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Il y a 3 ans et 195 jours

K-Ops, la plateforme collaborative qui optimise le suivi de chantier de construction arrive en France

Pour pallier ces contraintes, qui engendrent une augmentation notable des coûts, la startup Pharonyx cofondée par Hugo Brizard et Samuel Godbout, a lancé K-Ops, une solution collaborative de suivi de chan7er en temps réel qui facilite la gestion et l'exécution des projets.Après avoir développé le marché Nord Américain, K-Ops se lance aujourd’hui sur le marché Français de la construction. Désormais présent sur 3 continents, K-Ops c’est aujourd’hui plus de 1.700 projets gérés, et plus de 2.000 utilisateurs quotidiens.K-Ops, l’outil digital pour un meilleur suivi de chantierLancée en 2018 à Montréal, K-Ops est la solution digitale qui a été pensée et conçue pour faciliter le suivi de chantier. Constructeurs, architectes, artisans, ingénieurs, maîtres d’ouvrage, professionnels spécialisés du bâtiment... La solution simple et intuitive, répond aux différentes problématiques récurrentes rencontrées par tous les acteurs de la construction. Gestion et suivi des défauts, centralisation et accès à l’information, partage de documents, gestion des extras... sont autant de solutions apportées par la plateforme K-Ops.“Nous savons que les chantiers contiennent leurs lots de problèmes, qui représentent une perte de temps et d’argent colossale pour les entreprises de la construction. Équipes, chargés de projets ou inspecteurs..., sur les chantiers, tous prennent des photos, prennent des notes, qu’ils doivent ensuite retranscrire une fois de retour au bureau. La retranscription fait perdre plus d’une heure par jour par personne. C’est pourquoi nous avons conçu K-Ops, la solution qui permet de simplifier et d’optimiser le suivi de chantier et de maximiser la rentabilité.” ajoute Hugo Brizard, cofondateur de la solution K-Ops, société Pharonyx.Avec son application intuitive K-Ops, la startup Pharonyx vient moderniser les outils de suivi de chantier des professionnels bien souvent désuets...“Plusieurs dizaines de milliers d’euros gagnés / chantier” :Au bout de quelques mois d’utilisation, les bénéfices pour les professionnels se font déjà sentir. Outre l’économie de temps, la meilleure visualisation et uniformisation des projets et une meilleure communication, K-Ops permet de gagner, par projet, en moyenne 5 heures par semaine soit environ plus de 8.380€ (soit plus de 12.500$ CAD) par utilisateur. Aussi, plus il y a d'utilisateurs et de projets dans K-Ops, plus le gain est élevé.“L’objectif premier de K-Ops est de rendre le suivi de chantier simple, efficace et rentable. Par exemple, un rapport quotidien de chantier effectué manuellement peut prendre jusqu’à 1h. Un rapport doit être fait par projet, généralement de façon quotidienne, et ce pour chaque acteur concerné (maîtres d’oeuvres, inspecteurs...). En moyenne K-Ops permet d’économiser environ 70 euros par rapport/personne. Il faut bien sûr multiplier cela par le nombre de chantiers, de jours, et de ressources concernées par les rapports...” ajoute Hugo Brizard.Une application complète avec des fonctionnalités simple d’utilisation:Avec K-Ops, disponible à la fois sur mobile et desktop, les professionnels de la construction peuvent, à portée de main:Accéder à une vue d’ensemble en temps réel sur les projets et chantiers en cours via un tableau de bordTravailler de façon collaborative avec les différents tiers concernés (collaborateurs, ouvriers, fournisseurs, particuliers...) sur toutes les phases du projet en gérant et assignant des tâches et documentsCentraliser tous les documents liés au chantier (photos, plans, contrats), sans limite de taille et de les historiserAnnoter et approuver les documents directement en ligne en quelques clicsPartager des photos de chantier pour documenter et suivre l’évolution du chantierGérer les équipements du chantier et garder le contrôle sur leur mise en placeÊtre notifiés et peuvent alerter les défauts ou problèmes rencontrés (retards, produits manquants ou défectueux, non conformités...)Historiser les documents et actions du chantier et ainsi obtenir une protection en cas de litigeCréer et recevoir des rapports journaliers sur le suivi de chantierA noter qu’en plus d’une prise en main facile et rapide par tous les utilisateurs, K-Ops possède une API permettant son intégration avec toutes les applications existantes du marché.A date, la startup accompagne de grands noms sur le marché québécois comme la ville de Montréal, des commissions scolaires de grande envergure ou encore le promoteur immobilier Montréalais Prével. Après avoir fait ses preuves sur le marché Nord Américain, la société Pharonyx souhaite à présent développer sa solution K-Ops sur le marché Français et Européen.
Il y a 3 ans et 197 jours

"Contrat d'engagement jeune", mode d'emploi

Que prévoit le CEJ ?Le Contrat d'engagement jeune se substitue à la Garantie jeunes, lancée en janvier 2017 pour favoriser l'accès à l'emploi des 16-25 ans. Il s'agit d'harmoniser les dispositifs d'aide existants et de proposer un suivi plus intensif et individualisé.D'une durée de neuf à 18 mois, la Garantie jeunes, pilotée par les missions locales, proposait un accompagnement intensif pendant les six premières semaines. Le CEJ, qui pourra durer de six à douze mois, entend proposer "un accompagnement intensif de bout en bout", avec une activité obligatoire de 15 à 20 heures par semaine.Contrat aidé, atelier de curriculum vitae, prépa apprentissage, formation, etc.: c'est en résumé tout l'éventail des solutions proposées par la plateforme "1 jeune, 1 solution" qui sera "enveloppé" dans ce dispositif. Il pourra être proposé par les 900 agences de Pôle emploi et les 1.400 missions locales, ainsi que par d'autres organismes publics ou privés.Une application mobile permettra à chaque bénéficiaire d'échanger avec un référent dédié, de s'informer et de faire la preuve de son "assiduité" et de sa "motivation", selon le gouvernement.Les jeunes détachés fiscalement ou rattachés à un foyer non imposable pourront bénéficier d'une allocation allant jusqu'à 500 euros. Et, fait nouveau par rapport à la Garantie jeunes, les jeunes rattachés à un foyer imposable, de tranche I, pourront également toucher une allocation d'un montant de 300 euros par mois.A qui s'adresse le contrat d'engagement ?Le CEJ s'adresse aux jeunes de moins de 26 ans qui sont "durablement sans emploi, ni formation, souvent par manque de ressources financières, sociales et familiales et qui souhaitent s'engager activement dans un parcours vers l'emploi". Il concerne en priorité les majeurs même si les 16-17 ans pourront exceptionnellement être aidés.Le gouvernement estime qu'ils sont 500.000, parmi le million de jeunes NEET (ni en emploi ni en formation ni en études), à ne pas être "en mesure de trouver seuls un emploi, bien qu'ils veuillent travailler".L'objectif du gouvernement est d'aider 400.000 d'entre eux en 2022, deux fois plus que les 200.000 jeunes devant bénéficier de la Garantie jeunes en 2021. A noter que l'Accompagnement intensif des jeunes (AIJ), piloté par Pôle emploi, et qui peut durer six mois maximum, a pour ambition d'aider 240.000 jeunes en 2021.Quel est le coût de la mesure ?Le Contrat d'engagement jeune représente un investissement de 2,6 milliards d'euros, dont 2,050 milliards d'euros font partie des 5,4 milliards d'euros du budget du plan "1 jeune, 1 solution", et 550 millions d'euros supplémentaires qui viendront abonder par amendement le projet de loi de finance 2022.Cette somme est destinée à financer "les solutions de formations et d'activités supplémentaires dont nous avons besoin (...), le coût de l'allocation (150 millions d'euros) et le renforcement de Pôle emploi", a détaillé le Premier ministre Jean Castex.Matignon précise que les effectifs de Pôle emploi seront renforcés à hauteur de 900 emplois équivalent temps plein en CDI, et que les missions locales recevront une subvention complémentaire de 75 millions d'euros. Au total, ce sont 100 millions d'euros de plus qui seront consacrés aux services publics de l'emploi.Quelles critiques se font jour ?La mesure a été vivement critiquée à droite de l'échiquier politique, LR dénonçant une logique d'"assistanat" et un "chèque de plus" à l'approche de l'élection présidentielle.La gauche, le secteur de l'insertion et les associations de jeunesse pointent du doigt une mesure aux ambitions rabotées, qui concerne trop peu de jeunes, avec une logique de durée qui ne permet pas de se "stabiliser", et un discours qui fait la part belle à la logique des "droits et devoirs" quand le fait de disposer d'un revenu minimum devrait selon eux être un droit.Dans un contexte d'embellie économique, le gouvernement assume de se centrer "sur les jeunes qui en ont réellement besoin et qui sont éloignés de l'emploi", a souligné M. Castex. "Nous pensons et nous avons toujours pensé que le travail, l'activité (...) sont des valeurs centrales dans la société", a-t-il fait valoir.
Il y a 3 ans et 199 jours

Le chiffre d'affaires de Saint-Gobain gonflé par la hausse des prix et la reprise du bâtiment

Au troisième trimestre 2021, Saint Gobain a réalisé un chiffre d'affaires de 10,8 milliards d'euros, en hausse de 6,7% par rapport aux trois mois équivalents de 2020, portant à 32,9 milliards d'euros le chiffre des ventes sur les neuf premiers mois, soit un bond de 18,1% par rapport à la période équivalente de 2020.Le consensus des analystes de Factset tablait sur un chiffre d'affaires trimestriel de 10,67 milliards.Le groupe "confirme la très forte progression de son résultat d'exploitation à un nouveau plus haut historique" en 2021, indique le groupe.Saint-Gobain a maintenu la révision en hausse de ses coûts en énergie et matières premières pour 2021 en raison de l'inflation dans le secteur, soit environ 1,5 milliard d'euros sur l'année, au lieu de 1,1 milliard annoncé fin juillet.Mais porté surtout par la hausse de ses propres prix de vente, il se dit "confiant dans sa capacité à compenser l'inflation" sur l'ensemble de l'année, "étant donné la forte accélération de la hausse des prix à +8,7% au troisième trimestre par rapport à la période équivalente de 2020".En Europe du Nord, son principal marché, le chiffre d'affaires a progressé de 12% sur le trimestre à 3,8 milliards d'euros, plus que ce qu'attendaient les analystes, grâce à une "forte accélération des hausses de prix".Les pays nordiques ont enregistré une "solide croissance", en particulier dans les solutions de construction légère sur le marché "porteur" de la rénovation.Le rythme de croissance en Allemagne a décéléré compte tenu de l'impact du recul du marché automobile sur la demande de verre, même si la construction modulaire reste "bien orientée", indique le communiqué.Au Royaume-Uni, la croissance a été tirée "exclusivement par les prix" dans un marché "perturbé par des difficultés de chaînes d'approvisionnement".En Europe du Sud (qui inclut le Moyen Orient et l'Afrique), les ventes du groupe se sont élevées à 3,15 milliards d'euros, soit quasiment autant que ce qu'attendaient les analystes (3,17 milliards d'euros).En France, Saint-Gobain a continué d'observer de "bonnes tendances", soutenues par le marché de la rénovation, et surtout les incitations à la rénovation énergétique impulsées par le plan de relance de l'économie. 400.000 dossiers de demande d'aide publique (MaPrimeRenov') ont été déposés en France depuis le début de l'année, indique le groupe qui compte sur la rénovation de bâtiments publics en 2022.Interrogé par les analystes sur la poursuite de la hausse des prix de matériaux d'ici la fin de l'année, le directeur général du groupe Benoit Bazin a répondu qu'il s'agissait d'une "priorité" pour le groupe, qui bénéficie d'une bonne "acceptation" de ses clients.Le titre Saint Gobain, coté au CAC40, a progressé de 0,89% jeudi à 60,89 euros, dans un marché en hausse de 0,75%.
Il y a 3 ans et 199 jours

Et si l'usine du futur s'adaptait toute seule à la demande ?

Emmanuel Macron se rend lundi dans l'entreprise Sileane à Saint-Etienne, spécialisée en robotique, vision et intelligence artificielle, pour promouvoir les initiatives du récent plan d'investissements France 2030 dans ce domaine, indique-t-on au cabinet de la ministre de l'Industrie Agnès Pannier-Runacher.En avril 2019, les députés Bruno Bonnell et de Catherine Simon s'inquiétaient dans un rapport ("Robotique et systèmes intelligents") d'un retard français dans la robotisation des processus industriels, source de perte de compétitivité dans des secteurs-clés.L'enjeu est énorme. Car à elle-seule, la Chine, usine du monde, représente un tiers de la demande mondiale en terme de robots industriels, selon la banque d'affaires Bryan Garnier spécialisée dans les technologies.La France, qui souhaite relocaliser une partie de son industrie, est en 7e position mondiale pour le nombre de robots, derrière la Chine, le Japon, les Etats-Unis, la Corée du Sud, l'Allemagne et l'Italie, selon la Fédération Internationale de la robotique (IFR) basée à Francfort en Allemagne.Et avec des machines âgées en moyenne de 17 ans dans les PME industrielles françaises, Bercy se désole de voir qu'une partie des 8.000 projets de modernisation qui ont pu voir le jour grâce au guichet "industrie du futur" du plan de relance en 2020, n'aient pas bénéficié à des constructeurs français."Robotique adaptative"Raison pour laquelle le plan France 2030 consacre un budget pour aider à la production de robots et à la structuration de projets locaux autour de sites industriels.L'usine Sileane prise en modèle par Emmanuel Macron lundi pratique la "robotique adaptative", c'est-à-dire l'intelligence artificielle.Agée d'une vingtaine d'années et employant une centaine de personnes, elle produit notamment des robots qui conditionnent des poches de perfusion pour le domaine médical, ou qui gèrent les déchets dans le domaine nucléaire. Ils sont conçus pour gérer des situations imprévisibles, capables, si les choses ne se passent pas comme prévu, de s'ajuster et d'évoluer."Nous avons besoin d'usines plus flexibles, capables de se reconfigurer pour faire face à des brutales variations de la demande", explique Thierry Weil, conseiller au groupe de réflexion "La fabrique de l'industrie" et animateur de la chaire "Futurs de l'industrie et du travail" à Mines Paris, PSL.En clair, des "usines intelligentes" avec des chaînes d'assemblage qui "croisent intelligence artificielle, robotique et objets connectés", ajoute Stéphane Pezeril, directeur Innovation et recherche d'Ausy, cabinet de conseil du groupe Randstad, dans le livre blanc de l'industrie pour 2030 publié par Randstad."On a vu pendant la crise du Covid des constructeurs ou des équipementiers automobiles fabriquer des respirateurs. Il savent assembler des pièces de métal et de plastique, de l'électronique et des ventilateurs, mais ils faut pouvoir reconfigurer rapidement des machines polyvalentes comme les robots et réarranger les lignes de production" dit-il.Reste la lourde et délicate question de l'emploi. Est-ce que cette automatisation industrielle risque de "détruire" demain tous les emplois industriels humains? Un rapport du Sénat "demain les robots" s'en inquiétait en décembre 2019.La réponse n'est pas facile. Dans un premier temps, l'aide à la modernisation industrielle va au moins permettre une augmentation de 30% des formations en alternance, dont une partie dans la robotique.L'entreprise Technics Développement Robotique, située à Lallaing dans les Hauts-de-France (20 salariés) et spécialisée dans la robotisation des PME, a notamment bénéficié d'une aide exceptionnelle pour recruter quatre personnes dont trois apprentis en alternance issus de formations professionnelles en robotique ou en ingénierie d'automatisation et d'informatique grâce au dispositif "un jeune, une solution".
Il y a 3 ans et 203 jours

L’entreprise française Humidistop prend le virage du 100% digital et poursuit son développement malgré la crise

Leur secret ? Avoir su faire preuve d’agilité en s’adaptant aux enjeux actuels et en investissant pour accélérer leur transition digitale. Un pari qui au départ pouvait sembler audacieux mais qui s’est finalement avéré largement rentable.L’exemple du spécialiste français des produits contre l’humidité, Humidistop France, est particulièrement flagrant.Face à la crise sanitaire, la société toulousaine a immédiatement décidé de réagir en transformant toute son organisation sanitaire.« Nous avons délibérément choisi d’abandonner les visites au domicile des particuliers, qui étaient pourtant jusque-là notre principal vecteur de vente. A la place, nous avons opté pour un modèle 100% digital reposant sur un diagnostic par téléphone et des commandes en ligne. » William COIGNARD, le fondateurCette stratégie s’est avérée gagnante : aujourd’hui Humidistop est en pleine croissance malgré la crise et continue son expansion à l’international.Le digital, un véritable accélérateur de croissance à l’ère de la Covid-19Au moment où troisième vague épidémique contraignait le Gouvernement à reconfiner davantage de départements et à adopter de nouvelles contraintes sanitaires, Humidistop développait une stratégie qui pour intégrer les règles de distanciations sociales.Son approche en ligne est également en phase avec le “monde d’après”, dans la mesure où les Français utilisent désormais massivement Internet et les téléphones mobiles.Cette société française dynamique s’est donc dotée d’un nouveau site internet qui lui a permis d’étendre son offre à l’ensemble de la France et aux pays voisins.Humidistop propose ainsi :Un diagnostic à distance gratuit, pour identifier le problème et trouver la solution adaptée : Tâches & moisissures, Inondation & dégâts des eaux, Buée & condensation excessive, Salpêtre et mur humide, Façade, sous-sol ou cave humide.Des prix “direct usine” ultra-compétitifs afin de démocratiser l’accès aux produits contre les remontées capillaires et l’humidité dans les murs dans tous les types de bâtiments (églises, bureaux, appartements et maisons) pour résoudre définitivement les problèmes d’humidité.Une boutique en ligne intuitive et performante pour commander des appareils anti-humidité d’une redoutable efficacité.La fabrication française des inverseurs de polarité contre l’humidité dans les murs.Pour les pros : des solutions alternatives pour tous les travaux de rénovation via Help HumiditéDepuis février dernier, Humidistop a confié la distribution de ses produits aux professionnels à la société Help Humidité, qui dispose également d’une boutique en ligne.Cette démarche leur permet d’élargir leur offre en proposant des alternatives complémentaires aux travaux de rénovation. Les inverseurs de polarité STOP ONE (électromagnétique) et GEOSTOP (géomagnétique) conviennent en effet à tous les types d’habitation et à tous les budgets.« Nos produits sont appréciés par les particuliers pour leur faible coût, leur rapidité d’installation et leur efficacité. En ce sens elles représentent une forte valeur ajoutée pour tous les professionnels de l’habitat. » William COIGNARDZoom sur les produits phares HumidistopSTOP ONE : l’inverseur de polarité électromagnétiquePour lutter contre l’humidité dans les murs, cet appareil simple et efficace se branche à une prise de terre, à poser ou à fixer dans la zone humide, sans toucher à la maçonnerie.Le ratio d’émission de STOP-ONE s’étend de 30m2 à plusieurs centaines de mètres carrés selon la version installée et fonctionne à travers les murs et cloisons.L’assèchement des murs s’effectue ensuite par évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et le suivi des recommandations).STOP-ONE est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1 100 € (selon le modèle choisi).GEOSTOP : l’inverseur de polarité géomagnétiqueLa centrale géomagnétique GEOSTOP ne nécessite aucun travaux, ni batterie, ni branchement sur secteur. Ce boitier cylindrique fonctionne uniquement avec l’énergie des champs électromagnétiques.Complètement autonome, il permet d’assécher les murs grâce à l’évaporation naturelle de l’humidité (entre 12 et 24 mois selon les spécificités du bâtiment et du suivi des recommandations).GEOSTOP est disponible en 2 coloris. Prix : à partir de 1100 € selon le modèle choisi.Humidistop : plus de 10 ans d’expertise dans le traitement de l’humiditéWilliam Coignard crée sa société Humidistop France en février 2012.Constatant que plus d’un foyer sur deux connaît des problèmes d’humidité et que les solutions existantes semblent toujours inaccessibles ou trop coûteuses, il choisit d’investir ses compétences dans ce domaine encore mal développé. Il participe activement au traitement de l’humidité dans les bâtiments : infiltrations, remontées capillaires, moisissures, salpêtre, humidité de l’air, dégât des eaux...Au fil des années, des interventions et des progrès de la science, il élargit l’éventail de ses possibilités et connaît rapidement une forte croissance. Plus que sa motivation commerciale, c’est aussi ses convictions qui le pousse à se dépasser.Entreprise certifiée QUALIBAT, Humidistop intervient auprès des particuliers, des maîtres d’ouvrages, DGS, des assureurs, des syndics, mais aussi directement auprès des médias. William Coignard intervient régulièrement dans les médias pour toutes les questions relatives aux problèmes d’humidité.Aujourd’hui, Humidistop ambitionne de continuer à développer ses diagnostics à distance gratuits et la vente de ses produits via son nouveau site web.« Entrepreneur militant, je suis en lutte contre les phénomènes d’humidité et je souhaite rendre le traitement contre l’humidité accessible à tous. Je vais au-delà d’une simple démarche commerciale de vente de produits. » William COIGNARD
Il y a 3 ans et 203 jours

Naissance de Tersen, filiale de Colas et acteur engagé de la valorisation

Les sociétés Cosson, Picheta et SMS fusionnent pour donner naissance à “Tersen”. [©Colas] Depuis plus de 30 ans, les sociétés Cosson, Picheta et SMS accompagnent les acteurs du BTP. Elles s’unissent aujourd’hui sous l’entité Tersen. Ceci, pour renforcer leur capacité à relever les défis de la valorisation des déchets de construction. En effet, les chantiers de déconstruction et d’aménagement génèrent plusieurs Mt/an de déchets et de terre en France. Leur extraction et leur traitement sont un véritable casse-tête pour les entreprises et les collectivités. Qui luttent contre les décharges sauvages. Tersen : Pour la préservation des ressources naturelles Tersen exerce ainsi des activités d’extraction et de valorisation des matériaux. Ainsi que de gestion des déchets du secteur du BTP. Ainsi, elle compte plus de 50 installations sur le territoire francilien. A savoir, installations de stockage de déchets (ISDI et ISDND), plates-formes de recyclage et négoces de matériaux. Ansi que déchetteries professionnelles EcoTri, installations de concassage mobiles, carrières. Cette entité a pour ambition de réinventer les cycles de vie des matériaux de chantiers. Ceci, en s’appuyant sur un processus global d’économie circulaire, le renforcement de son maillage territorial et une stratégie d’innovation. Ceci, pour préserver les ressources naturelles. « Nous avons toujours été convaincus que les matériaux issus des chantiers d’aménagement et de la déconstruction constituaient une opportunité de repenser notre modèle. Et ce, dans une approche plus vertueuse pour la société et pour la planète. Avec Tersen, nous passons un nouveau cap pour amplifier l’impact positif de nos actions sur le territoire »,explique Didier Manseau, directeur général Colas France – territoire Ile-de-France – Normandie, maison-mère de Tersen.
Il y a 3 ans et 204 jours

Girpav aux 24 Heures du Mans

Quelque 150 pavés sur mesure signés Girpav trônent au sein du village du circuit des 24 Heures du Mans. [©Méhat Girpav] Sarthe. L’industriel Girpav est positionné comme un spécialiste des produits en béton destinés à l’aménagement extérieur. Ceci, depuis plus de 75 ans. Son expertise lui a permis de prendre pied sur le mythique circuit des 24 Heures du Mans, dans la Sarthe. En effet, l’industriel a fourni des pavés sur mesure en coloris Cobaltium (gris clair), à l’occasion de l’évènement solidaire “24h United”, organisé par l’Automobile Club de l’Ouest. Au total, ce sont 150 pavés – dont 60 personnalisés – comportant les noms et prénoms des mécènes ayant fait un don en faveur de l’European Society of Intensive Care Medicine (ESICM), société européenne de soins intensifs. Ces éléments ont été posés au cœur du village du mythique circuit des 24 Heures du Mans. Une véritable fierté pour Girpav, retenu ici pour sa proposition technique et la qualité de ses produits fabriqués en France. Et même tout près du circuit… En effet, l’industriel vient d’ouvrir sa nouvelle usine à moins de 25 km au Nord du Mans, complétant ainsi ses implantations nationales. 
Il y a 3 ans et 205 jours

DOM-TSS lance sa solution de visio-assistance DOM-Live

Quels que soient les secteurs d’activité, la transformation digitale des services prend de plus en plus d’ampleur. Elle s’est même accélérée depuis la crise sanitaire. Avec pour priorité quotidienne la satisfaction de ses clients, DOM-TSS s’inscrit dans cette tendance et présente DOM-Live, son nouveau service d’assistance vidéo à distance qui allie simplicité, rapidité et efficacité. Sur le marché des serrures, il existe une multitude de variantes en fonction des applications. Qu’il s’agisse de sécuriser du mobilier (bureau, atelier…), de protéger des équipements et des personnes dans le secteur de l’énergie ou des transports (ferroviaire, automobile…), le nombre de références est considérable. Aussi, dans le cadre d’un remplacement, par exemple, il est parfois compliqué pour les partenaires de DOM-TSS d’identifier rapidement le bon modèle. Grâce à DOM-Live, le nouveau service de visio-assistance proposé par DOM-TSS, ils peuvent résoudre à distance, en direct, et donc très rapidement ce type de problématique. Pour cela rien de plus simple, il suffit au client de contacter le service commercial de DOM-TSS pour recevoir par SMS ou e-mail un lien sur lequel il n’a plus qu’à cliquer pour lancer une communication vidéo en temps réel. Grâce à la caméra de son smartphone, il peut alors montrer le produit concerné et suivre les indications du conseiller technique DOM-TSS en toute simplicité, comme s’il était à ses côtés. En visualisant en temps réel ce que filme la caméra du téléphone de son client, l’interlocuteur DOM-TSS le guide pour prendre les dimensions importantes d’une serrure et ainsi identifier la bonne solution de verrouillage. Il peut également apporter des annotations sur une photo du produit et transmettre des fichiers et documentations. Très facile à utiliser, le nouveau service de visio-assistance DOM-Live de DOM-TSS garantit aux professionnels d’être dépannés encore plus vite, où qu’ils soient, et ainsi de gagner en efficacité. http://www.ronis.fr/
Il y a 3 ans et 205 jours

Chronique du Geek – Les applications d’octobre 2021 – N° Spécial Réalité Augmentée

En ce mois d’octobre, le Geek propose une édition spéciale Réalité Augmentée avec cinq applications mobiles qui permettent soit de découvrir cet univers soit d’approfondir le sujet et d’appliquer à l’architecture ces technologies passionnantes.  Pour l’architecture ARki Éditeur : Darf Design LTD Captures d’écrans Description La réalité augmentée appliquée à l’architecture ARki est l’application mobile […] L’article Chronique du Geek – Les applications d’octobre 2021 – N° Spécial Réalité Augmentée est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 207 jours

Premier « Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP »

Elle permet de s’adapter aux nouveaux besoins et également de repenser les problématiques liées à la prévention et de toujours améliorer la performance des entreprises. Avoir une vision claire des tendances d’innovation est ainsi devenu une nécessité stratégique pour l’ensemble des acteurs du secteur du BTP.Dans cette optique, Impulse Partners, CCCA-BTP et l’OPPBTP, acteurs engagés au service du secteur du BTP, se sont associés pour réaliser et publier un « Observatoire des tendances d’innovation du BTP ». Celui-ci décrypte les grandes tendances d’innovation, leurs impacts sur les métiers, la sécurité, la prévention et la formation.Son objectif est de permettre à tous les acteurs de la filière, qu’ils soient industriels, constructeurs, entreprises, grandes ou petites, mais aussi centres de formation, fédérations et organisations professionnelles, de comprendre et d’appréhender au mieux les principaux champs d’innovation à l’oeuvre dans le secteur, pour en faire un vecteur de transformation positive et durable. Pour cela, il sera enrichi régulièrement et diffusé chaque année.Les objectifs majeurs de l'innovationGrâce à une étude approfondie des acteurs de l’innovation dans le BTP, l’Observatoire révèle que les grandes tendances d’innovation se concentrent autour de trois objectifs majeurs :Accroître la productivité des entreprisesTrois tendances majeures transforment les métiers du BTP : les solutions de construction hors site permettent de réaliser 80 % de la production en usine, ce qui fait évoluer massivement les métiers, les méthodes de production et les risques qui y sont associés. Les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et ouvrages (capteurs IoT, plateformes BOS…) offrent l’opportunité de saisir de nouveaux marchés dans le smart building avec une très haute valeur ajoutée pour les métiers concernés. Enfin, les outils d’édition et de partage du jumeau numérique constituent l’un des leviers de la modernisation des métiers et renforcent la sécurité sur les chantiers.Réaliser des ouvrages de meilleure qualitéLa qualité des ouvrages repose sur leur conformité au cahier des charges, leur performance et l’impact environnemental des chantiers. Les solutions favorables à l’emploi du matériau bois, de plus en plus sollicité, bouleverse les chaînes de valeur traditionnelles et exigent des compétences nouvelles (logistique, levage, réglage…). Les plateformes et outils pour le réemploi constituent également un levier de transformation majeur, en particulier pour la filière déconstruction. Par ailleurs, les outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité accompagnent les professionnels dans une démarche de lean management et de contrôle qualité continu, vecteurs de productivité et de prévention des risques.Améliorer la sécurité sur les chantiersEnfin, l’amélioration de la sécurité sur les chantiers exige une anticipation des risques en amont ainsi qu’une gestion de ceux-ci au cours des travaux. Pour y parvenir, les EPI connectés et les dispositifs de détection des accidents (capteurs, robots caméra, intelligence artificiels) mobilisent un grand nombre d’acteurs de l’innovation, du fait de leur très fort impact sur la réduction du risque d’accident. En outre, les outils digitaux pour la formation des professionnels, tels que les outils e-learning ou utilisant la réalité virtuelle, permettent de former les collaborateurs aux bonnes pratiques et de les sensibiliser aux différents risques du chantier.Un Observatoire de l’innovation qui s’inscrit dans les missions du CCCA-BTP et de l’OPPBTPAfin de s’adapter aux évolutions majeures qui impactent le secteur (transition écologique, digitalisation…), l’innovation est au coeur des enjeux du BTP. Le CCCA-BTP et l’OPPBTP sont tous deux mobilisés pour accompagner son développement et aider l’ensemble des acteurs à s’en saisir pour en tirer tous les bénéfices. D’une part, le CCCA-BTP, premier acteur de l’apprentissage en France, a pour mission d’anticiper les métiers de demain et l’évolution des compétences pour adapter les parcours de formation et ainsi mieux répondre aux besoins des entreprises de la construction. D’autre part, en tant qu’organisme de branche, l’OPPBTP se positionne comme un moteur pour détecter, accompagner et promouvoir l’innovation au profit de l’ensemble des acteurs du secteur. L’analyse des tendances d’innovation sous l’angle de la santé-sécurité lui permet d’adapter les actions de prévention à mener au plus proche des problématiques émergentes. Dans ce cadre, l’Observatoire des tendances d’innovation du BTP représente un précieux outil de veille pour décrypter les tendances de la filière. Il permet à la fois de mettre en lumière le rôle de la formation dans l’évolution des compétences et d’apprécier les conséquences de l’innovation sur les métiers et les problématiques de sécurité. Sa promotion auprès de tous les acteurs est essentielle pour leur permettre d’évoluer collectivement vers une plus grande performance opérationnelle.Une méthodologie basée sur une étude des acteurs de l’innovation dans le BTPLe CCCA-BTP, l’OPPBTP et Impulse Partners ont décidé d’appuyer cet Observatoire sur les 222 start-up recensées au sein de l’écosystème d’Impulse Partners. En effet, celles-ci se développent depuis plusieurs années à un rythme accéléré et leurs champs d’action constituent un précieux révélateur des transformations en cours dans le BTP. L’ensemble des start-up a été regroupé en 41 champs d’innovation. Pour chacun de ces champs d’innovation, l’observatoire détaille les enjeux majeurs et les principaux outils et solutions développés par les innovateurs pour y répondre. La dynamique économique de chaque champ d’innovation a également été mesurée selon trois indicateurs clefs : le nombre de start-up, le chiffre d’affaires cumulé des acteurs et le volume de fonds levés par ceux-ci. Par ailleurs, l’observatoire donne une estimation du potentiel de transformation pour la filière, sur le plan des métiers, de l’impact en matière de prévention, ainsi qu’en termes de besoins nouveaux de formation pour les professionnels.Enfin, les partenaires ont également interrogé plusieurs professionnels représentant des grandes entreprises, entreprises de tailles intermédiaires, fédérations ou organisations représentatives de toute la profession :David Amadon, Directeur technique de la CAPEB Nationale ;Guillaume Bazouin, Responsable start-up et programme intrapreneuriat au sein de Leonard ;Mathieu Boussoussou, Responsable innovations durables au sein d’Eiffage Construction ;Valérie Cassous, Membre du directoire et directrice communication du groupe Cassous ;Jonathan Chemouil, Directeur innovation technique au sein de Demathieu Bard ;Dominique Chevillard, Directeur technique et de la recherche de la FNTP ;Christian Cremona, Directeur technique et R&D au sein de Bouygues Construction ;Isabelle Dubois-Brugger, R&D et Innovation Manager au sein de LafargeHolcim ;Marc Esposito, Directeur du Lab GSE ;Antoine Gibour, Directeur stratégie, marketing et innovation au sein de Léon Grosse ;Claire Guidi, Chargée de mission FFB ;Philippe Robart, Directeur technique de l’OPPBTP.Ces interviews ont largement guidé la structuration de l’observatoire et ont permis de collecter l’avis du marché sur les innovations recensées.Des tendances structurées autour de trois principaux objectifs : la productivité, la qualité et la sécuritéL’étude des 41 champs d’innovation et les échanges avec les entreprises ont permis aux trois partenaires de mettre en évidence trois objectifs majeurs à toutes démarches d’innovation dans le BTP, non exclusifs les uns des autres : atteindre un plus haut niveau de productivité, de qualité et de sécurité. Pour avancer dans chacune de ces directions, les acteurs peuvent mettre en oeuvre différents leviers d’action qui rassemblent plusieurs champs d’innovation complémentaires.Une plus grande productivité des entreprisesL’un des principaux défis pour le secteur du BTP est sa faible productivité. Il s’agit de l’un des seuls secteurs de l’économie dont la productivité n’a pas augmenté ces 20 dernières années, mais a au contraire baissé en Europe. Sur l’ensemble de la chaîne de valeur, industriels, concepteurs, constructeurs, exploitants de bâtiments et d’infrastructures cherchent à réduire leurs coûts pour consolider leurs marges. La productivité est donc le premier objectif majeur qui pousse à innover dans le secteur.L’observatoire fait ressortir six principaux leviers d’action : la maîtrise des coûts du foncier, des matières premières, de la main-d’oeuvre, des frais généraux des entreprises, des coûts d’usage des ouvrages, ainsi que la réduction du poids économique des équipements et de la logistique. Il révèle également que les trois champs d’innovation en faveur d’une plus grande productivité des entreprises les plus dynamiques sur le plan économique sont :✓ Les outils d’édition et de partage du jumeau numérique, qui permettent de partager l’information entre les différentes parties prenantes d’un projet de construction et d’assurer un suivi continu de l’information sur le cycle de vie d’un ouvrage. Ils s’imposent sur les grands projets de construction depuis plusieurs années et constituent l’un des principaux leviers de la transformation digitale et industrielle du secteur.✓ Les outils digitaux collaboratifs de suivi de chantier. Simples, mobiles et adaptés aux process et méthodes actuelles, ces outils digitaux permettent de digitaliser et d’optimiser le travail du chef ou du directeur de chantier pour assurer un suivi de l’avancement des tâches et partager les informations entre tous les acteurs.✓ Les dispositifs de pilotage intelligent des équipements et ouvrages, tels que les capteurs IoT ou les plateformes Building Operating Systems. Ces dispositifs permettent d’optimiser les consommations énergétiques, d’organiser une meilleure gestion des déchets, d’assurer un confort aux usagers et de réduire les coûts d’exploitation. Ils ont également un fort potentiel de transformation des métiers du BTP vers des métiers à très haute valeur ajoutée.✓ Par ailleurs, l’observatoire fait ressortir les solutions de construction hors site parmi les champs d’innovation à fort potentiel de transformation des métiers du secteur, puisqu’elles permettent de réaliser 80 % de la production, ce qui développe fortement la productivité.Des ouvrages de meilleure qualitéLe deuxième enjeu majeur pour le secteur est l’amélioration de son niveau global de qualité. Les exigences de la maîtrise d’ouvrage se renforçant dans de nombreux domaines, cette exigence de qualité ne s’évalue plus seulement sur la simple conformité à un cahier des charges fonctionnel, mais aussi sur un nombre croissant de critères de performance (dont l’impact environnemental). Cette qualité s’évalue bien sûr sur l’ouvrage lui-même sur toute sa durée de vie, mais aussi au travers de critères propres aux chantiers (impact sur l’environnement, nuisances…).✓ Les outils de suivi d’avancement et de contrôle de conformité apparaissent comme étant à la fois les solutions innovantes les plus dynamiques et parmi les plus transformatrices du secteur. Elles permettent de détecter les erreurs de mise en oeuvre éventuelles, pour les corriger rapidement, afin d’en réduire les coûts et d’assurer que le construit est conforme au conçu.Parmi les champs d’innovation pour une meilleure qualité des ouvrages les plus dynamiques économiquement, on trouve également :✓ Les solutions pour la qualité de l’air : pour améliorer la santé et le confort des occupants, des capteurs IoT, des plateformes d’analyse des données et de simulation de la qualité de l’air se développent. Cette dynamique a par ailleurs été renforcée par le contexte de la crise sanitaire qui a placé cette problématique au coeur des enjeux du bâtiment.✓ Les solutions pour l’usage de nouvelles énergies sur les chantiers tels que les solutions hydrogène, les biocarburants ou l’électrification des engins et matériels, qui permettent de réduire les consommations d’énergie non renouvelables et les émissions de gaz à effet de serre.Enfin, les champs d’innovation pour la qualité au plus haut potentiel de transformation du secteur sont :✓ Les solutions favorables à l’emploi du matériaux bois, de plus en plus sollicité du fait de ses atouts écologiques et environnementaux. La construction bois est souvent synonyme de construction industrialisée et bouleverse à ce titre les chaînes de valeur traditionnelles. Le chantier bois exige par ailleurs des compétences nouvelles (logistique, levage, réglage…) pour des acteurs qui historiquement ont une meilleure maîtrise de la construction en béton.✓ Les plateformes et outils pour le réemploi. Le réemploi constitue un challenge important pour les fabricants de matériaux et leurs distributeurs, mais aussi un levier de transformation majeur pour la filière déconstruction, afin de permettre un démontage propre et sélectif des matériaux pouvant être réemployés.Un accroissement de la sécurité sur les chantiersLa sécurité sur les chantiers est un enjeu de progrès continu pour toutes les entreprises du BTP. Le secteur comporte en effet encore de nombreux risques contre lesquels des politiques de prévention, renforcées par l’innovation, peuvent être efficaces. Plusieurs champs d’innovation favorables à la productivité et à la qualité ont aussi un impact positif sur la sécurité. De plus, certains champs d’innovation peuvent être totalement focalisés sur ces enjeux de sécurité. Les deux leviers d’action identifiés pour accroître la sécurité sur les chantiers sont l’anticipation des risques en amont, ainsi que leur gestion pendant les travaux.L’observatoire fait ressortir trois champs d’innovation, qui sont à la fois les plus dynamiques et les plus transformateurs pour le secteur en matière de sécurité :Les EPI connectés : les équipements de protection individuelle sont de plus en plus connectés, afin de renforcer la sécurité des compagnons au-delà des protections dites classiques. Ils permettent, par exemple, d’alerter en cas de situations de danger (fuites de gaz, éboulement, etc.), de réduire les accidents Homme/machine, ou d’effectuer un suivi en temps réel des compagnons.Les dispositifs de détection des accidents : grâce à des outils tels que des capteurs, des robots caméras ou l’intelligence artificielle, de nombreux dispositifs permettent de réduire les accidents sur site en analysant les situations à risque, ou d’intervenir rapidement s’ils ont lieu.Les outils digitaux pour la formation des professionnels : on estime aujourd’hui à 430 000 les besoins annuels en formation initiale et continue. Ces nouveaux outils ont pour objectif de massifier la formation et de la rendre la plus impactante possible au travers de nouvelles méthodes pédagogiques (outils e-learning, formations en réalité virtuelle et augmentée, outils d’ancrage qui cumulent présentiel et digital…). Ils permettent de former les collaborateurs aux bonnes pratiques et de les sensibiliser aux différents risques du chantier.« Innover aujourd’hui dans notre secteur c’est aussi repenser les enjeux de prévention et de sécurité pour en faire des atouts pour la performance des entreprises. C’est aussi intégrer très tôt les besoins de formation et d’évolution de compétences. C’est le sens de notre partenariat avec l’OPPBTP et le CCCA-BTP dans la réalisation de cet observatoire. » Antoine Thuillier, Associé Impulse Partners.« En tant qu’Organisme de prévention des risques du BTP, nous sommes convaincus que la performance des chantiers rime avec prévention et que l’innovation technique est le premier facteur d’amélioration des conditions de sécurité et de travail. Sachons-nous saisir collectivement de cet observatoire des tendances d’innovation dans le BTP pour faire grandir la performance opérationnelle de nos chantiers et de nos opérateurs. » Paul Duphil, Secrétaire général de l’OPPBTP.« Le digital est un facilitateur, un accélérateur. Il est d’une aide précieuse dans le parcours de formation des jeunes et des professionnels qui se forment tout au long de leur vie professionnelle. Mais au-delà de la transformation intrinsèque des métiers, le digital peut être également un facilitateur de l’articulation et de la coordination dans la réalisation des projets : un catalyseur de productivité. Il favorise le décloisonnement entre les métiers, pour gagner en polyvalence et en transversalité et contribue également à une plus grande ouverture entre les sujets (smartcity, bien être, etc.) » Franck Le Nuellec, Directeur Marketing, Développement et Innovation Stratégique de CCCA-BTP.Le rapport complet de l’Observatoire des tendances d’innovation dans le BTP est disponible ici.
Il y a 3 ans et 211 jours

Philippe Colin, nouveau Dorh chez Lafarge France

Philippe Colin est le nouveau directeur de l’organisation et des ressources humaines. [©Lafarge] Lafarge France annonce la nomination de Philippe Colin au poste de directeur de l’organisation et des ressources humaines (Dorh). Membre du comité de direction, il reporte directement à François Petry, président France. Philippe Colin possède une forte expertise pour accompagner la transformation de Lafarge France. Ayant mené à bien différents projets de transformation au cours de sa carrière dans plusieurs pays et avec des multinationales très exigeantes. Il dispose aussi d’une expérience en matière de conduite de changement : acquisitions, fusions… « Les hommes et les femmes de Lafarge sont passionnément engagés pour réussir la transition écologique de nos activités, en réinventant nos offres et nos process partout sur le territoire. Se mettre à leur service et les accompagner dans le changement est un challenge de taille pour toute organisation RH. Et c’est une grande fierté que de rejoindre l’entreprise à cette période cruciale de son histoire », explique Philippe Colin. Le parcours de Philippe Colin Philippe Colin est titulaire d’une double maîtrise d’économie d’entreprise et d’information et communication. Il a commencé sa carrière chez l’équipementier automobile Valeo en 1993 où il a occupé différents postes en ressources humaines. Ceci, avant d’intégrer le groupe américain Tokheim spécialiste de ka conception et fabrication de pompes à essence et services B to B liés à la distribution de carburant, en tant que DRH. En 2003, il rejoint l’opérateur de télécom américain Liberty Global, comme DRH. Ceci, pour mener la fusion des câblo-opérateurs UPC et Noos. Puis, leur intégration au sein de SFR. C’est en 2008 qu’il part chez Office Depot à la direction des ressources humaines France. Avant d’élargir ses responsabilités à l’Europe du Sud, à l’Irlande et au Royaume-Uni. Puis, à toute l’Europe en 2014. Et ce, jusqu’au recentrage d’Office Depot sur l’Amérique du Nord et la vente de ses activités européennes.
Il y a 3 ans et 215 jours

Dualité urbaine, boulevard de Picpus à Paris par MAO

Pour Immobilière 3F maître d’ouvrage et un coût des travaux de 2,08 M€ HT, l’agence parisienne MAO (Mobile Architectural Office – Fabien Brissaud) a livré en mars 2021 boulevard de Picpus, à Paris (XIIe) 15 logements sociaux et un local d’activités (650 m²). Communiqué. La parcelle se trouve dans une situation urbaine riche mais contrainte. […] L’article Dualité urbaine, boulevard de Picpus à Paris par MAO est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 216 jours

Les installations de bornes de recharge pour véhicules électriques décollent

Un peu plus de 450 000 infrastructures de recharge pour véhicules électriques sont actuellement installées en France. Avec la fin de la vente de véhicules thermiques en 2040, le nombre d’automobiles vertes en circulation bondira, décuplant les besoins de points de recharge.
Il y a 3 ans et 217 jours

Comment réaliser une tiny house vraiment écologique ?

Comme son nom l’indique, la tiny house est une maison de toute petite taille. Ce type de construction a le vent en poupe, et pour cause : dans son espace intérieur, tout est optimisé ! Ainsi, aucune surface n’est perdue et vous ne consommez pas plus de chauffage que nécessaire. Mobile, la tiny house vous offre […]
Il y a 3 ans et 218 jours

Quatrième phase des travaux de restauration de la flèche de la cathédrale de Rouen

Alors que les trois premières étapes du chantier se sont achevées, l’échafaudage qui culminait jusqu’à présent à 85 mètres pourra atteindre 102 mètres de hauteur.La phase numéro 4 du chantier est lancéeCe chantier est un véritable challenge pour les équipes présentes sur place et qui s’attèlent au plus haut monument historique classé de France.Dans le cadre de cette nouvelle étape, l’ascenseur, donnant accès à l’échafaudage et mis en service jusqu’à aujourd’hui à 65 mètres, permettra désormais de monter à 85 mètres. Il est également prévu de déposer l’échafaudage de la phase 3 pour faire le montage simultané de la phase 4, en passant ainsi de 85 mètres à 102 mètres. Par ailleurs, comme à l’extérieur, l’échafaudage sera également implanté à l’intérieur à 85 mètres.Comme prévu depuis le début des travaux, l’échafaudage a été recouvert d’une bâche thermoformée dans l’objectif de protéger les plombages et permettre de travailler en toute sécurité pendant les intempéries. Une vraie prouesse technique, cet habillage devient nécessaire surtout à une telle altitude et dans une région comme la Normandie.Retour sur ce chantier d'envergure et sur les solutions techniques et sur-mesure de Tubesca-ComabiMonument emblématique du patrimoine français, la Cathédrale de Rouen fait l'objet de travaux de restauration depuis 2015 sur l'initiative de la DRAC de Haute-Normandie. Depuis 2016, les travaux se concentrent sur la flèche de l'édifice dans l'objectif de rénover les deux matériaux qui la composent : l'acier Corten® et la fonte. Pour rappel en 2016, TUBESCA-COMABI et Lanfry, entreprise de pierre de taille, ont répondu en groupement conjoint et solidaire et ont été retenues, pour la conception et l'installation d'un échafaudage de pied suspendu, en raison de leur expertise technique des monuments historiques et des chantiers hors norme.Pour la restauration de ce site atypique, à l'architecture complexe et asymétrique, la solution d'échafaudage retenue par TUBESCA-COMABI est le multidirectionnel M368 (en 8 positions). Il s'agit d'un produit 100% standard qui permet de répondre aux contraintes des formes géométriques et architecturales du bâtiment. Cependant, la solution d'assemblage sur-mesure fait toute la spécificité, la technicité et la particularité de ce chantier.Focus sur le multidirectionnel M368 de la flèche de la cathédrale de Rouen :échafaudage sur-mesure culminant à 152 mètres de haut (toutes phases cumulées).conçu pour supporter 500kg/m2 avec une charge mobile d’1,5 tonnes ; une résistance de 600kg/m2 sur les planchers.Pour en savoir plus : cliquez ici
Il y a 3 ans et 218 jours

Mobile architectural Office préfabrique 35 logements sur le site d'un ancien atelier du faubourg Saint-Antoine, à Paris

Dans le quartier du faubourg Saint-Antoine à Paris (XIIe), les 35 logements de Mobile Architectural Office se partagent la parcelle mono-orientée d'un ancien atelier d'ébénisterie. Aligné sur la rue Charrière, le bâtiment en R+5 profite de 35 m linéaires de façade et se dégage de ses mitoyennetés arrières […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 218 jours

Trophées Eiffel 2021 : Le palmarès en images

Dans le quartier du faubourg Saint-Antoine à Paris (XIIe), les 35 logements de Mobile Architectural Office se partagent la parcelle mono-orientée d'un ancien atelier d'ébénisterie. Aligné sur la rue Charrière, le bâtiment en R+5 profite de 35 m linéaires de façade et se dégage de ses mitoyennetés arrières […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 219 jours

Prise d'air : Parc construira le siège de Vinci à Rennes

Dans le quartier du faubourg Saint-Antoine à Paris (XIIe), les 35 logements de Mobile Architectural Office se partagent la parcelle mono-orientée d'un ancien atelier d'ébénisterie. Aligné sur la rue Charrière, le bâtiment en R+5 profite de 35 m linéaires de façade et se dégage de ses mitoyennetés arrières […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 219 jours

La Banque de France anticipe une croissance d'environ 2,3% au troisième trimestre

La Banque centrale française estime que l'activité "se situerait en octobre presque à 100% de son niveau d'avant-crise", selon son point de conjoncture publié lundi.Les chefs d'entreprises anticipent notamment une amélioration de l'activité dans l'industrie et les services, et une stabilisation dans le secteur du bâtiment.La Banque de France a ainsi confirmé sa prévision d'une croissance de 6,3% pour l'ensemble de 2021.L'Insee table, elle, sur une croissance de 2,7% au troisième trimestre, puis de 0,5% au quatrième, et de 6,25% sur l'ensemble de l'année 2021. Le gouvernement, lui, vient de rehausser sa prévision à 6,25% également.En septembre, l'activité globale a progressé, pour atteindre 99,5% de son niveau d'avant crise, mais elle est en légère baisse dans l'industrie, souligne la Banque de France.L'industrie souffre en effet de plus en plus de difficultés d'approvisionnement, puisqu'en septembre 56% des entreprises de ce secteur disent avoir été pénalisées, contre 51% en août.C'est vrai en particulier dans l'automobile, alors que de nombreux constructeurs ont dû réduire leur production faute de composants.Le taux d'utilisation des capacités de production y est ainsi tombé à 56%, contre 69% en août, très en deçà de la moyenne de l'ensemble des sous-secteurs industriels, qui était de 77% en septembre, très proche de son niveau d'avant-crise (78%).Dans les services, une embellie se dessine dans les activités de loisirs, de service à la personne et la restauration.Le secteur du bâtiment résiste désormais mieux aux difficultés d'approvisionnement, soutenu par des carnets de commande bien garnis.Ces difficultés d'approvisionnement s'accompagnent toujours d'une hausse des prix des matières premières et des produits finis. Mais "dans certains secteurs, les hausses de prix sont moins marquées que les mois précédents", souligne la Banque de France, citant l'automobile, la métallurgie, les produits en caoutchouc et le plastique.D'ailleurs, les chefs d'entreprises anticipent une hausse un peu plus modérée en octobre.Le gouvernement relève sa prévision de croissance pour cette année à 6,25%Conséquence d'une reprise économique plus dynamique qu'anticipé, le gouvernement a relevé sa prévision de croissance pour 2021, à 6,25%, contre 6% attendu précédemment, s'alignant ainsi sur les prévisions de la plupart des grandes institutions."La croissance est forte, elle est solide, elle est dynamique. Nous réviserons donc la prévision de croissance pour 2021, de 6 à 6,25%. Nous retrouverons en décembre 2021 le niveau d'activité d'avant-crise", a annoncé le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, à l'Assemblée nationale, devant les députés qui entamaient lundi après-midi l'examen du dernier budget du quinquennat.Le gouvernement s'aligne ainsi sans surprise sur la prévision de l'Insee et se rapproche de celles de la Banque de France (6,3%) ou de l'OCDE (6,3%) publiées en septembre.Ce rebond de l'économie française intervient après une récession historique en 2020 du fait de la crise sanitaire, qui a provoqué une chute de 8% du produit intérieur brut (PIB).Si le gouvernement affichait une volonté de "prudence" jusqu'ici, le succès de la campagne de vaccination et la mise en place du pass sanitaire cet été, sans trop de conséquences sur l'activité, lui permettent désormais de revoir légèrement ses ambitions.Après un début 2021 atone, du fait du maintien des restrictions sanitaires, l'activité est fortement repartie depuis la mi-mai. Elle devrait désormais retrouver d'ici la fin d'année son niveau de fin 2019, avancent les économistes comme le gouvernement.Outre un rebond mécanique avec la réouverture de nombreuses activités, le ministre de l'Economie y voit aussi le succès de "la politique économique" du gouvernement, des mesures de soutien au plan de relance, en passant par les choix économiques d'avant-crise.Signe révélateur mis largement en avant par l'exécutif ces dernières semaines: l'emploi se situe à des niveaux inédits. Le taux de chômage pourrait retomber à 7,6% au troisième trimestre, du jamais-vu depuis la crise financière de 2008."Plein emploi" sous deux ansAlors que le risque sanitaire semble s'éloigner pour l'instant, Bruno Le Maire a relevé trois nouveaux dangers pour l'économie française, dont le risque de conflit "exacerbé" entre les nations, qui doit conduire la France et l'Europe à reconstruire leur "indépendance", notamment industrielle.Emmanuel Macron présentera mardi dans cette optique un plan d'investissement, baptisé "France 2030", qui vise à financer le développement de technologies d'avenir (hydrogène, biotechnologies, espace, nucléaire, etc.).Les autres risques pointés par le ministre de l'Economie sont l'inflation, dont la poussée, tirée par les prix de l'énergie, grève le pouvoir d'achat des Français, et les difficultés de recrutement croissantes dans un certain nombre de secteurs (restauration, bâtiment, etc.)."Le plein emploi, nous pouvons y arriver sous deux ans", a affirmé Bruno Le Maire devant les députés, dans un discours aux accents de campagne électorale, à six mois de l'élection présidentielle.Il a aussi défendu le sérieux budgétaire du gouvernement, malgré l'explosion de la dette publique et du déficit durant la crise.Ce dernier, attendu jusqu'ici à 4,8% du PIB l'an prochain (après 8,4% cette année), devrait finalement avoisiner les 5%, le gouvernement devant encore prendre en compte les dépenses engendrées par le plan "France 2030", le futur revenu d'engagement promis pour les jeunes, que le gouvernement peine à finaliser, et les mesures de compensation face à la hausse des prix de l'énergie.
Il y a 3 ans et 219 jours

L'OPPBTP développe les solutions digitales de prévention pour accompagner toutes les entreprises du BTP

Dans ce contexte, l'organisme joue un rôle prépondérant pour anticiper les grandes transformations du BTP et aider les professionnels à évoluer avec elles. Parmi ces transformations, la digitalisation du secteur, que la crise sanitaire a par ailleurs accéléré, tient une place majeure.L'OPPBTP se positionne depuis plusieurs années comme un véritable moteur pour accompagner et accélérer cette transition au service de la prévention des professionnels.En faisant du digital l'un des cinq programmes prioritaires de son plan stratégique quinquennal Horizon 2020, l'OPPBTP a pris le sujet à bras le corps. Depuis plus de 5 ans, l'organisme développe un écosystème digital complet au service de la prévention, pour proposer à l'ensemble des professionnels du BTP des solutions qui portent leurs fruits. Compte tenu de l'usage du site PreventionBTP.fr par les professionnels, l'OPPBTP joue un rôle d'observatoire et est en mesure de décrypter, grâce aux datas recueillies par les outils digitaux, les préoccupations, centres d'intérêts et profil des professionnels du BTP vis-à-vis de la prévention des risques. Au vu de l'utilisation de la plateforme ces 5 dernières années, il ressort notamment que les préoccupations principales des professionnels concernent le pilotage de la prévention dans l'entreprise, suivi par la co-activité et le PPSPS. Du fait de la crise sanitaire, le risque biologique et épidémique arrive en troisième position, devant le risque amiante et le risque de chute de hauteur. On observe également une consommation de l'information en journée principalement, lorsque les professionnels sont en situation de travail, et une progression du visitorat sur mobile (31% du visitorat global début 2021 contre 16% en 2017).L'OPPBTP a également entièrement réinventé, avec l'aide des acteurs du secteur, preventionbtp.fr, la plateforme reconnue de prévention du bâtiment et des travaux publics. Son nouveau socle technologique, basé sur l'exploitation de la data, permet à l'OPPBTP d'affiner ses connaissances des acteurs du secteur et de proposer une offre d'outils et services au plus près des préoccupations réelles des entreprises du BTP. Grâce à de nombreux services, des contenus illustrés et une navigation entièrement personnalisée, chaque visiteur peut retrouver au fil de sa navigation des solutions et des conseils adaptés, immédiatement applicables sur le terrain ou dans son entreprise. Cette nouvelle expérience digitale permet ainsi aux professionnels d'améliorer leur culture prévention et les incite à passer rapidement à l'action.« Permettre d'engager facilement des actions de prévention et bénéficier d'un accompagnement personnalisé : tel est l'objectif majeur que l'OPPBTP compte atteindre grâce au digital. L'intérêt croissant que les professionnels ont pour ces solutions innovantes, dès lors qu'il s'agit d'outils simples, bien conçus et adaptés à leurs besoins, démontre le bien-fondé de cette stratégie qui participe à l'avancée de la prévention dans le BTP. Par ailleurs, le digital a encore une fois démontré toute sa puissance d'impact tout au long de la crise sanitaire. Il a facilité la coopération des acteurs pour élaborer le Guide de préconisations sanitaires et a permis de le diffuser massivement, puis de le mettre en œuvre à l'échelle nationale pour aider les professionnels à traverser une crise et des problématiques sans précédent. » Paul Duphil, Secrétaire général de l'OPPBTP.
Il y a 3 ans et 220 jours

Saint-Vincent-de-Paul à Paris : un laboratoire grandeur nature d'innovations urbaines

Dans le quartier du faubourg Saint-Antoine à Paris (XIIe), les 35 logements de Mobile Architectural Office se partagent la parcelle mono-orientée d'un ancien atelier d'ébénisterie. Aligné sur la rue Charrière, le bâtiment en R+5 profite de 35 m linéaires de façade et se dégage de ses mitoyennetés arrières […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 220 jours

Le Rustol dans tous ses états

Même si son aspect peut paraître déco, la rouille n’en reste pas moins un fléau qui détruit tout ce qu’elle attaque si on ne la maîtrise pas rapidement. Elle fait son travail de sape, lentement mais sûrement et sans action le support peut même disparaître.Professionnels, industriels, particuliers sont tous concernés. Il suffit d’agir pour prévenir ou corriger une fois l’attaque constatée et surtout ne jamais laisser la rouille s’installer ! Structures métalliques, meubles et objets en métal ferreux et même l’ossature d’une structure bois ou béton comportant des clous, sont la cible de la rouille. En cas d’attaque, ils risquent de se détériorer rapidement ou de voir des coulures disgracieuses altérer le support. Il faut agir en prévention et en protection.Pourquoi la rouille apparaît à coup sûr sur le métal ferreux non protégé ?La rouille est une réaction d’oxydation qui apparaît sur du métal ferreux lorsque celui-ci est en contact avec de l’air ou de l’humidité : le fer s’oxyde et devient de la rouille. Le processus s’accélère en présence d’eau ou d’humidité. Une fois la formation de rouille démarrée, elle n’arrête pas de se propager. Pour arrêter le phénomène, il faut l’éliminer et protéger l’ensemble de la structure concernée. En amont, il est possible de prévenir son apparition en protégeant les parties métalliques du support.Agir - prévenir, protéger ou rénover les ouvrages en métal ferreux : Quelles options avec quelle action ?Détruire, transformer, neutraliser, explications pour chaque action :Les destructeurs de rouille détruisent la rouille en mettant le métal à nu pour le débarrasser entièrement de la rouille formée. Il faut ensuite appliquer une protection sur l’ouvrage afin que le métal ne soit pas de nouveau attaqué.À savoir : l’étape nettoyage des particules du destructeur, avant l’application d’une protection, amène de fait de l’humidité risquant ainsi de renouer avec le cycle de formation de rouille.Les transformateurs de rouille transforment l’oxyde de fer en un autre oxyde de fer plus stable qui va mieux résister à l’oxydation. Néanmoins, cette transformation ne garantit pas l’exclusion d’un nouveau repiquage car des points de rouille restent toujours dans le support et pourront permettre à la rouille de redémarrer. Par ailleurs, le film laissé par le transformateur peut se décoller facilement obligeant à une nouvelle application.Neutraliser : le principe consiste à stopper la rouille à l’intérieur du support en l’imprégnant pour bloquer le process et stabiliser l’ensemble. Dans ce cas l’ouvrage est protégé dans la durée contre toute reprise.Chez Durieu, l’antirouille légendaire RUSTOL travaille en neutralisateur : il imprègne le support, se diffuse et neutralise toutes les particules de rouille.Il était une fois le Rustol…Le RUSTOL naît en France en 1956 d’une collaboration entre Durieu et une société américaine. À l’origine le RUSTOL est formulé pour l’automobile et notamment les garages où il apporte enfin la solution pour protéger les bas de caisse et toutes les parties délicates des automobiles et des cycles. Il entre ensuite dans l’industrie (bâtiment, marine, automobile…) et les magasins de bricolage.Aujourd’hui, toujours à la pointe de la technologie et fruit d’une expertise jamais égalée, le RUSTOL affiche les qualités essentielles attendues d’un antirouille : une protection longue durée, un produit tout en un qui stabilise et une utilisation à la portée de tous…RUSTOL le secret : aucune action chimique, à base d’huiles végétales naturelles et sans aucun pigment toxique, son arme tient en son pouvoir d’imprégnation. Ni destructeur ni transformateur, il travaille de l’intérieur pour aller neutraliser la rouille partout où elle se trouve et l’empêcher de repartir.Rustol en 3 mots : imprégner, neutraliser, durerIMPRÉGNER : grâce à son formidable pouvoir d’imprégnation et d’auto étalement, le RUSTOL s’infiltre partout dans le support et traque les particules de rouille.NEUTRALISER : dès qu’il est en présence de particules de rouille, RUSTOL les enrobe et fait corps avec elles pour former en séchant un film protecteur ultra-souple et isolant. La rouille est neutralisée et stoppée de l’intérieur. Le support devient imperméable à l’air et l’humidité.DURER : la protection est totale et durable : une fois dans le support, le RUSTOL continue à se propager après l’application grâce à son pouvoir d’imprégnation et reste actif jusqu’à ce que toutes les particules de rouille soient encapsulées.À savoir : sur des structures bois contenant des clous oxydables, il suffit d’une passe de RUSTOL pour prévenir d’une attaque de rouille sur les clous.Malin : additionné aux peintures, le RUSTOL les rend antirouilles, leur donne une meilleure adhérence tout en permettant aussi de retarder le temps de prise.Et pour décorer : le Rustol-DécoÀ base de RUSTOL, le RUSTOL-DÉCO bénéficie de ses qualités exceptionnelles d’imprégnation et s’applique directement sur la rouille ou sur toute surface oxydée (une fois cette dernière nettoyée et débarrassée de tous résidus de rouille instables). De même il vient protéger les supports neufs pour prévenir la rouille en garantissant un maximum d’adhérence et une protection à toute épreuve contre la corrosion.Comme avec le RUSTOL qui neutralise toutes les particules de rouille de l’intérieur, le RUSTOL-DÉCO imprègne le support à coeur pour isoler les particules de rouille du reste du support qui est ainsi protégé durablement contre toute attaque ou reprise de rouille, en même temps qu’il le décore avec ses 10 teintes essentielles.Pour plus d'info, consultez la page Rustol sur Batinfo ou le site Rustol.
Il y a 3 ans et 224 jours

L'inflation devrait rester "un peu supérieure" à 2% jusqu'en décembre, selon l'Insee

Dans son dernier point de conjoncture, l'Institut national de la statistique maintient en revanche inchangée sa prévision de croissance pour 2021, soit de l'ordre de +6,25%, après -8% en 2020.Alors que les prix à la consommation ont augmenté de 2,1% (estimation provisoire sur un an) au mois de septembre, après 1,9% en août, l'Insee estime que l'inflation "resterait un peu supérieure à 2% jusqu'en décembre".Cette hausse des prix "atteindrait 2,3% en octobre puis refluerait légèrement (2,1% prévu en décembre), sous l'hypothèse conventionnelle d'un prix du pétrole fixé à 75 dollars le baril de Brent et d'une stabilité des autres cours de matières premières", est-il indiqué."La principale raison ce sont les prix de l'énergie qui reflètent la hausse du prix du pétrole, qui se transmet de façon quasi immédiate sur les prix à la consommation", a résumé Olivier Simon, chef de la division synthèse conjoncturelle, lors d'une conférence de presse.D'ici la fin de l'année, l'Insee confirme que l'activité économique va retrouver "globalement - mais sans le dépasser, contrairement à l'emploi - son niveau d'avant-crise".L'Insee prévient toutefois que des contrastes sectoriels vont persister au second semestre, notamment pour certaines branches comme l'automobile, qui vont "rester pénalisées par des difficultés aiguës d'approvisionnement". Dans les services, l'activité devrait également rester en-deçà du niveau d'avant-crise dans l'hébergement, la restauration, les loisirs ou les transports.Concernant la consommation des ménages, l'Insee estime qu'elle devrait retrouver "tout juste, en fin d'année, son niveau de deux ans auparavant", avec +4% au troisième trimestre puis +1,5% au quatrième, soit un rebond annuel de 4,1% en 2021, après une chute de 7,2% en 2020.Quant aux exportations, elles devraient fin 2021 atteindre 93% de leur niveau du quatrième trimestre 2019, tandis que les importations devraient retrouver "un niveau quasi identique à celui d'avant crise".
Il y a 3 ans et 224 jours

Proximus teste avec succès à Bruxelles une nouvelle antenne en verre d'AGC pour une meilleure connectivité

L'antenne en verre WAVEATTOCH a été conçue pour s'installer directement sur les façades vitrées. Une fois mise en place, elle contribue à améliorer la couverture et la capacité des réseaux mobiles, y compris les réseaux 5G. Les résultats des tests ont montré que cette solution innovante peut contribuer à répondre à la demande croissante d'accès Internet mobile à haut débit, principalement en milieu urbain.Proximus lance une plate-forme d'innovation dédiée au 5G sur laquelle l'opérateur entend collaborer avec différents acteurs du marché tels qu'AGC afin de développer des solutions novatrices capables de répondre aux besoins actuels de la société et des entreprises. Proximus entend ainsi accélérer le déploiement du 5G et garantir la stabilité autant que la qualité de la connectivité mobile à un moment où la consommation mobile de données croît de façon exponentielle. Les opérateurs mobiles font face à de nombreux défis. Pour la demande de débits plus élevés et de latence plus faible, le développement de nouveaux réseaux, dont le 5G, appelle l'installation d'un plus grand nombre d'antennes. Trouver de nouveaux sites pour l'installation d'antennes est toutefois une gageure étant donné la multitude de sites déjà occupés, tout particulièrement dans des centres urbains denses tels que Bruxelles. Les limitations actuelles en matière d'EMF empêchent d'ajouter des antennes aux sites existants. Les toits et les murs de nombreuses habitations et immeubles dans les centres urbains sont d'ailleurs déjà truffés d'antennes, de câbles et de transmetteurs apparents – une situation peu désirable. Proximus et AGC ont uni leurs forces pour montrer l'efficacité et les excellentes performances de WAVEATTOCH, une nouvelle antenne en verre mise au point par AGC. S'intégrant parfaitement aux façades des immeubles, l'antenne WAVEATTOCH peut de plus être déployée rapidement et à faible coût par les opérateurs en raison de sa simplicité d'installation. En outre, la nouvelle antenne en verre est transparente et s'installe à l'intérieur (tout en offrant une couverture à l'extérieur), s'insérant discrètement et harmonieusement dans l'environnement urbain alentour. Tout cela fait du dispositif transparent WAVEATTOCH une alternative de choix aux antennes apparentes dans les centres des villes afin de mettre des services de données mobiles plus efficaces et plus rapides à la disposition d'un plus grand nombre de personnes.L'antenne WAVEATTOCH se prête à la plupart des fréquences de télécommunication utilisées en Belgique pour les différentes génération de réseau (2G, 3G, 4G, 5G). À côté de WAVEATTOCH, AGC a également mis au point les technologies GIL (Glass Interface Layer) et WAVETHRU, ce qui permet l'installation des antennes WAVEATTOCH sur des façades à vitrage isolant de tout type et garantit le respect des limites réglementaires en matière d'émissions EMF. Bernard Monville, Head of WAVE Venture, explique : « Les antennes en verre peuvent être installées à des hauteurs inférieures et demandent moins de puissance de transmission pour couvrir les zones urbaines à forte densité. Proximus peut ainsi répondre aux normes EMF. »L'antenne en verre testée sur la Tour Proximus est une antenne 5G (3,7 GHz, 4x4 MiMo) connectée au réseau 5G de Proximus. Elle a été développée au Centre de recherche d'AGC à Gosselies en Belgique, un laboratoire ultra-moderne où sont notamment développées et testées des verres à antennes intégrées (pour le bâtiment et l'automobile) destinées à répondre aux besoins croissants en connectivité. Geert Standaert, Chief Technology Officer chez Proximus, indique : « Nous allons poursuivre nos tests avec AGC, car le potentiel de ces produits en agglomération, en milieu urbain dense et dans les espaces intérieurs semble très prometteur. Nous comptons bien lancer de nouveaux projets à l'avenir. »
Il y a 3 ans et 225 jours

Stellantis Sochaux contruit l'une des plus grandes centrales solaires en ombrières de France

Le projet prévoit l'installation de près de 64.000 modules photovoltaïques sur le parking des expéditions de l'usine sochalienne, qui peut accueillir jusqu'à 10.000 véhicules, sur une surface de 22 hectares particulièrement bien ensoleillée, ont précisé les mêmes sources.La centrale développera une puissance de 29 mégawatts-crête (MWc), soit l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 13.300 habitants, ou de 30% de l'usine Stellantis de Sochaux, ajoute-t-on.Les panneaux photovoltaïques sont installés par l'énergéticien Engie Green, qui prendra en charge l'investissement de 36 millions d'euros et assurera l'exploitation pendant 30 ans. L'électricité produite sera ensuite livrée sur le réseau d'Enedis en 20.000 volts.Le chantier a débuté en septembre 2020 et la mise en service totale de la centrale est prévue en octobre 2022. Il s'agit de l'un des plus importants projets de centrale photovoltaïque en ombrières en cours en France, qui permettra d'éviter l'émission de 1.000 tonnes de CO2.C'est un projet "emblématique" par l'importance de la surface disponible pour l'installation des ombrières qui abriteront les véhicules, a estimé lors d'une conférence de presse sur le site Christine Lafaix, directrice chez Engie Green, leader français sur l'activité éolienne et photovoltaïque.L'initiative s'inscrit dans le projet de modernisation "Sochaux 2022" de l'usine historique et centenaire de PSA, devenue Stellantis après la fusion du groupe français avec Fiat Chrysler Automobiles.Pour Stellantis, cette installation permet de "valoriser notre foncier", note Didier Edelblutte, pilote du projet au sein du groupe.Le constructeur veut parvenir à "un site neutre en carbone" et "nous sommes complètement engagés dans cette démarche" de développement durable, souligne Frédéric Maliczak, directeur des services techniques de l'usine Stellantis de Sochaux.Selon Luc Vignal, responsable bâti et ombrières chez Engie Green, cette installation va par ailleurs permettre de générer 130.000 euros de revenus par an pour les collectivités locales grâce à la fiscalité engendrée par l'exploitation du projet.
Il y a 3 ans et 234 jours

Expoprotection Sécurité 2021 présente le Village Cyberprévention

Dix exposants expertsAvant de cliquerAvant de Cliquer développe une culture de cybersécurité avec un programme autonome, accessible à tous, immédiatement opérationnel et inter services. Cette solution Saas développe des algorithmes intelligents associant audit de vulnérabilité, plateforme de e-learning, envoi de mails d'apprentissage et process d'alerte cyber pour les SI.CaeirusCaeirus est un cabinet d'expertise spécialisé en cybersécurité accompagnant les entreprises face aux problématiques sécurité SI. L'équipe d'experts réalise des tests d'intrusion, propose un SOC managé et conseillent les directions SI sur les enjeux en cybersécurité.Cyber4uCyber4U est le 1er centre de cybersécurité dédié aux organismes et ETI. Ils proposent des offres de service packagées et managées ainsi qu'un accompagnement personnalisé avec des experts sécurité à temps partagé : RSSI, DPO, architectes, analystes SOC, etc. Tous les métiers de la sécurité sont réunis en une offre de confiance accessible à tous dans leur centre disponible 24/24 et 7/7.GatewatcherGateWatcher est un éditeur français spécialisé dans la détection des intrusions avancées. Son modèle de protection associe plusieurs technologies à l'IA pour offrir une approche multi-vecteurs couvrant toutes les techniques d'attaque et en mesure d'identifier les éléments propres à chaque type de menace pour une protection optimale.KeopassKeoPass est un dispositif autonome universel et ultra-sécurisé d'authentification biométrique destiné tant au contrôle d'accès physique (remplacement de clés et badges) qu'au contrôle d'accès logique (remplacement de mots de passe) sur tout type d'appareil fixe ou mobile sans modification logicielle.Upfront technologiesUpfront Technologies décèle les éventuelles failles de sécurité dans les SI en proposant différentes prestations : installation de réseau informatique Virtual Desktop Infrastructure, réalisation de tests d'intrusion, mise en place et configuration de pare-feu dans des réseaux d'entreprise, réalisation d'audits internes sécurité Wi-Fi, formations...CNPP CybersécuritéLes experts CNPP Cybersécurité sont au service de la sécurité des systèmes d'information.Audit & Conseil : évaluer le niveau de sécurité et de conformité des SI et accompagner les entreprises.Sensibilisations et formations certifiantes Forensic : analyser et expertiser ; recherches de causes, de preuves et récupération de données.Cybermalveillance.gouv.frCybermalveillance.gouv.fr est le dispositif national d'assistance aux victimes d'actes de cybermalveillance, de sensibilisation aux risques numériques et d'observation de la menace sur le territoire français. Ses publics sont les particuliers, les entreprise (hors OIV/OSE) et les collectivités territoriales.Direction centrale de la Police JudiciaireLa sous-direction de la lutte contre la cybercriminalité, service de police judiciaire, développe une expertise en matière de prévention et de répression des infractions commises sur internet et dispose sur tout la France d'un réseau des référents cybermenaces au service du tissu économique local.Fédération française de la cybersécuritéLa Fédération Française de la Cybersécurité a pour objet de rassembler les acteurs directs ou indirects de la Cybersécurité en France pour leur apporter un soutien et des services utiles à leur fonctionnement et promouvoir la défense du tissu économique Français.Des conférences dédiées à la thématique CyberpréventionUn programme de 6 conférences est proposé aux visiteurs sur différentes thématiques : Les technologies de ruptures au service de la sécurité globale ; Sensibilisation et assistance aux victimes de Cybermalveillance : présentation du dispositif national ; Cyberattaques : comment lutter dans le respect du cadre règlementaire européen ? ; Panorama de la cybercriminalité : les bonnes pratiques pour appréhender la menace ; Sûreté - cybersécurité : une convergence indispensable à la sécurité globale des organisations (pour découvrir le programme de conférences : cliquez ici).
Il y a 3 ans et 234 jours

Grand Paris Express : En route vers Orly, en métro

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Les travaux sont réalisés en “top & down”. Une dalle de 1,50 m d’épaisseur (visible à droite) fait l’interface entre le chantier de la gare, en sous-œuvre et celui du parking, en superstructure. [©ACPresse] A ne pas en douter, l’aéroport parisien d’Orly est en train de vivre l’une de ses plus importantes transformations depuis sa mise en service. Alors même que les aérogares Ouest et Sud ont fusionné, avec l’inauguration du bâtiment de jonction, pour former les nouveaux terminaux d’Orly 1, 2, 3 et 4, les travaux se poursuivent à leurs pieds. Cette fois-ci pour créer les futurs terminus des lignes 14 et 18 du métro parisien. Ceci, dans le cadre du Grand Paris Express.  Le projet s’inscrit, en partie, sur la zone souterraine occupée jusqu’alors par le parking P0, qui se déleste au passage de quelque 1 500 places de stationnement… Une perte compensée par la restitution de 2 100 places nouvelles créées avec la construction d’un parking-silo en parallèle des travaux de la gare. Et dans le cadre du même marché. Celui-ci a été attribué au groupement momentané d’entreprises conjointes constitué de Demathieu & Bard (mandataire), Gagnepark, Léon Grosse et Sefi-Intrafor. Les travaux de la gare ont débuté en décembre 2018 avec le lot “fondations profondes”. A elle seule, cette partie constitue déjà un tour de force de par la présence de plus de 500 ml de parois moulées de plus de 1,50 m d’épaisseur et quelque 50 pieux de 30 m de long. « La gare terminus Aéroport d’Orly est un chantier prioritaire du Grand Paris Express, avec les Jeux olympiques de l’été 2024 comme date butoir », explique Philippe Launois, directeur de projet Demathieu & Bard.  Une construction en “top & down” L’omniprésence des bétons horizontaux a nécessité une très importante quantité d’étaiements : près de 490 t au plus fort de l’activité. [©ACPresse] A ce titre, elle doit être livrée en décembre 2022, pour une ouverture prévisionnelle de la ligne 14 Sud, début 2024. Entre temps, le tunnelier de la ligne 18 atteindra ce terminus vers le mois de septembre 2023… Le timing malgré tout serré du projet a imposé une construction en “top & down”. C’est une dalle d’une épaisseur de 1,50 m d’épaisseur et d’une superficie d’environ 5 000 m2qui constitue l’interface entre le chantier souterrain – la gare proprement dite – et le chantier aérien – le parking-silo -. La dalle est portée par la paroi moulée périphérique et par une série de poteaux préfondés. Une fois construite, les travaux de terrassement ont pu être lancés en sous-œuvre, à partir de janvier 2020. Quant à l’érection du parking, elle a été lancée entre temps, dès juillet 2019. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 96
Il y a 3 ans et 235 jours

Jean Cocteau : Le chevalier Béton

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine [©Archives Jean Cocteau] Avant tout poète, Jean Cocteau (1889-1963) a été l’imprésario de son temps, le lanceur de modes et le bon génie d’innombrables artistes. On connaît sa cinématographie, de La Belle et la Bête à Orphée. Touche-à-tout, il s’est même essayé à la “réclame” de l’époque. Publié en 1960 dans “Beauté des formes”, son poème, “Le chevalier Béton” est une plaquette promotionnelle éditée par la Chambre syndicale des constructeurs en ciment armé de France et de l’Union française. Jean Cocteau porte le béton dans son poème, mais l’exercice a ses limites, et ce matériau fait ailleurs les frais du parallèle avec le marbre, dans un texte commandé cette fois par la Fédération marbrière de France : « Le béton attriste. Les ondes s’y cognent, s’y épuisent alors que le marbre elles l’imprègnent et collaborent à l’enrichissement de son organisme »… « Le chevalier BétonL’art est une vibration immobileOù rien n’obéit à la marche du progrèsMais il profite des véhicules que le progrèsLui offre pour cet étrange et vertigineux voyageSur place.Le béton est apparu dans l’arène de notre tournoiSous l’aspect d’un chevalier inhumain,D’un bloc insensible et féroce.Or une âme habitait cette armureEt la mettait au service de la beauté qui changeContinuellement de type et peut mêmeParaître laide au premier abord.Les immeubles, les barrages, les piles nucléaires,Les tunnels, les ponts, les routes, les usines,Les basiliques conduisent peu à peu le bétonvers la délivrance des princesses captiveset vers le mystérieuse quête du Graal. » Jean Cocteau, 1960
Il y a 3 ans et 235 jours

Var : De La Fontaine engravé dans du béton blanc

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Les fables De la Fontaine s’affichent sur les murs du Castellet. [©Michel Guerrero] Connue pour son circuit automobile, la commune du Castellet avait besoin d’accroître la capacité d’accueil de ses écoles maternelles et élémentaires. Pour cela, elle a fait appel à l’architecte Laurence Zolémian, qui a dessiné une solution permettant d’ajouter cinq classes d’élémentaires, deux de maternelles et un dortoir. Le tout en béton blanc. Pour le mur extérieur,  l’architecte a cherché un concept pour attirer l’œil. « En accord avec la mairie, nous sommes partis sur des illustrations des fables de Jean de La Fontaine. J’ai cherché une solution que j’ai trouvée auprès de Pro-T-Co. » Cette dernière a proposé sa solution Graphic, utilisée pour la première fois sur une pièce verticale. « Nous prenons une image vectorisée, que nous retravaillons et imprimons notre matrice, explique Maxime Perrin, directeur général associé de Pro-T-Co. Cette matrice est collée sur une banche, le béton est ensuite coulé et décoffré sans huile. Le mur est donc engravé. Nous venons y appliquer nos lasures de couleur, puis nous ponçons les parties planes. » Lire aussi les autres actualités en région Ainsi, au Castellet, sur une façade de 40 m de long, les fables de La Fontaine s’affichent en 2,50 m x 2,50 m, en alternance avec des films protecteurs décorés sur fenêtre. En noir et blanc. Pour ce qui est du concept de Pro-T-Co, il va encore évoluer. « Nous sommes une jeune entreprise. Nous investissons pour pouvoir proposer une version magnétique. Et une gamme de couleurs et d’effets toujours plus large. »
Il y a 3 ans et 235 jours

Raymond Camus : Pape de la préfabrication lourde

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Raymond Camus présente à Vienne ses procédés de préfabrication. Il tient entre se mains la photo de la cité Barhen construite pour les houillères du bassin de Lorraine. [©Archives Michel Camus] Après des études au lycée du Havre, Raymond Camus (1911-1980) est élève de l’Ecole centrale des arts et manufactures, dont il sort diplômé en 1933. Sa vie professionnelle débute dans l’entreprise paternelle. Il y aura l’occasion de participer à l’Exposition universelle de 1937. De 1938 à 1942, il est ingénieur aux usines Citroën, chargé de trouver des solutions aux problèmes de logements des ouvriers. Au lendemain de la guerre, alors qu’il a acquis depuis 1942 une solide expérience dans l’entreprise de travaux publics Bancel & Choiset, ses idées se précisent. Mesurant « l’abîme » qui sépare l’industrie automobile du monde du bâtiment, il envisage dès cette époque, d’« adapter à la construction d’immeubles, les principes de la fabrication industrielle, ou en d’autres termes, faire des maisons comme on fabrique des automobiles ». Un brevet intitulé “Procédé de construction” Construction de 948 logements à Sarrebruck, en Allemagne, selon les procédés Camus de préfabrication lourde (de mars à octobre 1963). [©Archives de Forbach] Raymond Camus part alors du constat que la préfabrication par petits éléments en vogue à l’époque est loin de donner les résultats attendus. Il met alors au point un procédé de construction utilisant de grands panneaux porteurs préfabriqués en béton. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le secteur du bâtiment connaît en France un bouleversement sans précédent. Les besoins immenses de la Reconstruction, puis de la construction massive de grands ensembles de logements sont l’occasion de moderniser le secteur. Lorsqu’en juin 1948, l’ingénieur dépose son brevet intitulé “Procédé de construction”, cela va révolutionner la manière de concevoir les bâtiments. Trois avantages essentiels sont mis en avant par l’inventeur. A savoir, la réduction au minimum des joints d’assemblage grâce à la taille importante des éléments. Puis, l’économie d’une ossature édifiée habituellement à l’avance. Et enfin, une fabrication complète en usine garantissant une exécution optimale au point d’incorporer l’ensemble des équipements. Le recours à ce type d’éléments n’est pas une nouveauté, puisque dès 1910 l’état major américain avait employé, pour la construction de ses casernes, de grands panneaux de béton selon le procédé Aiken. Dans l’entre-deux-guerres, on utilise des procédés similaires pour la construction de cités d’habitation, comme au Betondorp, près d’Amsterdam (Dick Greiner, architecte) ou dans le cadre du Neue Frankfurt (Ernst May, architecte), en Allemagne.  L’ilôt N17 du quartier havrais du Perrey Un transport de panneaux Camus, préfabriqués à Marienau (57), passe le poste frontière franco-allemande de la Brême d’Or. [©Archives de Forbach] Un an à peine après le dépôt de la demande de brevet, le procédé Camus reçoit l’agrément provisoire du ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme (MRU) par décision n° 319 du 22 juin 1949. Et la société d’exploitation Raymond Camus & Cie est créée. Quelque 42 brevets seront déposés par Raymond Camus, pour la plupart signés de son seul nom et portant presque tous sur la fabrication ou la manipulation de panneaux préfabriqués à base de béton armé. Dès 1950, des usines sont créées pour la mise en œuvre de ce procédé.  Construction d’un immeuble de la cité des Champs-Barets au Havre (76), grâce au procédé ETM. [©Archives de Centrale Histoire]Immeuble en construction au Havre (76), les ouvriers sont en train de coffrer un poteau d’angle de l’ossature. [©Archives de Centrale Histoire]Chantier du Shape Village, situé à Saint-Germain-en-Laye (78). [©Archives de Centrale Histoire] En 1951, un premier immeuble est bâti au Havre, dans le quartier du Perrey, îlot N17. Plusieurs dizaines de pays mettent en œuvre le système Camus : Allemagne de l’Ouest, Algérie, Autriche, Belgique, Espagne… Mention spéciale pour l’URSS qui produisit sous licence dans 300 usines ! Dans les années 1970 toutefois, la préfabrication lourde connaît un déclin. Mais au total, le système Camus compte, en 1977, plus de 350 000 logements réalisés dans 20 pays différents. Lire aussi : – “Raymond Camus et l’avènement de la préfabrication lourde en France : vers un nouveau paradigme structurel”, Centraliens n° 625, Avril-mai 2013.“La préfabrication lourde en URSS : Concepts techniques et dispositifs architecturaux”,Natalya Solopova, Editions Dom Publishers, 2021. Muriel Carbonnet Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 235 jours

Aerolithys – Béton Mousse Technologie : Un béton mousse sur place

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Le procédé Aerolithys permet de couler en place un béton mousse pour diverses applications. [©Aerolithys] Aerolithys est un béton mousse arrivé récemment sur le marché français. C’est l’entreprise Stonart qui propose cette marque, issue d’une technologie développée par l’industriel italien Isoltech. La particularité du système est d’être fabriqué dans une unité mobile de malaxage sur le site de la mise en œuvre. « La centrale à béton est embarquée sur un porteur 8 x 4 de 32 t. Elle offre une capacité de production de 15 à 20 m3/h », confirme Stéphane Bouix, technicien multi-compétences, en charge du pilotage de l’unité mobile. Ainsi, pour un ravoirage d’une épaisseur de 7 cm, la fabrication et le coulage de 700 m2de sol ne demandent que 3 h. Sa vocation unique est d’être coulé in situ, comme un béton prêt à l’emploi ou une chape fluide. Ses domaines d’application sont nombreux et vont du remblai léger à la chape de ravoirage. Ceci, en passant par l’isolation sous dallage, l’isolation des toitures-terrasses. Ou encore, le remplissage des cavités géotechniques ou l’isolation des vides sanitaires.  Sur Artibat : Terrasse 1 – Stands D05 et D12 Retrouvez l’ensemble du dossier sur Artibat
Il y a 3 ans et 235 jours

Mapei : Des nouveautés et une avant-première

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Une partie de la gamme Mapefibre ST devient translucide. [©Mapei] Ce n’est pas encore la période des étrennes. Pourtant, Mapei arrive à Artibat la hotte pleine de nouveautés. En tête de liste vient se positionner la nouvelle gamme Mapefibre ST. A présent fabriquée en interne, l’offre a vu l’introduction des ST30 et ST42, qui se caractérisent par leur couleur transparente, les rendant pour ainsi dire invisibles dans le béton.  Côté adjuvants, Mapei présente pas moins de deux innovations. Tout d’abord, le plastifiant Dynamon Easy 834. Offrant une plage de dosage étendue, il permet de couvrir une large gamme de bétons, de plastiques à très fluides. Ceci, grâce à un pouvoir de dispersion des éléments fins qui s’amplifie avec le dosage.  Le Mapefluid N230 est, lui, le dernier-né des superplastifiants de la marque. Il est adapté aux bétons de dallage, permettant des formulations cohésives, ce qui aboutit, après pompage, à un matériau homogène en sortie du tuyau. Exit la concentration de particules au centre et la laitance autour… De plus, Mapefluid N230 offre un long maintien d’ouvrabilité (jusqu’à 1 h 30) pour un grand confort d’utilisation, sans retarder la finition du dallage. Enfin – et c’est une avant-première -, Mapei doit dévoiler un nouveau service mobile pour accompagner ses clients du secteur du béton. Son nom : Mapei Le Lab’. Il s’agit du premier laboratoire mobile adjuvantier en France. Entièrement équipé, il se déplace sur les usines de préfabrication, les centrales à béton et sur chantier pour réaliser des essais sur les matières premières et de formulations béton. Sur Artibat : Hall 10B – Stand K33 Retrouvez l’ensemble du dossier sur les innovations d’Artibat
Il y a 3 ans et 238 jours

Arkema rachète des adhésifs à l'américain Ashland

Cette opération réalisée par Bostik, filiale d'Arkema, numéro trois mondial des adhésifs industriels, s'inscrit dans une stratégie de recentrage sur les matériaux de spécialités du groupe chimique français.Le rachat devrait être effectif "d'ici quatre à huit mois", a indiqué une porte-parole du groupe à l'AFP.Pour Arkema, l'opération "financée à 100% en cash" devrait permettre de "réviser à la hausse l'objectif de rentabilité 2024" de son segment Adhésifs "qui vise désormais une marge d'Ebitda supérieure à 17% et un chiffre d'affaires de plus de 3 milliards d'euros", a indiqué le groupe dans un communiqué.Arkema estime que l'opération sera aussi "fortement créatrice de valeur" pour ses actionnaires, "avec un bénéfice net par action qui devrait augmenter de 1 euro à l'horizon 2026".Ashland Performance Adhesives qui emploie 330 personnes et exploite 6 unités de production essentiellement en Amérique du Nord, est un acteur majeur des adhésifs sensibles à la pression aux États-Unis, pour les films décoratifs, de protection et de signalisation pour l'automobile et le bâtiment. Il est aussi leader dans le collage de bois de construction, et propose une gamme d'adhésifs pour l'emballage flexible.
Il y a 3 ans et 241 jours

A Montmartre, archétype de l’architecture faubourienne selon MAO

L’agence parisienne MAO (Mobile Architectural Office) a livré en mars 2021 à Montmartre, Paris (XVIIIe), 14 logements sociaux et deux locaux d’activités (952 m² + 186 m² de commerce ; coût des travaux : 3,5 M€HT). Culture faubourg ? Communiqué. A proximité du Sacré-Cœur, la parcelle s’inscrit dans un tissu faubourien dense marqué par le relief escarpé de […] L’article A Montmartre, archétype de l’architecture faubourienne selon MAO est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 244 jours

Un garage transformé en logements sociaux au coeur de Paris

INAUGURATION. 23 logements sociaux familiaux ont été construits dans le XIIème arrondissement, à la place d'un ancien garage automobile. Pour ce faire, la dépollution des sols a été un enjeu de taille.
Il y a 3 ans et 245 jours

RealWear accélère son développement sur le marché français

RealWear, un leader mondial des systèmes mains libres intelligents portés sur la tête, accélère sa présence sur le marché français. L’entreprise a connu une forte croissance sur ses secteurs clés de l’industrie et de l’énergie lors du confinement en permettant aux entreprises de réduire les risques sanitaires ainsi que la réduction de leur empreinte carbone en permettant aux opérateurs de terrain de collaborer à distance avec leurs experts.RealWear développe des casques mains libres à commande vocale, conçus pour répondre aux besoins uniques des secteurs du pétrole et du gaz, de la logistique et du transport, de la fabrication, de la santé et de l’automobile. Le produit phare de la société, le HMT-1, est le premier casque mains libres, qui libère les mains des opérateurs pour les tâches dangereuses. Contrairement aux autres appareils disponibles sur le marché, le HMT-1 sert de dispositif de travail collaboratif toute la journée. Il offre aux équipes de terrain une autonomie de 9 à 10 heures à travers des utilisations variées. Les batteries sont également remplaçables à chaud pour éviter les temps d'arrêt pendant le travail. Compatibles avec les solutions de visioconférence Microsoft Teams, Cisco Weber (Expert on Demand) et Zoom, ils permettent en outre aux opérateurs de communiquer et de collaborer en temps réel avec les experts où qu'ils soient à travers le monde. Les casques RealWear sont également compatibles avec de nombreuses solutions proposées par ses nombreux partenaires technologiques.« L’objectif de RealWear a toujours été d’accroître la sécurité des techniciens sur les chantiers et dans les usines en leur donnant accès facilement à toutes les informations dont ils ont besoin en gardant les mains libres. Avec le Covid 19, nos outils ont également permis aux acteurs de l’industrie de réduire les risques sanitaires en collaborant aisément à distance, mais aussi de limiter considérablement les émissions de gaz à effet de serre induites par les déplacements », détaille Frédérique Vautel, Territory Manager Southern Europe et Francophone Countries. « Cette tendance va rester même une fois la crise sanitaire passée et notre mission est d’accompagner les entreprises dans cette transition ». Les leaders mondiaux des secteurs, entre autres, de l’énergie, de l'industrie et de l’automobile font confiance aux HMT-1 et HMT-1Z1 pour habiliter et connecter leurs collaborateurs à travers le monde entier. Parmi ses clients français, RealWear compte notamment Bureau Veritas France, Stellantis et TotalEnergie.
Il y a 3 ans et 246 jours

À Équipbaie-Métalexpo 2021, la pergola est dans tous ses états !

À ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO 2021, de multiples modèles sont proposés : pergola évolutive (de simple toiture à abri terrasse), pergola deux en un, pergola résistante au vent, pergola isolée à lames étanches et rétractables, pergola bioclimatique pouvant réguler le microclimat en créant une aération naturelle ou permettant de capter l’énergie solaire afin de produire l’électricité nécessaire à son fonctionnement…BRUSTOR (stand N14) - Pergola bioclimatique B250XLUne pergola sans éclaboussure !La pergola B250XL en aluminium, à lames de 21 cm de large, est une version anti-éclaboussures. En effet, grâce à une fermeture parfaite des lames sur les gouttières, la toiture est étanche. Elle garantit une résistance au vent (CE – classe au vent 2) et conserve ainsi la chaleur de la pergola. Son design élégant intègre un éclairage à intensité variable (bande LED dans les lames ou spots dans la structure) permettant de créer une atmosphère agréable. Elle est autoportante ou s’adosse à la maison au-dessus d’une terrasse. La pergola B250XL se contrôle très facilement avec un smartphone ou une tablette et même avec un assistant vocal tel que Google Home ou Amazon Alexa.BRUSTOR (stand N14) - Pergola bioclimatique B600SUne pergola aux lames rétractables compactes !La pergola bioclimatique B600S est équipée d’une toiture à lames rétractables compactes. Lorsque le toit est ouvert, les lames ne prennent que 13 % de la surface totale. Ses gouttières plus larges et plus hautes permettent un drainage plus efficace de l’eau de pluie et facilitent un montage très rapide sans l’utilisation de silicone.KE FRANCE (stand N60) - Pergola Hydrae PlusUne pergola deux en un !Conçu en Italie et fabriqué en France, ce store pergola à toile enroulable aux lignes pures et au design raffiné est une solution polyvalente idéale pour profiter de son extérieur en toute saison. Adossée à la maison et reposant sur pieds, l’Hydrae Plus combine les avantages d’un store et d’une pergola. Sa structure légère en aluminium laisse entrer la lumière dans les pièces de vie et ouvre le panorama sur le jardin. Équipé d’une toile acrylique ou microperforée, ce store pergola régule efficacement les apports thermiques et lumineux du soleil. La technologie ZIP permet de garder la toile tendue et d’assurer une tenue parfaite à l’utilisation. Avec l’intégration de gouttières dans les poteaux, elle se joue des caprices de la météo et évacue en douceur l’eau d’une pluie fine. Un éclairage LED, idéalement réparti sur la structure (dans les guides, traverse et sous le coffre), est parfait pour créer une ambiance relaxante et chaleureuse à la nuit tombante.Des capteurs climatiques de dernière génération peuvent venir en complément et pour les plus technophiles, toutes les fonctionnalités sont pilotables à distance via une application disponible sur smartphone.KE FRANCE (stand N60) – Kedry SkylifeUne pergola aux lames rétractables et orientables simultanément Kedry Skylife propose de nouvelles possibilités grâce à sa conception innovante. Elle révèle un toit composé de lames mobiles rétractables permettant un ajustement idéal de l'intensité de lumière et de ventilation. Les lames s’orientent (jusque 79°) et se rétractent en simultanéité, dans les phases d’ouverture/de fermeture. Un système combiné relie chaque lame et coordonne leur 2 mouvements : lorsque le chariot se déplace il entraîne l’orientation et le déplacement de la première lame, qui entraîne à son tour, en cascade, les autres lames jusqu’à la fermeture/ouverture complète/partielle de la pergola. Grâce à sa modularité exemplaire, Kedry Skylife permet de couvrir de très grandes surfaces. L’encombrement de la structure est minimal pour une ouverture panoramique. En effet, un module en 4 poteaux peut couvrir une surface de 27 m².PROFILS SYSTÈMES (stand F20) – Pergola WALLIS&OUTDOOR®Premier concept de pergolas aluminium personnalisablesProfils Systèmes, gammiste aluminium français et DANK Architectes, cabinet Lyonnais, présentent le premier concept de pergolas directement inspiré de la nature. Au travers de la réinterprétation d’effets de la nature (rayons de soleil, brise légère, lumière à travers le feuillage d’un arbre…), a été élaboré ce concept puis la création de cette collection de pergolas aux couleurs inédites. La couleur possède une valeur symbolique et rituelle, elle influence et conditionne nos émotions. La nuance, les dégradés, les contrastes, les affinités chromatiques permettent de créer des effets de volume et de profondeur. La combinatoire donne du mouvement, de la vie. L’enjeux de ce concept est de provoquer des réactions sensorielles et émotionnelles grâce au réglage de ces trois paramètres. Ainsi, la collection Wallis&Outdoor® design by DANK Architectes est composée de 6 modèles chromatiques originaux et exclusifs : SAND, SUNNY, FOREST, CELEST, HAVANE, PURE.ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO - 21 au 24 septembre 2021 à Paris Expo Porte de Versailles – Hall 1Badge gratuit pour les lecteurs professionnels de BATINFO
Il y a 3 ans et 247 jours

Prêts immobilers : les préconisations du HCSF deviendront obligatoires en 2022

ÉVOLUTION. Les règles jusqu'ici préconisées par le Haut conseil de stabilité financières (HCSF) en matière de prêts immobiliers deviendront obligatoires à compter de janvier 2022.
Il y a 3 ans et 253 jours

La croissance française devrait finalement dépasser les 6% cette année

L'Institut national de la statistique a légèrement relevé mardi sa prévision de croissance pour 2021 par rapport à sa précédente estimation de 6% publiée début juillet.Cette nouvelle prévision est désormais supérieure à celle du gouvernement, qui table à ce stade sur une progression du produit intérieur brut (PIB) de 6%, après la récession historique de 8% l'an dernier.Cette prévision "confirme la forte dynamique de l'économie française", s'est félicité le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, dans une déclaration transmise à l'AFP.Elle "marque l'efficacité de la relance économique en cours" et "l'engagement des entreprises, des salariés et des consommateurs français au redémarrage de notre économie", a-t-il ajouté.Non seulement le rebond de l'activité et de l'emploi a été meilleur au premier semestre, mais "le fait notable de cet été c'est que nous avons connu une quatrième vague épidémique, et que malgré cette nouvelle vague, la reprise s'est poursuivie", a souligné Julien Pouget, chef du département de la conjoncture à l'Insee lors d'une conférence de presse.Même le pass sanitaire, instauré dans les cinémas, les lieux de loisirs, les centres commerciaux ou les restaurants, n'aurait que "modérément affecté" ces secteurs, même si l'impact a été légèrement plus important pour les restaurants, évalue l'Insee.De quoi conforter le gouvernement dans l'arrêt du quoi qu'il en coûte et dans sa nouvelle stratégie d'un soutien "sur mesure" aux entreprises toujours pénalisées par la pandémie.D'autant que, selon l'Insee, l'amplification de la vaccination devrait soutenir la consommation dans les secteurs soumis au pass.Plus largement, l'institut prévoit que la consommation des ménages, traditionnel moteur de la croissance française, rattrape d'ici la fin de l'année son retard par rapport à son niveau d'avant-crise.Les Français ont toujours un surplus d'épargne considérable, qui atteint 157 milliards d'euros entre le début de la crise sanitaire et la fin juin 2021, selon des données de la Banque de France publiées mardi.Inflation ponctuellement au-delà de 2%Dans l'hypothèse où la situation sanitaire n'imposerait pas de nouvelles restrictions, l'Insee table désormais sur une progression de 2,7% du PIB au troisième trimestre (après une stabilité au premier et +1,1% au deuxième), puis de 0,5% au quatrième.L'économie française retrouverait ainsi fin 2021 son niveau d'avant-crise, un niveau dont elle n'est plus très loin.Après un "pic" en juin, l'activité serait restée "relativement proche de son niveau d'avant-crise" en juillet et août, entre -1% et -0,5% en dessous du niveau du quatrième trimestre 2019, selon l'Insee.Mais ces chiffres n'effacent pas les difficultés particulières de certains secteurs, comme les transports et l'hôtellerie-restauration qui continuent de souffrir des conséquences de la pandémie, notamment la moindre fréquentation de la France par les touristes étrangers ou la réduction des voyages d'affaires.Par ailleurs, l'Insee relève les incertitudes qui pèsent encore sur la reprise, notamment du fait des tensions sur les approvisionnements des entreprises et les recrutements.De plus en plus d'entreprises font remonter des difficultés sur ces deux fronts.Si les problèmes de recrutement, qui restent encore inférieurs à leur niveau d'avant-crise, pourraient peser sur la croissance "à moyen terme", selon Julien Pouget, il en va autrement des tensions sur les approvisionnements: elle pénalisent déjà fortement certains secteurs, comme l'automobile ou la construction, via des pénuries de matières premières et une hausse des coûts de production.L'Insee reste toutefois prudent sur les risques d'une accélération de l'inflation. Elle maintient sa prévision d'une hausse "au moins ponctuellement" un peu au-dessus de 2%.
Il y a 3 ans et 254 jours

L'ancien siège de Peugeot, métamorphosé, se veut un "exemple d'économie circulaire"

RÉNOVATION. En plein coeur de Paris, une société foncière a fait l'acquisition de L1ve, l'ancien siège du constructeur automobile français. Le projet souhaite mettre en valeur le patrimoine de ce site du XXe siècle, en le mettant aux normes d'aujourd'hui.
Il y a 3 ans et 255 jours

Castex en messager de la réindustrialisation au salon Global industrie

A huit mois de l'élection présidentielle, où le chômage et l'emploi restent des sujets essentiels, le Premier ministre a fait deux annonces sonnantes et trébuchantes lors du salon Global Industrie qui s'est ouvert à Lyon et durera jusqu'à la fin de la semaine.D'abord, la prolongation de six mois jusqu'en juin 2021 des aides du plan France Relance à l'apprentissage, ensuite, l'ajout de 150 millions d'euros au programme "Territoires d'industrie" qui permet des aides publiques pour relancer des activités dans les bassins les plus touchés par les restructurations."2,6 millions de jeunes au total ont bénéficié d'aides du plan de relance", a lancé M. Castex, avec notamment "plus de 500.000 contrats d'apprentissage ou d'alternance signés par les entreprises, un record historique".Même si le mot réindustrialisation fait partie des mots-clés de la prochaine campagne, le Premier ministre a admis l'état de "désindustrialisation" dans lequel se trouve le pays, révélé par la pandémie.La part des emplois industriels représentait "22%" du PIB en 1980, ce taux est tombé "à 13% en 2017", et le nombre de salariés de l'industrie est tombé à 3,2 millions contre 5,3 en 1980, a-t-il dit.Sa ministre de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, qu'il a fait applaudir par la salle, s'est prononcée pour "un choc de réindustrialisation"."Nous avons diminué de 40% l'empreinte CO2 de l'industrie ces dernières années en France, mais essentiellement en désindustrialisant: nous avons augmenté notre empreinte carbone globale puisque nous importons massivement des marchandises", a déploré Mme Pannier-Runacher.En attendant le futur plan d'investissement annoncé pour "courant octobre", le gouvernement utilise le salon, l'un des premiers à reprendre en présentiel, pour vanter l'effet de son plan de relance, lancé il y a tout juste un an.Près de la moitié des 100 milliards d'euros -dont 40% financés par l'Union européenne- pour endiguer la crise du Covid a été "engagé", et 70% le seront d'ici à la fin de l'année, a assuré le Premier ministre.Une entreprise industrielle sur trois en France a eu un projet financé, a résumé Mme Pannier-Runacher, avec 35 milliards pour l'industrie."Sortir de 30 ans de désindustrialisation"Des projets sont nés un peu partout, sélectionnés par des commissions locales pilotées par les préfets de régions: numérisation de PME, modernisation d'entreprises de l'agroalimentaire ou de la construction bois, aides ciblées à celles de l'aéronautique et de l'automobile pour se diversifier vers les mobilités décarbonées ou améliorer leur taux de recyclage des métaux et matériaux."La production industrielle a repris des couleurs, les carnets de commandes sont bien remplis", a acquiescé Alexandre Saubot, président de France Industrie, l'organisme qui représente l'ensemble du secteur.Mais il faudra longtemps pour "sortir de 30 ans de désindustrialisation" (...), "rembourser les dettes" de la crise et "retrouver une capacité d'investissement".Il demande la poursuite de la baisse des impôts de production, une accentuation de la simplification administrative pour les entreprises, ou encore un soutien clair et net au nucléaire pour décarboner l'industrie."On s'est aperçu de la vulnérabilité de nos chaînes de valeur pendant la pandémie, on ne pourra pas tout relocaliser mais il faut tout faire pour ramener l'activité sur le sol français, voire européen", dit à l'AFP Christel Bories, PDG du groupe minier Eramet, et membre du CNI."On ne peut pas rester dépendants des pays qui peuvent à tout moment fermer leurs frontières", ajoute-t-elle.Depuis l'an dernier, 553 projets de relocalisation ont été soutenus par France Relance, de l'installation d'une usine de bottes Aigle dans la Nièvre, à une start-up de terres rares à Lyon.Le Premier ministre se rend lundi l'après-midi dans une usine Seqens fabricant le principe actif du paracétamol, à Roussillon en Isère. La France s'est rendu compte avec effroi durant la pandémie qu'elle importait quasiment tout son paracétamol.
Il y a 3 ans et 255 jours

Grande cérémonie d'ouverture de l'impressionnant musée Neolith® en Chine

La structure est située dans le district urbain de Binjiang, une zone abritant les sièges de certains géants asiatiques du commerce électronique, de l'automobile et de la technologie, tels qu'Alibaba, Geely, Dahua Technology et H3C.Expériences spatialesLe musée a été conçu par Chen Lin et Cui Shu, deux maîtres du design de renommée internationale qui ont imaginé un espace unique et singulier, permettant de mieux comprendre les raisons pour lesquelles l'architecture asiatique moderne est considérée comme l'une des plus innovantes et des plus ambitieuses au monde.Le musée Neolith® a été créé pour offrir à ses visiteurs une expérience spatiale immersive. Un parcours où les formes, les lumières, les couleurs, les textures et les matériaux sont modulés et créent une succession d'expériences réelles en 3D qui interpellent tous les sens pour offrir une aventure innovante et futuriste. Le noir et le blanc forment le principal duo d'un itinéraire caractérisé par la combinaison de matériaux et de formes, ainsi que par le recours à de multiples ressources esthétiques.Inspiré du concept oriental du « lâcher prise », le visiteur est invité à ouvrir son esprit et se laisser porter à travers une succession d'espaces où Neolith® est présenté à travers des plaques de marbre suspendues et éclairées par des LED, qui marquent le parcours et divisent les espaces, entraînant le visiteur dans un voyage qui se termine par « l'arrivée », point culminant de cet apprentissage empirique de Neolith®.Le musée fait office de laboratoire vivant qui favorise une expérience architecturale et spatiale du visiteur, au-delà de la simple contemplation artistique. Il véhicule des qualités et des valeurs qui définissent de nouvelles tendances fondées sur l'innovation, les nouveaux matériaux et un design d'avant-garde basé sur des lignes, des plans, des matériaux et des surfaces épurés et déliés.Avec une approche durable et très différentielle, on y trouve une piscine allongée autour d'une passerelle en Neolith®, associée à un toit en acier inoxydable. L'ensemble produit sur le visiteur un reflet puissant et attrayant de l'eau, créant un effet miroir original.Par ailleurs, différents agencements y seront proposés de temps à autre dans le but de créer des expériences spatiales et architecturales basées sur le design, l'innovation et les matériaux d'avant-garde.Événement de l'annéeL'inauguration du musée et la mise en scène spectaculaire de la cérémonie ont rassemblé des centaines d'invités, avec la présence remarquée des architectes et designers les plus célèbres et les plus réputés de Chine, d'importants hommes d'affaires et de personnalités du monde politique, artistique et social.« L'ouverture de cet espace unique et de premier plan en matière de design et d'architecture est le projet le plus ambitieux de Neolith à ce jour en Chine », a déclaré José Luis Ramón, CEO de Groupe Neolith®. « Avec notre partenaire Techsize, a-t-il ajouté, nous avons réussi en à peine 10 ans à placer Neolith comme la marque de référence, avec une présence directe dans plus de 30 showrooms dans les 21 villes les plus importantes du pays ».Pour Leon Liang, CEO de Techsize, le partenaire de Neolith® en Chine : « Cet espace sera un haut lieu d'interaction et d'échange professionnel et commercial et une source d'inspiration pour de futurs projets qui apporteront beauté, innovation et prestige à l'architecture et au design ».
Il y a 3 ans et 258 jours

Le salon "Global Industrie" met l'accent sur la réindustrialisation pour l'anniversaire du plan de relance

Alors que la France est plus touchée que ses voisins par un phénomène de désindustrialisation massif lié à la mondialisation et à la montée en gamme des pays développés, industriels et gouvernement souhaitent faire de ce rendez-vous une vitrine des actions menées depuis un an pour relocaliser des activités en France et développer l'innovation, dans l'espoir de reconstruire un jour des usines.Car l'industrie manufacturière ne représente plus que 11% du produit intérieur brut (PIB) français contre 16% en moyenne dans l'Union européenne, s'inquiétait en novembre 2020 France Stratégie, organisme de conseil placé auprès du Premier ministre.Parmi les causes identifiées depuis dix ans, un coût du travail mais surtout une fiscalité trop élevés qui ont conduit les entreprises à délocaliser massivement plutôt que d'investir en France pour produire et exporter.Le quasi-arrêt de l'économie durant la pandémie a jeté une lumière cruelle sur la réalité industrielle du pays.La France s'est alors rendue compte qu'elle ne fabriquait elle-même ni ses masques, ni son paracétamol, et qu'elle a été l'un des seuls grands pays dits industrialisés à ne pas inventer de vaccin contre le coronavirus: une "humiliation", selon Louis Gallois, ancien patron de grands fleurons comme Airbus, Safran, SNCF ou PSA, aujourd'hui co-président du groupe de réflexion "la fabrique de l'industrie".Pour les médicaments, entre 2005 et 2015, la part de marché des productions françaises au plan mondial a été "divisée par deux", a reconnu vendredi la ministre déléguée chargée de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, sur Sud Radio."Pays sans usine"Emmanuel Macron, qui assure avoir "vécu de manière très précise la morsure de la désindustrialisation" dans ses villes de jeunesse, Amiens ou Bagnères-de-Bigorre, a reconnu une "erreur fondamentale" des gouvernements successifs: "nous avons pensé pouvoir faire un pays sans usines", a-t-il concédé au magazine Zadig en mai.Pour chasser cette idée, et marquer le premier anniversaire du plan de relance de 100 milliards d'euros sur trois ans, lancé avec l'aide de l'Union européenne, le gouvernement va venir en force à "Global Industrie".Outre Bruno Le Maire et Agnès Pannier-Runacher, le Premier ministre Jean Castex interviendra lundi devant le Conseil national de l'industrie, où siègent représentants de l'État et des filières industrielles, du côté du patronat comme des salariés, ainsi que des personnalités qualifiées.Dans l'après-midi, M. Castex poursuivra son périple industriel à Roussillon dans l'Isère où il doit rendre visite à un projet de réimplantation de production de paracétamol et un autre de décarbonation. Sur le seul dossier médicaments, le plan de relance finance plus d'une centaine de relocalisations de chaînes de production (médicaments, vaccins, dispositifs médicaux).Mais, alors que les experts climat de l'ONU (Giec) viennent de rappeler que la température mondiale devrait augmenter de 1,5°C ou 1,6°C par rapport à l'ère pré-industrielle autour de 2030, soit dix ans plus tôt que dans leur précédente estimation d'il y a trois ans, le défi de la réindustrialisation est immense, car il doit nécessairement s'articuler avec celui de la transition écologique.Plan de relance comme salon font d'ailleurs la part belle à la décarbonation ainsi qu'aux start-up innovantes (chimie verte, énergie, électronique, agroalimentaire, santé, biotech..).Global Industrie, créé en 2018 à Villepinte (nord de Paris), est le produit de la fusion de quatre salons sectoriels (Industrie, Midest, Tolexpo et Smart Industries).Il s'intéresse aussi bien à la mécanique qu'aux nanotechnologies, en passant par les machines-outils, la conception assistée par ordinateur, l'industrie 4.0, la tôlerie-fonderie, la gestion de l'eau ou les savoir-faire de la sous-traitance automobile ou aéronautique.Le salon se tient en alternance chaque année à Paris et à Lyon.En 2019, sa dernière édition avant la pandémie, il avait accueilli 45.000 visiteurs de 85 pays et 2.500 exposants venus d'une quarantaine de pays.