (moins de poussière),réduction des déchets (pas de perte en fin de chantier),produit mécanisable (airless et machines à joint).Les enduits Prêts à l’emploi se caractérisent par leur blancheur extrême, leur pouvoir couvrant et leur ponçage aisé.Les enduits Prêts à l’emploi Siniat s’inscrivent dans une démarche globale de l’entreprise pour une construction durable et responsable : ils ont une durée de conservation rallongée à 12 mois et sont conditionnés dans des emballages éco responsables, composés à 50% de plastique recyclé et 100% recyclable.La nouvelle gamme d’enduits Prêts à l’emploi Siniat se compose de trois références rapidement identifiables grâce à un code couleur. Véritable repère pour les professionnels, la couleur est déclinée sur le corps du seau, le couvercle et l’anse pour une visibilité maximale.Les informations essentielles (nom du produit, fonction et principales caractéristiques techniques) bénéficient d’une lecture facile et claire.Afin de garantir une qualité certifiée, les enduits PRÉGY S, PRÉGY XS et PRÉGY L sont fabriqués en France et sont conformes aux normes et DTU en vigueur. Ils bénéficient du marquage sanitaire A+, niveau le plus faible d’émission de substances polluantes pour l’air intérieur.La nouvelle gamme d’enduits Prêts à l’emploi Siniat se décline en troisréférences pour couvrir tous les besoins sur chantier, en neuf commeen rénovation :deux enduits à joints PRÉGY S et PRÉGY XS, standard et allégé pour répondre au traitement des joints entre plaques de plâtre à bords amincis,un enduit de finition PRÉGY L, pour le lissage des murs et plafonds avant mise en peinture ou pose de revêtement.Enduits Prêts à l’emploi Siniat :une gamme de trois produits ultra performantsPRÉGY S est un enduit à joint à séchage se distinguant par une glisse parfaite facilitant la pose du produit (pas d’effort sous l’outil), une grande souplesse d’utilisation (ne colle pas, ne pèle pas), un excellent pouvoir couvrant évitant le spectre de bande pour un rendu uniforme, et un très faible retrait permettant une application en 2 passes sans nécessité de couche de finition. PRÉGY S est mécanisable (machines à joint).PRÉGY XS est un enduit à joint très allégé (60% plus léger que les prêtsà l’emploi standards) rendant son application plus aisée et offrant un temps de séchage réduit. D’une très grande blancheur, il se caractérise par sa finesse qui facilite le ponçage et permet un chantier plus propre, mais aussi par son excellent rendement. PRÉGY XS est mécanisable (machines à joint).PRÉGY L est un enduit de lissage et de surfaçage pour la finition des murs et des plafonds. Il séduit par son grain fin qui facilite le ponçage et offre une finition lisse, un excellent pouvoir garnissant et opacifiant et une blancheur extrême. Autre atout de taille, PRÉGY L est mécanisable (airless).
Il y a 4 ans et 36 jours

Rénovation énergétique : lancement du concours Energie Sprong 2021

Les candidatures pour participer au concours d’innovation EnergieSprong 2021 sont ouvertes. Lancé en 2020, ce concours vise à valoriser les solutions innovantes et à coût global maîtrisé en rénovation à énergie zéro garantie.
Il y a 4 ans et 36 jours

Concours d’innovation rénovation à zéro énergie garantie

EnergieSprong France lance la seconde édition de son concours d’innovation pour encourager le développement de solutions de rénovation à zéro énergie garantie. L’objectif de cette 2ème saison est d’apporter des…Cet article Concours d’innovation rénovation à zéro énergie garantie est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 36 jours

Webinaire : la ventilation simple flux en rénovation

L’AQC lance le 1er webinaire de son cycle de web conférences dans le cadre du Dispositif REX BP® : La ventilation simple flux en rénovation. Avec les interventions de Samuel…Cet article Webinaire : la ventilation simple flux en rénovation est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 37 jours

Sereine, une méthode inédite et fiable pour mesurer la performance thermique d'un bâtiment

Fruit de recherches initiées il y a plusieurs années, cette méthode permet de mesurer en moins de 24 h la performance thermique réelle d'un bâtiment rénové ou neuf, de façon aussi fiable et simple que la mesure d'étanchéité à l'air, aujourd'hui généralisée. Issu d'une collaboration entre 7 organismes partenaires, ce projet représente un défi scientifique majeur.Un levier pour en finir avec les « passoires énergétiques »Parce qu'elle objective la qualité des travaux de rénovation et les gains en efficacité énergétique, la mesure SEREINE est à la fois un élément de référence et un outil de pilotage.« Elle permet de valoriser les entreprises qui travaillent bien, d'améliorer la qualité des travaux en corrigeant d'éventuels problèmes et donc de restaurer la confiance avec les maîtres d'ouvrage. Une confiance indispensable pour massifier les travaux de rénovation énergétique. Sans oublier le pilotage des politiques publiques. Quand on investit plusieurs milliards d'euros dans un plan de relance pour la rénovation énergétique, il est essentiel de pouvoir en mesurer les retombées en s'appuyant sur un indicateur fiable »Philippe Estingoy, Directeur général de l'Agence Qualité ConstructionC'est à ce titre que SEREINE est le projet le plus stratégique des 9 projets du Programme d'innovation PROFEEL. Doté d'un budget de 5 millions, sur 3 ans (2019-2021), il concerne toute la filière de la rénovation énergétique, c'est-à-dire ceux qui conçoivent et font les travaux (entreprises, artisans, bureaux d'études et architectes) mais aussi ceux qui leur passent commande, à savoir les maitres d'ouvrage (bailleurs sociaux, copropriétés et particuliers) et enfin les opérateurs de mesure qui les évaluent.Une méthode inédite pour objectiver l'efficacité d'une rénovation énergétiqueSEREINE est aujourd'hui la seule méthode opérationnelle permettant de mesurer de façon fiable la performance thermique réelle d'un bâtiment dans des délais acceptables. C'est-à-dire en moins de 24 h. Complémentaire au diagnostic de performance énergétique (DPE) qui donne une estimation de consommations, elle mesure la performance réelle de l'enveloppe de façon précise et indépendamment des usages. Ce qui en fait un outil précieux pour objectiver l'apport des travaux, en toute confiance.Une mesure simple à mettre en œuvrePour mettre en œuvre SEREINE, il suffit d'un opérateur formé et d'un kit de mesure, composé de capteurs intérieurs et extérieurs, d'appareils de chauffage et de ventilateurs, ainsi que d'un ordinateur. Le bâtiment doit être vide de ses occupants. L'opérateur en obstrue toutes les ouvertures, éteint les systèmes énergétiques à demeure, installe le matériel, puis lance le chauffage et la mesure. Un algorithme complexe génère alors des modèles numériques adapté à chaque type de bâti, et calcule alors à partir des mesures réalisées le coefficient de déperdition énergétique en Watt/Kelvin, accompagné d'un intervalle de confiance.Une mesure en moins de 24 h d'ici a fin 2021Opérationnelle dans l'habitat individuel depuis juin 2020, SEREINE donne aujourd'hui un résultat fiable en 48 h pour les maisons rénovées par l'intérieur. L'objectif est de pouvoir le faire en moins de 24 h, d'ici à fin 2021. 20 opérateurs ont été formés dans ce but. Ce sont eux qui réalisent les mesures sur le terrain depuis plusieurs mois. Ces résultats sont le fruit des recherches entamées il y a 10 ans, continuées au sein du programme PACTE et intégrées au programme PROFEEL depuis 2019. Elles ont donné lieu à plusieurs milliers de simulations numériques, une centaine de mesures sur des maisons expérimentales, ainsi que plusieurs dizaines de mesures terrain sur des maisons neuves et rénovées. L'objectif d'ici à fin 2021, est de passer du stade de prototype à un usage courant dans l'habitat individuel, avec un matériel de mesure et un coût optimisé pour pouvoir être déployés à grande échelle.« Avec SEREINE, nous disposons aujourd'hui d'une méthode opérationnelle, fiable, simple à mettre en œuvre et déployable par des opérateurs formés. Notre consortium, qui associe les principaux acteurs de la recherche publique en France, est donc au rendez-vous de ses objectifs à mi-parcours. Et il met tout en œuvre pour réduire au maximum la durée de la mesure d'ici à la fin du programme ».Stéphanie Derouineau, coordinatrice scientifique et technique de SEREINE, Cheffe de division au CSTBDans l'habitat collectif, les travaux de réplication sont en cours, en tenant compte de tous les paramètres qui peuvent perturber la mesure : murs mitoyens, conditions thermiques des appartements voisins, etc. Le but étant d'arriver à de premiers protocoles de mesure, puis un dispositif opérationnel en 2024.Une équipe de 40 chercheurs pilotés par l'AQC20 chercheurs et techniciens de la mesure travaillent sur le projet SEREINE depuis 2019, répartis au sein de 7 organismes de recherche publics et privés. Pilotée par l'Agence Qualité Construction (AQC) et coordonnée par le CSTB, cette équipe travaille en lien étroit avec des représentants de toute la filière de rénovation : entreprises et artisans, mais aussi bureaux d'études, architectes, maîtres d'ouvrages et opérateurs de mesure. Leurs objectifs : s'assurer que la méthode répond bien à leurs besoins et la confronter aux exigences du terrain. Le projet s'est adjoint l'expertise d'un partenaire européen, le Centre Scientifique et Technique de la Construction (CSTC) de Belgique. Son rôle est de stimuler les équipes grâce à une expertise extérieure et un regard neutre.« La France est un des pays les plus avancés sur ce sujet. Aussi, au démarrage de Profeel, il y avait de multiples pistes à explorer pour espérer arriver à une mesure fiable en moins de 24 h. Ayant travaillé sur des projets comparables en Belgique comme en Europe, le CSTC a aidé les équipes à y voir clair dans ces choix. C'est ce type de soutien technique que nous apportons à chaque étape du projet, en organisant des workshops ou en relisant des livrables, etc. »Jade Deltour, Cheffe de projet au CSTCLes 7 organismes partenaires de SEREINEL'Association de recherche de l'école des Mines (ARMINES), le Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (CEREMA), le Comité scientifique et technique des industries climatiques (COSTIC), le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB), l'Institut national de l'énergie solaire (INES), l'Institut national pour la Transition Énergétique et environnementale du bâtiment (NOBATEK/INEF4) et l'Université Savoie Mont-Blanc (USMB).
Il y a 4 ans et 37 jours

Rapport Sichel : "L'accompagnateur travaux existe déjà", rétorque D. Dessus (Cnoa)

PROFESSION. Le président du conseil national de l'ordre des architectes a vivement réagi au rapport Sichel, sur la rénovation énergétique. Contacté par Batiactu Denis Dessus regrette notamment que l'ordre n'ait pas été consulté pour l'écriture du document rendu public le 17 mars.
Il y a 4 ans et 37 jours

Lowcarbotys, la marque bas carbone du Cérib

Depuis plusieurs années, le Cérib travaille sur les bétons bas carbone. [©ACPresse] Impulsé par l’industrie du béton et les travaux menés avec l’IMT de Douai et d’Alès, le Cérib mène depuis plusieurs années des recherches autour du bas carbone. Véritable enjeu dans le domaine de la construction, la réduction des émissions de CO2 bouleverse la filière. Une réalité encore plus palpable, avec la publication des arbitrages de la future RE 2020. Afin de réduire l’impact environnemental des systèmes constructifs en béton, le Cérib a pu déterminer que les leviers matériau et process de production en constituent les éléments centraux. Tous ces travaux, innovations et savoir-faire bas carbone sont désormais concentrés sous la marque Lowcarbotys. Ils ont pour vocation d’être mis en œuvre avec les procédés de fabrication actuels sur les marchés du neuf et de la rénovation, et avec tous types de produits ou systèmes constructifs. Un travail sur le matériau et les process de production Plusieurs axes ont été explorés avec des objectifs concrets. Tout d’abord, diminuer de 50 % les émissions carbone du béton par rapport à une formulation opérée sur la base d’un CEM I. Et ensuite, garantir une performance à l’état frais, ainsi que les résistances mécaniques. La question économique du modèle à adopter, tant pour l’industriel et que pour le consommateur, a, elle aussi, son importance. Ceci, pour encourager la démocratisation de ces produits. D’un point de vue technique, les solutions Lowcarbotys permettent l’utilisation de liants bas carbone dans les bétons industriels, grâce à l’accélération de leur durcissement. Ces liants présentent une proportion réduite de clinker allant de 50 à 70 %, voire 100 % pour les technologies de rupture. Cette matière première est, le plus souvent, compensée par des éléments minéraux : additions calcaires, laitiers de hauts fourneaux, métakaolins… Des matériaux bénéficiant d’une empreinte plus favorable. Cependant, il existe un flou réglementaire autour de l’impact réel des laitiers de hauts fourneaux et de son allocation en CO2… Un triptyque vertueux L’utilisation de ces liants bas carbone en préfabrication est rendue possible grâce à l’action de certains leviers à la disposition des industriels. Il s’agit par exemple de la formulation du béton (activateurs, accélérateurs de durcissement, réduction d’eau). Mais aussi, du levier “process” relatif aux procédés de production en usine, tels que la cure thermique ou la vibro-compaction. Le Cérib indique qu’en termes de gain, la réduction de carbone peut atteindre jusqu’à 60 % pour des solutions suivant le spectre normatif actuel. Et jusqu’à 90 % de réduction pour des solutions de rupture. D’autres axes sont en cours de développement au sein du Cérib. L’objectif ? Optimiser au maximum le triptyque “performance, coûts, impacts environnementaux”. Toujours dans l’optique de rester compétitif, tout en répondant aux problématiques de l’économie circulaire et des différentes réglementations à venir.
Il y a 4 ans et 37 jours

Le chantier géant de "forêt urbaine" à Nice sur les rails

Candidat à un financement de l'Etat via le plan de relance, ce projet de végétalisation urbaine, très à la mode par temps de réchauffement climatique, a franchi une première étape avec la clôture de l'appel d'offres pour les cabinets d'architectes-paysagistes. Le lauréat sera désigné au dernier trimestre parmi cinq pré-sélectionnés.Coût des travaux: 75,6 millions d'euros, selon le montant donné à titre indicatif par l'appel d'offres qui regroupe plusieurs opérations pour prolonger sur huit hectares la "Promenade du Paillon", nom de la coulée verte existante, inaugurée en 2013 par M. Estrosi et plébiscitée par les Niçois.Le maire de droite avait créé la surprise en annonçant ce projet en janvier 2020, au début de la campagne ayant mené à sa réélection. En France, plusieurs municipalités écologistes ont lancé des programmes de végétalisation mais en privilégiant de "mini-forêts".A Nice, le projet est critiqué par l'opposition. Le Rassemblement national a dénoncé les "travaux répétitifs et massifs" qu'il entraînerait après le coûteux chantier tout juste achevé fin 2019 de la nouvelle ligne de tramway.La gauche, sans élu désormais au conseil municipal, a elle accusé M. Estrosi de ne s'intéresser "qu'à la façade de la ville et de déplacer le béton vers l'ouest"."Vos projets pharaoniques étaient déjà contestables avant la crise (sanitaire), maintenant alors que notre ville se désespère, ils ne sont plus acceptables! Ils nous endettent sur des décennies et contribuent au dérèglement climatique", a lancé l'élue d'Europe Ecologie les Verts au conseil municipal, Juliette Chesnel-Leroux.Vigilance"C'est très bien de planter des arbres, ça rafraîchit les villes, ça réduit la pollution. Sauf qu'il va falloir être très vigilant", notamment sur le choix des essences, prévient le géographe Philippe Rossello, membre du Groupe régional d'experts sur le climat en région Sud Provence-Alpes-Côte d'Azur (Grec-Sud)."Si la sécheresse en été s'accentue avec le changement climatique, à moins d'un arrosage massif, l'évapo-transpiration des arbres sera faible et le rafraîchissement aussi", prévient-il.Longeant le Vieux-Nice et construite sur une dalle enchâssant le fleuve Paillon, la Promenade du Paillon permet de déambuler de la mer au Théâtre national de Nice (TNN). Elle offre un pendant arboré à la Promenade des Anglais le long de la Méditerranée.Le prolongement de cet espace vert doit "offrir un espace de vie qualitatif et apaisé avec moins de nuisances sonores, moins de pollution, l'effacement d'équipements devenus inappropriés du fait de leur impact visuel et de leur positionnement --théâtre national et palais des congrès-- et des façades restaurées", souligne la mairie.M. Estrosi avait initialement annoncé la démolition de deux hôtels, pas prévenus du projet, qui finalement "feront tout pour s'intégrer au nouveau paysage", a précisé à l'AFP Pierre Messe, directeur du Novotel.Le bâtiment du TNN datant de 1989 sera démoli "début 2022", puis en "décembre 2022" le Palais des congrès Acropolis, 38.000 m2 rénovés il y a dix ans pour une capacité de 6.000 congressistes. Ce dernier sera reconstruit à l'entrée de la ville près de l'aéroport. La bibliothèque centrale et un parking seront maintenus sous le jardin, avec le Musée d'art moderne et contemporain (Mamac)."Ça se précipite", confirme à l'AFP le TNN, soutien au projet et amené à préparer deux saisons "hors les murs".Le Théâtre récupèrera une petite salle dans un ancien couvent en rénovation au Vieux-Nice où les travaux retardés par le Covid-19 doivent s'achever pour janvier-février 2022. Pour la grande salle, l'échéance est plus lointaine, 2024/2025.A Paris, l'éphémère candidat d'En Marche Benjamin Griveaux avait fait une proposition similaire pour créer un "Central Park parisien" et "planter une forêt" en dynamitant la gare de l'Est, avec une facture de 1,5 milliard d'euros à la clé. La mairie PS réélue préfère multiplier les mini-forêts urbaines.
Il y a 4 ans et 37 jours

La massification énergétique pour tous

Olivier Sichel, directeur général délégué de la Caisse des Dépôts et directeur de la Banque des Territoires, a été missionné pour identifier des leviers d’action afin de massifier la rénovation…Cet article La massification énergétique pour tous est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 40 jours

Rénovation énergétique : Saint-Gobain lance un appel à solutions innovantes

ENERGIE. Tout comme d'autres acteurs de la filière, Saint-Gobain tend vers la rénovation énergétique, à travers un appel à projets. Les candidats ont jusqu'à mai pour déposer leur dossier.
Il y a 4 ans et 40 jours

ACS Lohmuller assure la ventilation de ses locaux avec une VMC double-flux équipée de solutions Ubbink

Ubbink et ACS Lohmuller, un partenariat gagnant-gagnantLuc Lohmuller, installateur, dirigeant de l'entreprise de sanitaire/chauffage ACS Lohmuller, spécialisée dans les énergies renouvelables, utilise les produits Ubbink depuis maintenant 2 ans. Sélectionnés par ce spécialiste pour leur fiabilité et leur simplicité de mise en œuvre, les solutions Ubbink s'accompagnent également de nombreux services de qualité qui ont séduit ce professionnel. Ainsi, disponibilité des produits, suivi des commandes, bureau d'études intégré… font d'Ubbink un partenaire de choix pour cette société labellisée RGE, Qualipac, Qualisol et Qualibois.Dans le cadre de l'installation d'une VMC Double-Flux et de la réalisation de son showroom dans ses locaux, l'entreprise ACS Lohmuller a logiquement utilisé les produits de la gamme AIR EXCELLENT. Ces conduits-semi-rigides permettent de contourner le risque d'écrasement, limitent les pertes thermiques et les pertes de charge. Le choix des produits Ubbink s'est ainsi imposé comme une évidence puisque le réseau semi-rigide AIR EXCELLENT s'adapte à toutes les configurations et solutions de ventilation.Silencieuse, conçue de manière à optimiser la maintenance et le nettoyage du réseau et facile à installer, la gamme AIR EXCELLENT est intuitive et se pose sans outil.Une installation doublement utile pour l'entrepriseLe résultat offre à ACS Lohmuller un système de ventilation optimal. Installée dans une zone industrielle, l'entreprise dispose ainsi d'une VMC Double-Flux permettant de filtrer l'air et donc de renforcer sa qualité dans les 160 m² d'espace de vie, qu'il s'agisse des bureaux, du vestiaire ou du showroom. La récupération des calories issues de la baie de brassage de l'entreprise permet de chauffer les espaces en hiver et de les climatiser en été et, ainsi, de faire des économies d'énergie.De plus, cette installation répond à un double objectif, le showroom ayant vocation à accueillir les clients de l'entreprise ACS Lohmuller. Ainsi, les gaines du réseau circulaire AIR EXCELLENT ont été laissés apparentes dans cet espace afin de permettre aux visiteurs de constater le savoir-faire et les produits utilisés par l'artisan. « Les conduits verts sont un véritable atout et nous utilisons cette couleur signature des produits Ubbink afin d'en faire une démonstration visible de ce que nos clients auront comme réseau de ventilation » indique Luc Lohmuller, gérant de la société ACS Lohmuller.L'installation de cette VMC Double-Flux s'est effectuée dans le cadre d'une rénovation globale et le showroom de l'entreprise ACS Lohmuller accueillera ses clients d'ici à la fin de l'année 2020.
Il y a 4 ans et 40 jours

Quai de Jemmapes à Paris, un bâti industriel reconstruit sur lui-même par DL2A

L’agence DL2A (Didier Lefort) a livré en octobre 2019, pour SI Neuilly Château maître d’ouvrage, la rénovation totale des façades et la réhabilitation des parties communes d’un imposant immeuble industriel des années 30 d’une surface de 11 000 m², en bordure du canal Saint-Martin, quai de Jemmapes à Paris (Xe). Communiqué. Pour les parties communes […] L’article Quai de Jemmapes à Paris, un bâti industriel reconstruit sur lui-même par DL2A est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 41 jours

Publication du rapport « Pour une réhabilitation énergétique massive, simple et inclusive des logements privés »

Il comporte de nombreuses propositions pour contribuer à l’amélioration de l’accompagnement des ménages pour la rénovation énergétique de leur logement. Ces propositions pourront être discutées dans le cadre projet de Loi Climat & Résilience en cours de discussion à l’Assemblé nationale. Retrouvez en ligne le rapport « Pour une réhabilitation énergétique massive, simple et inclusive des logements privés »
Il y a 4 ans et 41 jours

Les architectes "atterrés" par les rapports Sichel et Michel-Rivaton

PROFESSION. Le président du principal syndicat d'architectes ainsi que la sous-directrice à l'architecture du ministère de la culture se disent "atterrés" par le traitement réservé aux architectes dans deux rapports rendus publics récemment, sur la construction en préfabriqué et sur la massification des rénovations énergétiques.