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(24655 résultats)
Il y a 4 ans et 178 jours

A Paris, 35 logements signés MAO réécrivent l’histoire

En août 2020, l’agence parisienne MAO – Mobile Architectural Office (Fabien Brissaud, Aurélien Ferry) a livré rue Charrière à Paris (XIe) une opération de construction neuve de 35 logements libres et sociaux. Une double maîtrise d’ouvrage : Emerige + Ogic. Surface : 2 419 m². Coût des travaux (HT) : 4.8 M€.   Un projet imprégné de […] L’article A Paris, 35 logements signés MAO réécrivent l’histoire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 178 jours

Le grands fonds de soutien aux groupes français Lac 1 entre en action

Ce fonds doté de plus de 4 milliards d'euros et géré par Bpifrance a acquis une participation de 5,08% dans Arkema pour un montant de 348 millions d'euros, a annoncé mardi le directeur général de la banque publique d'investissement Nicolas Dufourcq.Lac 1, un temps baptisé Lac d'argent, a été initié début 2020 et a bouclé sa première tranche de 4,2 milliards d'euros fin mai.C'est un fonds privé mais géré par Bpifrance et outre la banque publique d'investissement qui a apporté 1 milliard d'euros, une vingtaine de souscripteurs ont participé à cette première levée de fonds: plusieurs grands investisseurs institutionnels (assurances, banques), les groupes Orange, Unibel, Financière Dassault, ou encore le fonds souverain d'Abou Dhabi Mubadala.Lors de sa création, l'objectif affiché était d'atteindre une capacité d'investissement de 10 milliards d'euros, notamment pour permettre de stabiliser le capital d'entreprises françaises cotées et les protéger contre des rachats hostiles.Par ailleurs, en pleine crise économique engendrée par l'épidémie de Covid-19, "un grand nombre de sociétés performantes, internationalisées et innovantes souhaitent stabiliser leur capital en s'appuyant sur des investisseurs de long terme", expliquait au printemps Nicolas Dufourcq.Dans le cas d'Arkema, son président "a le souci d'avoir à son capital des investisseurs de long terme", a-t-il indiqué mardi, alors que Lac 1 a la vocation d'investir sur une durée d'au moins dix ans.Une prochaine opération ?Groupe de chimie de spécialité né en 2006, Arkema est un des principaux acteurs mondiaux de la chimie de spécialité, et produit notamment des adhésifs, des matériaux avancés et des résines pour revêtement.La direction a présenté en avril un plan stratégique à cinq ans, via lequel il ambitionne de devenir "un pur acteur de la chimie de spécialité" en renforçant son portefeuille dédié, qui représentait déjà en 2019 près de 80% de ses 8,7 milliards d'euros de chiffres d'affaires."La chimie de spécialité est importante parce que nous aurons de plus en plus besoin de matériaux innovants", a expliqué M. Dufourcq pour justifier ce premier investissement de Lac 1, ajoutant que Bpifrance est déjà très présent sur ce secteur via le soutien à l'innovation et le financement de PME.Lac 1 envisage d'ailleurs "d'accroître" sa participation dans Arkema et Bpifrance devrait obtenir lors de la prochaine assemblée générale en mai un siège au conseil d'administration, a précisé par ailleurs M. Dufourcq.Peu après l'ouverture de la Bourse de Paris, l'action Arkema prenait 2,49% à 87,42 euros, dans un marché en hausse de 1,31%.Pour Lac 1, cette première opération devrait rapidement être suivie d'une autre. "Nous nous rapprochons d'une décision de lancement d'une opération d'acquisition", a indiqué M. Dufourcq, sans préciser dans quel secteur elle pourrait avoir lieu.Il a simplement avancé que cela serait plutôt dans l'industrie, conformément à l'ADN de Bpifrance.Quand à Lac 1, "nous continuons la levée de fonds", a-t-il ajouté, même si la crise sanitaire et les restrictions de déplacements ne facilitent pas les discussions avec des investisseurs potentiels.
Il y a 4 ans et 178 jours

Au Havre, entre Perret et la mer, un quai rendu à la ville par Michel Desvigne et Inessa Hansch

Bien plus qu'un simple aéroport, Orly, inauguré par le général de Gaulle le 24 février 1961, est un symbole. Quand elle sort de terre, la nouvelle aérogare en verre et en acier présente aux automobilistes venant de Paris une façade vitrée bleue et jaune de 200 m qui frappe les esprits par la modernité de son architecture. […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 178 jours

Équerre d'argent 2020: les nommés de la catégorie Espaces publics et paysagers

Bien plus qu'un simple aéroport, Orly, inauguré par le général de Gaulle le 24 février 1961, est un symbole. Quand elle sort de terre, la nouvelle aérogare en verre et en acier présente aux automobilistes venant de Paris une façade vitrée bleue et jaune de 200 m qui frappe les esprits par la modernité de son architecture. […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 178 jours

Shift , un immeuble réhabilité par ses concepteurs originels

EN IMAGES. Livré en 2019, l'immeuble de bureaux Shift, à la frontière entre Paris et Issy-les-Moulineaux, a fait l'objet d'une réhabilitation par ceux-là même qui l'avaient conçu dans les années 90, et qui l'ont remis au goût du jour.
Il y a 4 ans et 178 jours

Des menuiseries en acier au service de la conception architecturale

Réalisée par le métallier MAPS (Atelier Appert), à l’aide des profilés acier Jansen de la série VISS, cette large et somptueuse verrière est venue servir la cour intérieure de l’immeuble « Village by CA » du Crédit Agricole, situé dans le 8ème arrondissement de Paris. Grâce à la finesse des menuiseries Jansen et leurs propriétés techniques sans égales, elle offre à la cour de ce bâtiment un clair de vitrage et des performances techniques et thermiques optimales.   Photo : Abadie  
Il y a 4 ans et 179 jours

Le Grand Paris Express sur la bonne voie

EN IMAGES. Sur le chantier du Grand Paris Express, la pose des équipements ferroviaires a commencé il y a quelques mois. Fin octobre 2020, les 1.800 premiers mètres de rails étaient installés, dans l'arrière-gare de Noisy-Champs, futur terminus des lignes 15 sud et 16.
Il y a 4 ans et 179 jours

Travaux de Grand Paris Express : des rails pas comme les autres

Le chantier du Grand Paris Express entre dans une nouvelle phase de travaux avec la mise en oeuvre des systèmes de transport, symbolisée par la pose des premiers rails dans l’arrière-gare de Noisy-Champs.
Il y a 4 ans et 179 jours

Tour Triangle : la mairie de Paris visée par une plainte pour corruption

CONCESSIONS. L'association Anticor a déposé plainte contre X auprès du parquet national financier (PNF) pour favoritisme dans l'attribution du marché public d'exploitation du Parc des expositions de la Porte de Versailles, propriété de la Ville de Paris. Au coeur de cette procédure : le projet de la tour Triangle, porté par Unibail.
Il y a 4 ans et 179 jours

Un nouveau Président pour le Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique

Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique chargée du Logement et en charge de la construction, a nommé Christophe Caresche à la présidence du Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE).En présence d'Emmanuelle Wargon, Christophe Caresche présidera donc une réunion exceptionnelle du CSCEE ce mercredi 4 novembre. Cette réunion sera l'occasion de faire un point sur la continuité d'activité et la mobilisation de toute la filière du bâtiment et de la construction en cette période de confinement. Elle permettra aussi de rappeler les perspectives de travail du CSCEE pour les prochaines semaines, notamment la consultation à venir du conseil sur la future réglementation environnementale des bâtiments neufs (RE2020).Christophe Caresche est engagé de longue date en faveur de la transition écologique. Fin connaisseur du monde du logement, il préside et dirige depuis 2017 l'opérateur foncier Tonus Territoires (ex-Foncière publique solidaire), filiale de la Caisse des dépôts, qui investit dans la construction de logements neufs en zones tenduesAncien député de Paris (1997-2017), Christophe Caresche succède à Thierry Repentin, maire de Chambéry, qui avait démissionné de la présidence après sa nomination à la présidence de l'Anah, le 14 octobre dernier.
Il y a 4 ans et 179 jours

La Bourse de Commerce à Paris, nouveau musée de François Pinault

La Bourse de Commerce—Pinault Collection, nouveau musée parmi le réseau de lieux et d’initiatives développés depuis 2006 par François Pinault, va ouvrir ses portes au public, le samedi 23 janvier 2021, au cœur de Paris. La Bourse de Commerce a été restaurée et transformée par l’architecte japonais Tadao Ando (TAAA –Tadao Ando Architect & Associates), l’agence NeM / Niney et Marca Architectes, l’agence Pierre-Antoine Gatier et Setec Bâtiment. Commencé en juin 2017, ce grand chantier s’est achevé en mars 2020 après un peu plus de trois ans de travaux. S’en suit, depuis lors et jusqu’à la fin de l’année 2020, une période de levée des réserves, de finitions, d’aménagements techniques, mobiliers et muséographiques, tandis qu’à l’extérieur du bâtiment sont conduits les travaux des abords du site, dont la Ville de Paris assure la maîtrise d’ouvrage. Le bâtiment de la Bourse de Commerce témoigne de quatre siècles de prouesses architecturales et techniques. Il associe la première colonne isolée de Paris, édifiée au 15e siècle pour l’hôtel de Catherine de Médicis, les vestiges d’une halle au blé à l’impressionnant plan circulaire du 18e siècle, couverte dès 1812 par une spectaculaire coupole de métal et de verre. Il a été recomposé en 1889 pour devenir la «Bourse de Commerce». Situé au centre de Paris, dans le jardin des Halles et s’ouvrant sur la rue du Louvre, ce bâtiment est emblématique de l’histoire de Paris et de son architecture. Après une restauration exemplaire qui en a sauvegardé toutes les beautés, il se tourne désormais vers la création contemporaine. Le bâtiment est aujourd’hui revivifié par le geste architectural contemporain deTadao Ando. L’architecte japonais crée les conditions d’un dialogue entre l’architecture et son contexte, entre le patrimoine et la création contemporaine, entre le passé et le présent, entre la collection et le visiteur. La Bourse de Commerce est, à ce jour, la plus importante réalisation confiée à Tadao Ando en France. Les designers français Ronan et Erwan Bouroullec ont été conviés à concevoir le mobilier du bâtiment. Le restaurant de la Bourse de Commerce, baptisé «La Halle aux Grains» a été confié aux chefs aveyronnais Michel et Sébastien Bras. La Bourse de Commerce proposera un point de vue sur la collection d’œuvres contemporaines que constitue François Pinault depuis plus de quarante ans. Comme dans les musées vénitiens (le Palazzo Grassi et la Punta della Dogana), la collection sera rendue visible au travers d’un programme permanent d’accrochages temporaires et «éditorialisés» : expositions thématiques et monographiques, mais aussi commandes, cartes blanches et projets in situ, avec la volonté d’accompagner les artistes dans leur création. La programmation d’une quinzaine de projets par an articulera ces expositions dans les espaces modulables. La première saison d’expositions et d’événements est intitulée «Ouverture». «Je me réjouis que l’ouverture de la Bourse de Commerce vienne enrichir le paysage européen des institutions qui se consacrent à la présentation de l’art de notre temps et contribue, après la dure année 2020 que traversent notre pays et le monde, à la renaissance de la vie culturelle à Paris.» François Pinault   Bourse de Commerce — Pinault Collection © Tadao Ando Architect & Associates, Niney et Marca Architectes, Agence Pierre-Antoine Gatier Photo 1 Patrick Tourneboeuf Photo 2 Marc Domage
Il y a 4 ans et 179 jours

Le Conseil supérieur de la construction a un nouveau président

CARNET/NOMINATION. Un ancien député de Paris, reconverti dans le monde du logement, prend la succession de Thierry Repentin qui préside désormais l'Anah.
Il y a 4 ans et 179 jours

Du BIM pour une rénovation lourde

Le BIM n’est pas à cantonner à la construction neuve. Pour preuve, l’importante réhabilitation d’un hôtel parisien du XVIIIème siècle confiée à l’agence Valode & Pistre.
Il y a 4 ans et 179 jours

CSCEE : Christophe Caresche remplace Thierry Repentin à la présidence

La ministre du Logement, Emmanuelle Wargon a nommé mercredi 4 novembre l'ancien député de Paris à la présidence du Conseil supérieur de la construction et de l’efficacité énergétique.
Il y a 4 ans et 179 jours

Vinci Construction France à l’honneur du Geste d’Or 2020

Chaque année, le concours du Geste d’Or récompense les chantiers dits “exemplaires” du patrimoine d’hier, d’aujourd’hui et de demain. Le 29 octobre dernier, la 10e édition s’est déroulée à la Société d’encouragement pour l’industrie nationale, à Paris. Le Geste d’Or distingue les réalisations remarquables sur plusieurs critères. Notamment, le respect environnemental, la gestion sociale et l’ingénierie financière. Comme en 2019, Vinci Construction France a fait sensation et s’est démarqué en recevant 8 distinctions. Retour sur le palmarès du leader français du BTP. Trois Gestes d’Or  Le groupe spécialisé dans le bâtiment en France se positionne sur tous les fronts. Il réalise, rénove, restructure et réhabilite. Ainsi, il a décroché 3 Gestes d’Or à travers ses filiales Bateg, Dumez Ile-de-France et GTM Bâtiment. Réalisation de La Tour Saint-Gobain. [©Augusto Da Silva / Graphix-Images] • Le Geste d’Or “Architecture, innovation et matière” a été attribué à l’opération de la tour Saint-Gobain (Paris La Défense), réalisée par Bateg. Cette tour s’élève à 165 m, sur 44 niveaux et comptabilise quelque 49 000 m2 de surface. Elle  abrite le siège du groupe Saint-Gobain. Les planchers ont été réalisés avec un béton précontraint par post-tension. Les verticaux ont été conçus un à un, de manière traditionnelle avec des banches. Par ailleurs, « l’architecture se distingue par son prisme sommital en porte-à-faux. Avec sa composition en trois parties : un pied, un corps, une tête, qui transforme la tour en personnage ». Une belle métaphore qui définit bien cet immeuble de grande hauteur (IGH) à la particularité toute “cristalline“. En effet, le socle et la tête de la tour « se parent d’un système de verre agrafé, qui a pour effet d’augmenter la luminosité́ et d’intensifier l’impression de légèreté́ ». • La restructuration du 7 rue de Madrid, à Paris, a reçu le Geste d’Or “Architecture, urbanisme et société”. Les travaux de ce bâtiment historique du XIXe siècle ont été menés par Dumez Ile-de-France. Restructuration du 7 rue de Madrid, Paris VIIIe. [©Guillaume Maucuit Lecomte] Pour les équipes, « l’enjeu principal était de valoriser ce bâtiment patrimonial édifié́ en 1876. Tout en y associant des touches de modernité́. A travers une architecture soucieuse de protéger l’existant ». Une verrière a donc été installée, ainsi que des espaces végétalisés. Ceci, dans le but d’apporter plus de lumière et de confort à l’édifice. En plus, un nouveau bâtiment de 4 étages a été construit. Et ce, tout en bois. De quoi favoriser la biodiversité. • Enfin, le dernier Geste d’Or attribué à Vinci Construction France est celui de la “Surélévation, étanchéité, chantiers” pour la réhabilitation de la résidence Beauregard, à Poissy (78). Sa filiale GTM Bâtiment a porté ce projet en deux temps. Tout d’abord, les équipes ont réhabilité 180 logements sociaux. Puis, l’entreprise s’est penchée sur la réalisation de 33 logements en surélévation. Ces maisons ont été construites grâce à des modèles 3D préfabriqués en structure bois. Réhabilitation de la Résidence Beauregard, Poissy (78). [©L’image contemporaine] Deux Care d’Or Vinci Construction France a aussi remporté 2 Care d’Or, nouveaux prix de l’édition 2020. La distinction salue « les projets offrant des nouveaux lieux de vie et ayant été pensés pour répondre au mieux aux besoins des futurs occupants ». • Le chantier de la Maison des avocats a reçu le Care d’Or “Architecture, travaux publics et grands travaux”. Cette réalisation est signée Petit, autre filiale du groupe de BTP. Construite sur le parvis du nouveau Palais de Justice dans le quartier des Batignolles, à Paris, la Maison des avocats dispose d’une surface de 7 000 m2 et compte 8 étages avec sous-sol. Les planchers sont en porte-à-faux sur plus de 25 m. Une façade en verre double peau sculpte l’ensemble. • Le second Care d’Or “Réhabilitation et restructuration” a été remis à la caserne des Minimes. Maison des Avocats, Paris XVIIe. [©Sergio Grazia pour Renzo Piano Building Workshop]Réhabilitation de la Caserne des Minimes, Paris, 3e. [©Augusto Da Silva / Graphix-Images] En dehors de ces cinq projets primés, Vinci Construction France a aussi été distinguées au concours du Geste d’Or 2020 pour : – La rénovation de la Maison Albar Hôtels Le Vendôme, Paris IXe arrondissement  (Geste d’Argent) ; – La restauration de l’église Notre-Dame-de-Lorette, Paris IXe arrondissement (Geste d’Argent) ; – La restauration de la fontaine Médicis et de ses bassins, Paris VIe arrondissement (Geste d’Argent). Rénovation de Maison Albar Hotels Le Vendome, Paris, IXe. [©L’image contemporaine]Restauration de l’église Notre-Dame de Lorette, Paris, IXe. [©Shoootin]Restauration de la Fontaine Médicis et de ses bassins, Paris, VIe. [©GovinSorel]
Il y a 4 ans et 179 jours

Neandertal aux portes de Paris

À Clichy-la-Garenne, sous plus de quatre mètres de remblais modernes, l’Inrap étudie les anciennes alluvions de la Seine. Dans les niveaux les plus anciens, ont été mis au jour plusieurs silex taillés (« méthode Levallois ») révélant la présence de Neandertal, ainsi que les vestiges d’un éléphantidé. En milieu très urbanisé, dans un espace contraint, les archéologues ont mis en œuvre une méthodologie peu courante, conjuguant une large tranchée (généralement pratiquée durant les diagnostics) et des décapages successifs. Dans les niveaux les plus anciens, la découverte de plusieurs silex taillés, notamment des outils, associés à des restes de faune, révèle la présence de Neandertal sur les rives du fleuve. Ces éclats tranchants, dans un silex local débité selon la « méthode Levallois », sont typiques du Paléolithique moyen. Cette méthode consiste à contrôler le volume du nucléus (matrice dont on extrait des produits de débitage) pour obtenir des éclats prédéterminés (éclats Levallois) pouvant être (ou non) par la suite transformés en outils. Les carrières et sablières de la boucle de la Seine, entre Clichy et Levallois, sont bien connues des préhistoriens et des géologues du Quaternaire. Entre 1860 et 1870, à l’occasion de l’aménagement du Paris haussmannien, de nombreuses découvertes y sont faites : industries lithiques, faunes mais aussi rares fossiles attestant de la présence de l’Homme dans le Bassin parisien durant la Préhistoire ancienne. Parallèlement, c’est à partir des silex taillés et retrouvés dans des carrières de Levallois-Perret que fut identifiée, à cette époque, une méthode de débitage, désormais reconnue à l’échelle internationale et appelée « la méthode Levallois ». Clin d’œil de l’Histoire, c’est aujourd’hui également dans un contexte de réaménagement péri-urbain du Grand Paris que de nouveaux « outils Levallois » ont été découverts. Source : Inrap Photo : Amas n°1 de silex taillés méthode Levallois © Inrap
Il y a 4 ans et 180 jours

Nouvelles dates pour Équipbaie-Métalexpo en 2021 et le Mondial du Bâtiment en 2022

BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMACe retour à Paris et ce nouveau calendrier biennal, en année paire, s'accompagnent d'une profonde transformation de l'évènement, avec un concept d'exposition totalement repensé et une offre digitale enrichie.Le vœu des professionnels exaucéGrâce à un travail en collaboration avec Viparis, propriétaire de Paris Expo Porte de Versailles, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pu saisir l'opportunité de revenir sur le site historique des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA. Ce retour permet de répondre aux souhaits des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l'Architecture d'un évènement plus convivial et à proximité du centre de Paris et de son offre de tourisme d'affaires.Parmi les conditions pour ce retour à Paris Expo Porte de Versailles, figurait une modification de la date de l'évènement. L'édition 2021 est ainsi reportée à l'automne 2022, ce qui devrait également minimiser les risques de décalages successifs en cas de prolongation de la pandémie actuelle, et faciliter la présence des exposants et visiteurs internationaux. Les trois salons se tiendront dorénavant tous les deux ans au mois d'octobre en année paire, en alternance avec ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, les années impaires.Un évènement plus efficace et plus sobreEn 2022, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA occuperont les espaces du Hall 1 au Hall 6, représentant une surface d'exposition de plus de 136 000 m². Cette surface étant inférieure à celle disponible au Parc de Paris Nord Villepinte, ce retour s'accompagnera par conséquent d'un chantier d'aménagement de l'offre et de la logistique de l'évènement.Ainsi, les exposants se verront proposer une nouvelle offre d'exposition, organisée autour de modules standards et de tailles de stand limitées. De plus, un projet logistique d'envergure aura pour objectif de réduire les temps de montage/démontage et de fluidifier les flux autour de la Porte de Versailles.Cette refonte de l'offre et de la logistique évènementielle apportera de multiples avantages aux exposants : choix de l'emplacement dès l'inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d'exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.L'autre enjeu est celui de l'évènement lui-même qui va devenir plus sobre et s'inscrire dans une démarche RSE, dans le cadre de la feuille de route que s'est donné Reed Expositions France. Le Mondial du Bâtiment sera le premier grand salon du secteur à mettre en œuvre une politique et des actions d'envergure pour la réduction de ses impacts : réduction et revalorisation des déchets, politique d'achats responsables, écoconception, restauration responsable….Une offre digitale de rupture « 365 jours/365 jours »Pour développer la visibilité des exposants entre deux éditions du Mondial du Bâtiment et leur permettre de préparer une rencontre conviviale et qualitative pendant les 4 jours de salon physique, les organisateurs de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA ont également conçu une offre nouvelle d'outils digitaux. Elle a pour ambition d'augmenter le nombre de contacts et la notoriété des marques des exposants sur une période élargie : la mise en relation et la visibilité, cœur de métier des salons, sont maintenant étendues entre deux éditions grâce au digital.Disponible dès la signature de participation au salon physique, cette offre en rupture avec les pratiques du métier s'articule autour d'un mix de solutions digitales : des contenus multiformes disponibles sur les blogs - livres blancs, articles, nouveautés produits… - des tables rondes en live et en replay, des émissions et podcasts sur Batiradio, des moments interactifs avec des webinars et des conversations en ligne.Bien plus qu'un simple come-back à la Porte de Versailles, c'est la fédération du plus grand nombre d'acteurs du bâtiment que nous promettent la réinvention de l'évènement et son dispositif digital. Rendez-vous début 2021 pour la feuille de route détaillée !Pour Guillaume Loizeaud, Directeur de BATIMAT : « Quel plaisir et quelle belle perspective de pouvoir écrire avec la filière cette nouvelle histoire ! Le retour de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA à Paris en 2022 s'annonce comme un grand moment de convivialité pour tous les professionnels. Complètement repensé sur le format d'exposition, en phase avec les grands enjeux, augmenté dans le temps grâce au digital, le Mondial du Bâtiment réunira le meilleur du salon et du virtuel. »Pour Yves Danielou, Président de l'Afisb : « L'Afisb, ses adhérents et tous les acteurs de la salle de bains ne peuvent que s'enthousiasmer à l'idée du futur Mondial du Bâtiment. Les conditions sont réunies pour en faire un vrai succès. Nous ressentons tous le besoin de moments de convivialité dans notre travail et nos relations professionnelles et Paris expo Porte de Versailles, en grande partie rénovée, les offre dorénavant aux visiteurs comme aux exposants. Ré enchanter ce grand rendez-vous du bâtiment suppose un véritable travail de renouvellement que le nouveau calendrier va permettre de mener. A la demande de nombreux exposants, nous allons ainsi améliorer l'offre commerciale, pour atteindre un meilleur coût/contact. »Pour François Frisquet, Président d'Uniclima : « Notre Profession se réjouit de cette nouvelle dimension que prendra la prochaine édition d'INTERCLIMA en 2022 avec un retour au cœur de Paris, en collaboration avec nos partenaires du Mondial : BATIMAT et IDÉOBAIN. Nous donnons donc rendezvous à tous les acteurs du confort et de l'efficacité énergétique pour découvrir le dynamisme croissant de notre filière. »ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPOFruit du dialogue constant avec les 6 syndicats partenaires (Groupement ACTIBAIE, FFPV, SNFA, UFME, UMB et Union des Métalliers), cette date a été choisie collectivement afin de répondre plus que jamais à l'objectif d'être le rendez-vous incontournable des professionnels de la menuiserie et de la métallerie. Elle en fera également le 1er salon de la reprise pour le secteur de la menuiserie.De nouvelles dates et une ambition renforcéePrévu en novembre 2020, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO a été reporté en raison de la pandémie de la COVID-19 et de ses conséquences sur l'activité économique à la fois des fabricants, des installateurs menuisiers et des métalliers. Il sera désormais programmé en octobre tous les deux ans, les années impaires, en alternance avec le Mondial du Bâtiment, déplacé en octobre les années paires.Initialement placée sous la thématique de « La révolution positive du digital », la prochaine édition d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO (du 21 au 24 septembre 2021) sera d'autant plus tournée vers l'avenir qu'elle incarnera la digitalisation du secteur en proposant aux visiteurs une expérience unique et inédite sur le salon et une offre digitale renforcée.Une plateforme digitale en amont du salonLes organisateurs du salon créent ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL, une plateforme d'information et d'échanges lancée dès novembre 2020. Accessible en continu, rythmée par des rendez-vous mensuels, elle a pour objectif de fidéliser et d'amener la communauté des menuisiers et métalliers à se retrouver sur le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en septembre 2021. Elle propose aux professionnels, en avant-première et en digital, de découvrir des vidéos de démonstration produits, des vidéos d'experts, des nouveaux produits et services, et des webinars proposés par les exposants du salon, dont une trentaine sont d'ores et déjà engagés sur ce nouvel outil. Autre initiative digitale, les exposants du salon sont également présents dans le tout nouvel annuaire des fournisseurs du Blog, qui vient compléter le site internet du salon.Guillaume Loizeaud commente ce choix : « Nous remercions les exposants d'ÉQUIPBAIEMÉTALEXPO qui nous ont montré leur confiance en nous suivant pendant cette période de réflexion. La rentrée de septembre 2021 devrait voir la filière rassérénée par les effets positifs du plan de relance et prête à se retrouver sur son salon. »Pour Bruno Léger, président du SNFA : « Nous sommes très reconnaissants envers Reed d'avoir négocié pied à pied pour obtenir ce magnifique résultat : le retour de BATIMAT à la porte de Versailles, les années paires, qui permet à ÉQUIPBAIE de se tenir dès l'année prochaine. ÉQUIPBAIE 2021 sera la première occasion pour toute notre profession de se retrouver autour de nos innovations. Je remercie tous nos adhérents exposants d'avoir été patients et de nous avoir fait confiance ».Pour Bruno Cadudal, Président de l'UFME : « Après des mois de crise sanitaire Covid-19, je suis heureux d'annoncer une bonne nouvelle à la profession conjointement avec mes partenaires du Pôle Fenêtre et les équipes de Reed Expo. La confirmation des nouvelles dates de la prochaine édition du salon d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO montre que notre filière, consciente de vivre dans un monde « d'après » Coronavirus, reste optimiste et dynamique afin que la reprise de nos activités soit durable. Les professionnels représentés au sein de l'UFME seront nombreux à se mobiliser pour le 1er salon de la menuiserie. »Pour Franck Perraud, Président de l'Union des Métalliers : « MÉTALEXPO est un des événements majeurs de la métallerie. Maintenir des liens forts avec nos partenaires et nos fournisseurs est essentiel en cette période incertaine. Je me réjouis que toute la famille de la métallerie puisse se retrouver en septembre 2021 »
Il y a 4 ans et 180 jours

Mondial du Bâtiment : retour à Paris en 2022

Pour répondre aux demandes des professionnels du bâtiment, de la construction et de l’architecture, Reed Expositions, l’Afisb et Uniclima ont décidé de réinventer les salons Batimat, Idéobain et Interclima dont la prochaine édition se tiendra pendant 4 jours, du 3 au 6 octobre 2022, à Paris Expo Porte de Versailles.
Il y a 4 ans et 180 jours

La prochaine édition d’Équipbaie-Métalexpo se tiendra du 21 au 24 septembre 2021

 Décalé en raison de la pandémie de la COVID-19, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, organisé par Reed Expositions, tiendra sa prochaine édition du 21 au 24 septembre 2021 à Paris Porte de Versailles – Hall 1. Fruit du dialogue constant avec les 6 syndicats partenaires (Groupement ACTIBAIE, FFPV, SNFA, UFME, UMB et Union des Métalliers), cette date a été choisie collectivement afin de répondre plus que jamais à l’objectif d’être le rendez-vous incontournable des professionnels de la menuiserie et de la métallerie. Elle en fera également le 1er salon de la reprise pour le secteur de la menuiserie.   De nouvelles dates et une ambition renforcée  Prévu en novembre 2020, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO a été reporté en raison de la pandémie de la COVID-19 et de ses conséquences sur l’activité économique à la fois des fabricants, des installateurs menuisiers et des métalliers. Il sera désormais programmé en octobre tous les deux ans, les années impaires, en alternance avec le Mondial du Bâtiment, déplacé en octobre les années paires.  Initialement placée sous la thématique de « La révolution positive du digital », la prochaine édition d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO (du 21 au 24 septembre 2021) sera d’autant plus tournée vers l’avenir qu’elle incarnera la digitalisation du secteur en proposant aux visiteurs une expérience unique et inédite sur le salon et une offre digitale renforcée.  Une plateforme digitale en amont du salon  Les organisateurs du salon créent ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL, une plateforme d’information et d’échanges lancée dès novembre 2020. Accessible en continu, rythmée par des rendez-vous mensuels, elle a pour objectif de fidéliser et d’amener la communauté des menuisiers et métalliers à se retrouver sur le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en septembre 2021. Elle propose aux professionnels, en avant-première et en digital, de découvrir des vidéos de démonstration produits, des vidéos d’experts, des nouveaux produits et services, et des webinars proposés par les exposants du salon, dont une trentaine sont d’ores et déjà engagés sur ce nouvel outil. Autre initiative digitale, les exposants du salon sont également présents dans le tout nouvel annuaire des fournisseurs du Blog, qui vient compléter le site internet du salon.    > BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA auront désormais lieu en année paire.  La prochaine édition aura lieu du 3 au 6 octobre 2022  à Paris Expo Porte de Versailles. 
Il y a 4 ans et 180 jours

Batimat, Idéobain et Interclima se réinventent en 2022 !

Pour répondre aux demandes des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l’Architecture, Reed Expositions, l’Afisb1 et Uniclima2 réinventent les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA dont la prochaine édition se tiendra pendant 4 jours, du 3 au 6 octobre 2022, à Paris Expo Porte de Versailles.  Ce retour à Paris et ce nouveau calendrier biennal, en année paire, s’accompagnent d’une profonde transformation de l’évènement, avec un concept d’exposition totalement repensé et une offre digitale enrichie.  _______________________ 1 Afisb, Association Française des Industries de la Salle de Bains, propriétaire du salon IDÉOBAIN. 2Uniclima, Syndicat des industries Thermiques, Aérauliques et Frigorifiques, propriétaire du salon INTERCLIMA.  LE VOEU DES PROFESSIONNELS EXAUCÉ  Grâce à un travail en collaboration avec Viparis, propriétaire de Paris Expo Porte de Versailles, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pu saisir l’opportunité de revenir sur le site historique des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA. Ce retour permet de répondre aux souhaits des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l’Architecture d’un évènement plus convivial et à proximité du centre de Paris et de son offre de tourisme d’affaires.  Parmi les conditions pour ce retour à Paris Expo Porte de Versailles, figurait une modification de la date de l’évènement. L’édition 2021 est ainsi reportée à l’automne 2022, ce qui devrait également minimiser les risques de décalages successifs en cas de prolongation de la pandémie actuelle, et faciliter la présence des exposants et visiteurs internationaux. Les trois salons se tiendront dorénavant tous les deux ans au mois d’octobre en année paire, en alternance avec ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, les années impaires.  UN ÉVÈNEMENT PLUS EFFICACE ET PLUS SOBRE  En 2022, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA occuperont les espaces du Hall 1 au Hall 6, représentant une surface d’exposition de plus de 136 000 m². Cette surface étant inférieure à celle disponible au Parc de Paris Nord Villepinte, ce retour s’accompagnera par conséquent d’un chantier d’aménagement de l’offre et de la logistique de l’évènement.  Ainsi, les exposants se verront proposer une nouvelle offre d’exposition, organisée autour de modules standards et de tailles de stand limitées. De plus, un projet logistique d’envergure aura pour objectif de réduire les temps de montage/démontage et de fluidifier les flux autour de la Porte de Versailles.  Cette refonte de l’offre et de la logistique évènementielle apportera de multiples avantages aux exposants : choix de l’emplacement dès l’inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d’exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.  L’autre enjeu est celui de l’évènement lui-même qui va devenir plus sobre et s’inscrire dans une démarche RSE, dans le cadre de la feuille de route que s’est donné Reed Expositions France. Le Mondial du Bâtiment sera le premier grand salon du secteur à mettre en oeuvre une politique et des actions d’envergure pour la réduction de ses impacts : réduction et revalorisation des déchets, politique d’achats responsables, écoconception, restauration responsable….  UNE OFFRE DIGITALE DE RUPTURE « 365 jours/365 jours »  Pour développer la visibilité des exposants entre deux éditions du Mondial du Bâtiment et leur permettre de préparer une rencontre conviviale et qualitative pendant les 4 jours de salon physique, les organisateurs de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA ont également conçu une offre nouvelle d’outils digitaux. Elle a pour ambition d’augmenter le nombre de contacts et la notoriété des marques des exposants sur une période élargie : la mise en relation et la visibilité, coeur de métier des salons, sont maintenant étendues entre deux éditions grâce au digital.  Disponible dès la signature de participation au salon physique, cette offre en rupture avec les pratiques du métier s’articule autour d’un mix de solutions digitales : des contenus multiformes disponibles sur les blogs – livres blancs, articles, nouveautés produits… – des tables rondes en live et en replay, des émissions et podcasts sur Batiradio, des moments interactifs avec des webinars et des conversations en ligne.  Bien plus qu’un simple come-back à la Porte de Versailles, c’est la fédération du plus grand nombre d’acteurs du bâtiment que nous promettent la réinvention de l’évènement et son dispositif digital. Rendez-vous début 2021 pour la feuille de route détaillée !  Pour Guillaume Loizeaud, Directeur de BATIMAT : « Quel plaisir et quelle belle perspective de pouvoir écrire avec la filière cette nouvelle histoire ! Le retour de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA à Paris en 2022 s’annonce comme un grand moment de convivialité pour tous les professionnels. Complètement repensé sur le format d’exposition, en phase avec les grands enjeux, augmenté dans le temps grâce au digital, le Mondial du Bâtiment réunira le meilleur du salon et du virtuel. »  Pour Yves Danielou, Président de l’Afisb : « L’Afisb, ses adhérents et tous les acteurs de la salle de bains ne peuvent que s’enthousiasmer à l’idée du futur Mondial du Bâtiment. Les conditions sont réunies pour en faire un vrai succès. Nous ressentons tous le besoin de moments de convivialité dans notre travail et nos relations professionnelles et Paris expo Porte de Versailles, en grande partie rénovée, les offre dorénavant aux visiteurs comme aux exposants. Ré enchanter ce grand rendez-vous du bâtiment suppose un véritable travail de renouvellement que le nouveau calendrier va permettre de mener. A la demande de nombreux exposants, nous allons ainsi améliorer l’offre commerciale, pour atteindre un meilleur coût/contact. »  Pour François Frisquet, Président d’Uniclima : « Notre Profession se réjouit de cette nouvelle dimension que prendra la prochaine édition d’INTERCLIMA en 2022 avec un retour au coeur de Paris, en collaboration avec nos partenaires du Mondial : BATIMAT et IDÉOBAIN. Nous donnons donc rendez-vous à tous les acteurs du confort et de l’efficacité énergétique pour découvrir le dynamisme croissant de notre filière. »    Plus d’informations sur : www.batimat.com www.ideobain.com www.interclima.com   
Il y a 4 ans et 180 jours

Le Mondial du Bâtiment de retour à Paris-Porte de Versailles en... 2022 !

EVENEMENT. Programmé initialement en novembre 2021, le Mondial du Bâtiment, qui regroupe les salons Batimat, Interclima et Ideobain, aura finalement lieu en 2022. Autre nouveauté : l'événement fera son grand retour à Paris-Porte de Versailles. Quid d'Equipbaie-Métalexpo ? Pourquoi ces choix ? Éléments de réponses.
Il y a 4 ans et 180 jours

XtreeE remporte de nouveaux projets et accélère le développement de son réseau d'unités d'impression 3D

Un partenariat d'innovation pour la conception d'une passerelle en béton imprimé en 3D - une première mondialeEn prévision des Jeux Olympiques de 2024, Plaine Commune Grand Paris a confié au groupement dirigé par Freyssinet en association avec Lavigne & Cheron Architectes, Quadric, XtreeE et LafargeHolcim la conception et la réalisation d'une passerelle piétonne de 40 mètres dont le tablier sera entièrement réalisé en béton imprimé 3D structurel.Ce projet, qui combine des expertises technologiques complémentaires, ouvre la voie à la réalisation d'éléments architecturaux et structurels complexes en béton et au développement de solutions personnalisées sur mesure, à coûts et délais maîtrisés.Pour cette première mondiale, avec l'impression en 3D de béton structurel, la construction entre pleinement dans l'ère de l'industrialisation 4.0. La conception numérique de l'ouvrage, la réalisation dans des conditions industrielles des éléments de la passerelle et leur assemblage rapide sur le chantier apportent agilité et frugalité : moins de transport, suppression des coffrages, donc moins de matière consommée (objectif de réduction de 60% comparé aux ouvrages en béton) et une grande liberté dans les formes pour les architectes, dans un budget maîtrisé.Cet ouvrage, qui combine la conception numérique et la construction par impression 3D, sera précurseur d'une nouvelle typologie de conception, pouvant être déclinée en France et dans le monde… et valide pleinement le procédé d'impression 3D mis au point par XtreeE depuis 2015, date de sa création.Une technologie d'impression 3D hors site éprouvée offrant de multiples débouchésContrairement à la grande majorité des systèmes existants, le système d'impression « ouvert » développé par la startup permet d'imprimer non seulement divers types de béton - lui ayant permis de collaborer étroitement avec divers partenaires industriels (LafargeHolcim, Vicat, Heidelberg…) - mais aussi d'autres matériaux tels que les plâtres, les argiles et les géopolymères.Combinée à la préfabrication hors site, cette technologie protégée par plusieurs brevets internationaux permet d'accroître de manière significative la qualité garantie du rendu, d'abaisser les coûts, de diminuer les nuisances pour les riverains, d'augmenter la sécurité sur les chantiers et de réduire la pénibilité pour les ouvriers. XtreeE a ainsi été en mesure de démontrer la viabilité de l'impression 3D en prenant part à plus d'une quarantaine de réalisations et projets en cours, qu'il s'agisse d'éléments architecturaux, d'infrastructures ou encore de mobilier intérieur et extérieur. Parmi les plus emblématiques, on pourra notamment citer les pylônes télécoms conçus sur mesure par Art & Fact Innovation, la conception des murs porteurs des cinq maisons individuelles du projet « Viliaprint© » porté par le bailleur social Plurial Novilia, ou encore celui d'aménagement et de mobilier urbain, piloté par le Groupe Saint-Léonard et réalisé pour le compte de la ville d'Istres.La somme de ces réalisations témoigne non seulement de la croissance du marché de l'impression 3D pour la construction - estimé à près de 40 milliards de dollars US en 2027 à l'échelle mondiale - mais aussi et surtout de la maturité de la technologie développée par XtreeE, qui démontre sa capacité à passer à une dimension industrielle et internationale.L'ouverture prochaine de deux nouvelles unités d'impression 3D connectées aux États-Unis et au Japon en est la matérialisation. Elles lui permettent en outre de consolider son modèle de développement et conforte l'objectif qu'elle s'est fixé : structurer un réseau de 50 unités à l'horizon 2025.Un réseau d'unités d'impression 3D connectées pour une meilleure collaborationEn effet, après son usine pilote de Rungis, un premier système opérationnel à l'École des Ponts ParisTech (France) et l'ouverture aux Emirats Arabes Unis en juin 2019 d'une deuxième unité de production, opérée par Concreative, XtreeE accélère son déploiement pour atteindre cinq unités opérationnelles d'ici fin 2020, et en prévoit l'ouverture de deux autres dès le 1er trimestre 2021, en France notamment.Ce réseau doit permettre à terme de produire efficacement, aux quatre coins du globe, des éléments de construction structurels sur mesure, sur la base de sa technologie. « En se dotant d'une unité d'impression 3D connectée, nos clients acquièrent non seulement la capacité de produire eux-mêmes, au plus proche de leur marché, mais aussi celle de maîtriser la chaine numérique de conception de leurs réalisations en collaborant au sein du réseau que nous sommes actuellement en train d'étendre », conclut Alban Mallet.
Il y a 4 ans et 182 jours

Un gymnase-paysage à Paris, par Archi5

L'architecte portugais Eduardo Souto de Moura fonde son agence en 1980. Il collabore à ses débuts avec Alvaro Siza et, comme lui, recevra le prix Pritzker (2011). L'architecture d'Eduardo Souto de Moura, simple et ancrée dans la réalité, appartient à la deuxième génération de l'école de Porto. Dans sa […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 182 jours

La mise en scène d'un lieu, RCR Arquitectes

Quelques jours avant le confinement, RCR Arquitectes a dévoilé au Musée national d’art moderne - Centre Pompidou à Paris un dispositif polyphonique immersif mettant en scène les projets marquants et à venir de l’agence. Une manière de découvrir le parcours des Pritzker 2017 marqué par une volonté permanente de se réinventer. Cet atelier d’architecture catalan crée en 1987, partage selon le commissaire d’exposition « la vision d’une architecture épurée, inspirée par les...
Il y a 4 ans et 184 jours

Grand Paris Express : déjà 1 800 mètres de rails posés

A Noisy-Champs, à l’extrémité est de la future ligne 15 sud, les travaux du nouveau métro ont basculé, depuis plusieurs mois déjà, de la phase du génie civil vers celle de l’installation des équipements des tunnels.
Il y a 4 ans et 184 jours

Apollon et Dionysos

Lisez en intégralité l’édito d’Emmanuelle Borne, rédactrice en chef d’AA. Cet article Apollon et Dionysos est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 184 jours

Rencontre avec : Warren & Laetitia

Warren et Laetitia se sont rencontrés sur les bancs de l’université Panthéon-Sorbonne, puis sont partis étudier à l’université de Strasbourg. Après l’obtention de leur diplôme de master en design, Waren s’est formé dans l'agence de l’architecte et designer Antoine Phelouzat à Paris, Laetitia a fait ses armes auprès de la designeuse industrielle Irena Übler au Portugal. En 2018, ils décident de travailler ensemble et fondent le studio warren & laetitia. Muuuz : Quand et pourquoi avez-vous choisi de créer ensemble votre studio de design ?Warren et Laetitia : Nous avons décidé de nous associer en 2019, un an après la fin de nos études. Suite à nos expériences professionnelles respectives, nous avons ressenti le besoin de créer notre propre studio de design et eu envie de continuer à travailler ensemble comme nous avions pu le faire à plusieurs reprises durant nos études.Quels objets avez-vous commencé par imaginer et fabriquer ?Notre premier objet imaginé ensemble pour notre studio est la soucoupe pour plantes baptisée « flocflac ». Aujourd’hui édité par batch.works, cet objet n’est pas fabriqué par notre studio. Notre premier objet produit en auto-édition est le double bougeoir 2.20.Vous fabriquez principalement des objets imprimés en 3D à partir de matériaux recyclés et recyclables. Pourquoi avez-vous choisi ce mode de production ?Dans un premier temps, nous n’avions pas envisagé l’impression 3D comme un mode de production. C’est d’ailleurs pourquoi la soucoupe Flocflac a évolué entre le prototype que nous avions réalisé et l’objet produit par batch.works. Nous avons dû redessiner la soucoupe pour l'adapter à la production en impression 3D. C’est comme ça que nous avons commencé à concevoir des objets spécifiquement pour être produits en impression 3D. Ce mode de production nous permet de produire nos objets nous-même et donc de garder la main sur la qualité et le contrôle de la chaine de production.Le choix de matériaux s’est fait assez naturellement car nous ne voulions pas travailler avec des matériaux non recyclables. Assez rapidement, nous avons commencé à collaborer avec Reflow qui produit du filament pour impression 3D recyclé à 95% et recyclable jusqu’à dix fois. Cela nous semble être une bonne alternative, car le plastique est un matériau de moins en moins apprécié, on l’associe directement au plastique à usage unique qui est une énorme source de pollution. Travailler en collaboration avec Reflow, qui recycle justement du plastique à usage unique, nous permet de produire des objets en plastique recyclé à usage multiples. Cette démarche a beaucoup de sens pour nous.Quels sont les avantages de l’impression 3D ? L’impression 3D comme mode de production a différents avantages. Elle nous permet notamment de travailler avec très peu de stock et de posséder nos propres machines. Aujourd’hui, nous travaillons avec quatre imprimantes qui nous permettent de répondre assez rapidement à nos commandes d’autant plus que nous imaginons nos objets en prenant toujours en compte leur temps de fabrication afin d’optimiser au mieux notre production.Et ses inconvénients ?Selon nous, les principaux inconvénients de l’impression 3D sont liés à nos choix de conception. Nous essayons de concevoir autant que possible des objets « rapides » à produire. Les imprimantes 3D sont parfois un peu capricieuses surtout quand nous cherchons à obtenir un rendu précis. Nous passons donc beaucoup de temps à affiner les réglages de nos machines mais c’est cool et satisfaisant. C’est sûrement notre côté un peu nerd.Vous fabriquez des objets du quotidien, et proposer de les concevoir selon trois principes : la modularité, la possibilité de réglage ou d’ajustement, et l'appropriation. C'est-à-dire ?Oui, nous aimons concevoir des objets du quotidien, tout en y intégrant certains principes auxquels nous tenons beaucoup. Par exemple, le demi-vase Mimo est une extension de bocal alimentaire. Chaque demi-vase est compatible avec au moins deux diamètres de bocaux, ce qui permet une certaine flexibilité. C’est ce processus d’appropriation de l’objet qui nous intéresse. On peut choisir son bocal avec lequel on veut faire un vase et le changer ou non. La notion de choix est centrale dans notre studio car nous souhaitais laisser aux utilisateurs le choix de l’usage. Le double bougeoir est un autre exemple, c’est un seul objet pour deux usages potentiels, pas radicalement différent l’un de l’autre, mais quand même différent. Tous nos objets ne sont pas pensés en suivant systématiquement ces principes, mais dès que l’on peut on essaie de leur appliquer. C’est une méthode de travail assez intéressante parce que cela peut donner naissance à des formes nouvelles. Depuis 2019, vous travaillez avec batch.works. Comment abordez-vous cette collaboration ?Nous avons beaucoup de chance de collaborer avec batch.works car ce partenariat a commencé très peu de temps après la création de notre studio. Batch.works nous a contacté pour éditer notre premier objet : la soucoupe pour plantes Flocflac. C’est une collaboration qui s’est fait rapidement et c’était chouette car cela nous a permis de participer au London design festival en 2019.Quelle est votre démarche créative ?C’est une bonne question ! Nous dessinons assez peu surtout parce que nous avons la possibilité de prototyper très tôt et très vite grâce à l’impression 3D. La plupart du temps, nous faisons plusieurs prototypes imprimés en 3D et nous échangeons beaucoup entre nous sur les changements à apporter. C’est d’ailleurs la seule chose que nous faisons vraiment à deux, car c’est dans l’échange que nous trouvons les réponses aux problèmes qui se posent lors de la création de nos objets. De plus, le fait de passer par l’impression 3D lors du prototypage nous permet aussi d’anticiper toutes les questions liées à la production du futur objet, car nous utilisons la même machine pour prototyper et produire nos objets.Pouvez-vous nous parler de votre approche écoresponsable du design ?Nous avons un peu de mal avec l’adjectif écoresponsable, c’est d’ailleurs pourquoi nous ne l’employons jamais pour qualifier notre travail. Nous faisons des choix qui nous semblent évidents comme la production locale, les matériaux recyclés et recyclables français ou européens, et nous ne proposons pas d’expédition en dehors de l’Europe. Nous allons d’ailleurs bientôt pouvoir proposer une livraison à vélo à Paris. Mais cela ne fait pas partie d’une stratégie qu’on pourrait qualifier d’écoresponsable parce que c’est juste du bon sens pour nous et on ne se voit pas faire autrement. Le terme « écoresponsable » est polysémique et ses critères réels restent flous. Nous ne préférons donc pas l’utiliser par peur de tomber dans le champ lexical du greenwashing. Et après ?Aujourd’hui, nous avons plusieurs idées de projets auxquelles nous réfléchissons et que nous souhaiterions développer mais, comme nous travaillons souvent en autoédition, la production de nos objets nous prend beaucoup de temps. Nous aimerions beaucoup fabriquer notre propre plastique recyclé, mais c’est assez complexe surtout pour obtenir un matériau stable donc c’est plutôt de l’ordre du rêve… Sinon nous souhaiterions proposer des objets composés uniquement de matériaux recyclés. Pour certaines couleurs, nous ne trouvons pas de matériaux recyclés. Pour en savoir plus, visitez le site du studio warren & laetitia. Visuels : © warren & laetitiaLa Rédaction  
Il y a 4 ans et 184 jours

AA et Paris, 90 ans de projets

En novembre 2020, AA fête ses 90 ans ! 90 ans d’architecture, de débats, de reportages, ...En savoir plus Cet article AA et Paris, 90 ans de projets est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 184 jours

Gecina, peu touché par le Covid, est plutôt optimiste pour l'année

Entre janvier et septembre, Gecina a dégagé un chiffre d'affaires de 496,9 millions d'euros, soit un très léger recul (-0,7%) par rapport à un an plus tôt.Le groupe a légèrement relevé son objectif annuel de résultats. Il s'attend à un bénéfice net récurrent, son indicateur de référence, de 5,70 euros par action. Auparavant, ce n'était que la fourchette haute de prévisions données en juillet, peu après le confinement et le déclenchement de la crise sanitaire.Malgré les conséquences économiques de celle-ci, Gecina se félicite de n'avoir subi que très peu d'impayés de la part de ses locataires.Plus largement, le groupe assure de son optimisme alors même que le marché des bureaux subit une chute historique en Île-de-France depuis le début de la crise.Même si Gecina reconnaît un "attentisme" de la part de locataires potentiels, il s'estime avantagé par ses choix de localisations. Le groupe fait en effet depuis des années le pari de largement se concentrer sur Paris même ou ses abords immédiats.Or, la déprime du marché concerne surtout des emplacements plus éloignés ou le cas spécifique du quartier d'affaires de la Défense.Le "marché locatif montre donc une forme de polarisation, révélant des perspectives toujours favorables pour les zones centrales privilégiées par Gecina, et une visibilité dégradée sur les zones secondaires", se félicite le groupe.Au-delà des bureaux, le groupe fait par ailleurs part de son "ambition croissante" dans le logement. Il détient un petit portefeuille dans le secteur et compte le développer avec un récent partenariat signé avec le promoteur Nexity.
Il y a 4 ans et 184 jours

Les temps et les lieux de Jean Nouvel à Paris

Parmi les architectes contemporains, Jean Nouvel est sans doute celui qui a le plus bâti à ...En savoir plus Cet article Les temps et les lieux de Jean Nouvel à Paris est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 184 jours

Plastor au cœur de la Grande Halle du Wip à Colombelles en Normandie

Menée dans le souci des normes de qualité environnementale, la rénovation de cet édifice du patrimoine industriel intègre principalement du béton et du bois, avec 1.600 m2 de parquet ainsi que 6 escaliers de 40 marches poncés et vitrifiés par la société Les Sens du Bois.Partenaires depuis plus de 10 ans avec Plastor, Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT, gérants de la société spécialisée dans la rénovation et la vitrification de parquets et d'escaliers, ont utilisé les produits Plastor pour réaliser les finitions de ce projet.« Nous sommes arrivés sur ce chantier grâce à la recommandation de la société Gouelle menuiserie à Sartilly (50) qui a remporté l'appel d'offre et réalisé la pose des planchers. Notre entreprise a réalisé le ponçage et la vitrification, donc toutes les finitions sur des parquets traditionnels en Douglas ainsi que sur des panneaux en contreplaqué avec une couche de massif en pin blanc. Nous devions également vernir les lisses des garde-corps des escaliers pour les protéger. La rénovation de ce bâtiment industriel exigeait le respect de normes de qualité environnementale, d'où l'importance du choix de produits à faible émissivité. Dans ce même souci, il a été décidé que les poteaux et dessous des couloirs apparents resteraient bruts. Choisir les aspects les plus naturels permettait de réduire les sources d'émission.Nous avons dû tenir les délais avec la complexité habituelle, en organisant nos zones de travail au mieux afin que tous les autres artisans et corps de métier puissent avancer rapidement. Pour ce faire, nous avons mobilisé toute notre équipe, à savoir 5 personnes. Parfois mon père et un de ses collègues nous ont rejoints, nous étions alors 7. Nous sommes parvenus à réaliser les finitions en deux semaines de travail en tout.Comme il s'agissait de parquet neuf, la matière était assez agréable à travailler. Grâce aux produits Plastor dont nous apprécions la qualité depuis maintenant 12 ans, nous avons aisément pu évaluer le temps de travail de la manière la plus précise qui soit.Pour répondre aux prérequis d'émissions de COV très limitées, nous avons choisi d'utiliser l'huile Aquanat, très faible en émissivité de solvants avec seulement 25 g de COV/L. Pour durcir la couche de ces produits assez maigres, nous avons opté pour le DUOPUR-T3 mat, compatible avec l'huile Aquanat, qui avait été validé par le service technique de Plastor. Le suivi et le relationnel que nous entretenons avec les équipes de Plastor sont pour beaucoup dans notre réussite. »Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT, Gérants de l'entreprise Les Sens du Bois (50)Les Sens du Bois - ParqueteurLieu-Dit La Cour - 50220 Ducey-Les-Chéris - Tél : 06 71 14 71 75Architectes du projet : Agence d'architectes Encore Heureux104 rue d'Aubervilliers - 75019 Paris - Tél : 01 53 19 09 36Huile AQUANATL'huile pour parquet monocomposant Aquanat de Plastor offre une excellente protection pour les parquets soumis à un trafic quotidien intense. Elle conserve l'aspect naturel du bois brut tout en le mettant en valeur.Facile d'utilisation, elle ne laisse pas de film visible et sèche en 1 à 2 h seulement entre 2 couches.Elle s'applique ainsi sans lustrage en 3 couches dans la journée et sans essuyage. Son odeur n'est pas gênante, elle dégage seulement 25 g/L de COV. Disponible en 2 effets : mat et effet brut.Rendement : 15 m2/L par coucheExiste en 1L, 5L et 10LVitrificateur DUOPUR-T 3Vitrificateur polycarbonate bicomposant en phase aqueuse pour pièces à fortes contraintes et lieux publics, le DuoPurT3 de Plastor est très agréable à appliquer. Gras, sans odeur gênante et classé A+, il donne un bon garnissant, un film non jaunissant et un temps de reprise important.Il est adapté aux parquets ou dérivés des bois intérieurs neufs ou anciens dans tous types d'essences.Appliqué directement sur bois brut, il permet de conserver la tonalité claire des bois. Il est formulé avec 0 % de NMP (N-Methyl Pyrrolidone) et NEP (N-Ethyl Pyrolidone). 3 aspects : mat, satiné et brillant.Rendement : 10 m2/L par coucheExiste en 5L (Mélange Résine 4,5L + durcisseur 0,5L)et 10L (Mélange Résine 9L + durcisseur 1L)
Il y a 4 ans et 185 jours

Disneyland Paris va se doter de la plus grande ombrière photovoltaïque d'Europe

Disneyland Paris a entamé la construction d'une centrale solaire grande comme 24 terrains de football au-dessus du parking, dont la capacité de production représentera à terme 17% des besoins en énergie du site.
Il y a 4 ans et 185 jours

Le Sacré-Coeur de Montmartre est désormais inscrit aux monuments historiques

Le Sacré-Coeur de Montmartre, édifice emblématique de Paris, a été inscrit aux monuments historiques, première étape vers son classement au premier semestre prochain.
Il y a 4 ans et 185 jours

Eiffage va construire le futur siège de Lidl en région parisienne

Eiffage a gagné un contrat à 140 millions d'euros pour construire le nouveau siège français de la chaîne de supermarchés Lidl à Châtenay-Malabry, au sud de Paris, a-t-il annoncé.
Il y a 4 ans et 186 jours

Baisse des permis de construire de logements au 3ème trimestre et petite reprise des mises en chantier avant un probable reconfinement

Entre juillet et septembre, 99.900 permis ont été octroyés, soit un recul de 11,5% par rapport à un an plus tôt, selon le ministère de la Transition écologique, dont dépend le Logement. Les mises en chantier ont progressé de 6,3% à 94.000.Le logement neuf peine donc à se redresser après un effondrement lors du deuxième trimestre, marqué par un strict confinement décrété par les autorités contre la propagation du coronavirus.A l'époque, les mises en chantier, qui indiquent quels logements ont concrètement commencé à être construits, avaient vu leur nombre reculer de près d'un quart. Quant aux permis de construire, meilleur indicateur des tendances à venir, leur quantité avait chuté de près de moitié.L'été n'a donc pas permis de pleinement retourner la situation, alors que le président Emmanuel Macron va annoncer de nouvelles restrictions mercredi soir, l'exécutif envisageant un nouveau confinement.Sur l'ensemble des douze mois écoulés à fin septembre, le nombre de mises en chantier recule en effet de plus de 5% et celui des permis de 10%.Le paysage est particulièrement morose pour les immeubles, qualifiés de logements collectifs. Le nombre de permis y chute de près de 15% sur la même période.Le monde du logement, en premier lieu les promoteurs immobiliers, s'inquiète de multiples facteurs qui vont au-delà de la seule crise sanitaire.Ils jugent que les élections municipales, dont la campagne a été rallongée de trois mois par le confinement, ont poussé les élus locaux à limiter les permis. Puis que la situation a perduré, le temps que les nouvelles équipes se mettent en place.Les acteurs de l'immobilier réagissent aux chiffresL'été n'a pas vraiment relancé la création de logements, plombée au printemps par le déclenchement de la crise sanitaire. Toujours moroses, les chiffres laissent craindre au secteur une crise durable, alors même que l'épidémie reprend et que l'exécutif envisage un reconfinement imminent."Je ne vois pas du tout de reprise forte. Les chiffres sont inquiétants (et) ne rassurent pas", a déclaré à l'AFP la président de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), Alexandra François-Cuxac, à l'occasion des chiffres trimestriels sur le secteur.Publié par le ministère de la Transition énergétique, dont dépend le Logement, le tableau est mitigé. D'un côté, les mises en chantiers, c'est-à-dire les logements dont la construction a vraiment commencé, sont plus nombreuses (+6,3%) qu'un an plus tôt.Mais "c'est normal que ce rebond ait lieu", a minimisé Mme François-Cuxac. "Tout le monde s'est mobilisé pour rattraper le retard sur les chantiers à la rentrée."De fait, ce chiffre est en trompe-l'oeil à plusieurs titres. D'abord, il ne marque qu'un petit redressement estival après un effondrement des mises en chantier - près d'un quart - au précédent trimestre, au coeur du strict confinement décrété par les autorités contre la propagation du coronavirus.Ces restrictions ont bloqué de nombreux chantiers, le temps de mettre en place des mesures de sécurité sanitaires. Et le rattrapage estival n'a pas suffi: sur les douze mois écoulés fin septembre, les mises en chantiers sont nettement moindres (-5,6%) qu'un an plus tôt.Surtout, un autre indicateur est plus inquiétant pour l'avenir. Les permis de construire, qui annoncent réellement la tendance des mois à venir, ont encore vu leur nombre baisser pendant l'été alors qu'ils avaient déjà chuté de près de moitié au second trimestre."On ne voit pas véritablement d'amélioration", prévient auprès de l'AFP Alain Tourdjman, économiste chez le géant bancaire BPCE.En matière de logements, "l'effet majeur de la crise risque d'être observé davantage en 2021", insiste-t-il. "Les projections que l'on peut faire (...) me semblent à tous égards préoccupantes."Élus timidesLe bilan est d'autant plus décevant que l'été avait été marqué par le déconfinement et la reprise de l'activité économique. Or, le gouvernement est désormais sur le point d'annoncer ce mercredi de nouvelles restrictions, au point d'envisager un nouveau confinement de quatre semaines.Un déclin durable du logement neuf serait préoccupant au-delà de ce seul secteur économique. Une offre suffisante de logement est en effet garante d'un marché où les prix ne s'envolent pas, ce qui est à son tour un enjeu crucial pour une économie en sortie de crise.M. Tourdjman estime que moins de 350.000 logements neufs pourraient être construits l'an prochain - les dernières années tournaient autour de 400.000."On n'a pas forcément besoin de construire 400.000 logements", nuance-t-il, mais, selon lui, cela impliquerait de revoir en profondeur les politiques publiques d'aménagement du territoire en soutenant plus activement le développement des villes petites et moyennes où s'accumulent de nombreux logements vacants.Pour l'heure, et malgré l'essor du télétravail en temps de crise sanitaire, ce sont les grandes agglomérations qui concentrent la demande de logements avec comme emblème la capitale, Paris, où les prix sont partis pour s'installer bien au-delà de 10.000 euros le mètre carré.Pourquoi, dans ce contexte, les maires n'octroient-ils pas plus de permis ? Les observateurs s'accordent à évoquer un ensemble de facteurs défavorables.Non seulement la crise et le confinement ont gelé l'examen des permis, mais les élus ont aussi été encouragés à la timidité par une interminable campagne municipale, prolongée de trois mois par la crise.Depuis, les professionnels constatent peu d'empressement chez les nouveaux élus, que ce soit parce que leurs équipes tardent à prendre leurs marques ou parce que le contexte politique semble moins favorable à la construction avec notamment l'arrivée au pouvoir de plusieurs maires écologistes dans de grandes villes."Tout est prétexte à ne pas accepter l'autre à côté de chez soi", regrette Mme François-Cuxac. "Les maires sont ceux qui doivent accompagner cette acceptation (mais) par endroit, je sens des élus lassés, fatigués de ce combat."Signe que le gouvernement est conscient de l'enjeu, il a prévu une enveloppe de 350 millions d'euros pour récompenser les maires qui construisent le plus de logements.
Il y a 4 ans et 186 jours

Covid-19 : Macron a pris sa décision, un reconfinement est l'hypothèse la plus probable

Le chef de l'État a "ouvert le conseil des ministres en insistant sur la dégradation massive, générale et largement inattendue que connaît l'Europe depuis plusieurs jours", a rapporté le porte-parole Gabriel Attal.Le porte-parole, qui avait énuméré mardi soir les mesures "possibles" -"un élargissement du couvre-feu, "un confinement" soit "territorialisé", soit "national"- a précisé qu'Emmanuel Macron avait tranché définitivement à l'occasion d'un conseil de défense précédant le conseil des ministres.L'hypothèse qui semble la plus probable serait un confinement d'une durée de quatre semaines, c'est-à-dire jusqu'à la fin novembre, éventuellement renouvelable. Il serait moins strict que celui de mars puisque les crèches, écoles et collèges, ainsi que des commerces essentiels, resteraient ouverts, à l'image de celui imposé en Irlande. L'incertitude demeure sur l'ouverture des lycées et des universités.Ces derniers mois, Emmanuel Macron avait répété que la stratégie était de "tout faire pour éviter" un nouveau confinement national."Risque de submersion"La crainte des autorités est avant tout la saturation des services de réanimation: le nombre de patients s'y élevait mardi à 2.900, soit la moitié des 5.800 lits de réa disponibles dans toute la France, où l'épidémie a déjà fait plus de 35.000 morts. Le gouvernement a fait état mardi de 288 morts à l'hôpital pour les dernières 24h00 et 235 en Ehpad sur les quatre derniers jours."Même avec le reconfinement, on arrive à la mi-novembre à un risque de plus de 1.000 morts par jour", s'est alarmé la députée LREM Aurore Bergé mercredi."On a beaucoup plus de malades et on s'attend à en avoir beaucoup plus qu'en mars-avril, et beaucoup moins de personnes pour y faire face", témoigne le professeur Djillali Annane, chef du service de réanimation de l'hôpital Raymond-Poincaré à Garches (Hauts-de-Seine).Les responsables économiques s'alarment des conséquences d'un nouveau confinement sur l'économie, qui risque "l'écroulement", selon le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux.Preuve de cette inquiétude, la Bourse de Paris a débuté la journée en dévissant de plus de 3%, avant de réduire ses pertes, dans l'attente des annonces d'Emmanuel Macron mais aussi venues d'Allemagne, où un nouveau tour de vis est en préparation.La crise sanitaire et la crise économique et sociale "sont les 2 faces d'une même pièce", a souligné Gabriel Attal: "Ceux qui opposent crise sanitaire et crise économique et sociale on tort. Nous ne réglerons pas la crise économique sans maîtriser la crise sanitaire (et), nous ne réglerons pas la crise économique en feignant d'ignorer son impact de l'épidémie sur les vies humaines et sur nos hôpitaux".Avant même les annonces du chef de l'État, la ministre du Travail Élisabeth Borne a assuré les partenaires sociaux mardi soir de la prolongation au-delà du 1er novembre du reste à charge de 15% lorsqu'une entreprise n'a d'autre choix que de mettre tout ou partie de ses salariés en chômage partiel.Par ailleurs, une prime exceptionnelle de 1.500 euros va être attribuée à 5.000 entrepreneurs installés dans les Quartiers prioritaires de la ville (QPV) pour leur permettre de faire face aux conséquences de la crise.
Il y a 4 ans et 186 jours

Cédric O défend la 5G face aux réticences de la maire EELV de Strasbourg

"La 5G, qui sera déployée en France d'ici la fin de l'année", va devenir "à court terme" une "technologie indispensable pour éviter la saturation des réseaux 4G, compte tenu de l'augmentation de la consommation", a plaidé M. O dans un entretien accordé aux Dernières Nouvelles d'Alsace (DNA) et mis en ligne mardi soir sur le site du quotidien régional.En raison du conseil de défense sur le Covid, M. O avait dû annuler mardi un déplacement dans le Bas-Rhin sur le thème de la "couverture mobile et du déploiement du très haut débit et de la 5G".Interrogé sur les réticences de la maire EELV de Strasbourg, Jeanne Barseghian, cosignataire mi-septembre avec plusieurs élus de gauche et écologistes d'une tribune réclamant un moratoire sur le déploiement de la 5G, M. O a pointé "une forme d'hypocrisie de la part de certains élus sur la question de la 5G, alors que cette technologie consomme moins d'énergie que la 4G".Le secrétaire d'État avait déjà vivement dénoncé il y a une quinzaine de jours dans un entretien au Parisien le moratoire sur la 5G voté par la ville de Lille."La Ville de Strasbourg a acheté il y a quelques années un outil de mesure d'exposition aux ondes", a-t-il poursuivi, expliquant que la collectivité avait donc "la possibilité de vérifier ce que changera la 5G".Les contrôles des émissions d'ondes électromagnétiques, effectués majoritairement à la demande des communes et des associations, "seront renforcés" et portés à "10.000 en 2021, dont 4.800 dédiés à la 5G", a-t-il confirmé."Si la maire de Strasbourg a un doute, nous sommes disposés à en faire autant qu'il faudra à Strasbourg", a ajouté M. O.Alors que certains élus de l'Eurométropole de Strasbourg, dont Mme Barseghian, ont émis des réserves quant au projet d'implantation locale d'une usine de production d'équipements pour la 4G et la 5G du géant chinois des télécoms Huawei, il a également insisté sur le fait que "la 5G, c'est aussi beaucoup d'emplois"."Il faut que les maires se rendent compte de l'impact économique que peuvent avoir leurs prises de position", a-t-il mis en garde.
Il y a 4 ans et 186 jours

Le portail polychrome de la cathédrale d’Angers protégé par une galerie signée Kengo Kuma

La cathédrale Saint-Maurice d’Angers dispose d’un portail occidental sculpté datant du XIIe siècle, qui était protégé par une galerie construite dans le premier tiers du XIIIe siècle, démolie en 1807. En 2009, des travaux de nettoyage du portail ont révélé des vestiges de polychromies médiévales et modernes qui ont fait l’objet d’une ambitieuse campagne d’études puis d’une restauration exemplaire conduites par la direction régionale des affaires culturelles (DRAC) des Pays de la Loire. Ce portail apparaît désormais comme un des rares témoignages de la polychromie des cathédrales au Moyen Age. Seule la construction d’une nouvelle protection pérenne permettrait de préserver durablement cet ensemble exceptionnel. Après plusieurs études historiques et archéologiques, les données recueillies n’ont pas été jugées suffisantes pour envisager une reconstitution à l’identique de la galerie ancienne. C’est pourquoi la Commission nationale du patrimoine et de l’architecture du ministère de la Culture a validé, le 4 juillet 2019, un projet inédit de création d’une galerie contemporaine protégeant le portail sur la façade occidentale de la cathédrale médiévale. Le 13 octobre 2020, le jury composé du préfet du Maine-et-Loire, du maire d’Angers, de l’évêque d’Angers, du directeur régional des affaires culturelles des Pays de la Loire, de la directrice de l’Opérateur du patrimoine et des projets immobiliers de la culture (OPPIC), d’un représentant de la direction générale des patrimoines du ministère de la Culture et de personnalités qualifiées, architectes et historienne de l’art médiéval, a analysé les projets des cinq équipes d’architectes qui avaient été sélectionnées. Le projet présenté par Kengo Kuma, architecte japonais de renommée internationale, a été classé premier. La construction contemporaine qu’il a imaginée répond parfaitement aux attendus du concours : elle s’intègre harmonieusement à un bâtiment patrimonial majeur et plus largement à son contexte urbain, tout en assurant la protection du portail de la cathédrale et de ses polychromies anciennes. Kengo Kuma, né en 1954, est un architecte japonais dont l’agence dispose de deux antennes, à Tokyo et Paris. Il a récemment mené la construction du stade olympique de Tokyo (inauguré en décembre 2019). Sensible au dialogue entre l’architecture et le patrimoine historique ou naturel, il est chargé notamment, en France, de l’extension du musée Albert Kahn (Boulogne-Billancourt) et de la restauration de ses jardins (en cours de chantier). Les équipes d’architectes non retenues à l’issue de ce concours sur esquisse ont chacune proposé des projets de grande qualité, s’appuyant tant sur le contexte urbain que sur les grands enjeux liés à un édifice patrimonial tel qu’une cathédrale. Il s’agit des projets de : – Rudy Ricciotti, Grand prix national de l’architecture 2006 ; – Philippe Prost, architecte et urbaniste ; – Pierre-Louis Faloci, Equerre d’argent 1996, Grand prix national de l’architecture 2018 ; – Bernard Desmoulin, Equerre d’argent 2009. Roselyne Bachelot-Narquin, ministre de la culture, a félicité Kengo Kuma et son équipe pour la qualité de leur travail et salue cette démarche inédite, s’agissant d’une cathédrale, qui démontre une nouvelle fois la fécondité du dialogue entre création contemporaine et patrimoine. Visuel : ©Kengo Kuma & Associates/Lautreimage
Il y a 4 ans et 186 jours

Plus que 3 jours pour l’appel à projets “FAIRE 2020” !

La quatrième édition de l’appel à projets FAIRE, organisé par le Pavillon de l’Arsenal et la Ville de Paris, invite... Cet article Plus que 3 jours pour l’appel à projets “FAIRE 2020” ! est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 187 jours

JO Paris 2024 : Grands équipements, petit souffle

Expos, conférences, visites… les rendez-vous sélectionnés cette semaine par la rédaction d'AMC. 1. Conquêtes spatiales, à Annecy Au tournant des années 1960, Jean-Louis Chanéac, Claude Costy et Pascal Häusermann imaginent un nouveau langage architectural aux formes organiques, exprimant une vision pragmatique et fantastique de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 187 jours

Sur l’île Seguin, un projet qui n’a rien de Nouvel

Pour qu’un projet d’urbanisme, symbolique et d’envergure, ne se fasse jamais, c’est bien simple, il suffit que la politique s’en mêle. Ou, pour qu’il se fasse, que Jean Nouvel ne s’en mêle pas ? Prenons par exemple le développement de l’Ile Seguin, à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), projet emblématique en Ile-de-France et dans le Grand Paris s’il en […] L’article Sur l’île Seguin, un projet qui n’a rien de Nouvel est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 187 jours

Le Groupe Velux s'engage pour une « neutralité carbone à vie » en partenariat avec le WWF

Le Groupe VELUX a annoncé son nouvel engagement d'atteindre la «neutralité carbone à vie» d'ici son 100e anniversaire en 2041. Cet engagement amènera le Groupe, leader sur le marché des fenêtres de toit, à capturer l'équivalent de son empreinte carbone historique[1], soit 5,6 millions de tonnes de CO² (scope 1 et 2[2]) émises depuis sa création en 1941. Cette ambition va se concrétiser grâce à des projets de conservation des forêts supervisés par le WWF.Conformément aux objectifs ambitieux fixés par l'accord de Paris sur le climat, qui vise à limiter l'augmentation de la température mondiale à 1,5 °C, le Groupe VELUX s'est engagé dans cette trajectoire afin de réduire significativement les émissions de carbone liées à son activité et à sa chaîne de valeur (scopes 1, 2 et 3[3]).La « neutralité carbone à vie » est un nouvel engagement pionnier développé par le Groupe VELUX en collaboration avec le WWF International, visant à assumer la responsabilité des émissions de carbone passées et futures. Cette ambition innovante vise à capturer l'équivalent des émissions de carbone historiques du Groupe VELUX et vise à préserver en même temps les inestimables forêts naturelles et la faune du monde entier.« La planète fait aujourd'hui face à une crise grave en termes de climat et de biodiversité, ce qui nécessite des mesures exceptionnelles. En accord avec nos valeurs d'entreprise, nous cherchons à faire toujours plus que la majorité ; c'est donc pour cela que nous avons développé l'engagement de "neutralité carbone à vie". Cet engagement novateur implique un partenariat de 20 ans avec le WWF International, afin de capturer l'équivalent de nos émissions de carbone historiques d'ici 2041. Nous réduirons également significativement nos futures émissions de CO² et demandons à nos fournisseurs de faire de même. Nous espérons que d'autres sociétés trouveront là l'inspiration de parvenir elles mêmes à une "neutralité carbone à vie", afin de créer un futur durable pour toutes et tous. »- David Briggs, PDG du Groupe VELUXPour atteindre une « neutralité carbone à vie » le Groupe VELUX collabore avec le WWF en investissant dans des projets forestiers et de préservation de la biodiversité jusqu'en 2041. Ceux-ci contribueront à stopper la détérioration d'habitats naturels, la déforestation et la dégradation des sols menaçant la biodiversité, en travaillant aux côtés et au bénéfice des communautés locales. Les deux premiers projets forestiers verront le jour en Ouganda et en Birmanie.En Ouganda, l'accent sera mis sur la restauration des forêts dégradées, la création de nouvelles forêts et la protection des forêts naturelles existantes grâce à un large éventail de mesures, parmi lesquelles le boisement, reboisement, revégétalisation et la gestion durable des forêts. Ce projet permettra également de faire pousser des arbres au sein de terrains boisés, systèmes agroforestiers et plantations en-dehors des zones protégées, afin de répondre à la demande liée à divers produits forestiers et réduire la pression exercée sur les forêts naturelles. Le projet en Birmanie aura pour objectif de conserver la biodiversité unique et les paysages forestiers du canton birman de Tanintharyi, en travaillant étroitement avec les communautés locales.« L'impact des crises actuelles liées au climat et à la biodiversité devenant de plus en plus clair, une volonté et des mesures solides sont désormais urgemment nécessaires pour créer un futur durable pour toutes et tous. L'engagement de "neutralité carbone à vie" du Groupe VELUX est un exemple important, que d'autres pourront ensuite suivre. »« Faire une promesse conforme à l'objectif de limitation de l'augmentation de la température mondiale à 1,5 °C tout en protégeant des paysages forestiers importants et la biodiversité –et les services cruciaux qu'ils fournissent aux communautés et à l'économie- est un projet positif et ambitieux en ligne avec des engagements climatiques responsables servant de fondation pour atteindre les Objectifs de Développement Durable. Ensemble, nous espérons que d'autres sociétés seront inspirées par la "neutralité carbone à vie" de VELUX afin d'élever l'ambition globale des entreprises en matière d'action climatique ou en faveur de la nature. »- Marco Lambertini, directeur général du WWF InternationalLe partenariat avec le WWF s'inscrit plus largement dans la stratégie de développement durable « Sustainability Strategy 2030 » du Groupe VELUX afin de devenir une entreprise neutre en émission de CO² d'ici 2030. Cet objectif de réduction des émissions se base sur la science, grâce au programme « Science Based Targets Initiative »[4]. Afin de révolutionner son activité, le Groupe VELUX accélère ses investissements dans l'efficacité énergétique au sein de ses sites de production, la transition vers les énergies renouvelables et l'achat d'électricité 100 % renouvelable. Il s'est également engagé à modifier de manière significative la façon dont il effectue la sélection et l'achat de matériaux. Pour plus d'informations sur la « neutralité carbone à vie » de VELUX et les projets de conservation des forêts au cœur du partenariat avec le WWF, rendez-vous sur velux.com / itsournature.com.NOTES [1] – Aucune méthodologie standard n'existe aujourd'hui afin de calculer une empreinte carbone historique. Des données précises sur les facteurs d'émissions et la consommation énergétique passés n'existent pas souvent. Le Groupe VELUX a donc développé une méthode permettant de calculer ses émissions carbone historiques. Cette méthode est basée sur la norme « Greenhouse Gas Protocol Corporate Standard » mondialement reconnue, et appliquée aux données historiques. Cette méthodologie unique, ainsi que ses suppositions sous-jacentes, sont vérifiées de manière indépendante par l'organisme Carbon Trust et analysées par des experts du WWF.[2] – Définition des scopes 1 et 2. Scope 1 (émissions directes générées par des sources possédées ou contrôlées par une entreprise, comme les infrastructures d'une société ou encore des véhicules de fonction). Scope 2 (émissions indirectes provenant de la génération d'électricité, de vapeur, de chauffage ou de refroidissement utilisés dans l'activité de l'entreprise concernée).[3] – La définition du scope 3 inclut toutes les autres émissions indirectes produites au sein de la chaîne de valeur d'une société (comme lors de l'achat de biens et services ou la génération et le transport de déchets).[4]– L'initiative « Science Based Targets » a pour but d'encourager les entreprises à définir des objectifs basés sur la science et accroître leur avantage concurrentiel dans le cadre de la transition vers une économie à faibles émissions de carbone. Elle s'inscrit dans une collaboration entre le CDP, le Pacte mondial des Nations Unies, le World Resources Institute (WRI) et le World Wide Fund for Nature (WWF) et constitue l'un des engagements de la coalition We Mean Business. Cette initiative définit et promeut les bonnes pratiques en matière de développement d'objectifs basés sur la science, propose des ressources et des conseils destinés à limiter les obstacles à leur adoption et analyse et approuve de manière indépendante les objectifs fixés par les sociétés.
Il y a 4 ans et 188 jours

Podcast les Experts du Bâtiment : comment obtenir le label RGE ?

Dans un 4ème épisode des Experts du Bâtiment proposé par la FFB Artisans Grand Paris, Laure Amrani, experte « environnement » informe les artisans et entreprises du Bâtiment sur les dernières actualités liées au label RGE. A l’heure où les travaux de rénovation énergétique se multiplient et deviennent cruciaux pour les politiques publiques, cette question est majeure pour les entreprises et artisans du Bâtiment. Cette 4ème émission des Experts du bâtiment est disponible gratuitement sur Apple podcast, Deezer, Spotify et toutes les applications de podcast https://podcast.ausha.co/les-experts-du-batiment/tout-savoir-sur-a-qualification-rge « L’intérêt du Podcast est d’offrir aux artisans et entrepreneurs du Bâtiment une écoute sans contrainte horaire et souvent dans leur véhicule. Nous avons souhaité répondre à leurs attentes et leur permettre cette souplesse d’écoute au regard de leurs contraintes logistiques.», précise Jean-Pierre GUTEL, Président de FFB Artisans Grand Paris.
Il y a 4 ans et 188 jours

Erigère profite d'une réhabilitation pour ajouter deux étages à un immeuble parisien

EN IMAGES. Une résidence de 74 logements dans le 19e arrondissement de Paris a gagné 22 logements à la faveur d'une rénovation-surélévation menée par le bailleurs social Erigère. Une opération qui fait la part belle au bois.