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Il y a 2 ans et 201 jours

L’hôtellerie réinvente ses espaces outdoor

Hôtel Adlon en Italie, un espace bien-être face à la merCet hôtel 4 étoiles en bord de mer est situé dans la ville de Jesolo Lido près de Venise. L’hôtel Adlon est reconnu pour la qualité de ses services haut de gamme et pour son très grand niveau de confort. Situé dans le quartier Piazza Drago, près de la mer Adriatique, à quelques pas du musée d’histoire naturelle de Jesolo, il abrite en plus de ses 70 chambres, une salle de fitness, un restaurant ultra lumineux et une terrasse avec piscine extérieure ouverte en hiver. Piscine et terrasse surplombent la mer offrant un superbe panorama pour se baigner et se relaxer.Propriétaire : Rizzante HotelsDate des travaux : début juillet 2021Savoir-faire KE Outdoor DesignKE a été sollicitée par l’établissement pour créer une zone protégée dans l’espace extérieur du restaurant et dans l’espace piscine. Ont été installés 8 Stores KE avec coffre QUBICA LIGHT, teinte 9006 Aluminium Mat, dans les dimensions : largeur 512 cm x avancée 210 cm, toile Tempotest Starlight resinato 6079/200, avec anémomètre, capteur soleil/vent et télécommande moteur.Hôtel-restaurant Les Sables Blancs en Bretagne, une terrasse de restaurant confortable et accueillante... en toutes saisonsSitué à Concarneau et surplombant l’une des plus belles plages de Bretagne, l’établissement 4 étoiles Les Sables Blancs bénéficie d’un cadre privilégié pour accueillir une clientèle en recherche de quiétude et de services haut de gamme. L’établissement conjugue haut standing et dépaysement avec ses 18 chambres et balcons dominant la mer, 3 suites, terrasse avec jacuzzi, restaurant panoramique avec double terrasse, accès direct à la mer, etc.Propriétaire : Les Sables BlancsDate des travaux : mai 2022Savoir-faire KE Outdoor DesignKE a été choisie par l’établissement pour couvrir et agrandir la terrasse du restaurant afin de pouvoir accueillir davantage de clients sur les demi-saisons. Ont été installées en quinconce 3 pergolas bioclimatiques KEDRY SKYLIFE à lames rétractables (80 m2 de couverture totale), en version autoportante, équipées de fermetures en vitrages panoramique Line Glass.Falkensteiner Hôtel & SPA Jesolo, une salle de relaxation panoramique baignée de lumièreNiché en plein cœur de la riviera vénitienne, ce complexe balnéaire 5 étoiles au design épuré et contemporain porte la signature de l’architecte américain Richard Meier, spécialiste d’une architecture abstraite reliée à son environnement. Colossal, l’hôtel propose 102 chambres double et 52 suites ultra-modernes, avec vue sur la mer. L’établissement accueille également 3 restaurants aux influences du monde, un SPA avec piscines (espace sauna, de relaxation, plusieurs espaces de bien-être, salle de sport...). La station bénéficie également d’une plage de sable privée et préservée pour une plus grande intimité et un séjour sur-mesure.Propriétaire : Falkensteiner Hotels & ResidencesSavoir-faire KE Outdoor DesignEn partenariat avec l’architecte d’intérieur Bea Mitterhoffer, KE a été chargée de protéger avec discrétion et efficacité la terrasse extérieure de l’espace détente du Spa, via la mise en place d’une couverture lumineuse. Un choix qui a permis de masquer la vue des chambres des étages supérieurs donnant sur la terrasse. Ont été installées côte à côte 3 voiles d’ombrage KHEOPE (80 m2 de couverture) motorisées et équipées d’un anémomètre pour assurer une fermeture automatique en cas d’intempéries.Dans l’univers de l’hôtellerie, les espaces extérieurs de détente et de restauration reflètent la qualité du lieu. C’est pourquoi ils font l’objet de plus en plus d’attention de la part de professionnels parfaitement conscients de la plus-value qu’ils représentent en termes d’attractivité et de fidélisation. L’un des équipements clés pour valoriser ces espaces réside dans les systèmes d’ombrage qui doivent garantir la protection solaire de manière esthétique.KE Outdoor Design accompagne les professionnels de l’hôtellerie et plus largement des cafés et restaurants partout dans le monde. La marque dispose d’une ligne de produits parfaitement adaptée au marché du CHR avec des protections solaires qui font dialoguer formes architecturales, attentes esthétiques et exigences du chantier.Lumière sur trois solutions KE dédiées aux professionnelsLes pergolasParmi les solutions KE les plus plébiscitées sur ce marché, la pergola toile ISOLA 3 avec sa double toiture* spéciale CHR et la pergola bioclimatique KEDRY SKYLIFE et son toit à lames orientables et rétractables, figurent en bonne place. Elles bénéficient d’un large choix de couleurs et d’options personnalisées : éclairage par leds, fermetures latérales, automatisation... Avec une configuration sur mesure, ces structures fixes s’intègrent dans leur environnement et assurent une protection maximale tout en offrant le prolongement de la saison en extérieur, un atout à haute valeur ajoutée. Ces pergolas participent à créer des cadres de réception exceptionnels et à assurer le confort.* Toile rétractable en PVC sur le dessus et toile micro-perforée sur le dessous.Les storesAutre solution KE appréciée par les professionnels du secteur de l’hôtellerie, café restauration : le store banne coffre QUBICA imaginé par le Designer italien à la renommée internationale, Robby CANTARUTTI. Ce store haut de gamme aux performances techniques élevées s’adapte à tous les types d’architecture. Il est doté de lignes géométriques, d’un coffre bicolore, de dimensions généreuses avec notamment une inclinaison importante qui permet de bien ombrager balcons et terrasses aux heures les plus chaudes de la journée. Il est également entièrement personnalisable en termes d’automatisation, d’éclairage, de coloris (coffre et toile), de technologie (pour les bras mécanisés du store)... autant d’atouts pour valoriser les terrasses.Les voilesLes voiles tendues élégantes et aériennes sont de plus en plus recherchées par les établissements haut de gamme pour aménager leurs espaces extérieurs : terrasses, aires de repos, de bien-être... KE propose plusieurs modèles de voile d’ombrage parmi lesquels KHEOPE dont les lignes fluides peuvent couvrir environ 20 m2 et près de 50 m2 avec le système motorisé. Confectionnée sur mesure, elle allie protection solaire efficace, raffinement, confection de qualité supérieure et installation simple. Composée de matériaux d’origine nautique comme le Dacron, elle est résistante à l’usure et au vent. Pratique à utiliser, simple à manœuvrer, elle permet de modifier librement l’inclinaison de la voile depuis le sol, de jouer avec les hauteurs pour adapter la zone ombrée aux besoins. KHEOPE se décline aussi en version adossée au mur pour limiter l’utilisation de poteaux de soutien et souligner le panorama environnant, tout en préservant l’esthétique du lieu.
Il y a 2 ans et 201 jours

Le Cerib accompagne les entreprises de l’industrie du béton pour l’obtention du Label Engagé RSE de l’Afnor

L’accompagnement du Cerib dans la transition RSE des industriels du bétonLe Cerib propose un plan d’actions RSE pour accompagner les groupes, les ETI, PME et TPE dans cette transition. Cet accompagnement consiste à réaliser un premier diagnostic permettant d’évaluer leurs pratiques en matière de RSE au siège et sur les sites. Pour les entreprises qui souhaitent aller plus loin, le Cerib propose également un accompagnement pour les préparer à la labélisation AFNOR Engagé RSE.Sur la base du référentiel d’AFNOR Certification, cet accompagnement permet de réaliser une pré-évaluation, selon le modèle Engagé RSE, conclue par un rapport, puis de définir un plan d’actions pour préparer l’entreprise à la labélisation AFNOR Engagé RSE. Cette démarche permet de réduire la durée de l’évaluation de l’AFNOR et d’optimiser ainsi les coûts pour l’entreprise. L’entreprise accompagnée est par ailleurs davantage préparée à l’évaluation, grâce à une meilleure compréhension du référentiel.Le Groupe RECTOR LESAGE, premier industriel labellisé Engagé RSE AFNORLe groupe RECTOR LESAGE s’est engagé en 2021 dans une démarche RSE structurée en quatre axes : Décarboner ses produits et ses activités, Protéger l’environnement et préserver la biodiversité, Favoriser le bien être au travail, Ancrer ses activités dans les territoires. Il a aussi été le premier industriel du béton à s’inscrire dans la démarche Engagé RSE d’AFNOR Certification.L’accompagnement du Cerib a débuté au 3e trimestre 2021 par un pré-audit à blanc selon le référentiel Engagé RSE d’AFNOR Certification réalisé au siège et sur plusieurs sites du groupe. Les auditeurs du Cerib ont rencontré de nombreux collaborateurs et parties prenantes externes de RECTOR LESAGE afin d’évaluer la stratégie du groupe, ses pratiques et sa performance en matière de RSE.RECTOR LESAGE a pu s’appuyer sur les conclusions de ce pré-audit, puis sur un accompagnement personnalisé réalisé au 1er semestre 2022 par le Cerib pour se préparer efficacement à l’audit de labélisation en juin 2022 par l’AFNOR, tout en réalisant son premier rapport RSE.À l’issue de cette évaluation, AFNOR Certification a positionné le groupe porteur du label Engagé RSE au niveau « Confirmé » (3e niveau sur une échelle de 4 niveaux dont le dernier est celui de l’exemplarité).Pour Ronan Blanchard, président du directoire de RECTOR LESAGE : « Première entreprise de l’Industrie du Béton reconnue à ce niveau, nous entendons bien capitaliser sur cette reconnaissance méritée et nous remercions le Cerib pour l'efficience de son accompagnement. Ce résultat confirme la sincérité de notre engagement et les efforts collectifs fournis depuis deux ans pour opérer le changement de notre activité vers plus de durabilité. »
Il y a 2 ans et 201 jours

Incompréhension des fabricants d'isolants en polystyrène expansé retoqués par la base INIES

La Base INIES refuse de prendre en compte leurs FDES lorsque leurs produits intègrent de la matière certifiée Mass Balance. C’est-à-dire lorsque le polystyrène expansible puis les panneaux isolants qui en sont issus recourent au principe d'allocation de ressource renouvelable (par exemple la biomasse).Une nouvelle génération de PSE bas carboneL’industrie des panneaux d’isolation en polystyrène expansé (PSE) s'est mobilisée depuis quelques années pour trouver des solutions afin de s’inscrire dans la construction bas carbone et ainsi réduire son impact sur l’environnement. Dans ce cadre, les industriels travaillent à la diminution de leurs besoins en énergie pour la production des panneaux, tout en limitant l’utilisation de ressources fossiles.Cette approche, commune à l’ensemble des industries chimiques, consiste à repenser la chimie basée sur des ressources fossiles pour y substituer des ressources renouvelables. Les industriels misent notamment sur les biogaz pour repenser la chimie, en cassant des molécules de gaz provenant de la décomposition des végétaux.Pour Amaury Omnès, Président de l’AFIPEB : « Pour tous les industriels du secteur, produire du PSE avec des déchets de végétaux, c’est clairement l’avenir. Ces déchets existent et ne demandent qu’à être valorisés. Pour la filière, les enjeux sont considérables en permettant notamment de réduire l'impact carbone des produits concernés et de répondre aux objectifs de la transition progressive vers des constructions bas carbone. »Une matière certifiée par le crédit Method Mass BalanceDes panneaux PSE recourant à cette technologie existent déjà. Néanmoins, c’est une technologie naissante et les quantités de matière première sont encore limitées. Aujourd’hui, l’industrie du PSE ne peut pas produire à 100% du PSE Bass Carbone à partir de la biomasse.Pour y remédier, l’industrie amont a fait le choix de mélanger sa matière première issue de la biomasse et celle issue du pétrole pour fabriquer les différentes molécules servant aux productions en aval.Cette évolution n’impacte pas le processus industriel. Que ce soit chez les producteurs de matière première ou chez les fabricants d’isolants en polystyrène expansé, la fabrication de ces isolants PSE Bas Carbone exploite les installations standards.De fait, pour les industriels, l’enjeu principal réside sur le principe d'allocation de la biomasse dans le produit de base et final, ainsi que sur les processus de traçabilité visant à la justifier. Pour cela, les industriels du PSE ont décidé d’utiliser le principe de la Crédit Method de l’approche Mass Balance décrite par la norme ISO 22095 “Chaîne de contrôle – Terminologie générale et modèles.Pour Joaquim Correia, Vice-président de l’AFIPEB : « Cette méthode consiste à la mise en place d’une chaîne de contrôle, à toutes les étapes de production, pour allouer la quantité initiale issue de la biomasse à une partie des matières produites. Cette norme établit qu’il existe un lien entre le flux documenté administrativement et le flux physique des matériaux et des produits. »Des organismes indépendants expérimentés (ISCC, REDCert, RSB...) contrôlent cette allocation de crédit Mass Balance et délivrent une certification attestant qu’elle est exacte. Cette certification s'étend jusqu'au bout de la chaîne, c’est-à-dire jusqu'aux produits finis, les isolants en polystyrène expansé.Blocage de la base INIESEn France comme en Europe, l’approche Mass Balance est utilisée depuis longtemps dans d’autres filières et elle est même acceptée dans la certification du bois durable. Son recours dans les nouvelles technologies pour une transition écologique et circulaire efficace, a été reconnue par plusieurs ONG de renom, telles que WWF et la Fondation Ellen Mc Arthur.Pour Amaury Omnès : « Nous avons lancé des produits, nous avons élaboré des FDES qui ont été vérifiées par des vérificateurs indépendants habilités. Cela montre bien que tout est sous contrôle car la partie Mass Balance est, elle aussi, vérifiée par des acteurs indépendants. Et, après avoir publié des premières FDES, il se trouve qu’en mars 2021, la Base INIES a édicté une nouvelle règle interdisant l'utilisation de Mass Balance. » Elle fonde sa décision sur une interprétation des normes que les industriels du PSE contestent.Pour Joaquim Correia : « C’est une décision unilatérale qui n’est pas appliquée en Allemagne par l'homologue de la Base INIES (IBU) qui reconnaît cette approche pour les produits de construction. Les pouvoirs publics refusent d'en discuter. »Cette décision met en difficulté les industriels concernés qui n’ont plus la possibilité de publier des FDES utilisant le principe Mass Balance. Autrement dit, leurs produits bas carbone ne sont pas reconnus et ne peuvent pas participer à la transition progressive vers des constructions bas-carbone, misant sur la diversité des modes constructifs et la mixité des matériaux portée par la RE2020.Pour Joaquim Correia : « Refuser la Crédit Method Mass Balance, c’est se priver d’un outil précieux pour faire avancer les filières dans la bonne direction. Cette approche que nous défendons intéresse tous les produits de construction intégrant des matières différentes, issues du recyclage ou encore de la biomasse et qui vont en avoir besoin pour démarrer leur transition. »Pour Amaury Omnès, au nom de l’AFIPEB : « Comme pour l'électricité “verte”, la méthode d'allocation stimule la demande. Le client bénéficie de produits bas carbone et “finance” l'investissement dans cette transition. C'est une condition nécessaire de développement. Mais il faut aussi une volonté politique sur les moyens et pas seulement sur les objectifs. »
Il y a 2 ans et 202 jours

Imer : Truelles et règles

La BT120 est la truelle mécanique la plus puissante d’Imer. [©Imer] Imer propose une gamme de truelles mécaniques, complétée par des règles vibrantes. Les truelles se nomment BT60, BT90 et BT120. Les versions BT60 et BT90 sont disponibles en version thermique ou électrique pour des performances équivalentes. A noter que la version thermique de la BT90 n’est disponible qu’avec un timon fixe, là où les trois autres modèles bénéficient de timons pliables. La BT120 travaille sur un diamètre de 1 200 mm, avec quatre pales. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 202 jours

Husqvarna : Toujours plus de choix

La nouvelle BGS250 d’Husqvarna. [©Husqvarna] Chez Husqvarna, l’actualité de la préparation des sols est l’intégration, au fil du temps, des produits Blastrac. Pour le moment, il s’agit surtout de les faire passer de blanc et bleu à orange et noir. Les produits Blastrac sont présents dans la gamme des raboteuses-fraiseuses, qui compte 8 modèles. Allant de 200 mm de largeur de travail à 400 mm. Pour cette gamme, Husqvarna a conçu un système de changement latéral du tambour, permettant d’effectuer les remplacements, sans déplacement de la machine. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 202 jours

Diam industries : Des disques, mais pas que

Diam Industries propose la ponceuse portative EBS 1802. [©Diam Industries] Diam Industries propose deux machines destinées à la préparation des sols. L’EBS 1802 est une ponceuse portative qui égalise les surfaces, enlève les vieilles peintures et les restes de colles, et gomme les imperfections. L’avant du carter est amovible pour faciliter le ponçage au ras des murs, qui est l’une des activités pour laquelle la ponceuse a été conçue. Elle est équipée d’un système anti-vibrations, de deux poignées parallèles pour une meilleure préhension, et d’un raccordement direct à l’aspirateur. Proposée en deux modèles, elle peut présenter une puissance de 1 800 W et de 2 500 W. La marque a aussi conçu la PB-E250, une ponceuse à sol qui permet de régler la hauteur de travail. Elle possède un raccordement à l’eau, et à l’aspirateur, et intégre un niveau bulle. Son bras est repliable pour une plus grande facilité de stockage. La PB-E250 offre une puissance unique de 2 200 W. Bien entendu, le cœur du savoir-faire de Diam Industries se situe dans les solutions d’abrasifs que propose la marque et qui équipe la plupart des machines détaillées dans ce présent dossier. Lire le dossier complet ici
Il y a 2 ans et 204 jours

Le marché du chauffage : gérer la crise, préparer l’après... le compte à rebours est lancé

En 10 ans, la consommation moyenne d’énergie pour le chauffage a baissé de 30% dans le résidentiel. Signe que les efforts de rénovation thermique portent peu à peu leurs fruits, mais aussi que le réchauffement climatique est devenu, malheureusement, une réalité, avec des hivers de plus en plus doux. Derrière cette baisse, c’est un nouvel équilibre entre énergies de chauffage qui est en train de se jouer. Les ventes de gaz naturel, première énergie utilisée pour se chauffer, diminuent tendanciellement à l’instar des autres énergies fossiles (GPL, fioul). En revanche, les consommations d’électricité, de bois énergie et de chauffage urbain se maintiennent voire augmentent.Une hiérarchie bousculéeSi les transformations étaient déjà fortes, la filière du chauffage est entrée, ces derniers mois, dans un nouveau paradigme. Les enjeux de sobriété énergétique et l’envolée des prix mettent, plus que jamais, les fournisseurs sous tension. Depuis le 1er juillet 2022, les vendeurs de fioul ne peuvent plus compter sur le renouvellement du parc de chaudières puisque l’installation de ces équipements est désormais impossible. De son côté, la RE 2020 porte un coup rude au gaz naturel et au propane, en bannissant ces énergies des maisons individuelles neuves depuis le 1er janvier 2022, et des logements collectifs à partir de 2025. Certes, l’installation d’une solution hybride avec le gaz en appoint sera possible mais la donne change radicalement pour les fournisseurs de gaz naturel, qui voient disparaître l’opportunité d’imposer leur énergie dans l’habitat neuf alors qu’ils avaient largement profité de la RT 2012.Un changement de modèleL’horizon est sombre pour les fournisseurs d’énergies fossiles, en particulier pour les fournisseurs de fioul, qui doivent engager une transformation d’ampleur, au risque de disparaître. Ils peuvent prendre le virage du Biofioul, biopropane et biométhane, mais les volumes de production sont aujourd’hui marginaux et des incertitudes pèsent sur la capacité de ces nouvelles énergies à prendre réellement le relais de leur équivalent fossile. La diversification vers une autre énergie bien implantée va être une étape obligée. Contraints dans les logements neufs, les fournisseurs de gaz naturel vont miser, eux, sur le marché de la rénovation énergétique des logements. Comme pour les fournisseurs d’électricité, et même de GPL, ils sont aussi lancés dans la conquête des clients fioul à convertir.Virage vers l'électricité et les servicesPour tous les fournisseurs d’énergies fossiles, l’électricité apparaît comme un territoire à investir, s’ils ne l’ont pas déjà fait. La flambée des prix limitent pour l’instant leurs marges de manœuvre. Mais, le marché de l’électricité est aujourd’hui très difficile à cause de la flambée des prix de gros. Plusieurs fournisseurs sont sortis du marché de l’électricité contraints ou volontairement. Ils sont encore plus nombreux à avoir renoncé à conquérir de nouveaux clients. Lorsque la crise sera terminée, les velléités des uns et des autres vont se réveiller. Nombre de fournisseurs vont venir tenter leur chance, probablement d’ici 2 à 3 ans. En attendant de passer cette période de turbulence, les services (assistance, dépannage, installation d’équipements…) vont constituer l’autre axe de développement majeur de tous les fournisseurs d’énergies.
Il y a 2 ans et 204 jours

Ehret conçoit des protections solaires originales pour la façade de l’office national de la police criminelle de Schwerin

A contre-courant du fonctionnalismeAu milieu d’un immeuble construit comme une caserne militaire dans la zone protégée des lacs de Schwerin en Allemagne, le nouveau bâtiment administratif (et le laboratoire) de l’Institut de criminologie, avec sa forme libre et presque flottante, rompt délibérément avec la structure rigide de la caserne et crée une identité entièrement nouvelle d’un point de vue architectural. Le particularisme du bâtiment et l’expression de légèreté qu’il s’en dégage, vont à contre-courant du fonctionnalisme architectural selon lequel la forme des bâtiments doit être exclusivement l’expression de leur usage.En partant de la situation existante, une solution de protection solaire a été recherchée. La conception contraignait à des exigences élevées n’autorisant qu’une intervention minimale sur la structure de la façade et devant à la fois souligner la conception de la façade de manière exceptionnellement attrayante.Pour répondre à ces exigences élevées et au design unique recherché, ce sont des volets coulissants qu’EHRET a préconisé. Afin de répondre également à des besoins d’économies d’énergie, à une gestion de la lumière et à une utilisation simplifiée au maximum, ces éléments ont été motorisés.Une conception de façade au caractère flottantAu total, 137 volets coulissants en aluminium ont été installés. EHRET a pensé et conçu tout spécialement un système de rails de guidage cintrés, avec des guidages à rouleaux spéciaux pour épouser parfaitement la forme de la façade.L’intervention au point supérieur de la façade n’était pas négligeable. La face inférieure de la construction de la façade a été ouverte, les rails ont été cachés par des équerres spéciales et intégrés dans la construction sur tout le pourtour. La liaison inférieure, en revanche, était relativement simple. Ici, les rails bas ont été montées sur la façade avec des équerres.Équipés d’un entraînement électrique, qui prévoit une commande confortable par commande centrale, par détecteur de soleil et par commande individuelle dans chaque pièce, les volets coulissants EHRET sont déplacés en douceur vers la position souhaitée.Couleurs et facette font la richesse du designLes volets coulissant EHRET qui ont été préconisés sont des volets modèle PL-LO dont les tôles ont été perforées et colorées dans les trois tons de vert NCS 1080-G30Y, NCS 1075-G40Y et NCS 1075-G60Y. Toujours construit sur la base d’un cadre aluminium, le volet coulissant d’EHRET offre une possibilité quasi-infinie de remplissage et de personnalisation. EHRET qui joue la carte de la personnalisation infinie, permet de faire de chaque volet une pièce unique.Ici, les perforations, le sens de circulation et la disposition des éléments ont été spécialement calculés et définis par un expert en énergie. Ils assurent non seulement un apport de chaleur optimal dans le bâtiment, mais séduisent également par leur design moderne.Leurs couleurs variées et leurs effets lumineux d’ambiance, sous l’effet du soleil, créent une atmosphère particulière dans la pièce et enrichissent la présence dans les locaux d’un certain facteur de bien-être.Grâce aux éléments de protection solaire de la société EHRET, la nouvelle construction du bâtiment peut refléter parfaitement sa nouvelle identité avec son impressionnant langage de façade flottant.Le volet coulissant est une solution de plus en plus prisée. EHRET qui excelle dans l’art de penser la protection solaire tout autrement qu’un dispositif, allie parfaitement esthétique, qualité et fonctionnalité.La marque conçoit des éléments de décoration à part entière, qui habillent les façades et participent pleinement à l’amélioration de l’habitat ainsi qu’au confort d’été en tant que protections solaires efficientes.
Il y a 2 ans et 205 jours

Vendre le Parc des Princes au PSG "n'est pas notre option prioritaire" affirme la mairie de Paris

Dans un entretien à la presse mercredi, le président du club parisien Nasser Al-Khelaïfi a assuré que, faute de pouvoir devenir propriétaire du Parc des Princes (48.000 places), QSI, qui possède le PSG, pourrait chercher un autre stade, quelques jours après avoir annoncé envisager de vendre des parts du club."Ils sont titulaires d'un bail, un bail de 30 ans, ils souhaiteraient pouvoir engager une phase d'investissement, et ils disent : on injecte 500 ou 600 millions (d'euros) de travaux que si on est propriétaires. Nous, ce n'est pas notre inclination première de leur vendre le Parc des Princes. C'est le patrimoine de la ville, des Parisiens", a expliqué Emmanuel Grégoire. "Des discussions sont engagées autour de la vente et on leur a dit : avant même de savoir si on souhaite vendre, il faudrait s'entendre sur un prix. Aujourd'hui, on n'est pas encore arrivé au bout de ces discussions", a poursuivi l'élu parisien.Les dirigeants du club "ont dit qu'ils voulaient faire les travaux et acheter et on leur demandé de faire une proposition", a pour sa part précisé auprès de l'AFP Pierre Rabadan, adjoint chargé des sports à la mairie de Paris, qualifiant la proposition du PSG de "peu décente".Pour Emmanuel Grégoire, "la tactique de négociation (...) peut s'apparenter à un coup de pression" et "je ne crois pas que ce soit la bonne méthode"."Notre option prioritaire est plutôt de rester sur un modèle de bail, de location longue durée. Les options sont sur la table, (vendre) c'est clairement pas notre préférence et ils le savent", a-t-il insisté.
Il y a 2 ans et 205 jours

Salon des maires et des collectivités locales : accélérer la transition écologique par, pour et avec les territoires

3 questions à... Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoiresPourquoi le salon des maires et des collectivités locales est-il un rendez-vous important ?« Pour nous le salon des maires, c’est la possibilité d’échanger avec une très grande diversité d’elus, venus de communes rurales comme de grandes métropoles, en attente d’aides et d’accompagnements adaptés à leurs spécificités. Sur le Salon, on vous apporte des solutions et on prend vos solutions. »Pourquoi le ministère y est-il présent ?« C’est la première fois que nous serons présents au nom de ce grand ministère qui réunit la transition écologique et la cohésion des territoires et c’est en soi déjà tout un symbole.Face à l’urgence climatique, la France s’est engagée fortement pour atteindre une baisse de 55% d’émissions de gaz à effet de serre en 2030 par rapport aux années 1990. Pour tenir ces engagements ambitieux, l’État aura besoin du concours des collectivités locales et nous serons présents pour leur apporter des solutions.Aux côtés des citoyens, les élus locaux sont en première ligne face aux aléas climatiques. Les collectivités locales sont aussi, du fait de leur patrimoine et de leurs compétences, les premières à investir pour le climat, à mettre en place des stratégies et des plans d’actions, à mobiliser les acteurs du territoire ou encore à imaginer des solutions innovantes. L’État souhaite s’appuyer sur cette dynamique. Ainsi, si les grandes priorités sont fixées et les moyens mobilisés au niveau national, c’est bien à l’échelon local, au bloc communal, de mettre en œuvre les actions pertinentes. L’accélération, indispensable, de nos politiques de décarbonation et d’adaptation au changement climatique doit s’appuyer sur les maires, qui tous les jours mesurent les effets des actions sur le quotidien des Français. Cette proximité est le gage de l’efficacité.Il nous faut alors unir les énergies et faire converger les actions aux échelles nationale et locale. Plus que jamais, l’État souhaite accompagner les collectivités locales sur ce terrain et les doter des outils et des moyens nécessaires. »Pourquoi un village avec nos partenaires ?« Cette année, notre présence au Salon des maires et des collectivités locales s’adapte à la nouvelle organisation ministérielle. Notre stand devient Le village de l’Ecologie, de l’Energie et des Territoires.Il regroupe nos principaux opérateurs : l’Agence de la transition écologique - Ademe, les Agences de l’eau, l’Agence nationale de l’habitat, l’Agence nationale de la cohésion des territoires, le Bureau de recherches géologiques et minières, le Centre de ressources scientifiques et techniques dit Cerema, le Commissariat général au développement durable, l’Institut national de l’information géographique et forestière, la Direction générale des collectivités locales, Météo France, l’Office français de la biodiversité, Voies navigables de France.Sur le Village, les opérateurs pourront échanger avec les acteurs locaux et les informer sur tous les programmes, solutions, aides, incitations que le ministère met à leur disposition pour accélérer la transition dans leurs territoires.La présence du ministère et de ses opérateurs sur le Village de l’Ecologie, de l’Energie et des Territoires du Salon des maires répond à notre volonté d’écouter les élus et de leur fournir les solutions, l’expertise et l’ingénierie dont ils ont besoin. »3 questions à... Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétiqueComment les collectivités locales peuvent-elles être des moteurs en matière de sobriété énergétique ?« Eclairage public, transports, bâtiments, équipements sportifs ou culturels, les collectivités locales sont en première ligne pour porter la sobriété énergétique. Beaucoup n’ont d’ailleurs pas attendu l’État pour agir contre le réchauffement climatique et pour réduire leur facture énergétique. Le plan sobriété, présenté le 6 octobre dernier, sous l’égide de la Première ministre, leur a permis de définir des mesures efficaces, pour économiser 10% de leur consommation d’électricité, de gaz et de carburant, d’ici fin 2024.Ma responsabilité est d’être en appui des élus, de remettre à leur disposition l’expertise de nos opérateurs, de faciliter le partage d’expérience et de bonnes pratiques, de lever des verrous législatifs et réglementaires. Je souhaite aussi que l’État accompagne financièrement les collectivités locales dans leurs investissements. C’est dans cette optique que j’ai mobilisé 220 millions d’euros supplémentaires dans le programme CEE ACTEE+ pour soutenir des projets d’éclairage public ou de rénovation de piscines. Plus largement, le Fonds vert doit aider à financer les projets de décarbonation. »Quelles sont les conséquences pour les collectivités du projet de loi d'accélération des énergies renouvelables actuellement examiné au Parlement ?« Ce projet de loi, c’est un nouveau pacte territorial entre l’État et les collectivités locales pour que la France soit - enfin ! - à la hauteur de ses objectifs de déploiement des énergies renouvelables et donc, de ses objectifs climatiques. Les Maires sont remis au cœur du processus et décident des zones prioritaires où ils souhaitent voir se développer les projets. La planification se fait en partant de la réalité du terrain et évite un déploiement anarchique des installations.Le projet de loi donne aussi des outils financiers aux collectivités locales pour maîtriser à long terme leur coût de l’énergie sur le modèle des réseaux de chaleur, simplifie les procédures et rend possible l’installation de panneaux photovoltaïques dans des zones dégradées. C’était une demande des élus !Dans ce cadre, l’État doit avoir un rôle de facilitateur, par exemple, en mettant en avant les zones désignées par les Maires auprès des porteurs de projet et en assurant une instruction prioritaire des projets sur ces zones. Des effectifs nouveaux seront déployés au sein de l’État pour instruire plus vite les projets : nous avons aussi entendu ce message des élus ! »Face à la crise énergétique, comment l'État protège-t-il les collectivités ?« Face à cette crise inédite, des mesures fortes ont été prises dès le début de l’année 2022 : bouclier tarifaire pour les très petites collectivités locales, baisse de la fiscalité énergétique, augmentation exceptionnelle du volume d’Arenh pour l’année 2022 ou encore mécanisme du filet de sécurité.Pour l’année 2023, le bouclier tarifaire et le filet de sécurité seront reconduits, de même que la baisse de la fiscalité sur l’électricité. Pour les collectivités plus importantes, un dispositif complémentaire est introduit pour amortir le coût de l’électricité. Il permet de réduire la facture d’environ 100 €/MWh pour une collectivité locale ayant signé un contrat à des prix de l’ordre de 500 €/ MWh. C’est donc 20% de la facture qui sera prise en charge par l’État, directement en pied de facture, sans dossier à instruire. Ce paquet de mesures de soutien pour 2023, complété par une Charte fournisseur et une publication toutes les semaines par la Commission de régulation de l’énergie des prix de référence de l’électricité, permettent aux collectivités locales de renouveler leur contrat dès maintenant dans les meilleures conditions !Face à la crise, nous ne laisserons pas tomber les élus de terrain ! »La parole à... Caroline Cayeux, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales« Au plus des réalités du terrain et des besoins de nos concitoyens, les maires sont les premiers artisans de la réussite de nos politiques publiques.Notre ambition, c’est celle d’un État accompagnateur, et non plus prescripteur, qui soit au service de leurs projets et de leurs initiatives innovantes.Un État accompagnateur, qui leur permette de faire face à l’inflation et de la hausse du coût de l’énergie.Un État accompagnateur, qui leur donne la stabilité et la lisibilité nécessaires sur leurs finances pour continuer à investir.Un État accompagnateur, enfin, qui leur permettre d’accélérer leur transition écologique.Ensemble, construisons le développement durable de tous les territoires !Pour la première fois, les visiteurs seront accueillis par des élus ambassadeurs de la transition écologique, sur notre village. »Le Fonds vert, 2 milliards d’euros pour accélérer la transition écologique dans les territoiresL’État mobilise 2 milliards d’euros dès 2023 au titre du fonds vert. Ce nouveau fonds inédit permettra de concrétiser les projets des collectivités locales engagées dans la transition écologique. Complémentaire aux dotations d’investissement de l’État, le fonds vert est un levier supplémentaire de soutien au développement des territoires.Le fonds vert répond à un triple objectifRenforcer la performance environnementaleCette action vise à encourager la performance énergétique, tout en favorisant le respect de la biodiversité : La rénovation énergétique des bâtiments publics locaux Le soutien au tri à la source et à la valorisation des biodéchets La rénovation des parcs de luminaires d’éclairage public Adapter les territoires au changement climatique Les risques climatiques auxquels sont exposés nos territoires imposent des actions d’adaptation pour préserver les vies humaines autant que les espèces animales et végétales: La prévention des inondations L’appui aux collectivités de montagne soumises à des risques émergents Le renforcement de la protection des bâtiments des collectivités d’outre-mer contre les vents cycloniques La prévention des risques d’incendies de forêt L’adaptation des territoires au recul du trait de côte La renaturation des villes Améliorer le cadre de vie La transition écologique est l’occasion d’améliorer nos cadres de vie tout en conciliant l’activité humaine avec la préservation de son environnement naturel : L’accompagnement du déploiement des zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m) Le recyclage des friches L’accompagnement de la stratégie nationale biodiversité 2030 (SNB)Les mesures de soutien aux collectivités localesAugmentation de la dotation globale de fonctionnementDans le cadre du PLF pour 2023, le Gouvernement a consenti un effort exceptionnel et historique s’agissant de la dotation globale de fonctionnement des collectivités locales. Pour la première fois depuis 13 ans, la dotation globale de fonctionnement augmentera de 320M€, ce qui permettra de préserver la dotation de près de 95% des collectivités.Accompagnement des collectivités face aux prix de l'énergiePour aider les collectivités locales face à la hausse des prix de l’énergie, l’État est pleinement mobilisé et a décidé de mettre en place plusieurs mesures, en 2023, pour réduire l’impact de la hausse de leurs factures d’électricité :Bouclier tarifaire (petites collectivités) Les petites collectivités de moins de 10 employés et de moins de 2M€ de recettes, ayant contractualisé une puissance inférieure à 36 kVa et qui sont éligibles aux TRVe, vont bénéficier, à nouveau, du bouclier tarifaire en 2023. Le bouclier tarifaire est maintenu en 2023 sur la base d’une hausse des tarifs réglementés d’électricité limitée à +15% en moyenne.Amortisseur électricité Les autres collectivités, quelle que soit leur taille, vont bénéficier d’un nouveau dispositif dit amortisseur électricité, qui sera mis en place début 2023. À titre d’exemple, pour un contrat conclu à 500 €/MWh, l’État prendrait à sa charge près de 20% de la facture de la collectivité locale. La baisse du prix apparaîtra directement sur la facture, et une compensation financière sera versée par l’État aux fournisseurs d’énergie, via les charges de service public de l’énergie.Filet de sécurité Pour faire face à la flambée des prix de l’énergie, un filet de sécurité de 430M€ a été adopté à l’été 2022 dans le cadre de la loi de finances rectificatives qui permet aux communes et aux groupements de compenser une partie de la hausse des prix au titre de l’exercice 2022.Sont éligibles, les communes et groupements qui réunissent les trois critères suivants : avoir un taux d’épargne brute 2021 inférieur à 22% ; avoir un potentiel financier ou fiscal par habitant inférieur au double de la moyenne de la strate ; perdre au moins 25% d’épargne brute en 2022, du fait principalement de la hausse des dépenses d’énergie et d’alimentation, et de la revalorisation du point d’indice. Les collectivités éligibles se verront compenser 50 % des effets de la revalorisation du point et 70 % des effets de la hausse des dépenses d’énergie et d’alimentation constatée en 2022.Rendez-vous sur le village de l’Ecologie, de l’Energie et des Territoires : Pavillon 4 - Stand D118.
Il y a 2 ans et 205 jours

Lifesize Plans, première technologie de visite de plans à échelle réelle

Lifesize Plan est la première technologie immersive de plans d’architecte à échelle réelle. [©Lifesize Plans] Qui n’a jamais rêvé de pouvoir visiter sa future maison avant même sa construction ? Ce rêve est devenu réalité grâce à l’idée qu’a eu le constructeur de maisons australien Chris Ghaleb, en 2017. Réalisant que ses clients avaient du mal à visualiser les espaces en regardant des plans d’architectes, il décide alors de créer un dispositif immersif, permettant de projeter les plans en grandeur nature dans un entrepôt. Objectif ? Offrir aux particuliers et aux professionnels ayant un projet de construction ou de rénovation la possibilité de vivre une expérience immersive unique. Lifesize Plans, un concept venu d’Australie Pendant le confinement en 2020, Florian Di Vito, restaurateur en Avignon, tombe sur une vidéo de l’émission télévisée australienne “Shark Tank” (équivalent de “Qui veut être mon associé ?”, en France). Dans laquelle Chris Ghaleb, le fondateur de Lifesize Plans, présente son concept devant des investisseurs. Florian Di Vito trouve l’idée géniale et décide de se renseigner pour lancer cette offre en France. Après plusieurs mois d’échanges réguliers avec l’équipe Lifesize Plans en Australie, l’entreprise accepte de lui vendre une franchise. Et de l’accompagner pour ouvrir le premier show-room dans le monde hors Australie, en Avignon, dans le Vaucluse. Florian vend son restaurant. Et se lance dans l’aventure Lifesize Plans, accompagné de ses parents, Robert et Myriam Di Vito (récemment retraités du secteur du bâtiment). Mais aussi de sa compagne, Margaux Pandelon, qui travaille dans le milieu de la finance. Comment ça marche ? Le principe de Lifesize Plans est de projeter des fichiers (plans d’architecte, images, vidéos), via un système comportant 15 vidéo-projecteurs et 3 écrans. Pour une expérience encore plus concrète, du mobilier et des cloisons sur roulette sont mis à disposition pour pouvoir se rendre compte d’un aménagement intérieur. Identifier d’éventuels défauts et les corriger en direct sur le plan, en amont de la construction. On peut même faire entrer sa voiture dans l’entrepôt pour visualiser son encombrement sur le plan du parking ou du garage. De la rénovation d’une salle de bain à l’aménagement d’un hôpital, en passant par la construction de la maison de ses rêves ou l’ouverture d’un commerce, Lifesize Plans permet à toutes les idées de prendre vie. Le show-room d’Avignon se veut un espace collaboratif, dans lequel les différents acteurs d’un projet peuvent échanger et concevoir ensemble d’une nouvelle manière. Au-delà des plans Lifesize Plans propose des créneaux horaires, à partir de 400 €HT. Que l’on souhaite faire un petit changement ou de plus amples modifications, Lifesize Plans accompagne ses clients à chaque étape du processus. Ce concept ne s’arrête pas à la projection de simples plans. Il va proposer prochainement un nouveau service permettant, grâce à la réalité augmentée, de vivre une expérience digne du film “Minority Report”. On peut ainsi tout en marchant dans ses plans visualiser, à travers un casque de réalité virtuelle, du mobilier en hologramme. Plus de 500 modèles seront disponibles, que l’on pourra placer, déplacer ou supprimer à sa guise dans l’espace. Tout le monde peut profiter de cette vision futuriste, le contenu du casque de réalité virtuelle étant projeté en direct sur l’écran géant mural. Lifesize Plans Avignon1421 avenue de l’Amandier84140 Montfavet Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 205 jours

Les coulisses du métro SK de Noisy-le-Grand

Brigitte Marsigny, maire de Noisy-le-Grand, Laurent Foret, directeur de la Socaren, et Yann de Kermadec, concepteur du mini-métro SK, dans ls antres de la station SK. [©Ville de Noisy-le-Grand] La Ville de Noisy-Le-Grand (93) révèle les secrets du métro SK à travers une exposition, à l’espace Michel Simon. Elle offre une rétrospective du projet : de la construction du métro à la réhabilitation de la friche ferroviaire en tiers-lieu culturel. « Quand je suis arrivée aux affaires, en 2015, j’ai découvert ce lieu singulier, un peu hors du temps, se souvient Brigitte Marsigny, maire de Noisy-le-Grand. Il est tout de suite devenu évident qu’il fallait en faire quelque chose. » [©Ville de Noisy-le-Grand]3-Noisy-Le-Grand_Exposition-Metro-SKDes visites guidées sur le site sont aussi organisées au sein même du métro. Ceci, sur réservation uniquement les samedis (01 45 92 75 75). [©Ville de Noisy-le-Grand] En avril dernier, l’équipe de Béton[s] le Magazine avait eu la chance de visiter les antres de métro SK. Mais qu’est-ce que cette curiosité ? D’une longueur de 518 m et doté de deux terminaux, ce mini-métro avait été construit en 1993. Il devait permettre de relier la gare RER du Mont d’Est au futur quartier d’affaires Maille Horizon, à l’Ouest de la ville. Mais ce dernier projet n’a jamais vu le jour, avalé par la crise immobilière du début des années 1990. Depuis, ce site était devenu l’aire de jeux des adeptes de l’urbex. Lire aussi : La seconde vie du métro SK de Noisy-le-Grand Une exposition-rétrospective La Ville de Noisy-Le-Grand (93) révèle les secrets du métro SK à travers une exposition, à l’espace Michel Simon. [©Ville de Noisy-le-Grand]La Ville de Noisy-le-Grand offre une rétrospective du projet : de la construction du métro à la réhabilitation de la friche ferroviaire en tiers-lieu culturel. [©Ville de Noisy-le-Grand]Le SK était une ligne de transport de type “navette hectométrique”. Son principe : actionner des cabines-capsules au moyen de câbles, sur le modèle des téléphériques. [©Ville de Noisy-le-Grand] « Quand je suis arrivée aux affaires, en 2015, j’ai découvert ce lieu singulier, un peu hors du temps, se souvient Brigitte Marsigny, maire de Noisy-le-Grand. Il est tout de suite devenu évident qu’il fallait en faire quelque chose. » L’idée est donc de lui redonner vie. Autrement. C’est le pari de la ville, qui a lancé le 8 avril 2022, l’appel à projets baptisé “Station K”. Ainsi est née aussi l’idée d’une rétrospective sur ce lieu emblématique de Noisy-le-Grand. « L’exposition se déroule actuellement à l’espace Michel Simon. Elle a été réalisée en collaboration avec la Socaren, maître d’ouvrage. Et a pour objectif de présenter aux habitants de la ville et aux Franciliens une rétrospective du “Métro SK”. A travers elle, nous voulons que chacun puisse s’imprégner du lieu et du projet “Station K” », reprend Brigitte Marsigny. Grâce à un parcours explicatif et documenté par des passionnés d’histoire, les visiteurs entrent au cœur du projet, à travers des vidéos de synthèse, des photos et des plans, et une immersion dans la station fantôme. Des visites guidées sur le site sont aussi organisées au sein même du métro. Ceci, sur réservation uniquement les samedis (01 45 92 75 75). Espace Michel SimonEsplanade Nelson-Mandela36 Rue de la République,93160 Noisy-le-Grand M. C. Et suivez-nous sur tous nos réseaux sociaux !
Il y a 2 ans et 205 jours

Programme d’investissements d’avenir (PIA3) : Alkern lauréat de l’appel à projets « Innov Avenir Filière »

Ce projet vise à structurer la filière miscanthus autour d’une nouvelle usine capable de fabriquer de nouveaux produits biosourcés et bas carbone pour le marché du bâtiment. D’un montant estimé à plus de 8 millions d’euros, il sera accompagné à parts égales par l’État et la Région à hauteur de 1 million d’euros, soit 2 millions d’euros au total, dont la moitié sous forme de subventions et la moitié sous forme d’avances récupérables.Pour M. BABRE, Préfet de l’Eure : « Ce projet s'inscrit parfaitement dans le cadre des enjeux nationaux rappelés par le président de la République en matière de neutralité carbone pour 2050 et d'émergence de nouveaux savoir faire, de rupture technologique. L'industrialisation d'un nouveau procédé permettant de produire des blocs de béton bas carbone à base de granulats de miscanthus produits localement offrira de nouvelles solutions pour la construction associant performance énergétique et faible empreinte environnementale, tout en favorisant le développement d'une filière d'avenir et d'un éco-système économique local. Pour toutes ces raisons, l'Etat est heureux d'accompagner financièrement ce projet de première industrialisation après avoir accompagné la phase amont d’ingénierie du projet. »Pour mémoire, le PIA3 régionalisé filière se distingue en permettant la conduite d’actions territorialisées financées à parts égales par la Région Normandie et l’Etat. Lancé en 2018, l’appel à projets (AAP) « Innov’ Avenir Filières » vise à financer des projets de structuration de filière, en permettant à des entreprises la composant, le recours à des moyens de production ou des infrastructures de recherche partagés, l’échange de données et d’informations, le partage des visions technologiques et de marché ainsi que l’initiation de démarches commerciales partagées.À l’issue du comité de sélection régional qui s’est tenu en juillet 2022, la candidature portée par la société ALKERN, fabriquant de solutions durables d’aménagement du territoire à base de produits en béton préfabriqué, a été désignée lauréate de cet appel à projets.Au cours d’un événement organisé sur le site industriel ce jour pour célébrer cette première étape importante, les différents participants ont pu partager tous ensemble les objectifs poursuivis du projet. La construction de cette nouvelle usine (située sur la commune des 3 Lacs) équipée d’un process inédit en France permettra de fabriquer des nouveaux matériaux de construction biosourcés s’inscrivant dans la trajectoire zéro émission nette de gaz à effet de serre 2050 de la France. Il s’agit également de poser la première pierre d’une nouvelle filière à base de miscanthus qui permettra d’ancrer, avec la communauté agricole, une activité industrielle s’appuyant sur les ressources naturelles et renouvelables de la région.Grâce à ce projet, Alkern va ainsi pérenniser ainsi 22 emplois directs (dont 7 nouveaux) avec une capacité de fournir la réalisation de l’équivalent de 3000 maisons individuelles par an soit 4800 emplois indirects.Pour l’ensemble des territoires à proximité de l’usine, c’est une solution supplémentaire pour leurs futurs besoins d’éco-construction et répondant déjà aux futures évolutions réglementaires de la RE2020.En effet, grâce à une réduction d’au moins 40% du bilan carbone des blocs fabriqués dans cette nouvelle usine, l’économie annuelle s’élèvera entre 2000 et 3000 tonnes de CO2. Il convient de plus d’ajouter la diminution de 90% de la consommation en eau sur les chantiers et une mise en œuvre plus rapide pour mesurer les bénéfices d’un tel projet. Le développement de produits isolants apportera non seulement une baisse de la consommation énergétique des bâtiments mais également un confort été comme hiver à ses occupants.De plus, afin d’accompagner la transition vers une construction plus vertueuse, l’usine a été conçue pour alterner facilement entre la production de blocs géo-sourcés ou de blocs biosourcés. Alkern pourra ainsi offrir à ses clients une mixité de solutions constructives (murs porteurs ou non porteurs) répondant aux enjeux propres de chaque projet.La création de cette filière servira également à résoudre des sujets clés pour les autres débouchés notamment un modèle économique de référence et une réponse à la gestion du stockage de miscanthus (nécessaire pour permettre de mettre en adéquation une ressource annuelle et un besoin de production régulier).Enfin, ce projet permettra de mettre en avant cette agro-ressource comme réponse pertinente aux zones à enjeux (AAC) grâce à ses très faibles besoins en entrants ; une solution pour concilier diversité agronomique, bas carbone et maîtrise de la qualité de l’eau sur ce territoire. Le projet Alkern va ainsi plus globalement permettre un effet de levier vers le développement plus large d’une filière à base de cette agro-ressource au travers d’autres applications industrielles aujourd’hui émergentes (automobile, cosmétique, chimie verte et biosourcée…). Il offrira ainsi aux agriculteurs un débouché économique supplémentaire pour diversifier leur production et leur clientèle.Pour M. Morin, Président de la Région Normandie : « La Normandie bénéficie de secteurs économiques à fort potentiel, d’activités fortement créatives et novatrices avec des produits emblématiques et des filières de haute technologie, pour la plupart adossées à des pôles de recherche d’envergure internationale. Cet appel à projets remporté par Alkern témoigne du dynamisme des entreprises normandes en matière d’innovation. Il va en plus permettre de développer une toute nouvelle filière pour le secteur agricole. Dans une économie en perpétuel mouvement, marquée par les innovations et les nouveaux usages, la capacité d’un territoire à innover et expérimenter est déterminante. Ce Programme d’Investissements d’Avenir territorialisé est un véritable enjeu pour les Normands ! »
Il y a 2 ans et 206 jours

DOM-Metalux lance DOM Roq, sa nouvelle solution de verrouillage intelligent développée en partenariat avec Somfy

A l’échelle européenne, la maison intelligente s’inscrit de plus en plus dans les usages des consommateurs. Le marché devrait même compter 100 millions de smart home à l’horizon 2026. Pourtant en matière de sécurité, un grand nombre de particuliers reste frileux à l’idée d’installer une serrure connectée. Pour répondre à ces inquiétudes, DOM, leader européen sur le marché des systèmes de sécurité et du contrôle d’accès, associe son expertise à celle de Somfy, pionnier de la maison connectée, et lance DOM Roq : une nouvelle solution de verrouillage intelligent à la fiabilité maximale. DOM Roq : l’alliance innovante du Safe au Smart Au design sobre tout en un, DOM Roq est une serrure intelligente qui s’installe sur de nombreux modèles de portes, côté intérieur. Un configurateur permet de vérifier facilement la compatibilité de DOM Roq avec sa porte. DOM Roq associe : une motorisation connectée puissante pour cylindre et serrure DOM Roq, dotée de détecteurs de verrouillage et de tentative d’intrusion qui surveillent la porte en permanence et détectent toute vibration anormale. Avec sa batterie amovible rechargeable aisément via un câble USB-C, DOM Roq bénéficie d’une autonomie optimale (3000 cycles d’ouvertures/fermetures), un cylindre de haute sécurité à profil européen DOM, à choisir parmi 4 modèles en fonction des caractéristiques techniques de la porte et du niveau de sécurité souhaité. A cela s’ajoute la passerelle internet à brancher sur une prise électrique pour connecter DOM Roq au réseau Wi-Fi et ainsi piloter et contrôler à distance les accès à son domicile via l’application mobile dédiée. Grâce au chiffrement de bout en bout, de la box à la serrure, afin d’assurer une véritable confidentialité des données, l’ensemble garantit à la fois un haut niveau de sécurité mécanique et électronique. Dès lors, différentes options de verrouillage/déverrouillage sont possibles : clé digitale via smartphone, clé mécanique côté extérieur, bouton côté intérieur, badge ou code à l’aide d’un lecteur mural proposé en option. Application DOM Roq : garder le contrôle 24 h/24 pour une véritable tranquillité d’esprit Une fois l’application DOM Roq téléchargée gratuitement (iOS et Android), la mise en service de la serrure intelligente et sa configuration s’effectue de façon simple et intuitive. L’utilisateur peut alors à tout moment, et à distance : vérifier l’état de sa porte et s’assurer qu’elle a bien été fermée en partant, et si tel n’est pas le cas la verrouiller à distance. Pour les plus distraits, il est même possible de programmer un verrouillage automatique, recevoir des notifications en temps réel en cas d’ouverture/ fermeture et de tentative d’effraction, gérer jusqu’à 30 utilisateurs en leur délivrant des clés digitales (à ouverture unique ou multiples), des badges ou un code. Les invités recevront alors sur leur smartphone par SMS ou e-mail leur autorisation d’accès. Pratique, une configuration spécifique du bouton de DOM Roq empêche les jeunes enfants de déverrouiller la porte facilement. De même, un mode nuit désactive les signaux sonores et diminue le nombre de cycle moteur pour un fonctionnement plus silencieux. De quoi dormir sur ses deux oreilles, que quelqu’un soit présent à la maison ou non ! 100% compatible avec les solutions Somfy Pour une expérience unique et enrichie de la maison intelligente, DOM Roq est compatible avec l’écosystème de produits Somfy notamment : Somfy Protect, pour bénéficier de fonctions telles que l’activation automatique de l’alarme lorsque DOM Roq détecte des vibrations sur la porte et sa désactivation quand celle-ci est déverrouillée par l’utilisateur, TaHoma® pour piloter à distance tous les équipements connectés de la maison (éclairage, volets roulants, portails, chauffage) y compris la porte d’entrée grâce à DOM Roq. Connecté à la box TaHoma® et associé aux assistants vocaux intelligents Google Home ou Alexa Amazon, DOM Roq repousse encore plus les limites de la connectivité. Il suffit d’une simple phrase au moment d’aller se coucher pour que la maison s’exécute en toute autonomie : la porte d’entrée se verrouille sans bouger de son canapé ! Produit fiable et connecté, DOM Roq de DOM-Metalux offre le plus haut niveau de sécurité et de tranquillité. Tout pour rassurer les particuliers qui n’auront plus désormais à se poser cette éternelle question « est-ce que j’ai bien fermé la porte à clé ? ». Points de vente : chez les points de vente participantsPrix public indicatif TTC : 448 € (cylindre compatible à choisir en sus). Plus d’informations sur www.dom-roq.com
Il y a 2 ans et 207 jours

Les maires bientôt formés à la transition écologique, annonce Christophe Béchu

"Un temps de formation, de sensibilisation" sera organisé par les agences du ministère, "Météo France, l'Ademe, l'Office français de la biodiversité" dans les préfectures ou les sous-préfectures, "près de l'endroit où chaque maire exerce sa fonction", a annoncé M. Béchu sur RTL.Ces formations, gratuites pour les élus, seront lancées "dès le premier trimestre" 2023, a précisé le ministre à l'AFP.Au-delà de la compréhension de la situation à l'échelle nationale ou mondiale, ces sessions permettront de "regarder, territoire par territoire, ce que sont déjà les conséquences du dérèglement climatique et les manières dont on peut prendre des mesures pour les atténuer et s'y adapter", a indiqué le ministre.La formation ne sera pas obligatoire pour les édiles. Mais de telles sessions ont déjà été organisées dans le département de l'Indre, qui compte 241 communes. La formation "a réuni 251 élus", selon M. Béchu. "Des maires ont décliné car ils ont déjà suivi des formations, en ont déjà organisé", mais d'autres ont souhaité y assister accompagnés d'un adjoint.La formation, d'une durée de trois heures, constitue "le modèle que nous allons généraliser", a ajouté le ministre, souhaitant que dans les deux ans à venir, "30.000 maires" soient formés.Au congrès de l'Association des maires de France, dans la matinée, le ministre lancera également une plateforme internet baptisée "La France des solutions".Quelque 2 milliards d'euros "pour les actions favorables au climat" ont été débloqués pour 2023. Le fonds vert permettra, selon le gouvernement, à toutes les communes "de financer des rénovations de bâtiments, (...) des mesures de protection contre les incendies".
Il y a 2 ans et 207 jours

Rénovation énergétique : qui sont les éco-délinquants, leurs victimes et comment éviter les pièges ?

Aujourd’hui, sur la base des informations collectées ces dernières années, Qualit’EnR dresse le profil type d’une entreprise et de ses représentants dont les pratiques peuvent s’apparenter à de l’éco-délinquance. Un éco-délinquant démarche souvent par téléphone, ce qui est interdit depuis juillet 2020, il a une posture plus commerciale que technique et a pour objectif de faire signer un bon de commande comprenant souvent un renoncement au délai de rétractation légal. Qualit’EnR présente également le portrait type des consommateurs victimes : les propriétaires d’une maison ancienne, les personnes vivant seules, souvent vulnérables et éligibles aux aides financières les plus conséquentes. Enfin, pour lutter contre l’éco-délinquance, Qualit’EnR propose 10 conseils pratiques à appliquer avant et pendant le chantier pour éviter de se faire piéger.Qualit’EnR, organisme de qualification leader des énergies renouvelables a reçu 508 réclamations entre janvier et mi-novembre 2022, portant sur des entreprises se réclamant QualiPAC et Qualibois principalement. Pour autant, 51% des réclamations reçues concernaient effectivement une entreprise qualifiée chez Qualit’EnR, soit 1,4% des entreprises qualifiées.Éco-délinquant : un profil commercial centré sur la rentabilité de l’investissementLes données recueillies par Qualit’EnR permettent de mettre en avant que les éco-délinquants se présentent sous un nom d’entreprise racoleur et trompeur pouvant faire référence à une marque connue… Ces entités récentes s’adonnent à des pratiques commerciales « agressives », comme le démarchage téléphonique, et désormais interdites pour les travaux de rénovation énergétique.Quelques indices permettant d’identifier un potentiel écodélinquant :Il a l’allure d’un commercial et se déplace souvent avec une imprimante Il ne fait pas le tour de l’installation pour une évaluation technique Son discours est rapidement centré sur le chiffrage et la rentabilité de l’investissement Il propose un crédit de façon quasi-systématique Il invite à signer tout de suite et à renoncer au délai de rétractation en faisant état d’une promotion à saisir immédiatementLes victimes : des personnes isolées et éligibles aux aides Le plus souvent, les victimes estiment avoir été l’objet d’un discours trompeur construit à partir d’éléments plausibles et vérifiables. Elles affirment n’avoir rien vu venir.Qui sont les victimes particulièrement visées par les éco-délinquants ? Les propriétaires d’une maison individuelle dans l’ancien vivant dans un bassin de population important Les publics vulnérables : retraités, personnes isolées, handicapés Les foyers éligibles aux aides financières conséquentes, aux revenus modestes, les personnes endettées…10 conseils de Qualit’EnR pour éviter les piègesLes particuliers souhaitant changer leur installation de chauffage, d’eau chaude ou de ventilation et bénéficier des avantages et financements en faisant appel à une entreprise qualifiée RGE doivent se montrer vigilants sur quelques points essentiels.Avant de signer : Vérifier que l’installateur est qualifié RGE sur France Rénov’ ou auprès de l’organisme de qualificationFuir le démarchage direct, les discours trop commerciaux axés sur le chiffrage et la rentabilité de l’installation, les signatures de contrat précipitées ou lors de foires et se méfier des opérations spécialesVérifier que vous signez un « devis » et non un « bon de commande » et demander si l’entreprise réalise ou sous-traite les travaux Regarder la durée du chantier : une PAC s’installe entre 1 et 3 jours, pas moins Faire réaliser 3 devis minimum avant d’opter pour un installateur, des devis descriptifs détaillés et complets de la prestation, distinguant a minima les postes « fourniture des équipements » et « main d’œuvre »Pendant le chantier : Demander une facture descriptive détaillée (distinguant a minima les postes « fourniture des équipements » et « main d’œuvre ») et complète de la prestation, conforme au devis (avec désignation précise des matériels installés et références exactes de leur certification). Vérifier que la marque et modèle de l’installation correspondent aux mentions du devis et bien regarder les finitions Se faire remettre une étude thermique avant ou après le chantier Signer un PV de réception de l’installation Vérifier si un contrat de maintenance de l’installation est proposé En cas de litige, contacter une association de consommateurs et l’organisme de qualification si le différent à une portée techniqueEn 2021, Qualit’EnR chiffrait à 1% le nombre d’entreprises qualifiées concernées par une réclamation-client et à 0,12% celles dont les pratiques pourraient s’apparenter à de l’éco-délinquance. Un chiffrage qui tranche avec les résultats assez alarmants de certaines études.
Il y a 2 ans et 207 jours

Vrac Tech s’installe pour 72 h au Mans

Les allées du salon Vrac Tech… [©ACPresse] Au fil des ans, Vrac Tech et devenu le rendez-vous incontournable dédié à toutes les solutions de gestion du vrac pour toutes les industries. Salon itinérant, il se tient en alternance en deux lieux. Mâcon, en Bourgogne – Franche-Comté, d’un côté et Le Mans, en Centre – Val-de-Loire, de l’autre. Cette année, c’est au cœur de la Sarthe, juste en face du circuit des 24 h qu’a lieu l’évènement. Du 6 au 8 décembre, au Parc des expositions du Mans pour être précis. Depuis la gare, il faut compter quelque 30 mn de trajet, via la ligne n° 1 du tramway (direction Antarès), puis le bus n° 5 ou à pieds pour les plus courageux… Plus de 150 exposants doivent dévoiler leurs innovations ou présenter leurs gammes de produits et d’équipements existants. Toutes – loin s’en faut – ne concernent pas le secteur du béton et des ciments, puisque Vrac Tech touche des domaines aussi différents que l’agriculture, l’agro-alimentaire, l’alimentation animale, la mécanique industrielle, la chimie et pétrochimie ou encore la pharmacie et cosmétique. Les Trophées Vrac Tech Innovation Ceci, dans des applications de stockage et manutention, de sécurité, d’hygiène et d’environnement. Mais aussi de remplissage, d’emballage et de conditionnement, de process technologiques de transformation, de dépoussiérage et de prévention. Sans oublier la logistique, le transport et les bâtiments, les transferts mécaniques, pneumatiques et le convoyage, le pesage, le dosage, le mélange, la filtration, la mesure. Ou encore l’instrumentalisation, le contrôle, la maintenance, la sous-traitance et les services connexes. De quoi balayer l’ensemble de son secteur activité. De nombreuses conférences animent aussi les trois jours de salon. Dont la remise des Trophées du concours Vrac Tech Innovation, dont c’est ici la première édition. L’idée est de “valoriser l’expertise et les savoir-faire d’exposants cultivant l’innovation au service des filières industrielles”. Vingt industriels ont fait le choix de déposer un dossier et une bonne partie des innovations est à découvrir via les liens qui suivent. Les prix, eux, doivent être décernés le mardi 6 décembre de 11 h 30 à 12 h 30, dans la salle de conférence E 42, dans le hall D. Apsis : Nettoyeur de grands conteneursBrunone améliore sa bande auto-guidéeCombiFill de Cetec : Un modèle d’ensacheuses économiquesGoubard : Un godet qui remplit les big bags en un temps record !Haver & Boecker revoit son ensacheuse AdamsKrohne protège les silosPiab : Un capteur de niveau pour gagner en productivitéStandard Industrie présente son tout nouveau canon à air
Il y a 2 ans et 208 jours

La numérisation est-elle efficace pour rendre les bâtiments moins énergivores ?

Si le financement reste le nerf de la guerre, un autre enjeu est au cœur de la transition : la disponibilité des données pour évaluer et améliorer la performance énergétique des bâtiments.Représentant près de 45% de la consommation d’énergie et près de 25% des émissions carbone, le secteur français du bâtiment est un enjeu central dans la lutte contre le changement climatique et la réduction des émissions carbone. La dernière réglementation en date, la RE2020 (dont la mise en œuvre a commencé le 1er janvier 2021), a défini des objectifs ambitieux en termes de de conception, de confort et performance énergétique, avec pour cap la neutralité carbone des bâtiments d’ici 2050.Pour atteindre ses objectifs, la RE2020 comporte plusieurs échéances – la prochaine arrive en 2025 – qui imposent aux bâtiments de respecter des niveaux progressifs d’efficacité énergétique, calculés en fonction des « indices Bbio » (besoin bioclimatique du bâtiment).Constructions neuves et rénovation de l’ancien : une transition coûteuseSi la RE2020 concerne en premier lieu les bâtiments neufs, elle vise aussi à inciter à la rénovation thermique de l’immobilier l’ancien. Il y a un travail immense de mise en conformité de l’ancien, mais ces travaux de rénovation ont un coût qui peut être prohibitif pour les bailleurs.De plus, certaines complexités de l’ancien obligent à recourir à des matériaux ou des technologies certes très efficaces, mais aussi très coûteuses. A Paris, par exemple, il n’est pas possible d’isoler par l’extérieur les nombreux bâtiments haussmanniens dont les façades sont protégées. Des solutions alternatives existent, comme les verres intelligents, mais elles coûtent très cher.Qu’il s’agisse des travaux d’isolation, des équipements de chauffage et de climatisation, ou encore des matériaux biosourcés, la capacité à investir reste et restera l’enjeu central de l’objectif de neutralité carbone des bâtiments.Il ne s’agit toutefois pas du seul enjeu. Car on aura beau définir les objectifs d’empreinte carbone, de performance énergétique et d’économie circulaire les plus ambitieux, ils resteront des vœux pieux si l’on ne dispose pas des données nécessaires pour les mesurer et les atteindre.Le processus BIM est-il une réponse efficace ?La transition numérique de la filière du bâtiment est-elle également synonyme de transition environnementale ? Dans la mesure où le concept de « bâtiment intelligent » est intimement lié à l’amélioration des performances énergétiques, la réponse est oui. Mais pour rendre les bâtiments et les ouvrages intelligents, il faut de l’information disponible et partagée tout au long de leur cycle de vie.Le BIM, qui fait l’objet d’un plan gouvernemental (Plan BIM 2022), est justement censé couvrir toutes ces phases : conception, réalisation et maintenance. Dans les faits, il est surtout utilisé pour la conception. La réalisation reste traditionnelle et le restera sans doute encore longtemps, en raison du très grand nombre d’acteurs de toutes tailles (98% étant des sociétés de moins de 50 salariés). La maintenance – qui englobe la rénovation et la réutilisation et/ou le recyclage des matériaux des bâtiments en fin de vie – est une partie déterminante (qui plus est pour les bâtiments anciens) qui exige encore beaucoup de progrès en termes de numérisation.Ce qui compte dans le processus BIM, c’est le « I » (l’information) et non le « M » (la modélisation). Cette information est d’autant plus importante qu’elle concerne non seulement les données génériques des matériaux et produits de construction (caractéristiques, critères de qualité auxquels ils répondent), mais également les données réelles (empreinte carbone, performances réelles, etc.). Car ce sont ces dernières qui vont permettre, à terme, de mesurer – et non simuler – la performance globale des ouvrages.Pour permettre aux acteurs de la filière de mieux travailler ensemble et de relever les défis environnementaux, il est donc essentiel de pouvoir collecter l’ensemble de ces données, et de le faire de manière structurée et normalisée avec un modèle commun, comme par exemple le dictionnaire de données Define. Le BIM fournit les données génériques, tandis que les données réelles seront plutôt fournies par le jumeau numérique. Ce dernier s’appuie notamment sur l’IoT pour remonter les données réelles et compléter les informations de base du processus BIM.Le processus BIM est-il une réponse efficace pour atteindre les objectifs ambitieux définis par la RE2020 et au-delà ? Oui, à condition de disposer du plus important : la data.Tribune de Roland Dominici, Directeur général CoBuilder France (Linkedin)
Il y a 2 ans et 208 jours

Aliénor Ciments : Le principe de proximité

Avec Aliénor Ciments, l’industriel Cem’In’Eu met son premier outil de production en service à Tonneins, en Nouvelle-Aquitaine. [©ACPresse] Cement Innovation in Europe – ou Cem’In’Eu, pour faire simple – est né en 2015, avec une concept simple en tête. « L’idée était de créer une offre nouvelle en matière de ciments, plus adaptée aux besoins des acteurs locaux et de grande proximité. Ceci, dans les principales zones économiques du pays », résume Vincent Lefebvre, président de Cem’In’Eu. Aujourd’hui, le premier site industriel répondant au nom d’Aliénor Ciments est en service à Tonneins, dans le Lot-et-Garonne, en Nouvelle-Aquitaine. « Cette commune possède une localisation idéale, car proche des grands centres de consommation que sont Toulouse et Bordeaux. Le marché de cette région représente une demande de l’ordre de 3 Mt/an de ciment. Par ailleurs, le site est proche de la ligne de chemin de fer Bordeaux – Toulouse, ce qui facilite l’approvisionnement en matières premières. » A commencer par le clinker, importé d’Espagne jusqu’au port de Bordeaux, avant de rejoindre Tonneins dans des conteneurs spéciaux, par train. « L’embranchement ferroviaire est la clef de notre modèle économique, explique Vincent Lefebvre. Chacune de nos unités de production en bénéficiera. » Le train est même l’avenir pour Cem’In’Eu. Une locomotive diesel a un rendement de CO2/t de marchandises transportées 7 à 8 fois moindre qu’un poids lourd. « Les transports massifs devraient toujours se faire par le rail. » Une gamme de 4 ciments Le clinker est acheminé par train depuis Bordeaux, dans des conteneurs spéciaux. [©ACPresse] Le pont roulant assure l’alimentation du basculeur, qui permet de vidanger les conteneurs. [©ACPresse]Une fosse dépoussiérée permet de réceptionner le clinker issu des conteneurs de transport. [©ACPresse]D’une capacité de 4 500 t, le hall assure aussi le stockage du calcaire et du gypse. Au fond se situent les trémies d’alimentation dédiées du broyeur. [©ACPresse] Le dispositif de réception du clinker bordelais sera renforcé dans un second temps par un terminal basé à Sète, dans les Bouches-du-Rhône. Celui-ci pourra accueillir et stocker quelque 60 000 t de clinker Il approvisionnera ainsi l’usine de Tonneins, puis celle de Porte-lès-Valence, dès qu’elle sera opérationnelle. Avec une capacité annuelle de 240 000 t, l’usine de Tonneins sera en capacité de produire 8 % des besoins locaux en ciment. Disponibles depuis quelques mois et bénéficiant d’un marquage CE, les produits proposés sont au nombre de quatre. Ils s’appellent CEM I 52,5 R, CEM II/A-LL 42,5 R et N, et CEM II/B-LL 32,5 R. Aucun CEM III n’est prévu au programme… « Mais nous espérons obtenir le droit d’usage de la marque NF au cours de l’été 2019 », affiche Vincent Lefebvre. Un train complet compte 21 wagons transportant chacun 2 conteneurs de 20 pieds renfermant entre 31 t et 32,5 t de clinker, soit une charge utile totale de l’ordre de 1 350 t. « C’est l’équivalent de 52 semi-remorques sur la route ! » Entrée dans l’enceinte de l’usine sur sa voie dédiée, la rame est divisée en 2 parties pour simplifier les manœuvres de déchargement. Le pont roulant saisit les conteneurs pleins qu’il met en stock, et dépose en échange sur les wagons les conteneurs vides. L’opération est gérée de manière automatique et combinée avec les mouvements de la rame. Elle est achevée en moins de 6 h. Le cœur de l’usine Cœur de l’usine, le broyeur à boulets InterCem offre un diamètre de 3,20 m pour 10 m de long. La puissance installée de l’équipement est de 1 300 kW. [©ACPresse] Le pont roulant assure en parallèle l’alimentation du basculeur, dont le rôle est de vidanger, en toute sécurité, les conteneurs dans le hall de stockage des matières premières, via une fosse dépoussiérée. De là, une chargeuse sur pneumatique équipée d’un godet de 4 700 l reprend le clinker pour le déverser dans la trémie d’alimentation dédiée du broyeur. D’une capacité de 4 500 t, le hall assure aussi le stockage du calcaire et du gypse, les deux autres additions principales du ciment. Chacune de ces matières premières, dont des partenaires locaux assurent la fourniture, bénéficie de sa propre trémie d’alimentation du broyeur. Les capacités en sont de 80 t pour le calcaire et 35 t pour le gypse. Avec ses 250 t, celle du clinker est plus imposante. Cœur de l’usine, le broyeur à boulets est signé InterCem. Fonctionnant en circuit fermé en association avec un séparateur vertical de haute performance de même marque. D’un diamètre de 3,20 m pour 10 m de long, le broyeur est séparé en 2 compartiments. Le premier assure un broyage grossier, et le second, le broyage fin. La puissance installée de l’équipement est de 1 300 kW, tandis que la séparation finale est réalisée par filtre Air Jet, d’un débit de 70 000 m3/h. Afin de ne générer aucune nuisance, l’ensemble du bâtiment “broyeur” est étanche et insonorisé. Des sacs en polyéthylène Le stockage des produits finis est réalisé dans 6 silos de 500 t unitaire. [©ACPresse]Les 2 ponts de chargement sont chacun alimenté par 4 silos différents. [©ACPresse]Développée par Haver & Boecker, l’ensacheuse Adams assure le conditionnement des ciments en sacs. [©ACPresse] Le stockage des produits finis est réalisé dans 6 silos de 500 t unitaire, placés au-dessus de 2 ponts de chargement. Chacun d’eux peut être alimenté par 4 silos différents. Le chargement des semi-remorques est géré en automatique par bornes de commande. Une partie de la production est proposée en sacs. La ligne d’ensachage peut être approvisionnée à partir de 4 silos également. Pour ce conditionnement, Aliénor Ciments a fait le choix de sacs en polyéthylène (PE). Une première en France pour le ciment. « Tels qu’ils sont conçus, les sacs multi-couches en papier sont impossibles à recycler, contrairement aux sacs PE, justifie Vincent Lefebvre. Ce matériau peut être valorisé 7 fois et un sac de ce type peut aussi servir pour les gravats, sans risque de se percer. » L’autre avantage est de proposer une solution 100 % étanche et refermable à l’aide d’une pince prévue à cet effet et faisant office de poignée de transport. Fini les ciments qui font prises à l’intérieur même du sac… Développée par Haver & Boecker, l’ensacheuse est de type Adams. Elle offre 10 stations de remplissage. Elle est alimentée en sacs PE d’une épaisseur de 150 µm à partir d’une bobine. L’ensacheuse assure la découpe, la soudure du fond, le remplissage et la soudure du dessus. Le débit de l’unité est de 1 100 sacs de 35 kg/h. Commander via son smartphone Pour ce conditionnement, Aliénor Ciments a fait le choix de sacs en polyéthylène (PE). Une première en France pour le ciment. [©ACPresse] Aliénor Ciments commercialise son offre en sacs sous la marque “Le Ciment Européen”. Deux qualités sont disponibles, à commencer par le CEM II/B-LL 32,5 R en conditionnement de 35 kg. Là, l’industriel offre le choix entre une palette classique de 1,47 t (ou 42 sacs), et une palette réduite de 980 kg (ou 28 sacs). Le second ciment est le CEM I 52,5 R en conditionnement de 30 kg. « Au cours des prochains mois, nous prévoyons de proposer notre CEM II/B-LL 32,5 R en un sac de contenance réduite à 20 kg et équipé d’une poignée », dévoile Vincent Lefebvre. Côté clients, Cem’In’Eu vise les producteurs de BPE comme les préfabricants indépendants pour le ciment proposé en vrac. Et les petits professionnels et les particuliers pour le ciment vendu en sacs. Pour en faciliter la commercialisation, l’industriel va déployer son application pour smartphones Cem’In’App. Une manière simple et rapide de commander et de se faire livrer une palette au minimum, dans la zone de chalandise de l’usine. Le dispositif Cem’In’Eu, en France et au-delà… Aliénor Ciments constitue la première des cinq implantations françaises de Cem’In’Eu. Les autres ouvriront leurs portes en Alsace (qui fournira aussi le Sud de l’Allemagne et la Suisse), en Auvergne - Rhône-Alpes. Mais aussi en Bourgogne - Franche-Comté et dans les Pays de la Loire. Deux autres usines sont prévues hors de nos frontières. La première dans le port de Gdynia, sur la mer Baltique, en Pologne, et la seconde, à proximité de Londres, au Royaume-Uni.   Frédéric Gluzicki
Il y a 2 ans et 209 jours

La forêt en modèle

Jusqu'au 12 février, arc en rêve présente « Salle de classe, architecture de l'adolescence », une ...More about Cet article La forêt en modèle est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 2 ans et 211 jours

L’Unafo organise la « Semaine du logement accompagné » du 22 au 25 novembre

Événement majeur réunissant tous les acteurs du logement accompagné, la Semaine du logement accompagné est un espace d’échanges sous format d’ateliers, visites de résidences sociales et débats ouverts sur une diversité de thématiques (le modèle économique des résidences sociales, le développement durable, la transition énergétique, les SIAO et le logement accompagné, la production des résidences sociales, le logement pour les jeunes, les enjeux du quinquennat en matière de logement, l’évolution des pratiques professionnelles...).Mardi 22 et mercredi 23 novembre au Palais des Congrès du Parc de Chanot à MarseilleLes temps forts des deux premières journées seront articulés autour de plénières, d’ateliers, de temps « hors les murs » (visites de résidences), de conférences et d’un salon professionnel avec la présence de diverses entreprises et prestataires.Deux grandes tables rondes sont également prévues sur les thèmes suivants :Le 22 novembre : « Le quinquennat sera écologique ou ne sera pas » - en présence notamment de Camille Dorival, Autrice et Consultante spécialisée dans la transition écologique, et Simon Huffeteau, Coordinateur interministériel du plan de rénovation énergétique des bâtimentsLe 23 novembre : « Convaincre les élus de l’impact socio-économique des résidences sociales pour produire davantage » - en présence d’élus régionaux et locauxProgramme complet : www.semaine-unafo.org/programme-22-23-novembreJournées ouvertes à tous sur inscription, au tarif de 200 € par personne (le tarif inclut le cocktail déjeunatoire).Les « Tables-rondes de l’Unafo », les jeudi 24 et vendredi 25 novembre en digital6 temps ateliers et d’échanges répartis sur deux jours sont proposés sur divers thématiques.Programme complet : www.semaine-unafo.org/programme-24-25-novembreLa participation aux « Tables-rondes de l’Unafo » en digital est gratuite, ouverte à tous, sur inscription.
Il y a 2 ans et 211 jours

Rector Lesage, modèle RSE

Le Cérib accompagne Rector Lesage dans sa démarche RSE [©Cérib] En juin 2022, Rector Lesage a atteint le niveau 3 “Confirmé” du label Engagé RSE de l’Afnor. Le groupe devient le premier industriel du béton à atteindre ce niveau. C’est en 2021 que Rector Lesage s’est lancé dans cette démarche RSE. Pour atteindre ses objectifs, il s’est basé sur 4 points. Tout d’abord, la décarbonation de ses produits et de ses activités. Ensuite, protéger l’environnement et préserver la biodiversité. Enfin, favoriser le bien-être au travail et ancrer ses activités dans les territoires. Le Cérib s’est chargé d’accompagner l’industriel dans toute ces démarches. Une belle victoire pour le Cérib Depuis plusieurs années, le Cérib se charge d’accompagner les industriels du béton dans une transition RSE. En 2021, il a mis en place avec l’Afnor une convention permettant de préparer les préfabricants à la labellisation de ce dernier. C’est en fin 2021 que le Cérib a commencé à accompagner Rector Lesage. Il a réalisé un pré-audit, afin d’établir la stratégie du groupe. Un accompagnement personnalisé, débuté au premier trimestre 2022, aura permis au groupe d’obtenir la labélisation Engagé RSE de l’Afnor. Une victoire pour le centre et pour le secteur du béton, dont se réjouit Ronan Blanchard, président du directoire de Rector Lesage : « Nous entendons bien capitaliser sur cette reconnaissance méritée et nous remercions le Cérib pour l’efficience de son accompagnement. »
Il y a 2 ans et 212 jours

Valorisation locale de terres excavées : ECT duplique son modèle

Leader francilien de la valorisation locale des déchets inertes du BTP, ECT prévoit de dupliquer son modèle dans des implantations...-Travaux publics
Il y a 2 ans et 213 jours

Résultats du prix Femmes Architectes 2022

Pour le Prix 2022, l’ARVHA reçoit également le soutien de BNP PARIBAS Real Estate, Ciments Calcia, Unibail Rodamco, et COGEDIM ainsi que de Batiactu, de TEMA et du journal de l’architecte.Ce prix a pour but de mettre en valeur les œuvres et les carrières de femmes architectes, afin que les jeunes femmes architectes puissent s’inspirer des modèles féminins existants, et d’encourager la parité dans une profession à forte dominante masculine.En 2022, 350 candidatures ont été examinées et ont présenté 1.270 projets.Quatre prix ont décerné et deux mentions pour :Femme architecte primée pour ses projets réalisés – 3 à 5 ouvrages construits, et une mention spécialeUne œuvre originale réalisée par une femme architecte, et une mention spécialeJeune Femme architecte de moins de 40 ans primée pour ses projets – 3 à 5 projets réalisés ou nonPrix International 3 à 5 ouvrages construitsLe jury était composé de représentants de l’Ordre des Architectes National avec Elizabeth GOSSART, de Béatrice AUXENT présidente d’Architectuelles Hauts-de-France , les lauréates du Prix 2021, Anne-Françoise Jumeau lauréate femme architecte 2021, Eléonore MORAND lauréate jeune femme architecte 2021; Marion TRIBOLET Mention spéciale prix Jeune femme architecte, Sara Martin CAMARA lauréate œuvre originale 2021, de Beatrice MOUTON mention spéciale pour l’œuvre originale 2021, de Sophie BERTHELIER secrétaire générale de L’Académie d’Architecture et lauréate du prix femme architecte 2017, de Farshid MOUSSAVI lauréate prix international 2021, de Bridget MONRO Senior architecte chez RSHP Londres WIA England vice- présidente de WIA UK et vice-présidente du jury , de Anna RAMOS directrice de la fondation Mies Van der Rohe a Barcelone et responsable de la bourse de recherche Lily REICH, de Rosalind TSANG directrice du studio de BDP et co-présidente du comité WIA de l’AIANY de New York et de Catherine GUYOT secrétaire Générale de l’ARVHA, Présidente de Women in Architecture et présidente du Jury.Pour l’année 2022, les résultats sont les suivants :Prix Jeune Femme ArchitectePour la catégorie Jeune Femme Architecte, le prix est attribué à Cristina VEGA ICLESIAS de l’agence BURLAT et VEGA ArchitectesLa mention spéciale est donnée à Claire GARCIA BARRIET de l'agence Overcode.Prix Œuvre OriginaleLe prix Œuvre Originale est attribué à DEGAND Julie pour son projet « Salle polyvalente et culturelle Sodbury »Prix InternationalLe prix est attribué à ROZANA MONTIEL (Estudio De Arquitectura) pour son œuvre ( Mexique).Prix Femme ArchitecteLe Prix Femme Architecte est décerné à Chrystelle AVENIER de l’agence Avenier Cornejo pour son œuvreMention Spéciale Prix Femme ArchitecteLa mention est donnée à Adeline RISPAL pour son œuvre.L’ARVHA remercie l’ensemble des participants, lauréates ou non lauréates, les membres du jury pour leur investissement pour ce prix ainsi que Elizabeth GOSSART du CNOA, Sophie BERTHELIER lauréate 2017 du prix femme architecte et secrétaire générale de l’Académie d’Architecture, Anne Françoise JUMEAU lauréate femme architecte 2021, Sara Martin CAMARA lauréate 2021 prix œuvre originale, Béatrice MOUTON mention spéciale œuvre originale 2021, et Éléonore MORAND de de lauréate jeune femme architecte 2021, Marion TRIBOLET mention spéciale prix jeune femme architecte 2021, Farshid MOUSSAVI lauréate prix international 2021, Béatrice AUXENT présidente d’Architecturelles Hauts-de-France, Bridget MONRO Senior architecte chez RSHP Londres WIA England vice-présidente de WIA UK et vice-présidente du jury, Anna RAMOS directrice de la fondation Mies Van der Rohe et responsable de la bourse de recherche Lily REICH à Barcelone, Rosalind TSANG directrice du studio de BDP et co-présidente du comité WIA de l’AIANY de New York.
Il y a 2 ans et 213 jours

Quel portail choisir pour votre extérieur ?

Vous souhaitez clôturer votre espace extérieur et y ajouter un portail. Toutefois, vous ne savez pas lequel choisir. Quels matériaux choisir ? Quel système d’ouverture préférer ? Nous vous aidons à choisir. Choisir les matériaux Il existe différents matériaux pour les portails. Parmi eux, nous retrouvons : Le bois ; L’aluminium ; Le fer ; Le PVC. Tous ses matériaux sont parfaitement adaptés pour l’extérieur et les aléas naturels. Votre choix va surtout être esthétique. Le matériau devra s’adapter à vos goûts et besoins, mais aussi à votre budget. Choisir le style Il existe un grand nombre de styles de portails différents. Certains présentent des aspects pratiques pendant que d’autres sont plus esthétiques. Le portail ajouré Le portail ajouré est un portail offrant une ouverture plus ou moins importante. Cette ouverture interlame va permettre à la lumière de passer. Ainsi, si votre portail se trouve en face d’une fenêtre, la lumière pourra s’immiscer dans votre intérieur même avec le portail fermé. Le portail à bas plein Ce modèle ne laisse pas passer la lumière sur la partie inférieure de votre portail. Si cela peut être vu comme un aspect sécuritaire, ce bas plein est essentiellement présent pour donner un aspect esthétique à votre fermeture extérieure, notamment si vous possédez un muret à la même hauteur. Cela permettra un rendu de continuité. Le portail à bas plein va permettre à la lumière de passer, mais la luminosité sera moins importante qu’avec le portail ajouré. Le portail plein Le portail plein est un modèle qui offre une intimité aux propriétaires. Cependant, il ne permet à aucune lumière de passer. Ce type de portail est donc plus choisi pour son aspect de protection de l’intimité et de sécurité que pour son esthétisme. Néanmoins, il existe de nombreuses possibilités de personnalisation pour le rendre attrayant et original. Le portail courbé Ce modèle va être constitué de plusieurs panneaux. Il va surtout être utilisé pour les fermetures en arc de cercle. Ce type de fermeture peut être une obligation ou un choix. Certains propriétaires n’auront pas d’autre choix. Toutefois, ce détail peut être esthétique si vous souhaitez faire une ouverture originale en forme d’arc de cercle. Le portail ondulé Le portail ondulé est souvent vu comme le portail le plus esthétique. L’ondulation peut être présente sur le dessus afin de former une vague, mais ce sont aussi les barreaux qui peuvent être ondulés dans le but de donner du volume. Ce modèle va permettre un large choix de personnalisation et attire plus le regarde de par son originalité. Choisir l’ouverture L’ouverture de votre portail peut être une obligation ou un choix en fonction de votre terrain. Le portail battant L’ouverture battante est vue comme l’ouverture classique. Elle consiste à pousser les deux vantaux qui constituent le portail vers l’intérieur de votre allée ou de votre jardin. Cette ouverture nécessite donc d’un espace de dégagement suffisant. Un extérieur vaste et constamment dégagé est alors à préférer. Toutefois, si cela n’est pas le cas, il est possible d’ouvrir votre portail vers l’extérieur. Cependant, votre ouverture ne doit pas déboucher sur la voie publique et vous devez consulter les accords municipaux. Le portail coulissant Cette ouverture latérale va permettre un gain de place considérable. C’est l’option à préférer si votre espace intérieur est trop petit pour accueillir un portail battant. En plus d’être pratique grâce à son gain de place, ce portail est esthétique de par sa discrétion lorsqu’il est ouvert. En effet, il va épouser votre clôture en occupant un minimum d’espace grâce à son unique vantail. Le portail manuel Le portail manuel par définition va devoir être ouvert à la main. Si cette ouverture nécessite de sortir de sa voiture pour l’ouvrir et la fermer, elle reste abordable et ne présentera aucun problème mécanique. Le seul entretien sera l’entretien du portail en lui-même. Le portail automatique Le portail automatique est vu comme la solution de facilité. Cette ouverture va permettre de commander le portail à distance grâce à une télécommande. Toutefois, un entretien mécanique va être nécessaire afin d’éviter les pannes. De plus, même avec de l’entretien, votre portail peut tomber en panne et nécessiter une intervention payante. Enfin, les portails automatiques coûtent plus cher qu’un portail manuel. Le choix de votre portail se fera en fonction de vos besoins, vos envies, vos goûts et votre budget. Cependant, il est important de spécifier qu’un portail représente un plus lors de la vente d’une maison. Il est donc primordial de faire un portail plus fonctionnel et pratique qu’esthétique.
Il y a 2 ans et 213 jours

Diagnostic de performance énergétique (DPE) : il est urgent de restaurer la confiance

La DHUP a présenté une feuille de route pour l’amélioration de la qualité des DPE avec 3 axes de travail : la création d’une fiche technique qui devra être remplie par les propriétaires et administrateurs de biens avant le passage du diagnostiqueur ; le renforcement des compétences de ces derniers avec l’organisation d’une journée de sensibilisation ; et enfin un dernier axe portant sur l’outillage des organismes de certification. Ce plan d’actions n’est hélas pas suffisant car si la filière souhaite rétablir la confiance, elle doit travailler sur la concrétisation d’une carte professionnelle comme une vraie garantie de compétences et de savoir-faire du diagnostiqueur. C’est la proposition de la CDI FNAIM.Pour Yannick Ainouche, président de la Chambre des diagnostiqueurs (CDI) FNAIM : « Les propositions de la DHUP vont dans le bon sens, c’est une première marche. Mais Les problèmes, nous les connaissons. Sans nier la professionnalisation de notre filière depuis 20 ans, il demeure des pratiques que nous devons aujourd’hui éradiquer : des prix au ras des pâquerettes incompatibles avec une qualité standard, des techniciens qui lancent leur activité simplement avec leur certification en poche, des formations qui ressemblent à du bachotage... Notre profession doit avoir l’ambition d’aller plus loin pour casser cette spirale infernale qui dégrade sans cesse l’image du diagnostic. Il faudra davantage qu’une journée de sensibilisation et une fiche technique que le propriétaire n’aura sans doute pas remplie... » et précise « finalement la vraie question à se poser porte sur la garantie des compétences des diagnostiqueurs, c’est ainsi que notre profession lèvera la défiance à son égard. Nous nous devons plus de rectitude. »Une carte professionnelle D pour exercer le métier de diagnostiqueurLa carte T immobilier, appelée également carte de transaction immobilière, permet aux professionnels d'exercer les activités d'intermédiaire immobilier. L'obtention de cette carte fait partie des différentes obligations définies par la loi Hoguet n°70-9 du 2 février 1970.Pourquoi ne pas appliquer ce modèle au métier de diagnostiqueur immobilier ? La filière a besoin de restaurer la confiance. C’est urgent, vital même, avec l’avènement prochain de l’audit énergétique, levier de la rénovation, et pour lequel les diagnostiqueurs aspirent à jouer un rôle essentiel.Ainsi sans ce sésame, le diagnostiqueur n’aura pas la possibilité de monter son cabinet, ni d’exercer, ni de s’assurer.Pour Yannick Ainouche : « Comprenons-nous bien, il ne s’agit pas de doublonner l’actuelle certification, mais d’apporter un vrai gage de qualité, une garantie sur la compétence, et n’ayons pas peur du mot, sur notre déontologie aussi. »Pour que cette carte professionnelle ne soit pas un pur gadget ou un label commercial, elle doit être adossée à un système de qualité indépendant et impartial. Par exemple une commission indépendante dotée d’un fonctionnement démocratique pour veiller à la délivrance et au maintien des cartes. Son obtention serait conditionnée par des prérequis, par un minimum d’expérience, deux ans par exemple en tant que salarié, ou six mois de stage pour un nouvel entrant. Que quiconque dispose d’une réelle expérience terrain et connaisse réellement l’écosystème du diagnostic avant d’ouvrir son propre cabinet.La CDI FNAIM souhaite également inclure à ce projet le règlement des prestations des diagnostiqueurs à la vente, c’est-à-dire chez le notaire, comme pour les agents immobiliers, avec une base tarifaire qui serait un pourcentage sur le prix de vente. Les diagnostiqueurs n’auront ainsi plus à gérer de longs processus de recouvrement de leurs factures, qui sont légion dans cette profession.Pour Yannick Ainouche : « Oui, j’ai conscience de ce que cela implique, mais il est peut-être temps de voir au-delà des petits intérêts personnels et de réfléchir à ce que nous voulons faire de notre filière dans l’intérêt général. Par ricochet, cette carte professionnelle amènera aussi à se pencher sur le système de certification ou la formation. Pour asseoir la crédibilité de cette carte, nous devons aussi disposer d’un conseil de discipline. En cas de faute grave, avérée, nous ne devons pas craindre de priver un cabinet de sa capacité à exercer, en le suspendant ou en le radiant. Ce qui pourrait par exemple dissuader certains cabinets de faire encore travailler des techniciens sans certification. Ne nous voilons pas la face nous savons bien que ces pratiques, même si elles sont marginales, persistent. »Ainsi pour résumer, la carte D ce serait :La garantie d’un savoir-faire, avec des minima de formationUn gage pour le consommateur avec signe de qualité reconnu et commun à toute la professionUn conseil de discipline pour éviter les dérivesUn prix plancher pour en finir avec le diagnostic low costUn règlement chez le notaire au moment de la vente (si le client n’a toujours pas payé) pour éviter les impayés qui gangrènent la professionComment ?La CDI FNAIM va prochainement lancer une plateforme participative ouvert à tous les diagnostiqueurs. L’objectif est simple : mener collectivement une réflexion démocratique avec un appel à contributions afin de construire les contours de la carte D et ses implications.Rappel des propositions portées par la CDI FNAIMEncadrement des tarifs du DPE avec l’instauration d’un prix plancher en dessous duquel le DPE ne pourrait être vendu afin d’éviter la casse des prix qui entraîne inévitablement une détérioration de la qualité.Un système de certification davantage adapté à la filière pour les petites et les grandes entreprises : que les entrepreneurs du diagnostic aient désormais le choix entre la certification d’entreprise et la certification de personne.La création d’une véritable branche professionnelle, avec la création d’une carte « D » délivrée par une autorité indépendante
Il y a 2 ans et 213 jours

Flir One Edge Pro, la première caméra infrarouge mobile véritablement sans fil

Contrairement aux modèles précédents, la FLIR ONE Edge Pro nouvelle version n'a pas besoin d'être matériellement connectée à l'appareil mobile auquel elle est associée, et ne se décline pas en plusieurs modèles selon les divers systèmes d'exploitation, ce qui lui confère une flexibilité maximale pour les inspections thermiques.« La FLIR ONE Edge Pro est la caméra mobile thermique-visible la plus polyvalente et la plus sophistiquée à ce jour, grâce à son format amovible, conçu pour offrir une prise en main des plus confortables. Elle offre une flexibilité nettement supérieure en rendant inutile l'emploi de ports de connexion ou de systèmes d'exploitation spécifiques », déclare Chris Bainter, vice-président du marketing et du développement commercial chez Teledyne FLIR. « En plus de la nouvelle conception matérielle, Teledyne FLIR fournit plus d'outils logiciels pour permettre aux utilisateurs novices et non formés d'effectuer des inspections thermographiques, de traiter les images obtenues et de créer des rapports. Parmi les utilisations courantes de la caméra figurent notamment l'inspection des bâtiments, la réparation automobile et les applications de maintenance industrielle. »Conception flexible et cependant robusteConforme à la norme « RESNET » et à la certification IP54, la FLIR ONE Edge Pro dispose d'un système d'attache à ressort conçu pour permettre aux opérateurs de fixer la caméra sur de nombreux modèles de téléphones mobiles et de tablettes. Grâce à la connexion Bluetooth et Wi-Fi combinée, les utilisateurs peuvent utiliser l'Edge Pro jusqu'à 30 mètres de distance de leur appareil mobile, ce qui leur permet d'inspecter efficacement les endroits difficiles d'accès ou de conserver, selon les situations, un périmètre d'intervention sécurisé.Dotée d'une caméra thermique Lepton® radiométrique d'une résolution de 160 × 120 associée à une caméra à lumière visible, la FLIR ONE Edge Pro offre une qualité d'image et des capacités de traitement garantissant d'excellents résultats. Outre VividIR, un système de traitement qui associe plusieurs images pour générer une image finale d'une plus grande netteté, MSX® permet de combiner les caméras entre elles. La fonction brevetée MSX d'amélioration de l'image superpose le détail des contours (fournis par la caméra visible) sur l'image thermique sans sacrifier les données thermiques, et optimise ainsi la netteté et le rendu de l'environnement pour faciliter la prise de décision.La FLIR ONE Edge Pro possède également une batterie d'une autonomie supérieure à celle des générations précédentes de la FLIR ONE et un témoin de charge clairement visible, ce qui la rend parfaite pour les inspections un peu plus longues (restaurations après sinistre, inspections d'habitations, audits énergétiques et diagnostic des équipements industriels).Un plus grand nombre d'images et de rapportsPour le stockage dans le cloud, le traitement des images et la création de rapports, la FLIR ONE Edge Pro dispose d'un vaste ensemble de logiciels Teledyne FLIR, parmi lesquels Tools Mobile, Ignite cloud et le logiciel de bureau FLIR Thermal Studio. Les utilisateurs peuvent ainsi partager facilement les photos thermiques Edge avec les clients et les intégrer de manière fluide dans les rapports professionnels.De plus, les développeurs d'applications ont accès au kit de développement logiciel (SDK) FLIR ONE pour créer des applications personnalisées, exclusivement utilisables avec la FLIR ONE Edge Pro.La caméra est disponible sur commande au niveau mondial depuis le 10 novembre.
Il y a 2 ans et 214 jours

Le cimentier 2170 fait évoluer la norme prEN 197-6

Olivier Stocker est le président du groupe JPS Granulats, mais aussi de la start-up cimentière 2170. [©ACPresse] Il y a, comme ça, de belles histoires, qui méritent d’être contées… Surtout si l’initiative vient d’un acteur local du ciment, indépendant qui plus est ! En octobre 2021, la norme européenne prEN 197-6 – Ciments à base de matériaux de construction recyclés – est en préparation. Elle prévoit, en particulier, un taux maximum cumulé de 20 % de calcaire et de béton recyclés. Bien trop peu pour Olivier Stocker, le dirigeant de la start-up cimentière 2170. De toutes les batailles, l’homme s’était déjà distingué dans le passé, en demandant, rien de moins, que de faire modifier le référentiel NF Liants hydrauliques (NF 002). En effet, ce dernier n’autorise pas les mêmes choses que le référentiel CE Ciments (CE 002). Pour faire simple, le référentiel français interdisait la production de ciments par mélange des poudres venant de l’extérieur. Le Sfic et le Lem-VP mobilisés « La manière la plus simple de réduire rapidement l’empreinte environnementale des ciments est de diminuer le plus possible leur teneur en clinker, rappelle Olivier Stocker. Ceci, en y intégrant divers constituants “bas carbone” dont le calcaire cru et les bétons recyclés micronisés. » Donc à un taux supérieur à 20 % ! Aussi, pour faire bouger les choses, Olivier s’est rapproché de Laurent Izoret, directeur délégué produits, applications et recherches, au Sfic1 (en charge de la normalisation ciments). Ainsi que de Damien Balland, directeur du Lem-VP2. Très vite, les trois hommes ont acté une collaboration pour démontrer qu’il est possible de réaliser des ciments avec beaucoup plus de substitution. En particulier par l’utilisation du calcaire et du béton recyclés, seuls matériaux disponibles en grande quantité, tant en France que sur le territoire européen. Pas moins de 23 compositions cimentaires Sans plus attendre, Laurent Izoret a obtenu la validation de cette collaboration par le Sfic. Nous sommes fin décembre 2021. Mais il faut aller très vite pour pouvoir encore intégrer l’enquête publique européenne de cette norme, prévue, au printemps 2022 Boostée par Olivier Stocker, l’équipe recherche et développement de 2170 a réalisé un travail titanesque. Pas moins de 23 compositions cimentaires seront nécessaires pour élaborer le dossier technique, prêt en tout juste 3 mois. Et visant à démontrer qu’il est possible d’incorporer jusqu’à 50 % de calcaire et bétons recyclés dans le ciment pour produire dès aujourd’hui les ciments du futur. Des solutions très bas carbone… Toutes testées et validées, conjointement, par les membres du Sfic, le Lem-VP et la start-up 2170. « Nous n’avons sollicité aucun soutien, aucune subvention, car les demandes étaient bien trop longues à mettre en place », reprend Olivier Stocker. Et d’insister : « Une seule chose compte : réduire l’empreinte carbone du ciment grâce à cette petite, mais brève ouverture normative ! » Un taux de substitution de 35 % Unité de production de la start-up cimentière 2170. [©ACPresse] Après bien des rebondissements – 5 commissions françaises du ciment et 2 européennes -, un nouveau rapport du Cérib3 a permis d’entériner cette démarche. In fine, grâce aussi à un appui très fort de Réseau Action Climat, d’Ecocem et de Fortera, ce dossier technique a rendu possible la validation à 35 % de taux de substitution au lieu de 20 % initiaux. Bien entendu, tous ceux qui ont poussé cette démarche auraient préféré obtenir directement les 50 % pour les nouveaux ciments de la norme prEN197-6. Mais, il fait le souligner, c’est la première fois qu’un cimentier par mélange, non fabricant de clinker, indépendant, intervient dans l’univers normatif européen… Le signe que le paradigme doit changer. La recomposition cimentaire est en marche. « Il appartient maintenant à nos pouvoirs publics de s’en rendre compte et de donner les moyens à ce nouveau modèle de se développer pour répondre vite avec efficacité à l’urgence climatique », insiste Olivier Stocker. Et de conclure : « A propos, que représente 15 % de moins de clinker dans le ciment ? Rien qu’en France, ce sont 1,5 Mt d’émissions de CO2 en moins, soit équivalent à 0,5 Mm3 de gasoil ! » 1Syndicat français de l’industrie cimentière.2Laboratoire d’études des matériaux de la Ville de Paris.3Centre d’études et de recherches de l’industrie du béton.
Il y a 2 ans et 214 jours

L’EPFA Guyane lance deux opérations d’aménagement reposant sur le principe « Habiter le paysage »

Elle comprend des logements, activités économiques et espaces publics. A Montsinéry-Tonnegrande, l’EPFA lance les travaux de la phase 1 de la tranche 2 de la ZAC « Montsinéry » avec comme parti pris : donner à voir le paysage. L'EPFA Guyane construit avec ses partenaires publics et privés « la ville amazonienne durable" selon une démarche cohérente d'ensemble qui actionne à la fois la maîtrise du foncier, la réponse aux besoins en logements, équipements et activités économiques, tout en valorisant la mosaïque de paysages et biodiversité guyanaises. Ces opérations d’aménagement visent à créer un choc de l’offre pour contribuer à résorber les squats et créer les équipements nécessaires au bien-être de la population. Pour Denis Girou, directeur général de l’EPFA Guyane : « Nous entrons dans une nouvelle phase de l’OIN pour deux opérations, celle de l’opérationnel. Après le volet pré-opérationnel, les études de conception et le choix de la maitrise d’œuvre, nous démarrons ce mois ci les travaux d’aménagement dans 2 des 24 secteurs de l’OIN, à Matoury et à Montsinéry-Tonnegrande ».Secteur OIN 8 - A Matoury, « Mélodies de Morthium », le «paysage habité » : Premier jalon-vitrine d’un projet qui va reconfigurer le secteur ; le connecter au centre-ville et valoriser l’environnement forestier Située à 12 km au sud de Cayenne, Matoury compte aujourd’hui plus de 34.000 habitants. En 2030, sa population est estimée à 36.634 habitants, soit une hausse de 3.176 habitants (9%).L’OIN de Guyane comporte 7 secteurs à Matoury. Le premier à être aménagé est le secteur Matoury-Sud-Bourg (60 ha) avec le lotissement des « Mélodies de Morthium » (4 ha). C’est au sud du bourg, que l’EPFA amorce les travaux de cette opération d’ensemble s’inscrivant dans le prolongement urbain existant en continuité de l’école élémentaire du bourg.A proximité de la crique Morthium, proche de la forêt, le programme des Mélodies se développe en agrafe urbaine autour d’ une voirie centrale se raccordant à la RN2 et au quartier voisin. Il proposera 61 logements (44 logements sociaux, 12 maisons jumelées et 5 maisons individuelles) ; 3.000 m2 de SDP d’activités économiques et de commerces de proximité; une esplanade et un parc urbain de 6.800m² permettant aussi de gérer les problématiques d’eaux pluviales. Des systèmes de noues (canaux à ciel ouvert) maillant le quartier et l’implantation des bâtiments favoriseront la mise en valeur du paysage.Secteur OIN 12 : Etapes significatives franchies pour la requalification de la friche industrielle TDF de Montsinéry-Tonnegrande et l’aménagement de la phase 1 de la tranche 2 de la ZAC « Montsinéry» au sein du secteur « Les savanes »La commune de Montsinéry-Tonnégrande (2.900 habitants [1]) est un modèle de transition écologique. Le secteur 12 de l’OIN dit « les savanes » en est l’illustration. A 35 km de Cayenne, en lisière de forêt, bordée par la rivière Montsinéry, la commune va valoriser ses atouts : la biodiversité, l’agriculture, un cadre naturel saisissant. L’opération et le pôle d’innovation axé sur les Greentech-Guyane ont érigé le paysage au rang d’outil opérationnel dans les projets d’aménagement et de développement territoriaux.L’EPFA Guyane prépare la requalification de la friche industrielle TDF pour accueillir Biostratège. L’entreprise BioStratège est spécialisée dans les domaines de l’éco-extraction du végétal, le développement d’ingrédients et de produits naturels écoresponsables. L’EPFA Guyane a acheté le foncier et l’ancien bâtiment de radio-diffusion à TDF. Les travaux de démontage des antennes par TDF sont en cours. En 2023, BioStratège devrait s’installer dans l’ensemble immobilier et disposer du foncier nécessaire pour réaliser son projet « Amazon Activ Valley » sur 2.500 m2 de SDP. L’investissement industriel de plus de 6,8 millions d’euros permettra dans un premier temps, la création de 23 nouveaux emplois directs.L’EPFA Guyane lance la tranche 2 de la ZAC de MontsinéryLa tranche 1 est livrée. Elle s’articule autour de la construction d’un groupe scolaire, de 100 logements et de commerces.Le projet de la tranche 2 (60 ha) s’appuie sur le paysage comme support de l’urbanisation. Elle se déploie en hameaux interconnectés avec le bourg et s’adosse au collège en cours de construction.3 hameaux aux ambiances paysagères différentes - hameau de la mangrove, hameau de la lagune et hameau bord accueilleront à terme plus de 600 logements dont 20% de collectifs, 34% d’intermédiaires et 46% d’individuels.Au cœur de ces hameaux à forte identité, des espaces publics diversifiés comprenant une zone « skatable », un roc d’aventures, un terrain multisports, des parcours sportifs, espaces de détente, aires de jeux et carbets d’observation.Une programmation généreuse se concentrera le long d’un axe central : équipements publics, activités économiques, collège et crèche, pôle médical et commerces.Pour Denis Girou, directeur général de l’EPFA Guyane : « Le projet développé par Atelier 2/3/4 allie habitat, biodiversité, économie-emploi. Avec l’arrivée des sociétés Green-tech, c’est un projet d’avenir ambitieux pour le territoire et ses habitants, illustrant la transition vers une économie non destructive de la biodiversité Guyanaise. »
Il y a 2 ans et 214 jours

Eclisse lance Syntesis® Battant Acoustique, la 1ère porte d’intérieur battante, invisible et acoustique

Insonorisée et invisible, une porte tout en discrétion !Eclisse France apporte une innovation à sa célèbre collection de portes d'intérieur à fleur de cloison Syntesis® : la diminution des nuisances sonores jusqu'à 34 dB, entre les pièces d'une habitation.Sur le marché des portes d'intérieur, l'insonorisation n'est pas chose courante car les portes traditionnelles ont généralement un indice d'affaiblissement acoustique de seulement 20 dB. Or, dans certaines pièces comme la chambre de bébé, la suite parentale, la salle de bain, ou le bureau, l'on aspire à plus de tranquillité, voire de pouvoir s'isoler.Avec Syntesis® Battant Acoustique, Eclisse répond tant aux exigences esthétiques qu'aux problématiques de bruit à l'intérieur de l'habitat. Selon le besoin d'affaiblissement sonore, la porte est proposée en deux versions acoustiques : 30 dB ou 34 dB.Une innovation certifiée (PV acoustique) pour laquelle ECLISSE reste garante de la qualité et de la technicité de fabrication.Affaiblissement sonore de 30 ou 34 dbSyntesis® Battant Acoustique est une huisserie pour porte battante invisible, sur laquelle chaque élément a été étudié pour diminuer les nuisances sonores entre les pièces.Elle est dotée de portes âmes pleines plus denses que les portes traditionnelles, qui absorbent le bruit en le piégeant dans la masse et limitent la diffusion du bruit de 30 dB ou 34 dB, selon le modèle choisi.Des joints isophoniques insérés dans la feuillure de la porte, entrent en contact direct avec les différentes surfaces, empêchant le bruit de circuler entre les pièces.Lors de sa fermeture, la plinthe automatique, insérée dans la rainure basse, est actionnée par un déclencheur. La forme arrondie et souple de la plinthe calfeutre les interstices avec précision.Esthétique jusqu'au bout des plinthesLa porte Syntesis® Battant Acoustique est en bois et sans habillage. Affleurante, elle vient sublimer la cloison de ses lignes épurées et modernes. Livrée pré-peinte, elle peut être choisie en différents coloris sur mesure pour se fondre dans la cloison.Contrairement à la pose traditionnelle, la plinthe sur support Syntesis® file le long de la cloison sans créer de surépaisseur. De cette façon, elle évite de créer un décroché inesthétique autour des portes affleurantes. Les surépaisseurs des portes standard disparaissent pour laisser la cloison parfaitement lisse. Seule une poignée matérialise son ouverture.« Il ne manquait que l'insonorisation pour parfaire cette ligne esthétique et novatrice qu'est la collection Syntesis®, remarquée pour son aspect affleurant. Cette innovation répond à de nouveaux besoins de confort intérieur permettant de se mettre au calme avec le modèle 30db. Elle s'adapte aussi aux nouveaux modes de vie comme le télétravail, où dès une réduction de 34 db, les voix sont en partie couvertes permettant de ne pas être dérangé lors d'appels ou de visios. Elle est idéale pour les locaux nécessitant une très grande discrétion. » Déclare Olivier Guilliec, directeur général ECLISSE Syntesis® Battant : une huisserie à la pointeSyntesis® Battant, pour cloison d'épaisseur finie de 72 mm minimum, est composé d'une huisserie haute résistance en aluminium à visser sur une cloison en plaques de plâtre ou à sceller dans une cloison à enduire. Ses entretoises de passage, en OSB de 25 mm, protègent l'huisserie des déformations lors de la pose. Le raccord entre l'huisserie et les plaques de plâtre s'effectue en enduisant les profils striés avec du mortier adhésif, pour une finition parfaite des angles, sans fissuration. L'huisserie est commercialisée seule ou en bloc-porte avec le panneau et la quincaillerie. Des hauteurs hors-standards sont aussi disponibles.Des charnières invisibles réglables sur 3 axes permettent un ajustement minutieux de la porte, afin d'obtenir son alignement parfait sur la surface de la cloison. La double articulation produit un mouvement fluide et sans grincements.Le saviez-vous ?Grâce à une simple bande LED et à l'usinage de la plinthe, Eclisse permet d'ajouter un fil de lumière le long de la cloison pour un éclairage subtil et contemporain.Informations techniques Syntesis® Battant Acoustique :Pour cloison en plaques de plâtre d'épaisseur finie de 72 mm minimumLargeur de porte de 630 à 930 mmHauteur standard de porte : 2040 mm (disponible en hors standard 2104, 2204, 2304 et 2404 mm)Insérés en rainures latérales et hautes de la porte, les joints isophoniques empêchent le bruit de circuler entre les pièces. Ils atténuent la propagation du son.Réduction sonore de : 30 dB et de 34 dBPanneau de porte disponible en finition pré-peinte.
Il y a 2 ans et 215 jours

2022 MOLINEL – vêtements professionnels – nouveau pantalon stretch « MOOVY » : le confort en couleur

 Un nouveau pantalon vient enrichir le vestiaire du concepteur français de vêtements professionnels MOLINEL ! Stretch et coloré, ce modèle, baptisé « MOOVY », allie le confort au style décontracté pour le plus grand bonheur des professionnels (artisans, opérateurs de fabrication, paysagistes, caristes, magasiniers, vendeurs en magasin de bricolage…). Son tissu se compose à 98 […]
Il y a 2 ans et 216 jours

EDILIANS lance une nouvelle gamme de tuiles impression numérique qui laisse libre cours à l'imagination architecturale

La gamme Design d'EDILIANS offrait déjà la possibilité aux prescripteurs de choisir les couleurs, les finitions et la lumière sur 6 modèles de tuiles au design avant-gardiste. Le leader français de la terre cuite propose aujourd'hui une gamme complète de produits aux finitions inédites adaptés à la fois à la toiture et au bardage.
Il y a 2 ans et 217 jours

Aménagement d’entreprise : les salles de réunions modulables

Locataire ou propriétaire, il est parfois difficile de trouver un espace pour créer une salle de réunion après avoir emménagé. Cela signifie des mois de perturbations pour les employés si des travaux sont à engager. Alors pourquoi pas opter pour une salle de réunion modulable ?  L’open space, un modèle économique démodé ? Les bureaux ouverts ou open-space, sont devenus la grande tendance depuis quelques décennies. Baisse des charges, communication libérée et réactivité accrue, le travail en espace ouvert est largement adopté dans le monde de l’entreprise. Cependant, tout n’est pas parfait. Ces espaces de libres échanges peuvent parfois manquer d’intimité et de calme pour certains employés, surtout avec l’essor des visioconférences.   Les bureaux ouverts peuvent décourager les conversations lorsqu’il n’y a pas d’espace de réunion privé, à la fois parce que les employés ne veulent pas forcément diffuser leurs propos, et parce qu’ils ne veulent pas déranger leurs voisins.  Le problème s’aggrave si votre entreprise se développe rapidement et que les gens sont serrés les uns à côté des autres. Si vous voyez des gens se faufiler dans le couloir pour prendre des appels, il est temps de penser à ajouter une salle de réunion.  Définir les besoins d’une salle de réunion modulable   Quelle que soit la taille de votre entreprise, la salle de réunion est un lieu clé. Que ce soit pour des réunions mensuelles ou pour des appels confidentiels, un salarié passe en moyenne 8 h par semaine dans une salle de réunion. Vous manquez de place ? Créez votre propre espace de réunion version modulable. Avec le développement du télétravail, il est important de définir les besoins de vos équipes, pour aménager votre salle de conférence modulable de façon optimale. Bien que la conception soit un peu différente, réfléchissez à la capacité d’accueil, au chauffage et à la climatisation, aux aménagements technologiques, à la disposition du mobilier et à l’espace que vous souhaitez lui accorder.  Des équipements adaptés  Pour faciliter la mise en place et le rangement de la salle modulable, gérez la disposition des tables en optant pour des solutions de tables rabattables et faciles à déplacer. Et modulable ne voulant pas dire inconfortable, optez pour différentes assises comme des poufs ou des fauteuils à roulettes, faciles à transporter.  Pour maintenir la confidentialité de vos échanges, munissez-vous de stores occultants ou de rideaux. Les stores bateaux sont particulièrement pratiques dans les pièces où l’espace est restreint. Leur fonctionnalité réglable leur permet de masquer la vue simplement, mais aussi de doser la luminosité que vous souhaitez dans la pièce. 
Il y a 2 ans et 219 jours

Avec la nouvelle offre de location de portes automatiques Portalp, les commerces sont en route vers la sobriété énergétique !

Contrairement aux portes manuelles, en se fermant systématiquement après passage, les portes automatiques piétonnes permettent de réaliser des économies d’énergie d’environ 20 %. Mais si elles sont largement répandues dans les centres commerciaux, leur installation représente un poste de dépense important pour les petits commerces. Or, dans le cadre du plan de sobriété énergétique, ces derniers se trouvent aujourd’hui dans l’obligation de respecter le décret publié le 5 octobre 2022 qui impose, sous peine de sanction, de fermer les ouvrants des locaux chauffés ou climatisés. Premier fabricant français de portes automatiques piétonnes, Portalp propose déjà une offre globale de produits et services (installation, mise en service, maintenance, dépannage) adaptés aux petits commerces et aux Grandes et Moyennes Surfaces (GMS). Aujourd’hui, pour les aider à se mettre en conformité avec un budget maîtrisé, l’entreprise familiale lance le leasing Portalp. Elle leur offre ainsi la possibilité de louer ces équipements tous services inclus. Un nouveau service Portalp opportun pour s’équiper en toute sérénité Conscient que l’installation d’une porte automatique peut constituer un frein financier au moment de l’achat, Portalp met en place, en partenariat avec Locam, une offre de financement destinée à aider les commerces et locaux d’activité tertiaire dans l’installation et l’entretien de tout type de porte automatique ou autre système d’accès, sans dépasser leur budget. Adaptée à chaque situation grâce à un paiement échelonné sur 24 à 60 mois, cette offre leur permet de profiter d’équipements répondant parfaitement à leurs usages, sans investissement considérable à l’achat. Seules des mensualités fixes apparaissent en charge d’exploitation. Tout inclus, cette formule comprend : la dépose des anciennes solutions d’accès et de fermeture, la fourniture et la pose de nouveaux équipements sur-mesure adaptés aux besoins et attentes de chacun (porte coulissante, télescopique, antipanique, ronde ou cintrée, à rupture de pont thermique, coupe-feu, opérateur de portes battantes), l’expertise et les conseils d’un fabricant de portes automatiques et intégrateur de solutions d’accès, un contrat de maintenance conforme à la législation (2 visites d’entretien annuelles) ou sur mesure pour des dépannages rapides 24h/24 – 7j/7 grâce à un large réseau d’agences sur toute la France, l’assurance de bénéficier de pièces de rechanges constructeurs. A l’issue du contrat de location, le commerçant peut choisir de le renouveler avec un équipement neuf ou d’acquérir son installation en souscrivant, conformément à la réglementation, à un contrat de maintenance standard ou ajusté à son besoin. Une réponse efficace pour limiter les déperditions thermiques Dans un contexte de crise énergétique et suite au plan de sobriété lancé par le gouvernement, l’installation de portes automatiques constitue une source d’économie d’énergie manifeste. En effet, dans les commerces, les portes, lorsqu’elles s’ouvrent, provoquent inévitablement des déperditions. En hiver, le froid glacial s’engouffre à l’intérieur et en été, c’est la chaleur étouffante. Le chauffage ou la climatisation se mettent en route, entraînant une augmentation de la consommation énergétique. Pour réduire cet échange thermique intérieur extérieur, Portalp propose trois solutions : automatiser la porte battante existante avec l’opérateur électromécanique ISO3, simple et rapide à mettre en œuvre, remplacer la porte d’entrée par une porte automatique coulissante telle que la porte Diva RS peu énergivore, permettant aux commerces de remplir leurs obligations réglementaires d’accessibilité tout en réalisant des économies, installer un kit retrofit RS pour bénéficier d’un opérateur connecté nouvelle génération sur un ancien modèle de porte automatique. Quelle que soit la version choisie, les nombreux réglages disponibles (vitesses d’ouverture et fermeture, accélération des vantaux, largeurs d’ouverture, etc.) permettent d’optimiser encore davantage le fonctionnement des portes automatiques. Ouvertes quand cela est nécessaire et refermées aussitôt que possible, elles limitent le temps d’ouverture intelligemment. Elles contribuent ainsi à la sobriété énergétique de l’installation tout en assurant la sécurité sanitaire en évitant tout contact. Enfin, les portes automatiques garantissent une fermeture fiable et systématique. Au-delà de rendre accessible l’installation d’une ouverture automatique, la nouvelle offre de location Portalp constitue surtout un levier de consommation plus responsable en offrant aux clients du fabricant de portes automatiques piétonnes une liberté d’agir durablement et de privilégier l’usage. À PROPOS DE PORTALP Fondé en 1962, Portalp, fabricant français de portes automatiques, propose une offre globale de produits et de services pour la sécurité et l’accès du bâtiment dans les secteurs du commerce, du tertiaire, de la santé, du transport grâce à ses sept filiales métiers (Accor Solutions, Delebecque, Facilliance, TM Agencement, Deveugle, Sotelem et L2A). Groupe indépendant dont le siège social est basé à Domont (région parisienne), il a implanté son centre de développement et de production près de Grenoble. Misant sur son Origine France Garantie et sur la proximité, Portalp s’appuie sur son réseau de 27 agences régionales réparties en France, six agences export dans le monde (Autriche, Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg et USA) ainsi que 40 distributeurs partenaires présents sur les continents. En 2021, l’entreprise, qui emploie plus de 1000 collaborateurs, a réalisé un chiffre d’affaires de 123 millions d’euros. www.portalp.com
Il y a 2 ans et 219 jours

Valdelia propose un modèle de filière REP répondant à l’urgence environnementale

L'éco-organisme considère la mise en place de cette filière comme une réponse concrète à l'urgence environnementale et propose un modèle à ses adhérents allant au-delà d'une simple obligation règlementaire à remplir. Dans une perspective résolument tournée vers l'économie circulaire, l'écoorganisme appelle les acteurs du bâtiment à le rejoindre pour donner à la filière les ambitions nécessaires qu'elle mérite. Arnaud Humbert-Droz, président exécutif de Valdelia développe pour nous la proposition de valeur de la structure qu'il dirige.Voir au-delà d'une simple obligation règlementaireLa loi AGEC (anti-gaspillage pour une économie circulaire) a tracé un chemin. L'urgence économique, sociale et écologique impose de proposer un modèle au plus près des problématiques et attentes des acteurs du bâtiment, avec l'engagement constant des pouvoirs publics et des metteurs sur le marché qui se rallieront à Valdelia. L'éco-organisme réaffirme sa volonté de rassembler ses adhérents autour d'un projet commun orienté vers l'économie circulaire et permettant de développer leurs activités au-delà de leurs simples obligations réglementaires. Arnaud Humbert-Droz précise qu' « il est nécessaire de donner et garantir à la filière REP PMCB les moyens qu'elle mérite. Celle-ci est un levier de transformation, une solution réelle pour répondre à l'urgence environnementale. Les metteurs sur le marché qui nous rejoindront ne doivent pas uniquement voir l'argument du prix le plus bas (via le montant du barème d'éco-contribution). Ils doivent comprendre qu'un barème juste est créateur de valeur pour eux et qu'il est pensé pour maîtriser les coûts de collecte, de réemploi, de recyclage et de valorisation des PMCB. Nous déroulons depuis plusieurs mois une stratégie cohérente avec les ambitions portées par la filière. Le modèle de Valdelia permet ainsi de rassembler les metteurs sur le marché autour d'une solution agile, économiquement optimisée, et techniquement robuste ; et finalement de leur proposer un modèle de filière à haute qualité environnementale. J'irais même plus loin en ajoutant que le succès de cette nouvelle filière repose en grande partie sur la motivation des metteurs sur le marché à réellement s'investir dans l'économie circulaire pour servir la cause du développement durable. Enfin, il est important de le rappeler, adhérer à une filière collective reste un choix et un engagement individuel qui doit se faire en pleine conscience, car l'éco-organisme que les metteurs sur le marché choisiront les accompagnera dans les années à venir pour inscrire durablement leurs activités dans une démarche d'économie circulaire. C'est ce que nous appelons de nos voeux ».Un démarrage opérationnel dès 2023Le barème d'éco-contribution qualifié avec soin par les équipes Valdelia, est le résultat de dix années d'expérience dans la gestion des déchets issus des produits en fin de vie, grâce à un service éprouvé avec les différentes parties prenantes de la filière. Il rend également possible le déploiement opérationnel la filière dès le 1er janvier 2023, sans attendre 2024, avec un maillage de près de 300 points de reprise qui compléteront les dispositifs proposés par les collectivités (SPGD) dans un premier temps ; puis avec la prise en charge à 100% des coûts liés à la collecte des déchets du bâtiment directement sur chantier dès 2023, sous condition que ces déchets soient triés en 7 flux. Arnaud Humbert-Droz ajoute : « Permettre aux metteurs sur le marché de se mettre en conformité avec leurs obligations réglementaires de façon simple et rapide constitue bien entendu un premier niveau de service attendu. Faire en sorte de pouvoir faire démarrer la filière en 2023 aussi. Et dernier élément, mais non des moindres, l'accompagnement personnalisé (en économie circulaire, éco-conception, R&D, …) de Valdelia dans la mise en place des projets environnementaux de ses adhérents représente un troisième niveau de service que nous souhaitons développer dès maintenant ».Un modèle différenciantPour accompagner le démarrage de la filière, le Gouvernement a annoncé une période de tolérance jusqu'au 30 avril 2023 pour la mise en conformité des petites entreprises concernées par la REP et une démarche de sensibilisation pédagogique à cette nouvelle obligation. Dans la continuité de cette mesure et dans un souci d'équité auprès de tous les metteurs sur le marché, Valdelia propose un modèle différenciant s'appuyant sur :Une facturation de l'éco-contribution à leurs clients à partir au 1er mai 2023.Un impact financier minimum sur leurs trésoreries : pas d'avance à verser à l'éco-organisme, les éco-contributions seront calculées et facturées par Valdelia uniquement sur la base de leurs déclarations mensuelles de mises en marché une fois que celles-ci auront été facturées à leurs clients.Une éco-modulation en fonction de leurs avancements en Recherche & Développement sur la recyclabilité de leurs produits, notamment lorsqu'ils consomment déjà des matières issues du recyclage.Afin de répondre aux interrogations des fabricants, distributeurs Valdelia lance sur le mois de novembre une troisième tournée nationale. Celle-ci aura pour objectif de répondre concrètement à leurs questions et détailler l'offre de services de l'éco-organisme, dans les villes de Nantes, Toulouse, Paris, Nancy et Lyon.
Il y a 2 ans et 220 jours

Créer des finitions inédites grâce à l’offre complète de tuiles impression numérique d’EDILIANS

Avec sa gamme Design, EDILIANS invitait déjà les prescripteurs à laisser libre cours à leur créativité pour composer des bâtiments uniques. Ils pouvaient alors jouer avec les couleurs, la lumière et les finitions autour de 6 modèles de tuiles déjà reconnus pour leur esthétique avant-gardiste. Aujourd’hui, le leader français de la tuile terre cuite va encore plus loin et lance une offre complète de tuiles impression numérique, adaptées aussi bien à la toiture qu’au bardage. Issue du savoir-faire de Tejas Borja qui a intégré EDILIANS fin 2021, la technologie d’impression par jet d’encre représente une opportunité supplémentaire pour les architectes, dans la personnalisation et la reproduction de l’esthétique des toitures régionales. A l’occasion du salon BATIMAT, EDILIANS a présenté exceptionnellement en avant-première une sélection de produits bénéficiant des finitions exclusives obtenues grâce au système innovant d’impression numérique Borja Jet. Ainsi, pour composer leur propre partition et créer des bâtiments uniques, les architectes peuvent choisir parmi l’un des 4 décors de la gamme minérale: Ardoise qui rappelle les textures et les couleurs des ardoises extraites des plus belles carrières au monde (Irish Green, Népal Orage, Paris Ocre), Pierre, une sélection unique de pierres de caractère de l’Amérique du Nord en passant par l’Australie (Austin Grey, Denver Gold, Denver Iris), Ciment (Sidney Graphite) pour un rendu sans égal, soulignant la subtilité et l’élégance d’un décor au charme brut, Marbre (Roma Dark), l’essence et la noblesse d’un matériau indissociable de l’art et de l’architecture de toutes les époques, ou encore : la chaleur et la richesse des teintes naturelles et vivantes de la gamme Bois (Toroton Oak, Weathered Cedar), la signature unique et caractéristique de la gamme Terre Cuite et de son décor Cotto décliné en 3 coloris (Irati, Ibiza Pink, Entrepins), la finition de la gamme Métal et de son décor Cuivre (Tokyo Copper) qui fait la part belle au travail du temps sublimant la matière. Réuni sous la signature « L’inspiration sans limite », l’ensemble des familles et décors impression numérique ouvrent aux architectes un véritable champ des possibles avec pour seule limite l’imagination ! A propos d’EDILIANS Group : Le Groupe EDILIANS est un des leaders européens de solutions globales de toiture. • 1.450 collaborateurs• 16 sites industriels• 400 M€ de CA en 2021• 12 appellations de terroirs• 96 modèles de tuiles / 380 coloris de tuiles
Il y a 2 ans et 222 jours

Comment garantir une construction connectée pour les acteurs du bâtiment ?

La construction connectée permet de connecter digitalement les équipes, les processus et les informations tout au long du cycle de vie d’un projet de construction de bâtiment.  En connectant et en intégrant les flux de travail et les données liées au projet, les informations circulent de manière transparente d’un système à l’autre. La collaboration fluide entre les parties prenantes d’un projet commun est alors garantie, ainsi que l’accès à des données fiables et à jour. Découvrez comment garantir une construction connectée pour les acteurs du bâtiment dans cet article !  Le BIM, solution pour une construction connectée Si la modélisation est clé en BIM, l’aspect “Information” de cet acronyme est très important. Bien que souvent mis en second plan. Pourtant, il permet de créer une communication entre les acteurs d’un même projet de construction digitale. Et ça, c’est important. L’information doit être démocratisée, compréhensible pour tous les acteurs, y compris pour ceux qui ne sont pas experts BIM. Et pour aller plus loin encore, une fois le BIM implémenté, la solution est de connecter les différentes interfaces de logiciels BIM de chacun (Revit, Archicad, Rhino…) pour garantir une interopérabilité.  L’interopérabilité en BIM, quésako ? L’interopérabilité en BIM est la capacité pour un logiciel Revit par exemple, de fonctionner avec un logiciel Rhino sans restriction d’accès ou de mise en œuvre. Comme un portail de voyage vers une autre dimension, mais pour le BIM ! De cette manière, chacun peut travailler avec l’outil BIM qu’il ou elle préfère. Et ainsi, garantir que les informations et modèles soient correctement échangés sans pertes d’informations.  C’est notamment possible avec les visionneuses IFC comme BIMData.  Cet outil permet un échange de données pour collaborer facilement avec tous les acteurs d’un projet commun.   BIMData et BIM&CO, via sa solution Onfly, se sont d’ailleurs associés pour garantir un accès au BIM à tous. Ce partenariat permet d’accéder à ses données en un clic, de les sélectionner et visualiser plus simplement en 2D et 3D. Aussi, il devient possible de les structurer et partager afin de mieux collaborer avec toutes les parties prenantes de vos projets. Découvrez-en plus sur l’accès au BIM pour tous, avec BIMData et Onfly de BIM&CO, en visionnant notre événement réalisé à ce sujet ! Construction connectée et transformation digitale : homonymes ou voisins ? On l’aura compris, le BIM est le secret pour arriver à une construction connectée. Mais quant au concept de « transformation digitale”, s’agit-il de la même chose ?  Bien qu’il s’agisse de termes qui se ressemblent, nous sommes navrés de vous annoncer que non, ce n’est pas la même chose. Explications. La transformation digitale ouvre la porte à la connexion. Les acteurs de l’AEC (architectes, ingénieurs et constructeurs) peuvent être plus ou moins digitalisés, mais cela ne signifie pas qu’ils soient connectés les uns aux autres. Certains vont travailler chacun de leur côté avec leur logiciel BIM, avec leurs informations, mais… sans les partager. Si certains n’en ont pas les moyens techniques, d’autres ne sont tout simplement pas prêts mentalement à partager leurs informations sur un projet. Cela crée alors des données BIM en silo. Alors, disons que la transformation digitale correspond plutôt au voyage mené pour atteindre une construction connectée pour les acteurs du bâtiment.  Il s’agit pour les acteurs d’un même projet de construction, de connecter leurs systèmes, dans un emplacement partagé, centralisé et cela grâce au digital. Le bonus : si une entreprise de construction ne s’y connaît pas énormément en digital, elle peut quand même mener à bien un projet avec un bureau d’études qui a un niveau plus élevé dans ce domaine. Via un emplacement commun, tout le monde a accès au même niveau d’information. Cela va encourager les acteurs moins digitalisés à se jeter dans le bain. Plutôt sympa, non ? Oui mais… Comment s’y prendre concrètement ? La transformation digitale pour atteindre une construction connectée Avec des solutions comme Onfly de BIM&CO, il est possible de réaliser cette centralisation et ce travail commun sim-ple-ment. Onfly est une bibliothèque commune de contenus BIM pour partager et centraliser ses informations, données et objets BIM. Découvrez dans notre livre blanc les 10 étapes simples pour créer votre propre bibliothèque d’objets BIM ! Découvrez la suite dans notre article de blog !
Il y a 2 ans et 222 jours

Haribo réalise 80% d’économie d’énergie pour produire l’eau chaude de son usine de Marseille grâce à Axima

L’audit énergétique réalisé en 2019 sur le site de production de Haribo à Marseille a mis en évidence de nouvelles sources d’optimisation énergétique non encore exploitées. En effet, le process industriel de fabrication des confiseries repose sur la production simultanée de froid et de chaud. La première consiste à évacuer la chaleur, notamment issue des tapis et des ateliers. Celle-ci était dissipée dans l’air extérieur alors que dans le même temps, une chaufferie gaz produisait la vapeur utilisée pour une autre partie du procédé, notamment les étuves nécessaires à la fabrication des célèbres bonbons Dragibus, Tagada, Schtroumpfs, Chamallows et tant d’autres... La Direction de Haribo a alors souhaité trouver des solutions pour optimiser sa consommation et éviter le gaspillage énergétique.Les experts d’Equans ont proposé une action de performance énergétique (APE) basée sur la récupération de chaleur fatale. Concrètement, la chaleur évacuée au cours la production de froid est captée et réinjectée dans le process de fabrication. Depuis sa mise en service le 5 janvier 2021, une nouvelle chaudière alimentée par cette chaleur fatale remplace celle qui fonctionnait au gaz et qui n’est actionnée qu’en cas d’arrêts techniques de l’installation vertueuse, ce qui ne s’est pas produit au cours de l’année passée.Les bénéfices multiples du contrat de performance énergétiqueÉligible aux subventions des CEE (certificats d’économie d’énergie), l’installation du groupe froid avec récupération de chaleur a été prise en charge par Axima. La signature d’un contrat de performance énergétique a même permis des bonifications supplémentaires entraînant un retour sur investissement très rapide et inférieur à deux ans. Equans s’était engagé à générer 60% d’économie d’énergie. Les résultats vont au-delà de cette ambition en affichant aujourd’hui une réduction de 80% des consommations d’énergie par rapport à la chaudière à gaz. La consommation a été réduite de 1550 MWh avec, à la clé, une réduction en un an des émissions de -600t de CO2.Pour Pascal Bernard, Directeur Industriel de Haribo France : « Haribo contribue à répondre au défi climatique en faisant le choix de procédés industriels vertueux et en mettant en œuvre de manière pragmatique les meilleures solutions technologiques disponibles. L’amélioration de la performance énergétique permet de réduire la dépendance aux seules énergies fossiles et de participer à la démarche de sobriété énergétique. La trajectoire de décarbonation de notre modèle industriel s’appuie sur les solutions proposées par notre prestataire Equans. »Pour Gilles Cotte, Directeur du Développement d’Equans France : « Les innovations se multiplient pour permettre de répondre aux défis de nos clients en les accompagnant à consommer moins, vert et flexible. La chaleur fatale reste l’énergie la plus verte. C’est aussi une source d’économie importante alors que la question du coût de l’énergie s’impose comme un enjeu majeur pour l’industrie de demain. Pour obtenir de tels résultats, nos équipes sont pleinement mobilisées pour concevoir, installer et suivre en continu les installations. »
Il y a 2 ans et 225 jours

CYME inaugure à Bourges sa 1 ère résidence de logements collectifs en ossature bois , et déploie son modèle sur de nombreux projets !

Nouvel acteur de l’habitat et spécialiste de la construction modulaire en bois CYME vient d’inaugurer   Bourges sa toute première résidence de 14 logements, entièrement fabriquée hors site, dans son atelier d’Auvergne. Un modèle innovant et autofinancé qui prouve l’efficacité et la qualité de ses solutions durables qui cassent les codes de la construction. Ce […]
Il y a 2 ans et 226 jours

Les autoroutes à péage sans barrières arrivent en France

Existant depuis longtemps à l'étranger, ce type d'autoroutes en "flux libre" est appelé à se généraliser dans les prochaines années, l'autoroute de Normandie étant la suivante sur la liste.Les usagers pourront circuler à la vitesse autorisée, sans ralentir ni s'arrêter en passant sous des portiques dotés de caméras et de capteurs qui identifieront leur véhicule.Ils auront ensuite plusieurs façon de payer, explique Pierre Méau, directeur clientèle adjoint des Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR), le groupe qui a transformé 88 km de nationale N79 -dangereuse, mais gratuite- en autoroute A79 -payante- entre Montmarault (Allier) et Digoin (Saône-et-Loire).La solution la plus simple est de se procurer un badge de télépéage classique, quel qu'en soit le fournisseur.On pourra aussi payer sur le site de la nouvelle autoroute, soit en enregistrant une fois pour toutes son numéro d'immatriculation et ses coordonnées bancaires, soit en réglant chaque passage.Dernière possibilité: 16 bornes au bord de l'autoroute, qui permettront de payer en carte ou en espèces."Le client a 72 heures pour régler son trajet", souligne M. Méau. Faute de quoi une amende de 90 euros viendra s'ajouter au montant du péage, et même 375 euros sans règlement dans les 60 jours. L'exploitant aura accès au fichier des plaques d'immatriculations européennes.Allant de pair avec le développement du numérique et des paiements en ligne, l'adoption du flux libre était demandée par l'Etat quand il a sélectionné APRR (une filiale d'Eiffage) pour construire l'A79.Toutes les nouvelles autoroutes suivront ce modèle comme la future A69 entre Toulouse et Castres, relève le responsable.Davantage d'employésLe système est assez répandu dans de nombreux pays, entre Johannesburg et Pretoria en Afrique du Sud, autour de Toronto au Canada, sur les autoroutes urbaines de Santiago-du Chili, dans de nombreux Etats américains, sur l'Autostrada pedemontana lombarda près de Milan en Italie, sur de nombreux axes routiers en Norvège, sur la moitié des autoroutes portugaises ou encore pour entrer dans Göteborg ou Stockholm en Suède.En France, la Société des autoroutes du Nord et de l'Est de la France (Sanef) a transformé en laboratoire l'échangeur de Boulay-Moselle, sur l'autoroute A4, en y supprimant les barrières physiques en 2019.Malgré quelques incidents au départ, "le système a démontré sa fiabilité et les clients se sont familiarisés avec ce nouveau système de paiement", assure son directeur général Arnaud Quemard.La Sanef a donc entrepris de convertir au flux libre l'autoroute de Normandie, qui voit passer 32.000 voitures par jour."Sur l'A13 et l'A14 entre Paris et Caen, il y a cinq barrières, avec un trafic domicile-travail assez fort et des pics de week-end importants. A chaque barrière de péage, c'est un arrêt avec potentiellement des bouchons", expose M. Quemard.Ces barrières seront progressivement remplacées par des portiques entre la mi-2024 et la mi-2025. "L'objectif est de redresser l'autoroute", en rendant à la nature 28 hectares - l'équivalent de 40 terrains de football - actuellement occupés par les gares de péage, précise-t-il.Arnaud Quemard promet des gains de temps, des économies de carburant et des réductions des émissions de CO2 dans l'atmosphère.L'investissement est évalué à environ 120 millions d'euros, en partie couvert par une modeste hausse annuelle des péages. Mais contrairement à ce qu'on pourrait penser, passer au flux libre ne fait pas faire des économies."Aujourd'hui, sur le péage en Normandie on a environ 150 collaborateurs. Pour exploiter la même autoroute en flux libre, on en aura besoin d'à peu près 300", qui s'occuperont surtout des relations avec les clients, indique M. Quemard."Nous avons un énorme enjeu de reconversion de notre personnel, et nous avons garanti à tous nos employés du péage que nous leur trouverions un emploi adapté", souligne-t-il.Parmi les prochaines autoroutes à basculer vers le flux libre, l'Autoroute blanche (A40) en Haute-Savoie que la société Autoroutes et tunnel du Mont-Blanc (ATMB) entend convertir "à moyen terme", citant comme raison la qualité de l'air dans la vallée de l'Arve.
Il y a 2 ans et 226 jours

Projet de loi énergies renouvelables : le Collectif pour l’énergie citoyenne publie un Livre blanc à l’occasion du Conseil des ministres

Le Collectif pour l’énergie citoyenne, qui regroupe 13 structures engagées pour la transition énergétique et écologique1, présente en amont son Livre blanc pour le développement des énergies renouvelables locales et citoyennes à horizon 2030. Il porte cinq mesures axées sur la participation des acteurs locaux dans les projets d’énergies renouvelables, qui permettraient de réhausser l’ambition du projet de loi ; certaines lacunes l’empêchant, selon le Collectif, d’être à la hauteur des enjeux immenses du secteur.Formidable levier d’accélération de la transition énergétique, l’énergie citoyenne doit être soutenue dans les politiques publiques. Il s’agit de redonner aux citoyens et aux collectivités un réel pouvoir d’agir, faciliter l’appropriation et la planification territoriale des énergies renouvelables, et permettre de meilleures retombées économiques dans les territoires.Pour atteindre l'objectif gouvernemental de 1 000 nouveaux projets d'énergie citoyen d'ici 2028, les mesures proposées dans le projet de loi demeurent insuffisantes. D'autres mesures complémentaires, proposées dans le Livre blanc, doivent être intégrées afin de parvenir à cet objectif, et le dépasser.A travers son Livre blanc, le Collectif pour l’énergie citoyenne formule des propositions et identifie des leviers concrets pour soutenir l’essor de l’énergie citoyenne et favoriser la démocratie énergétique au cours des prochaines années en France :Consolider l’objectif national de 1 000 nouveaux projets d'énergie citoyen d'ici 2028 et le rendre opérationnel par une feuille de route interministérielle, associant des moyens territorialisés à la hauteur et un pilotage national.Adapter les dispositifs de soutien aux projets locaux et citoyens, par l’extension du guichet ouvert, la territorialisation des dispositifs de soutien et des incitations croissantes à la gouvernance locale.Accompagner et faciliter les modèles innovants et émergents, qu’il s’agisse des contrats de gré à gré (PPA) ou de l’autoconsommation collective.Accroître le pouvoir d’agir des acteurs locaux, en renforçant les moyens humains et budgétaires alloués à l’ingénierie territoriale et aux réseaux d’accompagnement, et en levant les freins réglementaires à l’investissement des collectivités.Inciter à l’engagement citoyen et encourager la pédagogie autour de la transition énergétique, à travers des campagnes d’information et la simplification réglementaire des levées de l’épargne citoyenne.[1] Le CLER, Energie Partagée, Enercoop, le Réseau Action Climat, France Nature Environnement, Fondation pour la Nature et l’Homme, Energy Cities, Greenpeace, WWF, ESS France, Le Labo de l’ESS, FNCCR, Amorce
Il y a 2 ans et 226 jours

Le prestigieux Spa Thermes Sextius équipe ses baignoires balnéothérapie de mitigeurs Ultramix de Watts

Au cœur de ce lieu empreint d’histoire, le Spa Thermes Sextius, appartenant au Groupe Partouche, invite sa clientèle à vivre des expériences uniques au service de leur bien-être et de leur remise en forme. Soucieux de rester fidèle au standard de qualité des soins dispensés, l’établissement a choisi d’équiper son espace balnéothéraphie de mitigeurs thermostatiques ULTRAMIX de Watts.Pour prodiguer ses soins d’hydro-balnéothérapie, le Spa Thermes Sextius compte 5 baignoires balnéo de plus de 200 litres devant chacune être entièrement remplie en moins de 2 minutes entre chaque client avec une eau à parfaite température. Afin de relever ce défi tout en conservant le diamètre initial de l’installation, l’équipe technique du Spa a choisi d’installer en mai 2022 des mitigeurs thermostatiques collectifs eurotherm ULTRAMIX de Watts.Seule solution à remplir le cahier des charges du Spa Thermes Sextius grâce à son débit allant jusqu’à 260 l/min, le mitigeur thermostatique ULTRAMIX de Watts est spécialement conçu pour les installations collectives. Placé entre les vannes d’eau chaude, d’eau froide et d’eau mitigée, ce modèle à double régulation dispose d’un système de pilotage par bilame. Au-delà de garantir une excellente résistance au tartre et donc une longévité optimale, cette technologie reconnue développée par Watts assure une distribution d’eau mitigée à une température précise et constante, quels que soient le débit ou les variations de pression.Parmi ses autres avantages au service d’une sécurité maximum figure une prévention anti-légionnellose permanente, une limitation de la température maximale réglable et verrouillable, ainsi qu’une sécurité anti-brûlure immédiate en cas de coupure d’eau froide.De quoi offrir un confort optimal et un réel moment de détente aux clients du Spa Thermes Sextius !
Il y a 2 ans et 226 jours

Fabricants, comment faciliter la saisie et la mise en conformité de vos modèles BIM avec le modèle ETIM?

Fabricants, rencontrez-vous des défis dans la saisie et la mise en conformité de vos modèles BIM ? Si la réponse est « oui », alors ce webinar avec ETIM et BIM&CO est pour vous !
Il y a 2 ans et 228 jours

Le BTP à l’assaut du PLF, les architectes toujours absents

La Fédération Française du Bâtiment (FFB), le lobby des constructeurs, alertait fin octobre 2022 dans un communiqué de la baisse des ventes dans le logement et redemandait, encore et toujours, des aides pour soutenir la production. L’injonction est pourtant au ZAN et à la fin du modèle individuel du logement ! Ne faudrait-il pas que les […] L’article Le BTP à l’assaut du PLF, les architectes toujours absents est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.