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Il y a 4 ans et 48 jours

Paris : « Nous allons réformer l'instruction des permis », Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris

Emmanuel Grégoire est premier adjoint (PS) à la maire de Paris, en charge de l'urbanisme, de l'architecture, du Grand Paris, de la transformation des politiques publiques et des relations avec les arrondissements.
Il y a 4 ans et 48 jours

Réalisation référence

Paris, 18e, quartier des Abesses : un nouvel habitat est né en 2020 sur le toit d'un immeuble existant. Dans le cadre d'un chantier de réhabilitation, un loft sur-mesure et sa terrasse végétalisée sont apparus mêlant confort intérieur & extérieur. Le cabinet ACG et l'agence Mariebey ont réalisé ce nouveau cocon selon le concept Oh Perché! Rooftop. Il associe verdure et vie citadine. Le fabricant de porte d'intérieur, Eclisse, équipe cet appartement parisien avec les portes de la collection Syntesis®. Sobriété, design et sur-mesure sont au rendez-vous. Visite et explications.
Il y a 4 ans et 48 jours

Champs-sur-Marne : Adim Paris Île-de-France a livré le pôle résidentiel Treed It

Les résidences de Treed It, à Champs-sur-Marne, viennent d’être livrées par Adim Paris Île-de-France.
Il y a 4 ans et 48 jours

Le Nouveau Bauhaus européen sera-t-il celui de la rénovation ?

ARCHITECTURE. Lancé en novembre dernier, le Nouveau Bauhaus européen veut faire de la rénovation des bâtiments un "projet culturel". Pour Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la maire de Paris, la beauté est centrale à tout projet urbain ; il est donc indispensable d'embarquer le public dans les choix stratégiques.
Il y a 4 ans et 48 jours

Les métiers du BTP et de la construction en tête des recrutements au 1er trimestre 2021

Les métiers du BTP et de la construction en tête des fonctions les plus porteusesLe classement des fonctions les plus dynamiques est composé des métiers du BTP et de la construction (+ 4 pts de CDI/CDD et + 5 pts d'offres en intérim), et de la production et maintenance industrielle (+ 2 pts et + 4 pts). Elles restent également dynamiques en termes de volume d'offres à pourvoir sur ce 1er trimestre 2021 ; ces métiers représentent à eux seuls plus de 50% des offres d'intérim à pourvoir. Les postes de techniciens ou d'ingénieurs industriels sont également très demandés (15% CDI/CDD et 12% intérim). Les métiers de la Comptabilité et ceux de la Logistique et du Transport affichent eux-aussi une légère croissance par rapport au 1er trimestre 2020.En revanche, les fonctions commerciales ou liées à la gestion et à la relation clients sont moins demandées que l'an passé (respectivement - 5 pts et - 1 pt).Et enfin l'évolution des recrutements en intérim dans le secteur santé social est très liée à la forte demande de la fin du premier trimestre 2020 qui visait à pourvoir à l'urgence de la crise sanitaire.« Les métiers du BTP, de la logistique/transport et de la production industrielle recrutent fortement en ce début d'année. A l'inverse les métiers du commerce sont pour le moment en deçà des dynamiques précédemment observées. La reprise de ces recrutements est très liée aux perspectives de sortie de la crise sanitaire » observe David Beaurepaire.L'Île-de-France et l'Auvergne-Rhône Alpes, en tête des régions qui recrutent en FranceLe baromètre connaît quelques évolutions concernant le poids et la dynamique de chaque région. L'Auvergne-Rhône-Alpes s'offre une 1ère place au premier trimestre dans le classement des régions qui recrutent le plus en CDI et CDD avec une part de 17% des 265 000 offres publiées et gagne 2 pts de parts de marché. Si l'Île-de-France est la région à la plus forte décroissance (- 3 pts), elle n'en demeure pas moins l'une de celles proposant le plus d'offres d'emploi CDI/CDD, en prenant la 2e place, avec 16% du volume national.Les Pays de la Loire et la Nouvelle Aquitaine occupent respectivement la 3ème et 4ème place avec 10 et 9%.A noter, les régions Occitanie et Provence-Alpes-Côte d'Azur accusent le plus fort ralentissement après l'Île-de-France pour les recrutements en CDI/CDD. La Bourgogne-Franche-Comté, le Centre-Val de Loire et la Normandie, quant à elles, représentent chacune seulement 4% du volume d'offres d'emploi proposées au 1er trimestre 2021. Sur les 647 000 offres en intérim analysées, l'Auvergne-Rhône-Alpes occupe également la 1ère place du classement des régions qui recrutent le plus en intérim (15%). Les Pays de la Loire et la Nouvelle Aquitaine prennent respectivement la 2ème et 3ème place avec 12 et 11% du volume national. La Bourgogne-Franche-Comté et le Centre-Val de Loire sont celles qui proposent le moins d'offres de travail temporaire (5%). La 4ème place de l'Île-de-France est anormale et démontre l'impact très fort des contraintes sanitaires et des fermetures d'établissements qui pèsent plus fortement sur la région francilienne.Le poids des grandes métropoles diminue et notamment celui de la Métropole du Grand ParisLes 10 plus grandes métropoles concentrent 33% des offres en CDI/CDD au 1er trimestre 2021, contre 36% en 2020. C'est la première fois que nous observons une baisse de cet indicateur de la métropolisation des emplois. De la même façon le top 10 des métropoles concentraient 24 % des offres en intérim en 2020 et ne concentrent plus que 20 % en 2021.La Métropole du Grand Paris et la Métropole de Lyon pèsent à elles deux près de la moitié des offres en CDI /CDD à pourvoir dans ce Top 10 des métropoles (46%). En revanche, la métropole lyonnaise présente une croissance de 2 pts des offres proposées par rapport à l'année dernière à la même période, quand le Grand Paris accuse une chute de ses offres d'emploi de 4 pts.Nantes Métropole et la Métropole Européenne de Lille, qui occupent respectivement la 3e et 5e place, affichent, elles aussi, une croissance de 2 pts de parts de marché quand Toulouse Métropole recule de 1 pt. La métropole d'Aix-Marseille occupe la seconde place du classement concernant les offres en intérim. La Roche-sur-Yon, la plus dynamique des villes moyennesCette année, les villes moyennes tirent leur épingle du jeu. Les 10 plus dynamiques représentent 7% de l'ensemble des offres en CDI et CDD (versus 5% l'année dernière) et 8% des offres en intérim (versus 7% en 2020). C'est le cas de la communauté d'agglomération de La Roche-sur-Yon, qui prend la tête de ce palmarès des villes moyennes, aussi bien sur des offres en CDI/CDD que des contrats d'intérim. La communauté urbaine d'Angers Loire Métropole occupe également le Top 10 de ce classement, tout comme sa voisine Cholet (communauté d'agglomération du Choletais).« Nous constatons une baisse de la concentration des emplois dans les métropoles pour la première fois, -3 points par rapport à l'an dernier : s'agit-il un phénomène temporaire ? Il n'est pas uniquement parisien puisque hors Paris, la part des 9 plus grandes métropoles baisse également de 2 points. Nous dirigeons-nous vers une ‘démétropolisation' des emplois, avec une tendance plus durable au profit des villes moyennes ? Nos prochains baromètres nous le diront. Quoi qu'il en soit, certaines villes moyennes tirent leur épingle du jeu tant au niveau de l'attractivité pour les candidats mais également sur le plan du dynamisme économique et des recrutements » commente David Beaurepaire, directeur délégué de HelloWork.Trois quarts des offres d'emploi sont proposées en CDIMalgré la crise, la part des CDI ne baisse pas. Ces contrats pérennes pèsent toujours 88 % en 2021. « Certains recruteurs n'hésitent plus à recruter en CDI car, pour certains postes qualifiés, ils n'ont pas le choix. D'autres prennent également en compte les nouvelles souplesses de ce contrat en cas de désaccord, la rupture conventionnelle notamment » conclut David Beaurepaire.Méthodologie : Analyse basée sur 912.000 offres d'emploi diffusées du 01/01/2021 au 31/03/2021 (dont 265.000 en CDI/CDD et 647.000 en intérim). * Sur un échantillon de 490 000 répondants, data récoltées sur une période de 6 mois en 2020.
Il y a 4 ans et 48 jours

Ideal Standard inspire les salles de bains du futur avec le 1er événement à Milan du Together World Tour et dévoile, en avant 1ère, la nouvelle collection Linda-X

Ideal Standard International a lancé le premier d’une série unique d’événements théâtraux, mêlant le design, l’art et l’architecture. Adoptant une approche créative et stimulante, l’événement à Milan qui a eu lieu le 21 avril a encouragé les participants à réfléchir à l’impact du design d’intérieur sur la vie moderne. Le Together World Tour, créé par Ideal Standard, est une série d’événements liés à six villes emblématiques. Chaque destination offre un cadre visuel et culturel unique pour le lancement d’une nouvelle collection de produits de la marque. Grâce à un format numérique cinématographique intrigant, chaque événement de la série adopte une approche unique pour combiner tendances culturelles et style de vie avec l’architecture et le design. Présentant l’événement Together World Tour, Torsten Türling, PDG d’Ideal Standard, a déclaré : « Nous voulions créer une expérience immersive pour nos clients afin de démontrer la façon dont nous pensons à la conception de la salle de bain. Nous sommes fiers d’avoir un long héritage dans l’innovation de conception dans l’industrie de la salle de bain et le Together World Tour prend un format théâtral unique pour donner vie à certaines de nos dernières gammes. Ces nouvelles lignes combinent des principes de design modernes avec l’inspiration de certaines de nos pièces les plus emblématiques, pour créer des produits ambitieux qui contribuent à façonner les salles de bains du futur. » Dans une approche créative et stimulante, l’événement de Milan du 21 avril dernier, a marqué le début de la tournée. L’événement a fait découvrir l’identité de Milan et son énergie culturelle en explorant certains des bâtiments les plus emblématiques de la ville, mettant en évidence le lien inné entre le design, l’architecture et la culture. Depuis les années 50, Ideal Standard est ancré dans l’héritage du design milanais, et cela se reflète dans ses relations privilégiées avec des maîtres architectes tels que Gio Ponti et Achille Castiglioni. Après une immersion dans l’empreinte culturelle de la ville, l’événement a donné la parole à des personnalités telles que Roberto Palomba, Directeur Artistique d’Ideal Standard, qui ont exprimé leur point de vue sur le design moderne et le futur du design de salle de bain. Enfin, la nouvelle collection d’Ideal Standard, Linda-X, a été dévoilée en avant-première. Hommage à la collection Linda créée en 1977 par A. Castiglioni, la nouvelle collection Linda-X, dessinée par Ludovica + Roberto Palomba, s’inspire fièrement de la pièce originale, célébrant l’héritage culturel de la marque, tout en incorporant des influences modernes pour créer une collection contemporaine qui reflète le futur du design de salle de bain. « Cette collection découle du désir de rendre hommage à l’ADN d’Ideal Standard avec un regard tourné vers l’avenir » a déclaré Roberto Palomba. « Pour nous, cela signifiait étudier la collection historique et repenser le design avec une vision actualisée. Lorsque vous choisissez un modèle pour vous inspirer, vous prenez également les valeurs qu’il représente, pas seulement la conception physique. Nous croyons fermement que la base d’un design intemporel repose sur des valeurs plutôt que sur des tendances, et cela a été une considération importante pour nous en ce qui concerne Linda-X. » L’architecture, le design et la technologie sont les principes directeurs de cette collection. Composée d’une gamme de vasques, de lavabos et d’une élégante baignoire, la collection Linda-X se distingue par son design très fin, minimaliste et épuré, qui ne laisse pas indifférent. L’élément visuel marquant de cette collection se trouve dans les bords ultra- minces des lavabos et vasques. Linda-X est fabriqué à partir d’un mélange de céramique unique, le Diamatec®, qui non seulement donne une céramique très fine, mais garantit également une certaine durabilité dans le temps grâce à la robustesse du matériau. La réduction de matières premières dans sa production en fait un produit éco-conçu. Le résultat est une pièce qui répond aux attentes du design moderne : durabilité, éco-conception et beauté. La plate-forme sur laquelle repose le lavabo est un élément clé de sa conception : D’un point de vue visuel, le lavabo semble être presque en apesanteur et « flottant » tout en créant une solution soucieuse de l’espace pour les besoins des modes de vie modernes. Ainsi, le lavabo peut reposer sur des meubles étroits. La collection Linda-X se compose de 3 modèles de lavabos et 2 modèles de vasques, disponibles en 5 tailles (45 à 75 cm) et 2 finitions (blanc brillant et Soie blanche). La collection Joy, robinetterie de salle de bain, également conçue par Ludovica + Roberto Palomba, s’accorde parfaitement avec Linda-X. Le design de la robinetterie Joy découle du désir de créer une surface lisse et continue, résultant en une pièce unique de laiton sans aspérité ni raccord. Ce produit s’accorde à la fois aux céramiques carrées ou rondes. C’est une pièce qui s’adapte parfaitement à différents environnements et styles de salle de bain. Ses quatre finitions (chrome, gris orage, or brossé et gris magnétique) mettent en avant la forme du miti- geur. La conception soignée est complétée par une fonction d’économie d’eau, avec la présence d’un réducteur de débit Eco Flow, qui réduit la consommation d’eau à 5 L / min. La prochaine étape du « Together World Tour » est Berlin le 16 juin 2021. Etape qui sera suivie de Londres, Paris, Dubaï et Shanghai. Chaque événement, traduit en quatre langues, sera diffusé sur la plate-forme numérique www.togetherworldtour.com, où il est possible de regarder les événements passés, de s’inscrire aux événements à venir et d’accéder à un contenu exclusif et inspirant autour de chaque destination et nouvelle collection présentée. http://www.idealstandard.fr
Il y a 4 ans et 48 jours

Que contient le plan de relance et de réforme français envoyé à Bruxelles ?

Ce que va financer l'EuropeSur les 100 milliards d'euros du plan de relance français, Paris peut prétendre en faire financer 40 milliards par Bruxelles.Sur ce montant, plus de la moitié correspond à des dépenses en faveur de la transition écologique, dont le plan de 5,8 milliards pour la rénovation énergétique, 6,5 milliards dédiés aux infrastructures de transports et de mobilités vertes, ou encore 5,1 milliards devant servir au développement des énergies et technologies vertes.Un quart des dépenses doit aller à la numérisation de l'économie, avec par exemple 2,4 milliards d'investissement pour développer la souveraineté technologique de la France ou 2,9 milliards pour la numérisation de la formation et les investissements dans les compétences numériques.La France se situe ainsi dans les clous des critères fixés par Bruxelles, qui fixait au moins 37% de dépenses en faveur de la transition écologique et 20% pour la transition numérique.Le plan européen avait aussi fixé comme priorité les efforts en matière de cohésion sociale, d'éducation et d'efficacité institutionnelle.Paris soumet ainsi 7,7 milliards d'euros de dépenses en faveur de la recherche, du système de santé et de la cohésion territoriale.Les réformes mises en avant par la FranceAu-delà des investissements, les États membres devaient assortir leur plan national d'un volet de réformes. La France devait notamment montrer son intention de mener des réformes structurelles, déjà réclamées de longue date par Bruxelles.Dans son plan, le gouvernement a repris une bonne partie des réformes adoptées depuis 2017: la politique du logement, la loi climat ou encore la loi de simplification de l'action publique et de la vie des entreprises."Un peu une liste à la Prévert", a pointé le président de la commission des Finances à l'Assemblée nationale Eric Woerth, lors d'une audition du ministre de l'Économie Bruno Le Maire et de son ministre délégué aux Comptes publics, Olivier Dussopt.Deux grandes futures réformes sont aussi largement développées dans le document français.D'abord la critiquée réforme de l'assurance-chômage, dont l'entrée en vigueur a été suspendue pendant la crise et est désormais prévue en juillet.L'exécutif veut aussi revoir la gestion de ses finances publiques, comme préconisé dans un récent rapport commandé par Matignon, avec l'objectif de "revenir à une politique budgétaire prudente"."Nous avons besoin de mettre en place un cadre pluriannuel, avec une règle de dépense", a défendu le ministre des Finances Bruno Le Maire, lors d'une conférence de presse avec son homologue allemand Olaf Scholz.Des mesures législatives sont prévues en ce sens dès cette année.Et les retraites?Le sujet est sensible: ce projet de réforme, entamé avant la crise, avait mis certaines professions dans la rue pendant de longues semaines fin 2019.Le document transmis à Bruxelles rappelle la détermination du gouvernement "à mener une réforme ambitieuse du système de retraites", comme demandé de longue date par les institutions européennes."Nous n'avons pas besoin d'une quelconque recommandation, ni de la part d'un État européen, ni de la Commission, pour être conscients de la nécessité de faire une réforme des retraites en France", a défendu M. Le Maire.Mais "la réforme des retraites ne figure pas au sens technique du terme dans ces rendez-vous de réformes que nous avons indiqués à nos partenaires européens", a ensuite précisé Bruno Le Maire lors de son audition devant les commissions des Finances et des Affaires européennes de l'Assemblée nationale.Le gouvernement ne donne d'ailleurs pas de calendrier précis, se bornant à souligner que le dialogue social sur ce projet devra être relancé "dès que l'amélioration de la situation sanitaire et économique le permettra".
Il y a 4 ans et 48 jours

DuPont Sustainable Solutions célèbre la journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail 2021 en partageant les parcours et réflexions de femmes, leaders dans leurs domaines

Les 5 principaux moteurs de l’excellence en matière de sécurité Paris, le 28 Avril 2021 – DuPont Sustainable Solutions (DSS), cabinet de conseil international leader dans la sécurité et la performance opérationnelle donne la parole à 13 femmes leaders européennes. Dans ce rapport publié à l’occasion de la Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail 2021, les responsables de la sécurité partagent leurs expériences et mettent en lumière les étapes cruciales qui ont renforcé et approfondi leurs efforts en matière d’Hygiène Sécurité et Environnement (HSE). Ces discussions mentionnent, à maintes reprises, les cinq mêmes facteurs essentiels pour anticiper, se préparer et réagir de façon adéquate aux risques sur le lieu de travail : 1. Leadership – l’importance de donner l’exemple, de prendre des initiatives et de communiquer de manière positive. 2. Agilité – se concentrer sur le passage de la réactivité à la proactivité, l’identification et la planification des risques émergents et l’élaboration d’une approche « d’équipe ». 3. Culture – le rôle de la sensibilisation au risque, de l’encouragement et de la reconnaissance, et de l’adoption d’une vision à long terme. 4. Technologie – l’utilisation de la technologie intelligente, l’importance de son rôle dans la formation et la numérisation sans négliger le facteur humain. 5. Les Hommes – comment favoriser et encourager la diversité, la durabilité et les ambassadeurs en HSE. « Il n’existe pas de formule magique pour l’excellence en matière de santé et sécurité. Un programme HSE efficace nécessite la contribution de nombreuses compétences” déclare Tatiana Zamarova, Directrice Générale de la région Russie-Europe de l’Est de DSS, en introduction du rapport. « Dans le cadre de notre initiative Safety for Good, DSS recueille et partage les opinions des leaders de tous les domaines de la santé et de la sécurité. En mettant en évidence les perspectives et les idées des femmes occupant des postes de direction en matière de sécurité, nous visons à enrichir le gisement de connaissances dans ce domaine et à contribuer à rendre les lieux de travail plus sûrs et plus sains. » Parmi les dirigeantes françaises qui ont contribué au rapport, citons : • Aude Menseau, Directrice HSE de l’entreprise Biscuits St Michel Avec une passion évidente pour la sécurité que ce soit dans le milieu du travail ou à l’extérieur, elle explique « l’importance de l’agilité et comment la culture et le leadership de l’entreprise sont des facteurs essentiels pour faire avancer les initiatives en matière de sécurité ». • Christine Becard, Directrice de la Gestion des connaissances en matière de sécurité et Experte HSE à l’échelle internationale du Groupe Air Liquide Les compétences organisationnelles de Christine Becard l’ont menée de l’approvisionnement à la direction de la gestion des connaissances en matière de sécurité au niveau du groupe. Elle explique « pourquoi il est important de sortir de sa tour d’ivoire, de se rendre sur la piste de danse et se mettre à la place de ceux qui doivent respecter les règles. Travailler en étroite collaboration avec les autres nous encourage à sortir des sentiers battus pour ajouter de la valeur aux initiatives de sécurité ». Retrouvez l’intégralité de leurs interviews, ainsi que toutes les autres sur : Women in Safety | DuPont Sustainable Solutions (consultdss.com)
Il y a 4 ans et 48 jours

Le groupe GGL fait l'acquisition des sociétés de promotion Loger Habitat et Carré Constructeur

Le groupe GGL, originaire de Montpellier et implanté dans le grand Sud, renforce ainsi son activité en promotion résidentielle et tertiaire et s'implante sur les Hauts de France, le grand Est, la Normandie et le Nord parisien. Avec cette acquisition, le groupe fédèrera ainsi près de 200 collaborateurs pour 300 millions de chiffre d'affaires.Fondé en 1960 à Lille, Loger Habitat est devenu en 60 ans un acteur local de référence en immobilier résidentiel, partenaire des collectivités dans le cadre des démarches de renouvellement urbain.Carré Constructeur, intervient depuis plus de 40 ans en immobilier d'entreprise (bureaux, locaux d'activité, entrepôts) et dans l'aménagement de parcs d'activité, tertiaires ou commerciaux.Daniel Dorchies, fondateur et Président de groupe D Immobilier cède ainsi ces deux filiales dans un objectif de transmission reposant sur le partage de valeurs humaines et professionnelles communes. « Je ne doute pas » affirme Daniel Dorchies « que nos équipes et celles de GGL continueront dans le même esprit à réaliser des opérations de grande qualité avec le maintien du parfait respect de nos partenaires et clients. En cela je suis très heureux d'avoir favorisé ce rapprochement ».Pour Alain Guiraudon, Jacques Guipponi et Jean-Marc Leygue, fondateurs et Dirigeants Associés du groupe GGL, cette opération de croissance externe est un véritable accélérateur du développement au niveau national.Dans une logique de continuité, les noms de Loger Habitat et Carré Constructeur seront conservés et GGL s'appuiera sur leurs 45 collaborateurs pour la réalisation des opérations en cours et le développement à venir.Guillaume Pastour Directeur Général de Carré Constructeur et Jean-Michel Sede, Directeur Général de Loger Habitat seront associés au capital de ces sociétés. Ils continueront à développer les activités des deux filiales et contribueront à mettre en œuvre les synergies entre les équipes et les différentes activités du groupe : aménagement et réhabilitation urbaine, promotion immobilière, gestion des nouveaux usages relatifs à la mobilité, et à la santé.
Il y a 4 ans et 48 jours

Diffuver transforme les façades

Aujourd’hui dans le cercle très fermé des dix plus importants acteurs français de transformation du verre, l’entreprise lyonnaise part à l’assaut de tous les défis.Créée il y a 35 ans par Philippe Melon, Diffuver s’est spécialisée depuis une quinzaine d’années dans le vitrage isolant technique dédié à la façade prenant au fur et à mesure des parts de marché, pour devenir aujourd’hui leader dans sa région Rhône-Alpes. Avec deux sites, à Marclopt (42), Lyon (69) et deux filiales en Ardèche et dans la Drôme, Diffuver s’affiche comme poids lourd de la façade en même temps que s’étirent à l’extrême les dimensions du verre... et les références emblématiques de son savoir-faire. Auprès des professionnels – architectes, maîtres d’œuvre, entreprises générales du bâtiment, aluminiers, métalliers... – l’entrepreneur poursuit au quotidien son objectif : investir au service de sa spécialisation et de la performance. Autour d’un axe «simple» : « savoir construire et livrer en conséquence », résume Philippe Melon, président de Diffuver. Pour le transformateur, qui s’est illustré auprès d’impressionnants édifices, avec pas moins d’un kilomètre de murs-rideaux pour Framatome Lyon ou plus de 7 000 m² de vitrage pour le chantier de Steel, Active Shopping Resort à Saint-Etienne parmi les plus récents en 2020, « les prévisions de chantiers pour cette année invitent à l’optimisme. 1 500 m² de nos vitrages isolants seront notamment mis en place sur les façades du plus grand centre commercial d’Europe continentale pour lesquelles notre atelier de Vaulx-en-Velin aura collé des centaines de motifs en autant de carrés se détachant sur les verres ! ». Une stupéfiante réalisation à découvrir avant l’été 2021, qui vient s’adjoindre aux signatures architecturales uniques avec lesquelles Diffuver s’est construit une solide réputation ; à l’instar des 2.000 m² de verres isolants fabriqués sur son site en Loire pour Le Cube Vert, siège d’Euronews à Lyon, conçue par les architectes Jakob + MacFarlane, adeptes des géométries mouvementées et des ouvrages à contre-courant.Savoir-verre Avec une quarantaine de salariés sur l’ensemble de ses sites et une production annuelle de 100.000 m² de double vitrage, Diffuver transforme constamment son outil pour gagner en productivité, service et qualité…sa marque de fabrique. Preuve par l’exemple, depuis trois ans, sous l’impulsion de Rémi Maximin, nouvel associé et par ailleurs président de Glassalia et vice-président de CEKAL, la société a entamé un programme d’investissement de 3 M€ pour satisfaire le marché en fort développement des verres grande dimension.Dans son usine de Marclopt, Diffuver a ainsi repoussé les murs de 600 m² supplémentaires pour accueillir une table de coupe pour verre feuilleté avec pont de 6 m, deux centres d’usinage et une ligne de vitrage isolant Jumbo dernière génération, issus du fabricant autrichien Lisec.« Ce monstre de 56 m concentre une technologie qui a nécessité 1 mois d’assemblage et de déploiement dans notre atelier », renseigne Rémi Maximin, également directeur du site. Opérationnelle depuis fin février 2021, cette ligne unique en France embarque un scanner de détection des défauts, un retourneur, une presse tandem et un robot d’enduction dernière génération. Elle est capable de supporter jusqu’à 2 tonnes de verre et 350 kg par mètre linéaire et des verres isolants de 6000 x 3210 mm. « Cette installation hyper performante, sans équivalence en France, va nous permettre de répondre aux demandes les plus exigeantes en matière de vitrages isolants XXL et de rentrer dans le top 5 des fabricants capables d’industrialiser ce type de vitrage », se réjouit Philippe Melon. « Nous avons également investi dans deux camions porteurs avec remorque et grue de 42 tonnes pour accompagner au mieux nos clients dans la livraison de ces verres ».Le VEC, du haut des façadesLa haute technicité de Diffuver distingue également son atelier de collage dédié à tous chantiers VEC (Vitrage Extérieur Collé). Une expertise « de plus en plus sollicitée par nos confrères et piste d’avenir », pointe le dirigeant ; « la façade VEC, qui utilise des vitrages collés sur des cadres aluminium ouvrants ou fixes, peut intégrer de nombreux vitrages, tels que verres feuilletés de sécurité ou verres trempés, montés sur des double ou triple vitrage isolant. Outre son esthétisme épuré et homogène particulièrement apprécié par les architectes et prescripteurs, le mur-rideau VEC, de par sa fixation, absorbe parallèlement les vibrations et les contraintes extérieures (neige, vent, forte température, mouvements sismiques...).L’intérêt de ces façades, dont le type de montage relève d’une grande maîtrise technique, rejoint parfaitement les enjeux de la transition énergétiques et des bâtiments durables (HQE, BBC, etc.). Proactif déterminé à faire évoluer la fabrication du vitrage et ses applications, le transformateur se félicite de sa situation géographique, au centre de l’Hexagone, composant avec une proximité et des appels d’offres locaux jusqu’aux contreforts suisses et de l’Ile-de-France, remportant de plus en plus de marchés parisiens, tout en ménageant l’impact du transport sur l’environnement.« Nous participons ainsi au développement du modèle économique actuel, plus vertueux et soucieux de nos répercussions écologiques, à titre industriel et entité morale ».
Il y a 4 ans et 49 jours

"Lumière, lumières": le pavillon français à l'exposition universelle de Dubaï

Sous le nom, "Lumière, lumières", le patrimoine, l'art et l'innovation technologique articuleront leurs facettes dans un pavillon "éco-responsable" de 55 mètres de large, 20 mètres de haut et 63 mètres de profondeur.Elles ont été présentées lundi en visioconférence par Erik Linquier, son commissaire général, en présence du ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian.L'exposition, reportée l'an dernier en raison du Covid, est prévue du 1er octobre 2021 au 31 mars 2022, avec la participation de 190 pays. Elle a pour thème la ville intelligente et durable avec pour slogan "Connecter les esprits, construire le futur".Symbolisant la conjonction des "lumières" du présent et du passé, les 2.500 m³ de tuiles photovoltaïques du pavillon français abriteront une édition originale des 35 tomes de l'Encyclopédie de Diderot et d'Alembert, prêtée par les Archives Nationales.Des expositions temporaires seront dédiées à cinq expertises artistiques: l'art digital (sur Notre-Dame), les arts de la table, l'art cinétique, l'architecture et la mode (les cinquante années de création de Jean Paul Gaultier)."Notre-Dame de Paris, l'Expérience" est une immersion historique virtuelle, présentée par L'Oréal et réalisée par la start-up Histovery en collaboration avec l'Etablissement public. Les visiteurs pourront découvrir le chantier au Moyen-Âge, assister au sacre de Napoléon, à l'édification de la flèche de Viollet-le-Duc ou encore plonger au coeur des opérations de sécurisation actuelles."Antarctique, un laboratoire du futur" sera une autre expérience immersive au coeur des recherches de pointe menées en Antarctique sur le réchauffement.Le Petit Prince de Saint-Exupéry proposera un voyage imaginaire, montrant les connexions multiples qui relient arts, sciences, techniques et cultures.Ce rendez-vous est comme toujours l'occasion pour les grandes entreprises, de Renault à EDF, et pour des start-up, d'y faire connaître leurs projets technologiques d'avenir.Ainsi, la maquette d'un bateau-musée sera exposée de même qu'un dirigeable pour le transport cargo aérien, solution "écolo-compatible" du futur imaginée par la start-up Flying Whales.Jean-Yves Le Drian a souligné la pertinence du thème retenu pour "Dubaï 202": "En 2050, il y aura 2,5 milliards d'urbains de plus. Et c'est en 2050 que nous sommes en train de décider d'être au niveau de la neutralité carbone. Comment régler cette contradiction sinon par la ville sobre et intelligente."
Il y a 4 ans et 49 jours

La toiture, un argument essentiel pour vendre une maison

Quand on veut louer ou vendre une maison, plusieurs éléments peuvent être mis en avant pour attirer des clients. L’un de ces arguments que l’on peut souligner est la toiture. Bien entretenir cet élément de la maison peut se révéler payant si l’on veut vendre ou mettre en location sa maison. Nous vous expliquons par ces lignes, pourquoi la toiture est un argument de vente efficace. Un aspect visuel qui peut séduire La toiture définit l’aspect général de la maison. Elle est considérée comme la cinquième façade de l’habitat. De ce fait, c’est l’un des éléments que les clients regarderont en premier. L’architecture du toit peut être un point déclencheur de vente. Vous pouvez l’aménager suivant des styles de toits très appréciés comme les toits arrondis qui sont originaux et design, ou des toits plats qui sont tendances et qui peuvent être végétalisés pour des clients écologistes. Les matériaux utilisés contribuent aussi au rendu visuel de la maison. Vous pouvez opter par exemple pour des couvertures de toit nobles comme les tuiles, l’ardoise ou le bois. Il y a aussi les matériaux tendance qui peuvent présenter différents motifs comme l’acier, l’aluminium ou le zinc. En plus, le toit peut arborer différents coloris qui peuvent se marier avec les façades. Vous pouvez choisir de garder les coloris originaux des matériaux, ou de peindre avec la couleur que vous jugeriez adaptée à l’ensemble de la maison. Vous pouvez vous faire assister par des couvreurs professionnels dans vos choix et dans l’aménagement de la toiture pour un rendu visuel attrayant et convaincant. Une bonne isolation de la toiture pour plus de confort Il est clair que le confort à l’intérieur de la maison reste le critère primordial pour les acheteurs. Et ce confort doit être ressenti par le client dès son entrée dans la maison. Une bonne isolation de la toiture contribue grandement à ce confort. L’isolation thermique permet d’atténuer la chaleur en été, et protège les occupants d’une maison du froid en hiver. L’isolant améliore la performance énergétique avec la déperdition thermique, et contribue à réduire la consommation. L’isolation phonique de la toiture offre un confort acoustique, qui tend à réduire les bruits venant de la couverture de toit comme le craquement des tôles et des tuiles sous l’effet du soleil, du vent, de la pluie ou de l’environnement extérieur. Le choix du système d’isolation et la qualité des isolants peuvent apporter une plus-value à la bâtisse. Cet artisan couvreur https://www.artisan-couvreur-paris.fr/ qui se trouve à Paris peut vous guider dans vos sélections et vous garantir d’excellents travaux d’isolation. Un niveau d’entretien de la toiture rassurant Il est clair qu’une maison bien entretenue se vendra mieux et se vendra vite. Une toiture bien entretenue est une des conditions exigées par les acheteurs. Cela leur permet d’avoir une assurance sur la robustesse et la longévité de la maison, et aussi d’éviter de faire des travaux supplémentaires comme la réfection ou le démoussage. L’entretien de la toiture reflète l’entretien général de la maison, et peut être une garantie supplémentaire en matière d’hygiène relative à des moisissures ou bactéries dues à des fuites par exemple. Faire appel à un couvreur professionnel pour l’entretien de la toiture est alors indispensable pour garantir à vos acheteurs des travaux d’entretien de qualité, et augmenter la valeur de la maison.
Il y a 4 ans et 49 jours

Coûts de construction : sur 100 métropoles mondiales, Lyon, Paris et Nice maintiennent leur compétitivité

Car au-delà des comparaisons relatives entre métropoles, on constate que les coûts de construction dans le monde n’ont que faiblement évolué en 2020, démontrant le caractère atypique de la crise et la grande résilience du secteur. « En France à fin 2020, l’activité s’était largement contractée mais les prix ne se sont pas effondrés pour autant, démontrant des effets complexes entre fluctuation de l’offre et de la demande et surcoûts liés aux mesures sanitaires. » précise Nicolas Boffi, City Executive Paris chez Arcadis. « Jusqu’ici la situation a donc été maîtrisée, mais les effets indirects commencent à se faire sentir depuis le début de l’année 2021, en particulier sur les matières premières. » poursuit-il.Depuis plusieurs mois, les professionnels du secteur alertent sur les difficultés d’approvisionnement et la hausse du prix des matières premières. En raison de la crise sanitaire, leur production a chuté ou a été stoppée, et la reprise a conduit à un rebond de la demande générant par exemple une pénurie de plastique ou d’acier dont les prix se sont envolés. Afin de soutenir les entreprises qui ne peuvent subir de plein fouet ces augmentations importantes, le gouvernement réfléchit à des mesures d’accompagnement, comme la possibilité systématique de revoir les termes initiaux du contrat concernant les prix et les délais, et cela même lorsque le contrat a été négocié à prix ferme.Face à un risque important de pénurie des matières premières et donc d’augmentation des coûts de construction, l'économie circulaire et le réemploi des matériaux semblent les solutions à privilégier. Outre les effets bénéfiques pour la planète, le recyclage et la réutilisation des matériaux le sont tout autant pour le portefeuille. « Alors que le gouvernement saisit l’opportunité de la crise pour faire la part belle à la transition bas carbone avec son plan de relance, c’est le moment d’accélérer le réemploi et de mettre sur le devant de la scène les filières de valorisation, qui sont parfaitement en ligne avec cette stratégie. » conclut Nicolas Boffi.Les 10 villes où le coût de construction est le plus élevé sont :GenèveLondresCopenhagueOsloZurichNew YorkSan FranciscoHong KongDublinMacaoLe rapport complet est téléchargeable à cette adresse.
Il y a 4 ans et 49 jours

Coûts de construction : Lyon, Paris et Nice dans le top 30 des villes les plus chères

CHANTIER. Trois métropoles françaises se classent parmi les villes mondiales où les coûts de construction sont les plus élevées, selon le rapport annuel Arcadis. Malgré un arrêt brutal des chantiers au printemps 2020, le bâtiment a résisté à la crise du Covid-19.
Il y a 4 ans et 49 jours

Livraison du pôle résidentiel de l’ensemble immobilier Treed It à Champs-sur-Marne

ADIM Paris Île-de-France, filiale de développement immobilier de VINCI Construction France, a livré le dernier bâtiment d’habitation de l’opération Treed It à Champs-sur-Marne (77), début mars. Au sein de la Cité Descartes, qui regroupe 25 % de la R&D française dédiée à la ville durable, cet îlot mixte de 23.000 m2 offre 624 logements étudiants, des commerces, un parking ainsi qu’une future maison de santé. Point culminant et saillant de l’opération, sa tour en ossature bois qui s’élève à 37 mètres, l’une des plus hautes de France. Les travaux, qui avaient débuté en mars 2019 ont été menés par Sicra Île-de-France et Arbonis, toutes deux filiales de VINCI Construction France également.Treed It, une réalisation qui mixe les usages au cœur de la Cité DescartesL’aménageur du territoire, EpaMarne, pionnier de la construction décarbonée, est engagé en faveur d’une ville résiliante et durable et mobilise sa capacité d’innovation pour de nouvelles pratiques urbaines. Développé par ADIM Paris Île-de-France, le programme Treed It s’inscrit dans cette dynamique portée par EpaMarne et contribue à renforcer l’attractivité du territoire en proposant des logements et des commerces dans un cadre de vie agréable. Il bénéficiera d’une connexion renforcée à Paris intramuros dès 2025 avec la ligne 15 du Grand Paris Express. Conçu par Saison Menu Architectes Urbanistes et Art’Ur architectes, l’ensemble immobilier mixte de 23.000 m2 est composé de trois bâtiments de logements, d’un parking silo, de commerces en pied d’immeubles et d’un bâtiment à réversibilité d’usages :Une résidence étudiante sociale de 284 logements réalisée pour le compte de 3F Résidences et gérée par ARPEJ.Une résidence foyer de 120 jeunes travailleurs, construite pour le compte d’Arcade dont la gestion a été confiée aux Apprentis d’Auteuil.La plus haute tour bois d’Île-de-France, tour en ossature bois de onze étages avec un noyau béton, érigée pour le compte de l’investisseur Kley et qui offre 220 logements étudiants avec des espaces communs de détente, de cuisine et de coworking.Un parking silo en bois-béton de trois étages, mutualisé pour le stationnement de tout l’ensemble immobilier.Un bâtiment à réversibilité d’usages, qui sera livré en 2022 et abritera une maison de santé d’environ 3.000 m2 ainsi que 1.250 m2 de bureaux.Une construction durable avec l’emploi du mix-matériau bois/béton La tour à ossature bois de onze étages et le parking silo à structure bois également ont été érigés par Arbonis, filiale de VINCI Construction France spécialisée dans la conception construction bois. Les équipes ont mis en œuvre une structure bois-béton, des planchers bois-béton grâce à leur procédé constructif innovant Arbodal® ainsi que des murs à ossature bois préfabriqués en atelier. La combinaison du bois et du béton, utilisé chacun dans leur domaine optimal de performance, a permis d’obtenir la meilleure empreinte environnementale sur la durée de vie des bâtis.Un projet innovant à haute performance énergétiqueLes résidences de logements de Treed It ont obtenu un très haut niveau de performance environnementale avec la certification NF Habitat HQE niveau « Très performant » et affichent un niveau RT2012 amélioré de 20 %. La tour bois est par ailleurs labellisée Bâtiment biosourcé niveau 2. La résidence étudiante sociale et le foyer de jeunes travailleurs sont ainsi équipés d’un système de récupération de chaleur sur les eaux grises (eaux usées domestiques), nommé Power Pipe. Grâce à ce système, 20 % de l’eau chaude sanitaire et du chauffage sont produits par de l’énergie renouvelable avec la chaleur contenue dans les eaux grises transférée vers l’eau froide d’alimentation. Un procédé vertueux qui permet de réduire la consommation d’énergie pour la production d’eau chaude.Un immeuble de bureaux évolutif, transformé en maison de santéL’immeuble de bureaux qui a été conçu selon un procédé innovant de réversibilité, propre à groupe VINCI Construction France, fait l’objet d’une transformation. L’emplacement des noyaux béton, l’épaisseur du bâtiment, la trame structurelle et la réalisation de gaines verticales ont permis de transformer sans modification lourde les bureaux en une maison de santé pluriprofessionnelle. Elle regroupera une pharmacie, un laboratoire, des box de consultations, un cabinet dentaire, un service de kinésithérapie, un centre de cardiologie et un centre ophtalmologique. Le mode constructif évolutif garantit ainsi une grande pérennité à l’ouvrage qui pourra à tout moment changer de destination et s’adapter aux usages de demain.
Il y a 4 ans et 49 jours

Nomination du nouveau directeur GCC Ile-de-France 2

Francis Castagné devient le directeur de GCC Ile-de-France 2. Il succède à Guillaume Girault. [©GCC] En France, GCC, groupe indépendant, fait partie des 10 premières entreprises du secteur du BTP. Aujourd’hui, afin de continuer son développement, il vient de nommer Francis Castagné au poste de directeur GCC Ile-de-France 2. Il Celui-ci prend la tête d’une agence qui gère de nombreux chantiers en cours. Cette dernière est connue pour avoir réalisé l’extension du centre commercial Vélizy 2, le siège de Nestlé et l’école centrale Supélec. Elle est l’une des plus importantes du pôle construction de GCC. Elle compte 140 collaborateurs. Francis Castagné sera rattaché à Eric Delineau, directeur régional des ouvrages fonctionnels. Ainsi, il succède à Guillaume Girault, qui  devient directeur régional Centre – Val-de-Loire. Francis Castagné aura pour mission de continuer la gestion de chantiers importants, tels que l’Arboretum de Nanterre et l’hôtel Citizen M à Paris.  Son parcours  Francis Castagné a obtenu un diplôme de l’Ecole du bâtiment et des travaux publics de Vincennes. Il est aussi détenteur d’une licence de management et de gestion d’entreprises du BTP, qu’il a obtenue en 2020.  En 1987, il débute sa carrière au sein de l’entreprise SCREG Screg EPI où il a occupé le poste de conducteur de travaux. C’est en 1990 qu’il devient responsable d’opérations en entreprise générale, marchés privées et publiques publics chez de Screg Bâtiments. Francis Castagné intègre ensuite la société Ballestrero comme responsable de production. Il rejoint ensuite Bouygues Bâtiment Ile-de-France en 2020, en qualité de directeur de projet, puis de directeur de travaux. 
Il y a 4 ans et 50 jours

Immobilier : en 2020, la province a tiré le marché, hausses des prix à la clé

LOGEMENTS. La dernière note de conjoncture des notaires de France montre un grand intérêt pour les régions. Paris perd sa place de favorite pour voir briller des villes de province, à l'image de Rennes, Brest ou Troyes.
Il y a 4 ans et 50 jours

Berlin x Paris : dialogue télépathique pour Schnepp Renou

Durant leur deuxième année d’études à Berlin, en 2009, Morgane Renou et Simon Schnepp ont commencé à faire des photos à deux, leur professeur de l’époque les encourageant à travailler ensemble. Depuis, chaque série, chaque projet est réalisé à deux. Plus encore aujourd’hui qu’hier, différemment. Chronique-Photos. En 2011, nous ouvrons un premier studio commun à […] L’article Berlin x Paris : dialogue télépathique pour Schnepp Renou est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 50 jours

Mirova, filiale de Natixis, entre au capital de Corsica Sole

La société de gestion dédiée à l'investissement responsable deviendra actionnaire de référence, apportant quelque 80 millions d'euros. Les deux cofondateurs et dirigeants restent majoritaires dans le capital.Corsica Sole "a démontré son savoir-faire dans les projets innovants, et développé un savoir-faire unique dans la production, le stockage d'électricité et la construction de réseaux de bornes de recharge", explique Raphaël Lance, directeur des Fonds infrastructures de transition énergétique de Mirova.Créée en 2009, Corsica Sole (80 salariés), basée en Corse et à Paris, développe des projets sur l'île de Beauté et dans les outre-mer ainsi qu'en métropole.La société compte près de 100 MWc de puissance photovoltaïque en exploitation en France et 50 MWh de centrales avec stockage d'énergie. Son portefeuille de projets s'élève à 1GW pour les années à venir.Après avoir développé des centrales photovoltaïques avec stockage, l'entreprise mise aussi sur les unités de stockage seul. Parmi ses innovations, elle teste des panneaux photovoltaïques bi-faciaux, à l'efficacité potentiellement renforcée par la réverbération.
Il y a 4 ans et 51 jours

Lettres de mission climat : Le ministère de la Transition écologique publie son plan d’actions

Cette démarche reprend une recommandation formulée par Haut Conseil pour le Climat et a vocation à couvrir le périmètre le plus large possible en termes de politiques publiques. Ainsi, de nouvelles lettres de missions seront adressées à six nouveaux ministères[1] dans les prochains jours.La France s’est dotée d’une stratégie nationale bas carbone (SNBC) et d’un plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC) qui définissent une vision de long terme à la fois pour l’atténuation des changements climatiques comme pour le renforcement de la résilience des territoires et de l’économie.Le plan d’actions de chaque ministère est un outil opérationnel majeur qui complète cette vision stratégique et permet la planification et le suivi des actions à travers une batterie d’indicateurs.Le ministère de la Transition écologique est le premier à publier son plan d’actions. Il est construit autour des deux composantes clés des questions climatiques :l’atténuation, par la réduction des émissions de gaz à effet de serre : pour limiter l’impact des activités humaines sur le climat et l’environnement ;l’adaptation aux effets du changement climatique : pour limiter les impacts des évolutions du climat sur les sociétés humaines et l’environnement.Il s’agit d’un exercice inédit tant pour le niveau de détails exigé que pour la transversalité qu’il implique. Pour la première fois, des grands ministères couvrant des secteurs majeurs en termes d’émissions de gaz à effet de serre, comme l’agriculture ou l’économie, passent au tamis de la transition écologique l’ensemble de leurs politiques publiques, afin d’assurer un ancrage plus efficace de la lutte contre le changement climatique. Barbara PompiliCes plans d’actions seront analysés par le Haut Conseil pour le Climat et sont rendus publics de manière à ce que chacun puisse s’en saisir et suivre l’action de l’Etat. Il s’agit d’un exercice de transparence sans précédent qui s’inscrit dans la continuité de la création du haut Conseil pour le Climat par le Président de la République en 2018.En seulement deux ans, le Haut Conseil pour le climat est devenu un acteur majeur du débat public. Il apporte un éclairage utile sur les politiques du Gouvernement avec un rôle important dans l’évaluation des politiques publiques. Depuis sa création, le HCC a multiplié les rapports thématiques à la demande du Gouvernement ou en s’autosaisissant (rénovation des bâtiments, 5G, plan de relance, etc.).La France a été pionnière en créant le Haut Conseil pour le Climat. Pas moins de huit pays européens disposent aujourd’hui d’une instance équivalente.La loi climat européenne, à l’élaboration de laquelle Pascal Canfin, président de la Commission Environnement du Parlement Européen, a joué un rôle central, crée d’ailleurs un Haut Conseil pour le Climat Européen, inspiré par les modèles français et britannique. Le Conseil indépendant pour le climat européen comptera ainsi 15 membres de différentes nationalités.La Stratégie nationale bas-carbone (SNBC 2)Instituée par la loi de transition énergétique pour la croissance verte (LTECV), la SNBC constitue la feuille de route de la France pour mener sa politique d’atténuation du changement climatique et respecter ses objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre de court, moyen et long termes.La SNBC en vigueur, adoptée le 21 avril 2020, s’articule autour de deux ambitions : atteindre la neutralité carbone dès 2050 et réduire l’empreinte carbone des Français. Pour tendre vers ces objectifs, la SNBC définit pour le territoire français des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre pour les quinze prochaines années, traduits dans les budgets carbone nationaux couvrant les périodes 2019-2023, 2024-2028 et 2029-2033.Pour respecter ces budgets et atteindre les objectifs français en matière d’émissions, la SNBC définit 45 orientations pour mettre en œuvre la transition vers une économie bas-carbone, circulaire et durable, regroupées en 3 catégories :des orientations de gouvernance pour la mise en œuvre nationale et territoriale de la SNBC ;des orientations transversales sur l’empreinte carbone des Français, la politique de la France en matière d’économie, de recherche et d’innovation, d’urbanisme et d’aménagement, d’éducation et d’appropriation par les citoyens, d’emploi et de formation professionnelle ;des orientations sectorielles sur les transports, les bâtiments, l’agriculture, la forêt et le bois, l’industrie, la production d’énergie et les déchets.La SNBC bénéficie d’un jeu complet d’indicateurs de suivi disponibles sur le site internet du ministère de la transition écologiqueLe Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC 2)Le PNACC définit quant à lui les actions nécessaires pour adapter, d’ici 2050, les territoires de la France métropolitaine et outre-mer aux changements climatiques régionaux attendus. En cohérence avec les objectifs de long terme de l’Accord de Paris, et avec les objectifs pertinents des autres conventions internationales, la France devra s’adapter à la part de changement climatique que les émissions de gaz à effet de serre accumulées dans l’atmosphère rendent désormais inéluctable.Les 58 mesures inscrites dans le PNACC 2 se répartissent en 6 grands domaines d’action qui prennent en compte l’ensemble des problèmes posés par les impacts en cours et attendus du changement climatique :gouvernance : territorialisation du PNACC 2 et évolution des normes et réglementations pour tenir compte du climat futur ;prévention et résilience : amélioration de la prévention et renforcement de la résilience face à la recrudescence attendue des évènements extrêmes ;nature et milieux : adaptation et préservation des milieux pour garantir l’évolution favorable de la biodiversité et de notre patrimoine environnemental ;filières économiques : adaptation des grandes filières économiques impactées par le changement climatique, dont le tourisme, l’agriculture, la pêche et l’aquaculture, la forêt et sa filière bois, ainsi que le secteur de la finance et de l’assurance ;connaissance et information : amélioration des connaissances et des moyens de formation et d’information des acteurs et du grand public pour accélérer l’adaptation de la France et consolider les bases sur lesquelles se prennent les décisions ;dimension internationale : développement et export du savoir-faire français en la matière et influence de la diplomatie française dans les négociatLa politique nationale d’adaptation constitue le complément essentiel de notre politique d’atténuation du changement climatique.[1] Ministère de l’Education Nationale de la Jeunesse et des Sports Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, Ministère des Outre-Mer, ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, ministère de la Santé et des Solidarités, ministère de la Mer
Il y a 4 ans et 51 jours

Top 10 des villes les plus prisées des français en 2020

Paris, toujours en tête du classement national (appartements et maisons confondus)La ville lumière arrive en haut du classement avec 34523 transactions (appartements et maison) en 2020 dont 177 maisons et 34346 appartements achetés.Le 18e arrondissement parisien est celui où il y a eu le plus d’achats avec 3731 transactions. Paris 15 arrive en deuxième position avec 3265 transactions, ensuite Paris 17 avec 2954 achats d’appartements et de maisons confondus.Le 16e arrondissement parisien arrive en quatrième position avec 2875 transactions ( 37 maisons et 2838 appartements).Vient ensuite Marseille en seconde position du classement national. La cité phocéenne compte 10737 transactions (9427 appartements et 1310 maisons). L’arrondissement marseillais le plus prisé est le 13e avec 1122 appartements et maisons achetés.Pour la suite du classement, Nice est la troisième ville la plus appréciée avec 9276 transactions, Nantes (6176), Bordeaux (6047), Lille (5849), Lyon (5580), Saint-Étienne (4008), Rennes (3935) et à la dixième place, Le Havre (3867).Bordeaux, la ville la plus chérie pour l’achat d’une maisonSi l’on se concentre sur l’achat des maisons uniquement, le classement national évolue en mettant les villes moyennes à l’honneur.Bordeaux se retrouve à la première place avec 1376 maisons achetées en 2020. Marseille conserve sa deuxième place avec 1310 transactions (maisons uniquement). Le Mans clôture le podium avec 1285 maisons vendues.Nantes arrive ensuite en quatrième position avec 1259 transactions, Lille (1173), Tourcoing (1078), Amiens (953), Les Sables d’Olonnes (929), Le Havre (923) et en dernière position du Top 10 “maisons” est placée Nîmes avec 899 maisons achetées.Paris, Marseille et Nice, les villes appréciées pour l’achat d’un appartementSimilaire au classement réunissant l’achat de maisons et d’appartements, Paris (34346), Marseille (9427) et Nice (8819) sont sur le podium des villes où il y a eu le plus d’achats d’appartements en 2020.En quatrième position se trouve Lyon, avec 5410 appartements acquis, suivi de Nantes (4917), Lille (4676), Bordeaux (4671), Saint-Étienne (3686), Rennes (3688) et Toulouse (3182).« S'il est logique que la capitale soit en tête de ce classement, on remarque que ce sont les arrondissements les plus peuplés qui génèrent le plus de ventes et là encore nous sommes dans une logique. Mais ce qui est important de constater est que l'avenir devrait être encore positif en 2021. A ce jour et dans notre réseau Capifrance la prise de mandat sur Paris est au plus haut...voilà qui augure une année 2021 encore riche en vente immobilière dans la capitale française », déclare Franck Bernard, conseiller immobilier Capifrance à Paris.*données issues de DVF pour DRIMKI, avril 2021
Il y a 4 ans et 51 jours

JO-2024 de Paris: ils veulent sauver les parcelles des jardins ouvriers d'Aubervilliers

"Des potirons, pas du béton !": près de 500 personnes ont manifesté à Aubervilliers (93) pour défendre les 18 parcelles des jardins ouvriers qui doivent disparaître avec les JOP 2024 de Paris
Il y a 4 ans et 51 jours

Cap sur 2021, Bourneuf s’agrandit et se dote de nouvelles machines pour une année hors norme

Annoncé par Thierry Luce – Président du Groupe Lorillard- courant 2020, le plan d’investissement industriel du Groupe pour la partie bois s’élevait à 5,2 millions d’euros. L’activité bois, très porteuse, opère une évolution notable sur le marché des chantiers de rénovation où la demande client est de plus en plus forte, ainsi que dans le neuf, ce qui est encore plus récent et inhabituel. L’objectif était donc d’augmenter la capacité de production bois du Groupe de plus de 25 % d’ici 2022. Ainsi, 2,5 millions € viennent d’être investis chez Bourneuf, à Parigné L’Évêque, pour l’intégration entre autres d’un nouveau centre d’usinage au sein du nouvel agrandissement de près de 1000 m² de l’usine.   L’INVESTISSEMENT INDUSTRIEL COMME LEVIER DE COMPÉTITIVITÉ En service depuis janvier 2021, la nouvelle ligne de production accueille 4 machines neuves dont une tronçonneuse, une déligneuse, une corroyeuse et un centre d’usinage nouvelle génération. Mais l’intérêt majeur de cette nouvelle chaîne est son concept de commande modulaire qui va permettre à Bourneuf d’accroître sa productivité. La nouvelle extension du site des menuiseries Bourneuf à Parigné l’Evêque L’activité de Bourneuf, qui conçoit des menuiseries singulières, aux dimensions exceptionnelles, avec des profilés quasiment personnalisables, exige la nécessité de concevoir des pièces individuelles en toute flexibilité. Piloté en réseau, le nouveau centre d’usinage Conturex répond parfaitement à cette nécessité et prend en charge l’intégralité de l’usinage. Il reçoit les instructions et configurations du service Ordonnancement & Méthodes qui implémente et génère les fichiers de production selon les plans validés par le Bureau d’Etudes. Ce Conturex développé par la société Weinig, permet un usinage complet des composants d’une menuiserie en un seul passage. Mieux encore, la chaine est capable de fonctionner en autonomie totale dès lors que le magasin est « pluggé ». En effet, les équipements périphériques destinés à la fabrication de la menuiserie sont également inclus dans le processus d’automatisation. Cette automatisation va permettre de fournir plus de capacité de production à l’entreprise, qui comme le précise Pascal Joubert, Directeur Général : « doit répondre à un carnet de commande supérieur à 21 millions d’euros en 2021, alors que l’entreprise réalise d’ordinaire un chiffre d’affaires de 15 millions d’euros ». La production de mise en peinture doit conséquemment accroître son rendement. Une cabine de peinture et un pistolet double tête seront donc aménagés dans les prochaines semaines. Nouvelle installation Conturex, développée par la société Weinig, permettant un usinage complet des composants d’une menuiserie en un seul passage.   UNE SPÉCIFICITÉ PARTICULIÈRE Intégrée depuis 2016 au Groupe Lorillard, l’entreprise Les Menuiseries Bourneuf prospère sur son marché de niche : les menuiseries complexes. Comme l’explique Pascal Joubert « Notre spécificité c’est de réaliser des choses qui n’existent pas. C’est-à-dire que l’on conçoit des produits selon des besoins, souvent très compliqués, qui demandent beaucoup d’heures en bureau d’études avec une technicité et une conception peu communes ». Experte d’une menuiserie bois atypique et prestigieuse, l’entreprise en a fait ses lettres de noblesses. Sa capacité à répondre à des projets dont les besoins sont particuliers, tant dans la conception que dans l’esthétique, la place en partenaire de choix. Le bureau d’études a accueilli 2 nouveaux salariés et possède désormais 5 personnes pour répondre aux demandes de plus en plus nombreuses. Et en outre, en dehors des palaces et autres lieux haussmanniens prestigieux, Bourneuf répond nouvellement – et de plus en plus fréquemment – à des projets en construction neuve pour des écoles comme l’ENSAM à Angers, Mellinet à Nantes ou encore le lycée Corneille à Rouen. « Nos chantiers sont majoritairement en rénovation mais depuis quelques temps les demandes pour des bâtiments neufs sont de plus en plus fréquentes avec des projets intégrants des ensembles adossés à des épines en bois très hautes, des côtes dimensionnelles très importantes qui sortent des standards » précise Pascal Joubert.   UNE NOUVELLE CERTIFICATION Toujours en quête d’excellence, Bourneuf développe des menuiseries de très haute technicité. Dans cette continuité, l’entreprise a obtenu début 2021 la certification CR3 anti effraction pour ses fenêtres, en vertu des normes EN1627 à EN1630. Ces normes classifient les menuiseries selon un critère unique : le retard à l’effraction. Celui-ci est mesuré selon le temps de résistance et le type de matériel autorisé. La force physique avec l’aide d’outils tels qu’un pied de biche s’applique à une menuiserie CR3, capable de garantir un temps de résistance à l’effraction de 5 minutes. Cette nouvelle certification s’ajoute à l’homologation pare-balle FB6 NS ainsi qu’aux classifications coupe-feu 1h et pare-flamme ½ heure et vient renforcer la forte valeur ajoutée premium des huisseries Bourneuf. 2021 s’annonce être une année exceptionnelle pour Bourneuf. L’entreprise a ouvert une agence à Nantes et également à Bordeaux- en plus de Paris et Lyon – et va également embaucher 3 menuisiers dont un compagnon en formation depuis 1 mois, afin de faire face à cette croissance annoncée. Une ferveur pour le bois reviendrait-elle en force ? Pascal Joubert mise plutôt sur « l’activité actuelle du marché du bâtiment qui bénéficie du plan de relance, des aides de l’Etat pour le tertiaire, les écoles, etc. Il est indéniable que le bois est un matériau biosourcé qui a cette prévalence par rapport au PVC ; mais il ne faut pas oublier qu’une gestion PEFC est une exigence pour un mode de consommation maîtrisé du bois ». C’est dans le cadre de sa stratégie d’amélioration continue que le Groupe Lorillard poursuit ses investissements sur ses différents sites de production afin qu’ils bénéficient d’outils toujours plus performants et précis, et permettant davantage de personnalisation. Le prochain site à en bénéficier sera celui de la Menuiserie Meslin. Pascal Joubert qui pilote l’intégration de la Menuiserie Meslin au sein du Groupe, confirme qu’elle dispose également d’un fort carnet de commande et nécessite d’embaucher et d’investir dans un nouveau centre d’usinage (prévu sur Mai 2021). Une cabine de finition sera également installée en 2022. Avec l’acquisition de la Menuiserie Meslin, la représentativité de l’activité bois au sein du Groupe Lorillard se chiffre à 45 M€ (fourniture et pose et fourniture seule), soit un quart du chiffre d’affaires du Groupe. Partager la publication « Cap sur 2021, Bourneuf s’agrandit et se dote de nouvelles machines pour une année hors norme »
Il y a 4 ans et 51 jours

Vinci annonce un chiffre d'affaires en hausse au premier trimestre tiré par la construction

Le chiffre d'affaires consolidé du premier trimestre s'élève à 10,2 milliards d'euros dont plus de la moitié réalisée par Vinci construction (5,2 milliards d'euros, +10%).Le pôle Construction "a confirmé" au premier trimestre "l'inflexion positive constatée au deuxième semestre", après un début d'année 2020 marqué par le quasi-arrêt complet des chantiers pendant près de deux mois à partir de la mi-mars, selon le groupe.En France, qui représente 54% du total, la progression est marquée dans les activités de travaux publics et de génie civil -portées par les projets du Grand Paris Express- ainsi que dans les travaux routiers, ferroviaires et de terrassement (+11%), précise le groupe.A l'international, le groupe "bénéficie de la montée en puissance de la division des grands projets", indique Vinci, citant la ligne à grande vitesse HS2 au Royaume-Uni.Le chiffre d'affaires de la branche "concessions" est en revanche en fort recul de 22,2% à 1,325 milliard d'euros.Le trafic sur les réseaux routiers gérés par le groupe a rebondi de 40% en mars après un recul de près de 17% lors des deux premiers mois de l'année, selon le communiqué.Son activité de gestionnaire aéroportuaire a chuté de 70% au premier trimestre, à l'image de l'ensemble du secteur aérien mondial pénalisé par les restrictions aux voyages liées au Covid-19.Sa section de promotion immobilière (320 millions d'euros) a progressé de 34,5%, après l'intégration le 1er janvier de la société de promotion immobilière Urbat Promotion.La branche Vinci Energies (3,4 milliards d'euros) est en hausse de 7%.Le groupe a annoncé le 1er avril qu'il allait acquérir les activités dans l'énergie du groupe de construction espagnol ACS pour environ 4,9 milliards d'euros, afin de devenir un grand du secteur des énergies renouvelables.Vinci enregistre par ailleurs un niveau "record" de son carnet de commandes à 45,8 milliards d'euros au 31 mars.Compte tenu des incertitudes liées à la pandémie, le groupe ne se prononce pas sur les résultats prévisionnels pour 2021. Il maintient ses perspectives de chiffre d'affaires "en hausse, très proche de celui de 2019" pour ses pôles Construction et Energies.
Il y a 4 ans et 51 jours

14 logements dans une cour enclavée, un exercice de navibotellisme par Mars architectes à Paris

L'architecte, enseignant et précurseur de la recherche en architecture, Jean-Pierre Péneau nous a quittés à la mi-avril. Il était âgé de 84 ans et luttait vaillamment depuis quelques temps contre un cancer malheureusement envahissant. Jean-Pierre Péneau fut d’abord l’un de ces hommes-repères que compta chaque […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 54 jours

Le Paris mineur mais monumental de Jacques Fredet - Livre

En 2003, l'architecte Jacques Fredet avait achevé ce que l'on pourrait qualifier de « livre d'une vie » si la sienne n'était par ailleurs tellement riche d'aventures intellectuelles et pédagogiques : c'était Les Maisons de Paris. Types courants de l'architecture mineure parisienne de la fin de l'époque […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 54 jours

La filière bois au cœur de la stratégie bas carbone

Le Gouvernement vient d’annoncer des mesures pour accélérer la contribution de la filière bois-forêts dans la transition bas carbone. Par la signature d’un avenant ambition au contrat stratégique avec les acteurs de la filière et l’annonce de nouveaux dispositifs, les ministres en charge de l’Agriculture et de l’Alimentation, du Logement et de l’Industrie, renouvellent l’accompagnement apporté à ce secteur pour répondre au défi climatique. Cette actualisation du contrat, dans la perspective de France Relance, affirme trois objectifs majeurs. L’optimisation du puits de carbone du secteur forêt-bois au service des transitions écologiques et bas carbone. Une mobilisation renforcée de la filière et de l’Etat en faveur de la souveraineté industrielle de la France, en cohérence avec le potentiel forestier national et par un soutien aux implantations industrielles et à la relocalisation d’unités de transformation de bois. Une coopération intra et inter-filières pour renforcer les compétences, et optimiser le fort potentiel d’emploi du secteur forêt-bois notamment en milieu rural. Les ministres ont réaffirmé la détermination du Gouvernement dans la transition bas carbone et présenter plusieurs nouveautés, notamment en lien avec le plan France Relance, pour accélérer le développement de la filière bois-forêt : – Une nouvelle réglementation environnementale pour les bâtiments neufs (RE2020) qui encourage la mixité des matériaux. Emmanuelle Wargon a rappelé que la nouvelle réglementation environnementale des bâtiments neufs (RE2020) fixera un cadre pour atteindre les objectifs de décarbonation du secteur du bâtiment en valorisant notamment le stockage du carbone et donc la construction bois et biosourcée. La filière forêt-bois s’est dite prête à relever ce défi en présentant un plan « ambition bois 2030 » fondé sur dix engagements : former, développer l’offre de produits, planter et replanter, favoriser la mixité constructive, réduire les coûts, recycler en fin de vie, etc. – Un soutien renforcé à l’Accélérateur de croissance filière bois pour les PME et les ETI à hauteur d’un million d’euros. Attachée au développement des compétences pour les salariés comme pour les dirigeants, Agnès Pannier- Runacher a annoncé le soutien, à hauteur d’un 1 million d’euros, l’accélérateur de croissance filière bois pour les PME et ETI. Deux nouvelles promotions de 30 dirigeants intégreront cet accélérateur, opéré par Bpifrance avec l’appui du CSF Bois et cet outil aura vocation à être un levier pour renforcer la diversité des parcours et l’égalité des chances au sein de la filière. – Un appel à manifestation d’intérêt pour le développement de produits bois et de systèmes constructifs bois ouvert. Les trois ministres ont annoncé l’ouverture d’un appel à manifestation d’intérêt (AMI) pour le développement de produits bois et de systèmes constructifs bois innovants. Ouvert jusqu’au 13 juillet 2021, il vise à identifier l’ensemble des projets pouvant contribuer au changement d’échelle de l’offre industrielle d’éléments techniques tant de rénovation que de construction en bois. Ils devront également concourir à l’objectif de souveraineté nationale, avec la valorisation de ressource forestière française transformée sur le territoire. Des propositions sont attendues aussi bien dans la phase de production industrielle du matériau bois transformé (panneaux, poutres, lamellé collé, CLT…) que dans la phase de préfabrication d’éléments constructifs en bois. L’AMI englobe les principales techniques constructives à base de bois qui sont appelées à se développer de manière significative d’ici à 2035 avec la croissance de la demande intérieure.   Photo : Construction par Matis de la structure bois de Green Office Enjoy. ZAC Clichy Batignolles. Bouygues Immobilier. 75017 Paris. 23 juin 2017
Il y a 4 ans et 55 jours

ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO : tous ensemble pour faire de l'édition 2021 un succès

Compte-tenu des mesures gouvernementales en faveur de la reprise des événements physiques, de la progression de la campagne de vaccination et de la mobilisation des entreprises déjà inscrites, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO se tiendra du 21 au 24 septembre à Paris – Porte de Versailles et accueillera en toute sécurité installateurs, poseurs, artisans de la menuiserie-fermeture, des équipements de la baie et de la métallerie.Le premier salon de la reprise pour le secteurLe salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, qui se tiendra du 21 au 24 septembre à Paris Porte de Versailles, marquera une étape importante puisqu’il sera le premier salon de la reprise pour le secteur. Depuis l’apparition de la pandémie, Reed Expositions France et l’ensemble des professionnels du secteur, regroupés au sein de l’UNIMEV (organisation professionnelle représentative du secteur événementiel) travaillent avec les pouvoirs publics sur les conditions de reprise de leur activité. La récente clarification de la stratégie vaccinale et l’annonce d’une accélération des vaccinations de masse sur le territoire national permettent d’envisager, conjointement avec le gouvernement, une reprise avant l’été.« Nous sommes très confiants quant à la tenue du salon en septembre. Le positionner à cette date a fait l’objet de nombreuses concertations avec nos partenaires et nous sommes tombés d’accord qu’il s’agissait d’un parti-pris prudent qui prenait en compte tous les paramètres afin d’éviter un éventuel nouveau report. », indique Guillaume Loizeaud, Directeur d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO.Des exposants qui répondent présentsTrès impatients de se retrouver sur un évènement convivial et important pour le secteur, les acteurs de la filière répondent présents et se mobilisent aussi pour faire de cette nouvelle édition une pleine réussite. Tous expriment leur impatience de reprendre des échanges qui ne soient plus uniquement digitaux. Inscrit sous la thématique de « La révolution positive du digitale », ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021 s’annonce comme la traduction concrète du dynamisme et de l’innovation portée par les exposants à tous les niveaux.Ils sont aujourd’hui 157 à être inscrits dont 23 nouveaux exposants et de nombreux leaders (liste complète à date en pièce jointe).Une campagne d’envergure pour sensibiliser les visiteursUn plan de communication d’envergure est mis en place pour sensibiliser et faire venir les professionnels sur le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO. Basée sur une communication 360°, il comprend de nombreuses actions menées avec les partenaires médias du salon :Envois d’emailings vers les abonnés des différents médias ;Campagnes digitales (réseaux sociaux, display) ;Campagnes de publicité print magazines.Par ailleurs, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO organise régulièrement des webinaires auprès des organisations professionnelles et de leurs adhérents afin de les accompagner et de répondre à toutes leurs interrogations. Enfin, dès fin avril, les pré enregistrements seront accessibles sur le site pour les professionnels qui souhaitent se rendre sur le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO et recevoir toutes les informations pour préparer au mieux leur visite.Exposer et visiter en toute sécuritéAfin d’assurer la sécurité des exposants et des visiteurs, Reed Expositions France a déjà élaboré sa charte sanitaire, certifiée par l’APAVE dès 2020. Ce document, accessible en ligne dès maintenant, comporte un certain nombre de recommandations. A ce jour, c’est la seule référence applicable dans l’attente du futur cahier des charges sanitaire qui sera validé par le gouvernement et les professionnels de l’événementiel pour la rentrée. Pour la bonne tenue d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en septembre 2021, la gestion des flux d’entrée et de sortie, les mesures de distanciation pour la restauration, la régulation du visitorat (si obligation de prendre en compte une jauge maximale de visiteurs en temps réel), sans limiter le nombre global de visiteurs du salon… ont été anticipées.ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO - 21 au 24 septembre 2021 à Paris Expo Porte de Versailles – Hall 1
Il y a 4 ans et 55 jours

Immobilier : Quelles marges de négociation des prix à Paris, Marseille, Lyon Bordeaux et Nantes ?

Cette étude menée par l’équipe de R&D de Yanport s’appuie sur des méthodes de machine learning avancées pour combiner sur les données d’annonces immobilières et des demandes de valeur foncière (DVF). Les résultats font ressortir de fortes disparités selon les quartiers pour chacune des villes étudiées, avec des marges de négociation en moyenne beaucoup plus faibles dans les centres-villes qu’au sein des zones périphériques.Méthodologie : data immobilière et machine learningAfin de déterminer des marges de négociation au plus proche de la réalité du terrain, Yanport a utilisé son important stock d’annonces immobilières publiées en ligne, qui permettent d’avoir une vision représentative des prix d’offre en amont, et les données DVF, publiées par la direction générale des finances publiques et comportant l’ensemble des transactions immobilières réalisées, afin d’avoir accès aux prix de vente finaux en aval. Pour chacun de ces chiffres, il a toutefois été indispensable de tenir compte de l’incertitude qui leur est inhérente, liée par exemple à des erreurs de saisie ou à des biens particulièrement sur- ou sous-évalués.A partir des prix observés et des caractéristiques données (surface, nombre de pièces, localisation, date de déduplication pour une annonce ou de vente pour une données DVF…), l’étude a mis en œuvre des méthodes de machine learning afin d’identifier les biens similaires dans les deux bases (annonces et DVF) et d’en déduire une marge de négociation. Cette méthodologie innovante permet également de produire des analyses sur l’évolution des marges de négociation dans le temps, par zones géographiques (zone IRIS[1], quartier, ville, département) ou typologies de biens.Ainsi, Yanport a pu dresser une estimation par zone IRIS des marges de négociation dans cinq grandes villes françaises (Paris, Marseille, Lyon, Bordeaux et Nantes).A Bordeaux, des marges contenues dans l’ensembleDu côté de Bordeaux, les marges de négociation sont assez modérées dans l’ensemble pour la plupart des zones IRIS, se situant autour de 2-3%.Il y a néanmoins des disparités importantes entre quartiers. Si l’hypercentre affiche des marges moyennes en dessous de 2%, certaines zones, situées plutôt en périphérie, donnent plus de latitude aux acheteurs avec des marges au-delà de 6%. C’est le cas notamment des quartiers du LacBacalan et autour de la gare Saint-Jean.A Lyon, des opportunités de négociation dans le 5e, 8e et 9e arrondissementsDans le centre (1er, 3e, 4e, 6e), où le marché est toujours tendu, la marge de négociation est quasi nulle et les biens se vendent en général au prix.Les autres arrondissements présentent en revanche des situations plus contrastées. Ainsi, par exemple, dans certaines zones, des marges montent jusqu’à 7,9% dans le 5e (vers La Plaine-Charcot), 10,7% dans le 9e (vers Saint-Rambert) et même jusqu’à 12,4% dans le 8e (vers La Plaine).A Marseille, de fortes disparités entre le centre et les quartiers nordMarseille est la ville qui enregistre les plus fortes disparités en termes de marges de négociation.En effet, elles peuvent passer de moins de 3% dans les quartiers autour de Prado-Périer jusqu’à plus de 10% dans les 14e, 15e et 16e arrondissements, atteignant même plus de 15% dans certaines zones de ces arrondissements.A Nantes, un marché qui laisse peu de place à la négociationDans le centre-ville de Nantes, les marges de négociation sont relativement homogènes, allant de 1 à 4%.En revanche, en périphérie, les marges peuvent être beaucoup plus importantes, situées entre 5 et 10% (sauf pour le quartier de Mendès France avec une marge record à 13,3%).A Paris, des marges globalement très faiblesSans surprise, Paris est la ville où les marges de négociation sont les plus faibles. Elles sont même, en moyenne, en dessous des 1% dans de nombreux arrondissements, tels les 10e, 11e, 12e, 14e, 15e, 17e et 20e.Il existe toutefois quelques zones où les marges se situent entre 2 et 4%, dans le 1er et le 8e arrondissements, dans le nord-est du 18e vers Porte de la Chapelle, vers quelques secteurs dans le 6e notamment autour de Saint-Placide/Notre-Dame des Champs, ou encore à l’est du 13e dans les quartiers récents autour de la BNF.Voir l'intégralité de l’étude sur le blog de Yanport[1] Les Ilots Regroupés pour l’Information Statistique, communément appelés "zones IRIS", sont des zones géographiques définies par l’INSEE, et définies comme des ensembles d’îlots contigus. Ce sont les briques de base en matière de diffusion de données locales. Les IRIS proprement dits concernent toutes les communes urbaines d’au moins 10000 habitants et la plupart des communes de 5000 à 10000 habitants.
Il y a 4 ans et 55 jours

A Paris, un immeuble de logements sociaux pensé comme deux bâtiments

DIAPORAMA. Batiactu a visité les derniers logements sociaux livrés pour Immobilière 3F près de la station Nation, dans la capitale. Un bâtiment classique de caractère, imaginé en deux volets.
Il y a 4 ans et 55 jours

Les paysages ambivalents d'Edward Burtynsky au centre culturel canadien

Depuis le milieu des années 1980, le Canadien Edward Burtynsky documente les marques de l'activité humaine sur le paysage. L'exposition du centre culturel canadien à Paris, « Mounds and Voids, from Human to Global Scale » (Monticules et vides, de l'échelle humaine à l'échelle mondiale), dévoile des images récentes […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 55 jours

Nouveau directeur de l’activité Toitures Sika

Sébastien Debétencourt vient d’être nommé Directeur de l’activité Toitures Sika, sous la responsabilité de Pascal Malafosse, Directeur Général de Sika France. Diplômé de l’université Paris 10 Nanterre en Marketing Opérationnel International, Sébastien rejoint Sika Mauritius en 2009 en tant que Responsable Commercial et Marketing, puis est nommé Directeur Général en 2015. Promu au poste de Directeur Général de Sika Tunisie en 2017, il a pu renforcer la position de l’organisation sur ses marchés cibles et augmenter les ventes et la profitabilité. Aujourd’hui Directeur de l’activité Toitures Sika et membre du Comité de Direction, Sébastien Debétencourt souhaite développer le marché des toitures et les solutions innovantes proposées par Sika en phase avec les tendances et les enjeux à venir. 
Il y a 4 ans et 55 jours

La ville pour horizon, 20 logements sociaux par Remingtonstyle à Paris

En 2003, l'architecte Jacques Fredet avait achevé ce que l'on pourrait qualifier de « livre d'une vie » si la sienne n'était par ailleurs tellement riche d'aventures intellectuelles et pédagogiques : c'était Les Maisons de Paris. Types courants de l'architecture mineure parisienne de la fin de l'époque […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 56 jours

Une maquette de Notre-Dame, hommage des compagnons du Tour de France

Présentée jeudi via zoom, la maquette, réalisée à l'échelle 1/20e, s'élève à 4,8 mètres de hauteur et est formée de quelque 1.800 pièces. Elles proviennent d'un cube de 5,3 m3 de chêne de Bourgogne.Pour la monter, il aura fallu 3.500 heures de travail pendant huit mois à trois jeunes compagnons, Valentin Pontarollo, Armand Dumesnil et Yann Férotin, basés à Anglet dans le Pays basque. Sur la structure en bois blond, on reconnaît, finement sculptées, les statues et le coq de la flèche.Le maquette sera exposée à l'Hôtel de Ville de Paris en septembre lors des Journées européennes du Patrimoine, a indiqué Pascal Jacob, président de l'association Restaurons Notre-Dame, partenaire du projet.L'exposition de la maquette à Paris doit être l'occasion de communiquer sur les processus de transformation du bois, les métiers de charpentier, la reproduction des techniques anciennes alliée à la création de techniques d'avenir, la difficulté "de trouver de nouvelles mains et de susciter des vocations", a souligné Christophe Augeard, président des Compagnons du Tour de France d'Anglet, qui a piloté le projet des trois compagnons.L'une des missions sociales du chantier de Notre-Dame, inscrite dans la loi de juillet 2020, est précisément de faire connaître et valoriser les métiers d'art, comme celui de charpentiers, comme des carrières prometteuses pour les jeunes, en pleine crise économique due au Covid-19.
Il y a 4 ans et 56 jours

Notre-Dame: souscription suffisante et réouverture prévue en 2024

La ministre de la Culture Roselyne Bachelot a jugé que la souscription publique nationale et internationale suffira à restaurer la cathédrale Notre-Dame de Paris qui, a-t-elle assuré, "sera réouverte en 2024".
Il y a 4 ans et 56 jours

Paris-2024 : soupçons de propos sexistes et racistes, trois salariés de la Solideo suspendus

Cette enquête a été confiée "il y a quelques jours" au déontologue de la Solideo à la suite de l'envoi de questions par le journal en ligne Mediapart au sujet de propos sexistes, racistes et homophobes tenus au sein de l'établissement public, selon La Solideo."Nous avons été saisis de questions de la part de Mediapart qui nous a rapporté des accusations extrêmement graves et choquantes, suffisamment graves pour déclencher une enquête en interne et suspendre trois salariés afin de pouvoir établir la véracité des choses", a-t-elle expliqué.Selon les témoignages recueillis par Mediapart qui a publié dimanche un article sur le sujet, sur les trois salariés visés par ces accusations, deux sont des cadres de la société placés à des postes-clés."Il y a déjà eu des dysfonctionnements dans le passé qui ont été traités avec sérieux et à la hauteur de ce qui avait été établi, pas forcément sur les mêmes salariés. Mais là, il s'agit de nouvelles accusations, extrêmement graves", a précisé la Solideo.L'audit pourrait déboucher sur des sanctions concernant les salariés visés par ces accusations, a-t-elle ajouté.La Solideo, établissement public industriel et commercial (Epic) qui emploie une centaine de salariés, est présidée par la maire PS de Paris Anne Hidalgo.Chargée de construire les ouvrages pérennes pour les JO de Paris, la Solideo supervise 62 ouvrages allant du village des athlètes à des rénovations de gymnases, en passant par des ponts et passerelles."Les comportements déviants peuvent arriver dans n'importe quelle organisation", a réagi, contacté par l'AFP, le cabinet d'Anne Hidalgo qui affirme ne pas avoir eu connaissance de "l'étendue des accusations" avant l'enquête de Mediapart.Selon ce dernier, le cabinet a pourtant récupéré en novembre 2020 le rapport d'une ancienne directrice de la communication de Solideo alertant sur les "propos misogynes, racistes et homophobes échangés au quotidien".Si "cette ex-collaboratrice licenciée" a bien "fait état d'une série de choses" auprès du cabinet, celui-ci a "clos le chapitre" car la personne en question n'a pas "voulu saisir officiellement la maire, préférant s'en tenir à une solution transactionnelle avec son employeur"."Si ce que dit Mediapart est avéré, c'est particulièrement choquant", ajoute l'équipe de l'élue socialiste, qui "fait confiance" au directeur général de Solideo Nicolas Ferrand "pour prendre les décisions qui s'imposent à l'issue de l'enquête contradictoire"."Aucune décision n'a été prise pour lutter contre les responsables de tels propos jusqu'à ce que Mediapart s'en saisisse et enquête", a dénoncé la conseillère de Paris (La France Insoumise) Danielle Simonnet."A la Mairie de Paris, de tels faits se multiplient et revêtent un caractère systémique", soutient l'opposante à la maire, qui reproche à l'exécutif parisien de "couvrir les agissements et propos sexistes, racistes, LGBTphobes, au nom de l'entre-soi".
Il y a 4 ans et 56 jours

JO-2024 de Paris : mobilisation pour sauver des parcelles des jardins ouvriers d'Aubervilliers

Potager ambulant, escargot géant, couronnes de lauriers sur les têtes... les manifestants ont fait preuve d'originalité pour "alerter sur le saccage de la Seine-Saint-Denis au nom des JO".Pour Ginette, 83 ans, "le jardin permet de s'aérer, de se détendre". Elle possède depuis 35 ans un lopin de terre qui lui permet de "faire pousser des fruits et des légumes". Chapeau de paille sur la tête et masque vénitien sur le visage, cette élégante "jardinière en lutte", estime qu'il n'y a déjà "pas assez d'espace vert". Les 2,5 hectares (25.000m2) de jardins ouvriers des Vertus d'Aubervilliers, situés à moins de 4 km au nord de Paris, constituent une enclave de verdure.Ces jardins seront amputés de près de 4.000 m2 dans quelques semaines pour la construction du futur centre aquatique, utilisé comme centre d'entraînement pour les JO, mais aussi pour la création d'un solarium et d'autres équipements de loisirs."On veut des pommes et pas un solarium", s'insurge Dolores Mijatovic du Collectifs des jardins ouvriers d'Aubervilliers qui a déposé un recours contre le plan local d'urbanisme."On a besoin d'une piscine mais on pouvait la construire autrement, pas à la place des jardins", estime Julie, habitante d'Aubervilliers.Aux banderoles "Destruction" et "Non aux JO Paris-2024", se mêlaient des drapeaux LFI, EELV ou encore Générations.Le député LFI de Seine-Saint-Denis Bastien Lachaud ainsi que d'autres personnalités politiques de gauche et écologistes sont venus apporter leur soutien.Le rassemblement qui a débuté devant la mairie d'Aubervilliers s'est achevé avec une chaîne humaine autour des jardins ouvriers puis d'un pique-nique géant.
Il y a 4 ans et 56 jours

Transcender le fonctionnel, un supermarché devenu salle polyvalente par Paul Vincent

Depuis le milieu des années 1980, le Canadien Edward Burtynsky documente les marques de l'activité humaine sur le paysage. L'exposition du centre culturel canadien à Paris, « Mounds and Voids, from Human to Global Scale » (Monticules et vides, de l'échelle humaine à l'échelle mondiale), dévoile des images récentes […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 57 jours

Pour les architectes, la frugalité malheureuse ?

Depuis quelques mois il n’est pas une semaine sans que ne soit évoqué ce nouveau terme à la mode : la frugalité constructive. Le Pritzker de cette année lui-même a été décerné à l’aune du travail sur cette thématique par les récipiendaires. A l’heure du Grand Paris, il faudrait faire de la ‘métropolisation’ à outrance mais […] L’article Pour les architectes, la frugalité malheureuse ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 57 jours

Les ventes de Thermador s'envolent au 1er trimestre

Sur les trois premiers mois de l'année, le groupe basé à Saint-Quentin-Fallavier (Isère), en grande banlieue de Lyon, a facturé pour 127,0 millions d'euros de ventes, en hausse de 33,8% sur un an.A périmètre constant, la progression de ses ventes atteint encore 28,0%, selon un communiqué publié jeudi.Par rapport à son niveau du premier trimestre 2019 - comparaison qui permet de gommer l'impact du premier confinement - le chiffre d'affaires de Thermador reste en croissance de 28,7%, ce que le groupe qualifie d'"excellente performance".Il note que, sur douze mois glissants, son activité franchit pour la première fois de son histoire la barre des 400 millions d'euros.Le groupe ne fournit pas de prévisions sur la suite de l'exercice en cours, mais liste une série de facteurs susceptibles d'handicaper son activité dans les mois à venir: le ralentissement de l'économie découlant du nouveau confinement, la fermeture des grandes surfaces de bricolage, les perturbations du trafic dans le canal de Suez par lequel transite une partie de ses approvisionnements, la baisse des mises en chantiers de logements.Côté positif, Thermador note "l'engouement exceptionnel des Français" pour leur maison, leur jardin et leur piscine, trois de ses marchés majeurs. Il se réjouit également du coup d'accélérateur donné par le gouvernement à la rénovation énergétique des bâtiments, un autre de ses grands débouchés.Le titre Thermador, qui a connu ces derniers mois un très beau parcours boursier, s'échangeait jeudi 82,00 euros (+0,61%), non loin de ses plus hauts historiques, à la clôture de la Bourse de Paris. A ce prix, la société était valorisée 754 millions d'euros.
Il y a 4 ans et 57 jours

Découvrez ce scan 3D de Notre-Dame de Paris, d'une précision millimétrique

NUMÉRIQUE. Pour faire gagner du temps aux reconstructeurs de la cathédrale, une convention de mécénat a été passée entre la société Autodesk et l'établissement public chargé des travaux. Un scan de l'édifice, d'une précision "millimétrique", a notamment été mis à disposition.
Il y a 4 ans et 57 jours

Un nouveau directeur pour l’activité “toitures” de Sika

Sébastien Debétencourt est le nouveau directeur de l’activité toitures de Sika. [©Sika] Sébastien Debétencourt vient d’être nommé directeur de l’activité “toitures” de Sika, spécialiste notamment de l’étanchéité. Il officiera sous la responsabilité de Pascal Malafosse, directeur général de Sika France. Il devient aussi membre du comité de direction. Sébastien Debétencourt souhaite développer le marché des toitures et les solutions innovantes proposées par Sika.  « Le lancement prochain de la RE 2020 devrait donner une nouvelle orientation au marché et une impulsion à la demande pour des solutions d’étanchéité plus respectueuses de l’environnement. Nous souhaitons renforcer notre positionnement sur ce marché et la lisibilité de nos solutions durables, que ce soit les propriétés intrinsèques de nos membranes que nos diverses solutions en toitures solaires, végétalisées ou encore les cool roofs. Nos membranes d’étanchéité synthétiques sont particulièrement adaptées pour répondre à ces nouveaux enjeux et Sika dispose d’arguments et de services spécifiques pour répondre aux attentes nouvelles des donneurs d’ordre. Des toitures utiles et durables dans tous les sens du terme est notre démarche. Le marché de la rénovation qui connaît une forte progression constitue aussi une priorité pour nous. Nos solutions de membranes synthétiques ou liquides, légères et rapides à installer y constituent une réponse cohérente », explique-t-il. Son parcours Diplômé de l’université Paris 10 Nanterre en marketing opérationnel international, Sébastien Debétencourt rejoint Sika Mauritius en 2009 en tant que responsable commercial et marketing. Puis, est nommé directeur général en 2015. Il est promu au poste de directeur général de Sika Tunisie en 2017.
Il y a 4 ans et 58 jours

Le futur "mur urbain" de la gare d'Austerlitz crée la controverse

GRAND PROJET. Un immense projet immobilier autour de la gare d'Austerlitz suscite la polémique. Des groupes du Conseil de Paris ont demandé la révision du projet.