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Il y a 4 ans et 94 jours

Le Centre Pompidou va fermer pour un grand lifting de plus de trois ans

"Il y avait deux options sur la table, l'une consistant à restaurer le Centre tout en le maintenant ouvert, l'autre étant la fermeture complète. J'ai choisi la seconde car elle s'avérait moins longue dans le temps et un peu moins chère", a confié la ministre de la Culture Roselyne Bachelot qui en a fait l'annonce au Figaro.Dans le musée national d'art moderne, inauguré en 1977 en plein cœur de la ville, jamais de tels travaux n'avaient été entrepris. Leur coût est évalué autour de 200 millions d'euros, indique-t-on au Centre Pompidou.Ils démarreront fin 2023, s'achèveront fin 2026 et le centre rouvrira début 2027 pour son 50e anniversaire."Ce n'est pas évident d'annoncer une fermeture dans une période où on est fermé", a reconnu à l'AFP le président du Centre Serge Lasvignes, assurant que "le principe était qu'il n'y aurait pas de licenciement" pour les quelque 1.000 employés.A l'issue de réflexions engagées depuis 2011, le ministère de la Culture a approuvé vendredi dernier le schéma directeur des travaux du bâtiment, géant de tubes et d'aciers unique en son genre.Ils se feront en trois ans plutôt qu'en sept, ce qui aurait été le cas en cas de fermeture partielle: désamiantage, rénovation afin de répondre aux normes de sécurité, aux normes techniques, anti-incendie etc, aux économies d'énergie, ainsi qu'à l'accessibilité pour les handicapés."L'option fermeture totale nous permet de dépenser sûrement un peu moins que l'option fermeture partielle et elle inclut le désamiantage total", a souligné M. Lasvignes."Pompidou touch""J'ai pensé, a-t-il expliqué, ce que pourrait représenter un centre perpétuellement en travaux pour le personnel et les visiteurs, et aussi pour son image dans un contexte où s'ouvrent des bâtiments tout neufs comme la Bourse de commerce" toute proche."C'est un enjeu crucial", a-t-il fait valoir, soulignant qu'"il est très dangereux, dans une période très compétitive aux niveaux parisien et mondial, de donner le sentiment que le centre vieillit, qu'il date d'une autre époque".Déjà la chenille qui abrite les escaliers roulant le long de l'édifice est en rénovation. Un chantier qui devrait s'achever à l'été.Serge Lasvignes, qui arrive au terme de son mandat à la mi-2021, a espéré qu'"un centre tout neuf, de nouvelles propositions, entraîneront une hausse de la fréquentation" alors que la fermeture aura réduit certains coûts.Il va "falloir trouver le financement", admet-il: "on n'a pas les moyens sur nos ressources propres, donc cela signifie qu'il faudra que ce soient des crédits de l'État et il faudra trouver des formes de mécénat, faire appel à des ressources spéciales. L'image d'un nouveau Centre Pompidou peut intéresser les grandes entreprises".La Bibliothèque (BPI), première salle de lecture publique à Paris, disposera d'un local provisoire, entre 7.000 et 10.000 m² dans Paris intramuros."L'exigence" que "le gouvernement nous demande" d'une mobilisation des collections sur tout le territoire fera qu"on ne va pas chômer", a assuré le président de Beaubourg.Le soutien au Centre Pompidou-Metz sera renforcé. Le pôle francilien de conservation et de création à Massy ouvrira à partir de décembre 2025, avec un espace d'exposition et de multiples activités sur 2.500 m².Le président du Centre va aussi proposer partout des expositions clé en main et renforcer sa présence à l'international, outre les centres déjà existants à Shanghai, Malaga et Bruxelles. "J'espère qu'il y en aura un ou deux de plus", a-t-il noté sans en dire plus.M. Lasvignes estime que la bonne stratégie est d'affirmer encore plus la "Pompidou touch": pluridisciplinarité et engagement dans les grands débats de société (égalité, lutte contre les discriminations, réchauffement climatique...)
Il y a 4 ans et 95 jours

A Paris, la densité urbaine fait de la résistance malgré le Covid

La semaine dernière, écologistes et élus de la droite, dans une alliance inédite, ont eu raison d'un projet de construction de 80 logements sociaux (dont 60 pour des familles, et 20 pour des personnes sans domicile) prévus dans le très chic XVIe arrondissement parisien, pourtant très peu doté en la matière."A Paris, les écologistes sont favorables à la production de logements sociaux", a assuré le groupe écologiste dans un communiqué. Mais, "qui dit production ne dit pas forcément construction de logements", plaide-t-il, préférant "la transformation du parc immobilier existant grâce, notamment, au recours au droit de préemption".Le tribunal administratif, pour invalider le permis, a argué de sa "non conformité à l'actuel PLU", et d'une "insertion urbaine insuffisante" dans le quartier, rapporte la mairie."C'est un jugement assez politique", s'agace auprès de l'AFP l'adjoint chargé du Logement, le communiste Ian Brossat."La densité est sur le banc des accusés. Encensée il y a encore cinq ans, et présentée alors comme une réponse à l'étalement urbain et à la fragmentation sociale, la densité serait désormais responsable de tous les maux contemporains", écrivait l'élu PCF dans une tribune publiée mi-décembre dans Le Monde. "Avec la crise sanitaire, elle serait même devenue l'ennemie public numéro un."La densité d'habitants au mètre carré favoriserait ainsi la propagation du virus, dans une ville où l'insuffisance d'espaces verts s'est fait sentir au cours des derniers mois.Mais, "c'est moins la densité urbaine que le mal-logement qui serait en cause", rappelle l'élu, avec à l'appui, une étude de l'Institut pour la recherche en santé publique (IRESP) publiée en octobre. Reste que la mairie a "un objectif à atteindre: 25% de logements sociaux d'ici 2025", rappelle Ian Brossat. Or, "nous n'atteindrons jamais cet objectif si nous ne construisons plus rien."Transformer bureaux en logementsAlors que le télétravail a quasi vidé les quartiers d'affaires, des chercheurs plaident pour que les collectivités partent de l'existant pour réinventer la ville de demain.Par exemple, "les immeubles de bureaux, qui sont fermés le week-end, pourraient accueillir les associations ? Au rez-de-chaussée des immeubles de logements, on pourrait mutualiser des imprimantes, mettre des machines à laver ... des choses pas nécessairement utiles dans les logements", suggère Charlotte Girerd, responsable propective et expérimentation SNCF Immobilier, dans le journal "Nouvelles urbanités" publié en octobre.En région parisienne, la quantité de bureaux loués a ainsi reculé de près de moitié (-45%) par rapport à un an plus tôt, selon des données récentes de professionnels du secteur.Mardi, le capital investisseur Novaxia et quatre assureurs-vie se sont même engagés à lever un milliard d'euros d'investissements sur trois ans pour transformer des bureaux vides, espérant ainsi créer 4.000 logements d'ici trois ans, affirmait Joachim Azan, le président fondateur de Novaxia.La Ville réfléchit ainsi au "principe de réversibilité" des locaux: "Construire dans des normes de construction qui permettent de changer un bureau en logement, un bureau en commerce, ou un commerce en logement", avance Emmanuel Grégoire, premier adjoint de la maire PS Anne Hidalgo.En parallèle, la mairie poursuit ses projets de végétalisation et compte planter dès cette année 17.000 arbres, en utilisant notamment "les talus du périphérique", explique l'ancien élu EELV, adjoint en charge de la Végétalisation, Christophe Najdovski.Quant à la première forêt urbaine, elle pourrait voir le jour d'ici 2023-2024, dans le XIVe arrondissement, au sud de la gare Montparnasse, avance l'élu, convaincu qu'"il ne faut pas opposer les priorités: le logement comme la végétalisation sont importants".
Il y a 4 ans et 95 jours

La bataille du plafonnement des loyers est relancée avec une action en justice contre Century 21

"Il faut faire une action symbolique contre un agent immobilier", a expliqué à l'AFP David Rodrigues, juriste auprès de l'association de consommateurs CLCV.Celle-ci a annoncé mardi le dépôt d'une plainte contre Century 21, l'un des principaux réseaux d'agences en France. Elle l'accuse de diffuser à Paris des annonces ne respectant pas le plafonnement des loyers.Cette mesure est en vigueur depuis 2015 dans la capitale, seule ville française avec Lille à l'appliquer. Même si Paris, contraint par la justice, a dû s'interrompre plus d'un an autour de 2018, la mairie a pu relancer ensuite le plafonnement.Celui-ci interdit aux propriétaires de demander aux locataires un montant supérieur à une somme donnée, celle-ci variant selon les quartiers en fonction de l'état du marché.CLCV accuse Century 21 de relayer des annonces qui demandent un loyer trop élevé et, donc, de "pratique commerciale trompeuse" envers les potentiels locataires.C'est la première action en justice sur le sujet contre un groupe immobilier. Des contentieux individuels opposent déjà des locataires à leurs propriétaires, mais ils restent très rares."On a toujours constaté une grande réticence, une autocensure des locataires dans ce domaine", a rapporté M. Rodrigues.L'association, qui estime à l'occasion d'un bilan annuel que près de la moitié des annonces parisiennes sont dans l'illégalité, a donc fait le choix de frapper plus fort en s'attaquant à un grand groupe même si celui-ci ne sert que d'intermédiaire.Century 21 "est l'un des plus grands acteurs sur la place du marché (avec) de mauvais résultats par rapport à leurs confrères en ce domaine", a rapporté M. Rodrigues, jugeant par exemple le groupe Foncia bien plus sérieux.Filiale du géant immobilier Nexity, Century 21 a répondu en jugeant que CLCV n'avait apporté aucune preuve que ses annonces enfreignaient la loi.Le réseau rappelle que celle-ci prévoit des exceptions au coup par coup, si le logement dispose d'avantages comme une localisation exceptionnelle, et assure que c'était le cas des annonces concernées.Le réseau "est confiant sur le fait que la procédure en cours démontrera la parfaite conformité des annonces à la législation", dit-il dans un communiqué.Effets incertainsCe contentieux, qui n'a pas encore de date d'audience prévue, témoigne d'un contexte où les débats s'animent à nouveau sur le plafonnement des loyers.Le dispositif, qui s'ajoute à des règles d'encadrement déjà en place dans toutes les grandes villes françaises pour limiter la hausse des loyers, suscite depuis des années d'importants clivages politiques.Le plafonnement a toujours été contesté par les associations de propriétaires et nombre d'agents immobiliers. Il est vivement défendu par les associations de locataires, comme CLCV, et des mairies, généralement de gauche, comme celle de Paris.A ce titre, celle-ci vient d'annoncer qu'elle allait renforcer les contrôles, le nombre d'amendes restant de fait très faible."L'encadrement des loyers commence globalement à produire ses effets mais il y a encore trop d'abus notamment sur les petites surfaces", affirmait mi-janvier à l'AFP Ian Brossat, adjoint communiste au logement à Paris.Parallèlement, la capitale et Lille vont être rejointes par d'autres grandes villes françaises, pour l'essentiel gagnées ou conservées par la gauche lors des dernières municipales.Bordeaux, Lyon, Grenoble et Montpellier se sont manifestées auprès de l'Etat qui a donné pour plusieurs années cette possibilité aux grandes agglomérations françaises, avant d'en évaluer les résultats à la fin de cette période.Cependant, le plafonnement n'agit pas seulement sur les prix eux-mêmes, il peut théoriquement limiter l'offre de logements en décourageant les propriétaires de louer.A Paris, ce sont les bilans de l'Observatoire des loyers de l'agglomération parisienne (Olap) qui font référence.Pour l'heure, ils estiment que le plafonnement a contribué à ralentir la hausse persistante des loyers mais n'excluent pas qu'il ait aussi joué un rôle dans le manque de logements disponibles.
Il y a 4 ans et 95 jours

A Gentilly, les anciens bains-douches sont devenus le Lavoir numérique

EN IMAGES. L'ancien Lavoir bains-douches de Gentilly, en banlieue parisienne, fermé depuis les années 50, connaît une deuxième vie, profondément transformé par Arteo architectures pour un nouvel usage dédié au numérique.
Il y a 4 ans et 95 jours

"Le Grand Paris Express est irréversible", affirme le président de la SGP

Le conseil de surveillance de la SGP a autorisé mardi l'institution à émettre en 2021 pour un montant maximum de 10 milliards d'euros d'obligations vertes supplémentaires, afin de couvrir à la fin de l'année 80% du financement nécessaire pour construire les 200 km du supermétro autour de Paris."Nous allons poursuivre la mise en oeuvre de cette politique visant à profiter de taux d'intérêt très bas. Fin 2020, les conditions de financement ont été excellentes et les liquidités sur les marchés encore plus importantes que prévues en avril", a expliqué M. Dallard dans une interview à La Tribune, mercredi."Grâce à la mise en oeuvre de ce programme, nous serons en situation de couvrir les besoins du prochain quinquennat 2022-2027 et ainsi mettre à l'abri la réalisation du Grand Paris Express", a ajouté le dirigeant."Le Grand Paris Express est irréversible", et il ne pourra pas être perturbé par le résultat des prochaines élections, a-t-il affirmé."Si nous ne procédons pas à cette opération de sécurisation, cela pourrait impacter le calendrier, en cas de brutale remontée des taux, ou de réduction des liquidités", a remarqué M. Dallard."D'ici à 2022, nous aurons lancé tous les appels d'offres pour les contrats de génie civil, et les tunneliers ne font pas marche arrière", a-t-il souligné, rappelant que les chantiers ont pris "de trois à huit mois de retard" à cause de la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 96 jours

Bouygues Construction renforce sa stratégie climat

En tant qu’entreprise responsable et engagée, Bouygues Construction innove et déploie depuis de nombreuses années des solutions et des projets durables en faveur de la transition énergétique. Le groupe définit aujourd’hui une stratégie climat ambitieuse pour réduire son empreinte carbone sur l’ensemble de sa chaîne de valeur en ligne avec l’ambition des accords de Paris. Au-delà de réduire ses émissions directes et indirectes en propre, Bouygues Construction souhaite également accompagner le développement d’un usage responsable des ouvrages qu’il réalise. Pour cela, le groupe propose à ses clients une large gamme de solutions en faveur de la performance énergétique des bâtiments, des quartiers et des villes, de la production et de la distribution d’énergie décarbonée et du développement de la mobilité bas carbone. Bouygues Construction s’engage ainsi sur l’ensemble de la chaîne de valeur de ses activités : conception, achats de matériaux, réalisation des projets, exploitation. Cette stratégie s’appuie sur un engagement fort de l’ensemble de ses équipes, dans les 60 pays dans lesquels le groupe est présent, sur une importante capacité d’innovation et sur la force de son réseau d’entreprises partenaires (fournisseurs et sous-traitants). Pour agir sur le scope 1&2* (11% du bilan carbone), Bouygues Construction a décidé notamment de se doter d’un parc véhicule vert (90% de véhicules verts en 2030), de réduire les déplacements de ses collaborateurs (-50% de vols internationaux et -80% de vols nationaux) et de réduire la consommation énergétique de l’ensemble de ses sites et chantiers. Pour agir sur le scope 3A amont (89% du bilan carbone), le groupe a notamment choisi de réduire l’impact des matériaux achetés (béton, menuiseries, câbles, etc.), de travailler sur les circuits courts pour réduire le fret et de réduire de 15% l’empreinte carbone de son IT d’ici 2025. Afin de réduire l’intensité carbone des ciments utilisés, une feuille de route est définie pays par pays pour arriver à une baisse globale de 40% d’intensité carbone du ciment (kg CO2 e/m3). La construction bois est également une axe clé puisque Bouygues Construction s’engage à réaliser 30% de ses projets bâtimentaires en bois à l’horizon 2030 en Europe. Pour agir sur le scope 3B aval, Bouygues Construction propose à ses clients une large gamme de solutions décarbonées pour les accompagner dans la réduction de leur empreinte carbone : production et distribution d’énergie décarbonée, performance énergétique des bâtiments, des quartiers et des villes et développement de la mobilité bas carbone. *Scope 1&2 : électricité des chantiers, carburant des engins de chantiers, consommation énergétique des sièges et agences transports professionnels en train et en avion, flotte de véhicules Scope 3A (amont) : achats de produits et matériaux de construction, fret, immobilisations, déchets générés, parc informatique Scope 3B (aval) : émissions des produits et services vendus   Visuel : SCHOCK BIOTOPE LILLE Bouygues Construction    
Il y a 4 ans et 97 jours

Le chantier du RER E en Ile-de-France victime d'importants surcoûts

"C'est un protocole-relais pour maintenir la pression opérationnelle d'un projet. (...) L'utilité c'est de ne pas stopper le chantier et de ne pas le ralentir", a relevé le vice-président chargé des transports, Stéphane Baudet, cité par une porte-parole.Selon le rapport présenté par la présidente du conseil régional Valérie Pécresse, "SNCF Réseau a fait le constat d'un dépassement important du coût du projet, de l'ordre de 640 millions d'euros (aux conditions économiques de 2012), hors actualisation et hors surcoûts liés à la crise sanitaire survenue depuis, qui devrait donc encore aggraver la situation".La facture était jusqu'à présent estimée à 3,8 milliards d'euros (aux conditions économiques de 2012), apportés notamment par la Société du Grand Paris (1,5 milliard) et la région (1,1 milliard).Dans l'attente d'un audit par Ile-de-France Mobilités, "SNCF Réseau demande qu'une solution temporaire soit mise en place et menace à défaut de ne pas engager les marchés nécessaires à la poursuite du chantier, début 2021", lit-on dans le rapport.D'où ce "relais", une avance de crédit de 182 millions d'euros (toujours aux conditions de 2012) à SNCF Réseau "pour couvrir ses engagements devant être pris en 2021".La région a approuvé jeudi sa participation de 66 millions d'euros, tandis que l'État va apporter 82 millions selon un porte-parole du ministère des Transports. Le solde doit être apporté par les départements des Hauts-de-Seine et des Yvelines, ainsi que par la Ville de Paris.SNCF Réseau reconnaît qu'"il y a des coûts supplémentaires liés à des projets annexes", mais ceux-ci sont encore "en cours d'évaluation", selon une porte-parole.Souvent appelé Eole, le RER E relie actuellement Chelles et Tournan (Seine-et-Marne), dans la banlieue est, à la gare Saint-Lazare à Paris.Les travaux en cours -retardés par la crise sanitaire- ont pour but de le prolonger à l'ouest jusqu'à Nanterre via La Défense à la mi-2013, puis jusqu'à Mantes-la-Jolie (Yvelines) à une date qui doit encore être réévaluée. Ils comprennent le percement d'un tunnel de 8 km et le réaménagement de 47 km de voies existantes.
Il y a 4 ans et 99 jours

Le gouvernement appelle les préfets à faciliter les "évacuations forcées" de logements squattés

Coproduite par trois ministères (Logement, Intérieur, Justice), l'instruction envoyée aux préfets fait suite à l'adoption en décembre de la loi dite "Asap", qui a renforcé le dispositif anti-squat après plusieurs affaires fortement médiatisées (Théoule-sur-Mer, Petit-Cambodge à Paris...).Selon le communiqué résumant ce texte, "l'occupation effective du logement au moment où les squatteurs s'y introduisent n'est pas un critère nécessaire pour engager la procédure d'évacuation forcée", qui s'applique à toutes les types de résidence (principale, secondaire, occasionnelles).Ces évacuations par la force publique ne sont pas "concernées par la suspension" des expulsions locatives décrétée chaque année au titre de la trêve hivernale pour protéger les foyers les plus fragiles, ajoute-t-il.Dans ce cas de figure, le préfet devra toutefois "s'attacher à rechercher des solutions de relogement pour les personnes évacuées", indique le communiqué des trois ministères.Cette procédure d'évacuation n'est par ailleurs pas réservée au propriétaire du logement mais pourra être enclenchée par "toute personne agissant dans l'intérêt et pour le compte" de ce dernier. L'usufruitier d'un logement ou les enfants d'un propriétaire âgé pourront ainsi y avoir recours.Enfin, le gouvernement somme les préfets d'agir rapidement: les demandes d'évacuation devront être examinées dans les 48 heures suivant leur réception."Une fois notifiée, la décision d'évacuation forcée peut intervenir, au plus tôt, 24 heures après mise en demeure de quitter le logement", ajoute le communiqué."Le gouvernement est déterminé à mettre fin aux occupations illicites", résume le communiqué qui assure par ailleurs que les personnes précaires qui ne sont pas "en situation de squat" ont pu bénéficier de dispositifs d'aide pendant la crise sanitaire, notamment la prolongation de la trêve hivernale en 2020.Cette instruction est envoyée trois jours après le vote au Sénat d'une proposition de loi LR renforçant la lutte anti-squats qui a provoqué la colère de la gauche qui a mis en avant "la réalité du mal-logement" en France.
Il y a 4 ans et 99 jours

Le gouverment appelle les préfets à faciliter les "évacuations forcées" de logements squattés

Coproduite par trois ministères (Logement, Intérieur, Justice), l'instruction envoyée aux préfets fait suite à l'adoption en décembre de la loi dite "Asap", qui a renforcé le dispositif anti-squat après plusieurs affaires fortement médiatisées (Théoule-sur-Mer, Petit-Cambodge à Paris...).Selon le communiqué résumant ce texte, "l'occupation effective du logement au moment où les squatteurs s'y introduisent n'est pas un critère nécessaire pour engager la procédure d'évacuation forcée", qui s'applique à toutes les types de résidence (principale, secondaire, occasionnelles).Ces évacuations par la force publique ne sont pas "concernées par la suspension" des expulsions locatives décrétée chaque année au titre de la trêve hivernale pour protéger les foyers les plus fragiles, ajoute-t-il.Dans ce cas de figure, le préfet devra toutefois "s'attacher à rechercher des solutions de relogement pour les personnes évacuées", indique le communiqué des trois ministères.Cette procédure d'évacuation n'est par ailleurs pas réservée au propriétaire du logement mais pourra être enclenchée par "toute personne agissant dans l'intérêt et pour le compte" de ce dernier. L'usufruitier d'un logement ou les enfants d'un propriétaire âgé pourront ainsi y avoir recours.Enfin, le gouvernement somme les préfets d'agir rapidement: les demandes d'évacuation devront être examinées dans les 48 heures suivant leur réception."Une fois notifiée, la décision d'évacuation forcée peut intervenir, au plus tôt, 24 heures après mise en demeure de quitter le logement", ajoute le communiqué."Le gouvernement est déterminé à mettre fin aux occupations illicites", résume le communiqué qui assure par ailleurs que les personnes précaires qui ne sont pas "en situation de squat" ont pu bénéficier de dispositifs d'aide pendant la crise sanitaire, notamment la prolongation de la trêve hivernale en 2020.Cette instruction est envoyée trois jours après le vote au Sénat d'une proposition de loi LR renforçant la lutte anti-squats qui a provoqué la colère de la gauche qui a mis en avant "la réalité du mal-logement" en France.
Il y a 4 ans et 99 jours

L'immobilier de luxe résiste à la crise sanitaire

"Je continue encore à être étonné chaque jour, je me dis que c'est trop beau pour être vrai", reconnaît auprès de l'AFP Alexander Kraft, responsable de la filiale immobilière de la maison de luxe Sotheby's.Son chiffre d'affaires français a progressé de plus de 5% l'an dernier, malgré la crise de la Covid-19 et plusieurs épisodes de confinement qui ont bloqué pendant des semaines l'activité économique.Le paysage est aussi satisfaisant pour d'autres réseaux d'immobilier de luxe, un marché de niche sans définition précise, mais qui s'intéresse généralement aux logements de plus d'un million d'euros.Les deux grands acteurs français du secteur, Barnes et Daniel Féau, ont tous deux fait état d'un recul de leurs ventes à Paris ainsi qu'une stabilisation des prix après des années de hausse, mais ont estimé ce recul modéré au regard de la crise.Plusieurs réseaux soulignent aussi un bond des ventes en province. Chez Barnes, elles se sont envolées dans des destinations prisées des plus fortunées, telles Biarritz et Deauville, même si le réseau ne dit pas à quel point ces succès ont compensé le déclin parisien.Selon les différents acteurs, deux grandes raisons expliquent cet essor du marché en temps de crise. D'abord, les multiples confinements, en particulier celui très strict du printemps 2020, ont créé de nouvelles envies."Jamais les gens n'ont été enfermés comme ça et ça s'applique à tout le monde, même les gens les plus aisés qui ont des biens plus vastes: ils sont habitués à voyager et ont été forcés de rester sur place", explique M. Kraft."C'est vraiment un phénomène psychologique, les gens sont frustrés et veulent un foyer plus confortable", insiste-t-il.Valeur refugeCes observations font écho à celles faites par les réseaux grands publics sur le marché immobilier dans son ensemble. Mais, dans ce dernier cas, elles n'ont pas forcément donné lieu à des mouvements massifs d'achat.Par contraste, chez les plus riches, ces envies sont parfois si pressantes que quelques achats, pourtant de plusieurs millions d'euros, ont été bouclés à distance sans que l'acquéreur ou ses représentants mettent les pieds dans le logement."Normalement, ces gens-là envoient au moins un assistant, mais là on a vraiment fait des ventes 100% virtuelles", s'étonne M. Kraft.L'autre moteur, plus classique en temps de crise, c'est que l'immobilier reste un investissement jugé sûr, quand bien même les marchés boursiers n'ont finalement pas connu une mauvaise année 2020."L'immobilier haut de gamme a vraiment été perçu comme une valeur refuge et une [option] alternative à des placements en or ou autres", a rapporté jeudi Thibault Saint-Vincent, président de Barnes, lors d'une conférence de presse.La crise sanitaire a toutefois créé de multiples blocages, en particulier les restrictions de voyage qui ont changé le visage d'une clientèle habituellement cosmopolite."Les acquéreurs européens et surtout français - notamment en provenance du Royaume-Uni, en prévision du Brexit - se sont en grande part substitués à notre clientèle internationale habituelle incapable de se déplacer", a remarqué dans un communiqué Charles-Marie Jottras, président de Daniel Féau.Il est difficile de prévoir combien de temps les étrangers vont rester à l'écart du marché français, alors que l'évolution de la crise sanitaire reste incertaine et laisse craindre des restrictions durables.Mais, espère M. Kraft, au vu des marques d'intérêt actuelles, "une fois qu'on pourra vraiment voyager (...) il y a des fortes chances qu'il y ait une véritable vague quand les étrangers reviendront".
Il y a 4 ans et 99 jours

Après Europacity, quel avenir pour le Triangle de Gonesse ?

ARTIFICIALISATION. Plus d'un an après l'abandon du mégacomplexe Europacity, au nord de Paris, l'avenir des terres agricoles du Triangle de Gonesse continue de mobiliser les défenseurs de l'environnement, opposés à l'installation d'une gare et d'un quartier d'affaires.
Il y a 4 ans et 99 jours

L'assurance-vie s'engage en faveur du recyclage de bureaux vides en logements

Véritable marronnier, ce "recyclage" était une des mesures phares de la loi Elan de 2018 afin de répondre à la pénurie de logements, criante notamment en Ile-de-France où le foncier est rare et cher.Cette question est revenue sur le devant de la scène ces derniers mois avec la généralisation du télétravail qui a poussé de nombreuses entreprises à réfléchir à l'après-épidémie et repenser la taille de leurs bureaux.En région parisienne, la quantité de bureaux loués a ainsi reculé de près de moitié (-45%) par rapport à un an plus tôt."Il y a un alignement des planètes" favorable à une accélération du recyclage de bureaux vides en logement, a estimé Joachim Azan, le président fondateur de Novaxia, lors d'une conférence de presse à Paris.Cette accélération se concrétisera par le lancement au printemps d'un fonds spécifique "Novaxia R", soutenu par Suravenir, Spirica, AG2R la Mondiale et Generali, a-t-il ajouté."On ambitionne de déployer un milliard d'euros d'investissements, l'équivalent de 250.000 m² de surface de plancher ou l'équivalent de 4.000 logements" pour "les trois prochaines années", a précisé Joachim Azan.L'objectif de ce fonds, qui proposera aux épargnants de diversifier leur épargne dans le logement, est "d'acheter des immeubles de bureaux avec une décote de l'ordre de 20 à 30%" et de "fabriquer du logement à l'issue de cette transformation". Ses promoteurs espèrent un rendement de 5% par an.L'Ile-de-France - qui compte, selon Novaxia, trois millions de m² de bureaux vides auxquels se rajoutent entre "3 à 6 millions de m² du fait du télétravail" accru depuis la crise sanitaire - sera majoritairement concernée.Une première charte avait été signée en mars 2018 par dix opérateurs qui s'étaient engagés à transformer 500.000 m² de bureaux en logements en Ile-de-France d'ici 2022.Mais près de trois ans plus tard, aucun bilan n'a été communiqué.Il n'y a pour l'heure pas encore de "chiffre consolidé", a confirmé mardi la ministre du Logement Emmanuelle Wargon, mais "ça a marché, il y a plein de projets en cours".La ministre, qui visitait des bureaux transformés par Novaxia en logements dans le 20e arrondissement de Paris, a précisé qu'elle réunirait d'ici "une quinzaine de jours" les acteurs de 2018 pour faire le point.
Il y a 4 ans et 99 jours

Véhicules électriques : Paris revisite son réseau de bornes de recharge

La Ville de Paris a décidé de restructurer et d’étendre ses infrastructures dédiées aux véhicules électriques héritées d’Autolib. Une mission confiée à Total, avec comme ingénieriste Egis smart mobilités et systèmes, dans l’optique d’ouvrir ce service aux deux et quatre roues des particuliers.
Il y a 4 ans et 100 jours

L’AREP sera chargée de la conception des “Rues aux écoles” parisiennes

L’AREP remporte l’appel d’offres “Rues aux écoles” de la Ville de Paris pour la conception et... Cet article L’AREP sera chargée de la conception des “Rues aux écoles” parisiennes est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 100 jours

Webinar ouvrages éphémères en bois

Dans la perspective des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris en 2024, France Bois 2024 (l’équipe projet chargée d’accompagner les maîtres d’ouvrage, les entreprises, relayer l’information, porter l’innovation et préparer les formations pour des réalisations exemplaires avec des bois provenant de forêts gérées durablement et, pour 50% au moins, de nos forêts) a initié un travail de recensement pour évaluer et stimuler la capacité de la filière bois à réaliser une partie, voire la majorité des ouvrages temporaires des Jeux. Le 26 janvier 11h-12h30 aura lieu le webinar Cndb/France bois 2024 – ouvrages éphémères en bois. Il a pour but de partager, au sein de la filière via les retours d’expériences des acteurs concernés les atouts et points d’attention à porter à l’usage du matériau bois dans les équipements éphémères en bois. Durant 1h30, plusieurs ouvrages éphémères en bois seront présentés par chaque acteur de l’opération. Evènement organisé par le CNDB pour France Bois 2024. Inscription  
Il y a 4 ans et 100 jours

Des containers reconvertis en café-vélo à Paris La Défense

Depuis 2012, le Trophée béton Ecoles récompense chaque année des étudiants des écoles d’architecture françaises qui valorisent les qualités esthétiques, environnementales et techniques du béton, dans deux catégories: Projet de fin d'études (jeunes diplômés) et Studio (étudiants des […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 100 jours

Construction de l’hôpital Paris-Saclay : une enquête publique jusqu’au 4 février 2021

Le Groupe Hospitalier Nord-Essonne (GHNE) a lancé une enquête publique afin de connaître les propositions des Orcéens.
Il y a 4 ans et 100 jours

EPA Paris-Sarclay : appel à candidature pour la maîtrise d’œuvre pour un projet de bâtiment réversible à Satory

L’Établissement Public Administratif (EPA) Paris-Sarclay souhaite construire un programme mixte à Satory. Il lance une consultation pour trouver une maîtrise d’œuvre.
Il y a 4 ans et 100 jours

40% des logements au rez-de-chaussée sont des passoires thermiques à Paris

PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE. Une étude réalisée sur les logements parisiens montre que la taille du logement, l'étage auquel il se situe ou encore sa date de construction influent fortement sur l'étiquette énergétique des logements.
Il y a 4 ans et 101 jours

Manehome : un site unique de 22.400 m² pour regrouper 180 agents Enedis à Blois

Le lieu, à la Chaussée Saint-Victor près de Cap Ciné, a été choisi pour son potentiel en termes d’espace (22 400 m²) et de proximité avec l’autoroute A10. C’est clairement le choix de l’efficacité et de l’optimisation qui a été fait, choix qui se décline sur l’ensemble des points clés de ce projet.Réunir activités industrielles et tertiairesLe site a été conçu en arc de cercle, pour masquer l’intérieur, la cour et les équipements.La mixité des activités se traduit dans le concept même du bâtiment : une structure béton pour les bureaux et l’accueil du public, associée à une ossature métallique pour les locaux techniques. Un concept créé par Apside Architecture, qui allie les dimensions esthétiques et fonctionnelles, et qui a mis le cabinet de maîtrise d’œuvre du chantier, Manehome, face à des défis techniques de taille.3 défis techniques majeurs à releverSi le maître d’œuvre a un important rôle de coordination des équipes et d’organisation du chantier, il a en amont une mission délicate : apporter des solutions techniques qui vont permettre de concrétiser le concept architectural.La “signature” de ce bâtiment : une façade de 13 m de haut en béton apparentL’entrée principale donne sur un immense mur en béton gris, brut et épuré. Ce type de finition impose une solution technique innovante, le bétomur pour un rendu parfait. Ce sontdes murs béton préfabriqués avec isolation intégrée ce qui les rends ultra-performantsrépondant aux exigences de la RT 2012 et anticipant les futures réglementations de laRT 2020. Anticorrosion et étanche à l’air, le mur est également adapté à toute zone de sismicité 1 à 5. Les différents éléments, fabriqués hors site, sont assemblés sur place. Le coulage du béton vient consolider l’ensemble. Un assemblage qui demande une manipulation pointilleuse des différents modules, mais permet un important gain de temps sur le chantier et d’être moinstributaire des intempéries. Ces éléments, préfabriqués en région parisienne par SORIBA,sont en effet produits en intérieur, dans des conditions de travail optimales. Chaque élément est composé de deux parois béton préfabriquées servant de coffrage, d’une paroi isolante assurant l’isolation thermique par l’extérieur et d’un vide central permettant le coulage d’un noyau béton tout en limitant fortement les pertes thermiques.Faire cohabiter la structure béton et la structure à ossature métalliqueDifférentes solutions de jonction des structures en béton et en métal ont été étudiées enamont pour permettre d’assurer la jonction entre ses deux matériaux. C’est un véritabledilemme : l’évolution dans le temps des deux types de matériaux est très différente, ce qui ne permet pas de les lier. Pour autant, l’étanchéité doit être parfaite. Assurer la jonction entre l’ossature métallique bardée et les bétomurs doit donc être réalisé avec la plus grande rigueur afin d’assurer le calfeutrement entre les diverses zones. Pour optimiser cette jonction, bureaux d’études et entreprises intervenantes ont travaillé ensemble et choisi de mettre en attente les deux structures pour se coordonner et les achever simultanément, et non l’une avant l’autre. Finir l’une avant l’autre aurait pu créer des ponts thermiques et des défauts d’étanchéité.Pour prendre ce type de décision et coordonner les parties prenantes, il faut un véritable esprit collectif sur le chantier, une exigence qualité commune et un bon chef d’orchestre. C’est la mission du maître d’œuvre, Manehome, cabinet créé par Anthony Conte en 2014 qui relève quotidiennement ce type de défis : optimiser les solutions techniques, coordonner les intervenants sur les chantiers et assurer un véritable suivi sur le terrain.Aménagement modulaire des cloisons avec un haut niveau de traitement acoustiqueLe bâtiment est réalisé avec un niveau d’isolation acoustique élevé, rarement misen œuvre dans des locaux tertiaires. Ce qui a nécessité une étude préalable complexe.Le défi est cette fois de combiner un haut niveau d’isolation acoustique, avec des cloisons mobiles en verre qui permettent de redistribuer totalement les espaces de bureau et de réunion en cas de besoin et les réseaux électriques et informatiques qui passent en faux-plafond et faux-plancher.Il n’y a pas de cas préexistant auquel se référer. La solution a donc été tout d’abord calculée de manière théorique, puis mise en œuvre et testée dans une salle témoin. Les tests acoustiques ont validé la solution technique qui a alors été déployée sur les 3 450 m² de la partie tertiaire.Favoriser l'emploi local, les matériaux et les équipements françaisEnedis n’a pas vocation à être propriétaire de ses locaux. C’est donc un investisseur privé qui en est propriétaire et a délégué la construction au promoteur Essor. Essor a confié une partie de la maîtrise d’œuvre à Manehome, qui a piloté le chantier et coordonné les intervenants. Une vigilance toute particulière a été apportée au choix des prestataires, aussi bien pour les travaux que les équipements et matériaux. Sur le rapport qualité / prix de leur prestation, mais également sur leur proximité. Dans une logique responsable, les intervenants étaient des entreprises locales, de Blois ou des alentours, sauf pour deux prestations très spécifiques (faux-plancher et charpente couverture). Les matériaux et équipements made in France ont été privilégiés. Plus d’une centaine de personnes ont travaillé sur ce chantier pendant un an et demi, apportant une belle dynamique à l’emploi local et aux emplois induits.La maîtrise d'œuvre en univers incertainLe contraste est toujours saisissant entre la rigueur dont doit faire preuve une équipede maîtrise d’œuvre sur un projet de cette dimension et la diversité des aléas qui vontvenir perturber le chantier. Malgré une organisation méthodique et précise, le maître d’œuvre est amené à s’adapter sans cesse à des circonstances extérieuresinattendues. Un métier qui nécessite des nerfs en acier, surtout en 2020. Ainsi ce chantier a, tour à tour été : interrompu par un obus découvert sur site et qu’il a fallu désamorcer ; bouleversé par un accident quia fait quatre blessés avec arrêt immédiat des travaux par sécurité puis réorganisation ;ralentit par des intempéries ; et finalement bloqué par le confinement de mars-avril 2020.La crise sanitaire a nécessité une réinvention totale de l’organisation du travail sur siteManehome a pu reprendre les travaux dès la fin avril, en réorganisant totalement lesinterventions et le planning. Le respect des gestes barrière a limité le nombre d’intervenants en simultané sur le site. Pour optimiser une nouvelle organisation dans un contexte totalement inédit, il fallait : - bien connaître les spécificités des métiers de chacun pour proposer une organisation agileet efficace,- savoir conjuguer les impératifs du maître d’ouvrage et les contraintes multiples de laconstruction,- savoir parler le langage du client et celui du bâtiment, être la passerelle entre ces deuxunivers et maintenir le chantier dans un délai raisonnable sans compromis sur la qualité deréalisation.“Face à la crise Covid, il a été salvateur d’avoir des intervenants de proximité. Le planning est au cœur de leur métier et tout était à repenser. Cela les a amenés à prendre plus de responsabilités et d’initiatives, en relais avec nous qui avions une mobilité limitée en raison des restrictions de déplacement. La confiance a été primordiale.” Benoit Leroux, Directeur Travaux de la Maîtrise d’Ouvrage, groupe Essor
Il y a 4 ans et 101 jours

Une visite virtuelle de l’Institut du monde arabe

L’Institut du monde arabe vous ouvre ses portes, par le biais d’une visite guidée virtuelle. [©Th.Rambaud] L’attente se fait longue… Les lieux culturels sont fermés depuis maintenant plusieurs mois. Nombreux sont les amoureux de l’architecture se retrouvant privés de leur plaisir de découvrir l’intérieur de prestigieux édifices parisiens. Conscient de cette frustration qu’éprouve chacun vis-à-vis de la situation sanitaire actuelle, l’Institut du monde arabe (IMA) a réalisé une visite guidée virtuelle du bâtiment emblématique signé Jean Nouvel. Cette dernière est disponible sur YouTube. Retour sur un des édifices incontournables de la capitale française. Un pont entre l’Ouest et l’Orient Au lendemain de la crise pétrolière de 1979, le président Valéry Giscard d’Estaing envisage de créer un organisme mettant en valeur la culture et l’art du monde arabe. Cela permettrait aussi d’élaborer des collaborations inédites et d’apaiser les tensions du moment. A l’automne 1981, François Mitterrand, le nouveau chef de l’Etat, prend part à cette ambition et aspire à édifier un pont entre l’Orient et l’Occident. Il augmente considérablement l’ampleur du projet, lui attribuant une parcelle de terrain de l’université de Jussieu. Un lieu en bord de Seine au cœur du Quartier latin de Paris. Un brillant avenir s’annonçait déjà pour le futur Institut du monde arabe (IMA). Quelque 8 jeunes talents composent l’équipe d’architectes. A sa tête, Jean Nouvel, destiné à une glorieuse carrière. Près de 7 ans de travail sont nécessaires pour bâtir la première réalisation de la lignée des travaux mitterrandiens. L’IMA est inauguré le 30 novembre 1987. Financé par la France et les  Etats arabes, l’établissement est placé sous l’autorité morale d’un Haut conseil, composé des représentants de tous les Etats membres de la Ligue arabe. Un bâtiment fait de lumière pour la ville des Lumières    Pour réaliser l’IMA, Jean Nouvel et l’Architecture-Studio ont cherché à prendre en compte la complexité de l’université de Jussieu et à s’appuyer sur l’urbanisme qu’elle représente. Tout en rappelant le style du Quartier latin grâce aux silhouettes haussmanniennes placées sur la façade Nord du bâtiment. Constitué de béton, d’acier et de verre, l’IMA est moderne, original et reconnaissable entre tous les bâtiments parisiens. Ses 240 moucharabiehs en façade sont iconiques. La moitié des diaphragmes les composant sont mobiles, pouvant ainsi s’ouvrir et se fermer. Ils ont été pensés, afin de filtrer les rayons du jour à l’intérieur du monument et de tamiser l’espace. La moitié des diaphragmes composant les moucharabiehs la façade sont mobiles, pouvant ainsi s’ouvrir et se fermer. [©ACPresse]La façade de verre et de matétal de la façade principale de l’IMA se développe sur 7 étages. [©ACPresse]A l’origine, les variations de lumière du jour devaient commander l’ouverture des diaphragmes des moucharabiehs. [©ACPresse]La tour de Livres représente l’un des symboles les plus emblématiques de l’IMA. [©Fessy]Un nuage de colonne s’étend dans la salle hypostyle, rappelant les colonnades de la grande mosquée de Cordoue… [©ACPresse] A l’origine, les variations de lumière du jour devaient commander l’ouverture des diaphragmes. Toutefois, ce système a rencontré quelques défaillances dans les années qui ont suivi l’ouverture de l’IMA.  Les ouvertures se font dorénavant manuellement. Dans la culture de l’architecture arabe, la lumière joue un rôle capital. Jean Nouvel a donc construit tous ses plans autour de celle-ci. Les couleurs choisies sont volontairement neutres, telles que le blanc ou le gris. « J’aime que les architectures soient intelligentes et caractérisées, explique Jean Nouvel. Je les aime comme signe révélateur des savoir-faire, des préoccupations esthétiques et pratiques. Je les juge comme témoins de consensus économiques et culturels. » Trois fonctions majeures L’IMA abrite trois symboles, tous influencés par la culture du monde arabe. Le premier est sans aucun doute la tour de Livres. Reliant par ses spirales les différents niveaux de l’emblématique bibliothèque, elle s’étend sur 7 étages comme pour symboliser « l’ascension vers le sommet du savoir et la spiritualité ». Elle fait référence au minaret de la grande mosquée de Samarra, en Irak. Les grands volumes lumineux du musée constituent le deuxième élément. Ils entourent le patio intérieur, s’inspirant de l’architecture introvertie méditerranéenne. Enfin, un nuage de colonne s’étend dans la salle hypostyle, rappelant les colonnades de la grande mosquée de Cordoue…De quoi programmer une visite non plus virtuelle, mais réelle ! 240 moucharabiehs sont placés sur les façades de l’IMA. [©Th. Rambaud]
Il y a 4 ans et 101 jours

L'agence Dragon Rouge éclaire la « Lighthouse » de Nanterre

C'est un immeuble de bureaux classique que l'agence DRAGON ROUGE vient de totalement transformer. Le chantier initié pendant l'été 2019 vient de s'achever. Exit le Magellan, siège depuis 2001 de l'équipementier automobile FAURECIA. Place à la «LIGHTHOUSE » -littéralement le Phare- que l'on ne devrait pas rater en effet. Et pour cause, puisque l'un de ses signes distinctifs est une gigantesque lampe surmontée d'un abat-jour éclairée la nuit qui traverse l'immeuble de 23 mètres de bas en haut. Les propriétaires ont confié à l'agence DRAGON ROUGE la tâche de reconfigurer et de repositionner cet immeuble de bureaux de six étages et 10600 mètres carrés de surface. L'objectif était de revitaliser l'immeuble, en bordure de Paris et de La Défense, d'y créer des services, de l'intérêt et de susciter l'envie de venir travailler à Nanterre. Il s'agissait de donner à l'immeuble une nouvelle personnalité forte et différenciante. Aux côtés du studio K de Karl Petit qui a signé l'architecture et l'agencement des espaces bureaux proprement dits, l'agence de design DRAGON ROUGE signe une grande partie des espaces de la LIGHTHOUSE, soit 2600 mètres carrés au total, du rez-de-chaussée au 6e étage, en passant par le toit terrasse et les extérieurs. La traduction d'une nouvelle façon de travaillerPour susciter l'envie de venir travailler dans cet immeuble, DRAGON ROUGE a travaillé selon deux axes créatifs : d'abord, la création d'un nom et d'une identité forte, innovante et provoquant un effet « waouh ». D'où l'idée d'un objet symbolique et iconique. C'est cette lampe colossale, véritable colonne vertébrale de l'immeuble qui traverse la tour de bas en haut, du pied au rez-de-chaussée au gigantesque abat-jour sur le toit terrasse du 5e étage. Si l'immeuble est investi par une seule société, elle fédérera les équipes. Dans le cas contraire, elle créera en tout état de cause des liens entre les différents plateaux. Par ailleurs, l'agence s'est fondée sur les nouvelles attentes des salariés en matière d'espaces de travail : disposer de lieux confortables, hybrides, polyvalents qui peuvent s'adapter au gré des besoins dans la journée. Des lieux de travail chaleureux, conviviaux, un peu comme un intérieur de maison. Espaces polyvalents, lieux hybrides et matériaux modernesDu bas en haut de l'immeuble, les espaces dessinés par DRAGON ROUGE sont la traduction créative de l'équation nécessaire aux nouveaux immeubles de bureaux : des plateaux confortables, modulables avec cloisons ou en open space, polyvalents. Quant aux matériaux, ils sont modernes et pratiques à l'usage, adaptés aux lieux de fort passage que sont des bureaux. Les sols sont souples et silencieux, faciles d'entretien, de même que le néo skaï des fauteuils. Le rez-de-chaussée. Le hall d'entrée majestueux est occupé en grande partie par le pied de la lampe géante, transformé en assise circulaire pour les visiteurs. Le rez-de-chaussée accueille aussi une conciergerie et des vestiaires. C'est à ce niveau que se trouve aussi le business center : quatre salles de réunion modulables pour accueillir de 8 à 24 personnes, un « work café » et un espace lounge, sans oublier un espace de coworking dans la mezzanine du hall. Au rez-de-chaussée toujours, se trouve le restaurant inter-entreprise. Ici, DRAGON ROUGE soucieuse de proposer de la diversité aux salariés, a imaginé plusieurs ambiances de restauration : Des espaces déjeuner comme à la cuisine avec des vitrages façon atelier, des assises hautes ou normales, des lampes à ampoules filaments apparents.Des espaces déjeuner au salon avec de grandes cloisons arrondies, des banquettes circulaires, des paravents claustras, et des luminaires rappelant les moulures haussmanniennes.Une ambiance salle à manger avec de grandes tables en bois façon tables d'hôtes, des chaises dépareillées de couleurs différentes. Des petits boxes pour des déjeuners plus intimistes pour manger seul ou à deux. Des matériaux différents spécifient chacun des espaces, l'effet général évoquant les pièces à vivre d'une maison.Le forum. C'est l'autre pièce maîtresse du rez-de-chaussée. Cet espace modulable, doté d'estrades escamotables, de placards intégrés dans les cloisons, de projecteurs, avec au centre un grand tapis mosaïque de couleurs rouges orangées et des poufs assortis, est polyvalent et se module en fonction des activités : salle de repos, de ping-pong, salle de sports, show room d'exposition en lumière naturelle ou auditorium de 100 places opaque…. Le toit terrasse et les espaces extérieurs : DRAGON ROUGE a investi les espaces extérieurs en cherchant un équilibre entre les parkings et les espaces végétalisés. Au 5e étage, le toit-terrasse d'où émerge l'abat-jour de la lampe géante a demandé un soin particulier pour que cet abat-jour colossal et ajouré soit source de lumière.Dragon Rouge a assuré les missions de conception et de suivi d'exécution de l'ensemble du programme en tant que mandataire du groupement de maîtrise d'œuvre.Avec la LIGHTHOUSE, c'est un nouvel éclairage sur les façons de travailler et sur l'immobilier de bureaux de demain que traduit DRAGON ROUGE. Parmi ses activités, Dragon Rouge crée des espaces commerciaux et tertiaires, portant une attention particulière sur les bureaux.L'accélération du travail à distance et la digitalisation des outils de travail font évoluer ce modèle des bureaux. D'un lieu de production, les bureaux deviennent des lieux de statut, d'innovation, et de célébration de la culture de l'entreprise. Ils contribuent à valoriser l'actif immatériel qu'est la marque de l'entreprise, et sont plus que jamais l'expression de sa culture et de sa raison d'être.
Il y a 4 ans et 102 jours

Un appartement Art déco fonctionnel par Humbert & Poyet

Humbert & Poyet redécore un appartement parisien selon les canons modernistes et... Cet article Un appartement Art déco fonctionnel par Humbert & Poyet est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 102 jours

Novaxia crée un fonds dédié à la la transformation de bureaux en logements

RECYCLAGE URBAIN. Avec la création du "premier fonds en assurance-vie" de transformation de bureaux en logement, la foncière Novaxia profite d'un "alignement des planètes" et se donne pour objectif de financer la création de 4.000 logements. La Ville de Paris annonce le lancement d'un appel à projets pour faciliter le recyclage des bureaux obsolètes.
Il y a 4 ans et 102 jours

Société du Grand Paris : lancement de la consultation du premier marché de conception-réalisation du tronçon de la ligne 15 Est

La Société du Grand Paris vient de présenter la consultation pour le premier marché du tronçon Est de la ligne 15.
Il y a 4 ans et 102 jours

Un nouvel écoquartier autour de la future gare Arcueil-Cachan du Grand Paris Express

AMÉNAGEMENT URBAIN. La ville de Cachan et la Société du Grand Paris ont signé un protocole et lancé le 15 janvier 2021 une consultation pour la réalisation d'un écoquartier, qualifié d'ambitieux par ses exigences sociales et environnementales, autour de cette gare déjà desservie par le RER B.
Il y a 4 ans et 103 jours

A Paris, la Tunisie calligraphiée par Explorations le long du périphérique

En août 2020, Explorations Architecture a livré le Pavillon Habib Bourguiba, second pavillon de la Tunisie de la Cité internationale universitaire de Paris (XIVe). La résidence étudiante compte 198 chambres, une cuisine collective, un auditorium de 250 places ouvert au public, une salle de lecture et un salon de thé ouvert sur le parc. Communiqué. […] L’article A Paris, la Tunisie calligraphiée par Explorations le long du périphérique est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 103 jours

Après Europacity, tensions et convoitises autour des terres agricoles au nord de Paris

Sauvés de l'artificialisation par Emmanuel Macron qui a abandonné le méga-complexe commercial et de loisirs Europacity en novembre 2019, le sort des 280 hectares de terres agricoles situées à une quinzaine de kilomètres de Paris reste encore incertain."Le président de la République a eu le courage politique d'abandonner Europacity, maintenant il faut aller au bout et faire un projet du XXIe siècle", s'impatiente Bernard Loup, président du Collectif pour le Triangle de Gonesse (CPTG), au milieu d'un lopin boueux tout près de l'autoroute A1 survolé par quelques avions.Pour l'heure, il est prévu que cette zone soit interdite à l'habitat car coincée entre les aéroports Paris-Charles de Gaulle et du Bourget, accueille une gare de la ligne 17 du métro du Grand Paris Express d'ici 2027, et une ZAC avec bureaux."La région parisienne ce sont des terres de maraîchage parmi les plus riches du monde, c'est dommage de faire une énième construction... Peut-être qu'on peut la faire un peu plus loin ?", s'interroge Guillaume Moucheroud, venu en "simple citoyen" et en famille depuis Vanves (Hauts-de-Seine) pour participer dimanche à une action de mobilisation .De son côté le CPTG soutient le projet agricole de l'association Carma qui comprendrait notamment l'installation d'activités maraîchères et horticoles, dans une dynamique de circuits courts."Il faut protéger ces terres qui peuvent devenir une vitrine aux portes de Paris et le monde de la transition écologique est prêt à s'y investir", martèle Alice Leroy, secrétaire générale de CARMA.Parmi les quelque 500 manifestants dimanche, plusieurs élus écologistes et de gauche ont pris la parole, à l'image d'Eric Piolle le maire (EELV) de Grenoble ou la députée insoumise de la Seine-Saint-Denis - candidate aux régionales - Clémentine Autain."On a gagné sur Europacity, il faut absolument que la mobilisation reste" pour "laisser les terres à l'agriculture", estime l'eurodéputé et probable candidat à la primaire EELV de septembre Yannick Jadot, selon lequel "le projet d'Emmanuel Macron sur l'artificialisation des terres, c'est de la "guignolade."Unique gare de métroSur le volet judiciaire pourtant, les défenseurs du projet Carma viennent d'essuyer plusieurs revers.La justice administrative a définitivement validé en juillet la création d'une ZAC et a retoqué en appel, en décembre, un recours déposé contre le plan local d'urbanisme de Gonesse ouvrant la voie à l'aménagement du site. Une troisième procédure est également en cours devant la Cour administrative d'appel de Paris.Attachés à la création d'une gare du métro, qui serait la seule du Val-d'Oise, des élus du département et de la Seine-Saint-Denis - soutenus par la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse - insistent sur la nécessaire amélioration de l'offre de transports en commun dans l'est du Val-d'Oise, touché par la pauvreté."Une centaine de militants politisés représentant une minorité ne peuvent pas continuer de prendre en otage l'avenir et les nombreuses opportunités d'emplois de centaines de milliers de Valdoisiens à l'est du département", a réagi dimanche Marie-Christine Cavecchi, présidente (LR) du conseil départemental."Si vous construisez la gare, dans quelques années il n'y a plus de terres agricoles", craint pourtant le député du Val-d'Oise (Les nouveaux démocrates) Aurélien Taché.Dans un rapport daté de décembre et adressé au Premier ministre, dont l'AFP a eu connaissance dimanche, le préfet du Val-d'Oise estime que le chantier de la gare doit être "conforté" et se montre favorable à l'aménagement d'une ZAC de 110 hectares pour accueillir des équipements publics et des projets allant de l'industrie à "l'agriculture urbaine"."La localisation du Triangle de Gonesse fait de cette ZAC le lieu adéquat pour conduire une opération d'aménagement ambitieuse", écrit le préfet Amaury de Saint-Quentin.Ses propositions s'inscrivent dans le futur "plan pour le Val-d'Oise" annoncé par Jean Castex en novembre, notamment avec l'objectif de renforcer les services publics et qui doit être dévoilé prochainement.
Il y a 4 ans et 103 jours

Les riverains de la Butte Rouge de Châtenay-Malabry opposés à sa transformation

Près de 87% d'avis défavorables (riverains, associations...) ont été enregistrés concernant la modification du plan local d'urbanisme élaboré par la mairie LR de Châtenay, a indiqué l'association Châtenay Patrimoine environnement.Construite à partir des années 30 dans un style minimaliste Bauhaus pour loger les ouvriers, la Butte Rouge, dans les Hauts-de-Seine, fait l'objet d'un vaste plan de réhabilitation contesté depuis dix ans par des urbanistes.Dans une volonté de densification, certaines maisons seront détruites, d'autres surélevées, agrandies, reliées aux maisons voisines. Selon la mairie, les normes des années 30 sont obsolètes, les appartements trop exigus. Et le quartier, actuellement composé de 100% de logements sociaux où vivent 10.000 personnes, doit s'ouvrir au secteur privé. "Seulement 15% de la Butte Rouge (17 bâtiments sur 233) sera préservé" si le projet est entériné par l'Établissement public territorial, dénoncent les associations.Au ministère de la Culture, on assure que le site sera protégé, "y compris, si nécessaire, par un classement d'office": "depuis le début, nous disons qu'il s'agit d'un site exceptionnel. Le classement en site patrimonial remarquable (SPR) permettra de protéger un certain type d'urbanisme, en y respectant la place de la nature". "Il s'agit d'une protection d'un ensemble et non bâtiment par bâtiment", précise-t-on.La mairie s'était engagée, selon le ministère, sur un classement SPR en octobre, mais le processus se fait de moins en moins à l'amiable. "Nous n'avons pas de nouvelles et cela commence à nous inquiéter", ajoute-t-on, relevant que le préfet a écrit fin décembre au maire.Les autorisations préfectorales ne seront pas données s'il n'y a pas de SPR et "si le maire n'est pas prêt à classer le site, la ministre (Roselyne Bachelot) prendra la décision de créer un SPR par décret en conseil d'État", souligne-t-on encore au ministère.Selon Julien Lacaze, président de l'association Sites et monuments, "le préfet est favorable au projet, l'État abandonne la Butte rouge aux promoteurs et le ministère se paye de mots en brandissant une protection forte. Il préfère manifestement accompagner les promoteurs déjà si actifs dans le Grand Paris".L'Établissement public "Vallée Sud Grand Paris" doit délibérer d'ici à un mois sur les conclusions du commissaire-enquêteur qui aura fait la synthèse de l'enquête publique.
Il y a 4 ans et 103 jours

L’opération nationale « 15 000 bâtisseurs » renouvelée

Une charte d’engagement en faveur de l’emploi et de l’insertion professionnelle vient d’être signée entre les organisations professionnelles du secteur de la Construction et l’Etat dans le cadre de France relance. Parmi les dispositifs déployés figure l’opération nationale « 15 000 bâtisseurs » qui sera renouvelée ces deux prochaines années sur tout le territoire. Cette opération aura pour objectif d’identifier les jeunes et demandeurs d’emplois issus des quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) souhaitant intégrer le secteur Bâtiment actuellement en forte demande de main d’œuvre. Tous les métiers et toutes les fonctions sont concernés par le dispositif. En Ile-de-France, la précédente opération « 15 000 bâtisseurs » menée en 2018-2019 avait permis le recrutement par des entreprises du Bâtiment de plus de 9400 demandeurs d’emploi (jeunes de moins de 30 ans et plus de 30 ans) en CDD durable ou CDI (et de plus de 5600 demandeurs emploi pour le seul territoire du Grand Paris : 75-92-93-94). « L’opération des 15 000 bâtisseurs bénéficie à tous car le Bâtiment est créateur d’emplois et garant de la cohésion sociale de nos territoires. Les grands projets en région Ile-de-France dont ceux liés à la rénovation énergétique, sont des opportunités exceptionnelles pour favoriser l’insertion dans nos métiers tout en renforçant la coopération entre les entreprises, les collectivités et l’Etat. Sur le territoire du Grand Paris, nous mettrons une nouvelle fois tout en œuvre afin de contribuer activement au récit de ces 15 000 nouveaux bâtisseurs ! » précise Jean-Luc Tuffier, Président de la FFB Grand Paris. La FFB Grand Paris IDF met à la disposition de ses entreprises adhérentes une plateforme leur permettant de diffuser leurs offres d’emploi : https://emploi.lebatimentgrandparis.fr/
Il y a 4 ans et 103 jours

Du bureau au logement, mutation parisienne selon CoBe

L’agence CoBe a livré rue de Ridder à Paris (XIVe) en novembre 2020, pour le Groupe GALIA maître d’ouvrage, le premier centre d’hébergement géré directement par le Samu Social à Paris Intramuros. La restructuration et surélévation du bâtiment de trois niveaux, d’un montant des travaux de 3,2 M€ pour 1 580 m², ont permis la […] L’article Du bureau au logement, mutation parisienne selon CoBe est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 103 jours

A 66 ans, elle monte au sommet d'une grue Bouygues Bâtiment à 58 mètres de hauteur

Une ascension hors du commun« Je rêve de monter au sommet d'une grue dans un site en travaux ». Voilà comment Anne a présenté son rêve lors de ses premiers échanges avec l'équipe de Rêves de Seniors. Cette sexagénaire aime l'altitude, mais appréhende les risques d'un saut à l'élastique, alors pour répondre à son rêve de hauteur et son appel du vide, elle se lance le défi de monter en haut d'une grue d'un chantier. Le rendez-vous est donné le 16 décembre dernier à 12h30 sur l'îlot Fulton, un chantier mené par Bouygues Bâtiment Ile-de-France - Habitat Social pour ICF Habitat La Sablière. Il s'agit d'un projet de renouvellement urbain, situé dans le 13ème arrondissement parisien, qui porte sur la construction de 235 logements, de commerces et d'une crèche (Architectes Anne-Françoise Jumeau et Ignacio Prego).Pour monter en haut de la grue et bénéficier d'un panorama inédit sur la ville, Anne doit passer par plusieurs étapes. Elle grimpe d'abord à l'échelle sur environ 10 mètres et poursuit dans l'ascenseur de la grue. L'ascenseur s'arrête 5 mètres environ en dessous de la cabine. Les derniers mètres de l'ascension s'effectuent à nouveau à l'échelle, ce qui peut être impressionnant car le sommet de la grue se déplace légèrement sous l'effet du vent. « L'ascension était très technique avec l'échelle mais j'étais bien protégée par Chérif, le grutier, qui montait derrière moi. Mais c'est une grue, ce n'est pas une simple échelle ! » raconte Anne. En haut, le moment est privilégié. Dans la cabine, Anne en prend conscience : « C'était vraiment génial. J'ai fait la connaissance de tout un univers, celui de Bouygues Bâtiment Ile-de-France, celui du logement social via ICF Habitat La Sablière. Au départ, j'étais fascinée par ce que je voyais puis peu à peu, je me suis intéressée au travail de Chérif. C'est très méticuleux et très bien encadré. Les écrans aident à la conduite de la grue. C'est un travail beaucoup plus technique que ce que je pensais. C'est un métier fascinant ! ».Une expérience unique rendue possible grâce à Bouygues Bâtiment Ile-de-FranceLe chantier est, habituellement, un lieu interdit au public et c'est grâce à Bouygues Bâtiment Ile-de-France Habitat Social et son collaborateur Chérif, grutier, et professionnel de haut niveau que ce rêve est devenu réalité. Collaborateur de Bouygues depuis 2005 et Compagnon du Minorange - un Ordre qui distingue les meilleurs ouvriers pour leurs compétences, leur conscience professionnelle et leur état d'esprit -, il a accompagné Anne tout au long de son ascension et a partagé sa passion et son savoir-faire. Ambassadeur de la santé et de la sécurité, du professionnalisme et de la formation sur le chantier, il a travaillé pour de nombreux projets emblématiques comme la Bibliothèque Nationale de France ou le Stade de France.D'aussi loin qu'elle se souvienne, Anne a toujours aimé l'altitude. Quand elle visite une ville, un pays, elle fait en sorte de monter sur le toit des plus hauts bâtiments. En montant en haut de la grue, si le panorama est là - vue entre autres sur le Sacré Cœur, Notre Dame et la Tour Eiffel - c'est aussi la conscience de vivre une expérience unique qui frappe Anne. Un moment de grâce à 58 mètres de haut. Une expérience quasi impossible à vivre pour le grand public.L'opération Rêves de Seniors : il n'y a pas d'âge pour réaliser ses rêvesQuand l'Assurance retraite Île-de-France, dont elle est bénéficiaire, lui présente l'opération Rêves de Seniors, Anne n'hésite pas à postuler avec cette idée originale « monter sur une grue de chantier ». Et c'est cette originalité qui a fait l'unanimité auprès des membres du Comité de Sélection, même si son rêve semble au premier abord irréalisable. En fait, avec la complicité de Bouygues Bâtiment Ile-de-France Habitat Social et avec l'accord de son médecin traitant - il est nécessaire d'être en bonne condition physique pour monter - le rêve d'Anne a pu se réaliser une fois le confinement levé, quelques jours avant Noël. C'est avec une pointe de malice qu'Anne, tout juste redescendue sur la terre ferme, lance : « J'ai un nouveau rêve maintenant, devenir grutière ! »Récolter des rêves, faire en sorte qu'ils se réalisent et ainsi changer le regard sur l'avancée en âge, c'est toute l'ambition de Rêves de Seniors. Le principe est simple : il s'agit de déposer son rêve sur le site revesdeseniors.fr pour, peut-être, le voir se réaliser. C'est une opération proposée par Silver Alliance, une alliance de 33 entreprises au service du bien vieillir, pour changer le regard que porte la société sur le vieillissement en permettant à des personnes âgées de 60 ans et plus de réaliser leur rêve. Rencontrer Thomas Pesquet, échanger avec Michel Drucker ou sauter en parachute à plus de 80 ans, ces rêves sont rendus possibles grâce à Silver Alliance et à la complicité de tous ses partenaires.Benjamin Zimmer, Directeur Délégué Associé de Silver Alliance, à l'initiative de cette opération explique : « Ce n'est pas parce qu'on a déjà parcouru une bonne partie de sa vie qu'on n'a plus le droit de rêver. Au contraire ! Chez Silver Alliance, nous avons eu envie de réaliser certains rêves de seniors qui nous le demandent car nous souhaitons leur apporter le plus de solutions possibles pour bien vieillir, et réaliser ces rêves en fait partie. Il n'y a pas d'âge pour rêver et surtout pas d'âge pour que ce ne soit plus de simples rêves. »Anne Guichard pensait ne jamais pouvoir réaliser son rêve de grimper en haut d'une grue. Cette opération lui a prouvé que tout était encore possible !
Il y a 4 ans et 106 jours

Passoires thermiques : Quels types de logements sont les plus énergivores ?

Afin d'inciter les Français à rénover leurs biens, la loi énergie-climat oblige, dès cette année 2021, à réaliser des travaux permettant d'améliorer les performances énergétiques. Dans ce cadre, l'agence de location en ligne Flatlooker, a mené une étude [1] afin d'identifier les types de logements les plus gourmands.La taille du bien fait varier le DPESelon l'analyse de Flatlooker, plus le logement est petit et plus il est énergivore. Ainsi, 35,2% des 1 pièce dépassent le DPE « E ». C'est 22,3% pour un 2 pièces, 6,1% pour un 3 pièces et 8,3% pour un 4 pièces et +. « Tous les logements ont un équipement électrique minimal nécessaire à leur fonctionnement : frigo, micro-ondes ou plaques de cuisson. Ces équipements constituent une dépense d'énergie importante pour les petites surfaces dont les factures électriques sont plus élevées proportionnellement. Ainsi les DPE des petites surfaces sont naturellement plus élevés que les grandes. »Nicolas Goyet, co-fondateur de FlatlookerÉviter les premiers étagesFlatlooker a comparé la performance énergétique des biens selon l'étage où il est situé. Il s'avère que 40,5% des logements en rez-de-chaussée ont un DPE supérieur à E. Pour les logements au premier étage, ce chiffre tombe à 29,4%. Au deuxième, il dégringole encore à 26,2%. Au troisième étage, seul 20% des biens dépassent un DPE « E ». C'est 17,9% pour les biens situés au quatrième étage. « Les logements en étage bénéficient de l'apport de chaleur du logement du dessus et du logement du dessous, ce qui n'est pas le cas des logements en rez-de-chaussée. Aussi les factures de chauffage sont souvent plus élevées faisant augmenter le score DPE. »Nicolas GoyetQuid du type de vitrage ?Cela paraît contre-intuitif et pourtant... Le type de vitrage n'influence pas la performance énergétique d'un bien. En effet, selon les résultats de l'étude de Flatlooker, 26,5% des habitations à simple vitrage dépassent le DPE « E » et 25% des logements à double vitrage le dépassent également.« On s'attendait à une bien meilleure performance énergétique des logements avec double-vitrage. Cependant, les fenêtres ne représentent en moyenne que 15% de la déperdition thermique totale d'un logement : leur influence est donc limitée au global »Nicolas GoyetPas de passoires thermiques pour les logements récentsFlatlooker a analysé les biens par années de construction. 25,5% des logements construits avant 1930 s'avèrent dépasser le DPE « E ».Pour les logements bâtis entre 1930 et 1970 c'est 22,9%. Entre 1970 et 1990, ce chiffre grimpe à 31,7. Après 1990, l'agence en ligne ne comptabilise quasiment aucune passoire thermique. « Les logements d'après 1990 intègrent des enjeux de performance énergétique dès leur construction, ce qui n'était pas le cas auparavant. Les constructions d'avant 1970 présentent proportionnellement moins de passoires thermiques car elles ont mieux vieilli que les constructions d'après 1970.»Nicolas GoyetLa méthode de chauffage a un fort impactLe type de chauffage du logement influe énormément sur la qualité du DPE. Ainsi, 10,7% des biens chauffés au gaz sont des passoires thermiques. C'est 16,7% lorsque le logement est chauffé au fioul, et 36,7% lorsque le propriétaire a opté pour un chauffage électrique.Pas d'influence selon l'ameublementFlatlooker a comparé la performance énergétique des logements meublés et des non meublés.Il s'avère que cela n'a pas d'incidence : 25,4% des logements meublés dépassent le DPE E. Pour les non meublés, ce taux s'élève à 24,5%.[1]Étude réalisée sur 1.718 logements à Paris.
Il y a 4 ans et 106 jours

Un décret portant sur la déclaration d'utilité publique modificative de la ligne 18 publié

GRAND PARIS EXPRESS. Un décret du 14 janvier 2021 vient modifier celui du 28 mars 2017 déclarant d'utilité publique et urgents les travaux de la ligne 18. Il concerne plus particulièrement la partie Est de la ligne.
Il y a 4 ans et 106 jours

Le Top 5 de Paris Habitat : les livraisons phares de 2020

Plus de 1 000 logements livrés, plus de 1 500 logements réhabilités, plus de 2 600 logements requalifiés… L’année 2020 pour Paris Habitat aura été riche en livraisons de projets emblématiques. Cinq opérations mises en exergue. Communiqué. Afin en effet d’accroître son parc de logements sociaux, répondre à la demande des habitants de la capitale et des villes […] L’article Le Top 5 de Paris Habitat : les livraisons phares de 2020 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 107 jours

Centre sportif Charcot par Odile+Guzy à Paris

Début décembre, une pétition a été lancée par The Architectural Review, après la décision de l’Institut indien de management d'Ahmedabad (IIAM) de démolir 14 des 18 dortoirs du campus conçu par Louis Kahn, Balkrishna Doshi et Anant Raje en 1962. En un mois, plus de 600 architectes et universitaires, […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 107 jours

A Châtenay-Malabry, les habitants opposés au projet de transformation de la Butte-Rouge

PROJETS URBAINS. L'enquête publique sur la transformation de la Butte-Rouge de Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine) a relevé une majorité écrasante d'avis défavorables au projet, selon les associations mobilisées pour cette cité-jardin, témoin du patrimoine ouvrier en région parisienne.
Il y a 4 ans et 107 jours

L'architecte star Rudy Ricciotti retenu pour remodeler le musée des Tissus de Lyon

Rudy Ricciotti "a compris ce qu'on attendait de lui, une préservation du patrimoine existant et une belle création architecturale", a expliqué M. Wauquiez au quotidien régional Le Progrès de mercredi.La région est propriétaire de ce musée depuis 2017 et le désengagement de la Chambre de commerce et d'industrie qui n'avait plus les moyens d'assurer son entretien.L'ensemble est composé de deux bâtiments historiques du 18e siècle, l'un abritant une collection de tissus rares héritée des soyeux lyonnais, l'autre une collection d'arts décoratifs.Le projet de M. Ricciotti prévoit la construction d'une nouvelle structure à la jonction des deux bâtiments existants. Un autre édifice, donnant sur la rue, sera complètement reconstruit, avec une façade ouverte sur la ville.Les travaux permettront de doter le musée d'un auditorium, d'un café en terrasse, d'un restaurant et d'une librairie.La facture du projet est évaluée, hors scénographie, entre 50 et 60 millions d'euros, a indiqué M. Wauquiez qui espère réduire l'addition finale pour la collectivité avec des aides européennes. Il va aussi solliciter la ville et la métropole de Lyon avec lesquelles il était en désaccord sur l'avenir de l'établissement quand sa fermeture était évoquée.Outre le Mucem, M. Ricciotti est connu pour avoir réalisé le stade Jean Bouin à Paris, le Stadium de Vitrolles et la cité musicale BAM de Metz. A Lyon, on lui doit le bel immeuble de bureaux Pavillon 52, tout en ondulations, dans le nouveau quartier de la Confluence.
Il y a 4 ans et 108 jours

Engouement pour le prochain ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO

Le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO se tiendra du 21 au 24 septembre à Paris Porte de Versailles. Premier salon de la reprise pour le secteur, il est plus que jamais un rendez-vous incontournable pour les acteurs de la filière qui sont déjà 121 à s’être inscrits, dont 15 nouveaux exposants. Cette mobilisation traduit à la fois leurs attentes de se retrouver pour un événement convivial et leur souhait de montrer leur dynamisme et leur optimisme après une année 2020 difficile. Cette édition, inscrite sous la thématique de « La révolution positive du digitale » s’annonce donc comme la traduction concrète de l’innovation portée par les exposants à tous les niveaux. Depuis novembre 2020, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL est en ligne. Cette plateforme d’information et d’échanges est destinée à tous les professionnels de la menuiserie-fermeture, des équipements de la baie et de la métallerie. Enrichie chaque mois grâce à la contribution des exposants, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL a pour ambition de partager les savoir-faire et de contribuer à l’appropriation et à la diffusion des innovations.
Il y a 4 ans et 108 jours

Butte-Rouge : la municipalité s’entête

Construite pendant l’entre-deux-guerres à Châtenay-Malabry, la Butte-Rouge, emblématique cité-jardin de la région parisienne, se retrouve depuis plusieurs années au cœur d’un vaste projet de dégradation volontaire. La municipalité souhaite détruire 80 % de ce site architectural et paysager afin de le réorganiser et le densifier. Une enquête publique venant de se clôturer témoigne pourtant de la réticence des riverains. Selon les associations mobilisées, près de 87 %...
Il y a 4 ans et 109 jours

Guillaume Alan : Appartement Victor Hugo

Au cœur du 16ème arrondissement, le décorateur d’intérieur Guillaume Alan signe un appartement intemporel. Ce beau projet de rénovation mené par Guillaume Alan s’est articulé autour de la réorganisation spatiale, la décoration des espaces et la création d’une atmosphère sereine. Inscrit dans l’héritage des décorateurs ensembliers, l’appartement Victor Hugo mêle des pièces de mobilier uniques et des éléments d’architecture contemporains.Guillaume Alan a aménagé, pour des propriétaires passionnés par l’Asie, un intérieur zen tout en sobriété, avec une entrée majestueuse et un salon minimaliste. Sans ostentation, ni fioritures superflues, le décorateur prône simplicité et élégance en mariant des tonalités sobres et des beaux matériaux dans cet appartement chic et dépouillé. Une recherche d’authenticité qui se retrouve dans les meubles dessinés sur mesure par Guillaume Alan. Un havre de paix en plein Paris. Pour en savoir plus, visitez le site de Guillaume Alan. Visuels : © Guillaume Alan La rédaction
Il y a 4 ans et 109 jours

Équipbaie-Métalexpo, une édition 2021 sous les meilleurs auspices

Ces entreprises, dont de nombreux leaders de la filière, expriment ainsi toute leur confiance et leur mobilisation pour faire de ce rendez-vous un moment unique et marquant.Des exposants qui répondent présentsLe salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO se tiendra du 21 au 24 septembre à Paris Porte de Versailles. Premier salon de la reprise pour le secteur, il est plus que jamais un rendez-vous incontournable pour les acteurs de la filière qui répondent d'ores et déjà présents. Cette mobilisation traduit à la fois leurs attentes de se retrouver pour un événement convivial et leur souhait de montrer leur dynamisme et leur optimisme après une année 2020 difficile. Cette édition, inscrite sous la thématique de « La révolution positive du digitale » s'annonce donc comme la traduction concrète de l'innovation portée par les exposants à tous les niveaux.Ils participent à l'édition 2021 d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPODe nombreux leaders sont inscrits et de nouveaux exposants font leur entrée pour cette édition 2021 :Menuiserie (48 exposants) : ATLANTEM, ATULAM, CAIB, CONCEPT ALU, DECEUNINCK, DRUTEX SA, ELCIA, FENETREA, France FERMETURE, GROUPE STELLA, K•LINE, LOREBAT, LOUINEAU, MEO, MILLET, OXXO, PASQUET MENUISERIES, PIERRET PORTES ET FENETRES, PROFILS SYSTEMES, QFORT, REHAU, ROMA, SFS, SOKO Vérandas & Pergolas, SWAO, TIR TECHNOLOGIES, VEKA, VERANDA …Nouveaux exposants : EXTOL, GROUPE OUVEO, LECHLER TECH.Fermetures (24 exposants) : ARMBLOCK, FAME, GROUPE MAINE, HORIZAL, ZILTEN …Nouveaux exposants : BEL'M, DOSTEBA GMBH, GENEFY ALUMINIUM CO LTD, WINLOCK.Smart Home, Smart Building et Digital (14 exposants) : DOOYA CO LTD, NICE, SOMFY…Nouveaux exposants : A-OK FRANCE, IDD-PARTSProtection solaire (14 exposants) : BRUSTOR, MARQUISES, SCREENLINE/DIVISION OF PELLINI SPA, VERANDA RIDEAU…Nouveaux exposants : BIOSSUN, LA VIUDA, WAREMA REINKHOFF SE.Services, équipements & organismes (5 exposants) : HERCULEPRO, OPTIMA SYSTEM…Nouveaux exposants : GROUPE POUEY INTERNATIONALMachines & outillage (12 exposants) : ELUMATEC, LOM, BEWAP, MECAL MACHINERY…Nouveaux exposants : MZR, ROTOX France.METALEXPO (4 exposants) : ETANCO, MEDIA SOFT-METALCAD, S.A.S BUGAL, WÜRTH FRANCE.En attendant le salon…Depuis le 17 novembre, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL est en ligne. Cette plateforme d'information et d'échanges est destinée à tous les professionnels de la menuiserie-fermeture, des équipements de la baie et de la métallerie.Enrichie chaque mois grâce à la contribution des exposants, ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL a pour ambition de partager les savoir-faire et de contribuer à l'appropriation et à la diffusion des innovations.Depuis son lancement, ce sont déjà 15 industriels qui se sont investis : AOK France, ATULAM, BEL'M, BOSCH France, CAIB, ELCIA, FRANCE FERMETURES, HERCULEPRO, K•LINE, GROUPE LORILLARD, MEO France, MILLET PORTES ET FENÊTRES, NICE France,SOMFY, ZILTEN. Les tables rondes ont de leur côté mobilisé les 5 partenaires d'ÉQUIPBAIEMÉTALEXPO (Groupement ACTIBAIE, SNFA, UFME, UM, UMB et Union de la Métallerie) ainsi que Serrurerie PASME2, CADIOU, Menuiserie FRAME, Bâtiment CFA 35 et METAFER. Côté visiteurs, plus de 450 inscrits se sont connectés aux différents outils mis à leur disposition.ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO - 21 au 24 septembre 2021 à Paris Expo Porte de Versailles – Hall 1