Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour paris

(24654 résultats)
Il y a 4 ans et 143 jours

Projet de la ligne Orange : des riverains de Rosny-sous-Bois devront peut-être quitter leur quartier

Environ 25 propriétaires de Rosny-sous-Bois seraient contraints de déménager car ils se trouvent sur le nouveau tracé de raccordement de la ligne 15 Est du Grand Paris Express.
Il y a 4 ans et 144 jours

Centrale à béton du Port de Javel : Lafarge défend une "diminution forte" de capacité

RÉACTION. Le groupe cimentier LafargeHolcim assure mardi prévoir une "diminution forte" de la capacité de production de sa centrale à béton située dans le XVème arrondissement de Paris.
Il y a 4 ans et 144 jours

Le rouleau d’expédition Flex & Seal signé Scotch™ va emballer le e-commerce !

À Noël exceptionnel, moyen d’expédition exceptionnel ! Le rouleau d’expédition Scotch® Flex & Seal, la solution qui fait gagner du temps aux commerces en ligne La marque 3M est bien connue pour avoir transformé le travail au bureau avec la conception de produits ingénieux qui ont révolutionné les usages. L’incontournable ruban adhésif Scotch® ou les célèbres Notes Post it® sont des inventions dont on ne peut plus se passer aujourd’hui. La marque Scotch® revient sur le devant de la scène avec un nouveau produit appelé à s’inscrire dans les habitudes des utilisateurs : la solution d’expédition Flex & Seal, un rouleau d’emballage unique taillé pour des expéditions rapides, sécurisées et sur mesure ! Une innovation qui va changer les pratiques courantes de l’expédition de colis. Le rouleau d’expédition Flex & Seal va « emballer » les acteurs du e-commerce Pour accompagner ce phénomène d’achat en ligne appelé à s’amplifier, la marque Scotch® lance une solution innovante : le rouleau d’expédition Flex & Seal qui permet d’envoyer un colis facilement et rapidement, en seulement trois étapes. Le rouleau d’expédition Flex & Seal, la solution tout-en-un bien dans son époque Cette solution d’expédition nouvelle génération s’adresse à tous les acteurs du e-commerce, PME, TPE, et services courriers des grandes sociétés qui recherchent des solutions d’expédition plus confortables et plus économiques à mettre en place. À travers cette innovation, la marque Scotch® veut réinventer les réflexes d’emballage et d’expédition des professionnels pour rendre cette étape de la vente moins contraignante et moins gourmande en ressources. Paris, 9 décembre 2020
Il y a 4 ans et 144 jours

Une maquette monumentale de la charpente de Notre-Dame de Paris au Lycée des Métiers et du Bâtiment de Felletin

Issue de la dynamique lancée par le président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset, au lendemain de l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, la réalisation d’une maquette monumentale de la charpente a mobilisé en Nouvelle-Aquitaine les acteurs de la formation et les professionnels des métiers d’art, du patrimoine, du bâtiment, du bois et de la forêt, dont le campus Forêt-Bois. Cette reproduction de la charpente réalisée de plus de 14 mètres de haut (à l’échelle 1/10) ainsi qu’une travée de la cathédrale reconstituée en taille réelle, font l’objet d’une exposition qui restera en permanence au Lycée des Métiers et du Bâtiment de Felletin. Témoignant du savoir-faire régional et de l’architecture remarquable de l’édifice, ce lycée comme cette exposition incarnent l’école régionale du patrimoine que la Région Nouvelle- Aquitaine entend créer. Cette école assurera la promotion de l’ensemble des filières de la rénovation et de la restauration du patrimoine classé et du patrimoine bâti. C’est une mise en réseau des lycées, écoles, universités et instituts de formation initiale, des structures de formation et qualification professionnelle, et des entreprises et des filières. L’inauguration de la maquette de la cathédrale Notre-Dame a eu lieu le 7 décembre 2020 au Lycée des Métiers et du Bâtiment (LMB) de Felletin avec notamment Alain Rousset, président du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, et Jean-Louis Nembrini, vice-président en charge de l’Education. A l’heure où la Région Nouvelle-Aquitaine développe son ambition environnementale avec sa feuille de route Néo Terra, où le patrimoine a un besoin considérable de conservation et d’amélioration, notamment énergétique, et dans un contexte de transformation des métiers du bâtiment, particulièrement avec le développement du numérique, l’ambition de l’institution régionale consiste à consolider et développer le lycée des métiers du bâtiment de Felletin. L’objectif est de faire de cet établissement, labellisé campus des métiers et des qualifications « construction durable et éco-réhabilitation », une référence en matière de formations pour la rénovation du patrimoine, intégrant l’usage du BIM. Ce campus a aussi pour vocation de maintenir en état le patrimoine remarquable de la région et d’être une école de la réussite pour les jeunes dans un domaine d’avenir. Dans cette perspective, la Région a engagé un plan d’investissement à hauteur de 46 millions d’euros pour transformer cet établissement en campus à la campagne. Photo : © Région Nouvelle-Aquitaine / Yannick Pirot
Il y a 4 ans et 145 jours

EELV demande l'annulation du projet d'agrandissement de la cimenterie Lafarge à Paris XVe

L'audience au tribunal administratif concernant la demande d'annulation de l'arrêté préfectoral autorisant le chantier d'agrandissement de la cimenterie devait se tenir le 3 décembre mais la société Lafarge "a évité de perdre en demandant l'annulation de cet arrêté. C'est une victoire", s'est félicité Julien Bayou, secrétaire national d'EELV, lors d'une visio-conférence."Lafarge est le deuxième pollueur français et est dans le Top 50 mondial", a-t-il ajouté, en demandant "le durcissement des sanctions contre les pollueurs".Mais "cette annulation permettra à la société Lafarge de déposer un autre projet d'exploitation moins contraignant, en dessous des seuils règlementaires et législatifs imposant une consultation de la population", met en garde EELV.Rappelant que "les révélations sur les pollutions de la Seine par le groupe se sont multipliées", écologistes et associations "demandent la reprise de la consultation de la population". Ils formuleront cette demande lors du prochain Conseil de Paris, "la semaine prochaine".Le Conseil de Paris avait déjà voté, le 7 octobre, une suspension des travaux d'agrandissement du site de la cimenterie Lafarge, le temps d'une concertation avec les riverains. Mais "pour l'instant, la concertation est un dialogue de sourds", a regretté Maryse Fourcade, de l'Association des riverains du port de Javel, qui a porté le recours contre Lafarge.Pour Christine Nedelec, présidente de France Environnement Paris, "la pollution des cimentiers est récurrente" et à Paris, "on n'arrive pas à obtenir une diminution de la bétonisation"."Cinq ans après l'Accord de Paris (lors de la Cop21), rien n'est fait concernant l'usage des pesticides", s'est également désolé M. Bayou. Il souhaite que les grands fleuves, comme la Seine, deviennent des "sujets juridiques propres", à l'instar de ce qui s'est fait "en Nouvelle-Zélande", et donc protégés des pollueurs.Le sujet était sensible après la diffusion à la rentrée d'images de l'usine Lafarge, située dans le quartier de Bercy (sud-est de la capitale), déversant dans la Seine un mélange de "particules de ciment, de liquides de traitement et des microfibres de plastique".Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "suspicion de pollution de la Seine par une entreprise de travaux publics".Lafarge affirme que l'écoulement est le fait "d'un accident exceptionnel provoqué par un acte malveillant".
Il y a 4 ans et 145 jours

Du "vivant" au milieu du béton : l'État veut massifier l'agriculture dans les cités

APPEL À PROJETS. Une chèvrerie dans une cité marseillaise, une ferme sur le toit d'un centre commercial francilien ou des champignons de Paris cultivés... à Paris : l'Anru mobilise des fonds publics pour donner un "coup d'accélérateur" à 100 projets agricoles dans les quartiers populaires urbains.
Il y a 4 ans et 145 jours

186 / 188 rue Gallieni, Philippe Gazeau assigné à résidences

L’architecte parisien Philippe Gazeau a livré à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) fin 2020 un ensemble de cinq bâtiments et d’une centaine de logements dont le projet construit ne ressemble en rien, mais alors en rien, à l’image du concours. Foin de balcons, un projet manifeste ? Il faut toujours se méfier des premières impressions. Sans doute est-ce le […] L’article 186 / 188 rue Gallieni, Philippe Gazeau assigné à résidences est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 145 jours

Relance : les énergies renouvelables citoyennes aimeraient passer à la vitesse supérieure

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. À quelques jours du 5e anniversaire de l'Accord de Paris sur le climat et de la présentation du projet de loi reprenant les propositions de la Convention citoyenne pour le climat, plusieurs organisations militant pour la transition énergétique appellent les pouvoirs publics à soutenir et à lever les freins au développement des projets citoyens d'énergies renouvelables.
Il y a 4 ans et 145 jours

Les intentions d'embauche en France diminuent pour le 1er trimestre 2021 par rapport à 2020

C'est dans le secteur de la Construction et des « autres productions » (Agriculture, forêt, chasse et pêche, Production et distribution d'électricité, de gaz et d'eau, Industries extractives) que les entreprises s'avèrent les plus optimistes. En revanche, les perspectives continuent de se dégrader dans le secteur de l'hôtellerie-restauration.Parmi les principaux enseignements de cette édition :Un seul secteur affiche des prévisions d'embauche en hausse : celui des « autres productions » (Agriculture, forêt, chasse et pêche, Production et distribution d'électricité, de gaz et d'eau, Industries extractives). Sa Prévision Nette d'Emploi de +5% au premier trimestre 2021 correspond à une progression d'1 point en un trimestre, et également d'1 point en un an.Le secteur de la construction voit lui aussi sa Prévision Nette d'Emploi atteindre +5%, mais cela représente une diminution de -8 points par rapport au trimestre précédent, et de -16 points en un an. Le secteur de l'hôtellerie-restauration affiche, lui, une Prévision Nette d'Emploi fortement négative (-15%), en chute de -39 points un an.C'est dans le Centre-Est que les intentions d'embauche s'avèrent les plus positives, avec une Prévision Nette d'Emploi de +4%, soit 3 points de progression par rapport au quatrième trimestre 2021. En Région Parisienne, la Prévision Nette d'Emploi chute de -9%, en baisse de -27 points en un an.Seules les grandes entreprises affichent une Prévision Nette d'Emploi positive : +5%, en progression de 2 points en un trimestre. C'est dans les entreprises de taille moyenne que les intentions d'embauche diminuent le plus, avec une Prévision Nette d'Emploi de -2%, soit une chute de -19 points en un an.« Ce baromètre reflète les fortes incertitudes qui pèsent sur notre économie. Avant la deuxième vague de Covid-19, la Banque de France tablait sur une activité économique réduite de 8,7% en 2020. Aujourd'hui, on anticipe une contraction plus grave, de 10 à 11% du PIB sur l'année. Cela explique l'attentisme des chefs d'entreprise, notamment dans le secteur de l'hôtellerie-restauration, qui a perdu plus de 150.000 emplois depuis le début de la crise sanitaire. Pour autant, on n'observe pas, comme au printemps dernier, de diminution des intentions d'embauche ».Alain Roumilhac, Président de ManpowerGroup FranceUn 1er trimestre 2021 en chute par rapport au trimestre précédent, mais meilleur que le troisième trimestre 2020Sur fond de forte reprise de l'épidémie de Covid-19, les employeurs interrogés en France par ManpowerGroup annoncent une prévision nette d'emploi à 0%. Ce chiffre correspond à une diminution par rapport au trimestre précédent (-4 points), mais aussi à une forte chute depuis la même période en 2020 : -13 points. Cette prévision s'avère toutefois meilleure que celle du troisième trimestre 2020, lors du premier confinement. La Prévision Nette d'Emploi en France s'établissait alors à -11%.Par rapport au trimestre précédent, une progression dans le Centre-Est, mais une forte chute en Région ParisienneDans les cinq régions étudiées, trois affichent des intentions d'embauche positives.Le Centre-Est affiche la plus forte Prévision Nette d'Emploi : +4%. Elle gagne 3 points par rapport au trimestre précédent, mais perd -9 points par rapport au premier trimestre 2020.La Région Parisienne est celle qui enregistre la plus forte chute de sa Prévision Nette d'Emploi : -9%, soit une chute de -8 points par rapport au trimestre précédent, et de -27 points en un an.C'est dans le Sud que la diminution apparaît la moins forte : la Prévision Nette d'Emploi atteint +3%, soit une chute de -4 points par rapport au trimestre précédent, et de -6 points en un an.Des intentions d'embauche en forte chute dans le secteur de l'hôtellerie-restaurationLes intentions d'embauche s'avèrent positives dans 3 secteurs d'activité parmi les 7 étudiés. Dans 2 secteurs, elles progressent par rapport au trimestre précédent.Dans le secteur « Autres productions », la Prévision Nette d'Emploi atteint +5%, soit une progression d'1 point en un trimestre, comme sur un an.Le secteur manufacturier, avec une prévision d'embauche nulle, remonte de 3 points en un trimestre, mais perd -13 points en un an.Avec une Prévision Nette d'Emploi de -15%, le secteur de l'hôtellerie-restauration reste celui qui connaît la plus forte chute en un trimestre (-10 points) tout comme en un an : -39 points.Les grandes entreprises affichent des intentions d'embauche en hausse par rapport au trimestre précédentDans les quatre catégories d'entreprises étudiées, une seule affiche des prévisions d'embauche en progrès par rapport au quatrième trimestre 2020.Les grandes entreprises (+de 250 salariés) annoncent des intentions d'embauche positives (+5%), soit une progression de 2 points par rapport au trimestre précédent. Ce chiffre correspond toutefois à une chute de -20 points en un an.Les entreprises de taille intermédiaire (50 à 249 salariés) sont celles qui affichent les prévisions d'embauche les moins favorables : -2%, un chiffre en recul de -8 points par rapport au trimestre précédent, et de -19 points en un an.Dans les petites entreprises (12 à 49 salariés), la Prévision Nette d'emploi s'affiche à zéro. Cela correspond à une diminution de -5 points par rapport au trimestre précédent, et à une baisse de -13 points en un an.InternationalTaïwan et les États-Unis restent en tête des prévisions d'embauche. 33 pays annoncent des Prévisions Nette d'emploi positives.Par rapport au trimestre précédent, les intentions d'embauche apparaissent en baisse dans seulement 7 des 43 pays étudiés.Taïwan arrive en tête du classement, avec une Prévision Nette d'Emploi de +23% pour la période janvier-mars 2021. Cela correspond à une progression de 2 points par rapport au trimestre précédent.On trouve, en deuxième position, les États-Unis, avec une Prévision Nette d'Emploi de +17% soit 3 points de plus qu'au trimestre précédent.Singapour, avec une Prévision Nette d'Emploi de +15%, arrive en troisième position.Dans la région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique), sur les 26 pays étudiés, 5 affichent une Prévision Nette d'Emploi négative. C'est au Royaume-Uni qu'elle s'affiche la plus faible, à -6%, perdant -7 points en un an. L'Irlande, avec +7%, affiche les prévisions les plus favorables de la région, et gagne 9 points en un trimestre.Les résultats complets de l'étude pour les 43 pays sont disponibles ici
Il y a 4 ans et 145 jours

« Archimoche » ou l’architecture en 20 minutes et peu de caractères

Le quotidien 20 minutes a lancé en novembre 2020 un sondage auprès de ses lecteurs pour recenser les bâtiments « moches ». Au programme, onze villes laissées au jugement de leurs habitants : Lille, Rennes, Strasbourg, Paris, Nantes, Lyon, Bordeaux, Montpellier, Nice, Toulouse et Marseille. Sobrement intitulée « archimoche », la série recense un peu plus de 70 réalisations mal-aimées. […] L’article « Archimoche » ou l’architecture en 20 minutes et peu de caractères est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 145 jours

Les aménagements autoroutiers du Village olympique contestés en justice

INFRASTRUCTURES. L'échangeur entre l'A1 et l'A86, à proximité du futur Village olympique, au nord de Paris, fait l'objet d'une opposition d'associations notamment de parents d'élèves et d'habitants du quartier. Suite au rejet de leur requête par la Cour administrative d'appel, ils ont déposé un recours devant le Conseil d'Etat.
Il y a 4 ans et 145 jours

La ligne 14 du métro prolongée, un pas vers le Grand Paris

Pour la présidente d'Ile-de-France Mobilités Valérie Pécresse, la perspective d'inaugurer ce tronçon de 5,8 kilomètres entre Gare Saint-Lazare et Mairie de Saint-Ouen est "un moment de pur bonheur"."On avait cette ligne 14, qui ne venait pas, qui ne venait pas, qui ne venait pas...", ironise-t-elle, en référence aux nombreux retards qu'a subis le chantier, pour cause d'inondation et de Covid-19, notamment.L'idée de prolonger cette ligne de métro automatique jusqu'à Saint-Ouen remonte en effet à 2007: elle est alors apparue comme la solution la plus satisfaisante pour soulager le nord de la ligne 13. Avec la promesse de la délester du quart de son trafic.Mme Pécresse vante "l'une des lignes les plus modernes du monde", la seule du réseau parisien accessible aux handicapés, aussi.Le prolongement de la ligne 14 --qu'on appelle encore parfois "Meteor"-- doit aussi mieux desservir des secteurs en plein développement avec le nouveau quartier des Batignolles, le Tribunal de Paris ou encore les nombreux bureaux qui sortent de terre à Saint-Ouen où le conseil régional d'Ile-de-France s'est installé.Le nouveau tronçon comporte quatre stations assez monumentales --celle de Porte de Clichy, desservant le Tribunal, n'ouvrira toutefois qu'en janvier-- ainsi qu'un dépôt construit pour accueillir des rames dernier cri plus longues, achetées à Alstom.Au-delà, les travaux battent leur plein pour de nouveaux prolongements tant au nord, jusqu'à Saint-Denis Pleyel (Seine-Saint-Denis) en 2023 si tout va bien, qu'au sud, jusqu'à l'aéroport d'Orly (Essonne) en 2024. Avec au passage le changement du système d'automatisation, toujours fourni par le groupe allemand Siemens."On sera au rendez-vous des JO des deux côtés", assure Louis Villié, le directeur de la ligne à la RATP.Vitrine de la RATPPleyel accueillera en effet le village olympique pour les Jeux de 2024. A l'autre extrémité, la connexion a l'aéroport est jugée stratégique."Elle sera bien sûr la ligne des JO, mais pas seulement: elle sera la ligne du quotidien", souligne Valérie Pécresse, qui parle d'"une nouvelle épine dorsale de l'Ile-de-France" profitant au Val-de-Marne et à la Seine-Saint-Denis.La ligne 14 fera alors 27 kilomètres de long. Et sa fréquentation devrait passer de 550.000 voyageurs par jour (avant la pandémie de coronavirus) à 1 million."Elle sera la ligne la plus importante du réseau", approuve Louis Villié. Et aussi "la première ligne du métro du Grand Paris". Elle va en effet se connecter au supermétro actuellement en construction autour de la capitale à Pleyel, Villejuif (Val-de-Marne) et Orly.La Société du Grand Paris (SGP), chargée de construire ce supermétro, finance d'ailleurs 58% des 1,4 milliard d'euros dépensés pour prolonger la ligne 14 jusqu'à Saint-Ouen et 100% des deux tronçons suivants vers Pleyel et Orly (850 millions et 2,8 milliards d'euros, respectivement).Ile-de-France Mobilités finance de son côté le matériel roulant (620 millions pour le moment) et couvre le déficit d'exploitation.Pour la RATP, le défi est maintenant de faire aussi bien que sur les 8,6 kilomètres actuels de la ligne, très parisiens, où les voyageurs sont selon elle satisfaits à 98%. "On veut vraiment que ce soit la vitrine du groupe RATP. Et c'est là qu'on veut montrer notre savoir-faire", souligne Louis Villié.L'enjeu est important au moment où le secteur s'ouvre peu à peu à la concurrence.Valérie Pécresse a d'ailleurs récemment taclé la RATP, en vantant la ligne 14, automatique comme le seront les autres lignes du Grand Paris: "Qui dit automatique dit pas impacté par les grèves, sujet toujours sensible auprès des voyageurs.""Même quand c'est automatique, il y a toujours du monde pour accueillir les gens dans les stations", a répondu Catherine Guillouard, PDG de la Régie.De fait, les effectifs affectés à la ligne 14 vont passer de 180 à 250 personnes.
Il y a 4 ans et 145 jours

Paris-Saclay : la résidence étudiante Rosalind Franklin ouvrira en janvier prochain

Campus Paris-Saclay. Les étudiants emménageront dans la résidence Rosalind Franklin en janvier 2021.
Il y a 4 ans et 145 jours

0 € pour le calorifugeage du réseau chauffage et eau chaude d’un hôtel de luxe parisien

20 000 € de devis, mais 0 € de reste à charge pour le Maître d’Ouvrage, grâce aux CEE collectés et déduits de la facture par GEO PLC Hellio.
Il y a 4 ans et 145 jours

Boutique Etam signée MVRDV à Paris : révélation intime ?

MVRDV a livré en 2020 une nouvelle boutique flagship (350m²) à Paris (IXe) pour la marque de lingerie française Etam en rénovant un immeuble haussmannien du XIXe siècle. La suppression des barrières internes et l’ajout d’un plancher en verre permettent à la lumière de remplir l’intérieur de la boutique. Communiqué. Dans la conception, le respect […] L’article Boutique Etam signée MVRDV à Paris : révélation intime ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 146 jours

Vers un nouveau parc éolien en mer au large de la Normandie

D’une capacité d’environ 1000 MW, ce 8e parc éolien en mer français permettra de produire l’électricité nécessaire aux besoins d’environ 800 000 foyers. La présente décision s’accompagne du lancement de la procédure de mise en concurrence en vue de désigner un lauréat pour le développement du parc en 2022. Ce parc s’inscrit dans la programmation pluriannuelle de l’énergie, qui a été publiée en avril 2020. L’éolien en mer est un enjeu majeur de la transition énergétique, qui va permettre de réduire nos émissions de gaz à effet de serre tout en diversifiant notre mix électrique, ce qui le rend plus à même de faire face à toutes les situations. La décision sur la zone retenue pour lancer la procédure de mise en concurrence sera complétée ultérieurement de réponses détaillées à chacune des questions soulevées par le débat public, en particulier en matière d’évaluation des impacts environnementaux et socio-économiques, ainsi que de planification de long terme. De novembre 2019 à août 2020, un débat public a permis de recueillir les avis de plus de 2700 participants. Il a été conclu le 19 octobre 2020 par la publication du bilan par la Commission nationale du débat public. Ce débat a été le premier à se tenir selon les nouvelles modalités prévues par la loi ESSOC de 2018. Il a permis de consulter au plus tôt le public concerné par l’installation d’éoliennes en mer, sur un projet porté par l’Etat. Le débat a été innovant dans sa forme, avec une grande diversité d’outils et d’ateliers de travail pour toucher un large public, mieux l’informer et permettre le recueil de leurs argumentaires. La participation a été bien supérieure à celle observée lors des précédents débats publics sur l’éolien en mer, ce qui confirme la pertinence de ce format. Les conclusions du débat public ont participé au choix de la zone retenue pour le lancement de la procédure de mise en concurrence. Les zones situées en mer territoriale ont été exclues. La zone retenue se situe à plus de 32 km des côtes et 40 km des tours-observatoires Vauban de St-Vaast-La-Hougue. Sur l’ensemble de la zone portée au débat, celle-ci présente un niveau d’activité de pêche faible et des enjeux de biodiversité limités. Le débat a mis en avant des points d’attention sur la cohabitation des usages en mer, dont la pêche, et sur la nécessité de maîtriser les impacts environnementaux du parc. Il fait également ressortir le besoin de visibilité à long terme des acteurs locaux. Le choix de la zone ne résume pas la prise en compte des avis du public. Sous l’égide de la Commission nationale du débat public, un garant va s’assurer des réponses apportées par l’Etat aux interrogations soulevées lors du débat public. Le ministère de la mer a spécifiquement engagé un travail expérimental sur la planification de l’éolien en mer et de son articulation avec les autres usages de la mer sur le long terme, en concertation avec le conseil maritime de façade. Dans sa décision, la ministre de la transition écologique a annoncé différents engagements pour le développement du nouveau parc, notamment :Le cahier des charges de la procédure de mise en concurrence tiendra compte des contributions des participants au débat public lorsque cela est possible et pertinent ;Le futur développeur du parc devra étudier les conditions de cohabitation avec la pêche au sein du parc éolien ;Des études environnementales seront lancées sur la zone de projet, en concertation avec les acteurs de la façade, et le suivi scientifique du projet ;Un site internet d’information du public sur l’ensemble des projets éoliens en mer sera mis en ligne courant 2021. Outre la mobilisation d’un garant pour s’assurer des suites données au débat public, une enquête publique aura lieu dans le cadre de la future procédure d’autorisation du parc. Enfin, une instance de concertation et de suivi sera mise en place pour constituer un lieu de dialogue privilégié entre les différentes parties prenantes durant l’ensemble de la vie du parc.Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique : « La transition écologique doit être une ambition partagée, bénéfique pour tous, adoptée par tous. L’éolien en mer est une formidable opportunité pour le pays, qui dispose du deuxième gisement d’Europe. C’est une technologie décarbonée, renouvelable, compétitive et créatrice d’emplois. Mais son déploiement doit se faire en pleine concertation avec les territoires concernés. C’est pour cela que, pour ce nouveau parc normand, nous avons organisé un débat public inédit, très en amont du projet, avant même qu’une zone d’implantation ne soit définie. Cet exercice a montré qu’il y avait un consensus sur la nécessité de la transition écologique. J’ai également entendu les attentes fortes des riverains, des acteurs économiques locaux et de la société civile. C’est pourquoi j’ai décidé que le futur parc éolien en mer serait installé à plus de 40 km des côtes, dans une zone permettant de limiter au maximum les impacts sur notre paysage, nos activités de pêche, le trafic maritime et l’environnement marin. »Annick Girardin, ministre de la Mer : « Ce débat public a souligné combien la question de la planification du développement des énergies marines et plus généralement des usages de la mer est désormais prioritaire. C’est l’une des raisons d’être du ministère de la mer. Le développement de l’éolien en mer est un grand projet de société qui ne se décide pas dans un bureau parisien. Nous poursuivrons les échanges et la concertation, autant que nécessaire, afin de construire un projet commun de mise en valeur, de développement et de préservation de la mer, notre bien commun. Le lancement d’un nouveau projet éolien et l’ambition de planification de long terme doivent aussi tenir compte du contexte de forte incertitude auquel font déjà face les acteurs de la mer en Manche, en particulier au regard du Brexit et pour la pêche, avec un accompagnement spécifique. »La décision est consultable au Journal Officiel du samedi 5 décembre 2020.
Il y a 4 ans et 146 jours

Notre wishlist 2020 d’insolites en béton !

Le 1er décembre n’est pas seulement le jour pour débuter son calendrier de l’Avent. Il nous rappelle que Noël approche et que nous n’avons toujours pas finaliser notre liste de cadeaux à poser sous le sapin ! Mais n’ayez crainte. L’équipe d’ACPresse est là pour vous donner des idées. Et cette année, nous avons choisi de vous présenter une “wishlist” portée sur des insolites en béton. Des legos à la guitare, en passant par les French Vikings et les Wigwam Hotels, beaucoup de surprises et de trouvailles improbables vous attendent. Car oui, le béton est caméléon… alors n’oubliez pas de scruter l’horizon. Entre simplicité et modernité La villa troglodyte de Monaco, d’une surface de 500 m2 toute en pierre, verre et béton. [©Loïc Thebaud] Comme chacun le devine, je suis originaire de Pologne. Et dans l’imaginaire, mon pays est une terre froide et enneigée. Elle cache pourtant de magnifiques plages bercées au rythme des flots de la mer Baltique. Près de 700 km de côtes alternent dunes sauvages et villages balnéaires pittoresques. Mais on n’y trouve pas de maisons troglodytes comme sur les bords de la Méditerranée. Comme à Monaco plus précisément. Et là, avec le déconfinement, j’aimerais bien faire une fête de Noël ou de Nouvel An, digne de ce nom, avec toute ma famille et tous mes amis dans la villa de verre et de béton signée Jean-Pierre Lott. J’ai toujours adoré ce principe de maisons enfouies. A l’abri des regards, bien au chaud, dans l’antre de la terre… Digne d’un prix d’architecture, celle de la Principauté est à la fois unique et discrète. Du moins en apparence… Et de surcroît, elle possède des caractéristiques écologiques. Tout comme la température naturellement douce en hiver. L’intérieur de cette “grotte” donne lieu à des décors singuliers et à une atmosphère à la fois silencieuse et mystérieuse. Que les sonorités joyeuses de Noël raviveront… Alors juste pour rêver ! Juste pour les yeux ! Une curiosité… Un bonheur pour un dîner de réveillon exceptionnel. Mariola Gluzicki, directrice générale. Avoir les yeux qui brillent Des legos en grandeur nature. [©ACPresse] Une part d’enfance est présente en chacun de nous. Et en cette période de fêtes, de célébration et de cadeaux, elle ressurgit naturellement. Nos yeux se mettent à briller à l’évocation de nos jouets d’antan. Les souvenirs de journées passées à construire des bases spatiales, des châteaux… Je l’avoue avec délectation : j’ai adoré les Legos offerts par mes parents… Le fabricant danois de ces petites briques colorées a très bien saisi cette nostalgie enfouie. D’où l’idée sublime de proposer des Legos pour les grands. A ce niveau, la série “Architecture” est une véritable réussite, à travers des hommages à des architectes comme Franck Lloyd Wright ou Le Corbusier. Il y a aussi la reproduction en miniature de villes emblématiques : Paris, Berlin, Dubaï, Sydney, Tokyo, San Francisco ou New York. Les amoureux du BTP ne sont pas oubliés, avec la pelle hydraulique Liebherr R 9800 (et ses 4 108 pièces). Ne manque plus de la mine à ciel ouvert. Ou le tombereau articulé Volvo A60H (les connaisseurs apprécieront). Alors, quand le camion-toupie est apparu en vitrine – je dois l’admettre -, je n’ai pas résisté. L’assemblage des 1 163 pièces m’a occupé durant quelques soirées. Mais aujourd’hui, le véhicule occupe une place de choix au sein de notre collection de miniatures. Avec une revue qui s’appelle “Béton[s] le Magazine”, il était impossible de faire moins. Frédéric Gluzicki, directeur de la publication. Les mains dans le béton Les “Koffret” 100 % béton des French Vikings. [©ACPresse]Les “Koffret” 100 % béton des French Vikings. [©ACPresse] Le “Do it yourself” a fait son grand retour depuis plusieurs années. Tricot, fabrication de produits cosmétiques ou d’habits… Selon ses envies et surtout ses talents, nombreux sont ceux qui mettent la main à la pâte. Mon amour pour “le fait maison” me vient de mes parents. Même si, à une époque, porter les leggings aux couleurs flashy cousus par ma mère ne “m’enjaillait” pas. Bercée par le son de la machine à coudre ou par les coups de marteau et autre odeur de colle et de peinture, j’ai commencé par la force des choses à créer mes propres objets. Le travail de la matière m’a toujours intéressée. C’est pourquoi, j’ai craqué pour les “Koffret” 100 % béton des French Vikings. Ludiques, pratiques et esthétiques, ces kits permettent de réaliser un ou plusieurs objets selon votre choix. Tout est fourni : le béton, les pigments, les moules, une pipette doseuse, la fiche explicative… En deux temps trois mouvements, vous pouvez créer des petits récipients, des coquetiers, ou encore une lampe ou un pot pour cactus. Le petit plus ? The French Vikings proposent des tutos sur sa chaîne YouTube pour devenir des maîtres et maîtresses ès béton et couleur ! Et pour aller plus loin, ils organisent des ateliers accessibles à tous et disposent d’un e-shop avec toutes leurs créations. Portés par Billy Chevallereau et Nadir Belghoul à bord de leur Drakkar, The French Vikings est découvrir par ici . Sivagami Casimir, journaliste. Un peu de poésie que diable ! Les oeuvres de Caroline Leïte. [©Caroline Leïte] Pour ce Noël, j’aspire à un peu de poésie dans ce monde brutal. C’est pourquoi, je vous propose comme suggestion de cadeau, les œuvres de Caroline Leïte. Photographe, peintre et sculptrice, l’artiste présente des tirages photographiques sur béton. Directement inspirés de sa recherche sur la fuite du temps. Quand la pellicule se révèle sur le béton, les paysages urbains les plus ordinaires se transforment en réalisations époustouflantes de nostalgie et de lyrisme. Désert architectural, chantier à l’arrêt, paysage de campagne, voie de chemin de fer, les photographies apparaissent comme un écho, qui nous renvoie aux profondes mutations du temps présent. Ceci, en faisant corps avec les aspérités du béton. Un moment ineffable… Découvrez ses créations sur son site et sur acpresse.fr. Nadia Zanoun, responsable des abonnements. Sur un air de musique… L’Atelier Mérillon – La Manufacture du béton a réalisé des instruments de musique décoratifs en Bfup. [©Atelier Mérillon] Il y a bon nombre d’années…, je n’étais qu’une petite fille, lorsque mes parents me proposèrent d’apprendre à jouer d’un instrument de musique. Nous écoutions beaucoup de choses à la maison, c’était toujours gai. Encore plus à Noël… Mon père gratouillait sur une vieille guitare, mais ma mère préférait le piano… Et je l’ai suivie. Mais j’ai toujours gardé en mémoire les quelques morceaux que jouait mon père. C’est ainsi que lorsque j’ai découvert que l’Atelier Mérillon – La Manufacture du béton réalisait des instruments de musique décoratifs en Bfup, j’ai été interpelée par la guitare de mon enfance. Une Madeleine de Proust en quelque sorte… Et pour Noël, c’est un prototype de vraie guitare en béton, qui vient de voir le jour ! Equipée de tous les éléments musicaux, elle vient d’être testée par un jeune virtuose Ivalou Page-Pessey du Conservatoire musical d’Annecy. Reste encore à peaufiner l’instrument, mais le principe est là. Une super idée de cadeau de fêtes pour tous les passionnés de musique et de… béton. Car ce dernier a une très bonne qualité sonore. Donc à vos cordes… Pour commander la guitare, c’est ici. Muriel Carbonnet, secrétaire de rédaction et journaliste. Sur les traces du rêve américain Chevrolet Impala devant un tipi du Wigwam Village n° 6, à Holbrook, sur la Route 66. [©DR] Depuis petite, je suis passionnée de voyages et fascinée par l’adversité et la richesse du Monde… Et en termes de diversité de paysages, quoi de mieux que les Etats-Unis ? Du désert du Colorado aux montagnes enneigées de l’Alaska, en passant par les plages d’Honolulu à Hawaï et par les incontournables gratte-ciels de New-York, le trésor des Etats-Unis n’est plus à prouver. Alors, cette année, « all I want for Christmas is » dream. A travers le rêve américain. Partir à l’aventure et faire un “road trip” dans toute l’Amérique du Nord. Traverser les Etats les uns après les autres, en flânant sur les routes sans fin à bord de ma Mustang. Dormir dans des lieux improbables, tels que les mystiques motels de la Route 66. Mais aussi, et surtout, passer une nuit dans l’un des tipis des fameux Wigwam Motels, qui s’inscrivent dans la légende des routes américaines ! Dans la première moitié du XXe siècle, sept ensembles de tipis blancs en béton ont été construits. Hélas, seulement trois ont survécu… Chaque “tente” possède un diamètre de 6,40 m pour une hauteur de 8,50 m. De quoi avoir tout l’espace nécessaire pour passer une bonne nuit de sommeil et rêver “haut en couleurs” d’aventures en compagnie des Indiens… Bien que nous traversions des temps sombres et que les voyages immobiles soient à privilégier, rien n’empêche d’imaginer et de prévoir ses futurs évasions… Mazarine Mazouyer, rédactrice web & community manager. Le bonheur des choses simples Le succulent “miel béton”. [©ACPresse] L’année 2020, nous nous en souviendrons tous. Alors pour ce Noël masqué, soyons sage et continuons à prendre soin de nous. Pour cela, j’ai demandé au Père Noël le “miel-béton”… Ce nectar que savent si bien produire les abeilles. D’autant mieux que leurs ruches sont installées au cœur des carrières de granulats, à proximité des centrales à béton. Ces lieux jugés de prime abord hostiles pour ces insectes butineurs, mais qui s’avèrent in fine des paradis exempts de pesticides et de dangers. L’article “Le miel, les abeilles et les industriels” le démontre en détail… J’ai donc hâte de “déjeuner en paix, déjeuner en paix !”, comme le chantait si bien Stéphane Eicher. Tartine beurre et “miel-béton”, rien de tel pour la santé et bien démarrer sa journée ! Assise au près d’un bon feu de cheminée et devant la fenêtre, face à mon beau paysage du Jura ! Partir respirer l’air des montagnes et se retrouver en petit comité pour trinquer avec un verre de Château-Chalon et un morceau de comté. La vie ! La convivialité ! Le bonheur des choses simples. A tous, je vous souhaite un joyeux différent Noël 2020. Et manger du miel 
Il y a 4 ans et 146 jours

Joseph Aspdin : L’autre inventeur du ciment Portland

Joseph Aspdin dira qu’il a découvert le principe du ciment Portland dès 1811 pour se donner une antériorité par rapport aux travaux de Louis Vicat. [©DR] En 1817, le ciment “moderne” est inventé par le Grenoblois Louis Vicat. Ce dernier découvre le procédé et la composition d’un ciment dit artificielle. A la même époque, Joseph Aspdin, un briquetier de Leeds, en Ecosse, dépose un brevet pour un matériau similaire. Il le dénomme “Portland”. Du même nom que la couleur grise de ce ciment qui rappelle la teinte des roches de l’île calcaire britannique de Portland.Cette ambiguïté sur le nom du véritable inventeur du ciment s’explique par un tour de “passe-passe” d’Aspdin. En effet, ce dernier déclara avoir découvert le principe du ciment Portland dès 1811. Ceci afin de conserver une antériorité par rapport à Louis Vicat… Une description assez sommaire Joseph Aspdin n’est pas chimiste. Sa découverte, qui se fait de façon un empirique, se traduit par un brevet. Qui dénote un manque de compréhension de la chimie du ciment. C’est en fait son fils William qui développe, une vingtaine d’années plus tard, une véritable fabrication du ciment Portland. Une des premières applications se fait sur le premier tunnel construit sous la Tamise – le Thames Foot Tunnel – réalisé entre 1825 et 1843. Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 146 jours

Baromètre de la Certification Environnementale™ 2020 par Green Soluce

Immobilier tertiaire : la certification environnementale poursuit sa progression en EuropeEn 2019, 3 721 certifications HQE, LEED, BREEAM, DGNB ont été délivrées pour des immeubles de bureaux, locaux de commerce, santé, enseignement, activités, hôtellerie, aéroports, etc., en neuf, en rénovation et en exploitation. Au total, de 2008 à 2019, 18 760 certifications ont ainsi été délivrées.Les immeubles de bureaux sont les plus certifiés.Le segment des bâtiments de bureaux reste le plus certifié sur le plan environnemental depuis2008. Une tendance qui se confirme en 2019, avec :563 certifications délivrées en Europe pour des bâtiments de bureaux en neuf ou en rénovation ;651 certifications délivrées pour des bâtiments de bureaux en exploitation.Des dynamiques spécifiques de certification dans les grandes places d’affaires stratégiques et villes européennes.BREEAM et LEED sont présentes partout en Europe, BREEAM ayant été la certification la plus délivrée sur le marché de l’immobilier tertiaire en 2019. De fortes disparités régionales se distinguent néanmoins :BREEAM domine le marché au Royaume-Uni. La plus large zone de certifications se concentrant dans le Grand Londres (de Brentford à l’Ouest, jusqu’à Stratford etGreenwich à l’Est) ;HQE reste la certification la plus délivrée en France, principalement en région parisienne à Toulouse, Lyon et Marseille.DGNB en Allemagne. Le marché se répartissant entre Berlin, Hambourg, Francfort,Munich et Düsseldorf.Côté villes, les capitales Paris, Londres, Varsovie, Madrid, Stockholm et Helsinki, enregistrent la plus grande activité de certification. Les villes allemandes sont sous-représentées car les informations de la DGNB® n'étaient pas disponibles au niveau des villes. Les zones certifiées concernent aussi bien les centres historiques que les quartiers d’affaires.Enjeux & performances : les choix des porteurs de projetsDes hauts niveaux de performance ciblésDans le Grand Paris, près de 20% des certifications atteignent un niveau Excellent pour BREEAM et un niveau Exceptionnel pour HQE. Dans cette même dynamique, Madrid, entrée cette année au classement des villes les plus actives en matière de certification environnementale, enregistre elle aussi des niveaux de performances de très haute exigence : plus de 90 % des certifications LEED atteignent le niveau Gold dans la capitale espagnole.Une nouveauté 2020 : La certification VERDECette certification régionale, utilisée en Espagne, est cette année intégrée au Baromètre. Elle cumule plus de 60 projets certifiés entre 2008 et 2019 en Espagne, avec une surface certifiée de plus de 1 600 000 m². Les certifications sur le bien-être, le digital et la biodiversité continuent à s’installer dans le secteur.La certification WELL, lancée par l’IWBI en 2014, valorise les expertises alliant santé, bienêtre et construction : plus de 29 projets certifiés et 1376 projets enregistrés en cours de certification dans le scope de l’étude en Europe.Le label OsmoZ, lancé par Certivéa en mars 2018, place la qualité de vie des utilisateurs et la performance RSE au centre des critères observés : 6 projets labelisés, 10 opérations pilotes et 28 projets en cours de certification en 2019 localisées dans toute la France.Le label R2S – Ready 2 Services, délivré par Certivéa depuis juin 2018 pour rendre le bâtiment numérique adaptatif et agréable à vivre : 10 opérations pilotes, 5 projets labelisés et 29 projets en cours de certification en 2019 localisés en France.Le label WiredScore, portant sur la connectivité des bâtiments tertiaires et attestant de la rapidité, de l’accès à des réseaux à Très Haut Débit et de la résilience de l’infrastructure et des réseaux aux sources de coupure : le Royaume-Uni est en tête avec 445 projets enregistrés et 181 certifiés, suivi de la France avec 122 projets enregistrés et 79 certifiés.Le label BiodiverCity, mis en place par le CIBI (Conseil International Biodiversité et Immobilier) évalue la performance des projets immobiliers intégrant la biodiversité dans leur conception et construction et donnant sa place à la nature en ville. Entre 2014 et 2019, 62 projets ont été certifiés. Le nombre de projets certifiés BiodiverCity a été multiplié par 7 depuis 2014.Les parties prenantes expriment leurs attentes en matière de certification 101 acteurs européens (ingénieurs, architectes, investisseurs, promoteurs, foncières, consultants en durabilité, AMO environnement), ont été interrogés dans le cadre du Baromètre de la Certification Environnementale 2020. L’objectif : connaître leurs attentes en la matière pour les années à venir. L’étude permet ainsi de constater que :S’agissant des bénéfices environnementaux, les priorités sont essentiellement de réduire la consommation énergétique, de réduire les émissions de gaz à effet de serre et d’améliorer la qualité de l’air.Pour les bénéfices économiques, d’autres avantages sont avancés : créer des bâtiments plus performants, augmenter la valeur des bâtiments et créer une image de marque pour l'entreprise.Enfin pour les bénéfices sociaux, les avantages sont : augmenter la santé et le bien-être des occupants et fournir une vérification par une tierce partie. « Nous sommes ravis, cette année encore, de présenter le Baromètre de la Certification Environnementale. Rendez-vous annuel incontournable depuis 2014, cette édition est une nouvelle fois l’occasion de faire le point sur les tendances de fond du marché du "green building" en Europe et de fournir ainsi aux acteurs des indicateurs solides de comparaison, nécessaires à la prise de décision dans leurs projets immobiliers. Nous nous réjouissons de constater dans cette 7ème édition que les certifications sur le bien-être, le digital et la biodiversité poursuivent leur progression et continuent de s’installer dans le secteur de l’immobilier tertiaire européen. Enfin, nous souhaitons souligner l’implication encore plus forte et la réelle volonté des acteurs de l’immobilier pour une transition environnementale réussie. » Ella Etienne-Denoy, CEO de Green Soluce
Il y a 4 ans et 146 jours

Une nouvelle vie pour une ancienne caserne militaire du 13e arrondissement de Paris

RÉALISATION. Suite à un programme de réhabilitation, l'ancienne caserne militaire de Lourcine, située dans le 13e arrondissement de Paris, accueille dorénavant une partie des équipements de l'université de droit Paris-I. Bibliothèque, amphithéâtre, salles de cours et bureaux occupent maintenant les bâtiments de la place d'arme datant de l'Ancien Régime.
Il y a 4 ans et 146 jours

Capremib s’offre une centrale dédiée aux Bfup

La nouvelle centrale à béton de l’usine Capremib s’inscrit dans un hall dédié de 250 m2. [©ACPresse] Des formules de bétons, Capremib en utilise des dizaines. Leur point commun ? Elles concernent toutes des bétons “normaux”, fabriqués au sein de la centrale historique du site de Cormicy, commune située à quelques kilomètres au Nord de Reims (51). L’unité tourne d’ailleurs à plein régime, ce qui rend délicate toute expérimentation. Et encore plus le souhait de se positionner comme un acteur de la structure en Bfup. C’est dans ce contexte que l’industriel vient de franchir un nouveau pas dans son développement, avec l’inauguration d’une nouvelle centrale à béton, installée dans un bâtiment neuf et isolé de 250 m2. « Cet équipement est dédié à la production de Bfup et de bétons fibrés, souligne Clément Blanc, directeur général de Capremib. C’est une centrale d’ingénierie qui nous permettra aussi de tester des nouvelles formules et de réaliser des bétons spéciaux en petites quantités. » Clément Blanc est le directeur général de Capremib. [©ACPresse] En effet, il y a aussi de plus en plus de demandes en matière de bétons résistants au feu. Avec cet équipement, Capremib se prépare à répondre à ces attentes. Idem pour la production de voussoirs en béton fibrés. Très longtemps interdit en France, ce principe est en passe de devenir la norme. Les nouveaux lots des chantiers du Grand Paris privilégient cette technologie comme solution de base. Une centrale à béton signée Kniele-BSC La centrale à béton s’articule autour d’un malaxeur conique Kniele, installé par BSC. [©ACPresse]La forme conique du malaxeur Kniele permet des gâchées correspondant à 15 % du volume nominal. [©ACPresse]La vidange se fait par le dessous et bénéficie d’une ouverture totale. [©ACPresse] La nouvelle centrale à béton s’articule autour d’un malaxeur conique Kniele, d’une capacité de 1 500 l. L’une des particularités de cet outil est de pouvoir mélanger même de très petits volumes de béton (remplissage à 15 % de la capacité nominale), d’où son choix. C’est BSC qui a assuré la fourniture du Kniele, mais aussi la conception et de la construction de la centrale dans son ensemble. Compte tenu de son usage “Bfup”, elle comprend deux doseurs à fibres, pour permettre les compositions multi-échelles. Les cases à granulats disposent d’un système de dosage ultra précis, du fait de la grande finesse des sables. Deux stations à big bags ont aussi été intégrées pour permettre l’utilisation de prémix prêts à l’emploi. Même si cette centrale va privilégier le mélange sur site. Aussi deux silos à ciments, chacun subdivisé en deux, autorisent le stockage de quatre nuances de liants et autres pulvérulents. Le BSI d’Eiffage comme Bfup Les cases à granulats disposent d’un système de dosage ultra précis, du fait de la grande finesse des sables. [©ACPresse]Compte tenu de son usage “Bfup”, la centrale comprend deux doseurs à fibres, pour permettre les compositions multi-échelles. [©ACPresse]Placés à l’extérieur, deux silos à ciments, chacun subdivisé en deux, permettent le stockage des liants, acheminés par des vis sans fin jusqu’à malaxeur. [©ACPresse]Deux stations à big-bags ont été intégrées pour permettre l’utilisation de prémix prêts à l’emploi. [©ACPresse] Côté Bfup, Capremib a opté pour le BSI du groupe Eiffage. Aujourd’hui, assez peu d’industriels peuvent profiter de cette technologie, mais Eiffage travaille sur un déploiement plus large de sa solution… Chez Capremib, le BSI est fourni sous la forme d’un prémix cimentaire auquel il faut ajouter les autres constituants de la formule. A savoir, le sable en différentes coupures, les adjuvants sous forme liquide et les fibres. Outre ce Bfup industriel, Capremib utilise aussi sa formule maison : le Capremix. La centrale à béton Kniele-BSC complète l’unité de production principale du site de Cormicy. Mais elle est aussi en mesure de la suppléer en cas de nécessité. L’installation de la centrale s’est accompagnée de la construction d’un hall supplémentaire de 400 m2 couverts. « Il sera dédié à la préfabrication des éléments en Bfup », confirme Clément Blanc. Deux premières affaires sont d’ailleurs déjà en cours. Toute d’abord des poutres Prad en Bfup blanc destinées à la reconstruction du pont Célestin Philbois, à Troyes (10). « Il s’agit sans doute du premier pont jamais construit en Bfup blanc. » Ensuite, des dalles de pont, en Bfup gris matricé, destinées au pont de Gerstheim (67). « D’une épaisseur de 30 cm, ces éléments destinés à la réhabilitation permettent un allègement général de la structure. » Les Bfup sont transférés vers les moules à l’aide d’une classique benne à béton. [©ACPresse]Zone de préfabrication des éléments en Bfup. [©ACPresse]Dalles en Bfup matricé destiné à la réhabilitation du pont de Gerstheim (67). [©ACPresse] Des agrandissements de site pour 2021… Les investissements en équipements de production n’ont pas été limités au seul site de Capremib. Celui de Cibetec, à Saint-Léonard (51), a ainsi vu le remplacement des deux malaxeurs de sa centrale à béton. Ce sont deux Teka à turbine de 750 l de capacité, qui sont entrés en service, il y a un peu plus d’un an aujourd’hui. Ils bénéficient d’un système automatisé de nettoyage, car « nous y réalisons beaucoup de bétons colorés, précise Clément Blanc. Et de poursuivre : « Bien entendu, ils savent aussi malaxer des Bfup ». D’autres transformations sont encore à suivre, en 2021 sans doute. Il est question d’agrandir les terrains des deux sites de production. Et le hall “armatures” de Capremib. L’industriel espère pouvoir gagner 1 ha supplémentaire sur le site de Cormicy, ce qui ne devrait pas être trop complexe. En effet, l’usine se situe en rase campagne, le long du CD 944, avec un cimetière pour seul voisin… Mais si l’unité génère du trafic poids lourds et un peu de bruit, cela ne dérange pas grand monde ! Jean-Paul Franzini sort du bois Jean-Paul Franzini, dans l’atelier de moules de l’usine Capremib. [©ACPresse] On pourrait presque dire que Jean-Paul Franzini fait partie des meubles. Que l’usine Capremib de Cormicy (51) a été construite autour de lui... Il est vrai que l’homme est incontournable. Quelque 44 ans passés dans la maison n’y sont pas étrangers. « Jean-Paul Franzini est entré chez Capremib en 1976 ! », précise Clément Blanc, directeur général de Capremib. Il était alors âgé de 17 ans et venait tout juste de décrocher son CAP de menuiserie. Jean-Paul Franzini a été le spécialiste des moules sur mesure en bois indispensables au coulage de nombre de pièces en béton. « J’ai assuré la conduite de l’atelier de conception des moules en tant que chef menuisier », indique l’intéressé. Une vie dans le bois qu’il a souhaité prolonger quelque peu « pour accompagner, encadrer et de finir de former mes successeurs ». Mais c’est décidé, Jean-Paul Franzini raccroche définitivement ses outils professionnels le 31 décembre 2020. Sa nouvelle vie ? Un mix entre des loisirs et ses petits-enfants. Il continuera aussi à jouer de la perceuse et du marteau, pour le plaisir cette fois-ci. Il y a toujours à faire, à la maison...
Il y a 4 ans et 146 jours

iQspot passe le cap des 1 million de m² de bâtiments connectés en France en 2020 !

iQspot passe le cap des 1 million de m² de bâtiments connectés en France en 2020 ! La société bordelaise iQspot agit concrètement en faveur de la transition énergétique immobilière, en plaçant des capteurs dans les bâtiments tertiaires pour collecter en temps réel les consommations de tous les fluides et alerter des éventuelles anomalies. En 2020, la société annonce avoir doublé la surface de bâtiments connectés et pilotés, pour atteindre le million de m², et cela en dépit de la crise sanitaire ! Une tendance forte qui montre l’implication croissante des foncières et gestionnaires de parcs immobiliers en faveur des sujets énergétiques et environnementaux. Le seul acteur en France à proposer un suivi tous fluides en temps réel. Depuis 3 ans, iQspot propose aux foncières et gestionnaires immobiliers de collecter en temps réel les données énergétiques de leur parc de bâtiments. L’objectif final ? Connaître de manière exhaustive et fine les consommations d’un bâtiment pour faciliter leur diminution. Pour cela, des capteurs basse consommation sont installés sur les compteurs (eau, gaz, électricité, réseaux chaud/froid…) et collectent les données en continu. Puis, les algorithmes analysent ces datas pour mieux piloter l’activité des bâtiments et alerter les gestionnaires en temps réel des éventuelles dérives de consommation. iQspot détecte ainsi automatiquement les comportements inhabituels, et permet aussi de mesurer l’impact des travaux de réparation ou d’amélioration. A date, c’est le seul acteur en France à proposer un suivi complet tous fluides en temps réel. Grâce à ses capteurs, iQspot permet de réduire de 10% à 20% la consommation énergétique des bâtiments tertiaires, dès les premières semaines d’installation. Les sujets énergétiques et environnementaux, au cœur des préoccupations. “Nous avons observé une tendance, qui se confirme et même s’accélère en 2020. Les foncières et gestionnaires immobiliers se préoccupent de plus en plus des sujets énergétiques et environnementaux. Prise de conscience collective et réglementation drastique ont fait évoluer les pratiques et les demandes.” observe Julien Bruneau, Co-fondateur et CEO d’iQspot. La publication du décret tertiaire en juillet 2019, oblige en effet tous les bâtiments à usage tertiaire d’une superficie égale ou supérieure à 1 000 m² à réduire leur consommation d’énergie de 40% d’ici 2030. Une réglementation mise en place pour contraindre les propriétaires immobiliers et leurs locataires à améliorer la performance de leurs bâtiments, et qui sanctionnera d’une amende allant jusqu’à 7500 euros en cas de non-conformité. Grâce aux alertes instantanées et aux données détaillées sur chaque fluide, les gestionnaires repèrent immédiatement les fuites d’une canalisation ou d’une chasse d’eau, les espaces qui restent allumés la nuit, les équipements de chauffage et climatisation non éteints les soirs et week-ends (jusqu’à 30% des consommations thermiques inutiles !), les zones sur-alimentées… pour agir sur le terrain rapidement. Un nouveau bureau à Station F (Paris) et des recrutements à venir. “En 2020, nous avons eu le plaisir de franchir la barre des 1 million de m² de bâtiments connectés en France. C’est un signal fort qui nous réjouit, car il montre l’implication des gestionnaires dans la maîtrise des consommations de leurs bâtiments. Pour répondre à la demande croissante, nous avons ouvert un bureau à Paris en juillet dernier. Il accueille 2 collaborateurs sur des postes de Responsable des Opérations et Responsable Commerciale. La moitié des actifs de bureaux sont à Paris. Il devenait indispensable de nous implanter physiquement là-bas pour gérer avec plus de proximité nos clients et futurs clients” précise Julien Bruneau. A noter, l’antenne parisienne prend ses bureaux au cœur de Station F. Le choix de ce lieu fait suite à la sélection d’iQspot par Impulse Partners, pour rejoindre l’accélérateur “Bâtiment et Construction”, un écosystème d’innovations dédié à relever les grands défis de la construction parmi lesquels la performance énergétique et environnementale et la réduction des coûts. iQspot entend bien poursuivre cette dynamique en 2021, en multipliant par 2 le nombre de bâtiments connectés et en recrutant de nouveaux collaborateurs pour son antenne parisienne. A propos iQspot est le fruit de la rencontre entre deux ingénieurs Julien Bruneau et Quentin Enard. Deux docteurs convaincus que la technologie peut servir de grandes ambitions écologiques, notamment dans le domaine de l’immobilier, responsable de 40% des consommations énergétiques et de 20% des émissions de gaz à effet de serre (GES). En 2015, ils créent iQspot, une solution pour faciliter et valoriser les diminutions de consommations dans les bâtiments à usage tertiaire. En savoir plus : www.iqspot.fr
Il y a 4 ans et 149 jours

Quel est l'impact du 2ème confinement pour les entreprises de bâtiment ? L'exemple de l'Île-de-France

Impact du reconfinement 60% des entreprises ont été perturbées par le reconfinement. Les obstacles rencontrés sont principalement la réticence des particuliers à effectuer des travaux chez eux (38,8%), les difficultés d’approvisionnement de matériels et matériaux (18,1%), des problèmes de gestion du personnel liés au cas de contaminations ou cas contacts (15,8%) ou encore des difficultés de fonctionnement des administrations pour 10,3 % d’entre elles (instruction de permis de construire, autorisations de voiries, etc.) Les arrêts de chantiers sont bien moins fréquents que lors du 1er confinement (13,8%) Les difficultés avec les maîtres d’œuvre bien moindres (5,2%) L’indisponibilité des équipements de protection individuelle (EPI) ne constitue plus un frein à l’activité des entreprises. Analyse de l’impact global de la crise sanitaireLes professionnels du Bâtiment d’Ile-de-France estiment que leur chiffre d’affaires va diminuer 15,3% en 2020 par rapport à 2019. Seules 40% des entreprises rencontrent des difficultés de trésorerie Constat d’une stagnation ou baisse des prix des marchés dans le Bâtiment en 2019 vs 2020 Recours massif aux aides pour 70% des entreprisesPerspectives d’activité Faible visibilité sur les carnets de commande Doutes sur la pérennité des entreprises en 2021 pour 30% d’entre-elles « Grâce au maintien de l’activité lors du deuxième confinement, la casse sera limitée pour nos entreprises en 2020. En revanche, nous restons très inquiets pour la pérennité de nos entreprises si les commandes ne redémarrent pas vite. Nous attendons beaucoup de la commande publique. »Philippe Servalli, Président de la commission régionale économique et prospective de l’Union des Fédérations du Bâtiment d’IDFRetrouvez ici l’intégralité des résultats de l’enquête
Il y a 4 ans et 149 jours

Ile-de-France: l’activité dans le secteur du bâtiment devrait reculer de 15% en 2020

A nouveau impactées par le reconfinement, les entreprises du bâtiment franciliennes abordent 2021 non sans appréhension. Selon une enquête réalisée par la FFB Grand Paris et la FFB Région Ile-de-France, 30 % des entrepreneurs s’inquiètent de la pérennité de leur organisation en 2021.
Il y a 4 ans et 149 jours

La suppression de la taxe d'habitation a permis un gain moyen de 590 euros par foyer en 2020, selon Bercy

"Cette mesure forte en faveur du pouvoir d'achat s'inscrit dans la baisse massive des impôts, que nous avons engagée depuis 2017 et que nous poursuivons sans ralentir, malgré la crise actuelle", a déclaré à cette occasion le ministre délégué chargé des Comptes publics Olivier Dussopt.Il a rappelé que la suppression par étapes de cette taxe se poursuivra à partir de 2021 pour les 20% de foyers les plus aisés, et sera achevée en 2023.Cette année, la suppression de la taxe d'habitation a concerné 22,4 millions de foyers fiscaux.Le gain moyen varie parfois beaucoup d'un département à l'autre, y compris au sein d'une même région: en Ile-de-France, il est ainsi de 735 euros dans l'Essonne et de seulement 417 euros à Paris.En Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca), il est de 714 euros dans les Bouches-du-Rhône et de 460 euros dans les Hautes-Alpes.
Il y a 4 ans et 149 jours

L’État lance une carte de France des loyers, un petit pas vers la transparence

"L'objectif du projet, (...) c'est de disposer d'indicateurs de loyers pour toutes les communes de France", a résumé jeudi, lors d'une présentation en ligne, l'ingénieur Basile Pfeiffer, l'un des créateurs de cette carte lancée par le ministère du Logement.Concrètement, il s'agit d'une carte de France interactive et disponible depuis vendredi sur le site du ministère de la Transition écologique, dont dépend le Logement: https://www.ecologie.gouv.fr/carte-des-loyers. L'internaute peut zoomer et cliquer sur la commune de son choix pour savoir quel loyer au mètre carré attendre pour un appartement ou une maison.Derrière ce projet, discrètement annoncé en 2019 par le ministère, il y a l'idée de rendre le marché du logement plus transparent.La carte doit "être utilisable par tous, à la fois les propriétaires, les locataires (ou) les professionnels de l'immobilier", a insisté M. Pfeiffer.Le sujet des loyers est politiquement sensible car ressurgit régulièrement la question de leur encadrement dans un contexte de hausse continue des prix immobiliers, celle-ci persistant pour l'heure malgré la crise économique et sanitaire.Les villes de Lille et Paris, notamment, ont instauré un plafonnement et plusieurs autres métropoles, dont Lyon et Bordeaux, viennent de demander au gouvernement à faire de même.Mais la nouvelle carte n'apporte pas de grande nouveauté pour les grandes agglomérations. Des observatoires publics existent déjà et fournissent des données de référence sur les loyers.L'enjeu, c'est plutôt d'établir quels sont les loyers dans le reste de la France, les villes moyennes et petites, ainsi que les zones rurales. Cela représente en gros la moitié des logements loués dans le pays.Pour ce faire, les créateurs de la carte ont compilé une dizaine de millions d'annonces fournies par les grands sites actifs dans le secteur: Leboncoin, SeLoger et PAP. La start-up PriceHubble a aussi participé au projet.Sans surprise, "les loyers sont élevés dans les zones touristiques" comme "les littoraux et les zones de montagnes", remarque la chercheuse Marie Breuillé.Nombreux flousSeulement, les données ne permettent pas de distinguer avec "certitude" les locations touristiques, remarque-t-elle, comme celles mises en ligne par la plateforme AirBnB.C'est l'un des nombreux flous de cette carte, qui ne fait pas non plus la différence entre logements neufs et anciens. De plus, elle ne dresse qu'un tableau figé sur l'année 2018, alors que les prix ne cessent d'évoluer.Ensuite, il y a "une marge d'imprécision puisque ce ne sont que des annonces et non des baux signés qui sont ici observées", remarque auprès de l'AFP l'agent immobilier Fabrice Abraham, ancien dirigeant du réseau Guy Hocquet, qui se félicite toutefois d'un "pas" vers plus de transparence.Enfin, de nombreuses communes n'ont tout simplement pas de données: près d'un tiers ne disposent pas d'annonce pour un appartement. Dans ces cas-là, il a fallu extrapoler à partir de communes semblables.Avec toutes ces imprécisions, cette carte peut-elle vraiment servir aux propriétaires et leurs futurs locataires ?"Sur le principe, c'est bien d'avoir un dispositif qui donne une idée de la valeur du marché", reconnaît auprès de l'AFP David Rodriguez, juriste auprès de l'association de consommateurs CLCV.Mais "ce n'est pas assez rigoureux" pour qu'un propriétaire ou un locataire fasse son choix, tranche-t-il, regrettant notamment que la carte fasse le choix de donner les loyers avec les charges comprises alors que celles-ci varient beaucoup selon la nature et l'état du logement.Les créateurs du projet ne cachent pas qu'il n'en est qu'au stade expérimental. C'est désormais à l'agence publique d'information sur le logement, l'Anil, de voir quel usage en faire et comment l'affiner."On est encore assez loin de pouvoir utiliser ces données pour (...) la politique du logement", admet M. Pfeiffer, qui pense que la carte pourrait être actualisée d'ici à deux ans.
Il y a 4 ans et 149 jours

Près d'Austerlitz, la poutre coffrante tombée sur les voies SNCF est en cours d'évacuation

INCIDENT. A Paris, le chantier d'évacuation de la poutre coffrante qui s'est effondrée sur les voies SNCF près d'Austerlitz dans la nuit du 1er décembre 2020 a commencé, selon les informations que Batiactu a obtenues. Les équipes sont mobilisées en 3x8, et travaillent donc 24h sur 24.
Il y a 4 ans et 149 jours

Lancement des travaux du premier bâtiment de logements étudiants en bois du Campus urbain de Paris-Saclay

Première résidence étudiante en bois du Campus urbain de Paris-Saclay, elle sera conçue sur le modèle des « hacker houses » conçues par Seed Up. Après une consultation lancée en août 2018, l'EPA Paris-Saclay a retenu le groupement* mené par Demathieu Bard Immobilier (DBI) pour la réalisation d'un programme de 122 logements privés, soit 233 lits, pour étudiant de 5 509 m² Surface Plancher Construit (lot S1.2). Située au sud de la ZAC du quartier de l'Ecole polytechnique, à Palaiseau, à proximité notamment des écoles de Telecom Paris et Telecom Sud Paris, cette résidence sera livrée en septembre 2022. Après la sélection d'un groupement de maîtrise d'œuvre mené par l'agence d'architecture Atelier WOA, l'EPA Paris-Saclay et Demathieu Bard Immobilier ont signé en fin d'année 2019 une promesse synallagmatique de vente. E, L'EPA Paris-Saclay et Demathieu Bard Immobilier ont signé, en novembre 2020, un acte authentique de vente permettant le lancement du chantier.Une résidence étudiante conçue sur le modèle des « hacker houses »Cette résidence étudiante proposera un programme de gestion innovant mêlant logements étudiants « classiques » et un programme pour « hackers ». La résidence sera gérée par Global Exploitation et intègrera environ 40 lits à destination de Seed Up, gestionnaire pour la partie « Hacker house ».Les étudiants, logeant dans cette résidence, pourront ainsi formuler le souhait d'être intégré au sein d'un logement en colocation géré par Seed Up. Ces derniers réaliseront des missions commanditées par des entreprises et des grands comptes du territoire (codage informatique, recherche,…). En contrepartie, les étudiants membres de ce programme bénéficieront d'une réduction, voire d'une gratuité totale de leur loyer et pourront même percevoir une rémunération.Au sein des locaux, la résidence offrira des espaces dits « hackers » au sein desquels les étudiants de Seed Up auront accès à des équipements de pointe comme un studio de musique, un fablab, un espace reprographie ou encore un atelier mécanique.La résidence proposera à l'ensemble des étudiants y vivant une grande diversité de typologies de logements de sorte à répondre à la diversité des profils étudiants. Ainsi, 12 typologies seront proposées, allant du T1 au T7. Des espaces communs ouverts à tous les résidents seront proposés en rez-de-chaussée du bâtiment : espace de détente, cuisine commune, espace de travail, salle de sport.Un bâtiment bas-carbone et exemplaire en matière environnementaleLe projet conçu par l'Atelier WOA, conformément au cahier des charges fixé par l'EPA Paris-Saclay, respectera des ambitions environnementales élevées.Le bâtiment sera conçu en structure majoritairement en bois (seuls les noyaux et l'infrastructure du bâtiment seront en béton) avec des façades en ossature bois. Ainsi, près de 80% de la structure du bâtiment sera en bois et matériaux biosourcés.Cela va dans le sens de l'implication de l'EPA Paris-Saclay dans le Pacte Bois Biosourcés signé le 5 novembre dernier, par lequel l'EPA s'engage à réaliser 40% de Surface de Plancher de ses constructions en bois et biosourcés avec un objectif d'utilisation de 30% de bois d'origine France et 100% du bois utilisé gérées durablement (certifié FSC ou PEFC ou équivalent).Le projet, à terme, sera certifié NF Habitat HQE niveau « Excellent », obtiendra le label BBCA et Biosourcé de niveau 2 et sera labellisé E+C- au niveau E3C2. Il sera à ce titre, le premier projet du Campus urbain à être certifié E3C2 et BBCA.*Le groupement se compose de Demathieu Bard Immobilier (opérateur-mandataire), Seed Up (gestionnaire de hacker houses) et Global Exploitation (via sa filiale SuitEtudes). Le groupement est accompagné de l'Atelier WOA (Architecte et MOE d'exécution), Pouget Consultants (BET fluides et thermique) META Atelier Acoustique (BET acoustique) mais également de Sylva Conseil pour la construction bois et GERA'nium pour la dimension environnementale.
Il y a 4 ans et 149 jours

Premier bâtiment de logements étudiants en bois du Campus de Paris-Saclay

L’EPA Paris-Saclay a signé un acte de vente avec le groupement mené par Demathieu Bard Immobilier, promoteur immobilier en charge de la maîtrise d’ouvrage de la première résidence étudiante en bois du Campus urbain de Paris-Saclay. Elle sera conçue sur le modèle des « hacker houses » conçues par Seed Up. Le programme comprend 122 logements privés, soit 233 lits, pour étudiant sur 5 509 m² Surface Plancher Construit (lot S1.2). Située au sud de la ZAC du quartier de l’Ecole polytechnique, à Palaiseau, à proximité notamment des écoles de Telecom Paris et Telecom Sud Paris, cette résidence sera livrée en septembre 2022. L’agence d’architecture Atelier WOA avait préalablement été sélectionnée pour la maîtrise d’œuvre. Cette résidence étudiante proposera un programme de gestion innovant mêlant logements étudiants « classiques » et des espaces dits « hackers » au sein desquels les étudiants auront accès à des équipements de pointe comme un studio de musique, un fablab, un espace reprographie ou encore un atelier mécanique. La résidence proposera à l’ensemble des étudiants y vivant une grande diversité de typologies de logements de sorte à répondre à la diversité des profils étudiants. Ainsi, 12 typologies seront proposées, allant du T1 au T7. Des espaces communs ouverts à tous les résidents seront proposés en rez-de-chaussée du bâtiment : espace de détente, cuisine commune, espace de travail, salle de sport. Un bâtiment bas-carbone et exemplaire en matière environnementale Le projet conçu par l’Atelier WOA, conformément au cahier des charges fixé par l’EPA Paris-Saclay, respectera des ambitions environnementales élevées. Le bâtiment sera conçu en structure majoritairement en bois (seuls les noyaux et l’infrastructure du bâtiment seront en béton) avec des façades en ossature bois. Ainsi, près de 80% de la structure du bâtiment sera en bois et matériaux biosourcés. Cela va dans le sens de l’implication de l’EPA Paris-Saclay dans le Pacte Bois Biosourcés signé le 5 novembre 2020, par lequel l’EPA s’engage à réaliser 40% de Surface de Plancher de ses constructions en bois et biosourcés avec un objectif d’utilisation de 30% de bois d’origine France et 100% du bois utilisé gérées durablement (certifié FSC ou PEFC ou équivalent). Le projet, à terme, sera certifié NF Habitat HQE niveau « Excellent », obtiendra le label BBCA et Biosourcé de niveau 2 et sera labellisé E+C- au niveau E3C2. Il sera à ce titre, le premier projet du Campus urbain à être certifié E3C2 et BBCA. Aménageur : EPA Paris-Saclay Maîtrise d’ouvrage : Demathieu Bard Immobilier Maîtrise d’œuvre : Atelier WOA Surface de plancher : 5 509m² Début des travaux : novembre 2020 Livraison : septembre 2022 Visuel : Atelier WOA
Il y a 4 ans et 149 jours

Le Groupe Monnoyeur crée une Direction RSE et nomme à sa tête Anne-Laure Denis

L'entreprise familiale est le leader de la distribution de biens d'équipement et de services pour la construction et l'industrie, également acteur majeur européen de la transformation digitale du secteur de la construction. Forte d'un parcours et d'une expérience RSE de plus de 10 ans dans l'industrie, Anne-Laure Denis apportera son expertise et son savoir-faire au service du groupe centenaire.La mission d'Anne-Laure Denis au sein du Groupe Monnoyeur sera de poursuivre la définition d'une politique et d'une stratégie RSE Groupe, ainsi que d'assurer leur mise en œuvre avec les différents pôles d'activités. Elle sera également en charge du pilotage opérationnel des différentes composantes de la politique RSE, elle en déterminera les indicateurs clés puis en assurera le suivi et l'amélioration. En outre, elle animera et coordonnera la mise en œuvre et la communication des plans d'actions avec les parties prenantes internes et externes.Anne-Laure Denis démarre sa carrière en 1999 dans le conseil en stratégie chez Kearney. En 2005, elle devient auditeur interne chez Kraft Foods avant d'accéder, en 2009, au poste de responsable Environnement et Développement Durable chez bioMérieux. En 2014, elle intègre Lafarge où elle est en charge de la RSE puis en 2016, elle est nommée responsable RSE et Innovation chez LafargeHolcim.« Nous sommes ravis d'accueillir Anne-Laure au sein du Groupe Monnoyeur, elle apportera son savoir-faire et sa connaissance approfondie de la responsabilité sociale et environnementale. Cette création de poste est le reflet de nos fortes ambitions en matière de RSE, elle marque notre volonté d'insuffler une nouvelle dynamique et de construire une véritable stratégie dédiée. C'est l'ensemble du Groupe et de ses filiales qui doit se développer de manière durable. Anne-Laure nous aidera à relever ces défis majeurs, plus que jamais d'actualité en cette période d'incertitude. » souligne Philippe Monnoyeur, Directeur Général du Groupe Monnoyeur.Âgée de 45 ans, Anne-Laure Denis est diplômée d'HEC Paris et titulaire d'un Master of Science en Environnement de l'Imperial College à Londres.
Il y a 4 ans et 150 jours

Valery Giscard d'Estaing salué pour sa "grande audace" avec la naissance du Musée d'Orsay

"La modernité se retrouvait dans ce projet scientifique et culturel", a souligné l'établissement dans un communiqué, estimant que sa création "demeure un des plus importants succès de la politique culturelle française des cinquante dernières années".Laurence des Cars, présidente de l'établissement public, "se souvient avec émotion de sa visite le 1er mai 2019 à l'occasion du concert européen donné par la Philharmonie de Berlin dans la nef du musée. Cet événement résumait trois des passions du président : l'art de cette période et le musée d'Orsay qui permet de le présenter, l'amitié franco-allemande et la construction européenne".La maire LR du VIIe arrondissement de Paris Rachida Dati et la présidente (ex-LR) de la région Ile-de-France Valérie Pécresse ont appelé jeudi à donner à ce musée le nom de l'ancien président.Sur Twitter, Valérie Pécresse a rappelé que VGE "transforma la gare d'Orsay en l'un des musées les plus visités du monde, à la gloire de nos impressionnistes".La direction du Louvre a aussi rendu hommage à l'homme d'Etat décédé mercredi, soulignant son rôle dans sa transformation, avant même la présidence de François Mitterrand et l'édification du Grand Louvre qui avait culminé en 1989 avec la Pyramide de Ieoh Ming Pei:Giscard, a-t-il rappelé, "a eu son bureau de ministre des finances dans l'aile Richelieu de 1962 à 1974", et "il est, avec la loi Musées de 1978, à l'origine du grand plan de réaménagement du Louvre".VGE, "passionné de l'histoire du lieu, revenait au Louvre chaque année avec plaisir et curiosité", a souligné l'établissement public.
Il y a 4 ans et 150 jours

Un tiers des entreprises de bâtiment franciliennes sont inquiètes pour leur avenir

CONJONCTURE. Impact du reconfinement sur les entreprises de la région, évaluation de la baisse de l'activité sur 2020, état des carnets de commandes, inquiétudes et attentes pour les prochains mois, perspectives pour le début de l'année 2021... Les FFB Grand Paris et Ile-de-France ont interrogé les entreprises du bâtiment, afin de mieux appréhender leur situation.
Il y a 4 ans et 150 jours

La ville de Seyssinet-Pariset disposera d’une nouvelle église en 2021

La construction de l’église Notre-Dame des Iles est lancée dans la rue Aimé-Bouchayer.
Il y a 4 ans et 150 jours

Le Musée d’Art contemporain d’Hirosaki puise dans le passé pour créer le futur

Comme pour le Musée national estonien, ouvert en 2016, ou pour le futur Hôtel de la Marine à Paris, le Musée d’art... Cet article Le Musée d’Art contemporain d’Hirosaki puise dans le passé pour créer le futur est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 150 jours

Alogia Groupe annonce l'acquisition d'un cabinet d'architectes spécialisés

Cette union se concrétise par la création d'une nouvelle filiale dénommée "cabinet Gardinier Chargé et associés". Avec l'internalisation de cette compétence à très forte valeur ajoutée de la chaîne du maintien à domicile, ALOGIA Groupe renforce son expertise pluridisciplinaire pour s'imposer sur les marchés de l'assistance à maîtrise d'ouvrage (AMO) et de l'expertise juridique.L'architecture spécialisée "vieillissement et handicap" au cœur de l'enjeux sociétal de la transition démographiqueAujourd'hui en France, 94,5% des personnes âgées de 65 ans et plus vivent à domicile1. Ces seniors expriment pour 90% d'entre eux le souhait d'y rester2. Au cœur des enjeux de l'adaptation de notre société au vieillissement, l'habitat est ainsi devenu un déterminant de santé et d'autonomie mais aussi un défi majeur : 94% du parc immobilier n'est pas adapté aux seniors3.Face à ce constat, le Groupe ALOGIA défend une approche préventive du vieillissement en accompagnant les professionnels du secteur (bailleurs sociaux, assurances, collectivités, promoteurs…) dans leur réponse aux enjeux du "bien vieillir" à domicile. Le Groupe, qui a déjà accompagné ses clients par des actions préventives sur plus de 10 000 logements, rassemble une équipe pluridisciplinaire : professionnels de santé ergothérapeutes, UX designers, chercheurs doctorants, experts, architectes… Cette complémentarité des profils, qui permet d'apporter une réponse exhaustive aux enjeux de l'adaptation du parc immobilier, fait aujourd'hui le succès d'ALOGIA.L'intégration du cabinet Gardinier, fruit de la stratégie du Groupe pour s'imposer sur les marchés de l'AMO et de l'expertise juridiqueExpert reconnu auprès des compagnies d'assurance depuis 30 ans et chargé de cours à la faculté de médecine Paris VI, Vincent Gardinier, Architecte DPLG spécialisé Grand Handicap, interviendra dans les missions d'Assistance à Maîtrise d'Ouvrage (AMO) du groupe et pilotera la filiale "Cabinet Gardinier Chargé et associés".À destination des acteurs de l'assurance, cette division propose une offre d'expertises juridiques pour les conseiller dans le dimensionnement juste et impartial de l'indemnisation des victimes de dommages corporels. Élément de différenciation fort, le binôme unique ergothérapeute-architecte formé par Thomas Chargé, directeur santé d'ALOGIA Groupe et Vincent Gardinier, s'est donné pour mission de s'imposer sur le marché des expertises juridiques.Avec leurs équipes, ils offrent aux assureurs la garantie d'une prise en charge globale des problématiques de la victime, tant architecturale qu'ergonomique. Le cabinet intervient déjà au niveau national auprès des principaux acteurs de l'assurance parmi lesquels Covéa, Axa, Groupama, Gan et bien d'autres.« Ce rapprochement est une réelle opportunité de transmettre des savoirs concrets, techniques et spécifiques, accumulés tout au long de 30 années de terrain au contact des victimes, et de former une nouvelle génération d'architectes. La complémentarité du binôme ergothérapeute / architecte renforce notre expertise ; les savoirs de l'un nourrissant la pratique de l'autre », souligne Vincent Gardinier.« La création du Cabinet Gardinier Chargé marque l'aboutissement de plusieurs années de collaboration entre Vincent Gardinier et nos équipes. L'arrivée de Vincent, dont la réputation auprès des compagnies d'assurance n'est plus à démontrer, nous permet de consolider nos activités tant au niveau du groupe qu'au sein de cette nouvelle filiale auprès des assureurs.», conclut Alexandre Petit, Président du groupe.1 Source INSEE, France, portrait social – édition 20162 Source, INSEE, Les tableaux de l'économie française – mars 20193 Source, rapport d'étude du groupe Caisse des Dépots – octobre 2013
Il y a 4 ans et 150 jours

Dumez Île-de France transforme la tour KupkA-A dans le quartier d'affaires de Paris La Défense

Les travaux menés par les équipes de Dumez Île-de-France ont porté sur la restructuration lourde de l'IGH (Immeuble de Grande Hauteur) de 19 niveaux afin de lui offrir une nouvelle vie en adéquation aux nouveaux usages de travail. 21 mois de travaux auront été nécessaires à la transformation complète de ce bâtiment qui se destine à accueillir près de 20.000 m2 de bureaux de grand standing.L'ensemble architectural a été imaginé par Yrieix Martineau Architecture (YMA) avec des bureaux organisés en plateaux afin de permettre une flexibilité des usages. Des espaces collaboratifs et de convivialité ont également été aménagés. La création de deux atriums en façade, ouvrant les espaces intérieurs offrent une vue panoramique sur La Défense. Le site intègre un centre de fitness et un restaurant inter-entreprises de plus de 600 couverts.La restructuration de KupkA-A a également permis d'améliorer son accessibilité avec l'entrée principale qui prend désormais la forme d'un hall triple hauteur, connecté à une nouvelle passerelle donnant sur le parvis de La Défense et reliée à celle du « Couchant ». Un jardin et un rooftop végétalisé, totalisant près de 550 m2 d'espaces verts accessibles, ont été aménagés.Le bâtiment KupkA-A vise l'obtention des certifications environnementales Breeam et HQE Excellent. Par ailleurs, afin de faciliter la connectivité et la qualité de vie professionnelle de ses futurs occupants, l'immeuble souhaite intégrer les labels Well Gold et Wired Score Gold.
Il y a 4 ans et 150 jours

Coronavirus: le métro du Grand Paris confirme un retard de 3 à 8 mois

La pandémie de coronavirus a entraîné un retard de trois à huit mois dans la construction du métro du Grand Paris, a indiqué la Société du Grand Paris (SGP) chargée de conduire le chantier.
Il y a 4 ans et 150 jours

L'AUC - Portrait

Fondée à Paris en 1996 par François Decoster, Djamel Klouche et Caroline Poulin, rejoints en 2020 par Alessandro Gess, l'AUC s'intéresse aux problématiques urbaines dans toutes leurs dimensions : visions stratégiques métropolitaines, régénérations, espaces publics et architecturaux. Lauréate de la consultation du […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 150 jours

Jeux Olympiques et Paralympiques : attribution du marché de construction du Centre aquatique de Marville

L’entreprise GCC s’est vue attribuer le marché global de performances (comprenant la conception, la construction et la maintenance) du futur Centre aquatique de Marville en Seine-Saint-Denis, en groupement avec BVL Architecture, ASB Architectures OAW, INCET, TUAL, Ginger BURGEAP, Vivace Latitude, ABC Décibel, BIM BAM BOOM et Idex. GCC opérera sous maîtrise d’ouvrage du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis et sous la supervision de la SOLIDEO. Après une phase de conception, d’études et d’obtention du permis de construire, les travaux débuteront en janvier 2022 et s’achèveront en octobre 2023, avant une ouverture du nouveau Centre aquatique début 2024. Cet équipement sera financé à hauteur de 30,5 millions d’euros (valeur 2016) par la SOLIDEO, grâce notamment aux importantes contributions de la Ville de Paris et du Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis à son budget. Ce nouveau centre aquatique offrira un espace totalement neuf de 4 600m2 dont près de 1 600m2 de plan d’eau, avec des bassins intérieurs et extérieurs, un espace bien-être et balnéothérapie, deux solariums, une plage aqualudique ou encore une lagune de jeux. Pendant les Jeux Olympiques, le Centre aquatique accueillera les entraînements de water-polo. Après 2024, ce nouvel équipement public renforcera considérablement l’offre aquatique du parc des sports de Marville, que ce soit pour une pratique sportive ou de loisirs, des clubs, des groupes scolaires et des habitant.e.s de la Seine-Saint-Denis. Le futur Centre aquatique s’inscrit ainsi pleinement dans le « Plan piscines » de 40 millions d’euros voté par le Département fin 2015 et visant à la rénovation de la moitié des piscines et à la construction de 5 nouvelles piscines en Seine-Saint-Denis.
Il y a 4 ans et 151 jours

Sortie de crise en vue, mais perspectives très incertaines à court terme selon l'OCDE

L'Organisation de coopération et de développement économique a également légèrement corrigé son estimation pour 2020, mais à la hausse: le PIB mondial devrait finalement se contracter de 4,2%, contre -4,5% prévus lors de ses précédentes prévisions, en septembre.En revanche, les perspectives de rebond se sont assombries pour 2021. Car entretemps a déferlé la deuxième vague de Covid-19, qui a fait 1,46 million de morts depuis son apparition en Chine en décembre et continue à progresser rapidement dans certains pays, comme au Brésil où le PIB est attendu en hausse de 2,6% en 2021, après -6% en 2020.Même si le monde ne devrait pas retrouver son niveau d'avant-crise avant la fin de 2021, la croissance sera toutefois partout au rendez-vous l'année prochaine, selon les prévisions de l'OCDE: +3,2% aux Etats-Unis, +3,6% en zone euro, +7,9% en Inde et +8% en Chine.Pour 2022, l'OCDE table sur une croissance mondiale de 3,7%.En France, après une chute inédite de 9,1% de l'activité en 2020, la croissance devrait rebondir de 6% en 2021 et 3,3% en 2022.Les nouvelles sur le front du vaccin portent à l'optimisme. Lundi, le laboratoire américain Moderna a déposé une demande d'autorisation de son vaccin aux Etats-Unis, faisant espérer de premières vaccinations dès le mois de décembre."La perspective d'une sortie de crise s'est améliorée grâce aux (...) progrès réalisés dans la conception d'un vaccin efficace, mais les perspectives à court terme restent très incertaines, la reprise de l'activité étant de plus en plus hésitante", écrit l'OCDE.En effet, la recrudescence de l'épidémie "et les mesures d'endiguement mises en place ont freiné le rythme de la reprise mondiale, après l'effondrement de la production constatée dans la première moitié de 2020".Et cette tendance "devrait persister pendant un certain temps, étant donné les défis à surmonter, en termes de développement et de logistique, avant de pouvoir distribuer un vaccin à grande échelle dans le monde", prévient l'institution basée à Paris. Qui invite à ne pas se faire d'illusions: "vivre avec le virus pendant encore six à neuf mois au moins sera compliqué".Quant à la réponse macroéconomique, l'OCDE est sur la même ligne que le FMI: les politiques monétaires et budgétaires actuelles, expansionnistes, doivent être poursuivies, le moment n'est pas venu de serrer la vis."S'assurer que la dette est supportable ne sera une priorité que lorsque la reprise sera sur les rails" prévient-elle.
Il y a 4 ans et 151 jours

Alliance entre Hoffmann Green Cement Technologies et Eiffage Génie Civil

Hoffmann Green Cement Technologies a annoncé la signature d’un contrat de partenariat avec Eiffage Génie Civil, d’une durée de 3 ans. [©HGCT] Hoffmann Green Cement Technologies a annoncé la signature d’un contrat de partenariat avec Eiffage Génie Civil, d’une durée de 3 ans. L’entreprise et l’industriel sont en relation étroite depuis plusieurs années déjà. Ainsi dès 2021, HGCT fournira à Eiffage son ciment décarboné sans clinker issu de la technologie H-UKR. Ceci, en vue de la construction d’infrastructures de génie civil. Tels que les châteaux d’eau, les bassins de rétention d’eau, les silos de stockage… Par le biais d’éléments préfabriqués, les ciments à moindre impact de HGCT seront mis en œuvre. Notamment dans deux projets menés par Eiffage Construction dans Paris intra-muros. A savoir, les Ateliers Gaité de Montparnasse et l’ensemble tertiaire L1VE, situé avenue de la Grande Armée. Réduire l’impact carbone Cet engagement de commandes matérialise la volonté d’innovation de la part des deux acteurs. Ainsi que leurs engagements environnementaux. Afin de contribuer à réduire l’impact carbone du secteur de la construction.  « Cet engagement sur plusieurs années est très positif et concret. Car il signifie que, dès l’année prochaine, des éléments d’infrastructures de génie civil seront construits. Ceci, par Eiffage Génie Civil, sur le territoire français. Ceci, à partir de béton présentant un bilan carbone réduit de manière significative grâce à nos ciments. L’entrée de notre société sur ce nouveau marché des infrastructures marque une étape déterminante dans le développement commercial d’Hoffmann Green. Et prouve une nouvelle fois la compétitivité de nos produits. En outre, nous sommes ravis de collaborer avec un groupe comme Eiffage avec qui nous partageons une vision commune. A savoir, celle de construire d’une façon plus éco-responsable les infrastructures de demain », déclarent Julien Blanchard et David Hoffmann, co-fondateurs de HGCT.
Il y a 4 ans et 151 jours

GCC décroche le marché pour un centre aquatique à construire pour les Jeux olympiques

PARIS 2024. Le groupement que mène GCC a obtenu le contrat pour le site d'entraînement pour le water-polo, qui se situera à Marville, en Seine-Saint-Denis.
Il y a 4 ans et 151 jours

Fin du démontage de l’échafaudage calciné de Notre-Dame de Paris

Le démontage de l’échafaudage calciné qui entourait initialement la flèche de Notre-Dame de Paris s’est achevé le 24 novembre 2020 en présence de la ministre de la Culture, Roselyne Bachelot. La dépose qui avait commencé le 8 juin 2020 a donc duré moins de 6 mois. Constitué de 40 000 pièces d’un poids de 200 tonnes, dont la moitié à plus de 40 mètres de haut, il représentait une grave menace pour la cathédrale. L’installation d’un deuxième échafaudage a permis aux cordistes de descendre au coeur de l’échafaudage incendié dont les pièces étaient soudées entre elles par la chaleur. Les échafaudeurs ont démonté les parties accessibles à l’aide d’une nacelle, lorsque le temps le permettait, les cordistes sont descendus au plus près des parties calcinées pour découper les tubesavec des scies sabres. Les pièces ont été évacuées grâce à une grue de 80 mètres. Photo : © Édouard Bierry / ministère de la culture  
Il y a 4 ans et 151 jours

Jacques Pommeraud, Directeur général Afrique et France de Bureau Veritas élu Président de la COPREC

Avant de rejoindre Bureau Veritas en 2018, Jacques Pommeraud travaillait pour SAP en tant que Senior Vice-Président Customer Success. Il a débuté sa carrière dans le Conseil en Stratégie au sein de McKinsey & Co, à Paris et Boston. En 2009, il intègre Atos pour prendre la direction du Lean et étend progressivement ses responsabilités jusqu'à être nommé Directeur Général de Canopy Cloud, joint- venture entre Atos, EMC2 et VMware. En 2014, il rejoint Salesforce Inc, en tant que Senior Vice-Président & Directeur Général Success Services, basé à San Francisco, aux Etats-Unis. Jacques Pommeraud, 44 ans, est diplômé d'un Master d'Ingénierie de l'Ecole Nationale des Ponts et Chaussées (France) et est titulaire d'un MBA à l'INSEAD.Jacques POMMERAUD indique : « Je suis honoré d’être élu Président de la COPREC et d’avoir la confiance de mes pairs pour représenter notre profession. La crise sanitaire que nous traversons a particulièrement mis en lumière l’importance de nos métiers d’essais en laboratoires, inspections et certifications qui constituent un pilier essentiel pour la santé et la sécurité de tous les Français. Je salue l’engagement total de l’ensemble des acteurs de notre filière, qui ont permis aux pouvoirs publics et aux acteurs économiques de relever les défis historiques que nous rencontrons. Aujourd’hui plus que jamais, nous sommes aux côtés des entreprises et des institutions pour soutenir la relance et pour les accompagner dans les transitions environnementales, numériques ou les nouveaux modes de consommation. L’expertise, l’agilité et l’intensité des efforts des femmes et des hommes qui composent notre collectif ont profondément changé le regard sur notre profession, une véritable filière de confiance. »À propos du secteur :Créée en 1991, la COPREC réunit les organismes tierce partie qui réalisent des activités de Testing, Inspection, Certification. Ils contribuent à l’amélioration de la qualité, de la sécurité et de la performance dans tous les secteurs (environnement, santé, industries, construction et infrastructures, collectivités, services aux gouvernements, loyauté, food, marine, automotive...)3 milliards de chiffres d’affaires (France) et 35.000 emplois directLa COPREC se compose de 40 membres (leaders : Apave, Bureau Veritas, Dekra, Qualiconsult, Socotec, SGS) et de 300 experts répartis dans 5 délégations : Equipements, Construction, Environnement, Sécurité Incendie, Certification