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Résultats de recherche pour bardage

(986 résultats)
Il y a 7 ans et 145 jours

Premier configurateur de bardage bois en ligne

Silverwood bouleverse les codes du marché en proposant aux professionnels un configurateur de bardage permettant de visualiser en temps réel son projet sur www.wood-designer.fr.
Il y a 7 ans et 149 jours

Hardel et Le Bihan Architectes : Résidence hôtelière Odalys City

Dans le cadre de la reconstruction de la ZAC de la Porte Pouchet à Paris (17e), l'agence Hardel et Le Bihan Architectes livre à quelques pas du périphérique parisien, la résidence hôtelière Odalys City. Bardé de tôle ondulée, l'édifice à l'apparence simple recèle en réalité des procédés inventifs visant à contrecarrer les nuisances sonores produites par la voie rapide. Porté par les urbanistes des agences françaises TVK et Michel Guthmann, la ZAC de la porte Pouchet, d'une superficie de 15 hectares, s'inscrit dans la volonté de la Ville de Paris de réaménager les Portes parisiennes. Situé entre le périphérique et le boulevard Bessières, le morceau de ville était à l'origine principalement constitué de trois immeubles des années 1970 en mauvais état " la tour du Bois-le-Prêtre, et la Tour et la Barre Borel ", et de nombreux garages automobiles et de parcs délaissés. Suite à de larges travaux de démolition menés dans l'ensemble de la zone, la Barre de logements Borel, à l'est, a pu être conservée et réhabilitée. C'est à l'ouest de la parcelle, face à la future place Pouchet et la voie rapide, que l'agence Hardel et Le Bihan a pour sa part imaginé la résidence hôtelière Odalys City. Le cahier des charges du constructeur immobilier Groupe Duval, était clair : il fallait impérativement respecter le confort visuel et l'intimité des habitations voisines. Pour cela, les architectes ont conçu un bâtiment en L, enserrant la Barre Borel de 10 étages en gardant une distance de 4 mètres entre les deux ouvrages entre lesquels prend place un nouveau jardin arboré. La réalisation héberge au rez-de-chaussée des commerces, 148 chambres dans les 5 niveaux supérieurs et une salle entièrement vitrée de petit-déjeuner au sixième et dernier niveau, offrant aux voyageurs une incroyable vue sur la Capitale. Grâce au bardage de la façade en plaques de tôle d'aluminium anodisé de 2 millimètres d'épaisseur, dont l'ondulation " déclinée en quatre modules " a fait l'objet de calculs complexes de la part des ingénieurs du projet, le son des véhicules est diffracté, réduisant ainsi les gênes sonores pouvant être perçues par les résidents de l'îlot. Une réalisation dont la façade marquera l'identité d'un quartier en (re)devenir, et qui souffle un vent de contemporanéité sur un périphérique parisien peu séduisant. Pour en savoir plus, visitez le site de Hardel et Le Bihan Architectes Photographies : SCHNEPP RENOU
Il y a 7 ans et 186 jours

La Gamme Mep

Retrouvez toute la gamme MEP dans cette nouvelle présentation vidéo. Mep, spécialiste de l'avant-toit et du bardage PVC, présente également sa toute nouvelle gamme : Les Composants de Toiture.
Il y a 7 ans et 192 jours

Rockbardage Evolution

Pour les façades métalliques.
Il y a 7 ans et 194 jours

VALLET de MARTINIS Architectes : Pépinière d'entreprises

Concevoir un bâtiment particulièrement visible sans céder aux sirènes d'une architecture ostentatoire : tel était l'objectif de l'agence VALLET de MARTINIS Architectes pour concevoir cette pépinière d'entreprises installée dans les Pyrénées-Atlantiques. Analyse d'un pari réussi. Située dans la commune de Miossens-Lanusse (64), cette pépinière d'entreprises signée par les maîtres d'"uvre de l'agence française VALLET de MARTINIS Architectes constitue le fer de lance du nouveau Parc d'activités économiques Thèze-Mossens. Et pour cause : elle est implantée à la croisée de l'autoroute de Gascogne et d'une route départementale, une position particulièrement visible, faisant de ce bâtiment " l'emblème de cette nouvelle zone d'activités ", expliquent les concepteurs. Conséquence de cet emplacement stratégique, l'extérieur du projet a par ailleurs été imaginé pour remplir un rôle signalétique. Composée de deux volumes en structure béton comme emboîtés l'un dans l'autre " le premier, de plain-pied, revêtu d'un bardage métallique ; le second sur deux niveaux, arborant d'un mur rideau protégé par un brise-soleil en épicéa ", la pépinière séquence ainsi par sa silhouette la ligne parfaite et monotone de l'horizon. Soignée à l'extérieur, l'enveloppe est également étudiée pour optimiser le quotidien des startuppers à l'intérieur : " la majeure partie des espaces de travail est orientée au sud-ouest, pour bénéficier des apports solaires maîtrisés par les ventelles en épicéa lamellé-collé ", détaillent les architectes. Au nord, un vaste parvis couvert, un espace d'accueil et des locaux d'entreposage complètent le programme de cette réalisation paradoxalement sobre et remarquable à la fois. Intitulé du projet : ESPELIDA, pépinière d'entreprisesLieu : Miossens-Lanusse (64)Maîtrise d'ouvrage : Communauté de communes des Luys-en-BéarnMaîtrise d'"uvre : VALLET de MARTINIS ArchitectesSurface : 740 m2Montant des travaux : 1 300 000 ¤ HTCalendrier : Livraison 2017 Photographies : Stéphane Chalmeau Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Tertiaire - neuf Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de VALLET de MARTINIS Architectes
Il y a 7 ans et 194 jours

Lazo & Mure Architectes + 3A Composites : EHPAD

L'extension de l'EHPAD à Laon (02), signée par l'agence Lazo & Mure Architectes, se distingue par une implantation particulièrement travaillée, destinée à redonner cohérence à l'existant, en optimisant également les conditions de vie des résidents et du personnel. Le nouveau bâtiment de 3 700 mètres carrés, aux lignes très orthogonales ne dépassant pas deux niveaux, est construit au nord de la parcelle à laquelle appartient l'EHPAD de Laon. Le hall, inscrit au sein d'une rue intérieure, relie le lieu de la circulation verticale et de l'hébergement à celui des espaces de vie communautaire et d'animation. Il se présente telle une promenade pour aboutir à la salle polyvalente et au restaurant, tout en ménageant l'apparition d'îlots de verdure. En façade, un bardage en panneaux aluminium composites ALUCOBOND® essentiellement blanc uni (sur une surface de 1 479 mètres carrés) et métallique argent (157 mètres carrés) est rythmé par des performations laissant passer la lumière naturelle. La fermeture du jardin-patio au rez-de-chaussée avec le mur manteau est également assurée par une vêture blanche en ALUCOBOND®. Intitulé du projet : EHPADLieu : Laon (02)Maîtrise d'ouvrage : Maison de Retraite Départementale de l'Aisne / AMO Seca SantéMaîtrise d'"uvre : Lazo & Mure ArchitectesSurface : 3 727 m2Montant des travaux : 7 500 000 ¤ HTCalendrier : Livraison septembre 2016Depuis plus de 40 ans, l'entreprise 3A Composites développe, produit et distribue des panneaux composites aluminium de haute qualité, des matériaux composites structurés, des panneaux en matière plastique et des panneaux légers pour les segments de marché de l'architecture, du display, du transport et de l'industrie. Leurs multiples gammes : ALUCOBOND®, DIBOND®, ALUCORE®, KAPA® et FOREX®, ont permis à l'entreprise de gagner une renommée mondiale. Photographies : Pierre L'Excellent Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Santé Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de Lazo & Mure Architectes 
Il y a 7 ans et 194 jours

FREAKS Architecture : VIKING

Sur la côte normande, une petite cabane blanche attire l'"il des pêcheurs et autres plaisanciers. Rénovée par les architectes de l'agence Freaks, elle abrite en fait un intérieur ultra-optimisé parfait pour dîner entre amis tout en contemplant la Manche. C'est sur cette plage qu'auraient accosté les premiers assaillants vikings au IXe siècle. Aujourd'hui, nulle trace de casques à cornes " à part lors de shootings photos ! ", seulement une cabane de pêcheur, optimisée jusque dans les moindres recoins pour accueillir jusqu'à huit convives. Car, depuis l'intervention des architectes de l'agence Freaks, ce qui était autrefois une minuscule maisonnette en béton de 12 mètres carrés est devenu un agréable refuge, équipé d'un lit, d'une petite cuisine, d'une salle d'eau et même d'un salon percé de deux larges baies offrant une vue imprenable sur la mer... le tout sans s'étendre d'un seul centimètre carré ! Et pour cause, dès le début de la phase d'étude, la possibilité d'une extension est écartée, à cause de la Loi littorale très stricte excluant toute modification de la surface du volume d'origine. Aussi les concepteurs se sont-ils contentés de refaire le bardage extérieur " privilégiant des panneaux sandwiches couleur champagne ", et d'ajouter les deux nouvelles fenêtres " des " coulissants qui permettent d'ouvrir complètement la construction sur l'horizon ". À l'intérieur, le mobilier fonctionnel permet de condenser toutes les fonctions techniques dans une si petite surface, notamment grâce au lit en mezzanine en-dessous duquel sont installées les pièces d'eau. Côté mer, le salon peut se muer en salle à manger, idéal pour déguster une bourriche d'huîtres avec un verre de vin en contemplant l'écume des vagues. Skål ! Intitulé du projet : VIKINGLieu : Fermanville (50)Maîtrise d'ouvrage : privéeMaîtrise d'"uvre : Freaks ArchitectureSurface : 12 m2Montant des travaux : 15 000 ¤ HTCalendrier : Livraison 2017 Photographies : Jules Couartou Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Logement - Maison Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de Freaks Architecture 
Il y a 7 ans et 194 jours

Chartier Dalix et Brenac & Gonzalez et Associés : JAVA

Dans le cadre de la construction de la ZAC Clichy-Batignolles à Paris (17e), les agences d'architecture ChartierDalix et Brenac & Gonzalez et Associés ont conçu main dans la main un bâtiment de bureaux de 24 000 mètres carrés sur le Lot 07. Une réalisation mettant en valeur les voies ferrées qui lui font face et qui vibre au rythme du ciel et de l'activité des employés qui donnent vie à ses coursives. Façonné par l'activité ferroviaire du nord de Paris, le quartier des Batignolles fait depuis 2001 l'objet d'une reconvertion urbaine. Lancé par l'ancien maire de Paris, Bertrand Delanoë, le projet de la ZAC Clichy-Batignolles, d'une superficie de 43,2 hectares, comprend notamment le fameux palais de justice dessiné par Renzo Piano, le futur cinéma imaginé par l'atelier Berthier, le parc Martin Luther King de 10 hectares réalisé par Jacqueline Osty et de nombreux logements et bureaux ; le tout disposé de part et d'autre des voies de chemin de fer de la gare Saint-Lazare. À l'est de ces derniers sont répartis les locaux administratifs, partiellement construits sur une dalle recouvrant les rails, et à l'ouest les habitations. L'une des particularités de cette opération de restructuration urbaine lourde réside dans son processus de conception et d'édification : chaque lot de la ZAC faisant l'objet d'un partage entre deux architectes. Ce morcellement a été imposé par les concepteurs de la zone, dont l'architecte-urbaniste François Grether et le bureau d'études OGI, spécialisé dans travaux d'aménagement d'espaces publics. Si certains maîtres d'"uvre lauréats des concours lancés pour chaque lot ont séparé leur parcelle en deux, les agences ChartierDalix et Brenac & Gonzalez et Associés ont pour leur part décidé de collaborer et d'ériger à quatre mains un colosse condensant 24 000 mètres carrés de bureaux. Avec un retrait de 10 mètres en son centre, le terrain dissymétrique et étriqué de 125 mètres de long, a amené les architectes à imaginer un bâtiment original de huit étages composé de deux volumes rectangulaires, entre lesquels est placé un vaste hall d'entrée de 150 mètres carrés, dont les niveaux supérieurs se déforment au fil de l'ascension. Depuis la rue, à l'est, la perspective linéaire créée par les bâtiments voisins est brisée par les ondulations de l'ensemble.Ces reliefs accueillent une succession de terrasses et de coursives en rubans, qui bénéficient d'un traitement uniforme grâce à l'utilisation de trois types de panneaux de bardage pleins différents de 1 mètre de large aux stries verticales, réalisés en terre cuite moulée puis émaillée. Grâce à l'alternance de ces éléments, le matériau semble vibrer, avec une couleur changeant au fil de la journée et des points de vue, tantôt bleu, ocre ou blanc. Depuis le vestibule traversant, d'une hauteur de huit mètres sous plafond, les voies ferrées sont mises en scène par le biais d'une large baie vitrée de 11 mètres de long invitant les travailleurs à admirer le passage des wagons. À partir de ce hall majestueux, un escalier monumental en Y dessert à l'est un réfectoire et à l'ouest un jardin suspendu situé entre le R+1 et le R+6, au-dessus des rails. Cet espace vert constitué d'un ensemble de passerelles et d'emmarchements, permet alors aux employés de jouir d'une imprenable vue sur les toits de Paris au quotidien. Une réalisation originale offrant un environnement de travail idéal. Intitulé du projet : JAVALieu : Paris (17e)Maîtrise d'ouvrage : Emerige (promoteur)BNP Paribas Cardif (investisseur)Maîtrise d'"uvre : ChartierDalix architectes (mandataire)Brénac & Gonzalez et AssociésSurface : 24 000 m2Montant des travaux : 51 000 000 ¤ HTCalendrier : Livraison 2017 Photographies : Takuji Shimmura, Sergio Grazia et Stefan Tuchila Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Tertiaire - neuf Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de Chartier Dalix et Brenac & Gonzalez et Associés
Il y a 7 ans et 194 jours

Atelier du Pont : Les Cabanes

Inspiré par l'architecture du Cap Ferret (33), l'Atelier du Pont réalise une maison de vacances composée de petites cabanes réinterprétant les constructions vernaculaires, pour une meilleure intégration. Un havre de paix au c"ur d'une pinède d'arbousiers, yuccas et pins. Cette résidence secondaire de 330 mètres carrés, dissimulée par une végétation locale luxuriante, est installée sur un terrain en pente orienté vers la mer. Le défi du projet résidait dans la préservation de cet environnement. Pour ce faire, les maîtres d'"uvre ont réalisé plusieurs annexes au lieu d'une unique construction de plus de 300 mètres carrés, rappelant l'architecture des cabanes du cru qui s'intègrent parfaitement à leur milieu. L'ensemble est ainsi composé de quatre volumes parallélépipédiques, certains de plain-pied et d'autres sur plusieurs niveaux pour mieux coller à la topographie du lieu, reliés entre eux par une terrasse en bois où prend place une piscine rectangulaire. Ce matériau se retrouve également en bardage, jouant la mimesis avec la pinède environnante. Le tout est largement percé de grandes baies vitrées, connectant intérieur et extérieur. Dans la plus étendue des quatre parties , située à l'ouest, prennent place les espaces de vie et une chambre, tandis que les autres pièces de nuit sont installées dans les cabanons plus modestes . Le volume central, comprend ainsi une suite parentale située au rez-de-chaussée, au-dessus de laquelle sont positionnés un salon et une cuisine avec vue sur le plan d'eau, en rez-de-jardin. Les deux niveaux, inscrits dans la pente du terrain sont agrémentés d'un escalier maçonné tout en courbes contrastant avec les ouvertures géométriques qui le surplombent qui laissent entrevoir la nature foisonnante. Imaginée pour accueillir une grande famille, le logement permet donc à chacun de bénéficier de son intimité en profitant d'espaces communs pour se retrouver. Un projet biscornu, idéal pour qu'une grande fratrie puisse se relaxer dans le cadre de vie sans égal qu'offre le Cap Ferret. Intitulé du projet : Les CabanesLieu : Cap Ferret (33)Maitrise d'ouvrage : PrivéeMaitrise d'"uvre : Atelier du PontSurface : 330 m2Montant des travaux : NCCalendrier : Livraison 2016 Pour en savoir plus, visitez le site d'Atelier du Pont Photographies : Takuji Shimmura & Philippe Grazia
Il y a 7 ans et 194 jours

Archi5 : CFA des métiers du bâtiment

" Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ", dit un célèbre proverbe. Un adage démenti par les concepteurs d'archi5, lesquels ont tout mis en "uvre pour réaliser un centre de formation des apprentis aussi agréable à vivre que remarquable visuellement, prouvant que la forme importe autant que le contenu. Si le Centre de formation des apprentis (CFA) des métiers du bâtiment de Brétigny-sur-Orge (91) livré en septembre 2016 arbore une architecture aussi singulière, c'est pour une raison précise : " la valorisation de ses occupants ", comme l'explique l'équipe d'archi5 en charge du projet, ajoutant qu'ils ont souhaité " réaliser un bâtiment aussi efficace qu'humain, aussi rationnel que généreux ". De manière à offrir un maximum de confort spatial et visuel aux étudiants, la construction est divisée en plusieurs volumes répartis sur toute la parcelle, en conséquence de quoi l'ensemble évoque davantage un campus qu'un seul et même établissement. Au centre de ce petit village estudiantin, un jardin végétalisé permet d'ailleurs aux usagers d'être en relation constante avec l'extérieur. Un choix audacieux et intelligent, mais qui ne constitue pas l'unique piste exploitée par archi5 pour proposer aux apprentis les locaux qu'ils méritent. Alternant constructions en béton revêtu de briques de parement et édifices en métal habillé d'un bardage inox recuit brillant, le CFA affiche ainsi une esthétique plurielle " due autant aux principes constructifs qu'aux matériaux employés ", permettant de condenser l'ensemble du programme " comprenant des ateliers, des bureaux mais aussi un vaste gymnase et un réfectoire " tout en signifiant la spécificité de l'enseignement dispensé à ses usagers. " La générosité que nous avons voulu insuffler au projet par la qualité des espaces est aussi l'expression de la rationalité ; c'est elle qui rendra le bâtiment durable et utile ", concluent à ce propos les architectes... Intitulé du projet : CFA des métiers du bâtimentLieu : Brétigny-sur-Orge (91)Maîtrise d'ouvrage : BTP-CFA Île-de-FranceMaîtrise d'"uvre : archi5Surface : 8 171 m2Montant des travaux : 11 000 000 ¤ HTCalendrier : Livraison septembre 2016 Photographies : Sergio Grazia Le projet est sélectionné pour les ArchiDesignclub Awards 2018 dans la catégorie Enseignement - Supérieur Pour en savoir plus, visitez le site des ArchiDesignclub Awards et de archi5 
Il y a 7 ans et 194 jours

Nakache & Orihuela Architectes : 10 logements sociaux

Au c"ur du 15e arrondissement de Paris, l'agence Nakache & Orihuela livre un immeuble comprenant dix logements sociaux et un local commercial. Avec son enveloppe homogène, l'édifice, situé à un carrefour peuplé d'architectures aux styles disparates, s'impose comme un nouvel emblème de l'intersection passante. Placé à l'extrémité sud-est d'un îlot triangulaire, la parcelle du 90 rue de la Croix Nivert est cernée au nord et au sud par les rues Lakanal et Mademoiselle, où se trouvait un ancien hôtel en R+1. Pour remplacer l'établissement devenu vétuste, la SIEMP, maître d'ouvrage du projet, mandate en 2014 l'agence d'architecture Nakache & Orihuela pour la construction d'un immeuble d'usage mixte. L'ouvrage de six étages est ainsi constitué au rez-de-chaussée d'un local commercial de 200 mètres carrés largement vitré et de dix appartements sociaux traversants accessibles par une entrée commune côté nord. Les trois premiers niveaux hébergent un studio, deux T2 et quatre T3 ; tandis que les deux derniers, en retrait, accueillent un autre T1 et deux duplex ? un T4 et un T5. Faisant face à des bâtiments de style Haussmannien comme des années 1970, le tour de force de l'opération réside en son intégration discrète mais osée dans ce contexte hétérogène. Pour cela, les architectes ont pris le parti de développer une façade homogène faite en résine de Corian® blanche, enveloppant le volume compact, fuselé, et aux arêtes arrondies. Cette fine peau de 2 centimètres d'épaisseur, agrafée sur un mur de béton, laisse ponctuellement transparaître les loggias des séjours, protégées par des claustras coulissants perforés par des motifs carrés, qui filtrent la lumière et protègent les habitants des regards indiscrets. Les balcons sont également habillés en murs et en sous-face d'un bardage en aluminium mordoré, qui scintille avec le soleil. Posé sur un rez-de-chaussée totalement transparent, l'édifice semble se détacher du sol et flotter au-dessus de la rue. Sa géométrie particulière ainsi que sa couleur claire détonne très fortement dans le quartier, faisant de lui un élément remarquable pour les passants mais aussi les conducteurs. Une réalisation sobre et élégante apportant un vent de fraîcheur à cet arrondissement du sud de la capitale. Pour en savoir plus, visitez le site de Nakache & Orihuela Architectes Photographies : Pierre L'ExcellentIllustrations : Nakache & Orihuela Architectes  
Il y a 7 ans et 205 jours

Silverwood lance le 1er configurateur 3D de bardage bois

Application tablettes et mobiles lancée par Silverwood (Groupe ISB, leader français des produits et solutions bois), Wood Designer est un outil interactif qui permet au particulier de planifier son projet de façade en bois et d'obtenir instantanément un rendu visuel sur sa propre maison. Lorsque le résultat lui plaît, le particulier peut ensuite contacter directement un professionnel, partenaire d'ISB, pour obtenir un devis et passer à la réalisation du projet. Le configurateur intègre : Côté particulier En arrivant sur l'application, le particulier est tout d'abord invité à configurer ses bardages et tasseaux à travers 4 étapes : choix de l'essence, du rendu esthétique (préservation, finition), configuration du profil et finalisation avec les accessoires. Cette première partie permet d'obtenir leur tarif et de préparer pour la suite, la génération du rendu 3D sur le bâtiment. Durant son parcours, le particulier reçoit des conseils et explications techniques de Silverwood et obtient une modélisation 3D instantanée à 180° sur 3 lames. Une fois la solution de revêtement choisie et configurée, il est possible de visualiser le rendu sur son propre projet à l'aide de l'appareil photo de la tablette ou du smartphone. Côté professionnels L'artisan, partenaire d'ISB, accède à la version poseur de l'application par le biais d'une clé d'accès. Elle lui permet d'établir des devis en ligne qui intègrent la pose (il renseigne son taux horaire lors de sa première connexion et le taux fixe pour la fourniture) et d'être mis en relation avec un négoce. Le négoce récupère alors le numéro de dossier et effectue la commande auprès d'ISB, qui a déjà spécialisé une de ses six unités de production sur les commandes émanant de Wood Designer. Grâce à ce parcours de commande, ISB intègre son réseau de partenaires au processus et maintient la place centrale du négoce. Découvrir le site de Wood Designer par Silverwood : https://www.wood-designer.fr
Il y a 7 ans et 207 jours

ChartierDalix et Brenac & Gonzalez et Associés : Lot 07

Dans le cadre de l'édification de la ZAC Clichy-Batignolles à Paris (17e), les agences d'architecture ChartierDalix et Brenac & Gonzalez et Associés ont conçu main dans la main un bâtiment de bureaux de 24 000 mètres carrés sur le Lot 07. Une réalisation mettant en valeur les voies ferrées qui lui font face, vibrant au rythme du ciel et de l'activité des employés qui donnent vie à ses coursives. Façonné par l'activité ferroviaire du nord de Paris, le quartier des Batignolles fait depuis 2001 l'objet d'une reconvertion urbaine. Lancé par l'ancien maire de Paris, Bertrand Delanoë, le projet de la ZAC Clichy-Batignolles, d'une superficie de 43,2 hectares, comprend notamment le fameux palais de justice dessiné par Renzo Piano, le futur cinéma imaginé par l'atelier Berthier, le parc Martin Luther King de 10 hectares réalisé par Jacqueline Osty et de nombreux logements et bureaux ; le tout disposé de part et d'autre des voies de chemin de fer de la gare Saint-Lazare. À l'est de ces derniers sont répartis les locaux administratifs, partiellement construits sur une dalle recouvrant les rails, et à l'ouest les habitations. L'une des particularités de cette opération de restructuration urbaine lourde réside dans son processus de conception et d'édification : chaque lot de la ZAC faisant l'objet d'un partage entre deux architectes. Ce morcellement a été imposé par les concepteurs de la zone, dont l'architecte-urbaniste François Grether et le bureau d'études OGI, spécialisé dans travaux d'aménagement d'espaces publics. Si certains maîtres d'"uvre lauréats des concours lancés pour chaque lot ont séparé leur parcelle en deux, les agences ChartierDalix et Brenac & Gonzalez et Associés ont pour leur part décidé de collaborer et d'ériger à quatre mains un colosse condensant 24 000 mètres carrés de bureaux. Avec un retrait de 10 mètres en son centre, le terrain dissymétrique et étriqué de 125 mètres de long, a amené les architectes à imaginer un bâtiment original de huit étages composé de deux volumes rectangulaires, entre lesquels est placé un vaste hall d'entrée de 150 mètres carrés, dont les niveaux supérieurs se déforment au fil de l'ascension. Depuis la rue, à l'est, la perspective linéaire créée par les bâtiments voisins est brisée par les ondulations de l'ensemble.Ces reliefs accueillent une succession de terrasses et de coursives en rubans, qui bénéficient d'un traitement uniforme grâce à l'utilisation de trois types de panneaux de bardage pleins différents de 1 mètre de large aux stries verticales, réalisés en terre cuite moulée puis émaillée. Grâce à l'alternance de ces éléments, le matériau semble vibrer, avec une couleur changeant au fil de la journée et des points de vue, tantôt bleu, ocre ou blanc. Depuis le vestibule traversant, d'une hauteur de huit mètres sous plafond, les voies ferrées sont mises en scène par le biais d'une large baie vitrée de 11 mètres de long invitant les travailleurs à admirer le passage des wagons. À partir de ce hall majestueux, un escalier monumental en Y dessert à l'est un réfectoire et à l'ouest un jardin suspendu situé entre le R+1 et le R+6, au-dessus des rails. Cet espace vert constitué d'un ensemble de passerelles et d'emmarchements, permet alors aux employés de jouir d'une imprenable vue sur les toits de Paris au quotidien. Une réalisation originale offrant un environnement de travail idéal. Pour en savoir plus, visitez le site de ChartierDalix et de Brenac & Gonzalez et Associés Photographies :1,2,7,8 ) Takuji Shimmura3,8,11 ) Sergio Grazia4,5,9,10,12 ) Stefan Tuchila  
Il y a 7 ans et 212 jours

Avec Silverwood, ISB parie sur le digital pour relancer le bardage

ISB, propriétaire de Silverwood, mise sur sa nouvelle application Wood Designer pour parler à la fois au grand public et aux artisans.  
Il y a 7 ans et 218 jours

BIG : Lego House

Qui, étant petit, n'a jamais rêvé de donner vie à ses constructions Lego® ? L'architecte Bjarke Ingels, l'a fait ! Grâce au jeune prodige de l'architecture, il est désormais possible de se balader à l'intérieur d'un assemblage de briques grandeur nature, la LegoHouse, dans la ville de naissance de l'illustre parallélépipède en plastique : Billund (Danemark). Billund... Si ce nom ne vous dit probablement rien, il est pourtant au centre de l'industrie danoise mais également de toutes nos caisses de jeu ! En effet, combien de générations n'ont-elles pas été bercées au doux toucher des éléments Lego® ? Combien d'architectes n'ont-ils pas vu naître ainsi leur vocation ? Combien de parents n'ont-ils pas haï leur progéniture après avoir marché sur l'une de ces pièces distraitement laissées par terre ?Pour le meilleur comme pour le pire, nous devons tout cela à Ole Kirk Christiansen, menuisier et fondateur de l'entreprise de jouets (qui ne s'appelait pas encore Lego) en 1934 qui, après avoir développé canards, yoyos et autres objets récréatifs en bois, imagine, en 1955, le système d'assemblage éponyme issu de la contraction de " LEg " et " GOdt ", qui signifie à la fois " joue bien " en danois et " j'assemble " en latin. Un tour de maître pour l'entrepreneur qui, grâce à cette invention aussi simpliste que révolutionnaire, a posé sa brique à l'édifice du marché du jouet mondial et plus largement à celui de notre enfance. Ouverte au public depuis deux semaines, la LegoHouse est décrite par Bjarke Ingels, enfant du pays, comme " une manifestation littérale des possibilités infinies de la brique de Lego ". " Littéral ", c'est peu dire... Les 12 000 mètres carrés du bâtiment sont en effet répartis de manière pyramidale, dans 21 blocs rectangulaires dont la volumétrie se fonde sur celle du module en plastique. Une déclinaison qui se retrouve en 3D, donc, mais aussi en 2D par le biais du bardage omniprésent en carreaux de céramique blanche clipsés sur montants métalliques, disposé à l'intérieur comme à l'extérieur. Si la construction réinterprète le jeu qui a fait le succès de la firme, sa conception n'a pourtant rien d'enfantine. En effet, pour maintenir entre elles les 21 masses géométriques, sans utiliser de colonnes en partie centrale, le maître d'"uvre a recours à la technique de la voûte, à grands renforts de 900 tonnes d'acier. Depuis le vaste hall de 2 000 mètres carrés où l'empilement des parallélépipèdes est clairement revendiqué, aucun élément porteur ne trouble donc la vue et les circulations des 250 000 visiteurs attendus chaque année par l'institution. " Cet assemblage est possible en Lego, mais moins en réalité ", livre, un brin amusée, Trine Nissen, chargée des relations presse de la marque " même si cette bévue structurelle a retardé le chantier d'un an. Implanté à Billund, que l'on pourrait qualifier de Ville Lego® " où l'organisation a même installé un aéroport et un parc d'attraction ", l'équipement ludique se devait d'être en partie ouvert à tous, mais aussi à leurs bourses... avec trois restaurants et une boutique. Dès lors, parmi les douze toit-terrasses aménagés, huit sont publiques et accessibles sans ticket d'entrée " dont deux en gradins ", grâce à des circulations qui s'enchaînent en spirales. Ces belvédères sont accessibles depuis le parvis paysagé qui entoure le bâtiment ou par le biais du vaste hall du rez-de-chaussée où un ascenseur mène au sommet du temple Lego® : la plateforme coiffant la Masterpiece gallery, point culminant, clé de voûte structurelle et lieu de départ d'une expérience immersive dans le monde de la petite brique. Accéder à cette salle constitue en effet un chemin initiatique, qui commence au rez-de-chaussée, au centre du forum (après s'être délesté de 199 couronnes, soit un peu moins de 27 euros), avec un escalier monumental suspendu, s'enroulant autour d'un arbre en Lego qui a nécessité de 6,3 millions de pièces, 24 350 heures de travail et 3 ans de montage par des petites mains. Une fois arrivés en haut, dans cet espace dont les oculi vitrés s'inspirent des huit excroissances rondes du fameux pavé, les visiteurs découvrent les créations les plus déjantées des fans de Lego®, surnommés AFOLs " comprendre Adult Fan Of Lego®. Il dessert ensuite de manière hélicoïdale quatre aires situées en contrebas, surnommées " zones d'expériences ", dont la couleur fait référence aux teintes historiques du jouet et correspond à une qualité humaine à stimuler : rouge pour la créativité, bleu pour les compétences cognitives, vert pour le développement des liens sociaux, et le jaune pour l'émotion. Dans ces surfaces ouvertes et éclairées par des puits de lumière zénithaux, petits et grands peuvent entre autres créer leurs propres cités, inventer des personnages, développer un film en stop-motion, confronter leurs bolides, dans un décor ponctué d'éléments de mobilier en Corian®, résine composite résistant au temps mais surtout aux enfants ! " Toutes les activités sont liées à notre philosophie selon laquelle le jeu créatif favorise l'innovation. La LegoHouse nous permettra d'offrir aux adultes et aux jeunes invités la possibilité de stimuler la créativité et l'apprentissage. " Jesper Vilstrup, directeur général de la LegoHouse Et pour les plus curieux, un espace d'exposition disposé au sous-sol retrace l'histoire de la société et de ses différentes inventions. Finalement, l'illustre système d'assemblage ne mériterait-il pas lui aussi sa place au Panthéon du design, aux côtés des créations de Kaare Klinte, Hans Wegner, Poul Henningsen, ou encore Arne Jacobsen ? Un édifice qui ravira toutes les générations par la qualité de ses espaces et la multitude d'activités qu'elle propose, mais dont la littéralité de composition n'a d'égale que l'omniprésence du marketing. Quand celui-ci dépasse le plaisir de jouer, ce sont une partie de nos souvenirs d'enfance qui s'envolent avec. Pour en savoir plus, visitez le site de BIG et de la LegoHouse Photographies : Iwan Baan (hors photo aérienne ©Kim Christensen)
Il y a 7 ans et 218 jours

BIG : Lego House

Qui, étant petit, n'a jamais rêvé de donner vie à ses constructions Lego® ? L'architecte Bjarke Ingels, l'a fait ! Grâce au jeune prodige de l'architecture, il est désormais possible de se balader à l'intérieur d'un assemblage de briques grandeur nature, la LegoHouse, dans la ville de naissance de l'illustre parallélépipède en plastique : Billund (Danemark). Billund... Si ce nom ne vous dit probablement rien, il est pourtant au centre de l'industrie danoise mais également de toutes nos caisses de jeu ! En effet, combien de générations n'ont-elles pas été bercées au doux toucher des éléments Lego® ? Combien d'architectes n'ont-ils pas vu naître ainsi leur vocation ? Combien de parents n'ont-ils pas haï leur progéniture après avoir marché sur l'une de ces pièces distraitement laissées par terre ?Pour le meilleur comme pour le pire, nous devons tout cela à Ole Kirk Christiansen, menuisier et fondateur de l'entreprise de jouets (qui ne s'appelait pas encore Lego) en 1934 qui, après avoir développé canards, yoyos et autres objets récréatifs en bois, imagine, en 1955, le système d'assemblage éponyme issu de la contraction de " LEg " et " GOdt ", qui signifie à la fois " joue bien " en danois et " j'assemble " en latin. Un tour de maître pour l'entrepreneur qui, grâce à cette invention aussi simpliste que révolutionnaire, a posé sa brique à l'édifice du marché du jouet mondial et plus largement à celui de notre enfance. Ouverte au public depuis deux semaines, la LegoHouse est décrite par Bjarke Ingels, enfant du pays, comme " une manifestation littérale des possibilités infinies de la brique de Lego ". " Littéral ", c'est peu dire... Les 12 000 mètres carrés du bâtiment sont en effet répartis de manière pyramidale, dans 21 blocs rectangulaires dont la volumétrie se fonde sur celle du module en plastique. Une déclinaison qui se retrouve en 3D, donc, mais aussi en 2D par le biais du bardage omniprésent en carreaux de céramique blanche clipsés sur montants métalliques, disposé à l'intérieur comme à l'extérieur. Si la construction réinterprète le jeu qui a fait le succès de la firme, sa conception n'a pourtant rien d'enfantine. En effet, pour maintenir entre elles les 21 masses géométriques, sans utiliser de colonnes en partie centrale, le maître d'"uvre a recours à la technique de la voûte, à grands renforts de 900 tonnes d'acier. Depuis le vaste hall de 2 000 mètres carrés où l'empilement des parallélépipèdes est clairement revendiqué, aucun élément porteur ne trouble donc la vue et les circulations des 250 000 visiteurs attendus chaque année par l'institution. " Cet assemblage est possible en Lego, mais moins en réalité ", livre, un brin amusée, Trine Nissen, chargée des relations presse de la marque " même si cette bévue structurelle a retardé le chantier d'un an. Implanté à Billund, que l'on pourrait qualifier de Ville Lego® " où l'organisation a même installé un aéroport et un parc d'attraction ", l'équipement ludique se devait d'être en partie ouvert à tous, mais aussi à leurs bourses... avec trois restaurants et une boutique. Dès lors, parmi les douze toit-terrasses aménagés, huit sont publiques et accessibles sans ticket d'entrée " dont deux en gradins ", grâce à des circulations qui s'enchaînent en spirales. Ces belvédères sont accessibles depuis le parvis paysagé qui entoure le bâtiment ou par le biais du vaste hall du rez-de-chaussée où un ascenseur mène au sommet du temple Lego® : la plateforme coiffant la Masterpiece gallery, point culminant, clé de voûte structurelle et lieu de départ d'une expérience immersive dans le monde de la petite brique. Accéder à cette salle constitue en effet un chemin initiatique, qui commence au rez-de-chaussée, au centre du forum (après s'être délesté de 199 couronnes, soit un peu moins de 27 euros), avec un escalier monumental suspendu, s'enroulant autour d'un arbre en Lego qui a nécessité de 6,3 millions de pièces, 24 350 heures de travail et 3 ans de montage par des petites mains. Une fois arrivés en haut, dans cet espace dont les oculi vitrés s'inspirent des huit excroissances rondes du fameux pavé, les visiteurs découvrent les créations les plus déjantées des fans de Lego®, surnommés AFOLs " comprendre Adult Fan Of Lego®. Il dessert ensuite de manière hélicoïdale quatre aires situées en contrebas, surnommées " zones d'expériences ", dont la couleur fait référence aux teintes historiques du jouet et correspond à une qualité humaine à stimuler : rouge pour la créativité, bleu pour les compétences cognitives, vert pour le développement des liens sociaux, et le jaune pour l'émotion. Dans ces surfaces ouvertes et éclairées par des puits de lumière zénithaux, petits et grands peuvent entre autres créer leurs propres cités, inventer des personnages, développer un film en stop-motion, confronter leurs bolides, dans un décor ponctué d'éléments de mobilier en Corian®, résine composite résistant au temps mais surtout aux enfants ! " Toutes les activités sont liées à notre philosophie selon laquelle le jeu créatif favorise l'innovation. La LegoHouse nous permettra d'offrir aux adultes et aux jeunes invités la possibilité de stimuler la créativité et l'apprentissage. " Jesper Vilstrup, directeur général de la LegoHouse Et pour les plus curieux, un espace d'exposition disposé au sous-sol retrace l'histoire de la société et de ses différentes inventions. Finalement, l'illustre système d'assemblage ne mériterait-il pas lui aussi sa place au Panthéon du design, aux côtés des créations de Kaare Klinte, Hans Wegner, Poul Henningsen, ou encore Arne Jacobsen ? Un édifice qui ravira toutes les générations par la qualité de ses espaces et la multitude d'activités qu'elle propose, mais dont la littéralité de composition n'a d'égale que l'omniprésence du marketing. Quand celui-ci dépasse le plaisir de jouer, ce sont une partie de nos souvenirs d'enfance qui s'envolent avec. Pour en savoir plus, visitez le site de BIG et de la LegoHouse Photographies : Iwan Baan (hors photo aérienne ©Kim Christensen)
Il y a 7 ans et 218 jours

BIG : Lego House

Qui, étant petit, n'a jamais rêvé de donner vie à ses constructions Lego® ? L'architecte Bjarke Ingels, l'a fait ! Grâce au jeune prodige de l'architecture, il est désormais possible de se balader à l'intérieur d'un assemblage de briques grandeur nature, la LegoHouse, dans la ville de naissance de l'illustre parallélépipède en plastique : Billund (Danemark). Billund... Si ce nom ne vous dit probablement rien, il est pourtant au centre de l'industrie danoise mais également de toutes nos caisses de jeu ! En effet, combien de générations n'ont-elles pas été bercées au doux toucher des éléments Lego® ? Combien d'architectes n'ont-ils pas vu naître ainsi leur vocation ? Combien de parents n'ont-ils pas haï leur progéniture après avoir marché sur l'une de ces pièces distraitement laissées par terre ?Pour le meilleur comme pour le pire, nous devons tout cela à Ole Kirk Christiansen, menuisier et fondateur de l'entreprise de jouets (qui ne s'appelait pas encore Lego) en 1934 qui, après avoir développé canards, yoyos et autres objets récréatifs en bois, imagine, en 1955, le système d'assemblage éponyme issu de la contraction de " LEg " et " GOdt ", qui signifie à la fois " joue bien " en danois et " j'assemble " en latin. Un tour de maître pour l'entrepreneur qui, grâce à cette invention aussi simpliste que révolutionnaire, a posé sa brique à l'édifice du marché du jouet mondial et plus largement à celui de notre enfance. Ouverte au public depuis deux semaines, la LegoHouse est décrite par Bjarke Ingels, enfant du pays, comme " une manifestation littérale des possibilités infinies de la brique de Lego ". " Littéral ", c'est peu dire... Les 12 000 mètres carrés du bâtiment sont en effet répartis de manière pyramidale, dans 21 blocs rectangulaires dont la volumétrie se fonde sur celle du module en plastique. Une déclinaison qui se retrouve en 3D, donc, mais aussi en 2D par le biais du bardage omniprésent en carreaux de céramique blanche clipsés sur montants métalliques, disposé à l'intérieur comme à l'extérieur. Si la construction réinterprète le jeu qui a fait le succès de la firme, sa conception n'a pourtant rien d'enfantine. En effet, pour maintenir entre elles les 21 masses géométriques, sans utiliser de colonnes en partie centrale, le maître d'"uvre a recours à la technique de la voûte, à grands renforts de 900 tonnes d'acier. Depuis le vaste hall de 2 000 mètres carrés où l'empilement des parallélépipèdes est clairement revendiqué, aucun élément porteur ne trouble donc la vue et les circulations des 250 000 visiteurs attendus chaque année par l'institution. " Cet assemblage est possible en Lego, mais moins en réalité ", livre, un brin amusée, Trine Nissen, chargée des relations presse de la marque " même si cette bévue structurelle a retardé le chantier d'un an. Implanté à Billund, que l'on pourrait qualifier de Ville Lego® " où l'organisation a même installé un aéroport et un parc d'attraction ", l'équipement ludique se devait d'être en partie ouvert à tous, mais aussi à leurs bourses... avec trois restaurants et une boutique. Dès lors, parmi les douze toit-terrasses aménagés, huit sont publiques et accessibles sans ticket d'entrée " dont deux en gradins ", grâce à des circulations qui s'enchaînent en spirales. Ces belvédères sont accessibles depuis le parvis paysagé qui entoure le bâtiment ou par le biais du vaste hall du rez-de-chaussée où un ascenseur mène au sommet du temple Lego® : la plateforme coiffant la Masterpiece gallery, point culminant, clé de voûte structurelle et lieu de départ d'une expérience immersive dans le monde de la petite brique. Accéder à cette salle constitue en effet un chemin initiatique, qui commence au rez-de-chaussée, au centre du forum (après s'être délesté de 199 couronnes, soit un peu moins de 27 euros), avec un escalier monumental suspendu, s'enroulant autour d'un arbre en Lego qui a nécessité de 6,3 millions de pièces, 24 350 heures de travail et 3 ans de montage par des petites mains. Une fois arrivés en haut, dans cet espace dont les oculi vitrés s'inspirent des huit excroissances rondes du fameux pavé, les visiteurs découvrent les créations les plus déjantées des fans de Lego®, surnommés AFOLs " comprendre Adult Fan Of Lego®. Il dessert ensuite de manière hélicoïdale quatre aires situées en contrebas, surnommées " zones d'expériences ", dont la couleur fait référence aux teintes historiques du jouet et correspond à une qualité humaine à stimuler : rouge pour la créativité, bleu pour les compétences cognitives, vert pour le développement des liens sociaux, et le jaune pour l'émotion. Dans ces surfaces ouvertes et éclairées par des puits de lumière zénithaux, petits et grands peuvent entre autres créer leurs propres cités, inventer des personnages, développer un film en stop-motion, confronter leurs bolides, dans un décor ponctué d'éléments de mobilier en Corian®, résine composite résistant au temps mais surtout aux enfants ! " Toutes les activités sont liées à notre philosophie selon laquelle le jeu créatif favorise l'innovation. La LegoHouse nous permettra d'offrir aux adultes et aux jeunes invités la possibilité de stimuler la créativité et l'apprentissage. " Jesper Vilstrup, directeur général de la LegoHouse Et pour les plus curieux, un espace d'exposition disposé au sous-sol retrace l'histoire de la société et de ses différentes inventions. Finalement, l'illustre système d'assemblage ne mériterait-il pas lui aussi sa place au Panthéon du design, aux côtés des créations de Kaare Klinte, Hans Wegner, Poul Henningsen, ou encore Arne Jacobsen ? Un édifice qui ravira toutes les générations par la qualité de ses espaces et la multitude d'activités qu'elle propose, mais dont la littéralité de composition n'a d'égale que l'omniprésence du marketing. Quand celui-ci dépasse le plaisir de jouer, ce sont une partie de nos souvenirs d'enfance qui s'envolent avec. Pour en savoir plus, visitez le site de BIG et de la LegoHouse Photographies : Iwan Baan (hors photo aérienne ©Kim Christensen)
Il y a 7 ans et 219 jours

Lame de bardage en bois reconstitué

Réalisée en bois reconstituée de 16 cm de largeur et 19 mm d'épaisseur, la lame Bardéo De Laméo est destinée au bardage de maisons individuelles, bâtiments collectifs, tertiaires, etc. neufs ou existants.
Il y a 7 ans et 221 jours

Vingt logements bioclimatiques apportent un nouveau souffle à Pantin

EN IMAGES. Dans un quartier faubourien de Pantin (Seine-Saint-Denis) en pleine mutation, l'architecte Benjamin Fleury vient de livrer vingt logements recouverts de bardage bois ajouré qui se démarquent par des loggias bioclimatiques.
Il y a 7 ans et 233 jours

Atelier Kastelic Buffey : Alta Chalet

Au c"ur de Blue Mountains, bourgade canadienne située à deux heures de Toronto, un chalet contemporain imaginé par les architectes locaux de l'Atelier Kastelic Buffey détourne les codes typologiques de ces constructions hivernales. Un projet qui s'intègre parfaitement au paysage enneigé du Grand Nord tout en lui apportant de la contemporanéité. Conçue pour accueillir une famille de cinq personnes, la demeure de plus de 280 mètres carrés répartie sur deux étages prend place à l'extrémité d'une impasse tranquille et arborée. Si la toiture à deux pans de la demeure et son pignon, ainsi que le bardage en pin canadien font écho aux chalets locaux, son enveloppe se détache des lucarnes et autres avant-toits typiques de l'architecture d'altitude. L'organisation spatiale du logement s'en éloigne également, afin de bénéficier pleinement des vues offertes sur les pistes de ski environnantes. L'unique pièce de vie " comprenant cuisine, salon et salle à manger ", est ainsi installée au premier niveau ; tandis que le rez-de-chaussée accueille les quatre chambres, des salles de bain et un sauna. Chaque étage bénéficie en outre de sa terrasse privative, de façon à ce que les résidents puissent profiter du panorama et du grand air à tout moment de la journée. Si l'extérieur joue sur les contrastes entre les façades noires de l'habitation et blanches du garage, l'intérieur est quant à lui monochrome, à l'exception du parquet à larges lames en chêne et de quelques éléments de mobilier réalisés dans la même essence de bois. La clarté des murs amplifie la luminosité procurée par la neige et les rayons du soleil qui pénètrent le lieu par le biais d'une multitude de larges ouvertures rectangulaires. Seul élément chromatique qui tranche avec le reste de l'édifice : la cheminée contemporaine en acier noir, évoquant la dualité chromatique présente à l'extérieur. Un projet combinant architecture vernaculaire et contemporaine, dans lequel on rêve de pouvoir passer de longues soirées d'hiver. Pour en savoir plus, visitez le site de Atelier Kastelic Buffey Photographies : Bob Gundu
Il y a 7 ans et 248 jours

Imerys Toiture sort le grand jeu à Batimat

Avec un stand de plus de 300 m2, organisé autour de ses univers de prédilection (tuiles, bardage, solaire, services, accessoires fonctionnels), Imerys Toitures entend afficher sa marche avant-gardiste dans le domaine de la toiture.
Il y a 7 ans et 249 jours

JAJA Architects : Park 'N' Play

Afin d'accompagner la transformation urbaine de son port, la ville de Copenhague (Danemark) a fait appel à l'agence Danoise JAJA Architects pour réaliser Park 'N' Play, un immeuble de parkings atypique surmonté d'un espace public récréatif et vivant. Situé dans le quartier industriel de Nordhavnen, au nord de Copenhague, ce garage de huit niveaux et d'une capacité de 485 places, arbore une façade animée en acier inoxydable dont la couleur rouille rappelle les constructions locales en brique et contraste avec le vert des végétaux grimpants installés en façade, dans des jardinières en longueur. Au sommet, prend place un terrain de jeux de 130 mètres carrés, accessible par deux larges escaliers extérieurs situés de part et d'autre de l'édifice dont ils longent les parois ajourées. Sur ce vaste toit-terrasse des garde-corps métalliques sinueux font également partie des installations ludiques et sportives.Depuis la rue, les deux circulations extérieures, inspirées du Centre Pompidou de Paris, invitent les piétons à monter admirer la vue sur le port de Copenhague, 26 mètres au-dessus du niveau de la mer. L'ascension est accompagnée par une frise dessinée sur le bardage par l'agence Danoise Rama Studio, représentant d'anciennes figures locales. Ce projet illustre la volonté de la ville de faire bénéficier ses habitants d'espaces de divertissement tout en offrant à un quartier en devenir des bâtiments aux usages mixtes. Outre sa fonction de parking, il aspire à devenir le centre de la vie quotidienne pour les habitants du quartier. Pour en savoir plus, visitez le site de JAJA Architects Photographies : Rasmus Hjortshøj
Il y a 7 ans et 249 jours

La marque QB continue son développement et associe un premier classement : UPEC

Le CSTB a lancé la certification QB fin 2015 pour faciliter la lisibilité des repères de qualité et de performance des produits, services et acteurs de la construction. Deux ans après, la marque continue son essor et intègre le classement UPEC, dédié aux revêtements de sol. Avec plus de 3 400 certificats délivrés à 935 entreprises, QB couvre aujourd'hui toutes les familles de matériaux, produits ou équipements : revêtements de sols ; enduits, mortiers, colles ; traitement de l'eau, canalisations, assainissement, flexibles de raccordement ; profilés de fenêtres, fenêtres de toit ; bardage, couverture et produits connexes ; éléments structuraux préfabriqués en béton ; produits ou ouvrages spécifiques d'isolation thermique ; etc. En lien avec les enjeux du secteur, elle contribue à renforcer le rayonnement du savoir-faire, des outils et des solutions développés par les fabricants qui, de plus en plus nombreux, s'engagent volontairement dans la certification. QB poursuit aujourd'hui ce déploiement au service de la qualité en s'associant au classement UPEC, dédié aux revêtements des sols. Il permet d'apprécier l'adéquation d'un produit à un usage ciblé, en fonction du type de local où il est installé. QB UPEC : une aide au choix Le classement UPEC, associé à la certification QB, donne les informations-clés aux prescripteurs pour les aider à choisir un revêtement de qualité, dont les performances répondent aux exigences spécifiques du local où ils souhaitent le mettre en "uvre. Il se décline autour de 8 catégories de locaux : Habitation Bureaux Gares et Aéroports Commerce Hôtellerie Enseignement Hôpitaux Maisons d'accueil pour personnes âgées Ce classement s'articule autour de 4 lettres repères, chacune correspondant à un domaine de performances certifiées : U (Usure) P (Poinçonnement) E (Eau) C (Chimie) Chaque lettre est associée à un chiffre augmentant avec la sévérité d'usage ou avec le niveau de performance. Ainsi par exemple, dans une salle d'activités de crèche, un produit classé au moins U3P3E2C1 conviendra pour répondre aux sollicitations spécifiques de ce type de local. La certification QB, associée au classement UPEC, peut être complétée par la lettre A+, A++ (acoustique) ou D+ (critères dimensionnels pour une pose à joints minces). Un dispositif de communication soutenu Une forte visibilité sera donnée à la marque QB durant tout le second semestre 2017, notamment avec 3 grands rendez-vous professionnels : le Congrès HLM (24-28 sept.), Batimat (6-10 nov.) et le Salon des Maires (21-23 nov.). Deux campagnes seront déclinéq dans une vingtaine de médias, presse écrite et web : Autour de QB : « QB, une marque, toutes les qualités » « One mark, a thousand qualities » Autour de QB-UPEC : « Une marque, un classement, 4 performances » « One mark, one classification, 4 characteristics » En savoir plus : Le classement UPEC Notice sur le classement UPEC des locaux (Cahiers du CSTB n° 3509) Site QB
Il y a 7 ans et 250 jours

Blee Halligan Architects : Five Acre Barn Hotel

Au c"ur d'une prairie anglaise, loge une ancienne grange réhabilitée et agrandie en chambres d'hôte par l'agence britannique Blee Halligan. La construction détourne l'architecture agricole traditionnelle du comté de Suffolk, situé à l'est du pays, tout en s'inscrivant avec légèreté dans un environnement boisé. L'histoire de la Five Acre Barn House commence avec l'achat et le coup de c"ur d'un couple de Londoniens pour un domaine de 2 hectares et sa maison de campagne en brique de terre crue, situés entre mer et campagne. Bien décidés à transformer la structure en lieu d'accueil, les nouveaux propriétaires décident de la rénovation de la bâtisse d'origine et de la destruction de son extension construite dans les années 1970, tombée depuis en ruine, qu'ils remplacent par une nouvelle aile dans laquelle sont aménagées cinq chambres d'hôte. Érigées sur un plan en L, les deux parties différent par leur matérialité. L'extension est ainsi recouverte d'un bardage en tuile de bois de cèdre, également présent sur la toiture en dents de scie irrégulières, générant des volumes intérieurs uniques, qui varient en fonction des pièces. Avec le temps, le bois de cèdre revêtira une patine argentée et s'intégrera parfaitement dans les alentours verdoyants. Un large passage relie l'ancienne demeure où sont aménagées les parties communes et la résidence des propriétaires, aux cinq chambres doubles dont quatre en mezzanine et une de plain-pied, accessible depuis un sas extérieur bardé de bois noir dans lequel sont également disposés un dressing et une salle de bain.Les portes-fenêtres et les larges ouvertures inondent de lumière ces pièces, tout en donnant l'impression de vivre dans la forêt qui se reflète sur le sol en béton poli, ajoutant simplicité et élégance à l'ouvrage. Cette réalisation s'inscrit dans la continuité du travail de l'agence Blee Halligan, dont les ouvrages sont toujours liés à leur environnement et au paysage. Pour en savoir plus, visitez le site de Blee Halligan Photographies : Sarah Blee
Il y a 7 ans et 250 jours

Parution du Métalmorphoses n°20, la publication d'Arval® by ArcelorMittal Construction France

Métalmorphoses® est la revue éditée par Arval®, l'activité d'ArcelorMittal Construction France dédiée aux solutions de toitures, bardages, planchers et solaires. Elle est écrite en partenariat avec les architectes qui ont rendu réelles leurs dernières innovations au travers de bâtiments tertiaires, publics ou encore résidentiels collectifs.
Il y a 7 ans et 277 jours

David Stanley : Acute Intervention

Pour moderniser son appartement situé au rez-de-chaussée d'une demeure victorienne du quartier de Southwark à Londres (Royaume-uni), l'architecte anglais David Stanley crée une extension graphique et lumineuse bardée de bois brûlé, insufflant ainsi un nouveau souffle à une habitation classique du Royaume-Unis. Cette rénovation répond à un problème très simple : une famille qui s'agrandit dans un lieu de vie trop étroit. Plutôt que de chercher un appartement plus grand, ou bien même une maison, l'architecte David Stanley a préféré développer une extension contemporaine revisitant entièrement la configuration spatiale du foyer d'origine. Le prolongement géométrique et épuré imaginé par David Stanley est revêtu d'un bardage en bois noirci Kebony, qui contraste avec le parement en brique du bâti sur lequel il se greffe. Il héberge une pièce unique au plan rectangulaire reliée au jardin par le biais d'une large baie vitrée occupant l'entièreté de la paroi. L'aménagement intérieur s'inscrit dans la volonté de sobriété et de minimalisme du maître d'"uvre. Ainsi, au sein de cet unique espace de vie salon/salon à manger/cuisine, qui intègre ancienne et nouvelle partie, pas de couleurs vives ou de matériaux détonants : du béton brut au sol et du bois laqué blanc pour la cuisine ou certains murs, et naturel sur les autres ainsi que sur la majestueuse table centrale tout en lignes brisées. " D'emblée, nous voulions que ce réaménagement corresponde aux exigences de notre famille en pleine croissance. Par conséquent, dans le vrai style londonien, la stratégie de développement était "ne pas déplacer mais améliorer", et nous avons transformé la disposition originelle pour créer un grand espace de vie ouvert qui s'étend dans le jardin. " David Stanley, architecte et propriétaire. Au bout du jardin, se trouve également un nouvel ajout du propriétaire : un cabanon en bois à toit plat aux lignes géométriques identiques qui héberge le bureau de l'architecte. Une façon pour le concepteur de dissocier vie de famille et activité professionnelle. Une bonne alternative au déménagement associant architecture traditionnelle victorienne et construction contemporaine éthérée, non sans rappeler le projet BIMBY " Build in my BackYard ", lancé par Benoît Le Foll et David Millet en 2011, visant à densifier les zones pavillonnaires, majoritaires en France, avant de construire de nouveaux logements. Pour en savoir plus, visitez le site de David Stanley Photographies : Adelina Iliev Photography
Il y a 7 ans et 292 jours

Guide de pose des solutions Brise-soleil Terreal

Découvrez le guide de pose des solutions de brise-soleil en terre cuite Terreal. Partie intégrante de la façade, conjuguant confort thermique et apport en lumière naturelle, Terreal propose une large gamme de baguettes terre cuite pouvant être utilisées en brise-soleil, en bardage, en brise-vue?
Il y a 7 ans et 316 jours

Atelier du Pont : Cabane au Cap Ferret

Inspiré par l'architecture du Cap Ferret (33), l'Atelier du Pont réalise une maison de vacances composée de petites cabanes réinterprétant les constructions vernaculaires, pour une meilleure intégration. Un havre de paix au c"ur d'une pinède d'arbousiers, yuccas et pins. Cette résidence secondaire de 330 mètres carrés, dissimulée par une végétation locale luxuriante, est installée sur un terrain en pente orienté vers la mer. Le défi du projet résidait dans la préservation de cet environnement. Pour ce faire, les maîtres d'"uvre ont réalisé plusieurs annexes au lieu d'une unique construction de plus de 300 mètres carrés, rappelant l'architecture des cabanes du cru qui s'intègrent parfaitement à leur milieu. L'ensemble est ainsi composé de quatre volumes parallélépipédiques, certains de plain-pied et d'autres sur plusieurs niveaux pour mieux coller à la topographie du lieu, reliés entre eux par une terrasse en bois où prend place une piscine rectangulaire. Ce matériau se retrouve également en bardage, jouant la mimesis avec la pinède environnante. Le tout est largement percé de grandes baies vitrées, connectant intérieur et extérieur. Dans la plus étendue des quatre parties , située à l'ouest, prennent place les espaces de vie et une chambre, tandis que les autres pièces de nuit sont installées dans les cabanons plus modestes . Le volume central, comprend ainsi une suite parentale située au rez-de-chaussée, au-dessus de laquelle sont positionnés un salon et une cuisine avec vue sur le plan d'eau, en rez-de-jardin. Les deux niveaux, inscrits dans la pente du terrain sont agrémentés d'un escalier maçonné tout en courbes contrastant avec les ouvertures géométriques qui le surplombent qui laissent entrevoir la nature foisonnante. Imaginée pour accueillir une grande famille, le logement permet donc à chacun de bénéficier de son intimité en profitant d'espaces communs pour se retrouver. Un projet biscornu, idéal pour qu'une grande fratrie puisse se relaxer dans le cadre de vie sans égal qu'offre le Cap Ferret. Pour en savoir plus, visitez le site d'Atelier du Pont  Photographies : Takuji Shimmura & Philippe Garcia
Il y a 7 ans et 318 jours

Aalto University Wood : A ? Lava

À l'initiative d'une vingtaine d'étudiants du programme Bois de l'Université d'Aalto, le pavillon A ? Lava a été installé dans la cour du centre d'art d'Annantalo, au c"ur d'Helsinki (Finlande). La structure temporaire se destine à accueillir diverses représentations durant les cinq années à venir. La scène en bois clair carrée et surélevée est surmontée d'une toiture, plus petite, qui reprend la même forme et repose sur trois coins déterminant les limites de l'espace de représentation. Parois et plafond sont entièrement réalisés en lames de bois d'épinette : les murs à clairevoie sont composés de deux couches de lattes verticales, entre lesquelles d'autres, diagonales, sont prises en sandwich. La pose en fibres croisées, qui fait à la fois office de structure et de bardage, crée en outre des jeux de lumière au sol. Cette ombrelle est vouée à recevoir les nombreux numéros proposés par les artistes du centre et leur public. Le tout a été préfabriqué en amont, dans l'atelier du programme Bois de l'Université d'Aalto, puis assemblé sur place. Chaque étape de la réalisation a été décrite et mise en ligne sur un site dédié, offrant à tous l'occasion de suivre le développement du projet architectural et culturel. Une réalisation simple et efficace dédiée à la création et à la représentation qui sera durant 5 ans le théâtre de nombreuses performances. Pour en savoir plus, visitez le site d'A ? Lava  Photographies : Phillip Tidwell
Il y a 7 ans et 326 jours

Un nouvel ouvrage sur le choix du bardage rapporté

Le CSTB a publié un ouvrage pour guider les professionnels du bardage dans le choix du procédé de bardage rapporté.
Il y a 7 ans et 327 jours

5+1AA : Siège BNL BNP Paribas

Imaginé par l'agence franco-italienne 5+1AA, le nouveau siège romain du groupe BNL-BNP Paribas prend place près de la gare de Tiburtina, à l'est de la ville. Avec son revêtement kaléidoscopique et réfléchissant, l'édifice, un brin surréaliste, étonne dans une zone située entre quartiers résidentiels et manufacturiers. Entre les quartiers de Tiburtina et de Pietralata, et autour d'un château d'eau datant des années 1930, les architectes de l'agence 5+1AA réalisent un imposant complexe de 40 222 mètres carrés dédié aux activités de la firme BNL-BNP Paribas, pouvant accueillir plus de 3 000 employés. Grâce à son plan en V et à sa surélevation sur un socle de parkings de 16 000 mètres carrés, ce vaisseau vitré trône fièrement sur cette zone industrielle marquée par la banalité. La composition choisie par les concepteurs est binaire et dépend du point d'observation : depuis la gare de Tiburtina, au sud-est ; ou depuis le district de Pietralata, au nord-ouest. Côté rail, l'usager du réseau ferroviaire longe ainsi une construction facettée et irrégulière faite de lanières horizontales en zigzag " 235 x 50 mètres ", reflétant de manière dynamique le panorama observable depuis le train.Côté rue, cette impression de mouvement s'attenue. Le revêtement ondoyant laisse place à une succession de volumes, plus ou moins en retrait de la façade agrémentée d'escaliers, qui serpentent sur toute sa hauteur et dont la couleur brune contraste avec la peau argentée du bâti. Côté patio, 5+1AA utilise également la teinte cuivrée avec un bardage en céramique. L'enveloppe de ce vaste immeuble puise son inspiration dans divers travaux d'artistes ou de réalisateurs ayant travaillé sur la perception de la réalité, tels que le surréaliste Magritte. " Nous aimons la question du cinéma et la mise en scène des réalités. Le cinéma change les relations entre voir et regarder. Cette notion peut s'appliquer à l'architecture. C'est l'acte de voir qui est très important. " Alfonso Femia, chef de projet Plus qu'un simple siège économique, cette réalisation est un bijou architectural, alliant opacité et transparence, inertie et mouvement, ou encore démesure et poésie, qui, parions-le, contribuera à renforcer le rayonnement de la Ville Éternelle. Pour en savoir plus, visitez le site de 5+1AA Photographies : Luc Boegly
Il y a 7 ans et 334 jours

Incendie de Londres : 181 bardages n'ont pas passé les tests au feu

Les pouvoirs publics britanniques auscultent les bardages de centaines de tours d'habitation. Près de deux-cents échantillons n'ont pas passé les tests de résistance anti-incendie.
Il y a 7 ans et 337 jours

Incendie à Londres : la municipalité a fait pression pour diminuer les coûts

Des medias britanniques affirment que la municipalité locale a fait pression pour diminuer le coût de la rénovation de la Grenfell tower, ravagée par un incendie le 14 juin. La qualité du bardage, notamment, aurait été sacrifiée.
Il y a 7 ans et 337 jours

Grenfell : enquête nationale sur le revêtement des tours au Royaume-Uni

120 bâtiments de grande hauteur ont déjà été identifiés par le gouvernement comme étant revêtus d'un bardage similaire au Reynobond PE d'Arconic, à l'origine de la propagation de l'incendie qui a fait 79 morts, dans la nuit du 13 au 14 juin, à Londres.
Il y a 7 ans et 345 jours

Incendie à Londres : Theresa May lance des tests sur les bardages

RISQUE FEU. Le gouvernement britannique a officiellement reconnu que le bardage était à l'origine de la propagation rapide des flammes lors de l'incendie de la Grenfell tower, à Londres. Des centaines de tests de résistance au feu sont en cours sur des tours d'habitation. En France, un rapport global sur la réglementation incendie dans les bâtiments est attendu d'ici une dizaine de jours.
Il y a 7 ans et 347 jours

Bientôt une marque de qualité pour le bardage en bois

Une marque de qualité pour les bardages devrait bientôt voir le jour. L'occasion de redorer le blason de cette solution de vêture qui a drastiquement chuté ces dernières années.
Il y a 7 ans et 352 jours

La filière bois souhaite promouvoir une marque "bardage qualité"

Le Commerce du Bois a présenté ses orientations stratégiques pour la période 2018-2020. Parmi ses priorités figure la volonté de créer un marquage de qualité pour les bardages bois. Le but : promouvoir l'utilisation de ces solutions et valoriser la filière.
Il y a 7 ans et 352 jours

Incendie d'une tour à Londres : l'ITE en cause ?

Au lendemain de l'incendie meurtrier qui a ravagé la Grenfell tower, tour d'habitation londonienne de 27 étages, tous les regards se portent vers le bardage de l'immeuble. De l'avis de plusieurs experts et témoins, ils sont les raison pour laquelle le bâtiment a brûlé si vite.
Il y a 7 ans et 355 jours

Résidence Unik sur la ZAC Seguin : une façade multi-facettes grâce au bardage Sto

Un terrain de forme triangulaire, un parc à proximité et la Seine en arrière-plan : c'est dans ce cadre verdoyant que s'élève la résidence Unik et sa façade multi-facettes entièrement isolée avec des systèmes Sto.
Il y a 8 ans et 3 jours

BIM sur le bardage bois avec Protac

Le BIM (Building Information Modeling) s'impose aujourd'hui comme le format de référence pour tous les acteurs de la construction, du bâtiment et de l'habitat. PROTAC - le spécialiste des produits bois pour l'habitat et l'aménagement extérieur - l'a bien compris.
Il y a 8 ans et 4 jours

Palforêt présente sa série Q Epsilon aux Gets

Palforêt " association de Palfinger France, Vincent et Faymonville pour une offre de transport forestier " profitera de sa participation au Concours de débardage mécanisé pour présenter la nouvelle série Q des grues Palfinger Epsilon.
Il y a 8 ans et 4 jours

Rieder Smart Elements : öko skin

Les lattes öko skin de la marque Rieder Smart Elements, alliance du béton et de la fibre de verre, offre aux particuliers comme aux professionnels un bardage résistant et durable. Rieder Smart Elements présente cette année, sa nouveauté produit, les lames de bardage öko skin, pouvant être utilisées pour des projets de toute échelle et tout programme.Les lames sont le résultat de l'alliance réussie de deux matériaux connus pour leur grande résistance et leur robustesse : le béton et la fibre de verre. Vendues par palettes de 38,1 m2, elles sont par ailleurs faciles à manier sur le chantier et à monter par des professionnels comme des bricoleurs amateurs. Elles offrent en outre une pose, un remplacement et un entretien réduits et ne nécessitent ni ponçage, ni peinture, ni vernis. Le produit de 13 millimètres d'épaisseur teinté dans la masse est réparti en deux gammes : l'une, Standard (dim.1800 x 147, pour un poids de 7,9 kilogrammes par élément), l'autre, Flex, sur mesure, avec une largeur comprise en 110 et 302 millimètres, et une longueur comprise entre 700 et 2 500 millimètres pour un poids de 26 kilogramme par mètre carré. Cette adaptabilité lui procure une grande flexibilité d'usage mais aussi esthétique, avec trois finitions différentes - mate, métal et métal léger-, et douze couleurs allant de blanc polaire au vert, en passant par la teinte terracotta. Le mélange de deux intensités de sablage différentes rompt l'uniformité de la matière qui conserve cependant l'aspect satiné du béton.Outre sa résistance mécanique, ce produit pouvant être monté à la verticale comme à l'horizontale, est par ailleurs classé A1 (non combustible) d'après la norme DIN 4102. Cette certification assure une protection efficace contre les incendies contrairement aux revêtements en bois ou en PVC. Une lame de béton qui imite le bois à la perfection, sans en avoir les contraintes...Le matériau a d'ores et déjà séduit ses clients et a été choisi pour l'habillage de projets de toute taille, de la barrière de maison à un immeuble d'habitation bostonien réalisé par le cabinet d'architecture ADD Inc. et où pas moins de 3 500 mètres carrés d'öko skin ont été utilisés. Et pourquoi un " ö " ? Tout simplement parce cette lettre utilisée dans plusieurs alphabets latins fait référence à Österreich, ökologisch et ökonomisch, " Autriche ", " écologique " et " économique " en allemand. Pour en savoir plus, visitez le site d'öko skin. À propos de Rieder Smart ElementsL'entreprise familiale autrichienne Rieder Smart Elements, est considérée depuis plus de cinquante ans comme le leader dans le domaine de la recherche de solutions de pointe concernant les éléments en béton. Une part récente de son histoire s'est jouée dans les années 2000 quand son fondateur et dirigeant Wolfgang Rieder découvre une entreprise sur le point de fermer dans la ville allemande de Kolbermoor, également spécialisée dans l'emploi de béton renforcé de fibre de verre. Une fois rachetée, la société présente une révolution dans le secteur du béton : le fibreC (dérivé de l'anglais " glassfibre ", fibre de verre, et de " concrete ", le béton). Ce produit révolutionnaire est lancé en 2004, à la suite d'une étude fondamentale de grande ampleur et à une série d'expérimentations portant sur le béton renforcé par de la fibre de verre. Toujours en recherche d'innovation, la marque tient une partie de sa réussite dans ses collaborations engagées avec des bureaux d'architectes, des jeunes designers, mais aussi grâce à leurs échanges dans les domaines de la fabrication, de la recherche et du développement de produits. Fort de ces partenariats internationaux, la croissance de l'entreprise se poursuit en Europe, en Amérique du Nord et en Australie, et Rieder Smart Elements continue décrire l'histoire du béton. Dans le cadre d'un programme EPD (Environmental Product Declaration), la société Rieder a soumis son processus de production et ses produits en béton armé de fibres de verre à une analyse approfondie de cycle de vie (ACV). Par cette démarche volontaire, la société Rieder Smart Elements a rendu transparent le cycle de vie des produits " allant de l'extraction des matières premières jusqu'à la transformation et finalement au recyclage. Pour les architectes et les constructeurs les données fournissent une base optimale pour la comparaison des produits, par exemple dans le cadre d'une certification HQE de leur bâtiment. Le fabricant répond en outre à la norme EN ISO 14001:2004, le standard reconnu dans le monde entier pour le système de gestion de l'environnement.Ainsi, l'intégration de l'environnement dans la stratégie de l'entreprise est une étape sans alternative pour Rieder Smart Elements qui souhaite se positionner sur le marché de manière innovante et orientée vers l'avenir. öko skin est lauréat des MIAW 2017 dans la catégorie Construction / FaçadePour en savoir plus, visitez le site de Rieder Smart Elements Le choix de la rédactionöko skin est lauréat des Miaw International Awards 2017, dans la catégorie Construction / Façade. Une innovation qui sait tirer parti des qualités techniques des deux matériaux qui la composent : le béton et la fibre de verre, pour une pose verticale ou horizontale à la portée de tous.
Il y a 8 ans et 10 jours

Xavier Veilhan : Studio Venezia

À l'occasion de la Biennale d'art contemporain de Venise, le pavillon français s'offre un nouveau visage, dont la paternité revient à l'artiste plasticien français Xavier Veilhan. Pour ce projet, le lieu devient, le temps du salon, un studio de musique et une sculpture à part entière faisant fusionner les arts. Accompagné de l'artiste Christian Marclay et du critique Lionel Bovier " commissaires du pavillon " Xavier Veilhan réalise un atelier de musique entièrement revêtu de contreplaqué. Des portes au plafond en passant par les murs, ce décor boisé donne un aspect chaleureux à la pièce. Outre le bardage, l'installation est isolée par de la laine de roche, afin d'obtenir une meilleure acoustique, procurant au son une texture plus claire. On observe un intérieur géométrique " inspiré notamment du Merzbau de Kurt Schwitters, une construction habitable de dimension variable constituée d'objets trouvés ", avec des formes brutes et des formes cubistes représentant des instruments disposés un peu partout. Le plafond est quant à lui composé de canons à lumière géométriques en forme de triangles et de losanges, qui illuminent la scène. Ce studio d'enregistrement sera ouvert à une centaine d'artistes du monde entier déjà choisis et dont les noms seront dévoilés peu avant l'inauguration du pavillon et qui pourront jouer devant un public pendant toute la durée de la Biennale. Mêlant classique, rock, ou encore musique électronique, ce lieu d'expérimentation sonore est un repaire pour tout mélomane confirmé souhaitant pratiquer dans un décor à l'acoustique atypique. " C'est un lieu de travail fonctionnel, qui prend la forme d'un environnement très déconstruit [...] la musique m'intéressait par la dimension internationale dont elle est porteuse. Lorsqu'on écoute de la musique, on ne réfléchit pas en termes de nationalité. " Xavier Veilhan Studio Venezia, Biennale d'art contemporain de Venise, jusqu'au 26 novembre 2017, Giardini et Arsenal, Venise (Italie) Photographies : Giacomo Cosua Pour en savoir plus, visitez le site de Xavier Veilhan  
Il y a 8 ans et 10 jours

Isolation et bardage de la première tour de logements à énergie positive

La Tour Elithis Danube, première tour de logements à énergie positive au monde, verra bientôt le jour dans le futur éco quartier Danube, sur d'anciennes friches portuaires proches du centre-ville de Strasbourg. Haute de 16 étages, elle abritera 63 logements pour une surface habitable totale d'environ 4 500 m2. Réalisé par le groupe Elithis (à … Cet article Isolation et bardage de la première tour de logements à énergie positive est apparu en premier sur Planète Bâtiment.