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Il y a 2 ans et 294 jours

La Chine va doubler sa capacité d'énergie éolienne et solaire d'ici à 2025

Dans un document publié début juin, le planificateur économique central du pays a déclaré que 33% de l'approvisionnement en électricité du réseau national proviendrait de sources renouvelables d'ici à 2025, contre 29% en 2020."En 2025, la production annuelle d'électricité à partir d'énergies renouvelables atteindra environ 3,3 trillions de kilowattheures... et la production d'énergie éolienne et solaire doublera", indique le plan.Le premier pollueur mondial avait précédemment estimé qu'il devait doubler l'utilisation de l'énergie éolienne et solaire d'ici à 2030 pour tenir ses engagements dans le cadre de l'accord de Paris sur le climat.Ce dernier plan, s'il est mis en œuvre, signifie que la Chine pourrait atteindre cet objectif plus tôt.Mais le plan prévoit aussi que les énergies renouvelables couvriront "50% de la croissance de la consommation d'électricité" d'ici à 2025, ce qui est inférieur aux précédentes estimations officielles et indique une plus grande marge de manœuvre pour développer l'énergie provenant du charbon.Pékin a accru sa dépendance à l'égard des centrales électriques au charbon ces derniers mois pour soutenir son économie en difficulté, alors que la guerre en Ukraine fait grimper les prix mondiaux de l'énergie.La Chine est le plus grand producteur d'énergie renouvelable au monde. Elle a accéléré ses investissements dans les projets solaires et éoliens afin de lutter contre la pollution intérieure qui, selon les chercheurs, tue plusieurs millions de personnes chaque année.Les investissements dans l'énergie solaire ont presque triplé au cours des quatre premiers mois de l'année par rapport à la même période l'année précédente pour atteindre 29 milliards de yuans (4 milliards d'euros), selon les données de l'Administration nationale de l'énergie.Mais le pays brûle toujours la moitié du charbon utilisé dans le monde chaque année pour alimenter son économie.La semaine dernière le Premier ministre Li Keqiang a déclaré que le charbon était à la base de la sécurité énergétique du pays, et la banque centrale a approuvé un crédit de 15 milliards de dollars pour financer l'extraction du charbon et les centrales au charbon.
Il y a 2 ans et 294 jours

Var : réhabilitation de l’École normale de Draguignan en logements

Le projet de transformation de l’École normale de Draguignan en logements prendra fin en 2025.
Il y a 2 ans et 294 jours

Vendée : une nouvelle médiathèque-ludothèque à La Garnache d’ici à 2024

Une enveloppe prévisionnelle de 1,2 million d’euros est allouée au projet de la future médiathèque-ludothèque de La Garnache.
Il y a 2 ans et 294 jours

GSE réalise un parking aérien pour le marché de Rungis

Situé avenue de Bourgogne à Chevilly-Larue (94), ce parking aérien s’étendra sur 11.500 m² de surface de plancher et permettra ainsi à la SEMMARIS de bénéficier du système de construction GSE GOLDBECK en France.Un chantier rapide en site très fréquentéRéalisé pour le compte de SEMMARIS, le gestionnaire immobilier du marché de Rungis, ce parking aérien proposera 445 places multi-usages (VUL, VL et zone VIP) sur 5 niveaux, localisé sur un terrain de seulement 2.300 m² en plein cœur du marché international, en lieu et place d’un parking traditionnel en surface. « Non seulement le chantier devra permettre la continuité de l’activité du parking, mais le site est l’un des plus fourmillants de l’Hexagone. Il s’agit d’un véritable défi pour les équipes GSE » explique Yoann Castel, en charge de ce projet.Le parking aérien sera le premier à bénéficier de la démarche GSE GOLDBECK. « Entièrement préfabriqués, tous les éléments sont construits en usine et assemblés sur place comme des Lego. Cette méthode de construction permet un très bon suivi qualité, une optimisation des matériaux et donc une réduction de la consommation de matières premières et un timing de construction très court » explique Maxime Ochin, directeur activité Parking de GSE. A la rapidité de cette méthode de préfabriqué, la démarche GOLDBECK ajoute de nombreux avantages environnementaux : une façade en bois recyclé signée ABA Workshop, une ombrière de panneaux photovoltaïques en toiture. A la demande du client, GSE étudie une solution locale de compensation du poids carbone de l’ouvrage.Le chantier, en flux tendu, démarrera en septembre 2022 pour une livraison en avril 2023. Un deuxième parking à Pessac (33) est également prévu pour représenter la deuxième implantation de GSE-GOLDBECK en France.Objectif, révolutionner le parking avec de nombreux services associésGrâce à son mode de production industrialisé, totalement préfabriqué et prêt à la construction, cela permet à GSE de présenter une offre particulièrement compétitive, affichant des prix entre 15 et 20 % moins élevés que le coût d’une place de stationnement en parking « traditionnel » sur le marché français. Ce procédé de fabrication industrialisé et intégré permet en outre des délais de déploiements uniques.Véritables outils au service de la mobilité, GSE propose des solutions confortables, intelligentes et durables. Ces parkings intègrent les nouvelles technologies mises en œuvre dans ce domaine, garantissant une qualité et une sécurité optimale : guidage à la place, gestion numérique du parking, contrôle d’accès par reconnaissance de la plaque, éclairage intelligent, jalonnement dynamique et offrent d’innombrables possibilités sur le design architectural. De plus, ils permettent une réduction de 20 % du bilan carbone par rapport aux solutions du marché.
Il y a 2 ans et 295 jours

L'immobilier algérien fait salon en France pour la 1ère fois

Au programme : un large panorama de l’offre immobilière algérienne, exclusivement dans le neuf, enrichi par des journées thématiques pour informer les visiteurs et les aider à construire leur projet en Algérie.Co-organisé par "OK AGENCE", une agence d'évènementiel française basée à Nîmes et "Lepestate.com", agence immobilière basée à Alger, leurs équipes ont su rester fortement mobilisées pendant la crise sanitaire, et continuent à travailler d'arrache pied pour la réussite de cet évènement, qui a été reporté 2 fois à cause de la crise du COVID-19.Pour Karina Tifoura, co-Organisatrice du SINA PARIS et Directrice de OK AGENCE : "Le SINA PARIS participe pleinement à la dynamique économique entre la France et l'Algérie, et se positionne comme un rendez-vous incontournable, d'une part, pour les membres de la diaspora algérienne de France ayants le projet d’achat ou de construction d’une maison individuelle en Algérie, et d'autre part, pour tous les opérateurs économiques français souhaitant pénétrer le marché du BTP en Algérie."Promoteurs immobiliers, organismes de financement, spécialistes en droit immobilier, architectes urbanistes, le SINA PARIS réunit pour la première fois à l'étranger, les futurs acquéreurs de la diaspora et plus de 25 professionnels de l’immobilier venus de l'est, du centre et de l'ouest de l'Algérie.Pour Sofiane Ouhab, Directeur de Lpestate.com et co-Organisateur du SINA PARIS : "En cette période de ralentissement de l'économie mondiale, il est plus que jamais nécessaire, de développer plus de perspectives commerciales entre les deux rives de la Méditerranée."
Il y a 2 ans et 295 jours

Seine-et-Marne : Bouygues-Immobilier va construire 37 nouveaux logements à Meaux

À Meaux, le projet immobilier « Le Pont 9 », porté par Bouygues-Immobilier, permettra de créer 37 logements.
Il y a 2 ans et 295 jours

Val-d’Oise : les lauréats du Palmarès de la construction durable 2022 dévoilés

Dans le Val-d’Oise, quatre projets ont été récompensés dans le cadre de la quatorzième édition du Palmarès 2022 de la construction durable.
Il y a 2 ans et 295 jours

Val-de-Marne : un nouvel espace de verdure à Ivry-sur-Seine

À Ivry-sur-Seine, le projet d’aménagement du quartier d’Ivry-Port franchit une étape avec la création d’une pelouse près de l’avenue Jean-Jaurès.
Il y a 2 ans et 295 jours

Val-de-Marne : des opérations d’archéologie préventive avant les travaux

Des diagnostics archéologiques sont menés en amont des travaux et des projets d’aménagement sur le territoire du département du Val-de-Marne.
Il y a 2 ans et 295 jours

REP PMCB : Valobat, la FNB et l’UICB expriment leurs engagements communs pour la filière bois

Déjà engagée dans l’acte de construire avec tous ses métiers, la filière bois-construction figure parmi les premières contributrices dans l’enjeu de réduction des gaz à effet de serre.Valobat, candidat à l’agrément d’éco-organisme, aspire à être l'acteur de référence pour les produits bois et porte de grandes ambitions pour ce matériau aux multiples atouts. Début 2022, l’Union des Industriels et Constructeurs Bois (UICB) et la Fédération Nationale du Bois (FNB) entraient au capital de Valobat. Un message fort exprimant leur volonté partagée d’accompagner les acteurs du bois dans ces prochains changements, avec cinq objectifs prioritaires : Réussir l’engagement des entreprises dans la REP, Construire des critères d’éco-conception adaptés à la filière bois, Encourager le réemploi et la réutilisation des produits bois, Promouvoir le recyclage et la valorisation du bois,Obtenir la visibilité de l’écocontribution sur les devis et les factures. La filière française bois : des objectifs ambitieux Le bois est un matériau qui apporte de nombreux avantages au secteur de la construction et de la rénovation. Performante, la filière française fournit des produits biosourcés et d’origine renouvelable adaptés aux marchés. Ils contribuent à l’amélioration du bilan carbone du secteur. Les coproduits, ainsi que les produits bois en fin de vie, sont recyclés (panneaux) ou peuvent constituer une source d’énergie dans des équipements individuels ou collectifs (réseaux de chaleur). La filière s’est fixée des objectifs ambitieux : en doublant la part de marché du bois dans l’habitat collectif neuf (passer de 3% à 6%), en passant de 10% à 15% dans la maison individuelle, en portant à 15% la part de solutions bois utilisées dans la rénovation de bâtiments collectifs,en augmentant de 20% la part de marché du bois dans les solutions de réhabilitation et de rénovation des logements individuels. Cinq priorités partagées et des engagements forts Réussir l'engagement des entreprises dans la REP A compter du 1er janvier 2023, les entreprises du secteur bois concernées par la REP PMCB vont devoir adhérer à un éco-organisme tel que Valobat et s’acquitter du paiement d’une écocontribution associée à la commercialisation de leurs produits. C’est un engagement fort dans la construction de la filière et pour le respect de leurs obligations environnementales. Les engagements FNB, UICB et VALOBAT Mettre à disposition des entreprises une information fiable et construire un barème d’écocontribution adapté au secteur bois au travers du comité de secteur dédié. Afin de bénéficier d’une information privilégiée, elles peuvent préadhérer au projet d'éco-organisme Valobat - Valobat. Construire des critères d'éco-conception adaptés à la filière bois L’éco-conception des PMCB permet de maîtriser les coûts de gestion des déchets de démolition déconstruction et rénovation du bâtiment, d’améliorer les performances de collecte, et de valorisation (réemploi/réutilisation ou recyclage). Le bois dispose de nombreux atouts : origine biosourcée et renouvelable ainsi qu’un bilan carbone positif. L’engagement FNB, UICB ET VALOBAT Construire un barème reflétant les atouts et les ambitions du matériau bois en proposant des éco-modulations dès le barème applicable en 2024. Il sera proposé aux entreprises afin de les orienter dans des projets d’éco-conception de leurs produits dès 2024. Encourager le réemploi des produits bois Le réemploi est l’action prioritaire à mener dans la hiérarchie des modes de traitement des déchets. Dans un contexte de raréfaction des ressources, d’enjeux de dépôts sauvages et plus largement de gestion des déchets, il séduit de plus en plus d’acteurs qui s’engagent dans des initiatives exemplaires. La filière REP se voit fixer des objectifs très ambitieux. L’engagement FNB, UICB et VALOBAT Accompagner des expérimentations et la construction d’un cadre et de modalités de réemploi du bois. Cette action s’inscrit dans le plan d’actions et l’étude prévus au cahier des charges de l’agrément des éco-organismes. Promouvoir le recyclage et la valorisation du bois Le projet de cahier des charges des éco-organismes fixe des objectifs de recyclage pour le bois à 42% en 2024 et 45% en 2027. Le bois contribue également aux objectifs de la politique de souveraineté énergétique française. Valobat offrira aux détenteurs de déchets, notamment bois issus des chantiers et triés séparément, des solutions de reprise sans frais sur de nombreuses installations (déchèteries publiques ou professionnelles, distributeurs, points spécialisés). L’information des lieux et des consignes de tri facilitera le geste de tri. Un gage de performance afin d’alimenter en matière première l’industrie et les chaufferies bois.Les engagements FNB, UICB et VALOBAT Faire savoir aux entreprises concernées par la REP et à leurs clients que la filière bois est engagée dans des boucles d’économie circulaire concrètes et opérationnelles. Participer à des programmes de R&D et d’innovation sur les exutoires, techniques de tri et de recyclage du bois. Obtenir la visibilité de l'écocontribution sur les devis et les factures La visibilité de l’écocontribution implique l’affichage de son montant supporté par chaque produit ou matériau sur la facture ou le devis, et l’impossibilité de négocier commercialement son montant entre les fabricants et les différents intermédiaires. Si elle est prévue pour les produits électriques et électroniques ménagers et les meubles, les textes ne la prévoient pour les PMCB. Cette mesure constitue pourtant un outil essentiel et indispensable de lutte contre l’inflation, d’information du consommateur, de facilitation des déclarations à l’éco-organisme et une disposition particulièrement adaptée au secteur du bâtiment. L'engagement FNB, UICB et VALOBAT Coordonner leurs actions afin d’obtenir des pouvoirs publics ou du Parlement cette mesure indispensable.
Il y a 2 ans et 296 jours

92% des entreprises envisagent des changements dans leur stratégie immobilière

CBRE, acteur mondial du conseil en immobilier d’entreprise livre en exclusivité les résultats de la 12ème édition du sondage européen sur l’opinion des entreprises utilisatrices de bureaux, qui rassemble le point de vue d’environ 120 décideurs immobiliers d’entreprises de premier plan, implantées dans la région EMEA.*« Depuis deux ans, les entreprises ont dû à la fois repenser leur organisation selon les nouveaux modes de travail et imaginer les bureaux de cette nouvelle ère, tout en composant avec les restrictions sanitaires. Celles-ci sont désormais en capacité à prendre des décisions immobilières, mix entre précaution et expansion. » déclare Caroline Ceccaldi, Executive Director Advisory Occupiers.Retrouvez dès à présent les 10 principaux points d’attention des entreprises en 2022, en matière d’utilisation des bureaux, de stratégie immobilière, de politique Workplace ou encore d’aménagement des bureaux.Quels usages font les entreprises de leurs bureaux, dans un environnement post Covid ?1 - Le retour au bureau reste une priorité forte : 68 % des entreprises interrogées ont souhaité encourager un retour sur site de leurs collaborateurs au cours du premier semestre 2022.2 - Les collaborateurs ont le choix pour le moment : 70% des entreprises interrogées souhaitent offrir de la flexibilité et sont en faveur d’un retour au bureau à temps partiel et/ou à la discrétion des collaborateurs.3 - La communication et les outils digitaux sont deux piliers de la reprise en présentiel, respectivement plébiscités à 63% et 48%. Quels sont les déterminants de la stratégie immobilière et ont-ils changé ?4 - Les stratégies immobilières vont être accélérées : 92% des utilisateurs envisagent des changements dans leur stratégie immobilière et 41% des sondés se projettent sur une évolution de m2 à la hausse (contre 33% en 2021).5 - Les projets de croissance vont nécessiter de faire rapidement des choix en termes de localisation : 18 % des répondants envisagent de changer de site pour bénéficier d’espaces de meilleure qualité et 41% envisagent une contraction de leur empreinte immobilière avec consolidation sur un nombre réduit de sites.6 - Les espaces de coworking sont amenés à occuper une part croissante dans le portefeuille total des utilisateurs (entre 11 et 25%), sans pour autant parler d’externalisation massive.Politique Workplace : les nouvelles règles du jeu7 - Le travail hybride n’est pas un effet de mode : 72 % des entreprises s'engagent vers l'adoption de ce mode de travail contre 55% en 2021.8 – Il faudra désormais trouver l’équilibre entre les règles de l’entreprise (56% visent un modèle de travail hybride encadré) et les préférences personnelles. Une entreprise sur deux est favorable à un mix équitable entre présence au bureau et télétravail et 38% optent pour une présence de 3 jours sur site. Repenser l’aménagement des bureaux9 - Un changement de braquet pour la stratégie Workplace : 63 % des entreprises entendent améliorer et augmenter la part dédiée aux espaces de collaboration et de réunion (contre 36% en 2021). Le bureau doit désormais être un lieu attractif : 50% des sondés souhaitent redéfinir les nouveaux standards en termes de design.10 – L’agilité règne en maître : on se dirige vers la fin du poste attribué pour 79 % des utilisateurs qui envisagent d’en diminuer la part.*Le même sondage a été mené également en Amérique du Nord et en Asie-Pacifique, permettant ainsi de croiser le point de vue de plus de 450 entreprises utilisatrices à travers le monde.
Il y a 2 ans et 296 jours

Nouvelle porte coulissante DIVA RS coupe-feu de Portalp

Pour répondre à ces exigences, Portalp complète aujourd’hui sa gamme de portes automatiques coulissantes DIVA RS par une version coupe-feu.Une résistance au feu de trente minutesDIVA RS coupe-feu est disponible en version simple ou double, avec ou sans vantaux fixes, ou encore intégrée à une cloison coupe-feu. Cette nouvelle porte automatique coulissante Portalp se compose :d’un châssis aluminium doté de profilés d’une épaisseur de 78 mm à trois chambres munies d’entretoises thermiques. Au design contemporain, il est personnalisable dans tous coloris RAL pour s’intégrer harmonieusement à tous les projets,associé à un vitrage Contraflam®30 d’une épaisseur de 16 mm monté dans le châssis à l’aide de parcloses intérieures et extérieures. Les vantaux sont équipés sur leur périphérie de joints intumescents qui gonflent sous l’effet de la chaleur pour calfeutrer les orifices,en complément, la cloison sur laquelle est mise en place la porte reçoit un cadre d’habillage pour lutter efficacement contre la propagation des flammes.Pour garantir une fermeture fiable et contrôlée en cas d’incendie, Portalp a doté la porte DIVA RS coupe-feu d’un système à Énergie gravitationnelle contrôlée (EGC) installé à gauche ou à droite pour une porte double, ou côté fermeture pour une porte simple.Un contrepoids de neuf kilos permet, en cas d’incendie, de refermer mécaniquement le vantail ou les vantaux sans aucune alimentation électrique. La descente du contrepoids s’effectue à vitesse contrôlée avec une surveillance permanente du câble de liaison.Certifiée NF « Portes résistant au feu en métal » selon le référentiel NF277 et classée coupe-feu EI2- 30, la porte DIVA RS coupe-feu constitue ainsi un barrage efficace contre les flammes et les fumées pendant trente minutes.L’alliance d’une motorisation puissante et de la technologie RS pour encore plus de sécuritéA l’intérieur de son caisson renforcé de 193 x 200 mm, l’opérateur DIVA RS bénéficie d’une combinaison de technologies innovantes qui procure une grande adaptabilité et augmente le niveau de sécurité fourni :une alimentation à découpage (100-230 V) pour une faible consommation,une motorisation brushless associée à un chemin de roulement garantissant dans le temps un déplacement précis et fluide des vantaux lourds pour assurer une fermeture fiable et immédiate en cas d’incendie (0,1 à 1,6 m/s selon le nombre de vantaux),une technologie bus CAN facilitant le câblage et assurant la communication permanente avec l’ensemble des périphériques,une batterie de secours qui prend le relais en cas de coupure de courant,une carte D.A.S. (Dispositif Actionné de Sécurité) permettant le raccordement du système de détection incendie et d’une commande manuelle de déclenchement.A l’instar de l’ensemble des gammes de portes automatiques Portalp, la porte DIVA RS coupe-feu bénéficie d’une garantie deux ans, étendue à cinq ans en cas de souscription d’un contrat de maintenance auprès de Portalp.
Il y a 2 ans et 296 jours

Aéroport Paris-Charles De Gaulle : plafonds et habillages bois haut de gamme pour la rénovation de plusieurs Halls

L’aéroport Charles De Gaulle, l’un des plus grands aéroports mondiaux en termes de trafic, a vu plusieurs de ses halls métamorphosés. Le fabricant Hunter Douglas Architectural a pu participer à deux de ces projets, en livrant des plafonds architecturaux ainsi que des revêtements muraux en bois. Chaque solution, par son design et son aspect technique, […]
Il y a 2 ans et 296 jours

Novéa Énergies équipe la ville de Villeneuve-Loubet (06) de 19 ensembles solaires éco-conçus

11 d’entre eux habillent ainsi un nouvel ensemble immobilier dans le quartier des Maurettes, et les 8 autres ont été installés pour éclairer et sécuriser le pôle culturel Auguste Escoffier.Particulièrement avancée, la politique RSE de Novéa Énergies défend un usage raisonné de la lumière, basé sur une démarche scientifique, grâce au développement de solutions fiables, durables et respectueuses de l’environnement. Tous les luminaires de l’entreprise angevine sont par ailleurs conformes à l’arrêté du 27 décembre 2018 relatif à la prévention, la réduction et la limitation des nuisances lumineuses. Des ensembles solaires au design unique, conçus au plus près du besoin d’éclairageVille de plus de 16 000 habitants, idéalement située en bordure de la célèbre Baie des anges, entre Nice et Antibes, Villeneuve-Loubet abrite une biodiversité riche qui lui vaut le surnom de « cœur nature de la Côte d’Azur ». Particulièrement dynamique, le quartier des Maurettes a fait l’objet d’un grand projet de requalification de la zone économique Pôle Marine 7 pour créer un véritable cœur de ville à fort enjeux en termes de développement durable. Ce projet « Cœur des Maurettes » s’inscrit dans un ensemble végétalisé préservé, doté de nouveaux équipements publics favorisant une qualité résidentielle soignée du quartier. De nouveaux programmes immobiliers ont vu le jour, avec de forts enjeux en termes de développement durable. La commune de Villeneuve-Loubet a recouru aux solutions de Novéa Énergies pour une application de plus en plus sollicitée, à savoir l’éclairage d’une partie d’un de ses nouveaux ensembles immobiliers : un parking et un chemin piétonnier.« Depuis 2016, la municipalité a engagé d’importants travaux d’investissement sur l’ensemble du parc d’éclairage public obsolète à 80 % afin de mieux éclairer les espaces publics assurant à la fois la sécurité des Villeneuvois et des économies d’énergie », affirme Lionnel LUCA, le Maire.11 mâts Combi Top 3 double crosse au design original et harmonieux avec l’éclairage public du quartier ont ainsi été installés. Novéa Énergies étant une filiale du groupe Ragni, l’entreprise angevine dispose de la palette de luminaires la plus large du marché et est le seul fabricant en capacité de proposer une continuité architecturale avec les ensembles traditionnels raccordés au réseau. Des consoles Tominia et luminaires Atinia de chez Ragni ont ainsi été apposés, sublimant la finition de ces ensembles solaires bleu capri (RAL 5019) qui se fondent parfaitement dans l’existant.Pour ce qui est de la sécurisation de la médiathèque de Villeneuve-Loubet, la ville a cette fois privilégié des luminaires Chic et des consoles Atilis sur les 8 mâts CT3, le tout en rouge vin (RAL 3005) pour valoriser la superbe allée devant le pôle culturel et l'architecture du village en toile de fond.Un choix évident pour le Maire de la ville : « Dans tous nos projets, la municipalité cherche systématiquement à faire appel aux techniques innovantes. L’usage de candélabres solaires est aussi une solution pratique et économique pour éclairer les secteurs vides de réseaux ». Sécuriser les usagers et préserver la biodiversité Intégrant la préservation de la biodiversité dans sa politique globale de développement durable, l’entreprise angevine propose des scénarii d’éclairage public autonome sur-mesure, qui éclairent juste, au plus près du besoin. En effet, pour Novéa Énergies, l’utilisation future de ses équipements solaires doit impérativement être définie au préalable, pour concevoir un scénario d’éclairage personnalisé, adapté aux écosystèmes dans lesquels ils s’intègrent.Ainsi, dans le quartier des Maurettes les ensembles solaires fonctionnent par détection de présence, en veille à 10 % toute la nuit avec 5 heures cumulées de détection prévues, soit 400 passages de 45 secondes.L’accès au pôle culturel est quant à lui éclairé à 100 % pendant les 5 heures suivant le crépuscule, puis les ensembles solaires entrent en veille à 10 % avec 1h30 de détection cumulée prévue. Les installations répondent donc à la fois au besoin de sécurité des usagers, tout en limitant les nuisances lumineuses et donc l’impact sur la biodiversité.
Il y a 2 ans et 297 jours

Le texte sur l'accélération des énergies renouvelables examiné à la rentrée

"Nous avons aujourd'hui saisi le Conseil national de la transition énergétique du projet de loi accélération des énergies renouvelables, qui a d'ailleurs été également envoyé au Conseil d'État", a indiqué Matignon lors d'une conférence de presse téléphonique. Le texte, qui présentera "20 articles", abordera trois grands aspects. Il présentera tout d'abord "une série de mesures à la fois exceptionnelles et transitoires pour accélérer les procédures de développement des énergies renouvelables" - en réduisant notamment les délais de recours paralysants-, afin de répondre "aux urgences actuelles sur l'approvisionnement et notre capacité à atteindre nos objectifs renouvelables". Il se concentrera ensuite sur un certain nombres de mesures spécifiques portant sur les filières du photovoltaïque et de l'éolien en mer, "deux priorités de la politique énergétique pour produire plus en termes de kW/h", a indiqué Matignon, précisant notamment que pour le photovoltaïque, "l'idée c'est d'aller chercher à obtenir toutes les surfaces foncières disponibles en France" afin d'"élargir les surfaces" d'installation possibles. Le projet de loi présentera enfin "une série de mesures qui portent sur le partage de la valeur" des projets d'énergies renouvelables en France avec les riverains de ces projets, afin d'augmenter "l'adhésion et l'acceptabilité de ces sources de production auprès de nos concitoyens". "L'idée, c'est que ces énergies renouvelables génèrent un certain nombre de revenus et que ces revenus pourraient être redistribués aux personnes qui sont directement concernées par une présence visuelle de ces moyens de production", a détaillé Matignon, sans préciser quelle forme cela prendrait. Le texte devrait être présenté au Conseil des ministres mi-septembre, puis sera suivi d'un débat parlementaire "qui s'engagera au mois d'octobre", avait indiqué le gouvernement, en précisant qu'un "second texte législatif, une loi beaucoup plus large" était "attendu plus tard", mais que ce premier projet de loi visait à "faire face aux enjeux d'urgence". Pour lutter contre le réchauffement climatique et diversifier sa production électrique, la France vise 40% d'énergie renouvelable en 2030 (contre 20% en 2019), via notamment 1.000 MW d'éolien offshore en plus par an.
Il y a 2 ans et 300 jours

A Paris, l'immeuble de la discorde dans un bel hôtel particulier

"Je ne vais pas me laisser faire." Parmi d'autres riverains du quartier chic de la Plaine-Monceau (XVIIe arrondissement), le radiologue Rodolphe Gombergh, 71 ans, est le premier opposant à la construction d'un bâtiment de cinq étages dans la cour de son immeuble.Dans un quartier qui en regorge, cet ancien hôtel particulier construit en 1889 se compose de deux bâtiments de style néogothique, en brique, reliés par un portique de deux arches avec des grilles en fer forgé.Dans la cour, deux charmants ouvrages d'époque: un ascenseur à pompe et un garage à fiacre... contre lequel doit bientôt se dresser un immeuble de bureaux de cinq étages dont le blanc lumineux et la forme en escalier font tâche au milieu de l'ensemble.Un bâtiment "comme à La Défense", "sans aucune allure," juge M. Gombergh en montrant le trou béant laissé par le creusement de la cour pavée pour y loger un sous-sol.La nouvelle construction a été commandée par l'Organisation européenne pour la recherche nucléaire (Cern), un centre de recherche privé situé à Genève.Si le bâtiment contesté n'est pas encore sorti de terre, les travaux entamés en septembre 2021 ont déjà laissé quelques cicatrices: lanterne et grille portées disparues, morceaux d'arche arrachés puis colmatés, affaissement de la cour et, côté rue, d'une fenêtre au-dessus d'une nouvelle ouverture.D'où l'arrêt momentané des travaux, estime le médecin, qui a lancé plusieurs recours juridiques contre le projet.Protégé, mais pas classéComment celui-ci a-t-il pu être validé par la Ville de Paris, dans un bâtiment qui, s'il n'est pas classé monument historique, est tout de même protégé au titre du plan local d'urbanisme (PLU) ?"Bonne question, je me la suis posée moi-même", répond Emmanuel Grégoire, l'adjoint (PS) à l'urbanisme, pour qui le permis de construire est "passé sous les radars" parce que "totalement légal, ce qui fait qu'il n'a été traité ni par la mairie du XVIIe ni par mon cabinet"."Nous avions un avis réservé et nous avions demandé au propriétaire de consulter les riverains", affirme le maire (LR) de l'arrondissement, Geoffroy Boulard, qui dit avoir reçu un permis initial "extrêmement succinct".En août 2019, la Commission du Vieux Paris, dont l'avis est consultatif, n'a rien vu à redire au projet, qui comportait alors un étage de moins.Un an plus tard, le permis modificatif est délivré dans la foulée des élections municipales, à un moment où la commission met "un certain temps à être remise en place", justifie son président, Jean-François Legaret.En résumé, "il y a eu des trous dans la raquette à tous points de vue", regrette Karen Taïeb, adjointe (PS) au patrimoine et élue du XVIIe arrondissement.La mairie de cet arrondissement a réagi dès février 2021, en demandant un nouvel examen à la Commission du Vieux Paris. Ce que cette dernière a fait mi-juin 2022, réclamant la modification du projet.Espoir "faible"Mais "le permis est purgé de tout recours", souligne M. Grégoire, pour qui l'espoir est "modéré, voire faible" de voir le Cern accepter.Contacté par l'AFP, ce dernier ne s'est pas prononcé sur une éventuelle modification du projet, soulignant que son permis avait été "dûment obtenu" et affirmant avoir "toujours répondu favorablement à toute demande de réunion et d'échanges".Ses responsables "ne se rendent pas très disponibles", même si une première réunion de "conciliation" est prévue en septembre, rétorque toutefois M. Grégoire."Que de temps perdu", regrette M. Boulard, pour qui ce dossier souligne "les carences de la Ville en matière de contrôle d'urbanisme et de patrimoine"."Cette reconstruction d'un immeuble de bureaux dans un quartier excédentaire en bureaux n'a aucune légitimité", insiste l'élu de droite, qui veut tout autant éviter "un massacre sur le plan esthétique".Mme Taïeb espère toujours que le "porteur de projet puisse avoir une conscience patrimoniale". Sur le seul aspect chromatique, "un parement en brique serait déjà une évolution très positive", demande M. Legaret.
Il y a 2 ans et 300 jours

Les sciences photovoltaïques vers leur zénith

Pour atteindre la neutralité carbone en milieu de siècle et limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle -comme prévu par l'accord de Paris sur le climat- la planète devra installer chaque année d'ici 2030 quatre fois plus de capacités solaires qu'elle ne le fait aujourd'hui, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).La bonne nouvelle est que les prix ont baissé de façon spectaculaire.Selon un rapport des scientifiques du Giec publié début 2022, les coûts unitaires du solaire ont chuté de 85% entre 2010 et 2019, et ceux de l'éolien de 55%.Mais "c'est probablement le moyen le moins cher qu'ait trouvé l'humanité pour produire de l'électricité à grande échelle", estime Gregory Nemet, professeur à l'Université de Wisconsin-Madison, l'un des principaux auteurs du rapport.Entre l'envolée des prix des énergies fossiles et les craintes sur la sécurité énergétique causées par l'invasion russe de l'Ukraine, le développement des renouvelables est déjà amorcé.Selon un rapport de BloombergNEF, les investissements mondiaux dans les projets solaires ont progressé de 33% au premier semestre par rapport à l'an dernier, à 120 milliards de dollars. Dans l'éolien, ils ont augmenté de 16% à 84 milliards de dollars.Et le plan climatique de Joe Biden en passe d'être adopté au Congrès américain a musclé cette impulsion, avec 370 milliards de dollars d'argent public en incitations fiscales destinées à faire baisser de 40% les émissions américaines de gaz à effet de serre d'ici 2030 (par rapport à 2005)."Le plan de M. Biden va permettre de réinstaller une industrie de panneaux solaires aux Etats-Unis", a jugé la directrice de la Fondation européenne pour le climat, Laurence Tubiana, dans le quotidien français Le Monde jeudi. Selon M. Nemet, il est plausible que le solaire à lui seul représente la moitié de l'électricité mondiale d'ici le milieu du siècle. "Il y a un gros potentiel", dit-il.Découverte française"L'effet photovoltaïque" --processus qui permet de produire de l'électricité à partir du rayonnement solaire-- a été découvert en 1839 par le physicien français Edmond Becquerel.Les premières cellules à base de silicium ont été développées aux Etats-Unis dans les années 1950. Mais aujourd'hui, la grande majorité des panneaux solaires sont fabriqués en Chine.Selon l'AIE, les nouvelles cellules photovoltaiques sur le marché sont 20% plus efficaces pour convertir la lumière en énergie qu'elles ne l'étaient il y a seulement cinq ans, grâce à de nouveaux matériaux hybrides.Parmi les innovations figurent les panneaux dits "à couche mince", moins chers que les cellules en silicium. Ils peuvent être "imprimés" sur tous types de support, à partir d'encres en cristaux de perovskite, un matériau découvert au 19e siècle par le minéralogiste russe Lev Perovski.Selon les experts, cette découverte pourrait révolutionner le secteur en multipliant les lieux où l'on peut produire de l'énergie solaire. A condition que cette nouvelle génération de panneaux se dégrade moins vite qu'actuellement, et puisse durer au moins 20 ans.Ce que des recherches récentes semblent rendre possible. Dans la revue Science en avril, des scientifiques ont rapporté être parvenus à rendre les panneaux en perovskite aussi efficaces que ceux en silicium.Une autre étude publiée dans Nature parie sur des semi-conducteurs en "tandem" pour accroître la conversion en énergie du domaine spectral du rayonnement solaire : le perovskite pour les infrarouges et un matériau plus carboné pour les ultraviolets."Créativité"Reste à résoudre le problème de la nuit, lorsqu'il n'y a plus de rayonnement solaire.Des chercheurs de Stanford ont réussi cette année à produire une cellule solaire qui peut générer de l'énergie durant la nuit grâce à la chaleur générée par la Terre."Il y a beaucoup de créativité dans cette industrie", relève Ron Schoff, qui dirige la recherche sur les renouvelables au sein de l'Institut sur la recherche électrique (EPRI) basé aux Etats-Unis.Selon lui, l'une des réponses au problème de l'occupation croissante des sols par les fermes solaires reposera sur les panneaux bifaces : ils produisent de l'électricité sur leurs deux faces à partir de la lumière du soleil et de la lumière réfléchie par le sol.D'autres solutions parient sur l'agrivoltaïsme, des panneaux semi-transparents abritant des cultures. En Inde, des panneaux sont installés sur des canaux depuis une décennie, produisant de l'électricité et réduisant l'évaporation. Selon M. Nemet, les consommateurs peuvent aussi jouer un rôle en faisant évoluer leurs heures de consommation ou en se regroupant en réseaux privés dans une approche Airbnb.
Il y a 2 ans et 300 jours

Comment inciter les français à entreprendre des travaux de rénovation énergétique ?

Qu’en pensent les Français ? Où en sont-ils de leurs travaux de rénovation énergétique ? À l’heure où depuis le 1er mai 2022, on voit les aides sur le sujet diminuer, TOUT FAIRE a voulu comprendre comment les Français appréhendent ce sujet. L’enseigne a voulu savoir s’ils étaient prêts à engager ces travaux comme un véritable devoir citoyen, une simple obligation, ou s’ils y voyaient l’occasion de réaliser des économies. Une étude réalisée par Opinion Way sur un échantillon représentatif de la population revient sur cette relation que les Français ont avec le sujet et des aides dont ils auraient besoin pour se lancer dans de tels travaux. En effet, même si 52% des personnes interrogées se considèrent à l’aise sur le sujet, 71% des personnes jugent cependant qu’elles ne pourraient pas réaliser les travaux seuls.Un bagage technique qui freine la réalisation de travaux énergétiquesParmi les enseignements majeurs, cette étude révèle que 49% des Français estiment connaître le sujet de la rénovation énergétique. Pourtant, une large majorité des Français déplore un manque de clarté de l’information. Ils sont 59% a trouvé que la communication actuelle sur le sujet dissuade, plus qu’elle n’incite à se lancer dans ce type de projet. Les démarches administratives sont également considérées comme trop importantes pour ce type de travaux, pour 55% des Français, ces démarches sont même qualifiées d’insurmontables. Ainsi 69% de Français, soit deux tiers des personnes, ont affirmé leur besoin d’obtenir des précisions concernant la rénovation énergétique pour sauter le pas.Un passage à l’acte de rénovation, même avec toutes les informations nécessaires n’est pas si simple : 51% jugent que le manque de compétences est un frein majeur. Alors, pour trouver de l’aide, les particuliers se tournent à 41% vers les artisans, qui restent la référence en termes d’accompagnement dans ce type de projet. Ensuite, pour 21% d’entre eux, les proches sont également une bonne ressource à activer.Les enseignes de construction, un expert idéal mais encore trop peu identifiéLes enseignes de construction, tels que les groupements de négoces, restent encore trop peu mobilisés par les particuliers. Seulement 7% des interrogés perçoivent les magasins de construction comme des référents. Pourtant, ces derniers sont en première ligne lorsqu’il s’agit d’entreprendre des travaux de rénovation, pour accompagner et aider à les mener à bien. Experts dans les travaux, mais également dans les matières premières, les enseignes de construction se doivent d’être au fait des dernières réglementations afin de conseiller au mieux professionnels et particuliers qui se lancent dans ces travaux.TOUT FAIRE, premier groupement français de distributeurs de matériaux de construction et de rénovation avec 450 points de vente en France et en Belgique, accompagne les professionnels et les particuliers dans leurs travaux. 4.000 passionnés proposent leur expertise, leurs conseils et leurs services de qualité, et font de la rénovation énergétique un axe prioritaire de développement. Ainsi, pour répondre à leurs interrogations et leur apporter toute l’expertise propre à TOUT FAIRE, le groupement à proposer à ses adhérents de mettre en place un guichet prime.Ce dispositif disponible pour les professionnels et les particuliers permet de trouver toutes les informations auprès des experts TOUT FAIRE sur les aides possibles pour le financement des travaux de rénovation énergétique, les matériaux à utiliser et les travaux à entreprendre.MéthodologieL’étude « La rénovation énergétique pour les nuls » réalisée pour Tout Faire, est destinée à comprendre et analyser la confiance en eux des Français sur le thème de la rénovation énergétique, et les aides dont ils auraient besoin pour se lancer dans de tels travaux.Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 1051 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération, de région de résidence et de statut d’habitation.Les interviews ont été réalisées par questionnaire autoadministré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview).Les interviews ont été réalisées les 13 et 14 avril 2022.
Il y a 2 ans et 300 jours

Arkitelia, des conceptions 3D ultra-réalistes pour donner vie à tous les projets des pros du bâtiment

Dans ce contexte, les travaux d'aménagement des logements ont le vent en poupe. Ainsi, le secteur du bâtiment a recruté massivement en 2021 (+4,8%) et prévoit de créer 25.000 nouveaux postes en 2022, selon la Fédération Française du Bâtiment.Une embellie qui ne doit pas faire oublier l'essentiel : dans un contexte de pouvoir d'achat en baisse, les clients sont plus exigeants quant à la qualité des prestations réalisées. Ils s'attendent à un savoir-faire qui se manifeste bien avant que les travaux ne commencent.De ce fait, les artisans doivent notamment relever un double challenge :Permettre à leurs clients de se projeter dans leur futur aménagement, en intérieur comme en extérieur. Ils doivent s'adapter à ce qui se fait en termes de 3D et de prévisualisation ;Créer de la valeur en optimisant l'espace et en accordant les matériaux.Comme les artisans n'ont ni le temps, ni l'équipement, Arkitelia propose un nouveau service de bureau d'études digitalisé. Les artisans reçoivent des conceptions 3D ultra-réalistes en 3 étapes, directement à partir des photos de l'existant et de croquis cotés. Un must pour inspirer les clients, développer les ventes et faciliter les commandes.Une appli très simple et fluide pour obtenir des visuels bluffants en quelques clicsRéaliser un projet sur Arkitelia est un jeu d'enfant, puisqu'il suffit de :Sélectionner la pièce ou les extérieurs à réaliser, ainsi que les rendus souhaitésTout peut être fait directement via son smartphone ou depuis son bureau.Transmettre les documents utilesDirectement via l'app, il est possible de prendre des photos de la pièce et d'ajouter des plans et croquis cotés. À ce stade, il est aussi conseillé d'enregistrer tous les détails importants afin d'obtenir une conception la plus précise possible.Définir le style du clientLe client de l'artisan reçoit un quizz déco interactif pour exprimer ses envies (« bois épuré », « campagne chic »...) et définir son budget.Impressionner le client avec de superbes visuels 3DEn fonction de l’offre retenue, Arkitelia permet de sélectionner la pièce et de visualiser les vues du dessus en 3D, les photos virtuelles et les vues 360° quelques jours plus tard.Les (grands) petits plusUne solide expertiseTous les visuels sont créés par des architectes d'intérieurs et paysagistes, diplômés et expérimentés, qui connaissent les contraintes techniques du bâtiment. Un service inédit conçu sur mesure pour les artisansComprenant les enjeux liés à la réalité « du terrain », Arkitelia est un service adapté au quotidien des artisans (paysagistes, maçons, menuisiers, carreleurs, plombiers...), des distributeurs et des fabricants :Ils bénéficient d'un suivi personnaliséLes visuels hyper réalistes sont conçus en utilisant les produits des catalogues de l'artisanLes rendus sont envoyés en 72hLes tarifs sont très attractifs, puisqu'aucun déplacement n'est nécessaireLes projets peuvent être réalisés en vues 3D, vues 360°, voire plans et planches matériaux.3 offres pour répondre à tous les besoinsToutes les formules sont disponibles sans ou avec abonnement (15€ HT/mois – prix de lancement).De plus, des options peuvent être rajoutées à la demande : plans d'exécution, autre projet d'aménagement, 2 vues supplémentaires par pièce, un changement de texture, ou encore une vue à 360° supplémentaire par pièce.EssentielElle inclut 2 vues 3D de la pièce.Prix : à partir de 350€ HT ou bien 250€ HT avec l'abonnement.L'abonnement à 15€ HT par mois permet de bénéficier de réductions pouvant aller jusqu'à 30%. L'abonnement permet également d'avoir son logo en marque blanche sur tous les supports disponibles. Les architectes de Arkitelia utilisent les produits des catalogues de l'artisan, une présentation des visuels en format PDF leur est offerte.StandardElle inclut : la formule Essentiel, ainsi qu'un plan du dessus et une vue 360°.Prix : à partir de 300 € HT.PremiumElle inclut : la formule Standard, ainsi que des planches matériaux.Prix : à partir de 350 € HT.À propos de Noëlle Corlay, la fondatriceNoëlle Corlay est Architecte d'intérieurs depuis 10 ans.Elle a eu l'idée du concept Arkitelia durant le confinement. À cette époque, elle est contactée par Fabrice, un plombier qui cherchait à débloquer une situation : son client ne voyait pas du tout comment aménager sa future extension.À partir des photos et des croquis à la main réalisés par Fabrice, Noëlle et son équipe ont pu proposer deux implantations différentes. Cela a été un vrai soulagement pour Fabrice et son client !Aujourd'hui, Arkitelia ambitionne de se déployer à l'échelle nationale.
Il y a 2 ans et 301 jours

Revitaliser les centres-villes : un défi toujours en chantier

Les sénateurs à la tête de la mission Revitalisation des centres-villes et des centres-bourgs en ont fait un premier bilan le 7 juillet et doivent rendre un rapport complet fin septembre.D'après une consultation menée par Opinion Way pour cette mission, une majorité des 856 élus répondants juge positivement les mesures de la loi Evolution du logement, de l'aménagement et du numérique (Elan), votée en 2018.Les sénateurs constatent aussi un retour positif des maires engagés dans Action cœur de ville (ACV), lancé en 2017, doté de 5 milliards d'euros de financements et auquel ont souscrit 234 communes de taille moyenne.51% des répondants concernés par ce programme jugent que la situation de leur centre-ville s'est améliorée, contre seulement 25% pour l'ensemble des élus.C'est le cas à Tarare, une ancienne cité textile du Rhône, autrefois célèbre pour sa mousseline, ses rideaux puis son voile Tergal, à une quarantaine de kilomètres de Lyon.Le projet Cœur de ville y a été signé en septembre 2018 et vient d'être prolongé jusqu'en 2026.A première vue, Tarare ressemble à de nombreuses villes moyennes victimes de l'effondrement de leur industrie unique. Mais les bâtiments et usines, longtemps désaffectés, y laissent peu à peu place aux grues et édifices neufs.Mise en œuvreInstallation d'un établissement du brasseur lyonnais Ninkasi en 2023, ouverture du tiers-lieu La Bobine, avec espace de coworking et campus connecté : la ville connaît un nouvel élan.Le taux de chômage a reculé de 7,3 à 4,8% de 2016 à 2022, se réjouit le maire DVD Bruno Peylachon, élu en 2014. "On tire un bilan extrêmement positif du projet +Cœur de ville+ (...) la plupart des objectifs ayant été atteints", poursuit l'élu.En recul, la population est aujourd'hui stabilisée autour de 10.500 habitants, note M. Peylachon."Forcément, dans les années à venir la population va croître", anticipe-t-il, "sur le logement, d'ici 2026 nous aurons entre 400 et 500 nouveaux logements neufs et 322 rénovés".Selon une étude de l'Agence nationale de la cohésion des territoires, publiée en juin, les ventes immobilières ont augmenté de 17% dans 200 villes moyennes en France, bénéficiant du programme Action cœur de ville.Les sénateurs pointent toutefois des limites aux dispositifs de revitalisation, dont "des difficultés de mise en oeuvre" et "des objectifs locaux pas toujours bien précis".Ainsi à Villers-sur-Mer (Calvados), où le programme Petites villes de demain a été signé en mai, la mairie peine à détailler les "problèmes structurels" qu'elle entend régler.Pour le maire Thierry Granturco, le principal défi de cette cité balnéaire - 2.700 habitants l'hiver, dix fois plus l'été - est l'évolution du quartier Villers 2000."Des gens à petits moyens ont acheté leurs 30m2 à la mer il y a quarante ans pour venir de Paris passer le weekend sur la côte. Aujourd'hui ils sont retraités et vivent ici à l'année", dit-il.Eloigné du centre-ville, Villers 2000 doit bénéficier d'un programme de désenclavement, avec construction d'un centre sportif traversant et d'une voie verte végétalisée, pour permettre à ses habitants du quartier d'accéder plus facilement au centre-ville et à ses commerces.Mais sans garantie que les résidents de Villers 2000, souvent âgés, s'y rendront effectivement. Le flou règne aussi sur l'occupation réelle du quartier en hiver."Déficit de notoriété"Les sénateurs relèvent en outre une autre inquiétude: les financements sont jugés "difficiles" voire "illisibles". Des élus s'interrogent aussi sur leur pérennisation, surtout pour les petites villes.Rollon Mouchel-Blaisot, le préfet directeur du programme national ACV, a tenu à rassurer les maires réunis au Congrès des villes de France le 11 juillet.Il veut aller "plus fort, plus vite et plus loin" pour la phase 2 d'ACV, étendue jusqu'en 2026. Il préconise ainsi de remettre en question la différence entre zones tendues (fort déséquilibre entre l'offre et la demande de logements) ou détendues: "il n'y a pas assez de logements adaptés".Il veut également élargir la revitalisation "aux quartiers de gare et aux entrées de ville" et poursuivre les programmes de défiscalisation des travaux de rénovation dans l'immobilier locatif."La politique publique de revitalisation souffre d'un déficit de notoriété manifeste qui nuit à son efficacité", constate la mission sénatoriale. Les élus ont de nombreux outils à leur disposition, insiste-t-elle, mais ils ne se sentent pas assez accompagnés par l'Etat.
Il y a 2 ans et 301 jours

Vendée : le Musée d’art moderne et contemporain des Sables-d’Olonne sera rénové et agrandi d’ici à 2028

L’État participe à hauteur de 3,5 millions d’euros au projet d’extension et de réhabilitation du Musée d’art moderne et contemporain des Sables-d’Olonne.
Il y a 2 ans et 301 jours

Hauts-de-Seine : Bagneux décroche 12,8 millions d’euros du dispositif « Quartier d’avenir » mis en place par le Département

Les deux premières enveloppes du dispositif « Quartier d’avenir » sont attribuées aux projets de requalification des quartiers Pierre-Plate et de l’Abbé Grégoire-Mirabeau à Bagneux (Hauts-de-Seine).
Il y a 2 ans et 302 jours

Cohabitation ou éradication : à Paris, le sort des rats divise les élus

Le dernier épisode a débuté par un vœu proposé par Paul Hatte, élu d'opposition (LR) du XVIIe arrondissement, lors du Conseil de Paris du 7 juillet. Rejeté par la majorité, ce vœu demandait un audit des mesures mises en place par les bailleurs sociaux pour lutter contre la prolifération des rats dans les parties communes des logements."La dératisation est totalement oubliée par la mairie de Paris", souligne M. Hatte auprès de l'AFP. Depuis 2018, les élus du XVIIe, dans le nord-ouest de la capitale, sont particulièrement mobilisés sur la lutte contre les rongeurs, avec la création de brigades citoyennes et le lancement d'un site de signalement."L'exécutif ne met pas les moyens politiques et techniques nécessaires", ajoute M. Hatte, reprochant à la mairie centrale de ne pas laisser assez de liberté aux maires d'arrondissement dans la politique de dératisation.La Ville de Paris défend quant à elle "un plan d'action à grande échelle lancé en 2017 pour limiter le nombre de rats bruns". Le plan se traduit en deux axes : une lutte directe pour en réduire la population (pièges, raticides...) et des actions pour limiter leur accès aux déchets (nouveaux conteneurs et poubelles, campagne de sensibilisation auprès du public).La politique de dératisation de la Ville a également fait l'objet de critiques de la part de Douchka Markovic, élue du Parti animaliste dans le XVIIIe arrondissement. Lors du Conseil du 7 juillet, elle a regretté l'emploi de méthodes létales contre les rats.Sa prise de parole, lorsqu'elle a tenu à désigner les rats par leur nom - réel - de "surmulot" et à "légitimer leur place dans les villes", a entraîné critiques et railleries sur les réseaux sociaux.L'Académie nationale de médecine a dénoncé "l'ingénuité de ces propos", rappelant que le rat reste une menace pour l'homme en raison "de nombreuses zoonoses transmissibles par ses exoparasites, ses déjections, ses morsures ou ses griffures".Ces risques sanitaires sont nuancés par la Ville de Paris qui rappelle que "le rat, très peureux, n'est pas un prédateur par nature". Elle estime que les transmissions sont réduites car "il faut en effet qu'il y ait un contact direct ou indirect entre l'homme et l'animal, et les contacts directs sont rarissimes".Garder le rat sous terre"L'humain a toujours essayé d'éradiquer les rats mais c'est impossible. Il faut réfléchir à d'autres méthodes", expose à l'AFP Douchka Markovic qui pointe également le coût de la dératisation. En 2017, la Ville de Paris avait estimé le coût annuel à 1,5 million d'euros ; un coût englobant l'ensemble des mesures (campagnes de dératisation, actions de propreté, changement de mobilier urbain, etc.)"C'est un sujet très sensible politiquement", juge Grégory Moreau, adjoint (EELV) dans le XIe arrondissement, qui regrette "la frilosité de l'Hôtel de Ville" où la question est tiraillée entre plusieurs délégations (propreté de l'espace public, santé, condition animale...)."On essaie de développer des méthodes non létales en parallèle des techniques traditionnelles", assure Christophe Najdovski, adjoint en charge de la végétalisation de l'espace public, des espaces verts, de la biodiversité et de la condition animale.M. Najdovski insiste sur la nécessité d'agir en amont, "pour faire en sorte que les rats n'aient pas accès à la nourriture", et sur le "civisme" nécessaire pour réduire les déchets dans l'espace public.Des expérimentations sont également prévues dans les XIe et XIIe arrondissements. Parmi les pistes d'essai, "les nettoyages seront effectués sur quelques sites en fin de journée plutôt que le matin", précise M. Moreau, à l'initiative de ce projet mené en partenariat avec des chercheurs du Muséum national d'Histoire naturelle.Le but est de limiter les sorties nocturnes des rongeurs alors que leur présence permet de réduire la quantité de déchets dans les égouts.Parmi les raisons de la remontée à la surface des rats se trouvent les (nombreux) travaux engagés dans la capitale. A deux ans des JO de Paris, le feuilleton politique devrait donc se poursuivre.
Il y a 2 ans et 302 jours

Qualité des eaux : le Conseil d’Etat impose la prise en compte des impacts temporaires d’un projet

La Haute juridiction administrative tire les conséquences des précisions apportées par le juge européen le 5 mai dernier sur la non-conformité du droit français à la directive-cadre sur l’eau. Les procédures d'autorisation des projets ayant en phase chantier de forts impacts sur les masses d'eau sont concernées.
Il y a 2 ans et 302 jours

Les obstacles d’EDF pour développer le nucléaire

Deux projets, français et britannique, illustrent les difficultés de l’entreprise publique sur ce sujet.
Il y a 2 ans et 302 jours

Le Jones Beach Energy & Nature Center s’équipe d’une terrasse en bois Kebony

Le hameau de Wantagh, dans l’état de New York, abrite le Jones Beach Energy & Nature Center. Il s’agit d’une organisation éducative unique centrée sur l’interconnexion entre la vie humaine, l’utilisation des énergies et la préservation de l’environnement. Le Jones Beach Energy & Nature Center propose une variété de programmes et d’événements qui apprennent aux visiteurs comment devenir des gardiens dévoués de l’environnement.L’une des raisons ayant motivé le choix du bois Kebony Clear pour toute la terrasse du site est son alignement sur le modèle de construction Net Zéro du centre. La technologie Kebony, née en Norvège, consiste en effet à modifier les bois résineux issus de sources durables afin de leur conférer les propriétés de durabilité, de dureté et de stabilité dimensionnelle des bois durs tropicaux. Ce procédé unique est respectueux de l’environnement et permet aux structures de ne nécessiter aucun entretien, tout en leur offrant une grande résistance aux aléas climatiques et aux passages répétés : autant de caractéristiques faisant de Kebony le bois idéal pour ce projet.Le centre est un lieu inspirant qui constitue, d’après les visiteurs, l’une des meilleures activités familiales de la région. De nombreuses expositions interactives y sont organisées, destinées aux enfants comme aux adultes. Situé à l’extrémité ouest de la plage de Jones Beach, le centre surplombe l’océan et les dunes. Ainsi, les lames de bois Kebony Clear lui permettent de s’intégrer harmonieusement dans cet environnement naturel fragile, sans le dénaturer.Kebony est un bois véritable, haut de gamme, écologique et durable, utilisé dans de nombreuses applications extérieures : terrasse, bardage, toiture et mobilier.La technologie Kebony est un processus de production breveté qui permet d’améliorer les propriétés des bois résineux pour leur conférer des caractéristiques comparables à celles des bois exotiques. Grâce à un procédé respectueux de l’environnement, les bois sont imprégnés d'un liquide organique provenant de déchets de cultures agricoles. En chauffant le bois, les polymères furfuryliques sont imprégnés dans les parois cellulaires du bois, ce qui augmente sa densité et stabilité dimensionnelle, et lui donne un coloris brun foncé similaire d´un bois tropical. Le siège mondial de la société est basé à Oslo, en Norvège, et ses sites de production se situent à Skien, sud d'Oslo et à Anvers en Belgique.
Il y a 2 ans et 303 jours

Bercy annonce des vaches maigres aux collectivités

Les concours de l’Etat aux collectivités locales devraient alimenter de nouvelles tensions à la rentrée. Dans son rapport sur les plafonds de dépenses du projet de loi de finances 2023 publié le 8 août, le ministère de l’Economie et des Finances annonce, certes, une hausse de 0,6 milliard en euros courants. Mais la progression nominale de moins de 1 % cache une diminution substantielle.
Il y a 2 ans et 303 jours

Loire-Atlantique : Habitat 44 a créé 33 nouveaux logements à La Chapelle-sur-Erdre

À La Chapelle-sur-Erdre, la résidence Gaïa et les Villas Gaïa viennent d’être livrées. Il s’agit de projets immobiliers portés par Habitat 44.
Il y a 2 ans et 303 jours

Ille-et-Vilaine : renouvellement urbain du centre-bourg de Saint-Sulpice-la-Forêt

À Saint-Sulpice-la-Forêt (Ille-et-Vilaine), les premières études sur le projet de revitalisation du cœur de bourg vont commencer en septembre 2022.
Il y a 2 ans et 303 jours

Peinture réflective Solarcoat pour bâtiments industriels, commerciaux et publics

Avec l’accélération de la demande des entreprises pour rafraîchir leurs bâtiments énergivores tout en réduisant leur facture énergétique et en luttant contre le réchauffement climatique, SOLAR-PAINT s’inscrit dans une dynamique de croissance organique. Avec plus de 100.000 m2 de toits d’ores et déjà repeints, l’entreprise a l’objectif de recouvrir en peinture réflective près de 150.000 m2 de surfaces de toiture en 2022. Grâce à ce procédé de cool-roofing, technique qui consiste à revêtir les toits de peinture blanche et réflective, les bâtiments repeints peuvent ainsi voir leur température intérieure baisser en moyenne de 5°C.Une solution Made in France économique et très positive pour l’environnementLa solution SOLARCOAT est une peinture à l’eau qui intègre dans sa composition, des ingrédients naturels et des ajouts de matière recyclée comme la brisure de verre. SOLAR-PAINT s’est appuyée sur l’expertise de son fournisseur, premier fabricant français de peinture basé dans l’Ariège, pour mettre au point la formulation qui a nécessité de nombreux mois de R&D et un investissement de près de 400.000 euros.Simple, peu coûteuse (16 à 22 euros le m2 incluant la peinture et son application), durable et dotée de propriétés supérieures aux critères de référence, la solution SOLARCOAT est extrêmement performante. Son taux de réflexion solaire supérieur à 92% permet de baisser la température de 5°C en moyenne à l’intérieur des bâtiments et de limiter le recours aux climatisations en période estivale. A la clé, des économies d’énergie considérables, une amélioration du confort et du bien-être des salariés et des clients et une contribution à la lutte contre le réchauffement climatique.A titre d’exemple, quand la facture moyenne d’une grande surface en termes de consommation d’énergie est de l’ordre de 500.000 euros par an, les économies d’énergie peuvent atteindre jusqu’à 30% sur le poste climatisation des bâtiments en été. Couverte par une garantie décennale, SOLARCOAT a des capacités exceptionnelles de résistance aux eaux stagnantes, à la grêle et au feu (certification Broof (T3).SOLARCOAT a un pouvoir réfléchissant supérieur à la norme de référence SRI (Solar Reflectance Indicator) : 116,5/100. Un résultat qui place SOLARCOAT parmi les plus efficaces dans ce domaine.Pour Michel Rouault, Président de SOLAR-PAINT et de ICGroup : « La peinture athermique que nous avons mis au point constitue une réelle réponse aux économies d’énergie et donc aux émissions de gaz à effet de serre. De par sa conception écologique, sa facilité d’emploi, son faible coût et ses performances supérieures aux critères de référence, SOLARCOAT est une solution tout à fait pertinente pour réduire les coûts énergétiques et les coûts environnementaux des bâtiments avec une efficacité immédiate et pérenne dans le temps. Il y a en effet un réel besoin auquel nous entendons répondre au mieux. »Une capacité industrielle pour adresser les marchés français et européens du cool roofingIl y a aujourd’hui en France 500 millions de mètres carrés de toitures de bâtiments commerciaux, industriels publics et plateformes logistiques qui pourraient être recouverts de peintures réflectives. Peu connu en France et en Europe jusqu’alors, le cool-roofing (toit frais) qui nous vient des Etats-Unis, a un potentiel de marché considérable.Datas centers, sites industriels de secteurs d’activités très variés (industrie pharmaceutique, environnement, agro-alimentaire), plateformes logistiques, surfaces de la grande distribution, foncières immobilières, collectivités locales...les acteurs qui font appel au cool roofing pour réduire leur facture énergétique sont de plus en plus nombreux. La demande en France est boostée par la loi Elan de 2018 qui impose aux entreprises du secteur tertiaire, 40% de consommation énergétique en moins en 2030 par rapport à 2010 et 50% de réduction d’ici à 2040.Pour Michel Rouault, Président et fondateur de SOLAR-PAINT : « De par notre capacité industrielle et notre équipe intégrée d’applicateurs formés au cool roofing, nous sommes aujourd’hui très bien positionnés pour répondre à l’accélération de la demande en France et en Europe. Nous avons l’ambition d’être un acteur européen incontournable sur le marché porteur du cool roofing. On se projette d’ici à deux ans dans trois pays d’Europe du Sud avec l’Espagne en ligne de mire dès à présent du fait de notre proximité géographique avec la péninsule ibérique. »SOLAR-PAINT a signé des contrats commerciaux avec des acteurs de l’industrie et de la grande distribution en Occitanie, sa région d’origine, avant d’essaimer sur l’ensemble du territoire national avec de grandes entreprises comme E. Leclerc, Carrefour Market ou encore Aldi. L’entreprise est aujourd’hui dans une phase d’accélération de son déploiement commercial en France et en Europe. Son adossement à un groupe spécialisé dans les « services à l’industrie » et ce, depuis près de 45 années, lui procure la capacité industrielle pour répondre à un marché en forte croissance.
Il y a 2 ans et 303 jours

Seine-Saint-Denis : l’avenue Michelet à Saint-Ouen-sur-Seine commencera sa mue en 2023

À Saint-Ouen-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), le nouvel aménagement de l’avenue Michelet est en cours de conception. Le projet définitif sera prêt d’ici à la fin de l’année 2022 pour permettre le lancement des travaux à partir de 2023.
Il y a 2 ans et 303 jours

Bas-Rhin : poursuite de la concertation publique sur l’extension de la ligne F du tramway vers l’ouest

À Strasbourg (Bas-Rhin), un nouvel atelier participatif a eu lieu le 12 juillet 2022 sur le projet d’extension du tramway vers l’ouest.
Il y a 2 ans et 303 jours

Loire-Atlantique : projet Grand Bellevue à Nantes, les futurs aménagements dévoilés

Les grandes lignes du projet de transformation du quartier Grand Bellevue à Nantes (Loire-Atlantique) sont connues.
Il y a 2 ans et 304 jours

Le Groupe Poujoulat accélère son développement dans le bois-énergie via l'acquisition des sociétés Soccem et la Bûche Forestière

Les cessionnaires (Jean-Luc Corbin, Pascal Marchand et Johnny Corbin) ont signé le protocole de vente des deux sociétés avec les représentants du Groupe Poujoulat le 19 juillet dernier. La SOCCEM et la Bûche forestière sont respectivement producteur de charbon de bois à Saint-Ulphace et producteur/distributeur de biocombustibles à Champagné, à proximité du Mans. L'ensemble représente un chiffre d'affaires consolidé de 4 millions d'euros et emploie une vingtaine de salariés.Les actionnaires historiques accompagneront le Groupe Poujoulat dans ses nouveaux projets. En effet, le gisement foncier des structures permettra d'accélérer le développement des capacités de production de biocombustibles pour le chauffage et la cuisson.La construction d'une unité de production de bois de chauffage performant est prévue dans les prochains mois sur le site de production de charbon de bois, dont le process sera également renouvelé, pour répondre à la croissance des marchés normands, bretons, ligériens et de l'Ouest de la région parisienne. Pour Frédéric COIRIER, PDG du Groupe Poujoulat : « Avec l'acquisition de ces deux entreprises saines disposant d'une bonne rentabilité, le Groupe Poujoulat franchit une nouvelle étape dans le déploiement de son offre de biocombustibles performants pour le chauffage et la cuisson. Cette opération complète notre maillage national et nous offre des perspectives et des moyens en ligne avec nos ambitions à 2025/2026. Nous accueillons avec plaisir ces deux sociétés au sein du groupe. » Pour les actionnaires historiques : « Nous sommes heureux de rejoindre le Groupe Poujoulat, leader français des biocombustibles haute performance, porteur d'une stratégie de long terme qui correspond à nos valeurs. Nous sommes convaincus que la SOCCEM et La Bûche Forestière vont pouvoir accélérer leur développement au sein de ce groupe familial. »
Il y a 2 ans et 304 jours

L'appétit des investisseurs pour les énergies renouvelables "plus fort que jamais" malgré les difficultés

Ces investissements ont totalisé 226 milliards de dollars sur les six premiers mois de l'année, en hausse de 11% sur un an, selon ce bilan.Les investissements dans les projets solaires ont ainsi atteint 120 milliards (+33%) et ceux dans l'éolien 84 milliards (+16%).Ces deux secteurs ont pourtant souffert récemment d'une hausse des coûts de matériaux cruciaux comme l'acier, de perturbations des chaînes d'approvisionnement et d'une augmentation des coûts de financement."Et pourtant, les chiffres publiés aujourd'hui montrent que l'appétit des investisseurs est plus fort que jamais, en partie en raison des prix très élevés de l'énergie sur de nombreux marchés à travers le monde", souligne BNEF."Les dirigeants politiques reconnaissent de plus en plus que les énergies renouvelables représentent la clef pour atteindre les objectifs de sécurité énergétique et réduire la dépendance aux matières premières volatiles", estime Albert Cheung, responsable des analyses chez BNEF, faisant allusion à la flambée des cours du pétrole et du gaz."La demande en faveur des sources d'énergie propre n'a jamais été aussi élevée et nous nous attendons à ce que la crise énergétique mondiale continue d'accélérer la transition énergétique", a-t-il dit.
Il y a 2 ans et 304 jours

Essonne : enquête publique pour le projet cinéma sur la Base 217 au Plessis-Pâté

Au Plessis-Pâté, le projet du complexe cinématographique envisagé sur la Base 217 fait l’objet d’une enquête publique.
Il y a 2 ans et 304 jours

Bas-Rhin : Strasbourg, début des travaux de réaménagement de la rue Finkwiller d’ici à 2024

À Strasbourg (Bas-Rhin), un questionnaire en ligne est lancé pour recueillir les attentes des habitants sur le projet de réaménagement de la rue Finkwiller.
Il y a 2 ans et 304 jours

Val-de-Marne : à Vincennes, le projet du centre culturel et sportif Georges-Pompidou vient d’être dévoilé au public

Les travaux de restructuration du centre culturel et sportif Georges-Pompidou, à Vincennes, commenceront d’ici à 2023.
Il y a 2 ans et 304 jours

Hérault : feu vert du Conseil d’État pour la poursuite du projet de liaison intercantonale d’évitement du nord de Montpellier.

Le Conseil d’État a donné son approbation pour la poursuite du projet Liaison intercantonale d’évitement du nord, situé au nord de Montpellier.
Il y a 2 ans et 307 jours

Sujets clivants et dossiers chauds en vue pour la rentrée parlementaire

Pas de session extraordinaire en septembre à l'Assemblée et au Sénat, c'est une première depuis vingt ans, insiste le camp présidentiel."C'est un acte fort, la première manifestation du changement de méthode", assure à l'AFP la présidente de l'Assemblée Yaël Braun-Pivet (Renaissance). Cela permettra de déblayer "très en amont" les textes, "d'auditionner les ministres sur leurs feuilles de route" en septembre et mener en parallèle "un travail en circonscription" après l'éprouvante séquence sur le pouvoir d'achat en juillet et début août, argumente-t-elle."Chiche", répond la députée socialiste Christine Pires Beaune, sans cacher son scepticisme. "Sur ces premiers mois de législature, ce qu'on voit, ce sont des compromis passés uniquement avec la droite" LR.En ouverture, les députés doivent s'emparer dès la semaine du 3 octobre d'un texte sur l'assurance chômage prolongeant les règles en vigueur, plus strictes depuis 2021, pour accéder aux indemnités."Quand ça va bien, on durcit les règles et, quand ça va mal, on les assouplit", revendique le ministre du Travail Olivier Dussopt.Les débats s'annoncent agités dans l'hémicycle avec la coalition de gauche Nupes et le RN."L'opposition sera plus dure" contre ce "projet de casse sociale" d'Emmanuel Macron, prévient le porte-parole du RN Laurent Jacobelli, alors que l'extrême droite a été plutôt conciliante en juillet.A gauche, LFI a promis une "marche contre la vie chère" à la rentrée et va poursuivre sa stratégie de conflictualité."La situation politique est instable", estime un proche de Jean-Luc Mélenchon. "Il y a deux solutions : soit une coalition stable entre Macron et LR, soit à la fin un retour devant les urnes", avec une dissolution."Budget risqué"Le projet de loi sur l'immigration, qui devait arriver au Sénat, a lui été reporté, à la demande de Matignon, au profit d'un débat dans les deux chambres.Sur ce volet régalien, en octobre, le projet de loi d'orientation et de programmation du ministère de l'Intérieur (Lopmi), réduit à "15 articles", doit apporter 15 milliards d'euros supplémentaires de budget en cinq ans, a annoncé Gérald Darmanin.Autre texte évoqué, mais au calendrier encore incertain, le projet de loi dédié à l'accélération de la Transition énergétique et aux énergies renouvelables.Avec la ministre Agnès Pannier-Runacher, "on y travaille déjà depuis un mois", affirme le centriste Bruno Millienne (MoDem). "Neuf ans avant de pouvoir poser la première pierre d'un champ photovoltaïque, on ne peut pas continuer comme ca", prévient-il.Octobre marquera surtout le coup d'envoi de l'examen des projets de budget 2023, de l'Etat et de la Sécurité sociale.Ce premier marathon budgétaire du quinquennat constitue une épreuve de force, faute de majorité absolue pour les macronistes à l'Assemblée. "Le budget, c'est risqué, l'opposition ne le vote jamais", prévient un cadre socialiste.Les LR qui ont soutenu le gouvernement sur le paquet pouvoir d'achat ne "le voteront pas", pense aussi un ministre, plutôt tenté de chercher l'abstention de la droite. Selon lui, le budget de la Sécu sera le plus délicat : "ils vont tous nous expliquer qu'il faut plus pour l'hôpital. Et pas un ne va dire qu'il faudrait une meilleure organisation des soins".Ecartée par la majorité et LR cet été, la piste d'une taxe sur les "superprofits" de groupes comme TotalEnergies ou CMA CGM va revenir dans les débats. Les conclusions d'une "mission flash" sur le sujet sont attendues début octobre."Le sujet n'est pas tabou mais demande d'aller au-delà du slogan", juge le chef des députés LR Olivier Marleix.Le président Insoumis de la commission des Finances Eric Coquerel pense que la position du gouvernement sur le sujet "n'est pas tenable". Côté syndical, la CGT et Solidaires ont appelé à "une journée de grève interprofessionnelle" le 29 septembre pour réclamer des hausses de salaires.Et les syndicats se préparent à monter au front contre la réforme des retraites, alors qu'Emmanuel Macron vise une "première entrée en vigueur" à l'été 2023.
Il y a 2 ans et 307 jours

Rachat des RTT, un coup de pouce ou un coup de canif ?

De quoi parle-t-on ?Portée par la majorité présidentielle, les Républicains (LR) et le Rassemblement national, la mesure autorise les entreprises privées à proposer à leurs salariés de convertir leurs jours de réduction du temps de travail (RTT) non pris en une rémunération.Monétisées, ces RTT sont "rémunérées comme des heures supplémentaires", indique le ministère du Travail, et sont exonérées de toute cotisation et impôt.Si l'employeur donne son accord, le salarié peut monétiser autant de RTT qu'il le souhaite. "La logique de la mesure est bien de permettre au salarié de travailler plus et d'augmenter ainsi sa rémunération", précise l'entourage du ministre du Travail Olivier Dussopt.Cette logique n'est pas sans rappeler le "travailler plus pour gagner plus", slogan de Nicolas Sarkozy lors de son élection en 2007, qui défendait déjà le rachat des RTT.Le gouvernement souhaitait limiter ce dispositif à 2023, les sénateurs LR voulaient le pérenniser. Au final, le rachat sera possible jusque fin 2025.Qui est concerné ?Tous les employés ne pourront pas en bénéficier. La mesure ne s'applique qu'aux salariés du privé qui ne disposent ni de compte emploi-temps (CET), ni de forfait jours, selon le ministère du Travail.Le CET, dans les entreprises où il est appliqué, permet aux salariés d'épargner leurs jours de repos non pris et de gagner, à terme, une rémunération.Tandis qu'avec le forfait jours, les salariés du privé peuvent demander à leur employeur - qui in fine décide - de troquer leurs RTT contre une majoration de salaire.Et du côté de la fonction publique, les 5,6 millions de salariés disposent déjà des "dispositifs du CET et donc de possibilités de monétisation", rappelle le cabinet d'Olivier Dussopt.Avec cette réforme, tous les salariés bénéficiant de RTT pourront ainsi, d'une manière ou d'une autre, monétiser ces journées.Selon des données du ministère du Travail datées de 2011 (derniers chiffres communiqués), parmi les salariés du privé qui ne sont pas au forfait jour, 45% disposent de RTT en plus de leurs 25 jours de congés payés. En moyenne, les Français ont indiqué en 2015 disposer de 33 jours de congés par an (congés payés, congés d'ancienneté et RTT).Qu'en pensent les syndicats et le Medef ?Pendant la campagne présidentielle, la première organisation patronale, le Medef, a appelé à élargir le rachat de RTT à tous les salariés du privé pour "améliorer significativement le pouvoir d'achat des salariés"."La mise en place de ce dispositif est assez simple, surtout pour les TPE-PME", avance auprès de l'AFP un porte-parole du Medef. Ce projet "répond à une attente" des salariés du privé qui pouvaient perdre des jours de RTT, sans compensation, quand ils n'ont pas pu les poser, assure-t-il.Mais ce dispositif suscite l'ire des syndicats qui déplorent un "coup de canif" dans le régime des 35 heures hebdomadaires.Le lien entre rachat de RTT et hausse de pouvoir d'achat est "dangereux", s'inquiète Vincent Gautheron, à la commission exécutive de la CGT. "Les salariés vont voir les RTT comme une source potentielle de revenus et renoncer au temps supplémentaire pour se reposer", ajoute-t-il auprès de l'AFP.Pour Frédéric Souillot, secrétaire général de FO, "invoquer sans cesse l'objectif du plein emploi tout en faisant travailler plus ceux qui ont déjà un emploi relève du paradoxe !".FO pointe également le manque à gagner avec l'exonération de toute charge sociale lors du rachat de ces RTT. "C'est de la perte nette pour les caisses de la Sécurité sociale", regrette Michel Beaugas, secrétaire confédéral de FO.Le président de la CFTC Cyril Chabanier redoute, lui, que "les entreprises (disent) qu'elles n'ont pas besoin d'augmenter les salaires, puisque les salariés (peuvent) racheter leurs RTT". "Les négociations sont déjà difficiles, mais cette mesure va encore plus inciter les entreprises à augmenter a minima les salaires".
Il y a 2 ans et 307 jours

Le Sénat a validé le projet de loi finances rectificative pour 2022

Le texte final adopté le 4 août comporte plusieurs dispositions majeures.Tout d'abord, il maintient le bouclier tarifaire sur l’énergie et les modalités de la remise carburant mais aussi l’ensemble des mesures proposées pour alléger les coûts des salariés (renforcement de la « prime transport » et du forfait « mobilité durable », facilitation du recours à l’imposition aux frais réels, etc.).Le texte acte également le principe d’allocation d’une prime de rentrée exceptionnelle à tous les bénéficiaires de la prime d'activité, qu'ils soient ou non allocataires de minima sociaux ou d'aides personnelles au logement.Ce texte final confirme la pérennisation proposée par le Sénat de porter à 7.500 euros le plafond applicable pour la défiscalisation des heures supplémentaires.La possibilité offerte aux salariés de convertir en majoration de salaire tout ou partie des journées ou demi-journées de RTT non prises, avec l'accord de l'employeur, est étendue jusqu'au 31 décembre 2025.Les employeurs sont aussi incités par ce texte, pour 2022 et 2023, à participer davantage, de manière volontaire, à la prise en charge des abonnements de transports de leurs salariés au-delà de 50% de leur coût, en exonérant fiscalement et socialement la fraction allant jusqu’à 75%.Le bornage au 31 décembre 2024 de l’affectation d’une fraction du produit de TVA pour le financement de l’audiovisuel public est conservée.Le nouveau texte de loi finances confirme d'ailleurs les 40 millions d’euros votés par le Sénat à destination des associations d’aide alimentaire.En lien avec l'actualité, le texte ouvre des crédits, conformément aux orientations décidées par le Sénat, pour permettre la mise en place d’un système de carte vitale biométrique, pour préserver et pérenniser les filières d’exception de production de lavande, ou encore pour compléter le financement des colonnes de pompiers intervenant en renfort des départements touchés depuis plusieurs semaines par des feux de forêts.Enfin, le texte retient plusieurs améliorations proposées par le Sénat au soutien des collectivités territoriales.
Il y a 2 ans et 307 jours

La collection Organic s'enrichit de nouvelles baffles acoustiques

En neuf comme en rénovation, Organic Claustra et Organic Factory se destinent tout particulièrement aux ERP (hôtels, brasseries, restaurants…), et aux bâtiments tertiaires (bureaux, open space, locaux d’entreprises...), hors locaux humides. La collection Organic sera à découvrir sur BATIMAT, (Pavillon 1, espace K66), du 3 au 6 octobre prochain à la Porte de Versailles. Organic Claustra : une séparation esthétique des espaces doublée d’une absorption acoustique idéale Baffle acoustique rectangulaire sur câbles, superposable et modulable, Organic Claustra séduit d’emblée par l’étendue de ses possibilités. Permettant tout à la fois de rythmer les espaces, les personnaliser à souhait, cette nouvelle solution Knauf traite efficacement l’acoustique.Disponibles dans l’éventail des 25 coloris de la collection Organic, mais également en Organic Creative Impression (personnalisation par impression monochome ou polychrome de motifs) ces nouvelles baffles Organic sont proposées en plusieurs dimensions (1955/1155/955 x 295/600) pour une épaisseur de 35 mm. Le champ des possibles est ainsi varié pour répondre à toutes les envies de créations audacieuses.Avec une masse surfacique de 17 kg/m2, Organic Claustra revendique une réaction au feu B-s1, d0, ainsi qu’une réflexion à la lumière allant jusqu’à 75 % pour le coloris White.De plus, ces nouvelles baffles Organic Claustra affichent des performances acoustiques allant jusqu’à aw 0,50 pour améliorer le confort sonore des usagers.S’adaptant à tous types de supports, ces baffles offrent également une grande facilité d’installation grâce à un ingénieux et discret kit de suspension comprenant deux câbles fixés au sol et au plafond, vendus séparément (câbles de 4 mètres de long, avec deux fixations déco plafond et 2 fixations déco sol), les dalles étant maintenues sur les côtés.Organic Factory : des baffles acoustiques verticales suspendues en toute légèreté Autre innovation signée Knauf, Organic Factory, un nouveau système de baffles acoustiques de plafonds sur câbles, au style industriel, minimaliste et épuré, jouant à 100 % l’effet matière.Le prescripteur et l’acousticien pourront donc à loisir rythmer et jouer sur les divers formats proposés pour des créations uniques qui se démarquent et se remarquent, tout en étant des sources de confort sonore et visuel.Disponibles en plusieurs dimensions (1000/1200/2000 x 600/295 x 35 mm), les baffles Organic Factory se déclinent dans l’intégralité de la palette de couleurs du nuancier Organic, pour toujours plus d’audace architecturale.Les baffles Organic Factory sont équipées en usine de 2 fixations permettant une installation aisée, sûre et pérenne grâce au kit de câbles et de fixation (vendus séparément) qui comporte deux fixations déco plafonds, 2 câbles de 1 mètre et 2 embouts déco tarraudés M6.Côté performances, Organic Factory affiche le même niveau d’exigences et de résultats qu’Organic Claustra, à savoir, une absorption acoustique allant jusqu’à w 0,50, une réaction feu B-s1, d0, ainsi qu’une réflexion à la lumière allant jusqu’à 75 % pour la référence White.Organic, une gamme biosourcée et fabriquée dans la seule usine de laine de bois en France Les dalles Organic sont issues de la seule usine de laine de bois en France, implantée en Haute-Saône. Organic est un produit biosourcé (laine de bois d’épicéa de 1 mm issue d’exploitations locales situées à moins de 200 km du site de production, minéralisée et enrobée de liant ciment/chaux blanche). Ces dalles sont particulièrement appréciées et prescrites de plus en plus, en particulier dans le cadre de chantiers à approche environnementale.Organic répond totalement aux exigences des constructions HQE®, LEED et BREEAM, et justifie du label Zone Verte Excell Gold et de la meilleure classe d’émission française dans l’air intérieur A+. Outre ses qualités esthétiques, avec une large palette de couleurs et la personnalisation à souhait, Organic est aussi reconnu pour ses qualités techniques. D’un point de vue acoustique, la laine de bois permet en effet de maîtriser la réverbération des bruits et garantit ainsi un confort acoustique remarquable dans toutes les situations données.Organic sur Knaufstudio.fr, comme source d’inspiration La collection Organic est à retrouver sur le site Knaufstudio.fr. Cet espace, dédié aux acteurs de la prescription, fait la part belle à l’esthétique, la matière, l’inspiration et la créativité pour les accompagner dans la signature de projets architecturaux uniques.Pour Emmanuel Blaudez, Chef de Marché Plafonds : « Avec Organic Claustra et Organic Factory, Knauf offre aux prescripteurs de nouvelles perspectives dans l’univers des baffles acoustiques, pour des réalisations qui conjuguent créativité et performances. L’origine naturelle et biosourcée d’Organic répond également aux attentes des maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre pour des bâtiments plus responsables. »
Il y a 2 ans et 307 jours

Centre commercial GINKO 2, un projet hors norme sur Bordeaux

Dessiné et conçu par le cabinet international L35 Architecture, ce projet hors norme a fait l’objet d’un traitement particulier par l’entreprise COVERIS, spécialiste dans la fabrication et la mise en œuvre de solutions à hautes valeurs techniques et architecturales. Le savoir-faire de l’entreprise s’est particulièrement concentré sur la réalisation des façades mur rideau vitrées, notamment sur les espaces commerciaux et de restauration des lots P7, P5, P4 et P3. Comme le souligne Damien ROMANI, directeur commercial et développement chez Coveris, « l’objectif était d’avoir une façade lisse, proche de l’aspect VEC, en intégrant différentes contraintes et notamment le calcul des verres bombés qui se situent sur un des îlots tout en ayant une économie de projet qui permettait d’y répondre favorablement ».Des façades aux vitrages bombés et clamés de grande dimensionAfin d’obtenir une façade vitrée lisse de type VEC, le choix s’est orienté vers le système CW60 SC à vitrage clamé qui offre l’avantage d’une structure porteuse à la vue d’aluminium réduite de 60mm de largeur. « L’utilisation du système à vitrage à clamer permet de s’adapter parfaitement à l’esthétique recherchée d’une façade lisse. Cette solution reste une solution intermédiaire intéressante entre la façade mur rideau à serrage et la façade VEC » précise Damien ROMANI. Le caractère hors norme du projet se traduit notamment par la mise en œuvre de vitrages de 5m de haut allant jusqu’à 1,8m de large, ayant un poids unitaire de 440kg. L’exigence de performance thermique élevée a trouvé sa réponse par l’intégration de triples virages, à l’image de la zone de restauration du lot P4. Comme précisé par le responsable technique « une attention particulière a été portée sur les aspects environnementaux du projet, ce qui a donné lieu à l’obtention d’une certification BREEAM pour les commerces.Le caractère singulier du projet provient également des vitrages des murs rideaux qui ont nécessité une étude approfondie. Le principe mis en œuvre est un patchwork de 2 à 3 couches de sérigraphie en bande filante verticale sur chaque vitrage, avec des zones de positionnement qui se chevauchent et d’autres ouvertes procurant ainsi, côté extérieur, une véritable sensation de volume et de profondeur aux façades des bâtiments. Des adaptations spécifiques pour le traitement des façades mur rideauDestiné à recevoir un large éventail de marques commerciales, les façades mur rideau des différents lots ont fait l’objet d’adaptations spécifiques et notamment l’intégration dans la structure porteuse de points d’ancrage pour la mise en œuvre de la signalétique de chaque enseigne. Afin de conserver la cohérence architecturale de l’aspect lisse et continue de la façade CW60 SC, des pièces de fixation ont été conçues, garantissant ainsi la parfaite résistance des garde-corps situés sur le rooftop du bâtiment P7.L’aboutissement d’un travail conjointLa solution technique de la façade mur rideau CW60 SC utilisée sur le projet Ginko 2 est issue de la collaboration entre Reynaers Aluminium et l’entreprise Coveris. Comme le souligne Damien ROMANI « le système technique existait dans la gamme des solutions proposées par le groupe Reynaers, mais demandait des adaptations afin de répondre aux réglementations et aux exigences du marché Français ». Le traitement des façades avec le mur rideau à clamer est le résultat d’une collaboration qui s’est exprimée sur de précédentes opérations qui ont donné lieu à plusieurs ATEX. « On a fait valoir ces expériences communes en s’appuyant sur les justifications des ATEX précédentes. Cette réalisation est une forme de capitalisation sur les développements que nous avons faits ensemble sur la base du système CW60 SC » précise le responsable technique du projet Ginko 2.Informations ProjetsCalendrier du projet :2017-2018 : études techniques façades2019-2020 : fabrication et pose des façades2020-2021 : livraison Intervenants :Maître d’ouvrage : Bouygues ImmobilierAgence d’architecture : cabinet L35 Architecture (Paris)Maîtrise d’oeuvre d’exécution : EGIS Bâtiment Sud OuestAMO certification : ELAN Bureau d’études structure : BET Le Joncour et SSOEntreprise de menuiseries : société COVERISSolutions techniques utilisées :Façade mur rideau à clamer CW60 SC Pièces de fixation spécifiquesRAL 9007