Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour paris

(24775 résultats)
Il y a 4 ans et 36 jours

Lancement de la 3e édition de l'appel à projets urbains innovants « Inventons la Métropole du Grand Paris »

« Inventons la Métropole du Grand Paris » (IMGP) s'est imposé comme le plus grand concours d'architecture et d'urbanisme d'Europe. Les deux premières éditions ont suscité une immense mobilisation, preuve de l'attractivité du territoire métropolitain. Forte de ce succès, la Métropole lance une 3e édition comprenant plusieurs nouveautés. IMGP 3 s'inscrit dans la continuité des deux précédents concours, mais aussi dans la dynamique du plan de relance métropolitain et du Contrat de Relance et de Transition Ecologique (CRTE), que la Métropole a signé avec l'Etat en mars dernier.3 thématiques phares pour cette 3e édition !Organisée en lien avec l'Etat, la Société du Grand Paris, la Banque des Territoires et la Foncière de Transformation Immobilière d'Action Logement, IMGP 3 s'articule autour de trois thèmes, visant le renouvellement de la ville, pour un territoire durable, équilibré et résilient.La reconversion de bureaux en logements et la mutation du bâti existantCe thème privilégiera l'identification de fonciers bâtis vacants : bâtiments tertiaires, d'activités, commerciaux et bâtiments publics. Le déploiement et la généralisation du télétravail induit par la crise sanitaire a considérablement modifié les manières de travailler et pose la question du devenir de ces immeubles de bureaux.La reconversion des friches urbainesIl s'agira de terrains nus, ou occupés en minorité par un bâti obsolète, déjà artificialisés, ayant perdu leur usage ou affectation (friches économiques, commerciales, industrielles, sites militaires délaissés, grands équipements ou infrastructures ferroviaires et routières, à l'exclusion des friches agricoles).L'aménagement des quartiers de gareCette thématique comprend tout type de fonciers situés autour de gares existantes ou futures, notamment les gares du Grand Paris Express. De grandes nouveautés et un objectif affirmé de rééquilibrage territorial, d'attractivité et de transition écologique Les projets retenus dans le cadre d'IMGP 3 devront viser prioritairement des objectifs d'accompagnement du renouvellement urbain et des mutations du territoire métropolitain par la requalification du bâti existant, la production de logements, la réduction de l'étalement urbain par une limitation de l'artificialisation des sols et la mixité programmatique et fonctionnelle.Par ailleurs, forte des retours d'expérience des deux premières éditions, la Métropole du Grand Paris tient à compléter l'appel à projets en y apportant des nouveautés portant sur la possibilité de proposer des fonciers appartenant aux propriétaires publics, parapublics ou privés, une sécurisation et une simplification de la procédure et un suivi renforcé durant toute la durée des opérations.« Inventons la Métropole du Grand Paris s'est imposé comme le plus grand concours d'architecture et d'urbanisme d'Europe. Cette 3e édition sera à nouveau organisée en lien avec l'Etat, la Société du Grand Paris et la Banque des Territoires, partenaires historiques d'IMGP. Dans la dynamique du plan métropolitain de relance, ce concours vise notamment à soutenir le secteur de l'immobilier et du bâtiment afin de créer de la richesse, de la valeur ajoutée et de l'emploi. Comme cela a été le cas pour les 77 sites des deux premières éditions, nous permettrons à des aménageurs de participer au rééquilibrage territorial, l'un des enjeux essentiels de la Métropole ». Patrick OLLIER, Président de la Métropole du Grand Paris « Les trois grandes thématiques d'Inventons la Métropole du Grand Paris 3 répondent à un besoin réel. Nous allons notamment créer des logements mais aussi repenser et innover pour instituer des espaces de télétravail, de coworking, ainsi que des lieux de vie autour des différentes gares. Pour cela, la Métropole va jouer un rôle d'accompagnateur auprès des maires chargés de ces aménagements » Jacques-Alain BENISTI, Conseiller délégué auprès du Président en charge du suivi « Inventons la Métropole du Grand Paris » et des grandes opérations métropolitaines« L'Etat est heureux d'accompagner Inventons la Métropole du Grand Paris 3 car ce concours est la mise en œuvre concrète d'un des engagements que nous avons pris dans le Contrat de Relance et de Transition Ecologique que nous avons signé le 18 mars dernier. Cette initiative innovante et utile permettra de mieux répondre à la demande de logements, mais aussi de penser la transition écologique et la mixité des espaces urbains. Les thèmes de cette 3e édition sont particulièrement en résonnance avec les politiques publiques de l'Etat ». Pierre-Antoine MOLINA, Préfet, Secrétaire Général aux Politiques Publiques de la Préfecture de la région d'Île-de-France « La Société du Grand Paris est partenaire de cet appel à projets depuis 2016 et le demeurera de manière accentuée pour cette 3e édition qui portera spécialement la thématique de l'aménagement des quartiers de gare du Grand Paris Express, une question majeure qui doit être abordée en partenariat avec toutes les parties prenantes et notamment avec les maires. » Jean-François MONTEILS, Président du Directoire de la Société du Grand Paris« La Banque des Territoires est un partenaire de la première heure d'IMGP car nous croyons beaucoup à cette formule, à ce processus souple et ouvert qui permet de fédérer plusieurs acteurs en même temps, au même moment, sur un même projet : des start-ups, des grandes entreprises, des promoteurs, des acteurs publics et privés. Capable de fertiliser l'innovation, cet appel à projets impulse une dynamique collective permettant de mettre en valeur et de rendre visible les projets sur l'ensemble des communes de la Métropole du Grand Paris ». Marianne LOURADOUR, Directrice régionale Ile-de-France de la Banque des Territoires « Ce qui caractérise Inventons la Métropole du Grand Paris est la démarche de partage et d'accompagnement portée par la Métropole. Il s'agit d'un facilitateur de projets qui ne remplace pas la volonté politique des maires mais reste un levier fort permettant de mettre en place des aménagements innovants et structurants pour les communes ». Éric CESARI, Vice-président délégué à la Stratégie et aux Partenariats Institutionnels« La Métropole regardera plus particulièrement dans les projets tout ce qui concerne les nouveaux usages et les méthodes innovantes. Nous inviterons les lauréats à la modularité et à la mutualisation des espaces afin de bâtir une Métropole agile favorisant l'innovation. » Geoffroy BOULARD, Vice-président délégué à la Communication et à l'Innovation NumériqueCalendrier prévisionnel de la 3e édition :6 mai 2021 : Lancement de la consultation auprès des communes et partenaires jusqu'au 30 juin 2021Septembre 2021 : Annonce des sites retenus et ouverture des candidaturesPrintemps 2022 : Désignation des lauréatsLes chiffres-clés des deux précédentes éditions :77 sites répartis dans 70 communesPlus de 2860 places de stationnement vélo développées26 projets inscrits dans une démarche d'économie circulaire6,5 hectares dédiés à l'agriculture urbaine15,6 hectares de surfaces végétalisées6,5 hectares d'espaces extérieurs à usage public13 000 logements programmés70% des projets sont situés dans un secteur de renouvellement urbain (secteur de Quartiers Prioritaires de la Ville)66% des projets participent à la mixité sociale10% des surfaces construites sont dédiées aux équipements et aux services46% des projets sont situés dans un rayon d'1 km autour d'une gare du Grand Paris Express
Il y a 4 ans et 36 jours

Lapeyre : l'homologation de la cession au fonds Mutares attendue le 1er juin

CESSION. Depuis novembre 2020, Saint-Gobain est entré en négociations exclusives avec Mutares pour vendre son enseigne Lapeyre. Lundi, une audience au tribunal de commerce de Paris avait lieu pour aborder l'homologation de la cession. La décision finale doit avoir lieu le 1er juin.
Il y a 4 ans et 36 jours

Covid-19: l'exécutif voit la sortie de crise et détaille le mode d'emploi

"Je le dis de la façon la plus claire: nous sommes enfin en train de sortir durablement de cette crise sanitaire", a affirmé le chef du gouvernement, dans un entretien mardi au Parisien, plus optimiste qu'une partie des experts sanitaires qui redoutent toujours un rebond épidémique."Évidemment, cette sortie va se faire de façon progressive, prudente et accompagnée". a-t-il ajouté.Car avec une moyenne de 17.000 cas positifs de SARS-CoV-2 par jour sur la semaine écoulée, le niveau se situe encore loin du seuil de 5.000 qu'avait fixé l'exécutif pour sortir du deuxième confinement en décembre.Dans son dernier avis, le conseil scientifique, censé guider les choix du gouvernement, prévient aussi que "les mois qui viennent seront très incertains" si le taux d'incidence reste élevé, en plaçant le curseur sous la barre des 10.000 nouveaux cas par jour.Une semaine et un jourLe freinage de l'épidémie depuis quatre semaines a permis de faire diminuer l'afflux de malades et le nombre de décès à l'hôpital (293 lundi), mais 4.870 patients atteints de Covid-19 étaient encore soignés lundi dans les services de réanimation, un niveau à peine inférieur au pic de la 2e vague (4.900 à la mi-novembre). Néanmoins, cet indicateur diminue sensiblement chaque jour.À une semaine et un jour des premiers verres en terrasse et du retour au cinéma ou au musée, Matignon a livré un mode d'emploi détaillé des réouvertures, des zoos aux casinos en passant par les petits trains touristiques et les bowlings.Comme prévu, les cafés et restaurants pourront rouvrir leurs terrasses à partir du 19 mai, mais ils devront se limiter à la moitié de leurs capacités, et avec des tables de six maximum. Une jauge en vigueur aussi à partir du 9 juin en intérieur.Dans l'hôtellerie, on espérait que certains territoires seraient épargnés par cette jauge, qui va fortement les handicaper, alors que seuls 40% de ces établissements disposent d'une terrasse, et que les touristes étrangers, comme la clientèle d'affaires, ne seront pas de retour cet été.De leur côté, les professionnels du mariage ont déploré un feu vert très partiel pour eux, à cause du couvre-feu à 21h puis 23h en juin, un "voyage en absurdie".Bercy a annoncé que les aides aux entreprises des secteurs les plus affectés seront maintenues mais diminuées entre juin et août.Pour les cinémas, salles de théâtre et cirques, la jauge sera limitée à 35% de la salle (65% le 9 juin), avec un maximum de 800 spectateurs en intérieur (5.000 le 9 juin), comme pour les rencontres sportives.Les mineurs pourront bien reprendre le chemin des gymnases et des piscines le 19 mai, mais seulement pour les sports sans contacts, avec une jauge de 50%. Les adultes attendront le 9 juin.Pass sanitaireDe leur côté, malgré les critiques des oppositions, les députés ont donné un premier feu vert lundi soir à la création d'un pass sanitaire, prévoyant un test négatif au Covid-19, la vaccination ou une attestation de rétablissement après une contamination, pour les voyages à l'étranger ou de grands rassemblements."On ne l'exigera pas dans les lieux de travail, d'enseignement, dans les services publics, les musées, les bibliothèques, les grands magasins, les marchés, les lieux de vacances ou encore les lieux de cultes", a énuméré Jean Castex dans Le Parisien."On a le droit d'être optimiste aujourd'hui, parce que les efforts des Français portent leurs fruits" et qu'il y a "une nouvelle donne dans la sortie de crise" avec la vaccination, a insisté le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, sur France Inter.Lundi, au premier jour de l'ouverture à tous les plus de 50 ans, sans condition de santé, plus de 500.000 doses ont été injectées, soit un total de 18,1 millions de premières doses (34,5% de la population majeure), et près de 8 millions de personnes vaccinées avec deux doses (15% de la population majeure).A partir de mercredi, les centres accueilleront aussi, sans condition d'âge et de santé, les adultes qui auront trouvé un créneau disponible la veille pour le lendemain sur les plateformes de rendez-vous.Doctolib, qui prévoit plus d'un million d'injections pendant le pont de l'Ascension, a annoncé ouvrir dès mardi un espace pour ces doses restantes.
Il y a 4 ans et 36 jours

La future prison du Val-d'Oise ne sera finalement pas construite à Belloy-en-France, mais à Bernes-sur-Oise

"Nous implanterons à Bernes-sur-Oise une maison d'arrêt, ce qui permettra de créer 750 emplois et d'accueillir de nouvelles familles", a déclaré le chef de gouvernement lors d'un discours à Gonesse de présentation de son "plan Val-d'Oise".Le gouvernement avait dévoilé fin avril les sites choisis pour les nouveaux établissements pénitentiaires de la seconde phase du programme immobilier destiné à créer 15.000 places supplémentaires en prison à horizon 2027, à l'exception notable de celui du Val-d'Oise.L'État avait initialement informé à la mi-mars le conseil municipal de Belloy-en-France, paisible village au milieu des champs à une vingtaine de kilomètres au nord de Paris, que la maison d'arrêt de 700 places allait être construite sur leur territoire.Mais cette annonce surprise avait provoqué une levée de boucliers parmi les 2.200 habitants de cette commune du parc naturel régional Oise-Pays de France, qui estiment leur environnement rural complètement inapproprié à l'implantation d'un centre pénitentiaire.Ces opposants battaient depuis la campagne contre ce projet et devaient organiser samedi une nouvelle manifestation pour maintenir la pression sur l'exécutif."Le collectif est très content, on ne boude pas notre joie", a déclaré Delphine Drapeau, adjointe au maire de Belloy-en-France, jointe par l'AFP suite à l'annonce du Premier ministre.Pour cette nouvelle maison d'arrêt, le ministère de la Justice cherchait un lieu situé dans l'est du Val-d'Oise et à moins de trente minutes de route du tribunal de Pontoise."La maison d'arrêt envisagée dans ma circonscription sera finalement à Bernes-sur-Oise, bien plus approprié que Belloy-en-France. Je me réjouis d'avoir été écouté, tout comme les habitants mobilisés", a tweeté le député LREM Guillaume Vuilletet, qui avait proposé au gouvernement des solutions alternatives.
Il y a 4 ans et 37 jours

Prix international de la Transformation de Bureaux en Logements – 2e édition

Paris-Île de France Capitale Économique et la Maison de l’Architecture Ile-de-France ont... Cet article Prix international de la Transformation de Bureaux en Logements – 2e édition est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 37 jours

PLU bioclimatique, esthétique parisienne et controverses urbaines, le programme d'Emmanuel Grégoire pour Paris

Révision du plan local d'urbanisme, élaboration d'un "Manifeste de l’esthétique parisienne", débat sur la construction de nouvelles tours, etc. Dans un long entretien avec les journalistes du Moniteur, Marie-Douce Albert et Nathalie Moutarde, Emmanuel Grégoire, le premier adjoint à la maire de Paris, notamment en charge de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 37 jours

A quelques encablures de l'Elysée, de nouveaux logements sociaux ont été livrés

INAUGURATION. 23 logements sociaux familiaux ont été construits dans le quartier chic du 8ème arrondissement de Paris. Cette opération illustre la volonté de la ville de rééquilibrer la part de logements sociaux dans la capitale.
Il y a 4 ans et 37 jours

La Marche d'après pour le climat a réuni dimanche 115.000 personnes partout en France

730 organisations signataires de l’appel à se rassembler ont répondu présentes dont Alternatiba, Union Syndicale Solidaires, les Amis de la Terre, la CGT, le Secours catholique ou encore Greenpeace France, pour défiler ce dimanche 9 mai aux côtés des citoyens et des membres de la Convention citoyenne pour le climat.A Lyon 7.000 personnes ont défilé et 2.500 à Rennes. A Paris, 56.000 personnes ont marché, le cortège est parti à 14 heures de la place de la République, les manifestants ont marché déterminés et dans la joie aux côtés des artistes de rue, fanfare, batucada et danseurs qui ont performé à l’arrivée du cortège à Bastille, trois heures plus tard. Jean-François Julliard, directeur de Greenpeace France, Cécile Duflot, directrice d’Oxfam France, Cyril Dion, réalisateur et militant écologiste et bien d’autres y ont pris la parole sur la scène finale pour clôturer la marche et revenir sur les raisons d’une telle mobilisation : « En se mobilisant, on voit que cette ténacité commence à payer car les mobilisations nous ont permit de faire condamner l'état » ajoute Cyril Dion.La loi climat marque l’échec climatique du quinquennat MacronLes organisateurs dénoncent le sabotage de la loi climat qui marque l’échec climatique du quinquennat Macron. Alors que la majorité se revendique d’une écologie « raisonnable » et salue les avancées de la loi, ces mobilisations dénoncent le déni de démocratie dont s’est rendu coupable le gouvernement pendant l’examen de la loi. Toutes les manœuvres ont été bonnes pour limiter l’ambition du texte. Patricia Samoun, l’une des 150 de la Convention citoyenne pour le climat regrette : « C’est dommage et décevant, c’était une expérience magnifique de démocratie participative, qui allait dans l’esprit d’une baisse importante des émissions de gaz à effet de serre et vers plus de justice sociale. » La justice sociale est particulièrement absente du texte. Par exemple, aucune mesure concrète de régulation de l’activité économique des secteurs les plus polluants n’a été prise alors qu’il s'agit d’une étape indispensable pour faire baisser les émissions de gaz à effet de serre. « Le gouvernement fait le choix de privilégier les intérêts privés des plus riches » ajoute Manon Castagné, porte-parole du collectif Plus jamais ça. Un front écolo-social se forme pour construire l'aprèsSignal fort, c’est la première fois que la CGT appelle à marcher pour le climat. Philippe Martinez a défilé à Paris aux côtés des organisations environnementales. Cette marche a démontré la capacité du mouvement climat à construire des alliances et à porter des revendications communes avec d’autres mouvements : comme avec le collectif Plus jamais ça qui rejoint les syndicats pour la lutte du triangle de Gonesse. Ces revendications communes se centrent autour de l’idée que climat et justice sociale sont intrinsèquement liés et qu’il faut donc mettre en place des mesures sociales et écologiques pour construire un avenir soutenable. « Une fois encore, le succès de cette marche démontre que le mouvement climat est devenu un mouvement social d’ampleur en France, qui a permis de démocratiser l’enjeu climatique dans l’ensemble de la société » indique Elodie Nace, porte-parole d’Alternatiba. En effet, il est devenu l’une des préoccupations principales des Français, toutes catégories confondues. Il s’agit à présent que ces voix s’unissent pour se faire entendre lors des échéances majeures de l’année à venir.
Il y a 4 ans et 37 jours

La Marche d'après pour le climat a réuni dimanche 115.000 personnes

730 organisations signataires de l’appel à se rassembler ont répondu présentes dont Alternatiba, Union Syndicale Solidaires, les Amis de la Terre, la CGT, le Secours catholique ou encore Greenpeace France, pour défiler ce dimanche 9 mai aux côtés des citoyens et des membres de la Convention citoyenne pour le climat.A Lyon 7.000 personnes ont défilé et 2.500 à Rennes. A Paris, 56.000 personnes ont marché, le cortège est parti à 14 heures de la place de la République, les manifestants ont marché déterminés et dans la joie aux côtés des artistes de rue, fanfare, batucada et danseurs qui ont performé à l’arrivée du cortège à Bastille, trois heures plus tard. Jean-François Julliard, directeur de Greenpeace France, Cécile Duflot, directrice d’Oxfam France, Cyril Dion, réalisateur et militant écologiste et bien d’autres y ont pris la parole sur la scène finale pour clôturer la marche et revenir sur les raisons d’une telle mobilisation : « En se mobilisant, on voit que cette ténacité commence à payer car les mobilisations nous ont permit de faire condamner l'état » ajoute Cyril Dion.La loi climat marque l’échec climatique du quinquennat MacronLes organisateurs dénoncent le sabotage de la loi climat qui marque l’échec climatique du quinquennat Macron. Alors que la majorité se revendique d’une écologie « raisonnable » et salue les avancées de la loi, ces mobilisations dénoncent le déni de démocratie dont s’est rendu coupable le gouvernement pendant l’examen de la loi. Toutes les manœuvres ont été bonnes pour limiter l’ambition du texte. Patricia Samoun, l’une des 150 de la Convention citoyenne pour le climat regrette : « C’est dommage et décevant, c’était une expérience magnifique de démocratie participative, qui allait dans l’esprit d’une baisse importante des émissions de gaz à effet de serre et vers plus de justice sociale. » La justice sociale est particulièrement absente du texte. Par exemple, aucune mesure concrète de régulation de l’activité économique des secteurs les plus polluants n’a été prise alors qu’il s'agit d’une étape indispensable pour faire baisser les émissions de gaz à effet de serre. « Le gouvernement fait le choix de privilégier les intérêts privés des plus riches » ajoute Manon Castagné, porte-parole du collectif Plus jamais ça. Un front écolo-social se forme pour construire l'aprèsSignal fort, c’est la première fois que la CGT appelle à marcher pour le climat. Philippe Martinez a défilé à Paris aux côtés des organisations environnementales. Cette marche a démontré la capacité du mouvement climat à construire des alliances et à porter des revendications communes avec d’autres mouvements : comme avec le collectif Plus jamais ça qui rejoint les syndicats pour la lutte du triangle de Gonesse. Ces revendications communes se centrent autour de l’idée que climat et justice sociale sont intrinsèquement liés et qu’il faut donc mettre en place des mesures sociales et écologiques pour construire un avenir soutenable. « Une fois encore, le succès de cette marche démontre que le mouvement climat est devenu un mouvement social d’ampleur en France, qui a permis de démocratiser l’enjeu climatique dans l’ensemble de la société » indique Elodie Nace, porte-parole d’Alternatiba. En effet, il est devenu l’une des préoccupations principales des Français, toutes catégories confondues. Il s’agit à présent que ces voix s’unissent pour se faire entendre lors des échéances majeures de l’année à venir.
Il y a 4 ans et 37 jours

La "Marche d'après" a réuni dimanche 115.000 personnes pour le climat

730 organisations signataires de l’appel à se rassembler ont répondu présentes dont Alternatiba, Union Syndicale Solidaires, les Amis de la Terre, la CGT, le Secours catholique ou encore Greenpeace France, pour défiler ce dimanche 9 mai aux côtés des citoyens et des membres de la Convention citoyenne pour le climat.A Lyon 7.000 personnes ont défilé et 2.500 à Rennes. A Paris, 56.000 personnes ont marché, le cortège est parti à 14 heures de la place de la République, les manifestants ont marché déterminés et dans la joie aux côtés des artistes de rue, fanfare, batucada et danseurs qui ont performé à l’arrivée du cortège à Bastille, trois heures plus tard. Jean-François Julliard, directeur de Greenpeace France, Cécile Duflot, directrice d’Oxfam France, Cyril Dion, réalisateur et militant écologiste et bien d’autres y ont pris la parole sur la scène finale pour clôturer la marche et revenir sur les raisons d’une telle mobilisation : « En se mobilisant, on voit que cette ténacité commence à payer car les mobilisations nous ont permit de faire condamner l'état » ajoute Cyril Dion.La loi climat marque l’échec climatique du quinquennat MacronLes organisateurs dénoncent le sabotage de la loi climat qui marque l’échec climatique du quinquennat Macron. Alors que la majorité se revendique d’une écologie « raisonnable » et salue les avancées de la loi, ces mobilisations dénoncent le déni de démocratie dont s’est rendu coupable le gouvernement pendant l’examen de la loi. Toutes les manœuvres ont été bonnes pour limiter l’ambition du texte. Patricia Samoun, l’une des 150 de la Convention citoyenne pour le climat regrette : « C’est dommage et décevant, c’était une expérience magnifique de démocratie participative, qui allait dans l’esprit d’une baisse importante des émissions de gaz à effet de serre et vers plus de justice sociale. » La justice sociale est particulièrement absente du texte. Par exemple, aucune mesure concrète de régulation de l’activité économique des secteurs les plus polluants n’a été prise alors qu’il s'agit d’une étape indispensable pour faire baisser les émissions de gaz à effet de serre. « Le gouvernement fait le choix de privilégier les intérêts privés des plus riches » ajoute Manon Castagné, porte-parole du collectif Plus jamais ça. Un front écolo-social se forme pour construire l'aprèsSignal fort, c’est la première fois que la CGT appelle à marcher pour le climat. Philippe Martinez a défilé à Paris aux côtés des organisations environnementales. Cette marche a démontré la capacité du mouvement climat à construire des alliances et à porter des revendications communes avec d’autres mouvements : comme avec le collectif Plus jamais ça qui rejoint les syndicats pour la lutte du triangle de Gonesse. Ces revendications communes se centrent autour de l’idée que climat et justice sociale sont intrinsèquement liés et qu’il faut donc mettre en place des mesures sociales et écologiques pour construire un avenir soutenable. « Une fois encore, le succès de cette marche démontre que le mouvement climat est devenu un mouvement social d’ampleur en France, qui a permis de démocratiser l’enjeu climatique dans l’ensemble de la société » indique Elodie Nace, porte-parole d’Alternatiba. En effet, il est devenu l’une des préoccupations principales des Français, toutes catégories confondues. Il s’agit à présent que ces voix s’unissent pour se faire entendre lors des échéances majeures de l’année à venir.
Il y a 4 ans et 38 jours

Jean Tschumi Architecte : la rétrospective

À la suite d’une donation exceptionnelle de plus de 300 dessins, la Cité de l’architecture & du patrimoine à Paris propose la première rétrospective en France consacrée à Jean Tschumi (1904-1962). Jusqu’au 19 septembre 2021. L’exposition Jean Tschumi Architecte retrace le parcours d’un des architectes et enseignants suisses les plus complets du XXe siècle. De […] L’article Jean Tschumi Architecte : la rétrospective est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 38 jours

Ferrier Marchetti Studio fait le siège de la Région Ile-de-France

En 2020, Ferrier Marchetti Studio a livré à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) le nouveau siège de la Région Ile-de-France, un ouvrage de 60 000 m² comptant deux bâtiments de sept étages regroupant l’ensemble des services auparavant éclatés à Paris sur une dizaine de sites. Communiqué. La région Ile-de-France, plus riche région d’Europe, a quitté le centre historique […] L’article Ferrier Marchetti Studio fait le siège de la Région Ile-de-France est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 38 jours

Côte d'Ivoire: Paris veut "accélérer les travaux" du métro d'Abidjan

Bruno Le Maire a affirmé vouloir "accélérer les travaux" du métro d'Abidjan, un chantier de plus d'un milliard d'euros géré par des entreprises françaises qui a pris des années de retard.
Il y a 4 ans et 38 jours

ITAR Architectures : Complexe locatif social

Dans le 18ème arrondissement de Paris, ITAR Architectures vient de livrer un bâtiment comprenant soixante-douze logements locatifs sociaux, une crèche et deux commerces. Une construction participant au renouvellement urbain du quartier de la porte de Clignancourt. Situé au nord de Paris, en plein cœur du quartier de la Porte de Clignancourt, le projet s’implante sur une parcelle entre le mail Croisset au nord, le boulevard Ney au sud, entre un bâtiment de la préfecture de police couplé à des logements à l’ouest dits « le Carré » et une future nouvelle voie à l’est reliant le boulevard Ney à la rue Jean Cocteau.Le nouveau bâtiment opère une scission en deux volumes reliés par un socle commun occupé par la crèche. Cette densification d’une parcelle existante des années 1970 permet d’aligner le bâtiment au boulevard, de mieux le tenir et de l’animer. Respectueux de l’architecture moderniste des architectures alentour, le positionnement des deux plots de 6 et 9 étages qui se font face et leur épannelage en retraits successifs libèrent des vues et favorise l’ensoleillement de la cour de la crèche. Les étages sont traités comme des strates qui affinent les volumétries. Aux angles droits des tours existantes s’opposent les angles arrondis du bâtiment qui jouent sur les matériaux, la transparence et la lumière. Des assemblages géométriques de briques animent les façades, tandis que leurs angles et les garde-corps des terrasses et loggias naissent d’une association délicate de briques ajourées. L’utilisation de la brique pleine dialogue avec l’histoire des habitations à bon marché tout en assumant par sa couleur blanche et ses jeux de modénature un langage très contemporain.Dans le cadre de ce projet, les architectes ont réalisé un travail complexe d’optimisation constructive et d’adaptabilité structurelle du bâtiment. La notion de flexibilité a été intégrée au projet notamment grâce à la conception d’une trame rationnelle et la réalisation d’une structure adaptée. Les architectes se sont aussi impliqués dans une démarche responsable et ont mené ce travail de sorte que le chantier ait un impact environnemental réduit. Pour en savoir plus, visitez le site d’ITAR Architectures. Visuels : © ITAR Architectures La rédaction
Il y a 4 ans et 38 jours

L'impossible héritage berlinois, entre mythes et fantômes patrimoniaux

Révision du plan local d'urbanisme, élaboration d'un "Manifeste de l’esthétique parisienne", débat sur la construction de nouvelles tours, etc. Dans un long entretien avec les journalistes du Moniteur, Marie-Douce Albert et Nathalie Moutarde, Emmanuel Grégoire, le premier adjoint à la maire de Paris, notamment en charge de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 38 jours

Inventons la Métropole du Grand Paris : 3ème édition

« Inventons la Métropole du Grand Paris » s’est imposé comme le plus grand concours d’architecture et d’urbanisme d’Europe. Les deux premières éditions ont suscité une immense mobilisation, preuve de l’attractivité du territoire métropolitain. Forte de ce succès, la Métropole du Grand Paris lance une troisième édition comprenant plusieurs nouveautés. Jusqu’au printemps 2022. Communiqué. Cette […] L’article Inventons la Métropole du Grand Paris : 3ème édition est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 40 jours

DAS studio : Bureaux Crowe

DAS studio vient de concevoir des espaces de travail contemporain dans un immeuble datant des années 1990. Sous la houlette de l’architecte Félix de Montesquiou, l’équipe de DAS studio a créé des bureaux fonctionnels et agréables dont l’agencement atypique et le décor brutaliste retiennent l’attention. L’ancien plateau, cloisonné et froid, a été transformé en un espace tertiaire lumineux, ouvert et convivial où le béton se marie avec le bois. Devenue un élément de décoration à part entière, la structure en béton est réchauffée par le bois de chêne des huisseries et des tables réalisées dans l’atelier parisien du studio. Les cloisons vitrées et le mobilier ont été dessinés et conçus sur mesure en France. Les éclairages linéaires en laiton, également fabriqués sur mesure, apportent une touche contemporaine aux salles de réunion partagées et aux bureaux individuels. Une belle mixité bois-béton. Pour en savoir plus, visitez le site de DAS studio. Visuels : © DAS studio La rédaction
Il y a 4 ans et 40 jours

Jean Castex confirme l'urbanisation du Triangle de Gonesse

GRANDS PROJETS. Le Premier ministre a annoncé l'arrivée de plusieurs projets structurants pour compenser l'abandon d'Europacity, sur la Zac du Triangle de Gonesse, au nord-est de Paris, et confirmé la création d'une gare de la ligne 17 du Grand Paris Express.
Il y a 4 ans et 40 jours

Les professionnels du BTP gardent le moral malgré la crise et poursuivent leur digitalisation

Après plus d'un an d'une crise sanitaire, économique et sociale sans précédent, cette enquête démontre que les 2/3 des professionnels du BTP interrogés jugent important de digitaliser leur secteur d'activité : un constat que partagent au quotidien les équipes accompagnant les professionnels du BTP par le biais de la ligne d'activité APRIL Construction.Des professionnels du BTP résilients face à la criseLes dirigeants de TPE semblent relativement résilients concernant leur situation professionnelle comme personnelle : ils sont 41% des interrogés, majoritairement des jeunes dirigeants, à se dire “confiants” quant à l'avenir de leur entreprise. Ce relatif état de satisfaction s'explique en premier lieu par la qualité des relations professionnelles avec les clients (49%) et avec les fournisseurs (27%).Des préoccupations d'ordre pratique et des disparités géographiques persistentFace à ce constat, APRIL observe que la résilience globale des professionnels du secteur doit malgré tout être nuancée puisqu'elle intègre un clivage géographique : les dirigeants qui exercent leur activité en région parisienne sont plus nombreux à témoigner d'un état d'esprit positif, à 67%.Les professionnels qui font part d'un état d'esprit négatif l'expliquent de manière conjoncturelle par des facteurs causés ou amplifiés par la crise sanitaire :La difficile gestion des conséquences de la crise sanitaire - 41%La baisse ou le déficit du chiffre d'affaires de leur entreprise - 25%La crainte de se retrouver dans une situation financière précaire - 24%Dans un même temps, les dirigeants restent préoccupés par des considérations d'ordre pratique liées à la gestion globale et courante de leur entreprise : à ce titre, 17% des dirigeants interrogés confient avoir des difficultés à gérer les tâches administratives. La digitalisation des TPE apparaît ainsi comme un réel levier de mise en confiance et de développement.Une transition digitale jugée importante mais lente à se mettre en place Plus de deux tiers (68%) des professionnels interrogés reconnaissent qu'une digitalisation des entreprises du secteur est importante.Ce constat est partagé par 79% de dirigeants d'entreprises de plus de 65 ans, à la tête de structures importantes. Ils sont même 41% à la juger “indispensable” contre seulement 13% chez les plus jeunes. Par ordre d'importance, cette digitalisation offrirait plusieurs avantages selon les dirigeants :Accroître la visibilité de l'entreprise sur le marchéÉchangerDonner une bonne image de leur entrepriseCette digitalisation semble pourtant encore être à ses balbutiements puisqu'à l'heure actuelle, seule la moitié des dirigeants interrogés dispose d'un site web.La simplicité, clé de la digitalisation des entreprises du BTPLe recours à des dispositifs digitaux peut paraître complexe et chronophage pour des professionnels du BTP pressés et souvent en mobilité. C'est la raison pour laquelle le groupe APRIL, par le biais de sa ligne d'activité APRIL Construction qui porte les produits et services à destination des professionnels de la construction, a mis en place une plateforme de services digitaux dédiés : PROBAT Services.Disponible depuis mars 2020, cette plateforme est accessible gratuitement via le site pro.april.fr depuis toutes les interfaces (smartphone, tablette, ordinateur…) à ses clients professionnels du BTP et propose des services qui facilitent et sécurisent leur quotidien : assistance juridique 100% digitale, achat/vente de matériaux et d'équipement de construction à des prix avantageux, un système de visioconférence intelligent permettant d'évaluer un chantier à distance et en temps réel…
Il y a 4 ans et 40 jours

Immobilier : le top 10 des villes où investissent les locataires parisiens

BIENS. Lille, Marseille et Bordeaux sont particulièrement convoitées pour des investissements locatifs chez les Parisiens, selon une récente étude. Les actifs préfèrent rester locataires tout en acquérant un bien.
Il y a 4 ans et 40 jours

Île-de-France: le BTP compte de plus en plus de TPE mais sa sortie de crise est incertaine

ÉCONOMIE. Le secteur de la construction compterait en région parisienne un nombre croissant de très petites entreprises (TPE), d'après la Chambre de commerce et d'industrie d'Île-de-France. Près de trois sociétés sur quatre n'auraient d'ailleurs aucun salarié. Portée par le Grand Paris, la filière a néanmoins été durement frappée par la crise du Covid et son avenir reste précaire.
Il y a 4 ans et 40 jours

"Paris a pour objectif d'avoir 25% de logements sociaux d'ici 2025", Ian Brossat

ENGAGEMENT. L'adjoint à la maire de Paris en charge du Logement Ian Brossat souhaite voir s'accélérer le nombre de logements sociaux dans la capitale. Il espère aussi le déploiement de constructions dotées de matériaux biosourcés.
Il y a 4 ans et 40 jours

La reconversion de bureaux en logements au cœur du concours d'urbanisme de la métropole du Grand Paris

Cette nouvelle édition s'articule autour de trois thématiques: la reconversion des friches urbaines, l'aménagement des quartiers de gare et, conséquence de l'épidémie de Covid-19, une attention particulière portée sur la transformation de bureaux en logements."Le Covid a développé le télétravail. Les entreprises ont besoin de moins de locaux pour fonctionner dans les mêmes conditions", a expliqué à l'AFP Patrick Ollier, président de la Métropole du Grand Paris et maire LR de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine)."On propose de transformer les éléments de bureaux en logements, ce qui permet de densifier sans avoir à construire de bâtiments nouveaux", a-t-il ajouté.Créée en 2016 et dotée de compétences en matière d'habitat, de protection de l'environnement et de développement économique, la MGP se veut "chef d'orchestre" à l'échelle infrarégionale, entre les départements et la région Ile-de-France, de projets d'aménagement sur les 131 communes qui la composent.A travers ce concours, la MGP souhaite également favoriser la reconversion de friches urbaines pour réimplanter des "activités productives", des "équipements d'intérêt collectif" et mener des programmes de logements.Les sites à aménager, encore en cours d'identification, sont proposés par les villes puis retenus par la MGP pour être mis à disposition des aménageurs souhaitant participer au concours.Concernant les quartiers de gare, la MGP favorisera les programmes contribuant au développement de "modes actifs, doux et bas-carbone" et générateurs "d'attractivité locale et métropolitaine".Depuis la récente signature d'une convention de partenariat entre la Société du Grand Paris et la MGP, ces opérations concernent notamment les futures gares du Grand Paris Express.Lors des précédentes éditions en 2017 puis en 2019, quelque 77 sites répartis dans 70 communes de la métropole avaient été retenus, pour un budget de 9,2 milliards d'euros d'investissement selon les chiffres de la MGP.Sur ces 77 sites, 14 permis de construire ont été signés et "quatre chantiers" sont actuellement en cours, indique M. Ollier.Face aux critiques sur la lenteur de l'évolution des projets, il souligne qu'un projet "n'émerge pas à moins de cinq ans après l'idée de sa création", et fait valoir qu'il n'y a que "quatre ou cinq sites pour lesquels les dossiers n'évoluent pas beaucoup".L'annonce des sites retenus est attendue en septembre et celle des lauréats au printemps 2022.
Il y a 4 ans et 41 jours

Coup de jeune pour un parking souterrain quinqua

Plus de confort, moins de stationnements : la réhabilitation lourde d’un des plus grands parkings souterrains de Paris s’achèvera en novembre, sous le boulevard Hausmann. A l’issue de ce chantier phare de la Saemes, concessionnaire de la ville désigné en 2018, les usagers des six niveaux trouveront 1704 places, au lieu des 2166 livrées en 1967. L’investissement de 11 millions d’euros traduit l’ouverture aux nouvelles pratiques de mobilité.
Il y a 4 ans et 41 jours

Stands d’exposition bas carbone au Forum International Bois Construction

Dans sa démarche éco-responsable et éco-conçue, la 10e édition du Forum International Bois Construction, qui fait l’objet d’une analyse de son cycle de vie, s’équipe de stands réalisés à partir de bois feuillu français (structure en hêtre et panneaux en peuplier) développés en partenariat avec l’École d’Architecture de Paris-Belleville, l’École Supérieure du Bois de Nantes et GL Events. Tous les éléments des stands « Belleville » ne produiront aucun déchet et seront réutilisés. Cette scénographie 100% bois bio-sourcée sera à découvrir lors du Forum International Bois Construction du 15 au 17 juillet 2021 au Grand Palais Ephémère à Paris.
Il y a 4 ans et 41 jours

Lorenove recrute ! De nombreuses opportunités à saisir dans le cadre du développement de la marque en Ile-de-France

Comme annoncé lors de la convention digitale des concessionnaires en début d’année, l’année 2020 a été synonyme d’engagement et de croissance pour le réseau Lorenove. En effet, le réseau n’a pas perdu un seul membre, son chiffre d’affaires a même été maintenu, et la performance globale du réseau est bien meilleure que celle du marché. En somme, tous les voyants sont au vert ! Le climat positif et serein qui règne au sein du réseau Lorenove, avec des clients enclins à rénover leurs menuiseries traduit une tendance de croissance, déjà engagée sur les derniers mois de l’année 2020, avec une très belle progression commerciale du réseau sur novembre et décembre : + 55 % de ventes par rapport à N-1. En 2021, le développement reste la priorité du réseau, tant au niveau de l’ouverture de nouveaux points de vente, qu’au niveau de la croissance des concessions en place. Une très belle hausse de l’activité en Ile-de-France a engendré une augmentation de contacts de 121% en 2020 vs 2019, et une progression du chiffre d’affaires à 2 chiffres. Sur la base de cet essor, Lorenove souhaite renforcer ses équipes en place afin de pouvoir répondre aux attentes des clients. Ces belles performances et les perspectives des mois à venir offrent aussi des opportunités d’ouverture de nouveaux points de vente en Ile-de-France dans un avenir proche. Pour accompagner ce développement francilien, Lorenove recrute donc sur différents types de postes : responsable d’agence, technico-commercial, poseur ou encore métreur. De nombreuses opportunités sont à saisir au sein des agences intégrées dont Paris Daumesnil, Paris Est, Paris Sud, Paris Ouest, Versailles, Antony, Herblay.   Mais les autres points de vente franciliens de la marque1 , qui sont des concessions, cherchent aussi régulièrement à renforcer leurs équipes et il est toujours possible de leur adresser des candidatures. Pour chacun des postes proposés, Lorenove recherche impérativement des professionnels expérimentés. Cependant tous les nouveaux collaborateurs bénéficient de formations techniques, commerciales ou managériales au sein de l’Ecole des Métiers du Groupe Lorillard. Celles-ci permettent d’acquérir la maîtrise des produits tout en se familiarisant avec la culture et le savoir-faire de l’entreprise : terminologie de la fenêtre, pose de menuiseries extérieures et de volets, prises de côtes et relevés de chantiers, méthodes de vente… Ces formations sont parties prenantes du parcours d’intégration des nouveaux collaborateurs, d’une durée variable selon les postes et les profils. 1 Actibaie (Orgeval), Actibaie (St Germain en Laye), Fenêtres & Fermetures des Yvelines (Coignières), Création Fermetures (Pontault Combault), Bâti Menuiseries Fermetures (Moissy Cramayel), Ecole de Fenêtres (Ste Geneviève), Ecole de Fenêtres (Etampes) et Ouverture sur Mesure (Gargenville).     Miser sur les compétences, faire performer les équipes, les faire évoluer et les challenger, tels sont les mots-clés du management Lorenove. Pour ce faire, 4 nouveaux modules de formations, soit 9 modules au total, sont disponibles pour s’adresser à tous les types de profil présents dans le réseau : – LoreVente niveau expert : cette formation commerciale spécifique à l’enseigne Lorenove se dote d’une nouvelle version pour les commerciaux plus chevronnés. – Management : destinée aux dirigeants des concessions et à leurs salariés ayant une fonction d’encadrement, elle se focalise sur le leadership et la communication managériale. – Communication verbale et non verbale : sur la base de tests et d’exercices pratiques, cette formation permet aux profils commerciaux de maîtriser les techniques de communication. – Gestion des contacts entrant et qualification : ce module, qui s’adresse aux assistants commerciaux, est proposé en distanciel. En outre, 4 modules de formation e-learning, développés en 2020 et portant sur les gammes Twinéa 2, Khelys, et Evasion, et sur le dispositif d’aide financière MaPrimeRénov, sont également disponibles. Les modules relatifs aux gammes de menuiseries proposent une formation commerciale sur les produits, la présentation des gammes, les options, les bénéfices clients, un benchmark concurrentiel, mais offrent surtout la possibilité d’une mise à niveau pour les nouveaux arrivants, au moyen d’un outil ludique et flexible. Les agences intégrées Lorenove étant les pourvoyeurs des postes, ce sont eux qui effectueront les entretiens de recrutement au sein de chaque point de vente. Les postes sont d’ores et déjà ouverts, pour en savoir plus sur chacun des postes proposés et postuler auprès l’agence ou de la concession Lorenove concernée, rendez-vous sur le site lorenove.fr dans la section offres d’emploi www.lorenove.fr/offres-emploi. Les candidatures peuvent également être envoyées sur l’adresse mail recrutement@lorillard.fr.  
Il y a 4 ans et 41 jours

2ème édition du Prix International de la Transformation de Bureaux en Logements

Paris-Ile de France Capitale Économique et la Maison de l’Architecture Ile-de-France ont lancé l’appel à candidatures pour la deuxième édition du Prix International de la Transformation de Bureaux en Logements. Jusqu’au 9 juillet 2021. Ce Prix international 2021 de la Transformation de Bureaux en Logements, présidé par le président de la Métropole du Grand Paris, […] L’article 2ème édition du Prix International de la Transformation de Bureaux en Logements est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 41 jours

Transformation de bureaux, réhabilitation de friches et quartiers de gares au menu d'IMGP3

APPEL A PROJETS. La Métropole du Grand Paris a lancé, le 6 mai, la troisième édition d'Inventons la MGP. Patrick Ollier, le président de la métropole, a décliné les trois thématiques qui vont guider la sélection des sites que proposeront les villes.
Il y a 4 ans et 42 jours

Architectes et entreprises invités à prendre part aux rénovations des HLM parisiens

PARC SOCIAL. La capitale va lancer, dans les deux ans, près de 170 opérations de rénovation du patrimoine social parisien. La Ville invite maîtres d'oeuvre et entreprises à se saisir de ce marché.
Il y a 4 ans et 42 jours

Le Grand Palais éphémère en bois de l'architecte Wilmotte sur le Champ de mars sera inauguré en juin

Tout près de l'Ecole militaire qui la surplombe de 16 mètres et dans la perspective de la Tour Eiffel au loin, cette structure claire de 10.000 m2, création de l'architecte Jean-Michel Wilmotte, sera inaugurée le 12 juin.En bois d'épicéa, le bâtiment tout en rondeur reproduit en plus petit la forme du Grand Palais désormais fermé de l'autre côté de la Seine. Il le remplace le temps de sa rénovation, soit trois ans.Il fallait inventer une nouvelle nef pour accueillir la Foire internationale d'art contemporain (FIAC), les défilés Chanel, le Saut Hermès (sauts d'obstacles) et autres évènements de prestige.Couvert d'une toile transparente en polymère, le Grand Palais éphémère, "est comme un ovni qui aurait atterri sur le Champ de Mars. C'est de l'architecture aérienne", résume le président de la Réunion des musées nationaux (RMN)-Grand Palais, Chris Dercon."En août dernier on pouvait encore jouer aux boules ici", rappelle Jean-Michel Wilmotte. Après plusieurs mois de travaux préparatoires, 44 arches monumentales ont pu être assemblées sur place en trois mois.L'entrée se fait par un hall en vitres où se reflète la façade de l'Ecole militaire et qui englobe la statue rénovée du maréchal Joffre. Puis s'ouvre une nef au sol en bitume, à la voûte bleu nuit. Aucun poteau ne rompt l'espace de 51 m de largeur et 33 m de profondeur.Au dessus, six couches d'isolation phonique forment un coussin acoustique.La surface d'exposition est de 9.900 m2. Chaque année une structure additionnelle légère s'ajoutera pour offrir à la FIAC et à Paris Photo jusqu'à 18.000 m2. La jauge sera de 9.000 visiteurs maximum.Le comité d'organisation des JO "Paris 2024" a prévu d'y installer des tribunes à partir de juillet 2023 pour accueillir l'année suivante 8.000 spectateurs pour les épreuves de lutte et de judo.Mais un temps de cohabitation entre l'organisation des JO et les évènements organisés par le Grand Palais est envisagé.Ecoresponsable"On est en train de voir dans quelles conditions nous pourrions rester jusqu'au printemps 2024, échéance à laquelle on s'est engagé à rouvrir le Grand Palais", explique Emmanuel Marcovitch, directeur général délégué de la RMN."Ici, la nuit, les arbres, les bâtiments, la Tour Eiffel illuminée rentrent par les baies vitrées. C'est presque comme un palais de vampires!", Chris Dercon se félicite de ce "dialogue avec tout ce qui se passe autour" et aussi "avec tout le passé" de deux siècles de foires industrielles dans ce lieu.Pour sa grande baie vitrée au nord, Wilmotte a choisi la même courbure que l'arrondi sous la Tour Eiffel. Et "la lumière fait la jonction entre Trocadéro, Tour Eiffel, Ecole Militaire. On n'a pas cassé la perspective", souligne-t-il.Le jeu des reflets superpose même de manière nouvelle et étonnante la Tour Eiffel et l'Ecole Militaire.Jean-Michel Wilmotte défend un projet "écoresponsable": "L'épicéa est un bois d'élevage. Dans l'ensemble de la forêt européenne, ce chantier correspond à une heure et demie de pousse, c'est très symbolique!".Le polymère est de source minérale, générant 90% d'énergie en moins dans la fabrication par rapport au verre, et entièrement recyclacle. L'électricité fournie est garantie d'origine 100% renouvelable.En septembre 2024, le démontage commencera. "Le bâtiment a été fait pour être vendu par morceaux", explique l'architecte. Cinq morceaux principaux qui pourront être réutilisées, reconstruits ailleurs. Des SMS de propositions arrivent déjà à l'architecte. Le chantier a été confié à la société GL Events. Son coût est de 40 millions d'euros. Un montant qui sera couvert, assure-t-on, par les revenus de location perçus par la Rmn-Grand Palais et les apports du Comité d'Organisation "Paris 2024".
Il y a 4 ans et 43 jours

Vilgénis prouve l’évidence du bois dans une forêt habitée

Fondus parmi la centaine d’arbres d’un ancien centre de formation d’Air France, les 1000 logements du quartier Vilgénis de Massy (Essonne) franchissent une frontière : le bois s’affirme comme jamais auparavant, dans les projets urbains de Paris Sud Aménagement. Son directeur Willem Pauwels a présenté « les envies, les ambitions, les craintes et les doutes » inspirées par cette référence fondatrice, au cours d’un récent webinaire.
Il y a 4 ans et 43 jours

AIA Life Designers assurera la rénovation du centre Pompidou

Une rénovation majeure du centre Pompidou à Paris se prépare. L'édifice conçu par Richard Rogers et Renzo Piano sera entièrement revu. AIA Life Designers vient d’être désigné lauréat du marché de maîtrise d’œuvre.
Il y a 4 ans et 44 jours

Mars - Portrait

Julien Broussart, Raphaël Renard et Sylvain Rety fondent Mars Architectes en 2012 à Paris. Ajap 2014, ils viennent de livrer un bâtiment d'habitation emblématique tout en bois (Paris XIIe ). L'agence Mars réalise une surélévation d'immeuble et une résidence étudiante (Paris XIIIe et XVe ). Elle achève boulevard […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 44 jours

Karinne Bidaud, première femme franchisée de FHV, traverse la crise sanitaire

Portrait de Karinne Bidaud, première femme franchisée de FHVDe formation commerciale, Karinne a travaillé pendant de longues années dans le commerce, en grande distribution puis dans le secteur de l’animalerie. Elle a toujours été attirée par les métiers du bâtiment, un secteur qui ne compte que 12,4% de femmes selon les chiffres de 2019 de la Fédération Française du Bâtiment.Élue à la CCI et membre d’une association de chefs d’entreprise, Karinne décide de se lancer. Pour elle, le choix de la ventilation, un métier peu connu, s’est imposé comme une évidence : « Au cours de ma carrière, j'ai été amenée à réfléchir sur la démarche RSE des entreprises, sur leur impact écologique, sur le bien-être au travail et sur les problématiques liées aux économies d’énergie ».Séduite par le professionnalisme de l’enseigne et les valeurs de son fondateur, Karine se forme au siège de FHV et ouvre l’agence de Niort en 2020.Une agence de proximité dynamiqueTenace, organisée et enthousiaste, Karinne a mis les bouchées doubles pour démarrer son activité en pleine crise sanitaire. Elle s’est entourée d’opérateurs pouvant intervenir seuls ou en binôme dans les Deux-Sèvres et la Vienne.L’agence compte déjà de nombreux clients : des restaurateurs, industriels, collectivités, syndics de copropriété, petites et grandes entreprises de tous secteurs d’activité. Ainsi que des particuliers, qui font de plus en plus appel à FHV pour purifier leur air intérieur. L’agence FHV de Niort est située au 451, avenue de Paris.La surveillance de la qualité d’air intérieur : focus sur les nouveaux services de FHVEn 2013, les ministères de l’Environnement et de la Santé ont lancé le Plan d’actions sur la qualité de l’air intérieur. FHV accompagne les ERP dans l’application de ce plan qui vise à améliorer la qualité de l’air dans les espaces clos avec ses nouveaux services de surveillance de la qualité de l’air intérieur.Les agences de France Hygiène Ventilation ont ainsi mis en place un service d’accompagnement en trois étapes :Évaluation des moyens d’aération. Le technicien FHV vérifie les installations de ventilation naturelle et mécanique en prenant en compte la date de construction du bâtiment, les travaux de rénovation effectués et les caractéristiques des ouvrants.Remise d’un rapport détaillé. Après la visite, l’intervenant remet un rapport détaillé au chef d’établissement, en lui expliquant les diverses données recueillies et ses observations. Il présente ensuite une série d’actions à mettre en place pour mettre l’établissement en conformité avec la loi Grenelle II. Ces actions peuvent être, par exemple, l’application de gestes quotidiens, le remplacement des produits d’entretien ou le nettoyage complet des systèmes de VMC.Formation au guide pratique et aux fiches d’autodiagnostic. FHV met à la disposition de ses clients un guide et des fiches qui facilitent l’application du Plan d’actions sur la qualité de l’air intérieur. Pour orienter ses clients, FHV propose un accompagnement sur mesure à l’utilisation de ces documents essentiels.Les équipes de FHV peuvent en outre effectuer un suivi personnalisé grâce à des capteurs connectés, développés par FHV, qui mesurent le taux de pollution dans l’air intérieur de l’établissement. Une fois le mois d’audit écoulé, elles remettent un rapport détaillé et proposent des conseils et des solutions pour améliorer la qualité de l’air.La purification de l’air intérieur, une priorité sanitaireLes équipes de FHV assurent également un service d’assainissement de l’air intérieur qui participe activement à l’élimination des composés organiques volatils, bactéries, germes, moisissures, odeurs et particules.FHV propose des purificateurs d’air nouvelle génération ultra-performants qui purifient naturellement l’air ambiant et évitent la propagation de micro-organisme. Les agences offrent un service clé en main qui comprend la mise en service de l’appareil et sa maintenance tout au long de l’année.
Il y a 4 ans et 44 jours

La France relance la construction de lignes à grande vitesse après plusieurs années de pause

On a beaucoup entendu depuis l'élection d'Emmanuel Macron que la priorité était désormais à la remise en état du réseau ferroviaire et aux transports du quotidien, après des décennies de "tout TGV".Le président avait annoncé en 2017 "une pause" tant que ne serait pas votée une loi sur les mobilités. Celle-ci a finalement validé un scénario proposé début 2018 par le Conseil d'orientation des infrastructures (COI), qui évoque bien quelques projets importants mais remis à beaucoup plus tard.La liaison Marseille-Nice est emblématique de ce changement de doctrine: on est passé d'un projet de ligne à grande vitesse à l'aménagement des traversées de Marseille --avec tout de même un tunnel sous la ville--, Nice et Toulon, remettant la construction des sections intermédiaires à la décennie 2030.Quant au Bordeaux-Toulouse, pourtant déclaré d'utilité publique, le COI n'envisageait que l'aménagement des sorties des deux villes pour commencer, puis un phasage de la ligne nouvelle avec la construction de Bordeaux-Agen "au plus tôt à partir de la période 2033-2037".Le site internet du projet est d'ailleurs en jachère, la dernière note publiée, de juin 2018, s'intéressant aux alternatives en modernisant la ligne existante...L'arrivée de Jean Castex à Matignon a changé la donne. Cet élu de la région a d'abord déclaré en juillet 2020 qu'il mettrait "toute (son) énergie" pour faire avancer plus rapidement la ligne nouvelle Montpellier-Perpignan.Le 19 avril, le gouvernement a annoncé un accord avec les collectivités locales sur le financement des premiers aménagements prévus de la Ligne nouvelle Provence-Côte d'Azur (LNPCA), entre Marseille et Nice, estimés à 3,5 milliards d'euros.Et une semaine plus tard, le Premier ministre a annoncé dans un courrier à la présidente (PS) de la région Occitanie, Carole Delga, et au maire de Toulouse (LR), Jean-Luc Moudenc, que l'Etat apporterait 4,1 milliards d'euros à Bordeaux-Toulouse, et qu'il avancerait d'un an l'enquête publique de Montpellier-Perpignan.Stratégie européenneDans les trois cas, l'Etat apporterait la même somme que les collectivités locales (40% chacun a priori), l'Europe étant priée de compléter avec 20% du total.En Occitanie, les collectivités pourront monter une "société de projet" dotée de ressources fiscales propres.Il va falloir trouver de l'argent, d'autant que le devis de Bordeaux-Toulouse a été réévalué de 7 à plus de 10 milliards d'euros. L'objectif est de mettre Toulouse à 1 heure 05 de Bordeaux et 3 heures 10 de Paris, soit plus d'une heure de gagnée par rapport aux liaisons actuelles les plus rapides.Carole Delga évoque le "premier coup de pelle en 2024", un objectif confirmé au gouvernement. En revanche on est plus dubitatif dans l'exécutif sur une mise en service en 2030 comme l'a assuré l'élue."Ce qu'a annoncé le Premier ministre s'inscrit dans la stratégie européenne en matière de ferroviaire, qui promeut l'achèvement d'un certain nombre d'itinéraires à grande vitesse", explique le nouveau président du COI, David Valence (radical).Ce retour des grands projets réjouit évidemment les élus locaux, et aussi les usagers."C'est une bonne nouvelle", réagit Bruno Gazeau, président de la Fédération nationale des associations d'usagers de transports (Fnaut), notant que la grande vitesse ferroviaire permet de prendre des parts de marché à la voiture et à l'avion."Mais la relance des lignes à grande vitesse ne doit pas se faire au détriment des Intercités (qui) doivent être financés et protégés", pointe-t-il. Le gouvernement a en effet promis de relancer les lignes classiques. Du côté du gouvernement, on indique que ces grands projets étaient prévus dans la trajectoire financière approuvée par la loi sur les mobilités, indépendamment de la modernisation du réseau. Il faudra compter "une dizaine d'années" pour construire le Bordeaux-Toulouse, estime-t-on.Le projet suivant devrait être la modernisation de la liaison entre Paris et la Normandie, indique-t-on de même source. Quant à la ligne nouvelle entre Bordeaux et l'Espagne, elle attendra "la prochaine loi de programmation", selon M. Castex.
Il y a 4 ans et 44 jours

Les départements très inégaux face à l'impact économique de l'épidémie

Si les mesures de lutte contre l'épidémie ont touché tout le territoire, notamment lors du confinement strict du printemps 2020, "l'intensité" de la baisse d'activité est "variable selon les départements", note l'Insee dans cette étude issue d'un ouvrage sur La France et ses territoires."Les départements qui sont les plus affectés, sont les départements touristiques, du sud, de montagne, les Dom, selon le moment du confinement (...), ainsi que les départements urbanisés, et là aussi c'est une nouveauté", car ils sont traditionnellement moteurs de l'emploi avec leurs activités de service, souligne Christine Charton, co-autrice de l'étude."A l'inverse, les départements ruraux du centre, finalement peu touristiques, ou ceux de l'ouest, orientés vers des industries agro-alimentaires ont été davantage préservés", ajoute-t-elle.L'institut a analysé l'évolution du volume d'heures rémunérées, du recours au chômage partiel, des transactions par cartes bancaires ou des mouvements de population depuis le début de la crise.D'abord, le confinement du printemps a touché les départements de montagne, en mettant fin "brutalement" à la saison touristique hivernale, et "les départements industriels où est implantée la fabrication de matériels de transports", comme le Haut-Rhin, le Doubs (automobile) ou la Haute-Garonne (aéronautique), souligne l'Insee.L'activité plonge aussi dans les départements touristiques du littoral sud-est. Même chose en Ile-de-France, par exemple en Seine-et-Marne où se situe Disneyland Paris, et dans la capitale, où se ressent l'absence de touristes internationaux et l'arrêt des voyages d'affaires.L'été sera un interlude plus dynamique pour les territoires touristiques, avec des exceptions, comme la Corse, certains Dom ou Paris "où de nombreux étudiants ne sont pas revenus et où les touristes d'affaires ou de loisirs restent rares", détaille l'Insee.Le Doubs et la Haute-Garonne restent affectés par le ralentissement de la fabrication de matériels de transports.Le deuxième confinement décidé fin octobre continue de toucher particulièrement Paris et replonge les départements de montagne dans la difficulté. Le Haut-Rhin et le Bas-Rhin sont eux victimes de l'annulation des marchés de Noël.Dans les départements les moins affectés par la crise, "les handicaps d'hier, comme le vieillissement de la population ou la faible densité de peuplement, ont paradoxalement amorti les effets de la crise", estime l'Insee.
Il y a 4 ans et 44 jours

Une isolation extérieure au triple bénéfice pour une résidence à Montrouge

Les 48 familles locataires de la résidence de la Vanne, à Montrouge (Hauts-de-Seine), apprécient la nouvelle image de leur immeuble ainsi que le confort apporté par les travaux réalisés en 2019. Cet immeuble de neuf étages situé au 46 ter rue de la Vanne a été construit au tournant de la décennie 1970. Après une consultation des habitants en 2017, CDC Habitat Social lance un projet global de rénovation énergétique du bâtiment : l'isolation complète des façades, l'isolation de la toiture terrasse, l'installation d'un système performant de ventilation mécanique contrôlée (VMC), le remplacement de la ventilation des parties communes en tirage naturel par un dispositif sous asservissement et le remplacement des fenêtres et portes-fenêtres, ainsi que la rénovation des parties communes et l'aménagement des espaces extérieurs.Objectif label BBC Effinergie rénovationAvant travaux, la consommation énergétique du bâtiment calculée par le bureau d'études thermiques ATPS est de 212 kWh/m².an. « Notre objectif est d'atteindre après travaux le niveau de performance du label BBC Effinergie rénovation, soit une consommation d'énergie primaire de 104 kWh/m².an », avance Raphaël Athané, responsable de programmes au sein de Grand Paris Habitat, GIE maîtrise d'ouvrage de CDC Habitat.Pour les façades, c'est l'isolation thermique par l'extérieur (ITE) qui s'impose comme la solution la plus efficace pour atteindre cet objectif ambitieux puisqu'elle constitue une véritable enveloppe du bâtiment. En outre, elle présente l'avantage de ne pas réduire la surface habitable et d'être mise en œuvre sans entrer dans les logements. « Ce bâtiment du début des années 1970 se prêtait bien à une telle réhabilitation thermique, observe Raphaël Athané. Sa forme parallélépipédique sans décrochements, compacte, était particulièrement adaptée à une isolation par l'extérieur ».Isolant incombustibleMais l'incendie de la tour Grenfell reste dans toutes les mémoires. Survenu en juin 2017 dans un immeuble de logements sociaux de 24 étages à Londres, il a fait près de 80 morts. Le feu serait parti d'un studio du quatrième étage et se serait propagé par une fenêtre ouverte vers les étages supérieurs par le bardage et un isolant inflammable posés lors d'une récente rénovation.Depuis ce drame, la réglementation est plus exigeante, demandant dans certains cas de vérifier la masse combustible mobilisable en cas d'incendie. Aussi les professionnels se montrent-ils prudents dans le choix des isolants.Pour la résidence de la Vanne, le maître d'œuvre Eric Roumilhac choisit la sécurité en prescrivant sur l'ensemble de la façade la mise en œuvre d'un système d'isolation extérieure avec isolant incombustible constitué de panneaux de laine de roche. « Avec une épaisseur de 160 mm de laine de roche, nous améliorons même grandement le niveau de sécurité de l'existant vis-à-vis du risque de propagation d'un incendie par la façade car les portes-fenêtres superposées sont ici très proches et ne sont pas séparées par des dalles de balcons », argumente Eric Roumilhac.Préparation du supportSuite à l'appel d'offres, c'est la société Isovéo qui est sélectionnée pour réaliser les travaux d'isolation de façade. Créée en 2014 par Adam Saadana, cette jeune entreprise en pleine croissance compte aujourd'hui une quinzaine de salariés et réalise des chantiers de ravalement et d'ITE dans toute l'Île de France.Six compagnons œuvreront en 2019 sur le chantier pendant huit mois, en se coordonnant avec l'entreprise chargée du remplacement des menuiseries, pour venir à bout des quelque 1 400 m² d'ITE. « Les façades d'origine en béton ne présentent aucune pathologie particulière, constate le dirigeant de l'entreprise, si ce n'est un encrassement naturel dû à la pollution et aux intempéries. »Une fois les trois nacelles installées sur la façade, les compagnons réalisent un sondage général et le piochage des quelques parties de béton non adhérentes (cloquage/ parties soufflées). Après un lavage de toute la surface avec ajout d'un décontaminant anticryptogamique, les fers apparents sont dérouillés et passivés par l'application d'un anti rouille puis les éclats de béton réparés. La pose de l'ITE peut alors commencer.Une façade lissée« Sur ce premier gros chantier que nous réalisions avec des produits Sto, un conseiller technique s'est rendu sur le site pour réaliser la préconisation technique, se souvient Adam Saadana. Il nous a guidés dans le choix des produits et nous a apporté des conseils de mise en œuvre ». Les panneaux de laine de roche de 160 mm d'épaisseur sont calés et chevillés sur le support. Les nez de dalles saillants du bâtiment d'origine, sources de ponts thermiques, sont enveloppés dans l'isolant. Les compagnons doivent ainsi jouer avec les différences d'épaisseurs pour lisser la façade dont l'aspect se trouve modernisé. Quant aux encadrements de fenêtres, ils sont isolés avec 40 mm de laine de roche.Une couche de base armée d'un treillis d'armature en fibre de verre est ensuite posée sur l'isolant. Il s'agit du même mortier-colle (StoLevell Uni) qui a servi à coller celui-ci sur la façade.Enfin, l'enduit de parement Stolit K taloché d'aspect mat vient assurer la finition du système d'ITE. Il a été choisi dans une teinte lumineuse : un blanc légèrement teinté de gris (RAL 9001).Les appuis de fenêtre sont habillés de tôle d'aluminium 20/10e prélaqué formant goutte d'eau, comme les couvertines des acrotères.L'objectif de performance thermique est atteint et même dépassé puisque la consommation énergétique est désormais de 101 kWhep/m².an. Et la résidence a gagné une image modernisée.Fiche technique Type de bâtiment : isolation par l'extérieur d'un immeuble de logementsLocalisation : 46 ter rue de la Vanne, 92120 MontrougeSurface de façade traitée : 1 400 m² Maître d'ouvrage : CDC Habitat Social – GIE Grand Paris HabitatArchitecte : David GoiMaître d'œuvre d'exécution : Eric Roumilhac, économiste de la constructionEntreprise applicatrice : IsoveoDate de livraison : 2020Solutions utilisées : ITE StoTherm Minéral avec isolant laine de roche et enduit de finition Stolit K 1,5
Il y a 4 ans et 45 jours

L’Oasis de Montparnasse, un manifeste du réemploi transitoire

Le réemploi se conjugue avec l’urbanisme provisoire dans l’Oasis, nom de la nouvelle ressourcerie parisienne de l’Armée du salut : un dépôt vente de vêtements, livres et mobilier, ouvert au public et livré en mars au-dessus de la gare Montparnasse. Sans transiger ni sur le fonctionnel, ni sur l’esthétique, l’architecte Minh Man Nguyen y voit un projet manifeste pour les circuits courts qu’il s’attache à promouvoir au sein du collectif Restore.
Il y a 4 ans et 45 jours

Après le confinement 2020, Saint-Gobain bénéficie à plein de la reprise des chantiers dans le monde

De janvier à mars, le groupe a vu son chiffre d'affaires progresser de 10,9% à 10,38 milliards d'euros contre 9,36 milliards au premier trimestre 2020, lourdement impacté par l'arrêt des chantiers dans le monde entier lors du premier confinement lié à l'épidémie de Covid-19.En Europe du Sud, le rebond des ventes est de 19,7% par rapport au 1er trimestre 2020, et de 9,5% par rapport au premier trimestre 2019, alimenté notamment par le marché de la rénovation en France, où le dispositif gouvernemental MaPrimeRenov' de soutien aux ménages "commence à faire son effet", indique un communiqué."Clairement, la maison est l'endroit où les gens peuvent dépenser leur argent en ce moment, ce qui est très positif" pour le groupe, a commenté le PDG Pierre-André de Chalendar, lors d'une présentation téléphonique des résultats.La tendance devrait durer au moins jusqu'à la fin de l'année selon lui, en raison notamment des incitations contenues dans les divers plans de relance pour isoler les bâtiments, qu'ils soient privés ou publics.En France, le processus de cession de la chaîne de magasins de bricolage, menuiserie et construction individuelle Lapeyre au fonds allemand Mutares arrive à son "point final" et devrait être terminée "d'ici l'été", a indiqué M. de Chalendar. Une audience du tribunal de commerce de Paris sur le sujet est prévue le 10 mai pour examiner une procédure d'homologation de la vente.En Europe du Nord, les ventes du groupe ont progressé de 5,1%, Saint-Gobain bénéficiant notamment de l'acquisition de Brüggemann en Allemagne "qui offre des solutions innovantes de construction modulaire en bois clés en main", indique un communiqué.Sur le continent américain, la croissance du chiffre d'affaires s'est élevée à 22,3% sur le trimestre et à 23,9% par rapport au premier trimestre 2019, l'Amérique du nord étant tirée par "une demande particulièrement forte" et "par l'accélération des prix dans un contexte plus inflationniste".Les ventes au Brésil affichent une hausse "spectaculaire" de 34,8% sur le trimestre et de 33% par rapport au 1er trimestre 2019.En Asie Pacifique, la Chine, premier pays affecté par le coronavirus, et également premier pays à sortir de la crise sanitaire, "double ses ventes" alors que l'Inde affiche "une croissance à deux chiffres par rapport au niveau pré-Covid".Le groupe confirme ses perspectives pour l'ensemble de 2021 et vise "une forte progression du résultat d'exploitation à structure et taux de change comparables", avec une progression de la marge d'exploitation de "plus de 100 points de base par rapport aux 7,7% de 2018".
Il y a 4 ans et 47 jours

Ikea poursuit son implantation parisienne

NOUVELLE OUVERTURE. Après avoir ouvert un magasin place de la Madeleine à Paris, Ikea installera un Ikea Décoration rue de Rivoli dès le mois de juin prochain.
Il y a 4 ans et 47 jours

Sondage Ferroscan : quels sont ses avantages et inconvénients pour un diagnostic structurel ?

Le diagnostic structurel permet de détecter la nature d’un problème dans le secteur de la construction pour effectuer une rénovation. Parmi les méthodes utilisées pour poser ce diagnostic, le Sondage Ferroscan est très plébiscité. De quoi s’agit-il ? Quels sont les points forts et les limites de cette méthode ? Qu’est-ce que le Sondage Ferroscan ? Le sondage Ferroscan est une méthode d’investigation ou d’inspection réalisée dans le cadre d’un diagnostic structurel. Il est effectué grâce à un équipement spécifique : le Ferroscan. Ce dernier permet de faire le diagnostic sans prélever le béton ni ses armatures. C’est justement pour cette raison que le sondage Ferroscan est non destructif. En pratique, cet outil relève les courants électriques dans les armatures métalliques. Ce courant, encore appelé courant de Foucault, est le résultat du déplacement des bobines électromagnétiques à la surface du béton. Le sondage Ferroscan relève des signaux dont la force est fonction du diamètre des armatures, mais aussi de l’épaisseur du béton. C’est ainsi que sont donc relevées les informations sur les armatures et sur le béton par les spécialistes comme bet structure paris. Cette méthode de diagnostic structurel n’est utilisée que pour les ouvrages en béton comme les hôtels, les logements ou immeubles de particuliers. Elle est également utilisée pour les constructions en béton précontraint et celles qui sont faites avec de la maçonnerie armée. Les limites et les avantages de ce sondage Le sondage Ferroscan est très utilisé par les professionnels du diagnostic structurel en raison de ses nombreux avantages. Son principal point fort, c’est qu’il n’entraîne aucun dégât sur la structure en béton. Ce qui n’est pas le cas avec les autres méthodes de sondage utilisées. En outre, le sondage Ferroscan donne des résultats immédiats qui permettent de vite réaliser les travaux de rénovation nécessaires. Non seulement ces résultats s’obtiennent rapidement, mais ils sont également plus fiables que ceux de la majorité des techniques d’investigation utilisées. En dépit de ces avantages, cette méthode présente quelques faiblesses. En effet, face aux surfaces qui ont un relief important, le Ferroscan peut avoir du mal à réaliser un diagnostic efficace. De même, lorsque les armatures sont très profondes, il est difficile de fournir des données fiables. En effet, ce sont des équipements qui ont une profondeur limite de détection. Toutefois, le sondage Ferroscan reste une méthode de diagnostic fort recommandable. Pour pallier ses insuffisances, il est utilisé avec d’autres moyens d’investigation.
Il y a 4 ans et 47 jours

Intégrer le tapis dans sa décoration d’intérieur

Lorsqu’on s’attèle à la décoration de notre intérieur, on a en tête mille et un accessoires. Dans cette panoplie d’idées, on oublie le tapis et pourtant, c’est un élément décoratif à part entière. Détrompez-vous : si vous choisissez la bonne matière, la bonne forme, la bonne couleur et le bon emplacement, ce tapis va donner le ton à votre intérieur. Pourquoi prendre un tapis ? Le tapis n’est pas le premier accessoire de décoration vers lequel on se tourne quand on décore son intérieur, c’est que beaucoup le jugent comme un peu vieillot ou encore difficile à entretenir. Dans votre appartement moderne ou citadin, vous ne voyez pas trop l’intérêt d’étaler un tapis. Sachez que le tapis peut vous aider à délimiter des zones. Si vous avez par exemple le salon et la salle à manger dans une même pièce, vous pouvez installer un tapis sous la table et les chaises pour bien définir ce coin repas. Si dans une pièce, vous avez du carrelage ou du linoléum en revêtement sol, le tapis peut apporter un côté chaleureux et convivial à l’espace. Pour avoir ce résultat, il faudra privilégier un tapis dans des matières naturelles comme un tapis en laine. Dans la chambre à coucher par exemple, ce tapis en laine trouvera très bien sa place en descente de lit ou au pied du dressing. Le tapis peut également apporter une touche de modernité à un espace que vous jugez un peu trop classique. Quel tapis pour quelle pièce ? Dans la collection des tapis, il y en a pour tous les goûts : il y a des modèles en laine, à boucles, teintés, en sisal, en jonc, en matières synthétiques et même en cuir. Dans cette panoplie, vous allez sûrement trouver celui qui vous plaît. Seulement, pour ce choix, vous ne devez pas uniquement vous laisser guider par vos yeux et vos préférences en termes de couleur et de matière. Si vous comptez installer le tapis dans un lieu de détente comme la chambre à coucher, tournez-vous vers les tapis confortables à poil long, bien épais et bien moelleux. Ne vous inquiétez pas pour ce qui est de l’entretien, car vu que le tapis est loin de l’humidité et de la nourriture, ce ne sera pas si compliqué. Dans la chambre à coucher d’un enfant, il serait quand même judicieux d’opter pour un tapis en plastique. Ce dernier n’a pas peur des tâches et sera plus facile à entretenir. Dans le salon et les autres lieux de vie, vous pouvez vous permettre n’importe quel tapis et même un modèle dans une forme plus originale. Les modèles en blanc et trop épais sont quand même déconseillés, car ils sont plus difficiles à nettoyer. Pour la salle à manger, il serait plus raisonnable de prendre un tapis à poil ras pour que les pieds des chaises puissent être déplacés plus facilement. Dans la cuisine ou dans la salle de bain, si vous souhaitez mettre un tapis, privilégiez un modèle en matière naturelle comme le jonc de mer ou le rotin. Assurez-vous également que ce tapis ait une sous-couche antidérapante et imperméable. Bien positionner le tapis : les erreurs à éviter Une fois que vous avez le tapis, vous avez déjà une idée de l’endroit où vous allez l’installer. Vous devez revoir cet emplacement, si une fois placé, le tapis gêne l’ouverture d’une porte ou d’un placard. Comprenez également que si vous le mettez à un endroit où il y a beaucoup de passage, vous allez être obligé de l’entretenir deux fois plus. On ne peut pas non plus écarter les glissades sur tapis. Si vous ne voulez pas que ce tapis cause un malencontreux accident, il faudra utiliser une couche antidérapante. Au cas où vous avez pris un tapis trop petit, ce dernier ne pourra pas vraiment accueillir la table et les chaises du coin repas. Ce décalage entre le sol et le tapis ne sera pas si esthétique. Ces tapis en laine à grandes boucles sont bien beaux. Le placer dans la salle à manger en dessous de la table et des chaises ne serait pas vraiment une bonne idée : les pieds des chaises risquent de se prendre dans les boucles.
Il y a 4 ans et 47 jours

Le chantier du "remontage" de la flèche de la basilique de Saint-Denis débutera en septembre

Achevées au début du XIIIe siècle, la tour nord et la flèche médiévales - qui culminaient à 86 mètres - avaient été démontées pierre par pierre en 1845 après une tornade qui avait fragilisé l'édifice.La ville de Saint-Denis avait lancé en 1987 l'idée de la reconstruction de la flèche de la basilique qui abrite les tombeaux des rois de France, projet auquel l'État avait finalement donné son feu vert en février 2017.Mercredi, la présidente (Libres!, ex-LR) de la région, Valérie Pécresse, a annoncé un "soutien" au projet à hauteur de 5 millions d'euros, qui viennent s'ajouter aux "20 millions déjà annoncés par le Fonds de solidarité interdépartementale par l'investissement". Un financement qui "permet au projet de rentrer dans une nouvelle phase opérationnelle".Afin de développer l'attractivité de cette ville populaire située au nord de Paris, le chantier sera ouvert à la visite. La première étape, celle des fouilles archéologiques et des travaux de consolidation de la basilique, commencera en septembre 2021.La première pierre "pourrait" elle être posée à l'automne 2022, a précisé à l'AFP la mairie de Saint-Denis, en ajoutant que le chantier devrait être achevé en 2028.Selon des chiffres des 2019, la basilique de Saint-Denis recevait 140.000 visiteurs chaque année, 100 fois moins que Notre-Dame de Paris."Le chantier de reconstruction de la flèche présente l'opportunité d'un développement touristique national et international, notamment au moment des JO de 2024", espère Valérie Pécresse, citée dans le communiqué.Ce projet "s'inscrit par ailleurs dans la dynamique de la candidature de la ville de Saint-Denis pour obtenir le label Capitale européenne de la culture 2028 et fera partie intégrante du projet qui sera présenté pour la sélection", ajoute Mathieu Hanotin, maire PS de Saint-Denis et président de l'Établissement public territorial Plaine commune.
Il y a 4 ans et 48 jours

Seine-Saint-Denis : les travaux d’aménagement de la ligne 11 du métro confiés à Vinci Construction

Les entreprises Chantiers Modernes Construction et CBI assureront les travaux de prolongement de la ligne 11 du métro parisien dans les communes de Seine-Saint-Denis.