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Résultats de recherche pour projet

(34237 résultats)
Il y a 2 ans et 265 jours

«A chaque étape de la vie de la société, les géomètres-experts se sont adaptés», Joseph Pascual, président du conseil supérieur de l’instance ordinale

Le projet Géomètre-expert 2030 a été dévoilé en exclusivité lors du 46e congrès qui s’est déroulé au Havre en Seine-Maritime, du 13 au...
Il y a 2 ans et 266 jours

Le matériau bois : une partie de la solution pour décarboner la construction

En France, la part du bois dans la construction (secteur résidentiel et non résidentiel) atteint près de 10 % et devrait fortement progresser dans les prochaines années*. Utilisé dans la construction depuis toujours, le bois s’impose dorénavant en tête des matériaux renouvelables et biosourcés et ses usages se diversifient. Il entre ainsi dans la construction, la réhabilitation, la rénovation et l’aménagement. Le bois représente des enjeux écologiques, sociétaux et environnementaux majeurs. Développement du Grand Paris, chantiers liés aux Jeux Olympiques, construction grande hauteur, maison individuelle... les débouchés ne manquent pas aussi bien dans la construction collective qu’individuelle, pour le tertiaire comme pour le résidentiel. La mise en application récente de la RE 2020 est également un facteur de développement du marché pour les prochaines années.BATIMAT met une nouvelle fois en lumière la construction bois et toute la filière en amont comme en aval. Un secteur de 1 521 m2, lui est entièrement dédié dans le Pavillon 1 avec près de 40 exposants inscrits à date. Il s’agit d’organismes tels que FNCB CFDT, FRANCE BOIS FORET, CODIFAB et d’industriels de renom : ADKALIS, AGIBOIS SAS, ALSAFIX, ARCLIN LLC, BEST WOOD SCHNEIDER, C.B.S.T./ SCIERIE JOSLET, CAMBRAI CHARPENTE, ESSETRE S.R.L. UNIPERSONALE, FELIX DISTRIBUTION, GOLBALUX SP. Z O.O., GRABO, GROUPE BERKEM, GROUPE SETIN, HANS HUNDEGGER AG, JUNGINGER NATURHOLZWERK GMBH, KAMEOKA CONSTRUCTION CO., LTD, KYOCERA UNIMERCO FASTENING A/S, LES FILS DE CYRILLE DUCRET, LIGNATEC, LIXOL, MACH DIFFUSION, MALAYSIAN TIMBER COUNCIL, MANUBOIS, MAX EUROPE BV, MONNET SEVE, PGB EUROPE NV, PIVETEAU BOIS, SCHILLIGER BOIS SAS, SCIERIE EYMARD, SELECTION VOSGES, SIMONIN SAS, SIMPSON STRONG TIE, STEICO SE, TECHNIWOOD.Cet espace, ainsi que les conférences dédiées permettent à la fois de saisir tous les enjeux fondamentaux de ce matériau et de valoriser la diversité des produits en bois français.* France Bois Forêt – Le Bois dans la Construction – sept 2020Les conférencesLe bois est au cœur des sujets de décarbonation et sera notamment la thématique de deux conférences Experts’Corner :Mercredi 5 octobre de 16h à 16h45. (Agora 1, Pavillon 1) :Bois & traçabilité dans le cadre des Jeux de Paris. En partenariat avec le CODIFAB et France Bois ForêtCette conférence sera animée par Marie Jorio, Coordinatrice du Projet France Bois 2024 (projet accompagnant le bois dans les Jeux de Paris soutenu par le CODIFAB et France Bois Forêt, accompagné par le CNDB) qui animera en présence de Georges-Henri Florentin, Président de France Bois 2024, une table ronde composée de Jérôme Martinez, Responsable du Label Bois de France ; Paul Emmanuel Huet, Directeur Exécutif PEFC France ; Aurélien Sautière, Directeur Exécutif FSC France, la Solidéo et Paris 2024.Animateur : Jean-Marc Pauget, Architecte Expert Construction Bois CNDBJeudi 6 octobre de 16h à 16h45 :Le bois et le biosourcé pour atteindre la neutralité carbone à horizon 2030. En partenariat avec le CODIFAB et France Bois ForêtCette conférence traitera en introduction de la RE2020, du positionnement des bâtiments actuels, des objectifs du futur. Une table ronde donneraensuite la parole à deux cabinets d’architectes qui viendront témoigner lors de cette session de leurs projets ou réalisations respectives, dont le cabinet A003 architecte.Animateur : Jean-Marc Pauget, Architecte Expert Construction Bois CNDB.Il sera aussi l’une des thématiques phares du plateau TV de Bati-Journal, organisé par Éditions des Halles et BATIMAT et situé au cœur du secteur bois, avec le soutien de l’Interprofession nationale France Bois Forêt. Le bois sera abordé lors de quatre émissions :La préfabrication des bâtiments boisConstruction bois, préserver la ressourceLe bois, matériau biosourcé par essenceLe bois, matériau des circuits courtsDemandez votre invitation gratuite pour BATIMAT
Il y a 2 ans et 266 jours

Loire-Atlantique : Aménagement du quartier de La Pâtissière à Saint-Herblain

À Saint-Herblain (Loire-Atlantique), une concertation préalable au projet du futur quartier de La Pâtissière a été prévue du 29 août au 12...
Il y a 2 ans et 266 jours

Loire-Atlantique : Aménagement du quartier de La Pâtissière à Saint-Herblain

À Saint-Herblain (Loire-Atlantique), une concertation préalable au projet du futur quartier de La Pâtissière a été prévue du 29 août au 12...
Il y a 2 ans et 266 jours

Vaucluse : les transports Chabas dévoilent « Cathyopé », un camion à l’hydrogène

Dans le Cavaillon (Vaucluse), avec leur projet Cathyopé, les transports Chabas ont relevé le défi et amener sur la route un camion à...
Il y a 2 ans et 266 jours

Seine-et-Marne : construction de 23 nouveaux logements dans le centre-ville de Dammarie-les-Lys

À Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne), une vingtaine de nouveaux logements seront construits dans la poursuite du projet cœur de ville. Les...
Il y a 2 ans et 266 jours

Vendée : le chantier des Halles à La Roche-sur-Yon se poursuit.

Le quartier des Halles, en Vendée, fait l’objet d’un projet de rénovation. Afin de redynamiser le commerce au niveau de son territoire et...
Il y a 2 ans et 266 jours

Bas-Rhin : Oermingen, restauration du pont de l’Eichel.

Une enveloppe de 500 000 euros a été allouée au projet de réhabilitation et de renforcement du pont de l’Eichel à Oermingen (Bas-Rhin). Les...
Il y a 2 ans et 266 jours

Val-d’Oise : un projet de réhabilitation pour cinq collèges du département.

De grands travaux de rénovation seront programmés dans cinq collèges du département du Val-d’Oise Cinq établissements scolaires du Val-d’Oise...
Il y a 2 ans et 266 jours

TotalEnergies revend sa participation dans un champ pétrolier au Kurdistan irakien

"TotalEnergies a finalisé la cession de sa participation de 18% dans le champ pétrolier onshore de Sarsang, dans la région du Kurdistan irakien, à ShaMaran Petroleum Corp, une société cotée au Canada et en Suède et spécialisée dans l'exploration et le développement pétroliers au Kurdistan, pour un montant ferme de 155 millions de dollars", indique le groupe dans un communiqué.TotalEnergies assure qu'un "montant conditionnel supplémentaire de 15 millions de dollars pourra s'ajouter en fonction de la production et des prix du baril".Découvert en 2011, le champ de Sarsang est exploité par l'entreprise américaine HKN, qui détient la plus grosse part du projet (62%), tandis que le gouvernement régional du Kurdistan en possède 20%.Avec sa part de 18%, TotalEnergies produisait environ 3.500 barils par jour en 2021 à Sarsang, précise-t-il.Le groupe Total, qui a promis en ajoutant "Energies" à son nom de diversifier sa production avec plus d'énergies renouvelables mais dont la stratégie pour le climat reste très critiquée, y compris par certains actionnaires, a produit quelques 14.000 barils "équivalent pétrole" par jour en Irak en 2021.Il détient également une participation de 22,5% dans le champ pétrolier d'Halfaya, au sud du pays, et a signé en septembre 2021 un contrat avec le gouvernement irakien pour des investissements qu'il estime à 10 milliards de dollars afin de construire un réseau de collecte et d'unités de traitement de gaz, une unité de traitement de l'eau de mer et une centrale photovoltaïque.
Il y a 2 ans et 266 jours

Marseille accueille son premier "Festival de la ville sauvage"

"Il nous faut maintenant, tout de suite nous projeter dans la ville à venir. Celle d'aujourd'hui, ne peut plus se transformer, elle ne sait plus avancer : trop auto-satisfaite, trop molle, trop compliquée, trop technocratisée, trop stéréotypée, elle ne sait plus rien risquer", estiment dans un dossier de présentation les membres de l'association "Va jouer dehors", organisatrice du festival.Jusqu'à samedi, experts en architecture et en urbanisme, hommes et femmes politiques mais aussi artistes et membres de la société civile pourront "confronter leurs idées, leurs actions et leurs visions de la ville, du vivre-ensemble et de l'architecture du commun", ajoutent-ils.Pour ce faire, ils seront accueillis pendant trois jours dans les anciens entrepôts Abitbol, une friche en reconversion située dans les quartiers populaires du nord de Marseille."Nous avons plutôt axé nos invitations sur l'Amérique latine. Des architectes vont venir du Mexique, du Brésil, de Bolivie, des élus aussi qui vont nous raconter comment est-ce que les politiques publiques peuvent transformer des quartiers en totalité", a détaillé lors d'une conférence de presse Matthieu Poitevin, président de l'association "Va jouer dehors".Les villes méditerranéennes de Naples et Athènes seront également mises en avant à l'occasion d'un atelier.Il s'agit de "travailler autrement, travailler pour et par les habitants directement de manière participative, en tout cas pour promouvoir une architecture qui soit plus humaine", et non plus l'émanation d'un "système marchand", a plaidé M. Poitevin."Ce qui en train de se passer aujourd'hui, c'est que la ville crève parce qu'on ne fait pas confiance à ses auteurs. On est toujours dans un moment d'urgence à réparer", notamment face au changement climatique, "et pas dans un moment d'anticipation, à prévoir", a encore estimé M. Poitevin, qui a été le principal architecte de la friche marseillaise de la Belle de Mai.Or dans cette nouvelle manière de penser la ville de demain, juge-t-il, Marseille a une réelle carte à jouer car "elle a cette chance par rapport à d'autres de ne pas être conformiste".
Il y a 2 ans et 266 jours

Une réforme des retraites via le budget, la "piste" qui crispe

La fin justifie les moyens, et "toutes les pistes sont à l'étude" pour faire passer la réforme des retraites, y compris "à travers le projet de loi de financement de la Sécurité sociale", a fait savoir Olivier Véran mercredi.Le porte-parole du gouvernement n'a au fond rien dit de plus que le chef de l'Etat, qui avait indiqué en début de semaine que seul comptera le résultat - "les choses importent peu" - tant que sa promesse de campagne entre en vigueur "dès 2023".Tenté d'agir vite, l'exécutif insiste non seulement sur les déficits à venir - pendant encore 25 ans au moins, selon le dernier rapport du Conseil d'orientation des retraites - mais aussi sur la manne potentielle pour investir dans l'école, la santé et l'écologie.Or, l'occasion se présente avec le budget de la Sécu, qui doit être présenté en conseil des ministres le 26 septembre. Le choix serait inédit : depuis 30 ans, les grandes réformes des retraites sont toutes passées par une loi ad hoc (Balladur, Fillon, Woerth, Touraine).Mais rien ne l'empêche a priori. Deux parlementaires spécialistes des affaires sociales assurent ainsi à l'AFP qu'une "réforme paramétrique" serait "tout à fait faisable" dans ce cadre, même si sa mise en oeuvre dépasse l'horizon du budget 2023.Un report de l'âge légal, ou un allongement de la durée de cotisation, ne serait donc pas considéré comme un "cavalier législatif", sous la menace d'une censure du Conseil constitutionnel.Libre dès lors au gouvernement d'abattre ses cartes dans le texte initial, avec une évaluation détaillée dans l'étude d'impact du projet de loi, ou dans un amendement introduit pendant les débats. Voire de solliciter une habilitation à légiférer par ordonnance pour se donner plus de temps."Passage en force"Autant d'hypothèses qui font frémir les syndicats. "Il faudra qu'on surveille ce budget au quart de millimètre", pressent Pascale Coton (CFTC), qui "ne s'attendait pas à ce que ça bouge aussi vite" sur ce dossier.Si ce scénario se confirme, "ce sera du passage en force", estime-t-elle, et "il ne faudra pas qu'ils s'étonnent que les gens descendent dans la rue"."Le risque de conflit social est majeur", affirme Catherine Perret (CGT), qui dénonce "une provocation de plus", alors que "toutes les organisations syndicales sont contre" le projet de l'exécutif.La réunion prévue lundi avec le ministre du Travail, Olivier Dussopt, promet déjà d'être animée. "Si les décisions sont déjà prises, les concertations vont s'arrêter assez vite, et pas que sur les retraites", prévient Michel Beaugas (FO), qui envisage déjà de "construire un rapport de force"."A force de petites provocations qui s'ajoutent, on pourrait très bien décider avec d'autres organisations que c'est le moment d'appeler les salariés à manifester leur mécontentement dans la rue", insiste-t-il."Puisque le gouvernement ne s'interdit rien, nous non plus", met en garde Dominique Corona (Unsa), jugeant qu'une "mesure brutale" sur les retraites "mettrait du plomb dans l'aile" du Conseil national de la refondation (CNR), lancé la semaine dernière par le président de la République."On ne peut pas passer en force dans le budget de la Sécu et vouloir une discussion approfondie dans le cadre du CNR", souligne Yvan Ricordeau (CFDT). Pour le nouveau négociateur retraites du premier syndicat français, "il ne peut pas y avoir les deux" et "clairement, on ne jouera pas les deux".
Il y a 2 ans et 267 jours

Des moyens : économie circulaire et les ressources pour le bâtiment

Alexandra Lebert - Photo : Raphaël DautignyLe sujet économie circulaire est aujourd'hui porteur de sens et point de convergence entre les différents métiers du CSTB. L'optimisation de l'usage des ressources est indispensable pour préserver l'environnement et la biodiversité. Dans ce contexte, la volonté du CSTB est de fédérer les acteurs du secteur de la construction autour de l'économie circulaire dès la conception des produits, des ouvrages ou des projets d'aménagement pour réduire les impacts environnementaux et limiter les flux de matières. Alexandra Lebert - Directrice de Domaine d'Action Stratégique Recherche Le CSTB renforce sa dimension recherche en établissant des partenariats spécifiques avec le monde académique. En parallèle, il consolide son lien avec le monde opérationnel en poursuivant ses collaborations avec des acteurs qui ont envie d'inscrire l'économie circulaire au cœur de leur stratégie. Les enjeux liés aux ressources énergétiques, non énergétiques et à la ressource en eau étant également au centre de nos préoccupations, le CSTB a créé, en janvier 2022, une nouvelle direction Eau. La direction Énergie-Environnement s'est aussi étoffée. En savoir plus : Consultez les Feuilles de route scientifiques et techniques, vision 2030 Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 267 jours

A.Doc présente à Batimat la dernière version de son logiciel de conception BIM pour les projets à ossature bois

Une solution tout-en-un intuitive et sans équivalence pour le BBC et la construction boisDestinée aux professionnels de l’architecture bois qui souhaitent paramétrer très précisément leurs ossatures bois, tant pour le neuf ou la rénovation que pour les extensions bois, cette nouvelle version 16 apporte une facilité et une puissance de travail sans précédent qui va de nouveau révolutionner la manière de dessiner et de créer les projets des utilisateurs, qu’il soient débutants ou expérimentés.Les constructeurs en ossature bois recherchent des fonctions particulières que les logiciels classiques de conception en bâtiment ne possèdent pas. Basé au départ sur la version Architecture, ouverte à tous les principes constructifs, Envisioneer 16 Construction Bois intègre toutes les fonctions utiles au paramétrage de tels ouvrages, dont :Des outils 3D paramétriques.Des fonctions de paramétrage ultra précis de tous les composants et de l'ossature.Un repérage immédiat et un affichage automatique des plans d’ossature.Une planche à dessin 2D.Une bibliothèque paramétrée de solutions constructives orientée BBC & modes passifs.Un module de terrain.L’utilisateur gagne donc un temps précieux grâce au catalogue de murs, planchers, toitures déjà paramétrés. Ensuite, celui-ci peut facilement modifier ces objets pour les adapter à ses modes de construction. En effet le logiciel Envisioneer Construction Bois possède, au moyen d’une interface inédite, une puissance de paramétrage pour enregistrer et modifier tous les détails de montage des ossatures (bois ou métal), tout comme l’édition de chaque ouvrage particulier. L’utilisateur diminue donc significativement le temps d’exploitation du projet de l’esquisse vers la fabrication : définition des sections et leurs entraxes, position des entretoises, configuration des angles, édition ultra-fine des intersections de murs, paramétrage complet des porteurs tels que linteaux, poutres et leurs retombées, règles de mise en place, …En outre, le modèle BIM du projet conçu dans Envisioneer 16 Construction Bois peut être directement relu à l'extérieur du fait de sa compatibilité avec les logiciels d’étude thermique, et ce, afin d’analyser ses performances bioclimatiques et de vérifier sa conformité réglementaire.Dans sa nouvelle version, Envisioneer 16 Construction Bois repousse encore plus loin les limites de la conception et de la fabrication à ossature bois.Une nouvelle version pour créer facilement et automatiquement les plans de panneaux bois en 1 clicAvec l’arrivée du nouveau module révolutionnaire “FABRICATION”, intégré au logiciel de CAO Envisioneer Construction Bois v16, tous les professionnels de la construction bois, de l’architecture et du bâtiment vont pouvoir réduire de façon considérable le temps nécessaire à la création et au paramétrage des plans de pans de murs en bois.En effet, jusqu’à présent, la création des plans nécessaires à la fabrication des panneaux d’ossature d’une maison individuelle pouvait durer deux jours voire plus. Aujourd’hui grâce à ce module, cette tâche répétitive est réalisée tout simplement en un seul clic. Les plans de fabrication sont obtenus très facilement et en un temps record, et comprennent pour chacun:Une vue de face et une vue de dessus du panneau accompagnées de cotations précises.La liste de débits permettant de détailler les longueurs et les quantités de chacune des pièces nécessaires.Par ailleurs, et pour parfaire le tout, le logiciel intègre toute une batterie de fonctions clés qui permettront de faciliter davantage la mise en place des projets à ossature bois :Maquette 3D présentable sur tout mobile.Commandes pour la charpente améliorées.Interopérabilité accrue avec le BIM.Nouveaux objets fermes de charpente en 3D.Quantitatif partiel immédiat au clic droit.Présentation graphique améliorée en 2D.
Il y a 2 ans et 267 jours

Plan Destination France : Hervé Berville annonce 30 millions d'euros pour soutenir des projets dans les ports de plaisance maritimes

Dans le cadre de ce plan, l’Etat mobilise 30 millions d’euros pour soutenir des projets globaux de modernisation et d’excellence environnementale entre 2022 et 2024, dans les ports de plaisance maritimes et les bases nautiques.Les ports de plaisance et les bases nautiques sont l'interface d'un grand nombre d'usagers de la mer, visiteurs, pratiquants d'activités nautiques et navigateurs de plaisance. Ils sont les moteurs économiques et sociaux des territoires littoraux dont ils forgent une part de leur identité.Le secrétariat d'Etat chargé de la Mer accompagne ces derniers dans leur transition écologique et énergétique, leur résilience face au changement climatique, l'offre de nouveaux services et le renforcement de la qualité de l'offre touristique dans une perspective d'exemplarité environnementale. Pour ce faire, le plan Destination France est doté d’une enveloppe de 30 millions d’euros entre 2022 et 2024, dont une enveloppe de 10 millions d’euros en 2022 consacrée à la transition écologique des ports de plaisance et le lancement d'un appel à projet ports de plaisance exemplaires, ainsi qu'une enveloppe de 5 millions d’euros en accompagnement des bases nautiques d'avenir.Le secrétariat d'Etat à la Mer assure le pilotage de ce programme d'accompagnement pour le verdissement et la modernisation des ports de plaisance et des bases nautiques et a confié sa mise en œuvre opérationnelle au Cerema. La direction générale des affaires maritimes de la pêche et de l’aquaculture s'est aussi appuyée sur l'expertise d'un comité consultatif qui associe les principaux partenaires de ces mesures, dont la fédération française des ports de plaisance, les fédérations sportives du nautisme, l'école nationale de voile, la confédération du nautisme et de la plaisance, l'OFB…Pour Hervé Berville : « Franchir le pas de la décarbonation du secteur maritime passera aussi par la transformation de nos infrastructures et de nos ports. Avec ce plan de 30 millions d’euros sur 3 ans, nous allons accélérer la transition écologique de nos ports, moderniser les infrastructures, offrir de nouveaux services aux plaisanciers et anticiper la montée des eaux ou le recul du trait de côte pour nous permettre de nous adapter au changement climatique. »Plus d’informations sur les règlements d’intervention des mesures, les dates limite de dépôt des dossiers de candidature et les modalités de dépôt :Pour les ports de plaisancePour les bases nautiques
Il y a 2 ans et 267 jours

La santé des quartiers populaires, enjeu du renouvellement urbain

En présentant lundi 12 septembre la démarche "Quartiers résilients" qui vise à favoriser l'adaptation des quartiers populaires au réchauffement climatique, le ministre délégué à la Ville et au logement Olivier Klein a aussi évoqué la prise en compte de la santé."Un quartier résilient, c'est aussi un quartier qui aide ses habitants à rester en bonne santé, qui lutte contre la pollution, qui permet l'activité physique, qui promet la pratique des sports de chacun, des petites filles et des petits garçons jusqu'aux seniors", a-t-il déclaré.Aux Journées nationales de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) à Paris, un atelier était consacré à "l'urbanisme favorable à la santé"."Le Covid a précipité (cette prise de conscience), avec un nombre de morts extraordinaire dans les quartiers prioritaires", a expliqué Luc Ginot, directeur santé publique à l'Agence régionale de santé d'Ile-de-France.Car les habitants des quartiers prioritaires sont en moyenne en plus mauvaise santé que les autres.Selon la dernière Enquête santé et protection sociale, qui remonte à 2014, ils étaient moins nombreux à déclarer un bon état de santé en général que le reste de la population (54% contre 69%).Ils étaient aussi plus fréquemment en surpoids ou obèses, et plus nombreux à avoir renoncé dans l'année à se soigner pour des raisons financières (40% contre 26% hors quartiers prioritaires).Et pourtant, le problème est encore peu pris en compte dans le renouvellement urbain, déplore Alain Gaulon, secrétaire confédéral de la Confédération nationale du logement (CNL), qui représente des locataires de logements sociaux. "A chaque fois que je vois passer un projet Anru, on parle toujours des commerces, éventuellement de services publics si on est dans une ville qui y est attachée, mais la santé n'est pas prise en compte."Bruit et pollution"Il y a des leviers qui vont être de l'ordre de l'aménagement des espaces publics, comment on travaille sur le confort acoustique, l'îlot de chaleur urbain", égrène Stéphanie Gaucher, architecte urbaniste au cabinet Inddigo, qui travaille avec l'Anru sur la transition écologique.Par exemple, à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), le nœud du problème est la route nationale 1, très fréquentée, qui traverse le quartier Joncherolles-Fauvettes, dont les habitants subissent le bruit et la pollution."Il est montré que le bruit, notamment la nuit, génère des complications du sommeil, crée de la fatigue et des troubles psychiques à terme", explique Colin Debroise, chef de projet renouvellement urbain à l'intercommunalité Plaine Commune dont fait partie Pierrefitte.Le renouvellement urbain va donc consister à "aménager les espaces verts présents sur le quartier, repenser la question de l'isolation phonique des équipements et des logements qui seront le long de la RN1, améliorer la ventilation des logements qui sont exposés à des polluants", détaille-t-il.Et aussi à promouvoir les mobilités actives, avec des infrastructures cyclables, afin de diminuer la pollution et de lutter contre la sédentarité.A Dunkerque (Nord), ville industrielle, dans une opération de démolition-reconstruction, certains bâtiments vont être reconstruits avec une orientation légèrement différente, pour faire barrage aux vents chargés de particules polluantes et éviter qu'ils ne pénètrent dans le quartier.Reste le défi du curatif : attirer des médecins."On peut faire des locaux, mais les locaux ne sont pertinents qu'à partir du moment où il y a un projet santé, avec des professionnels", craint Gilles Leproust, président de l'association d'élus Ville et Banlieue et maire (PCF) d'Allonnes (Sarthe).Or, "il y a une pénurie de médecins généralistes". Et attirer dans les quartiers populaires des médecins qui manqueront ailleurs reviendrait, dit-il, à "déshabiller Jacques pour habiller Paul".
Il y a 2 ans et 267 jours

"On déterre un cadavre" : la centrale à charbon de Saint-Avold prépare son redémarrage

Le silence et la fraîcheur règnent encore au milieu de la lourde machinerie inaugurée en 1981. Seul résonne le bruit des travaux de réparation qui ont débuté cet été et se termineront fin septembre. Coût de l'opération : 10 millions d'euros. Quelque 200 salariés d'entreprises sous-traitantes ont été embauchés pour l'occasion, précise Camille Jaffrelo, porte-parole de GazelEnergie, propriétaire de la centrale."Une grande révision" des machines est indispensable pour "redémarrer en toute sécurité" et éviter tout incident technique cet hiver, explique Sylvain Mergen, chef de quart de 55 ans, depuis la salle des commandes.Lui devait partir à la retraite cette année et a accepté de revenir, comme 67 autres salariés "contents d'être là", selon cet ancien mineur employé de la centrale depuis 1997. Au total, 68 salariés sur les 69 que comptaient le site le 31 mars dernier sont revenus.A la retraite depuis ses 54 ans, Denis Maury, 60 ans, avait lui déjà accepté de reprendre son poste de rondier l'hiver dernier. De retour depuis fin août, il effectue des rondes régulières pour vérifier que la machine fonctionne sans problème.Main à la pocheS'il se sentait en capacité de reprendre son travail "après six ans de vacances". Il ne le cache pas, la généreuse prime de 5.800 euros bruts par mois proposée aux salariés pour l'hiver 2022/2023 a aussi pesé dans la balance."Pour inciter les gens à revenir, il faut mettre la main à la poche", confirme Camille Jaffrelo. "Nous avons augmenté les salaires et donné un certain nombre de primes qui doublent la rémunération de nos salariés.""C'est un partage du gâteau qui nous paraît équitable", salue Jean-Pierre Damm, élu au CSE de GazelEnergie et délégué syndical Force Ouvrière (FO). Selon le syndicaliste, les six prochains mois de fonctionnement de la centrale vont rapporter entre 150 et 200 millions d'euros à l'entreprise.Très émettrice de CO2, la centrale Emile-Huchet devait fermer ses portes définitivement fin mars. Mais le gouvernement en a décidé autrement cet été pour sécuriser l'approvisionnement du pays en électricité, compte tenu du conflit en Ukraine et des déboires rencontrés par le parc nucléaire d'EDF.Il n'y a qu'une seule autre centrale au charbon, à Cordemais (ouest), encore ouverte en France. Dans l'Hexagons plus de 67% de l'électricité produite est d'origine nucléaire, la part des combustibles fossiles étant en 2020 de 7,5% dont 0,3% de charbon et 6,9% de gaz.Dans la loi pour le pouvoir d'achat votée début août, le gouvernement a inclus une mesure permettant à GazelEnergie de réembaucher les salariés cet hiver. Plus de la moitié devaient partir à la retraite, et les plus jeunes devaient être reclassés au sein des nouveaux projets de l'entreprise. GazelEnergie prévoit entre autre de construire une chaudière biomasse à la place de la centrale à charbon."On sait qu'on pollue"Sylvain Krebs, 46 ans dont 22 ans passés à gérer le charbon à Emile-Huchet, doit rejoindre l'équipe qui travaillera pour cette future chaudière biomasse. Le charbon, or noir qui a fait vivre la Lorraine pendant près de deux siècles, il en a "fait le deuil".S'il se dit toutefois "content" de voir les hautes cheminées se rallumer une dernière fois, "on a déterré un cadavre", regrette-t-il."On sait qu'on pollue", dit-il en montrant les 210.000 tonnes de charbon stockées sur le site. Derrière lui, le ballet de camions venus livrer ne s'arrête pas et le monticule atteint déjà une quinzaine de mètres de haut, tâche noire au milieu de ce site industriel entouré d'éoliennes plantées à quelques kilomètres.Au total, il faudra plus de 500.000 tonnes de charbon pour faire tourner le site d'octobre à fin mars.A cause de la guerre en Ukraine et des réacteurs nucléaires à l'arrêt, Sylvain Krebs en est convaincu, la centrale a encore "deux années de fonctionnement" devant elle. Car lorsqu'elle tourne à pleine capacité, elle peut produire jusqu'à 600 Megawattheure, et est en mesure d'alimenter un tiers des foyers de la région Grand Est.
Il y a 2 ans et 267 jours

Le climat et "l'humain", priorités de Catherine Vautrin à la tête de l'Anru

Nommée le 1er septembre à la tête de l'agence chargée de piloter la mutation des quartiers populaires, elle a succédé à Olivier Klein, devenu ministre délégué à la Ville et au logement.La priorité de son mandat sera, promet-elle, l'intégration du défi climatique dans le renouvellement urbain, dans le prolongement de la démarche "Quartiers résilients" annoncée lundi par Olivier Klein."Comment peut-on imaginer sortir des projets qui dans cinq ans, dans dix ans, soient incapables de répondre aux défis qui s'offrent à nous ?""Ce qu'on propose, c'est qu'à l'occasion des revues de projet, on reprenne chacun des projets, qu'on regarde si on est bien résilients en matière écologique, de consommation énergétique: à chaque fois qu'on peut se raccorder à un réseau de chaleur, est-ce qu'on l'a fait ?""Il faut, à chaque fois qu'on peut le faire, essayer de lutter contre les îlots de chaleur. Ce sont ces fameuses dalles avec du béton partout, pas un arbre... on peut enlever de l'enrobé, remettre de la végétalisation. Vous avez aussi l'isolation thermique des bâtiments, et c'est aussi bien contre le chaud que contre le froid. Ce ne sont pas que des économies de chauffage, c'est aussi de la qualité de vie en été.""Il faut aussi qu'on tire les conséquences du post-Covid", poursuit Catherine Vautrin."Quand les gens ont été confinés chez eux, qu'est-ce qu'ils nous ont dit ? Évidemment, l'espace (...) Dans un projet Anru, en moyenne, un balcon c'est 7.000 euros. C'est un coût supplémentaire, et pourtant, est-ce que ça ne vaut pas le coup qu'on regarde ? Parce que c'est offrir tout de suite un prisme différent de son logement. Un été comme celui-là, si le soir, on peut être un peu sur son balcon, c'est un peu d'air."En revanche, pas de rallonge budgétaire à l'horizon pour l'Anru, malgré l'envolée des prix des matériaux de construction, qui rend les chantiers plus chers."Maintien des budgets""Il est pas question de faire des opérations au rabais, et c'est d'autant plus vrai que les matériaux ont une importance fondamentale dans notre approche de sobriété et de résilience. (...) Mais à ce stade, je vais déjà me battre pour obtenir le maintien des budgets, je ne vois pas comment je peux obtenir un budget inflation dans le contexte", reconnaît-elle.L'ancienne ministre déléguée à la Cohésion sociale sous la présidence de Jacques Chirac veut également une évaluation plus profonde des projets urbains terminés."Je souhaite qu'on ait un regard extrêmement précis de l'état dans lequel sont les opérations que nous avons livrées y a dix-huit ans, quinze ans, dix ans, parce que c'est important qu'on ait un plan de gestion qui nous permette de regarder comment, dans le temps, les choix qui ont été faits ont vieilli." "Quand vous avez un quartier qui fait l'objet d'une rénovation complète, c'est normal qu'au-delà de la simple rénovation du quartier, il y ait un suivi de façon à ce que ce quartier, qui n'est plus le même, ait des ambitions auxquelles il doit répondre et qu'on puisse accompagner, voir ce qui va, ce qui ne va pas, de façon pourquoi pas à voir que quelque chose ne marche pas, comment tout de suite on agit et on n'attend pas que les choses se dégradent." Également présidente de la communauté urbaine du Grand Reims, Catherine Vautrin n'envisage pas de quitter son mandat local. "Ce que j'ai appris à Reims, ce que je vis à Reims tous les jours, me permet précisément de connaître les quartiers, d'expérimenter, de comparer, et je pense qu'une présidente de l'Anru doit être au quotidien au cœur des problématiques des habitants des quartiers", justifie-t-elle."Il n'y aurait rien de pire pour l'Anru que d'avoir à sa tête quelqu'un qui ne sait pas ce que c'est qu'un quartier et qui n'ait pas cette expérience".
Il y a 2 ans et 267 jours

Entretien avec Pierre Knoché, DG France de Kiloutou

D’où vient Kiloutou ? Depuis quand l'entreprise existe-elle ?Pierre Knoché : Le groupe Kiloutou a été fondé en 1980 par Franky Mulliez avec la volonté de devenir la première chaîne française de location de petits matériels et outillage. Tout a commencé avec 3 agences dans le Nord, aujourd’hui elles sont 564 réparties en France, en Allemagne, Espagne, Italie, Pologne et depuis peu au Danemark et au Portugal. Aujourd’hui la société s’est considérablement développée avec un élargissement de sa gamme sur le matériel de terrassement, d'élévation et de véhicules et l'extension à l'international. Le parc matériel compte actuellement 265.000 matériels.Quelle est la place de Kiloutou sur le marché ? Comment décririez-vous l’évolution du marché de la location de matériel ?Pierre Knoché : Kiloutou est actuellement le 3ème loueur de matériel européen et 95% des clients sont des professionnels (aussi bien les grands acteurs du BTP, que les artisans ou les industriels).L’évolution du marché de la location de matériel est désormais orientée vers la lutte contre le réchauffement climatique :On sait que 20% des émissions de CO2 d’un chantier sont liées au fonctionnement du matériels (Etude Carbone 4 pour la FNTP - périmètre France). De sa fabrication à sa fin de vie, en passant par son usage et sa maintenance, un matériel à motorisation électrique rechargée sur le réseau, à hydrogène vert ou biogaz, permet jusqu’à 60% de réduction des émissions de CO2 par rapport à un modèle thermique.Notre principale préoccupation est donc de pouvoir proposer des matériels plus respectueux de l’environnement et moins émetteurs de CO2, sans faire de compromis sur leur performance. Désormais nous devons composer avec un mix énergétique (électrique, hybride, H2 et les biocarburants qui ont chacun leurs limites). Ces nouvelles technologies manquent encore de maturité (manque d’infrastructures de recharge à proximité des chantiers par exemple), mais nous ne pouvons pas passer à côté étant donné les avantages qu’elles apportent : réduction des émissions de CO2 et de particules fines, mais également des nuisances sonores pour les riverains ou encore des vibrations pour les compagnons.Ces grandes évolutions supposent aussi que l’on accompagne nos équipiers : notre force commerciale, formée à analyser chaque chantier pour déterminer le parfait mix usage / performance ; et dans nos ateliers, nos équipes techniques qui seront garantes de la pérennité de cette flotte.Quelles innovations pensez-vous avoir apporté au secteur ?Pierre Knoché : Dès 2007, Kiloutou a formalisé une stratégie RSE d’ampleur et est devenu en 2012 le premier loueur à établir le bilan carbone de ses locations. En 2012 nous avons signé le Global Compact qui nous engage à aligner notre stratégie sur 10 principes touchant les droits de l’Homme, les normes du travail, l’environnement et la lutte contre la corruption.Plus récemment, en 2021, Kiloutou a lancé la gamme iMPAKT qui réunit plus de 3500 matériels électriques ou hybrides, tous recensés dans le Guide des Matériels alternatifs, qui permet aux clients de comparer chaque matériel avec son équivalent thermique et ainsi de rendre compte des économies de carburant réalisées et les émissions de CO2 et de bruit évitées.Par la même occasion, le Groupe a lancé la première édition des Rencontres du Matériel Durable (RMD), qui réunit fabricants, clients et fédérations professionnelles afin de débattre et d’imaginer les solutions des chantiers de demain. Parce qu’il est évident que pour atteindre nos objectifs de réduction des émissions carbone à tous, c’est ensemble que nous devons travailler.Grâce aux études commandées par Kiloutou aux cabinets Carbone 4 et Arthur D.Little, les participants ont pu peser les pour et les contres des diverses énergies alternatives et avoir un aperçu du mix énergétique projeté à 2030 suivant deux scénarios : l’un conservateur, l’autre plus agressif. Ils ont également débattu de plusieurs propositions qui seront faites au Gouvernement. Rendez-vous est déjà donné en février prochain pour la 4ème édition.Et parce que la RSE comprend évidemment l’environnement, mais aussi l’Humain, Kiloutou s’est doté depuis plusieurs années d’une gamme de matériel dédiés à la sécurité et l’ergonomie sur les chantiers nommée Kare. On y retrouve notamment l’ergosquelette - qui permet de soulager les épaules dans une posture bras hauts, le gabarit laser - qui crée une frontière invisible pour éviter l’intrusion sur des chantiers à risque, le gilet connecté - qui prévient le risque de heurt engin-piéton, et le bras 0 gravité - qui soutient le poids d’un outil (jusqu’à 15kg) sans altérer la dextérité de son utilisateur. Ces dispositifs sont imaginés et conçus par des entreprises partenaires et nous fournissons à nos clients tout le conseil et leur mise en place directement sur les sites et chantiers.Quelle est la direction stratégique de Kiloutou dans les années à venir ? Avez-vous notamment des projets en cours en termes de digitalisation ?Pierre Knoché : Kiloutou a lancé son premier site internet vitrine en 2000. Aujourd’hui, il permet d’obtenir un devis et de réserver son matériel en ligne. Il est agrémenté de tutos vidéos pour permettre aux utilisateurs d’être le plus autonome possible. L’objectif est aujourd’hui de le rendre toujours plus personnalisé pour le client et d’en faire un réel apporteur d’affaires pour nos agences.Dans les en-cours, nous finalisons actuellement des projets qui avaient été mis en stand-by durant la crise sanitaire, notamment Youse : un système de partage de matériels qui vise principalement les clients industriels. L’objectif est de leur permettre, à travers une interface digitale, de mettre à disposition l’ensemble des matériels détenus ou loués à leurs équipes et prestataires et d’organiser un système de réservation. Cela permet d’amortir l’investissement, de limiter le nombre de matériels (et les émissions qui les accompagnent) sur un seul et même site et de verrouiller la responsabilité de chaque utilisateur.Nous poursuivons également notre partenariat avec l’entreprise Apizee pour la visio-assistance. L’objectif est de faire intervenir nos techniciens à distance afin de répondre aux questions de fonctionnement ou pannes légères. Sans application à télécharger, il permet 80% de résolution en moins de 4h et économise les déplacements.
Il y a 2 ans et 268 jours

Carbon, l'espoir d'une usine géante de panneaux photovoltaïques en France

"Nous ne pouvons plus être dépendants de la Chine pour un produit aussi stratégique !", lance Pascal Richard, PDG de Carbon, interrogé par l'AFP.Neuf des dix premiers fabricants mondiaux sont chinois et sud-coréens, adossés à leurs immenses marchés intérieurs.Le panneau solaire, de fait, est au cœur des projets énergétiques français et européens.Un projet de loi "d'accélération des énergies renouvelables" doit être présenté mi-septembre en conseil des ministres.Il prévoit la multiplication des possibilités d'implantation des panneaux solaires (obligation d'équipement sur les gros parkings, possibilité d'installation sur les délaissés routiers...) et la simplification de certaines procédures - critiquée d'ailleurs par des ONG environnementales.Pour combler le retard français sur ses partenaires européens, Emmanuel Macron avait annoncé en février vouloir décupler les projets pour atteindre 100 gigawatts (GW) installés en 2050, contre 13 en 2022.Et encore : ces objectifs ont été fixés avant la guerre en Ukraine et la prise de conscience généralisée de la dépendance au gaz russe, qui a aussi conduit en mai la Commission à présenter son plan "REPowerEU" visant à quadrupler la production photovoltaïque dans l'UE d'ici 2030.Carbon entend bien prendre sa part dans ce gâteau de la "souveraineté énergétique européenne", explique M. Richard, ancien directeur France de l'allemand SMA (onduleurs pour le photovoltaïque).D'ici 2025, Carbon prévoit la construction d'une première usine de panneaux dont la capacité installée sera de 5 GW, employant 3.000 personnes, et passerait à 20 GW et 10.000 personnes en 2030. Un énorme effet d'échelle sur les prix, espèrent ses fondateurs. Le site d'implantation - classé Seveso - n'est pas arrêté, mais il faudra 80 hectares.Chasse aux investisseursL'investissement nécessaire pour ce projet totalement intégré doit s'établir à 1,3 milliard d'euros pour la première étape, "5 à 6 milliards" au total.La chasse au investisseurs est lancée, notamment aux subventions françaises et européennes. Une première levée de fonds "de plusieurs dizaines de millions d'euros" est programmée au premier trimestre 2023. Elle servira à "la mise en place des équipes" et "la poursuite des études".Mantra des cinq associés à parts égales, parmi lesquels le fabricant grenoblois de fours destinée à l'industrie photovoltaïque ECM : "toute la chaîne de valeur sera intégrée" une fois la matière première acquise – du polysilicium provenant d'Allemagne ou de Norvège dans un premier temps.Lingots, tranches (wafers), cellules, et donc panneaux finaux seront entièrement "made in France", là où d'autres acteurs du marché européen se contentent d'assembler les composants chinois. "Il n'y a aucun projet de cette envergure" en Europe, assurent les dirigeants de Carbon.Des gros énergéticiens intègrent d'ailleurs déjà les panneaux Carbon dans leur préfiguration de centrales solaires, affirme Laurent Pélissier, PDG d'ECM, "car ils veulent diversifier leurs portefeuilles fournisseurs et ne plus se retrouver dans des situations où il n'y a plus d'approvisionnement, ou avec des prix variant soudainement".C'est le cas de la Compagnie nationale du Rhône (CNR), qui a annoncé en mai un plan "massif" d'investissement dans le photovoltaïque (1 milliard d'euros), via la "solarisation" de toitures ou de terrains dégradés."A prix quasiment identique, ce qui sera un défi, et performance égale, nous aurons bien sûr une préférence" pour Carbon, affirme Julien Marchal, directeur des nouvelles énergies, déplorant avoir "perdu parfois 6 mois sur certains projets en raison des difficultés d'approvisionnements"."Nous réduirions aussi le risque transport, le risque de change et géopolitique, comme lorsque la Chine a brusquement arrêté ses usines pour sa stratégie zéro covid. L'empreinte carbone des panneaux français serait également bien meilleure, d'autant plus si des capacités de recyclage existent sur place", ajoute ce responsable.A ses yeux, Carbon pourrait même devenir "le Verkor du solaire", allusion à cette start-up grenobloise, soutenue notamment par Renault, qui va implanter une usine géante de batteries à Dunkerque.
Il y a 2 ans et 268 jours

Plan de réhabilitation des écoles à Marseille : une méthodologie multicritère développée par le CSTB

École primaire Ruffi à MarseilleUne mission de recherche dédiée à l'élaboration d'une méthodologie de réhabilitation globale et performante des écoles marseillaises a été proposée par le CSTB et validée par la Ville de Marseille et l'État. Elle vise à étudier quatre typologies d'écoles représentant la majorité des établissements scolaires du parc marseillais, et même du parc national. À partir d'un diagnostic multicritère sur un échantillon d'écoles représentatives de ces typologies, l'objectif est de pouvoir proposer des stratégies de réhabilitation globale permettant d'agir sur l'ensemble des critères pertinents pour ces types d'établissements. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 268 jours

Une audacieuse maison en bois noir, qui cultive son esprit vert

EN IMAGES. Imaginée pour s'intégrer harmonieusement dans le paysage, cette villa, à l'architecture originale, a aussi été conçue dans le respect de l'environnement. Un projet qui allie à merveille tradition et modernité, mais aussi luxe et écoresponsabilité.
Il y a 2 ans et 268 jours

Seine-Maritime : l'Omnia a fait peau neuve à Rouen

L’Omnia à Rouen, dans le département de Seine-Maritime, a fait l’objet d’un important projet de rénovation. Après plusieurs mois de travaux, il...
Il y a 2 ans et 268 jours

Ryobi complète sa gamme de souffleurs sur batterie avec son nouveau souffleur aspiro-broyeur 2-en-1 Brushless 18V ONE+ HP™.

Une petite révolution technologique dans l’univers du jardinage pour souffler ou aspirer et broyer les feuilles, sans effort et en un rien de temps ! Depuis plus de 25 ans, le concept 18V ONE+™ Ryobi® propose aux jardiniers des outils sur batterie toujours plus astucieux, pratiques et simples d’utilisation pour répondre à tous les projets de […]
Il y a 2 ans et 268 jours

Avancement de la construction du projet NATURA , première résidence bas carbone d’envergure en Occitanie

Dans le cadre de l’appel à candidature sur la cession des lots à construire en 2019, la SEM Oppidea et la ville de Toulouse ont désigné Premium Promotion pour la réalisation d’une opération ambitieuse sur le thème de la construction en matériaux biosourcés. Le projet Natura est la première résidence bas carbone de grande envergure […]
Il y a 2 ans et 268 jours

Des maisons en bambou et paille toquilla pour répondre aux conditions climatiques locales en Equateur

Ces 3 prototypes de maison en bambou ont été réalisés par le Studio Rama sur l’île de Portete, située dans la province d’Esmeralda en Equateur. [De l’architecte] Le projet se déroule dans l’un des secteurs touchés par le tremblement de terre de 2016. À la suite de cet événement, les 80 familles qui vivaient sur l’île ont été […]
Il y a 2 ans et 268 jours

Une mission lancée pour la création de France Travail qui doit remplacer Pôle emploi

Confiée au Haut-commissaire à l'emploi et à l'engagement des entreprises, Thibaut Guilluy, la mission "de concertation et préfiguration" doit s'achever "fin 2022", selon la lettre de mission, consultée par l'AFP et initialement dévoilée par le journal Les Echos."La création de France Travail suppose une transformation de Pôle Emploi et de tous les acteurs du service public de l'emploi, ainsi qu'une mise en commun des compétences de l'État, des collectivités locales et de l'ensemble des acteurs économiques et associatifs pertinents, en lien notamment avec les partenaires sociaux", selon le document.Il s'agit, avec la mission, de "partager le diagnostic, élaborer des propositions concrètes pour la transformation du service public de l'emploi, et préfigurer la transformation de Pôle Emploi en France Travail", dont le ministre a dit la semaine dernière souhaiter une mise en place progressive "à partir de 2024".Pour nourrir ses propositions, M. Guilluy pourra s'appuyer sur "des groupes de travail thématiques associant les acteurs concernés, parmi lesquels les représentants des collectivités locales (...), les partenaires sociaux, ainsi que les administrations et services déconcentrés, les opérateurs, les acteurs associatifs".La mission comprend aussi le lancement d'une expérimentation notamment en ce qui concerne la réforme de l'accompagnement du RSA, qui vise à conditionner son versement à 15 à 20 heures d'activité par semaine. Cette expérimentation "pourrait être lancée en octobre dans quelques territoires (...) en vue d'un démarrage opérationnel" en 2023.A l'issue d'une réunion visant à présenter la feuille de route du ministère du Travail, plusieurs responsables syndicaux et patronaux ont pointé du doigt lundi l'absence de projet "précis" sur France Travail, soulignant à l'instar de la CFE-CGC qu'il s'agit "un peu encore d'une nébuleuse".
Il y a 2 ans et 268 jours

Les syndicats mettent en garde le gouvernement contre une mesure "cachée" sur les retraites

Le ministre du Travail, Olivier Dussopt, et la ministre déléguée à la Formation professionnelle, Carole Grandjean, ont réuni lundi les partenaires sociaux pour leur présenter leur "feuille de route" du quinquennat sur les différents sujets de leur champ.Interrogés à la sortie, les syndicats ont indiqué que M. Dussopt ne s'était pas avancé sur l'hypothèse d'une mesure pendant les débats budgétaires, renvoyant à la publication du rapport du Conseil d'orientation des retraites (COR).Selon ce rapport, dont l'AFP a obtenu copie peu après et dont les partenaires sociaux n'avaient pas connaissance au moment de la réunion, le système de retraite a dégagé un excédent de 900 millions d'euros en 2021, pour la première fois depuis la crise de 2008, mais son retour durable à l'équilibre reste toujours projeté "vers le milieu des années 2030" dans le meilleur des scénarios.Le ministre réunira à nouveau les partenaires sociaux le 19 septembre pour discuter du diagnostic du COR."Ces échanges permettront successivement de partager un diagnostic du système de retraite et de formuler des propositions pour le rendre plus juste, plus équitable et plus soutenable", selon le dossier de presse communiqué à l'issue de la réunion. Il s'agira aussi de discuter emploi des seniors, pénibilité, etc..."Le rapport du COR devrait être l'alpha et l'oméga" du gouvernement, en a déduit Jean-François Foucard (CFE-CGC).Mais si le gouvernement décidait, à la suite de ce rapport, d'introduire dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale une mesure d'âge "cachée" comme une "accélération de la réforme Touraine", "cela serait dangereux et entraînerait une forte mobilisation, des manifestations et des grèves", a prévenu Michel Beaugas (FO).La réforme Touraine de 2014 augmente progressivement la durée de cotisation pour atteindre 43 ans pour les personnes nées en 1973 ou après."Cela bloquerait tous les autres chantiers", a souligné Cyril Chabanier (CFTC)."Il y a beaucoup de sujets sur lesquels la CFDT est prête à s'engager, comme l'accompagnement des bénéficiaires du RSA ou des demandeurs d'emploi longue durée, mais la sérénité ne sera pas de mise si l'automne est perturbé par une mesure brutale", a averti Laurent Berger (CFDT).Côté patronal, Geoffroy Roux de Bézieux (Medef) a reconnu des "divergences fondamentales" avec les syndicats. Mais si le Medef défend une réforme des retraites, sa priorité cet automne est la réalisation de la réforme de l'assurance chômage.Pour la CPME, François Asselin a estimé que "le pays avait besoin" d'une réforme et qu'il n'y avait "jamais de bon moment".
Il y a 2 ans et 268 jours

Architecture, NFT et métaverse ou le cynisme ordinaire

Depuis avril 2022, la Cité internationale de Paris a mis en vente des dessins en NFT d’un projet d’architecture virtuelle de Jean-Michel Wilmotte, vendu comme le projet de la Maison de l’Ukraine. Un colon à suivre dans le métaverse ? Si les mondes virtuels existent depuis la naissance de la science-fiction, et que nous sommes habitués […] L’article Architecture, NFT et métaverse ou le cynisme ordinaire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 268 jours

Le Campus Transfo de RTE, écrin voulu exemplaire autour de la transition énergétique

EN IMAGES. Inauguré en septembre 2021, le Campus Transfo de RTE, à Jonage, près de Lyon, est le plus grand centre de formation, d'expertise et de recherche d'Europe dans le domaine du transport d'électricité. Conçu autour d'un site de formation existant, le projet devait répondre à un cahier des charges exigeant, RTE souhaitant en faire une vitrine de son savoir-faire.
Il y a 2 ans et 268 jours

Ivry-sur-Seine : l’agrocité Gagarine-Truillot dédie plus de deux hectares à l’agriculture urbaine

Les projets d’agriculture urbaine vont fleurir dans le quartier de l’agrocité Gagarine-Truillot d’Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). L’agrocité...
Il y a 2 ans et 268 jours

Le gouvernement veut verdir la politique de la ville

"Je veux une revue de projet, de tous les projets existants, en 2023, sous l'égide des préfets", a déclaré le ministre lors des journées de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru) à Paris."Ils devront réexaminer tous les projets, car parfois, il suffit de pas grand-chose, de se reposer les bonnes questions : est-ce que la cour de l'école que l'on rénove peut être moins bitumée? Est-ce que la couleur de l'immeuble que l'on réhabilite reflétera ou absorbera moins ou plus les rayons du soleil ?", a détaillé M. Klein qui présidait l'Anru avant d'entrer au gouvernement.Nommée "Quartiers résilients", la démarche s'accompagnera d'investissements dans une cinquantaine de "territoires-pilotes". "Je veux que l'on trouve dans ces quartiers les meilleures innovations en matière de végétalisation, en matière de récupération des eaux usées, de chauffage performant...", a égrené le ministre.Ces investissements, d'un montant de 100 millions d'euros, seront pris sur les 12 milliards déjà affectés par l'Anru au Nouveau programme national de rénovation urbaine (NPNRU) qui couvre la période 2014-2030. "Ils permettront d'orienter une partie des crédits restants (...) pour innover et expérimenter", précise-t-on dans l'entourage du ministre.L'été caniculaire, le deuxième plus chaud jamais enregistré selon Météo-France, a particulièrement affecté les habitants des quartiers prioritaires Politique de la ville, selon un sondage Harris Interactive commandé par l'Anru et publié lundi.Les habitants des quartiers prioritaires sont plus nombreux que le reste des Français à déclarer avoir souffert de la chaleur cet été (76% contre 70%), à avoir mal dormi à cause de la chaleur (74% contre 69%), et nettement plus nombreux à avoir eu des difficultés à trouver un endroit où se mettre au frais (62% contre 48%).L'urbanisme de ces quartiers laisse souvent peu de place à la nature et provoque des îlots de chaleur; et les logements y sont parfois moins bien protégés qu'ailleurs contre la chaleur."J'émets donc le voeu que cette démarche ne soit qu'une première étape d'un projet plus vaste et plus ambitieux, un projet plus large qu'on appellerait Quartiers 2030", a ajouté Olivier Klein, en écho au plan d'investissements promis par Emmanuel Macron dans l'entre-deux-tours de l'élection présidentielle.
Il y a 2 ans et 269 jours

L’État mobilise la recherche sur les grands enjeux auxquels les ruralités sont confrontées

Les travaux de recherche documenteront les grands enjeux auxquels les petites villes et les ruralités sont confrontées : gestion de l’eau et des ressources, mais aussi du foncier, vivre-ensemble, emploi et activité, modes de vies ruraux, transition écologique, etc. Ce dispositif, intitulé POPSU Territoires, vient en appui de l’action gouvernementale menée dans le cadre du programme Petites Villes de Demain.Dominique Faure a également annoncé le lancement d’une grande mission documentaire sur les ruralités, afin de constituer un fonds inédit de reportages sur les territoires ruraux, qui comprend :Une collection d’ouvrages aux éditions Autrement, Les Carnets de territoires, qui synthétisent les enjeux des politiques publiques dans les petites villes et les ruralités ;Une mission photographique nationale sur les ruralités, qui documente les paysages et les activités dans les ruralités ;Une série de documentaires vidéo, les « Portraits de petites villes » et de podcasts.Enfin, Dominique Faure a annoncé le lancement d’un Palmarès des jeunes chercheurs et concepteurs dans les ruralités. Ce palmarès valorisera l'engagement des étudiants en urbanisme, en architecture, en sciences politiques (etc.), qui produisent des travaux de fin d'études sur les ruralités (mémoires, projets architecturaux, projets collectifs, thèses…). Ils contribuent à produire de la connaissance, à disposer de retours d'expériences, et ils forment en conséquence l'action territoriale de demain.Pour Dominique Faure, secrétaire d’État chargée de la Ruralité : « Face à l’urgence écologique et à l’impérieux besoin de cohésion entre les territoires, les enjeux sont immenses et les voies de la transition multiples : la recherche scientifique se mobilise au plus près des élus de nos territoires ruraux. Ces scientifiques travailleront main dans la main avec toutes les forces vives des territoires, les acteurs économiques, sociaux et toute la société civile, pour écrire l’avenir de nos ruralités. »
Il y a 2 ans et 269 jours

La sécurité incendie par la grande porte !

WICONA commercialise WICSTYLE 75FP EI30, une porte coupe-feu 30’ en aluminium recyclé Hydro CIRCAL  La sécurité incendie est un point de plus en plus prégnant dans les appels à projets, marchés publics et privés confondus (ERP, établissements de santé, logements, tertiaire, etc.). En cette rentrée, WICONA complète son offre de porte avec la WICSTYLE 75 […]
Il y a 2 ans et 269 jours

Un outil pour faire face aux catastrophes

Fort de son expertise dans tous les aspects du bâtiment, le CSTB a développé une méthode propre à la gestion de crise touchant le bâti. Sollicité à plusieurs reprises par les autorités pour son expertise technique lors de catastrophes qui ont touché des bâtiments, le CSTB a tiré de ces expériences une méthodologie d'accompagnement à la gestion de crise. Applicable à la majorité des crises potentielles impactant les bâtiments et leurs usagers, cette méthodologie s'appuie sur l'ensemble des compétences du CSTB, notamment en matière de structure, de risques naturels, sanitaires, d'incendie, ou de pathologies liées à l'énergie, l'environnement, ou à la mauvaise exécution ou la dégradation importante de parties d'ouvrages. Romain Mège - Directeur de Domaine d'Action Stratégique Recherche Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.
Il y a 2 ans et 269 jours

Mars Architectes révèle un "Paris caché" en coeur d'îlot

EN IMAGES. 14 logements bois en coeur d'îlot dans le 12e arrondissement de Paris. C'est le projet dessiné par Mars Architectes pour Gecina et livré en 2020. Les concepteurs ont fait appel à la préfabrication bois pour faciliter l'intervention en coeur d'îlot.
Il y a 2 ans et 269 jours

Avancement de la construction du projet Natura, première résidence bas carbone d'envergure en Occitanie

Isolation bois-paille, peinture à base d’algues ou encore chaufferie bois, sa conception est avant-gardiste et exemplaire en termes de consommation énergétique et de performance thermique.La pose d’une botte de paille de ce projet qui verra le jour fin 2023, a eu lieu sur site le jeudi 8 septembre, en présence de Mme Annette Laigneau, Adjointe au Maire de Toulouse en charge de l’Architecture Communale et Urbanisme, M. Jean-Jacques Bolzan, Adjoint au Maire, maire de quartier 6.1, Arènes Romaines, Saint-Martin-du-Touch, Purpan, les représentants d’Oppidea ainsi que les différents partenaires de Premium Promotion.Située à Saint Martin du Touch, la résidence Natura propose plus de 100 logements, du 2 au 5 pièces, répartis sur 4 plots d’habitation aux vastes surfaces extérieures.Les matériaux utilisés offrent une consommation énergétique et une performance thermique optimale qui permettent à Natura de s’inscrire dans de nombreuses démarches qualités et environnementales telles que la démarche BDO (Bâtiment Durable Occitanie) et l’appel à projet Nowatt de la Région Occitanie, et de viser des labels et certifications comme le NF Habitat HQE niveau Excellence et le E+C- niveau E3C2.Résidence bas carbone, le projet Natura répond à trois fondamentaux.Le recours aux matériaux biosourcésPour garantir un projet immobilier durable, le recours aux matériaux biosourcés est essentiel. A titre d’exemple, les façades de la résidence sont réalisées par des caissons en bois massif isolés avec des bottes de paille offrant ainsi une performance énergétique conforme aux attentes des bâtiments passifs. Le niveau d’isolation des parois est supérieur de plus de 50% par rapport aux projets RT2012 habituels. De plus, ce matériau naturel, abondant et dont le bilan environnemental est exemplaire en circuit court, offre un confort optimal l’été grâce à son déphasage important.Cette enveloppe très performante, couplée à une chaufferie bois et une pompe à chaleur communes à l’ensemble des bâtiments pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire garantissent des charges de fonctionnement extrêmement faibles.La préservation environnementale et la qualité des logementsLes toitures sont en forme de serres ce qui offre une double voire triple exposition dans chacune des pièces. Chaque logement dispose de terrasses. Enfin, la peinture utilisée dans tous les logements est écologique et à base d’algues. En cœur d’îlot, un vaste espace paysagé aux arbres centenaires préservés, des toits pour jardiner dans un potager partagé avec serre agricole commune, ou en rez-de-chaussée pour retirer des fruits et légumes bios depuis des casiers maraîchers offriront aux résidents une réelle qualité d’usage et les placeront au cœur du paysage.Le vivre ensemble et l’aménagement d’espaces partagésDes ateliers pour les jardins potagers seront proposés aux résidents pendant 2 ans afin que ces derniers puissent s’approprier les espaces communs et les faire vivre dans le temps. Enfin, les résidents pourront jouir d’un appartement polyvalent (à la fois chambre d’hôtes, lieu de rencontre des résidents ou de télétravail).« Nous construisons la ville de demain, pour un art de vivre plus pérenne et responsable » Sébastien Rue, Dirigeant – Fondateur de Premium Promotion.
Il y a 2 ans et 269 jours

Hellio et l'Ucanss s'engagent pour accélérer la rénovation énergétique des bâtiments de la Sécurité Sociale

Cette collaboration vise à faciliter l'obtention des primes financières CEE, permettant aux organismes de Sécurité sociale de mieux valoriser les travaux de rénovation énergétique sur leur parc immobilier. Une signature qui augure des économies d'énergie pour les bâtiments tertiaires des organismes de la Sécurité sociale à l'heure où le prix de l'énergie est une préoccupation pour tous.Rénover pour faire face à la hausse des prix de l'énergie et atteindre les objectifs du décret éco-énergie tertiaireL'institution Sécurité sociale représente plus de 4 millions de m² de surface de bureaux, avec une consommation d'énergie annuelle d'environ 540 GWh.Face à la forte hausse des prix de l'énergie et dans la perspective des objectifs de réduction des consommations d'énergie du décret éco-énergie tertiaire à atteindre (- 40% d'ici 2030, – 50% d'ici 2040, et – 60% d'ici 2050), la rénovation énergétique apparaît comme un des leviers majeurs à actionner pour consommer moins et mieux l'énergie. D'autant plus que celle-ci bénéficie du soutien des CEE, un dispositif d'aides privées financé par les plus gros fournisseurs d'énergie (EDF, Total Energies, Engie, etc.).De nombreux organismes de Sécurité sociale projettent de réaliser des travaux d'économies d'énergie, ce qui permettra de générer des Certificats d'Économies d'Énergie qui contribuent :à la valorisation des travaux de performance énergétique,au financement de tout ou partie des travaux d'efficacité énergétique,et à l'accélération du lancement de projets grâce à des moyens financiers supplémentaires.Simplifier les démarches d'obtention des aides financières CEEGuidée par la volonté de simplifier les démarches d'obtention des financements des caisses de Sécurité sociale pour la rénovation de leurs bâtiments, l'Ucanss a choisi de s'appuyer sur l'expertise de Hellio, acteur du dispositif depuis 2008.Concrètement, Hellio accompagne l'Ucanss et les Caisses nationales de Sécurité sociale dans la détection de gisements d'économies d'énergie et réalise des préconisations techniques et d'optimisation des CEE pour les travaux de rénovation énergétique à mener. L'acteur de référence de la maîtrise de l'énergie apporte également son aide pour le montage des dossiers CEE et le versement des primes.Cette signature annonce de nombreuses actions communes entre Hellio et la Sécurité sociale. D'une durée de 4 ans, le partenariat a été conclu pour toute la durée de la 5e période des CEE.« L'an dernier, nous nous engagions dans le programme Impulsion2021 qui a permis de sensibiliser des milliers de collaborateurs aux gestes éco-responsables et de tester des solutions techniques innovantes à gains rapides. Dans le prolongement, cette convention de partenariat signée avec Hellio nous inscrit dans une démarche durable en faveur de la transition énergétique qui est un enjeu sociétal et économique majeur » souligne Raynal Le May, Directeur de l'Ucanss.« Nos objectifs communs, grâce aux CEE valorisés par Hellio et aux travaux réalisés par la Sécurité sociale, reposent sur un triptyque essentiel pour massifier la transition énergétique : maximiser les économies d'énergie des bâtiments, travailler sur le confort thermique des usagers et collaborateurs et améliorer la valorisation du patrimoine immobilier », souligne Pierre Maillard, Président Directeur Général de Hellio.
Il y a 2 ans et 269 jours

Participation au prix du public ouverte pour les Victoires du Paysage 2022

Jusqu'au 17 octobre, le grand public peut voter pour son projet préféré au concours national qui récompense les maîtres d'ouvrage publics et privés pour leurs remarquables aménagements paysagers.
Il y a 2 ans et 269 jours

De Mayol à Pipady par Corinne Vezzoni, Snøhetta et HYL

La rade de Toulon (Var) sera en partie réaménagée par Corinne Vezzoni, SNØHETTA et HYL Paysagistes. Le groupement a remporté l’appel à projet « L’Avenir de la rade de Toulon – De Mayol à Pipady » pour la Métropole Toulon Provence Méditerranée. Premières livraisons attendues pour 2025. Communiqué. Corinne Vezzoni et associés, SNØHETTA et HYL […] L’article De Mayol à Pipady par Corinne Vezzoni, Snøhetta et HYL est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 269 jours

Le ministre du Logement, Olivier Klein, veut verdir tous les projets Anru en cours

ANNONCE. Le ministre de la Ville et du Logement, ancien président de l'Agence nationale de rénovation urbaine (Anru), a lancé le plan "Quartiers résilients" aux journées annuelles de l'agence. Les préfets devront passer en revue toutes les opérations de renouvellement urbain en cours.
Il y a 2 ans et 269 jours

Deux recours déposés contre le projet de parc éolien au large de l'île d'Oléron

ENVIRONNEMENT. Préoccupées par la conservation des oiseaux et les capacités de pêche locale, des organisations non gouvernementales et la mairie de Saint-Pierre-d'Oléron ont annoncé avoir déposé deux recours gracieux pour faire modifier un projet de parc éolien prévu au large de l'île d'Oléron.
Il y a 2 ans et 269 jours

Alphi rachète Simpra

Simpra assure la construction de coffrage sur mesure pour les chantiers de travaux publics et de génie civil. [©ACPresse] Le groupe savoyard Alphi vient d’annoncer l’acquisition de 100 % des titres de l’industriel francilien Simpra. Né il y a 60 ans, ce dernier est spécialisé dans la construction de coffrages sur mesure à destination des chantiers de génie civil et d’ouvrages fonctionnels. A sa tête, Jean-Paul Buvat et Alain Nouhaud en assurent le développement, tant en France qu’à l’international où Simpra réalise aujourd’hui 50 % de son chiffre d’affaires. A l’issue de la transaction, Alain Nouhaud poursuit son activité au sein de l’entité Simpra, assurant ainsi la permanence des savoir-faire et l’aboutissement de nombreux projets à l’étude… De plus en plus internationale Pour Alphi, cette intégration constitue un véritable renforcement de l’offre commerciale vers des outils jusqu’à maintenant peu présents dans la gamme. A savoir, des équipements spécifiques, réalisés à façon. En même temps, le groupe savoyard accroît sa capacité à proposer des coffrages pour dalles et voiles, de type grimpant, des étaiements ou encore des systèmes de protection de façades. « Il s’agit pour nous d’une opportunité de mutualisation des compétences, aussi bien au niveau des équipes que des matériels, en France comme à l’international », indique Alexandre Souvignet, président l’Alphi. Et de poursuivre : « Alphi et Simpra partagent des valeurs clefs comme le service clients, l’expertise technique, l’excellence opérationnelle et, surtout, un mode de management bienveillant ». [Web uniquement] La reprise de Simpra confirme le dynamisme du groupe Alphi en matière de développement et de croissance externe. Elle intervient quelques mois après l’acquisition du Suisse Adria, forte de près de 100 ans d’expertise dans l’étaiement et le matériel pour la construction. Et s’inscrit dans le cadre de l’accélération du déploiement d’Alphi à l’international, en direction du Portugal, du Royaume-Uni, de l’Afrique et de l’Inde.
Il y a 2 ans et 269 jours

Des chantiers rénovation, fiabilisation de l'acte de construire, innovation

Romain Mège - Photo : Raphaël DautignyPour massifier la rénovation, il est indispensable, en premier lieu, de s'appuyer sur une bonne connaissance du parc des bâtiments existants pour savoir où l'on en est, mesurer les progrès réalisés et les efforts restant à fournir et fiabiliser les stratégies de rénovation à l'échelle d'un territoire, ou à celle du parc d'une foncière ou d'un bailleur. Pour que les acteurs puissent arrêter leur projet et le mener à bien, il est nécessaire de concevoir des protocoles d'évaluation multicritère : à la fois des nouveaux produits, mais aussi des systèmes et matériaux qui, tombés en désuétude, ne disposent pas de la documentation scientifique et technique nécessaire. Nos travaux sont à la fois théoriques et appliqués, prenant alors la forme de « recherche action », accompagnant des collectivités et des propriétaires dans leur appropriation des outils numériques et dans la découverte de toutes les opportunités que ceux-ci peuvent engendrer. Romain Mège - Directeur de Domaine d'Action Stratégique Recherche En savoir plus : Consultez les Feuilles de route scientifiques et techniques, vision 2030 Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises & Activité 2021 Dans la continuité de son premier rapport RSE, le CSTB souhaite, cette année encore, partager son engagement sociétal pour l'année 2021 au travers de ses projets phares et de ses actions en interne.