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(1946 résultats)
Il y a 4 ans et 0 jours

A+Architecture : Clinique Saint-Jean

Pour sa nouvelle clinique située à Saint-Jean-de-Védas (34), le Groupe Cap Santé a fait appel à A+Architecture, agence d’architecture connue pour son expertise, ses nombreux savoir-faire et sa volonté de répondre au mieux aux attentes des maîtrises d’ouvrage. À l’entrée de la commune de Saint-Jean-de-Védas, les architectes de l’agence A+Architecture ont construit une clinique contemporaine qui se démarque par son implantation, ses volumes et son écriture architecturale singulière. En plus de concevoir un bâtiment fonctionnel pour les patients et le personnel soignant, les architectes ont souhaité faire de la clinique Saint-Jean un lieu agréable. Ils ont en effet travaillé sur la lumière, la générosité des espaces et l’organisation spatiale de sorte que l’architecture de la clinique contraste avec celle austère des centres hospitaliers et autres lieux de santé. La clinique se compose d’un grand bâtiment bordé par une vaste esplanade, et dispose également d’un parking extérieur relié à la clinique par un large mail et d’un parking en sous-sol réservé au personnel de santé. Le bâtiment comprend un hall central végétalisé, un bloc opératoire doté de vingt-quatre salles d’opération, deux unités d’hébergement ambulatoire et huit ailes d’hébergement. Le corps du bâtiment retient l’attention par sa forme incurvée en forme de chromosome X. Celle-ci permet de créer deux aires d’accès distinctes : l’arrivée des urgences et le dépose-minute au sud et la cour logistique dédié aux équipes de la clinique au nord.Pour en savoir plus, visitez le site d’A+Architecture.Visuels : © Camille GharbiLa rédaction
Il y a 4 ans et 1 jours

Foncia gagne en appel contre UFC-Que Choisir dans la première action de groupe en justice en France

La Cour d'appel de Versailles a rejeté l'action de groupe menée par l'association de consommateurs qui reprochait à Foncia d'avoir facturé de manière indue des quittances de loyer à des milliers de locataires, précise le cabinet d'avocats.La Cour a "clairement confirmé que les sommes facturées par les agences du réseau Foncia dans leurs rapports avec les locataires ne révélaient aucune faute", poursuit Bredin Prat dans un communiqué.L'UFC-Que Choisir réclamait à Foncia l'indemnisation de locataires, 318.000 selon son estimation, ayant payé des frais d'expédition de quittance, à hauteur de 2,30 euros par mois, pour un total évalué à 44 millions d'euros sur cinq ans.Le cabinet d'avocats ajoute par ailleurs que l'association de consommateurs a été condamnée à verser 10.000 euros au titre des frais de justice avancés par Foncia dans cette affaire.En première instance, le tribunal de grande instance de Nanterre avait déjà déclaré irrecevable la demande de l'UFC-Que Choisir, estimant que l'action de groupe sortait du champ défini par la loi Hamon de 2014.Celle-ci a introduit dans le droit français une disposition permettant une version très encadrée des "class actions" à l'américaine.Cette action de groupe intentée par l'UFC contre l'administrateur de biens immobiliers a été la toute première déposée en France, le 1er octobre 2014, le jour de l'entrée en vigueur de la loi Hamon sur la consommation.
Il y a 4 ans et 5 jours

Le plan de relance continue de monter en puissance

A fin avril, en comptant la baisse des impôts de production, ce sont 30 milliards d'euros qui ont été engagés (c'est-à-dire fait l'objet d'une contractualisation avec un porteur de projet), et environ 20 milliards décaissés, a indiqué le ministère à l'AFP.Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire veut déployer d'ici à la fin de l'année 70 milliards d'euros sur les 100 milliards du plan, répartis à peu près équitablement entre des mesures favorisant la transition écologique, la reconquête industrielle, et la cohésion sociale et territoriale.Sur le volet écologique, 9 milliards d'euros ont été engagés, dont 4 pour la recapitalisation de la SNCF.Le dispositif MaPriveRénov, pour aider les ménages à faire des travaux dans leur logement, a suscité 252.000 demandes entre janvier et avril, après 200.000 en 2020, pour un montant total de 770 millions d'euros.180.000 primes à la conversion et plus de 150.000 bonus écologiques ont désormais été accordés depuis juillet 2020.Sur le volet consacré à la cohésion sociale et territoriale, 9,5 milliards d'euros ont été engagés, dont 2,7 pour le soutien aux collectivités. Le plan "1 jeune, 1 solution" de soutien à l'emploi a bénéficié à 1,5 million de moins de 26 ans à fin avril.Le volet dédié au développement industriel atteint lui des engagements d'environ 5 milliards d'euros (hors 10 milliards de baisse des impôts de production).1,3 milliard d'euros ont ainsi permis à 1.450 entreprises de réaliser plus de 5,9 milliards d'euros d'investissements productifs à fin avril. Près d'une entreprise industrielle sur trois, a déposé un dossier au guichet "industrie du futur", dédié à la numérisation et à la robotisation.Face à l'afflux de demandes, le gouvernement a réabondé de 1 milliard d'euros ce volet, en ponctionnant d'autres enveloppes au démarrage plus lent.Comme annoncé lundi par le Premier ministre, 350 millions d'euros viendront aussi compléter le "fonds friches", également victime de son succès.Ces réallocations se justifient car ces mesures "auront vraiment un impact soit sur la modernisation des entreprises (...), soit en terme d'attractivité des territoires, et ça participe aussi à la branche emploi du plan de relance", justifie-t-on à Bercy.Aucune autre mesure ne sera sacrifiée, assure toutefois le ministère, qui ne précise pas lesquelles ont été ponctionnées mais donne rendez-vous plus tard dans l'année pour faire le bilan des sous-consommations du plan.Un point devrait déjà être fait dès cet été, lors de la concertation voulue par le Président de la République pour "inventer un deuxième temps de la relance".Par ailleurs, alors que des critiques sont remontées sur le manque de lisibilité du plan et la complexité d'accès à certaines mesures, Bercy assure être "à l'écoute", et avoir corrigé le tir.Un guide dédié aux très petites entreprises a vu le jour, certaines procédures d'appels à projets ont été revues, par exemple pour réduire le nombre de guichets d'accès, défend-on au ministère.
Il y a 4 ans et 6 jours

Succès de MaPrimeRénov' avec 280.000 dossiers déposés en 2021 et 88% des bénéficiaires satisfaits

Ce succès est confirmé par une enquête de satisfaction[1], réalisée par IPSOS auprès des bénéficiaires, qui montre que 88% sont satisfaits de MaPrimeRénov’. Ils sont ainsi une très large majorité à être satisfaits des délais de traitement des dossiers (82%) et du montant de l’aide accordé (87%).Surtout, cette enquête confirme l’utilité de MaPrimeRénov’ pour accélérer la rénovation énergétique des logements en France, et ainsi réussir la transition écologique de notre pays, puisque 69% de ménages n’auraient pas entrepris de travaux sans cette aide. Les bénéficiaires jugent d’ailleurs très positivement les travaux réalisés puisque grâce à MaPrimeRénov’, 95% sont satisfaits du rapport qualité prix des travaux et 97% des estiment que leur logement est désormais plus confortable.Télécharger l’intégralité de l’enquête : cliquez ici.[1] Sondage IPSOS, L’opinion des usagers sur le dispositif MaPrimeRénov’, réalisé du 27 avril au 4 mai, auprès de 13 590 personnes bénéficiaires de MaPrimeRénov’, interrogées en ligne après envoi
Il y a 4 ans et 15 jours

Amazon: recours contre un projet près de Rouen

Des opposants à un vaste entrepôt situé près de Rouen, et destiné selon les élus locaux au géant américain de la vente en ligne Amazon, ont déposé un recours contre ce projet.
Il y a 4 ans et 16 jours

Transition énergétique : les hôpitaux pourront bénéficier d'une aide à la rénovation

AIDE. Les établissements de santé peuvent recevoir une aide pour leurs projets de rénovation énergétique. Ils ont jusqu'au 6 juillet prochain pour déposer leur dossier.
Il y a 4 ans et 20 jours

Recours contre un projet d’entrepôt destiné à Amazon près de Rouen

Cette requête vise l'annulation du permis de construire accordé par le maire de Petit-Couronne à la société Gazeley qui, selon l'élu, opère pour Amazon, a précisé l'association les Amis de la terre, à l'origine du recours.Elle a été déposée le 25 avril, selon le greffe du tribunal administratif."La question de la sécurité incendie ne nous semble pas tout à fait élucidée. Si des aménagements ont été prévus par le maître d'ouvrage, cela nous semble encore trop léger", a expliqué Louis, des Amis de la terre et du collectif Stop Amazon 76. Il n'a pas souhaité donner son nom de famille.En octobre, la métropole de Rouen avait voté contre ce projet face à des inquiétudes du SDIS (service départemental d'incendie et de secours). Les pompiers craignaient dans un rapport d'être confrontés à une "impossibilité opérationnelle" et estimaient qu'un incendie de grande ampleur pourrait produire "un volume de fumée supérieur à celui produit lors de l'incendie du 26 septembre 2019" sur le site Seveso de Lubrizol à Rouen.Mais en mars le préfet de Seine-maritime a signé deux arrêtés autorisant le projet.L'exploitant a réalisé "un important travail pour faire évoluer son projet en y intégrant les recommandations du SDIS", avait en effet assuré la préfecture dans un communiqué.Les Amis de la terre expliquent préparer un recours contre l'un des arrêtés préfectoraux, en parallèle à celui déposé contre le permis de construire.Interrogé mardi par l'AFP, le service de presse d'Amazon en France n'a pas confirmé de projet d'implantation à Petit-Couronne. La société confirme en revanche qu'elle en étudie un à Moult (Calvados).Le maire PS de Petit-Couronne, Joël Bigot, a assuré mardi à l'AFP que le projet d'Amazon sur sa commune était "plus que jamais d'actualité". Selon lui, Amazon a promis 1.200 emplois au minimum dans sa commune.Le géant américain, critiqué sur son impact social et environnemental, a par ailleurs annoncé mardi l'ouverture "à l'été 2021" d'un vaste entrepôt dans la métropole de Metz.
Il y a 4 ans et 21 jours

Le redressement fiscal ne doit pas venir de n'importe où

La Cour de cassation a posé ce principe au sujet de l'impôt sur la fortune, en déclarant seuls compétents les agents de la domiciliation fiscale du contribuable.Ce contribuable détenant plusieurs biens immobiliers dans divers départements, avait reçu d'une direction départementale des finances publiques une proposition de rectification portant sur la valeur déclarée d'un immeuble situé dans son ressort.Ce service soutenait que, selon la loi, les fonctionnaires de catégories A et B sont compétents pour les immeubles situés dans leur zone territoriale. Il en déduisait qu'il était compétent au même titre que le service du lieu de déclaration et d'imposition.Mais les juges ont écarté ce raisonnement. En l'occurrence, l'impôt sur la fortune étant un impôt sur le patrimoine global, son contrôle et sa rectification ne peuvent être exercés que par le service auprès duquel la déclaration a été déposée ou aurait dû l'être. Le contribuable ne peut pas recevoir des avis de rectification de divers services fiscaux pour des biens situés dans leur ressort.En l'espèce, ce contribuable demeurant dans le Val-de-Marne, il ne pouvait, selon les juges, recevoir de proposition de rectification que du service de contrôle de la fiscalité immobilière de Créteil.(Cass. Com, 27.3.2019, Y 17-18.696).
Il y a 4 ans et 26 jours

Marchés globaux pour la rénovation d'écoles marseillaises : les opposants persistent

MARCHÉS PUBLICS. Un collectif représentant architectes et artisans opposés aux marchés globaux de performance va déposer un recours gracieux auprès du maire de Marseille, qui a acté la rénovation de quatre groupes scolaires via cette procédure qui "met les TPE et PME sur la touche" et nuit, selon eux, à la qualité des projets.
Il y a 4 ans et 27 jours

Onduline

L'ancienne couverture de 17 000 m2 en plaques en fibrociment amianté d'un bâtiment de Chassagny en Auvergne-Rhône-Alpes a été déposée pour être remplacée par des panneaux sandwich en acier. Des panneaux translucides en polycarbonate ONDUCLAIR THERMO d'ONDULINE s'inscrivent dans la nouvelle toiture pour laisser passer la lumière du jour tout en profitant d'une excellente isolation.
Il y a 4 ans et 28 jours

Une toiture de 17 000 m2 éclairée avec ONDUCLAIR THERMO

L’ancienne couverture de 17 000 m2 en plaques en fibrociment amianté d’un bâtiment de Chassagny en Auvergne-Rhône-Alpes a été déposée pour être remplacée par des panneaux sandwich en acier. Des panneaux translucides en polycarbonate ONDUCLAIR THERMO d’ONDULINE s’inscrivent dans la nouvelle toiture pour laisser passer la lumière du jour tout en profitant d’une excellente isolation. Cette nouvelle toiture est destinée à recevoir des panneaux photovoltaïques sur ses pentes orientées au sud. Les plaques en fibrociment amianté, devenues trop vieilles, étaient susceptibles, à terme, de présenter un risque pour les occupants du bâtiment et ne permettaient pas de répondre à ce nouveau projet. L’entreprise ETERA a été choisie pour la rénovation de cette très grande couverture de 17 000 m2. Elle a assuré le désamiantage de l’ensemble, par la dépose des anciennes plaques, puis la pose de la nouvelle couverture qui devra recevoir les panneaux photovoltaïques. Des panneaux sandwich isolants avec un parement extérieur en acier ont été sélectionnés pour ce chantier et, pour que l’intérieur du bâtiment profite de la lumière du jour, les panneaux translucides en polycarbonate ONDUCLAIR THERMO ont été choisis pour ponctuer de sources lumineuses la nouvelle couverture. « La particularité des plaques ONDUCLAIR THERMO est qu’elles proposent la même épaisseur que les panneaux sandwich, elles sont parfaitement compatibles ce qui a facilité leur intégration dans la nouvelle couverture » affirme Laurent Ferret, le directeur d’ETERA. La solution ONDUCLAIR THERMO d’ONDULINE a en effet été spécifiquement développée pour être associée à des panneaux sandwich en couvertures neuves ou en rénovation et éclairer l’intérieur des bâtiments (usines, hangars agricoles, ERP…). La plaque ONDUCLAIR THERMO est composée de 2 parties : une plaque en polycarbonate ou en polyester et une plaque inférieure en polycarbonate alvéolaire. Sa transparence assure un confort maximal à l’intérieur des bâtiments grâce à une transmission lumineuse accrue.   ONDUCLAIR THERMO – Facile à poser « La charpente était très ancienne, avec des entre axes entre pannes très irréguliers » ajoute Laurent Ferret, « il faut souligner la souplesse et la réactivité d’ONDULINE qui nous a permis de bénéficier de nos plaques ONDUCLAIR aux différentes dimensions demandées ». Le montage des panneaux ONDUCLAIR THERMO est simple et rapide. Les panneaux se posent à l’avancement, en même temps que les panneaux métalliques. Les panneaux sont dotés de renforts longitudinaux sous chaque nervure principale pour augmenter leur rigidité. Facile à mettre en œuvre et profitant d’une grande résistance aux impacts, la solution ONDUCLAIR THERMO est flexible selon les besoins des chantiers. Déclinée en de nombreuses épaisseurs (30, 40, 50, 60, 80, 100, 120, 140, 150 mm), elle permet une adaptation parfaite aux différents panneaux sandwich métalliques du marché. Les lames d’air des panneaux agissent comme un isolant naturel. Pour plus de confort et afin de satisfaire les besoins les plus exigeants en termes d’isolation, ONDULINE propose une option T (Confort Thermique) qui offre des coefficients d’isolation performants (jusqu’à 0,836W/m2.K).   Les solutions ONDUCLAIR THERMO se déclinent en une large gamme pour répondre à tous les besoins : ONDUCLAIR THERMO PC : système de panneaux sandwich dont la peau supérieure est en polycarbonate d’une épaisseur d’1 mm et la peau inférieure en polycarbonate alvéolaire. ONDUCLAIR THERMO PLR : système de panneaux sandwich dont la peau supérieure est en polyester d’une épaisseur d’1,2 à 1,6 mm et la peau inférieure en polycarbonate alvéolaire. ONDUCLAIR THERMO PC T et PLR T : systèmes avec option « Confort Thermique » pour une isolation accrue. ONDUCLAIR THERMO PC R et PLR R : systèmes avec option « Renforcé » pour une résistance aux charges accrue et une plus grande facilité d’installation en neuf ou en rénovation. ONDUCLAIR PC TR ET PLR TR : systèmes profitant des 2 options « Renforcé » et « Confort Thermique » permettant d’allier performance thermique, mécanique et facilité de mise en œuvre. www.onduline.fr
Il y a 4 ans et 29 jours

Rénovation de toiture : les principes de base à retenir pour rénover et isoler

Le toit de la maison est souvent sujet à la pollution, aux intempéries et toutes sortes d’agressions extérieures. Au fil du temps, il se dégrade petit à petit. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est toujours conseillé de faire inspecter la toiture régulièrement s’il y aurait des fuites ou autres dommages qui pourraient nuire à la structure de la maison et au confort des occupants. Voici d’ailleurs quelques principes pour réussir les travaux de rénovation de la toiture. Les bonnes raisons de passer par la rénovation de la toiture Plusieurs raisons poussent souvent les propriétaires à envisager des travaux de rénovation au niveau de la toiture de leur maison. Généralement, cette opération permet notamment d’assurer globalement l’étanchéité de la maison. C’est à dire, qu’elle permet d’être à l’abri de tous les problèmes durant de nombreuses années. En réalité, de nombreux facteurs peuvent porter atteinte à l’étanchéité de la toiture, comme les tuiles cassées, la porosité de la couverture, gouttières bouchées, chéneaux percés… Dans tous les cas, avant de commencer le chantier, l’idéal serait notamment de faire appel à un professionnel comme ce couvreur expérimenté dans l’Eure et Loire que vous pouvez contacter sur ce site pour réaliser un diagnostic de l’état de la toiture et de la charpente. Il saura adopter les solutions pour résoudre les problèmes d’étanchéité de la maison. Mais les propriétaires optent également pour ce type de travaux afin de modifier en mieux l’aspect extérieur de la maison. Il s’agit d’offrir un nouvel aspect esthétique à l’ensemble via la rénovation de la toiture. Là encore, il faudra compter sur le savoir-faire d’un professionnel sachant qu’il faudra respecter la pente de la toiture, les règles architecturales locales, le PLU, le climat de la région… Ce sera à partir de ces points qu’il sera possible de choisir la couverture idéale pour son logement, incluant le matériau adapté et le coloris idéal. Inclure l’isolation dans la rénovation de la toiture En plus de l’étanchéité, il est aussi important de se pencher sur l’isolation lors que la rénovation de la toiture. En réalité, un toit mal isolé peut engendrer d’importantes déperditions énergétiques. Notamment, depuis janvier 2017, lorsqu’on remplace au moins 50 % de la couverture de la maison, il devient obligatoire de réaliser des travaux d’isolation thermique. Là encore, les travaux d’isolation peuvent être réalisés sous différentes formes. On retrouve notamment l’isolation par l’extérieur. Elle consiste notamment à déposer des panneaux isolants sur la charpente avant de placer les éléments de la couverture. Certes, cette option peut être efficace, mais elle est onéreuse. Autrement, on retrouve également l’isolation par l’intérieur. C’est une solution moins coûteuse qui permet d’isoler efficacement la toiture. Il s’agit ici de réaliser une classique isolation sous rampants. C’est-à-dire que les panneaux d’isolants seront placés sous les pentes du toit et après cela, ils seront recouverts d’un film d’étanchéité avant d’appliquer des plaques de plâtre comme finition. Dans certains cas, le propriétaire sera aussi amené à isoler les combles perdus. Cette opération consiste notamment à dérouler un isolant sous forme de panneaux sur le plancher des combles. Mais il est aussi possible d’y projeter un isolant en vrac. Tout dépendra des souhaits des propriétaires, mais il faut dire que ces méthodes sont moins chères.
Il y a 4 ans et 29 jours

Une étude souligne la nécessité d'accélérer l'innovation des technologies énergétiques propres

Le rapport, intitulé Brevets et transition énergétique, Technologies énergétiques propres : tendances mondiales en matière d'innovation, indique que, à l'exception d'un fléchissement constaté entre 2014 et 2016, le nombre de brevets internationaux en technologies bas carbone est en augmentation depuis une vingtaine d'années. Ce qui tranche avec le recul observé dans le domaine des énergies fossiles depuis 2015. Cependant, le taux de croissance annuel moyen des innovations liées aux énergies sobres en carbone est environ quatre fois plus faible depuis 2017 que sur la période 2000-2013, où il s'élevait à 12,5%.Ce qui signifie qu'une intensification de l'innovation, soutenue par une action politique conjointe, dans tous les domaines de l'énergie bas carbone (de la production de l'énergie à la transmission, en passant par le stockage et les utilisations finales) est nécessaire pour accélérer la disponibilité et la diversité des technologies, et ainsi en abaisser les coûts.Certaines de ces technologies sont déjà utilisées au niveau industriel, tandis que d'autres ne sont qu'au début de leur développement et de leur déploiement. Selon l'IEA, les objectifs climatiques actuels ne peuvent être atteints que par une accélération majeure de l'innovation en matière d'énergie propre, car bon nombre des technologies nécessaires dans les décennies à venir pour réduire les émissions de CO2 ne sont aujourd'hui qu'au stade du prototype ou de la démonstration.« La transition énergétique nécessaire pour faire face au changement climatique représente un défi d'une ampleur et d'une complexité considérables », a déclaré António Campinos, le Président de l'OEB. « Ce rapport incite à agir pour intensifier les efforts de recherche et d'innovation en faveur des technologies énergétiques propres et améliorer les technologies existantes. D'un côté, ce rapport révèle des tendances encourageantes dans plusieurs pays et secteurs industriels, y compris dans celui, crucial, des technologiques transversales. Mais d'un autre côté, il souligne la nécessité d'accélérer encore l'innovation dans les énergies sobres en carbone, dont certaines sont tout juste en train d'émerger ».« Près de la moitié des réductions d'émissions, permettant d'atteindre un niveau zéro d'ici 2050, devraient provenir de technologies qui ne sont pas encore sur le marché »a déclaré Fatih Birol, directeur exécutif de l'IEA. « Cela demande de faire un pas de géant en matière d'innovation, mais jusqu'à présent les informations sur les progrès réalisés étaient plutôt limitées. En combinant les atouts complémentaires de l'IEA et de l'OEB, ce rapport fournit une base plus solide pour identifier et suivre l'évolution des forces et faiblesses du brevetage des technologies bas carbone. Ce qui nous donne une meilleure vision de l'état d'avancement de la transition énergétique ».Le milieu de l'innovation énergétique en constante évolutionLe rapport présente les tendances principales de l'innovation dans les technologies bas carbone entre 2000 et 2019, mesurées en termes de familles de brevets internationales (FBI). Chacune de ces familles représente une invention de grande valeur pour laquelle des demandes de brevet ont été déposées dans deux offices de brevets au moins dans le monde. Les demandes de brevet étant déposées des mois voire des années avant la commercialisation du produit, elles sont souvent considérées comme un premier indicateur des futures tendances technologiques.Depuis 2000, des entreprises du monde entier ont déposé plus de 420.000 FBI dans le domaine des technologies sobres en carbone. Celles-ci recouvrent des inventions de trois catégories : des technologies de production d'énergie sobre en carbone (comprenant les énergies renouvelables, comme l'énergie solaire, éolienne, géothermique ou hydroélectrique) ; les technologies favorisant un usage de l'énergie plus efficient ou le passage à des énergies plus durables (par ex. une électricité bas-carbone) dans des utilisations finales telles que les transports, les infrastructures ou la production industrielle ; et les technologies habilitantes, transversales sur l'offre et l'utilisation finale et qui renforcent des infrastructures pour obtenir un meilleur niveau d'énergies propres (incluant les batteries, l'hydrogène, les réseaux intelligents ainsi que le captage, l'utilisation et le stockage du carbone).L'étude conclut que le brevetage relatif aux technologies d'approvisionnement en énergies, dont les énergies renouvelables, est en baisse depuis 2012. Ce phénomène reflète la maturité commerciale toute récente de ces technologies, dont l'énergie solaire, qui n'a pas encore été suivie d'une nouvelle vague d'amélioration d'autres énergies renouvelables, comme les biocarburants ou l'énergie marine. En 2019, les technologies d'approvisionnement en énergies ne représentaient que 17% de l'ensemble des inventions en LCE.Les technologiques relatives aux secteurs d'utilisation finale sont restées plutôt stables au cours de ces dernières années, et représentent la majorité (60%) de l'ensemble des inventions en technologies bas carbone sur les cinq dernières années ; ce qui reflète le défi majeur que représente le ralentissement de la demande en énergie dans l'économie. Les principaux secteurs d'utilisation finale ayant déposé des brevets en énergies sobres en carbone à l'échelle mondiale entre 2000 et 2019 sont les transports (avec un total de 116.000 FBI sur cette période), suivis des technologies d'efficacité énergétique pour la production industrielle (86.000 FBI). Certains domaines, difficiles à décarboner, comme la métallurgie (par ex. la production d'acier) se sont montrés particulièrement dynamiques ces dernières années.Le rapport explique que ce sont les technologies habilitantes transversales (batteries, hydrogène, réseaux intelligents, captage du carbone) qui ont connu la plus forte croissance globale depuis 2017. Leur part est passée de 27% (sur l'ensemble des FBI de technologies d'énergies propres) en 2000 à 34% en 2019. Ces technologies transversales jouent un rôle de plus en plus important dans les transitions énergétiques, en mettant en relation diverses solutions d'énergies propres, rendant ainsi le secteur de l'énergie plus flexible.Le succès des véhicules électriques dynamise l'innovationUn des moteurs principaux de l'innovation a été l'essor des technologies relatives aux véhicules électriques, portées par des progrès considérables réalisés sur les batteries au lithium-ion rechargeables (voir l'étude commune OEB-IEA sur l'innovation dans le domaine des batteries et du stockage de l'électricité). Cette tendance se reflète également dans le classement des plus grandes entreprises de technologies d'énergies propres depuis 2000,qui comprend six groupes automobiles et six de leurs principaux fournisseurs de batteries.Pour les technologies d'utilisation finale aussi, le nombre de FBI dans les véhicules électriques distance depuis 2011 les technologies liées à d'autres énergies propres pour les véhicules routiers (y compris celles destinées à améliorer l'efficacité des moteurs à combustion, ou de l'aérodynamique, à réduire le poids ou encore à obtenir des composants et des sous-systèmes plus efficaces énergétiquement).L'Europe, le Japon et les États-Unis en tête, avec des spécialisations différentesEn s'intéressant aux principales tendances d'innovation par région, l'étude montre que, depuis 2000, les entreprises et instituts de recherche européens sont en tête du classement des brevets en inventions LCE, avec une part de 28% (dont 12% pour l'Allemagne) sur l'ensemble des FBI pour ce type de technologies, entre 2010 et 2019. L'Europe est suivie du Japon (25%), des États-Unis (20%), de la Corée du Sud (10%) et de la Chine (8%).Tandis que l'Europe occupe la première place du classement dans la plupart des domaines relatifs aux énergies renouvelables et est particulièrement présente dans certains secteurs d'utilisation finale, comme le transport ferroviaire ou l'aviation, le Japon se démarque par ses technologies de véhicules électriques, de batteries et d'hydrogène. Les États-Unis sont à la pointe en aviation, biocarburants et captage, séquestration et utilisation du carbone. Les atouts de la Corée du Sud se retrouvent dans les batteries, la technologie photovoltaïque, l'efficacité énergétique pour la production industrielle et le secteur des TIC ; la Chine est également spécialiste des TIC.Le rapport confirme également que les pays (en particulier les États-Unis et les pays européens) mettent en place une collaboration transfrontalière pour développer leurs technologies énergétiques propres, ce qui met en exergue le potentiel d'une coopération internationale et de partage des connaissances pour pouvoir intensifier les efforts en R&D. Au global, la part des FBI en énergies sobres en carbone générées par des instituts de recherche (universités et organismes de recherche publiques) a progressé, passant de 6,6% entre 2000 et 2009 à 8,5% entre 2010 et 2019. Les instituts de recherche sont particulièrement actifs dans les technologies bas carbone (carburants alternatifs, énergie nucléaire et quelques énergies renouvelables), ainsi que dans les technologies transversales comme le captage du CO2 et l'hydrogène.Tendances françaises en matière d'innovation dans les énergies propresAvec 17 487 FBI sur la période 2000-2019 (une croissance de plus de 7% par an moyenne), la France est le 2e pays européen en matière d'innovation dans les énergies bas carbone et 6e pays au niveau mondial. Elle se place derrière l'Allemagne (3e mondial), champion européen et devant le Royaume-Uni (7e).Les innovations françaises représentent plus de 4% des innovations mondiales dans le secteur.L'innovation française dans le secteur se distingue par la diversité de ses origines. Parmi les dix premiers déposants : trois organismes publics de recherche, plusieurs entreprises automobiles (PSA, Renault, Valeo) et une entreprise aérospatiale (Safran). On retrouve également Total qui, outre son activité pétrolière et gazière, innove dans l'énergie solaire.Safran comme champion français (1 997 FBI), suivi sur le podium par le CEA (1 772) et PSA (1 112).Le CEA est le premier organisme public de recherche mondial pour les technologies bas carbone. Avec l'IFP Energies Nouvelles et le CNRS, la France compte trois représentants dans le top 10 mondial des organismes publics de recherche dans ces technologies.Une spécialisation française dans l'aviation (15% des inventions bas carbone du secteur), les transports ferroviaires (12%) et le nucléaire (11%)Top 3 des secteurs où la France a le plus de FBI relatives aux énergies bas carbone : aviation (1 870), automobile (1 614) et véhicules électriques (1 459)Pour plus d'informations :Lire la synthèse de l’étude (FR)Lire la version intégrale de l’étude (EN)
Il y a 4 ans et 30 jours

MaPrimeRénov' connait une très forte dynamique au 1e trimestre 2021 avec plus de 185.000 dossiers déposés

A la fin du 1er trimestre 2021, plus de 185.000 dossiers déposés et plus de 317M€ de primes engagésGrâce à l’ouverte à tous les propriétaires occupants, MaPrimeRénov’ connait une très forte dynamique. Plus de 185.000 demandes ont déjà été déposées en trois mois, soit presque autant que sur l’année 2020 (191.690).Après un délai moyen d’instruction de 17 jours ouvrés, 116.899 dossiers ont été acceptés, pour un montant total de 317,4 millions d’euros de primes. MaPrimeRénov’ est ensuite versée à l’issue des travaux, 79.019 demandes de paiement ont ainsi été reçues et près de 58.000 ont été payées. 55% des travaux concernent le système de chauffageMaPrimeRénov’ permet de financer les travaux d’isolation (murs, planchers, combles, fenêtres), de chauffage, de ventilation ou d’audit énergétique. Parmi les travaux les plus sollicités le changement de système de chauffage (55%), suivi des travaux d’isolation (34%). Un forfait d’assistance à maitrise d’ouvrage (AMO) est également demandé (8%), celui-ci permet d’accompagner et conseiller les ménages pour la réalisation de ces rénovations plus ambitieuses. 59% des dossiers déposés concernent des ménages aux revenus modestes et très modestesInitialement réservée aux ménages les plus fragiles, MaPrimeRénov’ est désormais accessible à tous les propriétaires occupants, quels que soient leurs revenus. Pour autant, les ménages modestes et très modestes restent les principaux bénéficiaires, avec 59% des dossiers déposés depuis le début de l’année. MaPrimeRénov’ rencontre également un fort succès auprès des ménages aux revenus intermédiaires (36%). Par ailleurs, les régions Hauts de France, Auvergne Rhône Alpes et Ile-de-France sont les régions où le plus de dossiers ont été déposés.Téléchargez le bilan complet du 1e trimestre 2021 de MaPrimeRénov
Il y a 4 ans et 30 jours

Plus de 110.000 primes versées depuis le lancement de MaPrimeRénov

BILAN. Nombre de dossiers déposés, de primes distribuées, travaux privilégiés... L'Agence nationale de l'habitat (Anah) fait le point sur les performances de MaPrimeRénov depuis sa création, et plus spécifiquement sur le premier trimestre 2021.
Il y a 4 ans et 33 jours

Dix-sept projets retenus pour une surveillance intelligente des ponts

Les solutions retenues, qui font beaucoup appel aux capteurs autonomes sans câblage des ouvrages et à l'intelligence artificielle, ont été annoncées vendredi par le ministre délégué aux Transports Jean-Baptiste Djebbari, lors d'une visite au viaduc de Millau (Aveyron), selon ses services.Le ministère avait reçu 39 candidatures et un jury d'experts a sélectionné les projets "les plus porteurs, les plus intéressants aussi en termes de potentiel d'innovations", a-t-on précisé dans son entourage.Les lauréats vont installer des démonstrateurs sur des ponts, "et si ces démonstrateurs fonctionnent bien, ce que l'on souhaite, ils pourront être déployés à plus grande échelle", a-t-on ajouté de même source.L'Agence nationale de la cohésion des territoires et le Cerema avaient appelé à "penser autrement" la surveillance de l'état des ponts en utilisant "les dernières innovations en matière d'instrumentation, télécommunication, traitement de données et intelligence artificielle (...) en complément des méthodes classiques d'inspections visuelles".Ces expérimentations devraient coûter 8 millions d'euros, dont 4 millions apportés par le gouvernement.Dans la foulée de l'effondrement du viaduc de Gênes (Italie) en août 2018 et avant celui d'un pont à Mirepoix-sur-Tarn (Haute-Garonne) en novembre 2019, un rapport sénatorial avait pointé en juin 2019 l'état préoccupant d'"au moins 25.000 ponts" routiers en France, mettant l'accent sur l'assistance aux petites collectivités territoriales.Parmi ces ouvrages problématiques, les sénateurs avaient compté 7% des ponts de l'Etat, 8,5% des ponts des départements, et "probablement 18 à 20%" des ponts des communes et des intercommunalités, s'étonnant de l'"absence d'un recensement exhaustif des ponts gérés par les collectivités territoriales".Les sénateurs avaient réclamé un "plan Marshall" pour les ponts, avec un fonds d'aide aux collectivités locales doté de 1,3 milliard d'euros sur dix ans.Le gouvernement a débloqué en décembre une enveloppe de 40 millions d'euros pour que les petites communes puissent recenser et évaluer leurs ponts, avec l'assistance du Cerema.Les communes ont jusqu'au 30 avril pour déposer leur demande, a rappelé le ministère vendredi. La réalisation des recensements et visites sur le terrain devrait démarrer cet automne, a-t-il précisé.
Il y a 4 ans et 34 jours

Transition énergétique : une aide à la rénovation pour les piscines publiques

AIDE. Les collectivités pourront bénéficier d'une aide financière et d'un accompagnement pour rénover leurs espaces aquatiques. La FNCCR les invite à déposer leur dossier.
Il y a 4 ans et 35 jours

JO-2024 de Paris : mobilisation pour sauver des parcelles des jardins ouvriers d'Aubervilliers

Potager ambulant, escargot géant, couronnes de lauriers sur les têtes... les manifestants ont fait preuve d'originalité pour "alerter sur le saccage de la Seine-Saint-Denis au nom des JO".Pour Ginette, 83 ans, "le jardin permet de s'aérer, de se détendre". Elle possède depuis 35 ans un lopin de terre qui lui permet de "faire pousser des fruits et des légumes". Chapeau de paille sur la tête et masque vénitien sur le visage, cette élégante "jardinière en lutte", estime qu'il n'y a déjà "pas assez d'espace vert". Les 2,5 hectares (25.000m2) de jardins ouvriers des Vertus d'Aubervilliers, situés à moins de 4 km au nord de Paris, constituent une enclave de verdure.Ces jardins seront amputés de près de 4.000 m2 dans quelques semaines pour la construction du futur centre aquatique, utilisé comme centre d'entraînement pour les JO, mais aussi pour la création d'un solarium et d'autres équipements de loisirs."On veut des pommes et pas un solarium", s'insurge Dolores Mijatovic du Collectifs des jardins ouvriers d'Aubervilliers qui a déposé un recours contre le plan local d'urbanisme."On a besoin d'une piscine mais on pouvait la construire autrement, pas à la place des jardins", estime Julie, habitante d'Aubervilliers.Aux banderoles "Destruction" et "Non aux JO Paris-2024", se mêlaient des drapeaux LFI, EELV ou encore Générations.Le député LFI de Seine-Saint-Denis Bastien Lachaud ainsi que d'autres personnalités politiques de gauche et écologistes sont venus apporter leur soutien.Le rassemblement qui a débuté devant la mairie d'Aubervilliers s'est achevé avec une chaîne humaine autour des jardins ouvriers puis d'un pique-nique géant.
Il y a 4 ans et 36 jours

Nouvelle manifestation contre un projet de serre tropicale géante sur la Côte d'Opale

Les manifestants étaient environ 200 selon la préfecture, plus de 380 selon les organisateurs.Ils fustigent dans ce projet de serre au dôme de 20.000 m2, prévue pour abriter papillons, colibris, poissons, reptiles et arbres exotiques, une absurdité visant à susciter l'émerveillement avec une biodiversité exotique au lieu de protéger celle de la Côte d'Opale.Tropicalia est "un projet anachronique par les temps qui courent", a souligné auprès de l'AFP Hélène Roche, porte-parole du collectif Non à Tropicalia, estimant qu'il pose problème tant pour la condition animale que pour l'artificialisation des terres et la consultation démocratique des riverains.L'association Gdeam62 (Groupement de Défense de l'Environnement de Montreuil et du Pas-de-Calais) a déposé un recours contre le permis de construire en mars 2020 mais Tropicalia n'a pas encore répondu et aucune date d'audience n'est fixée à ce stade, a indiqué Mme Roche.Ses promoteurs, qui la présentent comme la plus grande serre tropicale au monde, ont obtenu fin 2019 un permis de construire sur un ancien terrain agricole transformé en "zone d'aménagement concerté", entre les communes de Verton et Rang-du-Fliers.Estimé à 73 millions d'euros, le projet est en partie subventionné par la région, à hauteur de 2 millions d'euros.La liste menée par Karima Delli en a fait "un emblème des grands projets inutiles, du capitalisme vert et d'une vision à court terme pour l'attractivité et l'emploi précaire"."On ne peut pas faire autre chose avec 73 millions d'euros et 9 hectares de terres ? Ce projet ne passera pas si je suis présidente", a assuré il y a quelques jours la candidate à l'AFP.Les opposants au projet avaient déjà manifesté en décembre et en février.
Il y a 4 ans et 40 jours

Chapelle royale et cabinet d'angle: deux joyaux restaurés à Versailles

"Vous contemplez la chapelle telle que voulue par (l'architecte Jules) Hardouin-Mansart, telle que Louis XIV a pu la contempler, à l'exception du grand lanternon, supprimé en 1765", se félicite auprès de l'AFP Frédéric Didier, architecte en chef des monuments historiques qui pilote le chantier depuis quatre ans.Un chantier de restauration de l'extérieur de la chapelle qui a nécessité plus de 16 millions d'euros d'investisements, financés notamment grâce à la Fondation suisse Philanthropia et plusieurs mécènes, dont Saint-Gobain et LVMH. "C'est éblouissant, cette toiture irradie la ville, l'ensemble Versailles est rééquilibré", s'enflamme Catherine Pégard, présidente de l'Etablissement public, relevant qu'il s'agit de "travaux de même ampleur que ceux de la Galerie des glaces en 2007".Frédéric Didier accompagne l'AFP sous la charpente datant de 1705: une "forêt" de chêne de couleur blonde, comme l'était celle de Notre-Dame détruite par l'incendie de 2019. "On a pu restaurer à l'identique en conservant les bois anciens", dit-il.La quasi totalité des sabliers, pièces horizontales de plusieurs tonnes soutenant la charpente, ont dû être remplacés. Les infiltrations avaient provoqué des affaissements de 20 cm."Des bébés de 200 kg"La présence d'amiante dans le mastic des vitraux a obligé à les déposer et à les décontaminer. Et pour la première fois depuis l'Ancien Régime, les dorures sur tous les plombs devenus ternes, ont été refaites et étincellent.Des bas-reliefs abîmés ont été restaurés en modelage. Les statues n'ont pas été remplacées mais seulement restaurées. "Ces grands anges, de beaux bébés de 200 kg, on a dû les démonter, les gruter, les restaurer en atelier, remplacer les armatures internes et les replacer", raconte l'architecte. Cette chapelle royale est "le seul édifice des XVIIe-XVIIIe siècles encore intact avec toute sa statuaire d'origine", souligne-t-il.Le chantier a mobilisé une centaine d'ouvriers de nombreux métiers d'art, permettant la formation d'apprentis. Des recoins n'étaient documentés que par des photos noir et blanc des années 50."Certains historiens considèrent que c'est ce qu'il y a de plus abouti dans le palais. Cette fin du règne de Louis XIV, c'est un moment de perfection", souligne Laurent Salomé, directeur du musée.A 40 mètres de haut, "elle émerge de la ligne horizontale des toitures et brouille la symétrie, représente un élan vertical. Elle a été voulue pour symboliser l'idée que la maison de Dieu domine la demeure des hommes", explique l'architecte.Tiroirs secretsChef-d'oeuvre de l'art rocaille, le cabinet d'angle du Roi, salle de travail de Louis XV, a retrouvé lui aussi son éclat, financé notamment par le mécénat de Rolex. Avec en son centre le génial bureau à cylindre, muni de tiroirs secrets et dont la réalisation a pris neuf ans."Ce cabinet est une de pièces emblématiques du château par cette dualité d'un lieu de pouvoir et d'un lieu très intime", où les rois gardaient leurs collections de médailles, note Catherine Pégard.La dorure ancienne des glaces et des boiseries a été complétée. Et la peinture à la colle en "blanc de Roi", couleur froide et contrastée, a été retrouvée à l'identique, explique Laurent Salomé."Au XXe siècle, on croyait qu'un blanc crème était plus juste historiquement, on le trouvait plus élégant", s'amuse-t-il, en comparant le cabinet d'angle avec les salles voisines beaucoup plus ternes."Ces réalisations, dans cette période Covid, manifestent l'engagement de Versailles pour tous les métiers d'art et l'emploi", souligne la présidente de l'Établissement public et les restaurations ne cessent jamais: l'un, celle du cabinet du Dauphin, est en cours, celle des appartements de Madame du Barry, favorite de Louis XV, vient de débuter. Son achèvement coïncidera avec une grande exposition inédite à Versailles consacrée à Louis XV, pour l'automne 2022, révèle à l'AFP Mme Pégard.
Il y a 4 ans et 40 jours

Le gouvernement prêt à revoir sa copie sur l'assurance-chômage, les syndicats toujours remontés

Décidée en juillet 2019 dans un marché de l'emploi alors dynamique, la réforme avait été suspendue à l'aune de la crise du Covid-19. Elle doit désormais entrer en vigueur à compter du 1er juillet dans une version amendée.Si le durcissement d'une partie des règles, notamment sur l'ouverture des droits, est désormais soumis à une clause de "retour à meilleure fortune", la disposition la plus contestée par les syndicats entrera bien en vigueur cet été. Il s'agit du nouveau mode de calcul des allocations, moins favorable aux demandeurs d'emploi qui alternent régulièrement périodes de chômage et d'activité.L'exécutif défend un "enjeu d'équité", le système actuel étant plus favorable à ceux qui alternent contrats courts et inactivité qu'à ceux qui travaillent en continu.Selon les calculs de l'Unédic, 1,15 million de personnes qui ouvriront des droits à l'assurance-chômage dans l'année suivant le 1er juillet devraient ainsi toucher une allocation mensuelle plus faible qu'avec les règles actuelles (de 17% en moyenne) avec dans le même temps une "durée théorique d'indemnisation" allongée (14 mois en moyenne contre 11 avant la réforme).A la demande de Force ouvrière, l'organisme paritaire a aussi effectué des simulations montrant qu'avec les mêmes périodes d'emploi et des rémunérations égales, les salariés ayant été en chômage partiel, en congé maladie ou maternité, seraient moins bien indemnisés que les autres. Les cas-types montrent un écart d'environ un tiers dans l'allocation mensuelle.C'est sur ce point que le gouvernement s'est dit prêt à corriger des "effets non voulus"."Dès que j'ai eu connaissance de cette étude de l'Unédic, qu'on a reçu un petit peu tard, quelques jours avant la publication du décret (fin mars, NDLR), j'ai demandé à mes services de prendre contact avec l'Unédic pour qu'on règle ce problème et c'est ce qu'on va faire", a déclaré jeudi la ministre du Travail Elisabeth Borne."Il n'y a aucune raison d'être pénalisé dans son allocation chômage si on a été en congé maternité ou placé en activité partielle", a-t-elle insisté."S'il faut un nouveau décret pour effectuer ces ajustements, on le fera", a indiqué dans la foulée le ministère du Travail à l'AFP.Les syndicats toujours remontésLes syndicats, qui s'opposent frontalement depuis le départ à cette réforme qu'ils jugent pénalisante pour les demandeurs d'emploi, notamment les plus précaires, affirment de leur côté avoir alerté de longue date le gouvernement sur cette problématique."Le ministère découvre (la situation) alors que ça fait six mois qu'on lui dit que dans les pénalisés il y en aura encore plus, notamment les femmes en congé maternité et ceux qui sont en arrêt maladie", a déclaré le numéro un de la CGT Philippe Martinez mercredi soir sur France info. "Donc c'est une réforme super injuste", a-t-il ajouté, rappelant que son syndicat appelle à une journée d'action le 23 avril.Son homologue de la CFDT Laurent Berger a aussi assuré jeudi avoir "alerté le ministère". "A vouloir réformer à tout prix, complètement de façon anachronique parce qu'on est en pleine crise (...) le gouvernement a fait une politique du doigt mouillé. C'est n'importe quoi!", a-t-il tempêté.Il a annoncé que la CFDT allait, comme les autres centrales, déposer prochainement un recours devant le Conseil d'État contre le décret d'application de la réforme.Pour Michel Beaugas (FO), les annonces du gouvernement constituent "une première victoire" mais "ne règlent pas le fond du problème" du nouveau mode de calcul. "Nous sommes toujours déterminés à le faire annuler par le Conseil d'Etat", a-t-il indiqué à l'AFP.Pour Cyril Chabanier (CFTC), les corrections annoncées sont "une bonne chose", mais il pointe d'autres dispositions à corriger, tandis que Jean-François Foucard (CFE-CGC) grince que le gouvernement a "du mal à faire bien du premier coup" et devrait "écouter un peu plus".Les syndicats ont jusqu'à fin mai pour déposer leurs recours devant l'instance, qui aura un mois pour statuer.
Il y a 4 ans et 42 jours

Restauration de la salle des Etats du château de Ravel

Forteresse féodale, puis royale, offerte par Philippe le Bel à son chancelier Pierre Flote, demeure des familles d’Amboise, de la Rochefoucauld, puis de la famille d’Estaing, le château de Ravel, dans le Puy-de-Dôme, a conservé ses caractéristiques médiévales, adaptées aux exigences d’une demeure seigneuriale classique. Le château de Ravel, propriété privée, est classé au titre des monuments historiques. La pièce maîtresse du château, la salle des Etats d’Auvergne abrite une importante frise représentants les blasons d’une cinquantaine de provinces françaises, exécutée afin d’accueillir les Etats généraux d’Auvergne. Cet événement n’aura finalement jamais lieu, en raison du décès de Pierre Flote, tué à la bataille de Courtrai en 1302. Cette frise héraldique unique en France, aurait pu disparaître lors de l’incendie qui a ravagé 400m² dans la partie nord-ouest du château en juin 2016. S’ensuit alors un chantier de restauration en plusieurs étapes, exécuté sous la maîtrise d’oeuvre de Frédéric Didier, architecte en chef des monuments historiques, permettant de dégager des dispositions du XIIIe siècle et de les remettre en place dans cette partie du château : la grande chambre royale au 1er étage, la façade ouest et la tour nord-ouest, par exemple, retrouvent leur physionomie médiévale. Par chance, l’incendie n’a pas endommagé les peintures murales de la salle des Etats, situées pourtant au-rez-de-chaussée, directement sous les étages touchés par les flammes. Suite au sinistre, l’entresol crée tardivement est déposé et la salle des États a d’ores et déjà retrouvé ses volumes d’origine. Sur le chantier, le travail des restaurateurs consiste dans un premier temps à dégager les enduits dissimulant les peintures et à consolider ces dernières. Puis dans une seconde étape, ils procéderont à leur restauration, sous le contrôle scientifique et technique de la conservation régionale des monuments historiques. L’enjeu notamment sera de définir, en lien avec les propriétaires, l’architecte en chef des monuments historiques et les restaurateurs, jusqu’à quel point les parties disparues ou fanées seront restituées. La restauration de la salle des États a été sélectionnée parmi les opérations financées au titre du plan de relance dans le cadre de la mesure qui vise à conforter les opérations de restauration de monuments historiques relevant des collectivités ou de propriétaires privés. Le chantier a débuté fin 2020 et se poursuivra jusqu’en juillet 2021. Le montant total des travaux s’élève à 336 590 € dont une participation financière de 168 295 € dans le cadre de France Relance. Photo : salle des Etats pendant les travaux – 2BDM Architectes  
Il y a 4 ans et 43 jours

Groupe Cheval : « La RSE est inscrite dans nos gènes »

Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Jean-Pierre Cheval est le président du groupe de BTP régional qui porte son nom. [©Groupe Cheval] Le groupe régional Cheval vient de devenir une “entreprise à mission” ? De quoi s’agit-il ? Pourquoi cette démarche ? Jean-Pierre Cheval : Le cadre juridique d’entreprise à mission a été introduit par la loi Pacte. Il permet d’inscrire dans nos statuts notre politique RSE globale. Nous en avons toujours fait l’élément central de notre développement, autour de trois axes principaux. Tout d’abord, le pôle humain. Le monde de l’entreprise est un lieu de vie, d’échange. Nous nous devons d’être bienveillants vis-à-vis de nos collaborateurs. Cela va d’une rémunération juste et motivante, à la mise en place d’une politique de renouvellement récurrent des matériels. Chacun doit pouvoir travailler avec un équipement moderne et ergonomique. La formation est aussi omniprésente, y compris en alternance, pour 10 % des effectifs. Il est important de pouvoir transmettre les savoir-faire. La protection de l’environnement constitue le deuxième axe. Depuis plus de 30 ans, nous organisons nos méthodes de travail pour en limiter les impacts, tout en favorisant le recyclage. Il faut toujours pouvoir donner une seconde vie aux choses. Quand nous intervenons sur site, nous limitons nos emprises de chantier. En interne, nous avons même une structure dédiée à l’environnement. Ainsi, Valorsol Environnement travaille à la collecte, au recyclage et à la valorisation de matériaux issus du BTP et de l’industrie. Enfin, le groupe Cheval a un rôle sociétal. Nos activités restent très liées à la commande publique. Aussi, nous cherchons toujours à “rendre” aux territoires ce qu’ils nous ont donné. Par des actions de mécénat, de sponsoring. Nous accompagnons une équipe de rugby, qui est une “école de la vie”. Nous essayons de travailler en circuit court. Toutefois, il ne faut pas occulter qu’une entreprise intègre un aspect économique important. L’entreprise est le premier contributeur de la collectivité. Et se doit de gagner de l’argent pour assurer ce rôle. Des acteurs du secteur financier viennent d’entrer au capital du groupe. Quel en est le but ? Nous sommes en phase de croissance. Jusqu’à présent, nous avons auto-financé notre essor. Cette entrée au capital, à un pourcentage qui reste faible, va aider et sans doute accélérer nos développements futurs… Ceci, en conformité avec notre stratégie et nos priorités. Courant 2019, vous avez acquis l’entreprise Migma. Pourquoi cette intégration ? Migma est une entreprise spécialiste des aménagements extérieurs et des bétons décoratifs. Nous travaillions déjà avec elle. Aujourd’hui, son intégration permet d’élargir tant l’offre globale proposée à nos clients que notre implantation géographique. Ainsi, nous sommes maintenant présents sur une zone allant de Lyon à Aix-en-Provence, d’un côté, et à Montpellier, de l’autre. Cheval est aussi actionnaire de l’entreprise de BPE Drôme Béton ? A vrai dire, nous sommes à l’origine de la création de Drôme Béton, avec quelques autres partenaires. L’idée était de disposer d’un débouché naturel pour les granulats normalisés issus de nos carrières. Aujourd’hui, nous avons signé sa réintégration à 100 % au sein du groupe. Ce qui lui permettra de mieux profiter de la R&D du groupe, pour faire ainsi progresser son offre béton. D’une manière générale, que représente le groupe Cheval ? Quels sont ses domaines de compétences ? Le groupe Cheval réalise une moyenne de 100 M€ par an. Il compte quelque 650 collaborateurs et 16 filiales. Historiquement, nous sommes des intervenants du domaine des travaux publics. Nous sommes des spécialistes du terrassement, de la route, du VRD. Mais, au fil des ans, nous avons élargi nos compétences aux métiers de la déconstruction, du recyclage ou encore de l’aménagement paysager. Cet article est à retrouver dans le n°93 de Béton[s] le Magazine. Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 93 
Il y a 4 ans et 43 jours

Veolia et Suez annoncent être parvenus à un accord permettant le rapprochement des deux groupes

Les deux groupes se sont mis d'accord sur un prix de 20,50 € par action SUEZ (coupon attaché) conditionné à la conclusion de l'accord de rapprochement. Sous réserve de l'obtention d'une attestation d'équité conformément à la réglementation en vigueur, cette offre serait recommandée par le Conseil d'administration de SUEZ lors de la signature des accords définitifs. L'accord permettrait : la constitution d'un nouveau SUEZ composé d'actifs formant un ensemble cohérent et pérenne sur le plan industriel et social, et doté d'un réel potentiel de croissance, avec un chiffre d'affaires de l'ordre de 7 milliards d'€.la mise en œuvre du projet de Veolia de constitution du champion mondial de la transformation écologique, de l'ordre de 37 milliards d'€ de chiffre d'affaires, au travers de l'offre publique d'achat de SUEZ, au sein duquel demeureront tous les actifs stratégiques identifiés par Veolia.la réitération des engagements sociaux de Veolia pour une durée de quatre ans après la clôture de l'offre.dans une perspective d'intégration et de mixité des équipes, des engagements à prendre par Veolia en matière de composition des équipes de direction du siège et des pays.Les deux groupes proposent que le nouveau SUEZ issu de cet accord soit détenu par un groupe d'actionnaires comprenant des partenaires financiers des deux groupes et les salariés. L'actionnariat du nouveau SUEZ devra être majoritairement français. Afin de garantir les conditions du développement à long terme du nouveau SUEZ :Ses actionnaires devront souscrire aux engagements sociaux pour quatre ans à compter de la clôture de l'OPA ;Ses actionnaires devront s'engager à conserver par principe leurs positions sur le long terme. Son périmètre sera constitué des activités de SUEZ dans l'eau municipale et le déchet solide en France (y compris CIRSEE le principal centre de recherche en France), ainsi que des activités de SUEZ notamment dans l'eau et dans les géographies suivantes : Italie (y compris la participation dans Acea), République tchèque, Afrique (y compris la Lydec), Asie Centrale, Inde, Chine, Australie, et les activités monde digitales et environnementales (SES).Cet accord de principe prévoit également :La résiliation des accords avec Cleanaway conformément à leurs termes concernant la cession des actifs en Australie (sous réserve des actifs de Sydney) et la suspension de toute autre cession significative, ce qui permet à Veolia d'acquérir notamment l'ensemble des actifs désignés comme stratégiques dans le projet de note d'information déposé le 8 février dernier auprès de l'Autorité des marchés financiers ;La désactivation de la fondation néerlandaise dans le cadre des annonces de SUEZ ;La suspension des procédures en cours et, lors de la signature des accords définitifs, le désistement de SUEZ et de Veolia de l'ensemble des contentieux en cours et l'absence d'introduction de nouvelles procédures entre eux ;La pleine coopération de SUEZ, de Veolia et des actionnaires du nouveau SUEZ pour l'obtention dans les meilleurs délais et conditions possibles de toutes les autorisations nécessaires (concurrence, investissements étrangers, etc.) ;Les deux groupes ont convenu de conclure des accords définitifs de rapprochement d'ici le 14 mai prochain.Philippe Varin, Président du Conseil d'administration de SUEZ, a déclaré : « Nous avions appelé de nos vœux une solution négociée depuis de longues semaines et nous avons aujourd'hui trouvé un accord de principe qui reconnaît la valeur de SUEZ. Nous serons vigilants à ce que les conditions soient réunies pour parvenir à un accord définitif permettant de mettre fin au conflit entre nos deux sociétés et offrant des perspectives de développement ».Bertrand Camus, Directeur Général de SUEZ, a déclaré : « Cet accord de principe donne toutes ses chances à l'obtention d'une solution globale qui offrirait les garanties sociales indispensables pour l'ensemble des salariés et des perspectives. Je voudrais remercier toutes les équipes de SUEZ pour leur formidable mobilisation dans la mise en œuvre du plan stratégique SUEZ 2030 dont chacun peut être fier. Je sais que je peux compter sur elles pour rester concentrées dans les prochains mois pour assurer la meilleure qualité de service à nos clients ». Antoine Frérot, Président-Directeur Général de Veolia, a déclaré : « Je suis particulièrement heureux d'annoncer aujourd'hui la conclusion d'un accord entre SUEZ et Veolia qui permet la construction du champion mondial de la transformation écologique autour de Veolia, en offrant à la France un acteur de référence dans un secteur qui est probablement le plus important de ce siècle. Cet accord est bénéfique pour tout le monde : il garantit la pérennité de SUEZ en France de manière à préserver la concurrence et il garantit l'emploi. Toutes les parties prenantes des deux groupes sortent donc gagnantes. Le temps de l'affrontement est terminé, le temps du rapprochement commence »
Il y a 4 ans et 44 jours

Travaux de toiture : quels sont les éléments indispensables à respecter?

A la base, il est important de noter que votre charpente joue un rôle stratégique dans la structure de votre maison. En effet, elle contribue à la protection des occupants tout en assurant votre confort intérieur. De plus, elle vous offre une grande qualité esthétique en rehaussant le design extérieur de votre immeuble. Autrement dit, il est crucial de réaliser de manière systématique vos travaux de toiture, si vous souhaitez garantir sa longévité. Toutefois, vous devez noter que ces opérations se passent en hauteur, ce qui nécessite un certain sang-froid et une grande capacité de résistance aux pressions. Par conséquent, il est recommandé de faire appel à une entreprise de couverture pour mener à bien votre chantier. Les normes à suivre Dans la pratique, les travaux de toiture sont des opérations très complexes qui demandent une grande maîtrise technique. En effet, une petite erreur de calcul peut engendrer de graves conséquences notamment pour les vieilles maisons. Leurs charpentes présentent une certaine fragilité qui risque d’entraîner facilement leur affaissement ou de favoriser les infiltrations dans le cas d’un toit-terrasse. Recourir au service d’une entreprise de couverture comme https://www.travaux-toiture-31.fr/ vous permet ainsi de bénéficier d’une prestation de qualité. Pour ce faire, ce professionnel respectera les étapes suivantes pour réaliser la rénovation de votre charpente : Evaluation de l’état de votre armature, Diagnostic de l’existant, Planification des interventions utiles en tenant compte de la forme du toit, l’ensemble des revêtements récupérable, le type d’isolation. Préparations du chantier (papiers administratifs…), Dépose de la toiture, Les formalités administratives indispensables Dans la plupart des cas, les propriétaires préfèrent garder les mêmes types de couvertures, en cas de remplacement lors des travaux de toiture. Dans cette optique, vous n’avez pas besoin remplir des formalités administratives. Autrement, faire appel à une entreprise de couverture qualifié vous offrira l’avantage de bénéficier de précieux conseils dans les trois scénarios qui suivent. Et ce, compte tenu du fait qu’ils visent particulièrement à transformer l’aspect esthétique ou la disposition de votre propriété. A savoir : la vision extérieure du revêtement ou de la charpente. En effet, quand vous décidez de changer de style de votre architecture ou d’implanter de nouveaux accessoires, il est nécessaire de faire une déclaration auprès votre localité. la surélévation ou l’ajout d’un étage nécessite une demande de permis de construire. le changement de la structure extérieure de toute votre bâtisse requiert l’obtention d’un visa de la part de votre mairie. Notamment si vous sous situez à proximité d’un monument et d’un parc régional. Il vous informera à l’occasion qu’il est impératif de prendre une autorisation pour l’utilisation d’un échafaudage durant l’intervention, particulièrement s’il vient empiéter sur la voie publique. L’importance de la performance de votre toiture De façon concrète, vous devez noter que votre revêtement assure en moyenne 30 % du maintien de la chaleur dans votre maison. De ce fait, si vos travaux de toiture sont mal faits, vous verrez votre facture d’énergie augmenter exponentiellement. Ainsi, faire appel à un professionnel en travaux de toiture vous permettra de profiter d’un bon système isolation par extérieur, si vous le souhaitez. Vous aurez aussi l’opportunité de bénéficier de plus d’espaces habitables tout en préservant votre confort thermique. Il peut également vous conseiller d’utiliser des panneaux photovoltaïques, pour vous laisser la possibilité de produire votre propre énergie renouvelable. Ce qui favorisera la diminution de votre consommation. De plus, vous aurez l’avantage d’avoir belle maison dotée d’une esthétique moderne et à la fois élégante.
Il y a 4 ans et 47 jours

Sept mises en examen annulées dans le projet de ZAD près de Grenoble

Dans son arrêt de vingt-quatre pages, la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Grenoble a tranché en faveur de la défense, qui faisait valoir que les qualifications retenues par le parquet pour les poursuivre étaient "infondées juridiquement".Le 5 septembre dernier, trois hommes et trois femmes, âgés de 21 à 29 ans, avaient été interpellés par la brigade anti-criminalité (BAC) à Saint-Martin-le-Vinoux, près de Grenoble, alors qu'ils se trouvaient devant la clôture d'une "zone de fret de la SNCF".Au cours de leur garde à vue, ils avaient reconnu un "repérage" en vue de "créer une ZAD pour s'opposer à un projet immobilier" qui implique "la suppression de jardins collectifs" situés à proximité du lieu de leur interpellation, et contre laquelle ils souhaitaient s'opposer.Déférés devant un juge d'instruction le 7 septembre pour "association de malfaiteurs en vue de commettre des dégradations" et "tentative d'installation en réunion sur le terrain d'autrui", ils avaient été mis en examen et placés sous contrôle judiciaire.Un septième suspect dont l'âge n'a pas été précisé avait également été arrêté en octobre et mis en examen pour les mêmes raisons.Tous ont un casier judiciaire vierge et encouraient jusqu'à cinq ans d'emprisonnement."On n'est pas sur des anarcho-libertaires. Ce sont de simples militants écolos qu'on a tenté de réprimer violemment", a souligné Me Elsa Ghanassia, l'avocate de trois des suspects, qui avait déposé une requête en nullité début décembre."Toutes les mises en examens ont été annulées sur l'ensemble des infractions. Les contrôles judiciaires sont également annulés. L'affaire est renvoyée à l'instruction mais un non-lieu sera très certainement prononcé prochainement", a-t-elle prédit, dénonçant des qualifications "lourdes" et à "dimension politique".En septembre, les sept militants avaient reçu le soutien du collectif Avenir des terres, qui avait déploré que "l'État criminalise des personnes minoritaires de part leur condition sociale ou leurs engagements" en utilisant "des moyens répressifs disproportionnés".Ils bénéficient désormais du statut de témoins assistés dans ce dossier toujours à l'instruction.
Il y a 4 ans et 47 jours

Loyers plafonnés dans neuf villes de Seine-Saint-Denis au 1er juin

S'inscrivant dans le cadre de la loi Elan de 2018, cet arrêté de la préfecture de la région d'Île-de-France définit les modalités de l'encadrement des loyers qui s'appliquera à titre expérimental sur le territoire de Plaine commune, qui en avait fait la demande.Cet établissement public territorial regroupe neuf villes du nord de Paris (Aubervilliers, Épinay-sur-Seine, L'Île-Saint-Denis, La Courneuve, Pierrefitte-sur-Seine, Saint-Denis, Saint-Ouen-sur-Seine, Stains, Villetaneuse), soit une agglomération où vivent près de 430.000 personnes."L'accélération des mutations urbaines et le renforcement de l'attractivité du territoire de Plaine Commune (...) pourraient contribuer à alimenter des tensions inflationnistes sur les loyers du territoire", ont indiqué dans un communiqué les préfectures d'Île-de-France, de Seine-Saint-Denis et Plaine Commune, qui citent notamment les jeux Olympiques de 2024 et le Grand Paris Express.Le plafonnement s'appliquera à partir du 1er juin pour les nouveaux emménagements, les renouvellements de baux et les baux mobilité.Une carte interactive permet de connaître le loyer de référence d'un logement, en fonction notamment de son ancienneté et de son emplacement.Une marge de manoeuvre de 20% à la hausse et de 30% à la baisse par rapport au loyer de référence est autorisée.À fin 2020, seules Paris et Lille bénéficiaient d'un tel encadrement des loyers. Mais plusieurs métropoles - notamment Bordeaux, Lyon et Montpellier - et intercommunalités franciliennes ont déposé en fin d'année dernière leur candidature pour rejoindre le dispositif.
Il y a 4 ans et 49 jours

JO-2024 : la justice suspend en référé les travaux du village des médias en Seine-Saint-Denis

La Cour administrative d'appel de Paris a suspendu une partie de l'autorisation environnementale délivrée en novembre 2020 par le préfet de Seine-Saint-Denis."Il est enjoint à la Société de livraison des ouvrages olympiques de donner instruction à ses co-contractants afin qu'ils cessent tous travaux", a-t-elle indiqué dans son ordonnance, consultée par l'AFP.Prévu dans le parc départemental Georges-Valbon sur la zone de l'Aire des Vents, à Dugny, le village des médias - initialement appelé "cluster des médias" - doit accueillir jusqu'à 2.000 journalistes et techniciens pendant les Jeux olympiques et paralympiques de 2024.Les bâtiments doivent ensuite être convertis en 1.300 logements, dont 20% de logements sociaux, dans le cadre d'un "éco-quartier".Deux associations, l'antenne locale du Mouvement national de lutte pour l'environnement (MNLE 93) et le Collectif pour le Triangle de Gonesse, ont déposé en février un nouveau recours contre ce projet devant la Cour administrative d'appel de Paris, compétente en matière de contentieux liés aux JO-2024.Dénonçant une "artificialisation définitive" de ce parc de 400 hectares, ces organisations, accompagnées dans leur démarche par 36 personnes, riverains et usagers du parc, avaient doublé cette procédure d'un référé-suspension, qu'un juge des référés a approuvé mardi.Ce dernier a estimé que l'arrêté préfectoral visé, dans la dérogation qu'il accorde à l'interdiction d'atteinte à des espèces protégées, ne satisfait pas en l'état les dispositions du code de l'environnement."Les JO n'ont jamais été un problème pour nous", a réagi auprès de l'AFP Jean-Marie Baty, président du MNLE 93, mais "il s'agit d'un processus qui passe par les jeux Olympiques pour faire de la promotion immobilière"."Il faut qu'on continue de lutter contre cette volonté d'artificialiser le moindre espace vert dans notre département", a-t-il poursuivi.Échec d'un premier recoursLa cour doit encore se prononcer sur le recours en lui-même, une procédure qui nécessite davantage de temps. Et qui va sérieusement compliquer le chantier prévu.Contactée par l'AFP, la Solideo n'a pas souhaité réagir dans l'immédiat.Lors d'une audition au Sénat la semaine dernière, le directeur général de la Solideo, Nicolas Ferrand, a estimé qu'ils avaient "du temps" et "pouvaient absorber des aléas". Le ministère de la Transition écologique et la Société de livraison des ouvrages olympiques (Solideo) doivent verser chacun 750 euros aux requérants.Les opposants au village des médias ont prévu de se réunir dimanche à l'Aire des Vents, qui accueillait traditionnellement la Fête de l'Huma.Les mêmes requérants étaient déjà à l'origine d'une précédente procédure contre le village des médias, qui avait échoué.Début février, la Cour administrative d'appel avait rejeté leur pourvoi, dans lequel ils demandaient l'annulation de la cession du terrain par le Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis à la Solideo, pour 6,9 millions d'euros.Au total, la Solideo, qui a un budget d'argent public de près d'1,4 milliard d'euros (sur 3,2 milliards environ), supervise 62 ouvrages.Département le plus pauvre de France métropolitaine, la Seine-Saint-Denis va recevoir plusieurs infrastructures cruciales des JO-2024 à Paris, avec la bénédiction des élus locaux mais l'opposition de certains riverains et associations.Pièce maîtresse de l'infrastructure des JO, un village olympique de 300.000 mètres carrés va notamment voir le jour à Saint-Denis, Saint-Ouen et l'Ile-Saint-Denis.Des dizaines de grues et des milliers d'ouvriers doivent débarquer en 2021. Tout doit être bouclé pour décembre 2023.
Il y a 4 ans et 49 jours

MaPrimeRénov : 180.000 dossiers déposés depuis le début de l'année

SUCCÈS. Le décollage impressionnant du dispositif MaPrimeRénov se confirme en ce début d'année. D'après des chiffres communiqués par la ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon, 180.000 dossiers ont été déposés sur ces trois derniers mois.
Il y a 4 ans et 55 jours

Loi climat : bataille d'amendements à l'Assemblée

Plus de 7.000 amendements ont été déposés par les députés pour l'examen du projet de loi climat, avec des élus de la majorité qui espèrent des "avancées" sur les passoires thermiques.
Il y a 4 ans et 55 jours

Castagniers : Enedis a fini de déposer ses lignes à haute tension

La société Enedis vient d’achever les travaux d’enfouissement des lignes à haute tension à Castagniers.
Il y a 4 ans et 56 jours

Bas carbone : Sekoya lance son 3e appel à projets

La plateforme Sekoya, qui identifie et qualifie des solutions innovantes durables et bas carbone, vient d’ouvrir son 3e appel à solutions. Les candidatures en ligne sont à déposer jusqu’au 31 mai 2021.
Il y a 4 ans et 61 jours

Loi climat: plus de 7.000 amendements au menu de l'Assemblée

Ces amendements sont encore en cours de traitement par les services de l'Assemblée et certains pourraient être jugés irrecevables, rappellent des sources parlementaires, à l'issue du dépôt des amendements jeudi.Les LR, hostiles à une "écologie punitive" pointent en tête avec 2.269 amendements, devant les LREM 1.728, ou les non inscrits (746) dont les élus écologistes Delphine Batho ou Matthieu Orphelin.Alors que le texte est très critiqué par les ONG environnementales, les députés LREM ont promis de défendre des "avancées" en séance, notamment sur le volet logement, où le texte prévoit l'interdiction de la mise en location des passoires thermiques en 2028 (logements classés F et G).La majorité veut reprendre à son compte certaines conclusions du rapport présenté le 17 mars par Olivier Sichel, le directeur de la Banque des territoires, qui suggère un "accompagnement" pour lever les freins à la rénovation thermique des logements.Dans la lignée de ce rapport, le gouvernement a d'ores et déjà déposé un amendement pour aider les ménages modestes à accéder au crédit, en vue d'une rénovation. Il s'agit d'élargir le périmètre du fonds de garantie pour la rénovation énergétique (FGRE), avec un mécanisme de "garantie partielle" des "prêts avance mutations", gagés sur la revente de biens ou lors de la succession.Certains députés LREM espèrent aussi obtenir la fin de la mise en location des logements classés E en 2034.On a des "idées pour être plus agressifs en faveur des vélos", a également assuré le rapporteur général Jean-René Cazeneuve (LREM), alors qu'une tribune dans le quotidien Libération, cosignée par son collègue Guillaume Gouffier Cha dénonçait l'absence de mesures pour le développement du vélo dans le texte initial.Le gouvernement tentera de répondre aux demandes des partisans de "la petite reine" avec un amendement qui élargit la prime à la conversion des véhicules les plus polluants à l'achat de vélos et vélos à assistance électrique.Quant au volet publicité, les députés pourraient définir plus précisément le "greenwashing" des entreprises, afin de mieux le sanctionner.L'ensemble du texte reste très critiqué par la gauche, les écologistes et les ONG environnementales. Des membres de la Convention citoyenne pour le climat et des associations appellent à des manifestations dimanche pour "une vraie loi climat".
Il y a 4 ans et 63 jours

MaPrimeRénov : "jusqu'à 800.000 dossiers" pourraient être déposés en 2021

RÉNOVATION ÉNERGETIQUE. La coordinatrice interministérielle en charge des rénovations énergétiques Anne-Lise Deloron, estime que si la tendance de ce début d'année se confirme, l'objectif des 500.000 dossiers MaPrimeRénov déposés en 2021 sera dépassé. Les copropriétés, notamment, sont de plus en plus nombreuses à lancer des travaux.
Il y a 4 ans et 63 jours

Près de 400 organisations se mobiliseront pour une vraie Loi Climat le dimanche 28 mars

Alors que le projet de loi est très loin d'atteindre l'objectif de 40% de réduction d'émissions de gaz à effet de serre inscrit dans la feuille de route de la Convention Citoyenne pour le Climat, et encore moins le nouvel objectif européen de -55%, plus de 400 organisations (un record) se mobilisent pour dénoncer un projet de loi qui n'est pas à la hauteur de l'Histoire. D'Alternatiba à la CFDT, de Greenpeace à Makesense, en passant par de nombreuses personnalités comme Cyril Dion, Yann Arthus-Bertrand, ou encore l'actrice Lucie Lucas, les appels à mobilisation s'intensifient.“Chaque jour qui passe sans que nous ne faisons rien aggrave le dérèglement climatique et nos conditions de vie sur Terre : malgré la pandémie mondiale, 2020 a été l'année la plus chaude jamais enregistrée. Aucune mesure ambitieuse n'a été prise sous le quinquennat d'Emmanuel. Macron, et ce dernier texte législatif concernant l'environnement le confirme une fois de plus.” explique Elodie Nace, porte-parole d'Alternatiba.Tous les observateurs sont unanimes : les 150 membres de la Convention citoyenne pour le Climat, d'abord, qui ont attribué une note de 2,5/10 à l'action gouvernementale en réponse à leurs propositions. De nombreuses organisations ensuite, tout comme le Conseil national de la transition écologique, le Conseil économique, social et environnemental ou encore le Haut Conseil pour le Climat, ce dernier jugeant que l'Etat s'engage dans des délais “manifestement incompatibles avec le rythme attendu de l'action contre le changement climatique”.“J'ai traversé cette Convention avec, à l'esprit, l'amour pour mes enfants et petits-enfants, leur avenir dans un monde habitable, sûr, et socialement juste. Rejoignez-nous dans la rue pour réclamer un projet de loi à la hauteur de la crise climatique qui s'annonce, et donner ainsi un avenir à ceux qui viennent après nous”, rappelle Guy Kulitza, membre tiré au sort de la Convention citoyenne pour le ClimatLe gouvernement, qui a pourtant été reconnu coupable d'inaction climatique à deux reprises récemment, a mis de côté ou considérablement amoindri les propositions de la Convention citoyenne pour le climat que cette loi était censée reprendre. En ce sens, Emmanuel Macron a trahi sa parole donnée aux citoyen·nes de la Convention Citoyenne pour le Climat, et confirme le bilan très faible de son quinquennat sur le plan environnemental.“La Convention Citoyenne pour le Climat est un exercice démocratique inédit qui a permis à 150 citoyens, représentatifs de la société française, de se former et de trouver des consensus pour proposer un socle minimum pour une autre société plus résiliente et respectueuse du vivant. Ne pas respecter leur travail aujourd'hui est un déni de démocratie.” rappelle Magali Payen, d'Onestprêt.Car le gouvernement a usé de tous les stratagèmes possibles pour empêcher les députés d'améliorer le texte : passage en procédure accélérée, temps législatif programmé réduisant les débats au maximum, article 45 de la Constitution interprété de manière stricte (44% des amendements déposés ont été déclarés irrecevables, le plus haut taux de tout le quinquennat). Les lobbys, qui n'avaient pas pu agir directement sur le processus de la CCC, ont également tout mis en oeuvre pour affaiblir le texte, menant à des situations ubuesques comme le débat sur l'aide à l'achat de véhicules neufs pour les ménages précaires évacué en 10 minutes après une heure et demi de débats sur l'admission des voitures de collection dans les Zones à Faibles Emissions.Dans le cadre des nouvelles mesures sanitaires, il est à noter que les mobilisations sont bien maintenues partout en France, les rassemblements en extérieur demeurant autorisés. A Paris, le rendez-vous est donné place de l'Opéra à 14h. Le cortège festif se dirigera jusqu'à la Place de la République.
Il y a 4 ans et 63 jours

Amiante: la Cour de cassation valide la reprise de l'enquête sur l'entreprise Everite

Les familles de victimes se battent pour obtenir un procès contre les responsables de cette entreprise de Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne).Dans une ordonnance datée du 8 mars, consultée par l'AFP, le président de la chambre criminelle de la Cour de cassation a décidé qu'il n'y avait "lieu d'admettre, en l'état, le pourvoi du procureur général près la cour d'appel de Paris" dans le dossier du site d'Everite à Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne). Il a estimé que "ni l'intérêt de l'ordre public, ni celui d'une bonne administration de la justice" ne commandait l'examen de ce dernier pour l'instant. Avec ce pourvoi, le parquet général s'opposait à un arrêt de la cour d'appel de Paris du 20 janvier infirmant le non-lieu rendu en décembre 2018 par les juges chargés de l'enquête sur cette filiale de Saint-Gobain. Dans cet arrêt, la cour d'appel avait en effet renvoyé le dossier aux magistrats instructeurs pour qu'ils reprennent leurs investigations en vue d'éventuelles mises en examen de responsables de l'entreprise. S'appuyant sur une interprétation juridique inédite dans l'histoire de ce scandale sanitaire vieux de plus de vingt ans, la cour d'appel estimait que l'exposition de ces salariés à l'amiante pouvait être imputée à ces responsables. Elle prenait le contrepied d'une analyse établie en 2017 par les juges d'instruction et le parquet du pôle santé publique du tribunal de Paris, selon laquelle il serait impossible de déduire avec précision le moment de l'exposition des salariés à cette fibre cancérogène, et celui de leur contamination, et par conséquent d'établir les responsabilités pénales de tel ou tel dirigeant. Depuis lors, une quinzaine d'affaires, liées au scandale de l'exposition à ce matériau interdit en France en 1997, avaient pris ou devaient prendre le chemin d'un non-lieu. Dans un communiqué, l'Association nationale de défense des victimes de l'amiante (Andeva) se réjouit de cette "nouvelle victoire pour les victimes", et demande aux juges du pôle santé publique du tribunal de Paris "de reprendre sans délai l'instruction du dossier pénal de l'entreprise Everite", soulignant que beaucoup de responsables avaient déjà disparu. Elle a aussi demandé que la cour d'appel de Paris examine au plus vite les appels formés dans d'autres dossiers liés à l'amiante qui s'étaient aussi conclus par des non-lieux des juges d'instruction. Michel Parigot, un responsable d'une autre association de défense des victimes de l'amiante, l'AVA, a toutefois estimé que cette décision ne permettrait pas d'avoir un grand procès sur "l'affaire de l'amiante". "Ce que l'on pourra juger, ce sont de simples affaires d'hygiène et de sécurité, mais pas des responsables nationaux" de ce scandale, a-t-il déclaré à l'AFP. La raison pour laquelle l'AVA veut déposer une citation directe visant les responsables nationaux de la catastrophe sanitaire de l'amiante. Cette procédure, annoncée depuis deux ans mais toujours pas engagée, permet de saisir directement le tribunal sans passer par une instruction pénale, à charge pour les plaignants de collecter et de présenter les éléments de preuve à l'audience.
Il y a 4 ans et 65 jours

Le litige entre Jean Nouvel et la Philharmonie de Paris entre les mains d'un juge d'instruction

L'architecte avait déposé une plainte en octobre 2019 contre la Philharmonie de Paris, qui lui réclame 170 millions d'euros pour les surcoûts survenus lors du chantier.Une information judiciaire, reprenant les infractions visées dans la plainte, a été ouverte pour "favoritisme, prise illégale d'intérêts, détournements de fonds publics, concussion, faux et usage de faux" le 12 février et un juge d'instruction a été désigné pour mener les investigations, a confirmé à l'AFP le Parquet national financier (PNF).Sollicitée par l'AFP, la Philharmonie de Paris n'a pas souhaité faire de commentaire."Nous avons pleine confiance dans le fait que le magistrat instructeur identifiera les responsables des infractions commises à la Philharmonie au préjudice de Jean Nouvel et des Ateliers Jean Nouvel" (AJN), ont réagi de leur côté Mes William Bourdon et Vincent Brengarth, les avocats de l'architecte mondialement connu pour ses réalisations, dont le Quai Branly et le Louvre Abou Dhabi."Ces infractions sont la conséquence directe d'une politique délibérée de diabolisation de l'architecte, de faveurs accordées aux entreprises et d'une réclamation ahurissante à l'AJN de sommes parfaitement indues", ont-ils ajouté.Chiffrés à 173 millions d'euros au lancement du projet en 2006, les travaux de construction ont atteint 386 millions d'euros.Pour les Ateliers Jean Nouvel, ce dépassement s'explique par la gestion défaillante de la Philharmonie. Pour cette dernière, il est imputable à l'architecte, accusé d'avoir fortement sous-évalué les coûts et d'avoir effectué des "modifications permanentes".En avril 2017, l'établissement public chargé de gérer la salle avait adressé une facture de 170,6 millions d'euros à l'architecte, dont 110 millions d'euros de pénalités de retard.Lors du dépôt de plainte par l'architecte, la Philharmonie avait dénoncé des "accusations dépourvues de tout fondement" et "les prétentions contraires des Ateliers Jean Nouvel qui demandent plus de 105 millions d'euros de rémunérations complémentaires et indemnités".L'architecte multirécompensé avait refusé de participer à l'inauguration de la salle de concert, située dans le nord de la capitale, le 14 janvier 2015.
Il y a 4 ans et 68 jours

Rénovation énergétique : Saint-Gobain lance un appel à solutions innovantes

ENERGIE. Tout comme d'autres acteurs de la filière, Saint-Gobain tend vers la rénovation énergétique, à travers un appel à projets. Les candidats ont jusqu'à mai pour déposer leur dossier.
Il y a 4 ans et 69 jours

Feedback QVT & lumière naturelle au centre de l'usine K-Line Les Herbiers

Genèse d'un projet lumièreHistoriquement, les équipes K-LINE étaient déjà connaisseuses des prestations Bluetek bien avant 2020. En effet, elles avaient déjà travaillé avec le Groupe Briand il y a quelques années dans le parc industriel de la Plaine de l'Ain situé à Saint-Vulbas. Satisfaits du résultat, les décideurs K-LINE ont simplement reconduit des valeurs sûres en termes d'efficacité et d'organisation, c'est-à-dire les prestations de travaux collaboratifs entre l'entreprise de construction Briand et le fabricant poseur Bluetek.Un atelier qualité de vie au travail comme point de départ Comme beaucoup d'entreprises, la société K-LINE s'est investie ces dernières années dans une réflexion sur la Qualité de Vie au Travail. C'est dans cette thématique que s'est articulée l'un des ateliers QVT ; le bien-être passant aussi via une bonne qualité de lumière naturelle à l'intérieur des bâtiments. La proposition a été complétée de brise-soleils orientés permettant la suppression de l'effet de serre via une protection solaire largement dissocié du vitrage. C'est ainsi que le projet a été validé. Il allait améliorer les conditions de travail des salariés de l'usine vendéenne en leur apportant un éclairement tout neuf.Organisation et timing64 anciennes voûtes en polyester ont été déposées et remplacées par les équipes travaux Bluetek. Le service, basé à Ambert dans le Puy-de-Dôme, a mobilisé plus de 6 personnes. Ces travaux ont été réalisés pendant la fermeture estivale, soit les trois premières semaines d'août. La livraison des appareils a été scindée afin de respecter le temps de pose et éviter un stockage inutile. Les brise- soleils ont été posés courant septembre 2020. La globalité de la prestation a été largement félicitée par l'entreprise Briand.Bluevoûte Therm et Voile-Dôme : l'assurance d'un confort de travailLes 64 Bluevoûte ont été fournies avec sablières et grilles 1200 joules. Elles sont équipées d'un brise-soleil latéral ou longitudinal de type Voile-Dôme. L'une des voûtes est également équipée de 2 ouvrants pneumatiques de type Exuvoile. La toiture du bâtiment est ainsi devenue une opportunité majeure pour la diffusion d'une lumière naturelle optimisée. Elle favorise le confort de travail, en limitant la surchauffe estivale et l'éclairage artificiel. Elle permet donc de réaliser des économies d'énergies tout au long de l'année.Étude lumière post réalisationImplantationSur ce bâtiment de 23 770 m² pour 9,690 m de hauteur (à l'acrotère) ont été posés :Zone Est : 18 Bluevoûte dimensions 2,1 X 7,89 m + Voile-Dôme longitudinalZone Ouest : 45 Bluevoûte dimensions 2,095 X 10,54 m + Voile-Dôme longitudinalPetite zone : 1 Bluevoûte dimensions 2,154 x 10,46 m + Voile-Dôme latéralLes voûtes sont munies d'un remplissage en polycarbonate alvéolaire (PCA) épaisseur 16 mm incolore. Transmission lumineuse 33 %. Facteur solaire brut 0,12. Toutes les baies en façade ont une transmission lumineuse globale de 70 %.RésultatsL'installation d'éclairage zénithal, couplée à l'éclairage en façade, a été bien conçue. Elle permet d'atteindre une autonomie lumineuse naturelle supérieure à 50 % pour 300 lux d'éclairement entre 8 h et 18 h, avec une répartition de lumière globalement homogène.Le FLJ moyen de 2,8 % est atteint sur toutes les zones pour 60 % et plus d'autonomie lumineuse.Maître d'Ouvrage : K-LINE / Les Herbiers (FR-85)Contact : Marc Cotillon / Chargé de Travaux et MaintenanceTravaux : Briand / Les Herbiers (FR-85)Contacts : Cédric Girardeau / Chargé d'Affaire - Guerric Bruandet / Responsable Service TravauxFourniture lanterneaux Bluetek - Luynes (FR-37)Contacts : Ludovic Berthonneau / Responsable Commercial Régional BluetekDaniele Mariotti / Ingénieur Recherche & InnovationPose Bluetek Service Travaux - Ambert (FR-63)Contacts : Danièle Boyer / Responsable Activité Travaux - Marie Compte / Assistante Commerciale Travaux -Daniel Marel / Responsable Montage - Yannick Beal / Monteur
Il y a 4 ans et 70 jours

Echafaudage mobile multidirectionnel pour le Centre Pompidou

Dans le cadre de la rénovation du Centre Pompidou, sous maîtrise d’œuvre de RENZO Piano Building Workshop, FMS RINGUE, spécialiste de la location, de la pose et dépose d’échafaudages, a été retenu aux côtés de Tubesca-Comabi, par la société MULTISPE afin de remplacer les nacelles existantes sur les 6 niveaux de l’édifice. Elles servent à nettoyer les tunnels de verre au quotidien. Le bureau d’études de Tubesca-Comabi a mis au point une solution technique innovante et sur-mesure qui répond aux contraintes de ce chantier hors-normes : un échafaudage suspendu destiné à être placé au-dessus des grands tunnels de verre du bâtiment. Le chantier de montage et démontage a démarré en février 2021 pour une durée de 6 mois. Grâce à la mobilisation de 6 monteurs qualifiés de chez FMS RINGUE, les nacelles actuelles seront entièrement démontées et remplacées par la société MULTISPE. La solution d’échafaudage retenue par le bureau d’études est le multidirectionnel M368 (8 positions), transformé également en échafaudage mobile. Son assemblage permet de répondre aux contraintes des formes géométriques du bâtiment et fait toute la spécificité et la technicité de ce chantier.
Il y a 4 ans et 70 jours

Le château de Monts-sur-Guesnes transformé en historial du Poitou

Le château de Monts-sur-Guesnes, dans la Vienne, a fait l’objet de nombreux travaux de restauration dans les années 1990 et 2000 notamment pour y installer la mairie dans l’aile Sud. Actuellement, il connaît une nouvelle et importante phase de travaux liée à l’installation de l’historial du Poitou, créé à l’initiative du Conseil départemental de la Vienne et réalisé par la SAS Aliénor qui est maître d’ouvrage. Il est en effet prévu que l’historial se déploie dans les ailes nord-ouest et nord-est, cette dernière en ruine étant à restituer dans sa volumétrie. Ce projet s’étend, aujourd’hui, également hors des murs du château, à la ferme Deram, ancienne ferme du château qui formait une basse-cour du côté de l’aile nord-ouest. Une nouvelle jonction devra être trouvée entre ces deux ensembles bâtis, actuellement séparés par une route départementale. La maîtrise d’œuvre concernant la restauration du château a été confiée à l’agence Michel Goutal, architecte en chef des monuments historiques. Le coût total du projet s’élève à 3 360 000€ avec la création d’une scénographie. Le montant de la restauration du château est quant à lui de 1 554 010 €, dont plus de la moitié, 800 000 € sont subventionnés par la DRAC Nouvelle-Aquitaine. L’étude sur la création de l’historial du Poitou à Monts-sur-Guesnes réalisée par le cabinet « In Extenso », avait envisagé une variante avec l’implantation de l’historial dans le château de Monts-sur-Guesnes suite à un premier projet visant à la réalisation d’une construction neuve aux abords du château. Cela nécessitait la construction d’un bâti de 240m2 sur deux niveaux dans l’aile nord-est qui serait donc à restituer car à l’état de ruine, l’occupation des tours nord-est sur deux niveaux et l’excavation à -4m (sans certitude) pour la construction en sous-sol dans la cour du château, d’un espace d’exposition permanente de 700m2. Ce parti, retenu, a fait l’objet d’une première autorisation de travaux qui a reçu un avis favorable en date du 27 avril 2020. La volumétrie de l’aile nord-est est attestée par les vestiges des maçonneries encore en place et par les photographies d’archives qui montrent la façade sur cour et la couverture avant leur destruction. Un projet de restitution au plus proche de ces volumes originels est proposé afin de réinscrire ces aménagements de manière pérenne et sans connotation d’époque dans la volumétrie générale du château. Pour ce faire, la façade principale sur cour sera rétablie en pierre de taille massive en évoquant par des défoncés l’emplacement des anciennes ouvertures. La corniche serait restituée pour recevoir la couverture en tuile plate et relier les deux extrémités existantes.  La sous-face de la charpente sera habillée pour augmenter l’espace et permettre de disposer de surfaces de projections plus importantes. À l’intérieur, la façade en pierre sera confortée par une contre structure poteaux-poutres en béton ou des contreforts intérieurs en pierre qui recevront également les appuis de la nouvelle charpente.  Parallèlement, des prescriptions de fouilles ont été émises au niveau de deux secteurs du château le 9 mars 2020 (arrêté n°75-2020-03-04), notamment dans le fossé de l’aile nord-est. Les sondages menés par l’INRAP ont révélé la présence de silos creusés dans la roche. La maîtrise d’ouvrage a donc décidé d’abandonner la construction de cette salle en sous-œuvre et une nouvelle demande d’autorisation de travaux a été déposée en septembre 2020 concernant un projet modifié. L’aménagement de l’historial du Poitou est donc finalement fixé dans une partie du château de Monts-sur-Guesnes ainsi qu’au sein de la ferme Deram et des bâtiments annexes situés en face du château.  Les aménagements situés hors château sont l’objet d’un autre programme confié à un autre maître d’œuvre, l’architecte Umberto Tumino, tandis que la maîtrise d’ouvrage est assurée par la SEML Patrimoniale de la Vienne, propriétaire et actionnaire majoritaire de la SAS Aliénor en charge du projet de l’historial.  Afin de relier la ferme au château il est prévu la construction d’un souterrain passant sous la route séparant les bâtiments. Le souterrain déboucherait côté château au niveau du fossé dégagé le long de la façade nord-ouest. Des fouilles archéologiques sont donc programmées en 2021 pour dégager l’ancien fossé au pied de la façade nord-ouest du château au niveau de l’ancien pont d’accès. Le projet reste à être finalisé en fonction des découvertes des vestiges archéologiques de l’ancien pont qui pourront avoir lieu, mais il prévoit la mise en valeur de cette façade d’entrée du château. 
Il y a 4 ans et 76 jours

Artibat vous donne rendez-vous en octobre 2021 à Rennes

À quelques mois de cet événement incontournable de la filière, qui sera d'ailleurs probablement le premier grand rendez-vous sectoriel physique depuis le début de la pandémie, ARTIBAT constitue, pour les exposants, une véritable valeur sûre, tant pour la rencontre conviviale avec les professionnels que pour le business qu'il génère.Du côté des visiteurs (entreprises, artisans, prescripteurs), ARTIBAT s'annonce comme LE rendez-vous très attendu par la profession, surtout après cette année si particulière. Les visiteurs (40 000 attendus) connaissent bien le salon, savent et apprécient ce qu'ils viennent y trouver : le rapport direct avec les exposants, la possibilité de toucher les produits, les tester et découvrir les dernières nouveautés.Comme de coutume, ARTIBAT 2021 éditera son catalogue millésime des nouveautés et proposera une véritable vitrine technologique des produits de la filière. Ce guide des nouveautés, distribué gratuitement aux visiteurs, leur permettra de poursuivre l'expérience « Nouveautés vues sur ARTIBAT » après le salon.ARTIBAT, lieu d'échanges sur les sujets qui font l'actualitéARTIBAT, c'est aussi des temps forts dédiés à des sujets en phase avec l'actualité, tels que la rénovation énergétique et ses enjeux. Rappelons d'ailleurs qu'il sera possible de découvrir, sous la marque CIRQ* hébergée au cœur du salon, les innovations des 15 startups sélectionnées par un jury de professionnels. La Scène de CIRQ donnera également, pendant 3 jours, la parole à des architectes, des fabricants et institutions afin d'éclairer les visiteurs sur les bonnes pratiques en matière de rénovation énergétique et de débattre sur les moyens pour lutter activement contre le réchauffement climatique.L'édition d'ARTIBAT 2021 permettra également de vivre une expérience aussi unique qu'immersive grâce au partenariat engagé avec HB Développement**. Les organisateurs font le pari d'une approche sensorielle pour cette installation temporaire, déployée sur 130 m².Ce projet d'envergure a pour ambition d'inviter à innover, repenser et/ou apporter des aménagements et solutions qui permettraient d'améliorer ou d'adapter le quotidien des personnes âgées ou en situation de handicap.Concrètement, les visiteurs, vêtus de simulateurs de vieillissement, d'équipements 3D et autres dispositifs de simulation pourront tester des installations afin d'appréhender et ressentir les obstacles auxquels les personnes à mobilité réduite ou en situation de handicap doivent faire face dans leur quotidien.ARTIBAT oblige, les visiteurs pourront également tester les nouveaux matériaux et nouvelles solutions améliorant les conditions de vie des usagers.« C'est grâce à la confiance de nos exposants que nous gardons le cap et l'envie de préparer un salon exceptionnel pour la fin de cette année. L'éclaircie se devine sur le second semestre et l'équipe est pleinement mobilisée afin d'accompagner les exposants dans leurs préparatifs, organiser les projets ambitieux qui font l'actualité du bâtiment et évidemment, veiller au respect des mesures sanitaires indispensables au rassemblement de plus de 40 000 professionnels. Nous avons hâte de tous vous retrouver. Rendez-vous en octobre 2021 à Rennes ! »Valérie Sfartz, Directrice du Salon ARTIBAT* Une marque co-déposée par ARTIBAT et Novabuild.** HB Développement : détenteur de marques qui garantissent l'expertise des artisans du bâtiment pour tous types de travaux liés au confort d'usage, le maintien à domicile et l'accessibilité de l'habitat. Tous les projets ainsi que le salon seront évidemment organisés dans le strict respect des consignes sanitaires qui seront en vigueur en octobre 2021.
Il y a 4 ans et 77 jours

Que faut-il retenir sur les travaux de ravalement de façade?

Nous décidons de ravaler la façade de notre habitation pour diverses raisons. Le ravalement de façade se définit comme la remise en bon état des murs extérieurs d’une maison ou d’un immeuble. À ce titre, il n’a pas pour vocation de modifier l’aspect originel de ceux-ci. Malgré cela, leur réalisation doit obéir à certaines règles. Justement, nous allons partager avec vous dans cet article tout ce que vous devez retenir sur ce procédé. Pourquoi procéder au ravalement de la façade de son logement ? La façade est une pièce maitresse de l’habitation. Elle supporte l’ensemble de la toiture et met les habitants à l’abri des intempéries. Pourtant, elle est constamment exposée aux différentes agressions. Des travaux de ravalement sont donc entrepris afin de la maintenir en bon état. Ils impliquent la réparation des imperfections des murs (fissures, décollement de la peinture, joints endommagés, etc.). Parfois, les travaux sont exécutés dans un but purement esthétique. Grâce à ceux-ci, nous procurons une nouvelle jeunesse à notre bâtisse. Dans tous les cas, il est conseillé de solliciter les services d’un façadier pour avoir un résultat irréprochable. En outre, il faut savoir que le ravalement de façade est une obligation légale. Aux termes de l’article L132-1 du Code de la construction et de l’habitation, tout propriétaire d’immeuble doit réaliser des travaux une fois au moins tous les 10 ans. Cette loi vise particulièrement à préserver la sécurité d’autrui. Effectivement, une façade en mauvais état peut s’effondrer à tout moment. Par conséquent, l’omission à cette obligation est punissable d’une peine pécuniaire qui s’élève à 3 750 €. Faut-il obtenir une autorisation préalable avant de ravaler sa façade ? Généralement, aucune autorisation préalable n’est requise pour remettre à neuf une façade. Pour éviter les mauvaises surprises, il est cependant plus prudent de s’informer sur les démarches administratives à suivre. Dans la majorité des cas, une déclaration préalable des travaux devra être déposée en mairie avant le ravalement de la façade. C’est surtout le cas si votre commune est assujettie à un Plan Local d’Urbanisme (PLU). Il est essentiel de consulter ce document. Il est fréquent qu’il impose ou interdise l’utilisation de certains matériaux de construction. Par ailleurs, si votre immeuble se trouve dans un espace protégé ou s’il a été classifié parmi les monuments historiques, il faudra obtenir un permis de construire. La même règle s’applique en cas de changement significatif de l’aspect extérieur du bâtiment ou de création d’une ouverture. Comment s’opèrent les travaux de ravalement de façade ? En raison de leur complexité, ces travaux ne peuvent être pris à la légère. C’est pourquoi il est préférable de les confier à un façadier professionnel comme https://www.facadier-93.fr/  . Le recours aux services de cet artisan constitue d’ailleurs une garantie de la solidité et de la durabilité de la structure. Pour ce qui est de leur déroulement, ils sont impérativement précédés d’un diagnostic approfondi de la façade. Ceci permet de détecter ses éventuels problèmes et de définir, par conséquent, la solution à adopter pour y remédier. À l’issue de cette première intervention, le façadier procède au nettoyage de la façade. C’est ce qui va lui donner un meilleur aperçu des défauts du mur dissimulés par les souillures. Pour ce faire, il peut choisir entre différentes techniques de nettoyage. Le plus courant demeure néanmoins le nettoyage à haute pression. Une fois bien propres, il passe à la réparation des murs. On peut également appliquer un traitement spécial sur leur surface afin de lutter contre le développement des algues et des mousses. Il réalise enfin les travaux de finition. Ces derniers se matérialisent par l’habillage des murs, en l’occurrence la pose d’un bardage, l’application d’une peinture ou d’un crépi. En plus d’enjoliver la façade, ces travaux offrent une protection optimale à celle-ci.
Il y a 4 ans et 83 jours

Utiliser l’impression en 3d de manière utile

L’usage de l’impression 3d est devenu populaire dans le monde professionnel, notamment dans le secteur médical et industriel. Cette nouvelle technologie a permis des avancées majeures dans plusieurs secteurs d’activités. Grâce à elle, les sociétés ont un gain de temps favorable dans le processus de développement. Découvrez ci-dessous comment utiliser cette révolution d’une manière utile et nécessaire. Comment fonctionne l’impression 3D ? Tout commence par un modèle numérique 3D créé par un logiciel. Ce modèle conçu est ensuite découpé en plusieurs couches pour que l’imprimante 3D puisse le lire convenablement. Le matériau utilisé par l’imprimante 3D est superposé couche par couche selon le modèle 3D et le processus de fabrication. Bien évidemment, les procédés de fabrication 3D utilisent différents types de matériaux comme : plastique, métaux, céramique, sable, biomatériaux, aliments, matières organiques, etc. Cependant les imprimantes d’entrée de gamme ne peuvent pas utiliser l’ensemble de ces matériaux. Chacune de ces machines traite les matériaux de différentes manières. C’est un point important à ne pas oublier et qui est malheureusement l’une des limites de cette révolution. Les procédés d’impression courants •   La stéréolithographie ou SLA C’est l’un des premiers procédés de l’impression 3D à avoir été mise en pratique. Elle a été créée par l’américain Charles Hull, fondateur de 3D Systems. Ce processus se base sur la création d’un modèle numérique pour la fabrication d’un prototypage. Il utilise un liquide photosensible (résine photopolymère) maintenu dans la cuve qui réagit avec le rayon laser ultraviolet et se durcit petit à petit pour former une forme précise. Généralement, ce type d’imprimante comporte quatre parties principales : le réservoir q, la plateforme perforée, le rayonnement UV et l’ordinateur qui commande la plateforme ainsi que le laser. Ce premier procédé est toujours mis en œuvre puisqu’il offre des finitions bien précises et abouties. D’ailleurs, si vous cherchez une impression 3d à Paris, optez pour cette solution. •   Le traitement numérique de la lumière ou DLP Ce traitement est similaire à la stéréolithographie, car il fonctionne avec des photopolymères. L’unique différence est la source de lumière. Cette seconde technique utilise effectivement des lampes à arc avec un panneau à cristaux liquides ou un dispositif à miroir déformable. Ces accessoires sont ensuite appliqués sur la surface de la cuve. Bien entendu, le temps de fabrication s’avère être plus rapide par rapport à la précédente. •   Le frittage laser ou fusion au laser ou SLS Il s’agit d’un processus d’impression par laser. Le faisceau laser ultra puissant va entrer en fusion une poudre compacte (le polyamide) positionnée sur la plateforme mobile. Ce matériau va être balayé par les faisceaux laser à des points bien précis définis par le fichier STL communiqué par l’ordinateur ou l’imprimante 3D. Au final, les particules vont se solidifier et former un prototype. L’avantage de cette technique est que vous aurez la possibilité d’employer la poudre comme support afin de créer des pièces plus ou moins complexes. La matière première est généralement de couleur blanche et va donner une surface poreuse. Vous pouvez la repeindre si vous désirez lui donner de la couleur. La céramique ainsi que la poudre de verre peuvent aussi être utilisés sans problème lors de la découpe au laser en ligne. •   La 3DP ou Three-Dimensional Printing La 3DP constitue la base du processus d’impression 3D de Z Corporation. Le principe est simple, il étale une fine couche de poudre de composite sur une plateforme. Ensuite, la tête d’impression va déposer de fine gouttes de glu colorées qui vont combiner entre elles pour obtenir un panel de couler. La plateforme s’abaisse lentement jusqu’à ce que les couches de poudre se collent et obtiennent l’objet final. Pour avoir une finition impeccable, il suffit de brosser ou de poncer l’excédent de poudre sur la pièce et de la chauffer pour achever la solidification. Comme vous pouvez le constater, la 3DP est une méthode très rapide et propose une grande variété de couleurs. Malgré le fait qu’elle manque un peu de précision et de qualité d’impression, son prix est 6 fois moins cher que l’imprimante 3D SLA. •   Fused Deposition Modeling ou FDM/FFF/MPD C’est une méthode très courante pour les impressions 3D. La majorité des imprimantes 3D personnelles suivent ce principe. Elle fait fondre le filament de matière thermoplastique à 200 °C par le biais d’une extrudeuse et dépose une par une les couches de plastique sur une plateforme. Le plastique chauffé se durcit afin de former l’objet imaginé par l’imprimante. La tête d’impression se déplace en fonction des coordonnées transmises par le fichier 3D correspondant au modèle 3D de l’objet à imprimer. Grâce à l’évolution, cette imprimante ne se limite plus à du plastique. Elle peut supporter les filaments composites à base de métal, de fibres de carbone et de bois. À part la société Stratasys qui l’a inventé, la fabrication par dépôt de fil fondu est aussi adoptée dans la médecine, les aliments agroalimentaires.