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Il y a 3 ans et 183 jours

Hilti rachète la startup Fieldwire pour créer une plateforme de gestion de chantiers de construction

Cette acquisition stratégique permettra de combiner le meilleur produit de Fieldwire et la puissance de la marque Hilti et de sa portée commerciale, afin d’améliorer la productivité des entrepreneurs et sur chantier. Fieldwire fournit une plate-forme de pointe pour la gestion des chantiers qui alimente plus d'un million de chantiers dans le monde. Fondée en 2013, Fieldwire a bâti une forte présence en Amérique du Nord et a réussi à s’étendre internationalement en Europe et en Asie-Pacifique tout en construisant des fonctionnalités spécifiques au marché qui permettent aux clients d'améliorer la productivité sur le terrain. L'entreprise basée à San Francisco aide actuellement des milliers de clients à mieux gérer leurs chantiers digitalement en proposant une solution logicielle fiable, facile à utiliser, dotée d'un large éventail de fonctionnalités et également indépendante des appareils. Elle est utilisée par des entreprises générales et aux sous-traitants et est connue pour son approche de la productivité axée sur le terrain." L'acquisition de Fieldwire va accélérer la capacité d'Hilti à offrir de la productivité à ses clients grâce à des solutions logicielles. Depuis que la digitalisation est devenue l'un des principaux moteurs de la productivité dans le secteur de la construction, Hilti a investi dans des solutions numériques destinées aux professionnels de la construction. Cette acquisition renforcera notre portefeuille de logiciels et constitue une étape logique vers notre vision de devenir le principal partenaire de digitalisation pour nos clients. Nous avons l'intention de continuer à investir dans la plateforme pour créer le prochain leader du marché des logiciels de gestion de projets de construction ", a déclaré Christoph Loos, CEO du groupe Hilti.Avec le soutien d'Hilti, l'équipe de Fieldwire va accélérer le travail de construction de la solution numérique préférée des professionnels de la construction sur le marché. Non seulement tous les membres actuels de l'équipe Fieldwire seront invités à rester chez Hilti Fieldwire sous la direction continue des deux fondateurs, Yves Frinault et Javed Singha, mais des efforts supplémentaires seront également déployés pour développer l'équipe de manière significative."Nous avons lancé Fieldwire pour aider les professionnels du bâtiment à donner plus de moyens à leurs équipes, à stimuler la productivité sur le terrain et à créer des entreprises plus fortes et plus rentables. Avec Hilti, nous avons trouvé un partenaire qui partage réellement nos valeurs et qui nous permet en même temps d'accélérer le développement de nos produits pour nos clients sur les marchés nouveaux et existants. Nous sommes ravis de rejoindre le Groupe Hilti", a déclaré Yves Frinault, cofondateur et CEO de Fieldwire.En 2017, Hilti a participé au tour de financement de série B de Fieldwire. Depuis lors, elle a fourni des conseils continus alors que l'entreprise se développait rapidement. En tant qu'investisseur précoce, Hilti a déjà une relation de travail solide avec Fieldwire, et ensemble, les entreprises peuvent maintenant faire tout leur possible pour rendre les chantiers de construction du monde entier plus simples et plus productifs. L'acquisition devrait être conclue au quatrième trimestre 2021 et est soumise aux conditions de clôture habituelles, y compris les approbations réglementaires.
Il y a 3 ans et 184 jours

Prévenir les risques d’accident : lampes torches ABUS

Sur un chantier, certains travaux demandent un éclairage mobile pour permettre au professionnel de travailler en toute sécurité. Ergonomiques et équipées de LEDS de haute qualité, les nouvelles lampes torches SecLight ABUS (de 31,5 cm, 25,9 cm ou 17,9 cm de long) offrent un éclairage puissant, sur une distance qui varie en fonction du modèle (jusqu’à 300 mètres). Le modèle SecLight TL-530 ABUS, de 31,5 cm de long, dispose d’un mode puissance élevée de 900 lm, puissance moyenne de 500 lm et éco de 200 lm. Sa fonction stroboscope s’active en appuyant deux ou trois secondes sur le bouton. Avec son flux lumineux de 300 m de portée maximum, et sa fonction zoom permettant de passer en continu d’un faisceau étroit à un faisceau large, et vice versa, la lampe torche SecLight TL-530 ABUS s’adapte aux différentes contraintes des chantiers. Ce modèle en aluminium avec poignée en plastique est protégé contre les petites projections d’eau (IP44), et sa surface rainurée assure une bonne prise en main. Prix généralement constaté : à partir de 99,90 euros TTC (piles incluses)   Dotée des mêmes caractéristiques que sa grande sœur (excepté le mode éco), la lampe torche SecLight TL-525 ABUS, de 25,9 cm de long, génère un éclairage de 500 lm (puissance élevée) ou 250 lm (puissance moyenne). La portée maximale d’éclairage atteint 200 m. Elle se distingue par sa fonction de lumière rouge intégrée, repérable de loin. Prix généralement constaté : à partir de 89,90 euros TTC Compact et léger, le petit modèle SecLight TL-517 ABUS ne mesure que 17,9 cm. Avec ses deux niveaux de luminosité, sa lumière rouge, ses fonctions zoom et stroboscope, et sa portée de 200 m, cette lampe de haute qualité se glisse aisément dans un sac ou la boîte à gants d’un véhicule. Prix généralement constaté : à partir de 69,90 euros TTC Points de vente : quincailleries professionnelles, négoces
Il y a 3 ans et 189 jours

MULTIGUN : le nouveau pistolet de TEC7 pour appliquer sans effort tous les types de mastics et de colles

Nouveau venu sur le marché français, le spécialiste du collage et de l'étanchéité TEC7 continue d'innover pour proposer le meilleur en matière de qualité et faciliter la vie des professionnels sur les chantiers. C'est dans cet objectif que la marque belge a mis au point un pistolet révolutionnaire d'application universel pour les colles et les mastics : MULTIGUN. Grâce à sa transmission de puissance réglable et à sa conception ergonomique, le MULTIGUN permet d'appliquer aussi facilement les mastics de finition que les colles épaisses.
Il y a 3 ans et 191 jours

Barbara Pompili annonce 10 mesures pour accélérer le développement des énergies renouvelables citoyennes

Avec la publication de la Programmation Pluriannuelle de l’Energie en avril 2020, la France s’est engagée pour l’augmentation de la part d’énergies renouvelables avec des objectifs de déploiement ambitieux. Les énergies renouvelables représentaient 19,1% de la consommation totale d’énergie en 2020 et devront atteindre 33% du mix énergétique total d’ici 2030. Pour atteindre ces objectifs, les projets citoyens sont aujourd’hui un facteur clé pour permettre un développement équilibré des énergies renouvelables, fondé sur l’initiative des citoyens et des collectivités. En effet, les projets citoyens permettent d’optimiser les retombées socio-économiques locales avec des emplois pérennes à la clé et sont ainsi des moyens de dynamiser les territoires ruraux et urbains. En 2021, 256 projets d’EnR à gouvernance locale sont déjà lancés, dont 142 sont en fonctionnement pour environ 200 MW en exploitation, dont 15 projets éoliens qui totalisent près de deux tiers de la puissance totale et 94 projets photovoltaïques. Près de 100 projets supplémentaires sont également à l’étude. Au total, 19 000 citoyens sont impliqués dans ces projets. L’objectif du Gouvernement est d’amplifier cette dynamique en accompagnant et facilitant le développement d’initiatives citoyennes.Sur la base des conclusions rendues par le groupe de travail, Barbara Pompili annonce aujourd’hui 10 mesures pour accélérer le développement des énergies renouvelables citoyennes, parmi lesquelles : Le développement de 1 000 nouveaux projets à gouvernance locale qui associent collectivités et citoyens à horizon 2028, objectif qui sera inscrit dans la prochaine PPE et en phase avec la proposition de la Convention citoyenne pour le climat, qui avait fixé le cap d’une communauté d’énergie renouvelable par intercommunalité (EPCI) ;Le renforcement de l’accompagnement dans les territoires grâce à une augmentation de 50% des effectifs du réseau de conseillers de l’ADEME ; Le lancement d’une campagne de communication nationale pour sensibiliser le grand public aux énergies renouvelables citoyennes ; Le travail conjoint avec les acteurs financiers pour simplifier l’accès au financement bancaire dans le cadre de ces projets. Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, déclare : « Les scénarios proposés par RTE pour atteindre la neutralité carbone en 2050 apportent une certitude : nous devons massivement développer les énergies renouvelables et ce que quel que soit le chemin retenu pour l'avenir de notre mix énergétique. J’en ai la conviction depuis toujours, les projets citoyens constituent une solution pertinente pour contribuer à ce développement en misant sur des dynamiques locales. Aujourd’hui, nous franchissons un cap : après des mois de travaux, le groupe de travail que j’avais lancé pour aller plus loin dans les projets à gouvernance locale a abouti à la feuille de route que nous publions aujourd'hui. Notre ambition est claire : multiplier par cinq d'ici 2028 le nombre de projets citoyens sur notre territoire. J'invite tous les acteurs à se saisir de ces mesures, déjà opérationnelles ou à déployer, pour faire de cet objectif une réalité concrète ».
Il y a 3 ans et 192 jours

Le bureau d’études Construire innove avec la géothermie sur plan d’eau

Descriptif du système de géothermie sur plan d’eauUn lac possède en hiver des températures de 7 à 8 °C au fond. Afin de pouvoir obtenir et exploiter cette chaleur il faut déposer et recouvrir des tubes de graviers pour favoriser l’incrustation de la vase. Au bout de 2 à 3 ans, la vase s’est installée. La température de fond augmente d’année en année de 4 à 5° C au début par la fermentation organique. Pour un coût 5 fois moins élevé que le forage sur les grandes puissances, on obtient des caractéristiques d'échange bien meilleures que celles d’un forage. On peut produire plus d’énergie par mètre de sonde que dans le cas d’un forage.Le PEHD est biocompatible car complètement inerte. Il ne se dégrade pas, ce qui dément le préjugé des plastiques polluants. Étant non biodégradable (la décomposition s’étale sur des millions d'années) une utilisation sur le très long terme est sans aucun risque et totalement respectueuse de l’environnement. Elle ne génère aucun déchet. Pour les zones à température hivernale très faible il peut être nécessaire de glycoler l'eau. Dans ce cas il faut utiliser du MPEG (monopropylène glycol) et non du MEG toxique et cher.Facilité juridique de mise en œuvre La règlementation des lacs est peu contraignante car il s’agit d’espaces favorables à l'environnement. Il n’existe aucune contrainte administrative en dessous de 1.000 m2 de surface. Jusqu’à 20.000 m2, une simple déclaration suffit. Au-delà il faut une autorisation. Pour un système de 80 kW, 1.000 m3 d'eau suffisent.Un exemple de réalisation et son avantage financier Un lac de 1.000 m3 coûte entre 5 et 10 k€ HT. Les échanges thermiques dans un lac ou sur un autre plan d'eau (bras de rivière ...) sont optimisés, si bien que la quantité de tubes à installer est bien moindre que pour des forages ou autres systèmes de captage par sonde. L'eau permet d'obtenir un coefficient d'échange entre les tubes et l’eau bien meilleur que celui issus du contact avec la terre dans le cas des sondes classiques. Seul le plastique du tube est isolant (idem avec les sondes standards). Le coefficient d'échange obtenu est de l'ordre de 14 W/m/K. Pour un cours d'eau ou de l’eau en mouvement ce coefficient est encore plus élevé. Avec une température de 7 à 8° C au fond, la puissance de captage est de plus de 97 W/m alors qu’elle serait de 50W/m avec un forage classique. Un forage par système de sondes verticales est environ 10 fois plus cher qu’un système de captage sur plan d’eau à caractéristiques de captage équivalentes. La seule contrainte est la nécessité d'avoir à minima 500 m2 de terrain. C'est malgré tout beaucoup moins que l’espace nécessaire pour un système de captage par sonde horizontale traditionnel.La société SUNDERMANN & SEYS Géothermie et son bureau d'études CONSTRUIRE rendent rentable la géothermie à partir de 10 k€ HT de dépenses annuelles de chauffage /climatisation. (Retour sur investissement hors subventions en moins de 5 ans). Ce seuil est vite atteint pour une grande majorité de bureaux et de projets particuliers d’envergure. Pour le bureau d’études CONSTRUIRE, les systèmes non rentables dans la durée ne devraient pas être considérés comme écologiques. Le coût hors subventions constitue un indicateur très fiable de l’énergie consommée à la production. Il ne faut pas oublier que les moyens humains ont un coût financier et écologique élevé. La géothermie permet de diviser par 5 la dépense en énergie pour le chauffage / climatisation, soit une réduction de 40% de la dépense énergétique globale. Les Suisses et les Suédois l'on comprit, 15% de leurs systèmes de chauffage fonctionnent selon ce système, contre quelques % en France.Le retour sur investissement (hors taxes et hors subventions) est assuré en moins de 5 ans.Une première mise en œuvre : L’école maternelle, l’école primaire, le collège et des locaux associatifs à Rambouillet ( réalisation en 2022) Le projet des établissements scolaires et locaux associatifs à Rambouillet a la particularité de se faire sur une friche industrielle. Ces bâtiments seront à énergie positive sur un site industriel abandonné pendant plus de 5 ans. Sur ce projet une installation de chauffage / climatisation et eau chaude sanitaire par géothermie sur plan d'eau sera réalisée. Il s'agit d'un système de 80 kW prévu pour chauffer 2.000 m2 de locaux de type ERP catégorie 5 et 400 m2 de locaux de type salle de danse pour les associations de la ville de Rambouillet. Il est prévu d'installer 1.000 mètres de tubes PEHD permettant de capter 97.14W/m dans le bassin pour le chauffage en hivers ou pour la climatisation des locaux en été.. L’utilisation de cette technologie permettra d'économiser au maitre d'ouvrage 180 k€ HT de forage sans aucune perte en qualité du système de chauffage / climatisation et ECS.Le recours à cette technologie alternative est une aubaine car la taille du terrain ne permettait pas l'installation de capteurs horizontaux et les contraintes règlementaires interdisaient l'utilisation de la ressource nappe phréatique. La solution retenue est donc la meilleure en tous points. Le projet permettra également une rénovation généralisée de tout le réseau de chauffage du bâtiment avec le remplacement de l'ancienne tuyauterie et l’installation de radiateurs en nombre suffisant pour assurer un chauffage à eau chaude à moins de 35°C. Cette température de l'eau de chauffage relativement basse permet l’optimisation maximale du rendement des pompes à chaleurs mises en place. Celles-ci fonctionneront avec un COP de 5. Le COP système général est estimé supérieur à 4.5 en moyenne. Le système fonctionnera à plein régime pendant 2.100 heures par an pour une énergie totale utile produite de 160 MWh et une énergie couteuse (l'électricité) consommée de 35 MWh. A moyen terme il est prévu d'améliorer encore les performances thermiques et écologiques du bâti par l'installation de panneaux solaires, d’éoliennes 20kW et de batteries électriques Tesla ou équivalent sur le terrain afin de produire et pouvoir stocker l'électricité nécessaire pour faire fonctionner les pompes et les autres consommateurs du bâtiment (ordinateurs et luminaires). Le développement de la géothermie par plan d’eau permet d’améliorer le rendement énergétique et la rentabilité de l'industrie de la construction. Avec les subventions de l'ADEME pour la géothermie, le retour sur investissement de ce chantier sera obtenu en moins d'un an.
Il y a 3 ans et 196 jours

Le SER salue les mesures gouvernementales pour accélérer le développement du photovoltaïque

Avec près de 1 800 MW raccordés sur les douze derniers mois, portant la capacité totale à plus de 12 GW à ce jour, la filière solaire française a démontré son fort dynamisme et sa capacité à changer d'échelle pour être à la hauteur des enjeux liés à la décarbonation de l'économie et la lutte pour le climat.Afin de tenir les objectifs que la France s'est fixés, la puissance du parc solaire devra être multipliée par trois dans la prochaine décennie et par au moins sept d'ici à 2050.Pour respecter cette trajectoire, il était nécessaire d'améliorer l'accès au foncier et de simplifier les procédures administratives. Le plan d'actions qui vient d'être annoncé ce jour par la ministre de la transition écologique Barbara Pompili va dans le bon sens et doit être salué.Les besoins en foncier de la filière photovoltaïque pour atteindre les objectifs de la Programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) sont estimés à moins de 30 000 hectares d'ici 2028, dans un pays qui en compte 55 millions. Paradoxalement, alors que la France est le plus grand territoire d'Europe, du fait des contraintes réglementaires qui s'imposent au solaire, il est difficile de trouver des terrains pour les centrales au sol : 51% du territoire est classé agricole, 40% est boisé et les développeurs doivent se concentrer exclusivement sur les 9% restants de sols artificiels qui par définition sont souvent occupés.Pour Xavier Daval, Vice-président du SER en charge de la filière solaire : « Les mesures présentées ce jour constituent un signal positif pour la filière. Nous soutenons en particulier les mesures de simplification administrative et celles qui permettront de valoriser les surfaces artificialisées ou dégradées. Mais nous devons aussi entamer une réflexion sur l'utilisation d'autres types de foncier, notamment agricole, afin d'atteindre les objectifs de la Programmation pluriannuelle de l'énergie ».
Il y a 3 ans et 197 jours

Le gouvernement veut encourager le développement du photovoltaïque

La loi climat et résilience d'août 2021 prévoit déjà d'installer des panneaux photovoltaïques sur les constructions nouvelles (bureaux, entrepôts, parcs de stationnement...) à partir d'une certaine surface. "On va le faire aussi maintenant sur des friches", a indiqué Barbara Pompili sur France Info."On a un potentiel de 8 gigawatts sur les friches qui aujourd'hui ne servent à rien sur lesquelles on peut mettre du panneau solaire", a ajouté la ministre.Un plan dévoilé mercredi doit permettre d'augmenter la part du photovoltaïque dans la production d'électricité en France, qui ne représentait qu'un peu plus de 2% en 2021."Aujourd'hui on est à 12 gigawatts. On a besoin d'ici 2028 de multiplier par trois les installations et d'ici 2050 de multiplier par au moins sept nos installations photovoltaïques", a précisé Barbara Pompili.Ce plan prévoit la publication d'un nouvel arrêté "pour attribuer un soutien public à des projets photovoltaïques de moins de 500 kW sans appel d'offres (...) afin de valoriser des terrains dégradés présentant des enjeux limités en termes de biodiversité et de paysage". "Une étude réalisée par l'Ademe et les services déconcentrés de l'Etat a permis d'identifier des friches susceptibles d'accueillir près de 8GW de panneaux photovoltaïques", précise le texte.Ce plan vise aussi à développer un millier de projets photovoltaïques sur du foncier public d'ici 2025.De plus, les procédures administratives sont allégées pour des projets de petite envergure, de moins de 300 kilowatts. "L'installation de panneaux photovoltaïques sur les bâtiments existants et les ombrières (dispositif destiné à faire de l'ombre: ndlr) de parking ne seront plus soumis à évaluation environnementale. Le seuil de cette évaluation pour les projets au sol de faible puissance sera également relevé pour tenir compte de l'évolution technologique des panneaux photovoltaïques", précise le texte.Entre 300 et 600 kilowatts l'évaluation se fera au cas par cas, a précisé le ministère."En cohérence et pour accompagner l'évolution des technologies (un projet de même surface représente une puissance beaucoup plus importante qu'il y a 10, voire 5 ans), le permis de construire ne sera plus requis pour les petits projets", selon le texte. "Une simple déclaration préalable de travaux sera nécessaire".Pour consulter le plan d'actions, cliquez ici
Il y a 3 ans et 199 jours

Sto dévoile sa nouvelle gamme de produits vertueuse AimS® à base d'huile de pin

En remplaçant 30% du liant hydrocarboné de ses produits par de l'huile de pin, le spécialiste de la façade contribue à préserver les ressources avec à la clé moins de consommation de pétrole, tout en maintenant la qualité reconnue des produits d'ITE Sto. L'huile de pin permettant cette substitution provient de restes de scieries et autres transformations du bois.Disponible à partir de février 2022, la nouvelle gamme AimS ® intègre un sous-enduit, un enduit de finition taloché et une peinture de façade, qui, ensemble, constituent le premier système ITE complet optimisé en termes de CO2.Une gamme pour « Bâtir en responsable »Fidèle à sa devise, Sto souhaite offrir à ses clients, qu'ils soient maîtres d'ouvrage, prescripteurs ou applicateurs, des solutions leur permettant de construire de manière durable et en toute conscience, tout en conservant d'excellentes performances et propriétés de mise en œuvre.Qualité, protection du climat et préservation des ressources sont les mots d'ordre de la nouvelle ligne de produits développée par Sto, baptisée AimS ® (Aim Sustainability = Objectif Durabilité).Avec sa gamme AimS®, Sto entend contribuer à établir durablement l'utilisation de produits et matériaux respectueux de l'environnement dans le secteur de la construction.« Pour développer AimS®, notre objectif était le suivant : les nouveaux composants ne devaient pas être obtenus en faisant concurrence à l'industrie alimentaire, ils ne devaient contenir ni éthanol, ni huile de palme et en aucun cas être associés au travail des enfants ou à de longues distances de transport. Avec un liant à base d'huile de pin, toutes ces conditions sont remplies : l'écorce de pin est un matériau résiduel produit en masse par l'industrie du bois. C'est de cette matière première que nous extrayons l'huile. En même temps, ses propriétés sont comparables à celles des liants hydrocarbonés. De cette manière, nous pouvons maintenir nos standards de qualité pour tous les produits AimS ® », souligne le département R&D du groupe Sto.Pourquoi 30% d'huile de pin ?Pour développer sa nouvelle gamme AimS®, Sto n'a pas souhaité faire de compromis sur la qualité. Si la proportion de matières premières renouvelables était plus importante, les produits seraient moins performants et leurs propriétés de mise en œuvre modifiées.StoTherm AimS®, le nouveau système d'ITE en faveur du développement durableStoTherm AimS® est le premier système complet constitué de plusieurs couches optimisées en matière de durabilité, qui, dès sa fabrication, permet d'économiser des hydrocarbures.En effet, l'enduit de base, l'enduit de finition, et même la peinture de façade, avec sa technologie Lotus-Effect®, sont fabriqués à partir de matières premières renouvelables et largement disponibles. L'isolant, quant à lui, est le Sto-Panneau en laine de roche, fabrique à partir de la roche, une matière première disponible en abondance.Concrètement, pour chaque projet, cela se traduit par l'économie de nombreux litres d'hydrocarbures (exemple : 173 litres de pétrole économisés sur un immeuble collectif pour 800 m2 de surface de façade). Sans faire de concession, les propriétés de mise en œuvre éprouvées et le rendu esthétique, qui sont la marque de fabrique des systèmes ITE StoTherm, restent inchangés. Tout comme leurs excellentes propriétés de protection contre les intempéries, les micro-organismes, les fissures et les sollicitations mécaniques.Autant de raisons qui ont valu au système StoTherm AimS ® d'être récompensé par le label environnemental « Ange Bleu » (Blauer Engel).StoTherm AimS® en un coup d'œilComposé à plus de 95% de matières premières renouvelables et disponibles en abondanceIdéal pour les immeubles de grande hauteur, les bâtiments publics et constructions hors normesRésistant aux fissures et aux chocsClasse de réaction au feu : A2-s1, d0 selon EN 13501-1Récompensé par le label environnemental allemand « Ange Bleu » (Blauer Engel)StoArmat Classic AimS®, le nouveau sous-enduit à empreinte carbone réduiteStoArmat Classic AimS est un sous-enduit organique et sans ciment fabriqué à partir de matières premières renouvelables et suffisamment disponibles. Il associe le respect de l'environnement à d'excellentes propriétés de mise en œuvre et de lissage.Sa résistance aux chocs est pratiquement imbattable : il absorbe des coups d'une puissance de 10 joules, correspondant à l'impact d'une boule de pétanque, sans qu'aucune fissure ne se forme. Avec une réaction au feu A2-s1,d0, les exigences les plus élevées de la protection incendie sont remplies.StoArmat Classic AimS® en un coup d'œil30% du liant est à base d'huile de pinRésistant aux fissures et aux chocsExcellent confort d'application, de lissage, lié à la qualité du grain employé.Exempt de solvantClasse de réaction au feu : A2-s1, d0 selon EN 13501-1Stolit AimS®, l'enduit de finition respectueux de l'environnementCôté enduit de finition, Stolit AimS® utilise des principes et des matériaux naturels sans biocides pour offrir une protection naturelle contre les algues et les champignons sur la façade.La proportion d'hydrocarbures dans le liant a été réduite : 30% ont été remplacés par la matière première renouvelable qu'est l'huile de pin. Enfin, l'enduit est exempt de solvant.Grâce à Stolit AimS® , la façade reste belle pour longtemps, la longévité restant toujours la solution la plus durable !Stolit AimS® en un coup d'œil30% du liant est à base d'huile de pinProtection naturelle contre la contamination d'algues et/ou de champignonsDiffusion élevée de la vapeur d'eau (classe V2)Exempt de solvantClasse de réaction au feu : A2-s1, d0 selon EN 13501-1StoColor Lotusan AimS®, la peinture naturellement innovanteReconnue pour ses propriétés autonettoyantes, la peinture de façade StoColor Lotusan, dotée de la technologie Lotus-Effect® , se décline désormais dans une nouvelle formulation intégrant l'huile de pin.StoColor Lotusan AimS® est composée à plus de 95% de matières premières renouvelables et/ou disponibles en abondance.StoColor Lotusan AimS® en un coup d'œilPeinture respectueuse de l'environnement (30% huile de pin, sans protection de film biocide)Peinture de façade innovante régulatrice d'humidité et autonettoyante grâce à sa technologie Lotus-Effect® et son excellente perméabilité à la vapeur d'eau Protège durablement contre l'encrassement végétalParticulièrement adaptée aux façades fortement exposées aux intempériesRallonge le délai entre 2 entretiens tout en conservant l'esthétique de la façadeEn tant que leader de l'isolation thermique par l'extérieur, Sto établit avec sa nouvelle gamme AimS ® de nouveaux standards écologiques, économiques et sociaux en termes de durabilité.
Il y a 3 ans et 206 jours

EAS SOLUTIONS MET EN LUMIÈRE L’EXTENSION D’ORLY 4 AVEC AÉROLUMAZ, UN LUMINAIRE LINÉAIRE LED CONÇU ET FABRIQUÉ EN FRANCE

AÉROLUMAZ, un luminaire linéaire LED conçu par EAS SOLUTIONS pour le Groupe ADP : Conçu et fabriqué en France, le linéaire LED AÉROLUMAZ offre une efficacité lumineuse de 120 lm/W, soit 40 à 50 % de plus que les traditionnels linéaires fluorescents. Par rapport à un produit LED standard, ce linéaire LED apporte un gain de 20% sur la consommation énergétique et une augmentation de la plage de variation de 40%. Il est équipé de la technologie DALI qui permet une gestion centralisée de l’éclairage et une gestion du flux lumineux en fonction de la lumière naturelle, grâce notamment aux capteurs de luminosité. Son driver séparé est conçu pour fonctionner 100 000 heures avec une plage de régulation allant de 1% à 100%, optimisant ainsi les dépenses en énergie. Auto-protégé et résistant aux microcoupures, il peut aussi fonctionner sur réseaux secourus ADP en 200 volt continu. Doté de LEDs très haut rendement, le luminaire AÉROLUMAZ possède un flux lumineux de 3600 lm, une puissance de 30W, un indice de rendu de couleur (IRC) de 80, une température de couleur de 4000K et une durée de vie de 54 000 heures. D’une longueur de 120 cm, il est robuste (réflecteur et corps en aluminium) et réparable. Ce linéaire LED est conçu pour fonctionner sans limite de durée d’utilisation (24H/24) à des températures allant de -20° à +50°C. Il permet, grâce à la variation, d’économiser plus de 80 % d’énergie et est garanti 5 ans. Le luminaire LED avec réflecteur AÉROLUMAZ, dont la photométrie particulière est certifiée Piséo, a été développé en fonction des exigences techniques et architecturales du Groupe ADP. Il apporte un grand confort visuel aux usagers sans éblouissement (risques photo biologiques GR0). Application : Mise en lumière de la nouvelle extension d’ORLY 4 : Crédit photo Groupe ADP La nouvelle extension de la zone internationale « Départs » d’Orly 4 avec sa lumineuse salle d’embarquement quasiment transparente d’une superficie de 2 500 m2, bénéficie d’un éclairage 100% LED. Cette réalisation, opérationnelle depuis juin dernier, s’étend sur 50 000 m2, dont 27 000 m2 en extension et 23 000 m2 en réaménagement de la zone existante. Elle comprend un système de tri bagages ainsi que des zones de débarquement et d’embarquement avec accès directs aux postes avions. Afin de mettre en lumière ce nouvel ouvrage conçu avec des matériaux nobles tels que la pierre, le verre et le bois, le Groupe ADP qui souhaite encore améliorer son empreinte carbone, a choisi la solution d’éclairage LED d’EAS SOLUTIONS, à savoir un nouveau linéaire LED avec réflecteur qui allie un haut rendement lumineux à une faible consommation énergétique pour un éclairage LED optimal. Après environ deux années d’études techniques du produit incluant notamment validation du flux lumineux et de la consommation puis la validation esthétique, EAS SOLUTIONS a procédé à la fabrication des 1368 luminaires LED que compte cette réalisation. A propos d’EAS Solutions EAS Solutions, spécialiste des éclairages LED professionnels, innove avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligent. EAS Solutions sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 3 ans et 206 jours

Un ministère de la Culture aux superpouvoirs : rêve ou cauchemar de l’architecte ?

Dubois l’architecte regrette de n’être pas magicien. Ethel Hazel, psychanalyste, se demande si tout tueur en série est affecté du syndrome de toute-puissance. Ainsi que tout architecte ? L’inspecteur Nutello découvre que les abysses sont pleines d’impasses. *** « L’architecture est une sorte d’oratoire de la puissance au moyen de formes ». Nietzsche*** Ding Dong L’architecte, exactement à […] L’article Un ministère de la Culture aux superpouvoirs : rêve ou cauchemar de l’architecte ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 206 jours

Nouvelles découpeuses polyvalentes d’Husqvarna

Les nouvelles découpeuses polyvalentes K 770 et K 970 d’Husqvarna Construction France améliorent la sécurité de l’opérateur lors de la découpe de matériaux (blocs béton, briques, asphalte, tuyaux, murs, …). [©Husqvarna Construction France] Les nouvelles découpeuses polyvalentes K 770 et K 970 d’Husqvarna Construction France sont équipées de la technologie SmartGuard. Elles réduisent la probabilité d’accidents ou de blessures graves en cas de rebond. Puissantes, elles sont dotées de fonctionnalités qui garantissent une efficacité et des performances optimales. Grâce à un carter de protection de disque qui assure un fonctionnement continu et un système de freinage intégré, elles améliorent la sécurité de l’opérateur lors de la découpe de matériaux (blocs béton, briques, asphalte, tuyaux, murs, …). En effet, en cas de rebond, le sur-carter se déploie et protège l’utilisateur. La conception du carter a été pensée pour améliorer la technique de coupe, en incitant l’utilisateur à commencer à travailler par la partie basse du disque. Légères, avec un bon rapport poids/puissance (10 kg/3,7kW et 11,9 kg/4,8 kW), elles sont aussi dotées d’un système anti-vibration. Ainsi que du système semi-automatique SmartTension, qui minimise le risque de sous et sur-tension de la courroie. D’une profondeur de coupe de 125 mm au maximum, les découpeuses K 770 et K 970 sont adaptées à tout type d’applications, y compris dans les espaces confinés. Elles sont compatibles avec tous les disques diamantés Husqvarna de 350 mm de diamètre.
Il y a 3 ans et 218 jours

Photovoltaïque : le cumul des aides de l'État et des collectivités n'est plus possible

RÉGLEMENTATION. L'arrêté ministériel exonérant d'appels d'offres les centrales solaires dont la puissance est inférieure à 500 kilowatts prohibe également le cumul des aides de l'État et des collectivités territoriales pour le développement de ces projets. Un autre aspect du texte épinglé par des élus locaux et par certains acteurs du secteur.
Il y a 3 ans et 219 jours

Intersolar 2021 : multiplication des solutions de stockage d’électricité

Tous les fabricants d’onduleurs, ou presque, ajoutent des offres de stockage d’électricité. Tandis que les spécialistes du stockage multiplient les solutions domestiques et de grande puissance.
Il y a 3 ans et 219 jours

Les découpeuses k770 et k970 d’husqvarna construction france, une sécurité pour l’opérateur sur chantier

Afin de fournir aux utilisateurs la meilleure et la plus sûre expérience de découpe de matériaux durs et abrasifs (blocs béton, murs, …), Husqvarna Construction France lance les nouvelles découpeuses polyvalentes K 770 et K 970. Equipées de la technologie SmartGuard, elles réduisent la probabilité d’accidents ou de blessures graves en cas de rebond. Puissantes, elles sont dotées, en plus, de fonctionnalités qui garantissent une efficacité et des performances optimales. Pour un fonctionnement encore plus sûr Grâce à un carter de protection de disque qui assure un fonctionnement continu et un système de freinage intégré, les découpeuses K 770 et K 970 SmartGuard améliorent la sécurité de l’opérateur lors de la découpe de matériaux (blocs, briques, asphalte, tuyaux, murs, …). En effet, en cas de rebond, le sur-carter se déploie et protège l’utilisateur. La conception du carter a été spécialement pensée pour améliorer la technique de coupe en incitant l’utilisateur à commencer à travailler par la partie basse du disque. En plus de réduire le risque de rebond, elle permet une inspection visuelle et facile de l’état du SmartGuard pour garantir son bon fonctionnement. D’une profondeur de coupe de 125 mm maximum, les découpeuses K 770 (https://bit.ly/HCF_K770) et K 970 (https://bit.ly/HCF_K970) SmartGuard sont adaptées à tout type d’applications y compris dans les espaces confinés. Démarrage aisé, manipulation confortable et fiabilité Légères, compactes et puissantes avec un remarquable rapport poids/puissance (10 kg/3.7 K.w et 11,9 kg/4.8 K.w selon le modèle), les découpeuses K 770 et K 970 SmartGuard offrent un démarrage facile et fiable. Dotées d’un système anti-vibration sur l’ensemble de la machine, elles contribuent à réduire la fatigue, à optimiser le confort et la productivité. A l’image de la célèbre découpeuse K 770, les modèles K 770 et K 970 SmartGuard bénéficient du système semi-automatique SmartTensionTM qui minimise le risque de sous et sur-tension de la courroie. Celui-ci assure également une transmission optimale de la puissance, ainsi qu’une usure minimale et une durée de vie maximale de la courroie. Les découpeuses K 770 et K 970 SmartGuard sont compatibles avec tous les disques diamantés Husqvarna Construction France de 350 mm de diamètre. http://www.husqvarnacp.com/fr
Il y a 3 ans et 219 jours

CAIB devient WIBAIE à partir du 1er janvier 2022

Ce nouveau nom reflète l’évolution de CAIB, entreprise résolument moderne et connectée, toujours en phase avec son ADN : concevoir et fabriquer des fenêtres, baies et portes d’entrée multi-matériaux (aluminium, PVC, Bois-alu et acier) pour le secteur de la Distribution Bâtiment & Bricolage (négoces, GSB et réseaux spécialisés). Ce changement intervient moins d’un an après la fusion de l’ensemble des marques sous le nom unique CAIB (mars 2021). Par ailleurs, WIBAIE est le nom de la première baie coulissante intelligente et connectée, lancée en juin 2020.Devenant WIBAIE, CAIB changera aussi d’identité visuelle et de charte graphique sur l’ensemble de ses outils de communication et de vente (site Web, documentations, etc.). 2022 sera également porteuse de lancements majeurs de nouveaux produits (gamme pvc, portes d’entrée…) et d’importants investissements sur ses sites (nouvelle ligne PVC, agrandissement de l’usine Alu, et nouveaux bureaux).« Nous avons été capables d’anticiper les grandes mutations du marché et du comportement des clients pour nous transformer profondément. Ces dernières années, CAIB a relevé le défi du numérique et inventé de nouveaux services, imaginé des produits plus esthétiques et ergonomiques, plus performants techniquement et toujours plus automatiques et connectés. Sur le plan industriel, notre puissance et notre efficacité se sont renforcées et notre effort d’investissement va se poursuivre et s’accentuer. Nous ouvrons une nouvelle page de l’histoire de l’entreprise avec toujours l’ambition d’être une vraie référence de notre métier ! » Patrice Bondy, Directeur Général de WIBAIE« Avec l’aide de ses clients, partenaires et salariés, CAIB continue de préparer l’avenir du métier de la fabrication et distribution des fenêtres et portes. Le nom WIBAIE est plus explicite de notre univers métier que le précédent ! Et choisir le nom d’une innovation produit, lancée il y a deux ans, est un clin d’œil sympathique à l’histoire du groupe Liébot, car je me souviens que K LINE et MéO étaient eux aussi des produits innovants avant de devenir des noms d’entreprises. » Bruno Leger, Directeur Général du Groupe LiébotNouveau nom et nouvelle identité graphiquePour symboliser et célébrer cette étape-clé dans l’histoire de l’entreprise, WIBAIE fait le choix d’une nouvelle identité. Le logo allie modernité, design et sobriété, à l’image des produits, tout en conservant les couleurs historiques de l’entreprise.Pour Edith Chouteau, Responsable Marketing Opérationnel et Communication : « WIBAIE identifie clairement l’activité de l’entreprise. Le mot BAIE désigne la fabrication de menuiseries, notre activité, et le WI illustre nos efforts de développement pour concevoir des produits innovants en phase avec les attentes nouvelles du marché et l’appétence des solutions connectées qui apportent confort et sécurité ».
Il y a 3 ans et 220 jours

L'OPPBTP développe les solutions digitales de prévention pour accompagner toutes les entreprises du BTP

Dans ce contexte, l'organisme joue un rôle prépondérant pour anticiper les grandes transformations du BTP et aider les professionnels à évoluer avec elles. Parmi ces transformations, la digitalisation du secteur, que la crise sanitaire a par ailleurs accéléré, tient une place majeure.L'OPPBTP se positionne depuis plusieurs années comme un véritable moteur pour accompagner et accélérer cette transition au service de la prévention des professionnels.En faisant du digital l'un des cinq programmes prioritaires de son plan stratégique quinquennal Horizon 2020, l'OPPBTP a pris le sujet à bras le corps. Depuis plus de 5 ans, l'organisme développe un écosystème digital complet au service de la prévention, pour proposer à l'ensemble des professionnels du BTP des solutions qui portent leurs fruits. Compte tenu de l'usage du site PreventionBTP.fr par les professionnels, l'OPPBTP joue un rôle d'observatoire et est en mesure de décrypter, grâce aux datas recueillies par les outils digitaux, les préoccupations, centres d'intérêts et profil des professionnels du BTP vis-à-vis de la prévention des risques. Au vu de l'utilisation de la plateforme ces 5 dernières années, il ressort notamment que les préoccupations principales des professionnels concernent le pilotage de la prévention dans l'entreprise, suivi par la co-activité et le PPSPS. Du fait de la crise sanitaire, le risque biologique et épidémique arrive en troisième position, devant le risque amiante et le risque de chute de hauteur. On observe également une consommation de l'information en journée principalement, lorsque les professionnels sont en situation de travail, et une progression du visitorat sur mobile (31% du visitorat global début 2021 contre 16% en 2017).L'OPPBTP a également entièrement réinventé, avec l'aide des acteurs du secteur, preventionbtp.fr, la plateforme reconnue de prévention du bâtiment et des travaux publics. Son nouveau socle technologique, basé sur l'exploitation de la data, permet à l'OPPBTP d'affiner ses connaissances des acteurs du secteur et de proposer une offre d'outils et services au plus près des préoccupations réelles des entreprises du BTP. Grâce à de nombreux services, des contenus illustrés et une navigation entièrement personnalisée, chaque visiteur peut retrouver au fil de sa navigation des solutions et des conseils adaptés, immédiatement applicables sur le terrain ou dans son entreprise. Cette nouvelle expérience digitale permet ainsi aux professionnels d'améliorer leur culture prévention et les incite à passer rapidement à l'action.« Permettre d'engager facilement des actions de prévention et bénéficier d'un accompagnement personnalisé : tel est l'objectif majeur que l'OPPBTP compte atteindre grâce au digital. L'intérêt croissant que les professionnels ont pour ces solutions innovantes, dès lors qu'il s'agit d'outils simples, bien conçus et adaptés à leurs besoins, démontre le bien-fondé de cette stratégie qui participe à l'avancée de la prévention dans le BTP. Par ailleurs, le digital a encore une fois démontré toute sa puissance d'impact tout au long de la crise sanitaire. Il a facilité la coopération des acteurs pour élaborer le Guide de préconisations sanitaires et a permis de le diffuser massivement, puis de le mettre en œuvre à l'échelle nationale pour aider les professionnels à traverser une crise et des problématiques sans précédent. » Paul Duphil, Secrétaire général de l'OPPBTP.
Il y a 3 ans et 221 jours

L'intérêt des Français pour l'immobilier ne faiblit pas, porté par l'envie de plus d'espace et de confort

Avec la généralisation du télétravail, les projets immobiliers s'organisent autour de nouvelles attentes : gagner de l'espace et se rapprocher de la nature pour gagner en confort de vie. Le critère de la luminosité monte lui aussi en puissance : les confinements de 2020 ont clairement laissé des traces ! Alors que beaucoup d'actifs naviguent désormais la semaine entre leur bureau et leur domicile, l'intérêt pour les résidences semi-principales se renforce. Une dynamique qui profite largement aux villes moyennes et aux environnements ruraux, mais annonce surtout un nouveau volume record de transactions dans l'immobilier ancien, qui pourrait même battre celui de 2019, meilleure année de tous les temps !Une demande boostée en région et des maisons faisant l'objet de convoitisesSur les 9 premiers mois de l'année 2021, la demande progresse de 18% au national. Si cette augmentation est à relativiser au regard d'une année 2020 chaotique, elle confirme pourtant l'appétence bien réelle des Français pour la pierre. Les investisseurs, qu'ils soient aguerris ou néophytes, profitent pleinement de taux d'intérêt autour de 1% sur 20 ans. Les Français restent très actifs et recherchent cette valeur refuge qui semble hermétique à la crise. La demande pour les maisons progresse fortement (+18% au national) par rapport aux appartements (+10%), traduisant l'envie des Français de gagner en surface et de disposer d'un extérieur.Paris renoue avec la croissance après une année 2020 plutôt calme, avec une demande en hausse de 12%. L'Île-de-France confirme quant à elle son dynamisme (+13%), notamment la seconde couronne où l'offre de maisons est encore abondante. Dans les régions, on observe un phénomène similaire : les acquéreurs s'éloignent des grandes métropoles pour rejoindre la périphérie, où ils vont chercher de l'espace, de la verdure et du calme. Au sein des agences Laforêt, beaucoup de candidats à l'achat expriment leur envie de cultiver leur potager pour gagner en autonomie et en qualité alimentaires, reflétant de nouvelles aspirations. Après la qualité énergétique il y a quelques années, c'est donc désormais un gain de confort qui est recherché.Une offre qui régresse encore sur un marché déjà très tenduAu national, l'offre de biens disponibles à la vente régresse de 18%. Une tendance qui s'explique par deux phénomènes concomitants : d'un côté, des primo-accédants qui n'ont pas de logement à mettre sur le marché ; de l'autre côté, des propriétaires de maison ou d'appartement avec terrasse ou jardin, qui finalement hésitent à quitter une situation déjà confortable.Sur Paris, toutefois, l'offre semble se reconstituer progressivement (+24%), mais cette hausse ne représente en réalité que quelques biens supplémentaires par agence. Cette évolution est notamment due à la remise sur le marché de meublés touristiques dans les grandes métropoles, où les touristes peinent encore à revenir.En Île-de-France, l'offre est atone (0%). Les maisons marquent un léger recul de 6 % tandis que les appartements progressent (7%), rééquilibrant le marché. Enfin, les régions illustrent là encore leur dynamisme, avec une offre qui régresse de 26% sur les 9 premiers mois de l'année. Les agences immobilières n'ont jamais eu aussi peu de biens à proposer et le marché est en flux tendu, notamment sur les maisons individuelles.Vers une nouvelle année record des transactionsSi le nombre de transactions augmente de 23% sur les 9 premiers mois de l'année vs 2020, ce qui semble logique après une année compliquée, il est intéressant de constater qu'elle progresse également de 12% par rapport à 2019, année de tous les records dans l'immobilier ancien. Les ventes s'accélèrent tant sur les maisons que sur les appartements. L'investissement locatif stimule l'achat de petites surfaces, avec des primo-accédants qui veulent aussi profiter des conditions de financement exceptionnelles.Paris retrouve des couleurs, avec une activité positive par rapport à l'an dernier (+27%), notamment sur les 3 derniers mois. La progression du volume de ventes en Île-de-France est en ligne avec la dynamique nationale (+23%), tandis que les régions sont elles aussi très actives (+22%). Partout, les rotations sont néanmoins freinées par un stock de biens appauvri.Une augmentation des prix régulière, sauf à ParisD'une manière globale, les prix au m2 enregistrent une légère accalmie, mais continuent toutefois de progresser avec +4,9% au national, à 3 345 €/m2. Si l'euphorie du premier semestre s'est un peu estompée durant l'été, l'effet de rareté soutient la hausse avec des maisons qui en portent l'essentiel (+7,1% vs +4,3% pour les appartements).En région, les prix s'emballent : la hausse globale est de 7,3% (à 2 398 €/m2), voire de 8,3 % pour les maisons ! Cette évolution est liée à l'arrivée de citadins au pouvoir d'achat élevé qui n'hésitent pas à acheter au prix fort le bien auquel ils aspirent.À Paris, la baisse constatée l'an dernier s'amortit (-0,8% à 10 430 €/m2). Une situation qui s'explique notamment par un marché parisien toujours privé de sa clientèle internationale. En Île-de-France, on constate l'exact inverse de ce qui se passe en région. Si les prix progressent de 4,3% en moyenne (à 4 543 €/m2), cette hausse concerne davantage les appartements (+4,6%) que les maisons (+3,8%). Il semble que nous ayons atteint un palier, avec des acquéreurs qui ne peuvent plus s'aligner ou qui n'ont plus la volonté d'acheter à n'importe quel prix.Délais de vente : un recul jamais vu !Les délais de vente, c'est-à-dire le temps entre la mise en vente et la vente effective du bien, régressent de 2 semaines au national (14 jours), passant sous la barre des 80 jours, à 78 jours. Les acheteurs sont conscients que le secteur immobilier échappe à la crise et se décident vite. Et c'est encore une fois en région que la tendance est la plus marquée, avec une chute de 18 jours par rapport aux 9 premiers mois de 2020, et même de 22 jours par rapport à la même période en 2019, passant à 81 jours : une situation jamais vue ! Les projets, quels qu'ils soient (investissement locatif, résidence semi-principale ou principale, etc.), sont au rendez-vous !Le délai de vente accélère également en Île-de-France, perdant 13 jours en 12 mois, pour s'établir à 63 jours. Paris préserve sa réputation de marché fluide, mais marque néanmoins le pas avec un délai de 75 jours (-2 jours) qui varie peu par rapport à l'an dernier alors qu'il était de 59 jours en 2019 !Des négociations qui se montrent relativement stablesLa négociation sur le prix à la vente évolue peu par rapport à 2020. Elle est en moyenne de 4,5% (-0,10 point) au national. La pression reste néanmoins forte sur les acquéreurs, qui ont peu de temps pour se positionner et donc pour négocier. À Paris, l'écart entre les prix de vente et d'achat stagne à 2,90% (0 point vs 2020). Il en va de même pour l'Île-de-France (2,80%, soit -0,7 point), qui a toutefois perdu 1 point de capacité de négociation par rapport à 2019 (3,80%). En région, là aussi, la discussion reste équivalente à ce qu'elle était à la même période l'an dernier, soit un écart de 4,70% (-0,40 point).ConclusionIl est fort probable que l'on se dirige vers une nouvelle année record, après celles de 2018, 2019 et 2020. Le marché de l'immobilier ancien est définitivement le grand gagnant de l'après-Covid-19. La volonté d'une partie de la population d'exercer son activité en télétravail plusieurs jours par semaine se traduit concrètement par des acquisitions de surfaces plus grandes à l'extérieur des grands centres urbains.L'inflation qui se dessine, et qui pourrait s'accompagner d'une remontée progressive des taux d'intérêt, reste néanmoins à surveiller. Tout comme l'augmentation des coûts des travaux de rénovation énergétique liée à un prix des matières qui s'envole et sera peut-être un frein à l'accession ou à la location dans les mois à venir.Le secteur de la construction neuve, à la peine du fait d'une indisponibilité de matériaux, mais aussi de certaines décisions locales qui limitent le nombre de chantiers, conduit les investisseurs à s'orienter vers l'ancien, créant une pression plus forte sur les prix. Reste enfin à savoir si l'engouement actuel des Français pour les résidences semi-principales et rurales sera durable. Les néoruraux trouveront-ils ce qu'ils sont venus chercher à la campagne ou regretteront-ils, après un premier hiver, leur vie citadine ? Rendez-vous dans quelques mois pour le savoir…
Il y a 3 ans et 223 jours

Barbara Pompili multiplie par cinq le seuil permettant d'installer des projets photovoltaïques sur bâtiment sans appel d'offres

C'est dans cette perspective que la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a signé un arrêté facilitant le développement des projets sur grandes toitures. Avec cet arrêté, tous les projets de moins de 500 kW, soit 5 000m² de surface, auront directement droit à un tarif d'achat sans avoir besoin de passer par un appel d'offres (contre un seuil fixé à 100kW jusqu'à présent).Cette mesure simplifiera l'installation de grandes surfaces de panneaux sur des terrains déjà bâtis – par exemple sur les toits de bâtiments agricoles, d'entrepôts, de centres commerciaux – tout en limitant la consommation d'espace naturel et l'artificialisation des sols.Cet arrêté prévoit également la mise en place d'un bonus tarifaire pour l'intégration paysagère, visant l'installation de tuiles photovoltaïques.Ces mesures complètent les actions récentes du Gouvernement en faveur du photovoltaïque :Comme proposé par la Convention citoyenne pour le climat, la loi climat et résilience a étendu à certains nouveaux immeubles de bureau l'obligation de disposer de toits végétalisés ou de panneaux PV sur les hangars et entrepôts, et a abaissé ce seuil à 500 m² d'emprise au sol pour ces derniers.Les nouveaux parkings extérieurs de plus de 500 m² devront de plus s'équiper d'ombrières équipées de panneaux photovoltaïques ou accueillir des arbres ou des dispositifs végétalisés.Afin de soutenir les projets, le MTE a publié cet été de nouveaux appels d'offres en faveur des projets photovoltaïques, à hauteur de 1850 MW/an pour le PV au sol, 1100 MW/an pour PV sur bâtiment, 140 MW/ an pour le PV innovant et 150 MW par an pour les projets en autoconsommation.Barbara Pompili se félicite de la bonne croissance de la filière photovoltaïque : « Les efforts que le Gouvernement a entrepris ces dernières années en faveur de l'énergie solaire commencent à porter leurs fruits ! Plus de 3 GW d'énergies renouvelables électriques ont été raccordées au réseau français sur les douze derniers mois. Sur les 6 premiers mois de l'année, 1 300 MWc de projets photovoltaïques ont été raccordés, soit plus qu'au cours de chaque année depuis 2012. Pour accélérer encore, tout en luttant contre l'artificialisation des sols, il fallait faciliter l'installation de panneaux sur toitures. C'est ce que le Gouvernement fait avec cet arrêté. Vous êtes propriétaire d'un grand bâtiment ? Vous voulez installer des panneaux solaires et vendre cette énergie décarbonée sur le marché à un tarif garanti ? Jusqu'à 500kW de puissance contre 100 auparavant, plus besoin de passer par un appel d'offres. C'est un formidable levier de croissance pour le solaire.»
Il y a 3 ans et 224 jours

Photovoltaïque : l'arrêté exonérant d'appels d'offres certaines centrales est paru

DÉVELOPPEMENT. Attendu depuis longtemps par la filière, l'arrêté exonérant d'appels d'offres les centrales solaires de moins de 500 kilowatts a été signé par la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili. Une décision qui devrait dynamiser le photovoltaïque, alors que la puissance totale du parc électrique renouvelable a encore progressé, fin juin, de 6% sur un an.
Il y a 3 ans et 224 jours

Sophie Doré : Les pieds dans le béton

Sophie Doré sillonne le Grand-Est avec son nouveau Arocs 3240 8×4 d’une puissance de 290 kW/396 ch [©Mercedes-Benz Trucks France] Sophie Doré travaille sur toute la région du Grand-Est, ainsi que sur une partie de la Bourgogne. Son rôle ? Ravitailler les chantiers avec l’aide de ses camions, tous carrossés en toupie à béton, dont le Arocs 3240 8×4 d’une puissance de 290 kW/396 ch. Passionnée par son métier, elle y a été bercée dès son enfance. « Les camions ? Je suis née dedans ! J’ai commencé comme assistante de mon père qui avait une entreprise de terrassement. » Tel père, telle fille : quand il a pris sa retraite, elle n’a pas hésité à reprendre le flambeau. A la tête des Terrassements de Champagne, maintenant spécialisé dans le béton, Sophie Doré exerce sa fonction depuis 10 ans, pour le plus grand bonheur des compagnons sur les chantiers. « Sur les chantiers, les gens sont contents de me voir : je suis pour eux un rayon de soleil ! ».  A la conquête du Grand-Est Le quotidien de la jeune femme n’est pourtant pas de tout repos. En effet, son métier se divise en 2 parties. D’un côté, elle ravitaille les chantiers avec ses camions, avec 4 chauffeurs sous sa direction. Qu’elle sait remplacer lorsqu’ils ne sont pas disponibles. D’un autre, Sophie Doré gère les contrats de ses clients. Clients qui ont d’ailleurs augmenté avec la campagne de communication de Mercedes-Benz Trucks France. Lire aussi : Haute-Saône : Une année de développement durable pour LD Contrôles « Mettre en avant Sophie Doré lui a fait gagner en visibilité, explique Olivier Amélineau, responsable presse et relations publiques de Mercedes-Benz France. Nos publications sur les réseaux sociaux lui ont permis de récupérer une belle liste de contacts. » La marque a voulu mettre en lumière les femmes dans un milieu où les hommes sont plus nombreux. Elle propose des formations gratuites pour montrer les spécificités de ses véhicules. Ainsi, Sophie Doré sillonne les routes de France, à la conquête du Grand-Est.
Il y a 3 ans et 225 jours

A Obernai, Hager monte en puissance

Sur son site alsacien, le groupe de matériel électrique construit un nouveau laboratoire de puissance électrique à hauteur de 15 millions d'euros.
Il y a 3 ans et 225 jours

Proximus teste avec succès à Bruxelles une nouvelle antenne en verre d'AGC pour une meilleure connectivité

L'antenne en verre WAVEATTOCH a été conçue pour s'installer directement sur les façades vitrées. Une fois mise en place, elle contribue à améliorer la couverture et la capacité des réseaux mobiles, y compris les réseaux 5G. Les résultats des tests ont montré que cette solution innovante peut contribuer à répondre à la demande croissante d'accès Internet mobile à haut débit, principalement en milieu urbain.Proximus lance une plate-forme d'innovation dédiée au 5G sur laquelle l'opérateur entend collaborer avec différents acteurs du marché tels qu'AGC afin de développer des solutions novatrices capables de répondre aux besoins actuels de la société et des entreprises. Proximus entend ainsi accélérer le déploiement du 5G et garantir la stabilité autant que la qualité de la connectivité mobile à un moment où la consommation mobile de données croît de façon exponentielle. Les opérateurs mobiles font face à de nombreux défis. Pour la demande de débits plus élevés et de latence plus faible, le développement de nouveaux réseaux, dont le 5G, appelle l'installation d'un plus grand nombre d'antennes. Trouver de nouveaux sites pour l'installation d'antennes est toutefois une gageure étant donné la multitude de sites déjà occupés, tout particulièrement dans des centres urbains denses tels que Bruxelles. Les limitations actuelles en matière d'EMF empêchent d'ajouter des antennes aux sites existants. Les toits et les murs de nombreuses habitations et immeubles dans les centres urbains sont d'ailleurs déjà truffés d'antennes, de câbles et de transmetteurs apparents – une situation peu désirable. Proximus et AGC ont uni leurs forces pour montrer l'efficacité et les excellentes performances de WAVEATTOCH, une nouvelle antenne en verre mise au point par AGC. S'intégrant parfaitement aux façades des immeubles, l'antenne WAVEATTOCH peut de plus être déployée rapidement et à faible coût par les opérateurs en raison de sa simplicité d'installation. En outre, la nouvelle antenne en verre est transparente et s'installe à l'intérieur (tout en offrant une couverture à l'extérieur), s'insérant discrètement et harmonieusement dans l'environnement urbain alentour. Tout cela fait du dispositif transparent WAVEATTOCH une alternative de choix aux antennes apparentes dans les centres des villes afin de mettre des services de données mobiles plus efficaces et plus rapides à la disposition d'un plus grand nombre de personnes.L'antenne WAVEATTOCH se prête à la plupart des fréquences de télécommunication utilisées en Belgique pour les différentes génération de réseau (2G, 3G, 4G, 5G). À côté de WAVEATTOCH, AGC a également mis au point les technologies GIL (Glass Interface Layer) et WAVETHRU, ce qui permet l'installation des antennes WAVEATTOCH sur des façades à vitrage isolant de tout type et garantit le respect des limites réglementaires en matière d'émissions EMF. Bernard Monville, Head of WAVE Venture, explique : « Les antennes en verre peuvent être installées à des hauteurs inférieures et demandent moins de puissance de transmission pour couvrir les zones urbaines à forte densité. Proximus peut ainsi répondre aux normes EMF. »L'antenne en verre testée sur la Tour Proximus est une antenne 5G (3,7 GHz, 4x4 MiMo) connectée au réseau 5G de Proximus. Elle a été développée au Centre de recherche d'AGC à Gosselies en Belgique, un laboratoire ultra-moderne où sont notamment développées et testées des verres à antennes intégrées (pour le bâtiment et l'automobile) destinées à répondre aux besoins croissants en connectivité. Geert Standaert, Chief Technology Officer chez Proximus, indique : « Nous allons poursuivre nos tests avec AGC, car le potentiel de ces produits en agglomération, en milieu urbain dense et dans les espaces intérieurs semble très prometteur. Nous comptons bien lancer de nouveaux projets à l'avenir. »
Il y a 3 ans et 225 jours

Hager Group accélère sa transformation

Sur son site d’Obernai, le groupe concrétise un investissement clé et innovant avec la construction d’un nouveau laboratoire de puissance électrique à hauteur de 15 millions d’euros. ©Hager Group Hager Group consolide son ancrage territorial en matière de R&D et d’innovation. L’entreprise accélère sa transformation en réponse à de fortes ambitions sur le marché des bâtiments tertiaires, en France comme à l’international. Le nouveau laboratoire, un banc d’essai de court-circuit basse tension, permettra de développer et valider des disjoncteurs et des systèmes de distribution de forte puissance (appareillages de protection et armoires électriques). Parmi les plus puissants en Europe « Ce laboratoire complète notre savoir-faire en matière d’innovation, de technique et de R&D. Il sera le plus performant du Grand-Est et l’un des plus puissants en Europe. Cet investissement de 15 millions d’euros positionne notre site industriel d’Obernai comme un centre d’excellence de référence » explique Franck Houdebert, Directeur des ressources humaines Hager Group et membre du directoire. Il intégrera notamment un alternateur de forme cylindrique de plus de 7 mètres de long et 3 mètres de diamètre, pesant plus de 100 tonnes et capable de générer un courant de court-circuit de 150 000 ampères. Concrètement, cela permet de multiplier par 15 le courant de court-circuit et la durée de l’essai par rapport à ce qui existe actuellement. La pose de la première pierre, le 22 septembre 2021, a donné le coup d’envoi opérationnel du chantier. Mise en service au début de l’année 2023. Un centre d’excellence ouvert sur l’extérieur « Ce projet stratégique consolide l’ancrage de Hager Group à Obernai, où le centre de R&D compte plus de 150 ingénieurs. Il ouvrira également ses infrastructures aux clients externes qui pourront bénéficier de moyens d’essais performants et de l’appui de nos experts. La proximité avec les écoles et les universités favorisera également la création de synergies et de partenariats » commente Jean-François Bonnardot, directeur R&D Hager Group. Franck Houdebert, Directeur des ressources humaines groupe de Hager Group, accompagné de Jean Rottner, Président de la Région Grand-Est, en train de poser la première. ©Hager Group
Il y a 3 ans et 226 jours

Stellantis Sochaux contruit l'une des plus grandes centrales solaires en ombrières de France

Le projet prévoit l'installation de près de 64.000 modules photovoltaïques sur le parking des expéditions de l'usine sochalienne, qui peut accueillir jusqu'à 10.000 véhicules, sur une surface de 22 hectares particulièrement bien ensoleillée, ont précisé les mêmes sources.La centrale développera une puissance de 29 mégawatts-crête (MWc), soit l'équivalent de la consommation électrique annuelle de 13.300 habitants, ou de 30% de l'usine Stellantis de Sochaux, ajoute-t-on.Les panneaux photovoltaïques sont installés par l'énergéticien Engie Green, qui prendra en charge l'investissement de 36 millions d'euros et assurera l'exploitation pendant 30 ans. L'électricité produite sera ensuite livrée sur le réseau d'Enedis en 20.000 volts.Le chantier a débuté en septembre 2020 et la mise en service totale de la centrale est prévue en octobre 2022. Il s'agit de l'un des plus importants projets de centrale photovoltaïque en ombrières en cours en France, qui permettra d'éviter l'émission de 1.000 tonnes de CO2.C'est un projet "emblématique" par l'importance de la surface disponible pour l'installation des ombrières qui abriteront les véhicules, a estimé lors d'une conférence de presse sur le site Christine Lafaix, directrice chez Engie Green, leader français sur l'activité éolienne et photovoltaïque.L'initiative s'inscrit dans le projet de modernisation "Sochaux 2022" de l'usine historique et centenaire de PSA, devenue Stellantis après la fusion du groupe français avec Fiat Chrysler Automobiles.Pour Stellantis, cette installation permet de "valoriser notre foncier", note Didier Edelblutte, pilote du projet au sein du groupe.Le constructeur veut parvenir à "un site neutre en carbone" et "nous sommes complètement engagés dans cette démarche" de développement durable, souligne Frédéric Maliczak, directeur des services techniques de l'usine Stellantis de Sochaux.Selon Luc Vignal, responsable bâti et ombrières chez Engie Green, cette installation va par ailleurs permettre de générer 130.000 euros de revenus par an pour les collectivités locales grâce à la fiscalité engendrée par l'exploitation du projet.
Il y a 3 ans et 231 jours

La nouvelle stratégie des salons Batimat, Idéobain et Interclima sur la voie du succès !

Augmentés grâce à différents dispositifs digitaux, ils accompagnent d'ores et déjà les acteurs concernés jusqu'à l'ouverture des portes des salons qui se tiendront du 3 au 6 octobre 2022, à Paris Expo Porte de Versailles.Organisés par RX France, l'Afisb1 et Uniclima2, le Mondial du Bâtiment et ses trois salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA proposent aujourd'hui un modèle totalement revisité afin d'aider pleinement les professionnels à anticiper les changements auxquels font face les secteurs du bâtiment, de la ville et des territoires. Pour cela, ils s'appuient aujourd'hui sur deux piliers essentiels :Des évènements physiques et des temps forts réinventés pendant les 4 jours du salon ;Un dispositif 365 jours inédit permettant aux professionnels de s'informer et d'échanger au quotidien, grâce à différents outils digitaux.Lancé en avril dernier, le nouveau format des salons physiques augmentés grâce au digital enregistre un intérêt certain et un fort taux de participation de la part des acteurs du bâtiment (liste des exposants en annexe 1) qu'ils soient fournisseurs de solutions et d'innovations pour la construction et la rénovation de tous types de bâtiment.2/3 de la surface d'exposition déjà vendus ou réservésLe retour attendu dans le parc des expositions rénové de la Porte de Versailles à Paris créé une dynamique positive et suscite un fort enthousiasme des entreprises.Au vu des inscriptions déjà enregistrées, BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA s'annoncent comme le rendez-vous incontournable de professionnels du bâtiment, de l'architecture et de la ville en 2022.A un an de son ouverture, le Mondial du Bâtiment réunit déjà 543 exposants répartis dans les 6 pavillons du Parc Expo de la Porte de Versailles. Les réservations couvrent déjà près des 2/3 de la surface d'exposition dont le total est égal à 136 000 m². À noter également, le retour de nombreuses entreprises des différents secteurs, qui avaient délaissé les salons lors de leur tenue à Villepinte (présentées dans la liste des exposants en annexe 1).Le salon BATIMAT, organisé au sein des pavillons 1, 4, 5 et 6, enregistre l'inscription de 402 exposants dont 25% de nouveaux venus. 63% de la surface d'exposition sont ainsi déjà vendus ou réservés.Le salon IDÉOBAIN, organisé dans le pavillon 2, enregistre l'inscription de 51 exposants dont 29% de nouveaux venus. 70% de la surface d'exposition sont ainsi déjà vendus ou réservés.Le salon INTERCLIMA, organisé dans le pavillon 3, enregistre l'inscription de 90 exposants dont 33% de nouveaux venus. 70% de la surface d'exposition sont ainsi déjà vendus ou réservés.Outre le retour à Paris, les entreprises ont également réagi positivement à la durée plus courte des salons et au nouveau format d'exposition avec une nouvelle logique d'exposition. Elles ont ainsi très bien accueilli de pouvoir choisir leur emplacement dès l'inscription et la perspective d'un retour sur investissement (ROI) en hausse.Des salons engagés auprès des acteurs du bâtimentTrès prometteuse, l'édition de 2022 du Mondial du Bâtiment proposera également la mise en avant de nouveaux secteurs porteurs de grandes perspectives et la valorisation de tendances émergentes, poussées par les évolutions réglementaires, les transformations d'usages ou par des prises de conscience sociétales.Grâce à la création de nouveaux espaces d'exposition et l'organisation de temps forts dédiés, les 3 salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA donneront les moyens d'éclairer les enjeux majeurs de la construction et de la rénovation des bâtiments : Environnement ; Climat, Productivité ; Usagers et Habitants ; Métiers (détail dans la présentation de la conférence).Une transformation digitale inéditeEn amont des salons physiques, l'engouement des acteurs du bâtiment autour du Mondial du Bâtiment s'exprime également grâce au digital et ses nombreux moyens d'expression.Notamment, au travers de Batiradio, 1ère webradio du secteur créée il y a deux ans, dont les chiffres d'audience montrent qu'elle s'impose comme source principale de podcast auprès des acteurs du bâtiment. Sur une période d'un mois, ce lien d'échanges et de décryptages entre professionnels enregistre en moyenne 50 000 téléchargement et 56 000 écoutes de podcast.Plus récemment, diffusée chaque mois sur Batiradio, la matinale live de podcasts vidéo Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment permet d'animer la communauté du secteur et d'accueillir de nombreux acteurs reconnus pour leur expertise. Depuis avril 2021, Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment ont ainsi accueilli différents grands témoins comme la ministre du Logement Emmanuelle Wargon, le ministre délégué chargé du Commerce extérieur et de l'Attractivité Franck Riester, le président du Plan bâtiment durable Philippe Pelletier, Frédéric Boissier, Délégué Générale de l'ADEME, ainsi que plus de 100 spécialistes autour de différents sujets d'actualité comme la RE2020, la REP, le plan France Relance, la rénovation énergétique dans les territoires, la construction 4.0, les métiers du bâtiment, les tendances et le design etc.Diffusés en direct chaque premier vendredi de chaque mois, Les Rendez-vous du Mondial du Bâtiment enregistrent en moyenne par émission 1000 auditeurs dont 1/3 en direct et 2/3 en replay. démontrant l'intérêt des professionnels de maintenir du lien tout au long de l'année.Pour aller encore plus loin dans la complémentarité entre le digital et les rencontres physiques qui auront lieu en octobre 2022, le Mondial du Bâtiment propose dès aujourd'hui batiadvisor.fr, un site inédit de salons "augmentés". Cet espace d'information, de décryptage des tendances et de valorisation de l'innovation s'appuie sur l'expertise développée ces dernières années en matière de référencement par les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA, pour proposer un blog unique.Celui-ci regroupera les univers métiers des 3 salons du Mondial du Bâtiment. Les professionnels pourront entrer en contact avec les marques, donner leur avis ou leurs appréciations et disposeront d'outils adaptés à leurs besoins :Des fiches produits conçues avec les codes du e-commerce ;Un moteur de recherche produits/solutions et fournisseurs.Des show-rooms virtuels ;Des vidéos démos ;Des contenus (études exclusives, livres blancs, baromètres inédits…) sur les métiers présents sur les salons physiques.Enfin, durant les 4 jours de l'édition 2022 du Mondial du Bâtiment, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA proposeront une expérience digitale permettant d'assister à distance à une grande partie des contenus des salons physiques."En octobre 2022 à la Porte de Versailles, la tenue du Mondial du Bâtiment sera l'aboutissement d'une révolution lancée il y a quelques mois pour répondre aux transformations de la société. Les premiers résultats de participation enregistrés à ce jour montrent que, dans cette période post Covid, le nouveau Mondial du Bâtiment est le modèle en passe de s'imposer qui combine plus de sobriété, plus de ROI et une utilisation pragmatique et continue de la puissance du digital. Ce constat renforce notre conviction et nous engage à poursuivre nos efforts pour aider les professionnels du bâtiment à appréhender et à saisir toutes les opportunités qui s'offrent à eux." déclare Guillaume Loizeaud, Directeur du Mondial du Bâtiment.
Il y a 3 ans et 233 jours

Hexaom bénéficie de la montée en puissance de ses nouveaux métiers

Toutes les activités dont les nouveaux métiers participent à la croissance enregistrée par le groupe Hexaom qui confirme ses ambitions de croissance 2021.
Il y a 3 ans et 234 jours

Solaire photovoltaïque : énorme gisement potentiel sur les toitures de France

L'entreprise namR met la puissance du Big Data – des données contextuelles géolocalisées - au service de l’exploitation du gisement solaire photovoltaïque pour tous les bâtiments de France.
Il y a 3 ans et 235 jours

Le premier parc éolien offshore de France sort la tête de l'eau

En cette fin septembre clémente, les équipes s'activent pour poser 80 fondations d'acier, réparties entre 12 et 20 km au large du Pouliguen et du Croisic, sur 78 km2. A chaque bateau son rôle: câblier, finition des raccordements... Et puis ce gros navire/plateforme planté sur des "jambes" rétractables, chargé d'enfoncer les pieux dans le sol, aussi profondément que l'eau est haute (13 à 25 m selon les endroits)."C'est comme un clou sur lequel on tape avec un gros marteau hydraulique, avec beaucoup d'intelligence électronique", explique Olivier de La Laurencie, le directeur de ce projet d'EDF Renouvelables à 2 milliards d'euros, en soulignant la prouesse, sur un fond rocheux fracturé.Au milieu, la "sous-station" électrique, reliant les éoliennes et chargée de renvoyer le courant à terre via un câble semi-enterré, est en place.Restera pour le printemps la pose des éoliennes géantes de 153 m (pales comprises), d'une puissance installée de 480 mégawatts (MW) capable d'alimenter 700.000 personnes.En attendant, ces "moulins" aux extrémités rouges (obligation française) seront montés et testés dans le port, dans le hub géré par leur fabricant, General Electric (GE): "on y recrée les conditions offshore", notamment avec l'envoi de courant haute tension, décrit Emmanuel Charlopain, le directeur de projet.Objectif: commencer la production mi-mai, pour une mise en service générale fin 2022... plus de 30 ans après l'ouverture d'un premier parc au Danemark. Malgré ses 2.800 km de côtes en métropole, la France est aussi très en retard par rapport au Royaume-Uni, la Scandinavie ou l'Allemagne.Ce jour aura été longtemps attendu, puisque le chantier de ce parc offshore à Saint-Nazaire a été attribué dès 2012 à EDF et au canadien Enbridge."Apprendre à vivre avec"En 2009, la France avait décidé de se lancer, attribuant quatre premiers parcs. Mais, de procédures administratives en recours, aucun ne s'est matérialisé. Aujourd'hui, les plaintes ayant été purgées, la construction a démarré aussi pour Fécamp, Courseulles-sur-Mer et Saint-Brieuc. D'autres parcs sont dans les tuyaux.A Saint-Nazaire, des résidents de La Baule ont protesté, sur des arguments visuels.Une navette y surveille le chantier, mais jusqu'ici pas d'incident à signaler, contrairement à Saint-Brieuc, cible de pêcheurs en colère qui craignent pour leur activité.A Saint-Nazaire, c'est une autre pêche, pas au chalut; le tracé des câbles suit spécialement les courants, évite certains secteurs. Les industriels disent avoir tenté de répondre aux craintes en plus de 1.000 réunions, et la France a décidé de laisser les pêcheurs travailler dans les parcs. Peut-être les plaisanciers y seront-ils un jour autorisés, note M. de La Laurencie, pour qui "il faudra apprendre à vivre avec".Sur le bateau, le président du Syndicat des énergies renouvelables (SER), Jean-Louis Bal, a le sourire: "Cela fait dix ans qu'on travaille au développement de l'éolien offshore en France. C'est la délivrance!". "Ce parc va permettre de surmonter des appréhensions, comme sur l'impact paysager. On va voir que les pêcheurs peuvent continuer à exercer leur métier. Et puis une industrie émerge. On va pouvoir accélérer".La filière a aussi un argument massue: des prix drastiquement en baisse depuis 3-4 ans. A 60 euros le MWh (raccordement inclus), le prix de l'éolien marin est devenu compétitif.Pour lutter contre le réchauffement climatique et répondre à ses besoins, la France veut accroître de 40% sa production électrique décarbonée d'ici 2050, selon sa "stratégie bas carbone". Le comité interministériel de la Mer a estimé de 49 à 57 GW son potentiel éolien marin à horizon 2050, soit l'équivalent d'une centaine de parcs comme celui de Saint-Nazaire.Pour parvenir à une telle montée en puissance, la fabrication d'éoliennes toujours plus grandes et le recours à l'éolien flottant, qui permettra de s'installer plus au large, pourront aider. Mais le secteur réclame avant tout de la planification."50 GW c'est beaucoup!", note M. Bal. "Si on veut le faire, il faut planifier, pour que tous les usagers de la mer continuent à exister, les pêcheurs et les autres".
Il y a 3 ans et 235 jours

Wacker Neuson : Une version allégée du Backpack ACBe

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine La nouvelle version du Backpack ACBe bénéficie d’une réduction de poids. [©Wacker Neuson] Wacker Neuson est spécialisé dans la fabrication de matériels et machines pour le chantier. Cette année, l’industriel revisite son Backpack ACBe. Le vibrateur interne sur batterie, et donc sans fil, autorise une flexibilité maximale sur le chantier lors du compactage du béton. Aujourd’hui, l’industriel lance une version allégée avec une réduction de poids de 2,5 kg. Ergonomique, le système de sac à dos Backpack ACBe a été développé avec un fabricant allemand spécialisé. Il offre à l’opérateur une bonne répartition du poids. De plus, en fonction du chantier et des besoins, des gaines de différentes longueurs et des têtes de vibration de diamètres variables peuvent être raccordées au vibrateur interne.  Par ailleurs, Wacker Neuson lance une nouvelle génération de convertisseurs électroniques, silencieux, légers et sans entretien. En effet, les Fuh 35 et Fuh 70 sont équipés de la dernière technologie haute fréquence, permettant ainsi des dimensions compactes et réduites en poids. Une protection contre les surcharges empêche la consommation excessive de courant par l’appareil connecté. Ces convertisseurs électroniques disposent d’une large gamme de puissance en sortie et peuvent être utilisés aussi bien sur chantier qu’en usines de préfabrication. Enfin, les Fuh 35 sc et Fuh 70 sc sont des versions dotées de variateurs de fréquence. 
Il y a 3 ans et 238 jours

Les chiffres du marché des chaudières Biomasse au 1er semestre 2021 sont satisfaisants selon le SFCB

Les chaudières bois continuent leur croissance et connaissent une augmentation de plus de 150% entre le premier semestre 2019, non touché par la crise COVID, et le premier semestre 2021 (+89% sur 2020). Une augmentation très soutenue qui continue de s'expliquer par le remplacement des chaudières au fioul encouragé par les pouvoirs publics dans le domestique comme dans le collectif.Comme l'année dernière, le SFCB appelle à un renforcement des aides pour le remplacement des chaudières à bûches non performantes, par de nouveaux équipements plus économes et plus propres afin de réduire les émissions particulaires et les consommations de bois.Pour leur part, les chaudières automatiques de moyenne à forte puissance connaissent, elles, encore les effets de la crise du covid-19. Souvent installées par des collectivités, des projets mis en attente durant la crise sanitaire peinent encore à se concrétiser.Un deuxième semestre incertain mais une filière confiante La filière s'interroge sur le deuxième semestre 2021 qui est marqué par quelques incertitudes. En effet, les usines de production des chaudières doivent faire face à une demande croissante pour de nouveaux équipements et à des problèmes de disponibilités des matières premières et de composants électroniques. Les délais ont tendance à s'allonger, repoussant les projets pour 2022.Cette situation augure une très belle année 2022 !
Il y a 3 ans et 239 jours

Fischer France fête 60 ans d’innovations sur le marché de la fixation

Créée en 1961 et basée à Strasbourg, fischer France est la 3ème filiale du groupe fischer. Avec près de 100 salariés et un chiffre d’affaires de 49,3 millions d’euros, l’entreprise n’a cessé depuis plus de 6 décennies de bousculer le marché français de la fixation avec de nombreuses innovations. Aujourd’hui, les produits fischer sont plébiscités aussi bien par les professionnels que les bricoleurs. Le savoir-faire, l’étendue des gammes et des services proposés, les technologies de pointe utilisées et les techniques de fixations d’avant-garde développées pour le domaine du bâtiment et de l’industrie ont permis à fischer de se forger une solide réputation de spécialiste des techniques de fixation. L’entreprise participe ainsi régulièrement à la construction de grands ouvrages : la Grande Arche à Paris, la Tour 2BA et Mozart à Paris, les tunnels du Mont Blanc, de la Défense, de la Croix Rousse, du Puymorens, BPNL, le projet Grand Paris Express…Jean-Marc Berg, Président de fischer France depuis 2018, après plus de 12 ans passés au sein de la société aux postes de Directeur Technique Marketing, Directeur de la division Systèmes dédiés, Directeur Général Adjoint et Directeur Général, a à cœur de poursuivre la digitalisation des solutions techniques, de développer les offres produits et services connexes, tout en privilégiant l’investissement dans la R&D et les innovations.fischer France : une expertise reconnueCréateur de solutions, fischer France est devenu au fil des décennies un acteur moteur sur le marché de la construction. Bénéficiant de l’expertise et de la puissance d’un groupe international (avec 50 filiales et une distribution mondiale des produits), l’entreprise sert en France plus de 11000 clients.Avec plus de 14000 références, fischer permet de répondre aux particuliers comme aux professionnels des différents corps de métier. De la fixation (acier, nylon, chimique, supportage, isolation), la chimie du bâtiment (mousse, mastic, silicone, colle), la visserie, les forets, la protection incendie aux accessoires de terrasse, fischer couvre l’ensemble des besoins en termes de solutions de fixations pour différents domaines d’applications et dans tous les matériaux de construction. L’entreprise, qui développe et fabrique elle-même ses produits, a su, grâce à son savoir-faire et sa capacité d’innovation, imposer de nouvelles références en matière de solutions de fixations. La 1ère cheville à expansion en 1956, le 1er scellement chimique par injection mis sur le marché en 1975, le 1er ancrage à verrouillage de forme en 1978, la nouvelle génération de chevilles en nylon SX en 2000 ou encore la première cheville nylon bi-matière DUOPOWER en 2016 sont autant de solutions qui ont marqué le marché de la fixation.Parmi les nouveautés fischer de ces dernières années : Le Ciment Express. Unique sur le marché, astucieux et économique, le Ciment Express de fischer est une pâte de réparation présentée sous forme de cartouche. Prête à l’emploi, elle offre un véritable gain de temps aux utilisateurs et limite les gaspillages liés au surplus de fabrication de ciment. De haute qualité, le Ciment Express s’utilise en rénovation, sur de nombreux matériaux de construction tels que le béton, la brique, le parpaing, la tuile, la pierre…, et pour différentes applications en intérieur comme en extérieur : jointoiement de carrelage, de parpaings…, bouchage de fissures sur des maçonneries, du béton, des briques…, fixation de tuiles, réparation de bords détériorés sur de la pierre... Il garantit une excellente adhérence sur tous les matériaux de construction. Après séchage, il est parfaitement étanche à la pluie et résiste aux intempéries, et ce, quelques heures seulement après son application.La gamme de fixation DuoLine. Véritable innovation technologique, cette gamme regroupe toutes les meilleures caractéristiques techniques. Fabriquées à partir d’une combinaison de 2 matières, les chevilles DUOPOWER, DUOTEC et DUOBLADE aux couleurs rouges et grises assurent un ancrage optimal et parfaitement sûr. Les principes de fonctionnement fréquemment éprouvés, associés à la combinaison de 2 matières, permettent d’élargir le champ d’applications avec une capacité de charges nettement supérieure à celles des chevilles nylon traditionnelles et une plus grande sécurité.uoPower : Cette cheville nylon multi-matériaux s’adapte elle-même au matériau de construction dans lequel elle va s’ancrer. Elle s’expanse, se déploie ou forme un nœud en fonction du support, que ce soit un matériau plein, creux ou en plaque afin d’obtenir la meilleure adhérence et des valeurs de charges supérieures aux chevilles nylon classiques. Elle garantit une fixation parfaitement sûre, solide et durable. Elle s’introduit facilement dans le forage sans se tordre et assure ainsi une bonne perception du couple de serrage. Polyvalente, elle couvre un large champ d’application, convient pour les vis à bois, les vis à bois agglomérés et les vis à double filet, et fonctionne dans de nombreux matériaux (béton, maçonneries pleines ou creuses, panneaux de particules, plaques de plâtre…). DuoTec : Cette cheville à bascule pour matériaux creux convient pour les applications suivantes : fixation de lustres, suspensions, spots et plafonniers... dans des plaques de plâtres, des panneaux en fibre de plâtre, des panneaux de bois (OSB – aggloméré, stratifié MDF), des panneaux en acier et des panneaux plastiques. Intelligente, elle fonctionne également comme une cheville à expansion si le matériau rencontré s‘avérait être plein. Bi-matière, renforcée de fibres de verre de haute qualité, elle garantit une bonne capacité de répartition des charges, dans les plaques de plâtre sans endommager le matériau. Pour une sécurité optimale, une fois la cheville à bascule placée dans le forage, une douille blanche renforcée en fibre de verre s’insère également dans l’entrée du trou pour offrir une capacité de charges de cisaillement encore plus élevée. Compacte, elle est facile à mettre en œuvre même dans des cavités étroites et isolées (≥ 50 mm) et bénéficie d’un diamètre de perçage réduit (10 mm).DuoBlade : Compacte, cette cheville autoforeuse convient pour tous les travaux d’agencement intérieur, les applications légères : pose de tableaux, luminaires, détecteurs de fumée, stores… dans des plaques de plâtre simples, doubles couches et permet même la fixation sans perçage dans les plaques haute résistance. La partie rouge en polyéthylène (PE) offre une sécurité supplémentaire au corps de base en nylon gris de haute qualité fischer. Elle assure l’effet d’expansion, lors du vissage de la vis, pour supporter des valeurs de charge élevées. La pointe en métal autoforeuse, dotée de trois lames tranchantes, assure un perçage aisé, très précis et propre sans endommager le support. Légèrement inclinée, elle permet de guider facilement la cheville lors d’un montage dans un matériau de faible épaisseur. Les ergots anti-rotation empêchent la cheville de tourner dans le support lors de l’installation ou de l’éventuel démontage des éléments à fixer. Ils augmentent également la capacité de charges en fixations verticales et optimisent la répartition des charges.Le corps en nylon de la cheville dispose d’un pas de filetage autotaraudeur tranchant pour une bonne prise et un verrouillage optimal de la cheville. La collerette plate permet une mise en œuvre en attente ou traversante.La DUOBLADE offre un confort lors de la mise en œuvre avec un couple de serrage relativement faible qui augmente de manière importante à la fin du processus de vissage (blocage). L’utilisateur ressent alors que la cheville « tire » et la sensation de blocage, c’est le « feel good factor ».La gamme DUOLINE va continuer de se développer et s’enrichir d’une nouvelle référence à la fin de l’année.La gamme GreenLine. Cette gamme est le parfait exemple de la capacité d’innovation de fischer et de sa volonté d’apporter des solutions toujours performantes, tout en minimisant l’impact sur l’environnement. Elle est la première gamme de fixations au monde issue de matières premières renouvelables. Les produits GreenLine offrent les mêmes performances, la même sécurité et capacité de charges que les produits similaires traditionnels fischer. De qualité allemande, ils sont fabriqués avec 50 à 80 % de matières premières renouvelables. La gamme se compose de 7 familles de produits qui permettent de réaliser de multiples applications dans de nombreux matériaux de construction : la cheville universelle UX Green, la cheville à expansion SX Green, la cheville pour plaques de plâtre GK Green, la cheville à frapper N Green, la fixation dans matériaux isolants FID Green, la cheville pour béton cellulaire GB Green et la résine d’injection chimique tous matériaux FIS Green 300 T.Avec la qualité éprouvée du nylon fischer, les chevilles UX Green, SX Green, GK Green, N Green, FID Green et GB Green sont fabriquées avec plus de 50 % de matières premières d’origine végétale. L’huile de ricin est ici utilisée comme matériau de base pour le polyamide. Cette huile n’est pas utilisée pour l’alimentation de l’homme et des animaux, et n’entre donc pas en concurrence avec les surfaces agricoles. Les chevilles GreenLine ont été testées et contrôlées par le centre TÜV Rheinland DIN CERTCO et appartiennent à la catégorie « Biosourcés 50-85 % ». Leur emballage est plus respectueux de l’environnement puisqu’il est fabriqué avec 90 % de papier recyclé.Quant à la résine FIS Green 300 T, elle est la première résine de scellement à contenir plus de 50 % de matières premières d’origine végétale. Sa formulation sans styrène a été entièrement revisitée pour contenir des composants organiques, à la place de composants chimiques complexes, qui permettent de répondre aux différentes fonctions des résines réactives, des additifs, des plastifiants et des polymères thermoplastiques.Sûre, cette résine bi-composant est adaptée à la fixation de charges lourdes dans différents matériaux et présente les mêmes caractéristiques techniques et de performances que ses homologues traditionnels. Elle bénéficie d’une EPD (Déclaration environnementale de produit). Classée A+, elle peut être utilisée en intérieur et détient une évaluation technique européenne (ETE) pour les fixations dans la maçonnerie et le béton non fissuré.Et parce que limiter l’impact de ses produits sur l’environnement est important pour fischer, l’entreprise entend compléter cette gamme écoresponsable avec de nouvelles références qui seront commercialisées à la fin de l’année.Le foret creux aspirant FHD. Accessoire idéal pour une utilisation dans les espaces intérieurs sensibles, où la poussière doit impérativement être évitée, il offre des chantiers plus propres et sains, et limite les poussières dans l’air. Les trous forés sont conformes aux homologations dans le béton et béton armé, la pierre naturelle, la brique pleine et la brique silico-calcaire. Les 4 taillants en carbure assurent un forage rapide, même dans le fer à béton. La tête du foret dispose d’une pointe de centrage et de 2 trous d’aspiration/d’évacuation des poussières, qui garantissent l’extraction immédiate de la poussière lors du perçage, via la tige cylindrique creuse. La progression du foret dans le matériau est plus rapide et sans frottements. Le foret creux aspirant FHD est pris en compte par les évaluations ETE des systèmes composites chimiques et il est compatible avec toutes les marques de marteaux perforateurs à emmanchements SDS Plus et SDS Max. Enfin, il s’utilise avec un aspirateur classe M et est disponible en 11 diamètres.L’aspirateur universel eau et poussières FVC 35 M. Avec une cuve de 35 L à double paroi très robuste, cet aspirateur de chantier associé au foret creux aspirant FHD, contribue à offrir un environnement de travail propre et sain. Conforme à la classe de filtration M, avec une capacité de rétention de poussière de 99,9%, il collecte les poussières les plus nocives, directement à la sortie du trou de forage et via le manchon d'évacuation du foret aspirant. Doté d'un puissant moteur, il offre des performances d'aspiration élevées. Grâce à un système de nettoyage automatique du filtre, il garantit le maintien, sans interruption, d'une forte puissance d'aspiration pour un travail continu. Des chocs électromagnétiques nettoient alternativement les cartouches de filtre pour obtenir une filtration toujours optimale. Gamme de vis à béton Ultracut. Cette gamme complète reflète également la capacité d’innovation de fischer. Elle s’utilise dans le béton fissuré et non fissuré, la pierre naturelle dense, les maçonneries pleines et le béton cellulaire. Grâce à une reprise de charges lourdes, elle convient à de nombreuses applications pour tous les corps de métier : la construction métallique, la construction bois et les assemblages bois/béton, les installations temporaires de chantiers, sanitaire, chauffage, électricité… La vis à béton Ultracut dispose d’un filetage renforcé spécial avec une zone coupante sur sa partie avant. Cette géométrie spéciale du filetage facilite la pénétration de la vis en profondeur, réduit l’effort de vissage, assure de fortes capacités de charges de traction, tout en diminuant le nombre de points d’ancrage. Une zone ductile sous la tête permet une légère déformation pour un plaquage optimal. Ajustable, l’Ultracut peut être dévissée au maximum 2 fois et est idéale pour la pose d’éléments de chantiers temporaires puisqu’elle est réutilisable après vérification avec la jauge de contrôle (en option).Pratique, pour les perçages verticaux au sol ou au plafond, la pose s’effectue sans nettoyage du forage. Dans la gamme, la vis à béton Ultracut FBS II A4 en acier inoxydable offre un niveau élevé de résistance à la corrosion, avec une haute performance dans les zones humides et les applications en extérieur. Son embout rouge renforcé permet une installation encore plus rapide, sans effort, et plus sécurisée. Sa géométrie spéciale en dent de scie permet une coupe rapide dans le béton. Par ailleurs, cette vis à béton répond aux exigences de la classe de résistance au feu R120, bénéficie d’un ATE Option 1 pour béton fissuré, et d’une catégorie de performances sismiques C1 et C2.Les Clés à choc sans-fil FSS 18V. Compatibles avec le système de batteries CAS (Cordless Alliance System), elles sont utilisables avec les mêmes batteries et chargeurs que les outils d’une douzaine de fabricants d’outillage électroportatif. Puissant et bénéficiant d’une technologie de batterie haute performance, ce système CAS permet aux utilisateurs de passer d’un outil à l’autre. Robuste et très résistante, les clés à choc fischer sont dotées d’un boîtier spécial qui garantit une dissipation thermique et une longévité optimale des outils. La FSS 18V400 BL dispose d’un couple de 400 Nm et d’un moteur haute qualité sans charbon, à faible frottement, qui garantit un fonctionnement efficace, une faible usure, et une progression rapide du travail. Elle permet la pose de vis à béton de diamètres 6 à 10. Le couple est réglable en 12 positions. La FSS 18V 600, avec un couple élevé de 600 Nm, est idéale pour les installations avec des vis à béton de diamètres 10 à 14 et des applications exigeantes.Une gamme de vis à bois Power-Fast II. Plus techniques, ces vis ont une accroche et une pénétration plus faciles et plus rapides. Leur revêtement est plus respectueux de l’environnement (zingué blanc sans chrome VI (Cr3)) et leur géométrie spéciale font qu’elles sont compatibles avec les chevilles nylon. Elles disposent du marquage CE et bénéficient de l’Évaluation Technique Européenne (ETE). L’empreinte de la tête de vis est profonde et les fraisoirs à facettes inversés assurent une découpe parfaite des épissures de bois. Grâce à la nouvelle géométrie brevetée du filetage à angle asymétrique sans vrille de coupe, au moletage, aux doubles filets sur les premiers pas de vis et au revêtement anti-frottement haute performance, le vissage est nettement plus rapide et sans effort. Les doubles filets permettent une évacuation rapide de la poussière de perçage. Le filetage, jusqu’à la pointe, garantit un centrage très précis de la vis et une accroche immédiate dans le bois, sans aucun pré-perçage, ni risque de glisser. Elles sont disponibles en tête fraisée, tête ronde et tête fraisée bombée en filetage partiel et filetage total.Goujon d'ancrage FNB II HDG : Ce goujon fischer permet des montages traversants ou non, pour les fixations dans le béton non fissuré. Sa double profondeur d’ancrage (standard et réduite) et son long filetage le rendent extrêmement flexible, facile et rapide à mettre en œuvre. En outre, il offre une capacité de charges maximales, attestée par l’Evaluation Technique Européenne ETA-18/0101 (Option 7) pour le béton non fissuré, et dispose d’une résistance au feu R120.Evalué pour une utilisation en zones humides et les applications extérieures (ETE), le goujon FBN II HDG en acier galvanisé est recommandé pour fixer des constructions métalliques, des profilés, des platines, des garde-corps, des mains-courantes, des chemins de câbles, des escaliers, des constructions en bois… Son long filetage autorise des fixations déportées.Le couple formé par la bague et le cône d’expansion fournit une capacité de charges en traction maximales dans le béton non fissuré avec des entraxes et des distances aux bords très faibles. Les très faibles entraxes et distances aux bords autorisent la fixation de petites platines proches des bords pour plus d’applications.Le goujon FNB II HDG bénéficie d’une galvanisation à chaud d’une épaisseur minimum de 50 μm respectant les dispositions de la EN ISO 10684:2011. La durabilité du revêtement a été évaluée selon la EAD 330232-00-0601 et peut s’étendre jusqu’à 50 ans (en fonction des catégories de corrosivité C1, C2, C3, C4, C5, CX).Il peut être installé avec seulement quelques coups de marteau et quelques tours d’écrou suffisent pour appliquer le couple de serrage.Toutes ces innovations sont issues d’une volonté constante de comprendre les besoins des clients et d’apporter les meilleures solutions en termes de qualité, de fiabilité, de sécurité, de performances et de respect de l’environnement. La célébration des « 60 ans d’innovations » de fischer France est l’occasion pour son Président Jean-Marc Berg de présenter à l’ensemble de ses collaborateurs français, les axes de développement pour l’avenir.
Il y a 3 ans et 240 jours

Les professionnels de l'immobilier et du diagnostic demandent une amélioration rapide du nouveau DPE

A l'occasion d'une rencontre avec la DHUP le jeudi 16 septembre, la FIDI se félicite d'avoir été entendue sur les difficultés de mise en place du nouveau DPE et reste raisonnablement optimiste sur la prise en compte de ses propositions d'améliorations d'ici à quelques semaines.L'Union des Syndicats de l'Immobilier (UNIS), et la Fédération Interprofessionnelle du Diagnostic Immobilier (FIDI), entendent cumuler leurs compétences et leurs forces pour décrypter « LE NOUVEAU DPE », fiabilisé, opposable et visant à l'éradication des passoires énergétiques et à la limitation des émissions de Gaz à Effet de Serre (GES).La version actuellement en vigueur (DPE version v.3) a révélé ses limites :En effet, forts des nombreuses remontées de leurs adhérents depuis le 1er juillet dernier, la FIDI et l'UNIS ont dressé un constat identique d'insatisfaction. La FIDI a pu dénombrer et expliquer concrètement les éléments conduisant aux écarts très importants des résultats du DPE V3 par rapport à la réalité terrain et à la V2 du DPE. Ces éléments ont fait l'objet d'un échange récent avec la Direction de l'Habitat, de l'urbanisme et des Paysages, ministère de la Transition écologique et solidaire (DHUP).Une première analyse retient deux causes probables :Le calcul du coût des consommations, par tranches, ne correspond pas à la réalité. En électricité, pour un nombre de kWh donné, l'erreur est de plus de 30 % par rapport au coût réel du kWh !Certains paramètres du moteur de calcul liés aux habitudes de vie des occupants ont été fortement modifiés par rapport à la version précédente. Ils ne correspondent peut-être pas à la réalité du terrain. Ces nouveaux paramètres dégradent substantiellement l'estimation des consommations mais aussi la note du DPE.En outre, des thermiciens ont relevé des problèmes concrets, qui dégradent significativement la note (pour rappel, de A à G, G étant la plus défavorable) :En plus des changements sur la ventilation par ouverture de fenêtre, il semble qu'il y ait un problème sur le calcul des débits d'infiltration qui donne des déperditions quasi 10 fois plus importantes que la version précédente.Le calcul des consommations des auxiliaires de bouclage pour un appartement en immeuble collectif semble incohérent (les pompes consomment quasi autant que le total ECS !).En faisant un comparatif entre la V2 et la V3 avec les mêmes déperditions (enveloppe identique), on obtient beaucoup plus de consommation.Un autre point a été soulevé, qui ne joue pas sur la note :Estimation du confort d'été : si la fenêtre des toilettes ne comporte pas de volet, l'estimation est dégradée quels que soient les autres paramètres.Si les pouvoirs publics ne souhaitent pas revenir sur certains choix, il est impératif qu'ils expliquent clairement aux professionnels de l'immobilier les paramètres retenus et les raisons de leurs choix.D'autres difficultés ont aussi été soulevées pendant cet échange et continuent d'être discutées lors des groupes de travail hebdomadaires auxquels la FIDI participe depuis près de deux années, et de façon intensive depuis début mai 2021.Les constats des diagnostiqueurs rejoignent ceux des professionnels de l'Unis qui soulignent ainsi :L'incompréhension des clients qui voient leur bien déclassé sans avoir saisi en quoi leur bien immobilier nuit aux objectifs d'économie d'énergie et de réduction des GES ;Les difficultés d'accès aux locaux techniques de l'immeuble dans le temps imparti ;La difficulté de disposer des références techniques des isolants utilisés il y a plus de 10 ans ;La classement comme chaudière « fuel » des chaudières « gaz » dont les caractéristiques (type, puissance etc.) n'ont pas été indiquées, entrainant automatiquement un déclassement pénalisant.Des écarts entre les ratios de surfaces habitables des appartements et les tantièmes de copropriété ;L'allongement des délais de commercialisation (mise en location) en attente des DPE.Pour Danielle Dubrac, la présidente de l'Unis : « L'Unis avait conseillé aux copropriétés et aux bailleurs d' établir un nouveau DPE ; pour chacun, l'atterrissage est donc très rude. Dans ce contexte, la question de l'opposabilité pèse trop lourdement. Les pouvoirs publics sont allés trop vite. L'impact sur le parc est significatif. Comment envisager sereinement le calendrier de la loi Climat (interdiction de louer des DPE-G dès 2023) ? Nous espérons un remède rapide, étant résolument engagés dans la rénovation énergétique et dans l'accompagnement de nos clients ».Pour Lionel Janot, président de la FIDI et Stéphane Prouzeau, vice-président, les échanges avec la DHUP ont été très productifs et efficaces. A ce jour, ils ne doutent pas que des ajustements seront pris en compte rapidement pour améliorer la fiabilité des DPE V3 et les rendre réellement efficients.En attendant la rencontre avec la Ministre Chargée du Logement, Mme Emmanuelle WARGON, le 4 octobre prochain, où seront bien certainement évoqués les différentes problématiques concernant le DPE, mais aussi l'Audit énergétique, dans le cadre de la fluidité du marché de l'immobilier, les diagnostiqueurs poursuivent bien entendu la réalisation des DPE.Stéphane Prouzeau précise : « Pour l'instant, il faut laisser le temps aux responsables de la DHUP de bien prendre en compte les réalités du terrain énoncées par nos soins. Nous restons très attentifs et ouverts, mais nous ne manquerons pas de nous manifester avec plus d'insistance, si le DPE n'évolue pas rapidement. »Pour Danielle Dubrac, Présidente de l'UNIS : « L'UNIS a travaillé avec les diagnostiqueurs de la FIDI pour mieux maîtriser ce nouvel outil, afin que les professionnels remplissent parfaitement leur devoir de conseil auprès de leurs clients. Travailler en filière est un atout pour tous dans l'objectif de la rénovation. »Et Lionel Janot, Président de la FIDI, de conclure : « L'UNIS et la FIDI travaillent ensemble pour accompagner, informer et expliquer à l'ensemble des acteurs de l'immobilier le nouveau DPE et son impact sur le quotidien de demain. Les métiers de la FIDI et de l'UNIS sont indispensables dans le cycle de vie d'un bien immobilier, c'est pourquoi il est essentiel que nos professions poursuivent ces échanges et cette collaboration pour construire des relations etroites afin d'apporter un maximum de service et d'information. »
Il y a 3 ans et 241 jours

Rencontre avec Philippe Bihouix, grand témoin du 9e Congrès International du Bâtiment Durable

Rencontre avec Philippe Bihouix, grand témoin du 9e Congrès International du Bâtiment Durable Le 9ème Congrès interNational du Bâtiment Durable, dont Planète Bâtiment est partenaire, se tiendra du 6 au 8 octobre 2021 en ligne et en semi-présentiel dans le Grand Est, en Allemagne et en Belgique. Il est organisé cette année par le Réseau National du Bâtiment Durable, Envirobat Grand Est, Cluster Eco-construction, Architektenkammer des Saarlandes.   « Toutes les idées sont intéressantes en soi, mais elles ne sont pas à l’échelle ».  Auteur de plusieurs ouvrages sur la question des ressources non renouvelables et des enjeux technologiques associés1, Philippe Bihouix, aujourd’hui directeur général d’Arep, a travaillé en tant qu’ingénieur-conseil ou dirigeant dans différents secteurs industriels, en particulier les transports et la construction.  Philippe Bihouix ©Maxime Huriez « Grand témoin,  il ouvrira le congrès le 6 octobre avec une conférence introductive : To build or not to build Changement climatique et pénurie des ressources : (Comment) construire demain ? Sa vision risque de bousculer bien des intervenants. Les ateliers reprendrons certains des aspects de son discours. En avant-première pour Planète Bâtiment, il dévoile les grandes lignes de son intervention.  » Par Stéphane Miget  Densité, technologie, économie circulaire, éco-construction, rénovation énergétique… Vous allez dresser un constat sévère de la situation et émettre des réserves sur les capacités du secteur à relever les défis ?  De mon point de vue, les dispositifs qui se mettent en place pour réinscrire le secteur du bâtiment dans les « limites planétaires » (climat, énergie, ressources) risquent d’être insuffisants. Prenons le fantasme de la « smart city », cette ville enrichie technologiquement, où capteurs et intelligence artificielle permettraient d’optimiser les flux de personnes, son métabolisme, les dépenses énergétiques, etc. D’abord, on pourrait questionner nos capacités réelles à déployer et généraliser de tels systèmes, suffisamment rapidement ; ensuite, cela engendrerait une consommation insoutenable de ressources rares, difficilement recyclables, par la multiplication des objets connectés dans les habitations et les espaces publics ; enfin, le rapport « coûts / bénéfices » est loin d’être évident, avec le développement, en arrière-plan, des équipements numériques pour le stockage et le traitement des données. Autre exemple avec l’économie circulaire, qui est un peu la tarte à la crème. Bien sûr, il est possible de progresser dans le recyclage, le réemploi… Malheureusement, la réalité montre que le réemploi est très compliqué à mettre en œuvre, pour des raisons économiques (coût de la récupération, du stockage), organisationnelles, voire réglementaires ou assurantielles. Quant au recyclage, celui-ci est souvent limité et inefficace pour « boucler les cycles » : les mélanges de matériaux engendrent presque inévitablement un downcycling, comme pour les aciers, les verres, etc. qui rejoignent des utilisations moins nobles. Il y a quand même quelques avancées : par exemple le béton avec le projet Recybéton ? Oui, naturellement, et il faut continuer à porter l’effort sur ces sujets, mais cela reste marginal pour l’instant et il y a quand même une « dégradation » de la fonctionnalité, les granulats ne sont techniquement pas utilisables comme ceux sortant de carrière. Et lorsque le béton est broyé, deux éléments ne peuvent être récupérés : le sable et le ciment. Certes, ces démarches peuvent réduire un peu les consommations de ressources et éviter l’ouverture d’une carrière supplémentaire. Toutes ces idées sont intéressantes en soi, mais elles ne sont pas à l’échelle.  Un problème d’échelle que vous soulevez également dans la l’écoconstruction et la rénovation ?  La réglementation s’enrichit (RE2020 ndlr), privilégiant les bâtiments écoconstruits. Pour autant, leur réplicabilité et le passage à grande échelle vont être difficiles. Il y a un problème de ressources. Construire en bois, de plus en plus haut, c’est très bien pour économiser le carbone. Mais si nous voulons continuer à (éco)construire autant de logements, d’immeubles de bureaux, d’entrepôts… j’ai peur que le bois des forêts européennes n’y suffise pas ! Concernant la rénovation thermique, tout le monde plébiscite les grands programmes, mais suivre le rythme est une autre affaire. Si l’on doit rénover 20 millions de logements et que seuls 200 ou 300 000 le sont chaque année, il va nous falloir de l’ordre d’un siècle… Et nous n’avons pas tout ce temps !  Quant à la densification, bien sûr une ville dense consomme moins d’espace ; les transports en commun, mieux remplis, coûtent donc moins cher et s’avèrent plus rentables pour les collectivités… Mais, il y a aussi des effets pervers : par exemple plus les métropoles se densifient, plus les habitants souhaitent une résidence secondaire.  C’est-ce que vous appelez l’effet rebond ?  Oui. A chaque fois que l’on crée de l’efficacité, nous provoquons aussi une augmentation des besoins, et continuons à augmenter globalement la facture environnementale. Par exemple, dans les bâtiments rénovés et mieux isolés, les habitants augmentent inconsciemment leur température de confort, d’où une perte de tout ou partie des gains théoriques. Un rapport en Allemagne de la fédération GdW, présenté à l’été dernier, a montré des résultats assez déprimants : malgré les sommes très importantes engagées dans la rénovation (plus de 340 Mds € entre 2010 et 2018), les économies générées n’ont été que de… 1 à 2 kWh par mètre carré et par an.  Même scénario pour le numérique : les progrès unitaires sont phénoménaux… mais l’augmentation des besoins (quantité de données générées, stockées, transmises…) encore plus, conduisant à une empreinte environnementale croissante. Ce phénomène n’est pas nouveau, la trajectoire technologique de l’humanité, depuis deux siècles, atteste que cette efficacité technologique, rapidement convertie en « efficacité économique » (baisse des prix), fait augmenter les volumes consommés, et donc la facture environnementale totale.  Maintenant que le constat est posé, que faut-il faire ?  Au lieu de rester fascinés devant les perspectives de l’innovation high-tech, l’idée pourrait être d’amorcer une démarche plus « low-tech », visant à l’économie de ressources, à la sobriété à la source, aux réflexions sur le juste besoin. Il ne s’agit pas de revenir à la bougie, mais de faire preuve de « techno-discernement », de faire le tri pour utiliser les technologies – et donc les précieuses ressources qu’elles mobilisent – là où elles sont indispensables, ou là où elles apportent un avantage indiscutable.  Et pour la construction ?  D’abord, rechercher une sobriété d’usage en termes de confort thermique. Il serait bien plus rapide, efficace, bon marché, d’adapter nos habitudes et notre habillement en hiver, d’enfiler un pull et de poser un plaid sur ses genoux en télétravail ou au bureau, bref d’accepter collectivement de décaler notre référentiel de confort, que de l’appréhender seulement à travers le prisme du chauffage ou de l’isolation. Il faut aussi réfléchir en amont pour atteindre une sobriété de construction, accepter de construire moins pour construire mieux. Pour cela, entre autres, remettre en cause nos besoins, dimensionner au plus juste, intensifier l’usage des lieux existants, réinvestir les surfaces vacantes… Et déployer tout l’arsenal nécessaire à la sobriété foncière (densification légère, surélévations, transformation des zones commerciales ou des bureaux en logements…) ; mais les métropoles et les villes – quelle que soit leur échelle – ne pourront pas atteindre, seules, le zéro artificialisation. La puissance publique devra accompagner le mouvement, en renonçant à l’attractivité des « villes-monde » – qui est en train de faire long feu, depuis la crise sanitaire – et en relançant une politique de la décentralisation. 1L’Âge des low tech (Seuil, 2014 ; Points, 2021), Le Bonheur était pour demain (Seuil, 2019). 9ème Congrès interNational du Bâtiment Durable « To build or not to build », il est encore temps de s’inscrire ! https://www.congresbatimentdurable.com/
Il y a 3 ans et 247 jours

Cloître protecteur pour pôle médical, par Maaj

Au cœur de Taverny (Val-d'Oise), ce pôle médical en bois d'allure sereine réalisé par Maaj se signale par la symétrie et la puissance de ses toitures à quatre pans. Implanté à l'intersection de l'A115 et d'une départementale, le pôle médical de Taverny (Val-d'Oise) s'organise à la […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 248 jours

La fin de la dépollution d'AZF se fait toujours attendre vingt ans après l'explosion

Certaines parties de l'ancien site de 70 hectares dans le sud de Toulouse sont aujourd'hui ouvertes au public, à commencer par le mémorial en souvenir des victimes de la plus grave catastrophe industrielle en France depuis 1945.A quelques mètres de ce monument évoquant le "cratère" laissé par l'explosion accidentelle qui a fait 31 morts et des milliers d'autres victimes, le 21 septembre 2001, des piétons se promènent au soleil sur une piste cyclable.Vers le nord, on se rapproche de l'endroit où les 300 tonnes de nitrate d'ammonium, une substance servant à faire des engrais, ont vraiment explosé. Mais, avant d'y arriver, on trouve porte close: les vestiges du "cratère" de 50 mètres de diamètre se trouvent sur un terrain vague clôturé et interdit d'accès."Sous scellés judiciaires"Contrairement au reste du site, ce terrain n'a pas été dépollué car il est encore sous scellés judiciaires, ont indiqué à l'AFP Toulouse Métropole et TotalEnergies, ex Total, dont la filiale Grande Paroisse était la propriétaire du site en 2001.Seulement après cette dépollution, une "réflexion" sur son avenir pourra être enclenchée, précise Toulouse Métropole.En suivant la même piste cyclable vers le sud, le long d'un grillage qui entoure la zone en bord de Garonne remplie de panneaux solaires, on aperçoit l'Oncopole.Ce centre de recherche pour le cancer, construit à cheval sur l'ancien site d'AZF et celui d'une ancienne poudrerie de l'armée, compte plusieurs bâtiments comme celui, avec de grandes surfaces vitrées, des laboratoires Pierre Fabre.Avant la construction de l'Oncopole et de la centrale photovoltaïque, Total a "réhabilité" l'ancien site d'AZF."Les travaux de remise en état" réalisés entre 2002 et 2007 ont coûté 100 millions d'euros, selon TotalEnergies, qui souligne leur conformité avec les exigences des autorités.Cependant, des défenseurs de l'environnement relativisent la portée de la dépollution."On a enlevé quelques poches de pollution, soit d'arsenic, soit de plomb, soit de mercure, parce que c'était vraiment trop flagrant", a expliqué à l'AFP Rose Frayssinet, des Amis de la Terre, qui a suivi de près la "réhabilitation" du site.Les seuils de polluants admis sont d'ailleurs différents selon l'usage des parcelles. Ainsi, ils sont plus exigeants pour la partie Oncopole que pour la partie des panneaux solaires, fermée au public."Dépollution pas totale"Dans tous les cas, "si on avait voulu construire des habitations, il aurait fallu aller beaucoup plus loin dans la dépollution", selon Rose Frayssinet.Un point de vue partagé par Antoine Maurice, tête de liste EELV battu de justesse aux municipales à Toulouse en 2020."La dépollution n'est pas totale. Par exemple, on ne peut pas cultiver. Il peut y avoir des remontées de substances toxiques", déclare à l'AFP M. Maurice. "La dépollution réelle prendra des centaines d'années", ajoute-t-il.Des défenseurs de l'environnement dénoncent aussi la présence à proximité du site d'une "poubelle externe" où Total avait entreposé des déchets d'AZF.TotalEnergies affirme que ce "terril" a également fait l'objet de travaux de réaménagement, en conformité avec les exigences des autorités et qu'il est régulièrement surveillé.Enfin, également à proximité de l'ancienne usine, se trouvent depuis 1917, dans des petits lacs artificiels nommés "ballastières" (carrières d'où on extrait le ballast), 5.000 tonnes de nitrocellulose, un explosif à la puissance équivalente au TNT qui est provisoirement inactivé par l'eau.Régulièrement, élus et défenseurs de l'environnement demandent la dépollution de ces ballastières.La reconversion du site d'AZF répond à une volonté de limiter la place de l'industrie chimique dans le sud de Toulouse, après l'accident de 2001.La chimie n'a cependant pas totalement quitté la zone : depuis le mémorial, on aperçoit aussi, derrière les panneaux solaires, sur une île proche, l'usine de fabrication de carburant de la fusée Ariane.
Il y a 3 ans et 248 jours

Lancement de la 3C.Académie du CCCA-BTP

Le CCCA-BTP, outil à gouvernance paritaire des branches du bâtiment et des travaux publics, qui représente 20 % de l’apprentissage en France tous secteurs professionnels confondus, lance le 13 septembre la 3C.Académie, une plateforme d’offre de connaissances pour accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP dans la montée en compétences de leurs collaborateurs. Elle est ouverte à tous leurs salariés, qui peuvent y accéder gratuitement en créant un compte sur la plateforme.Son objectif : contribuer au développement des compétences d’aujourd’hui et de demain, à travers une offre de connaissances qualitative, diversifiée et adaptée au plus près des réalités du terrain et aux besoins partagés, communs et transverses de tous les acteurs de la formation dédiée aux métiers du bâtiment et des travaux publics.En parfaite adéquation avec la réforme de la formation professionnelle de 2018, c’est dans le cadre de sa nouvelle offre de services au profit de l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP, pour les accompagner et leur permettre d’accroître leur performance et assurer le développement de leur activité et celui de l’apprentissage BTP grâce à une haute qualité pédagogique dans les parcours de formation et les modalités pédagogiques, que le CCCA-BTP crée la 3C.Académie.Un triple objectif pour viser l’excellence de la formation BTP1 | TRANSMETTRE, à travers une offre qualitative par ses modalités pédagogiques avec :une grande variété de contenus multimodaux (distanciel, présentiel et mixte) ;de nombreuses ressources pédagogiques en libre-service : guides pratiques, infographies… ;des parcours cours ou longs, tutorés ou non, organisés en modules composés de quiz, vidéos, études de cas, webinaires, classes virtuelles… ;des ateliers thématiques, micro learning, serious game… 2 | INNOVER, à travers une offre engagée vers la montée en puissance de l’innovation au sein des organismes de formation aux métiers du BTP, en proposant :des contenus adaptés aux évolutions actuelles et futures des métiers, au contexte réglementaire et aux exigences des entreprises, des organismes de formation et plus largement du secteur du BTP ;des contenus spécifiques co-construits et animés par des experts du CCCA-BTP ou des opérateurs référencés.3 | PARTAGER, pour favoriser le développement des compétences, à travers :un espace d’animation des différentes communautés métiers, pour échanger entre pairs sur les bonnes pratiques ou les difficultés rencontrées, partager les retours d’expériences, les expérimentations et les actualités ;des forums de discussions dédiés aux parcours proposés, pour pouvoir questionner les experts ou témoigner de ses expériences.Neuf thématiques inscrites au programmeÀ l’ouverture de la plateforme le 13 septembre, neuf thématiques sont déjà inscrites au programme de la 3C.Académie ; d’autres thématiques viendront l’enrichir d’ici à la fin de l’année 2021.Communication digitale : accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP, pour élaborer et déployer leur stratégie de communication digitale.Démarche innovation : inscrire les organismes de formation aux métiers du BTP, en qualité d’acteurs du développement économique de leur territoire, et leurs apprenants comme ambassadeurs de l’innovation au sein des entreprises.Démarche qualité : accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP au management de la qualité et à la certification.Droit de la formation : aider les organismes de formation aux métiers du BTP à s’informer, comprendre et identifier les impacts de l’actualité juridique de la formation, à maîtriser le cadre juridique de la réforme de la formation professionnelle.Ingénierie et innovation pédagogiques : aider les organismes de formation aux métiers du BTP à repenser l’ingénierie de la formation, améliorer les pratiques et modalités pédagogiques, les espaces et moyens pédagogiques adaptés aux évolutions des matériels, matériaux ou équipements, pour les actualiser, promouvoir le numérique éducatif, afin d’améliorer les contenus de formation, et valoriser les parcours en alternance. Management de projets avec financement externe : accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP à trouver des sources de financement. Management et pratiques RH innovantes : donner des clés en réponse à un environnement dans lequel les méthodes de management et de travail évoluent : donner du sens au travail, se développer, travailler en équipe….Pratiques pédagogiques et éducatives de l’alternance : proposer des parcours « Expertise apprentissage » pour les formateurs BTP et pour les responsables de centres de ressources.Process marketing et commercial : accompagner les organismes de formation aux métiers du BTP dans la construction de leur stratégie marketing et commerciale pour préparer, attirer, convertir, transformer et fidéliser les entreprises et les jeunes.Le mot d’Éric Routier, président du CCCA-BTP« C’est dans le cadre de son offre de services que le CCCA-BTP propose à l’ensemble des organismes de formation qui forment à nos métiers du BTP, que nous lançons aujourd’hui la 3C.Académie. Transmettre, innover et partager sont les trois objectifs de cette nouvelle plateforme de connaissances, ouverte gratuitement aux femmes et aux hommes qui forment avec excellence au quotidien les futures forces vives de notre secteur. Afin d’assurer la haute qualité pédagogique des parcours et modalités pédagogiques que nous devons aux jeunes et aux entreprises, il est essentiel de contribuer au renforcement des compétences des collaborateurs des organismes de formation aux métiers du BTP. C’est une priorité qui est chère à notre organisme national à gouvernance paritaire, notamment en impulsant et permettant la montée en puissance de l’innovation au sein des organismes de formation, qui est un marqueur fort de notre action. La 3C.Académie propose une très grande variété de contenus, avec des ressources, parcours et ateliers thématiques co-construits et animés par nos experts métiers et confortés par l’expertise pédagogique de l’alternance de notre organisme à gouvernance paritaire, que nous déployons depuis près de 80 ans au service des entreprises et des jeunes. »Découvrez la nouvelle plateforme à cette adresse.
Il y a 3 ans et 248 jours

Sylvania réduit l’impact environnemental de ses produits grâce à de nouveaux packagings 100% éco-responsables

Applicables au 1er septembre 2021, la nouvelle réglementation sur l’éclairage ainsi que celle sur l’étiquetage énergétique placent l’environnement et la durabilité des produits au cœur de leurs exigences. En proposant des solutions LED alternatives performantes, Sylvania avait déjà anticipé l’élimination progressive de certaines technologies traditionnelles jugées énergivores. En témoigne le lancement dès 2020 de sa nouvelle génération de tubes LED retrofit ToLEDoTM T8 Universal en remplacement des tubes fluorescents T8 voués à disparaître en 2023. Souhaitant réduire toujours plus son empreinte environnementale, Sylvania saisit aujourd’hui l’opportunité offerte par l’entrée en vigueur de la nouvelle étiquette énergétique. Cette volonté passe par une refonte complète de ses packagings, désormais 100% éco-responsables et encore plus didactiques. 100% carton + 0 plastique = plus écologique S’inscrivant dans le cadre de la politique environnementale de Sylvania, les nouveaux packagings des lampes et tubes de la marque ne contiennent plus aucune matière plastique. Grâce à une conception ingénieuse en carton, ils conservent néanmoins tous les avantages des anciennes versions en utilisant uniquement des matériaux 100% recyclables. Plus écologique, cette solution s’accompagne de l’abandon des emballages sous blister. Illustrant l’engagement de Sylvania en faveur d’un monde plus respectueux de la planète, cette initiative permet au fabricant de diminuer de 25% son empreinte carbone. Elle entraîne également une réduction annuelle de plus d’une tonne de déchets d’emballage plastique. De quoi abaisser d’autant plus son impact environnemental dans les années à venir ! Un graphisme plus didactique Outre une conception éco-responsable (https://www.sylvania-lighting.com/fr-fr/news/items/sylvania-construit-un-avenir-plus-durable/) les nouveaux packagings lampes et tubes de Sylvania adoptent un graphisme plus convivial et plus lisible, en conformité avec l’esprit de la nouvelle réglementation sur l’étiquetage énergétique visant à faciliter l’accès aux informations sur les produits dans les points de vente. Toutes les caractéristiques essentielles sont ainsi affichées de façon claire et précise en différents endroits. Flux lumineux, puissance, classe énergétique, température de couleur, fonction de gradation (dimmable ou non), dimensions, durée de vie… sont autant d’indications accessibles en un coup d’œil, grâce auxquelles le consommateur a l’assurance de trouver et choisir rapidement le bon produit. Offrant une meilleure visibilité de la lampe et de ses spécificités techniques, l’emballage 100% carton affiche bien sûr la nouvelle étiquette énergétique dotée des 7 niveaux de classes d’efficacité allant de A à G. https://www.sylvania-lighting.com/fr-fr/
Il y a 3 ans et 249 jours

Leica BLK3D : des mesures 3D sur photo, en temps réel avec une qualité professionnelle !

Photographiez et mesurez tout ce que vous voulezOn parle en l’occurrence de photogrammétrie pour désigner cette technologie qui permet de relever rapidement les cotes en trois dimensions sur une image numérique. Le procédé utilise des algorithmes qui détectent les contrastes dans une image, puis déterminent les intersections afin de mesurer les distances entre chaque point.Si la technologie n’est pas nouvelle, c’est en réalité le format du BLK3D et sa simplicité d’utilisation qui laisse entrevoir une véritable révolution dans les usages. Avec un poids de 480 grammes et une épaisseur de 27 millimètres, l’imageur 3D de Leica Geosystems possède des dimensions similaires à celles d’un smartphone. Et la ressemblance ne s’arrête pas là puisque le BLK3D embarque aussi un système d’exploitation Android, le Bluetooth, le Wifi et le GPS. Autant d’attributs qui permettent d’appréhender rapidement et facilement les fonctionnalités du BLK3D, afin d’exploiter pleinement la puissance de l’appareil dans toutes les tâches quotidiennes.Une meilleure productivité, sur site comme au bureau Grâce à la combinaison de son appareil photo calibré en stéréo et de ses algorithmes de traitement de données ultra performants, chaque photo capturée par le BLK3D est une documentation complète de mesures en 3D. Il vous suffit, en cliquant sur l’écran tactile, de désigner les extrémités des sections afin de pouvoir mesurer simplement les distances et les surfaces des éléments que vous avez photographiés.Il faut ainsi compter moins de 5 minutes pour prendre des façades en photo et obtenir toutes les distances , même dans les zones inaccessibles (balcons, fenêtres, etc…). Avec une portée allant jusqu’à 20 mètres et une précision garantie à +/- 3 mm, le BLK3D vous dispense de l’installation fastidieuse d’une échelle ou d’une nacelle pour réaliser vos mesures. Une seule personne peut dorénavant s’occuper de l’ensemble des relevés !Le gain de productivité ne s’arrête pas là. Les données recueillies (images, mesures ou plans) peuvent aussi être combinées et traitées via ordinateur. Elles s’exportent rapidement dans tous les formats courants (PDF, jpeg, etc) ainsi qu’en DXF ou DWG 2D ou 3D pour être utilisées directement sur votre logiciel de CAO. Et comme chaque photo contient toutes les données, plus besoin de retourner sur le chantier en cas de modification sur le projet. Bienvenue dans l’univers de la Numérisation !Commercialisé depuis le début de l’été, le BLK3D de Leica Geosystems est disponible dans l’ensemble du réseau TOPOCENTER.Pour en savoir plus et obtenir une démonstration gratuite : cliquez ici
Il y a 3 ans et 254 jours

Lancement d'un débat sur la construction du plus grand parc photovoltaïque de France en Gironde

Le projet baptisé "Horizeo" est porté par les entreprises Engie, Neoen et RTE. Il prévoit la construction d'un parc solaire d'une puissance d'un gigawatt sur plus de 1.000 hectares de surface boisée sur la commune de Saucats (Gironde), à 20 km au sud de Bordeaux."On a affaire au plus gros projet photovoltaïque ou plate-forme bas-carbone de France, et même d'Europe, et parmi les 15 ou 20 grands projets à l'échelle mondiale", a estimé mardi lors d'une conférence de presse Jacques Archimbaud, qui préside la commission de débat public dédiée à Horizeo.Autour du parc sont aussi prévus des batteries de stockage d'électricité, une unité de production d'hydrogène vert, un centre de données et une surface associant cultures agricoles et production d'électricité solaire, pour un budget total d'un milliard d'euros, dont 650 millions pour la partie photovoltaïque, selon le dossier édité par les entreprises porteuses du projet.L'électricité produite sur le site devrait être équivalente à "un quart ou un cinquième de la production d'un réacteur nucléaire", a estimé M. Archimbaud, et serait destinée "à des industriels" et non des particuliers, dans le cadre de contrats de gré à gré.La construction du parc solaire nécessitera le défrichement d'environ 1.000 hectares de forêt dans une zone dédiée actuellement à l'industrie sylvicole.Ce volet devrait être "un sujet majeur" du débat public qui prendra fin en janvier, et a déjà suscité l'opposition au projet du maire EELV de Bordeaux Pierre Hurmic et du président PS du département Jean-Luc Gleyze.Une pétition en ligne intitulée "Non à la déforestation de 1.000 hectares de pins pour un parc solaire en Gironde" a réuni plus de 18.000 signatures en huit mois.Si Horizeo aboutit, les premiers travaux débuteraient en 2024, pour une mise en service "à partir de 2026", indiquent Engie, Neoen et RTE dans leur dossier de présentation.
Il y a 3 ans et 256 jours

Déploiement des ENR : des défenseurs du solaire fustigent la RE2020

DÉBAT. Des experts du Bâtiment se sont réunis pour discuter de la montée en puissance des énergies renouvelables au sein de la filière. Certains regrettent que la réglementation environnementale 2020 ne soit pas allée plus loin.
Il y a 3 ans et 260 jours

Solaire thermique + financements européens = décarbonation de l’industrie

newhHeat, spécialiste du solaire thermique de grande puissance, décarbone une malterie avec l’aide du financement européen « Innovation Fund »
Il y a 3 ans et 261 jours

Logement, école, trafics, transport: les plaies de Marseille

ÉcolePréfabriqués parfois installés depuis 17 ans, et, dans certains établissements, rats dans les cours, toit qui s'effondre ou punaises de lit dans les dortoirs: l'état des écoles marseillaises a été régulièrement pointé du doigt. "Certaines sont dans un état pitoyable", reconnaît le recteur de l'académie Aix-Marseille.Élue en juin 2020, la nouvelle municipalité de gauche avait fait campagne en promettant de consacrer un milliard d'euros pour leur rénovation. Après 30 millions d'euros pour des travaux d'urgence, 85 millions ont ensuite été engagés lors du vote du premier budget, en avril, pour un programme de réhabilitation de 11 des 472 écoles de la ville --des travaux qui devraient débuter en 2022.Le maire Benoît Payan explique avoir travaillé avec l'Etat à un "grand plan de rénovation" estimé à 1,2 milliard d'euros pour "rénover, requalifier ou reconstruire" environ 200 écoles de la ville. "Ce chantier, c'est comme si on avait à reconstruire une ville de 20.000 habitants de A à Z", avait-il plaidé début juin.TransportVille où le "tout voiture" prédomine, qui compte de très rares rues piétonnes, Marseille est très en retard dans son offre de transports en commun --la ville est même classée par Greenpeace comme la lanterne rouge en France en termes de solutions de mobilité alternatives à la voiture.La deuxième ville de France ne compte que 1.129 kilomètres de lignes de bus, tramway et métro, contre 3.886 à Lyon par exemple, selon l'Union des transports publics. Dotée de deux lignes de métro, trois lignes de tramways --dont les parcours sont parfois parallèles--, et 93 lignes de bus, la cité phocéenne n'offre aucune liaison directe entre les quartiers pauvres du Nord et ceux plus aisés du Sud. Et les projets avancent au ralenti: il a fallu cinq ans pour mettre en service, en décembre 2019, une extension du métro M2 de... 900 mètres.La ville méditerranéenne est aussi classée bonne dernière et "très défavorable" pour la pratique du vélo par la Fédération des usagers de la bicyclette, avec seulement 130 km de pistes cyclables sur la métropole, contre 750 pour l'agglomération lyonnaise.Trafic de drogueAvec 156 "plans stups", soit "deux fois plus que des bureaux de poste", Marseille est gangrénée par le trafic de drogue. Derrière ce chiffre révélé par le quotidien La Provence, des dizaines de milliers de personnes vivent notamment dans des conditions souvent infernales dans une quarantaine de cités des quartiers populaires de la ville.Ces trafics génèrent des sommes considérables, jusqu'à 80.000 euros par jour dans la cité des Oliviers A, attisant les convoitises et des guerres de territoire, avec des victimes de plus en plus jeunes: le 18 août, un tireur arrosait de balles de Kalachnikov un point de deal, tuant un adolescent de 14 ans.Depuis, trois personnes ont été tuées, portant à 15 le nombre des victimes des règlements de compte depuis le début de l'année.Pour lutter contre ces réseaux, le ministre de l'Intérieur a promis 300 policiers supplémentaires à Marseille d'ici 2023, dont 100 sont arrivés cette année dans les Bouches-du-Rhône, en plus de deux compagnies de CRS (120 personnels) désormais basées en permanence dans la ville. Selon le maire Benoît Payan, 800 policiers nationaux manquent encore.LogementDès 2015, le rapport Nicol dénombrait 40.000 taudis à Marseille, soit 100.000 personnes concernées sur 860.000 habitants. En novembre 2018, la mort de huit personnes dans l'effondrement d'un immeuble rue d'Aubagne, à deux pas du Vieux-Port, avait illustré de façon dramatique l'état de délabrement avancé d'une partie du parc immobilier, plombant les derniers mois de Jean-Claude Gaudin à la mairie.La situation est critique dans le coeur historique et populaire de Marseille, mais aussi dans certains ensembles périphériques. L'incendie, sans doute criminel, d'un immeuble de la cité des Flamants et la mort de trois des migrants nigérians qui y squattaient, avaient jeté en juillet une lumière crue sur ces "bidonvilles verticaux" dénoncés par la Fondation Abbé Pierre.Autre écueil: le manque de logements sociaux, avec 41.000 dossiers sans réponse. Et si Marseille approche du seuil légal de 25% fixé par la loi SRU, ces logements sont quasiment absents dans les quartiers aisés du Sud ou au centre. Résultat: dans tout le centre ancien, ce sont des logements insalubres qui jouent le rôle de logements sociaux de fait, selon l'association Un centre ville pour tous.Après la rue d'Aubagne, Etat et collectivités ont signé un plan d'action pour répartir les 600 millions d'euros promis contre l'habitat indigne, avec une stratégie à 15 ans pour 1.000 hectares du centre-ville, soit 200.000 habitants. Mais la première phase de ce projet, de 217 millions d'euros, vise quatre îlots dégradés seulement, soit 7 hectares."Il faut que Marseille se recouse, se relève", plaide son maireIl faut que Marseille "se recouse, se relève", car la deuxième ville de France "n'est pas à la hauteur" de ce qu'elle devrait être, a plaidé mardi auprès de l'AFP son maire, Benoît Payan, avant une visite du président Emmanuel Macron.Question: Pourquoi Marseille appelle-t-elle l'Etat à l'aide?Réponse: "C'est une ville bouleversante, merveilleuse, une ville de résilience. Mais c'est une ville dans une situation financière exsangue, qui n'est pas à la hauteur de ce qu'elle devrait être. Ca fait longtemps qu'elle rate ses rendez-vous. Elle doit avoir un rôle dans le pays, en Méditerranée. Pour ce faire, il faut qu'elle se reconstruise, qu'elle se recouse, qu'elle se relève. On a une situation dans les services publics, dans les écoles, les équipements publics, sportifs, culturels qui ne va pas du tout. Les écoles sont indignes de la République, la situation du logement ne correspond pas à la sixième puissance du monde.Marseille, qui est une ville qui fait cinq fois Lyon en surface, a deux lignes de métro inaugurées il y a 40 ans. Une grande métropole en Europe n'a pas été capable de faire une ligne de métro (de plus) en 40 ans!"Q: Qu'attendez-vous de l'Etat exactement?R: "L'Etat a un rôle à jouer, pas pour venir nous faire l'aumône ou sauver Marseille, mais pour qu'on fabrique quelque chose ensemble. On a commencé à travailler à un grand plan de rénovation des écoles car c'est là que tout commence. On a fabriqué un plan à 1,2 milliard d'euros, c'est ce qu'il faut pour rénover, requalifier ou reconstruire. Au moment où je vous parle je n'ai pas la participation de l'Etat mais personne ne peut imaginer, au vu des attentes colossales et au vu de la réalité, que le président de la République vienne jeter de la poudre de perlimpinpin. Les gens imaginent que c'est une ville qui vit sous oxygène de la République, sous financement de l'Etat (...) mais dans la réalité, c'est une ville qui est parfois moins dotée que les autres grandes villes françaises. Je ne veux pas de chèque, parce que je veux (l'Etat) comme partenaire, pas comme financeur. Comme partenaire pour montrer qu'on avance, pour être transparent dans la manière dont je fais les choses, pour pas qu'on dise l'argent est englouti je ne sais où."Q: Mais les mairies successives, de gauche comme de droite, n'ont-elles pas une responsabilité dans cette situation?R: "Marseille a souffert d'un personnel politique, droite et gauche confondues, qui n'a pas peut-être su ou trouvé l'ambition nécessaire. Quand l'Etat fait le choix, il fait le choix du projet le plus pertinent (à soutenir financièrement) et Marseille a rarement eu des projets pertinents, de la part des administrations de droite ou de gauche.On a eu pendant des années une incapacité à aller récupérer des fonds à l'Agence nationale pour la rénovation urbaine par exemple, à porter des projets, à consommer des crédits, évidemment que ça désespère l'Etat.Quand on est un minot à Marseille et qu'on est du mauvais côté de la barrière, c'est-à-dire dans des quartiers qui n'ont jamais été regardés par les élus pendant de trop nombreuses décennies, quand on a cette malchance, la mairie n'était pas là, mais quelque part aussi, la République n'était pas là."
Il y a 3 ans et 267 jours

Le tunnelier Gaïa du chantier de construction de la centrale hydroélectrique CNR de la Sarenne (Isère) est baptisé

En raison d’une situation géographique complexe pour accéder au puit d’entrée située sur le village de La-Garde-en-Oisans, le tunnelier est arrivé en plusieurs pièces distinctes sur plusieurs jours du mois de juillet.Trois semaines ont été nécessaires à son assemblage avant d’entrer en fonction mi-aout.L’emploi du tunnelier Gaïa intervient dans le cadre d’un chantier de 36 mois relatif à la réalisation par CNR d’un nouvel aménagement hydroélectrique sur la rivière de la Sarenne, situé au milieu des montagnes iséroises. Il s’agit d’un tunnelier à roche dur, long de 170 m et de 4m20 de diamètre, équipé de gripper et de ski pour faciliter son avancement dans une pente à 23%.Une livraison en plusieurs phases due à un environnement contraintSon acheminement a nécessité plusieurs semaines d’organisation compte-tenu des contraintes d’accès du bourg de La Garde-en-Oisans, et s’est opéré sur plusieurs dates par convoi exceptionnel, équipé de 4 essieux directionnels pour s’assurer d’une bonne tenue de route :Le corps du tunnelier est arrivé jusqu’à la zone tampon de la base vie de Spie batignolles génie civil depuis l’Italie. Celui-ci a été déchargé le 16 juillet dernier à l’aide d’une grue de 200 tonnes.Le 19 juillet, les équipes ont réceptionné sur le chantier la grue mobile de 200 tonnes. Elle permettra d’assembler les pièces constituant l’avant du tunnelier. Au cours de la même journée, le corps du tunnelier a été acheminé jusqu’au chantier de La Garde, soit un colis de 63 tonnes sur une longueur de 12 m.Le 20 juillet, les équipes ont fait grimper deux grippers du Bourg-d’Oisans jusqu’à la plateforme de la Garde, pour un poids de 24 tonnes sur 4 m de long.Le 21 juillet, un convoi exceptionnel a transporté le convoyeur (13 m de longueur) et du matériel jusque sur la plateforme.Le 22 juillet, la roue de coupe du tunnelier, de 25 tonnes, est arrivée sur le chantier de façon quelque peu originale pour conserver un gabarit routier quasi classique. Celle-ci était tenue sur l’intégralité de sa longueur sur un attelage métallique, de façon semi-verticale. Au cours de la semaine 29, les pièces constituant l’avant du tunnelier sont arrivées en plusieurs colis directement jusqu’au site d’assemblage.Les équipes assemblent la première partie du tunnelier, à l’aide de la grue de 200 tonnes, correspondant à 110 mètres linéaires, qui sera ensuite lancée en galerie pour débuter le creusement en mode dégradé. Cette première étape devrait s’étendre sur 3 semaines (semaines 33 à 35). Lorsque le tunnelier aura atteint 80 ml, les équipes rajouteront les 7 dernières remorques et le convoyeur tunnel. L’assemblage nécessitera 3 autres semaines.Le creusement du tunnelier correspond au marché du lot 2 (sur les deux lots pilotés par Spie batignolles génie civil). Il évoluera sur un tracé de 2.3 km avec une pente de 23 %, depuis une galerie de 70 ml préalablement réalisée à l’explosif par les équipes de Spie batignolles génie civil.En fonction des caractéristiques de la roche, le soutènement sera adapté avec simple ou double boulonnage. Des voussoirs radier d’1m20 de diamètre seront positionnées au fur et à mesure de l’avancement du tunnelier. En raison de la présence de zones amiantifères, le tunnelier a été adapté pour garantir la sécurité des équipes (cabine de décontamination, etc). Les équipes de Spie batignolles génie civil ont prévu de faire fonctionner le tunnelier en condition amiante dès les premiers mètres creusés, pour s’assurer que les mesures de sécurité mises en place soient bien respectées. Fin de creusement prévue en avril 2022, sur la commune d’Huez.Un nouvel aménagement hydroélectrique pour accélérer la transition énergétique des territoiresCNR a lancé en mars 2021 le chantier de construction de la centrale hydroélectrique de la Sarenne (Isère), qui alimentera dès 2024 en électricité renouvelable l’équivalent de la consommation électrique de 16.000 habitants. La chute d’eau naturelle constituée par la cascade de la Sarenne représente un site de choix pour cet aménagement hydroélectrique dit de « haute chute » (735 m) et d’une puissance installée de 11 MW. Cet aménagement porte une attention particulière au respect de la biodiversité et à la prise en compte d’un environnement montagnard sensible.Il s’inscrit pleinement dans la stratégie de développement des activités hydroélectriques de CNR au-delà du fleuve Rhône, et représente, pour l’Isère, un nouvel actif de production d’énergie verte pour accélérer la transition énergétique du territoire.
Il y a 3 ans et 268 jours

Nouveau circulateur d'eau chaude sanitaire Wilo-Star-Z Nova

Avec une conception de produit entièrement repensée, les gammes Wilo-Star-Z NOVA permettent une efficacité énergétique et un confort d’utilisation renforcés, dans une conception ultra compacte.Sécurité d'hygiène maximaleWilo ne néglige aucun détail en matière d'hygiène de l'eau potable : « De nombreux composants garantissent le plus haut degré de sécurité en matière d'hygiène », explique Philippe Wiss, chef de produits chez Wilo. « Le Wilo-Star-Z NOVA T nouvelle version a conservé le clapet anti-retour qui a fait ses preuves et la détection automatique de la désinfection thermique. » La combinaison de la minuterie intégrée et du thermostat de l'équipement standard ne laisse aucune chance aux germes.Nouvelle technologie moteur pour un fonctionnement efficaceLe nouveau Wilo-Star-Z NOVA T est désormais encore plus économe en énergie : « Nous avons pu optimiser considérablement la technologie moteur, ce qui nous a permis de réduire de plus de 70% la consommation d'énergie (pourtant déjà faible) du modèle précédent », explique Philippe Wiss. L’équipement du circulateur avec une coque d’isolation thermique fait également partie des mesures d’optimisation de l’énergie. Wilo, pionnier en matière d’innovation technologique sur le marché des pompes, a également amélioré et simplifié la manipulation de la pompe : « Cela commence par l’installation de la pompe, qui devient un jeu d’enfant, grâce au robinet d’arrêt et au connecteur Wilo-Connector », explique Philippe Wiss. "La technologie du bouton vert avec son guidage intuitif de l'utilisateur et son écran LCD montrent tous les paramètres de la pompe et facilite également sa configuration et sa maintenance." Cette gamme impressionnante de fonctionnalités et ses possibilités de réglages personnalisés font du nouveau Wilo Star-Z NOVA T une pompe qui offre un haut niveau de sécurité en matière d’hygiène, une faible consommation d’énergie et une convivialité supérieure.Focus Wilo-Star-Z NOVA TApplicationCirculateur pour eau chaude sanitaire Wilo-Star-Z NOVA T (version pompe à rotor noyé) pour maison individuelle.Ce circulateur convient seulement pour l'eau potable.ConstructionPompe pour installation en ligne, moteur synchrone auto-protégé avec couple de démarrage élevé.Avec coquille d'isolation thermique de série, filetage du corps Rp ½.Corps de pompe en laiton, roue Noryl, arbre en céramique.Utilisable dans les applications d'eau potable jusqu'à une dureté max. de 20 °dH. Puissance absorbée de 6 W.Pompe complète avec vanne à boisseau sphérique et clapet anti-retour avec filetage G1, horloge intégrée, contrôle de la température et routine pour la détection et le soutien d'une précaution thermique anti-légionnelle côté chaudière.AvantagesSécurité d'hygiène élevée assurée par une technologie éprouvée avec le clapet, la détection automatique de la désinfection thermique, l’horloge intégrée et le thermostatRendement énergétique amélioré grâce à une technologie de moteur adaptée avec une consommation électrique de seulement 6 wattsGrand confort d'utilisation à l'aide de la technologie du bouton vert et d'un guidage intuitif sur l'écran LCDInstallation et remplacement simple et rapide grâce au moteur de rechange flexible et au Wilo-Connector