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Il y a 2 ans et 332 jours

Les projets aux abords du périphérique parisien réexaminés

Par un texte demandant "que soient encore améliorés et réexaminés les projets d'aménagement prévus aux abords et au-dessus du périphérique", l'exécutif municipal a rallié les écologistes qui réclamaient un moratoire sur les constructions à moins de 150 m de l'axe.Ces dernières années, "des dizaines de projets sont sortis de terre, ils vont dans le sens inverse de nos objectifs", avait fustigé Emile Meunier (EELV), pour qui la future "ceinture verte" vantée par Mme Hidalgo "devient grise comme le béton".Outre la nécessité de ne pas "exposer des personnes à des niveaux élevés de pollution", "on ne peut pas sacrifier la nature pour quelques m2 de bureaux", a ajouté l'élu écologiste, rappelant l'abattage de plus de 70 arbres porte de Montreuil.Autres alliés de Mme Hidalgo, les communistes se sont abstenus, Nicolas Bonnet-Oulaldj estimant qu'un moratoire équivalait à une "double peine pour les quartiers populaires" en attente de services publics.A l'horizon 2030, Mme Hidalgo entend réserver une voie du périphérique aux bus, taxis et covoiturage, une mesure qui suscite l'opposition de la présidente de droite de la région Valérie Pécresse et une forte réserve du préfet de police Didier Lallement.Depuis un rapport d'élus parisiens en 2019, la majorité de gauche a été "incapable de créer les conditions de la concertation" avec "les collectivités territoriales, la région et l'Etat", a taclé la députée MoDem Maud Gatel."Le travail de concertation va se poursuivre dans les prochains mois et années", notamment via un "grand débat" sous l'égide de la Commission nationale du débat public (CNDP), a répondu l'ex-candidate du PS à la présidentielle.Jean-Baptiste Olivier (LR) a réclamé la couverture de l'axe "partout où c'est possible" mais essuyé un refus de la part de l'adjoint (PS) à l'urbanisme Emmanuel Grégoire, pour qui cette mesure onéreuse "ne règle pas le problème" de la pollution.Interrogé par l'AFP sur l'avenir d'un immeuble-pont porte de Montreuil, qui suscite des critiques à gauche, le premier adjoint a indiqué vouloir convaincre ses partenaires "que c'est une mesure de protection pour l'immense espace vert" prévu sur cette entrée orientale de la capitale.
Il y a 2 ans et 332 jours

Sobriété énergétique : lancement du groupe de travail « Entreprises et organisation du travail »

Lors d’un déplacement au centre de commande national de GRTgaz, le 23 juin dernier, la Première ministre, Elisabeth Borne, et la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher, ont annoncé le lancement de groupes de travail sur la sobriété énergétique. Objectif : réduire la consommation d’énergie, toutes énergies confondues (gaz, électricité, carburant), de 10% d’ici deux ans.Après le lancement d’un premier groupe sur « L’Etat exemplaire » mercredi 29 juin, Agnès Pannier-Runacher et Olivier Dussopt ont réuni, ce vendredi 1er juillet, au ministère de la Transition énergétique, un deuxième groupe consacré aux entreprises et à l’organisation du travail. A cette occasion, les deux ministres ont rappelé leur volonté d’agir vite et fort contre le gaspillage de l’énergie. Différents experts, notamment du Haut Conseil pour le Climat, ont pour leur part fait un état des lieux de la situation et évoqué les leviers à activer pour tenir l’objectif de réduire de 10% notre consommation d’énergie d’ici deux ans. Lors d’un tour de table, les représentants des organisations syndicales et patronales ainsi que les fédérations professionnelles ont rappelé le travail déjà mené et ont partagé les freins à lever et les pistes d’amélioration à creuser.La réunion a permis de prendre acte du fait que la sobriété énergétique devait être un pan central des discussions paritaires sur la transition écologique dans l’entreprise qui s’ouvrent à compter du 8 juillet, dans le cadre de l’agenda social autonome des partenaires sociaux. Pour la réussite de ces discussions, les ministres ont assuré les acteurs de la disponibilité des experts présents en appui de leurs travaux.La réunion a également permis de faire un premier bilan de différents dispositifs existants, dont la plateforme « Mission Transition écologique ». Cette dernière a permis d’accompagner des dizaines de milliers d’entreprises en recherche de soutien pour financer leurs projets de transition écologique et énergétique, en recensant les différents dispositifs existants et en leur permettant de bénéficier de l’appui d’un expert.Parmi les différents leviers, celui de la mobilité a été évoqué. Les différents dispositifs sur lesquels peuvent s’appuyer les entreprises afin d’accompagner la transition des usages des salariés ont été rappelés. Qu’il s’agisse de l’importance de bâtir un plan de mobilité employeur ou de s’engager en faveur des différents dispositifs de soutien aux salariés – forfait mobilités durables, prime transport pour l’aide au carburant, auto-partage, ou encore label employeur pro-vélo –, de nombreux leviers existent pour permettre aux entreprises de s’engager dans la transition vers les mobilités durables. A condition, comme cela a été rappelé par différents acteurs, de donner de la visibilité aux entreprises sur les aides existantes.Par ailleurs, l’organisation du travail de manière plus générale a fait l’objet de nombreux échanges. Les acteurs se sont accordés avec les ministres sur l’importance de mettre sur la table toutes les options qui pouvaient permettre d’améliorer notre souveraineté et de baisser la facture énergétique, en protégeant la qualité de travail des salariés.La question de la gestion des bâtiments d’entreprises a également été au cœur des discussions. A nouveau, un diagnostic partagé a pu être fait sur la nécessité de promouvoir les pratiques écoresponsables au bureau, notamment en matière d’éclairage, de températures et de choix informatiques.Enfin, il a été acté qu’un plan d’accompagnement sera mis en place et consistera notamment à mobiliser les organismes préventeurs afin de produire des documents simples et didactiques et des outils de communication adaptés. Ce plan consistera aussi à accompagner les entreprises pour actualiser leurs plans de continuité de l’activité, à actualiser des fiches métier en incluant notamment des consignes simples en cas de travail en période de « grand froid » ou de « fortes chaleurs ». Le plan visera également à mobiliser les réseaux, comme les Services de Prévention et de Santé au Travail, ou les Caisses d’Assurance Retraites et de Santé au Travail, comme premier relai des recommandations. Il aura par ailleurs pour objectif de promouvoir et d’accompagner le dialogue social en entreprise pour favoriser une réflexion sur le plan de continuité d’activité en cas de restrictions énergétiques.Le groupe de travail « Entreprises et organisation du travail » s’attèlera, au cours de l’été, dans le cadre du dialogue paritaire, à faire émerger une feuille de route de recommandations simples et opérationnelles, à destination de l’ensemble des entreprises. Dans ce cadre, Agnès Pannier-Runacher et Olivier Dussopt ont insisté sur la méthode de travail. Le Gouvernement et les experts ne se substitueront pas aux partenaires sociaux. Ils joueront le rôle de facilitateurs, pour que les organisations syndicales et les fédérations professionnelles, en responsabilité, identifient les leviers qui leur paraissent les plus adaptés pour réduire la consommation d’énergie des entreprises de 10% d’ici deux ans.Ce travail de concertation mené avec les différents groupes de travail sur la sobriété énergétique devra être la première marche afin d’initier le changement, en matière de transition énergétique, au sein de l’ensemble de la société.Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition énergétique, a déclaré : « Le lancement de ce groupe de travail dédié aux entreprises et à l’organisation du travail, que j’ai co-présidé avec mon collègue Olivier Dussopt, est une étape importante du plan sobriété que nous avons annoncé avec la Première ministre Elisabeth Borne. Après avoir mobilisé l’administration, il montre notre volonté de faire de la transition énergétique un véritable objet de dialogue social. Nous faisons confiance aux organisations syndicales et patronales, ainsi qu’aux fédérations professionnelles, pour se saisir du sujet et trouver les leviers afin de réduire la consommation d’énergie des entreprises de 10% d’ici 2024. »Olivier Dussopt, ministre du Travail, du Plein Emploi et de l’Insertion : « Nous sommes désormais entrés de plain-pied dans la transition énergétique et climatique. Nous devons collectivement coordonner nos efforts pour moins consommer d’énergie. Ce groupe de travail devra déboucher sur des engagements concrets et ambitieux, mais bien entendu, les choix des mesures de sobriété ne pourront être décidés au niveau national. C’est aux partenaires sociaux, à chaque branche, à chaque entreprise de les définir dans le cadre du dialogue social de proximité. »
Il y a 2 ans et 332 jours

Thermostatique de douche à encastrer Ceratherm Navigo® d’Ideal Standard : un contrôle précis et une installation sans effort !

Avec leur design consensuel et épuré et leurs boutons texturés et intuitifs bénéficiant de la technologie Navigo®, les nouveaux mitigeurs thermostatiques de douche à encastrer Ceratherm Navigo® confèrent confort et sérénité à l’espace douche. Ils se composent d’une façade en métal et d’un corps à encastrer Easy Box offrant un système de montage simple et rapide. Un contrôle précis La technologie Navigo® a été conçue pour un contrôle facilité du débit et de la température de l’eau à partir d’un même bouton de commande. Pour ouvrir et fermer l’arrivée d’eau, il suffit d’appuyer sur le bouton et de le tourner pour ajuster précisément le débit d’eau. Dotés de rainures de préhension, les boutons métalliques ergonomiques peuvent être utilisés même avec des mains savonneuses ou humides. La sécurité a également été prise en compte avec la cartouche thermostatique FirmaFlow® Therm qui offre aux utilisateurs un contrôle précis et durable des réglages de température. L’élégante collection Ceratherm Navigo® est disponible en versions carrée et ronde ainsi qu’en quatre finitions : chrome, gris magnétique, gris orage et or brossé. La plaque frontale mince, qui ne fait que 10 mm de profondeur, présente un aspect contemporain et épuré. Les options de douche sont indiqués par des symboles discrets sur le dessus des boutons de commande afin de ne pas nuire à l’esthétique de l’ensemble. EasyBox, une technologie d’installation éprouvée Pour garantir une performance sans faille et une installation sans effort des mitigeurs thermostatiques de douche Ceratherm Navigo®, la gamme a été associée à EasyBox, kit d’installation intégré fiable d’Ideal Standard Lancé il y a plus de 10 ans, il est utilisé dans des centaines de milliers de salles de bains à travers l’Europe, démontrant ainsi sa qualité et sa fiabilité. Conçu pour répondre aux défis de la vie moderne, EasyBox bénéficie d’une série de fonctionnalités et de caractéristiques intelligentes, telles que le système de montage Fast-Fix. Des fixations judicieusement placées facilitent toutes les positions d’installation, tandis que les tiges de fixation permettent de régler la profondeur pour garantir une application sans problème. En outre, le système bénéficie de connexions qui permettent une fixation rapide des tuyaux pour les tailles courantes. Il s’adapte ainsi à tous les projets et permet différentes possibilités d’encastrement : installation dans le mur, en applique, devant le mur sur des supports réglables, devant le mur (montage sur supports dans un coffrage) et installation sur une structure en bois ou métallique. EasyBox est totalement étanche et offre une triple protection contre l’entrée ou la sortie d’eau de l’unité encastrée, éliminant ainsi le risque de fuite derrière le mur. Le système permet de maintenir les joints étanches et utilise un voile d’étanchéité externe, des joints internes supplémentaires et une protection de construction. Le kit d’installation universel EasyBox se marie parfaitement avec la large gamme de robinetterie encastrée (thermostatiques de douche et mitigeurs mécaniques), d’Ideal Standard, ainsi qu’avec les mitigeurs monocommande, offrant ainsi plus de flexibilité dans la conception de la salle de bains, avec la même installation rapide. Présenter aux clients une offre complète pour trouver leur solution individuelle, telle est la philosophie du concept SingularTM récemment lancé par Ideal Standard dans lequel EasyBox s’inscrit pleinement. https://www.idealstandard.fr/
Il y a 2 ans et 332 jours

Wolf France, spécialiste de systèmes de chauffage, climatisation et ventilation, dresse un bilan positif de 2021

Une marque de confiance, pionnière dans le confort intérieurSpécialiste de systèmes de chauffage, de climatisation et de ventilation, WOLF se donne chaque année pour mission de répondre aux besoins les plus essentiels de chacun en termes d’eau, d’air et de chaleur pour un confort de vie au quotidien. Cet objectif s’est affirmé grâce à une large gamme de produits conçus avec des technologies ultra-modernes et dont la qualité et les hautes performances sont hors pair. De plus, tous les appareils de la marque se coordonnent parfaitement et peuvent être combinés ensemble, pour une gestion totale et globale du confort intérieur en résidentiel comme en tertiaire.Les distributeurs eux-mêmes sont conquis« La maintenance sur vos produits est vraiment facile, et rapide. La conception de vos produits est ingénieuse; vous vous mettez bien à la place des installateurs On voit bien que vous avez travaillé sur plein de détails qui nous facilitent la vie… La Wolf App est d’une simplicité exemplaire; on y trouve facilement toutes les pièces, avec les vues éclatées; et votre «inspecteur erreur» donnent bien les réponses attendues. Bravo pour votre service technique ; surtout n’en changez pas ! Vos techniciens à la hotline décrochent vite, et sont compétents. Félicitations pour votre logistique; la livraison à J+1, pour toute commande avant 12h30, marche parfaitement bien et est plus qu’appréciable. Les collaborateurs Wolf sont vraiment réactifs; on sent bien le sens du service, c’est très appréciable. WOLF en France, c’est un peu une grande famille; on connaît les gens par le prénom. Et on voit bien qu’ils se décarcassent pour nous. Quand je vois vos produits, je dis chapeau la qualité! Je peux proposer ça en toute tranquillité à mes clients. » La qualité PREMIUM comme ligne directriceLa qualité des produits WOLF n’est plus à prouver. WOLF veille à améliorer en continu ses technologies afin de proposer de nouvelles solutions toujours plus adaptées aux besoins futurs de la population et avec une qualité irréprochable « Made in Germany ».L’ensemble des produits WOLF chauffage sont PREMIUM et sont imaginés, créés et fabriqués dans leur usine à Mainburg en Bavière. 5 ans de garantie sont valables pour toutes les chaudières à condensation de 2e génération, pompes à chaleur et ventilations résidentielles. Outre la qualité que WOLF se fixe dans la fabrication de ses produits, l’entreprise a maintenu des délais de production courts en pleine crise de Covid-19 pour suivre l’exigence qu’elle s’est donnée. En pleine pandémie, WOLF est fière d’avoir continué à livrer ses clients dans les plus brefs délais, réel défi alors que les matières premières venaient à manquer.Le « Made in Germany » aspire aux quatre coins du monde à une image de qualité, de haut de gamme et de fiabilité reconnus depuis des décennies. Le label allemand est l’une des indications de provenance les plus réputées au monde, voire la plus prestigieuse.Les chiffres clés de l’année 2021Le C.A a connu une progression exceptionnelle de 50%Le C.A de WOLF Europe est de 500M€Toutes les familles de produits ont progressé : + 36% sur le gaz, + 183% sur les pompes-à-chaleurDes ambitions fortes pour l’année 2022Une entreprise pérenne qui recruteAvec plus de 3.000 employés à son actif, WOLF développe ses équipes d’année en année. En 2021, la structure a accru sa force commerciale (itinérante et sédentaire) pour accompagner son développement. 4 commerciaux ont rejoint l’équipe chauffage, basée à Lyon, et un chef de produit a également intégré les équipes pour superviser le lancement de la nouvelle gamme de pompes à chaleur FHA.Focus sur les produits phares de 2022WOLF développe son offre et va proposer une nouvelle gamme complète de pompes-à-chaleur monoblocs attendue pour l’automne 2022. Le segment des pompes-à-chaleur Air-Eau monoblocs est celui qui connaît la plus forte croissance (+ 82% en France en 2021). Ces produits, plus faciles à installer que les bi-blocs, répondaient à une demande constante de la part des clients. Les installateurs en rêvaient, WOLF l’a fait.La satisfaction client comme priorité continuePour cette nouvelle année, WOLF souhaite consolider ses liens personnels avec ses clients. Pour ce faire, les équipes ont pour projet de réaliser des présentations produits par le biais de quatre camions de démonstration qui parcourent la France. WOLF souhaite ainsi renforcer sa présence dans des départements français.Les équipes sont également mobilisées afin de réaliser des formations dans leur 4 centres de formation et comptent créer des événements destinés à leurs clients. En 2022, le positionnement de WOLF sur le marché de la pompe à chaleur sera confirmé grâce à la commercialisation d’une toute nouvelle gamme inédite, qui vient asseoir le statut d’expert de la marque sur son marché.
Il y a 2 ans et 332 jours

Rhône : un programme immobilier en projet dans le quartier Monplaisir à Villefranche-sur-Saône

À Villefranche-sur-Saône (Rhône), une soixantaine de logements verront le jour au cœur de l’écoquartier Monplaisir d’ici à 2025.
Il y a 2 ans et 332 jours

Val-d’Oise : 96 nouveaux appartements à Argenteuil

Un nouveau projet immobilier vient de voir le jour à Argenteuil (Val-d’Oise).
Il y a 2 ans et 332 jours

L'architecte Rudy Ricciotti lauréat du futur "musée du Grand Siècle" à Saint-Cloud

Outre le Mucem, M. Ricciotti est connu pour avoir réalisé le stade Jean Bouin à Paris et le département des arts de l'Islam du Louvre à Paris.Ce projet de musée, financé par ce département, dans l'ancienne caserne royale du parc de Saint-Cloud, a été initié suite à la donation de l'ancien patron du Louvre Pierre Rosenberg, grand collectionneur d'oeuvres d'arts, en grande partie du XVIIe siècle.Le projet prévoit la restauration à l'identique des deux bâtiments principaux de la caserne royale et la construction d'un nouvel édifice, avec un espace d'expositions.Le musée "abordera la société du 17e siècle par le biais de tous les arts et tous les médias dans tous ses aspects y compris ceux qui fâchent", a précisé l'universitaire Alexandre Gady, directeur de la mission de préfiguration du musée, citant notamment le Code noir qui autorisa la France à utiliser des esclaves dans ses colonies.Le musée présentera des dessins, peintures, sculptures, mobiliers, gravures, médailles et objets d'art un panorama complet de la civilisation française du XVIIe siècle, entendu comme une période longue, allant d'Henri IV à la Régence (1589-1723).Le chantier doit débuter au printemps 2023, avec une ouverture du musée au public prévue en 2026.
Il y a 2 ans et 332 jours

Construction de maison individuelle : 3 astuces pour bien choisir son constructeur

La construction d’une maison reste un projet majeur dont la réussite nécessite beaucoup de préparations et la considération de nombreux paramètres. Parmi ceux-ci, le choix du constructeur revêt une grande importance. Pour vous aider à bien sélectionner votre constructeur de maisons individuelles, voici quelques astuces à prendre en compte. 1.Considérer l’expérience du constructeur Dans ce domaine, l’expérience du constructeur qui doit vous accompagner dans la concrétisation de votre projet représente un paramètre capital. Pour vérifier l’expérience d’un constructeur, vous pouvez effectuer votre petite enquête, surtout en visitant les anciennes réalisations de ce dernier. Une autre façon de s’assurer qu’un constructeur fournit des services de qualité, consiste à chercher à disposer des avis d’anciens clients. À cet effet, sachez que les avis sur le constructeur Maisons Pierre s’avèrent très positifs, ce qui fait de ce professionnel une référence dans le secteur.  Par ailleurs, le constructeur de maison individuelle à choisir doit jouir d’une grande compétence technique. En effet, ce professionnel doit conduire toutes les opérations de construction, de la création des plans jusqu’à la livraison du chantier, en passant par la réalisation des travaux. Ainsi, son savoir-faire doit englober des qualités de concepteur, d’architecte, de superviseur de travaux et autres. 2.Vérifier les garanties proposées Un autre élément à ne pas négliger lors du choix de votre constructeur concerne les garanties indispensables. En réalité, la loi impose aux constructeurs de souscrire des garanties réglementées. Ces dernières doivent être souscrites auprès des organismes de crédit ou d’une compagnie d’assurance. Voici quelques garanties qui doivent apparaitre dans le CCMI (contrat de construction de maison individuelle) : La garantie de livraison à prix et délais convenus : elle vous protège contre les risques de mauvaise exécution ou d’inexécution des travaux dans le temps convenu ; La garantie de parfait achèvement : elle dure un an à compter du moment où vous recevez la clé de votre maison neuve et couvre les imperfections constatées dans celle-ci ; La garantie de bon fonctionnement : elle couvre pendant deux ans les dommages qui empêchent le bon fonctionnement des éléments et appareils dissociables de l’habitation ; La garantie décennale : elle couvre durant dix ans les imperfections de construction et les dégâts qui ne permettent pas de profiter pleinement de la maison. Avant d’opter pour un constructeur, veuillez donc vérifier que celui-ci s’avère bien couvert par ces différentes garanties, ou tout au moins par la garantie de livraison à prix et délais convenus ou la garantie de parfait achèvement. 3.Tenir compte de l’aspect financier du projet En sollicitant les services d’un constructeur, vous allez confier toutes les opérations de construction à ce dernier. Ainsi, la facture de ce professionnel sera plus conséquente par rapport à d’autres spécialistes du domaine comme les entrepreneurs. Avant de vous lancer, vous devez donc bien évaluer ce que le projet va coûter en termes de prix, dont le coût de la prestation du constructeur. La rémunération de celui-ci varie souvent selon son savoir-faire, sa renommée et son expérience. Cependant, ne pensez pas que plus le professionnel en question coûte cher, plus il parait compétent. Des tarifs élevés ne constituent pas forcément des preuves d’efficacité dans ce secteur. Lors de votre évaluation, recherchez surtout le professionnel qui affiche le meilleur rapport qualité-prix.
Il y a 2 ans et 332 jours

Confort et sécurité pour votre animal

Lorsque vient le temps de planifier la construction ou la rénovation d’un patio, nous tenons compte de plusieurs facteurs; la grandeur, les coûts, les matériaux, les activités que nous planifions y faire, etc. Mais pour les propriétaires d’animaux de compagnie, il n’est pas nécessairement instinctif d’inclure ceux-ci dans notre réflexion. Pourtant votre chien, ou votre chat, y circulera probablement aussi souvent que vous et il pourrait être intéressant de penser à eux lorsque nous planifions nos travaux.   Si vous avez un animal domestique, j’aimerais porter votre attention dans cet article sur quelques points à considérer dans le cadre d’un projet entourant votre patio ou terrasse.     Confort et sécurité pour votre animal Plusieurs matériaux sont disponibles pour la conception d’une surface extérieure. Malheureusement, certains d’entre eux peuvent causer certains problèmes plus ou moins sérieux pour votre animal.   Un point à considérer est que certains matériaux peuvent accumuler plus de chaleur, ce qui peut créer un inconfort pour un animal qui circule sur celui-ci. Dans la même ligne de pensée, choisir une couleur plus pâle pour votre surface, peu importe la solution retenue pour les matériaux, gardera votre surface plus fraîche et donc plus agréable pour votre petit compagnon.   Le matériel lui-même pourrait causer éventuellement des problèmes; du bois craqué qui produit des échardes peut blesser votre animal. Même chose pour des vis ou des clous qui dépassent.    Selon l’animal, et de sa dimension, des espaces entre des planches de bois ou de plastique recyclé pourraient compliquer la circulation de celui-ci. Avant de prendre une décision définitive sur le choix des matériaux, n’oubliez donc pas de considérer la sécurité et le confort de votre animal de compagnie.     La propreté Les animaux n’ont pas tous le même niveau de contrôle et n’ont pas tous eu un entraînement semblable. Cela fait en sorte que votre terrasse puisse éventuellement être le récipient d’un petit dégât de la part de votre animal. Les propriétaires de chien ou de chat ne sont pas parfaitement à l’abri d’un tel incident, et ce n’est jamais agréable.   C’est un facteur à envisager lorsque nous construisons un patio. Est-ce que la surface sera facile à nettoyer? Est-ce qu’un petit dégât me demandera 1 heure de travail? Une fois nettoyée, pourrai-je avoir l’assurance que c’est bel et bien désinfecté? Certains matériaux vont parfois même absorber une partie du dégât, ce qui n’a rien de rassurant à long terme.   N’attendez pas de faire face à cette situation et de regretter de ne pas avoir choisi un matériel différent.     Prévenir les dommages  Les griffes de votre petit ami peuvent parfois causer des dommages sur certaines surfaces, et vous ne voulez pas passer tout votre été à le surveiller pour qu’il ne ruine pas votre investissement. Gardez la tête tranquille et laissez votre animal s’amuser en vous assurant de choisir un matériau suffisamment résistant et durable.     Faites plaisir à votre animal de compagnie Planifiez un coin frais et confortable où il pourra se reposer les jours chauds d’été. Pensez à une façon de créer de l’ombre et de rendre de l’eau fraîche à sa portée au besoin.    Une fois de plus, inclure cet élément dans votre planification est une façon de vous épargner des maux de tête plus tard et de rendre la vie plus agréable à votre compagnon.     Les escaliers Les escaliers qui donnent accès à votre patio doivent aussi faire partie de votre réflexion. Ici, le format de votre animal est ce qui est à considérer. Si vous possédez un petit chien, vous souhaitez qu’il puisse franchir les marches en toute sécurité, sans glisser, ni tomber.   Vous voulez donc choisir un modèle d’escaliers et un matériau qui ne causera pas de problème à votre petit ami.     Que choisir comme matériau? Faites une recherche exhaustive des matériaux disponibles afin de vous permettre de faire le meilleur choix possible pour vous et votre animal.   Parmi les options disponibles, le couvre-plancher de PVC s’avère être un choix potentiellement intéressant.   Si nous révisons les points énumérés plus haut, la membrane de PVC se trouve être parmi les solutions les plus recommandables.   La membrane de PVC est disponible dans plusieurs couleurs, dont des couleurs pâles qui rendent la surface plus fraîche pendant l’été. La membrane est confortable sous les pieds et sous les pattes de votre animal. Une fois installée, elle couvre aussi tout ce qui pourrait blesser éventuellement les pattes.   Le couvre-plancher de PVC est 100% imperméable et est extrêmement facile à nettoyer. Des caractéristiques importantes lorsque malheureusement votre animal fait un petit dégât.   La membrane de PVC est extrêmement résistante; laissez votre animal s’amuser et se promener sans soucis.   Toutes ces particularités font de ce matériau un choix évident lorsque vient le temps de couvrir vos marches d’escalier. Diminuez les risques pour votre animal de glisser ou tomber lorsqu’il monte ou descend de votre terrasse.   Contactez une compagnie d’installation de membrane de PVC pour avoir plus d’informations ou pour obtenir une soumission.     Incluez votre animal dans vos réflexions N’attendez pas d’avoir terminé vos travaux pour réaliser que vous avez oublié de planifier les activités quotidiennes de votre animal de compagnie. Vous voulez lui rendre la vie agréable; qu’il puisse participer aux activités en toute sécurité, confortablement, et sans que chacun de ses petits dégâts ne tourne au drame.   Plusieurs options intéressantes et innovantes s’offrent à vous et à votre animal de compagnie. 
Il y a 2 ans et 333 jours

LGV Bordeaux-Toulouse : première réunion du conseil de surveillance

Ce Grand projet du Sud-Ouest (GPSO) vise à relier Toulouse à Paris en trois heures et à Bordeaux en une heure, soit un gain d'une heure sur chaque trajet, ainsi que de vingt minutes vers Dax.Le conseil de surveillance de la société du GPSO réunit les 25 collectivités territoriales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine qui participent au financement, ainsi que la SNCF.Le GPSO représente "327 km de lignes nouvelles, en incluant les aménagements au sud de Bordeaux et au nord de Toulouse", a précisé Etienne Guyot, préfet d'Occitanie et coordinateur du projet, lors d'une conférence de presse à Toulouse.La SNCF "maître d'ouvrage a présenté le planning de réalisation avec (...) un objectif de mise en service en 2032", a-t-il ajouté, annonçant un début des travaux d'aménagement en 2023.La présidente PS du conseil régional d'Occitanie, Carole Delga, a été élue à la tête du conseil de surveillance, à la suite duquel s'est tenue la première réunion du comité de pilotage du projet.Elle a souligné que le GPSO vise à "permettre une connexion à l'international, mais aussi le développement des trains du quotidien" en Occitanie, impossible selon elle en l'état des structures existantes, saturées ou en passe de l'être.Elle s'est par ailleurs engagée à faire en sorte de "gagner du temps par rapport au premier calendrier présenté" pour une mise en service plutôt en "2030-2031".Alain Rousset, président PS de la région Nouvelle-Aquitaine, a argué que la LGV est un "succès populaire" qui ne dessert pas seulement Paris, mais a "un report massif et écologique" sur les transports quotidiens et a invoqué la nécessité d'une 2e voie ferroviaire pour le fret.Le GPSO est financé à 40% par l'Etat, 40% par des collectivités locales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine, et à 20% par l'Union européenne.Fin juin, la Commission européenne a refusé le financement d'études techniques d'aménagements au sud de Bordeaux, soit 17,3 millions d'euros sur les 2,8 milliards de fonds européens attendus."Cette annonce de l'Union européenne du 29 juin 2022 ne préjuge en rien des appels à projet ultérieurs", a déclaré lundi M. Guyot, soulignant que l'UE préfère soutenir "des projets déjà en phase travaux" et "a déjà financé 39,2 millions du GPSO sur les aménagements ferroviaires au nord de Toulouse, au sud de Bordeaux".Pour les opposants à la LGV toutefois, tel Pierre Hurmic, maire EELV de Bordeaux, "il est encore temps (...) de préparer une candidature alternative" avec la modernisation des lignes existantes, avant le prochain appel à subventions prévu en septembre.
Il y a 2 ans et 333 jours

Budget de l'État : toujours plus de dépenses sans lien avec la crise en 2021

L'an dernier, l'ensemble des dépenses du budget général de l'État a progressé de 37,1 milliards d'euros par rapport à 2020, à 426,7 milliards d'euros.Si les dépenses d'urgence du fait de la poursuite de la crise sanitaire ont reculé de 5 milliards d'euros, celles liées au déploiement du plan de relance se sont accrues de 17,5 milliards d'euros par rapport à 2020.En revanche, les dépenses du budget de l'État "hors mesures de soutien et de relance ont connu en 2021 une progression rapide" de 17,6 milliards d'euros, soit +5,1%, souligne la Cour des comptes dans ce rapport dont la publication, prévue avant le 1er mai, avait été reportée en raison des élections législatives."Cette augmentation est nettement plus forte qu'en 2020, puisque les dépenses hors crise avaient alors progressé de 2,6 milliards d'euros", insiste-t-elle, après s'être déjà inquiété dans un précédent rapport de l'évolution des dépenses publiques une fois la crise sanitaire passée.Cette progression s'explique en grande partie par le versement de l'indemnité inflation (3,3 milliards d'euros), la montée en puissance de la loi de programmation militaire (+2,7 mds) et la hausse de la charge d'intérêts de la dette (+2 mds), une première depuis 2011, liée à l'augmentation des taux d'intérêt et de l'inflation.Bercy, dont les ministres ont présenté lundi en Conseil des ministres le projet de loi de règlement du budget 2021, a souligné l'impact sur les comptes publics d'une subvention de 2,75 milliards d'euros attribuée à l'agence France Compétences, spécialisée dans l'apprentissage et la formation professionnelle.Par ailleurs, "3 milliards de hausse (des dépenses) sont liés aux achats de prévention dans le cadre de la crise sanitaire", comme les masques, souligne-t-on de même source.Entorses"Parmi les risques significatifs pour les années à venir", la Cour des comptes évoque notamment la hausse à venir de la charge d'intérêt de la dette du fait de l'inflation, et "des restes à payer (dépenses engagées devant être payées au cours des prochaines années) en forte progression", avec le plan de relance, le quatrième programme d'investissement d'avenir et la loi de programmation militaire."La soutenabilité de la dette publique suppose une nette réduction du déficit structurel dans les années à venir et notamment une action sur la dépense publique, dont le niveau rapporté au PIB est resté, en 2021, nettement supérieur à son niveau d'avant-crise", a embrayé le Haut Conseil des Finances publiques dans un avis sur le projet de loi de règlement publié lundi soir.Sur le plan de la technique budgétaire, la Cour des comptes regrette aussi des "entorses aux principes budgétaires" l'an dernier, avec des reports de crédit en fin d'année qui ont été "très supérieurs à ceux constatés habituellement".Le ministère a pour sa part jugé lundi soir qu'il n'y avait pas eu "d'irrégularité majeure" et a défendu la "prudence" et "l'agilité" budgétaires dont il a dû faire preuve face aux incertitudes de la situation sanitaire.Par ailleurs, la Cour des comptes a jugé "régulier et sincère" le compte général de l'État pour l'exercice 2021, malgré un certain nombre d'anomalies "significatives": un manque de provision pour le financement des dépenses militaires pour "au moins 3 milliards d'euros", une participation de l'État surévaluée dans EDF et sous-évaluée dans la Caisse des dépôts.
Il y a 2 ans et 333 jours

Insolite : un centre de données sera bientôt refroidi à l'huile de cuisson recyclée

ÉNERGIE. Dans les Yvelines, un data center sera bientôt alimenté avec une huile 100% biodégradable. La foncière de Région Île-de-France finance en partie ce projet.
Il y a 2 ans et 333 jours

Rudy Ricciotti lauréat du projet du musée du Grand Siècle

ARCHITECTURE. Le concepteur du MuCEM à Marseille se voit confier la réalisation du futur musée du Grand Siècle, dans le département des Hauts-de-Seine. Cet espace abritera les collections dédiées à l'art et à l'histoire du XVIIe siècle.
Il y a 2 ans et 333 jours

GPSO : la société de projet officiellement sur les rails

INFRASTRUCTURE. Le 4 juillet 2022, la Société du Grand Projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO) qui pilotera notamment la création de la ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse, a franchi une étape importante : elle a installé son conseil de surveillance, voté un premier budget ainsi qu'une première convention de financement. Des débuts aussi marqués par une réunion du comité de pilotage et une mise au point concernant la participation de l'Europe.
Il y a 2 ans et 333 jours

Avec Concord Colossal, Sylvania offre une nouvelle dimension à l’éclairage architectural

L’éclairage architectural est un art dans lequel Concord de Sylvania s’efforce depuis toujours de développer des solutions qui répondent aux exigences des prescripteurs et concepteurs lumière. Aujourd’hui, la marque illustre une nouvelle fois son expertise et va encore plus loin. Elle les invite à entrer dans une nouvelle dimension et lance Concord Colossal, une large gamme de luminaires qui associent un design moderne et élégant à une qualité d’éclairage premium, ADN de la marque. Un design tout en finesse et élégance Idéale pour des applications décoratives dans le secteur tertiaire, l’hôtellerie, la restauration et les commerces, Concord Colossal se distingue par sa forme circulaire qui lui confère une apparence moderne. Son style minimaliste est renforcé par le design uniforme et sans soudure de l’anneau en aluminium. Fabriquée en France à Saint-Etienne, la gamme Colossal se décline dans quatre diamètres (400, 600, 900, 1200 mm) dont les plus grands modèles, de par la forme tout en douceur du luminaire, apportent un véritable parti pris esthétique aux pièces dans lesquels ils trouvent leur place. Une flexibilité d’installation pour structurer les espaces Grâce à ses différentes options de mise en œuvre (saillie, suspendue, murale pour les versions 400 et 600 mm), Concord Colossal donne la possibilité aux architectes et maîtres-d’œuvre de jouer avec le produit tant au niveau de ses dimensions que de son installation. En les plaçant à diverses hauteurs dans le cadre d’une pose suspendue pour créer un nuage de luminaires, ou en les positionnant de manière plus ou moins aléatoire sur un mur, les prescripteurs peuvent structurer les espaces de façon élégante et esthétique. Ils leur redonnent ainsi une dimension plus humaine, sans jamais compromettre la qualité de la lumière. La qualité d’éclairage premium signée Concord Au-delà de son design élégant, Concord Colossal dispose de deux types de distribution lumineuse : directe et directe/indirecte (halo indirect). Cette dernière présente, là encore, un véritable intérêt esthétique dans le cadre d’une installation en saillie, au mur ou au plafond pour donner, grâce à ce halo de lumière projeté à l’arrière, une dimension supplémentaire au luminaire. A l’instar de toutes les solutions d’éclairage développées par Concord by Sylvania, Colossal garantit un excellent confort visuel dans sa version prismatique en réduisant l’éblouissement (UGR90, primastique/opalisée…) pour répondre à tous les besoins quelles que soient les applications décoratives, Concord Colossal est proposé en version DALI et, sur demande, avec les solutions de gestion d’éclairage sans fil SylSmart Standalone et SylSmart Connected Building. Alliant une grande variété de dimensions et d’intensités lumineuses à un design inédit, la gamme de luminaires architecturaux circulaires Concord Colossal offre un éventail de possibilités aux prescripteurs et concepteurs lumière pour scénographier des installations d’éclairage uniques.  
Il y a 2 ans et 333 jours

Vinci va réaliser un projet routier pour plus de 300 millions d’euros en Nouvelle-Zélande

Le projet du Penlink, au nord d'Auckland, attribué à HEB Construction - filiale locale de Vinci Construction - en groupement avec Fulton Hogan, Aurecon et Tonkin + Taylor, comprend la construction d’une nouvelle voie rapide à 2x2 voies de 7 km, complétée d’une voie à mobilité partagée pour piétons et cyclistes, ainsi que la construction de six ponts, dont le premier pont extradossé de Nouvelle-Zélande.
Il y a 2 ans et 333 jours

Futur musée du logement populaire cherche... logement HLM

"Nous recherchons un territoire emblématique des grandes transformations socio-économiques des banlieues populaires au cours du XXème siècle", a détaillé Diane Chamboduc, enseignante d'histoire-géographie et vice-présidente de l'Association pour un musée du logement populaire (Amulop).Cette association, qui regroupe une quinzaine d'enseignants, chercheurs ou archivistes majoritairement issus de Seine-Saint-Denis, promeut le projet de musée pour raconter l'Histoire à travers les vécus des habitants des banlieues.Les quelque 5.700 personnes venues au cours des neuf derniers mois visiter l'exposition dans la cité Emile-Dubois d'Aubervilliers - entre logements témoins, richesses documentaires et récits familiaux - l'encourage à poursuivre.Prochaine étape: dégoter un lieu adéquat pour héberger un musée pérenne, à l'horizon 2024-2028.L'association en appelle aux bailleurs, offices publics d'habitats et pouvoirs publics pour dénicher la perle rare."Un immeuble relativement ancien, au tournant du XIXème-XXème siècle" idéalement, pour "la profondeur historique", et desservi par les transports en commun pour faciliter son rayonnement touristique, a précisé Mme Chamboduc.Son passé industriel et ouvrier, son peuplement "constitué des différentes vagues migratoires", ses grandes mutations urbaines mais aussi la "grande fragilité socio-économique d'une partie de sa population" font de la Seine-Saint-Denis "le territoire idoine pour raconter l'histoire sociale de la banlieue parisienne", assure l'Amulop.Le futur musée veut incarner les parcours de vie des habitants "dans une démarche participative", divergeant en cela des exemples de la Cité radieuse à Marseille ou du Familistère de Guise (Aisne), pour se rapprocher du modèle du Tenement Museum dans le Lower East Side de New York."Je veux que ce premier musée français soit en Seine-Saint-Denis", a déclaré Stéphane Troussel, président (PS) du conseil départemental, qui a lui-même grandi dans des tours."C'est la spécificité française que d'avoir le logement social comme un élément du patrimoine commun, en particulier pour ceux qui justement n'ont pas de patrimoine", a-t-il insisté, réaffirmant le soutien financier à l'association.Le musée racontera "une histoire de France certainement, mais aussi une histoire universelle" et surtout "une fierté d'être ici", loin des clichés, a pointé Emmanuel Bellanger, directeur du Centre d'histoire sociale des mondes contemporains, associé au projet.
Il y a 2 ans et 333 jours

“1 immeuble, 1 œuvre” : L’importance de l’art dans la ville

L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. [©Eva Jospin] L’art ne laisse pas indifférent. On aime ou on déteste, mais il stimule les émotions. L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. « Il n’y a pas si longtemps qu’il existe une rupture entre l’architecture et les artistes, depuis que la construction s’est industrialisée et normalisée », insiste l’artiste Eva Jospin. C’est pourquoi en 2015, le ministère de la Culture et de la Communication a lancé le programme “1 immeuble, 1 œuvre”, en lien avec la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Ceci, afin d’accompagner les promoteurs et sociétés foncières dans cette démarche de soutien à la création artistique et de diffusion des arts plastiques. 72 signataires actuellement « Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. [©Emerige] Ils étaient 13 signataires alors, s’engageant à commander ou à acquérir une œuvre d’art auprès d’un artiste pour tout immeuble à construire ou à rénover. En 2018, c’est l’envol du programme de commandes artistiques. Aujourd’hui, les acteurs de l’immobilier sont toujours plus nombreux à s’engager volontairement, en signant la charte ministérielle, à financer l’acquisition ou la production d’une œuvre. Ils sont désormais 72, du grand groupe immobilier comme Emerige, dirigé par Laurent Dumas, à l’initiative de la proposition ministérielle, Vinci Immobilier, Bouygues Immobilier ou de plus petits acteurs, citons Bâti-Nantes ou des bailleurs sociaux à l’instar de Toit et Joie – Poste Habitat. Tous s’engagent à faire appel à un artiste vivant, en procédant à la commande ou à l’achat d’une œuvre existante, dans le champ des arts visuels. Et à prendre à leur charge la rémunération de l’artiste, ainsi que les coûts de réalisation et d’installation de l’œuvre. 554 œuvres produites, partout en France Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction. [Interconstruction] Au final, depuis sa création, l’association a vu la commande de 554 œuvres, partout en France. A l’intérieur ou à l’extérieur des bâtiments, dans les parties communes ou sur la place publique, un véritable parcours d’œuvres se dessine sur l’ensemble du territoire. Sculptures, peintures, installations lumineuses, photographies ou créations originales de mobilier : les réalisations renouent avec une pratique historique d’un dialogue concerté entre art et architecture. Et confirment la diversité et la richesse de la scène française. Depuis le lancement de l’opération, des artistes, émergents ou confirmés, ont convié habitants et visiteurs à la réflexion, à la rêverie, à la discussion, mais aussi au débat. Parmi lesquels Daniel Buren, Johan Creten, Gloria Friedman, Fabrice Hyber, Eva Jospin, Arik Levy, Théo Mercier, Yann Lestrat ou encore Prune Nourry. Le programme s’est aussi ouvert aux propositions artistiques temporaires conduites sur le temps de chantiers. « J’ai la conviction que l’art doit infuser dans la ville par l’architecture. Pour Linkcity, il est important de développer une vision artistique dans nos réalisations architecturales. C’est une vraie volonté de Linkcity. La majorité des opérations livrées comprennent une œuvre. Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. Un cheminement piéton « Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. [©Linkcity] « Je suis attaché à “L’empreinte du Mammouth”, réalisée par Stefan Shankland. Cette œuvre s’inscrit au cœur du lot O8 dans la Zac des Batignolles (Paris VIIe). L’artiste a utilisé le “Marbre d’ici”, qui est le nom donné à la nouvelle matière première produite à partir du recyclage des gravats et déchets de chantier. Réduits en poudre, mélangés à du ciment et coulés en strates, ces déchets inertes ont été transformés en une ressource : un matériau noble, un béton à haute valeur patrimoniale, esthétique et écologique, pour la réalisation d’un cheminement piéton sillonnant à travers le jardin au pied des immeubles du lot O8 », explique Philippe Da Silva. Et l’artiste Stefan Shankland, de poursuivre : « Cette œuvre produit un monument ordinaire à l’effigie de la transformation de la matière et crée une continuité entre l’avant, le pendant et l’après transformation urbaine. Le chantier est un métabolisme qui transforme les ressources naturelles au cours du temps et laisse, pour trace ultime de son activité, un immeuble. Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale ». Grâce à l’art contemporain « Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale. » ©Stefan Shankland] En 2021, Intercontruction a signé la charte “1 immeuble, 1 œuvre”, mais depuis plus de 20 ans, ce promoteur associe une œuvre d’art par construction. L’artiste est choisi en fonction du lieu et des habitants. « Derrière chaque œuvre, il y a un artiste. Comme tout chercheur, il évolue dans un processus méthodique de réflexion et d’exploration souvent long et intuitif. Nous souhaitons mettre un supplément d’âme dans nos constructions grâce à l’art contemporain. Nos chantiers les plus emblématiques ? Nous avons posé avec les artistes de Duoduo une œuvre en céramique sur un pignon d’immeubles à Vanves. Je me souviens aussi des photos de Corinne Mercadier à Courbevoie ou encore les peintures abstraites de Patrice Pantin, à Guyancourt », souligne Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction.En finançant l’acquisition d’œuvres artistiques dans leurs programmes immobiliers, les promoteurs soutiennent la création contemporaine et valorisent l’architecture. Cet engagement inédit améliore la qualité de vie des habitants, en permettant au plus grand nombre d’accéder à la création artistique. Aujourd’hui, le programme “1 immeuble, 1 œuvre” continue de fédérer et de mobiliser promoteurs immobiliers, sociétés foncières et bailleurs sociaux. De plus en plus nombreux à rejoindre le programme, désireux d’engager un échange et un partage autour d’œuvres d’art dans des lieux de vie ou de travail. « Depuis les années 1950, la commande artistique était l’apanage de la puissance publique notamment à travers le 1 % artistique. Des acteurs de l’immobilier commandaient des œuvres de manière individuelle. Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. L’art et l’architecture ne font plus qu’un “Matera”, œuvre d’Eva Jospin. [©Cyrille Dubreuil] Et de poursuivre : « Les projets qui m’ont beaucoup touché ? La forêt d’Eva Jospin dans le VIIe arrondissement. Cette œuvre pour Beaupassage a été réalisée, en 2017, dans d’anciens entrepôts appartenant à Emerige, rue de Tolbiac à Paris, et qui servaient d’atelier d’artistes mis à disposition par le groupe. Telle une grande forêt immersive dans la longueur de la galerie d’accès au boulevard, “La Traversée” est apposée le long du mur, côté droit. Côté gauche, cette futaie est réfléchie par des poly-miroirs plans. La forêt de carton, matériau de prédilection de l’artiste, forme un immense haut-relief de 530 cm de long par 280 cm de haut. Bois, branches, rameaux, racines, frondaisons, cimes, troncs, ramifications, feuilles, fruits, bourgeons, greffons, buissons, arbres, arbustes, tiges, mousses… Tout ce qui forme l’enchevêtrement sylvestre, mystérieux, insondable, voire labyrinthique d’une forêt devient, dans les mains d’Eva Jospin, un paysage modelé, découpé, incisé et ciselé dans du carton ». Et Eva Jospin, de reprendre : « A Massy-Palaiseau, dernièrement je suis intervenue sur toute une façade pour le cabinet Brenac et Gonzales Associés. Et également à Bagneux pour le cabinet Lambert Lenack. Les deux étant des commandes d’Emerige. J’ai utilisé la technique du béton matricé avec des bas-reliefs en carton, moulés. Je travaille sur les façades, sur toute l’architecture. L’art crée une passerelle, un langage avec le bâtiment ». Une expo photos sur les palissades de chantier Sacha Goldberger a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. On peut être une entreprise assise sur des milliards d’euros de gestion d’actifs en Europe, en Asie et en Amérique, et faire une pause dans le temps. C’est ce qu’a fait Ardian, présidé par Dominique Sénéquier, qui a confié au photographe Sacha Goldberger, le soin de donner vie à un chantier de réhabilitation de l’ancien immeuble d’Europe 1, rue François 1er à Paris. Les noms de la rue et du chantier lui-même (“Renaissance“) l’ont inspiré pour mettre en scène les artisans intervenant sur place pour restaurer l’immeuble racheté en 2018 par Ardian Real Estate, la branche “Immobilier” du groupe. Il a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. Chacun pose avec son outil de travail. Toutes ces réalisations témoignent du lien prégnant entre l’art et l’architecture, qui refait son apparition dans la construction et fait connaître à un plus grand nombre l’art contemporain. Muriel Carbonnet
Il y a 2 ans et 333 jours

Configurateur Plancher dalle, un logiciel développé par RECTOR pour accompagner les architectes

Pour anticiper la transformation des bâtiments dès leur conception et réduire leur impact environnemental, RECTOR lançait, en 2020, Caméléo®, une structure révolutionnaire de plancher dalle préfabriquée en béton sans mur porteur, intégrant tous les éléments résistants dans l’épaisseur du plancher. Cette nouvelle approche impactant la manière de construire, RECTOR crée, aujourd’hui, le configurateur Plancher dalle pour accompagner les architectes dans le pré-dimensionnement de leurs projets. Caméléo®, un système constructif révolutionnaire Le système Caméléo® de Rector est une structure en béton sur-mesure et préfabriquée en usine pour s’affranchir des murs porteurs et intégrer tous les éléments résistants dans l’épaisseur du plancher. Il a été développé pour concevoir des bâtiments pérennes, pensés structurellement pour être évolutifs. Avec Caméléo®, RECTOR exploite les performances mécaniques du béton armé pour alléger la structure au maximum et contribuer ainsi à la sobriété environnementale du bâtiment. Configurateur Plancher dalle, un outil pour accompagner le changement des méthodes, des pratiques et des modes constructifs Utilisé par le Bureau d’Etudes de Rector, le nouveau configurateur a été développé pour accompagner les architectes dans la création et le pré-dimensionnement de leur projet en y intégrant une structure Caméléo®. Chaque projet étant unique, il permet d’indiquer des informations techniques (type de béton et éléments d’armature mis en œuvre), et de valider la structure globale du bâtiment. En s’appuyant sur le BIM, Rector livre ainsi à l’architecte une maquette IFC 3D vérifiée en terme de structure, des notes de calcul, un quantitatif et une évaluation du poids carbone de son projet ainsi que le volume béton nécessaire à son ouvrage. Toutes ces informations pourront être intégrées dans sa maquette générale. Avec le nouveau configurateur Plancher dalle qui simplifie les méthodes de calcul, le Bureau d’Etudes Rector répond rapidement et avec précision aux sollicitations des architectes. http://www.rector.fr/
Il y a 2 ans et 333 jours

Un projet de structuration pour la gestion des matériaux issus des chantiers

L'Icam, école d'ingénieurs, lance un projet de structuration pour le réemploi et le recyclage des matériaux issus des chantiers, en collaboration avec d'autres organismes.
Il y a 2 ans et 333 jours

Renoptim : Le CSTB lance un AMI sur des solutions de confort thermique

Dans la cadre du programme PROFEEL et du projet Renoptim, le CSTB lance un appel à manifestation d'intérêt auprès des industriels et des start-up pour identifier, tester et mettre en œuvre des solutions innovantes en matière de confort thermique facilitant la rénovation énergétique des bâtiments existants. Cet Appel à Manifestation d'Intérêt est lancé dans le cadre de PROFEEL, programme financé par les CEE porté par 16 organisations professionnelles du bâtiment et visant à développer des outils innovants facilitant la rénovation énergétique des bâtiments existants. Dans un contexte où les épisodes de forte chaleur et les périodes de canicules sont et seront de plus en plus fréquents, la problématique de l'inconfort thermique d'été risque de générer une croissance des consommations d'énergie et d'émissions de CO2 par le recours systématique à la climatisation. Nous pensons que l'une des clés de la modération de cet usage est la bonne mise en œuvre de vos technologies, qu'elles soient actives ou passives, afin d'activer tous les leviers. Dans ce contexte, le projet RENOPTIM se positionne sur la modération de l'usage de climatisation en fournissant des outils qui aideront des bailleurs sociaux et des foncières privées en logement collectif métropolitain, à identifier au cas par cas les meilleures solutions pour la maîtrise du confort thermique d'été sans pour autant exclure totalement le recours à la climatisation. Ce projet prévoit, dans l'une de ces étapes, de mettre en œuvre des expérimentations de solutions techniques. Ce projet se déroule de 2022 à 2023. Il est copiloté par l'USH et le CSTB. Renoptim vise à équiper les bailleurs sociaux et les foncières privées en outils numériques dédiés à la maîtrise du confort thermique d'été de leur parc de logements collectifs existants en France métropolitaine. L'objectif est de modérer l'usage de la climatisation, tout en garantissant un niveau de confort acceptable. D'ici à 2024, le projet produira au bénéfice des bailleurs et des foncières : Des fiches de description unitaire de solutions technologiques : les descriptions seront génériques, qualitatives et présentées par famille de solution (ex. : ITE, toiture végétalisée, sur ventilation etc…) Des outils numériques d'aide à la décision pour les professionnels qui permettront d'identifier, au sein d'un parc, les bâtiments présentant les situations les plus critiques a priori et de proposer des pistes de solutions au cas par cas pour maîtriser le confort thermique d'été lors des prochains travaux et donc limiter les consommations d'énergie. Des méthodes pour favoriser l'appropriation des bonnes pratiques par les locataires. Dès l'été 2023, une démarche expérimentale sur une centaine de logements sera déployée en appui à la construction de ces outils. Dans ce cadre, votre contribution consiste à mettre à disposition du projet votre technologie d'amélioration du confort thermique d'été. Cet AMI constituera une opportunité de démontrer expérimentalement l'intérêt des technologies développées pour la maîtrise du confort d'été et la réduction de la consommation énergétique. Les concepteurs bénéficieront ainsi d'une mise en visibilité de la famille à laquelle leur technologie appartient via les fiches solutions et les outils numériques Renoptim qui seront diffusés gratuitement aux professionnels de la gestion de parcs résidentiels en bâtiment collectifs. En savoir plus : Consulter l'AMI complet et candidater RENOPTIM PROFEEL
Il y a 2 ans et 333 jours

2022, une année sous le signe de l’innovation technique pour la société Orsol

Avancée technique majeure avec l’obtention de deux ATExNouvelle étape qui s’inscrit pleinement dans la démarche qualité en place, les parements ORSOL bénéficient depuis juillet 2021 d’une ATEx (Appréciation Technique d’Expérimentation) de cas A n°2926-V1 délivrée par le CSTB.Cette appréciation technique vise à évaluer des produits ou procédés innovants par le biais de l’examen d’un dossier. Cette procédure d’évaluation a été menée par un comité d’experts coordonné par le CSTB, et s’est conclue par la délivrance d’une ATEx qui atteste de la fiabilité des parements ORSOL et de leur procédé de pose IDEAPOSE pour les supports de type béton banché et RT3 revêtus d’un enduit CS4. Ce procédé permet à ORSOL de garantir ses produits 10 ans (hors pose) et assure un rendu esthétique optimal dans le temps.De nouvelles possibilités au-delà du DTU pour les professionnels de la constructionCette ATEx offre notamment la possibilité de poser des parements ORSOL à joints non remplis dont le poids est supérieur à 40 kg/m22 jusqu’à une hauteur de 6m, en extérieur.Les parements ORSOL pourront donc être posés dans des situations non visées par le DTU 52.2 (Document Technique Unifié), et être ainsi plus facilement recommandés dans le cadre d’appels d’offre pour des chantiers publics ou ceux soumis à l’approbation d’un bureau de contrôle. Cette ATEx est ainsi une véritable reconnaissance technique qui facilite la démarche des architectes et promoteurs, car elle confirme que les parements ORSOL répondent pleinement aux normes de sécurité et de performance attendues dans le domaine de la construction.Une nouvelle ATEx en partenariat avec ZOLPANPour répondre aux préoccupations environnementales et exigences réglementaires en matière de performance énergétique (RT2012 et désormais RE2020), d’autres avis techniques ou ATEX sont en cours de développement de manière conjointe avec d’autres entreprises du bâtiment, notamment dans le domaine de l’ITE (Isolation Thermique par l’Extérieur). ORSOL a ainsi obtenu en décembre 2021 une ATEx en partenariat avec ZOLPAN pour la pose des parements ORSOL sur support PSE (isolation au polystyrène expansé). Cela ouvre de nouvelles perspectives techniques pour les projets d’architectes ou promoteurs immobiliers.Une démarche qualité renforcée avec la validation de nouveaux essais sismiquesAu cœur de son développement depuis de nombreuses années, la démarche qualité ORSOL permet à l’entreprise de proposer des produits fiables et durables pour les habitations et les lieux publics.Leurs résistances technique et chromatique en font des produits idéaux pour une utilisation en intérieur comme en extérieur. Dans le cadre de sa démarche qualité, ORSOL apporte donc le plus grand soin à ses processus de fabrication en relation avec les préconisations du CERIB (Centre d’Etudes et de Recherches de l’Industrie du Béton).En s’appuyant sur son Laboratoire interne, ORSOL procède régulièrement à des essais techniques, ce qui lui permet de vérifier que ses produits répondent aux normes du bâtiment recommandées par le CSTB (Comité Scientifique et Technique du Bâtiment). Ces essais se font sur les principaux critères de conformité propres au domaine des revêtements muraux, qui ont permis d’obtenir les résultats suivants sur les parements ORSOL et leurs accessoires:Coefficient d’absorption d’eau par immersion de 6,0 % conforme à la norme NF EN 13198-2003Résistance au gel / dégel : aucun défaut d’aspect, d’épaufrure, d’écaillage après 25 cycles NF EN 13198Résistance à la flexion : conforme à la norme NF EN 13 748-1 : Résistance > 4 MPa.Adhérence couple mortier colle / parement avec conditions initiales + après cycle gel/dégel : Conforme à la norme NF EN 12004 : Force de traction > 1.72MPa.Résistance à la compression : f(c28)= 50 MPa selon NF EN 12 1390-3.Résistance au feu : résistant selon la classification européenne A1 (anciennement M0)Coefficient d’absorption solaire : < 0,7 % (sauf Black, Anthracite, Ton Rocaille, Gris clair et Gris nuancé)C’est dans cette même optique d’amélioration continue que fin 2021, le CSTB a procédé à des essais sismiques jamais réalisés jusque là.Le test Eurocode 8 selon la norme NF EN 1998-1Un test dont l’objectif est de s’assurer qu’en cas de séisme, les vies humaines sont protégées, les dommages limités et les structures importantes pour la protection civiles sont opérationnelles. Pour cela, des parements jointés (collection Manoir) et à joints non remplis (collection Rocky Mountain) ont été posés dans les règles de l’art sur un support auquel on applique des vibrations. Les essais consistent en 8 séquences de test où on augmente progressivement ces vibrations. Le résultat de ces tests s’est avéré plus que satisfaisant puisque les parements ORSOL sont arrivés sans aucune chute ou fissuration jusqu’à la dernière phase de vibrations sismiques, censée représenter le tremblement de terre le plus important possible en France et dans les DOMTOM).Cette nouvelle série de tests a donc apporté la confirmation que les parements ORSOL peuvent être posés sur l’ensemble du territoire français, y compris dans des zones où la sismicité peut être importante.
Il y a 2 ans et 333 jours

Studios Architecture signe le nouveau siège Les Résidences Yvelines-Essonne

Sobriété vivante Le dernier projet de STUDIOS en architecture intérieure, développé pour Les Résidences Yvelines-Essonne, prône le retour aux fondamentaux qui créent la personnalité et l’équilibre des lieux. Dans l’esprit de la culture d’entreprise de l’ESH, les architectes ont développé une écriture sobre et efficace. Les espaces s’activent au travers de détails simples mais très soignés, dans les aménagements, les matériaux et le choix des couleurs. En témoigne le remarquable desk d’accueil aux allures courbées, qui se pare de fines lames de bois à la partition rythmée. D’emblée, le ton est donné pour partir à la découverte de ces touches subtiles ici et là déposées dans les différents espaces. L’ensemble, qui s’érige sur 5 étages, déploie un style feutré, au caractère intemporel. L’atmosphère est chaleureuse et apaisante, propice au bien-être et aux échanges. Aux étages, les plateaux ouverts offrent une grande fluidité dans l’expérience des utilisateurs. Les architectes ont souhaité casser la froideur de bureaux traditionnellement juxtaposés pour créer du relief en composant, à partir d’une diagonale, le mouvement de zones de travail assemblées en îlots dynamiques. De multiples espaces de collaboration viennent enrichir les zones de productivité. Ils sont tantôt ludiques comme le « cirque » aux gradins de bois recomposé et aux cubes colorés. Ou inspirée des halls d’hôtels avec fauteuils vintage et chaises de bar face aux grandes baies vitrées. La cafétéria invite au calme dans un esprit « salon ». Au dernier étage, la terrasse accessible à tous offre une vue 360 dégagée, avec des assises confortables pour s’y attarder. L’aménagement intérieur joue la carte de la simplicité. Le mobilier, qui privilégie les matériaux bruts comme le bois, est rehaussé de couleurs chaudes et apaisantes qui s’activent sur les murs et les tissus des fauteuils.Pour Hidékazu Moritani, Architecte Associé chez STUDIOS Architecture : « Le rôle de l’architecte est dans le détail. L’efficacité de matériaux travaillés avec finesse, et la cohérence des aménagements signent l’intemporalité d’un lieu. A travers ce projet, nous proposons un retour à la sobriété vivante et lumineuse, où les choix simples créent l’équilibre et l’harmonie. »
Il y a 2 ans et 333 jours

Le CCCA-BTP, accélérateur d'innovation dans la formation aux métiers du BTP, fête ses 80 ans

La soirée a été ponctuée de plusieurs séquences, en présence de personnalités et de représentants de l’État et des professionnels des secteurs du bâtiment et des travaux publics, acteurs de premier plan qui agissent au quotidien pour assurer une haute qualité pédagogique dans la formation professionnelle aux métiers du BTP, en particulier par la voie de l’apprentissage, et répondre aux besoins en compétences des entreprises et aux attentes des jeunes.Un événement riche d’échanges avec…Carine Seiler, Haut-commissaire aux compétences Sur le thème : « Transformation et digitalisation de la formation - De nouvelles modalités d’acquisition des compétences »Stéphane Rémy, Sous-directeur des politiques de formation et du contrôle à la délégation générale à l'emploi et à la formation professionnelle (DGEFP) Sur le thème : « Les branches du bâtiment et des travaux publics - Un rôle essentiel dans la mise en œuvre des politiques publiques » Édouard Geffray, Directeur général de l’enseignement scolaire au ministère de l’Éducation nationale Sur le thème : « Formation des enseignants et des formateurs - Qualité de l’acte pédagogique » Jean-Pierre Willems, Consultant, professeur à l’Université Paris 1 Panthéon-SorbonneSur le thème : « L’apprentissage BTP - Les grands enjeux à venir »Bruno Villalba, Professeur de sciences politiques à AgroParisTech Sur le thème : « Les secteurs du bâtiment et des travaux publics - Acteurs de la performance environnementale »Catherine Vandor, Mère d’un ancien apprenti formé à BTP CFA Brétigny-sur-Orge Sur le thème : « L’apprentissage aux métiers du BTP - Une voie de formation qui fait grandir »Ces séquences ont été ponctuées par les interventions d’Éric Routier, président du CCCA-BTP, et de Jean-Christophe Repon, vice-président du CCCA-BTP, ainsi que par des vidéos témoignages.Depuis 80 ans, toujours un temps d’avance...À travers 80 ans d’innovation au service des entreprises et des apprentis du BTP, le CCCA-BTP est resté fidèle à sa mission originelle : promouvoir et concourir au développement de la formation professionnelle aux métiers du BTP.C’est en prenant en permanence des initiatives et en gardant toujours un temps d’avance sur les évolutions socio-économiques, législatives, techniques, technologiques ou pédagogiques que le CCCA-BTP est devenu au fil des années un acteur majeur de la formation professionnelle aux métiers du BTP, en particulier par la voie de l’apprentissage. 94 500 apprentis sont aujourd’hui en formation dans les métiers du BTP dans près de 400 établissements de formation partout en France.Grâce à son ancrage paritaire, qui le connecte directement aux réalités des métiers et des territoires, le CCCA-BTP mène de nombreuses actions sur tous ses champs d’expertise (pédagogie, innovation, études, montée en compétences, communication…) au profit du développement et de l’excellence de l’apprentissage BTP. Ces actions visent à garantir une haute qualité pédagogique dans la formation aux métiers du BTP et à répondre aux besoins en compétences des entreprises du secteur et aux attentes des jeunes, y compris en termes d’accompagnement socio-éducatif.Anticiper, innover, performer…Avec la loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel, la formation professionnelle, en particulier l’apprentissage, a connu une mutation sans précédent, à laquelle les organismes de formation ont dû s’adapter, tant en termes de fonctionnement et d’organisation, qu’en matière d’offre et d’actions de formation, mais aussi d’innovation. C’est également pour répondre à ce profond changement, que le CCCA-BTP s’est lui aussi transformé et adapté pour relever tous les défis du nouvel environnement de la formation professionnelle. En sa qualité d’outil des branches du bâtiment et des travaux publics, le CCCA-BTP agit au profit de l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP. Avec son offre de services, il les accompagne pour leur permettre d’anticiper les évolutions, gagner en attractivité, assurer le développement de leur activité, optimiser leur performance et garantir une haute qualité pédagogique sur l’ensemble des territoires. Le CCCA-BTP, qui fait de l’innovation un marqueur fort de son action, soutient les expérimentations et les projets innovants avec des appels à projets et appels à candidatures, conçoit des ressources et outils pédagogiques adaptés à la montée en compétences des apprentis, aux nouvelles formes d’apprentissage (réalité virtuelle et augmentée, formation à distance, hybridation des compétences) et aux besoins en qualification professionnelle des entreprises. Le CCCA-BTP est un éclaireur de tendances, un accélérateur d’innovation dans la formation aux métiers du secteur de la construction et un impulseur de performance, au profit des organismes de formation aux métiers du BTP et, plus largement, au service des branches du bâtiment et des travaux publics.Le mot d’Éric Routier, président du CCCA-BTP« Nous avons souhaité faire de ce 80e anniversaire un moment à la fois convivial et éclairant de notre action au profit du développement, de l’excellence et de la performance de l’apprentissage BTP. Nous sommes les héritiers d’une longue histoire, sur laquelle nous pouvons capitaliser et qui nous permet d’éclairer notre présent et d’inscrire résolument notre action dans l’avenir. Les professionnels du BTP ont toujours eu la profonde conviction qu’investir dans la formation des talents de demain est une condition essentielle, pour assurer le développement et la pérennité de notre secteur du BTP. Les apprentis que nous formons sont les futures forces vives de nos entreprises. C’est au profit de l’ensemble des organismes de formation aux métiers du BTP que notre association à gouvernance paritaire agit aujourd’hui, avec une offre de services qui leur est spécifiquement dédiée, pour assurer la performance de leur activité et une haute qualité pédagogique. » Le mot de Jean-Christophe Repon, vice-président du CCCA-BTP « L’identité paritaire de notre association nationale, qui connecte directement le CCCA-BTP aux réalités des métiers et des territoires, nous a toujours permis d’avoir un temps d’avance, pour adapter la formation à nos métiers du bâtiment et des travaux publics et répondre ainsi aux besoins en compétences et qualifications professionnelles dont nos entreprises ont besoin. Le CCCA-BTP a toujours eu une vision d’avenir et a toujours fait de l’innovation l’un des marqueurs essentiels de son action. C’est cette capacité à anticiper qui permet à notre secteur du BTP d’être aux rendez-vous des grandes transformations, qu’il s’agisse des transitions énergétique, technologiques ou numérique. La formation est essentielle aux entreprises et aux jeunes qui choisissent nos métiers. Elle est à la fois un vecteur économique, une source de développement et de compétences. La pérennité de nos entreprises passe par la promotion de l’apprentissage. »
Il y a 2 ans et 333 jours

Le projet d'encadrement de la hausse des loyers validé par le CNH

Le Conseil national de l'habitat (CNH), instance regroupant les acteurs du logement, a adopté lundi 27 juin la proposition du gouvernement d'encadrer la hausse des loyers à 3,5% maximum pour faire face à l'inflation.
Il y a 2 ans et 333 jours

Le groupe CDVI rachète le fabricant espagnol de produits de verrouillage JIS

Le groupe CDVI est heureux de pouvoir annoncer la finalisation de l’acquisition de la société NADAL BADAL, fabricant espagnol des serrures JIS. Situé près de Barcelone dans la région de la Catalogne en Espagne, NADAL BADAL est devenu un expert mondial en serrures, gâches et verrous. Cette acquisition permet à CDVI d’intégrer l’expérience et l’expertise technique de l’ensemble des collaborateurs de NADAL BADAL, et de proposer une gamme de verrouillage plus complète que jamais. L’entreprise exportant vers plus de 40 pays, ce rachat représente une opportunité complémentaire pour CDVI qui s’ouvre ainsi vers encore plus de nouveaux partenaires distributeurs à travers le monde. « Toute l’équipe du groupe CDVI est ravie de finaliser et d’annoncer l’acquisition de la société NADAL BADAL. Largement reconnu dans l’industrie de la sécurité pour la gamme et la qualité de nos serrures et gâches, le groupe CDVI sera désormais en mesure d’offrir des solutions à des clients multisectoriels, sur de nombreux et différents projets. Nous accueillons chaleureusement NADAL BADAL dans notre famille et nous nous réjouissons à l’idée de remporter à l’avenir de nouveaux succès, ensemble » déclare Yoram Benhamou, PDG du Groupe CDVI. « NADAL BADAL a été fondée en 1950 en tant qu’entreprise familiale. Restée dans le giron familial depuis cette date, elle compte aujourd’hui plus de 50 employés. Nous sommes maintenant heureux de rejoindre une autre famille, celle du groupe CDVI, et impatients de voir où ce voyage nous mènera ensemble » se réjouit Joan Nadal, NADAL BADAL. Rappelons que le groupe CDVI est un fabricant mondial de solutions de contrôle d’accès et de verrouillage électronique de pointe, avec des produits allant de la biométrie au verrouillage électromagnétique, des claviers codés aux systèmes de contrôle d’accès autonomes et à l’automatisation de portes. http://www.cdvi.com/
Il y a 2 ans et 333 jours

Lancement de la 11ème édition du Prix National de la Construction Bois

Le Prix National de la Construction Bois a reçu, cette année, 549 candidatures. Elles sont réparties en quatre catégories (Bâtiment public ou tertiaire, Maison individuelle, Aménagement intérieur ou extérieur et Logement collectif). Le jury de l’édition 2022 est composé de Dominique Gauzin-Müller (marraine du PNCB, architecte spécialiste de l’architecture écologique), Christine Leconte (co-présidente du jury, architecte et Présidente du Conseil National de l’Ordre des Architectes) et Nicolas Barthes (co[1]président du jury, ingénieur et dirigeant du bureau d’études Be Bois). Ces derniers souhaitent placer cette 11ème édition sous le signe de la créativité et de l’innovation. Le PNCB s’appuie sur le réseau régional de Fibois France, composé d’une trentaine de prescripteurs répartis sur le territoire. Ces derniers sillonnent la France afin de susciter des candidatures et valoriser des projets variés, de l’architecture du quotidien aux ouvrages exceptionnels, dans des zones urbaines et rurales. Ainsi, la richesse territoriale des savoir-faire et des spécificités de chaque région est représentée au sein de ce concours. L’essence de bois ou l’utilisation qui en est faite est en effet particulière à chaque région française. Cet article Lancement de la 11ème édition du Prix National de la Construction Bois est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 334 jours

Londres annonce des mesures de soutien pour la reconstruction de l'Ukraine

Lors de la conférence sur la reconstruction de l'Ukraine à Lugano, en Suisse, Mme Truss exposera les projets du Royaume-Uni pour soutenir le pays à court terme, à travers l'aide humanitaire, mais aussi à plus long terme pour relancer l'économie ukrainienne en apportant l'expertise financière et économique britannique, a indiqué son ministère dans un communiqué dimanche.Londres soutiendra notamment la reconstruction de la ville et de la région de Kiev, à la demande du président Zelensky, indique le Foreign office.Le Royaume-Uni compte également travailler avec Kiev et ses alliés pour accueillir la conférence sur la relance de l'Ukraine en 2023 et établira un bureau à Londres pour aider à coordonner ces efforts."Le redressement de l'Ukraine après la guerre d'agression de la Russie sera le symbole du pouvoir de la démocratie sur l'autocratie. Cela montrera à Poutine que ses tentatives de détruire l'Ukraine n'ont abouti qu'à une nation plus forte, plus prospère et plus unie", a déclaré la cheffe de la diplomatie britannique, en amont de la conférence."Nous avons été en tête en termes de soutien à l'Ukraine pendant la guerre et continuerons à être en tête du soutien au plan de reconstruction et de développement du gouvernement ukrainien", a-t-elle affirmé.Mercredi, le gouvernement britannique avait annoncé débloquer un milliard de livres (1,16 milliard d'euros) d'aide militaire supplémentaire à l'Ukraine pour répondre à l'invasion russe, comprenant des systèmes de défense anti-aérienne et des drones.Ces nouveaux fonds vont porter l'aide militaire britannique à Kiev à 2,3 milliards de livres.
Il y a 2 ans et 334 jours

Avec sa nouvelle stratégie ONEHOME, Unilin Insulation s’engage pour la construction d’un monde durable

Le réchauffement climatique est au cœur des préoccupations des états qui se sont fixés comme objectif, conformément à l’Accord de Paris, la neutralité carbone d’ici 2050. La durabilité étant inscrite dans les gênes d’Unilin Insulation, leader européen sur le marché des panneaux de toiture et 2ème producteur de plaques de polyuréthane, l’entreprise entend relever ce défi en intensifiant ses efforts en matière de RSE / Responsabilité Sociétale des Entreprises. « One Home », la nouvelle vision du groupe Unilin à laquelle Unilin Insulation contribue, en est le parfait reflet. Elle est axée non seulement sur la protection de la planète mais plus largement sur la qualité des espaces de vie dans l’habitat et sur celle de l’environnement de travail de ses salariés. One Home, 100 % d’ambition pour 0 % d’émissions : la vision de la durabilité en paroles et en actes En déployant sa vision de durabilité « One Home », le groupe Unilin organise ses activités conformément à l’Accord de Paris sur le climat qui vise à limiter le réchauffement de la planète. L’entreprise s’engage à respecter des objectifs fondés sur la science. Ceux-ci seront contrôlés par l’initiative Science Based Targets, une tierce partie indépendante qui promeut les meilleures pratiques dans la lutte contre le changement climatique. Comprenant 12 objectifs à concrétiser d’ici 2050, la stratégie RSE « One Home » repose sur 3 piliers : • PLANET HOME pour protéger la planète, • YOUR HOME avec des produits innovants assurant des espaces de vie sains, confortables et durables, • OUR HOME visant un environnement de travail sûr, stimulant et positif pour ses collaborateurs. Planet Home, protéger la planète En réduisant les émissions de gaz à effet de serre En Europe, les bâtiments sont à l’origine de près de 36 % des émissions totales de CO2, principalement dues au chauffage et à la climatisation. Même si les solutions d’isolation d’Unilin Insulation contribuent à l’efficacité énergétique de ceux-ci, il n’en demeure pas moins que les matériaux utilisés et la façon dont ils sont produits génèrent encore des émissions de gaz à effet de serre. Pour les limiter, Unilin Insulation souhaite rendre l’ensemble de ses sites de production (dont celui de Sury-le-Comtal en France et ceux de Desselgem et Feluy en Belgique) neutres en carbone d’ici à 2030. Afin d’atteindre cet objectif, l’entreprise a d’ores et déjà entrepris des actions pour réduire les émissions générées sur ses sites de production ainsi que les émissions indirectes de l’électricité qu’elle achète. 5 % et se tourne vers les énergies renouvelables en équipant, par exemple : • Son unité de Feluy de deux éoliennes de 3,6 MW chacune (l’équivalent de la consommation d’électricité de 3 400 ménages). Depuis fin avril, les turbines fournissent à l’usine plus de 70 % de l’électricité nécessaire à la production d’une isolation durable, le reste étant injecté dans le réseau électrique de la ville ; • 3 sites de production, dont celui de Desselgem, sont équipés de 14 551 panneaux solaires d’une puissance de 5,7 MWp, soit la consommation énergétique annuelle de 1 385 ménages. Sur le site de Sury-le-Comtal, Unilin Insulation fabrique, au plus près de ses clients, des produits Made in France. Différents projets y sont à l’étude pour restreindre les consommations énergétiques : installation de panneaux photovoltaïques, récupération de chaleur, passage à un éclairage Led à l’intérieur des bâtiments. Au global, la production d’énergie solaire et éolienne réalisée et planifiée réduira les émissions indirectes de CO2 de 34 % d’ici à la fin 2024. En développant un modèle d’économie circulaire Dans le cadre de la décarbonation de ses activités, Unilin Insulation va agir sur toutes les autres émissions de gaz à effet de serre qui ne sont pas liées à la fabrication de ses produits mais à d’autres étapes du cycle de vie de ceux-ci (approvisionnement, achats, transport, déchets, &#8230;). 70 % des panneaux seront recyclés d’ici 2030 : 90 % des déchets de production et de chantier et 35 % des déchets de démolition. Afin de parvenir au recyclage de ses panneaux d’isolation en mousse de polyuréthane, Unilin Insulation s’implique activement, depuis fin 2021, dans le projet européen CIRCULAR FOAM qui vise à rendre la mousse de PU rigide circulaire sans sacrifier sa qualité. Grâce au recyclage chimique, les déchets de mousse rigide de PU seront transformés en nouvelles matières premières utilisées pour fabriquer de nouveaux panneaux isolants tout aussi qualitatifs. A l’horizon 2040, cet écosystème circulaire permettra de donner une nouvelle vie à 1 million de tonnes de déchets de mousse rigide de PU par an en Europe (provenant de l’isolation des bâtiments et des réfrigérateurs) mais aussi d’éviter 2,9 millions de tonnes d’émissions de CO2 et 150 millions d’euros de coûts d’incinération. En parallèle, Unilin Insulation s’engage à ne plus jeter ses déchets mais à les recycler autant que possible et a pour triple objectif : • 0 déchet de production mis en décharge d’ici 2023, • 0 déchet de chantier mis en décharge d’ici 2025, • 0 déchet de démolition mis en décharge d’ici 2030. Enfin, Unilin Insulation souhaite optimiser ses économies de CO2 en utilisant des matières premières recyclées, biosourcées ou basées sur le CO2 dans sa production. Cela a déjà été initié avec ses fournisseurs et la part du carbone circulaire pour produire les panneaux d’isolation devrait atteindre 5 % d’ici 2025 et 30 % d’ici 2030. Un nouvel emballage éco-responsable déjà mis en place Pour réduire son empreinte carbone, Unilin Insulation s’attaque à l’ensemble de la chaîne de production. En intégrant au moins 50 % de plastique recyclé dans un nouveau film rétractable pour emballer les plaques isolantes Utherm, cette initiative, développée et initiée avec ses partenaires, diminue de près de 42 % les émissions de CO2, soit un gain annuel de plus de 1 000 tonnes. De même, en rendant les emballages plastiques transparents et en utilisant 35 % moins d’encre, ces derniers peuvent être recyclés plus facilement, sans aucun compromis sur la qualité. Le nouveau film a ainsi été doté d’une barrière anti-UV afin de protéger les plaques isolantes de la décoloration lorsqu’elles restent entreposées longtemps à l’extérieur. YOUR HOME, des produits innovants au service d’espaces de vie sains, confortables et durables Autour de YOUR HOME, deuxième pilier de sa stratégie de développement durable, Unilin Insulation se positionne comme un acteur engagé de l’isolation offrant à ses clients, professionnels et particuliers, des solutions à haute valeur ajoutée garantissant des espaces de vie sains, confortables et durables, conformes aux exigences réglementaires. Sachant que près de 75 % du parc immobilier européen est inefficace sur le plan énergétique, l’isolation des bâtiments est donc une étape nécessaire pour réduire leur consommation. Bénéficiant de performances élevées en matière d’isolation, les plaques PIR et les panneaux de toiture d’Unilin Insulation bénéficient d’une durée de vie aussi longue que les bâtiments qu’ils isolent. Ces solutions compactes et légères, particulièrement adaptées à la rénovation, offrent un confort optimisé été comme hiver pour une empreinte carbone limitée. De plus, en réduisant l’émission de composés organiques volatils (COV) de ses panneaux en PU (classification A+), Unilin Insulation participe à une bonne qualité de l’air intérieur. Avec pour force motrice l’innovation, Unilin Insulation continue ses efforts en faveur du climat et de la construction durable non seulement en diminuant l’impact carbone de ses panneaux en PU, mais aussi en proposant des solutions mixtes avec des matériaux biosourcés ou en facilitant et sécurisant le travail des installateurs. Les derniers systèmes d’isolation par l’extérieur lancés en sont la preuve : USYSTEM Roof OS Comfort Natural et USYSTEM Roof DS Natural Wool Panneaux de toiture, spécial éco- construction, offrant tous les avantages de deux matériaux durables (fibre de bois et polyuréthane pour Usystem Roof OS Comfort Natural et fibre de bois pour Usystem Roof DS Natural Wool) caractérisés par des cycles de vie étendus et une réduction des émissions de gaz à effet de serre des bâtiments. UTHERM Sarking K Anti-Slide et UTHERM Sarking K Comfort Anti-Slide Gammes de plaques isolantes dotées d’un revêtement anti-dérapant et anti- réfléchissant pour une sécurité de pose en climat de montagne. Elles garantissent, en outre, un confort thermique et acoustique en toutes saisons. Dans la continuité de ces innovations, une nouvelle gamme spécial ERP verra le jour au second semestre 2022. OUR HOME, pour un environnement de travail sûr, stimulant et positif pour ses collaborateurs Dernier volet de la politique RSE d’Unilin Insulation : le bien-être, la sécurité et la santé de ses salariés, des préoccupations majeures qui sont au cœur de ses activités. Visant le « 0 accident », l’entreprise a instauré une politique de sécurité positive et bienveillante afin de développer cette culture à tous les niveaux de son organisation. Les managers ayant un rôle clé à jouer, Unilin Insulation a mis en place, depuis 2019, un programme de formation pour tous les managers afin de développer les qualités de leadership en la matière. En 2021, l’entreprise a instauré des « Life Saving Rules », règles de sécurité pour sauver des vies, sur tous ses sites de production. Celles-ci garantissent une formation et une communication claires, l’analyse des situations à risque et l’élimination des obstacles qui s’opposent à un travail sûr. Enfin, Unilin Insulation déploie des programmes favorisant également le bien-être de ses employés sur et en dehors de leur lieu de travail. Afin de rendre compte de ses avancées concrètes en matière de durabilité, le groupe Unilin publiera un rapport annuel dès la fin 2022. En parallèle, les performances de durabilité de ses produits seront mesurées grâce à l’analyse de leur cycle de vie. http://www.unilininsulation.fr/
Il y a 2 ans et 334 jours

L'architecte française A. Tavella récompensée pour la réhabilitation d'un couvent en Corse

PRIX. Amelia Tavella a reçu le premier prix du Tecu Architecture Award pour son projet "Renaissance du couvent Saint-François". La maîtrise du cuivre et le parfait respect de l'histoire de ce bâtiment du XVe siècle ont été salués.
Il y a 2 ans et 334 jours

Remaniement : découvrez le nouveau gouvernement et les personnalités pour le BTP et l'artisanat

Comme prévu et comme le veut la tradition, les ministres-candidats éliminés aux élections législatives ont donnés leurs démission et l’Élysée vient de nommer un nouveau Gouvernement, profitant de l'occasion pour créer de nouveaux postes de ministres délégués dans des domaines comme l'Artisanat, le Logement ou les Transports.Olivier Klein, un connaisseur des quartiers déshérités chargé de la Ville et du logementIl est à la tête d'une des villes les plus pauvres de France: Olivier Klein, 55 ans, maire de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), a été nommé lundi ministre délégué à la Ville et au logement.L'élu fait entrer les quartiers populaires au gouvernement.Maire de Clichy-sous-Bois depuis 2011, Olivier Klein est un enfant du cru. Il a grandi dans le quartier du Chêne Pointu à Clichy-sous-Bois, décor des "Misérables" de Ladj Ly et souvent présenté comme l'une des copropriétés les plus dégradées de France.D'abord membre du Parti communiste, ce professeur d'histoire-géo a rejoint le PS en 2006. Après une quinzaine d'années dans le camp socialiste, M. Klein s'est rapproché puis a soutenu Emmanuel Macron.Enfant, il vendait avec son père l'Humanité et Pif Gadget les week-ends et les 1er Mai, dans la galerie commerçante du Chêne Pointu, "c'était une tradition", a confié à l'AFP M. Klein qui a vu les classes moyennes déserter Clichy-sous-Bois dans les années 1980.C'est à partir de cette ville déshéritée de Seine-Saint-Denis que les banlieues françaises se sont embrasées en 2005 après la mort de deux adolescents, Zyed Benna et Bouna Traoré, électrocutés dans un transformateur électrique en tentant d'échapper à la police."Y a du boulot !""Il est très engagé dans sa ville", estime le président PS de la Seine-Saint-Denis Stéphane Troussel. "Il a contribué à la transformer, personne ne peut dire que cette ville n'a pas changé en 15 ans", souligne l'élu.M. Klein "est accessible, à l'écoute et impliqué localement. Il a contribué au désenclavement de Clichy" avec notamment l'arrivée du tramway, la construction d'un conservatoire, d'une piscine et de logements neufs, énumère Mohamed Mechmache, fondateur de l'association ACLEFEU basée à Clichy-sous-Bois. "Il défend l'idée de soutenir les petites associations de proximité car elles ont un vrai ancrage", assure M. Mechmache également président de la coordination "Pas sans nous" qui a fait un tour de France des quartiers pendant la dernière campagne électorale présidentielle.A la tête de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) depuis 2018 et vice-président de la Métropole du Grand Paris, délégué à l'habitat et la mixité, "il a une connaissance de l'aménagement et de la politique de la ville", selon M. Mechmache.Selon lui, cette nomination au gouvernement est "un message important" pour une ville aussi "médiatique que Clichy-sous-Bois"."J'espère que dans les semaines, les mois, les années à venir, il saura ne pas oublier la Seine-Saint-Denis et défendre l'égalité territoriale parce qu'il y du boulot!", lance Stéphane Troussel.Caroline Cayeux, maire de droite expérimentée, aux Collectivités localesLa maire de Beauvais Caroline Cayeux, nommée lundi ministre déléguée aux collectivités locales, est une septuagénaire énergique, représentante selon ses dires de la "droite sociale", qui avait récemment appelé à un rassemblement trans-partisan autour d'Emmanuel Macron.Elle possède une expérience de son portefeuille, étant à la tête depuis 3 ans de l'Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT), un établissement public destiné à assurer la coordination entre l'État et les collectivités territoriales.Maire de Beauvais depuis 2001, elle préside depuis 2014 "Villes de France", une association qui regroupe les localités de 20.000 à 100.000 habitants et est aussi membre du bureau de l'Association des maires de France (AMF).A l'UMP puis chez Les Républicains, Mme Cayeux s'est affichée aux présidentielles de 2012 et 2017 comme un soutien sans faille de François Fillon, qu'elle considère comme l'héritier du "gaullisme social" de Philippe Séguin.Lors de la campagne de 2017, elle avait comparé "les Macronistes" aux membres de la secte Moon et aux Raéliens, Emmanuel Macron étant pour sa part ramené à un rôle d'"illusionniste mystique qui présente bien".En 2018, celle qui était encartée à droite depuis 1981 avait cependant claqué la porte des Républicains, en désaccord avec le président d'alors, Laurent Wauquiez.Cette rupture partisane ne l'avait pas empêchée d'être réélue dès le premier tour des municipales 2020 à Beauvais, soutenue par la République en Marche.Elle se pose désormais en rassembleuse: après les législatives, elle avait appelé dans le JDD à la constitution d'"une plateforme programmatique trans-partisane" avec "les forces politiques volontaires (...) aux côtés du président de la République".Née à Paris en 1948, cette licenciée d'anglais, titulaire d'un diplôme supérieur de droit international privé, a été enseignante, puis responsable d'un organisme de formation professionnelle.Elle s'est fait connaître en 2001 en devenant maire RPR de Beauvais à la surprise générale, contre le sortant socialiste, en place depuis 24 ans. Elle s'est aussi longtemps investie dans son ex-parti dans le sillage de Philippe Séguin.Elle a subi plusieurs échecs électoraux: cantonales 2001, législatives 2002, sénatoriales 2004, régionales 2004 et 2010. Entre 2011 et 2017, elle est sénatrice de l'Oise.Très active sur les réseaux sociaux, Caroline Cayeux communique sur Twitter, Facebook, Instagram et Snapchat.Mais cette hyper-activité en ligne peut avoir son revers: le 1er avril 2018, elle annonce sur Facebook l'arrivée d'un Ikea dans sa ville, avec un millier d'emploi à la clé. Un poisson d'avril... qui provoque un tollé localement.Mariée à un agriculteur, elle est la fille du Dr Pierre Fournier, médecin et pharmacien, qui fut PDG des Laboratoires Fournier Frères durant plusieurs années et également président de l'ordre national des pharmaciens.Carole Grandjean, une spécialiste du social à l'Enseignement et la Formation professionnelsMacroniste de la première heure, la députée de Meurthe-et-Moselle Carole Grandjean, nommée lundi ministre déléguée à l'Enseignement et à la Formation professionnels, s'est investie dans les questions sociales à l'Assemblée nationale.Cette conseillère municipale de Nancy de 39 ans et ancienne responsable ressources humaines pour le groupe de restauration collective Elior, a fait partie, en 2017, de la vague de députés LREM novices en politique à l'Assemblée. Elle est alors également déléguée départementale d'En Marche!.Lors des dernières élections législatives, elle a été confortablement réélue dans la 1ère circonscription de Meurthe-et-Moselle avec 53,4% des voix, contre un candidat insoumis.Membre de la commission des Affaires sociales où elle siège depuis son premier mandat, elle s'est attelée aux sujets touchant la protection sociale des travailleurs, la santé au travail et la lutte contre les fraudes aux prestations sociales.En 2020, elle a été co-rapporteure du controversé projet de loi de réforme des retraites, abandonné depuis.Elle est membre en outre du conseil d'orientation pour l'emploi et du conseil national de la stratégie autisme.A Nancy, Carole Grandjean - fille de Denis Grandjean, adjoint de l'ancien maire de la ville André Rossinot -, est appréciée de ses collègues de la majorité comme de l'opposition au conseil municipal, "même si on ne la voit pas beaucoup dans la circonscription", ajoute-t-on.A son poste, en tant que ministre déléguée auprès du ministre du Travail et du ministre de l'Education nationale, Carole Grandjean devra s'occuper notamment de poursuivre la transformation du lycée professionnel, un "immense chantier" annoncé par Emmanuel Macron pendant sa campagne, avec la volonté de rapprocher davantage l'école et les entreprises.Le président avait dit vouloir s'inspirer de la réforme de l'apprentissage pour cette "grande réforme", en accroissant notamment les périodes de stages en entreprise des lycéens professionnels."On est extrêmement inquiet du périmètre du poste de Carole Grandjean, car c'est la première fois que les lycées professionnels ne relèvent plus uniquement de l'Education nationale", a regretté auprès de l'AFP Sigrid Girardin, du syndicat enseignant Snuep-FSU. "On craint que l'objectif soit de privilégier l'employabilité immédiate au détriment des formations équilibrées".Pour Vincent Magne, professeur d'histoire et de lettres en lycée professionnel et membre de l'association des professeurs d'histoire-géographie (APHG), il y a une "crainte que la formation professionnelle soit vue uniquement comme une voie pour former des ouvriers, alors qu'elle ne se résume pas à cela".La liste complète du nouveau gouvernementLa Première ministre est chargée de la planification écologique et énergétique.La composition du Gouvernement est la suivante :Les ministres Bruno Le Maire, ministre de l'économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique ; Gérald Darmanin, ministre de l’intérieur et des Outre-mer ; Catherine Colonna, ministre de l’Europe et des affaires étrangères ; Éric Dupond-Moretti, garde des sceaux, ministre de la justice ; Sébastien Lecornu, ministre des armées ; Olivier Dussopt, ministre du travail, du plein emploi et de l'insertion ; Pap Ndiaye, ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse ; Sylvie Retailleau, ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche ; Marc Fesneau, ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire ; Christophe Béchu, ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires ; Agnès Pannier-Runacher, ministre de la transition énergétique ; Rima Abdul-Malak, ministre de la culture ; François Braun, ministre de la santé et de la prévention ; Jean-Christophe Combe, ministre des solidarités, de l'autonomie et des personnes handicapées ; Stanilas Guerini, ministre de la transformation et de la fonction publiques ; Amélie Oudéa-Castéra , ministre des sports et des jeux olympiques et paralympiques. Les ministres déléguésAuprès de la Première ministre : Olivier Véran, chargé du renouveau démocratique, porte-parole du Gouvernement ; Franck Riester, chargé des relations avec le Parlement ; Isabelle Rome, chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l'égalité des chances. Auprès du ministre de l'économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique : Gabriel Attal, chargé des comptes publics ; Roland Lescure, chargé de l'industrie ; Jean-Noël Barrot, chargé de la transition numérique et des télécommunications ; Olivia Grégoire, chargée des petites et moyennes entreprises, du commerce, de l'artisanat et du tourisme. Auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires : Caroline Cayeux, chargé des collectivités territoriales. Auprès du ministre de l'intérieur et de l'outre-mer : Jean-François Carenco, chargé des outre-mer. Auprès de la ministre de l’Europe et des affaires étrangères : Olivier Becht, chargé du commerce extérieur, de l'attractivité et des Français de l'étranger. Auprès du ministre du travail, du plein emploi et de l'insertion et du ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse : Carole Grandjean, chargée de l'enseignement et de la formation professionnels. Auprès du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires : Clément Beaune, chargé des transports ; Olivier Klein, chargé de la ville et du logement. Auprès du ministre de la santé et de la prévention : Agnès Firmin Le Bodo, chargée de l'organisation territoriale et des professions de santé. Auprès du ministre des solidarités, de l'autonomie et des personnes handicapées : Geneviève Darrieussecq, chargée des personnes handicapées. Les secrétaires d'ÉtatAuprès de la Première ministre : Charlotte Caubel, chargée de l'enfance ; Hervé Berville, chargé de la mer ; Marlène Schiappa, chargée de l'économie sociale et solidaire et de la vie associative. Auprès du ministre de l'intérieur et des Outre-mer : Sonia Backès, chargée de la citoyenneté. Auprès de la ministre de l’Europe et des affaires étrangères : Laurence Boone, chargée de l'Europe ; Chrysoula Zacharopoulou, chargée du développement, de la francophonie et des partenariats internationaux. Auprès du ministre des armées et du ministre de l'éducation nationale et de la jeunesse : Sarah El Haïry, chargée de la jeunesse et du service national universel. Auprès du ministre des armées : Patricia Mirallès, chargée des anciens combattants et de la mémoire. Auprès du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires : Bérangère Couillard, chargée de l’écologie ; Dominique Faure, chargée de la ruralité.
Il y a 2 ans et 334 jours

SIBCA : le salon de l’immobilier bas carbone

Les leaders de la construction et l’immobilier se réuniront au Sibca : le premier salon de l’immobilier bas carbone du 22 au 24 septembre 2022 au Grand Palais Éphémère de Paris. Les acteurs de l’immobilier et du bâtiment bas carbone se réuniront pendant 3 jours pour explorer et présenter les solutions bas carbones existantes pour concevoir, construire et rénover les grands projets urbains et les bâtiments de demain. Bati-Journal et Planète Bâtiment sont partenaires de l’événement. Le Salon de l’Immobilier Bas Carbone, c’est :  – la présentation des innovations, des projets, des solutions techniques et des opérateurs exclusivement Bas Carbone. – La rencontre et les échanges concrets entre tous les professionnels engagés dans l’immobilier et le bâtiment Bas Carbone (maîtres d’ouvrage, maîtres d’œuvre, industriels, collectivités, aménageurs, investisseurs, foncières, promoteurs, équipementiers, industriels, réemploi, recyclage…) réunis autour des démonstrations de savoir-faire, présentations de réalisations exemplaires, conférences, rendez-vous d’affaires, dîner de gala. – La mise en lumière de l’excellence Bas Carbone et des remises de prix : Palmarès des Maître d’ouvrage Bas Carbone, Territoires Bas Carbone, lauréats label BBCA.
Il y a 2 ans et 334 jours

Une baisse des cotisations sociales des travailleurs indépendants dans les tuyaux

CHARGES. Le projet de loi sur le pouvoir d'achat que le Gouvernement envisage de présenter au Parlement début juillet contient des mesures visant à diminuer les cotisations sociales des travailleurs indépendants. Ces dispositions se veulent pérennes dans une optique de préservation du pouvoir d'achat et de justice sociale.
Il y a 2 ans et 334 jours

Trophées Bâtiments Circulaires 2022 : qui sont les candidats ?

Suite au succès de la 1ère édition, le Booster du Réemploi et Construction21 ont lancé les Trophées Bâtiments Circulaires 2022, 2ème saison du concours de la construction en matériaux de réemploi. Vous avez été nombreux à répondre à l&#8217;appel et 33 candidats sont en compétition cette année, soit 30% de plus que l’édition précédente ! Ces projets aussi variés qu&#8217;ambitieux sont bien la preuve du développement de la filière. Situés dans 4 pays différents et couvrant une diversité de types de bâtiments, ils constituent une véritable mine d’informations et source d’inspiration pour transformer positivement le secteur de la construction. Voici la liste des candidats par catégorie : Bâtiments tertiaires / prix de la rénovation : L&#8217;Atelier des Transitions Javelot Le Hangar Zéro Les Canaux : une éco-réhabilitation en économie circulaire, innovante et humaniste Tour Aurore Bourdelle Siège de l&#8217;ordre des architectes Réunion / Mayotte Réhabilitation d&#8217;une grange en tiers lieu Octant Institut de Botanique ULiège &#8211; Bât. B22 Pasteur &nbsp; Bâtiments tertiaires / prix de la construction neuve Retrival Office de tourisme de Petite-Terre #Community Innolin Office intercommunal de tourisme Cèze / Cévennes Bâtiments résidentiels / prix de la rénovation Le Costil 55 Lyon Maison circulaire Caserne de Reuilly 85 rue petit &nbsp; Bâtiments résidentiels / prix de la construction neuve Maison container La Cabane de Silhac &nbsp; Prix hors-cadre Nodéa Requalification de la promenade de l’hôpital Broussais Abri à vélo La Réconciliation : pôle loisir et galerie commerciale aushopping Pavillon de sanitaires du Chiro d&#8217;Itterbeek La Tiny de Benoit Orée 85 La cuisine &#8211; Reconversion d&#8217;un hangar pour le Winnipeg Folk Festival Passerelle Re:Crete Saisons Zéro &#8211; Monastère des Clarisses Eco-fourrière des quarantes sous &nbsp; Retrouvez toutes les informations sur le site de Construction 21.
Il y a 2 ans et 334 jours

Trophées Bâtiments Circulaires 2022 : qui sont les candidats ?

Suite au succès de la 1ère édition, le Booster du Réemploi et Construction21 ont lancé les Trophées Bâtiments Circulaires 2022, 2ème saison du concours de la construction en matériaux de réemploi. Vous avez été nombreux à répondre à l’appel et 33 candidats sont en compétition cette année, soit 30% de plus que l’édition précédente ! Ces projets aussi variés qu’ambitieux sont bien la preuve du développement de la filière. Situés dans 4 pays différents et couvrant une diversité de types de bâtiments, ils constituent une véritable mine d’informations et source d’inspiration pour transformer positivement le secteur de la construction. Voici la liste des candidats par catégorie : Bâtiments tertiaires / prix de la rénovation : L’Atelier des Transitions Javelot Le Hangar Zéro Les Canaux : une éco-réhabilitation en économie circulaire, innovante et humaniste Tour Aurore Bourdelle Siège de l’ordre des architectes Réunion / Mayotte Réhabilitation d’une grange en tiers lieu Octant Institut de Botanique ULiège – Bât. B22 Pasteur &nbsp; Bâtiments tertiaires / prix de la construction neuve Retrival Office de tourisme de Petite-Terre #Community Innolin Office intercommunal de tourisme Cèze / Cévennes Bâtiments résidentiels / prix de la rénovation Le Costil 55 Lyon Maison circulaire Caserne de Reuilly 85 rue petit &nbsp; Bâtiments résidentiels / prix de la construction neuve Maison container La Cabane de Silhac &nbsp; Prix hors-cadre Nodéa Requalification de la promenade de l’hôpital Broussais Abri à vélo La Réconciliation : pôle loisir et galerie commerciale aushopping Pavillon de sanitaires du Chiro d’Itterbeek La Tiny de Benoit Orée 85 La cuisine – Reconversion d’un hangar pour le Winnipeg Folk Festival Passerelle Re:Crete Saisons Zéro – Monastère des Clarisses Eco-fourrière des quarantes sous &nbsp; Retrouvez toutes les informations sur le site de Construction 21. Cet article Trophées Bâtiments Circulaires 2022 : qui sont les candidats ? est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 334 jours

Ceinture verte ou opportunité foncière? A Paris, l'avenir du périphérique en débat

Bientôt 50 ans - en 2023 - et toujours aussi important: l'anneau de 35 km qui encercle la capitale reste un axe de déplacement essentiel pour les Franciliens, avec plus d'un million de déplacements par jour.Et aussi un vecteur de pollution de l'air, avec des seuils jusqu'à six fois supérieurs à ceux recommandés par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), et de bruit, rappelle la maire socialiste de la capitale, qui veut en faire à l'horizon 2030 un "boulevard urbain".Cette transformation passe par l'uniformisation de l'axe à deux fois trois voies, dont une réservée aux bus, taxis et covoiturage, la plantation de 50.000 arbres et le réaménagement des portes pour gommer son aspect de frontière entre Paris et sa banlieue.La suppression d'une voie suscite l'opposition de la présidente de droite de la région, Valérie Pécresse, et la froide réserve du préfet de police, Didier Lallement, qui a rappelé en mai que la maire ne pouvait se passer de l'accord de l'Etat sur ce dossier.Par la voix de Nicolas Jeanneté, l'opposition de droite demande à la municipalité de mettre en place un "schéma global de mobilité pour Paris et l'Ile-de-France au lieu d'empiler des plans qui ne se coordonnent pas"."Cohérence" à gaucheL'opposante Maud Gatel (MoDem) propose elle la fermeture de certaines bretelles d'accès pour réduire l'effet de congestion. Quant aux alliés communistes, ils réclament des solutions alternatives de transport, comme une ligne de métro circulaire ou la relance de la petite ceinture ferroviaire pour le fret.Sur sa gauche, Anne Hidalgo doit surtout faire aux critiques non voilées de ses alliés écologistes.Ils réclament l'abaissement de la vitesse maximale de 70 à 50 km/h - une promesse de campagne de la gauche en 2020, rappellent-ils - et un moratoire sur les constructions situées à moins de 150 m du périphérique.Ces dernières années, "le travail des associations a démontré la disparition alarmante des espaces verts qui jouxtent le périphérique au profit de constructions, le plus souvent de bureaux", décochent-ils dans un texte.Outre le besoin de vert, "il ne faut pas recréer une nouvelle frontière avec des nouveaux bureaux, comme on est en train de les créer porte de Montreuil et de Vincennes", dit à l'AFP l'élu EELV Emile Meunier, qui veut "arrêter d'exposer les salariés à la pollution".Porte Maillot, Bruneseau, Bercy-Charenton: les écologistes se sont "régulièrement opposés aux projets de construction aux abords du périphérique", rappelle sa collègue Aminata Niakaté, pour qui "il faut de la cohérence entre ce qu'on dit et ce qu'on fait".Ces fissures au sein de la majorité sont une aubaine pour l'opposition. "Les abords du périph' sont vus comme une manne financière" par l'exécutif de gauche, fustige Valérie Montandon (LR). Un constat partagé par Danielle Simonnet (LFI), qui cible "l'hypocrisie mensongère" d'Anne Hidalgo.Des projets révisésPour Nicolas Jeanneté (Les Centristes), l'abattage de plus de 70 arbres porte de Montreuil, où plusieurs immeubles de bureaux doivent sortir de terre, met ainsi à mal la "volonté illusoire de faire du périph' une ceinture verte".L'héritage des années Missika, l'ancien adjoint à l'urbanisme à l'origine de projets aujourd'hui contestés, est lourd à porter pour son successeur Emmanuel Grégoire.Vendredi, il a défendu sur Twitter le bilan "vert" des socialistes: parcs créés sur le périphérique recouvert porte des Lilas et de Vanves, friche ferroviaire convertie en éco-quartier avec un grand parc à Clichy-Batignolles.Mettant en avant la remise à plat de Bercy-Charenton, le premier adjoint promet "50% de végétalisation dans les futures opérations d'aménagement" et "plus de 50% de logements sociaux" dans la réhabilitation des quartiers populaires en bordure de l'axe.Gêné par l'annulation du permis de construire pour l'immeuble-pont dit "Mille arbres", que le tribunal administratif a jugé "susceptible de porter atteinte à la santé publique", M. Grégoire promet que "l'intégralité des projets urbains a été révisée" pour coller au futur plan local d'urbanisme.Ce PLU doit aboutir en 2023 avec, promet-il, un "très haut niveau d'exigence sur le plan environnemental".
Il y a 2 ans et 334 jours

Projets solaires : Pise, Marrakech et Bargemon [AA Archives 1980]

En 1980, AA publiait son numéro 209 : « Solaire passif ou actif ? ». On ...More about Cet article Projets solaires : Pise, Marrakech et Bargemon [AA Archives 1980] est apparu en premier sur L&#039;Architecture d&#039;Aujourd&#039;hui.
Il y a 2 ans et 334 jours

Poujoulat installe une centrale photovoltaïque en autoconsommation sur son site de Niort (79)

Après s'être équipé d'une chaufferie biomasse en 2012 permettant de couvrir plus de 80 % de ses besoins de chauffage, Poujoulat poursuit sa quête d'indépendance énergétique avec l'installation d'une centrale photovoltaïque en autoconsommation sur son site de Niort.Près de 10% des besoins en électricité couverts Le Groupe Poujoulat, déjà alimenté par une électricité bas-carbone, a revu son contrat d'approvisionnement pour que la fourniture d'électricité soit majoritairement renouvelable. Par ailleurs, depuis le 9 mars 2022 avec la mise en service de la nouvelle centrale solaire photovoltaïque en autoconsommation, Poujoulat ajoute un approvisionnement renouvelable complémentaire pour couvrir ses besoins. Devant l'Atrium de Poujoulat, se dressent désormais 744 panneaux d'une surface totale de 1.240 m2. Avec une puissance de 245 kWc, le taux d'autoconsommation est de 91 %. Injectée dans le réseau commun à l'ensemble du site, l'électricité ainsi produite permettra de couvrir près de 10 % des besoins des bureaux et de l'usine.Pour Frédéric Coirier, PDG du Groupe Poujoulat : « Être leader européen des conduits de cheminée nous donne une grande responsabilité et un devoir d'exemplarité vis-à-vis de nos collaborateurs, nos partenaires, nos clients, mais aussi la société et la planète. C'est pourquoi l'entreprise se mobilise autour d'un engagement sur le long terme, intitulé Relations Positives, pour une meilleure performance énergétique et environnementale, dont la réduction de notre empreinte carbone fait partie intégrante. » La mise en œuvre de la centrale a été réalisée par l'entreprise rennaise Armorgreen, acteur des énergies renouvelables, filiale du groupe Legendre, entre novembre 2021 et mars 2022.D'un montant de 236.120 €, le retour sur investissement de l'installation attendu est de 10 ans.Un investissement financé avec l'aide de la région Nouvelle AquitaineCette centrale photovoltaïque, accompagnée d'autres projets de maîtrise des consommations énergétiques du site à venir (détection de présence et pilotage intelligent de l'éclairage, mise en place de compteurs divisionnaires et vérification des fuites d'air comprimé, récupération de chaleur sur les rejets d'étuve et les variateurs de vitesse sur les ventilateurs extracteurs et régulation sur pression des filtres sur la ligne de peinture 1.), a fait l'objet d'un soutien significatif de la région Nouvelle-Aquitaine. L'entreprise a ainsi bénéficié d'une subvention de 150.000 € pour l'ensemble de ces investissements d'un montant total de 805.940 €.Pour Alain Rousset, président du conseil régional de Nouvelle-Aquitaine : « La Région Nouvelle-Aquitaine a soutenu financièrement le groupe Poujoulat dans sa transition énergétique pour une double raison : tout d'abord, parce que son projet est singulier en couplant la maîtrise de ses consommations énergétiques et l'autoconsommation d'énergie solaire. Ensuite, parce que ce projet s'inscrit pleinement dans les objectifs de Néo Terra, la feuille de route de la Région votée en 2019 et destinée à accélérer la transition énergétique et écologique. Enfin, rappelons que le contexte de tension forte sur les principaux marchés énergétiques rend toujours plus pertinentes ces démarches qui réduisent les émissions de carbone et améliorent la résilience de nos acteurs économiques territoriaux. »Chiffres clés de la centrale photovoltaïquePuissance : 245 kWcInvestissement estimé : ~ 236.120 € // 0,963 €/WcSurface panneaux : ~ 1.240 m² // 744 panneauxTaux autoconsommation : (TAC %) ~ 91%Energie valorisée : 292 MWh/anIndice Performance : 82,43 %Retour sur investissement (ROI) : 10 ansCO2 : 18 tonnes/an
Il y a 2 ans et 334 jours

JO 2024 : le département de Seine-et-Marne annonce près de 600 000 euros d’aides aux projets labellisés « centres de préparation aux Jeux »

La réhabilitation de la toiture du gymnase Roger-Boisramé à Pontault-Combault et l’aménagement du complexe Jacques-Marinelli à Melun font partie des opérations soutenues par le département de Seine-et-Marne.
Il y a 2 ans et 334 jours

Rhône : le centre d’échanges Lyon-Perrache se retrouve au cœur d’un important projet de réhabilitation

Les travaux de renouvellement du centre d’échanges Lyon-Perrache (Rhône) sont estimés à plus de 100 millions d’euros.
Il y a 2 ans et 334 jours

Haute-Garonne : un collège en projet à Castelmaurou

Le conseil départemental de Haute-Garonne annonce le projet de création d’un collège supplémentaire au nord de Toulouse.
Il y a 2 ans et 334 jours

Inauguration d'HLM sur un ancien terrain de la famille al-Assad à Paris

Dans un communiqué, la Ville de Paris s'est félicitée d'avoir pu acquérir ce bien "mal-acquis" par Rifaat Al-Assad, suite à une décision de justice, en 2015."C'est un immeuble qui a une histoire particulière. Nous sommes devenus propriétaire de cette friche par expropriation", a déclaré sur place Ian Brossat, adjoint à la maire de Paris en charge du logement.Sur une parcelle de 780m³, dans le très chic XVIe arrondissement, 34 logements sociaux et une crèche ont été édifiés sur l'ancienne friche. La mairie de Paris avait versé 9,5 millions d'euros d'indemnités d'expropriation à la Caisse des Dépôts. Le montant global des travaux s'élève à 6 millions d'euros, a indiqué Ian Brossat.Ces logements sociaux ont été livrés aux bénéficiaires fin mars 2022. La plupart d'entre eux attendaient depuis des années l'accès à un logement social."J'attendais depuis 26 ans. Je suis contente mais on doit se faire à l'endroit", a témoigné anonymement une locataire interrogée par l'AFP, ajoutant : "on a l'impression que nous sommes des intrus. Les gens nous regardent bizarrement"."L'objectif de ce projet était d'intégrer et de mixer plusieurs milieux et catégories sociales", a souligné M. Brossat, selon lequel le pourcentage du logement social dans le XVIe arrondissement "est passé de 1% en 2001 à 6% en 2022".En septembre 2021, l'ancien vice-président de Syrie Rifaat al-Assad, âgé de 84 ans, avait été reconnu coupable par la cour d'appel de Paris de blanchiment en bande organisée et de détournement de fonds publics syriens entre 1996 et 2016.La cour avait ordonné la confiscation de l'ensemble de ses biens immobiliers frauduleusement acquis, évalués à 90 millions d'euros, et l'avait en outre condamné pour blanchiment de fraude fiscale aggravée et pour le travail dissimulé d'employés de maison. La Cour de cassation examinera le 7 septembre le pourvoi formé par Rifaat al-Assad.Dans cette affaire, deux hôtels particuliers, des dizaines d'appartements, un domaine avec château et haras ainsi que des bureaux avaient notamment été saisis.
Il y a 2 ans et 335 jours

Au Caire, les maisons flottantes menacées de disparition

"J'ai réalisé un rêve en achetant cette péniche, je l'ai aménagée pour accueillir mes petits-enfants et y passer mes derniers jours", raconte à l'AFP l'écrivaine Ahdaf Soueif.Mais bientôt le Nil pourrait ne plus bercer ces maisons perchées sur des caissons en métal le long du quartier populaire d'Imbaba face à la très chic île de Zamalek.Déjà, certaines ont été emportées car les habitants ont reçu le 20 juin un ordre d'expulsion sous deux semaines --sans proposition de relogement ou de dédommagement.Elles pourraient être remplacées par cafés, hôtels et restaurants bien plus rentables pour l'armée, toujours aux commandes en Egypte depuis la fin de la monarchie et en position dominante dans les domaines de l'aménagement et des infrastructures."J'ai vendu mon appartement, mon père sa voiture et nous avons utilisé les indemnités de départ de mes deux parents retraités", raconte à l'AFP Manar, ingénieure de 35 ans, qui a ainsi pu acheter sa péniche il y a quatre ans.Aujourd'hui, elle a l'impression d'avoir tout perdu : "les gens des bidonvilles ont été relogés, l'Etat a déplacé des tombes quand il a construit une route à travers un cimetière et pour nous, rien".Son sort et celui de ses voisins a ému et, fait surprenant en Egypte, les talk-shows habituellement fervents partisans du président Abdel Fattah al-Sissi, ont pris leur parti.Ces bateaux sont surtout depuis les années 1950 le décor de la sérénade du crooner égyptien Abdel Halim Hafez dans le film "Ayam wa Layali" ou des discussions enfumées des "Dérives sur le Nil" du Nobel de littérature Naguib Mahfouz.Politique du bulldozerL'alarme est donnée en 2020 quand le gouverneur du Caire annonce "suspendre les autorisations de stationner des péniches".Depuis, les habitants sont restés sans nouvelles. Jusqu'à l'ordre d'éviction qui ne leur laisse, dit l'un d'eux, "pas le temps de déposer un recours en justice".Et surtout, l'Etat leur réclame des arriérés pour le stationnement, la concession du dock et l'immatriculation entre 40.000 et 50.000 euros, soit 20 fois plus que ce qu'ils payaient.Aymane Anouar, patron de l'Autorité du Nil au Caire, assure qu'ils ont été prévenus : "en 2020, l'Etat a interdit l'utilisation de péniches comme habitations car elles ne donnent pas une image civilisée et polluent le Nil", affirme le haut fonctionnaire dans un talk-show."Nous n'avons pas été assez informés, c'est en écoutant M. Anouar à la télévision" que Mme Soueif déclare avoir compris son unique alternative : transformer la péniche en local commercial."A mon âge, me reconvertir en gérante de café ? C'est une expulsion qui ne dit pas son nom", répond-elle.Les militants dénoncent un manque de concertation avec les habitants comme lors de démolitions précédentes, à Boulaq et Maspero, près du centre-ville.Si la politique du bulldozer a commencé dans ces quartiers informels pauvres, avec les péniches ce sont des familles plus aisées qui font les frais des grands travaux d'aménagement."Perdu d'avance"Auparavant parsemée de cafés où toutes les classes sociales venaient siroter un thé pour quelques livres, la corniche du Nil est un des rares espaces publics où échapper au vacarme de la mégalopole de 20 millions d'habitants.Sur l'autre rive, la "promenade du peuple égyptien" compte, aux côtés de la "nouvelle capitale" qui sort des sables à 50km du Caire, parmi les "méga-projets" voulus par l'ancien maréchal Sissi et pilotés par l'armée."C'est une catastrophe : chaque centimètre carré doit être rentable, il n'y a plus d'espace public, les gens ne peuvent plus être dehors sans payer", déplore Mme Soueif.Le gouvernement assure pourtant que cette promenade --avec "marina, théâtre à ciel ouvert, cafés et restaurants"-- va "garantir l'accès du public au Nil".Pour Awad, sur sa péniche avec femme et enfants depuis 25 ans, "un mètre carré de berge en location commerciale, c'est 1.000 livres, donc ils préfèrent louer à des cafés qu'à nous, pour gagner plus d'argent"."C'est dramatique car c'est un morceau du patrimoine du Caire qui a vu passer le roi Farouq, Oum Kalsoum et Mounira Mahdia", la plus grande chanteuse d'Egypte de l'entre-deux guerres, déplore le sexagénaire."C'est perdu d'avance : même devant le Conseil d'Etat, c'est l'Etat donc on ne peut rien faire, on nous dit que c'est une décision venue de tout en haut", dit-il en pointant le ciel.
Il y a 2 ans et 335 jours

A Nice Le Ray, 350 logements par Maison Edouard François

Dans le paysage luxuriant des hauteurs de Nice Le Ray (Alpes-Maritimes), Vinci Immobilier a livré en 2021 avec Maison Edouard François un programme paysager mixte de 24 500 m² sur le site de l’ancien stade de l’OGC Nice. Montant des travaux : 48,8 M€ HT. Communiqué. Le projet se situé en ville, sur les hauteurs de [&#8230;] L’article A Nice Le Ray, 350 logements par Maison Edouard François est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.