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Il y a 3 ans et 206 jours

Les bénévoles, soutien essentiel de la sauvegarde du patrimoine

Devant l’ampleur de la tâche, il appartient à chacun de se mobiliser pour la sauvegarde du patrimoine. L’action des bénévoles est fondamentale pour répondre à l’enjeu. Guy Sallavuard, Vice-Président – Maisons Paysannes de France, Olivier Lenoir, Délégué général – Union Rempart et Hervé Lancelot, Délégué régional Ile-de-France – Fondation du Patrimoine, répondent à Orianne Masse Voir les vidéos du forum du patrimoine
Il y a 3 ans et 208 jours

Le bois français dans le patrimoine : une fondation engagée

À la suite de l’incendie de Notre-Dame de Paris, la filière forêt bois s’est engagée pour la sauvegarde du patrimoine en créant une fondation: La fondation France bois forêt pour notre patrimoine. Un tour d’horizon de ses actions. Henri de Revel, Délégué de la Fondation France Bois Forêt, Jérome d’Anglejan, Propriétaire de l’Abbaye de Longues – Lauréat 2021 de la fondation France Bois Forêt et Bernard Lechevalier, Rédacteur en chef du magazine Atrium Patrimoine & Restauration répondent à Orianne Masse Voir les vidéos du forum du patrimoine
Il y a 3 ans et 209 jours

La tour du Général Mangin reconstituée

Construite dans le cadre de la préparation de la contre-offensive de Villers-Cotterêts menée par le Général Mangin le 18 juillet 1918, cette tour en bois permettait l’observation sur plusieurs kilomètres des plaines et plateaux du Valois , de la vallée de l’Aisne et de la vallée de l’Ourcq. Bâtie au coeur de la forêt de Retz, elle était haute de 25 mètres et constituée de 8 étages reliés entre eux par des échelles. Disparue après la fin de la guerre, la tour a été reconstituée d’après des documents d’époque à la demande de la Communauté de communes de Retz en Valois. Ouverte au public, en accès libre, la tour du Général Mangin offre à ses visiteurs un contenu muséo-scénographique et un magnifique panorama. Elle est également au centre de 3 sentiers de randonnées. Cette réalisation a reçu en 2020 le prix « Coup de coeur » du concours Forêt, bois et patrimoine, co-organisé par la fondation France bois forêt pour notre patrimoine et le magazine Atrium, patrimoine et restauration.
Il y a 3 ans et 209 jours

Charpentiers sans frontières et le pont de bois du château d’Harcourt

Le château d’Harcourt, dont la construction remonte au XIIème siècle, appartient au Conseil départemental de l’Eure. Cet édifice fortifié présente des vestiges ayant un intérêt majeur pour l’histoire de la Normandie. En 2018, l’association Charpentiers sans frontières a entrepris de reconstruire le pont de bois reliant la basse cour à la partie haute du château. Ce pont de 23 m de long a été reconstitué selon des méthodes ancestrales de charpenterie à la main et les bois sont issus du domaine d’Harcourt. Ce chantier ambitieux a aidé à la sauvegarde de ce savoir-faire et a permis, au travers d’une démarche respectueuse de l’environnement, de dynamiser la visite du lieu. L’association Charpentiers sans frontières a reçu le premier prix 2020 dans la catégorie patrimoine monumental du concours Forêt bois et patrimoine organisé par le magazine Atrium et la fondation France bois forêt pour notre patrimoine. Rencontre avec Martine Saint Laurent, vice-présidente en charge du patrimoine historique de la lecture publique et des archives départementales.
Il y a 3 ans et 209 jours

Les tailleurs de pierre du château de Brie-Comte-Robert

L’engagement des bénévoles de l’association Les Amis du Vieux Château a permis la renaissance d’un témoignage de l’architecture castrale du Moyen Âge à travers le développement d’un espace de médiation culturelle au coeur de la ville. Dans ce contexte, la construction d’une loge des tailleurs de pierre a été récompensée en 2020 par le premier prix, doté de 4 000 euros, dans la catégorie patrimoine et modernité attribué par le jury du prix Forêt, Bois et Patrimoine organisé par le magazine Atrium, patrimoine et restauration et la fondation France Bois Forêt pour notre Patrimoine. Rencontre avec Martine PIECHACZYK présidente de l’association « Les amis du vieux château de Brie-Comte-Robert ».  
Il y a 3 ans et 210 jours

Le forum du patrimoine

Cette année, le Forum du Patrimoine prend la forme d’un plateau TV au cœur du Salon, au stand B59 dans la Delorme. Il comprend un programme de douze émissions, des tables-rondes d’une vingtaine de minutes chacune, animées par des experts reconnus. Elles seront l’occasion de décrypter l’actualité et les grands enjeux du secteur du patrimoine. Il s&rsquo;agit de la seconde édition du Forum du Patrimoine, mis en place par le magazine Atrium patrimoine et restauration et Ateliers d’Art de France et avec le soutien de la Fondation France Bois Forêt pour notre Patrimoine. Jeudi .rich_web_div_block_1_34 ul#Rich_Web_BTimeline-menu { height: 50px; text-align: center; } .rich_web_div_block_1_34 ul#Rich_Web_BTimeline-menu li { position: relative; float: left; list-style: none; margin: 0px; padding: 0px; } .rich_web_div_block_1_34 ul#Rich_Web_BTimeline-menu li a { display: block; text-decoration: none; font-size: 16px; padding: 10px; padding-top: 20px; color: black; font-weight: bold; border-bottom: 5px solid transparent; } section.rich_web_timeline_1_34 {width:100%; position: relative; padding-bottom: 24px; overflow: hidden; } section.rich_web_timeline_1_34:before { position: absolute; content: ''; left: 49.95%; height: 100%; z-index: 4; width: 2px; } section.rich_web_timeline_1_34 div[class*='group'] { text-align: center; font-weight: bold; font-size: 1.2em; letter-spacing: 5px; margin: 25px 0px 25px 4px; } section.rich_web_timeline_1_34 > article { position: relative; margin-bottom: 20px; } section.rich_web_timeline_1_34 > article > div.rich_web_timeline_panel { display: inline-block; 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Les métiers d’art ont le vent en poupe entre reconversions professionnelles et jeunes talents, les besoins en formations sont conséquents. La refonte des diplômes interroge la filière.Olivier Mallemouche, Souffleur de verre, Administrateur et Président de la commission Formation d’Ateliers d’Art de FranceMarion Boisjeol, Responsable de formation à la Maison de la céramique des Pays de DieulefitElie Hirsch, sculpteur, créateur de bijoux et dinandierVoir la vidéo 28 Oct 12 h 00 Les matériaux du patrimoine entre avenir et tradition La restauration du bâti ancien nécessite l’emploi de matériaux souvent traditionnels. Ces matériaux font appel à l’innovation pour leur élaboration dans le respect des techniques de mise en oeuvre...Frédéric Létoffé, Vice-président du GMHJérome Carraz, Responsable de l’institut de la charpente et construction boisOlivier Dupont, Directeur adjoint du Centre technique des matériaux naturels de construction (CTMNC)Voir la vidéo 28 Oct 16 h 00 Plan de relance, commande publique: quelles perspectives pour le patrimoine ? Suite à la crise sanitaire et son impact sur le secteur des métiers d’art, le plan de relance gouvernemental sera-t-il suffisant et adapté pour répondre aux enjeux économiques des professionnels.Daniel Pelegrin, Ebéniste, Administrateur et Président de la commission Patrimoine d’Ateliers d’Art de France Christian Laporte,  Architecte du Patrimoine Président de l’association des Architectes du PatrimoineChristophe Degruelle, Vice-Président de l’Assemblée des communautés de France (ACF)  en charge de la culture et Président de Blois Agglopolys Voir la vidéo 28 Oct 17 h 00 Le bois français dans le patrimoine : une fondation engagée Suite à l’incendie de Notre Dame de Paris, la filière forêt bois s’est engagée pour la sauvegarde du patrimoine en créant une fondation: La fondation France bois forêt pour notre patrimoine. Un tour d’horizon de ses actions.Henri de Revel, délégué de la Fondation France Bois ForêtJérome d’Anglejan, propriétaire de l’abbaye de Longues lauréat de la fondation FBFBernard Lechevalier, rédacteur en chef du magazine AtriumVoir la vidéo let pages = 1; let count = 15; let showType = ""; // loadMore if(showType == "Load More"){ document.getElementById('loadMore1_34').onclick = createLoadMore; } var counter = 1; function createLoadMore(){ if(counter == pages){ jQuery("#loadMore1_34").hide(); } if(showType != "Load More"){ return; } var allTimeLines = document.querySelectorAll("article[data-tim='rw_tim']"); var array = []; for(var i=0; i 1) { str += 'Prev'; } // Show all the pagination elements if there are less than 6 pages total if (pages < 6) { for (let p = 1; p 2) { str += '1'; if (page > 3) { str += '..'; } } // Determine how many pages to show after the current page index if (page === 1) { pageCutHigh += 2; } else if (page === 2) { pageCutHigh += 1; } // Determine how many pages to show before the current page index if (page === pages) { pageCutLow -= 2; } else if (page === pages-1) { pageCutLow -= 1; } // Output the indexes for pages that fall inside the range of pageCutLow // and pageCutHigh for (let p = pageCutLow; p pages) { continue } active = page == p ? 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Elle est assurée par de nombreux et divers acteurs pour répondre à une forte demandeBenoît Melon, directeur de l’école de ChaillotPhilippe Tourtebatte, formateur aux Maisons paysannes de FranceYann de Carné, président du GMH 29 Oct 12 h 30 La ville historique et durable Revitaliser les coeurs de ville est un enjeu majeur pour préserver notre cadre de vie. Ces actions doivent intégrer écologie, patrimoine et économie locale pour répondre aux attentes des habitants.Laurent Mazurier, directeur de Petites Cités de CaractèreMartin Malvy, ancien ministre, président de sites et citésFabien Sénéchal, Architecte des bâtiments de France, président de l’ANABF 29 Oct 16 h 00 Les labels : valoriser le patrimoine et les métiers d’art dans les territoires Dans un contexte de généralisation du commerce en ligne, les labels permettent d’identifier la qualité et l’éthique des produits. Néanmoins, leur multiplication peut brouiller le compréhension du consommateur. Qu’en est-il vraiment?Sophie Guyot, Ennoblisseur textile et Administratrice d’Ateliers d’Art de France Françoise Gatel, Sénatrice d’Ille-et-Vilaine et Présidente de Petites Cités de Caractères de France Jean-Pierre Lebureau, Ornemaniste et membre de la commission Patrimoine d’Ateliers d’art de France  29 Oct 17 h 00 Notre-Dame de Paris : mobilisation d’une filière autour de la restauration de la charpente A la suite de l’incendie de Notre Dame de Paris, les compagnons du devoir ont l’intuition d’un projet de maquette de la charpente à l’échelle 1/20. Ce projet pédagogique mené en collaboration avec l’école de Chaillot a débouché sur une exposition passionnante. Cette manifestation présentée en juillet dernier au Grand Palais éphémère à Paris devrait entamer prochainement une tournée nationale.François Auger, architecte du Patrimoine et compagnon du devoirUn compagnon du devoir ayant participé au chantierVéronique villaneau, architecte du patrimoine 29 Oct 18 h 00 Le concours VMF AAF Depuis 2013, VMF et AAF récompensent chaque année  un professionnel de la restauration du patrimoine en aidant financièrement son projet d’investissement ou de développement.Aude Tahon, présidente de Ateliers d’art de FrancePhilippe Toussaint, président de VMF M. de Vitton,  lauréat 2021 let pages = 1; let count = 15; let showType = ""; // loadMore if(showType == "Load More"){ document.getElementById('loadMore2_67').onclick = createLoadMore; } var counter = 1; function createLoadMore(){ if(counter == pages){ jQuery("#loadMore2_67").hide(); } if(showType != "Load More"){ return; } var allTimeLines = document.querySelectorAll("article[data-tim='rw_tim']"); var array = []; for(var i=0; i 1) { str += 'Prev'; } // Show all the pagination elements if there are less than 6 pages total if (pages < 6) { for (let p = 1; p 2) { str += '1'; if (page > 3) { str += '..'; } } // Determine how many pages to show after the current page index if (page === 1) { pageCutHigh += 2; } else if (page === 2) { pageCutHigh += 1; } // Determine how many pages to show before the current page index if (page === pages) { pageCutLow -= 2; } else if (page === pages-1) { pageCutLow -= 1; } // Output the indexes for pages that fall inside the range of pageCutLow // and pageCutHigh for (let p = pageCutLow; p pages) { continue } active = page == p ? 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Néanmoins, les flux  se concentrent sur quelques lieux. Comment éviter la sur-fréquentation et mieux répartir cette manne économique ?Laurent Mazurier, directeur de Petites cités de caractère  Marika Arabi-Onnela, réseau des Grands sites de France 30 Oct 12 h 00 Le patrimoine vecteur de lien social Le patrimoine est un élément essentiel du cadre de vie matériel et immatériel. Sa préservation permet la création d’un environnement favorable et sa sauvegarde mobilise des acteurs bénévoles ou professionnels tissant ainsi des liens sociaux.Olivier Lenoir, délégué général union RempartValérie Charollais directrice fédération des CAUE 30 Oct 15 h 00 Les bénévoles soutien essentiel de la sauvegarde du patrimoine Devant l’ampleur de la tâche, il appartient à chacun de se mobiliser pour la sauvegarde du patrimoine. L’action des bénévoles est fondamentale pour répondre à l’enjeu.Guy Sallavuard vice-Président Maisons paysannes de France Olivier Lenoir, délégué général union RempartHervé Lancelot délégué régional IdF Fondation du Patrimoine 30 Oct 17 h 00 Le patrimoine à l’heure du numérique Relevés, applications, réalité augmentée… le patrimoine s’empare des nouvelles technologies pour investir de nouveaux horizons.Farès Khima, Architecte du Patrimoine Valérie Charollais directrice fédération des CAUEArt Graphique et patrimoine (intervenant à définir) 30 Oct 17 h 50 Cloture du Forum de patrimoine Aude Tahon, Présidente d’Ateliers d’art de FranceBernard Lechevalier, rédacteur en chef du magazine Atrium let pages = 1; let count = 15; let showType = ""; // loadMore if(showType == "Load More"){ document.getElementById('loadMore3_88').onclick = createLoadMore; } var counter = 1; function createLoadMore(){ if(counter == pages){ jQuery("#loadMore3_88").hide(); } if(showType != "Load More"){ return; } var allTimeLines = document.querySelectorAll("article[data-tim='rw_tim']"); var array = []; for(var i=0; i 1) { str += 'Prev'; } // Show all the pagination elements if there are less than 6 pages total if (pages < 6) { for (let p = 1; p 2) { str += '1'; if (page > 3) { str += '..'; } } // Determine how many pages to show after the current page index if (page === 1) { pageCutHigh += 2; } else if (page === 2) { pageCutHigh += 1; } // Determine how many pages to show before the current page index if (page === pages) { pageCutLow -= 2; } else if (page === pages-1) { pageCutLow -= 1; } // Output the indexes for pages that fall inside the range of pageCutLow // and pageCutHigh for (let p = pageCutLow; p pages) { continue } active = page == p ? 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Il y a 3 ans et 214 jours

EFB : le béton entre les mains des futurs experts de la construction

Sara Al Haj Sleiman, vainqueur du prix RSE et Christian Marcelo Martín, lauréat de la catégorie innovation technologique [©EFB] La fondation Ecole française du béton (EFB) souhaite valoriser et soutenir toutes les démarches améliorant la connaissance et l’utilisation du béton. A l’occasion du 13e&nbsp;Symposium international de doctorat, un congrès de spécialistes, deux prix EFB ont été décernés sur deux catégories&nbsp;: la “RSE” et l’“innovation technologique”. L’EFB et la RSE&nbsp;: un enjeu majeur Ainsi, Sara Al Haj Sleiman a remporté le prix dans la catégorie “RSE”. Elle est diplômée&nbsp;en&nbsp;ingénieriegénie civil de l’Université libanaise et de l’Ecole centrale de Nantes en 2018. Dans le cadre de sa dernière année de doctorat, elle a travaillé sur une thèse intitulée “Convention industrielle de formation par la recherche” (Cifre)&nbsp;associant l&rsquo;Atilh à l&rsquo;Ecole centrale de Nantes. Dans cette thèse, elle développe un nouveau protocole d’évaluation de la résistance du béton à l’écaillage par le gel/dégel. Lire aussi : L&rsquo;EFB et ESTP lancent le parcours de formation “ACV Digital Learning” Ainsi, cette idée a permis d’optimiser les essais en laboratoire des industriels du béton. Sara Al Haj Sleiman s’est basée sur une démarche déjà existante.&nbsp;«&nbsp;Dans cette thèse, nous avons montré le manque de fiabilité des protocoles actuels,&nbsp;explique l’intéressée. Ceci nous a conduits à proposer une nouvelle évaluation de la résistance du béton à l’écaillage. En imposant un cycle de gel/dégel plus pertinent. Le choix s’est basé sur les conditions climatiques réelles auxquelles le béton est le plus souvent exposé.&nbsp;» L’innovation technologique à l’honneur La catégorie de l’innovation technologique a aussi trouvé son vainqueur autour d’une technique de stockage de CO2. Son nom&nbsp;: Christian Marcelo Martín, ingénieur génie civil. Diplômé de l’université de Buenos Aires,&nbsp;il&nbsp;a&nbsp;fait&nbsp;son doctorat en partenariat avec l’Ecole des Ponts ParisTech. En effet,&nbsp;il a présenté son travail&nbsp;sur les interactions entre les micro-billes de verre creuses et le ciment dans des coulis destinés aux puits de conservation. Lire aussi : Baume Innovation Award 2022 : participez-y ! Christian Marcelo Martín a élaboré cette démarche pour répondre aux enjeux environnementaux.&nbsp;«&nbsp;Dans un contexte de crise climatique, la capture et le stockage de dioxyde de carbone sont nécessaires. Et imposent des solutions pour garantir qu’il ne s’échappe pas. J’ai donc pu développer mon travail de recherche complet sur l’influence globale des micro-sphères de verres creuses dans les ciments utilisés pour la réalisation des puits de stockage de CO2.&nbsp;»
Il y a 3 ans et 214 jours

Toulouse : Emmaüs redonne vie au château oublié de Ginestous

Le château oublié de Ginestous fait partie des cinq projets particuliers récompensés par la Fondation du patrimoine. Acheté par Emmaüs, il est en cours de restauration.
Il y a 3 ans et 216 jours

En 25 ans, 35.000 édifices sauvés par la Fondation du patrimoine

"D'un budget de 40 millions d'euros il y a cinq ans, nous sommes passés à 70 millions en 2020 et espérons atteindre les 80 millions en 2021, même si c'est insuffisant au regard de la tâche à accomplir", dit-il."Notre équivalent en Angleterre, le +National Trust+ (national trust for places of historic interest or natural beauty,ndlr) a un budget de 300 millions d'euros", relève-t-il.M. Poitrinal se réjouit néanmoins de voir "l'important essor pris par la fondation depuis cinq ans", grâce notamment,dit-il, à la Mission Patrimoine pour la sauvegarde du patrimoine en péril, confiée à l'animateur Stéphane Bern, et à la souscription pour Notre-Dame.Une enquête d'impact réalisée par le cabinet Pluricité, à l'occasion des 25 ans de la fondation, fait état de "retombées économiques liées au tourisme culturel" en général de "15 milliards d'euros ", représentant directement ou indirectement "500.000 emplois" en France.Si "l'Etat s'occupe bien de ses grands palais nationaux", c'est la fondation qui reçoit "les appels au secours des petites communes, des associations ou des particuliers, soucieux de sauver leur patrimoine local" et qui concentrent "80% de l'activité de la fondation" à travers ses moyens que sont notamment le mécénat et la collecte de dons, selon M. Poitrinal.L'enquête d'impact révèle qu'"un quart des bâtiments" historiques français sont "en mauvais état" alors que 46.000 sites étaient classés "monuments historiques" en 2020 et "40 autres inscrits au patrimoine mondial de l'Unesco".86% des Français se disent "attachés à ce patrimoine" et 31% ont déjà fait un don pour sa conservation, tandis que 74% visitent des sites patrimoniaux chaque année, souligne la même enquête.Chapelles, petits théâtres, musées, ponts, phares, lavoirs, locomotives ...: avec un réseau de 800 bénévoles, la fondation, vient notamment en aide à nombre de villages et communes de moins de 2.500 habitants. Sa plateforme de "crowdfunding" collecte actuellement des dons sur internet pour plus de 2.700 projets de restauration.
Il y a 3 ans et 216 jours

1 € apporté par la Fondation du patrimoine génère 21,17 € de retombées économiques

1 € apporté par la Fondation du patrimoine génère 21,17 € de retombées économiques selon une étude sur « l&#8217;empreinte économique » de son activité en faveur du patrimoine non protégé. L’activité économique générée par la Fondation lors de l’année 2019 est estimée à 1 157 774 763 € dont 321 187 307 € de retombées économiques directes, et dont un peu plus de la moitié du montant se transforme en retombées induites : salaires versés par les entreprises réalisant les travaux et la Fondation du patrimoine qui sont réinjectés dans l’économie par la consommation des salariés, revenus générés par l’exploitation des sites et les dépenses des visiteurs consécutives aux travaux réalisés, salaires versés par les acteurs économiques, issues de l’exploitation et des retombées touristiques et qui sont, à leur tour, réintroduits dans l’économie. L&rsquo;étude montre également que la Fondation du patrimoine a contribué, en 2019, à créer ou préserver 15 370 emplois en équivalent temps plein (ETP): 5120 emplois ETP au sein des entreprises réalisant les travaux et de la Fondation, 2037 emplois ETP indirects (fournisseurs, sous-traitants et prestataires des entreprises de travaux) et 8213 emplois ETP induits.
Il y a 3 ans et 216 jours

Reconstruction de l’Ermitage de la petite abbaye

Cette réalisation a reçu en 2020 le 1er prix de la « Catégorie patrimoine de proximité » du concours Forêt, bois et patrimoine, co-organisé par la fondation France bois forêt pour notre patrimoine et le magazine Atrium, patrimoine et restauration.  Atrium est parti à la rencontre de Véronique AVIAT, propriétaire de l&rsquo;ermitage.  Ce bâtiment du 16ème / 17ème siècle a été entièrement rénové. &nbsp;
Il y a 3 ans et 217 jours

Démolition de l'unité de construction numéro 1 à l'entrée de Lyon

Sur le flanc de l'immeuble haut de 46 mètres, la démolition en cours a fait apparaître une mosaïque de couleurs pastel: des pans de murs et leurs tapisseries, vestiges d'anciens intérieurs.Des blocs de pierre, retenus en l'air par l'entrelacs des câbles qui armaient les dalles à chaque niveau, complètent cet étrange tableau."L'unité de construction numéro 1" (UC1) fut inaugurée en 1959 au sein d'un "grand ensemble" de 2.600 logements, le plus important parmi six édifiés à l'époque à travers la France du baby-boom - Angers, Boulogne-Billancourt, Bron, Le Havre, Pantin et Saint-Étienne.Conçu par des architectes disciples du Corbusier, l'UC1 incarne à l'époque tout le confort moderne. Sa façade polychrome n'a pas encore été ravalée en gris, le périphérique ne passe pas encore devant et les alentours sont champêtres.Six décennies plus tard, le quartier est devenu "prioritaire" pour la politique de la ville et la démolition du "paquebot", enclavé dans un noeud routier, est le symbole d'un projet de renouvellement urbain.GrignotageLa pelle mécanique, dont le bras équipé d'une pince se déploie jusqu'au 14e et dernier étage, a déjà fait tomber une montagne de gravats en "grignotant" le bâtiment de 230 mètres de long, sur 12 de large, par un côté.Travail délicat: des brumisateurs diffusent de la vapeur d'eau pour absorber la poussière et une grue déploie un immense tapis pour limiter les projections."On pourrait aller plus vite mais au prix de plus grandes nuisances pour le voisinage", souligne Marjorie Dumont, responsable de l'opération chez Lyon Métropole Habitat (LMH), bailleur social propriétaire des lieux.Le chantier a débuté en juillet 2020, quand les derniers des 800 habitants sont partis, et doit s'achever l'été prochain, une fois les fondations remblayées. Ses 10,5 millions d'euros de budget sont financés aux deux-tiers par l'Anru, le reste par LMH et la Métropole de Lyon.Avant de s'attaquer aux 40.000 tonnes de béton, il a fallu reloger les habitants. Quatre ans ont été nécessaires. La moitié des ménages a choisi de rester à Bron.Il a fallu ensuite désamianter. Puis "déconstruire" les appartements de façon "sélective", en démontant douches et éviers, étagères et radiateurs, portes et placards, cloisons et fenêtres: 1.200 tonnes de matériaux (bois, verre, faïence, métaux) à récupérer.LumièreEn montant aujourd'hui dans les étages, ouverts aux quatre vents, on trouve encore des traces de vies passées: des photos sur un mur, des tags sur l'ascenseur, le vide-ordures, un interrupteur... Dans son nouveau logement, une nostalgique de l'UC1 a exigé de retrouver un interrupteur exactement au même endroit.Mis à nu, ces espaces habités durant des décennies semblent brièvement renaître quand la lumière du soleil les traverse, matin et soir.Mais l'heure est à la démolition. Un dynamitage classique était impossible en raison de la proximité du périphérique. D'où le recours à la pelle mécanique, qui aura fini sa tâche au printemps.L'opération ne sonne pas forcément le glas du modèle, d'autant que la demande de logements sociaux est forte sur le Rhône, souligne-t-on chez LMH."On ne peut pas le balayer d'un revers de main en disant qu'il faut tout démolir. Pour beaucoup, l'UC1 était un moyen de se rapprocher de la ville, grâce à de faibles loyers", estime Paul-Antoine Lacombe, qui dirigeait l'agence locale du bailleur durant les relogements.L'UC7 a déjà disparu dans les années 2000. Mais sur les 2.600 appartements initiaux des huit barres édifiées à Bron, 1.750 sont encore occupés. "Notre volonté, c'est de les rénover car ils restent utiles socialement", indique-t-il.
Il y a 3 ans et 217 jours

Tout Faire Matériaux a réuni ses adhérents pour poser les fondations de Tout Faire 2025

Depuis 30 ans, le groupement s'est consolidé sur des fondements solides, ancrés dans des valeurs familiales et de proximité. Cette année, et à l'occasion de ce congrès, il a été question du futur de Tout Faire Matériaux et d'un projet ambitieux de co-construction.Pour avancer ensemble, cinq chantiers ont été présentés par Cédric Fabien, président de Tout Faire Matériaux et de Charles Gaël Chaloyard, directeur général de Tout Faire Matériaux. Ils ont été ensuite challengés par les 350 adhérents présents lors d'ateliers de travail.1. Repartir en conquêteIl est essentiel pour le groupement et ses adhérents d'aller attirer de nouveaux talents pour être plus forts ensembles : authenticité, ruralité, et passion client sont autant de valeurs intrinsèques au groupement et sur lesquelles il s'appuie pour séduire ces nouveaux collaborateurs.De nombreux défis attendent la profession du négoce dans les 10 années à venir : 50% des adhérents vont changer d'actionnaire principal. Ce sont de nouveaux et futurs adhérents qu'il faudra accompagner et aider à se former pour pérenniser le secteur du négoce.La diversité géographique de ses adhérents est une des plus grandes fiertés du réseau. C'est pourquoi, il est essentiel d'investir l'intégralité du territoire français et d'accroître le nombre d'adhérents. Des offres de formation et le développement des concessions permettront d'atteindre cet objectif.2. Tout Faire s'entoure de nouvelles forces vivesAvec de nouveaux partenaires, Tout Faire souhaite davantage montrer ce qu'il fait et mettre en avant ses adhérents, l'âme humaine du groupement. La présence accrue sur les nouveaux canaux de communication tend à répondre à ce besoin. Cette nouvelle stratégie insufflée et incarnée par le nouveau binôme dirigeant s'accompagne également de la refonte de l'univers graphique du groupement, et notamment de son logo.3. Le concept magasin au cœur de la relation de proximitéAvec une croissance fulgurante, le e-commerce tend à rabattre les cartes des habitudes de consommation, et notamment celles en magasin. Ce dernier représentait 9% en 2019 et 13% en 2020 selon la FEVAD (Fédération E-commerce et Vente À Distance). C'est pourquoi, Tout Faire Matériaux a réalisé une enquête auprès de 300 clients professionnels et particuliers afin d'être au plus proche de leurs attentes. Le format hybride entre le e-commerce et le concept magasin semble alors être la meilleure solution pour répondre aux usages des consommateurs.La transformation des magasins est nécessaire pour obtenir une plus grande homogénéité et répondre aux besoins de demain. Le magasin Tout Faire 2025 sera construit par module et se concentrera sur davantage de conseils d'expertise et d'humain au service du client, avec plus de services, plus de choix et plus de stocks.4. Lancement de nouveaux servicesLes adhérents du groupement se concentrent sur des services et des produits innovants à haute valeur ajoutée. Ils souhaitent s'immiscer sur de nouveaux marchés tels que celui des matériaux biosourcés, issus de la matière organique renouvelable, et du marché bas carbone, qui sont autant de pistes à développer et à préempter.L'expertise en rénovation énergétique doit être renforcée et, demain, l'ambition est de transformer en vitrine énergétique l'ensemble des points de vente Tout Faire Matériaux.Les services pour faciliter et développer la relation avec ses clients restent également au centre des réflexions avec des points de vente qui embrassent le tournant digital et qui répondent aux nouveaux modes de consommation comme le Box & Collect.5. Améliorer la performance collectiveCette ambition est la force du groupement. C'est ensemble que le groupement consolidera sa position de leader. Il est ainsi essentiel de renforcer le sentiment d'appartenance aux valeurs uniques de Tout Faire de chaque adhérent en s'appuyant encore davantage sur l'authenticité, la passion client et le sentiment de famille qui fondent le groupement.C'est pourquoi, des outils de communication, de simplification et de transmission d'infos ont été développés au sein du groupement. Des rendez-vous plus réguliers sous forme de Matinale info, présentés par Cédric Fabien et Charles Gaël Chaloyard, ou encore un nouveau réseau social interne et des webinaires thématiques permettent d'aller plus loin dans la compréhension des métiers et des évolutions du marché. Demain, l'information sera mutualisée pour, ensemble, être plus fort et plus agile.Ces projets ambitieux dessinent les lignes de Tout Faire 2025.Ce congrès a également été l'occasion de célébrer les adhérents qui ont marqués l'année lors d'une soirée de gala avec une remise de prix pour encourager et saluer :le meilleur aménagement de Point de Ventele couragele meilleur redressementla transformation digitalela rénovation énergétiquela jeune espoirle Grand Prix 2021Ces quelques jours, tournés vers le futur de Tout Faire Matériaux, ont permis à tous de s'engager et de renforcer les liens autour d'un seul et même objectif : celui de construire, ensemble, le négoce de demain.
Il y a 3 ans et 218 jours

Depuis sa naissance, la Fondation du Patrimoine aurait sauvegardé plus de 30.000 monuments

PATRIMOINE. Selon son président, la Fondation du Patrimoine aurait "sauvé" plus de 35.000 édifices en péril. Mais l'organisation juge ses ressources financières actuelles insuffisantes "au regard de la tâche à accomplir". D'après une enquête, quasiment 1 Français sur 3 a déjà fait un don à un projet de restauration.
Il y a 3 ans et 224 jours

Systèmes de toiture pour les bâtiments en bambou

Le bambou est un matériau très pertinent pour la réalisation d&#8217;une charpente de toiture. C&#8217;est aussi l&#8217;élément architectural le plus fondamental des bâtiments en bambou (avec les fondations). Des toits bien conçus et construits jouent un rôle clé dans la protection d&#8217;une structure en bambou tout en ajoutant à la beauté et à l&#8217;expérience de l&#8217;espace. [&#8230;]
Il y a 3 ans et 224 jours

Un cadre pour réemployer des produits de déconstruction en toute sécurité

Photo&nbsp;: AdobeStockUn atelier de recherche de la Fondation Bâtiment Énergie, coordonné par le CSTB et impliquant l'institut MECD pour l'animation d'un projet sur le réemploi, a élaboré huit guides pour fiabiliser les performances résiduelles de huit familles de produits en vue de leur réemploi sur de nouveaux chantiers après leur dépose. Le secteur de la construction étant très consommateur de ressources et producteur de déchets, il est forcément sensible à l'économie circulaire. Le CSTB s'attache, avec ses partenaires, à faire progresser le réemploi des matériaux dans le bâtiment. Des filières de recyclage de déchets de déconstruction dans de nouveaux produits se mettent progressivement en place et, aujourd'hui, c'est le réemploi de composants qui connaît un réel engouement. Lire la suite Rapport Responsabilité Sociétale des Entreprises Au travers de ce premier rapport RSE, articulé autour de trois enjeux majeurs, le CSTB souhaite partager ses actions RSE - qu'elles concernent ses missions ou son fonctionnement interne - et ses projets phares de l'année 2020.
Il y a 3 ans et 225 jours

Patrimoine et Territoires au Salon International du Patrimoine Culturel 2021

La 26ème édition du Salon International du Patrimoine Culturel se tiendra du 28 au 31 octobre 2021, au Carrousel du Louvre à Paris. Près de 350 exposants, des professionnels de la restauration et de la conservation du patrimoine, associations de sauvegarde du patrimoine, fournisseurs du patrimoine bâti, collectivités locales, créateurs de nouvelles technologies et acteurs innovants, sont attendus. Le thème choisi : « Patrimoine et Territoires », résonne particulièrement dans la période actuelle, comme en témoignent le succès touristique rencontré par les territoires français habituellement peu fréquentés ou encore l’appétence accrue pour la consommation locale, durable et responsable dans laquelle s’inscrivent tout particulièrement les professionnels des métiers d’art et du patrimoine. Une riche programmation de conférences, démonstrations et remises de prix rythme les 4 jours de l’événement. Cette année, en plus du programme habituel, le Salon propose une série de nouveautés, comme l’exposition « Restaurons Notre-Dame ! » fruit d’un partenariat entre Ateliers d’Art de France d’une part, la Fédération des Compagnons du Tour de France et l’association Restaurons Notre-Dame, Le Forum du Patrimoine. Le Forum du Patrimoine, mis en place par le magazine Atrium patrimoine et restauration et Ateliers d’Art de France avec le soutien de la Fondation France Bois Forêt pour notre Patrimoine à l’occasion de l’Edition Digitale du Salon International du Patrimoine Culturel en 2020, a été reconduit pour l’édition 2021. Il prendra la forme d’un plateau télé TV au coeur du Salon. Il comprendra un programme exceptionnel de douze émissions – des tables-rondes d’une vingtaine de minutes chacune, animées par des experts reconnus. Elles seront l’occasion de décrypter l’actualité et les grands enjeux du secteur du patrimoine. Ce format mêlant le présentiel et le digital avec une retransmission en ligne en léger différé, viendra compléter l’offre de conférences physiques du salon.
Il y a 3 ans et 228 jours

Quatre pieds, 10.000 tonnes, 1001 films : la tour Eiffel, superstar de cinéma

Entre biopic de l'ingénieur Gustave Eiffel, interprété par Romain Duris, et drame sentimental autour de son histoire d'amour impossible avec une jeune fille de bonne famille (Emma McKay, révélation franco-britannique de "Sex Education"), le film suit la construction de l'icône de la Ville Lumière, à l'occasion de l'Exposition Universelle de 1889."J'avais envie d'offrir un grand spectacle épique au public", explique à l'AFP le réalisateur Martin Bourboulon, qui espère qu'après le film, les spectateurs "ne verront plus jamais la tour du même oeil". Une gageure, tant le monument a été filmé depuis sa construction.De Woody Allen aux films d'animation ("Ratatouille", "Les Aristochats"), en passant par une scène-clé d'"Inception" de Christopher Nolan, tournée sur le Pont de Bir-Hakeim, ou l'affiche de "Taxi 2", elle est partout au cinéma. Et séduit toujours, comme le prouve le clip de PNL, "Au DD", en équilibre sur les plateformes du dernier étage (plus de 190 millions de vues)."S'il y avait un droit à l'image pour la tour Eiffel, la mairie de Paris serait milliardaire", s'amuse Michel Gomez, qui dirige la mission cinéma de la capitale - en réalité, filmer la tour est gratuit, seuls les éclairages nocturnes sont protégés, précise-t-il.Sur son bureau, le flot de demandes de tournages incluant des plans de la tour, depuis le Pont Alexandre-III jusqu'au Champ de Mars, ne tarit jamais. Dernièrement encore, une équipe indonésienne, témoignant de l'intérêt des pays émergents.Cette passion remonte aux origines du cinéma, à la même époque que la construction du monument, retrace Stéphanie Salmon, de la Fondation Jérôme Seydoux-Pathé, qui a collecté des objets d'antan, dont des lanternes magiques, objet qui a précédé le cinéma, représentant la tour Eiffel.Symbole d'une "ville moderne", le monument a eu ensuite "de nombreuses vies au cinéma", explique-t-elle à l'AFP: arrière-plan des comédies musicales romantiques américaines, mais aussi lieu de tournage de scènes-culte, comme l'escalade au-dessus du vide par le petit garçon de "Un Indien dans la Ville"..."Un peu de paresse"Au risque d'un trop-plein ? Cette profusion reflète "un peu de paresse" des réalisateurs, convient Philippe Lombard, qui a consacré plusieurs ouvrages au rapport entre le 7e art et la capitale, dont "Paris, 100 films de légende".Parmi les curiosités qu'il a recensées, la tour Eiffel des "Aristochats" qui change régulièrement d'emplacement au cours du dessin animé, celle de "La grande course autour du monde" de Blake Edwards (1965) qui s'écroule à la fin du film, ou encore le tournage acrobatique du premier film de René Clair, "Paris qui dort" (1924): l'équipe gravissait la tour à pied, faute de budget pour prendre l'ascenseur !"Spectaculaire", parfaite "pour des cascades ou des courses", de James Bond ("Dangereusement Vôtre" avec Roger Moore assistant à une évasion en parachute depuis le sommet) à "Rush Hour 3" avec Jackie Chan se battant sur les poutrelles, romantique et idéale pour des dialogues chantés ("Funny Face - Drôle de Frimousse" avec Fred Astaire et Audrey Hepburn dans l'ascenseur de la tour), le monument charme les réalisateurs étrangers...Elle a fasciné aussi les Français, comme François Truffaut, dont elle était "le monument préféré", souligne-t-il. L'icône de la Nouvelle Vague "a mis la tour Eiffel partout", du générique des "400 coups" jusqu'au bureau de Catherine Deneuve dans le "Dernier Métro".D'autres se plaisent au contraire à s'en détourner: elle trône sur l'affiche de "On connaît la chanson", d'Alain Resnais, mais sans apparaître dans le film, quand l'amoureux de Paris Cédric Klapisch préfère lui se concentrer sur d'autres quartiers.Un penchant que partage Jacques Audiard: "Les Olympiades", qui sort le 3 novembre, veut magnifier un quartier quasiment jamais filmé, celui des grands ensembles du XIIIe arrondissement. Même si la tour n'est jamais loin: fendant la brume, sa silhouette se devine au loin.
Il y a 3 ans et 229 jours

Une "catastrophe" du Mal-logement en Paca dénonce la Fondation Abbé Pierre

Des logements aux prix inaccessibles face &agrave; une population pr&eacute;caire: en r&eacute;gion Provence-Alpes-C&ocirc;te d&#39;Azur, la Fondation Abb&eacute; Pierre s&#39;alarme d&#39;une "tendance absolument catastrophique".
Il y a 3 ans et 230 jours

Tout savoir sur la forêt, le bois et… le Patrimoine

Après le « choc Notre-Dame », l’Interprofession nationale France Bois Forêt a donné naissance à la fondation France Bois Forêt pour notre Patrimoine, placée sous l’égide de la Fondation de France. Cette structure vise à participer activement à la sauvegarde d’éléments architecturaux en bois, en plus de sa participation soutenue au chantier de restitution de la charpente de la cathédrale de Paris. Dans un immense élan, propriétaires forestiers privés, État, forêts domaniales, communes et collectivités, coopératives, experts, exploitants forestiers, scieurs, transporteurs ont répondu présents pour devenir mécènes, la mobilisation a été nationale. Il est alors apparu une soif de connaissance à l&rsquo;égard de la ressource forestière et des savoir-faire patrimoniaux. Pour répondre aux questions autour du patrimoine et du bois, un « Questions-Réponses Forêt, bois et Patrimoine » vient d&rsquo;être publié et est disponible gratuitement en ligne. Cet OPUS a été écrit et illustré grâce aux compétences des rédacteurs du magazine ATRIUM, patrimoine & restauration, avec le concours de la célèbre émission Silence, ça pousse ! Il intègre des portraits et des reportages sur la place de la forêt dans notre vie quotidienne, de la graine au plant, du bois devenu matière première, de sa transformation jusqu’à ses multiples usages. Lire le fascicule&#8230; &nbsp;
Il y a 3 ans et 231 jours

Ouverture d'une collecte de dons pour la restauration du mobilier Pierre Paulin du Palais d'Iéna

Chef d'œuvre architectural construit par l'architecte Auguste Perret en 1937 à l'occasion de l'exposition universelle, le Palais d'Iéna abrite le CESE depuis plus de soixante ans.Afin de le réhabiliter et de préserver son patrimoine architectural et mobilier, le CESE s'est doté le 10 décembre dernier d'un outil innovant avec la création du Fonds de dotation Co-construire. Ce fonds a pour objet la réalisation et le financement d'actions d'intérêt général à caractère culturel et scientifique visant la restauration, la préservation et la modernisation du Palais d'Iéna et de son mobilier. Aujourd'hui, le travail doit se poursuivre avec la rénovation des espaces intérieurs et notamment de la salle hypostyle qui a subi les outrages du temps.Pour meubler cette salle, le Palais d'Iéna a bénéficié dans les années 80 d'une importante commande publique du Ministère de la Culture à Pierre Paulin dont le travail s'harmonise avec la vision de l'architecte Auguste Perret. Ces œuvres, qui font partie des collections du Mobilier national, sont aujourd'hui considérées comme des pièces majeures du design du XXe siècle. Elles ont été conçues en concertation avec le Mobilier national et son Atelier de Recherche et de Création (ARC). Soutien des métiers d'art et de la création depuis le XVIIème siècle, le Mobilier national a pour mission première l'ameublement des palais de la République, qui constituent une vitrine de prestige pour valoriser la richesse de ses collections et l'excellence des savoir-faire des métiers d'art français.Ce mobilier a aujourd'hui besoin d'une restauration d'ampleur qui sera conduite sous le contrôle du Mobilier national : les éléments clés d'une série de 8 salons s'intégrant dans la salle hypostyle, soit 64 fauteuils, 32 lampadaires et 8 tapis retrouveront leur état d'origine.C'est pourquoi le CESE, d'abord avec le soutien de la Fondation du patrimoine et ensuite en partenariat avec le Mobilier national, annonce l'ouverture d'une collecte de dons en ligne en vue de la restauration du mobilier Paulin, auquel chaque citoyen qui le souhaite pourra participer au financement de la restauration grâce à des dons déductibles fiscalement : https://www.fondation-patrimoine.org/77811Jean Grosset, Président du Fonds Co-Construire, déclare « Devenir mécène du fonds Co-Construire dans le cadre juridique légal du mécénat, c'est participer à la restauration du mobilier signé par le designer Pierre Paulin pour le Palais d'Iéna. C'est aussi soutenir l'action d'une assemblée représentative de l'ensemble des Français favorisant dialogues et compromis. »Hervé Lemoine, Directeur du Mobilier national, déclare : « Je me réjouis que cet ensemble de mobilier ayant subi les outrages du temps puisse, aujourd'hui, bénéficier d'une vaste opération de restauration et de rénovation, en lien constant avec l'expertise des ateliers et manufactures du Mobilier national. »
Il y a 3 ans et 231 jours

Remise des prix nationaux 2020 du concours des Rubans du Patrimoine et lancement de l'édition 2022

Les communes de Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire), Mortagne-sur-Sèvre (Vendée), La Ferrière-sur-Risle (Eure), Joinville (Haute-Marne), Vieille-Chapelle (Pas-de-Calais) et la communauté d'agglomération du Val de Fensch (Moselle), ont reçu leur prix par les représentants des cinq partenaires organisateurs : l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité, la Fondation du patrimoine, la Fédération nationale des Caisses d'Épargne, le Groupement français des entreprises de restauration de Monuments Historiques et la Fédération Française du Bâtiment.L'édition 2022 a été également lancée lors de cet événement. Ce concours a pour but de récompenser des communes et intercommunalités ayant réalisé des opérations de restauration ou de mise en valeur de leur patrimoine bâti. Les opérations récompensées depuis 25 ans par « les rubans du Patrimoine » illustrent la créativité et la ténacité des différents acteurs impliqués. Elles mettent en valeur le dynamisme des communes et de leurs groupements et les savoir-faire des artisans et entrepreneurs du bâtiment ainsi que de leurs compagnons.
Il y a 3 ans et 235 jours

Mal-logement en Paca: "Tendance absolument catastrophique" selon la Fondation Abbé Pierre

"Les loyers du parc privé ont augmenté deux fois plus vite à Marseille et Nice qu'à Paris ou Lille", constate ainsi M. Houdmon, tandis que ces dix dernières années le taux de pauvreté régional progressait deux fois plus vite que la moyenne nationale."Avec 850.000 pauvres environ, on est loin de l'image de la région riche", souligne le directeur de la Fondation, pour qui, malgré tout, "il y a aussi des très riches dans la région, et donc de fortes inégalités sociales".L'attractivité touristique que connaît la région et spécialement son littoral "se paye au prix fort", selon lui, avec des logements aux prix "les plus élevés de France hors Paris". Résultat: le surpeuplement apparait comme un mal chronique, comparable à ce que l'on trouve en Ile-de-France.Il a notamment pointé du doigt la métropole de Nice, "la plus chère de France après Paris", qui connaît le taux de tension le plus élevé de l'hexagone pour accéder à un logement social.Malgré ce grand écart entre une population de plus en plus pauvre et des logements de plus en plus chers, "aucune métropole de la région n'a mis en place l'encadrement des loyers", regrette M. Houdmon.La Fondation Abbé Pierre relève aussi une baisse constante des programmes de logements sociaux depuis 2016, dans une région pourtant très carencée en la matière. Sur les 194 communes soumises en Paca à la loi SRU sur l'obligation de 20% à 25% de logements sociaux, seules 13 respectent ces quotas.La ville de Marseille, où la crise du logement indigne a été révélée au grand jour par le drame de la rue d'Aubagne, lors duquel huit personnes sont mortes dans l'effondrement de deux immeubles, le 5 novembre 2018, enregistre à elle seule près de la moitié des demandes de logement social des Bouches-du-Rhône."A l'échelle de la région, on avait atteint 12.000 logements sociaux construits ou agréés en 2019, or le chiffre est tombé à 7.000 en 2020", avait dénoncé en juillet le préfet de la région, Christophe Mirmand, dans un entretien à l'AFP, en précisant qu'aujourd'hui "l'objectif fixé pour la région par la ministre (NDLR: Emmanuelle Wargon) est de 12.000 logements sociaux par an"."Les choses bougent depuis quelques mois", a reconnu M. Houdmon, à propos de la rénovation urbaine à Marseille, tout en estimant que globalement "le bilan est mitigé depuis 2018 et la rue d'Aubagne".
Il y a 3 ans et 235 jours

Remise des prix nationaux 2020 du concours des Rubans du Patrimoine

La cérémonie de remise des prix nationaux de la 26ème édition du concours « les rubans du Patrimoine », reportée suite à la situation sanitaire, se tiendra le mardi 5 octobre à 15 h 30 à la FFB. Les communes de Beaulieu-lès-Loches (Indre-et-Loire), Mortagne-sur-Sèvre (Vendée), La Ferrière-sur-Risle (Eure), Joinville (Haute-Marne), Vieille-Chapelle (Pas-de-Calais) et la communauté d&rsquo;agglomération du Val de Fensch (Moselle), se verront remettre leur prix par les représentants des cinq partenaires organisateurs : l’Association des maires de France et des présidents d’intercommunalité, la Fondation du patrimoine, la Fédération nationale des Caisses d&rsquo;Épargne, le Groupement français des entreprises de restauration de Monuments Historiques et la Fédération Française du Bâtiment. L&rsquo;édition 2022 sera également lancée lors de cet événement. Les dossiers devront être déposés au plus tard le 31 janvier 2022. www.rubansdupatrimoine.ffbatiment.fr
Il y a 3 ans et 236 jours

Le Corbusier, Nelson, Villanueva et Andreu au Centre Pompidou

Le Centre Pompidou propose un affichage dédié à l’œuvre de Le Corbusier, réalisée en collaboration avec la fondation du même nom. De plus, il est possible, pour la rentrée 2021, de (re)découvrir trois architectes qui ont, chacun à leur manière, marqué le XXème siècle. Au quatrième étage, une exposition monographique de Paul Nelson, l’architecte de l’Hôpital Franco-Américain de Saint-Lô. À l’étage supérieur, une salle est dédiée à l’architecte des grands projets...
Il y a 3 ans et 237 jours

Nouvelle étude sur "Les Français et le risque climat" réalisée par OpinionWay pour le groupe Stelliant

Ces événements figurent ainsi sur le podium de l'évaluation des risques à horizon 2024 avec les cyber-attaques et les crises financières.[1] Pour toutes ces raisons, le groupe Stelliant, acteur majeur de la gestion des risques et des sinistres, a souhaité réaliser, en partenariat avec OpinionWay, une étude2 sur « Les Français et le risque climat ». Les résultats de cette étude ont été révélés à l'occasion d'une conférence de presse à Paris, à la lumière des éléments de contexte et d'analyse de Didier Richert, Directeur Risques des Particuliers chez Stelliant."L’augmentation du nombre d’événements climatiques, en fréquence et en intensité, dans un contexte d’évolution de la réglementation du régime d’indemnisation des CATNAT obligent tous les acteurs de l’écosystème assurantiel à s’adapter et à anticiper pour encore mieux accompagner les entreprises et les particuliers touchés par ces événements" indique Didier Richert, directeur des risques pour les particuliers et un des spécialistes de la gestion des risques climatiques chez Stelliant. Les événements climatiques extrêmes au cœur des préoccupations des Français Près de 9 Français sur 10 expriment leurs inquiétudes au sujet des aléas climatiques extrêmes. Les inondations sont leur principale préoccupation (49%), suivies de la sécheresse (39%), des feux de forêt (38%) et des tempêtes (33%). Le gel n’est une source d’inquiétude que pour 3% des personnes interrogées. "Cette perception est justifiée et confirmée par la réalité des dossiers CATNAT que nous prenons en charge chez Stelliant. Le nombre de communes reconnues en état de CATNAT sécheresse a triplé ces trois dernières années et cette tendance va perdurer, voire s’accentuer au regard du dérèglement climatique. Les inondations risquent également d’augmenter, comme en témoignent certains phénomènes récents et indédits : en France, Allemagne et Belgique cet été".Les experts du monde de l'assurance observent en effet une augmentation de la fréquence et de l'intensité des événements climatiques en France. L'augmentation de la population et de sa densité sur certaines zones touchées entraine également une augmentation du nombre de personnes impactées et de fait, une hausse du montant des enjeux financiers.Si le contexte sanitaire actuel explique la préoccupation de près de 42% des personnes interrogées pour des pandémies animales ou végétales, il convient de rappeler que près de 75% d’agents pathogènes des maladies infectieuses humaines sont d’origine animale. Entre 1940 et 2020, 160 nouvelles maladies virales ont été découvertes, souvent issues des contacts entre l'homme et l'animal : paludisme, virus de la dengue et du chikungunya, Ébola, H1N1, Covid-19 et d’autres à venir…[2]Un Français sur 5 se dit préoccupé par le risque sismique. Les séismes sont aujourd'hui assez peu médiatisés en France métropolitaine car, si les réseaux sismologiques enregistrent une activité sismique quotidienne, la plupart du temps, ces événements sont trop faibles pour pouvoir être ressentis par la population. Le dernier événement de ce type ayant entraîné des dommages très importants est le séisme du Teil en novembre 2019. D'une magnitude de 5,2 sur l'échelle de Richter, cette secousse a causé à Teil, lieu de son épicentre, et alentours, l'effondrement de plus d'une centaine d'immeubles et des dégâts matériels considérables."Bien que s’agissant d’une zone à faible densité de population, nous avons chez Stelliant traité plus de 2500 dossiers ! La Caisse Centrale de Réassurance (CCR) évalue dans les scénarios extrêmes que le coût d’un tremblement de terre à Nice pourrait engendrer des coûts de l’ordre de 10 à 13 milliards d’euros, sans évoquer les pertes humaines qui seraient dramatiques" confirme Didier Richert.Dans la base de données SisFrance [3], le séisme de Lambesc en 1909 reste le séisme le plus meurtrier survenu en France métropolitaine. D'une magnitude de 6,2 sur l'échelle de Richter, son bilan s'élevait à 46 morts, 250 blessés et près de 1500 logements détruits ou endommagés. "Si un tel événement se reproduisait aujourd'hui au même endroit, la forte urbanisation de la zone concernée conduirait sans nul doute vers un bilan beaucoup plus lourd, de l'ordre de plusieurs milliers de morts et de plusieurs milliards d'euros de dommages" ajoute Didier Richert.Plus de la moitié des personnes interrogées (59%) expriment leur sentiment de vivre dans une zone à risques. Parmi ces risques, les événements climatiques (sécheresse, tempête, inondations, gel et feux de forêts) arrivent en tête et 24% des Français affirment vivre dans une zone menacée de sécheresse. La sécheresse est particulièrement perçue comme une menace par les habitants du sud-est et du bassin méditerranéen, où la manifestation la plus visible du phénomène est l'augmentation de la fréquence et de la violence des feux de forêt. La cartographie du risque sécheresse en France publiée chaque année avant l'été donne une réalité toute autre, avec près de 80% du territoire classé en risque "très probable" ou "probable" de sécheresse.[4] "On observe aujourd’hui une extension des zones géographiques concernées par la sécheresse à de nombreux départements n'étant plus uniquement situés dans la partie Sud du territoire. En 2020, les communes qui ont fait l’objet d’une reconnaissance d’état de CATNAT sécheresse sont d'ailleurs situés majoritairement en région parisienne et dans le centre est. Le nombre de communes reconnues est plus important chaque année, et la moyenne de moins de 1000 communes reconnues par an est comprise entre 3 et 4000 sur ces trois dernières années" précise Didier Richert. La sensibilité au sujet de la sécheresse est également liée à la forte médiatisation du sujet, notamment lorsqu'une zone est reconnue en état de catastrophe naturelle par le biais d'un arrêté, comme c'est le cas actuellement dans un grand nombre de communes du nord de la France. C'est toute l'importance du rôle de l'expert, véritable enquêteur, qui va rechercher les causes possibles des dommages apparents, depuis l'âge du bâtiment, la méthode et les matériaux de construction ou de fondation, jusqu'aux typologies de sols et de sous-sols, constructions et activités voisines...Tous les bâtis travaillent et comportent des microfissures, les matériaux vieillissent, la capacité de portance des sols évolue au gré des périodes de gel et de dégel. Souvent la sécheresse est un révélateur et non la cause des fissurations. Les catastrophes naturelles : enjeux d'actualité et d'avenir pour les Français77% des personnes interrogées estiment que ce risque de catastrophe naturelle est en hausse ces dernières années. L'augmentation du nombre de catastrophes naturelles ainsi que l'ampleur de ces dernières est, en effet, une réalité. Si les phénomènes de sécheresses sont une des manifestations les plus visibles du réchauffement climatique, ainsi que le risque d'incendie qui se fait plus présent dans les zones touchées, les tempêtes[5] et les inondations sont également des conséquences de ce dérèglement global, en lien direct avec le réchauffement des océans et le bouleversement des courants maritimes qui régulent le climat. Les inondations récentes en Allemagne et en Belgique, ont en moins de 48 heures causé la mort de plus de 200 personnes et la destruction de plusieurs milliers d'habitations et d'infrastructures. L'Allemagne a annoncé consacrer 30 milliards d'Euros à la réparation des dommages causés. Il n'y avait pas eu d'orages aussi violents depuis 150 ans."Nous nous attendons chez Stelliant à une forte augmentation de cette typologie de sinistres. C'est pour cela que nous renforçons nos compétences grâce à des formations ciblées et que nous améliorons en permanence la performance de notre cellule EGA (Evénements de Grande Ampleur). Un système d'astreintes est en place au sein du Groupe. Plus de 40 experts peuvent être ainsi mobilisés dans un laps de temps très court, et ce, sans perturber le fonctionnement de l’entreprise" explique Didier Richert.En France, les inondations récentes dans les vallées de la Vésubie et de la Roya en octobre 2020 sont également une dramatique manifestation du réchauffement climatique. Des précipitations inédites y ont causé la crue centennale de plusieurs cours d'eau et des inondations dévastatrices et des dégâts considérables. Les experts de Stelliant mobilisés rapidement afin de trouver des solutions pour les victimes de cet événement historique ont dû faire preuve d'une grande agilité dans des conditions d'accès difficiles des zones touchées. « Plusieurs de nos experts ont dû parcourir des heures de marche pour rejoindre le lieu devenu inacessible en voiture et dormir dans un camp de base improvisé pour effectuer les reconnaissances de terrain car tous les bâtiments étaient détruits » complète Didier Richert.Parmi les Français estimant vivre dans une zone à risque de catastrophe naturelle, 89% ont le sentiment que cette menace pourrait s’accroître à l’avenir. Plus précisément, 14% anticipent que les risques de catastrophes naturelles pourraient augmenter d’ici un an dans leur zone d’habitation, 42% qu’ils pourraient augmenter d’ici 2 à 5 ans et 33% qu’ils risquent de s’accroître à plus long terme. 29% des Français déclarant vivre dans une zone actuellement préservée des risques de catastrophe naturelle pensent que cela pourrait changer à plus ou moins long terme. Un quart des personnes interrogées ont d'ailleurs déjà envisagé de déménager pour éviter d'être confronté aux risques de catastrophes naturelles. Parmi ces personnes, 40% ont déjà subi un sinistre de ce type. Prévention et réparation : insatisfaction ou méconnaissance ? L'inquiétude liée aux catastrophes naturelles n’est pas infondée puisque près d’un Français sur deux (46%) déclare avoir déjà subi au moins un sinistre lié à de tels évènements. La majorité d'entre eux évoque des sinistres liés aux événements climatiques : les tempêtes pour 26%, la sécheresse pour 20%, le gel pour 18% et les inondations pour 16% d'entre eux. A la suite d’une catastrophe naturelle : 74% des Français estiment que les pouvoirs publics ne sont pas à la hauteur pour proposer rapidement des solutions d’urgence aux victimes et 81% sont insatisfaits des actions prises pour réparer et indemniser efficacement les dégâts causés. Après avoir tablé début mai sur une inflation de 173% des primes liées au dispositif CATNAT à horizon 2050, la Caisse Centrale de Réassurance (CCR) a annoncé lors son bilan annuel que les catastrophes naturelles en France en 2020 ont coûté entre 1,35 et 1,65 milliards d'euros aux assureurs, appelant à cette occasion à un renforcement des moyens de prévention. En cas de sinistre, les Français attendraient principalement de leur assureur une prise en charge des travaux (70%), un relogement temporaire (58%) et une indemnisation des frais de nettoyage, déblayage ou désinfection des lieux sinistrés (49%). Dans une moindre mesure, ils comptent aussi sur une prise en charge de leur loyer ou du remboursement de leur prêt (32%), sur le prêt d’un véhicule (12%) et sur l’indemnisation d’autres frais liés au sinistre : déplacement du mobilier (12%), honoraires d’architecte ou de contrôle technique (11%), denrées alimentaires perdues (11%). "Les assureurs prennent en charge les travaux pour réparer les dégâts occasionnés. Cependant, la réglementation actuelle ne leur permet pas de prendre en charge certains frais comme la perte d'usage d'un bien et de relogement. Une modification du régime des catastrophes naturelles est en cours et permettrait de corriger certains manques. Il est important de retenir qu’au-delà de l’indemnisation, les Français attendent des services (nettoyage, déblayage etc.). Chez Stelliant, nous avons développé des services complémentaires à l’expertise (décontamination, assèchement, réparation en nature…) pour répondre encore mieux aux attentes des assureurs et de leurs clients," commente Didier Richert.Même si les Français sont conscients des risques que peuvent représenter les évènements climatiques extrêmes, leurs logements sont rarement équipés en conséquence. Ainsi, seulement 40% des Français estiment que leur logement est équipé pour résister au gel. La prévention est pourtant un élément non négligeable dans la gestion du risque de catastrophe naturelle, et selon les risques, si elle a une facette "collective" corrélée à l'action des pouvoirs publics (plans de prévention communaux des inondations par exemple), dans certains cas des mesures de bon sens, comme par exemple la vidange des radiateurs d'un logement inoccupé pendant l'hiver pour se prémunir de risques liés au gel. Le risque incendie, afférent au risque sécheresse est également en augmentation et l'évolution de la nature des feux, alimentés par une végétation et une terre plus sèche, est à l'origine d' incendies qui rendent parfois caduques les mesures de prévention en vigueur. Si le premier réflexe des Français serait de se tourner vers leur assurance en cas de sinistre, seules 24% des personnes interrogées estiment être suffisamment assurées contre les risques climatiques. 24% considèrent que leur couverture actuelle est insuffisante et 52% avouent ne pas savoir si leur assurance couvre ces risques. "L'insatisfaction peut avoir plusieurs explications. Certains assurés peuvent par exemple ne pas avoir été éligibles à la garantie sécheresse, ou bien leur relogement peut ne pas avoir été pris en charge du fait de la règlementation en vigueur actuellement. S’il est compréhensible qu’un assuré présuppose la prise en charge des fissures apparues sur un bien situé sur une commune reconnue par un arrêté CNS, l’examen de nos données montre que 60 à 70% des déclarations concernant ce phénomène ne sont pas imputables à la sécheresse mais au vieillissement du bâti" indique Didier Richert.Pour se protéger des risques liés à des catastrophes naturelles, 26% des Français seraient prêts à payer leur assurance habitation plus cher et accepteraient en moyenne une augmentation de 11% pour couvrir ces risques, tandis que 72% rejettent cette option. " Il est aujourd'hui difficile d’imaginer que le coût de la part CATNAT des primes des polices d’assurance n’augmentera pas alors que la fréquence, l’intensité des événements climatiques sont, elles, en pleine expansion. L’éventuelle modification du régime qui semble aller vers une couverture plus large des garanties, donc un coût plus important pour les compagnies d’assurance, ne manquera pas d’alimenter l’inflation des primes. La prime CATNAT découle également du régime d’indemnisation et son montant annuel est situé entre une vingtaine d’euros pour un particulier et une centaine d'euros pour une entreprise. En 2019, pour la cinquième année consécutive, le résultat du compte technique de la branche catastrophes naturelles de l’assurance est négatif. Cela n'est pas exorbitant à la lumière des sommes potentiellement engagées lorsqu’un sinistre se produit", précise Didier Richert.Dans son dernier rapport paru le 9 août dernier, le GIEC prévoit dans tous ses scénarii le dépassement du seuil de 1,5 °C dans les dix ou vingt prochaines années. Ce réchauffement entraînera indubitablement une augmentation de la fréquence des aléas climatiques, des zones épargnées pourraient également désormais être touchées par des phénomènes extrêmes. L’impact sera lourd pour la collectivité, mais aussi pour les assureurs : d’ici à 2050, le coût des sinistres liés aux aléas climatiques pourrait être multiplié par un facteur de deux à cinq, a estimé l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution. Les évènements climatiques extrêmes comme les inondations et la sécheresse comptent parmi les catastrophes naturelles les plus redoutées par les Français. Plus d’une personne interrogée sur deux s’estime potentiellement menacée par ces évènements sur son lieu d’habitation. Les Français sont nombreux à partager le sentiment que le risque d’être confronté à une catastrophe naturelle augmente ces dernières années en France. Ils ont également à l’esprit que les zones aujourd’hui plutôt préservées pourraient être touchées à l’avenir. L'étude révèle également que les Français manquent d’information sur les aides existantes en cas de sinistre sur leur logement et sont nombreux à ignorer comment faire face à ces risques.« C’est une certitude, il existe un besoin d’information, en amont et en dehors de la survenance de ces événements qui permette à l’assuré de savoir ce qu’il est possible de faire par nature de risque. C’est la raison laquelle, lors d’une catastrophe naturelle, l’engagement des experts, tant technique que pédagogique, est total. Plus peut-être que sur d’autres sinistres, l’expert a un rôle profondément humain pour accompagner l’assuré, le rassurer et mettre en place des solutions adaptées pour un retour rapide à une situation normalisée et à plus de sérénité » conclut Didier Richert.[1] Source : Cartographie des risques émergents pour la profession de l'assurance et de la réassurance - FFA 2 Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 1006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge, de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de résidence. Les interviews ont été réalisées par questionnaire autoadministré en ligne sur système CAWI (Computer Assisted Web Interview). Les interviews ont été réalisées du 18 au 19 août 2021.[2] Source : Arnaud Fontanet, responsable de l'unité d'épidémiologie des maladies émergentes à l'Institut Pasteur[3] Base de données informatique harmonisée tenue à jour par un consortium intégrant le BRGM (Bureau de Recherches Géologiques et Minières), EDF (Électricité de France) et l’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire).[4] https://www.ecologie.gouv.fr/face-au-risque-secheresse-nouveaux-outils-preparer-lete[5] Les dommages causés par les tempêtes ne relèvent pas de la garantie Catastrophe Naturelle mais de la garantie tempête : Aux termes de la loi initiée en juillet 1982, sont considérés comme effets des catastrophes naturelles « les dommages matériels directs non assurables ayant eu pour cause déterminante l'intensité anormale d'un agent naturel lorsque les mesures habituelles à prendre pour prévenir ces dommages n'ont pu empêcher leur survenance ou n'ont pu être prises » (Article L. 125-1 alinéa 3 du Code des assurances).Notons que les dommages causés par le vent ont été définitivement écartés du champ d’application du régime des catastrophes naturelles par la loi du 25 juin 1990. En effet, cette loi a permis la généralisation de la garantie tempête en rendant obligatoire la couverture des dommages résultants des effets du vent dû aux tempêtes, ouragans et cyclones pour toute personne détentrice d’un contrat d’assurance garantissant les dommages d’incendie.
Il y a 3 ans et 239 jours

Le premier parc éolien offshore de France sort la tête de l'eau

En cette fin septembre clémente, les équipes s'activent pour poser 80 fondations d'acier, réparties entre 12 et 20 km au large du Pouliguen et du Croisic, sur 78 km2. A chaque bateau son rôle: câblier, finition des raccordements... Et puis ce gros navire/plateforme planté sur des "jambes" rétractables, chargé d'enfoncer les pieux dans le sol, aussi profondément que l'eau est haute (13 à 25 m selon les endroits)."C'est comme un clou sur lequel on tape avec un gros marteau hydraulique, avec beaucoup d'intelligence électronique", explique Olivier de La Laurencie, le directeur de ce projet d'EDF Renouvelables à 2 milliards d'euros, en soulignant la prouesse, sur un fond rocheux fracturé.Au milieu, la "sous-station" électrique, reliant les éoliennes et chargée de renvoyer le courant à terre via un câble semi-enterré, est en place.Restera pour le printemps la pose des éoliennes géantes de 153 m (pales comprises), d'une puissance installée de 480 mégawatts (MW) capable d'alimenter 700.000 personnes.En attendant, ces "moulins" aux extrémités rouges (obligation française) seront montés et testés dans le port, dans le hub géré par leur fabricant, General Electric (GE): "on y recrée les conditions offshore", notamment avec l'envoi de courant haute tension, décrit Emmanuel Charlopain, le directeur de projet.Objectif: commencer la production mi-mai, pour une mise en service générale fin 2022... plus de 30 ans après l'ouverture d'un premier parc au Danemark. Malgré ses 2.800 km de côtes en métropole, la France est aussi très en retard par rapport au Royaume-Uni, la Scandinavie ou l'Allemagne.Ce jour aura été longtemps attendu, puisque le chantier de ce parc offshore à Saint-Nazaire a été attribué dès 2012 à EDF et au canadien Enbridge."Apprendre à vivre avec"En 2009, la France avait décidé de se lancer, attribuant quatre premiers parcs. Mais, de procédures administratives en recours, aucun ne s'est matérialisé. Aujourd'hui, les plaintes ayant été purgées, la construction a démarré aussi pour Fécamp, Courseulles-sur-Mer et Saint-Brieuc. D'autres parcs sont dans les tuyaux.A Saint-Nazaire, des résidents de La Baule ont protesté, sur des arguments visuels.Une navette y surveille le chantier, mais jusqu'ici pas d'incident à signaler, contrairement à Saint-Brieuc, cible de pêcheurs en colère qui craignent pour leur activité.A Saint-Nazaire, c'est une autre pêche, pas au chalut; le tracé des câbles suit spécialement les courants, évite certains secteurs. Les industriels disent avoir tenté de répondre aux craintes en plus de 1.000 réunions, et la France a décidé de laisser les pêcheurs travailler dans les parcs. Peut-être les plaisanciers y seront-ils un jour autorisés, note M. de La Laurencie, pour qui "il faudra apprendre à vivre avec".Sur le bateau, le président du Syndicat des énergies renouvelables (SER), Jean-Louis Bal, a le sourire: "Cela fait dix ans qu'on travaille au développement de l'éolien offshore en France. C'est la délivrance!". "Ce parc va permettre de surmonter des appréhensions, comme sur l'impact paysager. On va voir que les pêcheurs peuvent continuer à exercer leur métier. Et puis une industrie émerge. On va pouvoir accélérer".La filière a aussi un argument massue: des prix drastiquement en baisse depuis 3-4 ans. A 60 euros le MWh (raccordement inclus), le prix de l'éolien marin est devenu compétitif.Pour lutter contre le réchauffement climatique et répondre à ses besoins, la France veut accroître de 40% sa production électrique décarbonée d'ici 2050, selon sa "stratégie bas carbone". Le comité interministériel de la Mer a estimé de 49 à 57 GW son potentiel éolien marin à horizon 2050, soit l'équivalent d'une centaine de parcs comme celui de Saint-Nazaire.Pour parvenir à une telle montée en puissance, la fabrication d'éoliennes toujours plus grandes et le recours à l'éolien flottant, qui permettra de s'installer plus au large, pourront aider. Mais le secteur réclame avant tout de la planification."50 GW c'est beaucoup!", note M. Bal. "Si on veut le faire, il faut planifier, pour que tous les usagers de la mer continuent à exister, les pêcheurs et les autres".
Il y a 3 ans et 239 jours

Eure : Une résidence d’autonomie plus responsable

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Le béton Vertua de Cemex a permis la construction d’une résidence d’autonomie, à Vernon. [©Cemex/Philippe Castaño] A Vernon, le besoin en logements pour les personnes âgées, a poussé Sécomile, Société d’économie mixte locale liée au département de l’Eure, à réaliser une résidence d’autonomie de 23 appartements. Ceci, dans des bâtiments à énergie positive. Cemex a contribué à la diminution de l’empreinte environnementale du programme immobilier. En fournissant des bétons bas carbone Vertua. Ces logements sont situés à l’emplacement d’une résidence ne répondant plus aux normes d’accessibilité et contenant de l’amiante. 750 m3 de béton Vertua Classic Très tôt, Cemex a entamé une démarche pro-active de conseils auprès de l’économiste de la construction Isabelle Desmares et de l’architecte en charge du projet, l’atelier Bellefontaine. Afin de définir les bétons les plus à même d’optimiser l’empreinte carbone du bâtiment. En effet, dans le bilan carbone de ses bétons Vertua, Cemex comptabilise l’ensemble des émissions depuis l’acheminement de ses matières premières jusqu’à la livraison des produits finis sur chantier.&nbsp; Lire aussi les autres actualités en région Ainsi, pour la réalisation des fondations et des dalles, Cemex a livré 750 m3 de béton Vertua Classic présentant un abaissement du bilan carbone entre 20 et 35 %. Le béton est produit à Saint-Marcel, unité située à moins de 3 kms du site, avec des granulats provenant de la carrière Cemex de Bouafles, limitant ainsi les émissions de CO2 dues au transport. Et les bâtiments sont construits par l’entreprise locale Bouquet, spécialisée dans les travaux de maçonnerie générale et le gros œuvre. Un projet incontestablement placé sous le signe du développement durable. Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 239 jours

Grand Paris Express : En route vers Orly, en métro

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Les travaux sont réalisés en “top & down”. Une dalle de 1,50 m d’épaisseur (visible à droite) fait l’interface entre le chantier de la gare, en sous-œuvre et celui du parking, en superstructure. [©ACPresse] A ne pas en douter, l’aéroport parisien d’Orly est en train de vivre l’une de ses plus importantes transformations depuis sa mise en service. Alors même que les aérogares Ouest et Sud ont fusionné, avec l’inauguration du bâtiment de jonction, pour former les nouveaux terminaux d’Orly 1, 2, 3 et 4, les travaux se poursuivent à leurs pieds. Cette fois-ci pour créer les futurs terminus des lignes 14 et 18 du métro parisien. Ceci, dans le cadre du Grand Paris Express.&nbsp; Le projet s’inscrit, en partie, sur la zone souterraine occupée jusqu’alors par le parking P0, qui se déleste au passage de quelque 1&nbsp;500 places de stationnement&#8230; Une perte compensée par la restitution de 2&nbsp;100 places nouvelles créées avec la construction d’un parking-silo en parallèle des travaux de la gare. Et dans le cadre du même marché. Celui-ci a été attribué au groupement momentané d’entreprises conjointes constitué de Demathieu & Bard (mandataire), Gagnepark, Léon Grosse et Sefi-Intrafor. Les travaux de la gare ont débuté en décembre 2018 avec le lot “fondations profondes”. A elle seule, cette partie constitue déjà un tour de force de par la présence de plus de 500 ml de parois moulées de plus de 1,50 m d’épaisseur et quelque 50 pieux de 30 m de long.&nbsp;«&nbsp;La gare terminus Aéroport d’Orly est un chantier prioritaire du Grand Paris Express, avec les Jeux olympiques de l’été 2024 comme date butoir&nbsp;», explique Philippe Launois, directeur de projet Demathieu & Bard.&nbsp; Une construction en “top & down” L’omniprésence des bétons horizontaux a nécessité une très importante quantité d’étaiements : près de 490 t au plus fort de l’activité. [©ACPresse] A ce titre, elle doit être livrée en décembre 2022, pour une ouverture prévisionnelle de la ligne 14 Sud, début 2024. Entre temps, le tunnelier de la ligne 18 atteindra ce terminus vers le mois de septembre 2023&#8230; Le timing malgré tout serré du projet a imposé une construction en “top & down”. C’est une dalle d’une épaisseur de 1,50 m d’épaisseur et d’une superficie d’environ 5&nbsp;000 m2qui constitue l’interface entre le chantier souterrain &#8211; la gare proprement dite &#8211; et le chantier aérien &#8211; le parking-silo -. La dalle est portée par la paroi moulée périphérique et par une série de poteaux préfondés. Une fois construite, les travaux de terrassement ont pu être lancés en sous-œuvre, à partir de janvier 2020. Quant à l’érection du parking, elle a été lancée entre temps, dès juillet 2019.&nbsp;Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 96
Il y a 3 ans et 239 jours

Ciments Calcia : Tourné vers le bas carbone

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. VisionAir se retrouve désormais sur les sacs de ciments bas carbone de Ciments Calcia. [©Ciments Calcia] Pour Ciments Calcia, la réduction de l’empreinte carbone de ses activités et de ses produits est une stratégie sur le long terme. En effet, pour répondre aux futures réglementations environnementales, mais aussi à l’urgence climatique, l’industriel s’engage à travers une politique de groupe (HeidelbergCement) sur la neutralité carbone du béton d’ici 2050. Ainsi, Artibat sera l’occasion pour le cimentier de mettre en lumière sa nouvelle démarche VisionAir. L’industriel propose quatre nouvelles solutions plus ou moins carbonées – jusqu’à &#8211; 40 % de CO2. Le ciment pour béton Baticia est destiné à tous les usages du bâtiment, tandis que le Forcia s’adapte aux milieux agressifs. De son côté, le ciment Flexia sert à la formulation de mortiers de montage avec air entraîné. Enfin, le Poncia est un mortier de montage à base de pierre ponce. Il s’utilise pour les blocs béton et brique. Selon Ciments Calcia, il permet ainsi de supprimer la quasi-totalité des ponts thermiques.&nbsp; Pour rester cohérent avec la démarche VisionAir, les emballages de ces produits sont en papier kraft. Ces derniers sont sans traitement de blanchiment, ils bénéficient d’encre à eau avec des pigments de grade alimentaire et des colles à base d’amidon. Enfin, toujours à travers VisionAir, Ciments Calcia propose des solutions pour BPE avec diverses applications (fondations, voiles, planchers…) et pour les préfabricants (précontraint, démoulage immédiat et différé…). Sur Artibat : Hall 10A &#8211; Stand E41 Retrouvez l&rsquo;ensemble du dossier sur les innovations d&rsquo;Artibat
Il y a 3 ans et 244 jours

840 millions d'euros de dons collectés pour Notre-Dame

Cette somme, réunie grâce à des donateurs français et étrangers, "permet d'envisager l'avenir avec confiance", s'est-il félicité devant les sénateurs de la commission des Affaires culturelles qui l'interrogeaient sur l'évolution du chantier et la "transparence" du financement.Sur précisément 842,8 millions d'euros, "la fondation Notre-Dame en a collectés près de 360, la fondation du patrimoine 232 millions dont 100 millions de Total, la fondation de France 31 millions, le Centre des monuments nationaux 7,8 millions, le ministère de la Culture près de 9 millions et l'établissement public, qui reçoit plusieurs dons directs notamment de la fondation Bettencourt, 203 millions", a détaillé M. Georgelin.Il n'a pas souhaité préciser comment cet argent serait réparti dans le financement des travaux de restauration auxquels vont désormais s'atteler plusieurs corps de métiers et compagnons, parmi les plus renommés de France. Cette précision "sera donnée lorsque les choses seront bien calées avec la maîtrise d'oeuvre (...) La plupart des appels d'offres pour la restauration sont lancés et les premiers lauréats retenus", a-t-il ajouté.Le calendrier des travaux devrait être tenu pour une réouverture en 2024, a réaffirmé le général. En revanche, ceux concernant les abords de Notre-Dame, son "écrin", sont "du ressort de la mairie de Paris" et "ne commenceront probablement qu'en 2025", ce qui suppose de repenser "l'accès provisoire à la cathédrale pour les touristes, notamment pendant les Jeux Olympiques", que Paris accueille dans trois ans.Concernant les dépenses pour la phase de mise en sécurité de l'édifice, qui s'est achevée cet été, elles ont été estimées à 165 millions d'euros, "seront tenues et probablement légèrement inférieures", a assuré le général.Intempéries, travaux non prévus, interruptions (limitées) dues à la crise du Covid et surtout nombreuses mesures et aménagements liés à la lutte contre les émanations de plomb ont provoqué quelques retards et surcoûts. Un bilan chiffré définitif sera annoncé d'ici à la fin de l'année.
Il y a 3 ans et 245 jours

Formation : BMS Académie voit le jour

La formation à la projection du béton est opérée sur simulateur. [©Groupe BMS] Avec l’arrivée de NFM Engineering en 2020 dans son giron, le groupe BMS a renforcé son expertise dans les métiers des fondations spéciales et travaux souterrains. Pour aller plus loin, il complète aujourd’hui son offre de prestations. Ceci, avec le lancement de son pôle formations. Baptisée sobrement BMS Académie, la nouvelle entité est placée sous la responsabilité de Lucas Eslatine, ingénieur des Arts et Métiers. Qui assure ainsi la coordination du centre.  Une série de formations Inaugurée au mois de juin dernier, BMS Académie propose, depuis la rentrée de septembre, une série de formations spécialisées dans les domaines du forage, des injections en forage, de la projection béton et du tunnelier. Ces dernières sont assurées par des experts reconnus dans leurs domaines et pouvant s’enorgueillir de nombreuses années d’expérience sur le terrain.&nbsp;«&nbsp;Ce comité pédagogique nous permet de proposer des prestations à la pointe de l’innovation. Ceci, tant sur le plan des connaissances techniques, que sur celui des moyens pédagogiques mis à disposition des stagiaires&nbsp;», résume Jean de Saint-Julien, président du groupe BMS.&nbsp; Deux types de formations sont proposées. Tout d’abord, la formule “intra-entreprise”, c’est-à-dire dans les locaux de l’entreprise demandeuse. Cette modalité permet au formateur de se focaliser sur un contexte particulier. Quant à la formule “inter-entreprise”, elle est destinée aux stagiaires venant de différentes entreprises. Elle peut se faire dans les locaux de BMS, sur Paris, Lyon ou Toulouse. Son avantage&nbsp;: des échanges d’expériences entre pairs.
Il y a 3 ans et 246 jours

Grand Prix Charles-Henri Besnard, un prix bien doté sous tout rapport

Édition 2021 du Grand Prix Charles-Henri Besnard et lancement d’une bourse de voyage ou d’étude par la Fondation du Cnam. Appel à candidatures jusqu’au 4 octobre 2021. Le concours pour le Grand Prix Charles-Henri Besnard, organisé par la Fondation du Cnam, dans le cadre du mécénat Besnard de Quelen, a pour objectif d’encourager l’innovation dans [&#8230;] L’article Grand Prix Charles-Henri Besnard, un prix bien doté sous tout rapport est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 253 jours

L'Observatoire de la Qualité de la Construction présente son Flop 10 annuel

L'Observatoire de la Qualité de la Construction de l'AQC a construit quatre dispositifs d'observation des pathologies dans la construction.Parmi eux, le Dispositif Sycodés s'appuie sur les données fournies par les rapports des experts appelés par les assureurs lors de la mise en œuvre de l'assurance Dommages-Ouvrage. Il a pour but d'identifier et quantifier les pathologies de nature décennale les plus récurrentes et les plus coûteuses.Le Flop 10 de ce rapport présente les 10 éléments d'ouvrage qui portent les effectifs et les coûts de réparation les plus importants, parmi les désordres sur travaux neufs signalés à Sycodés durant plus de deux périodes décennales (1995 à 2020) en France.Cette hiérarchie de désordres est analysée dans le rapport par des experts et par catégorie de construction : maisons individuelles, logements collectifs et locaux d'activité.Le revêtement de sol doit progresser en qualitéÀ titre d'exemple en maison individuelle, sur la période 2018-2020, les revêtements de sol intérieur sont en première place du Flop 10, en effectif comme en coût de réparation. Pour Catherine Labat, expert construction au cabinet Neoxa-Ixi, des progrès peuvent être accomplis sur le comportement du support, en particulier sur les chapes fluides qui sont de plus en plus utilisées : « Elles présentent une sensibilité élevée au retrait pendant le séchage et peuvent faire des "vagues" (appelé tuilage), ce qui entraîne à moyen terme des fissures dans le carrelage. Le domaine des chapes fluides évolue avec des Règles professionnelles en cours d'élaboration et la mise en place d'une certification. ».La catégorie des fondations superficielles connaît une diminution importante, passant de 14 % en 2017-2019 à 11 % sur 2018-2020. « L'impact positif est probablement lié à la sensibilisation et prise de conscience induite chez les professionnels. Nul doute que la réglementation renforce cette baisse importante », note Jean-Pierre Thomas, directeur technique adjoint de la branche Construction du groupe Stelliant.Autre exemple mais en logement collectif cette fois, les sinistres liés aux fenêtres et portes-fenêtres (hors toiture) sont en 3e position en effectif, stables sur les trois dernières années (2018-2020) mais subissant une très forte augmentation par rapport à la période 2010-2020 (6 %). La mise en œuvre de la RT 2012 pourrait expliquer cette envolée selon Jean-Pierre Thomas. « Une fenêtre ou une porte-fenêtre qui laisse passer l'eau, c'était déjà un sinistre. Mais si elle laisse passer trop d'air, à l'issue de l'essai réglementaire d'infiltrométrie prévu par la réglementation thermique RT 2012, cela devient aussi un sinistre alors que cela n'était pas le cas auparavant. »Alerte sur la mousse de polyuréthane projetée in situLe rapport 2021 s'intéresse aussi au Dispositif Alerte, un autre dispositif d'observation de l'AQC qui permet d'identifier les risques sériels par une analyse qualitative de signaux faibles de Sycodés. En effet, le Dispositif Alerte fait état d'un nombre accru de sinistres avec de la mousse polyuréthane projetée in situ, en isolation sous chape, principalement sur le marché de la maison individuelle. Ce désordre se manifeste par une déformation de la mousse avec un affaissement qui peut être ponctuel et réparti aléatoirement dans la pièce. Le tassement commence rapidement (entre deux et quatre semaines) après la projection mais le désordre peut apparaître plus tardivement (jusqu'à cinq à six mois après la réception du chantier). L'ampleur de l'affaissement varie de 3 à 5 cm selon l'épaisseur de la mousse projetée (qui peut varier de 6 à 10 cm).Enfin, le rapport 2021 propose un focus sur les deux autres Dispositifs d'observation de l'AQC : le Dispositif Rex Bâtiments performants et le Dispositif VigiRisques.(1) CFEC : Compagnie française des experts construction – FFA : Fédération française de l'assurance – FSE : Fédération des sociétés d'expertise – SNEIC : Syndicat national des experts IRD et construction.
Il y a 3 ans et 256 jours

Soudeuses ou ingénieures, l'industrie peine encore à se féminiser

Au total, les femmes ne représentent que 30% des salariés de l'industrie et à peine plus de 15% de ses cadres dirigeants, déplorent en coeur les responsables industriels et politiques du pays à l'occasion du salon Global Industrie à Lyon."Dans les entreprises, les femmes sont souvent dans les ressources humaines ou les fonctions support comme la communication, plus on va vers les lignes de production, plus le chiffre est bas" reconnait Alexandre Saubot, président de France Industrie, l'organisme qui représente le secteur, et patron du groupe Haulotte (Matériels élévateurs).Pourtant, Ammana Kehalia, 20 ans, a trouvé sa voie: "radiologue des objets". Elle va commencer une formation pour contrôler la qualité de soudures sur des pièces de métal grâce à des machines "à rayons X". "Un métier de responsabilité, où il faut lire beaucoup d'études, ça me plait".Après une scolarité cabossée, troisième redoublée, CAP coiffure inachevé, la jeune Lyonnaise, passée par l'Ecole de la deuxième chance E2C, doit intégrer cet automne le campus Industreet à Stains (Seine-Saint-Denis)."Réparer quelque chose de cassé"Ouvert l'an passé par la Fondation Total Energies, il accueille sa deuxième promotion de jeunes âgés de 18 à 25 ans en décrochage scolaire, dans un département où le chômage des jeunes dépasse les 20%, pour des formations industrielles.Cette semaine, Ammana a rencontré la ministre déléguée chargée de l'Industrie, Agnès Pannier-Runacher, venue à Lyon encourager les filles scientifiques à s'orienter vers l'industrie. Ammana lui a demandé de "surtout mieux informer" les élèves très jeunes sur ces débouchés."Depuis toute petite, j'étais intéressée par le manuel, la mécanique, il y avait un garage près de chez moi à Vénissieux (banlieue de Lyon), j'y allais toute seule, j'étais passionnée par l'idée de réparer quelque chose de cassé", raconte-t-elle. Mais au moment de l'orientation, Ammana a été incitée à choisir un "métier de fille": Coiffeuse. Ce fut un échec sur toute la ligne.Inas Kaci, 21 ans, en master informatique à la Sorbonne à Paris, se dit, elle, "frappée" par "le très faible nombre de filles" dans sa promotion de matheux: 4 sur 32. Même phénomène dans beaucoup de promotions d'ingénieurs.Les stéréotypes de genre ont la vie dure, même si beaucoup a été mis en oeuvre dans l'Education nationale pour s'en affranchir dès la petite enfance. Par ailleurs, les études montrent que si elle sont meilleures élèves, les filles ont statistiquement moins confiance en elles."Ce n'est pas la fac qui fait ça, on dirait que ça se fait naturellement, mais je ne comprends pas pourquoi", dit Inas. La jeune fille milite à l'association Elles Bougent dont des représentantes ont également rencontré Mme Pannier-Runacher à Lyon."Alors que nous voulons relancer l'économie et faire de la France un pays plus écologique, compétitif et solidaire, il est impossible de faire l'impasse sur 50% de nos talents" soutient la ministre qui se dit déterminée à "faire bouger les mentalités dans le monde professionnel". Aussi bien au nom de l'égalité des chances que de la compétitivité des entreprises."La diversité donne plus de performance à toute organisation, et la plus facile à mettre en place est d'abord la féminisation", estime Mme Pannier-Runacher. "Si on prend toujours les mêmes, on finit par reproduire des erreurs".Frédéric Sanchez, président du groupe d'ingénierie Fives et responsable du Medef, présent lors de la rencontre, admet qu'il y a "des problèmes internes" dans les entreprises au moment des recrutements: "C'est sûr" dit-il."Je suis très insatisfait": Même en donnant des bonus aux chargés de recrutement pour des embauches féminines, "on n'y arrive pas". Pour lui, "c'est comme si des ingénieurs hommes de 40-50 ans étaient enclins à favoriser des hommes". Comme s'ils avaient du mal à faire confiance à des jeunes filles de 25 ans ou moins.
Il y a 3 ans et 257 jours

Destruction d'un bidonville de Montpellier sur ordre de la Préfecture

L'opération d'évacuation et de destruction du campement dit du "Zénith 2", où vivaient 150 personnes, dont une soixantaine d'enfants, selon le collectif Alerte Occitanie, a été ordonnée par le préfet Hugues Moutouh, en poste dans l'Hérault depuis le 19 juillet.Elle est intervenue après la destruction le 31 août, également sur ordre du nouveau préfet, d'un autre bidonville de Montpellier, le Mas Rouge.La septième ville de France (300.000 habitants, près de 500.000 pour l'agglomération) compte une dizaine de bidonvilles, où vivent depuis des années environ 800 personnes, majoritairement de nationalité roumaine, selon Alerte Occitanie, dont font notamment partie la Fondation Abbé Pierre et Médecins du Monde.La destruction du "Zénith 2" se fonde sur des décisions de justice "jamais exécutées", a insisté Hugues Moutouh lors d'une conférence de presse. Selon le préfet, elle se justifie également par l'insalubrité des lieux et le risque élevé d'incendies."Les expulsions ne font que déplacer le problème et les précédents préfets en étaient d'accord", a déploré lors d'une autre conférence de presse Christophe Perrin, de La Cimade, autre association membre d'Alerte Occitanie.Les associations ont, disent-elles, enregistré des progrès en matière d'accès au travail, à la santé ou encore à l'éducation parmi les populations concernées. Elles ont regretté "qu'une seule personne" viennent mettre à mal cette dynamique, qualifiant "d'illégale" l'action du préfet.La ville de Montpellier, dirigée depuis juillet 2020 par le socialiste Michaël Delafosse, "n'a pas formulé de demande d'expulsion de bidonvilles et demeure extérieure à ces opérations initiées par la préfecture, en application d'une décision de justice et sur la base d'une demande formulée sous le précédent mandat", a-t-elle indiqué dans un communiqué.La ville "souhaite poursuivre son action" pour "résorber un par un les bidonvilles", selon la même source.Évoquant un "échec collectif", le préfet de l'Hérault a affirmé de son côté que Zénith 2 accueillait seulement "75 habitants, dont seulement 11 ont déclaré avoir récemment travaillé et 49 sont fichés pour des délits". "Sur 18 mineurs, seuls sept sont partiellement scolarisés", a ajouté M. Moutouh."Je suis là, en partenariat avec les associations, pour définir un calendrier plus serré. C'est ce que j'appelle de mes vœux et j'espère que les associations répondront positivement", a-t-il ajouté.
Il y a 3 ans et 257 jours

Construction Days invite le béton

Les Construction Days se tiennent du 14 au 16 septembre au parc Eurexpo-Lyon. [©ACPresse] Dans moins d’une semaine, Construction Days ouvre ses portes au parc Eurexpo-Lyon. Créé par Comexposium et le Seimat, l’évènement durera 3 j. Et se tiendra principalement en extérieur, sur 9 ha d’expositions et de démonstrations.  Le Forum de conférences et d’ateliers constituera un des points forts du rendez-vous. Ainsi, le mardi 14 septembre sera l’occasion de découvrir “la rationalisation des process, le chantier connecté”. Puis, de savoir “Comment démarrer ou améliorer sa transition énergétique”.&nbsp; Mais c’est la journée du mercredi 15 septembre qui sera celle du béton&#8230; Ceci, à travers la conférence “Matériaux de construction&nbsp;: les nouvelles technologies au service de la transition énergétique”. Ce débat verra les interventions de Félicien Thiou, responsable construction durable de Cimbéton, de Pierre-Antoine d’Argento, délégué régional du SNBPE, et de Rolland Melet, président de 360SmartConnect. L’occasion d’en savoir plus sur “les leviers de la décarbonation de la construction en béton dans le cadre de la RE 2020”. Mais aussi sur “le béton bas carbone” ou encore sur “la traçabilité au service des objets de réduction carbone”.&nbsp; Animé par Béton[s] le Magazine L’ensemble de cette intervention sera animé par Frédéric Gluzicki, le rédacteur en chef de Béton[s] le Magazine. Rendez-vous le 15 septembre de 10 h 00 à 11 h 00 sous le chapiteau central des Construction Days. L’après-midi du même jour se poursuivra autour des nouvelles technologies au service de la transition énergétique, mais sous l’angle des matériels de construction. Enfin, les conférences du jeudi 16 septembre seront axées sur l’emploi, pour savoir comment attirer les talents vers le secteur de la construction ou de la maintenance du matériel&nbsp;?&nbsp; Côté exposants, les Construction Days réunissent quelques 74 industriels présents issus de 6 secteurs d’activité de la filière : “Terrassement, démolition et transport”, “Route, industries des matériaux et fondations”. Mais encore “Levage et manutention”, “Nouvelles technologies” et “Gros œuvre du bâtiment et filière du béton”. Cette dernière catégorie rassemble des spécialistes, tels que 360SmartConnect, Alphi, Arcen, Carmix, Glaap & Brinkman. Tous comme Imer, Lancy, Malherbe, Merlo, Pi Makina, Putzmeister et Sateco. 
Il y a 3 ans et 262 jours

Chassés par le dumping immobilier en Argentine des cabiais sèment la zizanie dans les beaux quartiers

Leur prolifération alimente un ardent débat en Argentine sur la protection de l'environnement et les inégalités dans le pays où 42% de la population est considérée comme pauvre.Véritable ville "fermée" avec ses maisons individuelles toutes équipées d'une piscine, ses complexes sportifs, ses lieux de culte et ses écoles, Nordelta vante d'offrir "la tranquillité de la nature et le confort de la ville" à ses riches habitants en quête de sécurité et d'homogénéité sociale, avec ses quartiers segmentés et ses vigiles privés.Construit il y a 20 ans, Nordelta a été érigé sur les zones marécageuses à l'embouchure du fleuve Parana qui se jette dans le Rio de la Plata au nord de Buenos Aires.Le complexe s'étend aujourd'hui sur 1.600 hectares où pataugeaient paisiblement autrefois des familles de cabiais, ces cochons d'eau également appelés capybara (Hydrochoerus hydrochaeris), le plus grand rongeur du monde qui peut peser jusqu'à 80 kilos."Vivre avec eux""Les capybaras ont toujours été là. On en voyait quelques-uns de temps en temps. Mais il y a trois ou quatre mois, ils (les promoteurs immobilier) se sont attaqués à leur dernier refuge entraînant la débandade", explique à l'AFP Perla Paggi, une voisine de Nordelta qui plaide pour la préservation de ces mammifères herbivores.Le défrichage de l'unique terrain vierge restant pour construire une clinique privée a délogé des centaines de familles qui ont envahi les quartiers chics."Nous devons apprendre à vivre avec eux, ce ne sont pas des animaux agressifs. Ils sont sans défense, on les enferme, on les prive de leur habitat et maintenant on se plaint parce qu'ils nous envahissent", souffle Mme Paggi qui plaide pour la mise en place d'une "réserve de 20 ou 30 hectares pour maintenir la diversité"."Nordelta était une zone humide très riche qui n'aurait jamais dû être touchée. Mais maintenant que le mal est fait, les voisins doivent parvenir à un certain niveau de coexistence avec les capybaras", renchérit le biologiste Sebastian di Martino, directeur de la conservation à la Fondation Rewilding Argentina."Mais ce n'est pas si simple", prévient-il, estimant que la création d'une réserve ne sera pas suffisante pour contenir la population en expansion, une femelle pouvant faire une portée de six petits chaque année."Il faut les tenir éloignés des enfants et des animaux domestiques. Et il faudra trouver un moyen de réguler leur population, peut-être en les déplaçant vers d'autres endroits", explique M. Di Martino.Selfies et mèmesDans l'attente d'une solution, les cabiais sont devenus une attraction photographique à Nordelta et un sujet de conversation en Argentine.Les réseaux sociaux regorgent de selfies et mèmes, certains saluant une nouvelle "guerre des classes" avec les cabiais venus récupérer leurs terres usurpées par les riches habitants de Nordelta.Un photomontage d'un cabiais lisant "Le Capital" de Karl Marx a été largement partagé autour du mot-dièse "#carpinchosvsChetos" (les cabiais contre les bourgeois, ndlr).Les habitants de Nordelta publient eux des vidéos d'accidents de la circulation causés par les cabiais traversant dangereusement les routes, des photos de poubelles renversées ou même d'un chien apparemment mordu par l'animal semi-aquatique.La prolifération des cabiais n'est pas une problématique propre à Nordelta mais également pour "de nombreuses régions du pays, urbanisées ou pas", note le biologiste.Sebastian di Martino pointe "l'altération et la dégradation des écosystèmes" qui ont "fait disparaître beaucoup d'espèces qui étaient leurs prédateurs naturels".Le cabiais est un mets de choix pour les jaguars, pumas, renards, chiens et chats sauvages, mais leur population est quasiment éteinte en Argentine."Sans prédateur qui régule sa population et génère également de la peur", le cabiai "ne se cache plus et passe toute la journée à manger", note-t-il.Un renversement de tendance pour cette espèce qui il y a 20 ans était menacée par la chasse intensive."Leurs peaux étaient très prisées pour la fourrure... mais cette mode est passée", explique M. Di Martino.
Il y a 3 ans et 264 jours

Des sols perméables chez O2D Environnement pour contrer le phénomène des îlots de chaleur urbains

Depuis 2004, O2D ENVIRONNEMENT® accompagne les projets de parkings, de voies d’accès et d’aires de vie perméables. Le concept et la formulation des solutions O2D® comportent des avantages environnementaux intrinsèques : infiltration naturelle des eaux pluviales sans ruissellement, système de sol « ouvert » rétablissant les échanges air-eau-sol, apport de matière organique et d’un couvert végétal pour certains de ses produits.L’étude menée par O2D ENVIRONNEMENT®:Avec la volonté d’optimiser ses solutions, O2D ENVIRONNEMENT® a lancé en 2017 le projet de recherche et développement ACTIV-S¹ et a mis en œuvre une plateforme expérimentale de parking perméable. Celle-ci a permis d’évaluer plusieurs axes de recherche, contribuant ainsi à l’alimentation des connaissances scientifiques sur les sols urbains. Ce projet a été mené en collaboration avec deux laboratoires. Le Laboratoire de Génie Civil et géo-Environnement (LGCgE), Junia Hauts-de-France et le Laboratoire d’Analyse Microbiologique des Sols (LAMS).Le comportement thermique des systèmes de sols perméables O2D® a fait l’objet de différentes analyses, en comparaison avec un revêtement en enrobé classique ainsi qu’à un espace de pleine terre enherbé. Et ses analyses prouvent la performance climatique des solutions perméables au regard de la lutte contre la formation d’îlot de chaleur urbain. Ces nouveaux sols urbains représentent une opportunité d’adaptation de la ville au changement climatique et à l’érosion de la vie dans les sols, en réduisant l’impact de l’aménagement de nombreuses surfaces traditionnellement minéralisées.¹ Projet subventionné par l’ADEME dans le cadre de l’initiative IPME 2016 Eau & Milieux Aquatiques et labellisé par le pôlede compétitivité HYDREOS.Des résultats éloquents :L’étude du comportement thermique sur les différents sols urbains a rapidement amené à différencier les périodes diurne et nocturne. Les cycles journaliers de stockage-déstockage de l’énergie solaire par les systèmes de sol ont bien été identifiés et se sont révélés particulièrement différenciants. Parmi les systèmes de sols étudiés, l’étude permet de distinguer trois types de performances climatiques au regard de la lutte contre la formation d’îlots de chaleur urbains :Comportement thermique défavorable : le sol enrobéComportement thermique favorable : Système O2D GREEN® et Système O2D MULCH®Comportement thermique modéré : Système O2D PAVE®Cette étude confirme le rôle de réservoir de chaleur que joue la fondation (transfert de chaleur vers les couches sous-jacentes et cycle de stockage-déstockage décalés dans le temps par rapport à celui de la surface). Un matériau de fondation “fermé” stocke davantage la chaleur qu’un matériau concassé permettant une certaine porosité. L’étude du comportement thermique après un épisode pluvieux a mis en évidence l'importance de la capacité de rétention en eau des systèmes. Les systèmes organiques sont impactés durablement par la captation d’eau et jouent un rôle de régulateur thermique grâce au phénomène d’évaporation. La surface des sols joue un rôle de capteur d’énergie solaire et d’accumulation de chaleur en journée. L’étude a révélé que la perméabilisation des sols contribue au refroidissement de ceux-ci, en permettant la circulation de l’air entre les différentes couches du sol.Des solutions innovantes et durables :En réponse aux besoins mécaniques et pratiques, des matériaux imperméables comme l’enrobé, le béton et l’asphalte étaient traditionnellement mis en œuvre sur les parkings, voiries et parvis. Après deux décennies de retours d’expériences et d'optimisation, les solutions alternatives comme les revêtements de sols perméables et végétalisés ont prouvé leurs performances techniques et leur efficacité en termes d’usages et de bénéfices environnementaux.L’étude du comportement thermique des technosols perméables permet d’attester de leurs performances climatiques dans un contexte de lutte contre la formation d’îlots de chaleur urbains. La perméabilité et la présence de matière organique, voire de végétation, semblent être la combinaison idéale pour lutter contre l’échauffement de l’air ambiant en zone urbaine. Cela confirme certaines recommandations pour l’adaptation de la ville au changement climatique, allant dans le sens du retour de l’eau et du végétal dans les espaces publics.Les solutions de sols urbains innovants d’O2D ENVIRONNEMENT® remplissent des objectifs environnementaux multiples au sein des villes : gestion des eaux pluviales par infiltration, adaptation au changement climatique, retour de la biodiversité dans les sols, végétalisation de surface.
Il y a 3 ans et 266 jours

Logement, école, trafics, transport: les plaies de Marseille

ÉcolePréfabriqués parfois installés depuis 17 ans, et, dans certains établissements, rats dans les cours, toit qui s'effondre ou punaises de lit dans les dortoirs: l'état des écoles marseillaises a été régulièrement pointé du doigt. "Certaines sont dans un état pitoyable", reconnaît le recteur de l'académie Aix-Marseille.Élue en juin 2020, la nouvelle municipalité de gauche avait fait campagne en promettant de consacrer un milliard d'euros pour leur rénovation. Après 30 millions d'euros pour des travaux d'urgence, 85 millions ont ensuite été engagés lors du vote du premier budget, en avril, pour un programme de réhabilitation de 11 des 472 écoles de la ville --des travaux qui devraient débuter en 2022.Le maire Benoît Payan explique avoir travaillé avec l'Etat à un "grand plan de rénovation" estimé à 1,2 milliard d'euros pour "rénover, requalifier ou reconstruire" environ 200 écoles de la ville. "Ce chantier, c'est comme si on avait à reconstruire une ville de 20.000 habitants de A à Z", avait-il plaidé début juin.TransportVille où le "tout voiture" prédomine, qui compte de très rares rues piétonnes, Marseille est très en retard dans son offre de transports en commun --la ville est même classée par Greenpeace comme la lanterne rouge en France en termes de solutions de mobilité alternatives à la voiture.La deuxième ville de France ne compte que 1.129 kilomètres de lignes de bus, tramway et métro, contre 3.886 à Lyon par exemple, selon l'Union des transports publics. Dotée de deux lignes de métro, trois lignes de tramways --dont les parcours sont parfois parallèles--, et 93 lignes de bus, la cité phocéenne n'offre aucune liaison directe entre les quartiers pauvres du Nord et ceux plus aisés du Sud. Et les projets avancent au ralenti: il a fallu cinq ans pour mettre en service, en décembre 2019, une extension du métro M2 de... 900 mètres.La ville méditerranéenne est aussi classée bonne dernière et "très défavorable" pour la pratique du vélo par la Fédération des usagers de la bicyclette, avec seulement 130 km de pistes cyclables sur la métropole, contre 750 pour l'agglomération lyonnaise.Trafic de drogueAvec 156 "plans stups", soit "deux fois plus que des bureaux de poste", Marseille est gangrénée par le trafic de drogue. Derrière ce chiffre révélé par le quotidien La Provence, des dizaines de milliers de personnes vivent notamment dans des conditions souvent infernales dans une quarantaine de cités des quartiers populaires de la ville.Ces trafics génèrent des sommes considérables, jusqu'à 80.000 euros par jour dans la cité des Oliviers A, attisant les convoitises et des guerres de territoire, avec des victimes de plus en plus jeunes: le 18 août, un tireur arrosait de balles de Kalachnikov un point de deal, tuant un adolescent de 14 ans.Depuis, trois personnes ont été tuées, portant à 15 le nombre des victimes des règlements de compte depuis le début de l'année.Pour lutter contre ces réseaux, le ministre de l'Intérieur a promis 300 policiers supplémentaires à Marseille d'ici 2023, dont 100 sont arrivés cette année dans les Bouches-du-Rhône, en plus de deux compagnies de CRS (120 personnels) désormais basées en permanence dans la ville. Selon le maire Benoît Payan, 800 policiers nationaux manquent encore.LogementDès 2015, le rapport Nicol dénombrait 40.000 taudis à Marseille, soit 100.000 personnes concernées sur 860.000 habitants. En novembre 2018, la mort de huit personnes dans l'effondrement d'un immeuble rue d'Aubagne, à deux pas du Vieux-Port, avait illustré de façon dramatique l'état de délabrement avancé d'une partie du parc immobilier, plombant les derniers mois de Jean-Claude Gaudin à la mairie.La situation est critique dans le coeur historique et populaire de Marseille, mais aussi dans certains ensembles périphériques. L'incendie, sans doute criminel, d'un immeuble de la cité des Flamants et la mort de trois des migrants nigérians qui y squattaient, avaient jeté en juillet une lumière crue sur ces "bidonvilles verticaux" dénoncés par la Fondation Abbé Pierre.Autre écueil: le manque de logements sociaux, avec 41.000 dossiers sans réponse. Et si Marseille approche du seuil légal de 25% fixé par la loi SRU, ces logements sont quasiment absents dans les quartiers aisés du Sud ou au centre. Résultat: dans tout le centre ancien, ce sont des logements insalubres qui jouent le rôle de logements sociaux de fait, selon l'association Un centre ville pour tous.Après la rue d'Aubagne, Etat et collectivités ont signé un plan d'action pour répartir les 600 millions d'euros promis contre l'habitat indigne, avec une stratégie à 15 ans pour 1.000 hectares du centre-ville, soit 200.000 habitants. Mais la première phase de ce projet, de 217 millions d'euros, vise quatre îlots dégradés seulement, soit 7 hectares."Il faut que Marseille se recouse, se relève", plaide son maireIl faut que Marseille "se recouse, se relève", car la deuxième ville de France "n'est pas à la hauteur" de ce qu'elle devrait être, a plaidé mardi auprès de l'AFP son maire, Benoît Payan, avant une visite du président Emmanuel Macron.Question: Pourquoi Marseille appelle-t-elle l'Etat à l'aide?Réponse: "C'est une ville bouleversante, merveilleuse, une ville de résilience. Mais c'est une ville dans une situation financière exsangue, qui n'est pas à la hauteur de ce qu'elle devrait être. Ca fait longtemps qu'elle rate ses rendez-vous. Elle doit avoir un rôle dans le pays, en Méditerranée. Pour ce faire, il faut qu'elle se reconstruise, qu'elle se recouse, qu'elle se relève. On a une situation dans les services publics, dans les écoles, les équipements publics, sportifs, culturels qui ne va pas du tout. Les écoles sont indignes de la République, la situation du logement ne correspond pas à la sixième puissance du monde.Marseille, qui est une ville qui fait cinq fois Lyon en surface, a deux lignes de métro inaugurées il y a 40 ans. Une grande métropole en Europe n'a pas été capable de faire une ligne de métro (de plus) en 40 ans!"Q: Qu'attendez-vous de l'Etat exactement?R: "L'Etat a un rôle à jouer, pas pour venir nous faire l'aumône ou sauver Marseille, mais pour qu'on fabrique quelque chose ensemble. On a commencé à travailler à un grand plan de rénovation des écoles car c'est là que tout commence. On a fabriqué un plan à 1,2 milliard d'euros, c'est ce qu'il faut pour rénover, requalifier ou reconstruire. Au moment où je vous parle je n'ai pas la participation de l'Etat mais personne ne peut imaginer, au vu des attentes colossales et au vu de la réalité, que le président de la République vienne jeter de la poudre de perlimpinpin. Les gens imaginent que c'est une ville qui vit sous oxygène de la République, sous financement de l'Etat (...) mais dans la réalité, c'est une ville qui est parfois moins dotée que les autres grandes villes françaises. Je ne veux pas de chèque, parce que je veux (l'Etat) comme partenaire, pas comme financeur. Comme partenaire pour montrer qu'on avance, pour être transparent dans la manière dont je fais les choses, pour pas qu'on dise l'argent est englouti je ne sais où."Q: Mais les mairies successives, de gauche comme de droite, n'ont-elles pas une responsabilité dans cette situation?R: "Marseille a souffert d'un personnel politique, droite et gauche confondues, qui n'a pas peut-être su ou trouvé l'ambition nécessaire. Quand l'Etat fait le choix, il fait le choix du projet le plus pertinent (à soutenir financièrement) et Marseille a rarement eu des projets pertinents, de la part des administrations de droite ou de gauche.On a eu pendant des années une incapacité à aller récupérer des fonds à l'Agence nationale pour la rénovation urbaine par exemple, à porter des projets, à consommer des crédits, évidemment que ça désespère l'Etat.Quand on est un minot à Marseille et qu'on est du mauvais côté de la barrière, c'est-à-dire dans des quartiers qui n'ont jamais été regardés par les élus pendant de trop nombreuses décennies, quand on a cette malchance, la mairie n'était pas là, mais quelque part aussi, la République n'était pas là."
Il y a 3 ans et 268 jours

Les plaques en polycarbonate ONDUCLAIR PC Crystal

La lumière joue un rôle essentiel dans la création artistique en favorisant la perception des éléments, des reliefs et des couleurs. Jean-Marie BLANCHET, artiste peintre, tenait à avoir un maximum de lumière naturelle dans son nouvel atelier. À Villeneuve sur Lot (47), un artiste peintre a réalisé une extension neuve de 75 m2 pour en faire son atelier. Ce chantier en auto-construction sur fondation pneu (technique qui consiste à poser des pneus usagés et à les remplir de gravier) a nécessité la pose de 40 plaques translucides en polycarbonate ONDUCLAIR PC ONDULINE.
Il y a 3 ans et 271 jours

Les plaques en polycarbonate ONDUCLAIR PC Crystal ONDULINE éclairent un atelier d’artiste

La lumière joue un rôle essentiel dans la création artistique en favorisant la perception des éléments, des reliefs et des couleurs. Jean-Marie BLANCHET, artiste peintre, tenait à avoir un maximum de lumière naturelle dans son nouvel atelier. À Villeneuve sur Lot (47), un artiste peintre a réalisé une extension neuve de 75 m2 pour en faire son atelier. Ce chantier en autoconstruction sur fondation pneu (technique qui consiste à poser des pneus usagés et à les remplir de gravier) a nécessité la pose de 40 plaques translucides en polycarbonate ONDUCLAIR PC ONDULINE. « J&rsquo;ai découvert ce matériau il y a une trentaine d&rsquo;années au travers des réalisations des architectes Lacaton & Vassal, notamment la maison Latapie. J&rsquo;ai tout de suite eu un coup de cœur pour ce matériau qui offre une lumière naturelle si importante pour la création artistique. Ce qui est particulier dans cet atelier, c&rsquo;est que mon projet s&rsquo;est construit autour de ce matériau ONDULINE et non pas l&rsquo;inverse. J&rsquo;ai cherché une structure bois esthétique pouvant se marier avec cet élément tout en laissant entrer un maximum de lumière. » précise Jean-Marie BLANCHET. Reconnue pour sa grande résistance aux chocs et aux grands écarts de température, et pour sa formulation qui lui confère une transparence proche du verre (90%), la plaque polycarbonate ONDUCLAIR PC ONDULINE éclaire cet atelier d&rsquo;artiste qui s&rsquo;ouvre complètement sur le jardin. &nbsp; ONDUCLAIR PC Des plaques hautes performances Jean-Marie BLANCHET développe : « J&rsquo;apprécie également les économies réalisées avec ONDUCLAIR. En effet, le prix de ce produit est très abordable. De plus, le polycarbonate est un matériau qui optimise la diffusion de la lumière naturelle, ce qui réduit l&rsquo;utilisation de l&rsquo;éclairage. » Une solution lumineuse La conception et la transparence de la plaque ONDUCLAIR PC favorise un éclairage naturel. La plaque offre une excellente transmission de la lumière et conserve durablement ses propriétés optiques grâce à son traitement anti-UV appliqué sur la surface extérieure par une technique de co-extrusion. Son mode de fixation est particulièrement simple grâce au kit de fixation proposé par ONDULINE. Ce kit comprend, selon le modèle de plaque choisi, les pontets plastiques spécifiques qui viennent épouser la forme de la plaque et les monovis bois ou les tirefonds à bourrer selon le type de support. ONDUCLAIR PC peut être utilisée dans toutes les zones géographiques car elle résiste aux températures très élevées (130°C) comme les plus basses (-30°C). Sa grande solidité et sa résistance aux chocs lui valent d&rsquo;être recommandée dans les régions régulièrement touchées par la grêle. Elle revêt de nombreux avantages en termes de coûts et de rapidité d&rsquo;exécution des chantiers que ce soient pour la couverture et le bardage de serres, de pergolas, d&rsquo;auvents, de carports, de bâtiments agricoles&#8230; Avantages produits : • Excellente tenue à la température : &#8211; 30 à 130 °C • Résistance au feu optimale B-s1,d0 • Haute résistance aux impacts et à la grêle 75m/s • Garantie 10 ans Caractéristiques • Épaisseurs : 0.8 mm &#8211; 1 mm • Masse volumétrique 1,20g/cm3 • Coloris : Cristal (transparent : 90% de transmission) / Blanc Opaque / Opalin (66% ou 46% de transmission lumineuse) www.onduline.fr
Il y a 3 ans et 271 jours

Chantier : PROFILDECK de JOUPLAST, structure autoportante pour terrasses dalles ou bois

Le propriétaire d’une maison, dans le département de l’Ain, a construit en cinq jours une terrasse de 70 m2 autour d’une piscine à coque. Afin de réussir son projet, il a choisi d’utiliser la structure autoportante en aluminium PROFILDECK® de JOUPLAST®. La terrasse est composée de grandes dalles carrées en céramique d’un mètre de côté sur 2 cm d’épaisseur. Les difficultés rencontrées au cours du chantier ont porté sur le terrain irrégulier et la réalisation des margelles de la piscine directement avec les dalles. Avant d’aborder les étapes de la pose, focus sur les éléments JOUPLAST® sélectionnés. &nbsp; Du sur-mesure facile à mettre en œuvre Structure autoportante, PROFILDECK® de JOUPLAST® est un profilé bi-face en aluminium innovant de 3 m linéaires. Ce système breveté complet convient à la réalisation de terrasses en dalles ou en bois et composite. Structure unique, PROFILDECK® dispose d’un côté spécifique pour accueillir les écarteurs nécessaires à la pose de dalles et d’un côté pour le vissage des lames bois ou pour les clips des lames composites. Dans le cas de cet ouvrage, PROFILDECK® de JOUPLAST® est parfaitement adapté à la pose de dalles grands formats autour d’une piscine à coque. La structure autoportante apporte une très bonne planéité, même sur un sol irrégulier en gravier. Légère et robuste, elle est simple à mettre en œuvre, même par une personne seule, et à découper. Le système offre de nombreuses possibilités : pose droite, décalée, multiformats… La gamme comprend également des adaptateurs servant à solidariser et à maintenir le profilé aux plots de la collection « Essentiel » JOUPLAST®, des équerres horizontales et verticales, des bandes anti-condensation, des écarteurs, des bandes caoutchouc autocollantes, un “T” de finition pour la réalisation de l’habillage latéral… Côté mise en œuvre, quatre outils suffisent : une visseuse, une scie à onglet, un niveau et un mètre. &nbsp; Conseils de pose &#8211; Un plan de calepinage est défini avant de commencer le chantier ; la hauteur minimale sous dalle doit être de 8,5 cm sur l’ensemble de la surface. &#8211; Un géotextile est déposé sur le sol décaissé (environ 15 cm), avant de réaliser une couche de fondation drainante composée d’un concassé 30/60 ou 40/80. &#8211; L’emplacement des profilés est tracé à l’aide d’un cordeau en respectant l’entraxe défini dans le plan de pose. &#8211; L’emplacement des plots au sol s’effectue à l’aide d’un traçage au cordeau, à la perpendiculaire, suivant l’entraxe préconisé, soit 80 cm pour des terrasses privées. &nbsp; Préparation de la structure autoportante PROFILDECK® de JOUPLAST® Les plots de la gamme « Essentiel » JOUPLAST® permettent l’installation des profilés PROFILDECK® grâce aux adaptateurs compatibles. Un adaptateur est fixé d’un simple clic sur chaque plot. Les profilés sont ensuite solidarisés et maintenus sur les plots via les adaptateurs. Ces derniers permettent également l’aboutage de 2 profilés à l’aide de 4 points de fixation. Légers, faciles à mettre à œuvre et à découper, les profilés bi-face en aluminium PROFILDECK® de JOUPLAST® sont adaptés à la pose de lames bois ou composite, côté face, ou de dalles minérales, côté pile. Le maillage de la structure est réalisé en fonction des dimensions des dalles. Des équerres d’assemblage horizontal permettent la réalisation des angles à 90°, la fixation de renforts ou d’un profilé périphérique. &nbsp; Étapes du chantier &#8211; Coller les bandes en caoutchouc Dérouler les bandes en caoutchouc autocollantes sur les profilés, face dalle. Ces bandes assurent un meilleur appui et un parfait maintien du dallage sur les profilés. &#8211; Mise en place de la structure Positionner les plots, clipser les adaptateurs sur la tête des plots, puis installer les profilés sur les adaptateurs en effectuant une pression. Régler la hauteur des plots en tournant l’écrou à la main jusqu’au niveau souhaité. &#8211; Mise en place des écarteurs et pose du dallage Clipser les écarteurs de dalles dans le rail du profilé PROFILDECK®. Ces écarteurs sécables, pour une pose décalée ou contre un mur, permettent de créer un espace drainant de 3 mm pour l’écoulement de l’eau entre les dalles. Leur débattement latéral de 10 mm facilite la pose. Installer le dallage en réajustant l’entraxe et le niveau au fur et à mesure de la pose. &#8211; Finition en bout de profilé Positionner les dalles en bout de profilé, en prenant soin de les laisser dépasser d’environ 2 cm afin d’y intégrer l’épaisseur de la plinthe. Insérer le T de finition dans le profilé (partie creuse vers le haut), puis le fixer à l’aide des vis de structure. Positionner le support d’habillage latéral sur la base du plot. Apposer de la colle PU sur les pièges à colle prévus sur le T de finition et sur le support d’habillage latéral. Poser la plinthe sur le support habillage latéral, à la base du plot, puis presser la contre la colle du T. &nbsp; Gamme PROFILDECK® de JOUPLAST® › Profilé aluminium bi-face : une face pour la réalisation de terrasses en bois et composite, une face pour la réalisation de terrasses en dalles minérales. Adapté aux plots JOUPLAST® de la gamme « Essentiel ». Longueur 3 m. Prix public indicatif : à partir de 45 € TTC Points de vente : négoces, grandes surfaces de bricolage › Vis de structure autoforeuses : pour la fixation des équerres et des adaptateurs. › Équerre d’assemblage horizontal : pour la fixation de renforts, de profilés ou la réalisation d’un angle horizontal à 90°. › Équerre d’assemblage vertical : pour la réalisation de marches ou d’un second niveau de terrasse. › Écarteur dalle : pour la création d’espaces drainants réguliers de 3 mm entre les carreaux de céramique. › Adaptateur pour plot : à clipser sur la tête du plot pour maintenir le profilé. › Bande caoutchouc autocollante : à positionner sur les rails du profilé face dalle. Permet le maintien du dallage sur le profilé et réduit les bruits et résonances générés lorsque l’on marche sur la terrasse. › T de finition : pour réaliser la finition latérale d’une terrasse dalles en maintenant la plinthe via un système de pièges à colle. › Support habillage latéral : pour maintenir la plinthe via un système de pièges à colle.
Il y a 3 ans et 272 jours

Travaux de maçonnerie : quels sont les différents types d’intervention possibles?

Les travaux de maçonnerie peuvent effectivement varier selon le type d’interventions que vous souhaitez entreprendre. Pour ce faire, le spécialiste évaluera la nature des opérations à réaliser avant de déterminer les tâches qui s’imposent. Dans cette optique, vous avez intérêt à vous adresser à un expert et faire appel à un maçon confirmé pour mener à bien votre projet. Il définira par la suite, en tenant compte des circonstances, s’il est nécessaire d’effectuer des gros œuvres. Le cas échéant, il exécutera juste des actions de seconds œuvres pour la concrétisation de votre rénovation. Les gros œuvres En général, il s’agit des travaux de maçonnerie extérieures qui constituent une part importante dans la structure de votre construction, tels que : L’assemblage du sol et de vos murs porteurs, La préparation de vos fondations en fonction des matériaux requis (pierres, briques, hourdis, parpaings), Dans cette optique, le professionnel organisera les différentes étapes en tenant compte de l’ordre prioritaire des interventions. A savoir : la mise en œuvre de béton/enduit/chape, la poses des carreaux… Dans le cas d’un arrangement de votre habitat, faire appel à un maçon vous permet de prévoir l’ouvrage de cloisons, afin de redistribuer vos espaces. Il peut également prendre en charge les réalisations maçonnées suivantes : escalier en béton, foyer maçonné. Pour ce faire, il a besoin de mobiliser différents outils spécifiques pour mener à bien ses missions, tels que pelles et brouette, afin d’assurer le transport des matériaux. En vue d’exécuter le malaxage des mortiers, l’utilisation de bétonnière est nécessaire. Tandis qu’il se servira d’aiguille vibrante purger l’air dans les bétons et remplir les espaces vides. Sans oublier les règles, les taloches, la truelle… Les seconds œuvres Dans la pratique, il s’agit des travaux de maçonnerie qui concernent les finitions, à savoir : la pose de chapes de sol, telles que carrelage… l’installation de revêtements muraux (enduit, briques…). Faire appel à un expert en travaux de maconnerie vous permettra notamment de réaliser des aménagements spécifiques, en réalisant : la destruction de vos murs porteurs ou de cloisons, le changement de portes ou de fenêtres… En d’autres termes, vous aurez la sérénité de confier votre chantier entre les mains d’un spécialiste, quel que soit le type des interventions à faire : rénovation de votre immeuble, agrandissement d’espace, petite maçonnerie… En effet, il est primordial d’assurer les différentes étapes de construction en respectant les règles de l’art. Selon l’envergure de votre projet, vous aurez à définir s’il est nécessaire d’engager un ou plusieurs artisans. Pour conclure, les travaux de maçonnerie exigent la maîtrise de compétences spécifiques ; et ce, quelle que soit la nature des interventions à faire. Qu’il s’agisse de gros œuvres ou de second œuvre, faire appel à un maçon vous permettra ainsi de bénéficier de l’expertise des meilleurs spécialistes dans ce domaine. Ce sera l’assurance que votre projet sera mené à bien, selon les exigences du métier. Pour ce faire, ces professionnels utiliseront les outils adéquats, afin de soigner leur finition et garantir ainsi la solidité de votre structure.