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Résultats de recherche pour maison individuelle

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Il y a 3 ans et 147 jours

Les carnets de commande des artisans de la construction en plein boom

"Les carnets des artisans qui fréquentent Point P (filiale de Saint-Gobain chargée du négoce de matériaux de construction, NDLR) n'ont jamais été aussi hauts", a indiqué Benoit Bazin lors de l'émission Ecorama sur Boursorama.com.L'activité du secteur du bâtiment et de la maison individuelle en France "est très forte", avec "près de 700.000 dossiers" de demande d'aide MaPrimRenov enregistrés à la fin de l'année, a-t-il ajouté."Partout dans le monde, les habitants ont considéré que leur maison était le refuge ultime, ils ont télétravaillé et donc l'épargne des ménages s'est aussi dirigée vers le bâtiment pour la rénovation-qualité de l'air contre le Covid, mais aussi pour améliorer l'efficacité énergétique" contre le réchauffement climatique, a-t-il analysé, se disant "très confiant" pour les résultats financiers du groupe au 4e trimestre et les "tendances de fonds" en 2022.Avec la hausse des prix des matières premières, le groupe, qui a augmenté ses marges de 10% en moyenne au 1er semestre, affirme avoir augmenté ses prix de 5% en moyenne par an au cours des deux dernières années.
Il y a 3 ans et 148 jours

Sto accompagne les artisans pour gagner en productivité

Au travers d'une campagne à destination des artisans, au slogan accrocheur « L'avenir appartient à ceux qui se lèvent Sto », le spécialiste de la façade – isolation thermique par l'extérieur (ITE), produits techniques et d'embellissement des façades, livre une palette d'astuces pour gagner en productivité.Des astuces pour soutenir l'activité intense d'un secteur de relance prioritairePorté par le gouvernement au travers du dispositif d'aides MaPrimeRénov' et les objectifs climatiques à atteindre, le secteur de la rénovation énergétique en maison individuelle est en pleine effervescence. Les ménages doivent également faire face à l'augmentation des prix d'énergie. Conséquence : les professionnels de l'isolation de façade par l'extérieur sont actuellement très sollicités et donc volontiers preneurs de pistes pour « faire mieux, plus vite » ; en tant que fabricant leader de l'ITE, c'est le rôle de Sto que de leur simplifier la tâche.Déployée en plusieurs volets « Je me lève Sto pour… », la campagne a démarré en septembre et durera jusqu'à la fin de l'année 2021. Les bons produits, les bons outils, les bonnes pratiques sont au cœur de la campagne. Preuve que Sto pense à tout, dans le moindre détail ! Seront ainsi à l'honneur :la création d'un appui de fenêtre parfait (tablette + appui)la réalisation d'un encadrement parfaitla réalisation d'un chaînage d'anglela réalisation d'un arrêt d'enduit parfait aux jonctions menuiseriesla réalisation d'un bandeau filantla réalisation d'un départ parfait (profil à clipser)des coupes parfaitesune interview de Benoist Catroux, formateur – animateur chez StoChaque astuce se présente sous la forme d'une checklist téléchargeable en PDF, comprenant les produits nécessaires, les bons outils et les étapes de pose, accompagnée d'une vidéo d'application.L'ensemble des astuces seront dévoilées au fur et à mesure via une communication omnicanale sur : le site internet www.sto-facade.fr, les réseaux sociaux de l'entreprise (chaîne YouTube, LinkedIn, Instagram). Des e-newsletters sont également envoyées aux clients et prospects de Sto.Par ces astuces, ces courtes vidéos, ces « listes pré-formatées » pour ne rien oublier, Sto répond aux attentes formulées par les artisans poseurs d'ITE en maison individuelle, avec toujours cette particularité propre à l'entreprise de vente directe exclusive.Focus sur les premiers produits dévoilésL'appui de fenêtre StoDeco Frame F Type AF offre une solution deux en un, tablette et appui, afin d'apporter du relief et de la protection à votre façade, en rénovation comme en neuf, quelle que soit la configuration de la fenêtre. Ce matériau minéral est un réel atout pour le confort de l'habitat avec une efficacité éprouvée contre les intempéries.L'encadrement de fenêtre StoDeco Frame Type N apporte du relief à la façade. Polyvalents, ces modèles de profils de volumétrie simple type planche s'utilisent également en partie courante pour réaliser un chaînage d'angle. Ils sont facilement ajustables directement sur le chantier à l'aide d'une scie avec lame spéciale.Le profil d´arrêt menuiserie Sto-Profil Pro avec compribande et fibre de verre intégrés permet de réaliser des raccordements étanches et durables (dormants de fenêtres et de portes, rails de volets roulants) des systèmes d'isolation de façades.
Il y a 3 ans et 149 jours

Les facteurs indispensables pour réussir la préparation de votre enduit de façade

Concrètement, des travaux de ravalement de façade doivent être planifiés au préalable compte tenu des nombreuses étapes à respecter. A savoir : le diagnostic, le traitement, l’isolation et la finition qui nécessitent à chaque fois la maîtrise de techniques spécifiques dans ce domaine. Il s’agit entre autres de la pose d’enduit constitué par un mortier, afin d’uniformiser votre revêtement et rénover votre devanture selon le design de votre rêve. De plus, il a pour finalité d’assurer la protection de votre support de façon durable contre les agressions extérieures et les intempéries. Raison pour laquelle il est préférable de faire appel à une entreprise de ravalement pour prendre en charge les opérations et garantir leur qualité. Choisir le type d’enduit idéal Dans la pratique, vous avez la possibilité d’opter pour une solution monocouche ou un procédé en multicouche qui comprend trois étapes distinctes. A commencer par l’application du gobetis qui correspond à la couche d’accrochage, essentielle pour assurer l’adhérence de la seconde couche au revêtement. Par la suite, vous pouvez entreprendre la pose d’un sous-enduit, afin de réussir à aplanir la surface de votre devanture, avant d’appliquer l’enduit de finition. Ce dernier vous permet de choisir l’aspect esthétique final de vos murs, selon le rendu souhaité et de la couleur du crépi recherchée. Cependant, il est important de considérer des éléments majeurs au préalable, car ils peuvent impacter sur le bon déroulement de votre projet. Il s’agit notamment du budget de l’ensemble de vos travaux extérieurs en vous basant sur le prix au m — de l’enduit de façade sélectionné. Ce devis se fera en fonction de différents critères, tels que : La nature du bâti (pierre, bardage en bois, brique…), Le type de matériaux utilisés, L’état des murs à rénover. Prendre en compte les éléments préalables Pour mener à bien ce type de chantier, vous devez effectivement prévoir différentes étapes, telles que : L’estimation de la surface des murs à couvrir, Le niveau de difficulté de mise en œuvre de l’enduit, selon le procédé choisi : projection mécanique ou avec technique manuelle, la préparation du chantier, la pose de l’échafaudage, le choix des produits et des matériaux requis pour le traitement, les travaux d’isolation thermique nécessaires, l’application de la protection du revêtement (façade,, mur, bardage…), les touches de finition indispensables. De la même manière, il essentiel de choisir au préalable le rendu final de l’apparence que vous souhaitez obtenir : projeté ou lissé, taloché, effet gratté, ribbé… Pareillement, vous aurez à sélectionner la couleur et les teintes adaptées à votre design pour parfaire l’aspect esthétique de votre devanture. D’autres facteurs à l’instar du type de votre bâtiment sont également pris en compte, car la particularité des interventions dépendra de cet élément. Ainsi, c’est utile de connaître si l’opération se fera sur une façade de maison individuelle, sur un mur de logement en copropriété ou celui d’un immeuble. Bref, la réalisation des travaux de ravalement de façade exige un minimum de préparation, principalement si vous aspirez à obtenir une belle finition. Ce qui implique l’importance de faire appel à une entreprise de ravalement  notamment pour vous aider à choisir le meilleur enduit de façade.
Il y a 3 ans et 149 jours

Mikit noue un partenariat pour gérer ses déchets de chantiers

Mikit, constructeur français de maisons individuelles en prêt-à-finir et Geode Environnement, s’associent pour gérer efficacement les déchets de chantiers.
Il y a 3 ans et 153 jours

Le constructeur doit chiffrer les travaux de construction quand un client veut les mener

CHANTIER. Une affaire portée en justice a rappelé que le constructeur devait indiquer le coût de travaux qu'un particulier - le client - souhaitait effectuer lui-même, dans le cadre de la construction d'une maison individuelle. Sans quoi, le constructeur devra les effectuer et les payer.
Il y a 3 ans et 155 jours

Alkern : Entre performance et durabilité

Christophe Lagrange, directeur de l’offre d’Alkern. [©Alkern] Dossier : Systèmes constructifs et isolants Interview - Ytong : Le béton cellulaire a sa carte à jouer Rencontre - Bio’bric : En pole position Interview - L’Etics, un marché important pour Edilteco Réalisation - Des produits et une usine bas carbone Savoir - Monomur : Comment isoler…sans isolant Pratique - Comment réaliser un mur en blocs béton isolants ? Il existe plusieurs solutions qui revêtent la double casquette de système constructif et isolant. Et à l’aube de la nouvelle réglementation environnementale, chacun n’hésite pas à mettre en avant ses avantages. Construire et isoler en même temps, c’est la promesse que fait Ytong avec ses solutions en béton cellulaire. Un matériau qui a une carte à jouer dans la future réglementation environnementale. A travers sa marque Bio’bric, le groupe Bouyer Leroux s’est bien implanté sur le marché de la maison individuelle et du logement collectif. L’industriel propose des solutions en briques de terre cuite pour le mur et la cloison. Depuis 20 ans, Edilteco France propose différentes solutions constructives avec notamment des Etics, des systèmes complets d’isolation thermique par l’extérieur. A Fontenay-le-Comte, Soriba a investi dans la création d’une usine pour son offre d’escaliers bas carbone. L’industriel a fait le choix de réaliser un outil industriel en adéquation avec sa solution responsable. Le principe du Monomur est ancien. Dès la fin des années 1970, plusieurs fabricants de briques commercialisent déjà des produits alvéolaires de forte épaisseur. Il faudra pourtant attendre le début des années 2000, pour que le Momomur, dans sa définition actuelle, connaisse une vraie notoriété. Pour à la fois réaliser la construction d’un bâtiment et éliminer les ponts thermiques sans ajouts d’isolants extérieurs, les blocs isolants sont souvent choisis par les promoteurs, architectes ou bailleurs sociaux. Selon leur composition, les méthodes de mise en œuvre divergent et ne nécessitent pas les mêmes attentions pour les points singuliers. Tour d’horizon avec Eric Agostini, directeur de Cogetherm. Avec ses 55 usines (53 en France et 2 en Belgique), Alkern mise sur la proximité avec ses clients. Mais pas que… Spécialisé dans la préfabrication de blocs béton, et notamment de blocs béton isolants, l’industriel développe des solutions en adéquation avec les enjeux actuels de la performance thermique, du bas carbone et de l’économie circulaire. « Notre “base line” est : Innover durablement ensemble », déclare Christophe Lagrange, directeur de l’offre d’Alkern. Avec près de 1 000 collaborateurs et 200 M€ de chiffre d’affaires, la société se focalise sur la construction verticale et horizontale (mobiliers urbains, assainissement…). « Notre chiffre d’affaires se répartit à 40 % sur le bâtiment et particulièrement la maison individuelle, à 30 % sur l’aménagement extérieur et moins de 30 % sur les travaux. » Avec ses blocs béton isolants, l’industriel estime avoir une carte à jouer en réponse à la RE 2020. « La nouvelle réglementation aura deux impacts majeurs pour nous. Elle implique une augmentation de la performance du Bbio et la prise en compte de l’impact carbone dans les calculs. Il y a différents leviers pour atteindre ces objectifs et les blocs béton sont des solutions qui permettent de traiter la performance thermique du bâtiment et qui sont par essence bas carbone. » Un bloc béton rectifié plus responsable En effet, la gamme de produits d’Alkern couvre des R allant de 0,3 à 2,11 m2.K/W, sachant que le R = 1 m2.K/W est le plus courant au niveau de la paroi. Puis, ces produits sont composés de 50 à 60 % d’air, un argument non négligeable dans la quête du bas carbone. Lire aussi : R+MuR d’Alkern : La solution de parois complète « Les blocs béton demandent peu de matière et la préfabrication permet de l’optimiser. Leur bilan carbone est alors quatre fois moins élevé qu’un mur en béton. Ils ont pratiquement le même bilan que le bois. De façon générale, les blocs maçonnés assemblés sur chantier avec une couche de mortier disposent d’un bilan carbone de 14 kg/CO2/m2. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 3 ans et 156 jours

Atex pour mousse minérale

Lafarge France a annoncé l’obtention de l’ATEX pour Airium Combles, sa mousse d’isolation bas carbone,  éligible aux différents dispositifs d’aides proposés par l’État. Airium poursuit son développement avec une nouvelle application qui répond aux attentes du marché pour un produit haut de gamme d’isolation de combles, destiné aux maisons individuelles, aux logements collectifs et aux ERP. Solution 100% minérale, la mousse ne dégage aucun COV. Avec une durée de vie équivalente à celle d’un béton, la mousse minérale isolante ne se tasse pas dans le temps et résiste aux rongeurs, ellee crée une couche d’isolation rigide qui ne bouge pas même dans un comble ouvert. Sonempreinte carbone est 50% inférieur à celle de la laine de roche soufflée.
Il y a 3 ans et 156 jours

Polystycoffre de TBS PRO : le nouveau coffre tunnel intégré RE2020 qui allie facilité et rapidité de montage

Sur le marché de la construction neuve, les coffres tunnel représentent 61% des volets installés en maisons individuelles. 71% d’entre eux sont achetés par les artisans et CMistes via les négoces et la moitié est pré-équipée d’un volet roulant. En tant qu’acteur référent de la fermeture et partenaire historique des négoces matériaux depuis près de 50 ans, TBS PRO a mené une étude auprès d’un panel de professionnels afin de connaître leurs critères d’achat pour ce type de produit. Outre l’habitude, la simplicité de mise en œuvre arrive en 1ère position. Partant de ce constat, TBS PRO lance Polystycoffre, une nouvelle gamme de coffres tunnel intégrés, alliant facilité et rapidité de pose, accessible dans tous les points de vente. Une offre « all-inclusive » Adaptée aux différents systèmes constructifs (brique, béton) en résidentiel neuf et répondant aux exigences de la RE2020, la nouvelle gamme de coffres tunnel de TBS PRO se compose de deux modèles de 800 mm à 4500 mm de large : • Polystycoffre avec un Uc de 0,6 W/m2.K • Polystycoffre T doté d’un renfort d’isolation thermique au niveau du jambage qui lui permet d’atteindre un Uc de 0,4 W/m2.K Fabriqués en polystyrène haute densité, ils bénéficient d’une bonne isolation thermique et phonique. Pour un maximum de simplicité au chiffrage et à la commande, Polystycoffre dispose de trois éléments inclus en standard, selon les dimensions, qui garantissent une rigidité optimale du coffre et une haute résistance au vent : • des renforts intégrés en aluminium, • des pattes de liaison au chaînage pour la fixation au linteau, • une patte de liaison en fonte d’aluminium pour la reprise sur la menuiserie avec solution d’adaptation aux différentes largeurs de dormant. Autant de caractéristiques qui autorisent son installation sur tous les types de baies, y compris XXL (jusqu’à 4500 mm de large et 2800 mm de haut) ! En complément, TBS PRO propose même une solution technique de coffre d’angle. Légers, rapides et faciles à poser De par leur conception, les nouveaux coffres tunnel de TBS PRO additionnent tous les avantages pour simplifier leur mise en œuvre, en un rien de temps, sur les chantiers grâce à : • leur faible poids même en grande dimension, • une sous-face avec cache rail intégré, ne nécessitant aucune recoupe en profondeur, • un rail télescopique ajustable pour assurer une parfaite étanchéité avec la menuiserie, • un volet motorisé intégré (disponible jusqu’à 3600 mm de largeur, et livré séparément au- delà), • une télécommande appairée en usine. Les maçons gagnent ainsi en productivité sans renoncer aux qualités techniques d’un produit léger et robuste. Toujours plus d’esthétique et de confort Afin d’apporter aux CMistes une offre différenciante adaptée à tous leurs projets, la gamme Polystycoffre se décline : • en 11 combinaisons de coloris en encadrement et tablier ; en blanc et gris anthracite pour la sous-face avec cache rail intégré, le tout en standard (coloris RAL en option), • avec 4 parements extérieurs au choix (béton, brique, enduit, fibragglo). Pour des maisons situées dans des zones exposées aux environnements extérieurs salins et humides, TBS PRO propose une option « haute résistance garantie bord de mer ». Ainsi traité, le tablier est disponible en deux teintes (blanc, gris anthracite), deux tailles de lames (37, 50 mm) et réalisable jusqu’à 3,5 m de largeur. Les coulisses et la lame finale sont disponibles dans tous les coloris RAL. L’ensemble bénéficie alors d’une garantie de 5 ans contre la corrosion de 0 à 10 km du bord de mer et jusqu’à 7 ans au-delà de 10 km*. En termes de confort, là encore, TBS PRO ne laisse rien au hasard. Les coffres tunnel Polystycoffre garantissent : • une occultation supérieure grâce à l’intégration dans la coulisse d’un joint co-extrudé associé à un joint brosse obscurcissant de part et d’autre, et à un profilé d’insertion breveté noir, • une grande liberté de choix de manœuvres et une compatibilité avec les solutions domotiques du marché grâce à la motorisation filaire et radio PRO-SOFT. D’une grande fiabilité (garantie 10 ans), elle dispose d’un mode slow pour un fonctionnement silencieux (en radio uniquement), • une sécurité et une longévité renforcées par des verrous automatiques de série en aluminium extrudé, revêtus de feutrine pour éviter les rayures sur les lames. Issus de la technologie brevetée TBSPRO AXIS 50, ils sont spécialement étudiés pour résister à des relevages de 25 kg et agissent comme de véritables retardateurs d’effraction. Pour apporter un meilleur confort d’été et une gestion optimale de la luminosité, une option brise-soleil est également disponible. Solution complète, esthétique, pratique et simple, avec la nouvelle gamme de coffres tunnel Polystycoffre, les négoces ont l’assurance de trouver chez TBS PRO tout ce dont ils ont besoin pour satisfaire leurs clients au plus vite. * selon les conditions précisées dans le carnet d’assistance et de garanties TBS PRO http://www.tbspro.fr/
Il y a 3 ans et 157 jours

La construction Hors-Site poursuit son développement en France mais reste en retard par rapport aux principaux pays européens

Ce baromètre[1], qui a pour ambition de devenir annuel, fait le point sur l’état d’avancement des connaissances et de l’utilisation de cette tendance constructive prometteuse. En interrogeant à la fois des utilisateurs du Hors-Site et des non-utilisateurs, ce baromètre entend mesurer l’évolution des pratiques autour de cette méthode qui a déjà conquis un certain nombre d’acteurs mais qui reste encore à déployer plus largement.Sujet aujourd’hui incontournable dans le domaine de la construction, le Hors-Site poursuit son développement en France mais reste encore loin des performances enregistrées dans les principaux pays européens. L’ACIM (Association des Construction Industrialisées et Modulaires) estime ainsi que le marché français représente en 2019 un chiffre d’affaires de 854 M€ et un effectif de 3 688 salariés pour un volume de 439 000 m² d’unités implantées. Le baromètre Hors-Site de BATIMAT, Campus Hors-Site et TBC Innovations fait le point sur le degré d’avancée des professionnels sur ce sujet.Hervé Rebollo, délégué général de l’ACIM et Pascal Chazal, CEO Campus Hors-Site étaient présents le 5 novembre dernier sur le plateau des Rendez-vous du Mondial du Bâtiment pour commenter ces résultats et présenter toutes les opportunités qu’offre le Hors-Site.Près de la moitié des professionnels interrogés ont mis en place le hors-site dans leurs projets47% des professionnels qui ont répondu à l’étude ont déjà eu recours au Hors-Site pour leur chantier. Ils privilégient, à 71%, les éléments de gros-œuvre et des projets de taille modeste (moins de 1 000 m2 pour 35% des projets).Les professionnels expérimentent le Hors-Site plutôt dans le neuf et pour les projets de logements, notamment pour du petit collectif et pour des maisons individuelles avant d’envisager de le généraliser pour leurs chantiers.« Ces chiffres sont très positifs, même si nous devons reconnaître que la France a un véritable retard à rattraper sur ce sujet comparativement aux pays anglo-saxons. » précise Hervé Rebollo.Certaines difficultés à résoudre mais des bénéfices multiples58 % des utilisateurs du Hors-Site déclarent avoir rencontré des difficultés pour mettre en place une bonne collaboration dans leur projet. 42% ont même rencontré des problèmes dans leur projet Hors-Site le plus réussi.« La difficulté provient essentiellement du fait que les projets n’incluent pas le Hors-Site dès leur conception. Cela crée des difficultés organisationnelles et de communication entre les différents intervenants. » selon Pascal Chazal.La plupart des bénéfices attendus par les professionnels utilisateurs du Hors-Site ont été dépassés par les résultats obtenus. Il est à noter toutefois que les attentes sur la baisse des coûts ne sont pas au rendez-vous pour une part des professionnels.« L’effet volume ne joue pas encore à plein sur la réduction des coûts. C’est la généralisation de son utilisation qui rendra l’usage du Hors-Site financièrement avantageux.» indique Pascal Chazal.Pour finir, 76% des utilisateurs du Hors-Site sont convaincus que la construction Hors-Site va augmenter dans les prochaines années, essentiellement dans le résidentiel et le scolaire.Le hors-site : un procédé d’avenir même pour les non-utilisateurs82% des non-utilisateurs de cette méthode pensent y avoir recours dans le futur et 71% que la part de la construction Hors-Site va augmenter dans les 12 prochains mois. Toutefois, le manque de connaissance sur les procédés (65%) et sur l’écosystème des acteurs présents sur le marché (51%) restent des freins pour un passage à l’acte.Hervé Rebollo conclut : « Il reste un important travail à faire sur la formation et la sensibilisation des différents acteurs, notamment des architectes, aux avantages du Hors-Site. Il est aussi primordial de bien faire comprendre que passer à une approche industrielle n’empêchera pas de réaliser de très beaux projets de qualité. »« Ce premier baromètre nous démontre bien que le Hors-Site est largement connu des professionnels, qu’ils soient utilisateurs ou non, et qu’ils éprouvent finalement beaucoup d’intérêt pour cette méthode constructive » indique de son côté Guillaume Loizeaud, Directeur de Batimat. Il ajoute : « S’il existe des attentes qui n’ont pas encore été comblées, il ne fait aucun doute que les avantages identifiés feront largement pencher la balance en faveur du Hors-Site. Rendez-vous est pris sur Batimat en 2022 pour découvrir les résultats de la seconde étude ainsi que les acteurs du Hors-Site. »Le hors-site sur Batimat 2022 : un dispositif d’envergureLa construction Hors-Site sera une nouvelle fois mise en lumière lors de la prochaine édition de BATIMAT, qui se déroulera du 3 au 6 octobre 2022. Un espace, trois fois plus important qu’en 2019, lui sera totalement dédié au sein du Pavillon 1 du Parc Paris Expo de la Porte de Versailles.Un nouveau "Grand Colloque" et des ateliers spécifiques seront également proposés pendant les jours du salon aux acteurs de la construction.Par ailleurs, un nouveau baromètre sera édité et les résultats dévoilés durant BATIMAT.Retrouvez l’intégralité du Baromètre Hors-Site iciRevoir l’émission « Quelles perspectives pour le secteur Hors-Site ? » ici[1] 200 répondants en juin 2021 – 42 % maîtrise d’œuvre, 41 % maîtrise d’ouvrage, 17 % fabricants.
Il y a 3 ans et 170 jours

A propos de maison individuelle, Bruno Le Maire meilleur ami des constructeurs ?

Quand la langue d’Emmanuel Wargon a fourché en octobre 2021 à propos de la maison individuelle « non-sens écologique, économique et social », c’est probablement aux maisons de constructeur qu’elle pensait. Or, pendant que tous les projecteurs de la polémique se portaient sur elle, personne pour remettre en cause, à propos de maison individuelle justement, un autre […] L’article A propos de maison individuelle, Bruno Le Maire meilleur ami des constructeurs ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 175 jours

Métal prélaqué : découvrez l'architecte lauréat du Prix Ecca 2021

RÉCOMPENSE. Le Congrès des architectes de l'Unsfa, qui s'est tenu à Rennes, fin octobre, a été l'occasion, pour l'Ecca, qui promeut le métal prélaqué, de décerner son deuxième prix annuel, à un architecte qui a revêtu une maison individuelle de ce matériau.
Il y a 3 ans et 177 jours

L’acte manqué de la ministre met l’architecte et sa psychanalyste en émoi

L’architecte Dubois a peu d’affinités avec la maison individuelle. Cela tombe bien pour Ethel Hazel, sa thérapeute, car elle non plus. De Mademoiselle X en Jane Doe, l’inspecteur Nutello revisite la carrière de l’homme de l’art. *** « La vie n’est pas une chose raisonnable. On ne peut, sauf à se mentir, la disposer devant soi […] L’article L’acte manqué de la ministre met l’architecte et sa psychanalyste en émoi est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 181 jours

Combien coûte une nouvelle toiture?

Qu’il s’agisse d’un toit à deux versants, d’un toit en croupe ou d’un toit plat : une structure de toit doit avant tout être solide afin de résister à toutes les conditions climatiques pendant de nombreuses décennies. C’est pourquoi un propriétaire d’immeuble ne devrait pas recourir à des offres bon marché en ce qui concerne le toit d’une maison. Mais combien coûte une nouvelle toiture ? Toit plat ou toit en pente : à quels coûts peut-on s’attendre ? Il est difficile de donner une réponse précise à la question « Combien coûte une nouvelle toiture ? », mais il est possible de vous donner quelques indications pour estimer le prix. Coût du nouveau toit en pente La taille du toit est toujours d’une importance décisive pour le prix. Pour un toit à deux versants, vous devez vous attendre à des coûts en moyenne de 60 euros par mètre carré pour la structure du toit en coque. À cela s’ajoutent les coûts de l’isolation thermique, qui coûtent entre 30 et 60 EUR par mètre carré de surface de toiture. Une isolation thermique efficace selon les dernières normes nécessite un investissement initial plus élevé — et permets d’économiser la plupart des coûts énergétiques. Lorsqu’il s’agit de choisir la couverture de toiture, vous pouvez le plus tourner la vis du prix : avec des coûts de 20 à 100 euros par mètre carré, ce facteur de coût a la plus grande fourchette. Le matériau que vous choisissez détermine principalement le prix réel. Si ce type de toiture vous convient, n’hésitez pas à faire appel à une entreprise de couverture expérimentée comme sur ce site : https://www.entreprise-couverture-62.fr/ . Elle saura vous donner un bon prix. Coût du nouveau toit plat Une toiture plate simple, comprenant une couche de gravier et une isolation thermique moyenne, vous coûtera environ 80 à 90 euros le mètre carré. Avec une isolation thermique aux normes, vous devrez généralement payer nettement plus de 100 euros par mètre carré. Les autres facteurs qui influencent le coût de la toiture Au moment de faire appel à une entreprise de couverture, gardez à l’esprit que les toits en pente doivent être particulièrement résistants aux intempéries. Ils sont donc plus chers. Dans l’ensemble, vous devez tenir compte des différences de prix régionales dans le secteur de l’artisanat. Si votre nouveau toit doit être érigé sur une vieille maison, les coûts de démolition de l’ancien toit sont ajoutés au prix final. Si vous souhaitez équiper votre toiture d’une lucarne et/ou d’une façade vitrée, il faut s’attendre à un prix plus élevé. Étude de cas : Combien coûte une nouvelle toiture pour une maison unifamiliale ? Une maison individuelle reçoit un toit à deux versants de 170 mètres carrés, une isolation thermique et une toiture de haute qualité. S’ajoute à cela le prix de la lucarne et de la charpente. Il faut prévoir pas moins de 27 000 euros pour avoir une nouvelle toiture. Cette somme inclut donc le remplacement de la charpente, les travaux d’isolation thermique et le remplacement de l’ancienne toiture. Économisez grâce aux subventions Les travaux d’isolation de toiture constituent un investissement colossal, mais économique. Si vous avez des revenus assez modestes, vous pouvez profiter de subvention proposée par l’ANAH (Agence Nationale de l’Habitat). Créée il y a une cinquantaine d’années, elle octroie une aide équivalente à 60 % du montant total de la rénovation de toiture.
Il y a 3 ans et 182 jours

Enquête rénovation énergétique : plus de la moitié des répondants n'envisage pas la réalisation de travaux pour leur copropriété

Mais avec la loi Climat et résilience, plus le choix ! Les copropriétés vont devoir prendre le pas de la rénovation énergétique, sous peine de se heurter à des sanctions, comme la future interdiction de location des passoires énergétiques à partir de 2025. Cette loi, promulguée le 22 août 2021, cible particulièrement la gestion locative et les copropriétés. Deux univers en interconnexion car 60% des logements dans les grandes villes sont la propriété d'investisseurs et sont donc occupés par des locataires. Face à l'urgence climatique, la rénovation énergétique globale et performante est considérée comme le seul moyen d'atteindre l'objectif de neutralité carbone en 2050.Conscient que ces obligations vont fortement impacter les copropriétés, Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, a souhaité sonder leur perception des travaux de rénovation énergétique et évaluer leur connaissance des aides. Cette enquête, réalisée en ligne entre le 15 août et le 30 septembre 2021 à laquelle 300 copropriétaires, membres et responsables de conseils syndicaux répartis sur toute la France ont répondu, laisse apparaître que la tâche est immense !Pour commenter les résultats de cette étude, Hellio a réuni, autour d'Henry Buzy- Cazaux, président fondateur de l'IMSI (Institut du management des services immobiliers), des experts du secteur des services immobiliers, dans le cadre d'une table ronde le 20 octobre 2021 : Danielle Dubrac, présidente de l'UNIS, Estelle Baron, directrice des projets Soliha, José de Juan Mateo, directeur délégué Procivis Immobilier – Réseau immo de France et Tanguy Dupont, directeur du pôle habitat collectif de Hellio.La rénovation énergétique des copropriétés : un enjeu de tailleUn enjeu réglementaireAlors que beaucoup d'assemblées générales n'ont pu se tenir ou se sont tenues à distance avec tous les freins inhérents, en raison du contexte sanitaire, les copropriétés ont pourtant la lourde tâche de s'engager sur le chemin de la rénovation énergétique et doivent expérimenter un certain nombre de réformes votées dans le cadre de la loi Climat et résilience :Un DPE devenu opposable et à double seuil (émission de CO2 et efficacité énergétique) depuis le 1er juillet 2021,Un audit énergétique obligatoire pour les logements G, F, E et D à partir de 2022 (1er janvier 2022 pour les logements de classes F ou G ; 1er janvier 2025 pour les logements de classe E ; 1er janvier 2034 pour les logements de classe D),Un échéancier sur l'interdiction de location des logements les plus énergivores (G en 2025, F en 2028, E en 2035),Un nouveau calcul du fonds travaux,Le Plan Pluriannuel de Travaux obligatoire.Concrètement, ce sont 23 millions de logements classés de G à D (habitat collectif et maisons individuelles), qui doivent être rénovés car le législateur ne s'est pas limité à l'éradication des passoires thermiques (4,8 millions).Un enjeu financierOutre l'obligation réglementaire, les charges de copropriété trimestrielles pèsent lourd dans le budget des ménages : 749 € en moyenne en 2020[1].Selon les résultats de l'enquête Hellio, près d'1 répondant sur 2 (49%) estime que le poids de l'énergie est supérieur à 20% des charges. Une proportion qui devrait encore s'accentuer dans le contexte actuel de la hausse des prix de l'énergie si aucun travaux n'est entrepris dans les copropriétés.Des obstacles à surmonterLa méconnaissance de la rénovation énergétiqueLe premier enseignement de l'enquête réalisée par Hellio est la méconnaissance des copropriétés sur plusieurs sujets étroitement liés à la rénovation énergétique.50% des répondants ne connaissent pas l'étiquette énergétique de leur copropriété et seuls 15% estiment l'avoir prise en compte lors de leur achat. Pourtant, l'énergie devient de plus en plus une composante à prendre en compte. Cette prise en considération devrait logiquement évoluer avec la future interdiction de location des passoires énergétiques à partir de 2025 : la valeur verte aura une influence sur le prix de vente d'un bien immobilier et sur sa location. Mais face à cette future interdiction, le risque est que certains copropriétaires bailleurs envisagent plutôt de vendre, à l'image de Brigitte :« J'ai pris la décision de mettre en vente mon appartement parce qu'il y a trop de contraintes sans aucune information autour. J'aime les choses claires, on m'informe, je prends une décision. Aujourd'hui je n'ai pas d'information, c'est compliqué, je vends ! ».À la question « Connaissez-vous la rénovation globale en copropriété ? », près de 3/4 des répondants ont répondu par la négative.Même constat du côté des aides à la rénovation globale : 70% ne les connaissent pas. Des résultats peu surprenants puisque la rénovation globale est un axe du gouvernement depuis peu, MaPrimeRénov' copropriétés ayant été lancée il y a moins d'un an.Les freins pour faire voter les travaux de rénovation énergétiqueConséquence directe de la méconnaissance, convaincre les copropriétaires d'investir dans des travaux ambitieux n'est pas une tâche aisée ! Les copropriétaires prennent trop peu souvent la décision d'engager des travaux de rénovation énergétique sauf pour des motifs financiers : la baisse des charges pour 78% des répondants et la valeur du bien pour 69%. Ces résultats confirment bien que l'immobilier est le 1er poste d'investissement des Français.Les solutions pour surmonter les obstaclesL'accompagnement des syndicsAu coeur du processus de décision, les syndics ont un rôle clé à jouer. Cependant, 82% des répondants déclarent ne pas avoir eu de recommandations sur les travaux de rénovation énergétique pour leur copropriété de la part de leur syndic professionnel.« Il nous faut des partenaires qui finalement gèrent pour nous toute la partie en amont du vote des travaux. Une fois que tout est géré avec le montant des travaux, les éventuelles aides qu'on peut avoir, le reste à charge, ça nous permet de pouvoir présenter en AG et là en général, c'est bien construit, ça passe ! Mais sans aide et sans de bons partenaires, on n'y arrive pas ! », témoigne Emmanuelle Thomas, gestionnaire de copropriétés au sein du Cabinet Thomas.Bien que le syndic soit là pour permettre aux copropriétaires d'avoir une vision plus longue (ils sont propriétaires de leur bien pendant 7 ans en moyenne), le besoin d'accompagnement est prépondérant pour leur apporter des préconisations et mobiliser les aides disponibles. Des conditions sine qua non pour convaincre les copropriétaires de passer à l'acte.Un constat partagé par Danielle Dubrac, présidente de l'UNIS, qui confirme que les syndics doivent être accompagnés par des professionnels maîtrisant les aides afin de faire prendre la bonne décision au bon moment lors des assemblées générales. D'autant plus que l'année qui vient de s'écouler a été une année blanche, sans gros postes de travaux votés.La rénovation globaleLa priorité politique donnée à la rénovation énergétique des copropriétés se heurte à une demande de travaux insuffisamment stimulée. 53% des répondants n'envisagent pas la réalisation de travaux de rénovation énergétique pour leur copropriété et 50% ne comptent pas réaliser la rénovation globale alors que c'est l'une des solutions face à l'obligation de rénover les passoires énergétiques à partir de 2025. De plus, grâce à la rénovation globale, les copropriétés pourraient réduire le montant des charges liées à l'énergie de 15% minimum[2].Pour ceux qui la projettent, elle n'est envisagée qu'à long terme pour 19% (4 ans et plus) des répondants. Il y a pourtant urgence car les délais de prise de décision des copropriétés sont longs. Selon Hellio, le temps moyen de réalisation d'une rénovation globale est de 3 ans.L'étude réalisée par Hellio laisse, toutefois, entrevoir des perspectives encourageantes. Lorsque les copropriétaires sont informés, ils identifient l'isolation thermique par l'extérieur comme le poste de travaux le plus efficace pour réaliser le plus d'économies d'énergie (48%).« Accompagner un projet d'isolation et de ravalement, par exemple, d'une réflexion globale sur les autres travaux à envisager permettrait aux copropriétaires de bénéficier d'aides plus importantes grâce à la rénovation globale, tout en réalisant davantage d'économies d'énergie », souligne Tanguy Dupont, directeur des solutions Hellio pour l'Habitat Collectif.La rénovation globale arrive en 4ème position du top 10 des travaux de rénovation énergétique cités. Un signal positif témoignant d'un début de prise de conscience.Le concept de rénovation globale est accepté par tous les intervenants du débat même si certains ne l'envisagent pas comme une solution de massification.Pour Estelle Baron, directrice des projets Soliha, cette démarche ambitieuse laisse trop de résidences de côté (notamment les petites) et doit passer par un audit solide qui permet de voir jusqu'où il est possible d'aller au regard de la typologie des copropriétaires. Une rénovation par étape peut être plus appropriée dans certaines copropriétés, d'autant qu'il ne faut pas oublier les autres postes de travaux d'entretien à réaliser, en particulier dans les copropriétés fragiles et en difficulté.Pour José de Juan Mateo, directeur délégué Procivis Immobilier, Réseau Immo de France, la marche est trop haute ! Il doute de la capacité de la plupart des résidences d'atteindre les 35% minimum de gains énergétiques requis pour bénéficier de MaPrimeRénov' copropriétés. C'est la raison pour laquelle il milite pour un abaissement du seuil à 20%. On retiendra la phrase de José de Juan Mateo qui a travaillé sur le sujet avec Procivis Lab' : « Le mieux est l'ennemi du bien ! ».Faire émerger les instruments de financement pour la rénovation globalePlus économique au final, une rénovation globale et performante est aussi plus difficile à faire voter car la décision est prise sur la base d'un coût global.Le rapport Sichel a chiffré en moyenne le coût de la rénovation par logement à 15 000 € en habitat collectif, un montant sous-estimé selon les intervenants. Il n'en reste pas moins que 75% des répondants de l'enquête Hellio se disent prêts à allouer 5 000 € aux travaux de rénovation énergétique, soit le montant moyen du reste à charge par copropriétaire d'une rénovation globale après déduction des aides (MaPrimeRénov', CEE), selon Hellio.« MaPrimeRénov copropriétés permet de financer 25% du montant des travaux, à condition d'atteindre les 35% minimum de gains énergétiques. Á cela s'ajoutent les Certificats d'Économies d'Énergie, une aide privée financée par fournisseurs d'énergie, à hauteur de 10 à 20% du montant des travaux », détaille Tanguy Dupont.Mais la majorité des répondants ne connaissent pas les aides à la rénovation globale, preuve d'un besoin de simplification pour les rendre plus accessibles et en faire un élément déclencheur.Se pose aussi la question du financement du reste à charge des ménages les plus modestes et les plus âgés qui rencontrent le problème d'accès au crédit. Les banques montrent peu d'appétence pour le financement de la rénovation énergétique, jugée peu rentable au regard des contraintes techniques imposées, même si l'appréhension de ces dispositifs par les banques évolue positivement, avec notamment l'instauration du prêt avance rénovation à partir du 1er janvier 2022.La proposition de Hellio : expérimenter le modèle d'accompagnement proposé par France Stratégie, un opérateur ensemblier agréé par l'Etat qui proposerait une solution de tiers financementCes « opérateurs ensembliers », entreprises privées ou des sociétés d'économie mixtes sélectionnées par les autorités publiques établiraient le diagnostic de performance énergétique du logement et la rentabilité anticipée de l'opération. Ils avanceraient le financement des travaux et les réaliseraient puis se rembourseraient mensuellement sur la baisse de la facture énergétique, en captant 3/4 des économies. Labellisés et adossés à une garantie publique, ils devront gagner la confiance des ménages qui n'auraient, eux, aucun frais à avancer.Le schéma du financement est inédit : faire porter le financement sur l'opérateur, qui se rembourse et génère la marge de son contrat de prestation à partir des économies d'énergie réalisées. L'opérateur se porte dès lors garant de ces économies, via un Contrat de Performance Énergétique (CPE).La source de financement pourrait provenir de fonds spécialisés, des green bonds, par exemple. Le dispositif serait par ailleurs sécurisé par une garantie publique. A noter : l'opérateur se finançant sur les économies d'énergie aurait la bonne incitation pour accompagner le ménage, le former et l'aider à réaliser les économies qui ne dégradent pas son confort.En conclusion, les intervenants s'accordent à dire que cette solution est intéressante mais que cela ne peut être qu'un outil parmi d'autres car elle ne répond pas à tous les types de copropriétés (petites tailles, centres anciens, copropriétés où le chauffage n'est pas collectif, etc.).« Je trouve qu'on a mis en avant des problèmes mais aussi beaucoup de solutions sur la base de ce que pensent les propriétaires et les professionnels sur le terrain. On n'a pas négligé la réalité, elle nous a servi de tremplin pour ce débat », conclut Henry Buzy-Cazaux.[1]https://www.pap.fr/actualites/copropriete-les-charges-reculent-de-2-en-2019-2020/a22439[2] Calcul basé sur une dépense énergétique de 400 € par an.
Il y a 3 ans et 182 jours

Enquête rénovation énergétique : 53% des répondants n'envisagent pas la réalisation de travaux pour leur copropriété

Mais avec la loi Climat et résilience, plus le choix ! Les copropriétés vont devoir prendre le pas de la rénovation énergétique, sous peine de se heurter à des sanctions, comme la future interdiction de location des passoires énergétiques à partir de 2025. Cette loi, promulguée le 22 août 2021, cible particulièrement la gestion locative et les copropriétés. Deux univers en interconnexion car 60% des logements dans les grandes villes sont la propriété d'investisseurs et sont donc occupés par des locataires. Face à l'urgence climatique, la rénovation énergétique globale et performante est considérée comme le seul moyen d'atteindre l'objectif de neutralité carbone en 2050.Conscient que ces obligations vont fortement impacter les copropriétés, Hellio, acteur de référence de la maîtrise de l'énergie, a souhaité sonder leur perception des travaux de rénovation énergétique et évaluer leur connaissance des aides. Cette enquête, réalisée en ligne entre le 15 août et le 30 septembre 2021 à laquelle 300 copropriétaires, membres et responsables de conseils syndicaux répartis sur toute la France ont répondu, laisse apparaître que la tâche est immense !Pour commenter les résultats de cette étude, Hellio a réuni, autour d'Henry Buzy- Cazaux, président fondateur de l'IMSI (Institut du management des services immobiliers), des experts du secteur des services immobiliers, dans le cadre d'une table ronde le 20 octobre 2021 : Danielle Dubrac, présidente de l'UNIS, Estelle Baron, directrice des projets Soliha, José de Juan Mateo, directeur délégué Procivis Immobilier – Réseau immo de France et Tanguy Dupont, directeur du pôle habitat collectif de Hellio.La rénovation énergétique des copropriétés : un enjeu de tailleUn enjeu réglementaireAlors que beaucoup d'assemblées générales n'ont pu se tenir ou se sont tenues à distance avec tous les freins inhérents, en raison du contexte sanitaire, les copropriétés ont pourtant la lourde tâche de s'engager sur le chemin de la rénovation énergétique et doivent expérimenter un certain nombre de réformes votées dans le cadre de la loi Climat et résilience :Un DPE devenu opposable et à double seuil (émission de CO2 et efficacité énergétique) depuis le 1er juillet 2021,Un audit énergétique obligatoire pour les logements G, F, E et D à partir de 2022 (1er janvier 2022 pour les logements de classes F ou G ; 1er janvier 2025 pour les logements de classe E ; 1er janvier 2034 pour les logements de classe D),Un échéancier sur l'interdiction de location des logements les plus énergivores (G en 2025, F en 2028, E en 2035),Un nouveau calcul du fonds travaux,Le Plan Pluriannuel de Travaux obligatoire.Concrètement, ce sont 23 millions de logements classés de G à D (habitat collectif et maisons individuelles), qui doivent être rénovés car le législateur ne s'est pas limité à l'éradication des passoires thermiques (4,8 millions).Un enjeu financierOutre l'obligation réglementaire, les charges de copropriété trimestrielles pèsent lourd dans le budget des ménages : 749 € en moyenne en 2020[1].Selon les résultats de l'enquête Hellio, près d'1 répondant sur 2 (49%) estime que le poids de l'énergie est supérieur à 20% des charges. Une proportion qui devrait encore s'accentuer dans le contexte actuel de la hausse des prix de l'énergie si aucun travaux n'est entrepris dans les copropriétés.Des obstacles à surmonterLa méconnaissance de la rénovation énergétiqueLe premier enseignement de l'enquête réalisée par Hellio est la méconnaissance des copropriétés sur plusieurs sujets étroitement liés à la rénovation énergétique.50% des répondants ne connaissent pas l'étiquette énergétique de leur copropriété et seuls 15% estiment l'avoir prise en compte lors de leur achat. Pourtant, l'énergie devient de plus en plus une composante à prendre en compte. Cette prise en considération devrait logiquement évoluer avec la future interdiction de location des passoires énergétiques à partir de 2025 : la valeur verte aura une influence sur le prix de vente d'un bien immobilier et sur sa location. Mais face à cette future interdiction, le risque est que certains copropriétaires bailleurs envisagent plutôt de vendre, à l'image de Brigitte :« J'ai pris la décision de mettre en vente mon appartement parce qu'il y a trop de contraintes sans aucune information autour. J'aime les choses claires, on m'informe, je prends une décision. Aujourd'hui je n'ai pas d'information, c'est compliqué, je vends ! ».À la question « Connaissez-vous la rénovation globale en copropriété ? », près de 3/4 des répondants ont répondu par la négative.Même constat du côté des aides à la rénovation globale : 70% ne les connaissent pas. Des résultats peu surprenants puisque la rénovation globale est un axe du gouvernement depuis peu, MaPrimeRénov' copropriétés ayant été lancée il y a moins d'un an.Les freins pour faire voter les travaux de rénovation énergétiqueConséquence directe de la méconnaissance, convaincre les copropriétaires d'investir dans des travaux ambitieux n'est pas une tâche aisée ! Les copropriétaires prennent trop peu souvent la décision d'engager des travaux de rénovation énergétique sauf pour des motifs financiers : la baisse des charges pour 78% des répondants et la valeur du bien pour 69%. Ces résultats confirment bien que l'immobilier est le 1er poste d'investissement des Français.Les solutions pour surmonter les obstaclesL'accompagnement des syndicsAu coeur du processus de décision, les syndics ont un rôle clé à jouer. Cependant, 82% des répondants déclarent ne pas avoir eu de recommandations sur les travaux de rénovation énergétique pour leur copropriété de la part de leur syndic professionnel.« Il nous faut des partenaires qui finalement gèrent pour nous toute la partie en amont du vote des travaux. Une fois que tout est géré avec le montant des travaux, les éventuelles aides qu'on peut avoir, le reste à charge, ça nous permet de pouvoir présenter en AG et là en général, c'est bien construit, ça passe ! Mais sans aide et sans de bons partenaires, on n'y arrive pas ! », témoigne Emmanuelle Thomas, gestionnaire de copropriétés au sein du Cabinet Thomas.Bien que le syndic soit là pour permettre aux copropriétaires d'avoir une vision plus longue (ils sont propriétaires de leur bien pendant 7 ans en moyenne), le besoin d'accompagnement est prépondérant pour leur apporter des préconisations et mobiliser les aides disponibles. Des conditions sine qua non pour convaincre les copropriétaires de passer à l'acte.Un constat partagé par Danielle Dubrac, présidente de l'UNIS, qui confirme que les syndics doivent être accompagnés par des professionnels maîtrisant les aides afin de faire prendre la bonne décision au bon moment lors des assemblées générales. D'autant plus que l'année qui vient de s'écouler a été une année blanche, sans gros postes de travaux votés.La rénovation globaleLa priorité politique donnée à la rénovation énergétique des copropriétés se heurte à une demande de travaux insuffisamment stimulée. 53% des répondants n'envisagent pas la réalisation de travaux de rénovation énergétique pour leur copropriété et 50% ne comptent pas réaliser la rénovation globale alors que c'est l'une des solutions face à l'obligation de rénover les passoires énergétiques à partir de 2025. De plus, grâce à la rénovation globale, les copropriétés pourraient réduire le montant des charges liées à l'énergie de 15% minimum[2].Pour ceux qui la projettent, elle n'est envisagée qu'à long terme pour 19% (4 ans et plus) des répondants. Il y a pourtant urgence car les délais de prise de décision des copropriétés sont longs. Selon Hellio, le temps moyen de réalisation d'une rénovation globale est de 3 ans.L'étude réalisée par Hellio laisse, toutefois, entrevoir des perspectives encourageantes. Lorsque les copropriétaires sont informés, ils identifient l'isolation thermique par l'extérieur comme le poste de travaux le plus efficace pour réaliser le plus d'économies d'énergie (48%).« Accompagner un projet d'isolation et de ravalement, par exemple, d'une réflexion globale sur les autres travaux à envisager permettrait aux copropriétaires de bénéficier d'aides plus importantes grâce à la rénovation globale, tout en réalisant davantage d'économies d'énergie », souligne Tanguy Dupont, directeur des solutions Hellio pour l'Habitat Collectif.La rénovation globale arrive en 4ème position du top 10 des travaux de rénovation énergétique cités. Un signal positif témoignant d'un début de prise de conscience.Le concept de rénovation globale est accepté par tous les intervenants du débat même si certains ne l'envisagent pas comme une solution de massification.Pour Estelle Baron, directrice des projets Soliha, cette démarche ambitieuse laisse trop de résidences de côté (notamment les petites) et doit passer par un audit solide qui permet de voir jusqu'où il est possible d'aller au regard de la typologie des copropriétaires. Une rénovation par étape peut être plus appropriée dans certaines copropriétés, d'autant qu'il ne faut pas oublier les autres postes de travaux d'entretien à réaliser, en particulier dans les copropriétés fragiles et en difficulté.Pour José de Juan Mateo, directeur délégué Procivis Immobilier, Réseau Immo de France, la marche est trop haute ! Il doute de la capacité de la plupart des résidences d'atteindre les 35% minimum de gains énergétiques requis pour bénéficier de MaPrimeRénov' copropriétés. C'est la raison pour laquelle il milite pour un abaissement du seuil à 20%. On retiendra la phrase de José de Juan Mateo qui a travaillé sur le sujet avec Procivis Lab' : « Le mieux est l'ennemi du bien ! ».Faire émerger les instruments de financement pour la rénovation globalePlus économique au final, une rénovation globale et performante est aussi plus difficile à faire voter car la décision est prise sur la base d'un coût global.Le rapport Sichel a chiffré en moyenne le coût de la rénovation par logement à 15 000 € en habitat collectif, un montant sous-estimé selon les intervenants. Il n'en reste pas moins que 75% des répondants de l'enquête Hellio se disent prêts à allouer 5 000 € aux travaux de rénovation énergétique, soit le montant moyen du reste à charge par copropriétaire d'une rénovation globale après déduction des aides (MaPrimeRénov', CEE), selon Hellio.« MaPrimeRénov copropriétés permet de financer 25% du montant des travaux, à condition d'atteindre les 35% minimum de gains énergétiques. Á cela s'ajoutent les Certificats d'Économies d'Énergie, une aide privée financée par fournisseurs d'énergie, à hauteur de 10 à 20% du montant des travaux », détaille Tanguy Dupont.Mais la majorité des répondants ne connaissent pas les aides à la rénovation globale, preuve d'un besoin de simplification pour les rendre plus accessibles et en faire un élément déclencheur.Se pose aussi la question du financement du reste à charge des ménages les plus modestes et les plus âgés qui rencontrent le problème d'accès au crédit. Les banques montrent peu d'appétence pour le financement de la rénovation énergétique, jugée peu rentable au regard des contraintes techniques imposées, même si l'appréhension de ces dispositifs par les banques évolue positivement, avec notamment l'instauration du prêt avance rénovation à partir du 1er janvier 2022.La proposition de Hellio : expérimenter le modèle d'accompagnement proposé par France Stratégie, un opérateur ensemblier agréé par l'Etat qui proposerait une solution de tiers financementCes « opérateurs ensembliers », entreprises privées ou des sociétés d'économie mixtes sélectionnées par les autorités publiques établiraient le diagnostic de performance énergétique du logement et la rentabilité anticipée de l'opération. Ils avanceraient le financement des travaux et les réaliseraient puis se rembourseraient mensuellement sur la baisse de la facture énergétique, en captant 3/4 des économies. Labellisés et adossés à une garantie publique, ils devront gagner la confiance des ménages qui n'auraient, eux, aucun frais à avancer.Le schéma du financement est inédit : faire porter le financement sur l'opérateur, qui se rembourse et génère la marge de son contrat de prestation à partir des économies d'énergie réalisées. L'opérateur se porte dès lors garant de ces économies, via un Contrat de Performance Énergétique (CPE).La source de financement pourrait provenir de fonds spécialisés, des green bonds, par exemple. Le dispositif serait par ailleurs sécurisé par une garantie publique. A noter : l'opérateur se finançant sur les économies d'énergie aurait la bonne incitation pour accompagner le ménage, le former et l'aider à réaliser les économies qui ne dégradent pas son confort.En conclusion, les intervenants s'accordent à dire que cette solution est intéressante mais que cela ne peut être qu'un outil parmi d'autres car elle ne répond pas à tous les types de copropriétés (petites tailles, centres anciens, copropriétés où le chauffage n'est pas collectif, etc.).« Je trouve qu'on a mis en avant des problèmes mais aussi beaucoup de solutions sur la base de ce que pensent les propriétaires et les professionnels sur le terrain. On n'a pas négligé la réalité, elle nous a servi de tremplin pour ce débat », conclut Henry Buzy-Cazaux.[1]https://www.pap.fr/actualites/copropriete-les-charges-reculent-de-2-en-2019-2020/a22439[2] Calcul basé sur une dépense énergétique de 400 € par an.
Il y a 3 ans et 184 jours

Les aménageurs demandent des "états généraux du cadre de vie"

POLITIQUE. Plutôt que des assises focalisées sur la question foncières, l'Unam demande, dans le cadre des débats de la présidentielle, que soient lancés des "états généraux du cadre de vie" qui couvrent tous les sujets, de l'acte de construire à l'aménagement du territoire. Le tout, sans stigmatiser la maison individuelle.
Il y a 3 ans et 188 jours

Les propositions de plusieurs candidats à l’élection présidentielle pour résoudre la crise du logement

Anne Hidalgo veut décentraliser les investissements publics dans le logementLa candidate socialiste souhaite attribuer une partie des fonds du plan de relance au logement et miser sur la "décentralisation des investissements"."Si je suis présidente de la République, je reprends ce plan de relance et je mets le paquet sur l'investissement dans la construction de logements et dans la lutte contre les passoires thermiques à travers les collectivités locales", a affirmé la maire de Paris.Arnaud Montebourg: accompagner un "retour à la terre"Le candidat de la "Remontada" propose qu'un "préfet constructeur" puisse répondre, dans chaque département aux besoins en logement insatisfaits.Il souhaite également accompagner un "retour à la terre" pour "10 millions de Français qui rêvent de quitter les métropoles", d'après lui.Il propose que l'Etat acquière à faibles coûts des logements anciens pour les attribuer gratuitement à "ceux qui rêvent de quitter les métropoles", pour qu'ils puissent les rénover eux-même.Fabien Roussel: 10 milliards d'euros sur 5 ans pour la rénovation énergétiqueLe candidat du Parti communiste propose d'investir 10 milliards d'euros sur cinq ans pour engager un plan de rénovation énergétique des maisons et des logements collectifs.Il a affirmé le "droit de se loger pour tous" et notamment de construire des maisons individuelles, après une polémique en fin de semaine dernière autour de propos de la ministre du logement Emmanuelle Wargon - qui avait qualifié les maisons individuelles de "non sens écologique, économique et social"."Les mairies doivent avoir les moyens de donner des permis de construire; huit personnes sur 10 que je reçois dans ma permanence viennent pour des problèmes de logement", s'est justifié le candidat communiste pour expliquer pourquoi revenir sur l'objectif de zéro artificialisation nette des sols.Yannick Jadot: 10 milliards d'euros pour le logementLe candidat des écologistes a rappelé son programme prévoyant un plan d'investissement dont 10 milliards seraient consacrés au logement et au bâtiment.Il a également évoqué une "prise en charge globale des frais de rénovations de logements" pour 1,7 millions de familles les plus pauvres.Marine Le Pen: "priorité nationale" pour l'accès au logementLa candidate du Rassemblement national prévoit d'accorder la priorité nationale pour l'accès au logement social.Réduire la crise du logement passe par le "rétablissement de la sécurité" qui doit freiner la réticence des maires à construire des logements sociaux face au "risque de communautarisation", a-t-elle argumenté.Valérie Pécresse: "lutter contre l'enfer bureaucratique" dans le logementLa candidate à l'investiture Les Républicains a déclaré vouloir "lutter contre l'enfer bureaucratique" pour diminuer les contraintes administratives qui pèsent sur la construction."Je mettrai en place un comité de la hache qui devra réduire de moitié les codes juridiques" a-t-elle affirmé.La Présidente de la région Ile-de-France souhaite également généraliser les prêts à taux zéro pour les primo-accédants en fonction de leurs revenus et des prix de l'immobilier sur le territoire français.Xavier BertrandLe candidat à l'investiture Les Républicains souhaite revenir sur l'objectif de zéro artificialisation nette des sols et baisser les impôts sur la production.
Il y a 3 ans et 188 jours

Le gouvernement dévoile un dispositif simplifié pour faciliter la rénovation énergétique des logements privés

Davantage de "lisibilité" et de "simplicité", c'est l'objectif de la refonte du dispositif, souligne-t-on au ministère du Logement.La ministre Emmanuelle Wargon sera vendredi dans le Loiret pour présenter le nouveau "service public unique" destiné à "guider les Français dans leurs travaux de rénovation énergétique", baptisé France Rénov'.Cela prendra la forme, à partir du 1er janvier 2022, d'une plateforme internet (france-renov.gouv.fr) et d'un numéro de téléphone (0.808.800.700) uniques, ainsi que d'un réseau unifié d'espaces conseil réparti sur toute la France.Ce dernier s'appuiera sur le réseau actuel de quelque 450 guichets tenus par l'Anah (Agence nationale de l'habitat) et "va continuer de grandir en lien avec les collectivités locales et avec le financement du programme de certificats d'économie d'énergie", souligne le ministère.Dès l'année prochaine également, les personnes intéressées pourront être suivies, de l'état des lieux à la réception des travaux, par un "accompagnateur Rénov'" pour "répondre à la demande des ménages qui, trop souvent, ne savent pas vers qui se tourner pour obtenir des réponses neutres et qui redoutent les pratiques abusives et les malversations", souligne le ministère dans le dossier de presse.Dans un premier temps, il s'agira d'agents de l'Anah et du réseau FAIRE (Faciliter, Accompagner et Informer à la Rénovation Énergétique) coordonné par l'Ademe (Agence de la transition écologique). Puis dans la deuxième partie de l'année la fonction s'ouvrira à des tiers du privé, dont l'activité sera encadrée par un décret attendu au printemps prochain.Dès 2022, les aides seront aussi renforcées. Le gouvernement avait déjà annoncé qu'une nouvelle enveloppe de deux milliards d'euros serait consacrée à MaPrimeRénov', dispositif pour lequel 500.000 dossiers ont été déposés en 2021."MaPrimRénov' Sérénité" va remplacer le programme "Habiter mieux" à destination des ménages les plus modestes, pour capitaliser sur la "marque" désormais bien identifiée par les Français. Avec pour cible principale les 4,8 millions de "passoires thermiques", logements "en grande partie" occupés par les plus modestes.Pour s'attaquer à ces logements privés mal notés dans les dix prochaines années, "il faudrait traiter, chaque année, 290.000 maisons individuelles et 9.500 copropriétés", note le ministère.Est prévue également la création du "Prêt avance rénovation" pour financer le reste à charge des travaux de rénovation, avec une garantie apportée par l'Etat pour les ménages les plus modestes.
Il y a 3 ans et 188 jours

NOUVEAUTÉ FIBERDECK : BARDAGE WEO®60 Un bardage en bois composite coextrudé à faux claire-voie contemporain et durable

Si le bardage offre un rendu esthétique aux façades, il améliore également l’efficacité énergétique du bâtiment et renforce son confort thermique. Incité par les dernières réglementations thermiques, acoustiques et au feu ainsi que les avancées technologiques, le bardage en bois composite connaît un bel engouement en France. Son aspect moderne, sa pérennité, sa stabilité et son faible entretien en font un habillage de façades porteur et tendance, que recherchent les prescripteurs, les architectes, les maîtres d’œuvre… Fiberdeck a développé de nouvelles lames de bardage en bois composite coextrudées à faux claire-voie : WEO®60. Idéales pour une isolation par l’extérieur (ITE) de maison individuelle, de collectif ou ERP le bardage WEO®60 est durablement esthétique grâce à la technologie exclusive de coextrusion. Il bénéficie d’une résistance exceptionnelle aux UV, pendant 20 ans, et il est très facile à mettre en œuvre.   FIBERDECK : Un bois composite aux performances inégalées Fabricant et concepteur d’aménagements extérieurs en bois composite coextrudés, Fiberdeck sélectionne d’excellentes matières premières et maîtrise les meilleures technologies pour que ses produits bénéficient d’un haut niveau de qualité et de performances exceptionnelles. D’une durée de 20 ans sans aucune décoloration visible à l’œil, les lames de bardage en bois composite coextrudées à faux claire-voie garantissent des ouvrages perennes. Des matériaux haute qualité pour un ouvrage durable Le bardage WEO®60 Fiberdeck est parfaitement adapté à tout type de complexe d’ITE, en construction neuve, en réhabilitation de l’ancien, en extension, et à tout type d’isolant. Une garantie de 20 ans anti-décoloration et un entretien limité ! Le bardage en bois composite WEO®60 a la particularité d’être étanche à l’eau, très résistant aux UV et aux agressions extérieures, qui fragilisent bien souvent les bardages traditionnels en bois. Grâce à la technologie de coextrusion, un film en polyéthylène qui enrobe la surface du profil, les lames du bardage sont insensibles aux taches, aux intempéries et à la décoloration, et ce pendant 20 ans ! Elles sont impustrescibles et ne risquent aucune reprise d’humidité. De plus, leur entretien est considérablement réduit. Un comportement au feu semblable au bois D’une grande longévité, le bardage composite WEO®60 profite du même comportement au feu en termes de réaction et de résistance au feu (classe D s1d0) que le bardage bois grâce à sa composition – fibre de bois et polymère (PEHD) – qui intégre un adjuvant ignifuge. Un profil alvéolaire à faux claire-voie tendance et stable Avec un profil unique, un décor à faux claire-voie composé de petites ondes fines et régulières, le bardage WEO®60 offre un relief marqué et rythmé à la façade. Esthétique et contemporaine, la forme trapézoïdale et prononcée des ondes, assure un bon écoulement de l’eau de pluie et imite parfaitement l’aspect claire-voie des bardages bois. Posées verticalement, les lames accentuent l’impression de hauteur, ou de profondeur lorsqu’elles sont fixées horizontalement. Par ailleurs, le profil WEO®60 est stabilisé grâce à sa sous-face. La structure est équipée d’ergots au dos des lames, qui permettent une fine circulation d’air entre le support et le revêtement. En pose verticale, cela permet de ne poser les lames que sur une simple ossature bois ou métal (hors avis technique, voir DTU). La technologie du bois composite coextrudé Le procédé de coextrusion consiste à appliquer un film de polyéthylène très fin haute densité (PEHD) en fusion directement sur le bois composite. Ce film étanche protège le bois de toute reprise d’humidité, stabilise le matériau et réduit la dilatation. Un aspect bois ultra-réaliste Le bardage composite WEO®60 Fiberdeck constitue une véritable alternative écologique au bardage en bois tropicaux. Il combine les performances de durabilité de la coextrusion avec l’aspect naturel et chaleureux du bois. Constituées de 50 % de fibres de bois, des sciures de l’industrie du bois, et 50 % de polyéthylène recyclé, les lames sont fabriquées à partir de 95 % de matériaux recyclés et sont 100 % recyclables. Sans produit toxique, sans colle ni métal lourd, elles offrent un environnement sain. Esthétiques, les lames de bardage WEO® imitent parfaitement l’aspect naturel du matériau bois, tant par le toucher chaleureux que les couleurs intenses aux teintes multichromatiques aléatoires. Le résultat est très réaliste. Aucune lame n’est identique, le décor est unique ! Décliné en 4 coloris – Cedar, Teak, Ipé, Dark grey – le bardage WEO®60 peut répondre à tous les projets architecturaux. Enfin, pour que la façade soit parfaitement uniforme, les fixations du bardage sont invisibles. La vis vient se dissimiler directement dans des languettes prévues à cet effet, afin d’avoir le rendu le plus épuré possible. Un bardage facile à mette en œuvre Les lames WEO®60 se fixent très facilement sur l’ossature bois ou métal avec seulement 1 vis inox à tête colorée par point de fixation. Elles s’emboîtent rapidement et peuvent être ajustées entre-elles à l’aide d’un jeu réglable. Ce système simple et rapide permet non seulement de les ajuster en réglant la profondeur d’emboîtement mais aussi de procéder à une fixation très discrète des lames. De plus, elles sont démontables et remontables pour simplifier les opérations de maintenance. Enfin, le profil trapézoïdal permet une pose horizontale ou verticale. Lame Bardage WEO® 60 – Profil faux claire-voie Dimensions : Épaisseur 33 x Largeur utile 140 mm x Longueur 3600 mm Recouvrement : 0.5 m² Poids d’une lame : 7,5 kg Fixation sur liteaux d’entraxe 60 cm : par vis inox SR2 teintées au coloris des lames Points de vente : Négoces en matériaux
Il y a 3 ans et 189 jours

Lafarge France a obtenu une ATEx pour Airium Combles

La mousse minérale Airium affiche un λ = 0,037W/m.K. [©Lafarge France] Lafarge France a obtenu une ATEx pour Airium Combles, une solution d’isolation performante et bas carbone, destinée à la rénovation des combles. L’industriel conforte ainsi son positionnement sur le marché de l’isolation des combles perdus avec une solution certifiée. Grâce à l’offre Airium Combles, il s’engage dans la rénovation thermique des bâtiments. Ceci, pour réduire la consommation énergétique des ménages. S’inscrivant pleinement dans le plan de rénovation thermique du parc de logements en France. Airium Combles est éligible aux différents dispositifs d’aides proposés par l’Etat, tels que CEE et MaPrimeRénov’. Disposant d’une durée de vie équivalente à celle d’un béton, la mousse minérale Airium offre une grande durabilité (pas de tassement, résiste aux éléments, aux rongeurs…). Tout en affichant un λ = 0,037W/m.K. « Lafarge France vise ainsi en 2022, sur le secteur de la rénovation, la réalisation d’un volume de chantiers équivalent à 1 000 maisons individuelles. En s’appuyant sur un réseau d’au moins une vingtaine d’entreprises de mise en œuvre réparties sur tout le territoire national », peut-on lire dans le communiqué de presse.
Il y a 3 ans et 190 jours

Création de poste et accélération sur le marché de la maison individuelle pour Sto France

CARNET-NOMINATION. Le spécialiste de la façade – isolation thermique par l'extérieur (ITE), produits techniques et d'embellissement des façades, bardage ventilé – Sto a décidé de créer un poste de coordinateur national maison individuelle. C'est Julien Velar qui en prend les rênes.
Il y a 3 ans et 191 jours

Maison individuelle : "Mes propos portent sur l'urbanisme des années 60 et 70", E. Wargon

EXPLICATIONS. La ministre déléguée au Logement, Emmanuelle Wargon, a une nouvelle fois assuré qu'elle soutenait le modèle de la maison individuelle d'aujourd'hui et de demain, lors de la séance des questions au gouvernement, à l'Assemblée nationale, ce 19 octobre 2021.
Il y a 3 ans et 191 jours

Le « ni oui, ni non » d’Emmanuelle Wargon sur le pavillon

Jeudi 14 octobre 2021, afin de lancer les journées nationales de l’architecture et de clore la consultation sur le thème Habiter demain, la ministre du Logement a annoncé sa volonté de rendre la densité « désirable », expliquant que la « maison individuelle avec jardin n’était plus soutenable ». De tweeter cependant quelques heures plus tard qu’« il n’est pas […] L’article Le « ni oui, ni non » d’Emmanuelle Wargon sur le pavillon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 191 jours

La maison, symbole de l’égalité des classes ! Lettre ouverte à Emmanuelle Wargon

La petite phrase d’Emmanuelle Wargon, ministre du Logement, expliquant le 14 octobre 2021 lors de la conclusion de la consultation « Habiter demain » que la maison individuelle est « un non-sens écologique » a fait sursauter jusqu’à Landernau. Parmi ceux qui sont tombés de leur chaise, le philosophe de Chroniques. Madame la ministre, La teneur des propos constituant […] L’article La maison, symbole de l’égalité des classes ! Lettre ouverte à Emmanuelle Wargon est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 192 jours

Emmanuelle Wargon réagit à la polémique et à la colère des constructeurs de maison suite à ses propos sur l'habitat individuel

Jeudi dans un discours, la ministre a déclaré que les maisons individuelles, "ce rêve construit pour les Français dans les années 70", "ce modèle d'urbanisation qui dépend de la voiture pour les relier", sont un "non-sens écologique, économique et social". "Le modèle du pavillon avec jardin n'est pas soutenable et nous mène à une impasse", selon des propos rapportés par plusieurs médias.Suite à ce discours, le pôle Habitat de la Fédération française du bâtiment (FFB) a "déploré la stigmatisation persistante de l'habitat individuel, à contresens des aspirations des Français" sur Twitter, tandis que la Fédération des constructeurs de maisons individuelles s'est dite "révoltée contre de tels propos tenus par une élite parisienne dite écologique et pourtant très loin des territoires, des habitants et de leurs préoccupations", dans la presse spécialisée.Dans un communiqué vendredi soir, le ministère de la Transition écologique affirme qu'"Emmanuelle Wargon l'a dit très clairement: il n'est pas question d'en finir avec la maison individuelle. Elle regrette la caricature faite de ses propos, qui ne reflète pas la teneur de son discours prononcé"."Oui, de nombreux Français rêvent de la maison individuelle car c'est une promesse de confort, d'espace et de tranquillité. Personne ne veut les en empêcher ni les en dissuader. Ils sont aussi en demande de services de proximité. Pourtant les lotissements en périphérie des villes ne permettent pas toujours d'accéder à ces services et contribuent à un sentiment d'exclusion. Il faut donc repenser nos modèles d'urbanisme", est-il indiqué. L'opération "Habiter la France de demain" - que clôturait jeudi Mme Wargon - visait à "mettre en valeur d'autres modèles d'habitat, plus durables et plus agréables à vivre, qui pour beaucoup existent déjà en France et ont vocation à se développer en complément de l'offre existante, qui bien sûr demeure", selon le communiqué du ministère.Il affirme que "les maisons individuelles ont toutes leur place dans ces nouveaux modèles", et que la ministre "continuera pour sa part de défendre tous les modèles d'habitat durables qui, sans s'opposer à la maison individuelle, donnent des perspectives d'avenir pour réconcilier l'impératif écologique et celui de loger les Français là où ils en ont besoin".
Il y a 3 ans et 193 jours

Maison individuelle : la ministre du Logement réagit à la polémique

RÉACTION. Les propos de la ministre du Logement, Emmanuelle Wargon, au sujet de l'avenir du modèle de la maison individuelle, ont fait réagir. Estimant que son message avait été "caricaturé", elle a souhaité remettre les pendules à l'heure.
Il y a 3 ans et 195 jours

Les constructeurs de maisons révoltés par les déclarations de Wargon sur l’habitat individuel

Le Pôle Habitat FFB salue les annonces mais déplore la stigmatisation de l’habitat individuelLe Pôle Habitat FFB salue les annonces visant à engager pleinement la transition écologique avec l’ensemble des acteurs, à reconquérir les entrées de ville, à favoriser le dialogue entre opérateurs et collectivités pour construire plus et mieux ainsi qu’à réguler le foncier pour maîtriser les prix. En revanche, il déplore la stigmatisation persistante de l’habitat individuel au motif des errements de politiques d’urbanisme qui appartiennent au passé. Cette forme urbaine a connu de nombreuses évolutions depuis plusieurs décennies, tant en matière de sobriété foncière, de densité et de qualité architecturale que de performance énergétique et environnementale, avec l’utilisation de matériaux biosourcés par exemple. Et c’est aller à contresens des aspirations des Français, largement rappelées ce 14 octobre, que de dénoncer l’habitat individuel comme source de tous les maux. Le Pôle Habitat FFB regrette également, à l’heure où le logement collectif s’enlise dans une sévère crise de l’offre et où les besoins restent nombreux sur tous les territoires, les premières annonces concernant le durcissement du dispositif Pinel (surface minimale par typologie de logement, présence systématique d’un espace extérieur et double exposition à partir du T3), d’autant qu’il intervient dans un contexte où les porteurs de projets se trouvent déjà confrontés à la RE2020, à la REP et à une multiplication de surenchères d’exigences (via des chartes locales notamment), sources d’incohérences in fine comme de surcoûts qu’il faudra prendre en charge. Des alertes ont déjà été transmises à ce sujet, le secteur du bâtiment prenant déjà à bras le corps de nombreuses transitions et étant pleinement engagé en matière d’innovation. Pour Grégory Monod, Président du Pôle Habitat FFB, « les réponses aux besoins en logement des Français doivent être trouvées à l’échelle de chaque territoire, c’est-à-dire rechercher le bon équilibre entre aspirations de nos concitoyens, contraintes économiques et réponses aux défis environnementaux. On peine à comprendre les raisons qui poussent à opposer habitat individuel et collectif et à créer les conditions d’une nouvelle spirale inflationniste du coût du logement. Car c’est à la fois affaiblir l’accession à la propriété et l’offre locative privée au détriment des besoins en logements et du parcours résidentiel des ménages. »La FFC demande à Wargon de « Laisser les Français tranquille ! »Nous avons maintenant un gouvernement qui veut nous dire là où il faut vivre et sous quelle forme ! « L'habitat rêvé de la maison individuelle avec un jardin n'est pas soutenable » indique madame la Ministre deléguée Emmanuelle Wargon. La FFC est révoltée contre de tels propos tenus par une élite parisienne dite écologique et pourtant très loin des territoires, des habitants et de leurs préoccupations.Vouloir entasser les Français dans du logement collectif aux portes des métropoles est aussi faire peu de cas de la majorité de nos concitoyens, de leurs envies, de leurs souhaits. C'est aussi vouloir réserver « le rêve » aux catégories sociales les plus aisées et laisser aux autres, comme seul espoir, le logement social puisque l'accession en logement collectif en Métropole est inaccessible financière ment.Madame la Ministre déléguée : Laissez les Français tranquilles !!!La culture du logement à laquelle vous vous opposez est ancestrale, c'est celle de nos territoires, de nos communes, de nos villages, c'est celle que la FFC défend avec force et qui est totalement compatible avec un respect de l'environnement et une préservation de la biodiversité.La FFC ne défend pas là une profession mais bien le rêve des Français et leur liberté !Damien Hereng Président de la FFC
Il y a 3 ans et 195 jours

Fin du modèle de la maison individuelle : la filière regrette une "stigmatisation"

RÉACTIONS. A la suite des annonces de la ministre déléguée au Logement, assurant que le modèle du "pavillon avec jardin" n'était plus soutenable aujourd'hui, les professionnels de la filière montent au créneau.
Il y a 3 ans et 197 jours

Bâtiment passif : l'énergie la moins chère est celle que l'on ne consomme pas

Exemple pour le gaz : chauffage et l'eau chaude d'un appartement entre 70 et 80 m²La Commission de régulation de l'énergie (CRE) a estimé, à partir du calculateur Wattissime (cité dans la revue Capital), qu'un couple vivant dans un appartement de 80 m² à Lyon allait voir sa facture de gaz pour le chauffage et l'eau chaude passer de 93,50 € par mois à 144,65 €, soit une augmentation de 51,15 € entre janvier 2021 et octobre 2021 (+54,7%). Dans un bâtiment passif : Le faible appoint de chaleur nécessaire pour chauffer les appartements passifs est souvent apporté par une mini-chaufferie collective alimentée au gaz. Pour un appartement passif de 70 m², une enquête récente[1] portant sur 700 logements passifs construits entre 2010 et 2018 montre que la dépense moyenne des ménages pour leur chauffage et l'eau chaude est seulement de 20,83 € par mois. Avec le même taux d'augmentation, cette dépense pourrait passer à 32,30 €, soit une augmentation de 11,47 € par mois…Exemple pour le chauffage et l'eau chaude d'une maison individuelleLa Commission de régulation de l'énergie (CRE) a aussi estimé qu'un ménage avec deux enfants vivant dans une maison de 120 m² à Rennes allait voir sa facture de gaz pour le chauffage et l'eau chaude passer de 136,88 € par mois à 217,38 €, soit une augmentation de 80,50 € (+58,8%).La facture moyenne d'énergie dans le logement des français est de 134 € par mois (source Ministère de la Transition Ecologique) pour une surface moyenne de 101,8 m² (source Eurostat), soit 1 608 € par an, ce qui revient à 15,8 € par m² habitable et par an, soit 2,8 fois plus élevé que pour une maison passive !En effet, pour les maisons passives : La plupart des maisons passives recourent à l'électricité et n'ont pas besoin de gaz, lequel demande un abonnement supplémentaire puisque l'électricité est de toute façon incontournable. Aussi les maisons individuelles passives se chauffent avec à un appoint électrique associé parfois à un poêle à bois.La consommation moyenne des maisons individuelles passives est de 3 950 kWh pour une surface de 142 m² (échantillon de 61 maisons individuelles passives)[2]. Cette consommation comprend l'ensemble des usages de la maison (y compris les appareils audiovisuels, informatiques, électroménagers) et représente une dépense de 67 € par mois (52,7 € de consommation et 14,3 € d'abonnement), soit 804 € par an, ce qui revient à 5,7 € par m² habitable et par an.Si l'on ne considère que le chauffage, la dépense réelle de chauffage d'une maison passive de 100 m² est en moyenne de 220 € par an et on a rencontré beaucoup de propriétaires de maisons individuelles passives qui ne dépensent en chauffage que 1 euro par m² et par an, soit seulement 100 € par an !!! (à comparer aux 15,8 € par an pour la moyenne nationale).Les bâtiments passifs : le vrai bouclier tarifaire pour l'énergie, avec en plus une garantie de confort et de qualité de l'air intérieurSelon le gouvernement, le prix de l'électricité devrait augmenter de 4% en février 2022. Les hausses du prix de l'énergie ne vont impacter les occupants de maisons passives que de façon très marginale, moins de 3 € par mois tous usages compris !!Les bâtiments passifs (appartements, maisons mais aussi bureaux, écoles…) sont des bâtiments très sobres au plan énergétique : ils consomment deux à trois fois moins en moyenne qu'un bâtiment récent et sont beaucoup moins sujets aux évolutions des prix de l'énergie.Leur performance énergétique est garantie par une ingénierie qui conçoit des bâtiments très bien isolés, supprimant la quasi-totalité des ponts thermiques et assurant une étanchéité à l'air optimale (4 à 6 fois meilleure que les bâtiments conventionnels les plus récents) tout en respectant les principes hygiéniques (renouvellement d'air)[3]. La ventilation double flux assure une bonne qualité de l'air intérieur (particulièrement importante pour un bon apprentissage dans les écoles).C'est pourquoi les bâtiments passifs assurent un confort (qui surprend parfois les visiteurs) tant dans les logements que dans le tertiaire (école, bureau, maison de retraite, etc.) avec une absence de paroi froide et de courant d'air (la température est quasi constante à tous les endroits du logement) et une stabilité de la température, y compris l'été (avec une bonne gestion des protections solaires lors des périodes estivales). Le bâtiment passif permet d'éviter les besoins de climatisation (ou les réduit fortement dans les bâtiments tertiaires).Sa principale contrainte est qu'il ne supporte pas les malfaçons et les erreurs de conception, faute de quoi, il perd en efficacité et il faut alors compenser par des consommations d'énergie supplémentaires (ce qui est aussi le lot des bâtiments conventionnels !).En France, ce sont plusieurs milliers de bâtiments qui atteignent le standard passif (labellisé ou non) et contribuent aux engagements de l'Etat de réduire de 50% la consommations d'énergie des bâtiments et de 84% les émissions de gaz à effet de serre des bâtiments à l'horizon 2050.Les bâtiments labellisés passifs représentent une surface construite de 274 000 m² dont la moitié environ sont des logements et l'autre moitié des bâtiments tertiaires, publics ou privés, pour un ensemble de 380 opérations. 160 757 m² sont en cours de labellisation par La Maison Passive France.Si le passif est maintenant bien connu dans la construction neuve, il a aussi sa place dans les stratégies de rénovation[4]. Les opérations de rénovation énergétique poursuivent deux objectifs majeurs : la préservation de l'environnement et la maîtrise des dépenses énergétiques (ou des charges). La rénovation passive consiste à « épuiser le gisement », c'est-à-dire à optimiser les niveaux d'isolation de l'enveloppe des bâtiments, à valoriser les apports internes et solaires et à garantir un bon niveau d'étanchéité à l'air du bâtiment. Et, comme l'exprime si bien l'US Passive House, « We have the tools. We have the knowhow. We have the passion. We can do this ! »Les caractéristiques du Label Bâtiment Passif « classique »Besoin de chaleur pour le chauffage≤ 15 kWh par m² de surface de référence (proche de la surface habitable)Consommation d’énergie tous usages (chauffage, eau chaude, ventilation, appareils électriques)≤ 120 kWhep/m² exprimé en énergie primaire (ep)Étanchéité à l’air sous 50 PaN50 ≤ 0,60 volume/heureDe nouveaux labels ont été récemment mis en place pour privilégier le choix des énergies renouvelables des bâtiments passifs (Labels Bâtiment Passif PLUS et PREMIUM), dans la perspective de la transition énergétique et de la lutte contre le réchauffement climatique.[1] Philippe Outrequin, Charges locatives des logements sociaux passifs, mars 2021[2] Catherine Charlot-Valdieu et Philippe Outrequin, Maisons individuelles passives, édition Le Moniteur, 2019[3] Dans le cadre de la lutte contre la pandémie, les collectivités locales font placer dans les écoles des capteurs de CO2 pour avertir des besoins d'aération. Dans les bâtiments passifs, la VMC double flux est fréquemment associée à un capteur de CO2 afin d'optimiser la qualité de l'air intérieur.[4] Voir Catherine Charlot-Valdieu et Philippe Outrequin, La réhabilitation énergétique des logements, édition Le Moniteur, septembre 2018, 330 pages
Il y a 3 ans et 198 jours

Mb Rock Premium de Rockwool élu « coup de cœur » du jury parmi les nouveautés Artibat 2021

Salon incontournable de la construction et des travaux publics depuis plus de 30 ans, ARTIBAT réunit cette année à Rennes plus de 1.000 exposants et 40.000 professionnels de la construction. A l’occasion du salon est édité le Guide des Nouveautés qui valorise les innovations de moins d’un an proposées par les fabricants industriels et distinguées par un jury d’experts de la filière BTP. Cette sélection prend en compte non seulement l’avantage pour le professionnel, l’amélioration des performances, l’intérêt pour le client final mais également les préoccupations environnementales. Parmi la liste des produits qui ont retenu l’attention du Jury cette année, le nouvel Mb Rock Premium figure parmi les nouveautés « Coups de Cœur ».Spécialement adapté à l’isolation des constructions à ossature bois, Mb Rock Premium de ROCKWOOL est un panneau entièrement composé de laine de roche qui apporte un excellent confort thermique tout au long de l’année. En hiver, il permet de garder la chaleur à l’intérieur. En période de fortes chaleurs, Mb RockPremium offre un excellent confort d’été : il limite la pénétration de la chaleur dans l’habitat, réduit la surchauffe et permet de maintenir un air relativement frais.Grâce à sa densité (masse volumique de 65 kg/m3) et sa conductivité thermique (lambda 32), Mb Rock Premium augmente l’inertie thermique de la paroi, permettant de maintenir une température intérieure agréable tout au long de l’année. Ce produit possède une faible diffusivité permettant de retarder et d’atténuer le transfert du flux de chaleur de l’intérieur vers l’extérieur et vice-versa.En outre, Mb Rock Premium contribue à améliorer la qualité de l’air intérieur comme en témoigne l’étiquetage sanitaire A+ réservé aux produits qui émettent très peu de composants organiques volatils. Recyclable à l’infini et incombustible, Mb Rock Premium ne contribue pas au développement de l’incendie. Il est recommandé sur les murs à ossature bois de tout type de bâtiment, résidentiel ou professionnel, individuel ou collectif. Il permet également une facilité d’installation procurant un confort et un gain de temps dans la pose.« Nous sommes fiers de proposer un produit qui permet de garantir à nos clients tous les avantages de l’isolation en laine de roche tout en s’adaptant aux nouvelles tendances de la construction et en répondant aux objectifs de la RE2020. Aujourd’hui, le bois n’est plus cantonné à la maison individuelle et gagne du terrain dans tous les segments de la construction. Il était donc indispensable pour ROCKWOOL d’offrir un produit durable, facile à installer et qui convient totalement aux constructions en ossature bois. Incombustibles par nature, les panneaux Mb Rock Premium apportent une protection incendie optimale et permettent de ralentir la propagation du feu, ce qui est évidemment essentiel pour des bâtiments en ossature bois », déclare Matthieu Biens, Directeur Marketing et développement produits pour l'Europe du sud chez ROCKWOOL.
Il y a 3 ans et 198 jours

Nouveau Politerm® R

EDILTECO® France présente le nouveau Politerm® R sur Artibat, procédé d’agrégat isolant pour élaborer une multiplicité de formules de chapes, de mortiers et bétons légers thermo-acoustiques. Cette nouvelle version est conçue avec du polystyrène recyclé et s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire et responsable. Le fabricant récupère les chutes obtenues lors de la découpe des panneaux sur ses lignes de fabrication. Elles sont broyées pour collecter les billes de PSE qui sont ensuite introduites dans la chaîne de fabrication avec les autres billes de PSE neuves. Politerm® R permet d’isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc.
Il y a 3 ans et 198 jours

Marché de l'immobilier, la fête est finie ?

Une étude exclusive, réalisée par PAP, du 1er au 30 septembre 2021, laisse présager un retour à la raison sur le marché immobilier. Les recherches de logements à l'achat baissent de 6,5% par rapport à septembre 2019. En revanche, les critères qui ont émergé à la faveur de la crise sanitaire restent d'actualité : forte appétence pour les maisons, et les petites villes et les zones rurales sont les seules à enregistrer une progression par rapport à 2019. Retour à la raison : les arbres ne montent pas jusqu'au cielLa crise sanitaire et les confinements successifs ont été un véritable révélateur immobilier pour de nombreux Français. Le fait de passer beaucoup plus de temps dans son logement a modifié le regard que l'on y portait. Ce qui a alimenté une forte envie de changement, du plus léger au plus radical : décoration, renouvellement de mobilier, travaux de réaménagement, voire d'extension de maisons... Et bien entendu de déménagement ! En septembre 2020, le nombre de recherches à l'achat progressait de 48,1% par rapport à 2019, et quelques mois plus tard, les notaires annonçaient un record historique de volume de transactions.Cette phase de records semble désormais terminée. En septembre 2021, le volume de recherche baisse de 36,9% par rapport à 2020, et se retrouve ainsi 6,5% en dessous de son niveau de 2019. C'est donc un vrai rééquilibrage par rapport à la frénésie qui avait démarré en mai 2020 à la suite du premier confinement. En matière de critères de recherche, il y a bien un avant et un après CovidLa crise sanitaire a également été à l'origine d'une véritable rupture dans les critères de recherches de logements illustrée par une appétence renforcée pour, d'une part, les petites villes et les zones rurales et, d'autre part, les maisons individuelles. En septembre 2021, l'effet de la crise sanitaire est toujours visible. Ainsi, les petites villes et les zones rurales tirent encore leur épingle du jeu comme on peut le voir ci-dessous : +21,9% par rapport à 2019. C'est d'ailleurs la seule typologie de villes qui est en progression sur deux ans. Les grandes métropoles en général et Paris en particulier, enregistrent une baisse significative des recherches par rapport à 2019.Il en va de même pour les maisons qui ont fait l'objet d'un plébiscite jamais démenti depuis. Et cela reste le cas en ce mois de septembre 2021, même si on observe un léger rééquilibrage par rapport à 2020. Les maisons représentent 63% des recherches en septembre 2021, contre 59 % en septembre 2019.L'évolution des critères de recherche est intimement liée à la situation du télétravail. Or, on constate que le télétravail a survécu à la crise sanitaire puisqu'il est désormais largement institutionnalisé dans de nombreuses entreprises. Mais dans la grande majorité des cas, à raison d'un ou deux jours par semaine, loin du 100% en distanciel des derniers mois. Ce qui contraint certains acheteurs à revoir leurs projets et à partir moins loin qu'initialement envisagé. Les vendeurs doivent s'adapter à cette nouvelle donneLe recul du nombre d'acheteurs sur le marché contraint les vendeurs à revoir leurs stratégies de vente. Ces derniers doivent faire preuve de pragmatisme et de vigilance.1/ Bien étudier son prix de venteLe recul du nombre d'acheteurs dans les zones traditionnellement tendues va mécaniquement limiter le nombre de contacts, a fortiori, pour les vendeurs ayant des référentiels de prix de marché trop élevés. Il est donc important de rapidement corriger le tir en cas de surévaluation du bien, sous peine de le voir rester sur le marché. De plus, il faut être ouvert à la négociation, surtout si on est pressé de vendre !Dans le cadre de son offre de coaching destinée aux vendeurs, lancée en 2019, PAP propose une estimation du bien réalisée par un expert et donnant lieu à un avis de valeur écrit avec une garantie d'indépendance puisque PAP n'est pas intéressé par le montant de la transaction.Verbatim vendeur (annonce D80/0618) : « Grâce au service de coaching PAP, nous avons vendu notre appartement assez rapidement et au bon prix. Pour une somme de 690 € (payable en 5 échéances) nous avons bénéficié du filtrage des appels (agences refoulées d'office), d'un retour hebdomadaire de PAP, d'un technicien photos, de documents utiles pour les visites et la vente. Il y a également un service juridique à disposition. Notre coach (Mme Sanga) était très disponible. Le service est plus efficace qu'une agence (expérience faite !) et surtout sans commission exorbitante ». 2/ Soigner la présentation de son offreL'immense majorité des recherches s'effectue désormais sur Internet, et la première chose que les acheteurs voient, ce sont les photos. Pour faire bonne impression, il faut donc des photos de qualité, et notamment éviter les deux grandes erreurs des photos immobilières : les contre-jour (qui donnent le sentiment que le logement est sombre) et les mauvais cadrages (qui diminuent la surface des pièces).Pour un rendu optimal, les vendeurs peuvent aussi miser sur la visite virtuelle, qui est une solution doublement gagnante puisqu'elle permet de valoriser son annonce tout en limitant les visites physiques aux seuls acheteurs réellement intéressés. PAP propose aux vendeurs des visites virtuelles réalisées par un photographe professionnel à l'aide d'un matériel spécifique, qui viendront illustrer l'annonce. Ce service est également inclus - ainsi que des photos de qualité professionnelle - dans l'offre de coaching. Verbatim vendeur (annonce D30/0645) : « La visite virtuelle de notre maison a été un vrai "plus" dans la vente de notre maison ... encore davantage en période de confinement ! Nous ne regrettons pas du tout d'avoir fait appel à vos services ! Entière satisfaction d'avoir fait appel à PAP pour réaliser une visite virtuelle de notre bien, ce qui a nettement favorisé la vente. »3/ Ne pas perdre de tempsEn octobre, de nombreux vendeurs pensent que la « saison des ventes » est passée et envisagent d'attendre l'année prochaine pour démarrer leur vente. En temps normal, c'est déjà une stratégie que nous déconseillons, car elle risque de les mettre dans l'urgence, or on vend mieux quand on n'est pas pressé. Et dans ce contexte particulier, le recul des recherches laisse planer un doute sur l'avenir du marché à court et moyen terme. Il est donc plus prudent de démarrer sa vente le plus rapidement possible. La baisse du nombre d'acheteurs pourrait nécessiter davantage de temps pour conclure sa vente. Commencer plus tôt, c'est la garantie d'engranger des contacts dès maintenant.L'offre de coaching de PAP est valable pendant une durée d'un an pour couvrir une année immobilière complète et permettre aux vendeurs de ne pas reporter leur mise sur le marché.Verbatim vendeur (annonce D74/0570) : « Nous vous remercions pour tout. Notre maison a été vendue rapidement au prix demandé par le biais de votre site. La qualité des photos et la vidéo sont exceptionnelles. Le service PAP et les moyens techniques mis à disposition sont au Top ! »MéthodologieEtude menée sur les 3.230.044 recherches d'achat effectuées sur PAP.fr entre le 1er et le 30 septembre 2021, comparée aux recherches menées sur la même période en 2020 et 2019.
Il y a 3 ans et 199 jours

L'intérêt des Français pour l'immobilier ne faiblit pas, porté par l'envie de plus d'espace et de confort

Avec la généralisation du télétravail, les projets immobiliers s'organisent autour de nouvelles attentes : gagner de l'espace et se rapprocher de la nature pour gagner en confort de vie. Le critère de la luminosité monte lui aussi en puissance : les confinements de 2020 ont clairement laissé des traces ! Alors que beaucoup d'actifs naviguent désormais la semaine entre leur bureau et leur domicile, l'intérêt pour les résidences semi-principales se renforce. Une dynamique qui profite largement aux villes moyennes et aux environnements ruraux, mais annonce surtout un nouveau volume record de transactions dans l'immobilier ancien, qui pourrait même battre celui de 2019, meilleure année de tous les temps !Une demande boostée en région et des maisons faisant l'objet de convoitisesSur les 9 premiers mois de l'année 2021, la demande progresse de 18% au national. Si cette augmentation est à relativiser au regard d'une année 2020 chaotique, elle confirme pourtant l'appétence bien réelle des Français pour la pierre. Les investisseurs, qu'ils soient aguerris ou néophytes, profitent pleinement de taux d'intérêt autour de 1% sur 20 ans. Les Français restent très actifs et recherchent cette valeur refuge qui semble hermétique à la crise. La demande pour les maisons progresse fortement (+18% au national) par rapport aux appartements (+10%), traduisant l'envie des Français de gagner en surface et de disposer d'un extérieur.Paris renoue avec la croissance après une année 2020 plutôt calme, avec une demande en hausse de 12%. L'Île-de-France confirme quant à elle son dynamisme (+13%), notamment la seconde couronne où l'offre de maisons est encore abondante. Dans les régions, on observe un phénomène similaire : les acquéreurs s'éloignent des grandes métropoles pour rejoindre la périphérie, où ils vont chercher de l'espace, de la verdure et du calme. Au sein des agences Laforêt, beaucoup de candidats à l'achat expriment leur envie de cultiver leur potager pour gagner en autonomie et en qualité alimentaires, reflétant de nouvelles aspirations. Après la qualité énergétique il y a quelques années, c'est donc désormais un gain de confort qui est recherché.Une offre qui régresse encore sur un marché déjà très tenduAu national, l'offre de biens disponibles à la vente régresse de 18%. Une tendance qui s'explique par deux phénomènes concomitants : d'un côté, des primo-accédants qui n'ont pas de logement à mettre sur le marché ; de l'autre côté, des propriétaires de maison ou d'appartement avec terrasse ou jardin, qui finalement hésitent à quitter une situation déjà confortable.Sur Paris, toutefois, l'offre semble se reconstituer progressivement (+24%), mais cette hausse ne représente en réalité que quelques biens supplémentaires par agence. Cette évolution est notamment due à la remise sur le marché de meublés touristiques dans les grandes métropoles, où les touristes peinent encore à revenir.En Île-de-France, l'offre est atone (0%). Les maisons marquent un léger recul de 6 % tandis que les appartements progressent (7%), rééquilibrant le marché. Enfin, les régions illustrent là encore leur dynamisme, avec une offre qui régresse de 26% sur les 9 premiers mois de l'année. Les agences immobilières n'ont jamais eu aussi peu de biens à proposer et le marché est en flux tendu, notamment sur les maisons individuelles.Vers une nouvelle année record des transactionsSi le nombre de transactions augmente de 23% sur les 9 premiers mois de l'année vs 2020, ce qui semble logique après une année compliquée, il est intéressant de constater qu'elle progresse également de 12% par rapport à 2019, année de tous les records dans l'immobilier ancien. Les ventes s'accélèrent tant sur les maisons que sur les appartements. L'investissement locatif stimule l'achat de petites surfaces, avec des primo-accédants qui veulent aussi profiter des conditions de financement exceptionnelles.Paris retrouve des couleurs, avec une activité positive par rapport à l'an dernier (+27%), notamment sur les 3 derniers mois. La progression du volume de ventes en Île-de-France est en ligne avec la dynamique nationale (+23%), tandis que les régions sont elles aussi très actives (+22%). Partout, les rotations sont néanmoins freinées par un stock de biens appauvri.Une augmentation des prix régulière, sauf à ParisD'une manière globale, les prix au m2 enregistrent une légère accalmie, mais continuent toutefois de progresser avec +4,9% au national, à 3 345 €/m2. Si l'euphorie du premier semestre s'est un peu estompée durant l'été, l'effet de rareté soutient la hausse avec des maisons qui en portent l'essentiel (+7,1% vs +4,3% pour les appartements).En région, les prix s'emballent : la hausse globale est de 7,3% (à 2 398 €/m2), voire de 8,3 % pour les maisons ! Cette évolution est liée à l'arrivée de citadins au pouvoir d'achat élevé qui n'hésitent pas à acheter au prix fort le bien auquel ils aspirent.À Paris, la baisse constatée l'an dernier s'amortit (-0,8% à 10 430 €/m2). Une situation qui s'explique notamment par un marché parisien toujours privé de sa clientèle internationale. En Île-de-France, on constate l'exact inverse de ce qui se passe en région. Si les prix progressent de 4,3% en moyenne (à 4 543 €/m2), cette hausse concerne davantage les appartements (+4,6%) que les maisons (+3,8%). Il semble que nous ayons atteint un palier, avec des acquéreurs qui ne peuvent plus s'aligner ou qui n'ont plus la volonté d'acheter à n'importe quel prix.Délais de vente : un recul jamais vu !Les délais de vente, c'est-à-dire le temps entre la mise en vente et la vente effective du bien, régressent de 2 semaines au national (14 jours), passant sous la barre des 80 jours, à 78 jours. Les acheteurs sont conscients que le secteur immobilier échappe à la crise et se décident vite. Et c'est encore une fois en région que la tendance est la plus marquée, avec une chute de 18 jours par rapport aux 9 premiers mois de 2020, et même de 22 jours par rapport à la même période en 2019, passant à 81 jours : une situation jamais vue ! Les projets, quels qu'ils soient (investissement locatif, résidence semi-principale ou principale, etc.), sont au rendez-vous !Le délai de vente accélère également en Île-de-France, perdant 13 jours en 12 mois, pour s'établir à 63 jours. Paris préserve sa réputation de marché fluide, mais marque néanmoins le pas avec un délai de 75 jours (-2 jours) qui varie peu par rapport à l'an dernier alors qu'il était de 59 jours en 2019 !Des négociations qui se montrent relativement stablesLa négociation sur le prix à la vente évolue peu par rapport à 2020. Elle est en moyenne de 4,5% (-0,10 point) au national. La pression reste néanmoins forte sur les acquéreurs, qui ont peu de temps pour se positionner et donc pour négocier. À Paris, l'écart entre les prix de vente et d'achat stagne à 2,90% (0 point vs 2020). Il en va de même pour l'Île-de-France (2,80%, soit -0,7 point), qui a toutefois perdu 1 point de capacité de négociation par rapport à 2019 (3,80%). En région, là aussi, la discussion reste équivalente à ce qu'elle était à la même période l'an dernier, soit un écart de 4,70% (-0,40 point).ConclusionIl est fort probable que l'on se dirige vers une nouvelle année record, après celles de 2018, 2019 et 2020. Le marché de l'immobilier ancien est définitivement le grand gagnant de l'après-Covid-19. La volonté d'une partie de la population d'exercer son activité en télétravail plusieurs jours par semaine se traduit concrètement par des acquisitions de surfaces plus grandes à l'extérieur des grands centres urbains.L'inflation qui se dessine, et qui pourrait s'accompagner d'une remontée progressive des taux d'intérêt, reste néanmoins à surveiller. Tout comme l'augmentation des coûts des travaux de rénovation énergétique liée à un prix des matières qui s'envole et sera peut-être un frein à l'accession ou à la location dans les mois à venir.Le secteur de la construction neuve, à la peine du fait d'une indisponibilité de matériaux, mais aussi de certaines décisions locales qui limitent le nombre de chantiers, conduit les investisseurs à s'orienter vers l'ancien, créant une pression plus forte sur les prix. Reste enfin à savoir si l'engouement actuel des Français pour les résidences semi-principales et rurales sera durable. Les néoruraux trouveront-ils ce qu'ils sont venus chercher à la campagne ou regretteront-ils, après un premier hiver, leur vie citadine ? Rendez-vous dans quelques mois pour le savoir…
Il y a 3 ans et 203 jours

Edilteco® France sera présent au salon Artibat, dans le Pôle Gros Œuvre

Cette nouvelle version Politerm® R est conçue avec du polystyrène recyclé et s'inscrit dans une démarche d'économie circulaire et responsable.EDILTECO® récupère les chutes obtenues lors de la découpe des panneaux sur ses lignes de fabrication afin de réintégrer le PSE dans les processus de production.Les chutes sont broyées pour collecter les billes de PSE qui sont ensuite introduites dans la chaîne de fabrication avec les autres billes de PSE neuves.Politerm® R permet d'isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc.Autre solution de sol exposée sur le stand : LA CHAPE XXs®, chape légère et fibrée qui se destine à l'amélioration de l'affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol.LA CHAPE XXs® est conçue à base de billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l'adjuvant EIA (Diamètre 2 - 3 mm).La densité du mélange - 1200 kg/m3 - est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures.Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d'une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques.Sa simplicité de mise en oeuvre va permettre de l'utiliser pour de nombreux usages : chapes adhérentes ou désolidarisées, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolation acoustique aux bruits de chocs, dressage de surface et mise à niveau des planchers ; en toiture à pente nulle ou pente jusqu'à 15 %, avec recouvrement par membrane étanche (DTU 43.1).Autre avantage, LA CHAPE XXs® peut être utilisée à partir d'une faible épaisseur : 1 cm en pose adhérente sur béton, 2 cm en pose désolidarisée sur bois, 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). Pour l'applicateur c'est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l'assurance d'une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d'usages multiples.Pour la façade, les gammes « best-seller » ECAP® et EDIL-Therm® PSE dans une version sans fixatif seront exposées.Pour finir la nouvelle gamme planchers présentera : Delti-Poutrelles, une gamme complète de poutrelles précontraintes. Conçues en T inversé avec un crantage bi-alterné sur le dessus et des armatures dépassantes de chaque extrémité de la poutrelle, une attention particulière est portée sur la finition des poutrelles.Cette parfaite maîtrise des finitions leur assure une épaisseur de talon sans accumulation de béton et des abouts de poutrelle parfaitement droits, notamment par l'utilisation de séparateurs en PSE lors du moulage.Conçue dans les règles de l'art, la gamme Delti-Poutrelles respecte l'ensemble des exigences du référentiel DTU 23.5. Certifiée conforme au référentiel de certification NF 395 Poutrelles en béton pour systèmes de planchers à poutrelles et entrevous, cette gamme assure d'excellentes performances à la flexion et garantit la réalisation de planchers robustes, stables et durables dans le temps.Il existe 3 gammes de poutrelles et chacune rassemble plusieurs types de poutrelles. Chaque gamme commence par « DP » suivi de la hauteur de la poutrelle (de 110 à 130) et du type de précontrainte. La gamme RE est dotée d'un renfort en acier passif permettant de gagner en portée sans étai.Elles permettent d'atteindre de grandes portées 5,10 m de long sans étais et 8,30 m avec étais, qui offrent une grande liberté de conception des bâtiments en réduisant sensiblement la nécessité de murs de refend. Du fait de l'attention portée à la qualité de fabrication, la gamme Delti-Poutrelles est en mesure de supporter des charges importantes.DELTIVOUTAIN + CI – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre son correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main.Brevetée, cette solution bénéficie aujourd'hui d'un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d'isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1 «Planchers et accessoires de plancher» qui ont examiné respectivement ce procédé.Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d'assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l'isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en oeuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation.Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d'une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l'économie d'éléments structurels devenus inutiles.Artibat est depuis 31 ans le salon de référence pour les professionnels du bâtiment. Partenaire des artisans et des majors du BTP, EDILTECO® suit une politique d'innovation basée sur des objectifs apportant gain de performances aux produits, tout en augmentant la simplicité et la rapidité d'application.Ces trois journées de rencontres et d'échanges seront donc l'opportunité pour EDILTECO® de révéler le potentiel et les compétences de ses solutions et innovations.
Il y a 3 ans et 204 jours

Cheminées Poujoulat sera à Artibat hall 10A - stand F28 pour parler RE2020 et chauffage bois en maison individuelle

Organisé par la CAPEB Pays de la Loire, ARTIBAT réunit tous les 2 ans à Rennes plus de 1 000 exposants leaders dans leur domaine et accueille près de 40 000 visiteurs professionnels en veille constante sur les innovations du marché et les solutions industrielles.Cheminées Poujoulat sera présent les 13, 14 et 15 octobre 2021 pour le salon ARTIBAT au Hall 10A - Stand F28 pour présenter ses différentes solutions, parler innovation et partager projets et retours d'expériences.Cette année, le projecteur est mis sur 3 solutions conçues pour les maisons individuelles dans le cadre de la RE2020 :AIRWOOD : la solution de récupération et de distribution de la chaleur bois disponible en 3 versions pour s'adapter à chaque configurationVENTÉLIA : la sortie de toit spécial ventilation la plus performante du marchéEFFICIENCE : le conduit triple paroi avec arrivée d'air canalisé conçu pour les appareils à bois étanchesPrésence sur le stand HydrotisCheminées Poujoulat sera également présent sur le stand Hall 7 - Stand C27 d'Hydrotis, l'association d'industriels au service des professionnels du bien être dans le bâtiment pour présenter ses solutions :3CE Thermo-D : le conduit collectif pour chauffe-eaux thermodynamiquesConduits Dualis pour les chaudières gaz et bois (bûches et granulés)Informations pratiquesParc Expo Rennes Aéroport - La Haie Gautrais -35170 BRUZMercredi 13 Octobre : 9:00 - 19:00Jeudi 14 Octobre : 9:00 - 21:00 NocturneVendredi 15 Octobre : 9:00 - 18:00Le pass sanitaire sera obligatoire pour accéder au salon ARTIBAT.
Il y a 3 ans et 204 jours

SALON ARTIBAT, EDILTECO® FRANCE PRÉSENTE SON NOUVEAU POLITERM® R

EDILTECO® France sera exposant du salon Artibat, au sein du Pôle Gros Œuvre, Hall 10A – Stand D52. Le fabricant y présentera notamment le nouveau Politerm® R, procédé d’agrégat isolant idéal pour élaborer une multiplicité de formules de chapes, de mortiers et bétons légers thermo-acoustiques. Cette nouvelle version Politerm® R est conçue avec du polystyrène recyclé et s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire et responsable. EDILTECO® récupère les chutes obtenues lors de la découpe des panneaux sur ses lignes de fabrication afin de réintégrer le PSE dans les processus de production. Les chutes sont broyées pour collecter les billes de PSE qui sont ensuite introduites dans la chaîne de fabrication avec les autres billes de PSE neuves. Politerm® R permet d’isoler et de traiter thermiquement et acoustiquement différents types de supports existants, aussi bien dans les immeubles collectifs que les maisons individuelles : supports en maçonnerie, bois, bacs aciers, revêtements de sol et anciens revêtements, chapes, ravoirages, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolations thermiques et acoustiques aux bruits de chocs, remplissages divers, etc. Autre solution de sol exposée sur le stand : LA CHAPE XXs®, chape légère et fibrée qui se destine à l’amélioration de l’affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol. LA CHAPE XXs® est conçue à base de billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (Diamètre 2 – 3 mm). La densité du mélange – 1200 kg/m3 – est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle. Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures. Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d’une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques. Sa simplicité de mise en oeuvre va permettre de l’utiliser pour de nombreux usages : chapes adhérentes ou désolidarisées, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolation acoustique aux bruits de chocs, dressage de surface et mise à niveau des planchers ; en toiture à pente nulle ou pente jusqu’à 15 %, avec recouvrement par membrane étanche (DTU 43.1). Autre avantage, LA CHAPE XXs® peut être utilisée à partir d’une faible épaisseur : 1 cm en pose adhérente sur béton, 2 cm en pose désolidarisée sur bois, 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). Pour l’applicateur c’est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l’assurance d’une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d’usages multiples. Pour finir la nouvelle gamme planchers présentera : Delti-Poutrelles, une gamme complète de poutrelles précontraintes. Conçues en T inversé avec un crantage bi-alterné sur le dessus et des armatures dépassantes de chaque extrémité de la poutrelle, une attention particulière est portée sur la finition des poutrelles. Cette parfaite maîtrise des finitions leur assure une épaisseur de talon sans accumulation de béton et des abouts de poutrelle parfaitement droits, notamment par l’utilisation de séparateurs en PSE lors du moulage. Conçue dans les règles de l’art, la gamme Delti-Poutrelles respecte l’ensemble des exigences du référentiel DTU 23.5. Certifiée conforme au référentiel de certification NF 395 Poutrelles en béton pour systèmes de planchers à poutrelles et entrevous, cette gamme assure d’excellentes performances à la flexion et garantit la réalisation de planchers robustes, stables et durables dans le temps. Il existe 3 gammes de poutrelles et chacune rassemble plusieurs types de poutrelles. Chaque gamme commence par « DP » suivi de la hauteur de la poutrelle (de 110 à 130) et du type de précontrainte. La gamme RE est dotée d’un renfort en acier passif permettant de gagner en portée sans étai. Elles permettent d’atteindre de grandes portées 5,10 m de long sans étais et 8,30 m avec étais, qui offrent une grande liberté de conception des bâtiments en réduisant sensiblement la nécessité de murs de refend. Du fait de l’attention portée à la qualité de fabrication, la gamme Delti-Poutrelles est en mesure de supporter des charges importantes. DELTIVOUTAIN + CI – pour Correcteur Intégré – est un entrevous avec un rupteur intégré. Efficace mais surtout très fonctionnel, le DELTIVOUTAIN + CI intègre son correcteur de pont thermique sécable (UP < 0,27) en sous face. Ce rupteur se casse facilement à la main. Brevetée, cette solution bénéficie aujourd’hui d’un Avis Technique du CSTB délivré par le Groupe Spécialisé n° 20 « Produits et procédés spéciaux d’isolation » et le Groupe Spécialisé n° 3.1 «Planchers et accessoires de plancher» qui ont examiné respectivement ce procédé. Destiné aux bâtiments et maisons individuelles sur vide sanitaire, le DELTIVOUTAIN + CI va permettre d’assurer tout à la fois le coffrage de la dalle de compression et l’isolation du plancher. Léger, il est facile à mettre en œuvre et permet de réduire efficacement les ponts thermiques pour les travaux neufs mais aussi pour les travaux de rénovation. Ses qualités sont nombreuses, mais son attrait majeur réside dans son aspect tout à la fois pratique et économique qui prémunit les professionnels du bâtiment d’une double gestion de stock de hourdis et de rupteurs et leur offre l’économie d’éléments structurels devenus inutiles.
Il y a 3 ans et 205 jours

RénoStandard, des solutions de rénovation globale optimisées pour les maisons individuelles

Pour faciliter la rénovation globale de maisons individuelles en secteur diffus, le CSTB pilote le projet grâce à des solutions standardisées. «&nbsp;Les maisons individuelles standardisées peuvent être réhabilitées grâce à une offre de solutions globale&nbsp;»&nbsp;: c'est la conviction des porteurs de RénoStandard, l'un des neuf projets développés dans le cadre du programme PROFEEL, qui vise à développer et accompagner l'innovation au service de la rénovation énergétique des bâtiments. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 206 jours

Suspension DPE : point de vue de Thierry Marchand, président de la CDI-FNAIM

Rarement une simple réforme technique aura soulevé un tel tollé : le nouveau diagnostic de performances énergétique, indicateur de vertu des logements à la vente et à la location -privés et HLM- devenu populaire, a fait l'objet d'une refonte radicale. Sa version évoluée est entrée en vigueur au 1er juillet 2021.Pour fiabiliser cet outil et lui permettre de s'imposer comme « opposable », c'est-à-dire pouvant permettre d'engager la responsabilité du propriétaire, le ministère en charge du logement a travaillé depuis un an à un moteur de calcul intégrant plus de données, en vue de fournir aux acquéreurs et aux locataires des informations objectives.Ainsi, en lieu et place des factures de consommation d'énergie du précédent occupant, au demeurant parfois difficiles à obtenir et entraînant l'impossibilité de calculer la performance, ce diagnostic se fonde désormais sur des caractéristiques physiques du bien. Il associe aussi à la performance pure, classée sur une échelle de A à G, l'émission de gaz à effet de serre et des simulations de dépenses énergétiques.Enfin, il comporte des préconisations de travaux pour faire accéder à un degré de performance correct, dans les trois premiers barreaux de l'échelle, A, B ou C, les logements énergivores. En somme, le nouveau DPE avait vocation à gagner en exactitude et en complétude pour prendre, à ce titre, valeur contractuelle. Le ministère avait fourni une étude d'impact qui anticipait une situation équilibrée : de l'ordre de 800.000 logements allaient mécaniquement progresser dans le classement environnemental et autant seraient au contraire affectés d'une note dégradée.À l'épreuve des faits, rien ne s'est passé comme les pouvoirs publics l'attendaient. Des anomalies en grand nombre ont été constatées, conduisant à une proportion élevée de logements disqualifiés, jugés passoires énergétiques par le nouveau crible, avec à la clé une dévalorisation considérable, voire une perte de liquidité. Pour les logements les plus anciens, de type haussmannien notamment, et de plus petite superficie, l'impossibilité de proposer des travaux entraînant un redressement de note à des niveaux satisfaisants a également été pointée.A aussi été minimisée la difficulté pour les diagnostiqueurs de collecter les informations techniques sur le bien nécessaires à l'établissement du DPE, le cas échéant avec le concours de l'agent immobilier ou de l'administrateur de biens mandataire. Le résultat a aussi consisté à faire figurer dans les documents des simulations de facture très nettement supérieures à la réalité constatée, jusqu'à des excès aberrants.Le bilan de cette situation a de quoi inquiéter : sur les quelques 300.000 DPE établis depuis juillet, la moitié a concerné des logements construits avant 1975, dont une fraction majeure a comporté d'évidentes anomalies. Dans ce contexte, Emmanuelle Wargon, ministre en charge du logement, vient de prendre la décision à la fois sage et courageuse de surseoir à l'obligation de réaliser le DPE pour les biens édifiés avant cette date de 1975 -sauf en cas de transaction urgente- tant que le moteur et les logiciels qui calculent les DPE de nouvelle génération ne seront pas nettoyés des scories qui les affectent. Les diagnostiqueurs œuvrent bien sûr avec les spécialistes du ministère du logement pour parvenir à ce résultat dans les meilleurs délais. Concrètement, les biens pour lesquels a été réalisé un DPE fautif bénéficieront d'un nouveau diagnostic, qui corrigera et annulera le précédent, sans frais. Une négociation va s'ouvrir avec le gouvernement pour que soit effectivement neutralisé le coût pour la communauté des diagnostiqueurs de cette vaste opération de rappel. On entend des critiques acerbes adressées au gouvernement, montrant d'un doigt accusateur son impéritie. Elles sont infondées. Il fallait la lumière de l'expérience pour identifier finement les dysfonctionnements qui pouvait compromettre la justesse du DPE. La plupart des défauts ne pouvaient être prévus a priori et il faut avoir la modestie de le dire. Les polémiques, que certains peuvent trouver avantage à alimenter, ne sont pas à la hauteur des enjeux. Oui, moderniser le DPE et lui donner plus de force pour conduire à la rénovation environnementale des logements était vital. Oui, il était indispensable que cet indicateur, qui constitue une aide à la décision de louer ou d'acheter, soit plus qu'indicatif et qu'il acquière une force juridique majorée. L'heure n'est plus à la légèreté en matière d'appréciation du besoin de mettre à niveau notre parc de logements -maisons individuelles comme immeubles collectifs, à destination locative comme pour occupation en propre. L'empreinte carbone liée à l'immobilier doit d'urgence être réduite. La loi Climat et résilience du 22 août 2021 a fixé un cap exigeant pour le parc locatif comme pour les copropriétés faisant suite à la loi Énergie climat du 8 novembre 2019.Tout au plus la séquence qui s'achève, marquée par le besoin d'ajuster un DPE conçu à marche forcée, doit-elle faire réfléchir sur la méthode d'adoption des réformes techniques. L'expérimentation devrait à l'avenir être préférée à la généralisation hâtive, fût-elle dictée par l'urgence climatique. Elle devrait en particulier inspirer la mise en place de l'audit énergétique, instrument de mesure plus précis et complet encore que le DPE. La loi « portant lutte contre le dérèglement climatique et le renforcement de la résilience contre ses effets » le rend obligatoire dès le 1er janvier 2022 pour les logements les plus énergivores. Il est appelé à s'imposer comme l'outil de référence d'évaluation et d'aide à l'amélioration de la performance environnementale. Il importe de se garder des faux pas, qui risquent de dissuader les ménages d'aller vers la vertu énergétique.Tribune de Thierry Marchand, président de la CDI-FNAIM (Linkedin)
Il y a 3 ans et 210 jours

Les solutions Rector en Maisons Individuelles pour des planchers RE 2020

Spécialiste de la fabrication d’éléments de plancher en béton précontraint et béton armé, RECTOR s’engage aux côtés de ses clients dans la réduction de l’impact environnemental en proposant, dès à présent, des solutions pensées pour répondre aux exigences de la RE2020. Ces dernières seront présentées sur le stand de RECTOR au salon ARTIBAT qui se tiendra à Rennes du 13 au 15 octobre 2021.Des solutions concrètes pour répondre aux principaux enjeux de la RE2020 en maisons individuellesPartenaire privilégié des Cmistes (Constructeurs de Maisons Individuelles) et leader sur ce marché depuis près de 70 ans, Rector propose la gamme la plus complète de solutions préfabriquées innovantes et optimisées, du soubassement aux toitures terrasse.Grâce à la pertinence de ses systèmes préfabriqués, Rector répond d’ores et déjà aux trois principaux enjeux de la RE2020 :Isolation et traitement des ponts thermiques pour chaque niveau de la maisonAvec sa gamme de planchers Equatio avec entrevous isolants (vide sanitaire, sous-sol, étage, toitures terrasses) associée à ses Box de rupteurs de ponts thermiques et leurs accessoires, Rector est l’un des seuls industriels à être capable de traiter l’ensemble des ponts thermiques du plancher en isolation 100% intégrée.Pour le vide sanitaire, Rector propose des combinaisons (planchers Equatio VS et entrevous isolants Rectosten) pour être au plus juste du PSI conforme à la réglementation RE2020, quelle que soit la zone climatique. Le département Recherche et Développement Rector a ainsi revu l’ensemble des calculs pour ajuster les performances des planchers aux nouvelles exigences de Bbio et proposer une gamme élargie d’entrevous à languette allant de l’up 40 à l’up 11.Les systèmes de planchers bas et à étage Rector avec isolation intégrée sont à privilégier par rapport à ceux avec isolation rapportée. En effet, en plus du gain de temps et de surface, ce type d’isolation permet l’application d’un revêtement directement sur la table de compression ou encore l’intégration d’un plancher chauffant/rafraîchissant directement sans chape.«Parce que nous avons pris en compte toutes les zones climatiques de France lors de nos études, nous sommes en capacité d’apporter des solutions pertinentes et standardisées, et d’accompagner tous nos clients lors de leur mise en œuvre pour des maisons conformes. Grâce à l’ajustement de nos solutions calculées au juste psi, l’atteinte des performances thermiques des planchers selon les seuils envisagés de la RE2020 est beaucoup plus simple», explique Côme Lesage, Responsable Marketing Stratégique.Maîtrise du bilan carboneNécessitant moins de béton pour leur fabrication et moins de transport pour les livrer sur les chantiers, les planchers préfabriqués Rector sont naturellement plus sobres en matière et bénéficient d’un impact environnemental réduit. Ils sont, en plus, dotés d’une durée de vie quasi-illimitée.Pour obtenir un bon bilan carbone, un plancher constitué de poutrelles précontraintes et d’hourdis Rector est une solution optimisée comparée à d’autres solutions telles que le dallage porté ou la dalle sur terre-plein.Enfin, Rector commercialise une gamme d’entrevous légers, en plastique 100% recyclé, en bois, pour le vide sanitaire ou les planchers en étage dont les formulations ont été pensées pour réduire l’impact carbone sur les chantiers. « Nous proposons à nos clients des solutions adaptées pour décarboner les planchers : Rectoplast Recyclé, Primolight et Rectolight ainsi que des montages mis au point pour chaque chantier », ajoute Côme Lesage.Au-delà de la composition de ses produits, Rector met au cœur de sa démarche l’économie circulaire, l’optimisation des transports, la gestion des ressources et des déchets en usine comme sur les chantiers de ses clients.Enfin, toutes les solutions de planchers préfabriqués Rector font l’objet de Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour assurer aux constructeurs et bureaux d’étude la qualité et les performances de systèmes.Prise en compte du confort d’étéRector lance une nouvelle gamme de plancher Equatio® chauffant rafraîchissant, issue de son partenariat avec Rehau.Tout en préservant l’inertie thermique du plancher, ce système, intégré dans la dalle, permet aux constructeurs de maisons individuelles d’offrir le confort à leurs clients, été comme hiver, tout en répondant à la RE2020.Avec l’ensemble de toutes ces solutions durables de planchers préfabriqués Rector, les professionnels de la maison individuelle ont l’assurance de faire le choix de la performance à coûts maîtrisés et de la conformité à la nouvelle réglementation.Pour en savoir consultez la page Rector sur Batinfo ou le site internet.
Il y a 3 ans et 211 jours

Nouvelle version NF Habitat HQE pour un parfait équilibre entre RE 2020 et qualité globale

La nouvelle version du référentiel, en vigueur dès le 1er octobre, met ainsi tout particulièrement l'accent sur la RE 2020, enjeu majeur pour la filière. Objectif : accompagner les acteurs dans une meilleure appropriation de la nouvelle réglementation, tout en veillant à maintenir l'équilibre avec l'ensemble des critères contribuant à la qualité globale d'un logement.Au-delà, ce nouveau millésime offre aussi aux promoteurs, bailleurs et constructeurs, la possibilité d'accéder à des profils de certification spécifiques, permettant de valoriser leurs stratégies de développement en adéquation avec les tendances émergentes du secteur.Une nouvelle version du référentiel pour accompagner et faciliter la mise en œuvre de la RE 2020, en maintenant un haut niveau de qualité globaleLa RE 2020, essentielle pour réduire les consommations énergétiques et les émissions carbone du logement, va considérablement faire évoluer les pratiques et les choix de conception. Elle représente en cela un défi de taille pour l'ensemble des acteurs du logement. Le référentiel NF Habitat - NF Habitat HQE les accompagne dans ce nouveau contexte, autour d'un objectif : faciliter la prise en main et la mise en œuvre de la RE 2020, sans jamais amoindrir la qualité globale des appartements et maisons. Pour ce faire :Les exigences de la RE 2020 sont totalement intégrées.Le risque éventuel de contreperformances est anticipé et limité : les éléments susceptibles de dégrader certains critères de qualité ont été analysés et identifiés (acoustique, confort hygrothermique...) et les exigences du référentiel adaptées pour agir et éviter ces contreperformances.En maison individuelle, une nouvelle mission de revue de conception, associée aux vérifications sur chantiers, est également introduite, pour vérifier et fiabiliser les éléments-clés de conception.Quant aux futurs acquéreurs, ils auront l'assurance que leur bien a été conçu et réalisé dans le strict respect de la RE 2020, dans une démarche globale et encadrée, tenant compte de l'ensemble des critères de qualité du logement : confort, qualité de vie, respect de l'environnement et performances économiques.« Les acteurs du logement doivent amorcer un virage important pour réduire les émissions carbone et les consommations d'énergie des ouvrages. Une évolution majeure, cristallisée par la RE 2020, en vigueur dès janvier prochain pour les constructions neuves. Un immense défi pour l'ensemble de la filière. L'enjeu, avec ce nouveau référentiel, est d'accompagner au mieux les acteurs dans cette transition, en les aidant à s'approprier pleinement cette nouvelle réglementation, sans que jamais cela ne soit au détriment de la qualité globale. » Pierre-Henri Julien - Directeur général de CERQUAL Qualitel CertificationDes profils de certification pour servir la stratégie des acteurs en matière de qualitéLa nouvelle version du référentiel offre aux promoteurs, bailleurs et constructeurs la possibilité de faire émerger davantage des engagements spécifiques, à travers des profils ciblés sur des exigences supplémentaires à celles du socle NF Habitat - NF Habitat HQE. Deux types de profils sont proposés :Un nouveau profil de certification personnalisé : les acteurs qui souhaitent renforcer leur démarche de certification sur un axe spécifique, peuvent sélectionner des exigences supérieures à atteindre en fonction de leurs préoccupations et orientations stratégiques.Les profils thématiques « clés-en-main » : Air Intérieur, Économie circulaire - Biodiversité - Bas carbone. Déjà accessibles aux promoteurs ou bailleurs, ces profils sont aujourd'hui également proposés à tous les professionnels qui construisent des maisons groupées. Un nouveau profil a par ailleurs été spécifiquement créé pour les maisons, individuelles ou groupées : le profil « Bien vivre », qui intègre des prestations supérieures répondant aux préoccupations-clés en matière de qualité de vie (eau, confort acoustique et visuel, fonctionnalités des lieux, services et transports, etc.).
Il y a 3 ans et 212 jours

Hoffmann Green Cement lance le H-Iona, son 4e ciment bas carbone

H-Iona est le dernier-né des ciments à empreinte carbone réduite de Hoffmann Green Cement Technologies. [©HGCT] Hoffmann Green Cement vient de mettre sur le marché le H-Iona, un tout nouveau ciment à empreinte carbone très réduite, inférieure à 150 kg/t. Soit près de cinq fois moins que la moyenne des ciments traditionnels produits aujourd’hui en France. Sa fabrication est assurée dans l’unité existante de Bournezeau, en Vendée, sur la base d’un mélange de laitier moulu de hauts fourneaux et de sulfate de calcium. A ce niveau, Hoffmann Green Cement a développé un système innovant d’activation spécifique, dans le prolongement des technologies déjà mises au point, notamment pour H-UKR. H-Iona est le premier ciment décarboné à obtenir le marquage CE. Cette quatrième technologie répond à l’ensemble des exigences mécaniques, physiques, chimiques et de durabilité de la norme NF EN 15743 &#8211; Ciment sursulfaté, composition, spécifications et critères de conformité &#8211; de juin 2015. C’est un ciment très clair de classe de résistance courante de 32,5 MPa à 28 j.&nbsp; Il est destiné à un grand nombre d’applications et permet la formulation de bétons armés ou non. Son utilisation est ainsi possible pour la construction de bâtiments industriels, de logements collectifs et de maisons individuelles. Mais aussi en génie civil et pour les travaux en grande masse. Le béton agricole et celui prévu pour les stations d’épuration ou la préfabrication légère constituent les autres domaines d’emploi possibles.&nbsp; Disponible en sacs de 25 kg « En lançant H-Iona, Hoffmann Green Cement poursuit sa démarche d’innovation continue. A travers cette technologie inédite, nous démocratisons l’accès au ciment décarboné. En effet, c’est la première fois que le grand public aura l’occasion d’utiliser un ciment de notre marque&nbsp;», déclarent Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de Hoffmann Green Cement Technologies. Pour ce faire, H-Iona sera proposé en sacs de 25 kg, en plus d’une commercialisation en vrac et en big bags de 1 t. A ce niveau, le groupe Ravate est le premier à en assurer la distribution, à travers plus de 40 points de vente, sur le secteur de l’océan Indien, entre La Réunion, Mayotte et l’île Maurice. Un contrat de distribution exclusif qui va générer des premières livraisons d’ici la fin de l’année. Et ainsi permettre de répondre à la forte demande pour cette nouvelle technologie, aussi bien de la part des professionnels de la construction que du grand public.&nbsp; Ce nouveau ciment H-Iona enrichit la gamme de produits développée par Hoffmann Green Cement, qui compte aussi trois autres technologies&nbsp;: H- UKR, H-P2A et H-Eva.
Il y a 3 ans et 214 jours

Artibat : Le rendez-vous des innovations

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine A n’en pas douter, Artibat sera le plus important salon du secteur du BTP en cette année 2021. [©ACPresse] Après plus de dix-huit mois de pandémie, accompagnés de son lot de contraintes &#8211; de distanciations sociales, de circulation, de rencontres -, les choses semblent rentrer tout doucement dans l’ordre. Ainsi, les premiers salons professionnels ont pu rouvrir leurs portes, apportant une belle bouffée d’oxygène, tant aux industriels exposants qu’à leurs visiteurs, ravis de se retrouver. Dans ce contexte, Artibat s’annonce déjà comme un grand rendez-vous. A n’en pas douter, il sera le plus important salon du secteur du BTP en cette année 2021. Quelque 1&nbsp;000 exposants français et européens ont signé pour avoir un stand et pas moins de 40&nbsp;000 visiteurs &#8211; dûment vaccinés ou testés négatifs &#8211; sont attendus dans les allées. Chacun s’y prépare avec enthousiasme. Pour patienter, Béton[s] le Magazine a opéré une petite sélection des nouveautés annoncées, à découvrir en vrai au 13 au 15 octobre prochain, au Parc des expositions de Rennes.&nbsp;L’occasion aussi de nous y retrouver, stand K 05, au cœur du hall 10B. Dossier préparé par Yann Butillon, Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki&nbsp; Mini sommaire : Aerolithys &#8211; Bétn Mousse Technologie : Un béton mousse sur placeATDV : Deux découpes électriquesCermix : Deux solutions de protection des bétonsCiments Calcia : Tourné vers le bas carboneDiam Industries : Carottage et sciageEdilteco : De plus en plus légèreEqiom : Une démarche responsableHeco-Schrauben : Une vis pour tous les climatsHusqvarna : Une série de nouveautésKP1 : 100 % en recycléMapei : Des nouveautés et une avant-premièreParexlanko : Un enduit biosourcé pour le patrimoineRector : Tout pour la maison individuelle de demainSaint-Gobain Weber : Une formule repenséeSika : Une fibre biosourcéeSchöck : Rupteurs virtuels et réelsVicat VPI : Un enduit pour la créativité Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 96
Il y a 3 ans et 214 jours

Juridique/Loi Elan : seuils, critères et mise en œuvre de la RE 2020

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. La RE 2020 s’appliquera aux permis de construire déposés à partir du 1er janvier 2022 et concernera aussi bien les constructions neuves que les ajouts de parties neuves sur des ouvrages déjà existants. [©ACPresse] La loi pour l’Evolution du logement, de l’aménagement et du numérique (loi Elan) n° 2018-1021 du 23 novembre 2018 a créé la réglementation environnementale RE 2020. Pour la filière de la construction, il s’agit d’une approche bien plus exigeante que la réglementation thermique RT 2012&#8230; D’une manière concrète, tous les bâtiments construits vont devoir produire de l’énergie, dans une quantité&nbsp;a minima égale à celle consommée (dépense énergétique de 0 kWh/m2/an). L’application de la RE 2020 ayant été reportée, cette nouvelle réglementation concernera&nbsp;in fine les permis de construire déposés à partir du 1erjanvier 2022. C’est-à-dire aussi bien les constructions neuves que les ajouts de parties neuves sur des ouvrages déjà existants. La RE 2020 se fonde sur deux mécanismes principaux&nbsp;: l’analyse de cycle de vie dynamique (I) et la mise en place de seuils maximaux d’émission de gaz à effet de serre et de consommation d’énergie (II).&nbsp; I &#8211; Analyse de cycle de vie dynamique et intégration des degrés-heures A &#8211; Analyse du cycle de vie dynamique La RE 2020 introduit le calcul de l’analyse du cycle de vie dynamique1, qui additionne les impacts carbone estimés de tous les matériaux et équipements utilisés dans un bâtiment. Les émissions de gaz à effet de serre liées au chantier lui-même sont aussi prises en compte dans le calcul (engins de chantier comme bases de vie). Il s’agit donc d’une forte incitation à utiliser des matériaux, techniques et équipements alternatifs. Mais aussi à préférer les industriels engagés dans la décarbonation de leurs processus, à recourir à des matériaux géo-sourcés (qui nécessitent peu d’étapes de transformation et bénéficient d’un fort taux de réemploi ou de recyclage), et d’innover par la mixité des matériaux. B &#8211; Seuil maximal de degrés-heures Afin de prendre en compte les effets du changement climatique, un indicateur de confort d’été exprimé en degrés-heures (DH)2doit de plus être calculé lors de la conception du bâtiment. La RE 2020 fixe une fourchette de 350 à 1 250 DH, sous peine de pénalités de calcul de la performance énergétique du bâtiment. Les solutions de climatisation passive sont ainsi fortement encouragées.&nbsp; II &#8211; Création de seuils maximaux pour les constructions A &#8211; Seuil maximal d’émission de gaz à effet de serre et réduction du Bbio Par rapport aux exigences de la RT 2012, le seuil maximal pour le besoin bioclimatique des logements est abaissé de 30 %. Néanmoins, le seuil de Bbio n’est abaissé que de 20 % pour les maisons d’une surface inférieure ou égale à 70 m2. Et pour les logements collectifs dont la surface totale est inférieure ou égale à 500 m2. Un seuil maximal d’émission de gaz à effet de serre est aussi fixé. Pour les maisons individuelles, il est limité à 4 kgCO2/m2/an et exclut ainsi les systèmes exclusivement au gaz. Pour les logements collectifs, il ne doit pas dépasser 14 kgCO2/an/m2dès 2022, puis à 6,5 kgCO2/m2/an dès 2025. B- Seuil maximal de consommation d’énergie primaire non renouvelable Par ailleurs, la RE 2020 systématise le recours à la chaleur renouvelable par la mise en place d’un seuil maximal de consommation d’énergie primaire non renouvelable. L’idée est d’empêcher un retour massif du radiateur électrique au plus fort de l’hiver. Ainsi, ce seuil est de 55 kWhep/m2/an dans le logement résidentiel individuel, et de 70 kWhep/m2/an en collectif. Le cas des réseaux de chaleur fait néanmoins l’objet d’un régime particulier, afin de leur donner le temps de réaliser les investissements nécessaires à leur décarbonation. Ainsi, pour les logements collectifs chauffés via un réseau de chaleur existant, le seuil est abaissé à 8 kgCO2/an/m2 à compter de 2025, puis à 6,5 kgCO2/an/m2à partir de 2028. Pierre LacoinAvocat à la CourCabinet 1792 Avocats 1Label E+C&#8211;avec pondération des matériaux en fonction de l’année réelle d’émission des gaz (coefficient variant de 1 pour l’année de livraison à 0,59 pour la 50eannée postérieure). 2Nombre d’heures par an durant lesquelles le bâtiment dépasse le seuil de 28 °C le jour et 26 °C la nuit, multiplié par la différence entre la température simulée et l’écart avec la limite de 28 °C ou 26 °C.&nbsp; Retrouvez aussi le dossier sur le bas carbone et la RE 2020 dans Béton[s] le Magazine n°96 Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 214 jours

Rector : Tout pour la maison individuelle de demain

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Rector propose une multitude de solutions pour la maison individuelle, répondant aux exigences de la RE 2020. [©Rector] A l’occasion d’Artibat, Rector met en avant ses solutions pour la maison individuelle. Et plus particulièrement ses produits répondant à la RE 2020. En effet, l’industriel veut montrer qu’il peut déjà répondre aux trois grands enjeux de la nouvelle réglementation. A savoir, la performance énergétique, la maîtrise du bilan carbone et le confort d’été. Par exemple, dans le premier volet de la RE 2020, Rector propose tout un système complet. Ce dernier est composé de la gamme de planchers Equatio avec entrevous isolant, de rupteurs et autres accessoires, pour traiter l’ensemble des ponts thermiques du plancher en isolation 100 % intégrée. Concernant l’empreinte carbone, l’industriel met en avant les avantages de la préfabrication. De plus,&nbsp;« nous proposons à nos clients des solutions adaptées pour décarboner les planchers&nbsp;: Rectoplast Recyclé, Primolight et Rectolight, ainsi que des montages mis au point pour chaque chantier&nbsp;», explique Côme Lesage, responsable marketing stratégique. Enfin, Rector lance une toute nouvelle gamme de planchers Equatio chauffant et rafraîchissant issus du partenariat avec Rehau. Intégré dans la dalle, ce système permet un confort d’été et d’hiver, tout en répondant à la RE 2020.&nbsp; Sur Artibat : Hall 10B &#8211; Stand G45 Retrouvez l’ensemble du dossier sur les innovations d’Artibat