Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour verre

(2788 résultats)
Il y a 3 ans et 152 jours

Les professionnels de la construction partent en campagne auprès des jeunes

Dans les métiers de la construction, chaque jour est un nouveau défi… Pour le faire savoir, à l’initiative de l’ensemble des fédérations professionnelles d’employeurs et des organisations syndicales de salariés réunies au sein du conseil d’administration du CCCA-BTP, les professionnels de la construction partent en campagne avec « La Construction. Demain s’invente avec nous ».Cette campagne nationale s’adresse aux jeunes, pour leur faire découvrir la diversité et la richesse des métiers du bâtiment et des travaux publics et leur donner envie de rejoindre le secteur, en s’y formant par l’apprentissage. Lancée le 13 décembre 2021, elle se déploiera jusqu’au mois de juin 2022. La campagne s’inscrit dans le cadre de la dynamique de développement de l’apprentissage BTP du CCCA-BTP, au profit de l’ensemble des professionnels du bâtiment et des travaux publics, pour susciter de nouvelles vocations auprès des jeunes en quête d’orientation, futures forces vives du secteur de la construction.L’objectif de cette campagne ? Faire découvrir aux jeunes les atouts d’un secteur dynamique et innovant, qui offre à chaque talent de belles perspectives d’évolution et de carrière, tout au long de sa vie professionnelle, la garantie d’un emploi hautement qualifié et, surtout, que dans les métiers de la construction, chaque jour est un nouveau défi.Un casting de jeunes professionnels pour partager la fierté de leurs métiersParce que les professionnels de la construction sont les meilleurs porte-parole pour promouvoir leur métier auprès des jeunes en recherche d’une orientation, six jeunes professionnels du bâtiment et des travaux publics, venus de toute la France et retenu parmi les 200 candidats ayant participé à l’appel à candidatures « La Construction fait son casting ».Monteur de réseaux électriques, installateur thermique, couvreur, carreleur-mosaïste, maçon et menuisier aluminium-verre... Tous ont moins de 30 ans, sont apprentis, chef d'entreprise ou salariés.Leur point commun : l’envie de partager la passion et la fierté d’exercer leur métier au quotidien et d’en montrer toute la diversité !Les ambassadeurs de la campagne :Antoine : couvreur, apprenti, formé à BTP CFA Gironde (Blanquefort)Benjamin : maçon, salarié, formé chez les Compagnons du devoir et du Tour de FranceCallum : monteur de réseaux électriques, salarié, formé au CFCTP d’ÉgletonsDinis : menuisier aluminium-verre, apprenti, formé à BTP CFA Gironde (Blanquefort)Justine : carreleuse-mosaïste, salariée, formée à BTP CFA Vendée (La Roche-sur-Yon)Sébastien : installateur thermique, chef d’entreprise, formé à BTP CFA AntibesUn dispositif de communication à la hauteur des ambitions de la campagneLe dispositif de communication pluri média mis en place est à la hauteur des ambitions des professionnels : six films publicitaires diffusés à la télévision et sur Internet, un plan média et une animation sur les réseaux sociaux, un site internet dédié, un module de découverte ludique et interactive des métiers de la construction, une opération au sein des territoires…Six films publicitairesLes six films publicitaires, d’une durée de 30 secondes, mettent chacun en scène un métier : carreleur-mosaïste, couvreur, installateur thermique, maçon, menuisier aluminium-verre et monteur de réseaux électriques. Chacun montre qu’en exerçant un métier de la construction, chaque jour est différent, grâce à la diversité des situations de chantier.Trois vagues de deux semaines sont organisées pour la diffusion des six films en télévision sur les chaînes C8 et CStar, NRJ12, 6ter et W9, TFX et L’Équipe : du 13 au 26 décembre 2021, du 24 janvier au 6 février 2022 et du 5 au 19 mars 2022. Le dispositif est complété par un plan média digital sur les moteurs de recherche et les réseaux sociaux.Un site Internet dédié : laconstruction.frLe site internet laconstruction.fr propose de nombreux contenus, pour répondre aux interrogations des jeunes et les accompagner dans leur orientation professionnelle, notamment avec un moteur de recherche des formations en apprentissage aux métiers du BTP sur l’ensemble du territoire, un formulaire d’inscription, en lien avec l’opération de recrutement du CCCA-BTP « Boost apprentissage BTP », des fiches métiers, ou encore des vidéos de témoignages de professionnels.Un kit de communication de tous les supports de la campagne (affiches, flyer, fiches métiers, bannières Internet, vignettes pour les réseaux sociaux, etc.) est également mis à disposition, pour permettre à tous les organismes de formation aux métiers du BTP et prescripteurs de l’orientation et de l’emploi de relayer et d’être acteurs de la campagne sur leur territoire.Construction City, le module de découverte des métiers, disponible sur laconstruction.frConstruction City est un quiz sur les métiers du bâtiment et des travaux publics accessible via le site laconstruction.fr, pour faire découvrir leur diversité aux jeunes de façon interactive et ludique. Il peut être utilisé individuellement ou collectivement en classe, ou lors des portes ouvertes dans un CFA par exemple.Dans un univers urbain imaginaire créé en 3D, l’utilisateur découvre les métiers de la construction en cliquant sur différentes zones de construction, dans lesquelles les professionnels peuvent être amenés à intervenir, et répond à un quiz sur chacun des métiers. Pour répondre correctement, il peut s’appuyer l’ensemble des informations mises à sa disposition (fiches métiers, vidéos, etc.).Une opération de mobilisation nationale pour créer l’événement autour de l’apprentissage BTPDu 5 au 19 mars 2022, une opération spéciale de mobilisation #PassionConstruction sera organisée pour mettre un coup de projecteur sur les métiers de la construction et l’apprentissage comme voie d’excellence pour s’y former.L’occasion de donner plus de visibilité à tous les événements pouvant être organisés à cette période par les organismes de formation aux métiers du BTP, entreprises et prescripteurs de l’orientation, comme les journées portes ouvertes, pour promouvoir les métiers de la construction et la voie de l’apprentissage.Pour accompagner cette opération, une journée spéciale sur l’antenne d’une radio nationale, de la publicité digitale, à la télévision et en radio, une campagne d’affichage…
Il y a 3 ans et 153 jours

Une façade de verre qui bombe le torse

Le nouveau siège social de BlaBlaCar (Paris XIe) offre une façade particulièrement repérable dans le tissu urbain de la capitale, en alignant 24 pans de verres bombés de quadruple hauteur.
Il y a 3 ans et 154 jours

Mort de l'architecte britannique Richard Rogers, co-créateur du centre Pompidou à Paris

Agé de 88 ans, lauréat du prix Pritzker en 2007, Richard Rogers "est décédé paisiblement", a déclaré Matthew Freud, président et fondateur de l'agence de communication Freuds, à l'agence de presse britannique PA. Selon le New York Times, son fils Roo Rogers a confirmé son décès, dont la cause n'a pas été précisée."Très émus d'apprendre la disparition de Richard Rogers, architecte de génie de notre bâtiment avec son complice Renzo Piano", a réagi sur Twitter le centre Pompidou."Immense tristesse", a quant à elle tweeté la maire de Paris Anne Hidalgo, "Richard Rogers était un visionnaire, un architecte, un artiste talentueux , libre et inspirant. Il aimait Paris. À sa famille, à ses proches j'adresse toutes mes condoléances".Le critique d'architecture américain Paul Goldberger a déploré une "nouvelle perte immense pour l'architecture en 2021" et salué sur la réseau social "un homme courtois et un talent formidable".Né à Florence en 1933 avant de fuir avec sa famille l'Italie de Mussolini pour s'installer à Londres, Richard Rogers est l'un des pionniers du mouvement "high-tech", qui se distingue par ses structures de verre et d'acier et ses tuyauteries apparentes.Outre le centre Pompidou dans le coeur de Paris, qu'il a créé en 1971 avec son ami Renzo Piano, il a dessiné le siège de la compagnie d'assurances des Lloyd's, un ovni architectural inauguré en 1986 dans la City de Londres.Il a également créé le bâtiment de la Cour européenne des droits de l'Homme à Strasbourg, les bureaux à Berlin sur la Potsdamer Platz, un terminal de l'aéroport international de Barajas à Madrid, le "Three World Trade Center" à New York, ainsi que le "Dôme du millénaire" à Londres, curiosité des festivités de l'an 2000 qui lui valut les foudres du Prince Charles.Devenu Lord Rogers of Riverside, l'architecte a siégé à partir de 1996 à la chambre des Lords, la chambre haute du Parlement britannique, dans les rangs travaillistes.
Il y a 3 ans et 158 jours

Lancement de “La Construction. Demain s’invente avec nous”

Affiche promotionnelle du CCA-BTP pour “La Construction. Demain s’invente avec nous”. [©CCA-BTP] Les professionnels de la construction partent en campagne auprès des jeunes, en lançant “La Construction. Demain s’invente avec nous”. Ceci, pour promouvoir la richesse et la diversité́ des métiers du BTP, et l’apprentissage pour s’y former. Pilotée par le CCCA-BTP, cette campagne se déploiera jusqu’au mois de juin 2022. Son but ? Susciter de nouvelles vocations auprès des jeunes en quête d’orientation, « futures forces vives du secteur de la construction ». Un casting de jeunes pour partager la fierté de leurs métiers Venus de toute la France, six jeunes professionnels du bâtiment et des travaux publics ont été retenus parmi les 200 candidats ayant participé à l’appel à candidatures de “La Construction. Demain s’invente avec nous” pour être les ambassadeurs de la campagne : Antoine : couvreur, apprenti, formé à BTP CFA Gironde, Benjamin : maçon, salarié, formé chez les Compagnons du devoir et du Tour de France,Callum : monteur de réseaux électriques, salarié, formé au CFCTP d’Egletons, Dinis : menuisier aluminium-verre, apprenti, formé à BTP CFA Gironde, Justine : carreleuse-mosaïste, salariée, formée à BTP CFA Vendée,Sébastien : installateur thermique, chef d’entreprise, formé à BTP CFA Antibes. Tous ont moins de 30 ans. Leur point commun : l’envie de partager la passion et la fierté d’exercer leur métier au quotidien et d’en montrer toute la diversité ! Six films publicitaires, mais pas que… La campagne s’appuie aussi sur six films promotionnels, d’une durée de 30 s, qui mettent chacun en scène un métier. Trois vagues de deux semaines sont organisées pour leur diffusion en télévision sur les chaînes 6ter, C8, CStar, L’Equipe, NRJ12, TFX et W9. Le dispositif est complété par un plan média digital sur les moteurs de recherche et les réseaux sociaux. De plus, le site Internet “laconstruction.fr” propose de nombreux contenus. Avec, en particulier un moteur de recherche des formations en apprentissage aux métiers du BTP sur l’ensemble du territoire. Et un formulaire d’inscription, en lien avec l’opération de recrutement du CCCA-BTP “Boost apprentissage BTP”, des fiches métiers. Ou encore des vidéos de témoignages de professionnels. Par ailleurs, Construction City est disponible sur site. C’est un quizz qui fait découvrir la diversité des métiers aux jeunes de façon interactive et ludique.   Enfin, un kit de communication de tous les supports de la campagne (affiches, flyer, fiches métiers, bannières Internet…) est de plus mis à disposition de tous les organismes de formation aux métiers du BTP et prescripteurs de l’orientation et de l’emploi. Et ce, pour relayer les informations.
Il y a 3 ans et 160 jours

Montreuil adhère au Pacte Bois-Biosourcés

Face aux enjeux climatiques, Montreuil est engagée dans la généralisation de solutions de constructions bas carbone dans la logique des accords de Paris, de celle de sa Charte pour la construction d’une ville résiliente mais aussi des dispositions réglementaires de son PLUi. Cette attention constante passe par une politique d’achats responsables en regardant les alternatives à l’emploi de matériaux de construction fortement émetteurs de CO2 tels le béton ou l’acier. La majorité municipale vient de voter en faveur de l’adhésion à l’association FIBOIS qui porte en Île-de-France le Pacte Bois-Biosourcés. Montreuil s’engage à viser le niveau argent de ce pacte, c’est-à-dire à garantir qu’un minimum de 20 % des surfaces planchers construites ou rénovées le soient à partir d’approvisionnement en bois issus à 30 % de forêts françaises, gérées durablement. Elle incitera à ces pratiques vertueuses les promoteurs désireux d’intervenir pour des projets d’aménagement de plus de 2 000 m2, en intégrant ces critères aux préconisations relatives aux bâtiments, à l’isolation, aux matériaux de second œuvre et aux façades pour sa Charte de la construction durable modifiée récemment. La ville a déjà mis en œuvre ces engagements lors de la construction des 5 600 m2 du groupe scolaire Marceau composé notamment de 300 tonnes de matériaux bois et bio sourcés réduisant d’autant l’emploi de béton, métal, verre et dérivés plastiques mais aussi lors de la construction de la nouvelle école Marie-et-Louis-Odru dont la troisième phase s’est achevé à l’été 2021.  
Il y a 3 ans et 161 jours

Knauf Insulation intègre une unité de recyclage dans une usine en Belgique

RECYCLAGE. Knauf Insulation, spécialiste des solutions d'isolation, va disposer dans son usine de Visé, située dans la province de Liège, (Belgique), d'une unité de recyclage de laine de verre. Objectif : mettre en place un schéma d'économie circulaire.
Il y a 3 ans et 164 jours

Saint-Gobain se sépare de son activité transformation de verre au Danemark

CESSION. Le géant de matériaux, Saint-Gobain, a cédé son activité régionale de transformation de verre Glassolutions au Danemark.
Il y a 3 ans et 164 jours

À Barcelone, Faulí dans les pas de Gaudí pour achever la Sagrada Familia

"J'aimerais être ici pendant de nombreuses années encore, bien sûr, mais je m'en remets à Dieu", confie dans une grimace timide ce Barcelonais, né près de la célèbre basilique, où il a commencé à travailler en 1990.A l'époque, il avait 31 ans. Soit le même âge que Gaudí lorsqu'il s'était lancé dans la construction de cet ouvrage monumental auquel il consacra quatre décennies, jusqu'à sa mort, lorsqu'il fut percuté par un tramway en 1926."Quand je suis arrivé, seules trois de ces colonnes étaient construites, et seulement les dix premiers mètres", raconte à l'AFP Jordi Faulí, en désignant plusieurs piliers de pierre depuis un grenier de la nef principale."J'ai eu la chance de planifier et de voir construit tout l'intérieur, puis la sacristie, et maintenant les tours centrales", ajoute cet homme de 62 ans au phrasé lent.La plus grande des neuf tours déjà achevées, celle de la Vierge Marie, a été officiellement inaugurée mercredi soir, avec l'illumination d'une gigantesque étoile de verre et d'acier de 5,5 tonnes surplombant la structure à 138 mètres de haut.Plusieurs milliers de personnes ont assisté à l'événement, organisé le jour de l'Immaculée Conception. L'inauguration de cette tour, appelée à devenir à terme la deuxième plus haute tour sur les 18 prévues par Gaudí, a été saluée par le pape François, qui a rendu hommage dans un message vidéo au "grand architecte Antoni Gaudi".Histoire heurtéeA quel moment le reste de l'édifice sera-t-il achevé ? Le calendrier initial prévoyait une fin des travaux en 2026, date du centenaire de la mort du célèbre architecte moderniste. Mais avec la pandémie de Covid-19, cet objectif a été abandonné et la suite des travaux reste incertaine."Nous ne pouvons donner aucune estimation, car nous ne savons pas à quel niveau les visites vont reprendre dans les années à venir", explique Jordi Faulí, qui rappelle que la basilique n'est financée que par les dons privés et, surtout, les entrées payantes des visiteurs.En 2019, la Sagrada Familia a été le monument le plus visité de Barcelone, avec 4,7 millions d'entrées. Mais avec la pandémie de Covid-19, la basilique est restée fermée au public durant presqu'un an à partir de mars 2020, en deux périodes cumulées.Selon les données municipales, moins de 764.000 personnes ont ainsi visité le bâtiment en 2020. Et d'après la fondation en charge des travaux, les visites ne retrouveront pas leur niveau d'avant-crise avant la fin 2023 au plus tôt.Ce n'est pas la première fois que le chantier se heurte à des difficultés. La Sagrada Familia a même vu son avenir menacé lors de la Guerre civile espagnole (1936-1939), quand une grande partie des plans et maquettes laissés par Gaudí ont disparu dans un incendie.Pour certains, cette perte capitale ne permet pas de considérer les éléments récents comme l'oeuvre de l'architecte catalan. L'Unesco n'inclut d'ailleurs à son patrimoine mondial que la façade de la Nativité et la crypte de la basilique, érigées du vivant de Gaudí.Mais pour Faulí, l'édifice actuel est fidèle au projet d'origine. Gaudí "a clairement dessiné la disposition des différents éléments des nefs (...), des voûtes, des tours" et proposé "que ces règles géométriques, cette grammaire qu'il a laissées dans ses modèles puissent être reproduites", insiste-t-il.Tourisme de masseAvant la pandémie, Faulí, nommé architecte en chef de la basilique en 2012, dirigeait une équipe de 27 architectes et plus de 100 ouvriers. Aujourd'hui, seuls cinq architectes et 16 ouvriers travaillent sur le chantier.A Barcelone, ville de 1,6 million d'habitants où le débat sur son modèle touristique fait rage, un tel projet est d'autant plus délicat que nombre d'habitants s'opposent au tourisme de masse qui, selon eux, détruit certains quartiers de la ville... dont celui de la basilique."Ma vie est ici et ils veulent la mettre à terre" ou "Stop aux mensonges des guides touristiques", dénoncent ainsi des banderoles attachées à des balcons dans la rue où doit être construite la future entrée principale de l'édifice, un escalier qui obligerait à reloger plusieurs centaines de familles.Interrogé sur ces critiques, Faulí prône "le dialogue avec tout le monde et la recherche de solutions justes".Il aimerait cependant voir achevée la façade principale de l'édifice, dont il ne s'est jamais éloigné plus de deux semaines d'affilée au cours des 30 dernières années.
Il y a 3 ans et 164 jours

Saint-Gobain cède Glassolutions au Danemark

Poursuivant sa stratégie d'optimisation de son portefeuille, le géant des matériaux a cédé son activité de transformation de verre à l'allemand Semcoglas.
Il y a 3 ans et 165 jours

Hager enrichit son offre d'appareillage mural avec un nouvel interrupteur rotatif 1930 lumineux

2 références inédites pour 1930Huit références de la gamme 1930, dont deux inédites, proposent cette fonction, qui diffuse une lumière douce à l’intérieur de l’interrupteur rotatif et met en valeur son design. Un module LED est intégré dans l’insert du commutateur rotatif. Il s’enclenche et est alimenté en toute sécurité par des ressorts de pression. Accessible en face avant, il peut être installé a posteriori ou facilement remplacé.Ce module assure à la fois une fonction de témoin ou de signalisation avec deux tonalités d’éclairage :en position verticale, une lumière blanc froid permet un repérage aisé dans le noir (fonction signalisation),en position horizontale, une lumière blanc chaud offre une vérification simple des points électriques en cours de fonctionnement (fonction témoin).La fonction lumineuse est disponible sur l’ensemble des finitions de la gamme excepté la finition verre.3 finitions sont disponibles pour une intégration parfaiteLa gamme d’appareillage mural 1930 adopte un style authentique tout en conservant une touche de modernité, pour les intérieurs les plus raffinés. Son esprit "années 30", inspiré du mouvement Bauhaus, est particulièrement prisée pour les chantiers à la décoration affirmée : vintage, historique, rétrochic industriel.classique avec une finition blanche (alba) ou noire (nuit),verre, transparente, en saillie sculptée délicatement dans un verre fumé,porcelaine noire ou blanche. Pour cette finition d’exception, Hager s’appuie sur le savoir-faire artisanal de la maison Rosenthal qui fait référence dans la création d’objets d’art et de design.Selon les finitions choisies, les prises et interrupteurs de la gamme 1930 sont disponibles jusqu’à 3 modules multipostes, avec un large choix de fonctionnalités : manette rotative, bouton-poussoir, voyant lumineux, RJ45, variateur, commande de volets roulants, prise de courant, prise TV+FM etc.
Il y a 3 ans et 167 jours

Saint-Gobain rachète l'américain GCP Applied Technologies pour 2 milliards d'euros

"Cette acquisition constitue une étape décisive pour établir Saint-Gobain comme un leader mondial de la chimie de la construction - avec un chiffre d'affaires total de plus de 4 milliards d'euros, contre 3 milliards d'euros précédemment - et renforce la stratégie du groupe en tant que leader mondial de la construction durable", a mis en avant le groupe français.L'accord porte sur "l'intégralité des actions de GCP pour un montant en numéraire de 32 dollars par action, qui correspond à une valeur d'entreprise d'environ 2,3 milliards de dollars, soit environ 2 milliards d'euros", est-il précisé.GCP Applied Technologies est un "acteur mondial majeur" de la chimie de la construction, qui réalise environ 1 milliard d'euros de chiffre d'affaires annuel, compte 50 usines de production dans 38 pays et quelque 1.800 employés. Il est notamment spécialisé dans les additifs pour ciment, adjuvants pour béton et solutions d'imperméabilisation pour les infrastructures, le commercial et le résidentiel."GCP représente une opportunité unique pour Saint-Gobain d'établir une présence de leader mondial dans le secteur en croissance de la chimie de la construction", résume le groupe.Dans ce même secteur, Saint-Gobain avait racheté en mai dernier Chryso, entreprise française spécialisée dans les adjuvants pour matériaux de construction, pour 1,02 milliard d'euros."Après l'acquisition réussie de Chryso, celle de GCP constitue l'étape suivante logique permettant à Saint-Gobain d'étendre sa présence dans les adjuvants et additifs, qui jouent un rôle clé dans la décarbonation de l'industrie de la construction", souligne l'entreprise française dans son communiqué."Chryso a des positions très fortes en Europe et en Afrique alors que GCP a des positions fortes en Amérique du nord et en Asie, la présence du groupe passe à 38 pays", a souligné le directeur général de Saint-Gobain lors d'une conférence téléphonique."Vous verrez une excellente année de Saint-Gobain sur l'année 2021, on va faire bénéficier GCP des gains sur achats de Saint-Gobain", a-t-il ajouté."Saint-Gobain est parfaitement positionné pour assurer le succès des activités de GCP et de ses équipes sur le long terme, a pour sa part estimé Simon Bates, PDG de GCP.La finalisation de la transaction est soumise à l'accord des actionnaires de GCP, à l'autorisation des autorités de concurrence et à la satisfaction d'autres conditions d'usage. Elle devrait avoir lieu d'ici fin 2022, selon le communiqué.
Il y a 3 ans et 171 jours

BOSCH PROFESSIONAL – Nouvelle gamme d’accessoires EXPERT : Des technologies avancées pour une longue durée de vie, une plus grande résistance et plus de rapidité

La gamme d’accessoires EXPERT : Des performances Optimales Les professionnels du bâtiment obtiennent de meilleurs résultats lorsqu’ils associent des outils performants à des accessoires innovants. Mais de nombreux utilisateurs ne savent pas toujours à quel point ils peuvent augmenter leur productivité grâce aux accessoires qu’ils choisissent. Les nouveaux accessoires Bosch de la gamme EXPERT offrent aux professionnels des performances maximales, quels que soient leurs travaux, et durent plus longtemps. Bénéficiant des dernières technologies avancées, ils garantissent le meilleur, même pour des applications difficiles. Parmi les dernières nouveautés, Bosch lance le foret Expert HEX-9 HardCeramic pour les carrelages durs, la lame de scie sabre Expert Thick Tough Metal pour la découpe de métal épais, la lame de scie sauteuse Expert Hardwood fast pour le travail du bois et le disque à tronçonner X-Lock Expert Diamond Metal Wheel pour la coupe de métal. Nouveau Foret Expert HEX-9 HardCeramic Une nouvelle façon de percer les carrelages durs L’augmentation de la taille et de la dureté des carrelages rend leur perçage très délicat. C’est pourquoi Bosch a développé le foret Expert HEX-9 HardCeramic. Il a été spécialement conçu pour percer les carrelages durs, tels que le grès cérame, mais aussi les tuiles, les tuiles en pierre naturelle et le verre non trempé, sans lubrifiant, ni refroidissement. Bénéficiant de la technologie au carbure, le foret est  extrêmement résistant. Il offre une durée de vie jusqu’à 10 fois plus longue que les forets pour carrelage actuels à pointe carbure, et une progression de forage beaucoup plus rapide. Issu du savoir-faire Bosch, la pointe en carbure haute performance à facettes multiples (brevet) coupe la céramique dure plus efficacement que les arêtes de coupe plates. Une conception asymétrique des angles permet de pénétrer à l’intérieur des matériaux durs plus facilement. Cette pointe de centrage permet ainsi une amorce de perçage précise, minimise les frottements et la chaleur, et augmente la progression du perçage. L’emmanchement hexagonal du foret Expert HEX-9 HardCeramic permet un transfert de puissance maximal sur les mandrins à trois mors standards. Il peut être utilisé avec une perceuse-visseuse mais aussi une perceuse-visseuse à percussion. La gamme comprend 8 tailles de forets avec des diamètres de 3 à 12 mm pour couvrir toutes les applications courantes. Nouvelle Lame de scie sabre Expert Thick Tough Metal Une durée de vie jusqu’à 100 fois plus longue   La lame de scie sabre EXPERT Thick Tough Metal Bosch est parfaite pour couper le métal épais, comme des profilés en acier ou des tuyaux en fonte lourds. Elle bénéficie de la technologie carbure Bosch et d’un nouveau revêtement supplémentaire qui lui confère une longévité exceptionnelle même pour les applications les plus exigeantes telles que le démantèlement de voitures, de navires, d’usines… En effet, chacune des dents en carbure, soudées individuellement sur un corps épais et robuste, est revêtue de PVD (Physical Vapor Deposition). Ce revêtement rend le carbure encore plus résistant, double la durée de vie de la lame et apporte aux dents encore plus de dureté et de résistance à l’usure. Endurante, la lame dure ainsi jusqu’à 100 fois plus longtemps qu’une lame bimétal traditionnelle. La lame de scie sabre EXPERT Thick Tough Metal reste flexible et résiste aux forces de flexion et de torsion, typiques des applications de démolition. Enfin, de grande largeur, elle permet des coupes précises et droites, et son épaisseur assure plus de stabilité. La lame EXPERT Thick Tough Metal est disponible en longueurs 100, 150, 225 et 300 mm et convient à toutes les scies sabres avec des emmanchements S. Nouvelle Lame de scie sauteuse Expert Hardwood Fast Une coupe encore plus rapide Haute performance, la nouvelle lame de scie sauteuse EXPERT Hardwood Fast Bosch assure des coupes nettes et précises sur les bois durs et les bois composite, mais aussi les panneaux agglomérés, les plaques de plâtres et les panneaux de fibres. Grâce à la technologie carbure Bosch, elle profite d’une longévité jusqu’à 50 fois plus élevée qu’une lame en acier HCS. De plus, sa conception a été optimisée. Ses dents tranchantes en carbure, produites par un meulage en biseau supérieur, et son corps de lame conique assurent une coupe encore plus rapide. Par ailleurs, son pas de denture progressif permet de couper des matériaux de toutes épaisseurs. La lame EXPERT Hardwood Fast convient à toutes les scies sauteuses à emmanchement T. Nouveau disque à tronçonner X-LOCK Expert Diamond Metal Wheel Incassable, indéformable et ultra résistant   Bosch a révolutionné le changement d’accessoires sur les meuleuses angulaires avec son système X-LOCK, le plus simple du marché. Ce support de fixation innovant permet de changer en 2 secondes le disque, sans outil, en actionnant simplement un levier situé à l’avant de la machine. Celui-ci déverrouille le disque en un clic. Il suffit ensuite de replacer un nouveau disque, d’appuyer sur le support X-Lock pour l’enclipser. Parmi les nombreux accessoires X-LOCK, Bosch lance un nouveau disque à tronçonner l’EXPERT Diamond Metal Wheel, pour optimiser le travail dans le métal, la fonte, l’acier inoxydable ou encore le cuivre. Parfait pour les petites meuleuses angulaires, ce nouveau disque X-LOCK offre une durée de vie jusqu’à 100 fois plus longue grâce à la technologie Diamant de Bosch. Le corps en acier du disque a été optimisé pour assurer une vitesse et une profondeur de coupe constantes. Doté d’ouvertures de refroidissement, il ne se déforme pas avec la chaleur. La combinaison de ce corps et de grains de diamants, de haute qualité brasés sur le corps, offre une résistance maximale à l’usure et augmente les performances de coupe. Le disque EXPERT Diamond Metal Wheel permet de travailler dans un environnement plus sain, car avec la technologie Diamant, le disque ne dégage pas d’odeur et ne brûle pas pendant la découpe, contrairement aux disques agglomérés. Enfin, d’une grande robustesse, le disque est incassable et résiste parfaitement aux chutes. Le disque à tronçonner X-LOCK EXPERT Diamond Metal Wheel existe en diamètre 115 et 125 mm et se monte aussi sur les meuleuses classiques à emmanchement M14.
Il y a 3 ans et 172 jours

La piscine d'Orléans-La Source bénéficie d'une technique nouvelle d'isolation FOAMGLAS

Caractérisé par une toiture légère avec forte pente et une façade en bois et métal, le grand bassin de la piscine d'Orléans-La Source a été entièrement isolé en verre cellulaire FOAMGLAS® T3+.
Il y a 3 ans et 172 jours

Conjoncture et activité de la construction métallique française en 2021

La progression de l’activité est largement soutenue par la croissance des commandes issues du secteur privé pour la réalisation de bâtiments industriels, agroalimentaires, commerciaux, logistiques et de distributions. Les constructeurs métalliques réalisent 61,1 % du marché de la construction de bâtiments industriels. Précisons que, depuis quelques années, du fait de l’évolution du e-commerce, la construction métallique répond en effet à une forte demande de constructions d’entrepôts logistiques. Si la solution métallique n’est pas toujours retenue pour la réalisation des très grands entrepôts, notons qu’elle s’avère très compétitive pour les entrepôts de 2.000 à 5.000 m2.Côté commande publique (plus rare), celle-ci soutient aussi la tendance sectorielle, grâce notamment aux lignes 16 et 17 du Grand Paris, aux installations des Jeux Olympiques Paris 2024, ainsi qu’aux nombreuses gares réalisées en constructions métalliques. Cependant, pour Roger Briand, « Force est de constater qu’aujourd’hui, si le volume d’activité est présent, les marges sont impactées par les augmentations de prix de l’acier ». En effet, avec cette augmentation, les marchés conclus ont été impactés par une perte de marge. Pour les marchés publics, les interventions du SCMF auprès du ministère de l’industrie ont ainsi permis la publication d’une circulaire de recommandations de bienveillance des acheteurs publics à l’égard des réclamations des entreprises. Certaines entreprises ont obtenu des actualisations de prix et des suppressions de pénalités de retard. « Pour les marchés privés, nous avons fait valoir auprès de nos clients l’existence de l’article 1195 du code civil relatif à la clause de l’imprévision. Dans quelques cas, cela a permis d’ouvrir la discussion avec les maîtres d’ouvrage et d’obtenir de petites compensations » explique Roger Briand avant de conclure « En ce qui concerne l’évolution des prix, nous sommes tous dans l’expectative et dans l’attente d’une baisse. »Rappelons que les entreprises de construction métallique sont, pour l’essentiel, des PME, des ETI à structures familiales et qu’elles investissent de manière régulière et conséquente dans leurs outils de production afin de maintenir leur compétitivité. Et Roger Briand de mentionner : « Les constructeurs métalliques envisagent l’avenir avec sérénité pour les six premiers mois de 2022 et ce grâce à des carnets de commandes bien remplis et des consultations nombreuses en cette fin d’année. Il reste à espérer que les prix des matières premières se stabilisent, pour permettre la reconstitution des marges des entreprises. »Conjoncture et activité des constructeurs métalliquesLa productionAprès une année 2020 fortement impactée par la pandémie, la production annuelle 2021 devrait atteindre les 780.000 tonnes, soit une croissance d’un peu plus de 8 % (marché intérieur) par rapport à 2020. « Une croissance qui va permettre d'atteindre les niveaux d'avant crise » (+ 2 % vs 2019), selon Roger Briand.Rappelons que, lorsque ce taux atteint 80 %, les industriels investissent dans leur outil de travail et construisent de nouveaux bâtiments afin d’augmenter leur capacité de production. L’activité de la profession se veut ainsi étroitement liée à ce taux d’utilisation des capacités de productions françaises. Pour Roger Briand : « Ce taux, qui avoisine 80 %, confirme la bonne situation des carnets de commandes ».Prises de position et préoccupations du SCMFRE2020 :Cette nouvelle réglementation environnementale indispensable et nécessaire pour diminuer l’émission des gaz à effet de serre dans l’acte de construire est soutenue par la profession.À ce titre, Roger Briand déclare : « Nous sommes en accord avec la nécessité d’améliorer nos bilans carbone mais nous nous heurtons à un parti pris non justifié en faveur du matériau bois. L’analyse de cycle de vie dynamique, l’ACV Dynamique retenue par le ministère de la transition écologique pour déterminer le bilan carbone du bois apporte à ce matériau un avantage inéquitable et inexplicable scientifiquement. En fin de vie par combustion ou enfouissement, le matériau bois ne conservera pas le CO2 qu’il a emmagasiné contrairement aux hypothèses de l’ACV dynamique. Le SCMF accompagné par le CTICM est intervenu à de nombreuses reprises pour dénoncer près des instances gouvernementales (DHUP, Ministère de la transition écologique) cette situation inexplicable scientifiquement. Lors de la publication de l’arrêté RE 2020 le 4 août dernier, nous avons constaté que l’ACV statique et l’ACV dynamique étaient présentés avec la même importance dans les textes.Nous en avions déduit bien logiquement que les deux méthodes de calcul reconnues dans l’arrêté étaient utilisables pour déterminer le bilan carbone de chaque matériau. L’ACV Dynamique pour avantager les matériaux biosourcés. L’ACV Statique éventuellement pour les autres matériaux. En fait, il semblerait que ce ne sera pas le cas. Seuls les règlements français vont imposer l’ACV dynamique pour tous les matériaux alors que les autres pays européens vont utiliser l’ACV Statique. L’ACV dynamique atténuera les émissions de fin de vie du bois… (par la magie, des émissions de CO2 vont disparaître), plus exactement ces émissions vont être reléguées aux générations futures (dans 50 ans). La prise en compte de ces réductions d’émission du bois va avoir pour conséquence la réduction de production de matériau recyclé.Un autre point nous interpelle : l’introduction du module D, le Module de la déconstruction enfin retenu, module qui valorise l’effet du recyclage en termes d’évitement de matière produite, mais il est raboté de 43 % par l’usage exclusif de l’ACV dynamique. Il s’agit d’une double peine pour notre filière. Ce parti pris réduit d’autant les vertus de recyclage en termes d’émission, alors que notre filière est très investie dans cette démarche et souhaite les amplifier. Le gouvernement a-t-il compris qu’en rendant exclusif l’ACV dynamique, il freine les solutions de recyclage auxquelles la filière est très attachée car elle dispose du matériau le plus circulaire de tous. Par ailleurs, nous avons bien noté dans la RE 2020 que lors de sa seconde vie un produit issu du réemploi est considéré sans impact carbone. L’éco-conception de nos structures acier vont nous permettre de développer le recyclage et surtout le réemploi de l’acier dans une seconde vie pour la réalisation de bâtiments mixtes acier, bois, béton à bilan bas carbone, en utilisant le bon matériau au bon endroit. Les ingénieurs de nos bureaux d’études et du CTICM sont déjà à l’œuvre pour définir les constructions de demain. »« REP Bâtiment » :Si l’objectif de la REP est de favoriser le recyclage et d’éviter les dépôts sauvages de déchets de démolition du bâtiment, la profession des constructeurs métalliques s’étonne là-encore par la voix de son président. Roger Briand précise en effet : « Nous pouvons d’ores et déjà affirmer fort et clair que si les constructions étaient toutes métalliques, cette REP n’aurait jamais vu le jour car nous recyclons déjà notre matériau l’acier à plus de 90 % ». Et d’interroger : « Pourquoi sommes-nous assujettis à cette éco-contribution qui va nous conduire à financer en partie les structures et dispositifs pour traiter les autres matériaux » ?Rappelons que l’un des atouts de l’acier réside dans le fait que la filière de recyclage est déjà organisée. Dès 1856, les sidérurgistes ont mis sur le marché des aciers fabriqués à partir du recyclage des aciers utilisés, grâce à la mise au point du procédé du convertisseur Martin-Siemens. Ce recyclage à l’infini de l’acier permet de diminuer le recours au minerai de fer et de protéger les réserves en ressources naturelles. Et Roger Briand de préciser : « Ce recyclage est une donnée culturelle de la filière acier particulièrement bien rodée après plus d’un siècle d’existence. La récupération des chutes d’acier provenant de nos usinages et des aciers des décharges se fait par l’intermédiaire des ferrailleurs. D’ailleurs, il existe depuis plus d’un siècle un marché et un cours de la ferraille (actuellement de 300 € /T) très suivi par les constructeurs. Nous ne pouvons pas croire que notre profession, exemplaire en matière de recyclage, en supportera les coûts ! »En effet, les métaux sont les matériaux les plus recyclés au monde. Selon Arcelor Mital, plus de 650 MT d’acier sont recyclés chaque année. Pour la Word Steel également, l’acier constitue le matériau d’excellence, puisqu’une étude gratifie déjà l’acier du taux de 85 % de recyclabilité lors d’une déconstruction/destruction de bâtiment industriel (contre 20 % pour le béton et 13 % pour le bois). Précision faite que les qualités magnétiques de l’acier facilitent sa récupération surtout les aciers du béton, beaucoup plus difficiles à récupérer. Toutefois, malgré la situation, la profession a fait le choix d’être actrice dans un éco-organisme en cours de création (Valobat, animé par Saint-Gobain) pour témoigner des atouts de matériau acier. Et Roger Briand d’indiquer : « Nos seuls objectifs d’amélioration concernent la traçabilité des aciers récupérés sur les chantiers suite à une démolition. Notre profession a décidé de se déclarer « metteur sur le marché » car nous sommes des producteurs en fabricant dans nos ateliers les pièces de la structure que nous assemblons sur les chantiers comme l’assemblage pièce par pièce d’un mécano géant. Ce choix est aussi une manière de participer à la gouvernance de l’éco-organisme et de mieux défendre notre singularité. » Et de conclure : « Un point de vigilance pour nous concerne la fabrication étrangère qui devra être soumise, comme la fabrication française, à l’éco contribution pour nous éviter une concurrence déloyale. Nous veillerons aussi sur le fait que les montants de cette éco-contribution soient visibles sur les facturations pour en permettre une vérification ou éviter des surfacturations en cascade ».Le recrutement :Autre sujet d’importance pour le SCMF et les professionnels de la construction métallique, le recrutement. La profession se heurte en effet depuis des années à des difficultés sur l’ensemble des postes de la filière. Pour Roger Briand : « Pas assez connu et reconnu, notre métier souffre d’une image dégradée qui n’attire pas suffisamment l’intérêt des chercheurs d’emplois et des jeunes étudiants. Notre image doit devenir celle de la réalité pour attirer plus encore les jeunes vers nos métiers. »Si le SCMF va reprendre et intensifier ses actions auprès des collèges et lycées, il est conscient qu’il doit faire preuve de pédagogie pour former ses futurs ingénieurs, techniciens supérieurs, opérateurs sur machines à commande numérique, conducteurs de travaux…En effet, trop souvent encore, les métiers de la construction métallique sont associés à ceux de la sidérurgie, ce qui est bien loin de la réalité. Aujourd’hui, les ateliers des constructeurs disposent de lignes de fabrication automatisées résolument très performantes, ainsi que des sites industriels orientés vers la numérisation et la robotisation, comparables à celles des unités de montage d’automobiles ou des ateliers de mécanique. Et le SCMF tient à le faire savoir notamment au travers de l’APK (association pour le développement des formations de la construction métallique) qui tient un rôle majeur pour la formation et le recrutement des professionnels de la construction métallique.Construction métallique et gares : mise en lumière de 3 référencesLa gare de Rennes :Pierre Raymond, Directeur général GAGNE-Groupe BRIANDPour accueillir un flux de voyageurs toujours plus nombreux (30 millions prévus d’ici 2040), SNCF Gares & Connexions a lancé entre 2015 et 2019 une vaste opération de restructuration de la Gare de Rennes. Ce projet prend notamment en compte l’accueil de la ligne à grande vitesse Bretagne-Pays de la Loire avec l’adaptation des ouvrages liés à l’augmentation des flux des voyageurs grande ligne et en correspondance mais aussi la mise en place d’une intermodalité globale entre les différents modes de transports : le train, les lignes de métro, les flux automobiles et piétons, les modes doux et les transports de bus urbains et interurbains.Il aura fallu presque dix ans, dont la moitié d’études, pour achever la métamorphose de la gare de Rennes. Ainsi, les architectes se sont inspirés de l’emblématique forêt de Brocéliande pour récréer une nappe de brume au-dessus d’un bois jonché d’arbres. Cette transformation s’inscrit dans un projet urbain de paysage construit reliant le nord et le sud de la gare, enjambant les voies ferrées.Une toiture en ETFE fournit un apport de lumière naturelle important sur l’ensemble des niveaux avec, à la clé, une ambiance lumineuse assurant une transition entre les espaces souterrains et la gare haute.La société Gagne a réalisé la charpente métallique, la couverture, les façades, ainsi que les structures de passerelles. Cela représente la mise en œuvre d’une ossature métallique de près de 1 000 tonnes, l’installation de 2 000 m2 de façades vitrées et de 300 m2 de toiture ETFE.Maître d’ouvrage : SNCF Gares & ConnexionsMaîtrise d’œuvre et conception : SNCF G&C et ArepArchitectes : J-M. Duthilleul, E. Tricaud, F. Bonnefille, R. RicoteBureau d’études structures : MaP3Constructeur métallique : GagneAménagement des gares de Pont de Rungis et Maison BlancheJulien FRACCAROLI (FAYAT METAL Grands Projets)Réfléchies dans une logique d’optimisation de l’espace, ces deux gares combinent une architecture métallique, de grandes portées et même des voûtes pour celle de Pont de Rungis. Leur réalisation requiert toute l’expertise technique de FAYAT METAL GRANDS PROJETS à travers les 6 500 heures prévues sur les études d’exécution mais également pour répondre aux exigences BIM du projet. L’ambition architecturale sur la gare de Pont de Rungis se décline par la mise en œuvre d’arches en PRS de 35 mètres de portée sur lesquelles viennent se reposer les poutres treillis de 25 mètres supportant la toiture. Les 500 tonnes de charpente métallique seront pourvues de traitement anticorrosion galvanisé et de peinture intumescente afin de répondre aux critères de tenue au feu de l’ouvrage.Le faux-plafond architecturé et vouté de cette gare représente une surface de 2 000 m2 où toute l’expertise en verre et métal de l’entreprise ACML – Division Fayat Metal – s’est démontrée. Les 3 000 m2 d’habillage intérieurs en inox, les façades en murs rideaux et les 3 000 m2 de couverture en Riverclack viennent compléter les prestations confiées à FMGP comme entreprise générale du métal. Le défi est de taille : le montage du clos-couvert est prévu au printemps 2022 avec en ligne de mire l’ouverture de ce tronçon pour les jeux olympiques de Paris de 2024.Maître d’Ouvrage : Société du Grand Paris (SGP)Maître d’Ouvrage Délégué : RATPMaîtrise d’œuvre : ELIOS groupement Setec et SystraArchitecte Gare de Maison Blanche : Groupe 6Architecte Gare de Pont de Rungis : Valode & PistreEntreprise générale : Razel BecCharpente métallique, façades, plafond voûté, couverture : Fayat Metal Grands Projets, ACML.Gare de Corbeil-EssonnesGuillaume ALBAN (Société Legrand)Entreprise familiale fondée en 1956 par René LEGRAND et son épouse, LEGRAND se développe rapidement dans le domaine du génie civil ferroviaire, de la signalisation et de la serrurerie. Elle participe ainsi à de nombreux travaux d’aménagements pour la SNCF (construction et levage de pylônes, éclairage, pose de câbles, électrification, …) et choisit de diversifier sa clientèle (PTT, devenu France Télécom, dès 1970, EDF depuis 1992, opérateurs de télécommunications à la fin des années 1990) comme ses activités (Département Construction Métallique en 1981, Bureau d’Etudes de piquetage en 1990, pose de fibres optiques dès 1992, ingénierie de réseaux de télécommunication depuis 2000). La société LEGRAND est d’ailleurs associée directement au développement des grandes infrastructures ferroviaires qui ont marqué la fin du XXe siècle et le début du XXIe : rénovation et modernisation du réseau ferroviaire (électrification, signalisation, …), construction des lignes nouvelles TGV (en France depuis la LGV Paris Lyon jusqu’aux LGV Est et Tours-Bordeaux, mais aussi en Angleterre), construction et aménagement des gares (couvertures métalliques, passerelles piétonnes, vidéosurveillance, éclairage, …). Elle est ainsi devenue pour RFF et la SNCF le leader incontesté de la pose d’artères câbles ferroviaires, un acteur majeur en signalisation ferroviaire et construction métallique. L’innovation dans de nombreux domaines a toujours été une préoccupation majeure de l’entreprise LEGRAND : informatisation en 1973, création de machines de pose mécanisée de câbles en 1978, conception et dépôt de brevets de chambres de tirage préfabriquées en 1985, robotisation de la production en métallerie en 1991, création d’une structure spatiale pour des nappes métalliques de grande portée en 2001… En 1996, la société LEGRAND a franchi une nouvelle étape de son développement lorsque les principaux cadres se sont réunis pour en assurer la pérennité, préférant ainsi conserver leur indépendance au lieu de voir leur outil de travail se fondre au sein de l’anonymat d’un groupe.L’ouvrage réalisé à la Gare de Corbeil-Essonnes est une passerelle métallique droite en plan et de profil en long horizontal, d’une longueur totale de 49,79 mètres composée en 4 travées (9,18 m, 13,27 m, 12,83 m, 14,51 m). Chacun des 5 appuis (P0, P1, P2, P3 et P4) est constitué d’un escalier et de poteaux, et comprend une tour d’ascenseur. L’accès à la passerelle s’opère depuis les quais et la gare routière Emile Zola par les 5 escaliers et 5 ascenseurs. Le tablier de la passerelle (largeur utile de 3 mètres) est une structure continue à section constante, avec caisson métallique à intrados courbe de hauteur maximale 0,80 m et de largeur 3,60 m. Il repose sur deux appareils d’appui sur chaque appui, disposés au droit des âmes intérieures du caisson, avec un point fixe sur l’appui P2 réalisé à l’aide de deux appareils d’appui fixes permettant le blocage longitudinal de l’ouvrage.Notons que le tablier repose sur deux appareils d’appui libres sur les autres appuis de la structure, permettant un déplacement dans le sens longitudinal et que les structures métalliques des tours d’ascenseurs sont indépendantes de la structure porteuse de la passerelle. Précisons aussi que les tours d’ascenseurs et les poteaux de la structure porteuse du tablier prennent appui sur une fondation commune qui prend la forme d’une semelle fondée sur neuf micropieux et que les pieds d’escaliers reposent également sur une semelle fondée sur quatre micropieux. Sur le tablier et les paliers d’ascenseurs, la hauteur des protections caténaires et anti-vandalisme est de 2,50 m.Mentionnons que ces protections sont composées d’une partie supérieure en maille tissée inox, et d’une partie inférieure en tôle inox martelé sur tablier et en maille tissée inox sur paliers d’ascenseurs. La pente transversale unique à 1.5 % du platelage supérieur assure, quant à elle, l’écoulement des eaux vers la rive côté ascenseurs, dans un caniveau fil d’eau. Les eaux, récoltées par des avaloirs, sont ensuite évacuées par gravitation dans des conduites logées le long des poteaux structurels et raccordées au réseau d’assainissement des quais.Les marches d’escalier et les paliers (d’escaliers et d’ascenseurs) sont exécutés en béton, avec des bandes antidérapantes sur les nez de marches et les bandes podotactiles incrustées en haut de chaque volée de marches. Si les marches présentent un recouvrement de 5 cm, notons que les premières et dernières de chaque volée sont pourvues d’une contremarche. Le montant hors taxe des travaux s’élève à environ 5,6 M€ (génie civil + passerelle métallique). Concernant la passerelle métallique seule, elle a nécessité un peu plus de 1 500 heures d’étude (dimensionnement et dessin), 1 200 heures d’encadrement travaux et, enfin, 12 000 heures de fabrication atelier. Gestion de flux de circulation oblige, la pose s’est opérée lors de deux week-end « coup de poing », sous consignation caténaire avec un délai d’exécution de 22 mois à compter de la date T0 fixée par l’ordre de service.Maître d’ouvrage (MOA) :SNCF Réseau - Direction Régionale Île-de-France - Plateau commun SDAMaître d’ouvrage Mandaté (MOAD) : SYSTRA - Pôle des Mandats deMaîtrise d’ouvrage Maître d’œuvre général (MOEG) : Groupement EGIS Rail / Strates OAMandataire du groupement : Razel Bec /Lang TPCo-traitant/Constructeur métallique : Legrand S.A.
Il y a 3 ans et 172 jours

Neutralité carbone : L’Ademe propose quatre scénarii

L’Ademe propose quatre scénarii pour la neutralité carbone. [©Ademe] La question de la transition environnementale est plus que d’actualité et bien des secteurs doivent s’en saisir. Malgré la crise du Covid et les bouleversements économiques actuels, l’écologie fait partie des premières préoccupations des Français. Et ce, depuis plusieurs années. Surtout que selon le dernier rapport du Giec, nous n’allons pas dans la bonne direction pour juguler le réchauffement climatique. Sachant qu’à ce rythme, ce dernier pourrait atteindre les + 4°C en 2100. A l’aube d’une nouvelle échéance électorale, la trajectoire climatique que la France va emprunter peut évoluer et pèsera, si la question n’est pas trop éclipsée par d’autres thématiques dans les futurs débats. Pour accompagner la réflexion collective, l’Ademe vient de mettre en ligne le rapport “Transitions 2050 – Choisir maintenant, agir pour le climat”. Ce document de 687 pages dresse 4 scénarii pour atteindre la neutralité carbone en 2050 (il existe bien sûr des notes de synthèse plus digestes pour les moins courageux !). Et ce, conformément aux objectifs de la Stratégie nationale bas-carbone (SNBC) établis suite aux Accords de Paris et inscrits dans la loi française en 2019. Les quatre scénarii (S1, S2, S3 et S4) vont du plus ambitieux au moins contraignant. En effet, le S4 suit une trajectoire tendancielle, relative aux ambitions actuelles. Ils mettent en exergue des situations et des solutions concrètes. Et l’Ademe compte bien compléter son travail avec de nouveaux éléments sur le mix énergétique fin janvier 2022 et sur les impacts macro-économiques, fin mars prochain. L’écologie, une préoccupation majeure Dans ce rapport, aux côtés de l’alimentation, le mode de vie ou encore la mobilité et l’industrie, le bâtiment tient une place importante. En effet, ce secteur est un grand consommateur d’énergie (40 %) et est responsable d’un quart des émissions de gaz à effet de serre. Le S1, baptisé “génération frugale” mise sur une frugalité choisie, mais aussi contrainte. Ici, place à la préférence locale et à la sanctuarisation de la nature. « Les grandes villes sont délaissées pour les moyennes et les zones rurales pour plus de proximité, explique Valérie Quiniou, directrice exécutive, prospective et recherche à l’Ademe. Le bâti existant est optimisé. » Dans ce scénario, les logements vacants sont investis, les résidences secondaires sont converties en principales, et les locaux et anciens bureaux sont transformés en logements. Lire aussi :Enquête : Entreprises et industriels face à leurs ambitions environnementales « De fait, la construction neuve chute. Mais quand en 2015, il y a moins de 1 % de rénovations BBC, elles sont de l’ordre de 80 % en 2050. Et ce, en une seule étape, c’est-à-dire, un chantier. » Ici, la rénovation énergétique tient une place importante. Elle est massive et rapide. Côté industrie, une politique d’emploi devra être menée pour répondre à la notion de proximité. Le “made in France” et la low tech seront les axes d’investissement. Ce S1 permettrait, de façon générale, de diviser par plus de deux la demande énergétique. En développement les puits naturels (ou puits biologiques comprenant des espaces de biodiversités, de forêts…), la France atteindrait ainsi – 42 MteqCO2 en 2050. Et avec de nouveaux indicateurs, comme la qualité de vie et la prospérité prendraient le pas sur la notion de croissance. Le bâtiment et la rénovation énergétique au cœur de la transition environnementale Pour le S2, nommé “coopérations territoriales”, les villes moyennes sont à l’honneur et transformées de façon radicale. « Nous parlons de ville du “quart d’heure”, où l’usage du vélo et de la marche se fait facilement. Il y a un changement d’usage du bâti et une accélération de la rénovation énergétique pour atteindre 80 % de BBC, mais cette fois-ci par geste. C’est-à-dire, plus adaptée au rythme des ménages. » Aussi, les équipements sont mutualisés au sein des logements. Par exemple, l’électroménager est partagé entre les voisins. A l’échelle industrielle, ce scénario prévoit un fort accompagnement dans la décarbonation des sites, mais aussi pour le recyclage et la revalorisation des matériaux. Il y a ainsi moins de transport de marchandises. « Dans ce cas de figure, 80 % de l’acier, du plastique, du verre et du papier-carton viennent du recyclage. Il y a aussi un effort de réindustrialisation ciblée en lien avec les territoires. » Le S2 permettrait une réduction de 50 % des consommations énergétiques. Et en mixant, puits biologiques et technologie de captage de CO2 pour certaines industries, comme celle du ciment, la France atteindrait – 28 MteqCO2 en 2050. Entre frugalité et innovations technologiques Dans tous les secteurs, le S3 “technologies vertes” s’appuie plutôt sur de nouvelles technologies, le numérique et les innovations que sur un changement de vie. La biomasse est davantage exploitée pour la méthanisation, le bois énergie ou encore pour la fabrication de biocarburant. L’industrie a plus recours aux énergies décarbonées comme l’hydrogène en grande partie importé. Et 60 % de l’acier, de l’aluminium, du verre, du papier-carton et des plastiques viennent du recyclage. Au niveau de l’habitat, les Français favorisent les métropoles. « Nous sommes dans une logique haussmannienne de déconstruction/reconstruction à grande échelle. » Lire aussi :Dossier : Comment les industriels s’emparent du bas carbone ? L’accent est mis sur la rénovation énergétique, mais de façon moins ambitieuse. Seuls 50 % des chantiers sont équivalents à un BBC. Avec cette trajectoire, la consommation énergétique diminuerait de 40 %. L’aspect numérique étant ainsi plus important et donc plus gourmand en énergie. En 2050, comme les puits biologiques sont plus sollicités, la France atteindrait – 9 MteqCO2. Le S4, “pari réparateur” est un prolongement de notre mode de vie actuel. « Dans l’habitat, la rénovation énergétique est industrialisée par la préfabrication quand cela est possible. La moitié atteindrait des niveaux BBC ou passifs. » Le recours aux nouvelles technologies et à la domotique sert à la diminution de l’impact environnemental du bâti et la construction neuve est maintenue, tout comme l’étalement urbain. La décarbonation de l’industrie passe par le captage et le stockage de CO2 (CCS). Quel degré de désirabilité ? Ainsi, ce scénario mise tout sur ces technologies plus que sur les puits biologiques et la sobriété pour réparer l’impact environnemental. Selon les estimations de l’Ademe, elles consommeraient près de 6 % de l’énergie. En termes de ressources, 45 % de l’acier, de l’aluminium, du verre, du papier-carton et des plastiques sont issus du recyclage. Dans cet équilibre, en 2050, la France serait autour des 1MteqCO2. Avec ces différents “plans d’attaque”, plusieurs questions se posent. Dans les scénarii les plus en rupture, quel est le degré d’acceptabilité, voire de désirabilité de la société ? Comment articuler la transition écologique et la justice sociale ? Pour les S3 et S4, quel coût engendrent ces transitions technologiques ? Quand seront-elles assez matures ? Quid des émissions cumulées entre le moment où ces innovations sont démocratisées et aujourd’hui ? Chaque scénario comporte son lot de risques. Qu’ils soient sociétaux ou d’ordre environnemental. Mais suite à ces deux ans de travaux qui ont mobilisé plus de 100 personnes, l’Ademe rappelle qu’il y a des incontournables : la nécessaire accélération des choses. « Nous avons encore le choix, mais il faut choisir vite », explique Valérie Quiniou. Et Arnaud Leroy, Pdg de l’Ademe de conclure : « Plus nous prendrons des mesures tardives, plus elles coûteront cher. Les années 2020-2030 seront cruciales et la France doit rester à l’avant-garde de la question climatique ».
Il y a 3 ans et 173 jours

Façade repensée pour immeuble restructuré

Engagée il y a deux ans, la restructuration de l’immeuble « Axe Défense » opérée par Rehagreen, l’entité spécialisée dans les restructurations d’immeubles tertiaires de Bouygues Immobilier, touche à sa fin. Le nouvel ensemble, désormais dénommé NE.ST, vient d’être livré. Après une opération de réhabilitation lourde et complète, l’immeuble, conçu par l’agence d’architecture 163 Ateliers, a vu sa surface croître de 30% pour atteindre 12 380 m². Le bâtiment s’insère dans une trame urbaine existante, tout en proposant une architecture significative porteuse d’une image identitaire. Après avoir été désamianté, le bâtiment a été enveloppé d’un bardage en aluminium anodisé et de verre émaillé. Côté cour, l’extension R+9 en forme de triangle, a été rapportée au bâtiment existant. Pour donner durythme à l’ensemble, le cabinet d’Architecture 163 Ateliers a imaginé une façade reprenant le principe descréneaux avec des cadres en aluminium posés en quinconce. Pour accentuer cette impression devibration, l’architecte a opté pour un système « inversé » où le vitrage se situe en retrait tandis que leséléments de décoration sont au premier plan. Deux autres particularités caractérisent les façades de cet immeuble : d’une part, le traitement thermique et aéraulique du bâtiment est assuré par des unités de confort individuel (UtCI) dissimulées en façade assurant à la fois le renouvellement de l’air sans réseau de gaine, la récupération d’énergie thermique, le chauffage et le rafraichissement du bâtiment. D’autre part, des brise-soleil orientables (BSO) en lame d’aluminium sont gérés automatiquement par la GTB du bâtiment. Dans ce contexte et compte tenu de l’exiguïté du site, les équipes du poseur et WICONA ont recommandé le recours à une façade cadre, pré-montée en atelier. Cette dernière a fait l’objet d’une création spéciale. Chaque bloc étant constitué de trois éléments : un panneau vitré fixe ou un ouvrant WICLINE 65 de WICONA avecintégration d’un BSO en imposte et du système de ventilation UtCI en allège. Cette façade côté cour compte au total 530 blocs, de 3 350 mm de large par 3 000 mm de haut, dont lamoitié avec des ouvrants WICLINE 65 de WICONA. Sur l’extension en triangle, la pose a été effectuée entredalles poteaux en R+ 9. Sur le bâtiment existant de forme arrondie, en R+8, la façade cadre a été posée à l’extérieur dans un voile percé. L’extension repose sur un socle au rez-de-chaussée et en R+1 constitué de façades WICTEC 60 WICONA qui enlacent le bâtiment, se prolongent sous le porche. Ces systèmes de façades ont également été mis en oeuvre sur un autre espace symbolique du programme : la surélévation en attique. En effet, les niveaux R+9, R+10 et R+11, en charpente métallique reliés avec un bardage métallique, ont été ajoutés au bâtiment initial. Ils s’ouvrent pleinement sur l’extérieur grâce au système de façade WICTEC 60 avec des éléments vitrésde 2,5 m de haut par 2 m de large. Maître d’ouvrage : Rehagreen Architecte : cabinet d’Architectures 163Ateliers Entreprise : AZA Photo : Franck Deletang  
Il y a 3 ans et 173 jours

Sto accompagne les artisans pour gagner en productivité

Au travers d'une campagne à destination des artisans, au slogan accrocheur « L'avenir appartient à ceux qui se lèvent Sto », le spécialiste de la façade – isolation thermique par l'extérieur (ITE), produits techniques et d'embellissement des façades, livre une palette d'astuces pour gagner en productivité.Des astuces pour soutenir l'activité intense d'un secteur de relance prioritairePorté par le gouvernement au travers du dispositif d'aides MaPrimeRénov' et les objectifs climatiques à atteindre, le secteur de la rénovation énergétique en maison individuelle est en pleine effervescence. Les ménages doivent également faire face à l'augmentation des prix d'énergie. Conséquence : les professionnels de l'isolation de façade par l'extérieur sont actuellement très sollicités et donc volontiers preneurs de pistes pour « faire mieux, plus vite » ; en tant que fabricant leader de l'ITE, c'est le rôle de Sto que de leur simplifier la tâche.Déployée en plusieurs volets « Je me lève Sto pour… », la campagne a démarré en septembre et durera jusqu'à la fin de l'année 2021. Les bons produits, les bons outils, les bonnes pratiques sont au cœur de la campagne. Preuve que Sto pense à tout, dans le moindre détail ! Seront ainsi à l'honneur :la création d'un appui de fenêtre parfait (tablette + appui)la réalisation d'un encadrement parfaitla réalisation d'un chaînage d'anglela réalisation d'un arrêt d'enduit parfait aux jonctions menuiseriesla réalisation d'un bandeau filantla réalisation d'un départ parfait (profil à clipser)des coupes parfaitesune interview de Benoist Catroux, formateur – animateur chez StoChaque astuce se présente sous la forme d'une checklist téléchargeable en PDF, comprenant les produits nécessaires, les bons outils et les étapes de pose, accompagnée d'une vidéo d'application.L'ensemble des astuces seront dévoilées au fur et à mesure via une communication omnicanale sur : le site internet www.sto-facade.fr, les réseaux sociaux de l'entreprise (chaîne YouTube, LinkedIn, Instagram). Des e-newsletters sont également envoyées aux clients et prospects de Sto.Par ces astuces, ces courtes vidéos, ces « listes pré-formatées » pour ne rien oublier, Sto répond aux attentes formulées par les artisans poseurs d'ITE en maison individuelle, avec toujours cette particularité propre à l'entreprise de vente directe exclusive.Focus sur les premiers produits dévoilésL'appui de fenêtre StoDeco Frame F Type AF offre une solution deux en un, tablette et appui, afin d'apporter du relief et de la protection à votre façade, en rénovation comme en neuf, quelle que soit la configuration de la fenêtre. Ce matériau minéral est un réel atout pour le confort de l'habitat avec une efficacité éprouvée contre les intempéries.L'encadrement de fenêtre StoDeco Frame Type N apporte du relief à la façade. Polyvalents, ces modèles de profils de volumétrie simple type planche s'utilisent également en partie courante pour réaliser un chaînage d'angle. Ils sont facilement ajustables directement sur le chantier à l'aide d'une scie avec lame spéciale.Le profil d´arrêt menuiserie Sto-Profil Pro avec compribande et fibre de verre intégrés permet de réaliser des raccordements étanches et durables (dormants de fenêtres et de portes, rails de volets roulants) des systèmes d'isolation de façades.
Il y a 3 ans et 173 jours

La piscine d’Orléans-La Source bénéficie d’une technique nouvelle d’isolation FOAMGLAS

Caractérisé par une toiture légère avec forte pente et une façade en bois et métal, le grand bassin de la piscine d’Orléans-La Source a été entièrement isolé en verre cellulaire FOAMGLAS® T3+. Les nombreux sinistres observés dans le passé montrent à quel point les contraintes constructives sont importantes en milieu humide. Le verre cellulaire FOAMGLAS®, isolant étanche à l’eau et à l’air, pare-vapeur dans la masse, permet d’isoler avec efficacité les toitures et les façades des piscines. L’isolation thermique du clos et couvert de la nouvelle piscine d’Orléans-La Source fut un véritable défi. Afin de respecter l’esprit de la première piscine réalisée par l’architecte Olivier-Clément Cacoub en 1972, Arcos Architecture et GL Architecture ont conçu une œuvre avec des toitures fortement inclinées et une façade à ossature bois. Celle-ci supporte différents parements, dont des coques en polyester en forme de losange. L’isolation thermique FOAMGLAS® en toiture de piscine sur bacs acier bénéficie d’un retour d’expérience exceptionnel de plus de 50 ans en Europe. L’isolation thermique FOAMGLAS® en ITE sur élément porteur en bois en milieu humide est, quant à elle, une technique nouvelle, sous Cahier des Charges validé par le Bureau de Contrôle Alfa Contrôle. La piscine d’Orléans-La Source est la première piscine ainsi isolée. Les plaques isolantes, collées sur le bois, collées entre elles et fixées mécaniquement au bois avec des pattes spécifiques PC ancrage F, forment une couche isolante parfaitement étanche qui protège efficacement le bois. Maîtrise d’ouvrage : ville d’Orléans Assistance maîtrise d’ouvrage : Solon avocats, H3P, Aemco, Sogeti Maîtrise d’œuvre Architectes : Arcos Architecture et GL Architecture BET structure : 3IA BET fluides : Artelia BET VRD : INCA Acousticien : Roland Starace Paysagiste : Brigitte Barbier Marché global de performance Mandataire : BFC Maintenance : IDEX Couverture et façade : Braun Étanchéité Infos projet Surface : 6 119 m² Surface de plan d’eau : 1 770 m² Bassin olympique extérieur avec sas 8 lignes : 1 035 m² Bassin de natation intérieur 25 x 15 m : 375 m² Bassin polyvalent intérieur : 270 m² Bassin de plongée intérieur – 6,5 m de profondeur : 30 m² Lagune de jeux extérieurs : 60 m²  
Il y a 3 ans et 175 jours

Lite Point : un système de bardage rapporté en verre

La société Saint-Gobain fait évoluer l’Avis Technique du LITE POINT son système de bardage rapporté en verre. Grâce à l’utilisation de rondelles de différentes hauteurs qui compensent les écarts d’épaisseurs des vitrages, la mise en œuvre est facilitée. Le bardeur ou le façadier pourront en effet poser l’ensemble des vitrages au même niveau, y compris quand leurs compositions sont différentes. Il permet d’habiller des façades ventilées ou de réaliser des parements de façades traditionnelles ou de parois intérieures. De plus, il s’adapte à tous types de rendus avec son large choix de teintes, de niveaux de réflexion, de motifs, ou d’impression. Il a déjà été utilisé sur différents chantiers comme le Bâtiment Copernic (Université Paris Est Marne-la-Vallée), l’immeuble de logement Cubik (Paris Masséna), le nouveau siège du port autonome de Strasbourg, la maison de santé (Belleville-sur-Meuse) ou encore l’immeuble First Croisette (Cannes).
Il y a 3 ans et 175 jours

Écailles de verre en façade pour l'institut de l'audition à Paris, par VIB Architecture

Dans un site dense et sur une parcelle enclavée sur trois de ses quatre côtés, l'institut de l'audition est issu de la réhabilitation lourde d'une école d'avocats par l'agence VIB Architecture. Les principaux désordres - espaces étriqués et circulations labyrinthiques - sont résolus par la création d'un […] Lire l'article
Il y a 3 ans et 180 jours

Rénovation et FLJ : efficacité d’une simulation

Le site de la société PL Maître héberge 70 collaborateurs, tous œuvrant dans l'étude et la production de structures métalliques pour la rénovation, ou entrant dans la conception des bâtiments de demain. Aujourd'hui, en fonction depuis un bon nombre d'années, le site vosgien lui-même est sujet à des mises en conformité. En octobre 2019, c'est d'ailleurs dans l'optique d'une rénovation des appareils de toiture qu'il a été fait appel aux services de Bluetek, via notre client et partenaire ; l'agence travaux Soprema Nancy.Les produits aujourd'huiLes appareils posés pour la première phase des travaux, aujourd'hui finalisés, sont :4 Bluevoûte Therm de 3 m X 12 m remplissage en polycarbonate épaisseur 16 mm intégrant la technologie de microbilles en verre Pearl Inside.17 Bluevoûte identiques dimensions 3 m X 9 m.Ces lanterneaux filants sont dotés de 30 modules de désenfumage Exuplus Pneu, soit des DENFC pneumatiques dont chaque unité est associé à un vérin électrique course 500 mm permettant l'aération quotidienne du bâtiment. Les appareils remplacent d'anciennes voûtes en polyester.Même si le fait d'utiliser les trémies existantes n'a pas suffit à homogénéiser l'éclairage naturel intérieur de façon optimale, et donc de répondre à 100% aux différents critères de la norme EN 17037, les lanterneaux apportent aujourd'hui sécurité et confort de travail aux utilisateurs. Précisons qu'une construction neuve aurait permis un autre choix en dimensions d'appareils et une implantation différente.En attendant, le résultat est là et cohérent. L'implantation, telle qu'elle est réalisée aujourd'hui, apporte 300 lux pendant 50% du temps de travail (tranche horaire 8/18 heures), soit un éclairement de qualité sur l'intégralité du temps d'occupation du bâtiment.Respect des normes et du bon sens Cette rénovation répond donc à une conformité du désenfumage en cas d'incendie du bâtiment par le biais de la conformité des DENFC à la norme EN 12101-2 (les lanterneaux filants répondent à la norme NF EN 14963).Le bon sens a tenu dans le choix du polycarbonate entrant dans la composition des lanterneaux filants. En effet, les voûtes sont toutes équipées d'un PCA alvéolaire 16 mm Pearl Inside. Ce remplissage permet une amélioration de l'isolationphonique, thermique, du facteur solaire et une diffusion de la lumièredujour homogène à l'intérieur du bâtiment. Il permet aussi un meilleur confort visuel aux utilisateurs car il limite les risques d'éblouissements.Ce choix rejoint donc aussi la norme RE2020 dans 3 de ses exigences de résultats, soitLa limitation de la consommation d'énergie primaire.La limitation de l'impact sur le changement climatique associé à ces consommations.La limitation des situations d'inconfort dans le bâtiment en période estivale d'été.Au centre du propos : l'outil lumière naturelle Au-delà d'un constat réglementaire, cette rénovation de bâtiment a été un très bon sujet d'étude pour la Direction Technique Bluetek. Le service a pu confirmer l'efficacité de son outil de calcul en lumière naturelle.Le résultat au FLJ-mètre Daniele Mariotti, Ingénieur Recherche et Innovation Bluetek, a été amené à réaliser différents essais afin d'assurer la cohérence de l'outil lumière naturelle Bluetek avec la réalité du terrain. C'est donc au bureau et sur site qu'il a effectué cette étude.Il a réalisé les mesures FLJ (Facteur Lumière du Jour) selon les prérogatives de la norme EN 17037. Sur une surface de 360 m², 40 points de lumière ont été relevés de 3 X 3 m.Après travaux de rénovation, le résultat est un FLJ moyen de 1,4%.La simulation Archiwizard "avant / après"Commençons par préciser que les simulations standards ne tiennent pas compte de l'encombrement du volume (charpente, pont roulant, poste de travail, écrans ce cantonnement, etc.).Sur le site PL Maître, les calculs ont été réalisés en tenant compte de facteurs de réflexion les plus en adéquation possible avec la réalité du terrain (soit du bardage gris en toiture et en façade), à savoir 0,4 pour la toiture et 0,4 pour la façade. Normativement, ce ratio est respectivement de 0,7 et 0,5. Sur le terrain ou normativement, il est de 0,2 pour les sols.Le résultat de cette simulation est un FLJ moyen de 0,6%.(Résultat simulation Archiwizard avant rénovation) Le résultat de cette simulation est un FLJ moyen de 1,5%.(Résultat simulation Archiwizard après rénovation)En conclusionPassant de 0,6% à 1,4% en résultat réel, le Facteur Lumière du Jour a plus que doublé.Avec un résultat de 1,5%, la simulation Archiwizard, soit notre outil lumière naturelle, est cohérente.Même si elle reste bien sûr perfectible, cette méthode, grâce à notre outil de simulation, est donc une aide précieuse dans le cadre d'études pour tous projets, que ce soit en neuf ou pour la rénovation.Ici, la synergie Bluetek/Soprema a permis encore une fois de concrétiser sur le terrain les résultats des simulations.PL Maître : une suite à venirCes travaux en lumière naturelle ont été réalisés sur la première tranche de cette rénovation. Les actions à suivre sont l'optimisation de l'association en lumière naturelle et artificielle, la ventilation et la possibilité de rafraîchissement des bâtiments par solution adiabatique Bluetek.
Il y a 3 ans et 181 jours

Decorus, la solution 100% naturelle de Biocinov pour éradiquer les dépôts verts sur les toitures et terrasses

Dédiée aux solutions naturelles pour les professionnels, l’entreprise Biocinov s’est penchée sur cette problématique et ajoute à sa gamme la solution DECORUS pour les bâtiments professionnels ainsi que les habitations.DECORUS permet de traiter de manière choc et durable les surfaces dures pour éliminer les dépôts verts ainsi que les algues. À base d’acide nonanoïque, substance active d’origine végétale, la formule agit par contact, entraînant le dessèchement de la végétation ciblée. Les premiers effets sont visibles en quelques heures et la protection longue durée contre les algues est d’environ 6 mois.Côté supports, il est adapté à la plupart des matériaux de construction : asphalte, acier, zinc, aluminium, bois extérieur, plastique, ciment, brique, béton. Pour le zinc, l’aluminium, l’inox, l’acier et le verre, une fine couche blanche peut persister après l’application mais elle disparaîtra avec les pluies successives. Pour le cuivre, l’application va accélérer son oxydation.S’utilise au pulvérisateur, dilué à de l’eauJusqu’à 556 m² de surface traitée avec 1LÉconomique et utilisable toute l’année (sauf en période de gel)Compter 2 applications par an
Il y a 3 ans et 181 jours

Milwaukee dévoile 4 nouveautés

Le kit de premiers secours Packout permet de soigner rapidement des blessures. [©Milwaukee] Quelque 145 solutions sont déjà présentes dans la gamme des EPI de Milwaukee. La marque se concentre sur la réalisation d’équipements innovants, qui assurent une sécurité et un confort optima pour les professionnels. Aujourd’hui, elle dévoile 4 nouveautés. La première est le kit de premiers secours Packout, avec un concept de stockages modulaires. Sur les chantiers, un accident est vite arrivé. Une trousse de premiers secours permet de soigner rapidement une blessure qui pourrait être grave. Ce nouveau kit s’adapte aux autres éléments de la gamme, comme le chariot et les boîtes de rangement. Afin de faciliter son utilisation, il s’ouvre sans difficulté et les éléments sont compartimentés.  Des gants anti-coupes et anti-chocs Ces nouveaux gants anti-coupes et anti-chocs sont idéals pour les travailleurs polyvalents. [©Milwaukee] La seconde nouveauté fait partie de la famille des protections pour les mains. Ainsi, les gants Impact anti-coupes et anti-chocs sont dotés de la technologie Smartswipe1. Avec ces nouveaux gants, Milwaukee souhaite améliorer le quotidien des professionnels. Cet équipement permet une protection et une polyvalence complètes sur les chantiers. Ce qui évite aux utilisateurs de changer de gants trop souvent. La paume et les interstices entre les doigts sont sécurisés et renforcés grâce au nitrile, matériau qui absorbe les chocs.  Une protection des yeux optimale  Milwaukee dévoile deux nouveaux modèles de lunettes de protection. [©Milwaukee] Parce que les yeux constituent une des parties du corps des plus fragiles et des plus exposées sur un chantier, des lunettes sont donc indispensables. Ainsi, Milwaukee propose deux modèles différents. Les premiers sont gris. Ce qui permet de laisser passer une quantité minimale de lumière. Ces lunettes sont idéales pour les professionnels qui se déplacent entre l’intérieur et l’extérieur. Le modèle avec les verres jaunes est, lui, adapté pour protéger les yeux contre les lumières bleues des écrans. De plus, ces deux modèles sont anti-rayures et anti-buée. Afin d’assurer un confort maximal, Milwaukee a rendu ses lunettes plus légères, pour qu’elles se fassent oublier de ses utilisateurs.  Un gilet plus pratique  Ce nouveau gilet haut visibilité est composé de 10 poches intérieures et extérieures. [©Milwaukee] Enfin, la dernière nouveauté est un gilet haute visibilité. Celui-ci dispose de 10 poches intérieures et extérieures. De plus, l’une d’elles est transparente, afin d’y mettre des documents de sécurité, facilement visibles. Chacune des poches est renforcée, afin de limiter le risque de déchirure. Ce gilet est aussi équipé d’une attache pour harnais. Par ailleurs, Milwaukee n’a pas négligé le confort des utilisateurs. En effet, le col est rembourré et la taille du gilet est réglable, grâce à un lien d’ajustement, selon les morphologies de chacun.  1Cette technologie permet d’utiliser les appareils tactiles sans avoir à enlever les gants.
Il y a 3 ans et 182 jours

Dans la région des Trois Gorges, un pont de verre dans le ciel signé UAD

A Huangchuan, en Chine, sur le site touristique des Trois gorges, UAD (Architectural Design & Research Institute of Zhejiang University) a livré en 2020 un pont en verre de 520 m de long à 200 m de haut. Vertigineux ? Communiqué. Un pont est une infrastructure construite en fonction du terrain et aussi un ouvrage d’art […] L’article Dans la région des Trois Gorges, un pont de verre dans le ciel signé UAD est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 185 jours

L’envers du béton

“L’envers du béton”, un documentaire à voir sur France 5, le dimanche 5 décembre, à 20 h 55.[©France Télévisions] Le béton est-il aussi pérenne que l’on l’imagine ? Dimanche 5 décembre prochain, à 20 h 55, France 5 diffuse “L’envers du béton”, un documentaire signé Frédéric Biamonti et Alain Duval, qui pose cette question. L’effondrement du pont Morandi, à Gênes, le 14 août 2018, en constitue le point de départ. La catastrophe a fait 43 victimes. Quelle en est la cause ? Est-ce intrinsèquement la qualité du béton ou plutôt une quasi-absence d’entretien qui a conduit à la ruine de l’ouvrage ? Christian Tridon, président du Strres1, indique, dans une interview accordée à Béton[s] le Magazine2, que : « Cet ouvrage était très particulier dans sa conception et demandait un suivi très précis et poussé, qui, visiblement, n’avait pas été mis en place ». Lire aussi : Strres : « Il faut mettre en place un carnet de maintenance des ponts » Oui, le béton armé n’est ni éternel ni immuable. “L’envers du béton” le rappelle très bien et à juste titre. Même si, à une certaine époque, des architectes, des maîtres d’ouvrage, des politiques ont pu le croire. Un jugement qui a sans doute conduit à négliger la nécessité de l’entretien des ouvrages en béton armé. Mais ce constat est tout aussi vrai, quel que soit le matériau utilisé…  L’argent manque pour l’entretien La commune d’Avril-sur-Loire, dans la Nièvre, est accessible par un unique pont… [©France Télévisions] L’acier est le constituant secondaire du béton. Il donne son nom au matériau final qu’est le béton armé. Il est à la fois l’élément qui permet d’en tirer la quintessence, tout en étant le point faible du béton. Car mis en contact avec l’eau ou l’humidité de l’air, l’acier se corrode. Cette réaction crée une expansion qui aboutit à l’éclatement du béton et à la ruine de l’ouvrage, si rien n’est fait. C’est une réaction en chaîne.  On en revient donc toujours au même constat : le béton armé doit être entretenu, réparé, protégé de l’humidité, des intempéries pour empêcher l’acier qui constitue son armature de rouiller. Mais cette action a un coût et, visiblement, l’argent manque. Qu’il s’agisse des deniers de l’Etat, des fonds municipaux et des revenus des particuliers propriétaires de leur logement… “L’envers du béton” interroge aussi sur le devenir du béton. S’il a été le matériau du XXe siècle, sera-t-il celui du XXIe siècle ? D’une manière parfois abusive, le béton est accusé de tous les maux. En particulier d’épuiser les ressources en sable. Mais en est-il l’unique consommateur ?  Entre raréfaction des ressources et empreinte carbone A Marseille, cette tour d’habitations est très dégradée, faute d’entretien… [©France Télévisions] Une rapide recherche sur Internet suffit pour se rendre compte que le champ d’emploi du sable ressemble à une liste à la Prévert. Il est présent dans l’électronique pour fabriquer les micro-processeurs, en fonderie de métaux pour réaliser des moules. Il est la matière première du verre. On l’emploie pour filtrer les liquides, les gaz ou l’air. C’est un formidable abrasif industriel. L’effet délavé des jeans est le fait d’un sablage haute pression. Certains sables peuvent aussi être utilisés en amendement de terres agricoles…  Lire aussi : Strres & IMGC : Un inventaire des ponts à la Prévert Et l’industrie cimentière dans tout ça ? Le processus de fabrication est abordé dans le documentaire, avec une conclusion, implacable : “la production de 1 t de ciment génère 1 t de CO2”. Un résultat un peu trop arrondi, car augmentant le poids émis de près de 25 % par rapport aux valeurs constatées aujourd’hui en France. De la même manière que certains, dans le passé, considéraient le béton comme éternel, d’autres de nos jours estiment le ciment plus polluant qu’il ne l’est. D’autant que l’industrie cimentière s’est engagée depuis les années 1990 dans une démarche de réduction de son empreinte carbone3. Avec pour objectif, la neutralité en 2050. Cet aspect n’est hélas pas expliqué dans le film, alors qu’il fait aussi partie de l’envers du béton !  “Le bon matériau au bon endroit” Le béton armé a donc bel et bien fini son temps ? Entrons-nous dans l’ère du bois ? Pourquoi pas ! Ce matériau n’est pas nouveau. Les anciens l’ont utilisé durant des siècles pour construire des maisons, des ponts, des édifices. Un mur en bois lamellé-collé est aussi solide qu’un mur en béton banché. Lire aussi : Le Strres alerte aussi sur l’état des ponts de France Mais là doit se poser la question de la durabilité. Si le bois n’est pas protégé de l’humidité et des champignons, il ne risque certes pas de rouiller, mais il va pourrir. S’il ne bénéficie pas d’un traitement insecticide, il fera le régal des mérules, termites et autres capricornes. Et qu’en est-il de la sécurité au feu ? Jusqu’à preuve du contraire, le bois brûle. L’incendie de la charpente de la cathédrale Notre-Dame-de-Paris nous l’a rappelé d’une manière aussi spectaculaire et tragique que l’effondrement du pont Morandi.  Trop longtemps, les matériaux ont été opposés les uns aux autres. “Après moi, le déluge” doit désormais appartenir au passé. Aux acteurs de la construction de prôner aujourd’hui la politique du “bon matériau au bon endroit”, au-delà des effets de mode. Frédéric Gluzicki 1Syndicat national des entrepreneurs spécialistes de travaux de réparation et de renforcement des structures.2Lire Béton[s] le Magazine n° 97 – Novembre/Décembre 2021, p. 23.3Lire Béton[s] le Magazine n° 96 – Septembre/Octobre 2021, p. 26.
Il y a 3 ans et 186 jours

Milliken fournit le revêtement de sol des différentes salles de réunion d'Otterbox

Hibernian House est un bâtiment emblématique de South Mall, construit dans les années 1970 et qui conserve encore aujourd’hui sa façade victorienne italianisante datant d’environ 1825. Lorsqu’il a fallu réaménager les deux derniers étages de ce grand entrepôt, les responsables en ont confié la réalisation à Abbeyside & Co, spécialiste primé de l’aménagement de bureaux.Approche conceptuelleEn guise de clin d’œil et d’hommage à l’héritage industriel brut du bâtiment, l’équipe de design d’Abbeyside a proposé d’habiller l’intérieur d’une ambiance rétro épurée. En travaillant avec une palette de couleurs monochromes simples et des touches de jaune vif, ils ont créé un espace merveilleusement accueillant qui reflète véritablement la culture d’Otterbox et son engagement à créer des lieux de travail agréables.Pour le revêtement de sol des spacieux couloirs et du grand espace de travail ouvert, l’équipe design a choisi le Laid Bare de la collection de moquettes modulaires Comfortable Concrete 2.0 de Milliken. L’aspect saisissant des grandes dalles offrait l’esthétique urbaine recherchée par les concepteurs. Son aspect à la fois brut et raffiné répond aux verrières de style industriel des salles de réunion adjacentes, créant ainsi un concept de design cohérent et solide.La moquette Laid Bare, dans les tons gris pâles Whisper, s’harmonie avec les murs blanc neige et le plafond à plenum apparent, inspirant un sentiment d’ouverture et de modernité et contribuant à illuminer l’espace.Pour le revêtement de sol des différentes salles de réunion d’Otterbox, l’équipe de conception a choisi la moquette modulaire Comfortable Concrete 2.0 en version Urban Drama, jaune moutarde. Les éclaboussures de couleur aléatoires ajoutent un aspect organique à cet espace et se coordonnent avec les touches de couleur jaune des dessins muraux et de certains meubles.Les dalles Laid Bare se poursuivent à l’étage supérieur, pourvu de fenêtres en angle sur un côté, lesquelles lui donnent un aspect de loft décontracté. Cette zone a été astucieusement divisée par des portes grillagées en verre de roseau, tandis qu’un mélange éclectique de chaises mobiles crée une série de zones de réunion flexibles et informelles.Des performances en termes de confortSi Comfortable Concrete 2.0 offre clairement les qualités esthétiques recherchées par l’équipe de conception, ses performances n’en restaient pas moins cruciales dans le cahier des charges. Avec ses grands espaces ouverts et ses plafonds exposés, la gestion de l’acoustique était une considération importante pour cet environnement de travail studieux. Le Comfort Plus® de Comfortable Concrete, le dossier de dalles haut de gamme de Milliken, offre à l’espace des performances acoustiques supérieures, absorbant jusqu’à 37 dB de bruit d’impact. Pour Otterbox, ceci est synonyme d’un lieu de travail dans lequel les employés peuvent travailler plus efficacement et se concentrer plus facilement.Pour une entreprise qui s’enorgueillit d’attirer les meilleurs talents et de prendre soin de ses employés, il était également essentiel de créer des bureaux aussi bien confortables et attrayants qu’esthétiques. Comfortable Concrete répond à ces attentes grâce à sa texture de surface de haute qualité et au confort luxueux du dossier Comfort Plus®. Otterbox peut également être rassuré : ses revêtements de sol sont respectueux de l’environnement. Tandis que le support est fabriqué à partir de 90% de matières recyclées, le revêtement bénéficie également d’accréditations environnementales, notamment les certifications EPD et BRE, ainsi que GuT et CRI Green Label Plus pour la qualité de l’air intérieur.
Il y a 3 ans et 188 jours

Une première pour un fabricant de laine de verre

Reconnu pour la transparence de ses produits, Knauf Insulation, est le premier fabricant de laine minérale européen à obtenir le label DECLARE « Red List Free » avec son offre…Cet article Une première pour un fabricant de laine de verre est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 188 jours

Une première pour un fabricant de laine de verre

Reconnu pour la transparence de ses produits, Knauf Insulation, est le premier fabricant de laine minérale européen à obtenir le label DECLARE « Red List Free » avec son offre de laine minérale de verre ECOSE TECHNOLOGY. La mention « Red List Free » représente le plus haut niveau de certification garantissant le produit sans composant nocif pour la santé. A l’image des étiquettes présentes dans l’industrie alimentaire, le label Declare applique la même démarche et logique dans les lieux de vie. Les informations retrouvées sur l’étiquette des produits bénéficiant du label sont : le nom, le lieu de fabrication, la durée de vie, les possibilités de fin de vie ainsi que sa composition et si le produit est exempt de produits chimiques et matériaux listés sur la Liste Rouge.   Photo : Village Alzheimer – Knauf Insulation
Il y a 3 ans et 188 jours

Isolant durable

Étanche à l’humidité, insensible aux rongeurs et incompressible, l’isolant FOAMGLAS® conserve ses propriétés et son efficacité énergétique pendant toute la durée de vie du bâtiment. Les plaques FOAMGLAS® T3+, FOAMGLAS® READY T3+ et FOAMGLAS® FLOOR BOARD T3+ sont constituées de verre cellulaire dernière génération de qualité T3+. Elles permettent d’isoler thermiquement toutes les parois du bâtiment, du sol à la toiture, sur tous types de supports (sol stabilisé, béton, maçonnerie, bois, bac acier). La conductivité thermique du verre cellulaire T3+ est de 0,036W/m2.K. Par exemple, pour une épaisseur de 18 cm, sa résistance thermique Rth est de 5 m2.K/W et sa conductance thermique U est de 0,20 W/m2.K, garanties 25 ans.
Il y a 3 ans et 189 jours

Recyclage à grande échelle des déchets de laine de verre

Le projet I-LOOP coordonné par ISOVER France a reçu le financement du programme LIFE de l’Union Européenne. En France, la quantité de déchets de laine de verre produits sur les chantiers devrait doubler d’ici 2030. Dans les années 1970/1980 elle atteignait environ 150 000 tonnes par an. Ce projet vise à réduire de manière significative les déchets de construction et de démolition en développant et mettant en oeuvre une nouvelle technologie de recyclage de la laine de verre. Le projet va permettre de démontrer la faisabilité technique du recyclage de grandes quantités de déchets de laine de verre. L’industriel prévoit une capacité de recyclage de plus de 20 000 tonnes d’ici 2030 tout en réduisant la consommation d’énergie et les émissions de CO2.
Il y a 3 ans et 189 jours

Recyclage à grande échelle des déchets de laine de verre

Le projet I-LOOP coordonné par ISOVER France a reçu le financement du programme LIFE de l’Union Européenne. En France, la quantité de déchets de laine de verre produits sur les…Cet article Recyclage à grande échelle des déchets de laine de verre est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 3 ans et 192 jours

Vent d'opposition contre des projets de carrières de sable dans les campagnes

A Saint-Colomban, deux carrières appartenant à GSM et Lafarge extraient 700.000 tonnes de sable alluvionnaire par an sur plus de 100 hectares. Les industriels envisagent d'exploiter 70 ha supplémentaires sur des terres classées "espaces agricoles pérennes", suscitant l'opposition locale."Les sablières sont éloignées de trois kilomètres, mais elles se rejoindront probablement à terme, ce qui représenterait 300 ha exploités, car il y a une forte demande en béton dans la région", s'inquiète Benjamin Boileau, membre du collectif La tête dans le sable (LTDS).Consommation de terres agricoles, assèchement des ressources en eau, hausse du prix du foncier, perte de biodiversité, paysages constellés de "gigantesques trous d'eau" entourés de merlons de terre: les griefs ne manquent pas contre les carrières. La France consomme 350 millions de tonnes de granulats par an pour la construction.Jean-Claude Camus, riverain, redoute notamment une baisse du niveau des nappes phréatiques. "Quand vous creusez un trou à 18 mètres, vous pompez l'eau environnante. GSM est déjà venu chez moi six fois pour remplir mon étang", raconte le retraité.Interrogé par l'AFP, l'industriel répond que "tout est mis en oeuvre pour maîtriser les éventuelles incidences". Lafarge assure, lui, surveiller "de près l'effet potentiel de [ses] activités sur (...) le niveau des nappes et des plans d'eau"."Davantage qu'une +consommation+ des terrains, nous considérons notre exploitation comme un +emprunt+", plaide Loïc Leuliette, directeur de la communication de Lafarge France. Une fois exploités, "les terrains sont rapidement remis en état pour leur redonner une vocation agricole à chaque fois que c'est possible", précise-t-il.Mais pour les opposants, "retrouver une terre agricole avec les qualités d'origine est illusoire"."bétonisation"Face à cette contestation, le maire de Saint-Colomban Patrick Bertin prévoit de consulter la population le 9 janvier."Si le sable vient de plus loin, on multiplie les camions. S'il est extrait en mer, on détruit l'écosystème marin. Or dans le Pays de Retz, on a programmé la construction de 1.600 logements par an, et un logement, c'est 200 à 300 tonnes de sable. Qu'on me dise comment on fait des logements sans sable?", interroge-t-il.Des collectifs anti-carrières, "contre la bétonisation", voient le jour partout en France: en Savoie, dans le Var, les Yvelines, la Loire, l'Eure, l'Ardèche... "Il y a de plus en plus d'opposants à l'ouverture de nouvelles carrières, mais c'est souvent par méconnaissance", estime Sébastien Colin, géologue au Bureau de recherches géologiques et minières.Dans son Livre blanc présenté en 2017, l'Union nationale des producteurs de granulats, qui représente la profession, en appelle à "plus de transparence et de participation du public pour améliorer l'acceptabilité de l'activité".Deuxième ressource naturelle la plus exploitée en volume après l'eau, avec une demande qui a triplé en vingt ans, selon l'ONU, le sable entre dans la composition du béton, du verre, des microprocesseurs, routes, engrais, pneus, peintures, cosmétiques, etc...En France, qui compte 2.300 carrières de granulats, il n'y a "pas de pénurie" mais "une problématique d'accès à la ressource", explique Sébastien Colin. "Certaines régions sont sous tension en raison d'un déficit de carrières, d'un épuisement des gisements ou de leur inaccessibilité avec l'urbanisation".En Loire-Atlantique, le sablage des cultures maraîchères pour favoriser la pousse et le ramassage mécanique, suscite aussi beaucoup de questionnements. Interrogée, la Fédération des maraîchers nantais évoque une consommation "ancestrale indispensable, stable et hyper optimisée" d'environ 500.000 tonnes annuelles."On consomme trop de sable dans le monde", avertit Eric Chaumillon, professeur de géologie marine joint par l'AFP. "Ce n'est pas durable pour une ressource non renouvelable qui met au minimum plusieurs millénaires à se former", poursuit-il.Pour préparer l'avenir, les carriers assurent économiser la ressource et développer le recyclage des bétons de démolition.Mais pour Jean-Christophe Gavallet, président de la FNE des Pays de la Loire, "le sable est encore trop peu coûteux pour justifier des politiques innovantes de recherche de matériaux alternatifs".
Il y a 3 ans et 193 jours

Le nouvel isolant Foamglas T3+ contribue à la lutte contre le réchauffement climatique

Les plaques FOAMGLAS® T3+, FOAMGLAS® READY T3+ et FOAMGLAS® FLOOR BOARD T3+ sont constituées de verre cellulaire dernière génération de qualité T3+. Elles permettent d’isoler thermiquement toutes les parois du bâtiment, du sol à la toiture, sur tous types de supports (sol stabilisé, béton, maçonnerie, bois, bac acier).La conductivité thermique du verre cellulaire T3+ est de 0,036W/m2.K. Par exemple, pour une épaisseur de 18 cm, sa résistance thermique Rth est de 5 m2.K/W et sa conductance thermique U est de 0,20 W/m2.K, garanties 25 ans.Classement ISOLE : I5 S2 O3 L3 E5Classement spécifique pour les sols : SC1 a1 ChLes conclusions du FIW (Institut de recherche et d’essais pour l’isolation thermique - Munich) sont sans équivoque.* Déclaré dans la fiche FDES - EPD-PCE-20200300-IBB1-EN, publié par l’IBU.
Il y a 3 ans et 193 jours

Le nouvel isolant FOAMGLAS T3+

À l'heure où le réchauffement climatique est une préoccupation majeure, l'isolation en verre cellulaire FOAMGLAS® T3+ présente le grand intérêt de faire économiser avec certitude l'énergie des bâtiments. Étanche à l'humidité, insensible aux rongeurs et incompressible, l'isolant FOAMGLAS® conserve ses propriétés et son efficacité énergétique pendant toute la durée de vie du bâtiment.*
Il y a 3 ans et 194 jours

La Façonnerie, laboratoire bas carbone d'un genre nouveau, au sein d'appartements habités

INNOVATION. Le groupe Verrecchia Construction, bâtisseur-promoteur spécialisé dans la construction en pierre de taille, a lancé un laboratoire d'un nouveau genre. L'objectif est, à terme, de massifier l'écoconstruction dans l'Hexagone.
Il y a 3 ans et 196 jours

Un géant du sport s’installe à Strasbourg

Depuis mai 2021 la marque Puma a installé son nouveau siège français à Strasbourg. Un espace de 4200 m2 conçus par les équipes de DRLW architectes. L’ensemble repose sur 350 pieux avec des modes constructifs multiples comme des poutres, prédalles en béton armé, dalles… Le bâtiment tout en transparence  reflète un environnement empreint de culture et d’histoire. Sa façade vitrée se déploie selon un principe de double peau, maîtrisé par le fabricant-installateur Druet, partenaire de Schüco sur cette opération, elle lui confère une lumière naturelle abondante modulable. La double peau de verre enserre une lame d’air générant une ventilation naturelle. Dans ce même espace, entre le mur-rideau et la paroi en verre extérieur collé, se glisse un brise-soleil orientable (BSO) caché par un système de cassettes aluminium. Chaque nez de dalle est équipé de capteurs scolaires pour activer les éléments du BSO selon l’ensoleillement via la GTB ou via la tablette de chaque employé.  La combinaison de vitrages alliée au système d’ombrage mécanique permet une gestion énergétique et une isolation phonique et thermique améliorées pour le confort des usagers. Contrôlé par GTB et parcouru de capteurs de luminosité et température, l’immeuble vise la certification Breeam au niveau Very good.
Il y a 3 ans et 200 jours

Isover recycle la laine de verre, et compte augmenter les volumes

La filiale de Saint-Gobain sait recycler la laine de verre, et compte bien développer cette tendance à coup d’investissements et de maillage territorial de collecteurs agréés. Mais certains obstacles restent encore à lever.
Il y a 3 ans et 201 jours

Erdogan inaugure un nouveau centre culturel à Istanbul

L'inauguration du nouvel opéra de 2.040 places a eu lieu à la date symbolique du 98e anniversaire de la fondation de la république turque par Mustafa Kemal Atatürk.Le Centre culturel Atatürk, situé place Taksim, a eu une histoire mouvementée. Ouvert en 1969, le Centre est presque aussitôt ravagé par un incendie avant sa réouverture en 1978. Il devient alors le pôle de la vie culturelle d'Istanbul, mais doit fermer en 2008 pour des travaux de restauration qui n'auront jamais lieu.M. Erdogan avait déclaré, lorsqu'il avait lancé le nouveau projet en 2017, que le nouveau bâtiment d'avant-garde donnerait une nouvelle vie à la place Taksim, qui avait été le lieu de rassemblement phare des manifestants protestant contre le gouvernement islamo-conservateur en 2013.Les opposants au projet de démolition du Centre culturel Atatürk avaient déploré la destruction d'un édifice qu'ils considéraient comme un symbole de la République et de ses valeurs.En mai, le président Erdogan avait inauguré la première mosquée sur la place Taksim, consacrant ainsi une transformation du paysage urbain dans le quartier.Bien que la Turquie soit un pays à majorité musulmane, la construction de la mosquée a été critiquée lorsqu'elle a commencé en 2017, certains opposants accusant M. Erdogan de vouloir "islamiser" la société.L'architecte du nouveau bâtiment de l'opéra, Murat Tabanlioglu, est le fils de Hayati Tabanlioglu, l'architecte qui avait conçu l'édifice de l'ancien Centre culturel Atatürk, signe que le gouvernement tient à montrer qu'il ne foule pas aux pieds le passé.La façade moderne recouverte de verre du nouvel édifice est aussi semblable à celle de l'ancien.Le nouveau complexe de 95.000 m2 abrite l'opéra, des salles de théâtre, une bibliothèque de deux étages, un centre culturel pour les enfants, des salles de cinéma et de concert, des lieux d'exposition, des cafés et des restaurants.Le London Philharmonic Orchestra doit se produire dimanche au nouveau Centre, montrant que la musique occidentale figure au programme.
Il y a 3 ans et 202 jours

Du plateau de verre, réflexions macrocosmiques, voire fantasmagoriques

Même si la transparence est prônée depuis le début de l’ère moderniste, les développements contemporains de la technologie du verre ont rénové non seulement les capacités structurelles et isolantes du matériau, mais aussi la manière dont il construit la visibilité en soi. Chronique-Photos d’Erieta Attali. Le verre architectural fonctionne comme une « loupe » à […] L’article Du plateau de verre, réflexions macrocosmiques, voire fantasmagoriques est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 203 jours

Le chiffre d'affaires de Saint-Gobain gonflé par la hausse des prix et la reprise du bâtiment

Au troisième trimestre 2021, Saint Gobain a réalisé un chiffre d'affaires de 10,8 milliards d'euros, en hausse de 6,7% par rapport aux trois mois équivalents de 2020, portant à 32,9 milliards d'euros le chiffre des ventes sur les neuf premiers mois, soit un bond de 18,1% par rapport à la période équivalente de 2020.Le consensus des analystes de Factset tablait sur un chiffre d'affaires trimestriel de 10,67 milliards.Le groupe "confirme la très forte progression de son résultat d'exploitation à un nouveau plus haut historique" en 2021, indique le groupe.Saint-Gobain a maintenu la révision en hausse de ses coûts en énergie et matières premières pour 2021 en raison de l'inflation dans le secteur, soit environ 1,5 milliard d'euros sur l'année, au lieu de 1,1 milliard annoncé fin juillet.Mais porté surtout par la hausse de ses propres prix de vente, il se dit "confiant dans sa capacité à compenser l'inflation" sur l'ensemble de l'année, "étant donné la forte accélération de la hausse des prix à +8,7% au troisième trimestre par rapport à la période équivalente de 2020".En Europe du Nord, son principal marché, le chiffre d'affaires a progressé de 12% sur le trimestre à 3,8 milliards d'euros, plus que ce qu'attendaient les analystes, grâce à une "forte accélération des hausses de prix".Les pays nordiques ont enregistré une "solide croissance", en particulier dans les solutions de construction légère sur le marché "porteur" de la rénovation.Le rythme de croissance en Allemagne a décéléré compte tenu de l'impact du recul du marché automobile sur la demande de verre, même si la construction modulaire reste "bien orientée", indique le communiqué.Au Royaume-Uni, la croissance a été tirée "exclusivement par les prix" dans un marché "perturbé par des difficultés de chaînes d'approvisionnement".En Europe du Sud (qui inclut le Moyen Orient et l'Afrique), les ventes du groupe se sont élevées à 3,15 milliards d'euros, soit quasiment autant que ce qu'attendaient les analystes (3,17 milliards d'euros).En France, Saint-Gobain a continué d'observer de "bonnes tendances", soutenues par le marché de la rénovation, et surtout les incitations à la rénovation énergétique impulsées par le plan de relance de l'économie. 400.000 dossiers de demande d'aide publique (MaPrimeRenov') ont été déposés en France depuis le début de l'année, indique le groupe qui compte sur la rénovation de bâtiments publics en 2022.Interrogé par les analystes sur la poursuite de la hausse des prix de matériaux d'ici la fin de l'année, le directeur général du groupe Benoit Bazin a répondu qu'il s'agissait d'une "priorité" pour le groupe, qui bénéficie d'une bonne "acceptation" de ses clients.Le titre Saint Gobain, coté au CAC40, a progressé de 0,89% jeudi à 60,89 euros, dans un marché en hausse de 0,75%.
Il y a 3 ans et 207 jours

La formation aux métiers d’art : un système en crise ?

Au delà de la refonte des diplômes et de la formation initiale, c’est aussi le système de formation continue (avec la révision des critères de certification) qui est bouleversé aujourd’hui. Olivier Mallemouche, Souffleur de verre, Administrateur et Président de la commission Formation d’Ateliers d’Art de France, Marion Boisjeol, Responsable de la formation à la Maison de la céramique des pays de Dieulefit et Elie Hirsch, Sculpteur, créateur de bijoux et dinandier répondent à Orianne Masse Voir les vidéos du forum du patrimoine
Il y a 3 ans et 208 jours

Isover, Placo® et Isonat s'associent pour accompagner le développement de la construction bois

Les trois marques entendent les accompagner dans l'accélération de leurs projets de construction bois en développant des partenariats pour co-construire des solutions en réponse aux problématiques techniques de ce mode constructif.Des expertises métiers au service des enjeux de la construction boisForts de leurs connaissances techniques dans les domaines de l'efficacité énergétique, l'acoustique, la protection au feu et l'hygrométrie, quatre enjeux majeurs de la construction bois, ISOVER, Placo® et Isonat proposent une gamme complète de solutions fabriquées en France :ISOVER conçoit des solutions d'isolation durable pour répondre aux enjeux d'efficacité thermique, d'acoustique et de protection au feu. Le spécialiste s'inscrit dans une démarche continue d'optimisation de l'impact environnemental de ses produits, de l'efficacité énergétique, de la qualité de l'air intérieur et du bien-être.Placo® est engagé dans le développement de produits dédiés à l'habitat durable. Pionnier de la plaque de plâtre en France, l'expert innove en permanence afin de proposer des solutions techniques qui répondent aux exigences acoustiques, thermiques, décoratives, de qualité de l'air intérieur… des particuliers et des professionnels.Isonat, entreprise innovante, est spécialisée dans l'isolation biosourcée en fibres de bois. L'entreprise conçoit et s'approvisionne en France pour l'ensemble de ses gammes et panneaux isolants dédiés à l'isolation par l'intérieur et l'extérieur.Ces trois experts comptent à leur actif plusieurs références dans le domaine. En témoigne leur participation au projet Sensations à Strasbourg, premier programme de structure bois en France développé par l'Eurométropole de Strasbourg et réalisé par Bouygues Immobilier et KOZ Architecture. Plusieurs solutions ont été prescrites : Placoplatre BA 18S et Placoflam® qui participent à la protection feu, la laine de verre GR 32 pour la performance thermique, Placomarine® pour la résistance à l'humidité, Placo® Duo'Tech® 25 et Domisol LR pour optimiser l'acoustique, les plaques de plâtre Activ'Air® pour la qualité de l'air intérieur.Des partenariats forts pour apporter des solutions à la hauteur des attentes du marché« Nous avons pour ambition de créer des synergies avec les acteurs de la construction bois, afin de faire grandir ensemble la filière. Notre récent partenariat avec MATHIS, acteur majeur dans la conception, la fabrication et la construction de bâtiments à structure en bois, témoigne de cette volonté forte. La multiplication de ce type de synergies va nous permettre de nourrir mutuellement nos réflexions pour apporter des solutions à la hauteur des attentes du marché. ». Nicolas FERRY, Directeur Marketing ISOVER, Placo® et Isonat« ISOVER et Placo® possèdent une expertise très complémentaire à celle de MATHIS pour relever les défis liés à la construction bois, notamment en termes de feu et d'acoustique. Cela nous a permis, dans des délais courts, de développer en partenariat le système de plancher AZURTEC-Placo® qui apporte une solution haute performance au marché. Nous avons également pu nous appuyer sur les compétences de l'équipe Développement Durable d'ISOVER et de Placo® pour réaliser la FDES de ce système. ». Frank Mathis, Président Directeur Général MATHIS« Faciliter l'accélération de l'avènement de la ville durable, s'accompagne immanquablement de la démonstration massive de l'aptitude durable à l'emploi des solutions constructives bas carbone. La construction de cette démonstration par l'évaluation, permet la structuration plus rapide des filières associées, grâce à la reconnaissance de leurs procédés en technique courante. Que ce soit à l'échelle du développement des produits, comme à l'échelle de la ville, c'est le but pragmatique que nous nous sommes fixés et que nous poursuivons au travers de toutes les missions d'accompagnement à l'innovation assurées auprès des plus grands donneurs d'ordres. Les nombreuses démarches d'évaluations engagées par ISOVER, Placo® et Isonat, entrent parfaitement dans cette même stratégie. ». Eric DIBLING, Fondateur et Dirigeant d'INGENECO Technologies ; Assistance à Maîtrise d'Ouvrage, Ingénierie, Expertise, Recherche« ISOVER, Placo® et Isonat sont engagés depuis de nombreuses années pour promouvoir des solutions innovantes, tout en assurant l'ensemble de la filière de la qualité des solutions proposées et mises sur le marché. Ainsi, les nombreux avis techniques dont ISOVER, Placo® et Isonat disposent, validant le domaine d'emploi et la mise en oeuvre des solutions, les validations par des essais feu ou acoustiques, sont autant d'éléments de preuve à disposition de nos clients. Les concepteurs de bâtiments bois peuvent donc s'appuyer en toute confiance sur notre expertise conjointe pour les accompagner sur leurs projets. » Stéphanie ROCHE, Responsable Marketing - Pôle Marchés Bâtiments ISOVER, Placo® et IsonatDes apporteurs de solutions globales pour toutes les paroisInformer, accompagner, guider : un coffret en édition limitéeISOVER, Placo® et Isonat ont créé à l'occasion du Forum International Bois Construction un coffret en édition limitée, conçu tel un guide de la construction bois pour les logements collectifs. Il est introduit par une présentation des valeurs et des engagements des trois experts en matière de gestion durable des ressources naturelles, d'éco-innovation, de logistique et de l'analyse du cycle de vie.Cet outil didactique se compose de 43 fiches produits recto/verso couvrant les quatre parois :cloisons,façades,planchers,toitures.Pédagogiques, elles présentent les fondamentaux de chaque solution via une vue 3D, leurs champs d'application, leurs bénéfices, leurs performances une composition détaillée schématisée du système et un descriptif technique.Des engagements durables pour répondre aux enjeux de la construction boisGestion durable des ressources et des matières premièresISOVER, Placo® et Isonat ont pour valeur commune la gestion durable des ressources et des matières premières. Tout est mis en oeuvre pour respecter cet engagement majeur au coeur de leur ADN. Par exemple, les laines de verre ISOVER contiennent entre 40 % et 80 % de verre recyclé. 100 % biosourcé, le liant de sa nouvelle laine est élaboré à partir de matières premières issues des industries céréalières et sucrières. Les plaques de plâtre Placo® concernées intègrent en moyenne 20 % de matières recyclées. Le carton utilisé provient de forêts gérées de manière responsable ou de matière 100 % recyclée. Placo® réalise une exploitation responsable de ses carrières souterraines et aériennes avec suivi environnemental et remise en état. De son côté, Isonat utilise le Pin Douglas, certifié PEFC, pour la fabrication de ses isolants. Les plaquettes de bois qui composent ses produits proviennent de déchets de scieries du bassin roannais, sourcés dans un rayon maximum de 60 km autour de l'usine.Éco-innovationLes trois experts mettent tout en oeuvre pour répondre aux exigences des professionnels visant des démarches de labellisation HQE, E+C-, Bâtiment Biosourcé… Leurs produits et solutions disposent de FDES, disponibles sur la base de données INIES et calculées sur une durée de vie de 50 ans. ISOVER et Placo® sont les premiers fournisseurs de FDES en France. Autre service exemplaire : l'offre LEAN by Placo® qui permet de minimiser les déchets sur chantiers en livrant la bonne quantité prédécoupée au bon endroit.Gestion de fin de vie des produitsISOVER et Placo® n'ont pas attendu l'avènement de la loi AGEC pour s'engager dans la gestion de la fin de vie de leurs produits. La laine de verre ISOVER et les plaques de plâtre Placo® sont recyclables à 100 % et à l'infini. ISOVER a mis en place la première filière au monde de recyclage de déchets de laine de verre issus du BTP : ISOVER Recycling. Premier recycleur de plaques de plâtre en France, la filière Placo® Recycling permet depuis 13 ans un recyclage des déchets de plaques de plâtre, réintroduits dans la production de nouveaux produits.
Il y a 3 ans et 208 jours

Une 7e édition réussie pour les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) 2021

Les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) 2021 ont rassemblé quelque 2 400 visiteurs. [©Juan Jerez] La 7eédition des Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) est un salon professionnel consacré aux matériaux innovants pour l’architecture, le design, la décoration et l’aménagement d’intérieur. Elle s’est tenue conjointement dans les espaces Commines et Marais.Marais, à Paris (IIIe). Chacun d’eux a accueilli architectes, designers, artisans d’art et industriels autour de cycles de conférences, de discussions et de workshops. La scénographie immersive a été conçue sur mesure par le studio de design Frédéric Imbert.  Quelque 59 exposants et 2 400 visiteurs Pour la première fois, l’événement Fair(e) s’est déroulé dans un nouvel espace dédié à l’artisanat contemporain, à l’espace Marais.Marais. Ce nouveau lieu de 350 m2réparti sur 3 niveaux, a dévoilé aux professionnels la diversité de la création artisanale contemporaine, ainsi qu’un riche panel de matériaux innovants.  Lin, bois, béton, cuir, verre, bambou, céramique, pierre naturelle, chanvre… Les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) ont permis la découverte des potentiels créatifs et techniques de matières connues comme inattendues. L’évènement était destiné à impulser rencontres et collaborations entre les industriels, concepteurs de matières et les prescripteurs, architectes, designers, agenceurs, bureaux d’études…  Les Rendez-Vous de la Matière + Fair(e) ont eu lieu dans les espaces Commines et Marais.Marais, à Paris dans le IIIe arrondissement. [©ACPresse] Cet évènement a regroupé quelque 59 exposants, experts dans leur domaine. Et rassemblé 2 400 visiteurs. Imaginée, conçue et organisée par Bookstorming, la 7eédition a accueilli 63 % d’architectes d’intérieur et de décorateurs. Ainsi que 31 % d’architectes DE et 6 % autres.« Nos exposants sont ravis de leurs échanges avec les 2 400 visiteurs présents et soulignent la qualité des contacts. Pour l’édition 2022, nous préparons quelques surprises, notamment une nouvelle adresse prestigieuse… », dévoile Sébastien Maschino, directeur général adjoint, associé et coordinateur du Rendez-vous de la matière – Fair(e) chez Bookstorming. Retours d’expérience de certains exposants A l’espace Commines, voici quelques marques qui ont retenu notre attention et leurs retours d’expérience : Confédération européenne du lin et du chanvre Matériau biosourcé, le lin déploie des atouts, en termes d’isolation – thermique et acoustique –. Tout en participant à l’aspect visuel et esthétique. Son approche multi-sectorielle met en lumière une application intérieure et extérieure. Il est devenu l’emblème des éditeurs souhaitant conjuguer esthétique et écologie. « Les solutions biosourcées lin & chanvre ont toujours accueilli une belle audience aux Rendez-Vous de la Matière depuis la première participation de la Confédération européenne du lin et du chanvre en 2016. L’année 2021 est marquée par une fréquentation toujours aussi accrue, renforcée pour cette édition par des enjeux réglementaires, en termes d’utilisation de matériaux biosourcés en vue de la RE 2020 », résume Julie Pariset, directrice innovations de la Confédération européenne du lin et du chanvre. Et Brice Roussel, responsable matériaux et innovations, de poursuivre : « Un retour au présentiel qui a permis des échanges enrichissants et nombreux, témoins de cette tendance de fond d’augmentation de l’utilisation du lin et du chanvre dans le design et l’architecture ». Kebony En pose verticale ou horizontale, le bois développé par Kebony illustre avec brio l’innovation portée aux matières naturelles. Misant sur un dégradé de nuances qui apparaît au fil du temps, les gammes imaginées par le fabricant français s’engagent dans une autre vision de l’architecture.  « Les Rendez-Vous de la Matière était un salon intimiste et très agréable, nous ayant permis de rencontrer beaucoup de personnes travaillant dans des cabinets d’architectes parisiens. L’organisation était telle que nous avons presque été en permanence sollicité par les visiteurs qui étaient, pour la plupart, à la recherche de matériaux biosourcés », explique Olivier Loheac, responsable commercial France. Et Julia Agnese, responsable vente Sud-Est, de conclure : « Comme son nom l’indique, Les Rendez-Vous de la Matière invitent les architectes à découvrir de nouvelles matières. C’est une des raisons pour laquelle ce salon a été intéressant pour Kebony. Avec beaucoup de passage, nous avons eu l’occasion de rencontrer de nombreux architectes parisiens, dont la plupart ont été conquis par le produit. Notamment par le toucher de la matière des échantillons. Ils ont aussi apprécié l’aspect écologique et la garantie de 30 ans proposée par Kebony. Nous sommes très contents d’avoir participé à ce salon qui, pour nous, est incontournable ». Laudescher Avec des lignes intemporelles et un relief travaillé, les panneaux de Laudescher misent sur une esthétique contemporaine, sans négliger l’aspect naturel du bois. Présentées aux Rendez-Vous de la Matière, ces solutions acoustiques rassemblent les performances propres à la marque, développées depuis trois générations. « Laudescher participait pour la deuxième fois aux Rendez-Vous de la Matière. Nous souhaitions mettre en avant nos solutions acoustiques en bois massif pour plafond suspendu et habillage mural. Et cela fut un vrai succès ! Le visitorat était très qualitatif et portait un réel intérêt aux solutions présentées. Ce qui laisse présager de beaux projets », indique le fabricant norvégien. [©ACPresse][©Juan Jerez][©Juan Jerez][©Juan Jerez][©Juan Jerez][©Juan Jerez] Matières Marius Aurenti Pionnier du béton ciré millimétrique, Matières Marius Aurenti conçoit et développe une palette de matières décoratives depuis plus de trente ans. Disposant d’un réseau d’artisans qualifiés, l’industriel accompagne des projet commerciaux et résidentiels dans toute la France et à l’international. « Nous avons apprécié de revenir rencontrer les architectes après cette période de Covid. Le salon était notre premier rendez-vous depuis la pandémie. Et nous avions à cœur de faire un salon aussi beau que qualitatif. Nous avons aimé participer à la scénographie sur notre stand, mais aussi mettre en avant les réalisations des artisans d’art avec les tables en béton ciré Marius Aurenti. Les rencontres que nous avons faites nous ont confortés dans notre envie d’innover autour de notre matière qu’est le béton. Ceci, toout en poursuivant le développement de nos panneaux en béton prêt à poser et des objets en béton », indique Aude Chevalier, cheffe de produit et marketing digital. Rieder Fort de son expertise dans le béton naturel, Rieder allie performance et créativité tout en s’engageant dans une éthique écologique et durable. Par une nouvelle palette de nuances et de textures, révélée en 2019, la marque ne cesse d’imaginer une façade innovante, en lien avec les désirs esthétiques des architectes. « Nous avons participé à l’édition 2017 et 2021. J’ai trouvé que la fréquentation du salon était très bonne. Il y avait très peu de périodes “creuses”, et les horaires semblent être bien adaptés au public. J’ai l’impression que le ratio des architectes par rapport aux architectes d’intérieur était plus faible cette année. Et j’ai eu assez peu de contacts avec des architectes. Il est possible aussi qu’ils aient été un peu plus discrets. J’ai quand même eu 3-4 contacts très qualitatifs. En ce qui concerne le stand, l’emplacement était très bien, tout près de l’entrée, mais j’avais l’impression que les visiteurs étaient plus happés par la scénographie générale, puis regardaient plus en détail ce qui se passait sur les desks. J’avais disposé nos nuanciers et c’est ce qui a attiré le plus l’œil – j’ai eu beaucoup de compliments pour les couleurs. Le lieu est agréable et la taille parfaite. L’équipe du salon était très sympathique, comme toujours ! », résume en détail Christa Kleindienst, directrice des ventes. 
Il y a 3 ans et 209 jours

EAS SOLUTIONS MET EN LUMIÈRE L’EXTENSION D’ORLY 4 AVEC AÉROLUMAZ, UN LUMINAIRE LINÉAIRE LED CONÇU ET FABRIQUÉ EN FRANCE

AÉROLUMAZ, un luminaire linéaire LED conçu par EAS SOLUTIONS pour le Groupe ADP : Conçu et fabriqué en France, le linéaire LED AÉROLUMAZ offre une efficacité lumineuse de 120 lm/W, soit 40 à 50 % de plus que les traditionnels linéaires fluorescents. Par rapport à un produit LED standard, ce linéaire LED apporte un gain de 20% sur la consommation énergétique et une augmentation de la plage de variation de 40%. Il est équipé de la technologie DALI qui permet une gestion centralisée de l’éclairage et une gestion du flux lumineux en fonction de la lumière naturelle, grâce notamment aux capteurs de luminosité. Son driver séparé est conçu pour fonctionner 100 000 heures avec une plage de régulation allant de 1% à 100%, optimisant ainsi les dépenses en énergie. Auto-protégé et résistant aux microcoupures, il peut aussi fonctionner sur réseaux secourus ADP en 200 volt continu. Doté de LEDs très haut rendement, le luminaire AÉROLUMAZ possède un flux lumineux de 3600 lm, une puissance de 30W, un indice de rendu de couleur (IRC) de 80, une température de couleur de 4000K et une durée de vie de 54 000 heures. D’une longueur de 120 cm, il est robuste (réflecteur et corps en aluminium) et réparable. Ce linéaire LED est conçu pour fonctionner sans limite de durée d’utilisation (24H/24) à des températures allant de -20° à +50°C. Il permet, grâce à la variation, d’économiser plus de 80 % d’énergie et est garanti 5 ans. Le luminaire LED avec réflecteur AÉROLUMAZ, dont la photométrie particulière est certifiée Piséo, a été développé en fonction des exigences techniques et architecturales du Groupe ADP. Il apporte un grand confort visuel aux usagers sans éblouissement (risques photo biologiques GR0). Application : Mise en lumière de la nouvelle extension d’ORLY 4 : Crédit photo Groupe ADP La nouvelle extension de la zone internationale « Départs » d’Orly 4 avec sa lumineuse salle d’embarquement quasiment transparente d’une superficie de 2 500 m2, bénéficie d’un éclairage 100% LED. Cette réalisation, opérationnelle depuis juin dernier, s’étend sur 50 000 m2, dont 27 000 m2 en extension et 23 000 m2 en réaménagement de la zone existante. Elle comprend un système de tri bagages ainsi que des zones de débarquement et d’embarquement avec accès directs aux postes avions. Afin de mettre en lumière ce nouvel ouvrage conçu avec des matériaux nobles tels que la pierre, le verre et le bois, le Groupe ADP qui souhaite encore améliorer son empreinte carbone, a choisi la solution d’éclairage LED d’EAS SOLUTIONS, à savoir un nouveau linéaire LED avec réflecteur qui allie un haut rendement lumineux à une faible consommation énergétique pour un éclairage LED optimal. Après environ deux années d’études techniques du produit incluant notamment validation du flux lumineux et de la consommation puis la validation esthétique, EAS SOLUTIONS a procédé à la fabrication des 1368 luminaires LED que compte cette réalisation. A propos d’EAS Solutions EAS Solutions, spécialiste des éclairages LED professionnels, innove avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligent. EAS Solutions sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr