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Résultats de recherche pour fonds

(3423 résultats)
Il y a 2 ans et 241 jours

Le taux maximum pour un crédit immobilier sur 20 ans dépassera les 3% au 1er octobre

Destiné à protéger les particuliers de conditions d'emprunt abusives, ce taux plafonne l'ensemble des frais d'un prêt immobilier: taux de crédit pratiqué par la banque, éventuelle commission des courtiers, assurance emprunteur.L'application de la formule prévue par la loi" conduit à "une hausse bien proportionnée et plus marquée qu'en juin dernier", indique la Banque de France dans un communiqué.Le calcul du taux est réalisé chaque trimestre par la Banque de France, qui prend en compte les taux moyens pratiqués par les banques au cours des trois derniers mois augmentés d'un tiers. Il y a autant de taux d'usure que de types de crédits.Ces taux plafonds sont sous le feu des critiques, notamment des courtiers qui y voient un frein à l'accès au crédit immobilier.Un de leurs syndicats était même allé jusqu'à manifester le 20 septembre devant le siège de la Banque de France à Paris, pour demander à la banque centrale de faire un geste.La Banque de France juge "ni souhaitable ni nécessaire (...) un relèvement exceptionnel" des taux de l'usure, dont le rôle "est de protéger les emprunteurs", précise-t-elle mercredi.Cette hausse est "très attendue" par la profession, expliquait plus tôt dans la journée le président du réseau de courtiers Cafpi, Olivier Lendrevie, pour qui "un taux d'usure à 3% permettrait de régler la grande majorité des situations de blocage observées ces dernières semaines".Elle aura aussi pour conséquence de rendre les nouveaux crédits immobiliers plus chers pour les particuliers.La remontée des taux d'intérêt des nouveaux crédits immobiliers est sensible depuis le printemps, les banques répercutant le resserrement de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE), via une hausse de son taux directeur, afin de combattre l'inflation.Le taux moyen mesuré par la Banque de France pour les nouveaux crédits immobiliers était par exemple de 1,45% en juillet, selon ses derniers chiffres, contre 1,12% en fin d'année dernière.Il s'agit là du taux nominal, auquel viennent s'ajouter l'ensemble des frais liés à l'obtention d'un crédit.Cette hausse ne ralentit cependant pas les encours de crédit. Dans un entretien au journal Sud-Ouest fin août, le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, indiquait que le marché de l'immobilier restait "dynamique".
Il y a 2 ans et 242 jours

Hauts-de-Seine : une levée de fonds en faveur de la rénovation des écuries de Richelieu à Gennevilliers.

À Gennevilliers (Hauts-de-Seine), un appel à souscription a été lancé pour récolter des fonds dans le cadre du projet de rénovation des...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 242 jours

Hauts-de-Seine : une levée de fonds en faveur de la rénovation des écuries de Richelieu à Gennevilliers.

À Gennevilliers (Hauts-de-Seine), un appel à souscription a été lancé pour récolter des fonds dans le cadre du projet de rénovation des...-Vie du BTP
Il y a 2 ans et 242 jours

Solutions techniques, acoustiques et décoratives pour murs et plafonds !

BATIMAT Du 3 au 6 octobre 2022 Paris – Porte de Versailles PAVILLON 1 – STAND F086 Après trois années d’absences contraintes, CLIPSO fait son retour à BATIMAT sur un stand revisité. De forme cubique et épurée, l’espace architecturé joue avec les ouvertures et fait la part belle à un florilège de gammes de produits […]
Il y a 2 ans et 243 jours

Projet de loi de finances pour 2023 : où est l’ambition ?

De fait, la construction neuve reste la grande absente du projet de budget, malgré la chute des ventes et des agréments HLM, les surcoûts induits par la crise des matériaux et de l’énergie, mais aussi l’entrée en vigueur de RE2020 depuis cette année, puis de la REP au 1er janvier 2023. La seule ponction de 300 millions d’euros sur Action logement pour financer le Fonds national des aides à la pierre (FNAP) ne saurait constituer une réponse à la hauteur de la crise du neuf qui se prépare.Quant au soutien à la rénovation énergétique, le rehaussement de 500 millions d’euros de MaPrimeRénov’ constitue, certes, une bonne nouvelle, sous réserve des détails à venir. Toutefois, ce montant reste très insuffisant pour déclencher massivement des opérations de performance globale. D’autant qu’une refonte de la TVA à 5,5% est annoncée pour 2024. De plus, le projet de loi s’avère muet sur l’incitation des artisans, commerçants et PME à rénover leurs locaux. Et enfin, le projet de budget renvoie MaPrimeAdapt’ à 2024, après avoir suscité de nombreux espoirs depuis le début de l’été.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « je regrette que les ambitions en matière d’amélioration de la qualité écologique du parc existant ne trouvent pas de réelle traduction dans le projet de loi de finances pour 2023, laissant l’objectif 2050 hors d’atteinte. De plus, ce projet de budget fait clairement l’impasse sur la crise du logement neuf qui se prépare. La FFB demande donc au gouvernement et aux parlementaires d’être plus ambitieux ! »
Il y a 2 ans et 243 jours

La station de recharge pour les voitures électriques la plus rapide de France ouvre en Normandie

C'est la première station de recharge ouverte par Kallista Energy, qui exploite 36 parcs éoliens en Europe. Détenue par les fonds français Ardian et néerlandais APG, Kallista compte ouvrir à terme un réseau de 90 stations sous la marque "Yaway", alimentées principalement par le vent.La station de Vernon-Douains, non alimentée par le vent, propose deux bornes de recharge ultrarapide, atteignant jusqu'à 360 kW, une puissance bien supérieure à ce qu'acceptent même les véhicules les mieux équipés, comme la Porsche Taycan ou la Tesla Model 3.Cette borne encore en test permettra aux prochaines générations de voitures de récupérer jusqu'à 100 kilomètres d'autonomie en moins de trois minutes, selon son concepteur, le groupe helvético-suédois ABB.Des exemplaires de ce modèle fabriqué en Italie et appelé "Terra 360" fonctionnent déjà en Allemagne avec le pétrolier Shell et en Norvège avec l'énergéticien Eviny.La borne partage sa puissance entre les voitures qui s'y branchent, jusqu'à quatre en même temps. La charge coûte encore 0,55 euro la minute mais sera bientôt facturée au kWh.En route pour Paris depuis la côte, un SUV Audi s'y est rechargé mercredi, passant de 2 à 80% d'autonomie en 32 minutes, a expliqué son propriétaire Benoist Girard, 43 ans, repassant sur le chemin du retour.Sur un marché de la recharge en pleine explosion, avec la multiplication des voitures électriques sur les routes, Kallista utilise de l'électricité produite par des éoliennes pour "la majorité" de ses bornes.Cette première station de recharge de Kallista Energy n'est pas alimentée par une éolienne, car elle est trop proche d'une base aérienne. Mais il y a "beaucoup de synergies" entre ces métiers, et l'investissement dans les bornes est bien plus léger, a indiqué le directeur général de Kallista, Johann Tardy.En reliant la production et la distribution d'énergie renouvelable, Kallista compte à terme offrir des tarifs de recharge attractifs, a souligné M. Tardy.L'agglomération Seine Normandie a mis à disposition ce terrain au bord de l'autoroute et à deux pas de la future usine Hopium, qui mise sur les voitures à hydrogène.Chaque point de charge a aussi été financé à hauteur de 18.000 euros par le programme public Advenir, qui a mis l'accent depuis 2020 sur la recharge ultrarapide.
Il y a 2 ans et 244 jours

Rector : Avec l’industriel Techniwood

Cameleo est la solution constructive de Rector qui associe poteaux et prédalles. [©Rector] Présent sur Batimat, l’industriel du béton Rector a fait le choix d’investir la zone “Construction hors site”, située plutôt au milieu du hall 1. Un choix somme toute logique… Est-il utile de rappeler que la préfabrication est, par définition, la construction hors site ? Et ce, depuis plus d’un siècle… Rector y présente sa solution constructive Cameleo. Il s’agit d’une structure plancher-dalle, sans aucune retombée de poutres, qui vient en appui direct sur des poteaux. Cette approche impacte la manière de construire. Avec la seule présence des poteaux, les volumes intérieurs sont ouverts. Les contraintes liées aux murs et refends porteurs disparaissent. Les plafonds sont lisses par l’absence de poutres. D’un point de vue technique, Cameleo est un système complet, dont l’élément central est la prédalle SPD (Système Plancher-Dalle). Celle-ci intègre toutes les armatures nécessaires à sa tenue sans besoin de poutres porteuses. Les poteaux préfabriqués et les prémurs destinés aux cages d’escaliers et d’ascenseurs complètent le dispositif. Rector souligne que Cameleo s’inscrit en totalité dans une démarche d’éco-conception. D’où le choix de partager son stand avec l’industriel Techniwood qui, lui, présente, les solutions de remplissage. En particulier les éléments de façades non porteuses. Montrant que la mixité des matériaux est une réalité en construction et l’emploi du bon matériau au bon endroit, une démarche tout à fait pertinente. Batimat – Hall 1 – Stand L24 Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 244 jours

Projet de loi de finances : construction neuve et massification de la rénovation oubliées

La FFB regrette que malgré la chute des ventes et des agréments HLM, les surcoûts induits par la crise des matériaux et de l’énergie, l’entrée en vigueur de RE2020, puis de la REP au 1er janvier 2023, la construction neuve est absente projet de loi de finances pour 2023. La seule ponction de 300 millions d’euros sur Action logement pour financer le Fonds national des aides à la pierre (FNAP) ne saurait constituer une réponse à la hauteur de la crise du neuf qui se prépare. Le rehaussement de 500 millions d’euros de MaPrimeRénov’ pourrait être une bonne nouvelle, mais ce montant reste très insuffisant pour déclencher massivement des opérations de performance globale. D’autant qu’une refonte de la TVA à 5,5 % est annoncée pour 2024. Le projet de budget renvoie MaPrimeAdapt’ à 2024, après avoir suscité de nombreux espoirs depuis le début de l’été. Olivier Salleron, président de la FFB, « regrette que les ambitions en matière d’amélioration de la qualité écologique du parc existant ne trouvent pas de réelle traduction dans le projet de loi de finances pour 2023, laissant l’objectif 2050 hors d’atteinte. De plus, ce projet de budget fait clairement l’impasse sur la crise du logement neuf qui se prépare. La FFB demande donc au gouvernement et aux parlementaires d’être plus ambitieux ! »  
Il y a 2 ans et 244 jours

CDC Habitat s'associe à Ivanhoé Cambridge pour développer des fonciers complexes

LOGEMENT. La Caisse des dépôts et le fonds d'investissement pourront réaliser des projets en copromotion. L'objectif est le développement d'un parc de "logements abordables" dans les zones particulièrement tendues.
Il y a 2 ans et 244 jours

La start-up ClubFunding lève 125 millions d'euros

Spécialisé dans l'investissement immobilier, notamment le crowdfunding (financement participatif) qui permet à des promoteurs de financer leurs programmes autrement que via les banques, le groupe affirme avoir "collecté plus de 360 millions d'euros en 2021".Bpifrance et les fonds d'investissement Florac, Peninsula Capital et EMZ Partners entrent au capital de la société, dont les fondateurs conservent le contrôle majoritaire. Le détail des parts acquises par chaque investisseur n'a pas été dévoilé."À l'international, le groupe nourrit de fortes ambitions dans un premier temps au sein des pays européens frontaliers comme le Benelux, l'Allemagne ou l'Espagne", affirme ClubFunding.
Il y a 2 ans et 244 jours

La start-up ClubFunding lève 125 millions d'euros

Spécialisé dans l'investissement immobilier, notamment le crowdfunding (financement participatif) qui permet à des promoteurs de financer leurs programmes autrement que via les banques, le groupe affirme avoir "collecté plus de 360 millions d'euros en 2021".Bpifrance et les fonds d'investissement Florac, Peninsula Capital et EMZ Partners entrent au capital de la société, dont les fondateurs conservent le contrôle majoritaire. Le détail des parts acquises par chaque investisseur n'a pas été dévoilé."À l'international, le groupe nourrit de fortes ambitions dans un premier temps au sein des pays européens frontaliers comme le Benelux, l'Allemagne ou l'Espagne", affirme ClubFunding.
Il y a 2 ans et 244 jours

"Un safari de sons" : le philharmonique de New York a un nouvel écrin

A deux semaines du lancement, c'est l'heure des derniers ajustements pour les musiciens et leurs instruments. Mais aussi pour les spécialistes de l'acoustique qui apportent les dernières retouches aux murs et aux plafonds du David Geffen Hall."C'est un peu comme si vous partiez pour un safari de sons. Il s'agit vraiment de réinventer le son de l'orchestre", explique à l'AFP Jaap van Zweden, chef d'orchestre et directeur musical du "Phil".Selon lui, la conception datée du David Geffen Hall, ouvert depuis 1962 au sein du Lincoln Center, ne contribuait guère à une bonne acoustique. Désormais, les musiciens vont "retrouver beaucoup de sons et de beauté" mais "cette lune de miel entre eux et la salle a besoin de temps", prévient-il.Né en 1995, le projet pharaonique à 550 millions de dollars a longtemps traîné. Paradoxalement, la pandémie, en contraignant la salle à fermer au public, a accéléré les choses.Bois de hêtrePlus de 600 ouvriers et techniciens travaillaient en permanence sur le chantier.La rénovation réduit la capacité de 2.738 à 2.200 places, mais la visibilité sera améliorée et certains spectateurs seront placés derrière l'orchestre, dont la scène a été légèrement avancée pour renforcer l'effet surround.Les murs ont été revêtus de bois de hêtre pour soutenir les basses fréquences de la salle, explique l'acousticien en chef Paul Scarbrough. Autre nouveauté: une verrière acoustique modulable."Nous avons pu régler à la fois avec précision la quantité d'énergie renvoyée aux musiciens sur la scène (...) et la quantité dirigée vers le public", ajoute Paul Scarbrough.L'acoustique a été testée et ajustée avec différentes œuvres musicales, pour mieux faire ressortir les "différentes couleurs, textures, timbres et couches d'instruments", explique-t-il aussi.Une expérience "incroyable" pour la violoniste Yulia Ziskel, 22 saisons au compteur, qui raconte qu'avec certains changements, "le son devenait soudainement différent".Le réglage de la salle depuis août marque un retour au bercail pour le philharmonique, plus vieille institution musicale américaine, il a été créé en 1842, qui a dû se produire dans d'autres espaces du Lincoln Center depuis mars 2020."J'ai hâte de voir ce que le public verra", confie le trompettiste Ethan Bensdorf, à l'aube de sa quinzième saison. "C'est pour ça qu'on est musiciens (...) c'est pour ça que la musique vivante est si magique", ajoute-t-il.Le tout premier rendez-vous est fixé au 8 octobre, avec "San Juan Hill: une histoire de New York", un spectacle composé par le trompettiste Etienne Charles sur la vie des communautés afro-américaine, caribéenne et portoricaine vivant dans le quartier de l'Upper West Side avant l'opération de rénovation urbaine massive qui vit naître le Lincoln Center, l'un des centres artistiques de Manhattan, où se produisent aussi le Metropolitan Opera et le New York City Ballet.La saison officielle démarre le 12 octobre avec la première mondiale d'"Oya", du Brésilien Marcos Balter.
Il y a 2 ans et 244 jours

Le Fonds vert en rodage aux journées de France urbaine

Le social et l’écologique se sont rejoints à Reims, les 22 et 23 septembre aux cinquièmes journées nationales de France urbaine. A...-Collectivités locales
Il y a 2 ans et 244 jours

Le Fonds vert en rodage aux journées de France urbaine

Le social et l’écologique se sont rejoints à Reims, les 22 et 23 septembre aux cinquièmes journées nationales de France urbaine. A l’issue d’un...
Il y a 2 ans et 247 jours

La Fédération des Offices Publics de l'Habitat tire la sonnette d’alarme et alerte les pouvoirs publics

« Sept mois après avoir interpellé les pouvoirs publics sur les conséquences de la hausse des tarifs du gaz et demandé des mesures en faveur des locataires, nous nous inquiétons de la flambée des prix de l’électricité, qui n’est pas sans conséquence sur la facture des ménages », a alerté Marcel Rogemont, président de la FOPH.« En dépit des mesures annoncées le 14 septembre dernier par le gouvernement, de prolongement du bouclier tarifaire avec une hausse du prix du gaz et de l’électricité plafonnée à 15 % et un chèque énergie exceptionnel pour l’accompagnement des ménages à revenus modestes, les acteurs du monde HLM restent très préoccupés ».Huit propositions de la FOPH au gouvernementDans ce contexte, Marcel Rogemont a présenté les huit propositions de la FOPH adressées au gouvernement :L’extension du bouclier tarifaire aux immeubles avec chauffage électrique collectif ;L’extension du bouclier tarifaire pour les achats d’électricité pour le fonctionnement des parties communes des immeubles collectifs ;Prendre en compte les situations extrêmes, notamment lorsque le prix de la molécule de gaz ou d’électricité dépasse largement le plafond du bouclier tarifaire ;Les conditions de ce bouclier tarifaire, à savoir une rétroactivité au 1er octobre 2022 à l’instar du bouclier gaz. L’idée serait de se baser sur le tarif réglementé plus 15% ;Le versement du chèque énergie directement aux organismes HLM pour les locataires bénéficiant d’un chauffage collectif ;La revalorisation du forfait charges des APL ;L’augmentation de la contribution des énergéticiens dans le financement des Fonds de solidarité logement (FSL) ;La réforme structurelle des marchés de l’énergie au niveau européen : désindexation des tarifs du gaz et ceux de l’électricité, mise en place d’un plafonnement des prix, indexation des prix sur des index moins volatils et non dépendants du marché, etc.Quatre OPH témoignent...Ces huit propositions ont fait écho aux témoignages de quatre dirigeants d’OPH invités à présenter, lors de la conférence de presse, la situation de leur organisme :Pour Valérie Mespoulhes, directrice générale de Caen la mer Habitat : « La dépense de chauffage collectif constitue une part de plus en plus significative de la quittance. Sur un 3 pièces moyen, nous sommes passés de 30 € par mois en 2020 à 81€ estimés en 2022, avec le bouclier tarifaire. Nous ne sommes pourtant pas dans des passoires énergétiques, mais sur des étiquettes C ou D. Nous avons déjà effectué des travaux d’amélioration énergétique, nous sommes déjà à 19°, nous disposons d’équipements permettant de mieux réguler... Nous avons donc peu de marges de manœuvre ».Pour Guillaume Couturier, directeur général d’Habitats de Haute-Alsace : « On assiste à une explosion stratosphérique des coûts de l’énergie. Pour un F3 moyen, la quittance passe de 473€ à 606€. Le bouclier va limiter cette augmentation à 579€, mais nous nous préparons à un raz-de-marée d’impayés, avec des conséquences financières lourdes pour les OPH, dont le modèle économique et la capacité d’investissement sont mis à mal ».Pour Bertrand Prade, directeur général de Seine-Saint-Denis Habitat : « La hausse des tarifs va représenter sur les charges pour les parties communes une augmentation de 600%. Nous sommes plusieurs à devoir choisir, avant le 31 décembre, si nous signons un contrat avec des prix exorbitants parce que dépendant des prix du marché. Cela revient à envoyer les organismes HLM sur un marché boursier avec des cours qui s’envolent, une grande volatilité, pour des locataires particulièrement vulnérables ».Pour Vincent Peronnaud, directeur général de l’OPAC de l’Oise : « L’indice PEG a été imposé par la loi Égalité et citoyenneté alors que nous étions sur des indices beaucoup plus administrés. On voit chez nos fournisseurs des marges indécentes, qui explosent, et face auxquelles le bouclier tarifaire ne fait qu’office de serpillère et bassine. La vraie solution serait de revenir de façon drastique sur la libération du prix de l’énergie, qui résulte de directives européennes, comme l’a fait l’Espagne ».
Il y a 2 ans et 247 jours

La Fédération des Offices Publics de l'Habitat tire la sonnette d’alarme et alerte les pouvoirs publics

« Sept mois après avoir interpellé les pouvoirs publics sur les conséquences de la hausse des tarifs du gaz et demandé des mesures en faveur des locataires, nous nous inquiétons de la flambée des prix de l’électricité, qui n’est pas sans conséquence sur la facture des ménages », a alerté Marcel Rogemont, président de la FOPH.« En dépit des mesures annoncées le 14 septembre dernier par le gouvernement, de prolongement du bouclier tarifaire avec une hausse du prix du gaz et de l’électricité plafonnée à 15 % et un chèque énergie exceptionnel pour l’accompagnement des ménages à revenus modestes, les acteurs du monde HLM restent très préoccupés ».Huit propositions de la FOPH au gouvernementDans ce contexte, Marcel Rogemont a présenté les huit propositions de la FOPH adressées au gouvernement :L’extension du bouclier tarifaire aux immeubles avec chauffage électrique collectif ;L’extension du bouclier tarifaire pour les achats d’électricité pour le fonctionnement des parties communes des immeubles collectifs ;Prendre en compte les situations extrêmes, notamment lorsque le prix de la molécule de gaz ou d’électricité dépasse largement le plafond du bouclier tarifaire ;Les conditions de ce bouclier tarifaire, à savoir une rétroactivité au 1er octobre 2022 à l’instar du bouclier gaz. L’idée serait de se baser sur le tarif réglementé plus 15% ;Le versement du chèque énergie directement aux organismes HLM pour les locataires bénéficiant d’un chauffage collectif ;La revalorisation du forfait charges des APL ;L’augmentation de la contribution des énergéticiens dans le financement des Fonds de solidarité logement (FSL) ;La réforme structurelle des marchés de l’énergie au niveau européen : désindexation des tarifs du gaz et ceux de l’électricité, mise en place d’un plafonnement des prix, indexation des prix sur des index moins volatils et non dépendants du marché, etc.Quatre OPH témoignent...Ces huit propositions ont fait écho aux témoignages de quatre dirigeants d’OPH invités à présenter, lors de la conférence de presse, la situation de leur organisme :Pour Valérie Mespoulhes, directrice générale de Caen la mer Habitat : « La dépense de chauffage collectif constitue une part de plus en plus significative de la quittance. Sur un 3 pièces moyen, nous sommes passés de 30 € par mois en 2020 à 81€ estimés en 2022, avec le bouclier tarifaire. Nous ne sommes pourtant pas dans des passoires énergétiques, mais sur des étiquettes C ou D. Nous avons déjà effectué des travaux d’amélioration énergétique, nous sommes déjà à 19°, nous disposons d’équipements permettant de mieux réguler... Nous avons donc peu de marges de manœuvre ».Pour Guillaume Couturier, directeur général d’Habitats de Haute-Alsace : « On assiste à une explosion stratosphérique des coûts de l’énergie. Pour un F3 moyen, la quittance passe de 473€ à 606€. Le bouclier va limiter cette augmentation à 579€, mais nous nous préparons à un raz-de-marée d’impayés, avec des conséquences financières lourdes pour les OPH, dont le modèle économique et la capacité d’investissement sont mis à mal ».Pour Bertrand Prade, directeur général de Seine-Saint-Denis Habitat : « La hausse des tarifs va représenter sur les charges pour les parties communes une augmentation de 600%. Nous sommes plusieurs à devoir choisir, avant le 31 décembre, si nous signons un contrat avec des prix exorbitants parce que dépendant des prix du marché. Cela revient à envoyer les organismes HLM sur un marché boursier avec des cours qui s’envolent, une grande volatilité, pour des locataires particulièrement vulnérables ».Pour Vincent Peronnaud, directeur général de l’OPAC de l’Oise : « L’indice PEG a été imposé par la loi Égalité et citoyenneté alors que nous étions sur des indices beaucoup plus administrés. On voit chez nos fournisseurs des marges indécentes, qui explosent, et face auxquelles le bouclier tarifaire ne fait qu’office de serpillère et bassine. La vraie solution serait de revenir de façon drastique sur la libération du prix de l’énergie, qui résulte de directives européennes, comme l’a fait l’Espagne ».
Il y a 2 ans et 249 jours

L'ex-président du Panama Martinelli accusé d'avoir reçu des pots-de-vin d'un groupe brésilien de BTP

"Qu'on me coupe les couilles s'il y a un sou qui m'implique" dans le méga-procès anti-corruption qui s'est ouvert la semaine dernière à Panama, a déclaré l'ancien chef de l'Etat devant plusieurs centaines de partisans qui l'acclamaient lors d'une manifestation jusqu'au siège de la Cour suprême du pays."Tout cela ce sont des rumeurs (...) c'est un procès truqué", a lancé M. Martinelli, réputé pour ses propos souvent outranciers. Selon lui ce procès est monté contre lui pour l'empêcher de se présenter de nouveau à l'élection présidentielle en 2024.Le parquet a réclamé vendredi en audience préliminaire le jugement de l'ancien président Martinelli (2009-2014) ainsi que de M. Juan Carlos Varela, qui lui a succédé à la tête de l'Etat de 2014 à 2019. Une cinquantaine de personnes, dont plusieurs anciens ministres, sont également mis en cause.En 2016, le groupe Odebrecht avait reconnu devant un tribunal de Brooklyn (Etats-Unis) avoir distribué plus de 788 millions de dollars de pots-de-vin dans toute l'Amérique latine, dont 59 millions de dollars pour le seul Panama. Le groupe brésilien s'est vu notamment adjuger la construction des deux lignes de métro de la ville de Panama, l'agrandissement de l'aéroport international de la capitale, ainsi que plusieurs tronçons du boulevard de front de mer de la ville.L'ancien président Martinelli (2009-2014), un prospère homme d'affaires qui possède notamment une chaîne de supermarchés, avait "pleinement conscience de l'origine illicite des fonds", selon l'acte d'accusation lu à l'audience de vendredi. Il "avait même mis sur pied "toute une structure illégale" pour collecter les pots-de-vin, selon le parquet.Deux fils de M. Martinelli, détenus aux Etats-Unis après avoir été extradés du Guatemala où ils avaient été arrêtés, se sont de leur côté déclarés coupables d'avoir reçu 28 millions de dollars du groupe de BTP brésilien, avant d'être condamnés à trois ans de prison par un tribunal de New York.Dans des aveux, plusieurs anciens responsables du groupe brésilien ont en outre mis en cause l'ancien président Martinelli.
Il y a 2 ans et 249 jours

L'ex-président du Panama Martinelli accusé d'avoir reçu des pots-de-vin d'un groupe brésilien de BTP

"Qu'on me coupe les couilles s'il y a un sou qui m'implique" dans le méga-procès anti-corruption qui s'est ouvert la semaine dernière à Panama, a déclaré l'ancien chef de l'Etat devant plusieurs centaines de partisans qui l'acclamaient lors d'une manifestation jusqu'au siège de la Cour suprême du pays."Tout cela ce sont des rumeurs (...) c'est un procès truqué", a lancé M. Martinelli, réputé pour ses propos souvent outranciers. Selon lui ce procès est monté contre lui pour l'empêcher de se présenter de nouveau à l'élection présidentielle en 2024.Le parquet a réclamé vendredi en audience préliminaire le jugement de l'ancien président Martinelli (2009-2014) ainsi que de M. Juan Carlos Varela, qui lui a succédé à la tête de l'Etat de 2014 à 2019. Une cinquantaine de personnes, dont plusieurs anciens ministres, sont également mis en cause.En 2016, le groupe Odebrecht avait reconnu devant un tribunal de Brooklyn (Etats-Unis) avoir distribué plus de 788 millions de dollars de pots-de-vin dans toute l'Amérique latine, dont 59 millions de dollars pour le seul Panama. Le groupe brésilien s'est vu notamment adjuger la construction des deux lignes de métro de la ville de Panama, l'agrandissement de l'aéroport international de la capitale, ainsi que plusieurs tronçons du boulevard de front de mer de la ville.L'ancien président Martinelli (2009-2014), un prospère homme d'affaires qui possède notamment une chaîne de supermarchés, avait "pleinement conscience de l'origine illicite des fonds", selon l'acte d'accusation lu à l'audience de vendredi. Il "avait même mis sur pied "toute une structure illégale" pour collecter les pots-de-vin, selon le parquet.Deux fils de M. Martinelli, détenus aux Etats-Unis après avoir été extradés du Guatemala où ils avaient été arrêtés, se sont de leur côté déclarés coupables d'avoir reçu 28 millions de dollars du groupe de BTP brésilien, avant d'être condamnés à trois ans de prison par un tribunal de New York.Dans des aveux, plusieurs anciens responsables du groupe brésilien ont en outre mis en cause l'ancien président Martinelli.
Il y a 2 ans et 249 jours

Lutte contre la dépression et prévention du suicide : un nouvel engagement pour VEKA

Le Groupe VEKA annonce son partenariat avec l’association Kelly’s Heroes dans son challenge « The Loneliest Road 2022 » ; une course cycliste sur deux continents visant à récolter des fonds en faveur de la Santé Mentale pour financer les structures nécessaires à la mise en place d’un service d’aide et d’écoute sur le terrain.  […]
Il y a 2 ans et 250 jours

Lignotrend : Aménagement créatif de bureaux avec LIGNO® Acoustique

L'aménagement intérieur se révèle un outil fondamental pour transmettre efficacement la culture, les valeurs et l'image d'une entreprise. Le bien-être des collaborateurs dans les locaux ou encore l'attrait d'une entreprise pour les candidats sont souvent influencés par la perception de l'espace. L'ameublement, les couleurs, la lumière et surtout la qualité des matériaux contribuent à créer des expériences intérieures uniques. C'est pourquoi les architectes d'intérieur misent sur l'effet naturel des panneaux en bois véritable LIGNO® Acoustique. Ses différents types de profilés et de bois apportent une touche de nature dans les bureaux et ennoblissent les murs et les plafonds. Ces panneaux s'intègrent dans les cloisons et les éléments encastrés ou, imprimés, ils deviennent de véritables oeuvres d'art. Grâce à leur grand choix de conifères et de feuillus (plus de vingt variantes différentes), les panneaux de revêtement LIGNO®Acoustique permettent d'exprimer des messages d'aménagement très différents et de créer des ambiances très personnelles et caractéristiques dans la pièce.
Il y a 2 ans et 250 jours

Un immeuble vendu sur les Champs-Elysées pour un montant "record"

Le montant précis de la transaction n'a pas été communiqué mais constitue un record sur l'artère, plus que les 613 millions d'euros de la vente du siège de Nike en 2019, selon Groupama Immobilier.Situé au 150 de l'avenue parisienne, tout près de l'Arc de triomphe, l'immeuble de 17.800 mètres carrés avait été acquis en 2009 par la filiale de l'assureur, qui l'a restructuré pour y mener notamment un projet hôtelier.Groupama Immobilier a réalisé une plus-value nette de plus de 400 millions d'euros, indique le groupe.L'acquéreur, le fonds d'investissement Cheval Paris, est contrôlé par le fonds Mimco Asset Management. Au total, l'investisseur devrait débourser environ 800 millions d'euros travaux compris, a précisé une source ayant connaissance du dossier."On a plusieurs moteurs sociaux, économiques, démographiques, qui plaident pour que les Champs-Elysées retrouvent leur pouvoir d'attractivité et leur caractère emblématique", a déclaré à l'AFP Eric Donnet, directeur général de Groupama Immobilier.La mairie de Paris a lancé un plan de rafraîchissement de l'emblématique avenue, aujourd'hui plus fréquentée par les touristes étrangers et clients des boutiques de luxe que par les Parisiens.D'ici aux Jeux olympiques de 2024, la place de l'Etoile autour de l'Arc de Triomphe doit voir la circulation automobile réduite, et il est prévu que les jardins autour de la place de la Concorde, à l'autre extrémité de l'avenue, soient rendus plus accueillants.Le mobilier urbain et les terrasses doivent également bénéficier d'un coup de jeune."Ce que prouve cette transaction, c'est que ça marche, et on est un certain nombre d'investisseurs et de développeurs à croire en cette transformation des Champs-Elysées", a ajouté Eric Donnet.
Il y a 2 ans et 250 jours

Un immeuble vendu sur les Champs-Elysées pour un montant "record"

Le montant précis de la transaction n'a pas été communiqué mais constitue un record sur l'artère, plus que les 613 millions d'euros de la vente du siège de Nike en 2019, selon Groupama Immobilier.Situé au 150 de l'avenue parisienne, tout près de l'Arc de triomphe, l'immeuble de 17.800 mètres carrés avait été acquis en 2009 par la filiale de l'assureur, qui l'a restructuré pour y mener notamment un projet hôtelier.Groupama Immobilier a réalisé une plus-value nette de plus de 400 millions d'euros, indique le groupe.L'acquéreur, le fonds d'investissement Cheval Paris, est contrôlé par le fonds Mimco Asset Management. Au total, l'investisseur devrait débourser environ 800 millions d'euros travaux compris, a précisé une source ayant connaissance du dossier."On a plusieurs moteurs sociaux, économiques, démographiques, qui plaident pour que les Champs-Elysées retrouvent leur pouvoir d'attractivité et leur caractère emblématique", a déclaré à l'AFP Eric Donnet, directeur général de Groupama Immobilier.La mairie de Paris a lancé un plan de rafraîchissement de l'emblématique avenue, aujourd'hui plus fréquentée par les touristes étrangers et clients des boutiques de luxe que par les Parisiens.D'ici aux Jeux olympiques de 2024, la place de l'Etoile autour de l'Arc de Triomphe doit voir la circulation automobile réduite, et il est prévu que les jardins autour de la place de la Concorde, à l'autre extrémité de l'avenue, soient rendus plus accueillants.Le mobilier urbain et les terrasses doivent également bénéficier d'un coup de jeune."Ce que prouve cette transaction, c'est que ça marche, et on est un certain nombre d'investisseurs et de développeurs à croire en cette transformation des Champs-Elysées", a ajouté Eric Donnet.
Il y a 2 ans et 250 jours

A quelques jours du Congrès de l'USH, le secteur HLM suspendu au projet de loi de finances

LOGEMENT SOCIAL. Comment atteindre les objectifs de production de logement social tout en éradiquant les passoires énergétiques, alors que la RLS pèse toujours sur les fonds propres des bailleurs et que le taux du livret A doit encore augmenter ? Le Mouvement HLM attend du gouvernement des solutions, sous forme de subventions.
Il y a 2 ans et 250 jours

A quelques jours du Congrès de l'USH, le secteur HLM suspendu au projet de loi de finances

LOGEMENT SOCIAL. Comment atteindre les objectifs de production de logement social tout en éradiquant les passoires énergétiques, alors que la RLS pèse toujours sur les fonds propres des bailleurs et que le taux du livret A doit encore augmenter ? Le Mouvement HLM attend du gouvernement des solutions, sous forme de subventions.
Il y a 2 ans et 250 jours

La Région Paca débloque un fonds en faveur des EnR et de la transition écologique

TRANSITION. Plusieurs filières sont concernées par cet outil, notamment la production d'énergies renouvelables et l'efficacité énergétique.
Il y a 2 ans et 250 jours

La Région Paca débloque un fonds en faveur des EnR et de la transition écologique

TRANSITION. Plusieurs filières sont concernées par cet outil, notamment la production d'énergies renouvelables et l'efficacité énergétique.
Il y a 2 ans et 250 jours

250 M€ pour le plan vélo en 2023

Le "fonds mobilités actives" pour le financement d'infrastructures, s'inscrira "dans une logique de contractualisation avec les collectivités,...
Il y a 2 ans et 251 jours

Hausse des coûts, REP bâtiment, aides à la rénovation énergétique... les 26 propositions des artisans du bâtiment au gouvernement

La CAPEB rappelle, s’il le fallait encore, que nous sommes dans un contexte économique qui fait craindre une baisse importante de l’activité dans le bâtiment d’ici à la fin du second semestre 2022. Alors oui, les artisans du bâtiment défendent, eux aussi, la nécessité de mettre en œuvre une transition énergétique et écologique ambitieuse dans le secteur, et notamment dans le domaine de la rénovation des bâtiments existants (réduction des dépenses énergétiques, réduction des émissions des gaz à effet de serre, décarbonation). Mais la CAPEB rappelle que cette révolution ne doit pas se faire au détriment de son volet social, notamment de l’emploi, ni au détriment de l’activité économique des entreprises. Et c’est dans ce contexte que s’inscrivent les propositions de la CAPEB faites au Gouvernement.Elles visent donc à conforter l’activité des entreprises dans un contexte économique menaçant (hausse des coûts des matériaux et des équipements, hausse des coûts de l’énergie, difficultés d’approvisionnement, etc.), à booster les travaux de rénovation énergétique en donnant aux donneurs d’ordre, et notamment aux particuliers, les moyens de les financer, et, enfin, à permettre la transition écologique du secteur dans le cadre d’un calendrier volontariste mais réaliste. Compte tenu de l’importance des enjeux, les propositions de la CAPEB ne concernent quasiment que le secteur de la rénovation et ont volontairement été limitées en nombre. La CAPEB reste plus que jamais aux côtés des entreprises artisanales du bâtiment, investis et déterminés.Lutter contre la hausse des coûts et l'inflationHausse des prix : La CAPEB demande une réelle transparence Assurer une réelle transparence sur les hausses de prix pratiquées par les industriels et les négoces, en lien avec la crise de la COVID, la guerre en Ukraine et la décarbonation des process industriels.REP Bâtiment (responsabilité élargie du producteur dans le secteur du bâtiment)La CAPEB demande à disposer d’un calendrier de mise en œuvre réalisteDécaler la mise en œuvre de la REP BÂTIMENT au 1er janvier 2024 pour éviter d’ajouter de l’inflation (a minima 1,5% dès 2023 et 6% à terme) à l’inflation, mais également afin de laisser un temps suffisant aux entreprises pour intégrer le montant des éco-contributions dans leurs devis.Cette disposition, indolore pour les finances publiques, est également rendue nécessaire du fait du retard pris dans la mise en œuvre de la REP (agrément des éco-organismes, détermination des éco-contributions, traçabilité, etc.).Construction neuveLa CAPEB demande l’indexation des plafondsIndexer, pour l’ensemble des dispositifs existants, les plafonds de ressources sur l’inflation réelle.MaPrimeRénov'La CAPEB demande de booster les travaux de rénovation énergétiqueIndexer les aides de MaPrimeRénov sur l’inflation constatée dans le secteur du bâtiment afin d’éviter une augmentation du reste à charge des ménages.CEE (Certificats d'Économie d'Énergie)La CAPEB demande à indexer les primes CEEIndexer les primes CEE dans le cadre des coups de pouce, ainsi que les plafonds de ressources sur l’inflation constatée par type de travaux afin d’éviter une augmentation du reste à charge des ménages.Pass'RénoLa CAPEB demande la mise en place d’une aide de 300€ pour les ménages modestesMettre en place un Pass’Réno de 300 € environ, de manière temporaire (6 mois) afin d’amortir l’impact de l’inflation, pour les ménages très modestes (revenus d’un couple inférieur à 22.320 €, environ 3 millions de ménages) et pour les passoires thermiques, fléchant prioritairement les travaux d’urgence et les travaux d’entretien-maintenance-dépannage.Cette disposition serait complémentaire au chèque énergie actuel, d’un montant de 150 € (distribué à près de 5,8 millions de ménages).Ce Pass’Réno serait d’un coût d’environ 700 millions d’euros, mais plus ciblé sur les travaux de performance énergétique (et non sur les coûts de l’énergie) et les plus précaires.Cette mesure permettrait d’amortir la hausse des coûts (5 à 10% en moyenne sur les devis au premier trimestre 2022) pour les particuliers et de maintenir l’activité des entreprises du bâtiment en ne cassant pas la dynamique actuelle.Booster les aides à la rénovation énergétique et simplifier les dispositifsMaPrimeRénov'La CAPEB demande la diminution du reste à chargeDiminuer de moitié le reste à charge pour les ménages modestes et très modestes pour accélérer la rénovation énergétique du parc de logement avec l’octroi d’un bonus en cas de réalisation de travaux multigestes (ex. : 1 geste chauffage + 1 geste isolation) ou de rénovation globale.Cette mesure générera une augmentation des économies en termes de dépenses énergétiques et diminuera la demande en énergie. Elle favorisera l’activité et l’emploi dans le secteur du bâtiment en 2023, période qui sera plus difficile pour la filière si aucune mesure de soutien n’est prise.Le coût direct de cette mesure pourrait s’élever autour de 480 millions d’euros sur un an, éventuellement renouvelable en fonction des résultats constatés en nombre de rénovations énergétiques.CEE (Certificats d'Économie d'Énergie)La CAPEB demande une valorisation du systèmeRedynamiser le marché des CEE en augmentant le niveau des obligations des obligés.Stabiliser le dispositif des CEE sur la durée de la cinquième période en évitant les « stop and go » successifs, notamment pour ce qui concerne les opérations « coup de pouce ».Mettre en œuvre aussi rapidement que possible le programme OSCAR, et notamment ses volets SIMPLIFICATIONS et ACCOMPAGNATEURS DES PROS, en le renforçant, le cas échéant, en fonction des premiers résultats constatés sur le terrain.Financer un audit énergétique gratuit dès le premier geste réalisé par un particulier en vue d’élaborer un parcours travaux de rénovation énergétique pour le logement/la maison afin d’atteindre un niveau de performance de consommation souhaitable.Rénovations globalesLa CAPEB demande que leur réalisation soit facilitée pour les TPEEn complément de l’actuel taux de TVA à 5,5% pour les travaux de rénovation énergétique, mettre en place une TVA à taux réduit à 5,5% pour tous les travaux réalisés en groupement momentané d’entreprises (GME) constitué de plus de trois corps de métiers, ce qui incitera les entreprises artisanales de proximité à se constituer en GME pour réaliser des travaux complets et facilitera la vie des particuliers par la mise en place d’un interlocuteur unique de chantier.Cette mesure est d’un coût faible, voire marginal pour l’État et constituera un levier fort pour accélérer le nombre de rénovations globales et permettre une massification des travaux portée non par une minorité de grands faiseurs, mais par le plus grand nombre des TPE du bâtiment (soit 95% des entreprises du bâtiment), expertes dans leurs métiers.Qualification RGELa CAPEB demande de renforcer la crédibilité du dispositif et de le simplifierImposer la présence d’un référent RGE par tranche de 10 salariés au sein des entreprises qualifiées RGE.Dynamiser le dispositif de la qualification « chantier »* en mobilisant l’ensemble des organismes de qualification autour d’objectifs précis et en faisant connaître ce dispositif par des actions de communication et de promotion de grande ampleurFixer un taux de contrôle par entreprises RGE en fonction du nombre de chantiers réalisés par l’entreprise, le choix des chantiers à contrôler devant être effectué par l’organisme de qualification sur la base de l’ensemble des chantiers réalisés par l’entreprise (choix réellement aléatoire).Coordonner les contrôles réalisés au titre de la qualification RGE et au titre des CEE : choix des chantiers, référentiel de contrôle, etc.* Nouvelle appellation de la qualification « coup par coup »Donner aux artisans les moyens d'exercer sereinement et efficacement leur métierZFE-m (zones à faibles émissions mobilité)La CAPEB demande un calendrier de mise en œuvre réalisteAdapter le calendrier de mise en place des ZFE-m pour tenir compte des réalités économiques des entreprises de proximité et de l’offre de véhicules sur le marché.Intégrer aux processus de mise en place des ZFE-m des représentants des organisations professionnelles représentant les entreprises de proximité.Créer un organe de gouvernance nationale ad hoc des ZFE-m.Autoriser des dérogations locales pour la circulation de certains véhicules en ZFE-m, tout en veillant à leur cohérence au niveau national.Parc des véhicules professionnelsLa CAPEB demande un accompagnement financierFavoriser, par des dispositions financières chocs, la transformation du parc des véhicules des professionnels vers des véhicules propres afin de diminuer le poids de l’énergie dans les charges des entreprises, mais aussi pour contribuer à l’atteinte des objectifs que la France s’est fixée en termes de maîtrise des consommations énergétiques.Cette mesure pourrait être complétée par une offre packagée à destination des entreprises : aide à l’acquisition d’un véhicule électrique intégrant un financement préférentiel couvrant la mise en place d’une borne IRVE et installation de panneaux photovoltaïques pour alimenter la borne de recharge, permettant ainsi un fonctionnement en totale autoconsommation.Lutter pour plus d'équité dans l'exercice des métiers du bâtimentConcurrence déloyaleLa CAPEB demande des mesures rapidesLimiter à deux ans, dans le BTP, le recours au régime de la microentreprise en activité principale.Supprimer tous dispositifs légaux générant des situations de dumping social, renforcer les sanctions existantes, notamment concernant le détachement de salariés, et contrôler le bon paiement des cotisations sociales.Contrôler l’exercice d’activités dissimulées favorisé par les plateformes de mise en relation qui facilitent la possibilité d’échapper aux obligations fiscales et sociales, et l’exercice d’activités sans les qualifications professionnelles requises dans le bâtiment.Sous-traitance en cascadeLa CAPEB demande sa limitationLimiter la sous-traitance en cascade, au rang 1, pour contribuer à la solidité financière des entreprises et à la qualité des travaux réalisés.
Il y a 2 ans et 251 jours

Inflation : "Il y a un manque structurel de fonds propres chez les TPE-PME"

CONJONCTURE. Confrontées à une succession de crises diverses depuis plus de deux ans, les entreprises semblent plus que jamais considérer les délais de paiement comme la variable d'ajustement de leur trésorerie. D'après la dernière étude du cabinet Arc, spécialisé dans la gestion du poste client et le recouvrement de créances, 25% des entreprises estiment pourtant que les retards de paiement se sont encore aggravés. Les TPE-PME du BTP sont particulièrement fragilisées face à ce phénomène.
Il y a 2 ans et 253 jours

Le Kazakhstan envisage de redonner à la capitale son ancien nom, Astana

Selon le porte-parole de la présidence de ce pays d'Asie centrale, Rouslan Jeldibaï, un amendement en ce sens a été proposé par un groupe de députés "avec l'accord du chef de l'Etat", dans le cadre d'un projet de loi."Dans le même temps, le président considère comme un fait historique le rôle décisif de Noursoultan Nazarbaïev dans le renforcement de l'Etat moderne kazakh et dans la formation de la capitale", a précisé M. Jeldibaï sur Facebook."Par conséquent, les autres choses nommées d'après le premier président doivent conserver leur nom", a-t-il ajouté.Connue pour ses gratte-ciel futuristes au milieu des steppes du nord du Kazakhstan, Astana avait été rebaptisée Nur-Sultan en mars 2019, du prénom de l'ancien chef d'Etat, après son départ du pouvoir.M. Nazarbaïev, qui a dirigé de manière autoritaire cette ex-république soviétique de son indépendance en 1991 à 2019, a bénéficié pendant des années d'un culte de la personnalité au Kazakhstan.Arrivé au pouvoir après la démission surprise de son mentor, le nouveau président Kassym-Jomart Tokaïev a progressivement pris ses distances avec l'héritage de M. Nazarbaïev, entamant des réformes et écartant l'influent clan de l'ex-président. Ce tournant est de plus en plus marqué depuis des émeutes meurtrières qui ont secoué le Kazakhstan en janvier et dont les causes restent mystérieuses.Noursoultan Nazarbaïev s'est notamment vu retirer son titre d'"Elbassy" - "Chef de la nation" -, un statut qui lui donnait une autorité considérable. Plusieurs de ses proches ont été écartés de postes à responsabilité et l'un de ses neveux a été arrêté pour détournements de fonds.Après la crise de janvier, M. Tokaïev avait publiquement critiqué son prédécesseur, l'accusant d'avoir protégé les "riches", tout en louant le travail accompli par cet ancien cadre du Parti communiste soviétique.
Il y a 2 ans et 254 jours

Les Journées du patrimoine se déclinent de plus en plus au féminin

"Les femmes ont été effacées de l'Histoire", affirme à l'AFP Marie Guérini, secrétaire générale en Ile-de-France de l'association HF, qui promeut l'égalité femmes-hommes dans les arts et la culture, pour expliquer cette initiative.Des Journées européennes du patrimoine... et du matrimoineL'idée a été lancée en 2015 par le collectif regroupant les associations HF en France. D'abord concentrée dans quelques villes comme Toulouse et Tours, elle a depuis fait tache d'huile à Lyon, Marseille ou Lille.En sept ans, ce sont 400 femmes qui ont ainsi été mises en avant, selon le collectif.Rouen et Rennes ont rebaptisé cette année leurs Journées du patrimoine en Journées du matrimoine et du patrimoine, un pas déjà franchi par Nantes en 2021.Même si la ville de Paris est partenaire de l'initiative en Ile-de-France, la mairie n'a en revanche pas modifié l'appellation qu'elle donne à la manifestation. "Paris est ancrée en Europe, ce sont les Journées européennes du patrimoine, donc ce n'est pas possible de rajouter matrimoine", souligne Marie Guérini.Des initiatives similaires fleurissent toutefois en Europe : Liège, Bruxelles ou encore Florence ont ainsi depuis quelques années leurs Journées du matrimoine.Faire revivre les artistes oubliéesBalades de quartier théâtralisées, poèmes déclamés ou encore musiques interprétées : "les rendez-vous des journées du matrimoine sont bien plus vivants que ceux du patrimoine", selon Marie Guérini."On essaye de redonner vie aux créatrices du passé invisibilisées depuis des siècles. Les poétesses, on va les lire; les compositrices, on va les jouer" et les peintres femmes, "on va les mettre en scène" explique-t-elle.Pour cette édition, HF Ile-de-France a par exemple décidé de mettre à l'honneur une peintre franco-espagnole du milieu du XXe siècle, Roberta Gonzalez, dans une visite scénarisée à l'espace Antoinette-Fouque à Paris.Les visiteurs pourront aussi profiter à Paris d'une promenade littéraire sur les traces de la poétesse Marceline Desbordes-Valmore, d'une projection sur la chorégraphe Janine Solale ou encore d'une visite contée sur les dernières tenancières de salons à Paris. Au total, plus de 40 événements gratuits ont lieu ce week-end en Ile-de-France.Les figures locales à l'honneurA Lyon, la compagnie de théâtre Cybèle propose de déambuler dans les rues à la rencontre des "lyonnaises inconnues": des femmes de la Révolution jusqu'au premier lycée pour jeunes filles de la ville.Dans le centre-ville de Strasbourg, une promenade est organisée pour découvrir des femmes alsaciennes peu connues. Au travers de cette visite guidée, les visiteurs marcheront sur les pas d'Adelaide Hautval, "Juste parmi les nations", de Louise Sheppler, inventrice de l'école maternelle, ou encore de la vulcanologue Katia Krafft, tuée par une nuée ardente en 1991.Rennes, de son côté, propose une balade à vélo pour admirer des bâtiments conçus par des femmes comme celui du Fonds régional d'art contemporain, dessiné par Odile Decq. Une première pour la ville bretonne, qui a déjà fait le plein puisque toutes les visites sont complètes.
Il y a 2 ans et 254 jours

Comment les Français se préparent et envisagent les économies d'énergie pour cet hiver ?

Qui doit être le plus sobre énergétiquement ? En ce qui concerne la question de la sobriété énergétique, les Français ont un avis bien tranché : plus de 54% pensent que les particuliers doivent faire moins d’efforts que les professionnels. Seulement 39% estiment que les efforts doivent être équivalents et 4% que ce sont aux particuliers de faire plus d’économies. Pour ou contre pour la baisse des températures dans les maisons cet hiver ? Pour ce qui est de faire baisser la température dans les habitations quand le thermomètre sera au plus bas, les Français sont très divisés : 48% estiment qu’il s’agit d’une bonne idée mais 39% pensent que non et 13% ne savent pas encore répondre à cette question. De plus, entre le fait de savoir que la baisse des températures est une bonne idée et le faire, il existe aussi un fossé. En effet, 45% des personnes interrogées déclarent qu’elles diminueront effectivement cet hiver le chauffage de leur habitation de quelques degrés mais 44% avouent que non et 11% n’ont pas encore pris leur décision. Une baisse de combien ? Faire baisser la température de leur habitation ne signifie pas pour autant que les Français vont rester à 18°C. Ainsi, la température de confort du salon des Français cet hiver sera pour 33% entre 20°C et 18°C, pour 31% entre 22°C et 20°C et pour 29% entre 24°C et 22°C. Il semble donc que les recommandations de faire baisser les températures entre 18°C et 19°C ne soient pas totalement respectées dans les faits. Comment vraiment réaliser des économies ? Pour vraiment faire baisser la facture énergétique, les Français ont de bonnes idées. Ainsi, 77% considèrent qu’une bonne isolation des murs, des plafonds et des sols est la solution la plus efficace. En deuxième place, 65% pensent que le chauffage solaire est pertinent et 61% qu’il faut installer des radiateurs haut de gamme. « En fait, c’est l’accumulation de toutes ces solutions qui rend une habitation efficace et donc qui permet de réaliser d’importantes économies d’énergie. Si vous avez des murs en carton, un chauffage solaire ne sera pas plus intéressant. En revanche, bien isoler sa maison, associer un système de chauffage solaire avec des radiateurs haut de gamme munis de thermostats déportés, tout en fermant vos volets la nuit, c’est la formule gagnante pour de belles économies énergétiques », a déclaré Jean-Alexandre GRUNELIUS, PDG de Rothelec.Plus d’1 Français sur 2 prévoit de changer de chauffageEn mai 2022, plus de 47% des Français prévoyaient déjà de changer ou d’améliorer leur système de chauffage. En septembre, ils sont plus de 51% dans ce cas, soit une augmentation de 4 points en seulement 4 mois. L’électrique toujours le choix N°1Si l’électricité reste encore le choix numéro des Français, il baisse cependant de 39% en mai à 36% en septembre. Le Gaz quant à lui chute véritablement de 33% à 24% alors que le solaire grimpe de 11% à 23%. Le chauffage au bois augmente également de 9% à 19%. * Méthodologie : Enquête réalisée auprès de 1 002 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus. Sondage effectué en ligne à partir du panel de répondants BuzzPress (27 000 personnes en France). Entre le 31 août 2022 et le 7 septembre 2022, un sondage électronique a été envoyé par email et publié en ligne sur les réseaux sociaux Facebook et LinkedIn. Les réponses ont ensuite été compilées et pondérées en fonction de quotas préétablis visant à assurer la représentativité de l'échantillon et afin d’obtenir une représentativité de la population visée. Cette enquête a été compilée aux données issues d’une autre enquête durant la période du 11 au 20 avril 2022 sur un panel représentatif équivalent. Toutes les pondérations s'appuient sur des données administratives et sur les données collectées par l’INSEE.
Il y a 2 ans et 256 jours

Carbon, l'espoir d'une usine géante de panneaux photovoltaïques en France

"Nous ne pouvons plus être dépendants de la Chine pour un produit aussi stratégique !", lance Pascal Richard, PDG de Carbon, interrogé par l'AFP.Neuf des dix premiers fabricants mondiaux sont chinois et sud-coréens, adossés à leurs immenses marchés intérieurs.Le panneau solaire, de fait, est au cœur des projets énergétiques français et européens.Un projet de loi "d'accélération des énergies renouvelables" doit être présenté mi-septembre en conseil des ministres.Il prévoit la multiplication des possibilités d'implantation des panneaux solaires (obligation d'équipement sur les gros parkings, possibilité d'installation sur les délaissés routiers...) et la simplification de certaines procédures - critiquée d'ailleurs par des ONG environnementales.Pour combler le retard français sur ses partenaires européens, Emmanuel Macron avait annoncé en février vouloir décupler les projets pour atteindre 100 gigawatts (GW) installés en 2050, contre 13 en 2022.Et encore : ces objectifs ont été fixés avant la guerre en Ukraine et la prise de conscience généralisée de la dépendance au gaz russe, qui a aussi conduit en mai la Commission à présenter son plan "REPowerEU" visant à quadrupler la production photovoltaïque dans l'UE d'ici 2030.Carbon entend bien prendre sa part dans ce gâteau de la "souveraineté énergétique européenne", explique M. Richard, ancien directeur France de l'allemand SMA (onduleurs pour le photovoltaïque).D'ici 2025, Carbon prévoit la construction d'une première usine de panneaux dont la capacité installée sera de 5 GW, employant 3.000 personnes, et passerait à 20 GW et 10.000 personnes en 2030. Un énorme effet d'échelle sur les prix, espèrent ses fondateurs. Le site d'implantation - classé Seveso - n'est pas arrêté, mais il faudra 80 hectares.Chasse aux investisseursL'investissement nécessaire pour ce projet totalement intégré doit s'établir à 1,3 milliard d'euros pour la première étape, "5 à 6 milliards" au total.La chasse au investisseurs est lancée, notamment aux subventions françaises et européennes. Une première levée de fonds "de plusieurs dizaines de millions d'euros" est programmée au premier trimestre 2023. Elle servira à "la mise en place des équipes" et "la poursuite des études".Mantra des cinq associés à parts égales, parmi lesquels le fabricant grenoblois de fours destinée à l'industrie photovoltaïque ECM : "toute la chaîne de valeur sera intégrée" une fois la matière première acquise – du polysilicium provenant d'Allemagne ou de Norvège dans un premier temps.Lingots, tranches (wafers), cellules, et donc panneaux finaux seront entièrement "made in France", là où d'autres acteurs du marché européen se contentent d'assembler les composants chinois. "Il n'y a aucun projet de cette envergure" en Europe, assurent les dirigeants de Carbon.Des gros énergéticiens intègrent d'ailleurs déjà les panneaux Carbon dans leur préfiguration de centrales solaires, affirme Laurent Pélissier, PDG d'ECM, "car ils veulent diversifier leurs portefeuilles fournisseurs et ne plus se retrouver dans des situations où il n'y a plus d'approvisionnement, ou avec des prix variant soudainement".C'est le cas de la Compagnie nationale du Rhône (CNR), qui a annoncé en mai un plan "massif" d'investissement dans le photovoltaïque (1 milliard d'euros), via la "solarisation" de toitures ou de terrains dégradés."A prix quasiment identique, ce qui sera un défi, et performance égale, nous aurons bien sûr une préférence" pour Carbon, affirme Julien Marchal, directeur des nouvelles énergies, déplorant avoir "perdu parfois 6 mois sur certains projets en raison des difficultés d'approvisionnements"."Nous réduirions aussi le risque transport, le risque de change et géopolitique, comme lorsque la Chine a brusquement arrêté ses usines pour sa stratégie zéro covid. L'empreinte carbone des panneaux français serait également bien meilleure, d'autant plus si des capacités de recyclage existent sur place", ajoute ce responsable.A ses yeux, Carbon pourrait même devenir "le Verkor du solaire", allusion à cette start-up grenobloise, soutenue notamment par Renault, qui va implanter une usine géante de batteries à Dunkerque.
Il y a 2 ans et 257 jours

L’État mobilise la recherche sur les grands enjeux auxquels les ruralités sont confrontées

Les travaux de recherche documenteront les grands enjeux auxquels les petites villes et les ruralités sont confrontées : gestion de l’eau et des ressources, mais aussi du foncier, vivre-ensemble, emploi et activité, modes de vies ruraux, transition écologique, etc. Ce dispositif, intitulé POPSU Territoires, vient en appui de l’action gouvernementale menée dans le cadre du programme Petites Villes de Demain.Dominique Faure a également annoncé le lancement d’une grande mission documentaire sur les ruralités, afin de constituer un fonds inédit de reportages sur les territoires ruraux, qui comprend :Une collection d’ouvrages aux éditions Autrement, Les Carnets de territoires, qui synthétisent les enjeux des politiques publiques dans les petites villes et les ruralités ;Une mission photographique nationale sur les ruralités, qui documente les paysages et les activités dans les ruralités ;Une série de documentaires vidéo, les « Portraits de petites villes » et de podcasts.Enfin, Dominique Faure a annoncé le lancement d’un Palmarès des jeunes chercheurs et concepteurs dans les ruralités. Ce palmarès valorisera l'engagement des étudiants en urbanisme, en architecture, en sciences politiques (etc.), qui produisent des travaux de fin d'études sur les ruralités (mémoires, projets architecturaux, projets collectifs, thèses…). Ils contribuent à produire de la connaissance, à disposer de retours d'expériences, et ils forment en conséquence l'action territoriale de demain.Pour Dominique Faure, secrétaire d’État chargée de la Ruralité : « Face à l’urgence écologique et à l’impérieux besoin de cohésion entre les territoires, les enjeux sont immenses et les voies de la transition multiples : la recherche scientifique se mobilise au plus près des élus de nos territoires ruraux. Ces scientifiques travailleront main dans la main avec toutes les forces vives des territoires, les acteurs économiques, sociaux et toute la société civile, pour écrire l’avenir de nos ruralités. »
Il y a 2 ans et 261 jours

Big Bag 'n Go devient Endless et affirme son modèle global

Deux levées de fonds, des investissements technologiques et un rachat ont fait changer la start-up créée en 2011 d’échelle et d’ambition. Le...
Il y a 2 ans et 262 jours

"Biens mal acquis" : Rifaat al-Assad définitivement condamné en France

La Cour de cassation a rejeté le pourvoi de l'ancien vice-président syrien, aujourd'hui âgé de 85 ans, rendant définitive la peine d'emprisonnement et la confiscation des biens prononcées à Paris en première instance le 17 juin 2020, puis en appel le 9 septembre 2021.Rifaat al-Assad a été reconnu coupable de blanchiment en bande organisée de fonds publics syriens et de blanchiment de fraude fiscale aggravée entre 1996 et 2016. Il a en outre été condamné pour le travail dissimulé d'employés de maison.La présidente de l'association Sherpa, dont la plainte a entraîné l'ouverture de l'instruction en 2014, a salué une "décision historique"."Quand nous avons initié cette procédure il y a presque 10 ans, le scepticisme, y compris des magistrats, était grand. La preuve est faite que plus de 30 ans après des détournements massifs d'argent public, leurs bénéficiaires, les blanchisseurs, ne sont plus à l'abri", s'est félicité Me William Bourdon, président fondateur de l'ONG."Nous ne pouvons que déplorer cette décision qui nous apparaît totalement injuste et incompréhensible", ont réagi une partie de l'équipe de défense, Me Jacqueline Laffont, Pierre Cornut-Gentille, Benjamin Grundler et Julien Visconti."Monsieur al-Assad continuera à mener toute action visant à rétablir la vérité au sujet de l'origine parfaitement licite de son patrimoine en saisissant notamment la Cour européenne des droits de l'Homme", ont-ils déclaré.Ancien pilier du régime de Damas, Rifaat al-Assad a été le chef des forces d'élite de la sécurité intérieure, les Brigades de défense, qui ont notamment réprimé dans le sang une insurrection islamiste en 1982 dans la ville de Hama. Cela lui a valu un surnom, "le boucher de Hama". En 1984, il a quitté la Syrie après un coup d'État manqué contre son frère, Hafez al-Assad, rejoignant la Suisse puis la France, où il se présentait depuis comme un opposant au régime. A l'automne 2021, l'octogénaire est retourné en Syrie après 37 ans d'exil, a annoncé un média progouvernemental.Restitution des avoirsRifaat al-Assad n'a pas assisté à ses deux procès, sa défense invoquant de graves problèmes de santé. Ses avocats ont soutenu que sa fortune provenait de dons d'Abdallah, prince héritier puis roi d'Arabie saoudite, et non des caisses de l'État syrien.La justice française a au contraire estimé qu'il existait suffisamment d'éléments pour conclure qu'il avait bien reçu 300 millions de dollars de la part de son frère au moment de son départ en 1984, dans le cadre d'un "exil négocié".Décoré de la Légion d'honneur en France en 1986 pour "services rendus", Rifaat al-Assad est menacé d'un procès en Espagne pour des soupçons bien plus vastes concernant un patrimoine évalué à 600 millions d'euros.Il est par ailleurs poursuivi en Suisse pour des crimes de guerre commis dans les années 1980.Dans ce dossier, deux hôtels particuliers, des dizaines d'appartements dans les quartiers cossus de la capitale, un domaine avec château et haras, des bureaux et une propriété à Londres ont, entre autres, été saisis. Après la décision de mercredi, leur valeur devrait théoriquement être rendue à la Syrie dans le cadre du nouveau mécanisme de restitution des avoirs frauduleusement acquis par des dirigeants étrangers, adopté par le Parlement en 2021.Transparency international, qui avait elle aussi porté plainte en 2014, s'est félicitée dans un communiqué "de cette condamnation définitive qui ouvre le chapitre de la restitution à la population syrienne".Cette restitution, un défi de taille dans le contexte actuel du pays, pourrait être la première réalisée par la France, selon l'ONG, avant celle des biens confisqués à Teodorin Obiang.Dans la première affaire de "biens mal acquis" jugée dans l'Hexagone, le fils aîné du président de la Guinée équatoriale a été définitivement condamné en juillet 2021 à trois ans de prison avec sursis et 30 millions d'euros d'amende, pour un patrimoine estimé à 150 millions d'euros.
Il y a 2 ans et 262 jours

EDILIANS publie son premier rapport RSE

Pour la première fois en 2022, le groupe Edilians, leader français des tuiles terre cuite, affirme publiquement ses ambitions, ses objectifs et ses réalisations en matière de Responsabilité Sociétale des Entreprises dans un rapport inédit. Articulés autour de 4 piliers structurants, la stratégie et les engagements du Groupe s’illustrent notamment par des objectifs de progrès ambitieux et quantifiables pour 2025 et 2030. Engagé déjà depuis de nombreuses années dans une démarche de responsabilité sociétale, le groupe Edilians a formalisé officiellement en 2021 sa politique RSE pour orienter sa démarche et structurer ses actions. L’engagement du Groupe se déploie ainsi autour de 4 piliers structurants dévoilés dans ce premier rapport : l’environnement, l’humain, l’ancrage local et la gouvernance. Entre ambitions stratégiques, objectifs chiffrés et réalisations concrètes, les principaux chantiers en cours et à venir illustrés dans ce document visent à construire l’avenir du Groupe, et ainsi perpétuer son expertise et ses capacités d’innovation pour l’avenir. Des objectifs et engagements dévoilés Réduire de 30% nos émissions directes de CO2 par tonne produite d’ici 2030 en France : le plan de décarbonation des activités industrielles d’Edilians est sans conteste l’engagement phare que le Groupe affirme dans ce premier rapport. L’entreprise entend innover et investir pour optimiser ses procédés industriels et déploie une démarche d’amélioration continue de sa sobriété énergétique qui vise à réduire en particulier ses consommations de gaz naturel. Elle vise également à substituer les énergies fossiles par des énergies décarbonées. La certification ISO 50001 de trois de ses sites industriels en 2021 est une première concrétisation des efforts déjà initiés. Par ailleurs, la mise en service prévue en septembre 2022 d’une nouvelle centrale photovoltaïque de 27ha sur l’ancien site de Gilardoni confirme l’ambition autoconsommation du Groupe et vient s’ajouter aux autres actifs de production d’électricité verte et non polluante de l’entreprise. Côté humain, Edilians entend palier au déficit d’attractivité de la filière en poursuivant ses efforts pour améliorer les conditions de travail avec une politique santé-sécurité renforcée, mais également en investissant dans la formation et la montée en compétence de ses collaborateurs, clients et partenaires au travers notamment de l’Académie Edilians, en particulier sur les questions d’avenir telles que l’économie circulaire ou le photovoltaïque. Le Groupe s’appuie également sur sa politique d’égalité et de diversité pour attirer de nouveaux publics, notamment les femmes. Dans la continuité de son héritage historique, Edilians affirme également sa responsabilité territoriale en agissant pour le développement économique et social de ses territoires d’implantation. Avec sa présence sur 16 bassins d’emploi répartis sur le territoire, le groupe continue de recruter au plus près de ses sites industriels. Forte de son ancrage multi-local historique, l’entreprise capitalise sur son maillage unique pour offrir un modèle de développement en circuit court. En s’appuyant sur ses 12 marques au cœur des terroirs et sur ses 96 modèles de tuiles, Edilians s’engage à soutenir des projets de valorisation architecturaux, en neuf comme en rénovation, avec notamment la création depuis 2016 du Fonds de dotation « Terre, Nature et Solidarité ». Enfin, avec notamment la publication en 2020 de son code éthique et d’intégrité des affaires, s’appliquant aux collaborateurs comme aux partenaires d’affaires, Edilians entend également renforcer sa politique globale de conformité. 4 piliers, 8 engagements – Environnement : • Réduire significativement notre intensité carbone par l’amélioration continue, l’innovation et la rupture technologique • Maîtriser l’impact environnemental sur l’ensemble de la chaîne de valeur • Préserver les écosystèmes et la biodiversité – Ancrage local : • Être un industriel de référence pour le développement vertueux des territoires – Humain : • Continuer à améliorer les conditions de travail et le bien-être des collaborateurs et partenaires • S’engager pour le développement des compétences des collaborateurs • Poursuivre les efforts en faveur de la diversité et de l’égalité – Gouvernance : • Être exemplaire dans une conduite transparente et éthique des affaires Des certifications gages d’amélioration et de transparence Edilians s’est également engagé dans une démarche d’évaluation et de certification externe, l’opportunité pour le Groupe de se positionner vis-à-vis des bonnes pratiques du secteur et d’identifier les leviers de progression, tout en étant capable de fournir, à la demande de ses parties prenantes, une évaluation objective de ses actions et de ses progrès. http://www.edilians.com
Il y a 2 ans et 263 jours

3 évènements pour une rentrée archi

Morose, la rentrée ? Heureusement, le monde de l'architecture ne manque pas d'événements pour engager une année stimulante face aux profonds changements socio-environnementaux qui s'imposent. À Orléans, Marseille et Rotterdam, on refait ses valises direction un horizon résolument positif. 1. Inventer le […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 263 jours

Les "dark stores" sont bien des entrepôts, tranche le gouvernement

Le gouvernement, au terme d'une concertation avec les élus locaux, va prendre un arrêté dans les prochains jours pour mettre fin au "flou" sur les "dark stores".Dans cet arrêté à venir, "les dark stores sont considérés en termes de sous-destination comme des entrepôts, qu'il y ait ou pas un point de retrait", a indiqué la ministre déléguée au Commerce Olivia Grégoire à l'issue d'une réunion avec les élus concernés à Paris.En devenant des entrepôts, et non plus des commerces, ces lieux pourront être contraints de fermer si le Plan local d'urbanisme (PLU) interdit ce type d'activité à leur adresse.Concernant une autre activité, les "dark kitchens" qui préparent des repas qui seront ensuite livrés à domicile, "il a été acté avec les élus de créer une nouvelle catégorie spécifique", a précisé le gouvernement dans un communiqué.Fermetures administratives en vue ?Le texte devra être un "outil pour que les collectivités locales et maires puissent réguler, les interdire ou pas en fonction de leurs souhaits", a résumé Olivia Grégoire qui assure que "ce n'est pas la fin des dark stores" pour autant.Le "quick commerce", dont les grands acteurs sont Cajoo, Gorillas, Getir, Flink ou encore Gopuff, a émergé à la faveur des confinements et de l'épidémie de Covid-19 depuis 2020 et propose la livraison de produits du quotidien, semblables à ceux à la vente dans une supérette de centre-ville, en quelques minutes.Mais cette activité est critiquée par de nombreux élus à travers le monde, qui dénoncent pêle-mêle, l'arrivée de "villes-entrepôts", les nuisances pour les riverains, voire "l'économie de la flemme".En mars dernier, la mairie de Paris avait demandé la fermeture de 45 "dark stores" qui ont été "créés illégalement" dans la capitale, les services de l'urbanisme les considérant comme des entrepôts alors qu'ils s'étaient installés dans des locaux commerciaux.Mi-août, elle avait dénoncé un projet d'arrêté ministériel qui leur aurait permis d'être considérés comme des lieux de commerce ou de restauration, pour peu qu'ils disposent d'un point de collecte pour le public.Finalement, ils sont bien des entrepôts et les entreprises qui n'auront pas effectué les changements de destination des locaux seront en infraction et devront "très probablement" fermer au terme de la procédure judiciaire, selon Olivier Klein, ministre délégué à la Ville et au Logement. Des procédures qui peuvent toutefois prendre un certain temps.Les mauvais élèves "n'ont plus aucune échappatoire aujourd'hui", s'est réjoui l'adjoint à l'urbanisme à la mairie de Paris, Emmanuel Grégoire, très critique aussi vis-à-vis de leur modèle social.Activité en progressionEn France, l'activité du "quick commerce" est en progression, explique à l'AFP Emily Mayer, experte en produits de grande consommation chez IRI, avec un chiffre d'affaires global de 224 millions d'euros sur la période août 2021-juillet 2022, contre 146 millions d'euros de chiffre d'affaires sur l'année civile 2021.A noter toutefois que sur ces 224 millions d'euros de ventes, 125 sont, selon la spécialiste, réalisés par Frichti, qui fait également de la livraison de repas, mais qui a été racheté par Gorillas en mars dernier. Le Turc Getir, lui, a publié sur l'année 2021 un chiffre d'affaires de 2,4 millions d'euros, pour des pertes de 22,5 millions d'euros, comme l'avait révélé début août le média spécialisé LSA.Malgré ces chiffres peu spectaculaires - l'ensemble du secteur vendant en France l'équivalent d'un seul gros hypermarché, estimait un autre média spécialisé, Linéaires -, et malgré une difficulté nouvelle à lever des fonds auprès d'investisseurs privilégiant désormais des activités rentables à plus court terme, les spécialistes se montrent plutôt optimistes quant au fait qu'une demande existe.Dans un communiqué mardi soir à l'AFP, Gorillas préfère attendre de connaître "la teneur des arrêtés" et entend "poursuivre les échanges avec le ministère", "avant de prendre toutes décisions sur une éventuelle évolution de son modèle".
Il y a 2 ans et 263 jours

Wienerberger affiche une forte croissance au premier semestre 2022

Wienerberger constate à l’échelle du Groupe une forte progression de son chiffre d’affaires (+38%), pour atteindre 2.572 millions €, tandis que l'EBITDA opérationnel grimpe à 545 millions €, soit un bond de 79% par rapport au premier semestre 2021.Faits marquantsCroissance généralisée de Wienerberger dans toutes ses régions et secteurs d'activitéForte progression (+38%) du chiffre d'affaires, qui s’établit à 2.572 millions €EBITDA opérationnel en hausse de 79% à 545 millions €Intégration réussie des acquisitions réalisées en Europe et en Amérique du NordPerspectives pour 2022Poursuite de la croissance attendue au second semestre grâce à l'innovation et aux solutions systèmesEBITDA opérationnel prévu pour 2022 > 900 millions €Grâce à la résilience de son modèle économique, Wienerberger réalise une solide performance au premier semestre 2022 malgré un environnement difficile caractérisé par l'instabilité géopolitique, la hausse des taux d'intérêt, notamment en Europe, ainsi que l’envolée des coûts et de la dette publique qui en résulte.Pour Heimo Scheuch, PDG et président du conseil d'administration de Wienerberger AG : « Le Groupe doit son excellente performance au travail acharné de tous nos salariés et à la transformation réussie de notre modèle économique, sans oublier notre force d'innovation dans tous les secteurs où nous évoluons. Aujourd'hui, nos activités sont davantage diversifiées en matière de débouchés et de répartition géographique. Étant donnée notre forte exposition aux marchés de la rénovation et des infrastructures dans le secteur de l’eau, nous avons indiscutablement gagné en résilience. Nous sommes résolus à poursuivre sur cette voie, grâce à une stratégie de croissance éprouvée, axée sur l'innovation, les solutions système et le développement durable. Ces efforts soutenus, qui sont essentiels pour élaborer des solutions durables et économes en énergie, nous permettent de contribuer utilement à l’atteinte des objectifs climatiques. »La performance du premier semestre 2022 a bénéficié d’une forte demande, de la mise en œuvre de gains d’efficacité, d’une excellente gestion des achats et de l'intégration rapide et efficace des sociétés acquises l'année dernière, dont la contribution aux bénéfices a été substantielle.Depuis plusieurs semaines/mois, Wienerberger œuvre sans relâche pour sécuriser l'approvisionnement énergétique de ses 220 sites de production. À cette fin, l'entreprise a élaboré des plans d'urgence et travaillent en étroite collaboration avec les États. Conformément aux ambitions de notre stratégie ESG, nous accélérons notre programme d'investissements pour convertir nos usines de production à des sources d'énergie renouvelables comme l'électricité, l'hydrogène, le biogaz et le gaz de synthèse. Nous privilégions un approvisionnement énergétique local et indépendant.Performance des entités opérationnelles de WienerbergerAu cours du premier semestre 2022, Wienerberger Building Solutions a affiché des résultats extrêmement satisfaisants malgré un marché du logement en légère baisse, de - 2% à - 5%. Grâce à une forte demande et à un carnet de commandes bien rempli, l'activité Wienerberger Building Solutions a enregistré une forte croissance de son chiffre d’affaires et de ses bénéfices. Au cours des six premiers mois de l'année, le chiffre d’affaires externe a crû de 22% pour atteindre 1.358,3 millions € (2021 : 1.115,4 millions €). L'EBITDA opérationnel a grimpé de 56% pour s’établir à 341,4 millions € (2021 : 218,8 millions €) sur la même période.L’activité Wienerberger Piping Solutions continue sur sa lancée avec une croissance soutenue et d’excellents résultats au premier semestre 2022. Dans le domaine des infrastructures, l’entité opérationnelle a de nouveau enregistré une forte demande pour les systèmes « tout-en-un » associant gestion de l'eau et de l'énergie. Dans l'ensemble, le chiffre d’affaires externe généré par Wienerberger Piping Solutions a grimpé de 30% pour atteindre 742,2 millions € (2021 : 569,7 millions €), tandis que l'EBITDA opérationnel s'est amélioré de 56% pour s’établir à 92,7 millions € (2021 : 59,4 millions €).Grâce à des conditions de marché favorables, l’activité Wienerberger Amérique du Nord a de nouveau enregistré une augmentation remarquable de son chiffre d’affaires et de ses bénéfices au cours du premier semestre. On doit cet excellent résultat à une croissance interne toujours forte dans le secteur des tuyaux en plastique, à la bonne tenue du marché de la brique et à l'acquisition de Meridian Brick, dont la contribution est satisfaisante. Le chiffre d’affaires a plus que doublé pour s’établir à 470,6 millions € (2021 : 180,2 millions €) au cours de la période considérée. L'EBITDA opérationnel a atteint le niveau exceptionnel de 111,2 millions € (2021 : 26,8 millions €).Perspectives pour 2022Wienerberger anticipe un développement stable du secteur de la rénovation en 2022. Des fonds considérables sont disponibles pour améliorer l'efficacité énergétique du parc immobilier vieillissant et réduire ainsi les émissions de CO2 (Pacte vert de l'UE et autres initiatives nationales). De même, nous anticipons une évolution stable dans le secteur des infrastructures, car des fonds supplémentaires sont également disponibles pour la modernisation et la réparation des réseaux d'eau et d'énergie en Europe et en Amérique du Nord. La rénovation et l'infrastructure représentaient 51% de l'exposition totale de Wienerberger au marché en 2021. Le marché du logement neuf pâtit actuellement d’une offre insuffisante, tandis que la demande de logements reste élevée. Compte tenu d’un environnement difficile, Wienerberger anticipe un léger déclin des marchés du neuf en Europe et en Amérique du Nord au cours du second semestre. En fonction de chaque marché, cette baisse pourrait atteindre - 5%, dans la ligne droite du premier semestre.Pour Heimo Scheuch, PDG et président du conseil d'administration du groupe Wienerberger : « Nous sommes bien conscients que les marchés financiers anticipent actuellement une tendance à la récession sur l'ensemble des marchés du BTP. Cependant, nos activités sous-jacentes se portent bien. Nous n’anticipons pas d’apaisement sur le plan géopolitique au cours du second semestre, et l’incidence sur l'économie restera perceptible. Chez Wienerberger, nous sommes préparés à toute éventualité et en mesure de réagir rapidement à toute évolution du marché. Nous poursuivons donc nos investissements dans le développement de solutions novatrices et durables pour la construction, la rénovation et les infrastructures dans le domaine de l’eau. C’est en privilégiant l'innovation et les solutions systèmes que nous maintiendrons une croissance interne forte. »Wienerberger a réussi à diversifier son modèle économique ces dernières années, réalisant ainsi des gains de résilience conséquents. Grâce aux mesures mises en œuvre ces derniers mois et à la poursuite du bon développement de l'activité, Wienerberger cible en 2022 un EBITDA opérationnel > 900 millions €.Le rapport semestriel 2022 complet est disponible à l’adresse suivante : https://www.wienerberger.com/en.
Il y a 2 ans et 263 jours

Plafonds et habillages bois haut de gamme pour la rénovation de plusieurs Halls de l'aéroport Paris-Charles de Gaulle

Chaque solution, par son design et son aspect technique, a permis de répondre aux exigences qui étaient extrêmement élevées. Retour sur les enjeux de ces projets et sur les solutions livrées. Des transformations impressionnantes, pour une hospitalité aéroportuaire améliorée L'aéroport Paris-Charles vient d'être élu meilleur aéroport européen par l'organisme anglo-saxon Skytrax, en matière de qualité de l’offre de produits et de services axée sur le client. C’est donc sans surprise que le premier aéroport d’Europe fasse régulièrement l’objet de projets d’amélioration. Karine Droit-Mijoule, Architecte responsable d'agence au sein du Groupe ADP, explique : « Un aéroport est un organisme vivant : ses usages, les attentes de ses usagers et les normes auxquelles il est soumis évoluent sans cesse. Son architecture ne cesse donc d’être interrogée. » Aussi, deux des halls du Terminal 2E ont dernièrement été complètement revisités : les Hall L et K ont en effet fait l’objet de divers travaux d’aménagement, à quelques années d’intervalle. Lorsque les études pour la réhabilitation du Hall L ont été lancées en 2016, les objectifs étaient clairs : il s’agissait de gagner en satisfaction client, grâce à la qualité de l’offre globale pour les passagers. Karine Droit-Mijoule détaille : « Le but était en fait d’offrir à nos clients un espace plus en adéquation avec des standards nouveaux et avec une vision globale pour la prochaine décennie. » Les modifications qui ont été entreprises, ont donné lieu à une véritable transformation : amélioration de la lisibilité du parcours, revitalisation et désencombrement de la zone d’embarquement et amélioration de l’expérience des passagers étaient les priorités. En effet, le Terminal 2E Hall L porte les ambitions du Groupe ADP en matière d’hospitalité aéroportuaire : « Il a été réalisé avec un objectif très spécifique : celui de créer un lieu unique. Le Groupe ADP fait d’ailleurs régulièrement appel à des designers extérieurs renommés, pour mettre certains de ses espaces en valeur. » Les travaux ont été lancés en 2018. En 2016, la zone de commerce du Hall K a été l’objet d’une réhabilitation complète : « La volonté était de développer et de renouveler l’offre. De plus, l’image était obsolète : elle n’était pas en relation avec les concessionnaires luxe que l’on souhaitait attirer », explique Marc Angély, Architecte d’intérieur directeur d’agence chez le Groupe ADP. « Il y a eu un travail de recomposition de l’espace et de l’ambiance pour créer un écrin permettant aux marques de luxe, telles que Cartier, Hermès, Chanel, Dior, Tiffany ou Gucci, de s’exprimer dans le respect de leurs propres concepts. » Des solutions qui répondent aux exigences esthétiques Après trois années de travaux de réhabilitation, le Terminal 2E Hall L affiche un tout nouvel aspect : le mobilier, le sol, les murs, les éclairages et le plafond sont bien différents de ceux d’autrefois. Côté plafond, le changement est stupéfiant : d’un acier sombre, on passe à des lames blanches en bois. Conçu et fabriqué par Hunter Douglas, le nouveau plafond est en effet composé de 8.000 m2 de grilles en bois massif, avec un laquage blanc mat sélectionné parmi plusieurs échantillons de blanc proposés par le fabricant. Bien qu’étant ouvert à 50%, le défilement des lames donne l’illusion d’un plafond fermé lorsque le regard se porte au loin. Magnifiquement complété par un sol fait de béton coulé avec agrégat de marbre blanc, il permet à la zone d’embarquement d’être plus visible. Karine Droit-Mijoule commente : « Avant, cette zone était sombre : en plus du plafond acier, tout le sol était en moquette de couleur foncée. À présent, l’association du sol et du plafond crée une ligne directrice claire. » Côté mur, le bois s’exprime dans toute sa splendeur. 1.000 m 2 de lames en bois de noyer blanc, délimitées et nano-perforées, avec vernis incolore, ont été installées en remplacement de murs équipés de miroirs ; une réalisation « remarquable graphiquement parlant » pour Marc Angély. Pour compléter les nouveaux aménagements du Hall, des luminaires installés au plafond mettent en valeur les nouveaux éléments : en plus de créer un éclairage transversal, ils soulignent la ligne directrice. Une partie d’entre eux visent aussi à mettre en valeur les murs tout en harmonisant la visibilité des zones, en évitant une alternance de zones lumineuses (écrans led et enseignes) et de zones sombres (murs sans écrans). Pour Karine Droit-Mijoule, les travaux ont porté leurs fruits : « Toute l’ambiance a été refaite : entre l’agencement intérieur et les nouveaux matériaux, on a redonné de l’éclat. » Le Hall K, rénové quelques années plus tôt, bénéficie de solutions similaires : Hunter Douglas a livré 1.200 m2 de grille de plafond en bois massif à lames, dont les couleurs, blanc et marron, ont été sélectionnées parmi des échantillons réalisés pour le projet ; les lames sont superbement soulignées par un placage bois installé tel un système de nervation. Le fabricant a également fourni 650 m2 de parements muraux en bois de noyer d’Amérique ramageux avec nano-perforations. « Le système de nervation finit et accompagne le plafond ; il le rend solidaire avec l’habillage de bois qui vient draper le mail. » précise Marc Angély. Pour l’architecte d’intérieur, l’ambiance est incontestablement améliorée, le design réussi : « Auparavant, la zone était peu lumineuse ; le plafond métallique n’était plus aux standards. Pour ce qui est de l’habillage, il y a un vrai sujet de finition et une parfaite réussite à ce niveau-là : un jeu graphique est créé par les panneaux qui ne sont jamais les mêmes, et cette différence donne la vérité à l’ambiance et au matériau. » Des solutions pratiques, pour répondre aux contraintes techniques Si l’aspect esthétique était primordial pour le choix des nouveaux éléments, l’aspect pratique était également essentiel. En effet, pour les deux Halls, il était notamment nécessaire de mettre en place un faux plafond qui allait pouvoir permettre un accès aisé au plénum, pour des besoins de sécurité et de maintenance. Karine Droit-Mijoule commente : « Dans le Hall L par exemple, l’ancien plafond suspendu était composé de grilles en acier et permettait l’accès au plénum. Nous avons privilégié un nouveau plafond avec une ouverture à 50%, tout comme l’ancien ; c’est une nécessité, en particulier pour le désenfumage. » Pour ces projets, Hunter Douglas a su livrer des solutions adaptées aux contraintes techniques existantes. Compte tenu des délais stricts et de l’exploitation continue du site, le fabricant a notamment dû réutiliser la structure primaire existante avec un format de cadre spécifique, pour supporter le nouveau faux plafond du Hall L. Par ailleurs, la solution conçue permet également de remédier à une problématique posée par les trappes du projet initial. « Elles étaient trop lourdes et donc difficilement manipulables », explique Karine Droit-Mijoule, « le défi était donc de conserver des trappes ouvrantes et de les alléger. » Hunter Douglas a réalisé près de 2.500 m2 de trappes, alignées sur plusieurs rangées pour permettre à un intervenant de faire aisément l’entretien. Olivier Tordjman, Responsable Grands Comptes chez Hunter Douglas Architectural France, précise : « Pour réaliser cela, nos ingénieurs ont dû retravailler les cadres des trappes habituelles. De plus, nous avons habillé les grilles en bois sur les trappes avant livraison. » Dans le Hall K, la solution de plafond installée comprend également des trappes et répond donc aussi aux enjeux de démontabilité et d’accès. Côté revêtement mural, les solutions ont été sélectionnées pour leurs excellentes propriétés acoustiques. Olivier Tordjman précise : « Avec les nano-perforations, on atteint une valeur d’absorption acoustique de 0,90 à 0,95. » Pour Karine Droit-Mijoule les parements nano-perforés du fabricant permettent indiscutablement d’assurer un confort acoustique, elle souligne : « Dans le Hall L, bien que l’on soit passés de la moquette au sol dur, le confort acoustique s’est sensiblement amélioré. » Pour le Hall K, Marc Angély fait le même constat : « Il était nécessaire de garantir un confort acoustique d’un excellent niveau, digne d’un espace intérieur. La technologie et la capacité d’Hunter Douglas à répondre à cette problématique a été extrêmement déterminante dans le choix du produit. » Pour le Hall K, un défi supplémentaire, selon Olivier Tordjman, était posé par les hublots des façades de l’isthme : « Il fallait être extrêmement précis pour fabriquer des parements qui puissent habiller les hublots de façon parfaite. » Le bois, matériau mis à l’honneur Pour ces deux projets, Hunter Douglas a livré des solutions de plafond et de revêtement mural en bois. Pour les architectes du Groupe ADP, ce matériau représente en effet des avantages indéniables. En matière d’esthétique tout d’abord. Le bois est réputé pour la chaleur qu’il dégage. « Il s’agit d’un matériau très enveloppant qui fait sens dans un intérieur», affirme Marc Angély, « de plus, historiquement le Terminal 2E travaille énormément avec le bois ; nous avons un fil conducteur avec l’utilisation du noyer, une essence un peu signature du Groupe ADP, aussi employé dans le Hall M. » En matière de propriétés mécaniques ensuite. L’architecte Responsable d’agence souligne notamment la résistance du matériau : « Nous savions que le plafond allait être soumis à plusieurs opérations d’entretien, ce qui signifiait donc des démontages et remontages réguliers. Or, le bois est un matériau plus résistant que l’aluminium, il n’y a donc pas de risque de déformation. » L’enjeu environnemental a également joué un rôle dans le choix des solutions. Karine Droit-Mijoule explique : « C’est le gros défi lancé par la RE2020. Nous prenons tout cela très au sérieux depuis plusieurs années déjà, mais il est certain que l’enjeu environnemental est de plus en plus important. » Marc Angély confirme : « Le Groupe ADP a pour ambition un objectif 2050 à 0 émissions carbone. Les normes environnementales, dans le traitement du placage, des colles, etc., tout cela entre en compte. Il faut donc que nos fournisseurs proposent des solutions adaptées. » Hunter Douglas Architectural : des services et une offre de qualité Pour les deux architectes, l’accompagnement de l’entreprise sur ces projets était extrêmement important. Un prérequis pour permettre de développer rapidement des solutions optimales : « La collaboration étroite avec Hunter Douglas nous a permis de visualiser non seulement les aspects esthétiques, mais aussi les aspects techniques », explique Karine Droit-Mijoule, « et ce, via des prototypes et échantillons. Ceci nous a permis de très vite valider notre choix. » Marc Angély confirme : « La collaboration a été extrêmement fructueuse car Hunter Douglas nous a permis d’aller au bout des ambitions en termes de qualité. On a eu la possibilité de choisir ce qui nous convenait. Le fabricant a en effet organisé une visite aux Pays-Bas, pour permettre au designer de faire son choix parmi différents lots, puis d’en réserver le nombre nécessaire. Pour Karine Droit-Mijoule et Marc Angély, l’entreprise a pu démontrer son savoir-faire sur ces projets. L’architecte d’intérieur explique : « L’offre de produits nous a permis de trouver des solutions et de réaliser des aménagements et ambiances intérieurs de très grande qualité. » Pour la façade notamment, Hunter Douglas a su développer un produit permettant de balayer les craintes du designer : « Étant quasi invisible, la nano-perforation ne remet absolument pas en cause la vérité du bois, de la veine. Tout cela m’a beaucoup satisfait. » C’est justement la qualité des produits mis en place dans le Hall K qui a orienté le choix de Karine Droit-Mijoule : « Le retour positif du projet avec Hunter Douglas développé dans ce Hall a permis de s'orienter vers la même gamme de produit, même si les concepts étaient différents. » La capacité du fabricant à proposer des solutions capables de remédier à des problématiques techniques est également fortement appréciée. « Il y a une réelle expertise technique qui mérite d’être saluée », conclut Marc Angély. En fournissant des systèmes de plafonds et de revêtements muraux en bois pour l’aéroport Paris-Charles de Gaulles, Hunter Douglas Architectural démontre une fois de plus sa capacité à concevoir et fabriquer des solutions capables de répondre aux exigences les plus élevées. Pour Marc Angély comme pour Karine Droit-Mijoule, les projets menés avec le fabricant sont une réussite. Marc Angély précise : « Pour la Direction client, le Hall K du Terminal 2E est la référence en matière de qualité. Luis Vuitton vient d’y installer une boutique ; la première dans un aéroport du Groupe ADP. C’est une preuve de la réussite de ce projet et de la qualité qu’il véhicule. » Karine Droit-Mijoule conclut : « Le résultat pour les deux projets est tout à fait à la hauteur des enjeux qualitatifs que nous attendions. »
Il y a 2 ans et 263 jours

Haute-Garonne : les travaux d’aménagement du giratoire d’accès au futur collège de Castelnau-d‘Estrétefonds sont achevés.

À Castelnau-d'Estrétefonds (Haute-Garonne), le chantier d’aménagement du carrefour giratoire menant vers le futur collège de la commune a pris fin.
Il y a 2 ans et 263 jours

Hérault : le domaine agricole de Mirabeau à Fabrègues retenu par la Mission Patrimoine de Stéphane Bern

À Fabrègues (Hérault), les fonds collectés au loto du patrimoine financeront une partie des travaux de requalification du domaine agricole de Mirabeau.
Il y a 2 ans et 264 jours

Comme à la maison : réhabilitation et extension d'un groupe scolaire dans le Vorarlberg, par Pedevilla

Morose, la rentrée ? Heureusement, le monde de l'architecture ne manque pas d'événements pour engager une année stimulante face aux profonds changements socio-environnementaux qui s'imposent. À Orléans, Marseille et Rotterdam, on refait ses valises direction un horizon résolument positif. 1. Inventer le […] Lire l'article