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Il y a 4 ans et 54 jours

Le Groupe Coulidoor relève le défi d'une fabrication plus responsable

Fort de ses 3 centres de fabrication disposant d’une logistique intégrée, le groupe assure une couverture nationale. Chaque jour, 500 panneaux, 40 à 50 îlots blocs tiroirs et 1.000 vantaux sont fabriqués. Tous ces composants sont ensuite acheminés auprès des clients du groupe : 900 agenceurs en aménagement intérieur pour la marque premium Ambiance Dressing et tous les négoces en matériaux pour la marque Coulidoor.Chaque année, pas moins de 350.000 portes de placards sortent des ateliers du groupe, lequel réalise un chiffre d’affaires annuel d’environ 40 millions d’euros. Conscient des impacts de son activité sur l’environnement, le groupe Coulidoor veille à agir, en recyclant les déchets, en privilégiant les circuits courts et en adoptant une politique d’achat responsable pour 90 % des produits. L’objectif est d’atteindre les 100 %. Ainsi, à son niveau, le groupe maintient l’activité locale et évite la fuite des savoir-faire sous d’autres latitudes.Afin d’aller encore plus loin dans cette démarche, Coulidoor a recruté le 11 janvier 2021 Nicolas Gicquère en tant que responsable performance durable. Cette création de poste s’est imposée naturellement après le diagnostic réalisé par ce dernier en tant que consultant pendant les 6 derniers mois. La pérennité de Coulidoor sera assurée en partie grâce à une solution : l’innovation environnementale.Une fabrication qui a du sens...Nicolas Gicquère, responsable performance durable "C’est un défi en trois phases : Diagnostiquer, Agir et Innover. Diagnostiquer l’empreinte environnementale à partir d’outils tels que les bilans d’émissions carbone et les analyses de cycles de vie, nous permet de hiérarchiser les leviers à activer pour inscrire le groupe sur une trajectoire toujours plus vertueuse. Agir en exploitant ces données dans notre fonctionnement et développer l’écono-mie circulaire pour réduire nos besoins en ressources. Innover pour accompagner à long terme, le mouvement vers une société toujours plus sobre qui modifiera en profondeur les attentes de nos clients et de toutes nos parties prenantes. »Les entreprises ont une force plus impactante…En termes d’échelle, et comparé avec ce que les particuliers et associations peuvent mettre en place, les entreprises possèdent, à l’évidence, un pouvoir d’action beaucoup plus impactant sur l’environnement. En intégrant structurellement la question environnementale dans sa vision à long terme, Coulidoor maximise les effets de leviers pour améliorer sa performance durable tout en veillant à saisir les opportunités d’améliorations dans son fonctionnement quotidien. Si une telle ambition peut sembler longue à atteindre, l’un des préalables pour y parvenir est d’établir un guide méthodologique de sensibilisation et d’actions quotidiennes. Et c’est très exactement ce que le groupe Coulidoor a fait. Ainsi, en agissant de manière collective pour relever le défi permanent de la préservation de l’environnement, Coulidoor contribue, à son niveau, au mieux vivre ensemble et au bien-être individuel.La Charte des Achats ResponsablesDans la continuité de la démarche de Responsabilité Sociétale d’Entreprise initiée par le groupe, Coulidoor a mis en place une Charte des Achats Responsables qui a pour ambition de partager son engagement avec ses fournisseurs, sous-traitants et partenaires majeurs de son développement. Elle décrit les engagements sociaux, sociétaux et environnementaux demandés à ses partenaires mais également les engagements que Coulidoor prend vis-à-vis de ces derniers. Ils s’engagent à signer la Charte et collaborer avec Coulidoorpour la mettre en oeuvre et à prendre toute mesure corrective appropriée si nécessaire.Le groupe Coulidoor déploie les moyens et les ressources pour atteindre ses objectifs RSE. Outre les motivations environnementales, les futures obligations réglementaires suite aux Accords de Paris en 2015 à la COP 21* sont un bon moteur pour innover. A terme, les entreprises et les produits afficheront fièrement leur bilan carbone. On connaissait la compta analytique, la compta des bilans carbone s’imposera.
Il y a 4 ans et 54 jours

De la forêt à la charpente, la longue marche des chênes pour la reconstruction de Notre-Dame

Huit arbres d'exception repérés dans cette futaie - plus de vingt mètres de tronc utile et un mètre de diamètre - ont été sélectionnés vendredi par Philippe Villeneuve et Rémi Fromont, architectes en chef des monuments historiques.Destinés au tabouret de la flèche détruite dans l'incendie du 15 avril 2019, ainsi qu'aux charpentes du transept et travées adjacentes, ils assureront l'assise d'une structure de quelque 300 tonnes.Ici, tel chêne immense, marqué d'un chiffre 8 peint en rouge, sera épargné, car on y a découvert un noeud. Là, un autre géant porte la pancarte "arbre numéro un" et sera bientôt à terre."Un drone a fait des profils en 3D pour vérifier ceux qui convenaient", raconte à l'AFP Aymeric Albert, chef du département commercial de l'Office national des forêts (ONF). Ils doivent en effet être légèrement courbés, pour que les futures poutres suivent la courbure des voûtes, en reliant les piliers de la croisée du transept.Un millier de chênes de l'Hexagone ont été offerts. Ils sont issus pour moitié de forêts publiques, pour moitié de quelque 150 forêts privées. Et de nouvelles offres continuent d'affluer.Dans une phase ultérieure, il faudra refaire les charpentes médiévales de la nef et du choeur. Des milliers d'autres arbres, plus jeunes cette fois, seront sélectionnés. Des chênes ont déjà été aussi proposés par des donateurs étrangers."Récolte"La "récolte" de ces mille arbres, comme on nomme l'abattage en langue forestière, était déjà prévue pour 2021. Afin de permettre aux futaies de se régénérer naturellement.L'opération va s'achever ces prochains jours, plus vite que prévu, avant la montée de sève.Pendant six mois, les troncs seront laissés sur place "car l'arbre peut réagir, avec des vrilles, des courbures. Quand il a vrillé, alors on sait qu'il ne bougera plus", explique Aymeric Albert.Chaque arbre est identifié par un numéro permettant sa traçabilité.D'avril à juin, les troncs seront "débardés" (amenés au bord des chemins), puis au deuxième semestre, ils seront débités et transportés dans une vingtaine de scieries.Leur temps de séchage sera de 12 à 18 mois, jusqu'à ce qu'un taux d'humidité de moins de 30% soit atteint.Début 2023, ils seront transportés vers les ateliers des charpentiers, qui suivront les plans de l'architecte Eugène Viollet-Le-Duc qui avait restauré Notre-Dame au 19e siècle, pour une reconstruction à l'identique.Répondant aux inquiétudes d'associations dénonçant l'abattage d'arbres centenaires, la ministre française de la Culture Roselyne Bachelot, venue assister à ce moment symbolique, s'insurge: "Comment défendre la filière bois sans procéder à des coupes prévues en tout état de cause! Il n'y a aucune flibuste, aucun piratage, aucune amputation du patrimoine. Une forêt, ça se gère".Selon l'ONF, ces mille chênes représentent 0,1% de la récolte annuelle de bois de chêne destiné à la construction ou l'ameublement."Il pousse plus de chênes qu'on en récolte: 3 millions de mètres cubes, contre 2 millions, chaque année", estime Aymeric Albert.Leur sélection, s'est félicité l'architecte en chef Villeneuve, "est le début de la renaissance réelle de la cathédrale. On entre dans une phase où on va voir renaître des choses neuves". Même si la restauration ne débutera formellement qu'en septembre.Interrogé sur les risques d'un dépassement des délais de cinq ans du chantier, le général Jean-Louis Georgelin, président de l'Etablissement public chargé de Notre-Dame, les balaie: "nous sommes dans les temps pour rendre la cathédrale au culte en 2024. Même s'il restera "encore beaucoup de travail".Et de poursuivre : "En 2024, vous verrez dans le ciel de Paris briller la flèche qui ne sera plus la flèche de Viollet-Le-Duc mais de Philippe Villeneuve!".
Il y a 4 ans et 57 jours

Face aux difficultés de stationnement, la mairie de Paris promet un plan d'ici l'été

CONDITIONS DE TRAVAIL. Les "États généraux du stationnement" organisés par la municipalité de Paris ont rendu leurs conclusions, sur lesquelles se basera un plan d'actions présenté d'ici l'été 2021. Les travaux ont fait ressortir que les emplacements dédiés aux professionnels devaient être "gardés et sanctuarisés".
Il y a 4 ans et 57 jours

Décès de l'architecte Henri Gaudin

DISPARITION. L'architecte Henri Gaudin est décédé dans la nuit de jeudi à vendredi à l'âge de 87 ans, a annoncé son entourage à l'AFP. Parmi ses oeuvres, le stade Charléty (avec son fils Bruno), l'extension-restructuration du Musée Guimet à Paris, ou encore, l'école normale supérieure de Lyon et la Cité de la musique et de la danse de Strasbourg.
Il y a 4 ans et 57 jours

A Paris, l’Ancienne-Comédie rénovée par Raf Listowski, ce n’est pas du théâtre

Raf Listowski Atelier d’architecture a livré en février 2021 la réhabilitation et transformation d’un bâtiment historique en quatre logements et deux bureaux au 14 rue de l’Ancienne-Comédie à Paris (VIe). Sur une surface totale de 1200m² (442 m² de bureaux ; 760 m² de logements), pour un montant des travaux de 3,45 M €, un nouveau […] L’article A Paris, l’Ancienne-Comédie rénovée par Raf Listowski, ce n’est pas du théâtre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 57 jours

Logements anciens à Paris: hausse des prix de 5,4% au 4e trimestre 2020

Les prix de l'immobilier ancien à Paris ont grimpé de 5,4% au dernier trimestre 2020 avec une moyenne de 10.770 € le m2 contre 10.220 € au 4e trimestre 2019,
Il y a 4 ans et 57 jours

Prix Paris Shop & Design – Appel à candidatures 2021

Vous avez créé ou rénové un point de vente à Paris ? Candidatez pour le prix Paris Shop & Design et développez votre notoriété ! Jusqu’au 31 mai 2021. La Chambre de commerce et d’industrie de Paris (CCI) lance la 7ème édition du prix Paris Shop & Design qui récompense les initiatives les plus innovantes […] L’article Prix Paris Shop & Design – Appel à candidatures 2021 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 57 jours

Le tunnel de la ligne 14 sud est terminé

Le 3 mars, le tunnelier Allison a percé le tympan sud de la future station Maison-Blanche, à Paris, dans le XIIIe arrondissement. Son arrivée marque la fin du creusement des 14,2 kilomètres de tunnel du prolongement vers l’aéroport d’Orly.
Il y a 4 ans et 57 jours

L’entrepôt devenu bureaux

Autrefois entrepôt de stockage d’un antiquaire, le 5 rue de Téhéran (Paris 8e) abrite aujourd’hui... Cet article L’entrepôt devenu bureaux est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 58 jours

Utiliser l’impression en 3d de manière utile

L’usage de l’impression 3d est devenu populaire dans le monde professionnel, notamment dans le secteur médical et industriel. Cette nouvelle technologie a permis des avancées majeures dans plusieurs secteurs d’activités. Grâce à elle, les sociétés ont un gain de temps favorable dans le processus de développement. Découvrez ci-dessous comment utiliser cette révolution d’une manière utile et nécessaire. Comment fonctionne l’impression 3D ? Tout commence par un modèle numérique 3D créé par un logiciel. Ce modèle conçu est ensuite découpé en plusieurs couches pour que l’imprimante 3D puisse le lire convenablement. Le matériau utilisé par l’imprimante 3D est superposé couche par couche selon le modèle 3D et le processus de fabrication. Bien évidemment, les procédés de fabrication 3D utilisent différents types de matériaux comme : plastique, métaux, céramique, sable, biomatériaux, aliments, matières organiques, etc. Cependant les imprimantes d’entrée de gamme ne peuvent pas utiliser l’ensemble de ces matériaux. Chacune de ces machines traite les matériaux de différentes manières. C’est un point important à ne pas oublier et qui est malheureusement l’une des limites de cette révolution. Les procédés d’impression courants •   La stéréolithographie ou SLA C’est l’un des premiers procédés de l’impression 3D à avoir été mise en pratique. Elle a été créée par l’américain Charles Hull, fondateur de 3D Systems. Ce processus se base sur la création d’un modèle numérique pour la fabrication d’un prototypage. Il utilise un liquide photosensible (résine photopolymère) maintenu dans la cuve qui réagit avec le rayon laser ultraviolet et se durcit petit à petit pour former une forme précise. Généralement, ce type d’imprimante comporte quatre parties principales : le réservoir q, la plateforme perforée, le rayonnement UV et l’ordinateur qui commande la plateforme ainsi que le laser. Ce premier procédé est toujours mis en œuvre puisqu’il offre des finitions bien précises et abouties. D’ailleurs, si vous cherchez une impression 3d à Paris, optez pour cette solution. •   Le traitement numérique de la lumière ou DLP Ce traitement est similaire à la stéréolithographie, car il fonctionne avec des photopolymères. L’unique différence est la source de lumière. Cette seconde technique utilise effectivement des lampes à arc avec un panneau à cristaux liquides ou un dispositif à miroir déformable. Ces accessoires sont ensuite appliqués sur la surface de la cuve. Bien entendu, le temps de fabrication s’avère être plus rapide par rapport à la précédente. •   Le frittage laser ou fusion au laser ou SLS Il s’agit d’un processus d’impression par laser. Le faisceau laser ultra puissant va entrer en fusion une poudre compacte (le polyamide) positionnée sur la plateforme mobile. Ce matériau va être balayé par les faisceaux laser à des points bien précis définis par le fichier STL communiqué par l’ordinateur ou l’imprimante 3D. Au final, les particules vont se solidifier et former un prototype. L’avantage de cette technique est que vous aurez la possibilité d’employer la poudre comme support afin de créer des pièces plus ou moins complexes. La matière première est généralement de couleur blanche et va donner une surface poreuse. Vous pouvez la repeindre si vous désirez lui donner de la couleur. La céramique ainsi que la poudre de verre peuvent aussi être utilisés sans problème lors de la découpe au laser en ligne. •   La 3DP ou Three-Dimensional Printing La 3DP constitue la base du processus d’impression 3D de Z Corporation. Le principe est simple, il étale une fine couche de poudre de composite sur une plateforme. Ensuite, la tête d’impression va déposer de fine gouttes de glu colorées qui vont combiner entre elles pour obtenir un panel de couler. La plateforme s’abaisse lentement jusqu’à ce que les couches de poudre se collent et obtiennent l’objet final. Pour avoir une finition impeccable, il suffit de brosser ou de poncer l’excédent de poudre sur la pièce et de la chauffer pour achever la solidification. Comme vous pouvez le constater, la 3DP est une méthode très rapide et propose une grande variété de couleurs. Malgré le fait qu’elle manque un peu de précision et de qualité d’impression, son prix est 6 fois moins cher que l’imprimante 3D SLA. •   Fused Deposition Modeling ou FDM/FFF/MPD C’est une méthode très courante pour les impressions 3D. La majorité des imprimantes 3D personnelles suivent ce principe. Elle fait fondre le filament de matière thermoplastique à 200 °C par le biais d’une extrudeuse et dépose une par une les couches de plastique sur une plateforme. Le plastique chauffé se durcit afin de former l’objet imaginé par l’imprimante. La tête d’impression se déplace en fonction des coordonnées transmises par le fichier 3D correspondant au modèle 3D de l’objet à imprimer. Grâce à l’évolution, cette imprimante ne se limite plus à du plastique. Elle peut supporter les filaments composites à base de métal, de fibres de carbone et de bois. À part la société Stratasys qui l’a inventé, la fabrication par dépôt de fil fondu est aussi adoptée dans la médecine, les aliments agroalimentaires.
Il y a 4 ans et 58 jours

Covid-19 : l'espoir du "bout du tunnel" au printemps, mode d'emploi

Pourquoi mi-avril ?Après les "4 à 6 semaines" à tenir encore évoquées par Emmanuel Macron lundi, Gabriel Attal a espéré mercredi un "retour à une vie plus normale (...) peut-être dès la mi-avril", grâce à l'effet de la vaccination pour alléger la pression hospitalière. L'exécutif surveille notamment le modèle de l'Institut Pasteur qui estime que le nombre d'hospitalisations pourrait être quasiment deux fois plus faible le 1er mai. Il table aussi sur l'accélération de la vaccination: Le gouvernement espère six millions de la primo-injections supplémentaires, neuf millions au total fin mars. "Une montée en puissance de l'immunité collective qui peut nous permettre de commencer à desserrer les contraintes" sur "les lieux qui font la vie sociale".Pourquoi se risquer à donner une date ?Parce que les Français sont de plus en plus las après un an de crise. L'exécutif estime indispensable de leur donner un horizon, d'autant qu'une partie du pays risque de subir dès la semaine prochaine de nouvelles restrictions. "Je sais que ce couvre-feu c'est très dur pour les Français", a dit Emmanuel Macron à un senior lundi. "Mais, pour la première fois depuis des mois, le retour à des vies plus normales est en vue. Notre sport, notre culture, tous nos exutoires, tous ces lieux qui font notre vie sociale rouvriront", a assuré Gabriel Attal. "C'est évidemment un horizon au bout du tunnel que nous devons toujours avoir en vue".Le sésame numériqueAfin de pouvoir rouvrir les lieux culturels, sportifs et de restauration, tout s'articulera autour du "pass sanitaire" annoncé par Emmanuel Macron la semaine dernière, un outil numérique. Ses modalités figurent au menu d'une réunion organisée à l'Elysée ce mercredi avec les principaux ministres concernés. Sa mise en place posera en effet de nombreuses questions techniques, de respect des données individuelles et des libertés. Et nécessitera un texte législatif, selon l'exécutif, d'où l'obligation d'anticiper.TraçageCe "pass", qui pourrait être liée à l'appli TousAntiCovid, pourrait être d'abord un outil de traçage des contaminations et d'alerte pour les cas contacts, grâce un QR code d'identification cryptée à scanner à l'entrée des restaurants ou des salles de sport. Si un client s'est trouvé à l'intérieur au même moment qu'une personne dépistée positive, elle recevra une alerte pour se faire tester. Ce QR Code, sur lequel les professionnels travaillent depuis trois mois, pourrait aussi mesurer automatiquement la jauge de fréquentation et réguler les entrées. Ce système devrait être plus efficace que TousAntiCovid, encore peu utilisée.Accès réservé aux vaccinés et aux testésMais le "pass sanitaire" pourrait aussi permettre de donner accès à certains lieux aux personnes qui ne risquent pas d'en contaminer d'autres, soit parce qu'elles sont vaccinées, soit parce qu'elles ont passé un test négatif récent, de moins de 72 ou 48 heures, a expliqué le chef de l'Etat. Pas question en revanche d'un "passeport vaccinal" qui réserverait l'accès aux seuls vaccinés tant que le vaccin ne sera pas accessible à tous. Le sujet divise l'Union européenne et Macron fait partie de ceux qui y sont totalement opposés.Les protocolesPiste parallèle, la mise en place de protocoles expertisés, en particulier pour les festivals, grandes salles de spectacles ou stades. Chaque ministre a été prié de présenter mercredi des protocoles sanitaires sûrs. Le gouvernement attend en particulier le résultat de plusieurs "concerts-tests" qui seront organisés fin mars par le ministère de la Culture à Paris et à Marseille. Le principe : des tests à l'entrée, sans empêcher les positifs de rentrer, une distanciation organisée, puis des tests post-événement pour savoir si le protocole a réussi à empêcher les contaminations.
Il y a 4 ans et 58 jours

Portalp, une entreprise qui défie la crise

Aboutissement d’une politique soutenue d’investissements et de croissance externe, Portalp dispose aujourd’hui d’une offre globale de produits et services pour l’ouverture et la mise en sécurité des bâtiments. Malgré un contexte économique tendu, le groupe Portalp défie la crise et continue de se développer grâce à l’obtention de nouveaux marchés d’envergure.PORTALP, une ETI familiale française dynamiqueLa société Portalp fabrique, sur son site historique de production près de Grenoble en Isère, des gammes de portes automatiques piétonnes. Par différentes acquisitions d’entreprises complémentaires à son activité, Portalp dispose d’une expertise dans de nombreux domaines en lien avec son cœur de métier. Cette synergie lui permet de proposer une offre globale de solutions et systèmes destinés à faciliter l’accès et la sécurité de tous les bâtiments (commerces, tertiaire, hôtellerie, restauration, industrie, santé, transport, logistique) et d’intervenir depuis l’étude d’un projet jusqu’à sa maintenance. Afin d’être au plus proche de ses clients, Portalp s’est dotée d’un réseau français de 26 agences régionales, complété depuis 2007 par 6 filiales dans le monde (USA, Luxembourg, Belgique, Italie, Espagne et Autriche).Chacune de ces agences assure l’installation et la maintenance de tous types d’automatismes, quelle que soit la marque. Inscrite dans l’ADN de l’entreprise, cette volonté de proximité et de services s’appuie également sur un maillage international de distributeurs partenaires couvrant de nombreux pays en Europe, Afrique, Moyen-Orient, Asie, Amérique du Nord et Amérique Latine.Aujourd’hui, le groupe Portalp, qui compte 900 collaborateurs en France et à l’international, réalise un chiffre d’affaires de 100 millions d’euros (2019). Avec plus de 450 000 installations dans le monde et 78 000 équipements en maintenance, Portalp continue de se développer en 2020 malgré un marché français en baisse.Des projets d’envergure, accélérateurs de croissanceAvec l’appui de son réseau d’agences, de filiales et de partenaires, Portalp a remporté des projets prestigieux en France et à l’étranger (CHU de Grenoble, Aéroport de Saint-Domingue, partenariats avec les plus grands réseaux d’agences bancaires...). Son expertise depuis plus de 20 ans dans les portes palières de quais s’est également illustrée dès 2019 en remportant trois contrats d’une ampleur sans précédent, en groupement avec ENGIE Solutions :L’obtention du marché des façades de quai des cinq stations de la nouvelle ligne U5 du métro de Vienne (Autriche), comprenant la fourniture de 1.300 mètres linéaires de façades dont 180 portes palières ainsi que la maintenance sur 25 ans. Ce contrat a ainsi donné lieu à la création de Portalp Autriche.L’attribution de deux marchés liés au GrandParis Express. D’une part, la Société du Grand Paris a confié au groupement ENGIE Solutions-Portalp l’équipement de seize gares des lignes 16 et 17, soit 1728 mètres linéaires de façades dont288 portes palières. D’autre part, la RATP lui a également ouvert les portes du métro automatisé du prolongement de la ligne 14 pour laquelle Portalp fabriquera 1920 mètres linéaires de façades dont 384 portes de huit stations. Pour répondre à tous ces grands projets en cours et à venir, qui contribuent à la pérennité et au développement de l’entreprise, Portalp a lancé des investissements stratégiques, gages de réussite :La construction, toujours près de Grenoble, d’une usine à Saint-Égrève. A la pointe de la modernité, ce nouvel outil industriel, d’une surface de production de 6 500 m2, doit permettre à l’entreprise d’augmenter sa capacité d’au moins 50 % en 2021.Un nouveau plan de recrutement (ingénieurs, techniciens de pose et maintenance, commerciaux...), alors que l’effectif de l’entreprise est déjà passé de 750 à 900 collaborateurs en un an.Autant de moyens que Portalp se donne pour continuer à placer l’innovation produit au cœur de sa croissance.Une politique d’innovation constantePortalp a construit sa force et sa notoriété sur l’innovation et l’expertise en développant des gammes nourries par les besoins et attentes de ses clients autant que par une vision d’avenir.L’entreprise propose ainsi :Des familles de portes automatiques piétonnes pour répondre à toutes les configurations (cintrées, coulissantes, battantes, coupe-feu, sur-mesure...) qui intègrent la plateforme PORTALP RS, nouvelle génération de portes connectées, lancées en 2020Des solutions pour sécuriser les accès des bâtimentsDes portes et façades de quai comprenant le module RS Métro. Utilisées dans les transports publics, elles sont conçues pour optimiser la sécurité des passagers et faciliter la maintenanceDes réalisations spéciales sur-mesure pour équiper des téléphériques, funiculaires et grandes roues.Certifiées et conformes aux normes nationales et internationales en vigueur, toutes ces gammes répondent aux plus hautes exigences de qualité et de sécurité. Conçues et fabriquées sur le territoire national, elles témoignent de l’attachement de Portalp à ses racines. Cette production Made in France se traduit par une politique d’approvisionnement favorisant les circuits courts et par l’obtention, en septembre 2020, du label Origine France Garantie. En France, cette offre globale s’accompagne d’un réseau intégré de plus de 300 techniciens, répartis sur l’ensemble du territoire pour être au plus proche des clients, qui assurent la maintenance 7j/7 et 24h/24.Une entreprise tournée vers l’avenirPortée par l’enthousiasme de son vice-président Maxime Duponchel, qui reprend progressivement le flambeau, l’entreprise familiale Portalp entend bien maintenir le cap et poursuivre en 2021 cette trajectoire du succès.« Portalp a mis en œuvre un plan de croissance particulièrement volontaire, qui a porté ses fruits avec l’ouverture de nouveaux marchés à fort potentiel, en parallèle de la consolidation de nos activités historiques. En 2020, nous nous sommes donnés les moyens de transformer et de moderniser nos outils de production mais également de développer nos ressources R&D. Durant cette même année, nos effectifs ont connu une croissance de 25 %. Ces axes stratégiques contribuent à affirmer notre développement technologique et notre savoir-faire "Made in France" sur le plan international. Pour 2021, de nouveaux défis nous attendent. Résolument tournés vers l’avenir, nous sommes déterminés à poursuivre notre développement autour de deux axes majeurs : la satisfaction de nos clients et l’innovation. Croyez-moi, nous sommes une vraie fourmilière, regorgeant de créativité, de talents et de projets ambitieux ! L’histoire ne fait que commencer... »Maxime DuponchelPortalp en bref :Près de 60 ans d’existence100 millions de CA en 2019900 collaborateurs10.000 portes automatiques piétonnes fabriquées par anUn centre de formation intégréUn centre d’appel et d’assistance technique, basé en France, accessible 7j/7 et 24h/24
Il y a 4 ans et 58 jours

Mercedes-Benz nomme un nouveau responsable de l’activité “occasion”

fBenoit Marchadier devient le nouveau responsable de l’activité véhicule d’occasion et a pris ses fonctions le 1er mars. [©Mercedes-Benz] Le 1er mars 2021, Benoit Marchadier (41 ans) est devenu le responsable de l’activité véhicules d’occasion au sein de Mercedes-Benz Trucks France. Il aura la responsabilité des deux centres Truckstore nationaux, à Gonesse (93) et à Genas (69). Ces centres sont en charge de la recommercialisation des véhicules de seconde main du groupe. Benoit Marchadier remplace à ce poste Jacques Rouquette, qui, lui, a été nommé directeur commercial de Mercedes-Benz-Trucks Belgique et Luxembourg.  Son parcours Benoit Marchadier est diplômé des Arts & Métiers et débute sa carrière, en 2004, au sein du groupe Daimler. Il intègre ensuite l’entité Evobus France, filiale de Mercedes-Benz, qui est en charge de la commercialisation des bus et cars de la marque. En 2008, il prend la direction du Services Center de Paris, toujours au sein de la même entité. En 2019, Benoit Marchadier est chargé de l’intégration du groupe Reva au sein d’Evobus France. Il s’agit d’une entreprise spécialisée dans la réparation du réseau français. 
Il y a 4 ans et 59 jours

Felix Clercx et Fiberdeck donnent naissance à… Felix Distribution

Il y a plus d’un an, le groupe français Forestia, principalement connu pour sa filiale de bois composite Fiberdeck a repris l’importateur de bois tropicaux néerlandais Felix Clercx, fondé en 1891. Malgré la pandémie de Coronavirus, l’année écoulée s’est avérée très fructueuse et les sociétés Felix Clercx (BV & Gmbh) et Fiberdeck (SAS) implantées aux Pays-Bas, en Allemagne et en France ont décidé d’unir leurs activités pour donner naissance à Felix Distribution. – Fiberdeck, spécialiste des bois composites co-extrudés à très longue durée de vie propose une gamme complète qui comprend des lames de terrasse, des clôtures et du bardage. – Felix Clercx, avec sa marque FelixWood®, apporte son savoir-faire unique et reconnu en matière d’importation de bois tropicaux et feuillus de qualité avec une certification de gestion durable. Felix Distribution devient le spécialiste des produits d’aménagement extérieur en bois et bois composite qu’il distribue en Europe avec ses marques : Fiberdeck® (bois composite), FelixWood® (bois exotique), Cobrafastner® (fixation & structure terrasse) et Owlialights® (éclairage terrasse). D’autres marques exclusives selon chaque pays complètent l’assortiment : Fiberon®, Newtechwood® (bois composite), Moso® (thermo-bambou) et Bfix® (fixation terrasse). « L’UNIFICATION DES GAMMES OFFRE À NOTRE CLIENTÈLE EUROPÉENNE UN PLUS LARGE CHOIX DE PRODUITS ATTRACTIFS ET BIOSOURCÉS. » Les valeurs des deux entreprises se reflètent également dans cette nouvelle entité. Chez Felix Distribution, l’humain est au centre de tous les projets. La qualité des relations avec ses différents partenaires, employés, clients, fournisseurs et prestataires est la priorité. Les efforts sont concentrés sur la satisfaction de leurs besoins en développant des services adaptés FELIX DITRIBUTION ASSURE UNE QUALITÉ DE SERVICE À TRAVERS TOUTE L’EUROPE Les synergies entre les plateformes logistiques de Helmond (NL) et Lille (FR) permettent d’améliorer la réactivité de livraison et d’offrir davantage de produits avec une préparation de commandes à la pièce. UN NOUVEAU SITE … Pour améliorer la communication, un nouveau site internet www.felixdistribution.com avec une plateforme BtoB facilite les échanges de données et d’informations avec les clients et partenaires. Cette plateforme BtoB s’est enrichie de nouvelles fonctionnalités comme une banque d’images multimarques, des fiches techniques, ainsi que des configurateurs de terrasses et de clôtures 3D : fr.mydeckplanner.com et fr.myfenceplanner.com. RENDRE LES PRODUITS PLUS ABORDABLES AVEC UN CONSEIL PERTINENT, MAIS AUSSI SIMPLIFIER LA RELATION CLIENT, TEL EST L’OBJECTIF. Notre planète a des ressources limitées. Felix Distribution a délibérément fait le choix de commercialiser des nouveaux produits pratiques, fonctionnels et à longue durée de vie, mais surtout respectueux de l’environnement. 100% des bois sont d’origine légales, et plus de 50% des volumes sont déjà certifiés FSC®. Tout est mis en œuvre pour proposer d’ici 5 ans 100% de bois certifiés. L’entreprise est exemplaire au Pays-Bas dans l’application de la législation EUTR et en tant que membre de l’association FSC® Tous les bois composites sont fabriqués avec 95% de matières plastiques recyclées. Sur l’année qui vient de s’écouler cela représente 6 500 tonnes de déchets plastiques qui ont été transformés en produits très durables. Tous les déchets de bois entrant dans la fabrication des lames composites sont certifiés FSC®. L’utilisation de polyéthylène recyclés d’origine européenne dans les bois composite permet de réduire de plus de 50% les émissions de CO2 par rapport à l’utilisation de plastique vierge. C’est une première étape dans la démarche de réduction de l’empreinte carbone du groupe. Évitons le gaspillage, en utilisant des produits éco-conçus, à longue durée de vie et respectueux de notre environnement. Felix Distribution : DES PRODUITS « SMART » ET UN COMMERCE ÉQUITABLE POUR L’HOMME ET L’ENVIRONNEMENT. FELIX WOOD Felix Clercx, fondée en 1891 à Helmond (Pays Bas) est une entreprise familiale qui a développé son savoir-faire à travers 3 générations dans l’importation et la distribution de bois exotiques. L’entreprise a été rachetée par le groupe Forestia en décembre 2019. La marque FelixWood® a été créée en 1992. Elle est reconnue dans l’univers des bois de jardin haut de gamme (terrasse et clôture). En provenance principalement d’Indonésie et d’Afrique, les bois tropicaux sélectionnés sont déjà à plus de 50% certifiés FSC® et 100% d’origine légale. Felixwood® propose aussi un bois feuillus européen : le Robinier (naturellement imputrescible) et une gamme de bois thermo-chauffés pour offrir une alternative aux bois exotiques. Les bois thermo-chauffés sont très stables et durables sans traitement chimique. Les bois FelixWood® sont sélectionnés selon un cahier des charges très strict avec un contrôle permanent de ses partenaires pour s’assurer d’une qualité homogène. www.felixwood.com FIBERDECK Fiberdeck® a été créée à Lille (France) en 2006 dans le but de développer des produits en bois composite pour l’aménagement extérieur. Les lames de terrasse, de bardage et de clôture distribuées par Fiberdeck® ont été développées à partir des dernières technologies de co-extrusion. La co-extrusion consiste à appliquer un film de protection de polyéthylène à la surface des lames. Cette technologie révolutionne le marché du bois composite. Elle permet de régler les problèmes récurrents de taches et de décoloration des lames composite de première génération. Avec un retour d’expérience de près de 10 ans, Fiberdeck garantie ses produits sur une durée de 20 ans en utilisation résidentielle et 10 ans en utilisation commerciale contre toute décoloration. Lancée en 2019, la première lame de bardage à claire-voie co-extrudée WEO est certifiée par le CSTB (Centre Scientifique Technique du Bâtiment- Paris) avec un ATEx (Avis Technique Expérimental). Une lame a l’aspect résolument moderne sans aucun entretien, avec une couleur d’origine garantie pendant 20 ans. Les produits Fiberdeck® sont simples à entretenir et durent très longtemps. Ils sont fabriqués à partir de 95% de déchets recyclés et n’utilisent pas de résines polymères vierges. Le bois, qui représente 60% du volume des produits provient de déchets (sciures) d’industrie du meuble. Il est certifié FSC. Réalisée à partir de déchets recyclés, la matière produite est 100% recyclable et ne libère aucun produit toxique. Les bois composite Fiberdeck® offrent ainsi une alternative séduisante par rapport à d’autres matériaux moins durables et moins simple à entretenir. www.fiberdeck.com COBRAFASTENER Les produits Cobrafastener® ont été mis au point pour faciliter la mise en œuvre des terrasses en bois et bois composite et augmenter la durée de vie de leur structure. Le dernier produit mis au point est le clip Cobra Hybrid. Il s’agit d’un clip universel qui permet de fixer les lames de terrasse en bois composite. Ce clip bi-matière est constitué d’une plaque en inox crantée et d’une vis pré-équipée dans le clip. Il permet un gain de temps à la pose de 30% par rapport à d’autres clips. Il s’ajuste à la rainure de la lame. Sa vis est compatible pour être utilisée sur des lambourdes en bois exotique ou aluminium. Cobrafastener®, est aussi une gamme de cales, plots réglables Nivo, d’un concept de structure aluminium Structural et des ancres de fondation. La gamme est complétée par des outils comme le redresseur de lame de terrasse, un gabarit de pose, des forêts, permettant de faciliter la mise en œuvre. Avec les produits Cobrafestener® la pose des terrasses en bois devient plus facile et plus durable. www.cobrafastener.com
Il y a 4 ans et 59 jours

Nouvel enduit de rénovation de façade 2 en 1

Pour compléter son offre et pour répondre à la demande spécifique de chantiers parisiens et franciliens SAINT-ASTIER propose “PC TEINTÉ”, un mortier plâtre chaux teinté 2 en 1 pour enduire, restaurer les maçonneries hourdées au plâtre et créer des moulures, des bandeaux et chaîne d’angles de façade. Le nouveau mortier assure à la fois la sous-couche et la finition pour un gain de temps sur chantier. Imaginé pour faciliter son application sur les chantiers de rénovation, ce mortier s’utilise aussi bien en enduit de forte ou de faible épaisseur. Composé de chaux naturelle, de plâtre gros, il contient également du sable sélectionné de granulométrie 0/1 mm pour une finesse du résultat final sans égal. Les pigments minéraux présents dans sa composition lui confèrent une parfaite homogénéité de teinte dans sa masse. Il offre ainsi les couleurs subtiles du bassin parisien permettant de révéler le caractère de l’ouvrage qu’il recouvre. Une solution complète, facile à mettre en œuvre et à travailler sur chantier grâce à son ouvrabilité de deux heures selon les conditions climatiques. 
Il y a 4 ans et 59 jours

Une microexposition en vitrine au pavillon de l’Arsenal, à Paris

«Studiolo», c’est le nom donné par le pavillon de l’Arsenal, le centre d'urbanisme et d'architecture de la ville de Paris, à son nouveau programme de microexpositions visibles depuis le boulevard Morland (IVe arr.), en attendant que ses portes rouvrent au public. Jusqu’au 14 mars 2021 on y découvre le projet «Ceci n’est […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 60 jours

A Paris, Manifestement, un nouvel esthétisme innovant et durable

Question « esthétique », la mairie de Paris se pose là. De fait, jamais l’usage des palettes et autres éléments de récup’ – pardon de réemploi – n’a depuis la Biennale de Venise en 2018  trouvé plus éclatante démonstration que dans la capitale. Explications. Dans un entretien accordé au magazine Grand Paris Développement (N° 35, novembre 2020), […] L’article A Paris, Manifestement, un nouvel esthétisme innovant et durable est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 60 jours

Un nouveau visage pour le stade Yves-du-Manoir de Colombes

Le mythique stade francilien connaîtra en 2024 ses deuxièmes Jeux olympiques en accueillant les épreuves de hockey sur gazon des Jeux de Paris 2024.
Il y a 4 ans et 60 jours

EnerJ-meeting Paris est reporté au 7 septembre 2021

EVENEMENT. Le salon EnerJ-meeting Paris 2021 vient d'être reporté au 7 septembre 2021 au palais Brongniart. Il devait se tenir ce 15 avril. Le thème restera le même, "construire et rénover bas carbone, objectif 2050 !".
Il y a 4 ans et 60 jours

En banlieue de Paris, un "joyau" de l'habitat social au coeur d'une polémique

Emblème des cités-jardins, imaginées pour loger les ouvriers de Paris, la Butte Rouge à Châtenay-Malabry fait l'objet d'un vaste plan contesté par des urbanistes, qui souhaitent préserver ce "joyau de l'habitat social".Les petits immeubles couleurs pastel édifiés dans un style inspiré du Bauhaus dans les années 1930 et entourés de jardins renvoient l'image de cité idéale de ses créateurs, les architectes Joseph Bassompierre, Paul Sirvin, Paul de Rutté et André Arfvidson.Une rénovation controversée et insuffisante avait été menée en 1985, et la cité s'est abîmée.La municipalité LR de Chatenay-Malabry dirigée par Carl Ségaud s'est félicitée de "l'avis favorable sans réserve" vendredi du commissaire enquêteur à son plan, à l'issue d'une enquête publique qui a collecté quelque 1.600 avis, du 10 décembre au 11 janvier."Gentrification"Le bras de fer est aussi socio-économique, entre majorité de droite et opposition de gauche qui redoute la "gentrification" du quartier."C'est un ensemble d'habitat social parmi les plus exceptionnels de France, modèle au niveau international. Il n'est pas imaginable de la voir disparaître sous les pelleteuses de la spéculation immobilière", écrivent, dans une lettre ouverte à la ministre de la Culture Roselyne Bachelot, de grands architectes dont Jean Nouvel et Christian de Portzamparc.Le quartier est actuellement composé à 100% de logements sociaux, avec des loyers très modestes.Mme Bachelot, qui exige son classement comme "site patrimonial et remarquable", assure vouloir préserver "un ensemble urbanistique de tout premier plan". Elle a reçu le 18 février le maire Carl Segaud, accompagné de Georges Siffredi, son prédécesseur, qui avait lancé ce projet de "Cité-jardin du 21e siècle" et qui est aujourd'hui président du Conseil des Hauts-de-Seine.Carl Ségaud s'est engagé devant elle à lancer ce classement au prochain conseil municipal. C'est après ce classement --cela peut prendre des mois-- que pourra être engagé un "plan de valorisation de l'architecture et du patrimoine" (PVAP) permettant d'assurer la protection du site, assure-t-on rue de Valois."On va construire ensemble un document protecteur", ajoute-t-on, soulignant la vigilance des autorités publiques.Des jardinets"Les habitants de la Cité Jardin qui se sont exprimés dans leur très grande majorité sont favorables au projet", a affirmé le commissaire-enquêteur. Car la Butte Rouge "est passée du projet utopiste originel à un état de +cité+ de banlieue" dégradée, a-t-il jugé, rejoignant la mairie, qui pointe des problèmes d'insalubrité.La rénovation est "attendue avec impatience par les 9.900 habitants", assure le maire, qui dit "respecter son engagement pris lors de la campagne électorale".Sur les 1.606 avis déposés pendant l'enquête publique, près de 74%, pour la plupart défavorables, "émanaient d'associations et personnes extérieures", selon la mairie."A quoi sert cette enquête publique?", s'est insurgée l'Association Châtenay Patrimoine Environnement, selon laquelle seule une minorité d'habitants ont rendu leur avis. Selon elle, le projet ne laissera en état que 15% de la Butte historique, chassant les personnes à faible revenu."Le pourcentage de 15% ne repose sur rien", réagit le maire auprès de l'AFP. "43% des immeubles seront conservés pour leur caractéristiques remarquables, 18% seront démolis et reconstruits, et pour 39%, le mode de rénovation sera déterminé en fonction de divers critères comme le bilan carbone"."C'est se payer de mots, on fait disparaître tous les petits jardinets, et les bâtiments sont traités comme de la matière première", rétorque Julien Lacaze de Sites et Monuments.
Il y a 4 ans et 60 jours

CANAL ARCHITECTURE - Portrait

Les frères Daniel et Patrick Rubin fondent l'atelier Canal en 1982 et l'installent dans un immeuble industriel qu'ils ont réhabilité rue du faubourg Saint-Antoine à Paris. Ils investissent ensuite une maison du XVIIe siècle rue Elzévir, qui devient un lieu de rencontres entre architectes, graphistes, designers, étudiants autour de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 60 jours

Valérie Pécresse lance un "RJA" pour former les 18-25 ans en Ile-de-France

"Le paradoxe de cette crise, c'est qu'il y a à la fois des secteurs économiques qui sont à terre et des secteurs économiques qui recrutent massivement et qui sont en pénurie d'emploi", à savoir "le numérique, la sécurité, l'agroalimentaire, l'industrie, la santé et le social, le bâtiment et la construction", a précisé la présidente (Libres!) de région, dans l'émission le Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI.Ces derniers secteurs proposent "des dizaines de formations aux centaines de métiers" qui amènent la région à financer "45.000 formations vers ces métiers, avec des embauches directes à la clé", a affirmé Valérie Pécresse.La mesure coûtera 270 millions d'euros à la région, a indiqué son entourage à l'AFP."En s'inscrivant à l'une des formations gratuites et qualifiantes du catalogue régional", les stagiaires de la formation professionnelle toucheront "un revenu net de 500 à 670 euros par mois, pour toute formation suivie d'une durée au moins égale à quatre mois", explique la région sur son site internet.La part variable, une prime allant jusqu'à 1.000 euros, sera attribuée si la formation appartient à l'un des secteurs en tension."C'est un revenu de 4.000 euros pour six mois de formation dans des métiers qui recrutent: le jeune qui s'engagera dans ces formations non seulement sera rémunéré mais en plus est sûr à la sortie (...) de trouver un emploi", a résumé Mme Pécresse qui s'oppose ainsi à la mise en place d'un RSA jeunes le temps de la crise, réclamé par plusieurs personnalités de gauche dont la maire PS de Paris Anne Hidalgo."Je suis totalement contre enfermer des jeunes de 18 à 25 ans dans l'assistanat", a affirmé l'ancienne porte-parole du gouvernement de François Fillon sous la présidence de Nicolas Sarkozy.Valérie Pécresse a également annoncé la généralisation d'une aide régionale de 1.300 euros pour financer le permis de conduire, frein potentiel à l'embauche, des jeunes Franciliens en insertion professionnelle. Une mesure qui concerne potentiellement 60.000 personnes, a affirmé Valérie Pécresse.
Il y a 4 ans et 60 jours

La Société du Grand Paris attribue le dernier marché de génie-civil de la ligne 16

La Société du Grand Paris a attribué le troisième et dernier marché de génie-civil de la ligne 16 pour la réalisation du tronçon entre la gare Clichy-Montfermeil et l’arrière-gare de Noisy-Champs.
Il y a 4 ans et 60 jours

Report de l’édition EnerJ-meeting Paris

Les conditions sanitaires et les restrictions actuelles ne permettent pas de prévoir avec sérénité l’édition du 15 avril. L’ADN d’EnerJ-meeting est basé sur la rencontre – le meeting – autour…Cet article Report de l’édition EnerJ-meeting Paris est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 4 ans et 60 jours

La délicatesse de l'hospitalité, 30 habitation de transition à Stains par OBOH

«Studiolo», c’est le nom donné par le pavillon de l’Arsenal, le centre d'urbanisme et d'architecture de la ville de Paris, à son nouveau programme de microexpositions visibles depuis le boulevard Morland (IVe arr.), en attendant que ses portes rouvrent au public. Jusqu’au 14 mars 2021 on y découvre le projet «Ceci n’est […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 61 jours

Rassemblement à Paris contre la gare du Triangle de Gonesse "au milieu des champs"

Sur la place Stalingrad (XIXe arrondissement de Paris), de nombreuses personnalités politiques de gauche et écologistes ont apporté leur soutien au Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG).Aux pancartes "Gare de Gonesse, laisse béton", se mêlaient des drapeaux LFI, EELV ou encore Front de Gauche."Protégeons les terres de Gonesse", a déclaré Clémentine Autain, la députée LFI, lors du rassemblement."On projette dans nos imaginaires des centres commerciaux dont on a plus besoin. On a besoin de terres fertiles en Ile-de-France, car seuls 2% des produits que l'on mange proviennent de cette région", a ajouté la députée de Seine-Saint-Denis.Selon Mme Autain, il s'agit "d'une bataille politique" qui doit s'opposer à celle de la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse (Libres!), qui est "une droite libérale productiviste qui signe les accords de Paris et détruit des terres".Pour la sénatrice EELV Esther Benbassa, "la gare égarée au milieu des champs ne sert pas aux habitants.""L'enjeu est de mettre de l'argent dans les transports du quotidien, qui sont le RER B et D", a expliqué Carlos Bilongo, militant et professeur en économie.Lors du rassemblement, les citoyens qui ont occupé la ZAD de Gonesse pendant 17 jours ont été applaudis. "C'était un moment de partage, le Triangle de Gonesse reste à défendre", a témoigné ému, l'un d'entre eux."Nous craignons que le gouvernement se prononce pour une situation d'entre-deux, qui est de garder des champs et une gare, ce qui n'est pas compatible pour mettre en place le projet Carma" d'une coopérative agricole, s'est inquiété Bernard Loup, le président du CPTG."Une procédure judiciaire est en cours, la lutte n'est pas terminée, le Triangle de Gonesse est toujours-là", a conclu le militant.La ligne 17 doit relier Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) à l'aéroport de Roissy-CDG en 2030, en passant par le Triangle de Gonesse, où elle devait initialement desservir le méga-complexe commercial et de loisirs Europacity.Mais depuis qu'Emmanuel Macron a annoncé en novembre 2019 l'abandon de ce projet phare, le sort de ces 280 hectares de terres agricoles, stratégiquement situées à une quinzaine de kilomètres au nord de Paris, reste incertain.
Il y a 4 ans et 61 jours

Thierry Dallard, le président de la Société du Grand Paris, sur la sellette ?

REMANIEMENT. Avancé par plusieurs médias, le départ imminent de Thierry Dallard, actuellement président de la Société du Grand Paris, ne ferait plus grand-doute. Une brouille avec le Premier ministre Jean Castex serait à l'origine de cet évincement.
Il y a 4 ans et 61 jours

Romain Froquet : L’art comme remède aux maux de la Covid-19

Afin de redonner le sourire aux patients de l’hôpital Beaujon AP-HP à Clichy, Romain Froquet a réalisé cette fresque aux lignes lumineuses. [©Jules Hidrot] Représenté par la galerie parisienne Joël Knafo, l’artiste Romain Froquet a offert une fresque lumineuse de 3,50 m de large sur 15 m de long, à l’hôpital Beaujon AP-HP, à Clichy (92). La genèse d’un tel projet ? « J’ai été contacté par Arnaud Giraudet, le directeur de cet hôpital, qui avait vu une de mes œuvres murales dans le XVIIIede la capitale. » Cette action s’inscrit dans la politique culturelle engagée depuis de nombreuses années à l’hôpital Beaujon AP-HP. « Concentré sur la Covid-19, il était nécessaire de donner une respiration à l’hôpital. Qui mieux que Romain Froquet pour améliorer le cadre de vie des patients et des professionnels avec une œuvre qui donne de la couleur et de la joie »,indique Arnaud Giraudet. Un œuvre qui appartient aux patients, aux professionnels et aux visiteurs Faire un geste vers l’hôpital, mais aussi s’inspirant d’une certaine idée d’entraide et de communion, parlait à Romain. Ça lui parlait d’autant plus que son travail sur les “gestures”, comme il les nomme, forment des lignes qui se connectent entre elles et vers le monde extérieur. « Cela faisait sens pour moi de répondre à une telle demande. Je me suis donc rendu sur le site pour trouver un lieu. L’entrée principale de l’hôpital était austère avec peu de lumière. C’était donc là. Ma fresque allait égayer l’endroit et le rendre lumineux. Ce lieu est un symbole de croisements et de carrefour entre les patients, les professionnels médicaux et les visiteurs. Ma fresque n’allait plus m’appartenir, mais allait leur appartenir. » Romain Froquet est un artiste engagé, qui aime transmettre des émotions grâce à ses œuvres. [©Jules Hidrot] Sa succession d’enchevêtrements et de superpositions de lignes colorées (des chromies de jaune, orange et bleu) sont une véritable respiration, une sorte d’hymne à la vie. Le travail de Romain Froquet se concentre sur le lien entre les cultures, les flux et les échanges. Un style de l’interconnexion qui favorise l’harmonie entre les humains, profondément nécessaire en ces temps de divisions.  Un travail du lien qui harmonise les échanges humains Cette fresque rend ainsi hommage aux personnels de santé, qui luttent depuis plus d’un an contre le Covid-19. « C’est sur un mur de béton que j’ai réalisé mon œuvre monumentale. C’est le support à peindre le plus agréable en extérieur, qui se prête le mieux à mes lignes courbes. Ces sont des rencontres qui ont nourri ma création. Des patients venaient me voir peindre. Ils pouvaient rester des heures avec moi. C’était un bol d’air pour eux. Dans cet espace de passage, je souhaite faire quelque chose de fort pour les soignants et les patients, qui invite au voyage. J’espère qu’elle accrochera le regard, et ouvrira la voie à la contemplation et à l’oubli de l’instant présent », conclut Romain Froquet.  M. C.  Romain Froquet a directement réalisé sa fresque à même le mur. [©Estelle Froquet] Apporter de la couleur dans un lieu de passage qui n’en avait pas, tel a été l’objectif de l’artiste. [©Estelle Froquet]
Il y a 4 ans et 61 jours

Le bachelor de l’ESTP Paris enfin accrédité “licence”

La formation “Manager de la construction” de l’ESTP s’est vu être accréditée du niveau licence. [©ESTP] Ouvert à la rentrée 2020 par l’ESTP Paris, le bachelor “Manager de la construction” s’est vu être accrédité du niveau licence. Le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation a validé cette accréditation. Cette formation fait partie des 33 autres diplômes. Ayant reçu un avis favorable par la Commission des titres d’ingénieur (CTI). Seulement 11 écoles d’ingénieurs ont obtenu cette appellation début 2021. Pour que cela soit le cas, l’école en question devait répondre à plusieurs critères. A savoir, la qualité pédagogique, l’orientation sur la recherche et l’ouverture à l’international. De plus, cette accréditation permet d’être reconnu au niveau national, ainsi qu’international. La formation “Manager de la construction” en 3 ans « Cette reconnaissance du bachelor “Manager de la construction” traduit l’engagement de l’école à former des professionnels. Qui répondent aux profits attendus par les entreprises du secteur du bâtiment et des travaux publics », témoigne Antoine Bonte, adjoint au directeur des études de l’ESTP Paris.  La récente ouverture du bachelor de l’ESTP Paris est une réponse aux attentes et aux besoins du marché de la construction. Tout comme le bachelor proposé par l’ESITC Caen, il forme sur une durée de 3 ans. Les deux premières années sont dédiées à l’apprentissage des compétences de base. Cependant, la troisième année est une année de spécialisation (conduite de travaux, projets immobiliers, risques et prévention). Le recrutement se réalise sur la plate-forme Parcoursup.  Charline David
Il y a 4 ans et 61 jours

Eiffage et Vinci décrochent un record mondial

Le Guinness World Records a attribué à Eiffage Génie Civil et Chantiers Modernes Construction, filiale de Vinci Construction France, le record du plus long coffrage glissant réalisé en une fois. [©Eiffage] Eiffage Génie Civil et Chantiers Modernes Construction (filiale de Vinci Construction France) ont décroché le record mondial du plus long coffrage glissant réalisé en une fois. Ceci, auprès du Guinness World Records. Ce record a été obtenu dans le cadre du chantier de transformation du centre de traitement des déchets ménagers du Syctom. A Ivry-sur-Seine, près de Paris.  En seulement 19 jours Choisie pour sa rapidité par rapport à une solution de bétonnage classique. La technique du coffrage glissant a permis aux équipes de construire la nouvelle fosse de réception. Et de stockage des ordures ménagères résiduelles de la future Unité de valorisation énergétique (UVE). Et ceci, en seulement 19 j : du 18 février au 13 mars 2020. « Confiants dans le savoir-faire de nos équipes. Nous avions fait, il y a plusieurs années, le pari audacieux de recourir au coffrage glissant. Afin de réaliser cet ouvrage majeur du projet. Nos collaborateurs ont su relever ce défi grâce à leur professionnalisme et leur capacité à aller toujours plus loin. Ce record nous incite à continuer à repousser les limites de la technique »,explique Benoît Lapostolle, directeur d’exploitation chez Eiffage Génie Civil. Un total de 212,78 m réalisés en coffrage glissant Réalisé pour le compte du Syctom, l’agence métropolitaine des déchets ménagers. Le chantier consiste en la transformation du centre actuel, qui arrive en fin de vie, en un équipement de pointe. Apportant de meilleures performances sur le plan environnemental. Quelque 160 personnes ont été mobilisées pour la construction de cet ouvrage. Qui mesure 62 m de long, de 22 m de large et de 31,50 m de haut. Soit un total de 212,78 ml réalisés en coffrage glissant. En termes de fournitures, 3 500 m3de béton, 650 t d’acier ont été nécessaires pour la construction. Et 278 vérins hydrauliques pour le coffrage. « Cette réussite est le fruit de l’audace et de l’esprit d’innovation et d’adaptation. Dont nos équipes ont su faire preuve face aux défis rencontrés pendant les phases de préparation et réalisation. Nous sommes fiers d’avoir obtenu ce record qui rend hommage au travail des équipes études et travaux », conclut Karim Rahbani, directeur délégué travaux publics Ile-de-France de Vinci Construction France.
Il y a 4 ans et 61 jours

Rétrospective : Renée Gailhoustet en ses terrasses

Les frères Daniel et Patrick Rubin fondent l'atelier Canal en 1982 et l'installent dans un immeuble industriel qu'ils ont réhabilité rue du faubourg Saint-Antoine à Paris. Ils investissent ensuite une maison du XVIIe siècle rue Elzévir, qui devient un lieu de rencontres entre architectes, graphistes, designers, étudiants autour de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 61 jours

Prix Mies van der Rohe 2022: 29 réalisations françaises en lice

Les frères Daniel et Patrick Rubin fondent l'atelier Canal en 1982 et l'installent dans un immeuble industriel qu'ils ont réhabilité rue du faubourg Saint-Antoine à Paris. Ils investissent ensuite une maison du XVIIe siècle rue Elzévir, qui devient un lieu de rencontres entre architectes, graphistes, designers, étudiants autour de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 62 jours

Près l’Université de Chicago, 89 logements familiaux signés Parc architectes

Parc Architectes (Brice Chapon et Émeric Lambert) présente ZAC Paris Rive Gauche à Paris (XIIIe) un immeuble de 89 logements en structure bois, îlot réalisé en partenariat avec Studio Gang, architecte de l’antenne parisienne de l’Université de Chicago.* Le chantier débutera en 2021. Communiqué. Tissés ensemble Longtemps associé à un quartier industriel, cette partie du […] L’article Près l’Université de Chicago, 89 logements familiaux signés Parc architectes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 64 jours

Paris 2024: nouveau recours contre le village des médias en Seine-Saint-Denis

CONTESTATION. Des opposants à l'aménagement d'une partie du parc départemental Georges-Valbon en Seine-Saint-Denis, qui doit accueillir le village des médias pour les Jeux olympiques de Paris-2024, puis un écoquartier, ont déposé un nouveau recours en justice.
Il y a 4 ans et 64 jours

Podcast #5 – Francis Bouygues, l’épopée du “Roi du béton”

ACPresse – Francis Bouygues – Raconté par Muriel Carbonnet ACPresse · Podcast #5 – Francis Bouygues Francis Bouygues naît en 1922 à Paris. Son père est ingénieur de l’armement, puis, ingénieur conseil. Le jeune Francis suit ses traces et sort diplômé de l’Ecole centrale de Paris (1946). Après un passage rapide dans une entreprise de travaux d’entretien, puis chez Dumont et Besson, l’une des entreprises les plus prestigieuses de Paris, il fonde à 29 ans l’Entreprise Francis Bouygues avec des capitaux familiaux. Et, en 1953, la société décroche son premier gros contrat : la construction des bureaux d’IBM Europe à la Défense.  L’entrepreneur investit le marché immobilier privé et impose une méthode originale : acquérir un terrain, emprunter des fonds et faire financer les travaux par les acquéreurs, avant même la construction des fondations.  En 1959, pour soutenir le développement de son entreprise, Francis Bouygues s’associe à René Augereau qui lui apporte un important soutien financier. Des filiales régionales apparaissent. Pour valoriser et fidéliser la main d’œuvre, Francis crée l’ordre des Compagnons du Minorange. On est en 1963. L’innovation qui paie Le Parc des Princes a été livré au début des années 70. [©Bouygues Construction] Francis a toujours misé sur l’innovation. Un bureau d’études, un bureau des méthodes et une filiale spécialisée dans la préfabrication, entre autres, permettent à l’entreprise de se démarquer de la concurrence. En 1967, l’arrivé de Pierre Richard en tant que directeur scientifique permet à l’entreprise de combler son retard dans le domaine du béton précontraint.  Bouygues introduit de nouvelles méthodes de management, se dote d’une organisation hiérarchique, recourt aux nouvelles techniques de planification et adopte, dès 1972, l’informatique. Le développement de l’entreprise nécessite d’importants investissements. La décision d’une introduction en bourse est prise en juin 1970. Bouygues devient SA et augmente ses activités de génie civil avec, en particulier, la construction du Parc des Princes.  L’année 1972 marque le début de l’activité internationale. C’est aussi l’année de la création du logo Bouygues. En 1974, c’est Bouygues Off-Shore qui voit le jour. Malgré cette croissance fulgurante, Francis Bouygues garde une forte emprise sur le groupe. Atteint d’un cancer en 1976, il doit se retirer de l’entreprise pour quatorze mois. En 1978, Bouygues assure la construction du terminal II de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle.  Construction du Pont de l’Ile de Ré. [©Bouygues Construction] TF1 et la Leçon de piano Dans les années 80, le développement du groupe est assuré par la croissance externe et la diversification. Francis se renforce dans l’immobilier et se positionne sur le marché de l’ingénierie conseil, via le rachat de l’Américain HDR. Il fait l’acquisition de plusieurs sociétés : Saur, ETDE, Screg, Colas et Sacer, Dragages, Smac Acieroïd. Bouygues devient n° 1 mondial de la construction.  A partir de 1985, le groupe se diversifie à travers une nouvelle filiale : Bouygues Loisirs. Le point d’orgue est évidemment la reprise de TF1 en 1987. En parallèle, Bouygues marque les esprits avec la construction du Pont de l’Ile de Ré, de la Grande Arche de la Défense ou du Tunnel sous la Manche.  Travaux de construction de la Grande Arche de la Défense. [©Bouygues Construction] En 1989, Francis se retire du groupe et passe la main à son fils Martin, tout en restant l’administrateur. Le groupe réalise alors 57 MdF (8,7 M€) de chiffre d’affaires et emploie presque 70 000 personnes. L’année suivante, l’homme s’engage dans la production de longs métrages, à travers Ciby 2000. Il produit Une époque formidable, Talons aiguilles, ou encore La leçon de piano qui a remporté la Palme d’Or du Festival de Cannes en 1993 et trois Oscars l’année suivante.  Francis Bouygues disparaît au cours de l’été 1993. [Source : Service communication de Bouygues Construction et “Francis Bouygues. L’ascension d’un entrepreneur”, de D. Barjot, Revue d’histoire, 1992.]
Il y a 4 ans et 64 jours

Le Mondial du Bâtiment se réinvente pour son édition de 2022

L’édition 2022 du Mondial du Bâtiment marquera le grand retour de l’évènement à Paris, au Parc des expositions de la porte de Versailles. [©ACPresse] Faire table rase du passé pour revenir aux fondamentaux, tout en s’inscrivant dans les tendances actuelles et à venir. C’est exactement ce qu’est en train de faire Reed Expositions France, l’organisateur du Mondial du Bâtiment. Et d’annoncer la tenue de l’évènement, non plus cette année, mais du 3 au 6 octobre 2022. Avec une grande nouvelle : « Le Mondial du Bâtiment revient au Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris », annonce Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. Et de poursuivre : « Ce retour est plébiscité, puisque 93,6 % des exposants et 97,9 % des visiteurs ont exprimé leur intention de participer à la prochaine édition ».  Le rendez-vous qui réunit les salons Batimat, Idéobain et Interclima s’inscrira donc dans un Parc des expositions rénové. La première nouveauté pour les exposants est le format même des stands : limité à 99 m2 par société. Toutefois, il y aura possibilité d’intégrer un étage…  Des stands de 9 à 99 m2 Dans le détail, les surfaces proposées débuteront à 9 m2, pour échelonner par multiple de 9 : 18 m2, 36 m2, 54 m2 et 99 m2. Autre évolution, les exposants pourront choisir leur emplacement dès l’inscription. Premier arrivé, premier servi… Cette approche globale permet de rendre sa présence sur le salon plus économique. Car un stand plus petit ou limité en taille génère un moindre coût. D’autant plus que la durée de l’évènement ne sera plus que de 4 j. « Nous répondons à la demande des exposants de simplifier la préparation des salons. Tout en améliorant les flux logistiques autour de la porte de Versailles », reprend Guillaume Loizeaud. Octobre 2022 : la date est encore bien lointaine. Aussi, pour animer la communauté des professionnels exposants dès maintenant, le Mondial du Bâtiment a choisi de mettre en place des salons “augmentés”. Ceci, à travers un blog qui complétera les sites Internet dédiés aux salons physiques. Les professionnels pourront y entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations. Il y aura aussi à leur disposition des fiches produits, un annuaire des fournisseurs. Mais aussi des show-rooms virtuels, des vidéos de démonstrations ou des contenus sur les métiers. « Ce blog sera mis en service dès le mois de mai 2021. » Des matinales sur Batiradio « Nous venons de faire le choix de nous engager sur des ambitions prioritaires pour faire du rendez-vous de 2022 une édition exemplaire », affirme Guillaume Loizeaud, directeur du Mondial du Bâtiment. [©Reed Expositions France] Toujours en amont des salons physiques, et en parallèle du blog, sont initiés “Les rendez-vous du Mondial du Bâtiment. Et ce, sous la forme d’une matinale diffusée sur Batiradio. Mais aussi disponible en podcasts et en vidéos. « Ces rendez-vous décrypteront les grandes tendances de la construction pour favoriser les échanges entre les professionnels face aux enjeux du secteur », explique Guillaume Loizeaud. Les matinales sont programmées chaque premier vendredi du mois. Et doivent débuter le 2 avril 2021, entre 9 h 00 et 12 h 30. Toutes s’organiseront de la même matière. A savoir, le Rendez-vous France Relance, le Grand dossier du Mondial du Bâtiment, la Rénovation énergétique dans les territoires. Mais aussi, le Décryptage RE 2020, les Métiers, la Construction 4.0, les Tendances et le Design.  Pour l’année 2021, les thématiques du Grand dossier sont déjà en place. Le 2 avril, les débatteurs tenteront de répondre à la question : “En quoi la RE 2020 va-t-elle permettre de construire durable ?” Et au fil des mois, d’autres sujets seront égrenés [lire encadré]. Pour 2022, en revanche, le programme n’est pas encore déterminé. Mais une fois connu, il permettra de tenir jusqu’aux salons physiques. Ceux-ci occuperont six pavillons du Parc de la porte de Versailles, soit quelque 140 000 m2 d’expositions.  Batimat se déploiera sur 4 halls Batimat sera le mastodonte de l’évènement. Le pavillon 1 sera celui du gros œuvre, de la structure et de l’enveloppe. Les thèmes fédérateurs mis en avant par les exposants devraient être ceux du climat et de l’environnement. Construction Tech, le rendez-vous de l’innovation, des start-up et des “smart technologies”, et Interior&Garden, autrement dit les aménagements intérieurs et extérieurs, seront les deux autres points d’entrée de ce hall. Le matériel de chantier et l’outillage retrouveront le pavillon 4. Quant aux pavillons 5 et 6, ils concentreront les menuiseries et les fermetures. De son côté, Interclima, dédié aux équipements techniques pour le bâtiment, c’est au sein du pavillon 3 qu’il prendra ses quartiers. Avec l’entrée en application de la RE 2020, les sujets à balayer seront nombreux. Outre les enseignements de la nouvelle réglementation, les énergies renouvelables, la rénovation des bâtiments tertiaires. Ou encore la qualité de l’air intérieur seront des thèmes omniprésents dans les allées. Tout comme l’amélioration des logements et les solutions éco-responsables de confort d’été.  Réduire l’empreinte carbone du salon Le Mondial du Bâtiment occupera 6 halls du Parc des expositions de la porte de Versailles, à Paris. [©Reed Expositions France] La préservation de l’environnement et la réduction de l’empreinte carbone constitueront donc un véritable leitmotiv pour les exposants comme pour les visiteurs. Et qu’en sera-t-il de l’organisateur lui-même ? Les cordonniers sont-ils les plus mal chaussés ? Ou bien, charité bien ordonnée commence par soi-même ? Reed Expositions France semble préférer le second dicton populaire. « Notre retour à la porte de Versailles et les nouvelles attentes du public sont l’occasion de lancer une démarche d’amélioration sur les sujets fondamentaux du RSE. Aussi, nous venons de faire le choix de nous engager sur quatre ambitions prioritaires pour faire du rendez-vous de 2022 une édition exemplaire », affirme Guillaume Loizeaud. Ainsi, l’organisateur s’engage, dès maintenant, à réduire son empreinte carbone. Du moins à la mesurer, tout en mettant des actions concrètes pour entamer cette démarche. Au programme : optimisation des process logistiques, accès au site privilégiant les mobilités écologique. Mais aussi éco-conception des aménagements, des zones communes et des stands. Un salon éco-responsable Reed Expositions France améliorera aussi la gestion des déchet. Avec, pour ambition, de les réduire d’au moins 10 % dès l’édition 2022. Par ailleurs, il souhaite accroître la circularité des matériaux utilisés, tout en améliorant le dispositif de tri. Ceci sera accompagné d’achats responsables qui privilégieront les produits, et des services éco-conçus et respectueux de l’environnement. Ou qui seront réalisés auprès du secteur du travail protégé et adapté (STPA). Enfin, la restauration sur place n’est pas oubliée. Là, Reed Expositions France veut mettre en place une offre limitant le gaspillage, gérant mieux les surplus et valorisant les bio-déchets. A la vue de toutes ces explications, l’édition 2022 du Mondial du Bâtiment semble née sous une bonne étoile. Et, à bien y réfléchir, l’organisateur pourrait même réussir à transformer tout le désarroi amené par la crise de la Covid-19 en quelque chose de positif !  Frédéric Gluzicki
Il y a 4 ans et 65 jours

Entretien : Rogers Stirk Harbour + Partners à Paris

À l’honneur sur la couverture du nouveau numéro de L’Architecture d’Aujourd’hui consacré à la « face cachée ...En savoir plus Cet article Entretien : Rogers Stirk Harbour + Partners à Paris est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 65 jours

Les prix des logements anciens à Paris commencent à baisser, après une nouvelle hausse en 2020

Dans la capitale, "les prix ont fait une pause du 3e au 4e trimestre 2020 en passant de 10.790 EUR le m² à 10.770 EUR", selon la Chambre des notaires du Grand Paris."Après un record historique en novembre 2020 (10.850 EUR le m²) suivi d'une baisse, la tendance baissière des prix devrait se prolonger dans les prochains mois à Paris. La hausse annuelle pourrait être inférieure à 1%, ce qui n'est pas arrivé depuis 2015", ajoute l'organisation dans un communiqué."Aujourd'hui, la tension [sur les prix] diminue" mais "quand les biens sont au prix du marché, les ventes se font sans négociation", a commenté au cours d'une conférence de presse Thierry Delesalle, le président de la commission des statistiques immobilières de la Chambre.Le "freinage, initié dans Paris, se dessine et se diffuse progressivement vers la proche périphérie", selon la Chambre.Globalement, selon les notaires, de nombreux éléments décrivent en Ile-de-France "un marché qui résiste, compte tenu d'un contexte économique, psychologique et social particulièrement difficile, mais qui s'essouffle et se fragilise".Ainsi à Paris "les prix, qui augmentaient encore de 8% par an au 1er trimestre 2020, de 7,8% au 2e trimestre puis de 7% au 3e trimestre, n'étaient plus qu'en hausse annuelle de 5,4% au 4e trimestre 2020", selon l'organisation professionnelle.D'après les indicateurs avancés sur les avant-contrats, dans Paris, "le mouvement légèrement baissier se prolongerait début 2021 pour laisser un prix au mètre carré attendu à 10.600 EUR en avril 2021, en baisse de 0,4% en 3 mois".Il serait ainsi quasiment identique (+0,8%) à la valeur d'avril 2020 (10.520 EUR le m²), selon la même source.La Grande Couronne attireAu quatrième trimestre, les prix au m² s'échelonnent entre 9.210 EUR dans le XIXe arrondissement et 14.240 EUR dans le VIe, c'est-à-dire "1,55 fois plus cher que le XIXe" ce qui est un "ratio historiquement bas", selon les notaires.Au 4e trimestre 2000, le quartier le plus onéreux était cinq fois plus cher que le quartier le plus abordable, rappellent la Chambre des notaires.Quatre arrondissements se situent encore en dessous de 10.000 EUR le m² (XIIe, XIIIe, XIXe et XXe), tandis que quatre dépassent 12.000 EUR le m² (Paris Centre, Ve, VIe et VIIe). Le VIe arrondissement est le seul à dépasser 14.000 EUR le m².Conséquence de l'épidémie de Covid-19 et des restrictions de déplacement, le nombre d'acquéreurs étrangers non résidents, habituellement très présents sur le marché de l'immobilier haut de gamme, n'a jamais été aussi bas, avec 1,8% des ventes contre 2,5 à 3% habituellement.Pour 2021, les notaires restent prudents, car l'année sera "la résultante, complexe et incertaine, d'un contexte économique qui pourrait se durcir pour les ménages et d'une situation sanitaire toujours très fragile".Par ailleurs, la situation sanitaire, les confinements et le développement du télétravail semblent précipiter les choix de vie pour certains en poussant de nombreux parisiens hors de la capitale.Le marché de la maison en Ile-de-France "a bel et bien profité d'une attractivité renforcée avec une croissance de ses volumes de ventes de 8%, uniquement imputable à la Grande Couronne (+13%), où l'offre est abondante et les prix plus modérés".Les notaires de Grande Couronne indiquent rencontrer davantage d'acquéreurs parisiens et de la Petite Couronne que dans le passé, intéressés par de grandes maisons.
Il y a 4 ans et 65 jours

Hausse du prix de l'immobilier ancien à Paris de 5,4% au 4ème trimestre 2020 selon les notaires

"Aujourd'hui, la tension (sur les prix, NDLR) diminue" mais "quand les biens sont au prix du marché, les ventes se font sans négociation", a commenté au cours d'une conférence de presse Thierry Delesalle, le président de la commission des statistiques immobilières de la Chambre ajoutant que le "coup de frein sur les prix était attendu et bienvenu".Globalement en Ile-de-France, les volumes de ventes de logements anciens (159.140) ont baissé de 12% et la hausse annuelle des prix a atteint 6,4%.Paris a été plus touchée par la baisse du nombre de transactions avec un recul de 16% sur 12 mois.Mais la chambre des notaires ajoute que le prix du mètre carré est en baisse depuis la fin 2020. "Après 5 ans de hausses, les prix sont désormais légèrement baissiers dans Paris mais résistent à 10.600 euros le m²", selon des projections sur les transactions qui seront finalisées en avril.Les notaires notent "une nette différenciation géographique" des prix avec des arrondissements centraux à plus de 12.000 euros le m², l'ouest parisien entre 10.000 et 12.000 euros et l'est périphérique de la capitale à moins de 10.000 euros le m².Les hausses les plus importantes ont été enregistrées dans le Vè arrondissement (+8,5%), le XVIIIè (+7,2%) et le VIIIè (+6,7%), là encore lorsqu'on compare les quatrièmes trimestres 2020 et 2019.
Il y a 4 ans et 65 jours

Le groupe Kramer retire son offre de reprise de l’usine Jacob Delafon à Damparis dans le Jura

Par cette acquisition, le groupe Kramer souhaitait diversifier ses activités et étoffer logiquement son offre sur l’ensemble du marché sanitaire (céramique et robinetterie) en France et à l’export.Malgré la réactivité et l’implication des services de l’Etat, de la région et de ses partenaires commerciaux, le groupe Kramer a pris la décision de retirer son offre de reprise.Selon le groupe Kramer, l’opacité dont a fait preuve le groupe Kohler en matière d’informations ne permet pas de répondre aux conditions et délais imposés par celui-ci et emporte aujourd’hui la conviction de l’impossibilité de mener à bien ce projet que le repreneur n’aura jamais pu exposer directement aux salariés.Manuel Rodriguez, président du groupe Kramer, a adressé à l’ensemble des salariés du site de Damparis, une lettre ouverte pour leur faire part de sa décision de renoncer de façon responsable au projet, ne souhaitant pas ajouter davantage d’incertitude à leur situation déjà très anxiogène.Manuel Rodriguez a fait part également de sa déception de n’avoir pu sauver 91 emplois sur les 150 que compte le site de Damparis. Il assure, par ailleurs, que son groupe continuera de porter haut et fort les valeurs du Made in France.Le gouvernement tente de "renouer le dialogue"Le gouvernement s'efforce de "renouer les liens du dialogue" entre le groupe américain Kohler, qui veut se séparer de l'usine Jacob Delafon, à Damparis (Jura), et le groupe français Kramer qui a retiré mardi l'unique offre de reprise.La ministre déléguée à l'Industrie Agnès Pannier-Runacher "tente de renouer les liens du dialogue aujourd'hui rompus entre les deux groupes pour voir si une solution de reprise peut exister", a affirmé le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, à l'issue du conseil des ministres."Il y a donc une mobilisation du gouvernement sur ce sujet", a-t-il ajouté, au lendemain de l'annonce par Kramer du retrait de la seule offre de rachat du dernier fabricant français de sanitaires en céramique haut de gamme, qui compte 140 salariés à Damparis.Le groupe américain veut se séparer depuis septembre parce qu'il "n'entre plus dans sa stratégie" à partir de 2021.PME de robinetterie basée à Etain (Meuse), Kramer avait déposé début février une lettre d'intention auprès de Kohler pour la reprise partielle du site de Damparis à partir du 30 juin prochain, avec la préservation de 91 emplois sur 140 et l'objectif d'augmenter l'effectif au bout de trois ans grâce à la montée en puissance de la production.Son projet reposait sur une première année de fabrication pour le compte de Kohler.
Il y a 4 ans et 65 jours

Immobilier : vers une baisse des prix en Ile-de-France ?

CONJONCTURE. D'après les Notaires du Grand Paris, l'Ile-de-France a connu "un quatrième trimestre très dynamique" en matière de transactions immobilières, qui "permet de limiter la baisse annuelle des ventes". Celle-ci commence, néanmoins, "à peser sur l'évolution des prix".
Il y a 4 ans et 65 jours

Encadrements à Paris: les loyers supérieurs au plafond en baisse de 3 %

L'encadrement des loyers à Paris s'est traduit au second semestre 2019 par une baisse moyenne de 3% des loyers de relocation qui dépassaient le plafond,
Il y a 4 ans et 66 jours

Fayat remporte le lot 3 de la ligne 16 du Grand Paris Express

Le groupement porté par Razel Bec, SefiI-Intrafor et Fayat Métal a remporté le marché de 325 M€ pour la construction de 5,5 km de tunnel, de la gare de Chelles et de 6 ouvrages annexes.
Il y a 4 ans et 66 jours

La ligne 16 du métro du Grand Paris sera terminée dès 2028

Longue de 29 km, la ligne 16 du Grand Paris Express doit irriguer toute la Seine-Saint-Denis, de Saint-Denis à Noisy-Champs, en désenclavant notamment les quartiers défavorisés de Clichy-Montfermeil.Le marché, qui concerne le tronçon terminal entre Clichy-Montfermeil et Noisy-Champs a été attribué à un groupement d'entreprises constitué de Razel-Bec, Sefi-Intrafor et Fayat Metal pour à 325 millions d'euros, a précisé la SGP dans un communiqué.Les travaux doivent commencer en septembre 2021 et durer sept ans, selon la SGP."La signature de ce troisième marché de génie civil de la ligne 16 permettra de boucler la ligne avec un objectif de mise en service amélioré à 2028 au lieu de 2030 initialement" a relevé Thierry Dallard, président du directoire de la SGP, cité dans le communiqué.Le groupe Eiffage a parallèlement indiqué lundi avoir remporté des contrats de la SGP pour les travaux d'aménagement des gares La Courneuve Six-Routes et Le Blanc-Mesnil sur cette même ligne, ainsi que de plusieurs ouvrages de service, pour un montant de près de 97 millions d'euros.