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Résultats de recherche pour paris

(24654 résultats)
Il y a 4 ans et 151 jours

Une sphère posthume de Niemeyer à Leipzig

Fondée à Paris en 1996 par François Decoster, Djamel Klouche et Caroline Poulin, rejoints en 2020 par Alessandro Gess, l'AUC s'intéresse aux problématiques urbaines dans toutes leurs dimensions : visions stratégiques métropolitaines, régénérations, espaces publics et architecturaux. Lauréate de la consultation du […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 152 jours

Les possibilités d’une île en Seine-Saint-Denis

L’agence Philippon-Kalt a livré en 2020 la phase 1 de l’écoquartier fluvial de L’Ile-Saint-Denis, un projet emblématique s’il en est, puisque se profilent les jeux olympiques de Paris et que l’île doit recevoir une partie du village des athlètes. Même si les athlètes n’y mettront jamais les pieds puisqu’il n’est pas fait pour eux, le […] L’article Les possibilités d’une île en Seine-Saint-Denis est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 152 jours

Paris Habitat, résolument engagé dans le biosourcé

MATÉRIAUX. Le bailleurs social de la Ville de Paris a engagé, depuis plusieurs années, un virage dans la conception de ses projets de construction et de rénovation. Les matériaux biosourcés figurent en première place.
Il y a 4 ans et 152 jours

L’Ordre des architectes condamné, cela fait désordre

Condamnation de l’Ordre des architectes : 1,5 million d’euros, selon le « barème » de la Cour d’Appel… Les barèmes en architecture, un sujet épineux depuis 1986. Secrets d’archi. La Cour d’appel de Paris a confirmé le 15 octobre 2020 la condamnation de l’Ordre des architectes pour des pratiques anticoncurrentielles dénoncées par l’Autorité de la concurrence (ADLC) en […] L’article L’Ordre des architectes condamné, cela fait désordre est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 152 jours

Paris confinée, entre lumière et obscurité

Ces photographies, réalisées tout au long de ces quelques semaines de novembre 2020 à Paris, évoquent le sentiment d’une promenade solitaire à travers une forêt urbaine austère et antique. Même les bâtiments modernes semblent être des reliques anciennes. Chronique-photos d’Erieta Attali. Ces bâtiments assument la qualité d’archives de l’organisation sociale, des pratiques et des systèmes […] L’article Paris confinée, entre lumière et obscurité est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 152 jours

Une méga-poutre en béton tombe sur des voies ferrées, à Paris

Voies ferrées de la ligne C du RER et menant à la gare d’Austerlitz, à Paris. [©ACPresse] Le trafic SNCF au départ et à l’arrivée de la gare d’Austerlitz, à Paris, est interrompu jusqu’à nouvel ordre. Et très perturbé sur la ligne C du RER. Telle est la conséquence de la chute d’un méga-coffrage sur les voies, selon le communiqué de presse de la SNCF. Incident survenu à 1 h 30 du matin, dans la nuit du 30 novembre au 1erdécembre, sur le chantier urbain de la Zac Paris Rive Gauche. Toutefois, les images parues sur les réseaux sociaux montrent plutôt une méga-poutre en béton armé… Pour être précis, il s’agit d’une poutre en forme de U, fait aussi office de coffrage perdu (ou intégré à la méga-poutre finale). Cette dernière fait partie de la structure porteuse de la dalle édifiée en ce moment au-dessus des voies ferrées. Ceci, pour permettre la construction de logements, bureaux et autres équipements publics.  Des installations ferroviaires endommagées Dans sa chute, la méga-poutre qui était en cours de pose a endommagé les installations ferroviaires, empêchant la circulation sur les voies. Heureusement, aucun blessé n’est à déplorer.  Pour le moment, la SNCF attend des précisions de la part des entreprises responsables du chantier. Le but est d’en savoir plus sur la durée d’intervention nécessaire à l’enlèvement de cet élément qui entrave les voies. L’opérateur ferroviaire espère une reprise de la circulation des trains au plus vite, dans les prochains jours…
Il y a 4 ans et 152 jours

Un incident de chantier à Paris interrompt la circultation du RER C et perturbe le trafic de la gare d'Austerlitz

"La chute d'une poutre d'un chantier BTP sur les voies SNCF du faisceau Austerlitz entraîne la suspension du trafic trains et RER C. Nous mettons tout en oeuvre avec la SNCF pour rétablir la situation", a indiqué Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, en charge de l'urbanisme et du Grand Paris.Le trafic a été interrompu à partir de 5H00. Selon des comptes Twitter qui ont diffusé des photos de l'incident, c'est une poutre en béton de 400 tonnes qui a chuté sur les voies du RER C, l'un des axes de transports en commun les plus empruntés en région parisienne."Le trafic est interrompu entre Paris Austerlitz et Massy-Palaiseau et entre Paris Austerlitz et Juvisy jusqu'à la fin de la journée. La circulation est également interrompue entre St-Quentin en Yvelines et Versailles Chantiers", a précisé la SNCF, qui met régulièrement à jour les informations trafic sur le compte Twitter et le site.Pour les trains, les arrivées et départs ont été déplacés à la gare de Paris Bercy.La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a également réagi sur Twitter, déplorant un "accident (...) qui aurait pu avoir de tragiques conséquences".#RERC : Accident sur un chantier de bureaux extérieur à la Gare d’Austerlitz qui aurait pu avoir de tragiques conséquences. Je demande à la SNCF de réparer les dégâts dans les + brefs délais et de prévoir les transports de substitution pour les voyageurs. pic.twitter.com/C3FJRz9feu— Valérie Pécresse (@vpecresse) December 1, 2020
Il y a 4 ans et 152 jours

Un incident de chantier à Paris interrompt la circulation du RER C et perturbe le trafic de la gare d'Austerlitz

"La chute d'une poutre d'un chantier BTP sur les voies SNCF du faisceau Austerlitz entraîne la suspension du trafic trains et RER C. Nous mettons tout en oeuvre avec la SNCF pour rétablir la situation", a indiqué Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, en charge de l'urbanisme et du Grand Paris.Le trafic a été interrompu à partir de 5H00. Selon des comptes Twitter qui ont diffusé des photos de l'incident, c'est une poutre en béton de 400 tonnes qui a chuté sur les voies du RER C, l'un des axes de transports en commun les plus empruntés en région parisienne."Le trafic est interrompu entre Paris Austerlitz et Massy-Palaiseau et entre Paris Austerlitz et Juvisy jusqu'à la fin de la journée. La circulation est également interrompue entre St-Quentin en Yvelines et Versailles Chantiers", a précisé la SNCF, qui met régulièrement à jour les informations trafic sur le compte Twitter et le site.Pour les trains, les arrivées et départs ont été déplacés à la gare de Paris Bercy.La présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a également réagi sur Twitter, déplorant un "accident (...) qui aurait pu avoir de tragiques conséquences".#RERC : Accident sur un chantier de bureaux extérieur à la Gare d’Austerlitz qui aurait pu avoir de tragiques conséquences. Je demande à la SNCF de réparer les dégâts dans les + brefs délais et de prévoir les transports de substitution pour les voyageurs. pic.twitter.com/C3FJRz9feu— Valérie Pécresse (@vpecresse) December 1, 2020
Il y a 4 ans et 152 jours

Val-d’Oise : une plaine maraîchère pour remplacer les cultures de céréales à Taverny, Bessancourt et Le Plessis-Bouchard.

Les céréales laisseront leur place aux légumes et aux fruits biologiques grâce au projet de l’agglomération Val Parisis à Taverny, Bessancourt et Le Plessis-Bouchard.
Il y a 4 ans et 152 jours

Une poutre s'effondre sur les voies SNCF à Austerlitz

ACCIDENT. Dans la nuit du 1er décembre 2020, le coffrage destiné à la réalisation d'une poutre sur un chantier de la ZAC Paris Rive Gauche s'est effondré sur le faisceau ferroviaire Austerlitz.
Il y a 4 ans et 152 jours

Naissance d'Enalia, E.T.I « Made in France », dédiée à l’efficacité énergétique

La naissance de ce groupe, annoncé ce jeudi 15 octobre par Gaëtan Thoraval, directeur général, correspond à un changement d’échelle important. Le groupe s’ouvre à de nouvelles activités (logement collectif, maîtrise d’œuvre, …) à de nouveaux clients et partenaires pour devenir un acteur global de la transition énergétique.Ce changement d’échelle est marqué par l’acquisition d’Abokine, société délégataire indépendante employant 35 salariés et implantée à Nantes. Abokine accompagne et forme près de 3.000 artisans ancrés dans le tissu local et dédiés à la rénovation énergétique.Ce rapprochement permet à Enalia de couvrir un territoire plus large et de cibler toutes les typologies d’artisans. De son côté, Abokine, en forte croissance, peut désormais s’appuyer sur l’expertise du groupe Enalia en matière de conseil et de financement.Avec trois implantations nationales (Paris, Lyon, Nantes), 135 collaborateurs et un chiffre d’affaires de plus de 160 millions d’€ en 2019, Enalia touche désormais l’ensemble des segments du marché de l’efficacité énergétique au travers de ses 5 filiales :Alto simplifie la rénovation énergétique des logements collectifs, en assurant la maîtrise d’œuvreNeutrali accompagne les grands consommateurs d’énergie vers la réduction de leur consommation, de l'audit au financementPass’Renov propose un service sur-mesure aux particuliers pour les aider à choisir, financer et réaliser leurs travaux d’économies d’énergieEnr’Cert appuie ses partenaires artisans dans le financement de leurs travaux, et leur propose des formations pour faire évoluer leurs offresAbokine accompagne ses partenaires artisans à rayonnement local en simplifiant la réalisation de leurs chantiers de rénovation énergétique« La réduction de notre empreinte environnementale fait désormais l’unanimité. Nous souhaitons y contribuer par notre expertise et notre capacité à créer, rassembler et réaliser. Nous sommes fiers de porter le groupe Enalia en tant que nouvel acteur de cette transition ; une ETI Made In France qui a triplé ses effectifs en deux ans. » Gaëtan Thoraval, Directeur Général Enalia« Enalia est la contraction d’« énergie » et d’alliance ». « Energie » car c’est notre métier de la rendre visible, de la comprendre et de l’optimiser. « Alliance » car nous sommes un groupe de 5 sociétés qui avancent dans le même sens, et qui sait aussi construire des partenariats forts avec d’autres professionnels de la rénovation, en premier lieu les artisans. Bastien Resse, Directeur de la stratégie et des relations extérieures
Il y a 4 ans et 152 jours

CORE Architectures x studiokokumi : Appartement V

En collaboration étroite avec l’agence CORE Architectures, le studiokokumi a restructuré l’intérieur d’un appartement parisien dans un esprit minimaliste assumé. Dans le quartier de Clignancourt, au cœur du 18ème arrondissement, les agences CORE Architectures et studiokokumi ont entièrement repensé l’agencement d’un appartement hausmannien de 60 mètres carrés, et ont ainsi créé une habitation atypique. Les architectes ont travaillé les couleurs et les volumes en regroupant la cuisine, la salle de bain et les sanitaires dans un bloc noir. Au centre de l’habitation s’élève désormais un impressionnant cube monolithique. Un choix audacieux, car ce volume dégage la salle de séjour et donne du cachet à l’appartement À l’intérieur du cube, le noir brillant fait place à des teintes claires. Pour la salle de bain, les architectes ont choisi des revêtements en béton ciré blanc, tandis que la cuisine s’habille de marbre de Carrare. À rebours du style haussmanien traditionnel, les architectes ont apporté une touche résolument contemporaine à l'appartement. Pour en savoir plus, visitez le site des agences CORE Architectures et studiokokumi.Visuels : © Mario Simon LafleurLa rédaction
Il y a 4 ans et 152 jours

Ciments Calcia renonce à un projet contesté en Île-de-France et prévoit la suppression de 162 postes

Ce projet de réorganisation, qui doit encore être validé par les représentants du personnel, "entrainerait la suppression de 162 postes et la création de 20 autres postes", indique Ciments Calcia dans un communiqué.Le groupe prévoit parallèlement d'investir 400 millions d'euros "sur quatre de ses principaux sites émetteurs de CO2", dont près de 300 millions d'euros sur le seul site d'Airvault (Deux-Sèvres).Dans le détail, le groupe, filiale du géant allemand Heidelberg Cement, va reconvertir son usine de Gargenville (Yvelines) en "centre de broyage", résultat du "contexte d'incertitude liée aux nombreux recours" déposés contre l'ouverture d'une nouvelle carrière."Notre source calcaire de la carrière actuelle est en fin de période d'exploitation, on ne peut pas maintenir une usine sans calcaire", a expliqué à l'AFP la porte-parole du groupe.Ce projet de nouvelle carrière, qui devait permettre de continuer à alimenter à hauteur de 15% les entreprises de BTP construisant le Grand Paris, avait été déclaré "projet d'intérêt général" en 2016.Il était toutefois fortement contesté par des élus locaux et des associations, ces dernières dénonçant un grignotage des terres arables en plein coeur du parc naturel régional (PNR) du Vexin."Cette réorientation d'activités, appelée de nos voeux comme de ceux de milliers d'habitants du Mantois, évitera tous les dommages que ce mauvais projet aurait causé pour la santé publique et pour l'environnement", ont salué la vice-présidente du Conseil départemental Cécile Dumoulin et le député des Yvelines Michel Vialay dans un communiqué commun.Autre annonce faite par Ciments Calcia dans le cadre de sa réorganisation, l'arrêt de l'activité de production de ciment blanc du site de Cruas (Ardèche), "dont le résultat est structurellement négatif".Le site serait transformé "en un terminal cimentier automatisé pour la distribution de ciment blanc", précise le groupe, qui prévoit également une réorganisation de son siège social à Guerville.Le groupe allemand Heidelberg Cement emploie 3.500 personnes en France, dont environ 1.300 personnes pour la partie Calcia Ciments.
Il y a 4 ans et 152 jours

SACLAY, LES COULISSES D'UNE HISTOIRE FRANÇAISE

L'université de Paris-Saclay, qui vient d'atteindre la 14e place au classement de Shanghaï - c'est une première française -, n'est pas seulement un projet universitaire, c'est une opération emblématique. Tout au long de cet ouvrage, Pierre Veltz, qui présida l'établissement Paris-Saclay de 2009 à 2015, apporte un […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 152 jours

Gare du Nord : le projet de rénovation revu à la baisse

La SNCF et la Mairie de Paris ont annoncé un accord pour réduire le projet controversé de rénovation de la Gare du Nord, avec un nouveau bâtiment moins haut,  qui sera achevé qu'après les JO de 2024.
Il y a 4 ans et 152 jours

Ubysol, une solution de traçabilité IoT des déblais de chantier

Sur tous les chantiers de construction, une traçabilité complète des terres excavées est aujourd’hui indispensable. La solution développée par Bouygues Travaux Publics, baptisée « Ubysol » permet d’assurer la traçabilité des déblais de la sortie du chantier jusqu’à leur dépôt sur le site de collecte ayant reçu l’agrément. A ce jour, elle est déployée sur 5 chantiers du Grand Paris. Ubysol s’articule autour d’un capteur, d’une application et d’une solution informatique traitant les données transmises en temps réel. À l’aide d’une application tablette par simple tag NFC, le capteur fixé à la benne du camion intègre les informations du véhicule au système Ubysol. L’application sert également à créer des bordereaux de suivi transmis directement aux exutoires et aux transporteurs dès leur création, un processus sans contact qui se révèle être un atout dans le contexte sanitaire actuel. Les données de géolocalisation émises par le capteur sont relayées par le réseau de Bouygues Telecom déployant la technologie LoRa® dédiée aux objets connectés. Le capteur équipé d’un inclinomètre envoie un signal lors du déchargement du camion. Toutes les informations sont synthétisées et consultables en temps réel sur un tableau de bord. Un système d’alerte détecte instantanément une erreur éventuelle de destination pour garantir une traçabilité optimum des déblais. La synergie entre Bouygues Travaux Publics et Hesus, partenaire « GreenTech » des chantiers, va permettre de développer et de commercialiser cette solution de traçabilité dématérialisée auprès de l’ensemble des acteurs du secteur du BTP, un secteur qui s’oriente vers plus de traçabilité, de sécurité et de productivité pour répondre aux enjeux sociétaux et environnementaux actuels et à venir.
Il y a 4 ans et 152 jours

Passerelle piétonne pour laisser sa voiture, par Cobe

Fondée à Paris en 1996 par François Decoster, Djamel Klouche et Caroline Poulin, rejoints en 2020 par Alessandro Gess, l'AUC s'intéresse aux problématiques urbaines dans toutes leurs dimensions : visions stratégiques métropolitaines, régénérations, espaces publics et architecturaux. Lauréate de la consultation du […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 152 jours

Quel avenir pour les bâtiments de Michel Kagan ?

En octobre dernier, une tribune de Paul Chemetov souhaitait sensibiliser à la nécessaire reconsidération d'une architecture contemporaine trop souvent dépourvue de protection patrimoniale. Soutenue par des grands noms de l'architecture, cette tribune appelait notamment à la protection de l'œuvre architecturale de Michel Kagan à Paris afin qu'elle soit rénovée de manière aboutie et respectueuse. On en sait aujourd'hui davantage sur son avenir et de son intégration dans le projet urbain...
Il y a 4 ans et 153 jours

Une résidence étudiante "hybride" et "modulable" à Paris-Saclay

EN IMAGES. Le bailleur 1001 Vies Habitat a livré fin octobre les 192 logements étudiants de la résidence Rosalind Franklin dans le campus de Paris-Saclay. Dotée d'une architecture inspirée des campus américains, et proposant une partie de ses logements en colocation, la résidence Rosalind Franklin sera en capacité d'accueillir 282 étudiants à la rentrée de janvier 2021.
Il y a 4 ans et 153 jours

Le chantier du métro du Grand Paris a pris plusieurs mois de retard à cause de la crise sanitaire

"En cette période de second confinement, les équipes de la Société du Grand Paris et des entreprises partenaires sont mobilisées sur la poursuite des travaux, afin de ne pas augmenter les retards, de l'ordre de trois à huit mois, engendrés par le confinement du printemps", a relevé le président de la SGP Thierry Dallard, cité dans un communiqué.Le responsable n'a pas précisé de nouveau calendrier prévisionnel pour la mise en service des 200 km de métro automatique que la SGP doit mettre en service par étapes, théoriquement entre 2024 et 2030."Le projet se poursuit et s'accélère année après année, au fur et à mesure des nouveaux contrats", a néanmoins relevé M. Dallard.Le conseil de surveillance de la SGP a adopté le budget 2021, qui prévoit 4,6 milliards d'euros d'investissements, dont 4,2 milliards pour les travaux du Grand Paris Express et 400 millions pour d'autres investissements dans les transports publics franciliens.Côté recettes, la SGP, qui construit le métro en empruntant, compte disposer l'an prochain de 800 millions d'euros grâce au produit de diverses taxes, selon le communiqué.Le conseil de surveillance a également acté une modification du projet de la future ligne 18 Orly-Versailles, avec la suppression d'un viaduc entre le CEA de Saclay (Essonne) et Magny-les-Hameaux (Yvelines), qui sera remplacé par un tracé au sol moins cher.
Il y a 4 ans et 153 jours

A Cahors, Antonio Virga fait son cinéma

L'université de Paris-Saclay, qui vient d'atteindre la 14e place au classement de Shanghaï - c'est une première française -, n'est pas seulement un projet universitaire, c'est une opération emblématique. Tout au long de cet ouvrage, Pierre Veltz, qui présida l'établissement Paris-Saclay de 2009 à 2015, apporte un […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 155 jours

Une nuit à l’Hôtel Wallace surélevé par Silvio d’Ascia

L’agence parisienne Silvio d’Ascia Architecture a livré en 2020 à Paris (XVe) le réaménagement (5 M€ HT) de l’hôtel Wallace. Communiqué. D’une surface de 1 370 m², composée de deux corps de bâtiments – une partie sur rue et l’autre sur cour en fond de parcelle – l’opération consiste en une mise aux normes ainsi […] L’article Une nuit à l’Hôtel Wallace surélevé par Silvio d’Ascia est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 156 jours

Une adoption croissante des outils digitaux dans le secteur de la construction, une nouvelle normalité ?

Une étude récente réalisée par BIMobject auprès de plus de 2 500 professionnels du secteur AECO révèle comment la numérisation s’est accélérée dans le secteur suite à la crise de la COVID-19. 61% admettent que les outils numériques seront fondamentaux dans leur travail après la pandémie. La crise a bousculé les traditionnels canaux de commercialisation.   Depuis l’avènement de la pandémie, le monde a connu une avancée spectaculaire dans l’adoption de la numérisation jamais vue auparavant. Du jour au lendemain, des entreprises du monde entier ont été contraintes de mettre en place le télétravail, la vidéoconférence ou le commerce électronique afin de maintenir leurs activités. En ce sens, le secteur de la construction, l’un des plus traditionnels en termes de numérisation et d’adoption de nouveaux outils, n’a pas fait exception. Selon une étude réalisée par la plateforme de contenu BIM, BIMobject a recueilli les réponses de plus de 2 500 professionnels du secteur AECO (Architectes, Ingénieurs, Entreprises et Maîtres d’ouvrage), plus de la moitié d’entre eux déclarent que leur travail est devenu « beaucoup plus numérique » depuis le début de la pandémie.  Télécharger le rapport complet ici  Cette avancée dans l’utilisation des outils numériques par les professionnels du secteur, tels que les architectes et les ingénieurs, correspond aux chiffres enregistrés par Autodesk. Selon les propres données de l’entreprise, le nombre d’abonnés en Europe a augmenté de 350 % dans le monde depuis le début de la pandémie. Les salons professionnels de la construction post-COVID L’un des coups les plus durs que le secteur ait connu cette année a été l’annulation de multiples salons de la construction dans le monde entier. De Coverings à la Nouvelle-Orléans, le  Salon du Mobilier à Milan, BAU à Munich, BIMexpo à Madrid, au MIPIM à Cannes, ou encore Equip’Hotel à Paris. L’impossibilité d’organiser de grands événements, en raison des mesures de sécurité strictes mises en place par les différentes autorités sanitaires, a coupé court aux projets de milliers de fabricants de matériaux de construction qui prévoyaient de présenter et de promouvoir leurs nouveaux produits lors de ces salons. Les salons et les événements vont-ils revenir à la normale ? Les nouvelles récentes concernant le développement de nouveaux vaccins semblent éclairer un scénario qui s’annonçait plutôt sombre. De nombreux salons, comme la prochaine édition du BAU en 2021, transforment déjà leurs éditions en événements hybrides afin d’accueillir tous les participants, en personne ou virtuellement, tout en respectant les mesures de sécurité correspondantes. Cependant, selon l’enquête menée par BIMobject, seuls 7% des professionnels du secteur AECO seraient prêts à participer à un événement du secteur aujourd’hui. Selon les données recueillies, 45 % des personnes interrogées participaient à ces événements principalement pour assister à des conférences et des ateliers. Seuls 25 % des professionnels du secteur ont assisté à ces événements pour découvrir de nouveaux produits, ce qu’ils font maintenant principalement par le biais des moteurs de recherche en ligne. La numérisation fait son chemin dans le secteur de la construction, non seulement à cause de la COVID, mais aussi en raison de la nécessité de créer des processus plus efficaces et durables. Avec ces données, il appartient maintenant aux entreprises du secteur de décider comment réorienter leurs stratégies de marketing vers un environnement plus numérique et interactif.    Consulter le rapport complet ici  A propos de BIMobject / www.bimobject.com/fr BIMobject est une plateforme mondiale publiant les produits numériques de plus de 1 900 fabricants de la construction, de l’aménagement et du design. Le portail compte plus de 2 millions d’utilisateurs enregistrés et offre une gamme de solutions pour les fabricants, les propriétaires, les architectes, les concepteurs et les entreprises de construction. Si vous souhaitez des informations complémentaires, nous serons ravis de vous répondre elise.monot@bimobject.com
Il y a 4 ans et 156 jours

Contrat-cadre entre Paris-Ouest Construction et Resolving

Paris-Ouest Construction a signé un contrat-cadre avec Resolving. [©Resolving] Le groupe familial de bâtiment Paris-Ouest Construction vient de signer un contrat-cadre pluriannuel avec l’éditeur lyonnais Resolving. Ce dernier  accompagne la digitalisation des métiers de l’immobilier et de la construction. « Pour les 15 chantiers que nous menons en parallèle, les outils digitaux sont susceptibles d’être utilisés par 50 à 80 utilisateurs. explique Xavier Tournillon, directeur technique et de la transition numérique du bâtiment de Paris-Ouest Construction. Mais notre rôle ne se résume pas à imposer un nouvel outil, mais bien à accompagner le changement. C’est-à-dire tous les utilisateurs, pour engager le mouvement de transformation numérique de toute l’entreprise. » Pouvez-vous nous rappeler ce qu’est Resolving ? Depuis quand êtes-vous en contact avec Paris-Ouest Construction ? Hakim Fagoul, directeur France de Resolving, nous explique les modalités du contrat-contrat signé avec Paris-Ouest Construction. [©Resolving] Hakim Fagoul : Depuis 17 ans, l’éditeur de logiciels français Resolving permet la transition numérique des acteurs de la construction et de l’immobilier. La stratégie mise en place par Paris-Ouest Construction visait à digitaliser l’ensemble de ses activités. Dans ce contexte, plusieurs tests et procédures de validation ont été réalisés sur plusieurs éditeurs pendant un an. Et c’est avec Resolving, que ce constructeur de logements, surtout présent en région parisienne, a signé en juin dernier un contrat-cadre pluriannuel. En effet, nous avons axé notre démarche sur ses collaborateurs terrain, qui doivent mener à bien des contrôles des différents aspects de mise en œuvre lors de la construction. Le but ? Les rendre encore plus performants au quotidien grâce aux modules de la solution Resolving. Comment cela a –t-il été rendu possible ? Paris-Ouest Construction a opté pour les modules de “Suivi des chantiers” et de “Gestion des réserves” (OPR), proposés par Resolving. Premier point  Les conducteurs de travaux de Paris-Ouest Construction vont effectuer une vérification dite “inopinée” du chantier. Ceci, avec des tablettes mobiles, comprenant une partie de l’offre Resolving, directement sur les plans, les maquettes BIM…Que les bureaux d’études ont validés en amont. Ceci, pour vérifier le travail en cours. Si les conducteurs de travaux découvrent une anomalie, ils la notifient directement au BE, via la plate-forme Resolving. Et surveillentalors la validation de correctifs. Ensuite, ils suivent que tout a été bien rectifié sur chantier. C’est un vrai canal de communication de contrôle. La sécurité est au centre des préoccupations de Paris-Ouest Construction. Deuxième point  Les conducteurs de travaux reçoivent des fiches de contrôle prévues et planifiées associées à des zones précises. Ceci, dans le cadre d’une démarche de contrôle qualité. Ils vérifient ainsi tous les points de contrôle de ces fiches. Dernier point A la fin du chantier, c’est le module “Gestion des réserves”, qui est utilisé par Paris-Ouest Construction et les architectes. Notre solution est globale et intégrée. Elle comprend ainsi le suivi de chantier, la gestion de la documentation (GED) et la gestion d’un projet en BIM. Et ce, toujours avec le même outil. Les consultants Resolving viendront en appui, pour mettre en place des méthodes de recueil, d’analyse et de standardisation des pratiques utilisateurs. Phases préalables à toute digitalisation effective des méthodes et process internes.  Propos recueillis par Muriel Carbonnet
Il y a 4 ans et 156 jours

A Massy, l’hôtel inconnu signé Lambert Lénack

L’agence parisienne Lambert Lénack (Adrien Lambert et Etienne Lénack) a livré à Massy (Essonne) pour 6 M€ un hôtel de 128 chambres (3 100 m² SDP) simplement baptisé ‘Hôtel’. Communiqué. Le projet s’inscrit dans le nouvel aménagement Ampère Sud de la ville de Massy, conçu comme un quartier jardin. L’hôtel s’y installe comme un édifice […] L’article A Massy, l’hôtel inconnu signé Lambert Lénack est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 156 jours

RE2020 : satisfaction de la filière bois

La filière forêt-bois tient à saluer l’ambition de la future norme environnementale RE 2020, suite aux orientations annoncées par le ministère de la Transition écologique. Elle se félicite de l’engagement affiché par le Gouvernement en faveur de la réduction de l’empreinte climatique du secteur de la construction. Comme le soulignent les ministres, le bois et les matériaux biosourcés ont effectivement un rôle à jouer pour relever ce défi. Cependant, les professionnels de la filière ont pris acte de la décision de retarder l’entrée en vigueur des seuils. Ils assurent qu’ils prêteront une attention rigoureuse à ce que ces échéances ne desservent pas l’ambition de la RE2020. Ils veulent éviter que ce qui est présenté comme des obligations de résultat se traduise in fine par un statu quo contraire aux ambitions exposées par le Gouvernement et attendues par les Français. L’annonce de l’instauration de seuils d’exigence carbone est de nature à favoriser l’essor d’une mixité renforcée des matériaux de construction, que la filière bois appelle depuis longtemps de ses vœux.   Photo : Construction par Matis de la structure bois de Green Office Enjoy. Lot O9 – ZAC Clichy Batignolles. Bouygues Immobilier. 75017 Paris. 23 juin 2017
Il y a 4 ans et 156 jours

Nieto Sobejano met en scène la Cité du théâtre, à Paris

Jean-Jacques et Charlotte Hubert ont fondé H2O en 2005, rejoints en 2008 par Antoine Santiard. Lauréats des Nouveaux albums des jeunes architectes et paysagistes 2007-2008, les architectes Jean-Jacques et Charlotte Hubert et Antoine Santiard sont souvent intervenus dans des bâtiments existants, privilégiant une « analyse de situation ». Cet […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 157 jours

Portrait : Paola Siri Renard

Diplômée de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris en 2017, Paola Siri Renard (née en 1993) crée des œuvres qui s’apparentent à des « micro architectures », parfois activées grâce à différentes corporéités. Paola Siri Renard défend une pratique très personnelle de la sculpture. Pour obtenir des formes sculpturales spécifiques, la jeune artiste travaille différents matériaux – le verre, le marbre, le métal ou la résine – en s’appuyant sur des « architectures et designs invisibles ». À ses débuts, elle collecte des mesures issues de différents registres scientifiques et les injecte dans son processus de création, comme c’est le cas dans sa pièce Profundity 37 kilometers (2017) réalisée lors de sa résidence à Tokyo à partir de données relatives à un séisme, dans sa sculpture Weight of light, weight of black (2016) créée au CIRVA grâce au soutien de la Fondation Hermès ou encore dans sa sculpture 60 cm < 2 h + g < 64 cm (STEPS) (2017) où elle déconstruit la formule de Blondel. À rebours d’un hasard créatif apparent, l’artiste utilise des mesures spécifiques qu’elle nomme « données abstraites » et les retranscrit méticuleusement jusqu’à leur donner une forme artistique concrète.C’est en exposant son travail aux Beaux-Arts de Paris pendant ses études que Paola Siri Renard prend conscience de la « dimension corporelle évidente » de ses pièces. Elle crée depuis lors des sculptures in situ ou autonomes, qui impliquent toujours des rapports entre corps, matière et espace, puisque le corps devient le sujet même de l'œuvre. Œuvre transitoire, sa pièce en résine Untitled Récamier (2017) se réfère à la chaise longue LC4 de Le Corbusier par sa forme et au Modulor par ses dimensions, mais évoque aussi les femmes alanguies de la peinture. S’asseoir sur cette méridienne, c’est faire l’expérience incommode et pénible de ces modèles qui ont traversé l’histoire de l’art.Plus radicale, sa sculpture Love to details (Who Means Well ?) (2019) est un support de performance, qui pousse jusqu’à son paroxysme l’idée de l’artiste d’impliquer le corps. Agrandissement d’une volute corinthienne, dont les lignes s’inspiraient à la fois des feuilles d’acanthe – plante hermaphrodite – et des courbes corporelles. Cette pièce anthropomorphique de plus de quatre mètres de long a été conçue pour être associée à diverses interactions et performances. De ces échanges résultent une sculpture vivante et ritualisée, dont l’activation rompt avec la sculpture classique. L’abord des œuvres de Paola Siri Renard est sensible. Chez elle, la sculpture devient un prolongement du corps, une forme qui s’appréhende physiquement.Pour en savoir plus, visitez le site de Paola Siri Renard. Visuels :&nbsp;© Paola Siri Renard Léa Pagnier
Il y a 4 ans et 157 jours

Les prix des appartements pourraient baisser à Paris, selon les notaires

MARCHÉ. La chute importante des transactions immobilières en Ile-de-France devrait emporter une "stagnation, voire une légère baisse" des prix sur certains segments et dans certaines zones de la région, estiment les notaires du Grand Paris.
Il y a 4 ans et 157 jours

Rencontre avec : Pierre-Emmanuel Lyet

Attaché à Paris, et plus particulièrement au quartier de Belleville, l’artiste Pierre-Emmanuel Lyet nous plonge dans une ville festive, lumineuse et joyeuse à travers des dessins colorés. Entre fantasme et réalité, sa série « Mirages », qui était exposée en octobre à la SLOW galerie, évoque les paysages des noctambules et nous invite à rester positif en ces temps troublés. Rencontre. Muuuz : Quel est votre parcours ?Pierre-Emmanuel Lyet : J’ai fait les Arts Décoratifs de Paris, en section animation et design graphique. Après mon diplôme, j’ai travaillé pendant dix ans sur des projets en animation, notamment des courts métrages (Parade en 2009, La Nuit Américaine d’Angélique en 2016), des programmes courts pour des institutions ou la télévision (Pierre et le loup en 2015) et des clips (Origami pour Rone en 2018). Je travaillais une écriture graphique minimale, avec beaucoup de typographie, et j’ai appris énormément sur la direction artistique et le fait de se mettre au service d’un projet global.Aujourd’hui, vous dessinez beaucoup. Quelle place occupe le dessin dans votre pratique artistique ?Il y a cinq ans, je suis parti en voyage à New York et je me suis remis au dessin. Je n’avais pas de pression particulière, c’était vraiment pour mon plaisir. J’avais envie de revenir à quelque chose de plus organique. Je voulais travailler une écriture personnelle qui serait directement couchée sur le papier avec peu d’interventions numériques. Cela m’a conduit à exposer mon travail à plusieurs reprises, notamment dans les expositions « Let Go » en 2016, « Temps Retrouvés » en 2018 et « Mirages » en 2020. Ce qui était au départ un à-côté a pris peu à peu plus de place dans mon activité professionnelle : j’ai eu des commandes venant de la presse d’abord, puis de l’édition. Aujourd’hui, je partage mon temps entre l'illustration et l’animation. Ce sont deux pratiques qui se nourrissent mutuellement. Selon vous, la série « Mirages » est « une exploration ». Pourquoi ?C’est d’abord une exploration urbaine. J’ai voulu m’aventurer dans le Paris où je vis, celui que je connais bien, celui des hauts de Belleville et de la colline de Ménilmontant. C’est un environnement très attachant, parfois un peu crade, mais c’est ma ville. Je suis né et j’ai grandi à Paris. Avec « Mirages », je crois que j’avais besoin de dessiner des choses que l’on ne voit pas souvent, d’une fenêtre de bus embuée à une terrasse de bar bondée, d’un toit de faubourg aux architectures disparates du 20ème arrondissement, mais en les explorant en nocturne. Ce sont des images qui me hantent, qui sont en moi.Quelle est l'originalité de cette série ?Plus j’avançais et plus j’avais envie de pousser les limites du médium que j’utilise : les crayons de couleurs. Je voulais voir jusqu’où je pouvais aller. Je voulais insuffler une dose de fantastique et je me suis tourné vers des couleurs fluorescentes qui ajoutaient une certaine étrangeté à mes images. Je pense que grâce à ces couleurs, les dessins ne sont pas naturalistes et qu’ils laissent planer le doute sur la véracité de ces instants. C’était surtout cette frontière entre fantasme et réalité qui m’intéressait.À quoi son titre fait-il référence ?Les « mirages », ce sont ces instants perdus dans nos mémoires, ces petits moments anodins dont on se souvient et dont on n’est plus si sûr de la véracité. Ai-je vu ces deux jeunes sur le toit de l’immeuble ? Je ne crois pas. Mais j’ai pourtant l’impression de l’avoir vécu, si bien que je le dessine. Le dessin permet, quelque part, d’inventer sa propre réalité.Vous habitez à Belleville. La vie quotidienne de ce quartier vous inspire, et souvent vous représentez des scènes quotidiennes dans des paysages urbains. Quel est votre rapport à l'architecture ? Quelle est sa place dans vos œuvres ?Quand j’ai commencé mes études d’art, je préférais les cours de perspective. On se baladait dans Paris, on se trouvait un bout de trottoir et on dessinait. J’adorais cette simplicité. D’une manière générale, j'ai toujours été sensible à l’architecture et à l’identité des villes : quand j’ai commencé à travailler, je me suis installé dans le 19ème arrondissement, et ce fut un choc visuel. Ayant grandi Rive gauche, je découvrais ces quartiers où les constructions modernes côtoient les immeubles haussmanniens ou de faubourg. D’aucuns trouvent que c’est parfois aberrant ou moche. Moi, j’y vois une certaine beauté : une diversité qui fonctionne aussi en miroir avec ses habitants. Je découvre toujours de nouvelles choses dans ces quartiers et c’est très riche visuellement, comme un grand terrain de jeu – et humainement aussi. Cette dimension, j’avais envie de l’inclure dans l’exposition, en dessinant par exemple la rue de Belleville et son effervescence nocturne ou les immeubles de la rue Pixérécourt qui est un bon exemple de cette diversité. Entre fiction et réalité, vos dessins nous plongent dans des scènes de vie joyeuses. Quelles émotions souhaitez-vous susciter chez les spectateurs ?Je crois que ces derniers mois ont été difficiles pour les parisiens. Nous sommes très attachés à nos cafés, nos rues, nos espaces publics. Malgré tous les maux qu’on reproche à cette ville et à ses habitants, nous aimons la fête et la chaleur des contacts humains. J’ai eu envie de parler de ça dans mes dessins. Dans Palo Alto, on voit des trentenaires en terrasse de ce bar qui discutent, rigolent ou fument des clopes. Au premier plan, j’ai dessiné cette jeune femme dont le visage est coupé à moitié. On ne voit que air inquiet et son regard qui regarde vers le ciel. Peut-être se demande-t-elle ce qui risque encore de nous tomber dessus ? Je voulais toucher au cœur ceux qui connaissent ces quartiers et cette ville telle que je la connais, et donner à voir aux autres sa singularité. Une partie des dessins ont été réalisés pendant le confinement. Paradoxalement, c’est à cette période que sont venus les dessins les plus amplis d’espoir et de joie. J’ai dessiné ce que j’avais besoin de ressentir. J’ai fini ma série « Mirages » à la fin de l’été avec Célébrations. Dessiner tous ses gens en train de faire la fête, chez eux, sur les toits, dans la rue, c’était presque cathartique. J’avais l’impression de partager cela avec pleins de gens et de me libérer de la pression du confinement. Aujourd’hui, beaucoup de gens me parlent de cette image comme un remède à la déprime. Ça me fait super plaisir !Pour en savoir plus, visitez le site de Pierre-Emmanuel Lyet. Visuels : © Pierre-Emmanuel LyetLa rédaction
Il y a 4 ans et 157 jours

La hausse des prix du logement s’atténue avec la crise mais cela ne profitera pas à tous

"La hausse des prix se poursuit (...) mais elle s'atténue", a résumé jeudi la notaire Elodie Frémont, à l'occasion de la présentation des chiffres trimestriels du marché du logement ancien.Celui-ci sort de plusieurs années de progression ininterrompue des prix, avec comme symbole le cas de Paris où le mètre carré a passé l'an dernier le seuil symbolique des 10.000 euros.Depuis, une crise économique majeure s'est installée avec l'épidémie de coronavirus, et une récession massive est au programme cette année en France.Les effets, pour autant, se font attendre sur le marché du logement.Fait le plus notable: les ventes ont chuté à la suite du strict confinement mis en place au printemps. Fin septembre, il y en avait eu moins d'un million en un an, une première depuis fin 2019 et le ralentissement sera sûrement accentué par le nouveau confinement instauré tout novembre.Mais le véritable enjeu est de savoir si les logements finiront par coûter moins cher. Et, sur ce plan, le mouvement demeure encore timide.Au troisième trimestre, en gros l'été 2020, ils ont encore progressé de 5,2% par rapport à un an plus tôt, selon l'Insee. Cela reste un ralentissement, comparé au précédent trimestre (+5,6%).Surtout, ce phénomène touche la province comme l'Île-de-France, même si cette opposition est simpliste et ne rend pas compte des différences entre campagnes, petites villes et grandes métropoles comme Lyon et Marseille."Les 11.000 euros du mètre carré parisien ne seront pas atteints en fin d'année et certainement pas en janvier", a admis Mme Frémont.Plafonnement des loyersReste qu'il y a loin entre un ralentissement de la flambée des prix et une véritable baisse. Celle-ci n'est pas impossible mais elle attendra certainement de longs mois pour se concrétiser.Les prix des logements français pourraient reculer de 2% l'an prochain, estime ainsi l'agence de notation Moody's.Elle remarque que l'immobilier suit généralement de près la croissance économique. Or, avec un recul de quelque 10% du produit intérieur brut (PIB) attendu cette année, la baisse des prix est probable.A priori, il s'agit d'une bonne nouvelle. S'il est plus facile de se loger pour les Français, cela contribue en retour à faire repartir l'économie, en facilitant par exemple le fait d'habiter près de son travail.Seulement, selon Moody's, la baisse des prix ne voudra pas dire que les logements deviendront globalement plus abordables. Car tout le monde n'en profitera pas autant."C'est la première fois qu'une crise affecte les gens de manière aussi différenciée", soulignait en début de semaine Vincent Allilaire, l'un des experts de l'agence, lors d'une conférence."Les secteurs (...) les plus affectés sont ceux qui emploient des employés aux revenus les plus modestes et les plus jeunes", remarque-t-il, avançant que ces catégories risquent d'avoir du mal à emprunter de l'argent pour acheter un logement.Cette sélection s'avère déjà sensible dans les chiffres sur les crédits immobiliers. Elle est d'autant plus marquée que les autorités financières demandent depuis un an aux banques de prêter à des conditions un peu moins favorables.Puisque les logements deviendront de moins en moins accessibles financièrement, l'agence Moody's prévoit encore une autre évolution, cette fois politique."Il va y avoir de plus en plus de régulations à visée sociale", a estimé M. Allilaire, la plus emblématique restant le plafonnement des loyers.De fait, plusieurs grandes villes, dont Lyon et Bordeaux, se sont portées candidates ces dernières semaines auprès du gouvernement pour lancer une telle mesure, rejoignant ainsi Paris qui l'a réinstaurée l'an dernier.
Il y a 4 ans et 157 jours

La hausse des prix du logement s’atténue avec la crise mais cela ne profite pas à tous

"La hausse des prix se poursuit (...) mais elle s'atténue", a résumé jeudi la notaire Elodie Frémont, à l'occasion de la présentation des chiffres trimestriels du marché du logement ancien.Celui-ci sort de plusieurs années de progression ininterrompue des prix, avec comme symbole le cas de Paris où le mètre carré a passé l'an dernier le seuil symbolique des 10.000 euros.Depuis, une crise économique majeure s'est installée avec l'épidémie de coronavirus, et une récession massive est au programme cette année en France.Les effets, pour autant, se font attendre sur le marché du logement.Fait le plus notable: les ventes ont chuté à la suite du strict confinement mis en place au printemps. Fin septembre, il y en avait eu moins d'un million en un an, une première depuis fin 2019 et le ralentissement sera sûrement accentué par le nouveau confinement instauré tout novembre.Mais le véritable enjeu est de savoir si les logements finiront par coûter moins cher. Et, sur ce plan, le mouvement demeure encore timide.Au troisième trimestre, en gros l'été 2020, ils ont encore progressé de 5,2% par rapport à un an plus tôt, selon l'Insee. Cela reste un ralentissement, comparé au précédent trimestre (+5,6%).Surtout, ce phénomène touche la province comme l'Île-de-France, même si cette opposition est simpliste et ne rend pas compte des différences entre campagnes, petites villes et grandes métropoles comme Lyon et Marseille."Les 11.000 euros du mètre carré parisien ne seront pas atteints en fin d'année et certainement pas en janvier", a admis Mme Frémont.Plafonnement des loyersReste qu'il y a loin entre un ralentissement de la flambée des prix et une véritable baisse. Celle-ci n'est pas impossible mais elle attendra certainement de longs mois pour se concrétiser.Les prix des logements français pourraient reculer de 2% l'an prochain, estime ainsi l'agence de notation Moody's.Elle remarque que l'immobilier suit généralement de près la croissance économique. Or, avec un recul de quelque 10% du produit intérieur brut (PIB) attendu cette année, la baisse des prix est probable.A priori, il s'agit d'une bonne nouvelle. S'il est plus facile de se loger pour les Français, cela contribue en retour à faire repartir l'économie, en facilitant par exemple le fait d'habiter près de son travail.Seulement, selon Moody's, la baisse des prix ne voudra pas dire que les logements deviendront globalement plus abordables. Car tout le monde n'en profitera pas autant."C'est la première fois qu'une crise affecte les gens de manière aussi différenciée", soulignait en début de semaine Vincent Allilaire, l'un des experts de l'agence, lors d'une conférence."Les secteurs (...) les plus affectés sont ceux qui emploient des employés aux revenus les plus modestes et les plus jeunes", remarque-t-il, avançant que ces catégories risquent d'avoir du mal à emprunter de l'argent pour acheter un logement.Cette sélection s'avère déjà sensible dans les chiffres sur les crédits immobiliers. Elle est d'autant plus marquée que les autorités financières demandent depuis un an aux banques de prêter à des conditions un peu moins favorables.Puisque les logements deviendront de moins en moins accessibles financièrement, l'agence Moody's prévoit encore une autre évolution, cette fois politique."Il va y avoir de plus en plus de régulations à visée sociale", a estimé M. Allilaire, la plus emblématique restant le plafonnement des loyers.De fait, plusieurs grandes villes, dont Lyon et Bordeaux, se sont portées candidates ces dernières semaines auprès du gouvernement pour lancer une telle mesure, rejoignant ainsi Paris qui l'a réinstaurée l'an dernier.
Il y a 4 ans et 157 jours

Cormeilles-en-Parisis : les travaux de la future marina font l’objet d’une demande d’arrêt

Lancés depuis près d’un an, les travaux de réalisation de la future marina à Cormeilles-en-Parisis provoquent des contestations.
Il y a 4 ans et 157 jours

Dans le 19e arrondissement de Paris, des logements en bois prennent racine

PROJET. C'est sur une parcelle de coeur d'îlot occupé par un parking en R+8, dans le 19e arrondissement de Paris, que se construisent actuellement les 75 logements en accession et les 74 habitations sociales du projet Jaurès-Petit, conduit par l'agence Archi5. Alors que l'immeuble des logements sociaux se dotera d'une structure bois, celui des résidences en accession conservera une structure béton. Détails.
Il y a 4 ans et 158 jours

Notre-Dame, une dépose de l’échafaudage sinistré délicate

Lors de l’incendie du 15 avril 2019, la flèche de la cathédrale Notre-Dame de Paris était en restauration. L’échafaudage installé à cet effet a résisté à l’effondrement de la flèche mais a été déformé par la chaleur de l’incendie. Constitué d’un enchevêtrement de 40 000 pièces pour un poids de 200 tonnes, dont la moitié à plus de 40 mètres de haut, il représentait une grave menace pour la cathédrale. Cette opération, inédite et particulièrement complexe, a été minutieusement préparée. La dépose de l'échafaudage vient de s'achever.
Il y a 4 ans et 158 jours

Cathédrale Notre-Dame de Paris, une dépose de l’échafaudage délicate

Lors de l’incendie du 15 avril 2019, la flèche de la cathédrale Notre-Dame de Paris était en restauration. L’échafaudage installé à cet effet a résisté à l’effondrement de la flèche mais a été déformé par la chaleur de l’incendie. Constitué d’un enchevêtrement de 40 000 pièces pour un poids de 200 tonnes, dont la moitié à plus de 40 mètres de haut, il devait être démonté car, fragilisé, il représentait une grave menace pour la cathédrale. Cette opération, inédite et particulièrement complexe, a été minutieusement préparée. La dépose vient tout juste de s'achever.
Il y a 4 ans et 158 jours

Retour sur terre pour une partie de la ligne 18 du Grand Paris Express

Le 24 novembre, le conseil de surveillance de la Société du Grand Paris a acté la mise au sol d’une partie du viaduc de la ligne 18 dans sa traversée du plateau de Saclay.
Il y a 4 ans et 158 jours

L'échafaudage sinistré de Notre-Dame de Paris est désormais totalement démonté

CHANTIER. Les opérations de dépose de l'échafaudage sinistré de Notre-Dame de Paris, témoin de l'incendie de la cathédrale le 15 avril 2019, se sont achevées ce 24 novembre 2020. Il aura fallu presque 6 mois pour démonter les quelques 40.000 pièces pesant 200 tonnes.
Il y a 4 ans et 158 jours

Le cimentier Calcia envisage un vaste plan de réorganisation

Le cimentier Calcia veut supprimer 162 postes dans le cadre d&#39;un vaste plan de r&eacute;organisation qui pr&eacute;voit l&#39;abandon d&#39;un projet contest&eacute; de carri&egrave;re dans le parc du Vexin, au nord-ouest de Paris.
Il y a 4 ans et 158 jours

Nouvelle hausse des investissements pour la Société du Grand Paris en 2021

GRAND PARIS EXPRESS. Le maître d'ouvrage des 200km de lignes nouvelles de métro parisien a voté une nouvelle augmentation du budget pour 2021, suivant la montée en puissance des travaux pour construire le futur réseau. Le retard dû à la crise sanitaire est une nouvelle fois confirmée, et une modification sur la ligne 18 a été décidée.
Il y a 4 ans et 158 jours

Le comité exécutif de Kiloutou s’agrandit

A gauche, Vincent Ranaivoson, directeur de la transformation, et à droite, Pierre Knoché, nouveau directeur général de Kiloutou France. [©Franck Dunoueau] Créé en 2019, le comité exécutif de Kiloutou a pour objectif de conduire sa croissance à l’international. Mais aussi d’y augmenter sa présence. Pour rappel, Kiloutou est l’un des acteurs les plus importants en Europe de la location de&nbsp;matériels. Ainsi, Kiloutou a nommé deux nouvelles personnes, qui viennent renforcer son comité exécutif. Tout d’abord, Pierre Knoché est le nouveau directeur général de Kiloutou France. Il aura pour mission de continuer à faire prospérer l’entreprise en France. Il devra aussi développer le réseau d’agences, ainsi que les gammes de produits. Pour finir, Pierre Knoché aura pour rôle de renforcer les relations avec les clients. Par ailleurs, afin de structurer les projets nécessaires au développement de Kiloutou, un poste a été spécialement créé. Celui de Vincent Ranaivoson, qui devient le premier directeur de la transformation du groupe. Pour mener à bien sa mission, il pourra s’appuyer sur les équipes innovation, digitale et stratégie.&nbsp; Leurs parcours Diplômé de Centrale Paris, Pierre Knoché a débuté sa carrière comme ingénieur d’études et de développement chez KPMG Consulting France. Il y évolue de manière rapide, en devenant consultant senior au sein du conseil stratégique. Par la suite, il rejoint la société de conseil&nbsp;Stratorg, en 2003, pour y être directeur. De 2006 à 2012, il passe ensuite chez BCG où il est aussi manager. Puis, il est nommé vice-président du groupe&nbsp;Elior et en devient directeur général en 2015. Là, il est en charge du pôle santé et de la stratégie commerciale. A partir de 2018, il reprend celui de l’éducation.&nbsp; Quant à Vincent Ranaivoson, il est diplômé de HEC en 2012. Tout d’abord, il rejoint le cabinet de conseil en stratégie&nbsp;Roland Berger. Il y réalise de nombreux projets en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient sur les nouvelles technologies, ainsi que dans le secteur de l’automobile. Son parcours est renforcé d’expérience managériale à Madagascar dans l’industrie agroalimentaire. En 2016, il fonde une entreprise de livraison de gaz sur demande en Côte d’Ivoire. Il intègre le groupe&nbsp;Kiloutou en 2019, en tant que responsable de la stratégie.
Il y a 4 ans et 158 jours

Réélection du président de Syntec-Ingénierie

Pierre Verzat est réélu à la présidence de Syntec-Ingénierie. [©Syntec-Ingénierie] A la tête de Syntec-Ingénierie depuis 2018, Pierre Verzat est réélu par le conseil d’administration pour un mandat de 2 ans supplémentaires. Lors de ses premières années en tant que président, Pierre Verzat s’est mis au service des professionnels du secteur. Ceci, afin de valoriser et de défendre leur travail. L’ingénierie représente en France 73 000 entreprises et 312 000 salariés au total. Dans ces temps troubles, la réélection de Pierre Verzat montre la confiance que peuvent y avoir les professionnels.&nbsp;«&nbsp;Plus que jamais, il reviendra à notre syndicat de porter et défendre les intérêts de nos entreprises, afin de ne laisser personne au bord du chemin&nbsp;», précise Pierre Verzat.&nbsp; Ses objectifs Au vu de la situation actuelle si particulière, Syntec-Ingénierie doit être davantage présent pour accompagner les entreprises de son secteur. Pour cela, le président aura pour missions de valoriser le rôle de l’ingénierie au sein des projets publics et privés. En effet, l’ingénierie est à la base de chaque projet industriel. Pour ce faire, si le secteur tourne au ralenti, cela impacte et en freine de nombreux autres, comme celui de la construction. Par ailleurs, Pierre Verzat a comme ambition de renforcer l’attractivité de la profession, les entreprises d’ingénierie restant pour la plupart inconnues. Ce secteur est en constante recherche de nouveaux talents.&nbsp;«&nbsp;Nos entreprises entendent faire preuve de responsabilité pour que les jeunes ne soient pas une génération sacrifiée&nbsp;», témoigne Pierre Verzat.&nbsp; Enfin, Syntec-Ingénierie se place dans une démarche environnementale depuis plusieurs années. Les membres du syndicat n’ont pas hésité à s’engager et à renforcer leur initiative à travers la Charte de l’ingénierie pour le climat. Pierre Verzat explique&nbsp;«&nbsp;A l’échelle de la profession, nous entendons renforcer nos engagements, notamment via la quantification systématique de l’empreinte carbone de nos entreprises.&nbsp;» Son parcours Après avoir obtenu son diplôme à l’Ecole polytechnique de Paris et d’Ensta Paris, Pierre Verzat débute sa carrière en 1986 en tant qu’ingénieur naval à la direction des constructions navales. Après 6 ans, il prend la tête de BEA (groupe Dalkia) jusqu’en 1996. Il rejoint ensuite Areva, tout d’abord en tant que directeur achat et logistique, puis comme Pdg en 1997. En 2005, il devient directeur industriel d’Astrium Space Transportation, filiale du groupe Airbus. Depuis 2011, il est président du directoire de Systra. En parallèle de son activité professionnelle, il intègre Syntec-Ingénierie en 2013, en tant que membre du conseil d’administration. En 2017, il devient le trésorier de la fédération. Il est ensuite élu président en novembre 2018.&nbsp;
Il y a 4 ans et 159 jours

Paris cherche à accélérer le déploiement de bornes de recharge dans ses copropriétés

MOBILITÉ. L'Agence parisienne du Climat, en partenariat avec la Ville de Paris et Enedis Paris, ont réalisé une étude pour évaluer le potentiel d'installation de bornes de recharge électrique dans les copropriétés parisiennes. Le but : mettre en place un plan d'action à partir de cette étude pour accompagner et accélérer le déploiement.