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Il y a 4 ans et 129 jours

Le béton, une nouvelle perspective pour l'impression 3D

Pour "imprimer" un mur, un long bras articulé diffuse une mince coulée de béton selon un parcours déterminé en appliquant une couche sur la précédente. En quelques heures, un mur est érigé, ouvrant de nouvelles perspectives aux métiers de la construction."L'intérêt de l'impression 3D, c'est comment aller plus loin que l'utilisation courante du béton" et "chercher des formes qu'on ne pourrait pas faire de façon traditionnelle, ou qui demanderaient beaucoup plus de temps", explique Alain Guillen, directeur général Développement et Applications de XTreeE.Cette start-up basée à Rungis a lancé dans son atelier la fabrication d'une trentaine de murs, destinés à la construction en 2021 de cinq maisons à Reims, dans le cadre du projet Viliaprint, porté par le bailleur social Plurial Novilia.L'entreprise vient d'obtenir une Appréciation technique d'expérimentation (Atex) pour la construction en impression 3D béton, délivrée par le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB).Une phase industrielle"Aujourd'hui pour la première fois en France, on a une construction en impression 3D béton qui est validée par les autorités publiques", souligne M. Guillen. "Grâce à cet avis technique, on va pouvoir passer maintenant à une phase vraiment industrielle".Pour le responsable de la maîtrise d'ouvrage chez Plurial Novilia, Jérôme Florentin, "c'est certainement le début d'une longue histoire". "On commence à avoir beaucoup de concurrents", observe-t-il, en mentionnant les Pays-Bas, la Chine, les Etats-Unis, la Russie.Ce type de construction "va avoir tendance à se développer, pas de façon fulgurante dans les prochains mois, mais sur des constructions mixtes" avec "des murs imprimés associés à des modes constructifs classiques", estime-t-il.De son côté, le fabricant de machines Constructions-3D, basé à Valenciennes, vient de réaliser son premier bâtiment en impression 3D béton pour son futur siège.Antoine Motte, fondateur et dirigeant de Constructions-3D, est confiant sur les perspectives de cette technologie, citant une étude du cabinet SmarTech en 2018, qui prévoit pour 2027 un chiffre d'affaires mondial de 20 milliards de dollars pour l'impression 3D dans la construction, dont 4 milliards pour les fabricants de matériels."Un quart de l'humanité est mal logée aujourd'hui, et donc si on peut, par la technologie, apporter une machine qui va construire une maison par jour (...) on se dit qu'avec un million de machines, on peut déjà juguler la croissance du mal logement, et deux millions de machines résoudront le problème", fait valoir Antoine Motte.Améliorer "l'imprimabilité"Mais il reste encore des étapes à franchir, reconnaît le patron de Constructions-3D. "Ces machines pourront apporter des solutions quand on aura réussi à imprimer des 'encres' locales, réalisées à partir de l'argile", explique-t-il.Reste ensuite à former les futurs travailleurs du bâtiment à cette nouvelle technologie."Demain, pour faire fonctionner ces machines, l'opérateur idéal est quelqu'un qui aura un peu de compétences en numérique, qui connaîtra les contraintes d'un chantier de bâtiment et qui sera un petit peu mécanicien", décrit Didier Malbranque, co-fondateur de Constructions-3D.La start-up valenciennoise a mis au point une petite machine, plutôt destinée à la formation, qui est installée dans une douzaine de lycées professionnels ou écoles du bâtiment des Hauts-de-France.Cette nouvelle technologie intéresse au premier chef les groupes cimentiers, qui fournissent la matière première."On est encore en phase de recherche, mais on évolue vers les premiers chantiers, les premières réalisations", assure Olivier Martinage, ingénieur R&D du groupe Vicat, partenaire de XTreeE dans le projet Viliaprint.La recherche porte notamment sur "l'imprimabilité" du béton pour "améliorer les performances, les vitesses d'impression, le rendu esthétique", explique-t-il."C'est une technologie en devenir", confirme Yves Baroulier, directeur Grands Projets de LafargeHolcim. "L'impression 3D va nous permettre (...) une plus grande sobriété: moins de matériau et bas carbone".LafargeHolcim collabore avec XtreeE sur la construction en impression 3D d'ici 2023 d'une passerelle de 40 mètres sur le site des futurs Jeux olympiques de Paris 2024 en Seine-Saint-Denis.
Il y a 4 ans et 129 jours

L'Etat s'engage pour les travaux de modernisation de la ligne Paris-Toulouse

FERROVIAIRE. Très attendus, le chantier de modernisation de la ligne Paris-Orléans-Limoges-Toulouse, aussi connue sous l'acronyme POLT, doivent permettre d'améliorer le temps de trajet.
Il y a 4 ans et 129 jours

En Seine-Saint-Denis, le front anti-JO se mobilise

CONTESTATION. Au parc de la Courneuve, poumon vert de la Seine-Saint-Denis, le front anti-JO se mobilise contre les projets d'aménagement des Jeux olympiques de Paris 2024, "une aberration écologique", selon eux, qui se font au détriment du département le plus pauvre de France.
Il y a 4 ans et 130 jours

Pour atteindre les objectifs de la PPE, il ne faut pas entraver le développement de la géothermie

Le SNCU, syndicat des opérateurs de réseaux de chaleur et de froid, membre de la FEDENE, s'associe à l'ADEME et au Syndicat des Énergies Renouvelables (SER) pour rappeler que la grande majorité des projets de géothermie profonde est réalisée dans les bassins sédimentaires et n'a jamais présenté de risque de sismicité induite. Il réaffirme les bénéfices et les perspectives prometteuses offertes par la géothermie pour avancer résolument dans la transition énergétique. Un forage spécifique en contexte failléLe projet alsacien mené à Vedenheim reposait sur une opération en contexte « faillé », à plus de 4 000 mètres de profondeur. Dans ces failles, la circulation de l'eau en profondeur modifie l'équilibre mécanique des roches. Cette modification peut entrainer un risque sismique d'intensité variable, principalement dans les phases de test sur les forages et de mise en route. Les opérations de géothermie sont strictement encadrées par les autorités et réalisées en concertation avec l'ensemble des acteurs afin de pouvoir agir et informer rapidement en cas de problème. Le projet ECOGI, centrale géothermique dans un contexte similaire mais moins profond (2 500 m) fonctionne d'ailleurs depuis plusieurs années sans présenter aucune difficulté.La grande majorité des projets de géothermie profonde en France métropolitaine sont exploités dans un contexte différent, en bassin sédimentaire, à des profondeurs allant jusqu'à 2 500 mètres, comme par exemple dans les bassins parisien et aquitain. Cette technologie consiste à exploiter le potentiel thermique de couches géologiques homogènes et stables mécaniquement. S'appuyant sur une expérience éprouvée pendant plus de 50 ans, ce type d'intervention n'a jamais fait apparaitre le moindre risque de micro-sismicité, tant lors de la réalisation que de l'exploitation.Énergie d'avenir, la géothermie est indispensable pour atteindre les objectifs de la PPEVertueuse, locale et durable, parfaitement adaptée aux milieux urbains denses, l'énergie géothermique puisée dans les couches géologiques demeure indispensable pour accélérer l'accroissement de la chaleur renouvelable dans le mix énergétique français. La Programmation Pluriannuelle de l'Énergie fixe à la filière un objectif ambitieux à atteindre d'ici 2028 : + 3,6 TWh de chaleur issue de la géothermie profonde. Cette trajectoire reste accessible en se concentrant sur la valorisation des ressources sédimentaires du territoire.Des régions fortement urbanisées disposent à la fois de ressources géothermales abondantes, telles que le bassin parisien (avec l'aquifère du Dogger notamment) et le bassin aquitain, et une forte demande très localisée en chauffage et eau chaude sanitaire. Les projets géothermiques en cours sur le territoire sont sûrs et doivent être poursuivis et encouragés. Pour la filière, rappeler ces distinctions techniques est crucial pour ne pas entraver le développement de la géothermie en France ni amoindrir ses bénéfices. En s'appuyant sur l'indispensable apport de cette technologie d'avenir, la filière reste optimiste sur l'objectif fixé par la PPE.« La filière entend réaffirmer l'absence de risque des projets géothermiques menés par les adhérents du SNCU. Nous sommes convaincus que la géothermie demeure une technologie résolument tournée vers l'avenir et très prometteuse, associant performances énergétique et économique. Associée au développement des réseaux de chaleur et de froid, la géothermie offre un potentiel considérable pour produire une chaleur renouvelable et responsable et ainsi atteindre les objectifs de la PPE en temps et en heure ».Aurélie Lehericy, présidente du SNCU« Plus de 70 opérations de géothermie profonde en France chauffent depuis plus de 50 ans plus d'un million d'habitants, essentiellement en Région parisienne et en Aquitaine et valorisent 1,8 TWh par an d'énergie renouvelable1. Le développement de la filière géothermique garde donc toute sa place pour l'atteinte des objectifs de chaleur renouvelable fixés par la PPE. La géothermie en contexte faillé peut permettre de développer cette ressource renouvelable et décarbonée ailleurs que là où elle est traditionnellement implantée, mais pour cela il est impératif que les porteurs de projet démontrent au préalable la maîtrise des risques de sismicité induite. »Fabrice Boissier, Directeur général délégué de l'ADEME« L'évènement sismique intervenu en Alsace doit être rigoureusement analysé pour en tirer les enseignements. Mais il est aussi essentiel de comprendre qu'il concerne une filière totalement distincte des opérations de géothermie de surface, et de géothermie profonde sur des nappes aquifères situées dans des couches géologiques sédimentaires, qui alimentent en chaleur et en froid des milliers d'habitants sur une grande partie du territoire, depuis des décennies. La production de chaleur renouvelable est un enjeu essentiel face au défi climatique, et la géothermie est pour cela un atout majeur dont notre pays doit continuer à développer le potentiel - en travaillant par exemple, pour la géothermie profonde de haute température, sur des profondeurs plus réduites offrant des températures plus basses et qui permettent de produire de grandes quantités de chaleur, comme c'est le cas de l'installation de Rittershoffen. »Jean-Louis BAL, Président du SER1 Soit l'équivalent de la consommation de chauffage annuelle de 180 000 logements
Il y a 4 ans et 130 jours

Les cinq réalisations marquantes de Paris Habitat en 2020

EN IMAGES. Retour sur quelques livraisons emblématiques de l'office public de l'habitat de la capitale, de la Samaritaine à la caserne de Reuilly, en passant par l'opération de renouvellement urbain de la cité Blanche.
Il y a 4 ans et 131 jours

Ouverture d'une gare routière multimodale en Ile-de-France près de l'A10

Situé juste à la sortie "Dourdan" de l'autoroute, à 40 km environ au sud-ouest de Paris, le nouvel équipement comprendra notamment un parking de 255 places, un abri pour garer son vélo (et des casiers pour les casques) et une gare routière avec salle d'attente chauffée, espace de travail, étal pour des agriculteurs locaux et bibliothèque solidaire.Les voyageurs pourront laisser leur voiture ou leur vélo pour emprunter notamment les cars express menant aux gares RER de Massy-Palaiseau et Orsay (Essonne), qui disposent de voies réservées sur l'autoroute sur une partie du trajet.Le "parc multimodal" a coûté 6 millions d'euros, a précisé Vinci Autoroutes dans un communiqué.
Il y a 4 ans et 131 jours

Ile de France : le prolongement de la ligne 14 à Saint-Ouen inauguré

Le Premier ministre Jean Castex va inaugurer un prolongement à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) de la ligne 14 du métro parisien, destiné à soulager la  ligne 13 et à desservir des quartiers en plein essor.
Il y a 4 ans et 131 jours

La Société du Grand Paris lance un nouveau marché de conception-réalisation

GRAND PARIS EXPRESS. Le maître d'ouvrage a envoyé le dossier de consultation des entreprises aux groupements présélectionnés. C'est le deuxième marché de ce type lancé par la Société du Grand Paris, sur les 4 prévus, mais aussi le plus important en nombre d'ouvrages jamais passé sur ce grand projet.
Il y a 4 ans et 131 jours

RE2020 : La filière bois lancera son "Plan ambition Bois 2030" début 2021

FILIÈRE. À l'occasion de l'anniversaire des Accords de Paris et alors que les premières orientations de la RE2020 sont désormais connues, le Comité stratégique de la filière bois annonce le lancement en début d'année 2021 d'un "Plan ambition Bois 2030", afin de montrer que le bois sera pleinement au rendez-vous de la RE2020.
Il y a 4 ans et 134 jours

Intermat Paris 2021 annulé, la prochaine édition se tiendra en avril 2024

Cette décision difficile s'est avérée aujourd'hui inévitable, au vu d'un contexte sanitaire toujours incertain au premier semestre 2021, qui n'aurait pas permis de tenir l'événement en toute sérénité en avril prochain. Elle est le fruit d'une concertation des professionnels réunis au sein du Conseil d'administration d'INTERMAT.Si de nombreux exposants français et internationaux, fidèles au rendez-vous de référence de la construction et des infrastructures, avaient déjà confirmé leur participation à l'édition 2021, les contraintes restaient en avril encore trop pénalisantes pour organiser le salon d'une manière optimale.Le prochain INTERMAT Paris se tiendra en avril 2024, avec une ambition toujours aussi forte de représenter une vitrine internationale et prospective de l'innovation pour conquérir les marchés de construction de demain.
Il y a 4 ans et 135 jours

Interphone avec ou sans fil : ICADE choisit URMET

Urmet France a signé un partenariat avec le promoteur immobilier Icade pour la fourniture d’interphones pour les trois prochaines années. Le contrat de partenariat référence une liste de produits de fabrication française : les plaques de rue, claviers codés connectés, kits de gestion à distance (modem), boutons poussoirs, badges, télécommandes et moniteurs vidéo. Urmet recommande aussi les partenaires installateurs Urmet Premium partout en France pour mettre en œuvre les solutions sur les projets Icade. La Direction Technique et Achats d’Icade Promotion explique l’importance d’un tel contrat : « Nous tendons vers la simplification de la conception et l’anticipation des usages de demain. L’harmonisation des choix de matériaux et d’équipements des halls et des parties communes des programmes de logement s’inscrivent dans cette démarche. La proposition d’Urmet France répond au triptyque du concept « hall by Icade » : être fonctionnel, sensoriel et connecté avec un niveau de prestation évolutif selon la gamme choisie pour chaque programme. Ce que nous avons retenu dans l’offre d’Urmet c’est l’ouverture et l’évolutivité de la solution Tel2Voice afin de pouvoir répondre à des usages d’aujourd’hui, mais aussi à ceux de demain avec un système pouvant s’interfacer avec nos smartphones si besoin ». Cyril Roumier, responsable prescription nationale pour Urmet France ajoute : « nous avons pu nouer une relation privilégiée avec lcade qui perçoit tout l’intérêt de notre interphone hybride. Dans le logement, les résidents peuvent, suivant leur mode de vie, répondre avec un poste audio ou vidéo ou avec un smartphone. Notre offre Tel2Voice préserve le choix de chacun, sans contraindre au seul smartphone qui n’est parfois pas adapté, faute de réseau suffisant par exemple, ou pour les jeunes enfants, les amis, les locataires fréquents. Grâce à la plateforme en ligne Visiosoftweb, le gestionnaire peut entre autres administrer en temps réel et à distance, ses contrôles d’accès, changer des codes claviers ou communiquer une information sur l’écran de la platine. Ce gain de temps génère moins de charges pour la copropriété. Urmet rejoint la vision d’Icade d’un logement durable et connecté qui est à l’écoute des besoins des résidents. » Icade est un opérateur immobilier intégré, qui conçoit des produits et des services immobiliers. Société cotée (SIIC) sur Euronext Paris. Ses actionnaires de référence sont le Groupe Caisse des Dépôts et Crédit Agricole Assurances. C’est à la fois une foncière, un développeur et un promoteur, 6è acteur en France pour plus de 6 000 logements par an et 1er acteur sur le tertiaire, avec 100 000 m2 de surface de bureau par an. Plaçant la RSE et l’innovation au cœur de sa stratégie, Icade est au plus près des acteurs qui font la ville et allie l’investissement en immobilier tertiaire et de santé à la promotion pour contribuer à l’émergence des villes de demain, vertes, intelligentes et responsables.
Il y a 4 ans et 135 jours

La crise sanitaire modifie le programme de concertation du projet d’extension de la zone d’activités des Hauts Reposoirs

Le planning de la Communauté Urbaine Grand Paris Seine & Oise est perturbé par la Covid-19.
Il y a 4 ans et 135 jours

Le nouveau siège de Pernod Ricard consacré meilleur projet d’architecture d’intérieur de l’année par le magazine Interior Design

Cette distinction, l’une des plus prisées de la profession, lui a été attribuée dans le cadre de la 15ème édition des « Best of Year Awards » organisés par le magazine international de référence, Interior Design. Le palmarès 2020 a été dévoilé lors d’une cérémonie digitale par sa rédactrice en chef Cindy Allen, qui n’a pas manqué de faire référence à Paul Ricard et à l’histoire du nom The Island. Le projet était en lice contre deux autres finalistes : le siège de Rockefeller Group situé à New York et le EY Wavespace, centre d’innovation du groupe situé à Anvers.Depuis juillet dernier, The Island, rappelant les îles du Sud de la France dont le Groupeest originaire, incarne la transformation mise en œuvre par Pernod Ricard depuis quelquesannées sous la houlette de son Président-Directeur général Alexandre Ricard. L’aménagement intérieur des 18 000 mètres carrés du bâtiment hyperconnecté et éco-responsable situé en plein cœur de Paris est l’œuvre de l’agence Saguez & Partners. Après deux années d’élaboration, cette dernière a conçu pour Pernod Ricard un projet reflétant sa vision centrée sur le collaborateur avec un seul leitmotiv : concevoir un espace favorisant au maximum les interactions entre chacun des 900 collaborateurs. Convaincus que 80% des idées innovantes naissent de ces échanges interpersonnels, informels comme l’a démontré Thomas Allen, chercheur au MIT, Saguez & Partners a créé un espace de travail favorisant les rencontres, les collaborations, les échanges d’expériences et les synergies.Pour le fondateur de l’agence, Olivier Saguez, « Ce prix consacre un projet particulièrement emblématique. Rarement une entreprise aura autant cherché à briser les silos et à favoriser les interactions. Nous sommes très fiers d’avoir été les designers d’un projet humainement si ambitieux ».Pour Olivier Cavil, Directeur de la Communication de Pernod Ricard qui fut en charge de l’ensemble du projet The Island, « Ce nouveau siège est sans doute le plus beau symbole de la transformation de notre Groupe. Ce n’est pas seulement un lieu fonctionnel, c’est un lieu chaleureux et esthétique, un lieu qui fait vivre au quotidien notre culture de la convivialité ; de celle qui replace au cœur l’importance des échanges physiques informels à l’heure de la généralisation des réunions virtuelles et du télétravail. Quoi de mieux qu’une île pour rêver disait Paul Ricard ».Le « Best of Year Award » de Interior Design est le deuxième prix international remportépar The Island qui avait été désigné en septembre dernier comme meilleur projet de bureaulors des MIPIM Awards 2020.
Il y a 4 ans et 135 jours

Le bâtiment au défi de réduire ses émissions de CO² plus rapidement tout en préservant ses emplois

"Les émissions de CO² du secteur du bâtiment ont atteint un niveau jamais vu", a prévenu mercredi l'ONU dans un rapport annuel sur le sujet, après un constat semblable un an plus tôt.Cette étude concerne à la fois l'énergie utilisée lors de la construction de bâtiments et celle consommée par ceux qui existent déjà. Au total, les Nations unies estiment que le secteur a émis en 2019 dix milliards de tonnes de CO².Ce dernier est le principal gaz à effet de serre, dont la présence dans l'atmosphère contribue au réchauffement climatique.Plusieurs pays, dont les membres de l'Union européenne, se sont engagés à atteindre d'ici à 2050 la "neutralité carbone", c'est-à-dire ne pas émettre plus de CO² qu'ils n'en consomment, au terme d'un accord international signé voici cinq ans, celui de Paris.Mais, à son rythme actuel de consommation d'énergie, le monde du bâtiment en sera loin. L'ONU estime qu'il devrait bien plus accélérer ses efforts, même si ces derniers sont déjà notables."En 2019, pour la première fois depuis trois ans, les investissements ont augmenté en matière de bâtiments à faible consommation d'énergie", remarque l'ONU, bien qu'ils ne représentent toujours qu'une part marginale.Dans ce contexte, ces derniers mois, plusieurs géants du secteur se sont engagés à moins polluer lors de la décennie qui s'ouvre.En début d'année, c'était Vinci qui promettait de réduire ses émissions de CO² de 40% d'ici à 2030, promettant d'y consacrer plusieurs centaines de millions d'euros d'investissement.Ce mercredi, son grand concurrent, Bouygues, annonçait des objectifs proches. A la même échéance, il promet de réduire de 30% les émissions directes de sa filiale de travaux routiers et ferroviaires, Colas, et de 40% celles de ses autres activités de construction.Vitrine dorée"Les choses ne se mettent pas suffisamment vite en place donc nous considérons qu'il est de la responsabilité des acteurs économiques de proposer un certain nombre de mesures pour restreindre notre empreinte CO²", a expliqué Olivier Roussat, numéro deux du groupe, lors d'une conférence.Les ambitions du groupe passent par exemple par l'utilisation accrue de béton à la fabrication moins polluante. Généralement, il faut utiliser du ciment produit en faisant chauffer des matériaux à des températures extrêmement hautes, donc en recourant à beaucoup de combustible.Mais Bouygues et Vinci ne constituent qu'une vitrine du secteur. Derrière ces deux groupes, qui font partie du CAC 40 et réalisent des dizaines de milliards d'euros de chiffre d'affaires, l'univers du bâtiment est éclaté en une myriade d'acteurs plus ou moins gros.Ils manifestent souvent moins d'enthousiasme à se fixer des objectifs environnementaux, qui reviennent à s'imposer des contraintes coûteuses dans un univers où les marges sont rarement florissantes.En France, le bâtiment grogne notamment face à l'introduction l'an prochain de nouvelles normes sur les bâtiments neufs.Détaillée fin novembre, cette réglementation, dite RE 2020, vise à faire baisser d'au moins 30% les émissions de CO² de tout le secteur en dix ans."Les objectifs et les délais annoncés (...) semblent irréalistes, tant sur le plan économique que sur la capacité de la filière à s'adapter à ces changements radicaux", a réagi la Fédération française du bâtiment (FFB), principale organisation du secteur.Le gouvernement lui-même reconnaît que ces nouvelles normes vont rendre plus chère la construction de bâtiments, un choix que le secteur juge particulièrement inadéquat en pleine crise économique née de la pandémie."Ce sont des dizaines de milliers d'emplois mis en danger inutilement, dans l'industrie et le BTP", a estimé Olivier Salleron, président de la FFB, qui estime aussi qu'un ménage pauvre aura de plus en plus de mal à se payer la construction d'un logement.
Il y a 4 ans et 135 jours

Intermat Paris 2021 est annulé

Intermat et Woc Europe 2021 ont été annulés. [ACPresse] Les organisateurs d’Intermat et du World of Concrete Europe viennent d’annoncer l’annulation de ce double rendez-vous. Une décision qui fait suite aux nombreuses incertitudes liées à la pandémie de la Covid-19, qui risquent fort de perdurer au premier semestre 2021… Rendez-vous est d’ores et déjà pris pour la prochaine édition qui se tiendra en avril 2024. Ceci, avec une ambition toujours aussi forte de représenter une vitrine internationale et prospective de l’innovation pour conquérir les marchés de construction de demain. « Cette décision difficile s’est avérée aujourd’hui inévitable, au vu d’un contexte sanitaire toujours incertain au premier semestre 2021 », concèdent les organisateurs. En effet, il n’aurait sans doute pas possible de tenir l’événement en toute sérénité en avril prochain. Cette annulation est le fruit d’une concertation des professionnels réunis au sein du Conseil d’administration d’Intermat.
Il y a 4 ans et 135 jours

Mobilisation d'un front anti-JO en Seine-Saint-Denis

A l'appel de plusieurs associations et collectifs citoyens, une centaine de personnes se sont rassemblées il y a quelques jours sur l'Aire des Vents à Dugny pour "sauver" cette parcelle du parc départemental de Georges-Valbon, qui doit accueillir le village des médias puis sera transformé en écoquartier de 1.300 logements et commerces.Dans cette grande pelouse de 20 hectares qui accueille traditionnellement la Fête de l'Huma, des barrières ont déjà été installées pour marquer la zone de construction. "Regardez autour de vous, des trottinettes, des couples qui se promènent, des joggeurs et des enfants", décrit Youcef Tatem, du collectif "Notre parc n'est pas à vendre"."C'est un parc populaire, de cohésion sociale, pourquoi nous l'enlever ?", s'interroge ce retraité de 74 ans qui s'est battu en 2015 contre le projet de Central Park à la française de 2.000 immeubles en lisière du parc labellisé Natura 2000."Pourquoi bétonniser cet endroit ? On manque d'espaces verts dans le département, c'est une aberration écologique", estime Christian Bernard, originaire de Bondy qui vient tout juste d'achever sa marche nordique dominicale.Pour Anne Guyonnet, il ne s'agit pas d'"être contre les JO qui vont permettre d'obtenir des infrastructures en Seine-Saint-Denis" mais de s'interroger sur l'impact environnemental qui est "la grosse cata", estime cette cheffe de projet artistique de 50 ans."Les JO n'est plus la fête populaire où on regardait les exploits de Carl Lewis à la TV", considère cette habitante du Blanc-Mesnil.Entre distribution de soupe chaude et tracts, France Boulay confie qu'il avait l'habitude de promener ses enfants sur l'Aire des Vents. "Je trouve dommage de vendre un bien public à des promoteurs immobiliers", regrette-t-il.Pour cet ancien agent de maintenance, "il suffit d'héberger les journalistes dans les hôtels du Bourget comme c'est le cas lors du salon international de l'aéronautique"."Mépris"Le rassemblement à Dugny s'inscrit dans le "Toxic tour" organisé par le comité citoyen de vigilance des JO-2024.Il s'agit d'une série de visites guidées sur les sites olympiques de Seine-Saint-Denis, afin de montrer "les impacts concrets en termes de pollution, de nuisances et d'endettement public qu'auront les décisions politiques des JO-2024", explique Marianna Kontos.Sous la banderole: "JO-Paris 2024, intox et pillage de la Seine-Saint-Denis", le comité de vigilance a organisé une première étape mi-novembre dans les rues de Saint-Ouen et Saint-Denis.Le front anti-JO a fait une halte devant le chantier du village olympiqueet le quartier Pleyel.Depuis plus d'un an, des habitants et des parents d'élèves de ce quartier mènent un combat judiciaire contre un projet d'aménagement d'échangeurs autoroutiers qui doit desservir le village des athlètes.Une bretelle d'entrée et de sortie d'autoroute reliant l'A1 et l'A86 va être créée à proximité d'un groupe scolaire fréquenté par 700 enfants."On asphyxie des enfants au nom des JO et au détriment du département. On se fiche de nous parce qu'on est pauvres", a lancé Hamid Ouidir, parent d'élève à la FCPE 93, lors d'une prise de parole."On nous méprise, la Solideo (société de livraison des ouvrages olympiques) et le département ne nous parlent pas", se désole Benjamin Darras, de l'association "Vivre à Pleyel" qui avec 14 autres requérants ont déposé un recours devant le Conseil d'Etat, plus haute juridiction administrative en France.Ils avaient remporté une première bataille avec la suspension des travaux mais la Cour administrative d'appel de Paris a donné en octobre le feu vert au démarrage des travaux.A Dugny, parmi les indignés des JO de Paris 2024, figure aussi le collectif de la défense des jardins ouvriers d'Aubervilliers, réuni autour de la bannière: "On veut des potirons, pas du béton !"Un hectare de leur potager, situé dans une zone très urbanisée, va disparaître au profit d'un centre aquatique d'entraînement et d'une gare du Grand Paris.L'établissement public Grand Paris Aménagement, propriétaire des jardins, a promis "une compensation"."Tous ces projets d'aménagement se font au détriment du 93, on se demande ce que l'on va gagner avec les JO", déclare amer Hugo Coldeboeuf, du collectif de la défense des jardins ouvriers.
Il y a 4 ans et 136 jours

Notre-Dame de Paris : accord de principe pour une reconstruction avec du bois et du plomb

RESTAURATION. Suite à la question écrite d'un député, le ministère de la Culture a indiqué que la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture avait approuvé le 9 juillet 2020 le rétablissement de l'architecture de Viollet-le-Duc pour le chantier de réhabilitation de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Autrement dit, un feu vert de principe a été donné à une éventuelle ré-utilisation du chêne pour la charpente, et du plomb pour la couverture.
Il y a 4 ans et 136 jours

Grand Paris Express : le marché de construction du centre d'exploitation de Vitry attribué

CONTRAT. La Société du Grand Paris a choisi le groupement qui réalisera le génie civil et l'aménagement tous corps d'état de ce centre d'exploitation situé sur la ligne 15 Sud. Et ce sont les entreprises Legendre construction, Colas et Cosson qui s'en chargeront.
Il y a 4 ans et 136 jours

Vinci gagne un contrat à presque 200 millions d'euros sur le métro du Grand Paris

Vinci "remporte le contrat de réalisation du viaduc de la ligne 18 du Grand Paris Express", dit le groupe dans un communiqué.Le contrat représente un montant total de 193 millions d'euros que Vinci partagera avec d'autres entreprises au sein d'un groupement mené par le géant des chantiers.Le chantier durera deux ans et demi et visera à construire un viaduc de presque sept kilomètres vers la gare de Massy-Palaiseau (Essonne), à une quinzaine de kilomètres au sud de Paris.
Il y a 4 ans et 136 jours

Un cube de bois habillé de verre rouge

Le nouveau bâtiment abritant le poste de sécurité de l’hôpital de Montreuil en Seine-Saint-Denis a été construit en bois et ses façades habillées d’un bardage ventilé en verre émaillé StoVentec Glass rouge éclatant. L’option de construire en filière sèche a été privilégiée afin de réduire la durée d’intervention sur le site ainsi que les nuisances de chantier. Le choix s’est porté sur une ossature bois à faible empreinte carbone en panneaux de bois en CLT. Dès la conception, Elisa Bellec, architecte associée de l’agence Truelle qui a obtenu le chantier s’est adressé à Sto. Le bardage ventilé StoVentec Glass à fixations invisibles est constitué de panneaux de verre émaillé de 6 mm d’épaisseur collés sur une plaque en mortier de granulats composé de verre recyclé a été choisi. Pour animer la forme simple du bâtiment, l’architecte a choisi dans la gamme de couleurs proposée par Sto trois teintes de rouges (RAL 3016, 3020, 3013) et un orange (RAL 2000) pour le portique. Les panneaux de tailles et de couleurs différentes ont été répartis de façon aléatoire sur la façade. Au total, ce sont 227 panneaux tous différents qui seront livrés par Sto. Le titulaire du lot Bardage est Socateb, une entreprise expérimentée qui connaît bien les produits Sto. Une chance pour cette première mise en oeuvre de StoVentec Glass sur un support en bois car l’Avis Technique du système n’admettait alors que des supports en maçonnerie ou en béton banché. « Pour adapter la mise en oeuvre du StoVentec Glass sur une structure bois CLT, nous avons échangé avec le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), le bureau de contrôle et le service technique de Sto », explique Antoine Monnot, responsable du département bardage-vêture de Socateb. La technique mise au point sur ce chantier est désormais intégrée dans l’Avis Technique du système. A partir d’un échafaudage tubulaire autostable, qui ne présente aucune fixation sur la structure bois, est d’abord mis en place un pare-pluie qui enveloppe tout le bâtiment. Il évite la migration de l’humidité dans le bois. Des chevrons de 188 mm x 75 mm sont ensuite fixés verticalement avec un entraxe de 60 cm à l’aide de vis traversantes. « Ces dimensions imposantes sont nécessaires pour respecter une lame d’air de 2 cm », justifie Antoine Monnot. En effet, des panneaux de laine de verre de 16 cm d’épaisseur sont glissés entre ces montants et maintenus à l’aide de griffes Dentifix (Etanco), évitant ainsi de perforer le pare-pluie. La face avant des chevrons est protégée par une bande EPDM. Les rails en aluminium supports du parement peuvent alors être vissés sur la structure verticale en chevrons, selon l’entraxe défini par Sto en fonction des spécificités du chantier. Il reste enfin à agrafer les 227 panneaux de verre émaillé en respectant scrupuleusement le calepinage et en réservant des joints ouverts de 8 mm entre panneaux. Après le réglage de l’horizontalité du rail support, chaque panneau est ajusté par des vis de réglage et est bloqué à l’aide de goupilles. « Le plus compliqué a été le réglage des panneaux dans le plan, car les montants en bois fixés directement sur l’ossature en OSB ne laissent aucune marge, observe Antoine Monnot. Nous avons dû parfois raboter ou caler pour assurer un alignement parfait. » Les encadrements des fenêtres sont habillés de tôle d’aluminium laquée rouge ou orange, comme les couvertines des acrotères. Les 295 m2 de façade ont été réalisés en un mois par trois compagnons de l’entreprise Socateb. Maître d’ouvrage : Centre Hospitalier Intercommunal André Grégoire Maître d’oeuvre : SCP Truelle Architectes Entreprise générale : Paris Charpente Entreprise façade : Socateb Date du chantier : 2016
Il y a 4 ans et 136 jours

Bras de fer à Rouen sur un coûteux projet d'autoroute

"C'est une infrastructure du passé", a tonné lundi soir le vice-président EELV de la Métropole Jean-Michel Bérégovoy. "Ce contournement est très attendu par les habitants et les entreprises", a rétorqué Laurent Bonnaterre élu de l'opposition.Le contournement Est de Rouen, d'une longueur de 41,5 km, n'était pas à l'ordre du jour du conseil métropolitain lundi soir, mais ce fut le sujet le plus abordé.Car le nouveau président PS de l'agglomération Nicolas Mayer-Rossignol, 43 ans, s'est prononcé pendant la campagne électorale contre ce projet que son prédécesseur s'était engagé à financer à hauteur de 66 millions d'euros."Je n'ai pas changé d'avis" depuis, a confirmé lundi, pour la première fois depuis son élection, celui qui est aussi le nouveau maire de Rouen.Le jeune fabiusien s'était prononcé pour ce projet lorsqu'il présidait l'ancienne région de Haute-Normandie."Je fais partie de celles et ceux qui avaient sous-estimé l'état de notre planète", a expliqué devant le conseil M. Mayer-Rossignol, évoquant un "état d'urgence écologique".La Région Normandie (centriste) a de son côté confirmé à l'AFP qu'elle maintenait son financement à hauteur de 157 millions. Et le président LREM de la Seine-maritime s'est dit "à titre personnel" favorable au maintien du financement départemental, dans un communiqué.Le principal contributeur, l'État, a pour sa part fait savoir qu'il n'imposerait pas contre la volonté locale ce projet lancé il y a plus de 40 ans.Le préfet vient de demander par courrier aux trois collectivités de "solliciter la confirmation par délibération avant fin février de leur engagement financier", a indiqué lundi à l'AFP son service de presse. "Projet écologique"Les élus de la majorité PS ont-ils comme leur nouveau président, changé d'avis sur le sujet? Nicolas Mayer-Rossignol ne semble pas pressé de soumettre la question au vote. "Ce n'est pas une obligation réglementaire", a estimé le socialiste devant la presse."Le débat aura lieu", a toutefois promis l'ingénieur des mines.Il est visiblement déjà relancé. "Quelques élus veulent remettre en cause ce projet. Avec nous, réaffirmez votre soutien", martelait chaque jour du 7 au 12 décembre une pleine page de publicité achetée par la Chambre de commerce et d'industrie (CCI) de la Métropole, dans le quotidien régional Paris-Normandie.Pour la CCI, le contournement est "un projet écologique" qui détournera les "milliers de camions" qui "n'ont d'autres solutions que de traverser le centre ville de Rouen".Et les tribunes sur le sujet se sont multipliées dans la presse locale depuis que le Conseil d'État a validé l'utilité publique du projet en novembre."La France ne tenant déjà pas ses engagements de réduction d'émission de gaz à effet de serre, faut-il continuer à augmenter les tonnes de CO2 dans l'atmosphère? Le doute est plus que permis et remet en cause les 66 millions que notre collectivité devait consacrer à cette autoroute à péages", a lancé le PCF Stéphane Barré lors du conseil lundi soir.Le projet induit notamment l'émission de 50.000 tonnes de CO2 supplémentaire par an, a rappelé le Conseil d'État, soit 50 jours d'émission d'une zone de 700.000 habitants."Il peut y avoir des compensations pour limiter cet impact", a estimé Laurent Bonnaterre qui ne voit pas comment créer la zone à faible émission dont l'État exige la création à Rouen, sans ce contournement Est.Pour M. Mayer-Rossignol, l'attractivité économique n'est par ailleurs pas un argument en faveur du contournement. Les Néerlandais et les Belges "poussent pour un canal Seine-Nord, pas pour une grande autoroute entre Amsterdam et Paris", a-t-il dit au conseil."Une chose est sûre: ça coûte de l'argent (...) Si on met l'argent là, on peut pas le mettre ailleurs", a-t-il ajouté soulignant les investissements que nécessiteront par exemple les aides au remplacement des véhicules polluants.
Il y a 4 ans et 136 jours

Seulement 12,5% de trafic en novembre dans les aéroports parisiens par rapport à l'an dernier

A Paris-Charles-de-Gaulle (CDG), seuls les terminaux 2E (halls K et L) et 2F sont actuellement ouverts afin d'accueillir l'ensemble du trafic commercial de passagers. Le terminal 2AC, fermé depuis le 1er décembre, rouvrira à partir du 17 décembre, selon un communiqué du groupe.À Paris-Orly, Orly 3 et Orly 4 sont ouverts au trafic passagers. Orly 4, fermé depuis le 19 novembre, est de nouveau ouvert depuis le 10 décembre. Orly 1B, fermé depuis le 11 novembre, rouvrira à partir du 16 décembre, avant les fêtes de fin d'année.Au niveau du Groupe ADP, qui gère plus d'une vingtaine d'aéroports dans le monde à travers notamment les groupes turc TAV Airports -dont il détient 46,38% des parts- et indien GMR Airports -dont il détient 49% du capital depuis le 1er mars- le trafic est en baisse de 58,6%.A CDG et à Orly, le trafic international (hors Europe) est en baisse de 85,4%, les régions Asie-Pacifique et Amérique du Nord étant particulièrement touchées avec des trafics en recul respectivement de 94,8% et 93,1%. Les destinations Outre-mer résistent le mieux avec une baisse de 68,6%.Le trafic Europe (hors France) est en diminution de 90,8% et le trafic France de 84,1%.Depuis le début de l'année, le trafic du Groupe ADP est en baisse de 61% avec un total de 88,2 millions de passagers accueillis.Le secteur du transport aérien est l'un des plus affecté par la crise sanitaire et les restrictions de circulation et fermetures de frontières qui l'accompagnent.Le point bas a été atteint en avril avec un trafic quasi à l'arrêt au niveau mondial.Il s'est légèrement redressé cet été avant de s'effriter à nouveau depuis septembre et l'arrivée de la deuxième vague de Covid-19.
Il y a 4 ans et 136 jours

Dans le 11e arrondissement de Paris, des logements sociaux... en pierre massive

RÉALISATION. C'est le choix de la pierre massive qui a été fait pour un programme de logements sociaux implanté rue Oberkampf, dans le 11e arrondissement de Paris. Signé par l'agence d'architectes Barrault Pressacco, le projet a cherché à mieux considérer les ressources locales et à moderniser les traditions et ouvrages anciens, pour au final mieux s'intégrer au territoire de la métropole du Grand Paris.
Il y a 4 ans et 137 jours

Coup double pour Vinci sur la ligne 18 du Grand Paris Express

CONTRAT. La Société du Grand Paris a attribué le 2e lot de génie civil pour la ligne 18 du futur réseau de transports francilien. Comme pour le 1er, il a été confié au groupe Vinci, mais avec un groupement différent.
Il y a 4 ans et 137 jours

Comment Bouygues compte réduire son empreinte carbone et convaincre ses clients

STRATÉGIE BAS CARBONE. Le groupe avait promis de présenter une feuille de route pour réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 30 à 50% d'ici à 2030, alignés avec les objectifs de l'Accord de Paris, avant fin 2020. Celle-ci est présentée ce 16 décembre 2020, lors d'un rendez-vous investisseurs virtuel.
Il y a 4 ans et 137 jours

Spie batignolles en 3ème position des entreprises du BTP les plus performantes en matière de RSE

Ce classement - qui concernait 2.000 entreprises de plus de 500 salariés - a été établi en interrogeant 5.000 personnes sur leur appréciation de la RSE dans ces entreprises et en analysant une vingtaine d’indicateurs clefs factuels.Spie batignolles y figure en 145ème position tout secteur confondu et en 3ème position des acteurs du BTP, avec la meilleure note sur le critère « Environnement ». Le résultat d’une politique RSE volontariste et ambitieuse, inscrite au cœur de son plan stratégique, dans laquelle Spie batignolles est engagé depuis plusieurs années.En matière d’environnement, l’économie circulaire est un des piliers de cette politique.Dans ce domaine, plusieurs actions sont menées de front : prise en compte dès l’amont de l’éco-conception en privilégiant les éco-matériaux, utilisation de matériaux recyclables et recyclés, mise en place du réemploi, amélioration du processus de valorisation des déchets ou de l’impact de la production sur le bilan carbone.83 % de taux de valorisation en 2019S’inscrire dans démarche d’économie circulaire est particulièrement essentiel pour les entreprises du BTP au regard de ce que représente chaque année le poids des déchets issus des chantiers. Le potentiel de transformation des déchets en ressources pour s’inscrire dans un cercle vertueux est immense. Il suppose l’engagement de toutes les parti-prenantes et la création de véritables filières de recyclage et de transformation.Devant cet enjeu de transition énergétique, l’Union Européenne a instauré une obligation de valorisation des déchets inertes et non dangereux issus du BTP. Un seuil minimum de valorisation de 70 % en 2020 est imposé aux producteurs et possesseurs de ces déchets.Spie batignolles dépasse ce seuil, avec un taux de valorisation à 83 % en 2019, et a naturellement la volonté d’aller encore plus loin.Sur le point particulier du réemploi, le très faible taux évalué à 1 % sur plus de 40 millions de déchets dénombrés sur les chantiers en France témoigne d’une problématique majeure : une grande majorité des déchets du BTP ne peut être réemployée ou réutilisée, d’où la difficulté pour les entreprises de s’inscrire efficacement dans une démarche d’économie circulaire.Il s’avère donc indispensable d’innover en matière d’éco-matériaux (matériaux biosourcés, géo-sourcés...), de plateformes de valorisation et de transformation des déchets.Des actions structurantes pour accélérerEn matière d’Economie Circulaire, qu’il s’agisse de réemploi, de réutilisation, de recyclage de matériaux ou encore de développement d’éco-matériaux, Spie batignolles s’engage dans des actions ambitieuses.« Club du Réemploi » – un partenariat multi-acteurs pour le réemploi des matériaux de chantierLe groupe Spie batignolles, par l’intermédiaire de son entité de promotion Spie batignolles immobilier, s’est associé à d’autres maîtres d’ouvrage dans un programme d’actions ambitieux et sans précédent concernant le réemploi des matériaux de chantier. Baptisé « Club du Réemploi », et comptant plusieurs dizaines d’entreprises, ce groupement a vocation à accélérer la transition vers une politique de réemploi bien plus prégnante. Dans cette perspective, ce Club s’est fixé comme objectif d’atteindre un taux de 15 à 20 % d’ici 2024.Une expérimentation de ce nouveau programme est actuellement menée sur 150 chantiers. Pour ce faire, les responsables de chantier s’appuient sur une plateforme digitale dédiée qui recense les produits adaptés au réemploi dans une logique de standardisation, ainsi que la mise à disposition de nombreuses plateformes de réutilisation de ces matériaux.Plateforme Valosphère – une plateforme d’optimisation des déblaisSpie batignolles malet, experte en infrastructures routières, s’est associée à Arc Environnement pour créer Valosphère en août 2019, une plateforme pour l’optimisation des déblais inertes des chantiers et le développement des écoproduits issus de ce retraitement. Sa conception est née dans le cadre du plan « La Rochelle territoire 0 carbone », lauréat en 2019 de l’appel à projet national Territoires d’innovation. La plateforme traite annuellement 25.000 tonnes de déchets (gravats, végétaux, ...), de leur recueil jusqu’à leur traitement et leur valorisation. Une fois recyclés, ils sont ensuite réintroduits dans des travaux routiers ou autres types de constructions. Valosphère mène également des travaux de recherche sur la partie éco-matériaux.Agreco +®: un béton bitumineux à l’émulsion écologiqueLe pôle Recherche & Développement de Spie batignolles malet a développé de nombreuses solutions d’infrastructures routières particulièrement innovantes, tels que le dispositif Lumiroute® ou encore Agreco +®, un béton bitumineux à l’émulsion composé de 100 % d’agrégats d’enrobés.Agreco+® permet d’utiliser les agrégats d’enrobés du chantier qui sont traités sur place ou à proximité du chantier à l’aide d’une centrale à froid hypermobile. Ce procédé permet de proposer une solution alternative au retraitement en place à l’émulsion. L’organisation d’un unique double fret suffit à approvisionner le chantier, limitant de fait les transports de matériaux.Des initiatives chantier qui se multiplientA l’échelle des chantiers, de nombreuses initiatives concourent elles aussi à valoriser efficacement les déchets.40.000 tonnes de matériaux ré-utilisés pour la construction d’un centre logistiqueLe centre de distribution BARJANE pour Biocoop construit par Spie batignolles immobilier et l’entité Bâtir France, qui répond aux exigences des certifications ISO 14001, HQE® niveau Excellent et BiodiverCity®, a été réalisé avec 43.000 tonnes de matériaux issus de la déconstruction d’une ancienne briqueterie, qui ont été concassés en vue d’être réutilisés dans la nouvelle construction. Ce choix a permis de réduire significativement l’empreinte écologique de ce chantier en évitant, d’une part, la consommation de matériaux d’apport, et d’autre part l’évacuation des gravats, économisant ainsi 150 tonnes équivalent CO².Réduction d’émissions carbone et de déchets grâce à un partenariat avec Cycle-UpL’entité Bâtir France, rattachée à Spie batignolles grand-ouest, a mené une collaboration avec Cycle-Up, 1ère plateforme professionnelle de réemploi des matériaux du bâtiment et de l’immobilier, sur un chantier de réhabilitation à Châteaubriant. Un premier bilan a démontré le succès de cette opération qui a permis de limiter 23.40 tonnes de déchets produits et de réduire les émissions de carbone à hauteur de 62.20 teq CO².Collaboration avec Backacia sur un chantier de réhabilitationL’entité Spie batignolles Outarex a œuvré avec Backacia, la place de marché du réemploi des matériaux et équipements du BTP, sur un chantier de réhabilitation à Coignières.Une façade bâtie à l’aide d’anciennes portes en chêneSur un chantier mêlant réhabilitation et construction neuve mené par Spie batignolles boyer pour la création d’une crèche dans le 20e arrondissement de Paris, et sous l’impulsion de la Direction des Constructions Publiques et de l’Architecture de la Ville de Paris et le concours de l’architecte Jean Bocabeille - BFV Architectes, la transformation de 600 portes palières en chêne massif provenant d’une résidence en rénovation à proximité a permis la conception de la façade en bois de la crèche.Des déchets qui deviennent de véritables ressourcesAutre initiative originale sur certains chantiers de travaux publics du groupe : les équipes coopèrent avec Terra Innova, start-up spécialisée dans la réutilisation des déblais pour la re-fertilisation des terres agricoles situées à proximité d’un chantier.
Il y a 4 ans et 137 jours

Comment Bouygues compte réduire ses émissions de gaz à effet de serre

Bouygues s’était engagé à publier avant la fin de l’année une stratégie climat compatible avec les exigences de l’Accord de Paris, incluant des objectifs mesurables et quantifiables. C'est chose faite avec un objectif de réduction de 40% de ses émissions pour la branche construction d'ici 2030.
Il y a 4 ans et 137 jours

La Ville de Paris et Cemex s'associent pour évacuer les feuilles mortes par la Seine

Habituellement utilisée pour l'approvisionnement en granulats de la capitale ou l'évacuation de déchets du BTP, une barge d'une capacité de 200 m3 a été remplie de feuilles mortes, représentant plus de 100 tonnes, sur le site CEMEX de Bercy. Elle a ensuite été acheminée vers le port de Gennevilliers où les feuilles seront prises en charge et valorisées pour des applications ultérieures. Elles pourront, par exemple, servir de matières secondaires pour d'autres activités comme la création d'espaces verts ou le maraichage.Un aller simple vers GennevilliersCette opération de remplissage s'est déroulée sur un mois, du 9 novembre au 9 décembre, période durant laquelle les camions utilitaires des 5e, 6e, 12e et 13e arrondissements de Paris ont apporté les feuilles sur le site portuaire CEMEX de Bercy. Grâce aux équipements portuaires de l'industriel, les feuilles ont été chargées et entassées dans la barge afin d'optimiser le volume disponible et ainsi réduire les coûts et les émissions de CO2 engendrés par les camions sur les routes. Il aura suffi d'un aller simple pour transporter toutes ces feuilles en dehors de la capitale, vers le port de Gennevilliers, permettant ainsi d'éviter 18 allers-retours de bennes de collecte (soit 6 tonnes par benne).CEMEX se réjouit de pouvoir mettre son dispositif portuaire parisien et sa flotte fluviale au service de la Ville de Paris et de ses habitants.À la suite de cette première expérience concluante, CEMEX espère que ce type d'opération pourra être renouvelée sur de plus gros volumes en l'étendant vers d'autres collectes, comme les sapins de Noël, par exemple.Trajet de la barge du site CEMEX de Bercy jusqu'au port de Gennevilliers
Il y a 4 ans et 137 jours

Des pistes cyclables à Levallois-Perret, "point de rupture" avec l'ère Balkany

Ces quatre pistes pour vélo ont été "légitimées" par une consultation citoyenne et constituent "un point de rupture" avec l'ère Balkany, affirme-t-on dans l'entourage de la maire LR Agnès Pottier-Dumas, élue aux dernières municipales. "Pour l'ancien maire, les consultations, le vélo, c'était quelque chose de gauche (...) mais nous notre volonté c'est d'associer les habitants", indique-t-on de même source."On n'est pas des +vélo addict+, mais il y a beaucoup de gens qui passent par ces pistes, et il y a une vraie volonté de partager l'espace public", ajoute-t-on.La consultation citoyenne, qui a recueilli quelque 2.700 réponses pour une ville de plus de 60.000 habitants, posait la question du maintien de sept pistes provisoires mises en place lors du déconfinement en mai.Quatre d'entre elles vont être conservées et devraient être fonctionnelles, après travaux, au printemps prochain, tandis que deux seront supprimées d'ici la fin de l'année. La dernière fait encore encore l'objet de réflexions."Ca n'a qu'une seule utilité: emmerder le monde, et particulièrement les automobilistes", a fustigé Patrick Balkany, contacté par l'AFP."Maintenant, si on veut faire à Levallois la même politique qu'à Paris, eh bien, il y aura deux clans: d'un côté, des bobos écolos, et de l'autre, la population habituée à venir travailler", a-t-il poursuivi.En plus de trois décennies de mandature, lui n'a laissé construire qu'une "seule piste cyclable", a-t-il rappelé.L'ancien maire a aussi critiqué la méthode de la consultation que la nouvelle mairie veut privilégier."J'ai toujours considéré que quand on était élu c'était pour décider, si on est élus pour être obligés de demander à chaque fois, de consulter toute la population pour prendre une décision, alors ce n'est pas la peine de se présenter, c'est qu'on n'a pas la vocation pour être maire et pas le talent", a-t-il taclé.Agnès Pottier-Dumas, 35 ans, a été la directrice de cabinet de M. Balkany, avant d'être désavouée par l'homme fort de Levallois-Perret lors de sa campagne pour les municipales.Patrick Balkany et son épouse Isabelle Balkany, première adjointe, ont été démis de leurs mandats respectifs en mars 2020, après avoir été condamnés en appel à trois ans de prison ferme et dix ans d'inéligibilité pour fraude fiscale.
Il y a 4 ans et 137 jours

Grand Paris Express : Vinci et Razel-Bec pour le viaduc de la ligne 18

Vinci Construction et ses filiales ont remporté en groupement avec Razerl-Bec un contrat de 193 M€ millions d'euros pour l’ensemble du génie civil de cet ouvrage d’art de 6,7 km
Il y a 4 ans et 137 jours

Île-de-france : LAYHER participe à la restauration des trois grands édifices – Publi-information

 Communiqué de presse  Décembre 2020      LAYHER, marque leader dans le secteur de l’échafaudage, est un acteur incontournable dans la rénovation des bâtiments historiques en Ile-de-France. L’entreprise participe actuellement à la restauration de trois édifices emblématiques : le Tribunal de Commerce, l’Église Saint-Pierre de Montrouge et la Maison d’éducation de la Légion d’Honneur.  TRIBUNAL DE COMMERCE  Situé dans le 4ème arrondissement de Paris, sur l’île de la Cité, le Tribunal de Commerce a ouvert ses portes en 1866, dessiné par l’architecte Antoine-Nicolas Louis Bailly à l’initiative de Napoléon III. Le corps principal de l’édifice est couronné d’un dôme de 45 mètres de hauteur renfermant une coupole habillée de grandes fenêtres oeil de boeuf.  En 2020, LAYHER a été sélectionnée afin de participer à la restauration du dôme et de la coupole vieux de plus de 150 ans. Un total de 150 tonnes a été disposé avec 30 tonnes dédiées à l’intérieur du bâtiment et 120 tonnes sur l’extérieur.  Un échafaudage a été installé dans l’escalier pour réaliser la réfection des murs intérieurs et les travaux sur la coupole.  Sur l’extérieur du bâtiment, un escalier d’accès à la toiture et une sapine de levage pour l’approvisionnement du matériel ont été mis en place. Une plateforme d’accès à la naissance du dôme et un échafaudage sur sa périphérie permettent de réaliser les travaux de réfection des pierres.  Afin de cacher les travaux sur le dôme, l’échafaudage extérieur a été réhaussé de 8 mètres pour permettre la mise en place d’une bâche décorative.      ÉGLISE SAINT PIERRE DE MONTROUGE  L’église Saint-Pierre de Montrouge est située dans le 14ème arrondissement de Paris, dans le quartier du Petit-Montrouge. Dans un style néo-roman, elle a été construite entre 1863 et 1872 sur les plans de l’architecte Joseph Auguste Émile Vaudremer.  Au fil des années, les pierres constituant la flèche du clocher se sont détériorées, nécessitant une dépose complète de celles-ci pour une restauration à l’identique avec la pierre de Sainte-Maximim. L’enjeu du chantier de restauration est de reconstruire à l’identique la flèche du clocher qui culmine à 58 mètres de hauteur.  Un échafaudage de la gamme LAYHER Universel LightWeight bâché et un lift ont été placés le long de la tour de 0 à 38 mètres afin d’accéder à la partie supérieure. Autour de la flèche, de 38 à 58 mètres, est disposé un échafaudage non bâché pour réaliser les travaux de dépose/repose des pierres. Pour cela, LAYHER a mis en place un pont roulant inédit en échafaudage.    MAISON D’ÉDUCATION DE LA LÉGION D’HONNEUR  Construite au 18ème siècle, la Maison d’Éducation de la Légion d’Honneur de Saint-Denis, anciennement monastère, a été transformée en maison pour l’instruction des filles par Napoléon. Elle occupe les bâtiments de l’ancienne abbaye royale, à proximité de la Basilique de Saint-Denis en plein coeur de la ville.  Dans le cadre du chantier de restauration de la Maison d’Éducation de la Légion d’Honneur, LAYHER a été chargée par le Fond de Dotation Légion d’Honneur Éducation d’installer une structure en parapluie et les différentes installations du chantier tels que les lift, palissades, installations électriques, et base vie.  Le chantier concerne la restauration de la toiture de l’aile sud et du pavillon central de l’ancienne abbaye royale de Saint-Denis. Il a été réalisé par Échafaudage Service, filiale de Layher SAS spécialisée dans les montages complexes, et engage environ 180 tonnes de matériel.  L’étude réalisée par le Bureau d’étude LAYHER a permis la mise en oeuvre de structures limitant l’impact des travaux sur l’exploitation de l’édifice.  Le matériel Universel LightWeight a été utilisé pour réaliser les sapines d’appuis des planchers de travail et du parapluie. Ce matériel a été installé au droit des trumeaux en pierre afin de conserver l’éclairage naturel du bâtiment.  Le parapluie Couvralu permet de protéger les ouvriers et l’édifice des intempéries tout en conservant une bonne luminosité, facteur indispensable des chantiers de restauration. Avec une portée de 20 mètres et couvrant une surface de 1520 m², le parapluie a été conçu sur deux niveaux avec des versants asymétriques permettant de limiter les prises au vent sur les ouvrages.  Un monte-charge a également été installé par LAYHER pour faciliter l’approvisionnement des matériaux en hauteur.  À propos de Layher  Implantée en France depuis 1980, la société Layher a révolutionné le monde de l’échafaudage par des solutions novatrices et sécuritaires. Elle met à la disposition de ses clients un stock location de 40 000 tonnes de matériel reparti sur ses 10 dépôts, mais aussi un bureau d’étude composé d’experts, consulté pour les chantiers les plus techniques (Palais de Justice, Banque de France, Grand Palais…). Eric Limasset, Président de Layher SAS, filiale du leader européen de l’échafaudage, assure également la responsabilité des filiales Layher Formation, Layher Maroc et Layher Côte d’Ivoire.  www.layher.fr 
Il y a 4 ans et 137 jours

Préventica Paris

Salon de l'information pour les secteurs de la santé, la sécurité et la qualité de vie au travail
Il y a 4 ans et 137 jours

Le plan de relance doit être plus compatible avec la neutralité carbone

Les experts du HCC, scientifiques, ingénieurs ou économistes, se sont penchés sur le plan de 100 milliards d'euros sur deux ans dévoilé en septembre, pour voir dans quelle mesure il est compatible avec les engagements de la France de réduire ses émissions de gaz à effet de serre pour atteindre la neutralité carbone en 2050.Le HCC a étudié les 97 mesures, les classant entre celles "favorables, défavorables, ambigües ou qui s'inscrivent dans la continuité des émissions actuelles, trop élevées, de la France", selon ce rapport indépendant.Le gouvernement a fait de la transition écologique un des piliers de ce plan, avec 30 milliards d'euros consacrés au verdissement de l'économie.Le HCC a comptabilisé 28 milliards d'euros "favorables à l'atténuation des émissions de gaz à effet de serre", un montant proche de celui du gouvernement. "C'est un montant très important, la France fait partie des pays les mieux dotés" en ce sens, a relevé la climatologue Corinne Le Quéré, présidente du HCC, lors d'une conférence de presse en ligne.En revanche, "les deux tiers du plan soutiennent l'activité économique dans la continuité des pratiques actuelles. Elles pourraient avoir un effet significatif à la hausse sur les émissions de gaz à effet de serre par rapport à la trajectoire de réduction de la France, et font courir le risque d'un verrouillage dans des activités fortement émettrices à long terme", avertit le rapport.Les experts estiment aussi qu'il faut soutenir davantage des transformations structurelles à plus long terme pour que la France remplisse les objectifs fixés par l'accord de Paris de limiter le réchauffement climatique bien en-dessous de 2°C, voire à 1,5°C.
Il y a 4 ans et 138 jours

Cemex : Les feuilles mortes montent sur Seine, à Paris !

Avec l’opération “Feuilles sur Seine”, près de 100 t de feuilles mortes seront compostées sur le port de Gennevilliers après y avoir été transportées par voie fluviale. [©Ville de Paris / DPE] L’automne, “sa langueur monotone” et ses feuilles mortes… Avec l’opération “Feuilles sur Seine” qui a vu s’associer l’industriel Cemex et la Ville de Paris, près de 100 t d’entre elles seront compostées sur le port de Gennevilliers. Ceci, après y avoir été transportées par voie fluviale. La barge de 200 m3Cemex a ainsi quitté le port de Bercy le 10 décembre dernier. Direction Gennevilliers pour un compostage industriel. Ceci, afin d’éviter leur incinération. Ces feuilles mortes pourront, par exemple, servir de matières secondaires pour d’autres activités comme la création d’espaces verts ou le maraîchage. Un premier test pour attribuer un nouveau destin à ces encombrants végétaux. Cette opération avait notamment pour but de réduire les émissions de CO2 engendrées par les camions sur la route. Dix-huit aller-retour de bennes de collecte ont ainsi été évités.  A la suite de cette opération sur la Seine, Cemex espère que ce type d’opérations pourra être renouvelé sur de plus gros volumes. En l’étendant, pourquoi pas, vers d’autres collectes, comme les sapins de Noël.
Il y a 4 ans et 138 jours

Avec l'arrivée de la ligne 14 à Saint-Ouen, le Grand Paris Express devient réalité

TRANSPORTS. Le prolongement de la ligne 14 du métro parisien vers Mairie de Saint-Ouen a été inauguré ce 14 décembre 2020. Une première mise en service dans le cadre du Grand Paris Express auquel a assisté le Premier ministre Jean Castex.
Il y a 4 ans et 138 jours

Rotunno Justman architectes : créer autrement

Au cœur de la capitale, dans le Marais, les architectes de Rotunno Justman ont transformé un ancien local commercial de 90 mètres carrés en espace de travail épuré. L’agence franco-italienne Rotunno Justman est née en 2018 de la rencontre entre deux architectes, Maria-Giulia Rotunno et Ary Justman. Passionnés par la culture japonaise, les deux associés, qui ont fait leurs armes auprès de Shigeru Ban Europe et Sou Fujimoto Paris, défendent aujourd’hui une architecture sociale et écologique, et développent une approche conceptuelle, à travers des projets variés. Leur dernière réalisation illustre bien leur démarche exigeante et leur esthétique minimaliste. Dans le projet de réhabilitation « créer autrement », Maria-Giulia Rotunno et Ary Justman conjuguent éléments architecturaux du passé et pièces audacieuses très contemporaines. « Nous avons essayé de retrouver la noblesse du lieu en redonnant aux matériaux leur essence initiale : terrazzo, mur en pierre. », explique le duo. Les architectes ont amélioré les qualités spatiales de l’ancien local afin que chaque espace de travail soit dédié à une activité. Ils ont remplacé les portes et certaines cloisons par des rideaux à lanières PVC opaques ou transparentes pour laisser circuler la lumière. Les différents espaces peuvent ainsi être compartimentés, sans être cloisonnés.Un lieu aussi accueillant que fonctionnel. Pour en savoir plus, visitez le site de l'agence Rotunno Justman.Visuels : © Giaime MeloniLa rédaction
Il y a 4 ans et 138 jours

Alain Boisselon élu à la tête de l’Unicem

Alain Boisselon, nouveau président de l’Unicem. [©Unicem] Alain Boisselon a été élu à la présidence de l’Union nationale des industries de carrières et matériaux de construction (Unicem). Il succède à Nicolas Vuillier. Directeur de l’activité carrières de Granulats Vicat France, Alain Boisselon va ainsi renforcer le rôle fédérateur de l’Unicem vis-à-vis des unions régionales et des syndicats, membres de l’Union. Ceci, en favorisant la concertation dans l’étude et la défense des intérêts matériels des entreprises adhérentes. Il va aussi développer une vision sur le long terme. Et travailler à la reconnaissance de leurs matériaux. « Le président de l’Unicem entend accompagner encore davantage les entreprises face aux défis auxquels est confrontée notre société », peut-on lire dans le communiqué de presse. Sa carrière professionnelle « La nécessité de lutter contre le changement climatique, les émissions de CO2, de préserver la biodiversité. Mais aussi de mieux protéger les ressources en eau et la qualité de l’air, nous soumettent à des questionnements déstabilisants de la part des parties prenantes. A commencer par nos clients, explique Alain Boisselon. La nature et la méconnaissance de nos activités expliquent ces interrogations auxquelles nous devons répondre par des orientations claires. A savoir, des explications convaincantes appuyées par des faits, des progrès visibles. Seule l’action collective, et dans notre cas celle de notre Union, peut remplir ce besoin. » Alain Boisselon a plus de 35 années d’expérience dans le secteur de la construction. Après avoir obtenu son diplôme d’ingénieur l’ESTP, il décroche celui de l’IAE Paris – Sorbonne Business School. Il débute ensuite sa carrière en tant qu’ingénieur bitume, chez Shell, où il passera 6 ans. En 1991, il rejoint le groupe Vicat où il occupe différents postes dans les métiers du béton prêt à l’emploi et des granulats. Sa carrière syndicale Tout au long de sa carrière, Alain Boisselon a occupé des mandats syndicaux. Président de l’Unicem Rhône-Alpes depuis 2012, il a organisé, en 2016, la fusion entre les Unicem Auvergne et Rhône-Alpes. Dont il est devenu le président.  De plus, il a été membre du comité directeur du SNBPE en tant que représentant de Vicat, entre 1990 et 2000. Puis, du Bureau de l’Unicem de 2013 à 2017 et membre du Bureau de l’Union nationale des producteurs de granulats (UNPG) depuis 2019. Le tout, en assurant la présidence de la Commission économique pendant 20 ans. Et ce, jusqu’en 2016. A l’échelle européenne, Alain Boisselon a été président de l’Environment Commitee de l’Union européenne des producteurs de granulats (UEPG) pendant 6 ans, de 2014 à 2020.
Il y a 4 ans et 139 jours

Le prolongement à Saint-Ouen de la ligne 14 du métro parisien ouvre lundi

Après une courte cérémonie, ce tronçon de 5,8 km entre Saint-Lazare et Mairie de Saint-Ouen sera mis en service à 16H00, selon Ile-de-France Mobilités et la RATP. La ligne 14, qu'on appelle encore parfois "Meteor", est la dernière née du réseau métropolitain. Inaugurée par Jacques Chirac en octobre 1998 entre Madeleine et Bibliothèque François-Mitterrand, elle a été prolongée au nord à Saint-Lazare en décembre 2003 et au sud à Olympiades en juin 2007, et faisait jusqu'à présent 8,6 km de long.La présidente du conseil régional et d'Ile-de-France Mobilités Valérie Pécresse vante "l'une des lignes les plus modernes du monde", la seule du réseau parisien accessible aux handicapés, aussi.L'idée de prolonger cette ligne de métro automatique jusqu'à Saint-Ouen remonte à 2007: elle est alors apparue comme la solution la plus satisfaisante pour soulager le nord de la ligne 13, dont les deux branches ploient sous la charge. Avec la promesse de la délester du quart de son trafic. Le prolongement de la ligne 14 doit aussi mieux desservir des secteurs en plein développement avec le nouveau quartier des Batignolles, le Tribunal de Paris ou encore les nombreux bureaux qui sortent de terre à Saint-Ouen.Ouvert avec trois ans de retard, le nouveau tronçon comporte quatre stations assez monumentales, celle de Porte de Clichy, desservant le Tribunal, n'ouvrira toutefois qu'en janvier, ainsi qu'un dépôt construit pour accueillir des rames dernier cri plus longues, achetées à Alstom. Au-delà, les travaux battent leur plein pour de nouveaux prolongements tant au nord, jusqu'à Saint-Denis Pleyel (Seine-Saint-Denis), qu'au sud, jusqu'à l'aéroport d'Orly (Essonne), juste à temps pour les jeux Olympiques en 2024. Avec au passage le changement du système d'automatisation, toujours fourni par le groupe allemand Siemens.La ligne fera alors 27 km de long, et devrait transporter 1 million de voyageurs par jour, contre 550.000 avant la pandémie.La Société du Grand Paris (SGP) a couvert 59% des 1,4 milliard d'euros du dépensés pour le prolongement jusqu'à Saint-Ouen, Paris 21% et la région Ile-de-France 14%.Ile-de-France Mobilités finance de son côté le matériel roulant (620 millions pour le moment) et couvre le déficit d'exploitation.
Il y a 4 ans et 141 jours

Dans un immeuble de marchands de sommeil à Paris, la souffrance à tous les étages

Depuis 2012, ce bâtiment de la rue de Meaux fait l'objet d'un arrêté de péril et de dix arrêtés d'insalubrité.Depuis cette semaine, il est aussi au cœur du procès de deux marchands de sommeil présumés, Frédéric A. et Alix B., et des trois entreprises propriétaires de la majeure partie de l'immeuble. Tous sont poursuivis pour y avoir loué, malgré leur état déplorable, une vingtaine d'appartements jusqu'en 2017 et d'avoir menacé leurs locataires.Une dizaine d'anciens occupants et de copropriétaires, la fondation Abbé Pierre et la Ville de Paris se sont portés parties civiles.La famille de Katarzyna, dont la fille a développé des "problèmes respiratoires" à cause de l'humidité, a depuis quitté le studio dans lequel ils vivaient à quatre. Mais d'autres ont dû rester, et de nouveaux locataires sont venus occuper les appartement libérés.Dans l'immeuble à la façade fissurée, aujourd'hui encore, les habitants dépeignent des conditions de vie "honteuses". Sur les murs des couloirs, des champignons côtoient les traces de moisissures.Hafed Chekkai, 42 ans, vit au troisième étage. Cet Algérien partage avec sa femme et ses deux jeunes enfants une pièce humide de 16m2 dotée d'un unique lit double, facturée 750 euros. Alors que l'eau courante de son évier a été coupée, Hafed doit maintenant "aller remplir un seau pour faire la vaisselle". Le locataire a arrêté de payer son loyer quand il a eu connaissance de l'arrêté de péril, ainsi que la loi l'y autorise.Mais certains de ses voisins, comme Anya (prénom modifié) ont continué de payer pendant plusieurs années. "Nous n'avons pas de papiers, vu notre situation, nous avons eu peur qu'on nous mette dehors ou nous dénonce" explique-t-elle à l'AFP.Dans son studio de 17m2, qu'elle occupe avec son mari et ses deux enfants, la jeune maman lave régulièrement les murs à l'eau de Javel, "pour éviter que les moisissures reviennent". Si elle dit "avoir l'habitude", elle confie ne pas se sentir "à l'aise", surtout pour ses enfants. "Avec l'humidité, ils toussent. Mon fils, je vois bien qu'il n'a pas envie de rester ici"."Tout à refaire""Les personnes précaires savent que si elles quittent leur appartement, ce sera très compliqué d'en retrouver un, elles sont habituées à ne rien demander", observe Sarah Coupechoux, chargée de mission à la fondation Abbé Pierre, qui a suivi la situation des habitants de la rue de Meaux jusqu'en 2017.Hafed Chekkai et Anya disent tous deux avoir été menacés par Frédéric A. "Il m'insultait, me traitait de terroriste", raconte Hafed. "J'avais peur de rester seule dans mon appartement", ajoute Anya.Au dernier étage de l'immeuble, Virginie Baudelaire et son mari ne sont pas locataires mais se considèrent eux aussi "victimes" et se sont constitués partie civile dans le procès en cours.Depuis 2007, ils sont propriétaires d'un appartement qui se détériore de jour en jour. "Tout est à refaire, la toiture, la façade." Mais les entreprises mises en cause dans la procédure judiciaire possèdent les trois quarts de l'immeuble et, affirment-ils, "bloquent les travaux nécessaires".Le couple, qui voit les fissures et les infiltrations se multiplier, dit "ne jamais se sentir en sécurité"."Cet immeuble, c'est vraiment l'exemple de ce qu'on ne veut pas voir à Paris", assure Ian Brossat, adjoint à la maire de Paris en charge du logement. Si le procès n'aboutit pas à une confiscation des biens, la mairie envisage d'engager une procédure d'expropriation.Les conseils d'Alix B. et de Frédéric A. nient toute menace envers des locataires, et font valoir que leurs client ne sont plus impliqués dans la gestion actuelle de l'immeuble.Contactée par l'AFP, l'avocate des entreprises propriétaires des appartements n'a pas donné suite.Le réquisitoire du parquet contre les deux prévenus et les entreprises mises en cause est attendu le 16 décembre.
Il y a 4 ans et 141 jours

Gare d'Austerlitz: le trafic ferroviaire sera rétabli mardi

Le trafic sera rétabli mardi au départ et à l'arrivée de la gare d'Austerlitz, à Paris, quinze jours après la chute d'une poutre en béton de 400 tonnes sur les voies, a annoncé vendredi la SNCF.La poutre de coffrage, préparatoire à la réalisation par l'entreprise de BTP Freyssinet (groupe Vinci) d'une dalle devant supporter un hôtel et une auberge de jeunesse, avait chuté lors de la phase de manutention avant sa pose le 1er décembre, et loquait les voies.Les voies ayant été totalement libérées vendredi matin, SNCF Réseau a entrepris de réparer les installations ferroviaires endommagées, rails, traverses, caténaires et installations de sécurité. Ces travaux "seront menés en urgence sur une durée de 72 heures lors d'une opération coup de poing menée non-stop", a précisé la SNCF dans un communiqué.La compagnie prévoit dans un premier temps de rétablir "progressivement" la circulation du RER C lundi, Intercités et TER restant déroutés sur les gares de Lyon et de Bercy. La circulation redeviendra normale sur toutes ces lignes mardi, selon la SNCF.
Il y a 4 ans et 141 jours

Consultation pour la réalisation d’un bâtiment mixte à Paris-Saclay

L’EPA Paris-Saclay lance une consultation pour la réalisation d’un bâtiment mixte stationnement / restauration d’entreprise au sein de la ZAC de Satory Ouest à Versailles. Jusqu’au 8 janvier 2021. Cette consultation a pour objet la désignation d’une maitrise d’œuvre pour la construction d’un programme mixte de 4 niveaux comprenant un parking silo et un restaurant […] L’article Consultation pour la réalisation d’un bâtiment mixte à Paris-Saclay est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 141 jours

A Paris, l'évacuation de la poutre coffrante tombée sur les voies SNCF est terminée

EN IMAGES. Le chantier d'évacuation de la poutre coffrante, sur le projet Aurore, qui s'était effondrée sur les voies SNCF du RER C le 1er décembre, vient de s'achever. Retour sur ces travaux délicats et urgents, alors que SNCF Réseau prend le relais pour permettre une reprise progressive du trafic à partir du 14 décembre.
Il y a 4 ans et 142 jours

La crise sanitaire n'a pas déclenché d'exode hors des villes, selon les notaires

"Ce n'est pas l'exode (...) urbain", a jugé le notaire Frédéric Violeau, lors d'une présentation d'un bilan annuel du marché immobilier à partir des chiffres de la profession, qui font référence."A l'échelle du territoire français, on ne peut pas dire qu'il y ait eu des bouleversements importants", a insisté M. Violeau.L'année a pourtant été marquée par un événement exceptionnel avec la crise sanitaire du Covid-19. Celle-ci a conduit les autorités françaises à imposer deux confinements, dont l'un est toujours en cours.Ces épisodes ont conduit certains observateurs du marché immobilier à s'interroger sur une désaffection à l'égard des grandes villes, face par exemple aux possibilités ouvertes par l'essor du télétravail.Mais, à l'issue de 2020, "les prix ont augmenté de manière absolue sur toutes les grandes villes en France", a noté M. Violeau. "Aucune baisse sur un an n'a été observée."Cette hausse est particulièrement marquée dans les villes de l'ouest de la France, comme Rennes ou Nantes. Le prix médian des appartements y bondit de plus de 10% à respectivement 3.170 euros et 3.580 euros le mètre carré.Une hausse est particulièrement notable, celle du Havre, l'une des villes où les logements sont le moins chers avec Saint-Étienne. Dans la ville normande, le prix des appartements a progressé de quasiment 10% à 1.870 euros le mètre carré.Même si ces chiffres témoignent d'un attrait persistant des agglomérations, les notaires ne nient pas que la crise semble avoir des effets modérés sur les désirs des acheteurs."Il y a bien des déplacements de curseurs", admet M. Violeau. Ainsi, les prix des maisons, qui progressaient jusqu'alors moins vite que ceux des appartements, accélèrent."On a eu un petit vent de verdure, disons-le clairement", a observé la notaire parisienne Élodie Frémont, commentant des chiffres franciliens déjà annoncés fin novembre."On a eu (...) des Parisiens habitant le centre de Paris dans un appartement de 60 mètres carrés à quatre qui ont préféré la grande couronne", a-t-elle rapporté.
Il y a 4 ans et 143 jours

Alain Boisselon élu président de l'UNICEM

Alain Boisselon a plus de 35 années d'expérience dans le secteur de la construction. Après avoir obtenu son diplôme d'Ingénieur option TP à l'ESTP en 1983, il est diplômé de l'IAE Paris - Sorbonne Business School, en 1984. Il débute ensuite sa carrière en tant qu'Ingénieur Bitume, chez Shell, où il passera 6 ans. En 1991, il rejoint le Groupe Vicat où il occupe différents postes dans les métiers du béton prêt à l'emploi et des granulats. Il est aujourd'hui Directeur de Granulats Vicat, filiale qui gère les carrières de granulats du Groupe Vicat, en France.Des mandats régionaux, nationaux et EuropéensTout au long de sa carrière, Alain Boisselon a également occupé des mandats syndicaux. Président de l'UNICEM Rhône-Alpes depuis 2012, il a organisé, en 2016, la fusion entre les UNICEM Auvergne et Rhône-Alpes, et est devenu Président de la région AURA.Son expérience syndicale est également riche à l'échelle nationale. Il a été, successivement, membre du comité directeur du SNBPE (Syndicat National du Béton Prêt à l'Emploi) en tant que représentant de Vicat, entre 1990 et 2000, membre du Bureau de l'UNICEM de 2013 à 2017 et membre du Bureau de l'UNPG depuis 2019, tout en assurant la présidence de la Commission Économique pendant 20 ans et ce jusqu'en 2016. À l'échelle Européenne, Alain Boisselon a été Président de l'Environment Commitee de l'UEPG (Union Européenne des Producteurs de Granulats) pendant 6 ans, de 2014 à 2020. Travailler à la reconnaissance de matériaux à la fois durable et respectueux de l'environnementFort de ses années d'engagement et d'expérience dans la vie syndicale, Alain Boisselon souhaite, lors de son mandat, renforcer le rôle fédérateur de l'UNICEM vis-à-vis des unions régionales et des syndicats membres de l'UNICEM, en favorisant la concertation et l'union dans l'étude et la défense des intérêts matériels des entreprises adhérentes.Il souhaite aussi développer une vision sur le long terme afin d'assurer la pérennité et le développement des entreprises de la filière et de travailler à la reconnaissance de leurs matériaux. Le Président de l'UNICEM entend accompagner encore davantage les entreprises face aux défis auxquels est confrontée notre société. Pour Alain Boisselon, « la nécessité de lutter contre le changement climatique, les émissions de CO2, de préserver la biodiversité, de mieux protéger les ressources en eau et la qualité de l'air, nous soumettent à des questionnements déstabilisants de la part des parties prenantes, à commencer par nos clients.La nature et la méconnaissance de nos activités expliquent ces interrogations auxquelles nous devons répondre par des orientations claires, des explications convaincantes appuyées par des faits, des progrès visibles. Seule l'action collective, et dans notre cas celle de notre Union, peut remplir ce besoin » conclut-il.