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Résultats de recherche pour maison individuelle

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Il y a 3 ans et 231 jours

Artibat : Le rendez-vous des innovations

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine A n’en pas douter, Artibat sera le plus important salon du secteur du BTP en cette année 2021. [©ACPresse] Après plus de dix-huit mois de pandémie, accompagnés de son lot de contraintes – de distanciations sociales, de circulation, de rencontres -, les choses semblent rentrer tout doucement dans l’ordre. Ainsi, les premiers salons professionnels ont pu rouvrir leurs portes, apportant une belle bouffée d’oxygène, tant aux industriels exposants qu’à leurs visiteurs, ravis de se retrouver. Dans ce contexte, Artibat s’annonce déjà comme un grand rendez-vous. A n’en pas douter, il sera le plus important salon du secteur du BTP en cette année 2021. Quelque 1 000 exposants français et européens ont signé pour avoir un stand et pas moins de 40 000 visiteurs – dûment vaccinés ou testés négatifs – sont attendus dans les allées. Chacun s’y prépare avec enthousiasme. Pour patienter, Béton[s] le Magazine a opéré une petite sélection des nouveautés annoncées, à découvrir en vrai au 13 au 15 octobre prochain, au Parc des expositions de Rennes. L’occasion aussi de nous y retrouver, stand K 05, au cœur du hall 10B. Dossier préparé par Yann Butillon, Sivagami Casimir et Frédéric Gluzicki  Mini sommaire : Aerolithys – Bétn Mousse Technologie : Un béton mousse sur placeATDV : Deux découpes électriquesCermix : Deux solutions de protection des bétonsCiments Calcia : Tourné vers le bas carboneDiam Industries : Carottage et sciageEdilteco : De plus en plus légèreEqiom : Une démarche responsableHeco-Schrauben : Une vis pour tous les climatsHusqvarna : Une série de nouveautésKP1 : 100 % en recycléMapei : Des nouveautés et une avant-premièreParexlanko : Un enduit biosourcé pour le patrimoineRector : Tout pour la maison individuelle de demainSaint-Gobain Weber : Une formule repenséeSika : Une fibre biosourcéeSchöck : Rupteurs virtuels et réelsVicat VPI : Un enduit pour la créativité Parmi les annonceurs de Béton[s] le Magazine n° 96
Il y a 3 ans et 231 jours

Juridique/Loi Elan : seuils, critères et mise en œuvre de la RE 2020

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. La RE 2020 s’appliquera aux permis de construire déposés à partir du 1er janvier 2022 et concernera aussi bien les constructions neuves que les ajouts de parties neuves sur des ouvrages déjà existants. [©ACPresse] La loi pour l’Evolution du logement, de l’aménagement et du numérique (loi Elan) n° 2018-1021 du 23 novembre 2018 a créé la réglementation environnementale RE 2020. Pour la filière de la construction, il s’agit d’une approche bien plus exigeante que la réglementation thermique RT 2012… D’une manière concrète, tous les bâtiments construits vont devoir produire de l’énergie, dans une quantité a minima égale à celle consommée (dépense énergétique de 0 kWh/m2/an). L’application de la RE 2020 ayant été reportée, cette nouvelle réglementation concernera in fine les permis de construire déposés à partir du 1erjanvier 2022. C’est-à-dire aussi bien les constructions neuves que les ajouts de parties neuves sur des ouvrages déjà existants. La RE 2020 se fonde sur deux mécanismes principaux : l’analyse de cycle de vie dynamique (I) et la mise en place de seuils maximaux d’émission de gaz à effet de serre et de consommation d’énergie (II).  I – Analyse de cycle de vie dynamique et intégration des degrés-heures A – Analyse du cycle de vie dynamique La RE 2020 introduit le calcul de l’analyse du cycle de vie dynamique1, qui additionne les impacts carbone estimés de tous les matériaux et équipements utilisés dans un bâtiment. Les émissions de gaz à effet de serre liées au chantier lui-même sont aussi prises en compte dans le calcul (engins de chantier comme bases de vie). Il s’agit donc d’une forte incitation à utiliser des matériaux, techniques et équipements alternatifs. Mais aussi à préférer les industriels engagés dans la décarbonation de leurs processus, à recourir à des matériaux géo-sourcés (qui nécessitent peu d’étapes de transformation et bénéficient d’un fort taux de réemploi ou de recyclage), et d’innover par la mixité des matériaux. B – Seuil maximal de degrés-heures Afin de prendre en compte les effets du changement climatique, un indicateur de confort d’été exprimé en degrés-heures (DH)2doit de plus être calculé lors de la conception du bâtiment. La RE 2020 fixe une fourchette de 350 à 1 250 DH, sous peine de pénalités de calcul de la performance énergétique du bâtiment. Les solutions de climatisation passive sont ainsi fortement encouragées.  II – Création de seuils maximaux pour les constructions A – Seuil maximal d’émission de gaz à effet de serre et réduction du Bbio Par rapport aux exigences de la RT 2012, le seuil maximal pour le besoin bioclimatique des logements est abaissé de 30 %. Néanmoins, le seuil de Bbio n’est abaissé que de 20 % pour les maisons d’une surface inférieure ou égale à 70 m2. Et pour les logements collectifs dont la surface totale est inférieure ou égale à 500 m2. Un seuil maximal d’émission de gaz à effet de serre est aussi fixé. Pour les maisons individuelles, il est limité à 4 kgCO2/m2/an et exclut ainsi les systèmes exclusivement au gaz. Pour les logements collectifs, il ne doit pas dépasser 14 kgCO2/an/m2dès 2022, puis à 6,5 kgCO2/m2/an dès 2025. B- Seuil maximal de consommation d’énergie primaire non renouvelable Par ailleurs, la RE 2020 systématise le recours à la chaleur renouvelable par la mise en place d’un seuil maximal de consommation d’énergie primaire non renouvelable. L’idée est d’empêcher un retour massif du radiateur électrique au plus fort de l’hiver. Ainsi, ce seuil est de 55 kWhep/m2/an dans le logement résidentiel individuel, et de 70 kWhep/m2/an en collectif. Le cas des réseaux de chaleur fait néanmoins l’objet d’un régime particulier, afin de leur donner le temps de réaliser les investissements nécessaires à leur décarbonation. Ainsi, pour les logements collectifs chauffés via un réseau de chaleur existant, le seuil est abaissé à 8 kgCO2/an/m2 à compter de 2025, puis à 6,5 kgCO2/an/m2à partir de 2028. Pierre LacoinAvocat à la CourCabinet 1792 Avocats 1Label E+C–avec pondération des matériaux en fonction de l’année réelle d’émission des gaz (coefficient variant de 1 pour l’année de livraison à 0,59 pour la 50eannée postérieure). 2Nombre d’heures par an durant lesquelles le bâtiment dépasse le seuil de 28 °C le jour et 26 °C la nuit, multiplié par la différence entre la température simulée et l’écart avec la limite de 28 °C ou 26 °C.  Retrouvez aussi le dossier sur le bas carbone et la RE 2020 dans Béton[s] le Magazine n°96 Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine.
Il y a 3 ans et 231 jours

Rector : Tout pour la maison individuelle de demain

Article paru dans le n° 96 de Béton[s] le Magazine. Rector propose une multitude de solutions pour la maison individuelle, répondant aux exigences de la RE 2020. [©Rector] A l’occasion d’Artibat, Rector met en avant ses solutions pour la maison individuelle. Et plus particulièrement ses produits répondant à la RE 2020. En effet, l’industriel veut montrer qu’il peut déjà répondre aux trois grands enjeux de la nouvelle réglementation. A savoir, la performance énergétique, la maîtrise du bilan carbone et le confort d’été. Par exemple, dans le premier volet de la RE 2020, Rector propose tout un système complet. Ce dernier est composé de la gamme de planchers Equatio avec entrevous isolant, de rupteurs et autres accessoires, pour traiter l’ensemble des ponts thermiques du plancher en isolation 100 % intégrée. Concernant l’empreinte carbone, l’industriel met en avant les avantages de la préfabrication. De plus, « nous proposons à nos clients des solutions adaptées pour décarboner les planchers : Rectoplast Recyclé, Primolight et Rectolight, ainsi que des montages mis au point pour chaque chantier », explique Côme Lesage, responsable marketing stratégique. Enfin, Rector lance une toute nouvelle gamme de planchers Equatio chauffant et rafraîchissant issus du partenariat avec Rehau. Intégré dans la dalle, ce système permet un confort d’été et d’hiver, tout en répondant à la RE 2020.  Sur Artibat : Hall 10B – Stand G45 Retrouvez l’ensemble du dossier sur les innovations d’Artibat
Il y a 3 ans et 241 jours

Comment réussir nos transitions et réhabiliter l'acte de loger ?

À très court terme, l'un des enjeux majeurs consiste à transformer l'essai de la Réglementation Environnementale 2020, qui a fait l'objet d'un compromis positif entre ambition et faisabilité technique. La réforme reste considérable et va se traduire par des surcoûts conséquents et durables, du fait du rehaussement triennal des exigences. C'est pourquoi le Pôle Habitat FFB demande un accompagnement financier des ménages, notamment les plus modestes, et un accompagnement de la filière sur la durée en regard de la transformation profonde qu'induit la RE2020 sur les manières de construire.Dans un monde où la digitalisation a bouleversé les usages et les process de travail des acteurs, le Pôle Habitat FFB attend de la dématérialisation des autorisations d'urbanisme qu'elle permette de gagner concrètement en fluidité et en rapidité d'instruction. Sur la relation clients, le Contrat de Construction de Maison Individuelle digital, dont une version 100% dématérialisée a été mise à disposition des adhérents du Pôle Habitat FFB au cœur du confinement du printemps 2020, a déjà séduit près de 23 000 ménages et démontre la pertinence du développement de solutions numériques sur l'ensemble de la chaîne de valeur de la filière.Enfin, avec l'intégration du métier de Rénovateur global, le Pôle Habitat FFB évolue pour accompagner le développement d'une activité au cœur des politiques publiques du logement, déjà exercée par 13 % de ses adhérents, en valorisant des approches d'ensemblier de l'acte de rénover, lisibles et sécurisantes pour les ménages.Côté conjoncture, l'année 2021 s'avère contrastée pour les différents segments du logement neuf. Porté par des conditions de crédit toujours très favorables et surtout par un désir réaffirmé des ménages de jouir d'un cadre de vie plus spacieux et plus proche de la nature, le marché de la maison neuve poursuit sa dynamique : +24% sur un an à fin juillet 2021 en secteur diffus, soit près de 140 000 ventes. En revanche, l'aménagement foncier et surtout le logement collectif continuent de souffrir. Entre 2017 et 2021, plus de 50 000 logements collectifs autorisés auront été perdus, avec une chute limitée aux seules zones réputées tendues depuis 2 ans.Cette tendance préoccupe d'autant plus que la machine à surenchères semble s'emballer une nouvelle fois au détriment du logement neuf abordable.Ainsi, le Pôle Habitat FFB émet de vives réserves quant à la proposition du rapport Girometti-Leclercq sur la qualité du logement qui consisterait à introduire un critère de surface minimum pour bénéficier, à horizon 2023, des conditions du Pinel actuel.Il en est de même de la proposition de stimuler la généralisation de chartes locales, sans s'assurer de garantir aux porteurs de projets l'équilibre de leurs opérations, via des contreparties fixées à due proportion des exigences et performances souhaitées.Enfin, appliqué sans nuance, le « Zéro Artificialisation Nette », tel que poursuivi par la loi Climat et Résilience, bloquera toute forme d'extension urbaine et alimentera encore davantage la crise du logement (besoins insatisfaits et hausse exponentielle des prix), d'autant que les projets de densification peinent à trouver leur public. Le Pôle Habitat FFB plaide ainsi pour une définition claire et opérationnelle de l'artificialisation des sols et l'introduction d'un degré de liberté d'appréciation locale, en lien avec les élus locaux.Pour Grégory Monod, Président du Pôle Habitat FFB, « à force d'accuser la construction neuve de "bétonner et d'artificialiser l'espace", de "détruire la biodiversité", en quelque sorte d'accroître le dérèglement climatique, un courant de pensée anti-construction s'est diffusé, à tel point qu'une grue est devenue suspecte et un panneau de chantier une menace ! Conscients de notre empreinte durable sur les territoires et de notre responsabilité d'anticiper, nous avons pourtant démontré depuis des années notre capacité à construire plus sobre, plus performant et plus durable. L'impératif environnemental, que chacun d'entre nous partage, ne doit pas faire oublier que se loger est un besoin aussi élémentaire et vital que s'alimenter ou respirer. Construire pour loger les ménages reste un puissant vecteur de progrès, de cohésion sociale et territoriale. »
Il y a 3 ans et 242 jours

Le SNFA publie les nouvelles règles professionnelles vérandas à ossature aluminium

Ces règles professionnelles ont été acceptées par la C2P (Commission Prévention Produits) de l'Agence Qualité Construction et sont intégrées dans sa publication trimestrielle page 8.Ce document rappelle particulièrement qu'une Véranda constitue un espace largement vitré, accolé à la maison, chauffé ou non, qui crée une pièce supplémentaire et se distingue des ouvrages d'aménagement de terrasse de type Pergolas, même si celles-ci peuvent prévoir des systèmes de fermeture.Le terme « véranda » désigne un volume dont la destination peut être très variable allant d'une extension du séjour, avec toutes les exigences d'une pièce à vivre, à un jardin d'hiver non chauffé ou à un sas d'entrée destiné à une simple mise hors d'eau de cet espace. Les performances attendues de ces vérandas ne seront pas les mêmes et nécessiteront de faire appel à des conceptions et des produits ou composants adaptés, selon l'utilisation désirée, surtout, en termes de confort et d'habitabilité.L'utilisation du terme « véranda » implique ainsi :Des systèmes conformes aux Règles Professionnelles en vigueurDes espaces très vitrés complémentaires à la maison et respectant les règles d'urbanismesDes ouvrages de construction soumis à la garantie décennaleCes Règles professionnelles ont pour but d'accompagner l'ensemble des acteurs de la chaîne tels que les maîtres d'œuvre, architectes, bureaux d'études, entreprises, en vue d'orienter au mieux les choix techniques en phase conception, de bien appréhender les solutions techniques proposées par les entreprises et enfin, de suivre la réalisation en phase chantier.Verandas et pergolasLes systémes de PERGOLAS à ossature aluminium sont également couvert par leurs propres Règles Professionnelles.Même possédant une toiture et des fermetures verticales, les PERGOLAS ne revendiquent pas de performance de clos et couvert. Dans la très grande majorité des cas, une véranda est construite sur un habitat déjà existant. Il est donc nécessaire, avant de procéder à l'étude, à la commande et à la réalisation de cette véranda :D'avoir une réflexion approfondie sur la destination attendue de cette nouvelle pièce ;De faire un examen attentif de l'état de l'existant sur lequel va venir s'implanter cette nouvelle véranda ;De réfléchir aux conséquences éventuelles sur l'habitat existant, par exemple sur sa ventilation, du fait de l'implantation de ce nouvel espace.Dans cet esprit ce document a été scindé en deux parties :Une première partie appelée « Règles de définition du projet » ayant pour but d'aider à la réflexion préalable sur l'objet véranda-pièce désiré et permettant d'écrire le cahier des charges de la réalisation envisagée.Une deuxième partie dénommée « Règles de réalisation du projet » qui fixe les règles à respecter lors de la réalisation de la véranda à partir du cahier des charges préétabli. Cette partie ne traite pas de la conception de la véranda-pièce ni de l'intégration sur l'existant, fruit de la première partie.Des règles et des outils pratiquesLes Règles Professionnelles Vérandas établies par le SNFA ont vu le jour en 2004 et ont évolué au fil des changements d'usage et d'offre sur le marché. Pour accompagner les professionnels et les maitres d'ouvrage dans la définition et la réalisation du projet, elles intègrent des outils pratiques : y figurent les incontournables, les bonnes questions, les réflexions communes afin d'aboutir à un projet techniquement réalisable et conforme aux attentes du maître d'ouvrage.Elles comportent les informations essentielles avec de nombreux schémas et exemples rendant accessibles les problématiques classiques, mais également, les évolutions notamment sur deux sujets majeurs que sont l'aléas sismique et la ventilation (annexes J et K).Concernant les dispositions sur le sismique, la nouvelle règlementation de 2014 a amené les professionnels du secteur à travailler pour y répondre et apporter des dispositions constructives. En effet, cette règlementation a redéfini les zones de sismicité et a classifié les bâtiments en 4 catégories d'importance croissante.A cela s'ajoute le fait que les vérandas, accolées à une maison individuelle pour leur grande majorité, sont considérée en catégorie II, comme la maison.Concernant la ventilation, les nouvelles préconisations des Règles Professionnelles tiennent compte des systèmes de ventilation de la maison existante pour dimensionner ceux de la véranda et obtenir un ensemble de renouvellement d'air qui ne dégradera pas la situation initiale. Plusieurs cas de figure illustrent les configurations et les solutions, tout en tenant compte des usages de la véranda.De plus, à cette ventilation d'hygiène, l'annexe ajoute la notion de ventilation de rafraichissement (sur-ventilation).La ventilation hygiénique consiste à amener de l'air extérieur neuf et évacuer l'air viciéLa sur-ventilation et le rafraichissement nocturne consistent à augmenter le renouvellement d'air afin d'abaisser la température intérieureLes Règles Professionnelles, dans le traitement du confort été considèrent également la protection solaire, moyen complémentaire à la sur-ventilation pour la gestion des apports de chaleur et de lumière.Ventilation d’hygiène, sur-ventilation et protection solaire extérieure
Il y a 3 ans et 243 jours

L'activité des matériaux de construction commence à ralentir

L'épisode d'accélération et de rattrapage, à l'œuvre depuis quelques mois, semble donc toucher à sa fin, les rythmes de production en juin-juillet s'inscrivant en retrait au regard de 2020 (qui était marqué il est vrai par une phase de net rebond à la sortie du premier confinement), mais aussi par rapport à 2019. Pour autant, les indicateurs de demande restent bien orientés en cette fin d'été : côté Bâtiment, les carnets de commandes restent accrochés à un point haut tandis que, côté Travaux publics, les entreprises ont renoué avec un certain optimisme quant à leurs perspectives d'activité. Pour autant, certains points appellent à la vigilance : les difficultés d'approvisionnement en matériaux (essentiellement importés) affectent le bon déroulement des chantiers et pèsent sur les coûts de production tandis que certains secteurs de la construction (comme le non résidentiel) peinent encore à repartir.Repli des volumes au cours de l'étéSelon les premiers résultats des enquêtes mensuelles, la production de granulats aurait reculé de -2,9% entre juin et juillet 2021, laissant le volume en retrait de -3,3% par rapport à 2020 et -2,2% au regard de 2019 (données CVS-CJO). Au cours des 3 derniers mois, l'activité a baissé de -3,7% par rapport au trimestre précédent mais reste encore supérieure de +4% comparée à la même période de 2020. Elle accuse toutefois une contraction si on se réfère à 2019 (-1,8%). En cumul sur les douze derniers mois glissant, l'activité des granulats affiche certes une hausse de +10,4% mais elle est stable au regard de la même période sur 2019. Ce constat vaut aussi pour le cumul sur les sept premiers mois de 2021 qui s'aligne sur celui de la même période de 2019 (+0,2%). Côté BPE, le mois de juillet a également marqué un freinage des tendances avec des cubages en repli de -3,3% par rapport à juin et de -9% et -4,1% comparé à ceux de 2020 et 2019 respectivement. Au cours du dernier trimestre connu, les livraisons de BPE ont reculé de -5,3% par rapport à février-mars-avril mais restent un peu au-dessus de celles enregistrées sur la même période de 2020 (+0,8%). Elles sont toutefois légèrement en deçà de celles de 2019 (-0,7%). Si les douze derniers mois affichent un glissement de +14,2% sur un an, ils sont un peu en dessous de celles de 2019 (-0,8%), tout comme le cumul sur les sept derniers mois de 2021 qui s'inscrit en retrait de -1% comparé à la même période de 2019 (contre +21,8% comparé à 2020). L'indicateur Matériaux confirme pour sa part cette même décélération des tendances. Après un premier semestre en forte hausse (+25% par rapport à 2020), la progression de l'activité sur les sept premiers mois de l'année revient à +19,5%, soit une hausse de +2,8% comparée à la même période de 2019 (données provisoires, CJO).Bâtiment : optimisme sur fond de tensionsL'optimisme reste de mise parmi les industriels du bâtiment. Interrogés en août par l'INSEE, les professionnels demeuraient très confiants quant à leur activité future, leur opinion sur l'activité passée diminuant un peu mais restant très au-dessus de la moyenne de long terme. Le rebond du solde d'opinions des entrepreneurs sur leurs effectifs futurs témoigne de la bonne orientation de l'activité tandis que leurs carnets de commandes, qu'ils jugent toujours bien garnis, affichent plus de 10 mois d'activité dans le gros oeuvre compte tenu de leurs effectifs, soit un nouveau point haut. Dans le même temps, les professionnels de ce secteur soulignent de fortes tensions sur l'appareil productif : plus des deux tiers d'entre eux éprouvent des difficultés de recrutement et près de 57% ne peuvent accroître leur activité. Enfin, même si la part des entreprises du bâtiment qui sont confrontées à des difficultés d'approvisionnement baisse un peu en août (12,9% contre un pic à 14,3% en juillet), elle se situe à un niveau très élevé au regard de la moyenne de longue période (1,7%).Du côté de la construction, les mises en chantier ont reculé au cours des trois mois allant de mai à juillet (-5,5% en glissement trimestriel, CVS-CJO) alors qu'elles avaient rebondi les trois mois précédents (+8,5%). Ce repli, qui affecte l'individuel comme le collectif, laisse toutefois la tendance trimestrielle globale à +4,8% sur un an avec une nette avance du segment individuel pur (+10,8% contre -0,9% pour le collectif). Sur les douze derniers mois, on compte ainsi 386 300 logements commencés, soit une progression de +8,2% sur un an mais en repli de -1% comparé à la même période de 2019. Côté permis, la tendance reste haussière avec une progression de +2,8% au cours des trois derniers mois comparés aux trois mois précédents, le collectif affichant un rebond de +5%. Comparé à l'an passé, la tendance (+41,8%) est forcément flatteuse, effet confinement oblige, mais elle reste très positive si on se réfère à 2019 avec une hausse des permis de +4,2%. Ainsi, en cumul sur les douze derniers mois, à fin juillet, on dénombrait 445 100 autorisations, soit un niveau supérieur de +10,8% à celui de 2020 et à peine plus faible que celui de 2019 (-1%). Ce constat est étroitement lié à la dynamique du segment individuel dont le cumul des permis sur les six derniers mois a bondi de +17% par rapport à la même période de 2019 !Cette tendance pourrait se prolonger au second semestre si l'on en croit la hausse des prises de commandes enregistrées par les constructeurs. Il est vrai que le secteur bénéficie du fort engouement pour la maison individuelle, en période de post crise sanitaire, ainsi que des conditions de financement qui n'ont jamais été aussi attractives, et ce, en dépit des tensions inflationnistes qui pèsent sur le foncier et les coûts de construction. D'ailleurs, selon la dernière enquête menée par l'INSEE en juillet auprès des promoteurs, ces derniers se montrent plutôt confiants quant à la demande de logements neufs et sont un peu plus nombreux qu'en avril à prévoir une augmentation des mises en chantier de logements (aussi bien destinés à la vente qu'à la location). Selon les promoteurs, l'apport personnel des candidats à l'acquisition tend à augmenter et les moyens de financement consacrés à l'achat devraient s'étoffer dans les prochains mois ; en revanche, ils signalent aussi une hausse du prix moyen des biens.TP : des entreprises plus confiantesSelon l'enquête trimestrielle menée par la FNTP fin juillet, les chefs d'entreprise se montraient bien plus optimistes qu'en avril, soulignant également une nette amélioration de leur activité passée. Cette embellie concerne aussi bien la clientèle privée que publique et, pour le troisième trimestre consécutif, le solde d'opinons sur les carnets de commandes se redresse, se situant désormais audessus de sa moyenne de long terme ; parmi les obstacles limitant la réalisation des travaux, les contraintes de main-d'oeuvre talonnent désormais le manque de demande (33% et 34% respectivement). Tout comme le bâtiment, les TP doivent faire face à des hausses de prix de certains matériaux (produits en acier et plastique notamment) et à des difficultés de recrutement.
Il y a 3 ans et 243 jours

ACTIS renforce son équipe Prescription pour accroître sa présence sur tous les marchés

La rénovation énergétique des bâtiments publics est une priorité du Plan de Relance lancé par le gouvernement. Elle a pour objectif de favoriser les économies d’énergie, réduire les émissions de CO2 et d’encourager le développement des énergies propres. En parallèle, la RE2020, qui entrera en vigueur au 1er janvier 2022, a pour but de diminuer l’empreinte carbone des bâtiments neufs et d’en améliorer leurs performances thermiques. Pour répondre aux forts besoins d’isolation de ces bâtiments et accroître sa présence sur ce secteur, Actis, fabricant français d’isolants réflecteurs alvéolaires, renforce son équipe de Prescription avec l’arrivée d’une nouvelle Responsable de Prescription dédiée au marché collectif et tertiaire. Déjà leader sur le marché des isolants réflecteurs alvéolaires pour maisons individuelles, en neuf comme en rénovation, Actis consolide sa présence sur le marché des bâtiments collectifs et tertiaires. Dans ce contexte, l’organisation de l’équipe de prescription d’Actis, dirigée par Thomas Thierry, évolue et se renforce avec l’arrivée de Katia Fernandez Brouard, Responsable de Prescription Tertiaire Sud-Ouest. Bénéficiant de près de 10 ans d’expertise dans le bâtiment, elle a pour mission de promouvoir les solutions d’isolation à forte valeur ajoutée de la marque auprès des maîtres d’ouvrages publics et privés et de les accompagner dans tous leurs projets de rénovation et de construction neuve. Outre ce nouveau recrutement, l’équipe se compose de 9 Responsables de Prescription dédiés à la Maison Individuelle, répartis sur l’ensemble du territoire. En parallèle, Yann Sernin et Pierre Barretieri, anciens Responsables de Prescription, occupent désormais les postes de Directeurs Régionaux de la Prescription pour l’Ouest et l’Est de la France. « L’objectif de cette nouvelle organisation est de professionnaliser les équipes afin qu’elles soient pro-actives et toujours au plus près des clients pour leur offrir l’expérience Actis la plus complète », conclut Thomas Thierry, Directeur de la Prescription d’Actis. https://www.actis-isolation.com/
Il y a 3 ans et 263 jours

Les solutions Rector en Maisons Individuelles pour des planchers RE2020

Applicable dès janvier 2022, la RE2020 a pour but de diminuer l’empreinte carbone des bâtiments neufs et d’en améliorer leurs performances thermiques. Cette nouvelle réglementation va engager une transformation profonde dans la manière de produire, de concevoir et de construire les bâtiments. Spécialiste de la fabrication d’éléments de plancher en béton précontraint et béton armé, RECTOR s’engage aux côtés de ses clients dans la réduction de l’impact environnemental en proposant, dès à présent, des solutions pensées pour répondre aux exigences de la RE2020. Ces dernières seront présentées sur le stand de RECTOR au salon ARTIBAT qui se tiendra à Rennes du 13 au 15 octobre 2021. Des solutions concrètes pour répondre aux principaux enjeux de la RE2020 en maisons individuelles Partenaire privilégié des Cmistes (Constructeurs de Maisons Individuelles) et leader sur ce marché depuis près de 70 ans, Rector propose la gamme la plus complète de solutions préfabriquées innovantes et optimisées, du soubassement aux toitures terrasse. Grâce à la pertinence de ses systèmes préfabriqués, Rector répond d’ores et déjà aux trois principaux enjeux de la RE2020 : • Isolation et traitement des ponts thermiques pour chaque niveau de la maison Avec sa gamme de planchers Equatio avec entrevous isolants (vide sanitaire, sous-sol, étage, toitures terrasses) associée à ses Box de rupteurs de ponts thermiques et leurs accessoires, Rector est l’un des seuls industriels à être capable de traiter l’ensemble des ponts thermiques du plancher en isolation 100% intégrée. Pour le vide sanitaire, Rector propose des combinaisons (planchers Equatio VS et entrevous isolants Rectosten) pour être au plus juste du PSI conforme à la réglementation RE2020, quelle que soit la zone climatique. Le département Recherche et Développement Rector a ainsi revu l’ensemble des calculs pour ajuster les performances des planchers aux nouvelles exigences de Bbio et proposer une gamme élargie d’entrevous à languette allant de l’up 40 à l’up 11. Les systèmes de planchers bas et à étage Rector avec isolation intégrée sont à privilégier par rapport à ceux avec isolation rapportée. En effet, en plus du gain de temps et de surface, ce type d’isolation permet l’application d’un revêtement directement sur la table de compression ou encore l’intégration d’un plancher chauffant/rafraîchissant directement sans chape. « Parce que nous avons pris en compte toutes les zones climatiques de France lors de nos études, nous sommes en capacité d’apporter des solutions pertinentes et standardisées, et d’accompagner tous nos clients lors de leur mise en œuvre pour des maisons conformes. Grâce à l’ajustement de nos solutions calculées au juste psi, l’atteinte des performances thermiques des planchers selon les seuils envisagés de la RE2020 est beaucoup plus simple », explique Côme Lesage, Responsable Marketing Stratégique. • Maîtrise du bilan carbone Nécessitant moins de béton pour leur fabrication et moins de transport pour les livrer sur les chantiers, les planchers préfabriqués Rector sont naturellement plus sobres en matière et bénéficient d’un impact environnemental réduit. Ils sont, en plus, dotés d’une durée de vie quasi-illimitée. Pour obtenir un bon bilan carbone, un plancher constitué de poutrelles précontraintes et d’hourdis Rector est une solution optimisée comparée à d’autres solutions telles que le dallage porté ou la dalle sur terre-plein. Enfin, Rector commercialise une gamme d’entrevous légers, en plastique 100% recyclé, en bois, pour le vide sanitaire ou les planchers en étage dont les formulations ont été pensées pour réduire l’impact carbone sur les chantiers. « Nous proposons à nos clients des solutions adaptées pour décarboner les planchers : Rectoplast Recyclé, Primolight et Rectolight ainsi que des montages mis au point pour chaque chantier », ajoute Côme Lesage. Au-delà de la composition de ses produits, Rector met au cœur de sa démarche l’économie circulaire, l’optimisation des transports, la gestion des ressources et des déchets en usine comme sur les chantiers de ses clients. Enfin, toutes les solutions de planchers préfabriqués Rector font l’objet de Fiche de Déclaration Environnementale et Sanitaire (FDES) pour assurer aux constructeurs et bureaux d’étude la qualité et les performances de systèmes. • Prise en compte du confort d’été Rector lance une nouvelle gamme de plancher Equatio® chauffant rafraîchissant, issue de son partenariat avec Rehau. Tout en préservant l’inertie thermique du plancher, ce système, intégré dans la dalle, permet aux constructeurs de maisons individuelles d’offrir le confort à leurs clients, été comme hiver, tout en répondant à la RE2020. Avec l’ensemble de toutes ces solutions durables de planchers préfabriqués Rector, les professionnels de la maison individuelle ont l’assurance de faire le choix de la performance à coûts maîtrisés et de la conformité à la nouvelle réglementation. http://www.rector.fr
Il y a 3 ans et 243 jours

Construire une maison sur-mesure en Alsace

L’Alsace est une région historique et une collectivité territoriale qui se trouve dans la partie est de l’Hexagone. Elle est constituée de plusieurs communes disposant chacune de paysages différents mais tous intéressants les uns que les autres. De par les attraits économiques et touristiques de cette zone, mais aussi grâce à la beauté de sa nature diversifiée, de plus en plus de personnes y viennent. Nombreux d’entre eux sont séduits par cette région et finissent par construire une maison sur-mesure en Alsace. Voici justement les raisons de ce choix. Pourquoi l’Alsace ? Construire une maison en sur-mesure, oui, mais pourquoi en Alsace ? Comme dans la plupart des régions françaises, l’offre immobilière est en tout temps un environnement contraint en Alsace. Son instabilité est due à l’intervention d’autres secteurs sociaux, politiques, économiques, etc. Malgré des conditions coriaces, l’investissement dans la pierre dont notamment le bâtiment reste impérativement une alternative pour rester à l’abri financièrement et choisir l’Alsace c’est opter pour une zone en plein essor et qui promet un bel avenir en matière immobilière. Plusieurs facteurs attirent les investisseurs dans l’immobilier qui viennent en Alsace. D’abord, c’est une zone très touristique grâce à son histoire et le fait qu’elle soit un lieu de passage pour changer de frontière. Ensuite, il s’agit d’une région qui fait partie des trois pôles de compétitivité labellisés. Après, il ne faut pas oublier qu’il s’agit également de la seconde région la plus industrialisée du pays, ce qui est une aubaine pour les investisseurs. Et pour finir, il s’agit d’une région viticole en plus d’être tournée vers l’international. Tout cela attire les personnes qui veulent construire une maison sur-mesure en Alsace. Pourquoi une maison en sur-mesure ? Construire une maison sur-mesure est souvent l’alternative idéale à prendre si l’on souhaite donner vie à ses rêves et ses envies. Cette option permet de faire une personnalisation à volonté d’un bâti. Il est même possible de concevoir soi-même les plans de construction ainsi que l’aménagement intérieur et extérieur. Le propriétaire a également le droit de choisir lui-même les matériaux et réaliser les finitions selon ses envies et ses goûts. En somme, l’ensemble de la construction peut être faite en fonction des possibilités dont on dispose (taille du terrain, budget, etc.), et des désirs. A qui confier la construction d’une maison en sur-mesure ? Pour obtenir des résultats satisfaisants, l’idéal est de faire appel à des professionnels dans le domaine de la construction. C’est le cas de Beral, une entreprise à taille humaine qui œuvre dans la conception de maison en sur-mesure en Alsace. Grâce à ses années d’expérience, elle peut prendre en main n’importe quel projet dans le domaine de la construction que ce soit pour une maison contemporaine ou une maison de style traditionnel. Elle intègre un bureau d’études constitué de professionnels qui sont aptes à prendre en main tout de la construction de la conception de plans jusqu’à la livraison de la maison individuelle sur-mesure, en passant bien évidemment par la construction proprement dite.
Il y a 3 ans et 244 jours

Le bâtiment se veut optimiste mais craint pour la trésorerie de ses entreprises

CONJONCTURE. En cette rentrée 2021, la Fédération française du bâtiment parle d'une relance économique "bridée" pour le secteur. La maison individuelle redresse nettement la barre, l'amélioration-entretien remonte la pente. Mais les difficultés de recrutement et d'approvisionnement en matériaux menacent à terme la santé financière des entreprises.
Il y a 3 ans et 244 jours

Le bâtiment peine à revenir aux niveaux d'avant-crise

Par rapport au premier semestre 2020, où la construction s'était effondrée en raison du premier confinement, l'activité a augmenté de 24,9%. Mais "au global, l'activité bâtiment a reculé de 6,3% au premier semestre 2021 par rapport au premier semestre 2019", a déclaré Olivier Salleron, président de la Fédération française du bâtiment (FFB), lors d'une conférence de presse.Malgré ces difficultés, "l'emploi constitue la meilleure des surprises", avec la création de 68.800 emplois entre les premiers semestres 2019 et 2021, se réjouit le président de la FFB. La fédération observe néanmoins la destruction de 5.300 équivalents-emplois à temps plein dans l'intérim.L'activité est tirée principalement par le logement individuel neuf. Sur ce segment, le nombre de permis de construire augmente de 18,3% au premier semestre par rapport à la même période en 2019, et les mises en chantier de 4%."On peut dire que la volonté de nos concitoyens à avoir une maison individuelle avec un bout de jardin se confirme", a commenté M. Salleron.En revanche, "le logement collectif neuf continue de souffrir" avec -6,9% de permis de construire sur les six premiers mois de 2021, par rapport au premier semestre 2019.C'est dans les zones tendues, dans les grandes villes, que les permis reculent le plus (-11% sur deux ans).Le segment amélioration-entretien déçoit également, avec un recul de 4,8% par rapport à l'avant-crise. Seule la rénovation énergétique, en particulier pour les logements, tire son épingle du jeu grâce aux aides MaPrimeRénov'.Au total, la FFB s'attend à un repli de 5% de l'activité en 2021 par rapport à 2020, et craint tout particulièrement la hausse des prix des matériaux, qui pèse sur les trésoreries des entreprises, dans un contexte de pénurie.Elle demande d'ailleurs au gouvernement une prise en charge totale du chômage partiel "s'il est provoqué par une pénurie de matériaux ou matériels à installer".
Il y a 3 ans et 245 jours

L'Observatoire de la Qualité de la Construction présente son Flop 10 annuel

L'Observatoire de la Qualité de la Construction de l'AQC a construit quatre dispositifs d'observation des pathologies dans la construction.Parmi eux, le Dispositif Sycodés s'appuie sur les données fournies par les rapports des experts appelés par les assureurs lors de la mise en œuvre de l'assurance Dommages-Ouvrage. Il a pour but d'identifier et quantifier les pathologies de nature décennale les plus récurrentes et les plus coûteuses.Le Flop 10 de ce rapport présente les 10 éléments d'ouvrage qui portent les effectifs et les coûts de réparation les plus importants, parmi les désordres sur travaux neufs signalés à Sycodés durant plus de deux périodes décennales (1995 à 2020) en France.Cette hiérarchie de désordres est analysée dans le rapport par des experts et par catégorie de construction : maisons individuelles, logements collectifs et locaux d'activité.Le revêtement de sol doit progresser en qualitéÀ titre d'exemple en maison individuelle, sur la période 2018-2020, les revêtements de sol intérieur sont en première place du Flop 10, en effectif comme en coût de réparation. Pour Catherine Labat, expert construction au cabinet Neoxa-Ixi, des progrès peuvent être accomplis sur le comportement du support, en particulier sur les chapes fluides qui sont de plus en plus utilisées : « Elles présentent une sensibilité élevée au retrait pendant le séchage et peuvent faire des "vagues" (appelé tuilage), ce qui entraîne à moyen terme des fissures dans le carrelage. Le domaine des chapes fluides évolue avec des Règles professionnelles en cours d'élaboration et la mise en place d'une certification. ».La catégorie des fondations superficielles connaît une diminution importante, passant de 14 % en 2017-2019 à 11 % sur 2018-2020. « L'impact positif est probablement lié à la sensibilisation et prise de conscience induite chez les professionnels. Nul doute que la réglementation renforce cette baisse importante », note Jean-Pierre Thomas, directeur technique adjoint de la branche Construction du groupe Stelliant.Autre exemple mais en logement collectif cette fois, les sinistres liés aux fenêtres et portes-fenêtres (hors toiture) sont en 3e position en effectif, stables sur les trois dernières années (2018-2020) mais subissant une très forte augmentation par rapport à la période 2010-2020 (6 %). La mise en œuvre de la RT 2012 pourrait expliquer cette envolée selon Jean-Pierre Thomas. « Une fenêtre ou une porte-fenêtre qui laisse passer l'eau, c'était déjà un sinistre. Mais si elle laisse passer trop d'air, à l'issue de l'essai réglementaire d'infiltrométrie prévu par la réglementation thermique RT 2012, cela devient aussi un sinistre alors que cela n'était pas le cas auparavant. »Alerte sur la mousse de polyuréthane projetée in situLe rapport 2021 s'intéresse aussi au Dispositif Alerte, un autre dispositif d'observation de l'AQC qui permet d'identifier les risques sériels par une analyse qualitative de signaux faibles de Sycodés. En effet, le Dispositif Alerte fait état d'un nombre accru de sinistres avec de la mousse polyuréthane projetée in situ, en isolation sous chape, principalement sur le marché de la maison individuelle. Ce désordre se manifeste par une déformation de la mousse avec un affaissement qui peut être ponctuel et réparti aléatoirement dans la pièce. Le tassement commence rapidement (entre deux et quatre semaines) après la projection mais le désordre peut apparaître plus tardivement (jusqu'à cinq à six mois après la réception du chantier). L'ampleur de l'affaissement varie de 3 à 5 cm selon l'épaisseur de la mousse projetée (qui peut varier de 6 à 10 cm).Enfin, le rapport 2021 propose un focus sur les deux autres Dispositifs d'observation de l'AQC : le Dispositif Rex Bâtiments performants et le Dispositif VigiRisques.(1) CFEC : Compagnie française des experts construction – FFA : Fédération française de l'assurance – FSE : Fédération des sociétés d'expertise – SNEIC : Syndicat national des experts IRD et construction.
Il y a 3 ans et 250 jours

Planchers RE2020 : les réponses de l'entreprise Rector pour la maison individuelle.

Rector, fabricant de produits préfabriqués en béton, propose des solutions adaptées pour respecter les exigences de la RE2020, à retrouver au salon ARTIBAT du 13 au 15 octobre 2021 à Rennes.
Il y a 3 ans et 251 jours

Ener-J Meeting Paris : venez assister aux prises de parole des experts du CSTB le 7 septembre

Ils interviendront dans deux conférences pour présenter le programme Profeel avec l'Agence Qualité Construction, mais aussi la démarche prospective ADEME-CSTB. Ener-J meeting est le rendez-vous des acteurs de la construction et de l'aménagement sur la thématique de l'efficacité énergétique et environnementale du bâtiment. Au programme : nouvelles réglementations, tendances et retours d'expérience. Le CSTB partenaire de l'événement, participera à deux conférences. Olivier Greslou, de la direction Energie-Environnement, interviendra aux côtés de l'Agence Qualité Construction dans le cadre de la présentation du Programme partenarial PROFEEL, qui comporte 9 défis pour la rénovation énergétique. Il y présentera le projet RénoStandard, l'un des 4 projets portés par le CSTB au sein du programme, qui vise à déployer des solutions de rénovation globales pour des gammes de maisons individuelles standardisées. Rendez-vous à 9h30 dans la l'espace Exposants Conférence 2 Jean-Christophe Visier, directeur de la Prospective au CSTB, prendra quant à lui la parole dans le cadre de l'atelier d'immersion : « Prospective des bâtiments et de l'immobilier à 2050 », pour présenter la démarche prospective ADEME-CSTB, qui a pour ambition d'imaginer les bâtiments de demain, à horizon 2050. Une démarche collective qui réunit des professionnels venant de tous horizons - ingénieurs, sociologues, économistes et acteurs de la ville - pour réfléchir sur les avenirs possibles, et mieux éclairer les choix d'aujourd'hui. Pour assister à cet atelier, rendez-vous à 10h. dans le petit auditorium, 1er étage Ener-J Meeting, le 7 septembre 2021, au Palais Brongniart, Paris En savoir plus : Site Ener-J meeting S'inscrire à Ener-J meeting
Il y a 3 ans et 252 jours

Guide Solutions Planchers

Le Groupe Fabemi, industriel français, vient de faire paraître l’édition 2021 du guide Solutions Planchers dédié à la mise en œuvre de ses poutrelles, entrevous et accessoires. Véritable outil de travail, le catalogue réunit toutes les informations sur les produits Fabemi et les conseils de pose nécessaires aux professionnels, des prescripteurs aux poseurs. Chaque type d’ouvrage (maison individuelle, petit collectif, ERP…) trouve dans cette édition sa solution détaillée, illustrée de schémas clairs et de tableaux explicites, les produits employés et les accessoires.
Il y a 3 ans et 254 jours

Chassés par le dumping immobilier en Argentine des cabiais sèment la zizanie dans les beaux quartiers

Leur prolifération alimente un ardent débat en Argentine sur la protection de l'environnement et les inégalités dans le pays où 42% de la population est considérée comme pauvre.Véritable ville "fermée" avec ses maisons individuelles toutes équipées d'une piscine, ses complexes sportifs, ses lieux de culte et ses écoles, Nordelta vante d'offrir "la tranquillité de la nature et le confort de la ville" à ses riches habitants en quête de sécurité et d'homogénéité sociale, avec ses quartiers segmentés et ses vigiles privés.Construit il y a 20 ans, Nordelta a été érigé sur les zones marécageuses à l'embouchure du fleuve Parana qui se jette dans le Rio de la Plata au nord de Buenos Aires.Le complexe s'étend aujourd'hui sur 1.600 hectares où pataugeaient paisiblement autrefois des familles de cabiais, ces cochons d'eau également appelés capybara (Hydrochoerus hydrochaeris), le plus grand rongeur du monde qui peut peser jusqu'à 80 kilos."Vivre avec eux""Les capybaras ont toujours été là. On en voyait quelques-uns de temps en temps. Mais il y a trois ou quatre mois, ils (les promoteurs immobilier) se sont attaqués à leur dernier refuge entraînant la débandade", explique à l'AFP Perla Paggi, une voisine de Nordelta qui plaide pour la préservation de ces mammifères herbivores.Le défrichage de l'unique terrain vierge restant pour construire une clinique privée a délogé des centaines de familles qui ont envahi les quartiers chics."Nous devons apprendre à vivre avec eux, ce ne sont pas des animaux agressifs. Ils sont sans défense, on les enferme, on les prive de leur habitat et maintenant on se plaint parce qu'ils nous envahissent", souffle Mme Paggi qui plaide pour la mise en place d'une "réserve de 20 ou 30 hectares pour maintenir la diversité"."Nordelta était une zone humide très riche qui n'aurait jamais dû être touchée. Mais maintenant que le mal est fait, les voisins doivent parvenir à un certain niveau de coexistence avec les capybaras", renchérit le biologiste Sebastian di Martino, directeur de la conservation à la Fondation Rewilding Argentina."Mais ce n'est pas si simple", prévient-il, estimant que la création d'une réserve ne sera pas suffisante pour contenir la population en expansion, une femelle pouvant faire une portée de six petits chaque année."Il faut les tenir éloignés des enfants et des animaux domestiques. Et il faudra trouver un moyen de réguler leur population, peut-être en les déplaçant vers d'autres endroits", explique M. Di Martino.Selfies et mèmesDans l'attente d'une solution, les cabiais sont devenus une attraction photographique à Nordelta et un sujet de conversation en Argentine.Les réseaux sociaux regorgent de selfies et mèmes, certains saluant une nouvelle "guerre des classes" avec les cabiais venus récupérer leurs terres usurpées par les riches habitants de Nordelta.Un photomontage d'un cabiais lisant "Le Capital" de Karl Marx a été largement partagé autour du mot-dièse "#carpinchosvsChetos" (les cabiais contre les bourgeois, ndlr).Les habitants de Nordelta publient eux des vidéos d'accidents de la circulation causés par les cabiais traversant dangereusement les routes, des photos de poubelles renversées ou même d'un chien apparemment mordu par l'animal semi-aquatique.La prolifération des cabiais n'est pas une problématique propre à Nordelta mais également pour "de nombreuses régions du pays, urbanisées ou pas", note le biologiste.Sebastian di Martino pointe "l'altération et la dégradation des écosystèmes" qui ont "fait disparaître beaucoup d'espèces qui étaient leurs prédateurs naturels".Le cabiais est un mets de choix pour les jaguars, pumas, renards, chiens et chats sauvages, mais leur population est quasiment éteinte en Argentine."Sans prédateur qui régule sa population et génère également de la peur", le cabiai "ne se cache plus et passe toute la journée à manger", note-t-il.Un renversement de tendance pour cette espèce qui il y a 20 ans était menacée par la chasse intensive."Leurs peaux étaient très prisées pour la fourrure... mais cette mode est passée", explique M. Di Martino.
Il y a 3 ans et 257 jours

EDILTECO : LA CHAPE XXs®

LA CHAPE XXs® prête à l’emploi est compatible avec tous les revêtements de sols et offre un gain de poids d‘environ 50 % par rapport à une chape traditionnelle. La densité du mélange – 1200 kg/m3 – est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle. Chape XXs de chez EDILTECO UNE CHAPE LÉGÈRE ET POLYVALENTE Solution innovante, LA CHAPE XXs® est prête à l’emploi et compatible avec tous les revêtements de sols. Cette chape légère et fibrée est destinée à améliorer l’affaiblissement acoustique de tous les revêtements de sol. LA CHAPE XXs® doit sa légèreté aux billes de polystyrène vierge expansé et enrobées de l’adjuvant EIA (Diamètre 2 – 3 mm). La densité du mélange – 1200 kg/m3 – est deux fois plus légère qu‘une chape traditionnelle et admet une épaisseur d’application minimale de 1 cm (en pose adhérente sur béton). Grâce à sa légèreté, LA CHAPE XXs® ne surcharge pas les structures. Une légèreté qui ne se fait pas au détriment d’une grande qualité de robustesse : fibrée, elle possède de hautes propriétés mécaniques. Sa simplicité de mise en œuvre va permettre de l’utiliser pour de nombreux usages : chapes adhérentes ou désolidarisées, rattrapages de niveaux, formes de pentes, isolation acoustique aux bruits de chocs, dressage de surface et mise à niveau des planchers ; en toiture à pente nulle ou pente jusqu’à  15 %, avec recouvrement par membrane étanche (DTU 43.1). UNE ISOLATION ACOUSTIQUE OPTIMALE Destinée aux applications intérieures et extérieures, LA CHAPE XXs® permet d’isoler et de traiter acoustiquement les différents types de supports existants dans les immeubles collectifs et les maisons individuelles. Ses performances en matière d’affaiblissement acoustique (21 dB en épaisseur 5 cm + Sous-Couche Acoustique Mince) permettent une absorption efficace des bruits de chocs (talons, chute d’objets, déplacement de mobiliers etc.). LA CHAPE XXs® est la solution idéale pour tous les travaux neufs ou de rénovation. UNE MISE EN ŒUVRE PLUS SIMPLE En plus de ses performances isolantes LA CHAPE XXs® présente une grande facilité de mise en œuvre, permettant de réduire les délais de pose. Cette simplification est liée au fait que LA CHAPE XXs® est parfaitement pompable sur de longues distances et à grande hauteur. Sa consistance mousseuse permet une application efficace lors de la mise à niveau et une parfaite planéité. Son mode d’application est similaire aux règles du DTU 26.2. Une fois mise en œuvre, LA CHAPE XXs® est prête à recevoir directement un carrelage collé ou un autre revêtement. 24 heures suffisent pour la pose sans ragréage d’un revêtement céramique, 36 heures pour un sol souple et textile sur ragréage et 48 heures pour un parquet flottant. Autre avantage, LA CHAPE XXs® peut être utilisée à partir d’une faible épaisseur : 1 cm en pose adhérente sur support béton, 2 cm en pose désolidarisée sur support bois, 5 cm sur SCAM ≤ 0,5 cm y compris au-delà de tout élément noyé dans LA CHAPE XXs® (gaines, canalisations, etc.). Pour l’applicateur c’est donc un gain de temps supplémentaire dans le coulage de la chape, l’assurance d’une finition parfaitement lisse et homogène des sols et la possibilité d’usages multiples. Polyvalente, LA CHAPE XXs® est utilisée pour tout type de chantiers, en maison individuelle ou en immeuble collectif, pour des travaux neufs ou en rénovation, et sur tout type de revêtements de sol : plancher béton ou bois, dalle béton, carrelage collé, carrelage scellé, parquet flottant, parquet collé, revêtement stratifié, moquette ou encore sol souple… À Retenir : – 2 x plus légère qu’une chape traditionnelle.– Rattrapage de niveau à partir de 1 cm sur support béton et 2 cm sur support bois.– Finition parfaitement lisse.– Affaiblissement acoustique aux bruits de chocs : 21 dB avec une SCAM – Collage direct du carrelage après 24 heures, sans ragréage.– Produit fibré, pas besoin de treillis anti-fissuration– Compatible avec tous les revêtements de sols– Application simple et confortable– Sac prêt à l’emploi.– Fabriqué en France (49). Pour plus d’informations, n’hésitez pas à consulter la documentation XXs® ou à visionner la vidéo de mise en œuvre.
Il y a 3 ans et 259 jours

Guide « Solutions Planchers » Fabemi Gros Œuvre 2021

Le Groupe Fabemi, industriel français, vient de faire paraître l'édition 2021 du guide Solutions Planchers dédié à la mise en oeuvre de ses poutrelles, entrevous et accessoires. Spécialisé dans la fabrication d'éléments de planchers préfabriqués, Fabemi compte parmi les leaders sur le marché de la poutrelle. Véritable outil de travail, le catalogue réunit toutes les informations sur les produits Fabemi et les conseils de pose nécessaires aux professionnels, des prescripteurs aux poseurs. Chaque type d'ouvrage (maison individuelle, petit collectif, ERP…) trouve dans cette édition sa solution Fabemi détaillée, illustrée de schémas clairs et de tableaux explicites, les produits employés et les accessoires.
Il y a 3 ans et 260 jours

10ème Prix national de la construction bois (PNCB) : les cinq lauréats

Les lauréats du 10ème Prix national de la construction bois (PNCB) ont été dévoilés en juillet 2021. L’édition 2021 a récompensé cinq réalisations bois exemplaires dans trois catégories : Aménagement Intérieur ou Extérieur ; Equipement / Tertiaire / Logement Collectif ; Maison Individuelle. Le Prix National de la Construction Bois (PNCB) met chaque année en lumière […] L’article 10ème Prix national de la construction bois (PNCB) : les cinq lauréats est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 264 jours

Guide « Solutions Planchers » Fabemi Gros Œuvre 2021 – Un précieux outil d’information pour les professionnels

Le Groupe Fabemi, industriel français, vient de faire paraître l’édition 2021 du guide Solutions Planchers dédié à la mise en œuvre de ses poutrelles, entrevous et accessoires. Spécialisé dans la fabrication d’éléments de planchers préfabriqués, Fabemi compte parmi les leaders sur le marché de la poutrelle. Véritable outil de travail, le catalogue réunit toutes les informations sur les produits Fabemi et les conseils de pose nécessaires aux professionnels, des prescripteurs aux poseurs. Chaque type d’ouvrage (maison individuelle, petit collectif, ERP…) trouve dans cette édition sa solution Fabemi détaillée, illustrée de schémas clairs et de tableaux explicites, les produits employés et les accessoires. Le guide Solutions Planchers 2021 apporte toutes les informations nécessaires à la conception et à la mise en œuvre de nombreux types de montages, classés par catégories : plancher toiture-terrasse, plancher intermédiaire, plancher vide-sanitaire et plancher haut de sous-sol. Dès les premières pages, il met en avant, sous forme de croquis en 3D avec coupes verticales, différents bâtiments correspondant à un projet de montage précis. Chaque partie de l’édifice est référencée, avec un renvoi aux pages consacrées aux produits et accessoires Fabemi préconisés.   Les montages planchers : une présentation efficace Trois grandes familles de montages planchers – Raidtherm®, Tradiraid® et Optiraid® – sont déclinées dans leurs différentes configurations et domaines d’emploi (Raidtherm® plancher isolant, Raidtherm® Duo plancher isolant sous chape flottante, Raidtherm® Décor plancher isolant finition décor…). Chaque montage est structuré de la même façon : photo en 3D, avec focus sur les avantages symbolisés par des pictos (thermique, économique, résistance au feu, facilité de pose…). Puis sont cités les domaines d’emploi du montage, auxquels succèdent les photos légendées de chacun des éléments employés, avec renvois de pages au chapitre « Les produits ». Les produits : poutrelles et entrevous suivent un ordre logique Ici encore, la maquette du guide Fabemi 2021 vise l’efficacité et adopte les mêmes grandes lignes de présentation que dans le chapitre précédent : photo de chaque élément, pictos, avantages, caractéristiques, avec l’accent mis sur les performances du produit. Les conseils de mise en œuvre sont illustrés par des schémas et des photos. Les accessoires De la poutre aux rupteurs thermiques en passant par les planelles et les suspentes, les nombreux accessoires Fabemi sont ici détaillés un par un, dans la continuité d’une présentation générale qui sert véritablement de fil conducteur. Les photos, schémas et conseils de mise en œuvre occupent une place importante, car la réussite du projet en dépend.   Cahier technique : exigences et préconisations de pose Dans ce chapitre, tout est dit sur les réglementations thermiques, acoustiques et incendies en vigueur. Calculs, mesures et cotes sont expliqués par des schémas pour chaque type de plancher et de bâtiment. Les préconisations de pose Poutrelles et Entrevous se réfèrent au stockage, à la manutention, à la préparation du plancher, à la mise en place des éléments, à l’étaiement et au coulage du béton. Les dernières pages de Solutions Planchers  fournissent des informations sur le logiciel Raid®, développé par le Bureaux d’Études Fabemi, qui permet de réaliser des plans de pose conformes aux réglementations en vigueur, en précisant le quantitatif complet des produits nécessaires à la réalisation du plancher.
Il y a 3 ans et 293 jours

Pénurie de matériaux et construction de maisons : Interview de Damien Hereng (FFCMI)

Alors que le marché de la maison individuelle rebondit, les constructeurs doivent gérer des hausses de prix de matériaux inédites et des retards de livraison inquiétants. Damien Hereng, président de la FFCMI* témoigne.
Il y a 3 ans et 264 jours

Nouveau circulateur d'eau chaude sanitaire Wilo-Star-Z Nova

Avec une conception de produit entièrement repensée, les gammes Wilo-Star-Z NOVA permettent une efficacité énergétique et un confort d’utilisation renforcés, dans une conception ultra compacte.Sécurité d'hygiène maximaleWilo ne néglige aucun détail en matière d'hygiène de l'eau potable : « De nombreux composants garantissent le plus haut degré de sécurité en matière d'hygiène », explique Philippe Wiss, chef de produits chez Wilo. « Le Wilo-Star-Z NOVA T nouvelle version a conservé le clapet anti-retour qui a fait ses preuves et la détection automatique de la désinfection thermique. » La combinaison de la minuterie intégrée et du thermostat de l'équipement standard ne laisse aucune chance aux germes.Nouvelle technologie moteur pour un fonctionnement efficaceLe nouveau Wilo-Star-Z NOVA T est désormais encore plus économe en énergie : « Nous avons pu optimiser considérablement la technologie moteur, ce qui nous a permis de réduire de plus de 70% la consommation d'énergie (pourtant déjà faible) du modèle précédent », explique Philippe Wiss. L’équipement du circulateur avec une coque d’isolation thermique fait également partie des mesures d’optimisation de l’énergie. Wilo, pionnier en matière d’innovation technologique sur le marché des pompes, a également amélioré et simplifié la manipulation de la pompe : « Cela commence par l’installation de la pompe, qui devient un jeu d’enfant, grâce au robinet d’arrêt et au connecteur Wilo-Connector », explique Philippe Wiss. "La technologie du bouton vert avec son guidage intuitif de l'utilisateur et son écran LCD montrent tous les paramètres de la pompe et facilite également sa configuration et sa maintenance." Cette gamme impressionnante de fonctionnalités et ses possibilités de réglages personnalisés font du nouveau Wilo Star-Z NOVA T une pompe qui offre un haut niveau de sécurité en matière d’hygiène, une faible consommation d’énergie et une convivialité supérieure.Focus Wilo-Star-Z NOVA TApplicationCirculateur pour eau chaude sanitaire Wilo-Star-Z NOVA T (version pompe à rotor noyé) pour maison individuelle.Ce circulateur convient seulement pour l'eau potable.ConstructionPompe pour installation en ligne, moteur synchrone auto-protégé avec couple de démarrage élevé.Avec coquille d'isolation thermique de série, filetage du corps Rp ½.Corps de pompe en laiton, roue Noryl, arbre en céramique.Utilisable dans les applications d'eau potable jusqu'à une dureté max. de 20 °dH. Puissance absorbée de 6 W.Pompe complète avec vanne à boisseau sphérique et clapet anti-retour avec filetage G1, horloge intégrée, contrôle de la température et routine pour la détection et le soutien d'une précaution thermique anti-légionnelle côté chaudière.AvantagesSécurité d'hygiène élevée assurée par une technologie éprouvée avec le clapet, la détection automatique de la désinfection thermique, l’horloge intégrée et le thermostatRendement énergétique amélioré grâce à une technologie de moteur adaptée avec une consommation électrique de seulement 6 wattsGrand confort d'utilisation à l'aide de la technologie du bouton vert et d'un guidage intuitif sur l'écran LCDInstallation et remplacement simple et rapide grâce au moteur de rechange flexible et au Wilo-Connector
Il y a 3 ans et 265 jours

L’esthétisme et la fonctionnalité des volets EHRET concourent à la haute qualité architecturale du projet « LAGOM »

Une architecture primée, un design intemporel, des matériaux naturels… le projet de constructions neuves « LAGOM » a fait naître à Herrsching am Ammersee, en Allemagne, un nouveau quartier promettant une haute qualité de vie, en harmonie avec la nature. Conçu sur le modèle Scandinave, LAGOM est un concept retranscrit dans un style de vie empreint d’harmonie, de modération et de sérénité. C’est en s’inspirant de cette vision du monde que les promoteurs du projet de Bauwerk Capital GmbH & Co. KG et le cabinet d’architectes Lynx Architecture ont réalisé le projet LAGOM : 36 appartements en copropriété, 17 maisons mitoyennes, 4 maisons jumelées et 5 maisons individuelles, à seulement 100 mètres de l’idyllique lac Ammer. Le projet a été récompensé à juste titre par le prix de design de renommée internationale ICONIC Award « Innovative Architecture ». Ainsi, l’eau et la forêt ont en grande partie guidé la conception et le choix des matériaux. Un bardage en bois, élément déterminant du style, se retrouve ainsi sur toutes les façades. De grandes surfaces vitrées offrent une vue imprenable sur la nature et laissent entrer la lumière dans les espaces de vie. Lynx architecture souhaitait intégrer une protection solaire pliable dans ce concept de façade. Grâce à la technologie innovante et au savoir-faire d’EHRET, cette idée a pu être mise en œuvre avec succès, depuis la phase d’étude du projet jusqu’à sa réception. Les volets coulissants et pliables EHRET donnent la touche finale aux façades en bois des maisons individuelles et des immeubles collectifs, au style caractéristique. LAGOM, architecture intemporelle LAGOM est un adverbe suédois signifiant approximativement «moyen», «assez» ou «optimal». Il est fréquemment utilisé par les suédois pour désigner une quantité ou une qualité qui n’est ni trop, ni trop peu mais plutôt juste ce qu’il faut. Telle est la traduction du nom suédois du projet en français. Et, c’est également l’approche adoptée ici pour la conception. Cette philosophie de la modération a été traduite dans l’architecture et le design : réduction à l’essentiel, matériaux naturels, finition de qualité et design intemporel. Susanne Muhr du cabinet Lynx Architecture explique que la nature, l’eau et la forêt en sont les éléments moteurs. Véritable privilège, deux côtés de LAGOM donnent sur une étendue d’eau : le lac Ammer au sud et un ruisseau naturel qui sillonne vers la forêt. Orientées vers le lac et le soleil, les façades arborent un bardage en bois clair, estival et léger, reflétant la lumière et l’eau. L’aspect aéré et élégant des façades est créé par les lames de bois ajourées revêtues d’une lasure claire, une référence aux maisons des bords de mer. Vers le nord, en direction de la prairie qui borde le ruisseau et de la forêt, les façades s’assombrissent et prennent la couleur des troncs d’arbre. Sur les bâtiments intercalaires, on retrouve les deux couleurs : le bois sombre combiné à un crépi gris sable. Un hommage à la plage de galets du lac Ammer. Une protection solaire élégante et subtile La protection solaire des façades en bois se veut subtile. Les volets coulissants et pliables du fabricant EHRET sont revêtus des mêmes lames que la façade. Lorsqu’ils sont fermés, ils se fondent ainsi dans le motif de la façade, de sorte que l’on ne peut à peine les en distinguer. Lorsqu’ils sont ouverts et perpendiculaires à la façade, ils structurent les points de vue. Ils offrent ainsi un superbe panorama sur la nature et protègent en même temps contre le rayonnement solaire latéral. Un ajustement au millimètre près 468 vantaux de volets coulissants et pliables EHRET ont été mis en œuvre. Ces volets coulissants et pliables en deux parties sont constitués de lames en bois « brut de sciage ». Ils sont associés à un cadre à angle ultrafin, soudé selon un mode de fabrication spécial, et sont également équipés de l’accessoire pour volets coulissants et pliables EFSL guidé sur rail. Lorsqu’ils sont fermés, les volets coulissants et pliables EHRET forment un ensemble harmonieux avec le tracé vertical des façades. À cette fin, la disposition de tous les composants et la répartition des lames de bois des panneaux ont été adaptées dans les moindres détails aux ajours prévus. Pour obtenir cette fonctionnalité et créer cet effet visuel, un élément échantillon a été fixé sur une façade échantillon. L’ajustement au millimètre près des éléments dans un dormant en bois fourni par une autre entreprise et l’étroite collaboration d’EHRET avec les fabricants de fenêtres et de façades sont autant d’autres facteurs de réussite du projet. Parce que l’adaptabilité et la créativité jouent un rôle de plus en plus important dans l’architecture moderne, les volets coulissants pliants d’EHRET constituent l’opportunité idéale de laisser l’imagination s’exprimer dans l’aménagement des façades. Ainsi, le volet coulissant pliant EHRET est infiniment adaptable. C’est l’atout majeur de cette solution qui n’a pas de limite, ni dans les matériaux, ni dans les couleurs. En effet, EHRET offre plusieurs types de cadres dans lesquels il est possible d’intégrer tout ce que le client souhaite : des lamelles fixes, des lamelles orientables, des panneaux pleins en alu – dans lesquels il est aussi possible de découper des formes spécifiques et personnalisées – mais aussi du bois, de la toile, du métal déployé, etc. Des matériaux de haute qualité Pour le revêtement de la façade en bois, Susanne Muhr du cabinet Lynx Architecture souligne qu’ils ont délibérément renoncé aux revêtements classiques à base d’huiles de lin, de résines alkydes, d’acrylates et autres matières plastiques. C’est une peinture au silicate qui a été appliquée pour ses qualités esthétiques et naturelles. Elle souligne non seulement l’esthétique particulière du bois, mais elle est également exempte de biocides et de solvants. En outre, les surfaces traitées restent perméables ; autrement dit, le matériau peut d’abord absorber l’humidité, puis la restituer progressivement. Susanne Muhr ajoute qu’une attention particulière a été portée sur le choix des matériaux afin qu’ils évoquent le naturel et le savoir-faire artisanal. Les matières douces, brutes, mates et claires sont prédominantes et incarnent la modération et l’authenticité par leur toucher agréable. Les matériaux sont intemporels et de grande qualité, ils ne sont pas imposants. Au contraire, par leur discrétion, ils créent un espace dans lequel chaque habitant peut s’épanouir individuellement. Elle précise que l’expérience sensorielle est au premier plan : lorsque l’on passe la main sur la façade en bois brut de sciage ou que l’on marche pieds nus sur la structure en treillis du plancher en bois, on peut littéralement ressentir la philosophie de modération de LAGOM.   EHRET a conçu ces protections solaires afin qu’elles aient un impact positif sur les bâtiments, que ce soit sous la forme d’innombrables possibilités d’agencement, d’un maniement simple ou de frais d’entretien réduits. Cette réalisation est le parfait exemple de l’expertise et du savoir-faire qu’EHRET offre aux prescripteurs et architectes. L’attention portée sur les exigences des clients est une source pour la création de solutions toujours plus novatrices. LAGOM matérialise parfaitement cet impératif.
Il y a 3 ans et 266 jours

Siporex la nouvelle marque forte dédiée aux projets d’aménagement et cloisons en carreaux béton cellulaire

SIPOREX, marque devenue générique très connue du grand public et distribuée exclusivement en Grandes Surfaces de Bricolage, est essentiellement utilisée pour l’aménagement intérieur et la décoration ainsi que la construction de cloisons dans la maison. Quant à l’offre YTONG, elle est commercialisée via les négoces de matériaux pour la construction et la rénovation de maisons, de logements collectifs, de bâtiments professionnels ainsi que la mise en œuvre de murs coupe-feu.Aujourd’hui, pour capitaliser sur la notoriété SIPOREX auprès des particuliers comme des professionnels et assurer une meilleure visibilité à YTONG, le groupe Xella a redéfini entièrement sa stratégie de marques. Il établit ainsi une nouvelle offre multicanal, plus claire avec des marques fortes, chacune ancrée dans leur univers :SIPOREX devient la marque dédiée au second œuvre pour l’aménagement intérieur (cloison, meuble de rangement, habillage...) avec une offre de carreaux de 5, 7 et 10 cm disponibles en Grandes Surfaces de bricolage et en Négoces de matériaux.YTONG devient la marque dédiée au gros œuvre pour la construction (murs coupe-feu, maisons individuelles, extension-surélévation, logements collectifs, bâtiments tertiaires...) avec des blocs de 15 à 42 cm désormais disponibles en Grandes Surfaces de bricolage et en Négoces de matériaux.« Nous avons choisi de repositionner nos marques SIPOREX et YTONG pour plusieurs raisons. Nous voulons mieux exploiter la notoriété de SIPOREX auprès des particuliers et des professionnels et offrir davantage de visibilité à la marque YTONG pour promouvoir les bénéfices des murs YTONG, notamment auprès du grand public, en lien avec notre communication YTONG Inside. Ensuite, il est essentiel d’avoir un discours en accord avec les avantages clés pour chaque application. Notre ambition est de créer des marques fortes pour chaque univers - SIPOREX pour le second œuvre et YTONG pour le gros œuvre - avec des moyens bien différenciés. Enfin, cette approche répond à l’évolution du marché et à la typologie des clients. Aujourd’hui, les particuliers comme les professionnels s’approvisionnent, pour leurs matériaux, dans tous les réseaux de distribution, en GSB comme en Négoces en matériaux. C’est pour toutes ces raisons, que nous avons entièrement redéfini notre stratégie en proposant une nouvelle offre multicanal pour les deux marques, afin d’en faire des marques fortes dans leur propre univers. » François CHARDON - Directeur Marketing et Prescription XellaNouvelle gamme SIPOREX : une offre optimisée pour l’aménagementIdéale en rénovation, la nouvelle gamme SIPOREX a été optimisée pour répondre à tous les projets d’aménagement intérieur et extérieur : moduler des pièces avec des cloisons droites ou courbes, habiller des murs, créer des meubles de rangement, concevoir une cuisine extérieure... Complète, elle propose des carreaux en béton cellulaire et les accessoires de pose spécifiques :Des carreaux droits (lisse ou emboîtement) : 5, 7 et 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 et 50 cmDes carreaux courbes de 30 et 60° : 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 cmDes linteaux armés : 10 cm d’épaisseur / hauteur 25 cm / longueurs 125, 150 et 200 cmDes accessoires de pose : mortier colle, colle prête à l’emploi, truelle.Les carreaux SIPOREXLes carreaux, les carreaux courbes et les linteaux SIPOREX présentent des caractéristiques exceptionnelles pour tous les travaux d’aménagement. Résistant au choc et léger (22 à 55kg /m2), le béton cellulaire est un matériau plein qui peut recevoir des fixations lourdes. Imperméable, perspirant et hydrofuge, il peut s’utiliser dans toute la maison, même dans les pièces humides (cuisine, salle de bains). Incombustible et ininflammable, il est particulièrement adapté à l’habillage d’une cheminée. Pour le confort et le bien-être des occupants, c’est un matériau sain, écologique et classé A+, qui préserve l’air intérieur. Pratique, il convient pour de multiples applications.Par ailleurs, le carreau SIPOREX est simple à manipuler car il est compact et léger. Facile à mettre en œuvre, il se découpe, se ponce et se façonne facilement pour offrir une grande liberté dans les projets. Pratique, il s’assemble par emboîtement ou par collage.De nombreuses finitions peuvent être posées sur les carreaux SIPOREX : enduits de finition, carrelage, peinture, toile de verre, résine...Innovation : SIPOREX EasyfixUne colle prête à l’emploi pour simplifier la pose des carreaux SIPOREXPour faciliter le montage des carreaux de béton cellulaire et réduire le temps de mise en œuvre d’une cloison ou de réalisation d’un aménagement, SIPOREX lance une nouvelle colle vinylique : SIPOREX Easyfix. Classée A+ et labellisée EC1 Plus, cette colle est parfaitement adaptée aux travaux d’intérieur car sa formulation est saine et écologique. A très faible émission de COV, elle répond aux plus hautes exigences en matière d’environnement et de santé. Pratique et prête à l’emploi, SIPOREX Easyfix est une colle qui permet un montage à sec, rapide, sans préparation préalable, ni eau ni outillage. Un véritable gain de temps.Ergonomique, le flacon à double embout (espacé de 4 cm) assure une bonne répartition de la colle sur la partie du carreau à encoller. Son temps d’ajustement est de 10 minutes, ce qui laisse le temps de bien positionner les carreaux.La bouteille d’1kg est adaptée pour un projet de 9 à 14 m², et permet de coller 50 m linéaire de carreaux SIPOREX.Prix public conseillé : 17,50 euros HT / Points de vente : GSB, Négoces en matériauxUne nouvelle communication orientée «projets utilisateurs»Les outils de communication (réseaux sociaux, site, guide de pose...) autour de la nouvelle gamme SIPOREX sont orientés sur les projets des utilisateurs. Ils veulent éveiller les envies d’aménagement à travers des visuels de projets finis, créatifs... et un discours simple « Avec des SI on peut tout faire ! » :PerformantUn matériau résistant, léger, hydrofuge, coupe-feu, sain et écologique.FacileUn matériau pour de multiples applications, mêmes les pluscréatives grâce aux carreaux courbes, et rapide à poser avec la colle SIPOREX Easyfix.PratiqueUn matériau compact, facile à manipuler et à travailler, qui autorise plusieurs finitions.ÉconomiqueUn matériau compétitif qui offre un gain de temps dans sa pose.Un accompagnement soutenu des points de vente partenairesPour accompagner le lancement de la nouvelle gamme SIPOREX, Xella met à la disposition des partenaires distributeurs un guide pratique à destination des utilisateurs. Concis et didactique, il présente les avantages des carreaux SIPOREX avec :une approche projet « Avec des SI on peut tout faire ! »pour offrir la possibilité au lecteur de se projeter dans des réalisations concrètes,un guide de choix,les règles de montage pour les cloisons et les rangements.Des ILV et des offres promotionnelles sont aussi proposées. Avec ces outils, les points de vente peuvent orienter les particuliers et les professionnels dans leurs projets, et s’assurer une bonne rotation produits en magasin.Par ailleurs, pour parfaire les connaissances des points de vente partenaires, Xella va plus loin en proposant des sessions de formation en ligne et en organisant une journée de visite d’usine et de montage de produit.Enfin, Xella, partenaire du programme de fidélité VIPros, participe à l’opération « Série Illimité » pour promouvoir la nouvelle marque SIPOREX. Du 1er juin jusqu’au 30 octobre les artisans et professionnels du bâtiment ont la possibilité de gagner un véhicule utilitaire hybride Ford Transit Custom, ainsi que plusieurs lots offerts par les marques partenaires du programme VIPros.
Il y a 3 ans et 270 jours

TPF Industrie, unique fabricant de polyols sur le territoire

Pour créer cette usine, MGH a investi 3,5 millions d’euros permettant le montage du site de production, la R&D et son laboratoire qualité. Le site dispose d’une capacité de stockage de 250 tonnes et produits 125 tonnes de polyols formulés chaque semaine pour ses clients, professionnels dans l’isolation intérieure et extérieure en polyuréthane projeté des sols, des murs et des toitures pour le tertiaire, l’industrie, le collectif et la maison individuelle.Les Polyols pour systèmes à cellules fermées et à cellules ouvertes : de la performance thermique à la performance acoustiqueLa nouvelle usine TPF Industrie est le seul formulateur français de polyols destinés à la projection de polyuréthane pour le Bâtiment. Elle fabrique et livre du polyol pour des applications de polyuréthane à cellules ouvertes et à cellules fermées. Une fois livrés, les clients de TPF industrie fabriquent directement sur chantier le matériau isolant en mélangeant les polyols avec un agent réactif. La gamme des procédés ainsi mis en œuvre est destinée à l’isolation thermique et acoustique de toutes les faces d’un bâtiment. Ce qui mobilise actuellement 85 % de la production, ce sont les formules à cellules fermées. Elles ont le meilleur rapport : faible épaisseur / performance thermique et vont bénéficier de caractéristiques d’incompressibilité record pour isoler tous types de sols en béton ou en bois. La couche isolante peut recevoir tous types de chapes et de revêtements. L’isolation des murs périphériques maçonnés peuvent être isolés en polyuréthane à cellules fermées pour un gain de surface habitable et assurer dans le même temps l’étanchéité à l’air imposée par les règlementations thermiques. Si les ossatures sont en bois, on préférera une isolation en cellules ouvertes des murs. Ces procédés isolants sont plus épais mais moins denses que les précédents, ils permettent ainsi une amélioration de l’ambiance sonore du logement. Enfin, pour isoler thermiquement les toitures, tout en préservant les occupants des nuisances sonores extérieures en cas de fortes pluies ou d’environnement bruyant, la solution idéale est la mise en oeuvre de formules à cellules ouvertes. Elles sont déclinées en plusieurs plages de densité, selon les supports ou les usages particuliers, à chaque paroi, sa solution d’isolation « sur-mesure ».Le lambda (λ) vieilli : la performance thermique retenue d’un isolant à cellules ferméesLe λ est l’unité de mesure de la conductivité thermique, plus sa valeur est faible, meilleure est la performance isolante. Le polyuréthane à cellules fermées s’expanse grâce à un agent gonflant pour améliorer la performance thermique et avoir une bonne tenue volumétrique dans le temps. Si le matériau dispose d’un λ de 0,020 lors de son application, celui-ci évolue au cours de la première année. L’agent gonflant qu’elle contient reste en majeure partie prisonnier des cellules et agit à l’identique de l’argon dans un double vitrage. La conductivité thermique retenue, ou lambda vieilli, sera atteinte 12 mois après l’application de l’isolant. Il varie en moyenne de 5 mW (milliwatt) par rapport à l’initial, un λ vieilli de 0,025 est le standard de ce type de formule. Tout au long de l’année, TPF Industrie teste dans son laboratoire les isolants à cellules fermées de ses clients applicateurs afin de vérifier leur conformité aux certifications dont ils dépendent. Ces contrôles attestent aussi des bons réglages de l’unité de projection et de la qualité linéaire de l’isolant qu’elle fabrique.Des polyols plus vertueuxTPF Industrie a inauguré son site de production en développant une formulation plus vertueuse que ce qui se fabriquait jusqu’alors en Europe. Les polyols dédiés au polyuréthane à cellules fermées sont désormais expansés avec un agent gonflant au HFO (HydroFluoro-Oléfines), au lieu du HFC (HydroFluoro-Carbures) qui sera interdit en 2023 dans toute industrie en Europe. TPF Industrie a ainsi anticipé la réglementation et propose des formules ne générant quasiment aucun gaz à effet de serre lors de la mise en oeuvre. Mais TPF Industrie ne s’arrête pas là. Son objectif est de proposer un isolant à impact zéro sur l’environnement, la société a investi plus d’1 million d’euros supplémentaire pour mener ses recherches. Le pôle R&D de la nouvelle usine travaille d’ores et déjà sur de nouvelles formules qui seront composées de matières premières bio-sourcées et aussi de déchets de ponçage de polyuréthane recyclés afin de proposer, d’ici dix-huit mois, des polyols totalement vertueux.Un laboratoire QualitéOutre son pôle R&D, TPF Industrie dispose également d’un laboratoire qualité. Les propriétés mécaniques et thermiques de chaque fabrication sont contrôlées (masse volumique, conductivité thermique, résistance à la compression et stabilité dimensionnelle) avant chaque livraison afin de permettre à ses clients de fabriquer un polyuréthane de qualité constante en accord avec les exigences des certifications qui encadrent les procédés. Par ailleurs, TPF Industrie s’est également équipée d’une cabine de projection ventilée permettant d’éprouver en conditions réelles les propriétés des formulations de polyols et contrôler les caractéristiques une fois mélangé à un agent réactif.TPF ambitionne 20% du marché français de l’isolation des sols en 2024L’isolation projetée représente 15% du marché de l’isolation des sols en France. Grâce à la qualité de ses polyols, TPF Industrie a su s’imposer en distribuant près la moitié du marché. A l’horizon 2024, TPF Industrie ambitionne de doubler sa pénétration de marché en se substituant peu à peu aux solutions traditionnelles en rouleaux ou en plaques. En outre, TPF Industrie est également présent sur le marché à l’export à hauteur de 2%. Cette autre ambition accompagnera l’obtention des agréments et certifications spécifiques en vigueur chez nos voisins européens.Une capacité de stockage conséquenteLa nouvelle usine de production de TPF Industrie dispose d’un espace de production et de stockage de 1.000 m² sur un site qui compte 3.000 m² de surface totale. Ce vaste espace extérieur permet aux semi-remorques de ses clients de manœuvrer autour du bâtiment. L’usine dispose d’une capacité de stockage de 250 tonnes (deux semaines de stock), elle produit et livre la moitié de sa production de polyols (125 tonnes) chaque semaine à ses clients.L’isolation des sols : une technique 2 en 1L’isolation des dalles béton et des planchers bois en polyuréthane projeté de TPF Industrie offre l’avantage de faire office de ravoirage enrobant les gaines techniques et d’une isolation thermique. Cette technique 2 en 1 permet ainsi de réduire la réservation nécessaire, plus conséquente, lorsque qu’une isolation en plaques vient se rapporter sur un ravoirage classique en béton. On s’affranchit ainsi des défauts de planéité de la dalle support, on économise financièrement et en délais de séchage et on allège énormément l’ouvrage.Des clients variés et des partenariats au service de l’innovationLa clientèle de TPF Industrie se compose d’entreprises et de réseaux d’applicateurs qui commercialisent aux professionnels (architectes, maitres d’œuvres, Cmistes...) et aux clients particuliers. Les principaux sont SYNERIS et OSEO, réseaux d’applicateurs spécialisés dans le polyuréthane projeté, BATICONFORM, constructeur national et fabricant de maisons d’architecte à ossature métallique et THERMIMUR, fabricant de systèmes constructifs à isolation intégrée. S’agissant de ce dernier, TPF Industrie a mis au point un polyuréthane coulé à cellules fermées à la demande de son client afin de mettre au point un bloc-béton isolé. Actuellement, THERMIMUR dispose d’un site de production pilote de blocs-bétons isolés.Ces parpaings permettront de construire et d’isoler, en une seule étape, une maison avec une résistance thermique R = 5 et un λ vieilli de 0,025. Véritables pionniers en la matière, TPF Industrie et THERMIMUR collaborent depuis plus d’un an sur ce projet actuellement en phase finale et fournira, à terme, un volume de 8.000 tonnes de polyol nécessaire pour la réalisation de l’âme isolante des éléments constructifs nouvelle génération de THERMIMUR.Enfin, TPF Industrie propose à son partenaire THERMIMUR, une colle polyuréthane à hautes performances d’adhésion destinée au scellement de ses blocs bétons éliminant tout pont thermique pour une maison parfaitement isolée et construite plus proprement et plus rapidement en préservant les efforts des maçons...
Il y a 3 ans et 271 jours

Stonepanel®, la seule plaquette de parement en pierre naturelle allant jusqu’à 28 m de hauteur, agréée par le CSTB

Le CSTB, qui vient de renouveler l’Avis technique sous le n°13/17-1375_V4, intègre des modifications qui garantissent désormais :L'installation du STONEPANEL® à de grandes hauteurs (maximum 28 m).Son utilisation dans toutes les zones de sismicité (1 à 5) et pour toutes les classes de catégories d’importance des bâtiments (I à IV).Au fil des années et grâce aux contrôles et améliorations successives apportées par le R&D de CUPA STONE, il est devenu le panneau en pierre naturelle le plus sûr du marché et le plus performant.Grâce à son système d’ancrage mécanique en acier inoxydable breveté, ce panneau prémonté de pierre naturelle peut être désormais posé jusqu ́à 28 mètres de hauteur (12 m auparavant), sans aucun risque de décrochage.Il est le seul du marché à proposer cette hauteur. Cette nouvelle certification est un gage de qualité et de fiabilité qui répond aux demandes les plus exigeantes du secteur du bâtiment. Les projets immobiliers les plus audacieux peuvent ainsi allier esthétisme et sécurité.Les comportements physiques et mécaniques de STONEPANEL® sont attestés par ce nouvel Avis Technique du CSTB.Destiné au revêtement de tous types de murs, STONEPANEL® est un panneau composé de pierre naturelle montée sur une base ciment renforcé par une armature en fibre de verre qui garantit la tenue des pierres. Cette base de 3 cm d’épaisseur permet d’ériger tous types de lames et blocs de pierre rustique ou vieillie.STONEPANEL® habille aussi bien les murs extérieurs qu’intérieurs des maisons individuelles et des bâtiments publics.Petit rappel des principales caractéristiques de ce système unique breveté de maçonnerie en pierre naturelle :Le panneau prémonté de pierre naturelle apporte du caractère et valorise la construction.Disponible en 11 références de pierre et en plusieurs formats de panneaux différents.L’installation du panneau STONEPANEL® est rapide, jusqu’à 10 m²/jour (pour une pose traditionnelle un maçon pose généralement 2 m²/jour).STONEPANEL® est rentable : moins de gaspillage de matériel sur le chantier (40% d’économie par rapport à la pose traditionnelle).Son installation est simple et ne nécessite pas de main d’œuvre spécialisée ni de matériel spécifique.Le parement en forme de « S » rend les joints invisibles et assure un aspect homogène à la surface installée.Le panneau ne nécessite aucun travaux de nettoyage pendant au moins une dizaine d’années ; l’aspect visuel du parement reste impeccable dans la durée. La pierre a une grande durabilité.Une hauteur de pose jusqu’à 28 m.Il est utilisé dans toutes les zones de sismicité (1 à 5) et pour toutes les catégories d’importance des bâtiments (I à IV).
Il y a 3 ans et 277 jours

Bpifrance accompagne la transmission et le développement du groupe de construction bois Socopa

Créé en 1967, le Groupe Socopa est un acteur historique de la construction à ossature bois aussi bien sur les marchés des maisons individuelles que des immeubles résidentiels et bâtiments publics et tertiaires.Socopa construit près de 175 maisons par an (principalement en bois) à travers plusieurs marques en France (Maisons Socopa et Maisons Oxeo) et au Luxembourg (Tradilux et Maisons Georges Beaumont). Socopa développe également une très forte activité de construction d’immeubles à ossature bois auprès de promoteurs ou d’aménageurs pour de l’habitat groupé, des résidences, des bureaux ou des établissements recevant du public.Afin d’apporter une réponse rapide aux nouveaux enjeux sociétaux et règlementaires (demande d’habitat plus respectueux de l’environnement, mise en place de la Réglementation Environnementale 2020 et de la réduction de l’impact carbone dans la construction), le groupe vient également d’investir plus de 1 millions d’euros pour moderniser son site de production de Vagney, permettant d’améliorer les conditions de travail et d’accroître sa capacité de production. Grâce à son expérience et à ses nouveaux outils industriels, le Groupe a ainsi la capacité d’apporter une réponse concrète aux enjeux de la construction hors site et bas carbone.Cette opération de transmission permet à Pierre Castien et aux managers du Groupe de se renforcer au capital de la société, aux côtés du Fonds Bois et Eco-Matériaux de Bpifrance et du Groupe ILP. A cette occasion, le fonds Développement & Partenariat présent depuis 2013 cède ses parts.Pierre Castien, Président du Groupe Socopa : « Je me réjouis de cette nouvelle phase de l’aventure entrepreneuriale du groupe. Avec la présence de nouveaux partenaires financiers impliqués tant dans le développement de la filière que le développement régional, le groupe peut aborder sereinement les années charnières qui s’annoncent pour la construction hors site et bas carbone. »Vanessa Giraud, Directrice du Fonds Bois et Eco-Matériaux chez Bpifrance : « Nous nous réjouissons que le Fonds Bois & Eco-Matériaux puisse accompagner la transmission managériale et le développement du Groupe Socopa, groupe emblématique de la construction à ossature bois en France. Cette opération permettra d’assurer la pérennité d’un acteur clé de la filière. » Maxime Liegeois, Chargé d’affaires au sein du Groupe ILP : « La région Grand Est, au travers du Groupe ILP, se réjouit d’accompagner Pierre Castien et ses cadres dans la croissance de Socopa aux côtés du Fonds Bois & Eco-Matériaux. Cet investissement s’inscrit totalement dans la stratégie et les objectifs du groupe ILP qui, en participant à cette opération, permet à Socopa de maintenir son centre de décision dans les Vosges tout en renforçant l’actionnariat salariés dans l’entreprise. »Intervenants :Management : Pierre CastienCédants : Développement et PartenariatInvestisseurs :Bpifrance Investissement (Vanessa Giraud, Pierre-Eddy Sastre, Sophie Perette, Yassine Rochd, Thibaut Cambuzat)Groupe ILP (Benoît Voinot, Maxime Liegeois)Conseils Investisseurs :Conseil et Due Diligence Juridique, Sociale et Fiscale : Lexicube (Thibault Ricome)Due Diligence financière : Odéris (Aurélien Vion, Nicolas Boucher)Conseils Société :Conseil Juridique : Lamartine (Stéphane Rodriguez, Victoire Bertin)Banques :Banque CIC EstBanque Populaire Alsace Lorraine Champagne
Il y a 3 ans et 280 jours

Première rénovation thermique d’une maison en PSE Knauf NEXTherm® ITEX très bas carbone en France

Il s’agit là d’une pertinente réponse préconisée et mise en œuvre par la société Bonglet, pionnière dans les métiers du second-œuvre avec 65 ans d’expérience dans l’isolation, la rénovation et la décoration. Aujourd’hui forte de 500 salariés, certifiée QualiBat RGE, Iso 14001 et Ecovadis Bronze, Bonglet rayonne avec 16 agences en Franche-Comté, Bourgogne, Rhône-Alpes et Auvergne.Les travaux réalisés par la société Bonglet ont porté sur l’isolation de l’enveloppe du pavillon (combles, planchers et murs) avec le choix d’une isolation thermique par l’extérieur (ITE) des murs. Résultats visés : la consommation énergétique annuelle du bien, établie à 2.500 euros avant sa rénovation sera diminuée de moitié, à 1.121 euros. Une économie conséquente qui se double également d’une réelle valorisation esthétique et financière du bien immobilier. Facteur supplémentaire, l’ITE favorise également un air intérieur plus sain.Knauf NEXTherm®, un isolant PSE issu de la biomasseFabriqué à partir de bio-naphta et de bio-gaz issus de la valorisation de ressources renouvelables biomasse, Knauf NEXTherm® réduit encore l’impact environnemental des PSE Knauf, notamment en termes d’émission de carbone, et inscrit durablement cet isolant dans les modes constructifs actuels, notamment la rénovation et leurs évolutions prochaines, avec la RE2020.Knauf NEXTherm® ITEx, hautes performances techniques et très bas carbone pour les chantiers de façade les plus exigeantsAvec la gamme Knauf NEXTherm® ITEx, tous les atouts des isolants PSE Knauf pour l’isolation par l’extérieur sous enduits sont conservés : performances thermiques, mise en œuvre éprouvée, conformité justifiée, une empreinte carbone diminuée en plus.L’isolation thermique par l’extérieur avec Knauf NEXTherm® : un atout pour les projets de rénovationFace au vieillissement esthétique du parc immobilier et aux faibles performances thermiques de ces bâtiments, l’isolation thermique par l’extérieur constitue une solution à gains multiples : elle garantit le confort thermique de l’habitat, grâce à une isolation homogène et de qualité du bâti ; elle embellit le patrimoine, grâce à la reprise des façades ; elle améliore le confort de vie des occupants, grâce à la suppression des ponts thermiques et l’amélioration de la qualité de l’air intérieur.Avec Knauf NEXTherm® ITEx, elle améliore l’impact environnemental global de la rénovation en réduisant l’empreinte carbone de l’isolation, FDES à l’appui. Un choix responsable qui allie nouvelles performances environnementales et hautes technicités du PSE.Et pour un chantier de rénovation propre, les chutes des panneaux mis en œuvre sont collectées sur chantier par le service Knauf Circular® et recyclées en de nouveaux produits d’isolation.
Il y a 3 ans et 293 jours

Le projet SEREINE recrute des maisons rénovées pour des mesures in situ de la performance énergétique

Simple de mise en œuvre et fiable, elle est actuellement testée en conditions réelles pour consolider le protocole et faciliter son transfert à la filière. Sur les 40 à 50 essais terrain prévus dans des maisons individuelles et de petits bâtiments collectifs, une trentaine ont été réalisés ou sont programmés. C’est pour finaliser cette campagne que l’équipe projet lance un appel aux maîtres d’ouvrage. Ils peuvent proposer leurs maisons rénovées dès cet automne et bénéficier ainsi d’une mesure gratuite.Une mesure opérationnelle et fiableTout maître d'ouvrage (bailleur, gestionnaire de biens, …) ou propriétaire dont la maison a été rénovée il y a moins de 4 ans peut candidater aux essais. Une adresse mail de l’équipe projet SEREINE est dédiée pour vérifier si le bâtiment répond bien aux critères (sereine@qualiteconstruction.com). Une fois la maison sélectionnée et son installation électrique vérifiée, la mesure nécessite 4 jours durant lesquels elle doit être inoccupée. Elle démarre à l’issue d’un état des lieux.La procédure des essais in situUn opérateur formé ferme les ouvrants, éteint les systèmes de ventilation, de chauffage et d’eau chaude sanitaire et occulte les fenêtres. Puis il met en place le matériel de mesure, à savoir les capteurs, les dispositifs de chauffe, les ventilateurs et le concentrateur de données. Après avoir ouvert sa campagne de mesure en ligne et vérifié que tout fonctionne, il quitte les lieux et pose les scellés. Il suivra la mesure à distance, jusqu’à la clôture de la campagne. Une fois celle-ci terminée, il récupère le matériel, puis rend les clés au propriétaire, après un nouvel état des lieux. Les résultats de la mesure SEREINE sont analysés par l’équipe projet qui rédige un rapport que l’opérateur présentera et remettra au propriétaire ou gestionnaire de parc.Pourquoi participer aux essais ? Un maitre d'ouvrage répond« SEREINE est aujourd’hui la seule méthode opérationnelle capable de mesurer de façon fiable la performance thermique réelle d’un bâtiment dans des délais acceptables. En tant que bailleur social, à la tête d’un parc de 65 000 logements, dont 98 % de logements individuels datant des années 1920, cette méthode nous intéresse car nous rénovons beaucoup. La mesure se fait avant que les occupants n’intègrent les lieux. Nous n’avons strictement rien à faire et pour l’instant c’est gratuit. Il y a même un petit dédommagement de 100 € pour la consommation électrique. C’est pourquoi nous avons proposé à l’équipe SEREINE plusieurs maisons rénovées. Ces mesures nous permettent d’objectiver l’apport des travaux, en toute confiance. Mais elles nous permettent surtout de décorréler la performance énergétique de l’usage de nos locataires. En cas de dérive des consommations, cela nous donne une base objective pour les sensibiliser aux écogestes ». Alexandre Defrance, Chargé d'expertise spécialisé énergie chez MAISONS ET CITESUn dispositif d'expérimentation solide et des opérateurs formésPour mener à bien ces essais, l'équipe projet a mis en place un dispositif solide couvrant tout le territoire métropolitain, avec 8 antennes et un réseau de 34 opérateurs formés. Réparties dans toute la France, les antennes ont pour mission d'organiser et suivre les essais de leur région, sur le plan administratif, logistique et technique. A ce titre, elles supervisent le recrutement des maisons à évaluer, forment les opérateurs, gèrent le matériel et assistent les opérateurs dans leurs mesures.Les opérateurs font les mesures et présentent le rapport final. Mais leur mission est aussi de recruter des maisons et d'être de véritables ambassadeurs de SEREINE. C'est-à-dire de promouvoir la méthode auprès des maîtres d'ouvrage. Une mission exigeante qui explique la rigueur de leur sélection et de leur formation. Ils ont en effet été choisis en février/mars 2020, via un appel à manifestation d'intérêt (AMI) puis formés. Sur les 54 sociétés de mesure présélectionnées, seules 20 ont été retenues.Un double enjeu : consolider le protocole et faciliter le transfert aux professionnelsPourquoi faire des essais, alors que la mesure est opérationnelle et fiable ? Tout d’abord pour consolider la solution. C’est-à-dire perfectionner la méthode scientifique et définir le meilleur rapport entre la durée de la mesure et le niveau d’incertitude associé. Optimiser le matériel de mesure, son encombrement, son prix. Et caler les moindres détails de la mesure, de son lancement à la remise du rapport. Mais il s’agit aussi de faciliter le transfert de SEREINE aux professionnels. En démontrant à tous les acteurs de la filière que la solution est opérationnelle, prête à être déployée. Et en formant un réseau d’opérateurs, capables de réaliser les mesures SEREINE et d’en être de futurs ambassadeurs.Issu d’une collaboration entre 8 organismes partenaires, le projet est piloté par l’Agence Qualité Construction (AQC) et coordonné par le CSTB. De par son ampleur et ses enjeux, SEREINE est le projet le plus stratégique du programme PROFEEL.Plus d’informations sur SEREINE et le programme PROFEEL sur le site web : programmeprofeel.fr
Il y a 3 ans et 294 jours

Le Groupe Atlantic confirme son développement dans les technologies vertes avec l’acquisition de Hautec

Le groupe Hautec est reconnu en Allemagne pour ses pompes à chaleur géothermiques (Eau glycolée/Eau) fonctionnant avec du fluide frigorigène R290 (gaz propane), qui a le plus faible potentiel de réchauffement climatique (PRP) et donc le meilleur impact carbone sur le marché. Les pompes à chaleur Hautec sont connectées à une source d’énergie extérieure captée soit horizontalement : avec un réseau installé par exemple sur une clôture, ce qui est très innovant ; soit verticalement, par implantation dans le sol.Les pompes à chaleur Hautec sont conçues pour les marchés résidentiels (individuels et collectifs) et tertiaires. Les pompes à chaleur Hautec peuvent également être utilisées pour refroidir une maison si l’installation intérieure comprend des émetteurs réversibles comme des ventilateurs ou des radiateurs de pompe à chaleur. L’offre de Hautec est principalement basée sur la gamme CARNO, pompes à chaleur géothermiques pour des applications individuelles et collectives avec des puissances de 3 à 235 kW. La gamme est notée A++ selon l’ERP, avec cop > 5,0 et température de débit de 65°C pour les modèles R290.Damien Carroz, directeur M&A du GROUPE ATLANTIC : « Les pompes à chaleur Hautec enrichissent notre gamme de solutions d’énergies renouvelables. La performance écologique du R290 (gaz propane) correspond parfaitement à notre défi de réduire l’empreinte environnementale de nos solutions ».Karl-Heinz Wiegersma, CEO Du Groupe Hautec : « L’implantation commerciale de GROUPE ATLANTIC va nous permettre d’accélérer très rapidement le développement des ventes de pompes à chaleur Hautec en Europe ».
Il y a 3 ans et 298 jours

Hager lance une nouvelle version de son serveur domotique domovea

Entièrement repensée, la deuxième génération de domovea, apporte trois évolutions majeures : une déclinaison en deux niveaux de fonctionnalités, basic ou expert, un nouvel outil de paramétrage intégré et une nouvelle interface totalement personnalisable par l’utilisateur. Basée sur le standard KNX, la solution de connectivité de Hager répond à tous les projets, de la maison individuelle au bâtiment tertiaire, en passant par les petits commerce.Une nouvelle version, trois évolutions majeuresLa déclinaison en deux niveaux de fonctionnalités, basic ou expert, permet d’adapter encore mieux la solution au besoin du client ;Le nouvel outil de paramétrage intégré au produit est dédié à l’installateur. Il simplifie de manière significative le paramétrage et ouvre l’accès à plus de fonctions ;La nouvelle interface est totalement personnalisable par l’utilisateur pour s’adapter à ses exigences et à ses besoins.domovea, vers plus de connectivitédomovea est le centre névralgique pour piloter toutes les fonctions intelligentes du bâtiment et les composants connectés en KNX : éclairages, ouvrants, alarme, caméras, chauffage, compteur énergétique… domovea est compatible avec les principaux objets connectés (IoT) du marché : Sonos, Philipps Hue, Netatmo, Tado, Google ou Amazon. Installés en natif, ils peuvent être configurés facilement et sont tous pilotables sur smartphone et tablette depuis l’application domovea.Une interface entièrement personnalisableEn choisissant domovea, l’utilisateur opte pour une solution de connectivité sur mesure qui lui permet de piloter son installation selon ses besoins et son mode de vie. La nouvelle version va encore plus loin, avec la possibilité de personnaliser entièrement le design de son interface pour l’adapter à ses envies et à ses usages. En version basic, il peut créer lui-même des scénarios simples, les domograms, directement dans l’application. En version expert, c’est l’installateur qui programme pour son client des séquences complexes et des fonctions logiques, grâce notamment à la passerelle IoT intégrée nativement.Plus de fonctionnalités et un mode de configuration simplifiéLe nouveau serveur domovea s’installe dans le tableau électrique et fonctionne toujours en local, sans cloud. Pour répondre à tous les projets, domovea s'interface via des produits hager avec le protocole Dali, mais aussi, grâce à la puissance du KNX,avec Zigbee, Enocean ou encore le Modbus.Deux modes de configuration sont possibles : le mode « KNX easy », utilisant l’outil intégré, Hager Pilot ou le mode KNX standard nécessitant l’utilisation du logiciel ETS.Le mode de configuration simplifié « easy » permet de paramétrer facilement l’installation. Les fonctions sont pré-paramétrées. L’installateur doit simplement configurer les composants de l’installation sur l’interface simplifiée Hager Pilot.Caractéristiques techniquesBasic :5 caméras ONVIFDomogramsProgrammation en localInterface KNX/IP localExpert :50 caméras ONVIFJusqu'à 10 régulateurs virtuelsAutomatisme complexes, jusqu'à 100 Programmation en local et à distanceAvec la nouvelle version de sa solution domovea, Hager offre une solution sur-mesure, entièrement personnalisable à ses utilisateurs. Pour les installateurs, deux niveaux de fonctionnalités facilitent la configuration de la solution pour répondre à tous les projets résidentiels et tertiaires.
Il y a 3 ans et 299 jours

La filière des pompes à chaleur sonne la mobilisation en faveur de la géothermie

TRANSITION ÉNERGÉTIQUE. En collaboration avec d'autres acteurs du secteur énergétique et des organisations publiques, les professionnels des pompes à chaleur ont échafaudé une sorte de "plan de relance" de la géothermie. Inquiets face à ce qu'ils qualifient d'"effondrement" du marché en maison individuelle, ils mettent en avant les atouts économiques et écologiques de cette solution.
Il y a 3 ans et 305 jours

Un nouveau DG pour le pôle aménagement et promotion de Trecobat

CARNET-NOMINATION. Le constructeur de maisons individuelles, Trecobat, a nommé Philippe Grall comme directeur général de son pôle aménagement et promotion.
Il y a 3 ans et 305 jours

Où font construire les 7.000 franciliens qui ont demandé un permis pour une maison en 2020 ?

Marquée par un contexte sanitaire inédit, l’année 2020 a bouleversé les habitudes des Français en matière d’habitat. Pour exemples :La généralisation du télétravail a un impact sur le marché en Île-de-France : certains franciliens choisissent de s’éloigner de Paris et n’ont plus peur de rallonger leur temps de trajet pour se rendre sur leur lieu de travail.L’ouest de la France, et particulièrement la Bretagne, devient de plus en plus attractif pour les franciliens.La nouvelle édition du Baromètre Domexpo s’intéresse justement à la zone géographique choisie par les franciliens pour faire construire leur maison.Quelles sont les zones géographiques françaises choisies par les (futurs ex) franciliens qui décident de faire construire ?En 2020, 6 999 ménages originaires de l’Île-de-France ont demandé une autorisation pour la construction d’une maison individuelle neuve. Parmi eux :4 824 ont fait construire en Île-de-France, soit 69%. Le trio de tête des départements où les ménages ont fait le plus construire est : la Seine-et-Marne (77), les Yvelines (78) et l’Essonne (91).2 175 l’ont fait dans une autre région française, soit 31%.Parmi ceux qui ont choisi de faire construire en dehors de l’Île-de-France :33% ont choisi un département de la bordure Atlantique ;23% un département limitrophe à la région Île-de-France ;12% un département de la bordure méditerranéenne.Les autres sont dispersés sur le reste de la France.Le regard de Daniel Lair-Lachapelle, Président de Domexpo« En 2020, pour les raisons que tout le monde connait, le nombre de franciliens ayant obtenu une autorisation de construire une maison a baissé. Pour autant, le marché de la maison neuve a connu un fort regain d’activité, post 1er confinement. Sur les villages Domexpo par exemple, on a enregistré une hausse du nombre de prises de rendez-vous de 24% par rapport à 2019 (rappelons en plus que les maisons d’exposition étaient fermées au public pendant les confinements).Notons par ailleurs que la région Île-de-France reste atypique dans son fonctionnement : 1 francilien sur 3 choisit de s’en éloigner, alors que dans le reste de la France, les ménages préfèrent rester dans leur région d’origine.Ceux qui choisissent de faire construire en dehors de l’Île-de-France le font, à 23%, dans des départements limitrophes (majoritairement dans l’Oise-60, dans l’Eure et Loir-28 et dans l’Eure-27).Dans ces zones, particulièrement appréciées par les primo-accédants, le coût du foncier est plus abordable. Ce chiffre pourrait probablement évoluer dans les prochaines années : avec la crise du Covid-19 et la généralisation du télétravail, les particuliers font le choix de s’éloigner de la région parisienne, tout en y conservant une activité professionnelle, et de profiter, avec famille et amis, d’une maison avec jardin. »
Il y a 3 ans et 309 jours

A Toulouse, extension de la Maison A réalisée par TAA

La « Maison A » est l’extension contemporaine en rez-de-jardin d’une maison individuelle livrée à Toulouse (Haute-Garonne) par Taillandier Architectes Associés (TAA). Communiqué. Le projet de l’extension de la « Maison A » consiste à réaliser la suite parentale des propriétaires d’une maison individuelle de plain-pied. Les clients souhaitent une extension contemporaine, sans pour autant […] L’article A Toulouse, extension de la Maison A réalisée par TAA est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 311 jours

Cybel Extension fait l’extension à Limoges

Cybel Extension se veut le 1er réseau national spécialiste de la conception et de la réalisation d’extensions de maisons individuelles et de garages clé en main. En témoigne, réalisée sans maître d’œuvre, cette extension contemporaine en bois et aluminium avec terrasse sur pilotis, sur une maison traditionnelle de limoges (Haute-Vienne). Communiqué de ce bureau d’études. […] L’article Cybel Extension fait l’extension à Limoges est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 312 jours

Le bâtiment plombé par les défaillances d'entreprises au 2e trimestre 2021

CONJONCTURE. Le bâtiment est le secteur d'activité qui a subi la plus forte augmentation de défaillances d'entreprises au 2e trimestre 2021, selon une étude du cabinet Altares. Le gros-oeuvre est particulièrement impacté, et encore plus le segment des constructions de maisons individuelles. La flambée des prix des matières premières est également source d'inquiétude pour les prochains mois.
Il y a 3 ans et 312 jours

Une étude analyse les possibles raisons de la fin des offres de travaux à 1 € dans le résidentiel

Finies donc les offres à 1 € pour certaines opérations à succès, les primes jusqu'ici accordées vont globalement baisser de moitié pour l'isolation et fortement diminuer pour le chauffage gaz et les radiateurs électriques.D'autres aides financières perdurent toutefois, comme MaPrimeRenov', les primes issues des Certificats d'Économies d'Énergie¹ classiques, etc… Mais qui ne suffiront plus à couvrir un financement à 100 %.Une étude réalisée par Hellio, acteur de la maîtrise de l'énergie, auprès de ses bénéficiaires un an après avoir réalisé des travaux d'isolation de combles ou changé de chauffage pour une chaudière gaz ou à granulés de bois, apporte quelques éclairages sur les possibles raisons de cette diminution des aides : ces types de travaux se révèlent peu économes lorsqu'ils sont réalisés de manière isolée, et de surcroît, sans souci de maîtrise des éco-gestes. L'économie réalisée est également minimisée face à l'augmentation régulière des tarifs de l'énergie. La suppression des offres à 1 € pour ces travaux a aussi été décidée par le gouvernement pour mettre fin aux arnaques, à défaut d'une politique de contrôle suffisante. « Le sens de l'histoire veut que ces opérations doivent désormais se dérouler dans le cadre de bouquets de travaux et de rénovation globale, tout en étant sensibilisé à la maîtrise de sa consommation d'énergie. Des aides existeront encore, mais les ménages auront systématiquement un reste à charge pour leurs travaux de rénovation énergétique », commente Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques Hellio.Une étude menée sur plusieurs postes de travaux de HellioDans le détail, cette étude a été menée auprès de 13 819 bénéficiaires Hellio ayant isolé leurs combles il y a plus d'un an, ainsi que 842 ménages ayant remplacé leur équipement par une chaudière gaz à haute performance énergétique et 390 foyers par une chaudière à granulés de bois.Historiquement, Hellio a démarré son activité auprès du grand public avec l'isolation des combles, avant de lancer ses programmes de chauffage : d'abord les chaudières à granulés, puis le gaz, et enfin tout récemment la pompe à chaleur. En se positionnant sur plusieurs énergies de chauffage, Hellio souhaite proposer à chaque ménage le système le mieux adapté à la situation géographique, à la configuration du logement, mais aussi aux habitudes, et non pas imposer une solution unique sous prétexte de pouvoir mobiliser un maximum d'aides.Le spécialiste des économies d'énergie déploie ainsi des offres intégrées, de la réalisation des travaux jusqu'à la prise en charge administrative et l'avance des aides, en s'appuyant sur des équipements de qualité : des chaudières à granulés HS France, des chaudières gaz Viessmann et des pompes à chaleur de marques Daikin, Saunier Duval et Viessmann.Des petites économies…Si la majorité des répondants interrogés par Hellio indiquent avoir réalisé des économies sur leurs factures d'énergie un an après leur geste de travaux, celles-ci sont loin d'être spectaculaires.En effet, ¾ des répondants ayant réalisé des travaux d'isolation de combles indiquent avoir économisé moins de 100 € sur leur facture annuelle.Même constat du côté des répondants pour la chaudière gaz qui déclarent à 59 % avoir réalisé des économies annuelles inférieures à 100 € ; ils sont seulement 17 % à avoir vu leur facture annuelle diminuer de plus de 150 €.Les résultats sont un peu plus probants pour la chaudière à granulés, avec des économies légèrement supérieures : 67 % des répondants estiment avoir économisé plus de 150 € annuels, dont 49 % avec des économies supérieures à 250 €. La chaudière à granulés semble donc générer davantage d'économies. Mais cette différence ne s'explique pas forcément par la performance de l'équipement : « Les typologies de maisons ne sont pas les mêmes. Le granulé remplace souvent le fioul, dans des grandes maisons en zones plutôt rurales. Le gaz est davantage présent en zones urbaines, en appartements, où les gens sont raccordés au réseau de gaz. Le budget pour chauffer les maisons au fioul est souvent plus important du fait de la superficie des habitations supérieure à la moyenne, de l'ordre de 160 m² », précise Arthur Bernagaud, responsable des solutions Hellio pour le particulier.… corrélées à davantage de confortPour les 3 postes de travaux, les répondants sont unanimes et estiment tous bénéficier de davantage de confort. Le gain énergétique sur la facture dépend aussi des usages et de l'ordre dans lequel les travaux sont réalisés : « La théorie est de 30 % pour les économies d'énergie quand on remplace une chaudière, mais parfois il arrive qu'il n'y ait pas d'économies car celles-ci sont aussi corrélées aux usages ou liées à un manque d'isolation. Chez Hellio, nous essayons de changer les comportements, de parler de sobriété énergétique avec nos clients », analyse Artur Bernagaud.L'effet rebond, soit l'augmentation de l'utilisation d'un équipement suite à une diminution de son coût de fonctionnement, est l'une des principales explications : après avoir isolé, l'utilisateur ne baisse pas son chauffage ou a tendance à utiliser davantage ses équipements pour une raison de confort.« Notre partenariat avec Schneider Electric dans le pilotage de la consommation d'énergie prend tout son sens. L'enjeu est de vulgariser l'importance des écogestes et de la sobriété énergétique, pour arriver à une rénovation qui a de l'impact sur la facture », ajoute Marina Offel.Le choix d'une chaudière à granulés constitue un bon moyen de changer son comportement avec un geste environnemental, au-delà de recourir à une énergie renouvelable : « Le chargement des granulés donne conscience de sa consommation, c'est différent pour le gaz car on ne le charge pas. Les utilisateurs d'une chaudière à granulés sont ainsi plus attentifs à leur consommation d'énergie », explique Arthur Bernagaud.Privilégier les bouquets de travaux et la rénovation globaleAutre enseignement à relever, ces travaux isolés sont peu déclencheurs d'autres travaux. Plus de ¾ des répondants de l'étude sur l'isolation des combles n'envisagent pas de réaliser d'autres travaux de rénovation énergétique. Cette proportion est un peu moins importante chez les bénéficiaires d'une nouvelle chaudière gaz (58%) et d'une nouvelle chaudière à granulés (54%).Un constat qui va à l'encontre des efforts déployés actuellement par l'État pour encourager les particuliers à entreprendre des rénovations globales, incluant plusieurs postes de travaux, pour plus d'efficacité. Les chiffres de l'enquête TREMI réalisée par l'ADEME en 2017 confirment l'ampleur de la tâche à accomplir puisque 75% des travaux de rénovation en maisons individuelles n'ont pas permis à ces logements de changer de classe DPE.Mais ces types de travaux sont tout de même voués à perdurer puisqu'ils font partie des gestes préconisés dans le parcours d'une rénovation globale du fait du confort qu'ils apportent.« Les gestes de travaux isolés comme l'isolation des combles n'ont plus lieu d'être en 2021. Aujourd'hui, avec la fin des offres à 1 €, les efforts sont faits pour défendre l'isolation dans le cadre de bouquets de travaux ou d'une rénovation globale, voire mieux avec un isolant local et/ou biosourcé, de plus en plus demandé par les ménages, soucieux de recourir à des matériaux plus écologiques », analyse Marina Offel.La stratégie de Hellio est de faire du cas par cas, en fonction de la réalité de chacun. Car le reste à charge d'une rénovation globale (entre 20 000 et 25 000 € une fois les aides déduites) peut constituer un frein pour les ménages.Hellio recherche ainsi la meilleure solution à mettre en œuvre pour arriver à un gain énergétique performant, tout en bénéficiant d'un maximum d'aides : « Cela devient systématique de faire le bout à bout, dans un ordre de travaux bien établi afin d'arriver à des économies réelles. Lorsque nos clients nous appellent pour changer leur chaudière, nous leur demandons systématiquement si le logement est isolé car cela aura une incidence sur le choix de l'équipement de chauffage. Nous les encourageons vivement à privilégier les bouquets de travaux avec au moins 2 gestes car ils sont plus efficaces et moins coûteux que de les faire séparément », détaille Arthur Bernagaud.Diminuer les aides pour stopper les arnaquesGrâce au dispositif Coups de pouce lancés par l'État en 2019 dans le cadre du dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie (aides financées par les fournisseurs d'énergie tels que Total, Engie, Leclerc, etc.), il était possible jusqu'alors de faire isoler ses combles ou de changer son chauffage pour 1 € symbolique.Problème : cette offre attractive a très vite suscité l'intérêt de sociétés peu scrupuleuses et a donné lieu à de nombreuses arnaques. Pour se prémunir contre ces abus, il est important de rappeler que l'une des clés est de faire appel à un artisan certifié RGE (Reconnu Garant de l'Environnement) et de ne pas accepter une offre proposée lors d'un démarchage téléphonique, puisque celui-ci est interdit depuis le 1er septembre 2020.« Au départ, ces offres à 1 € étaient une bonne chose car elles étaient faites par des acteurs compétents et conscients que le reste à charge est le principal frein pour les ménages à engager des travaux ; elles ont permis de massifier les travaux de rénovation énergétique chez les particuliers en situation modeste. Mais, les contrôles de ces chantiers et les poursuites engagées contre ces entreprises ont été insuffisants, ne permettant pas de neutraliser des effets d'aubaine ! », déplore Marina Offel.Décision a donc été prise par le gouvernement de diminuer les aides financières :Le Coup de pouce Isolation des combles et planchers sera maintenu jusqu'au 30 juin 2022, mais ses forfaits seront diminués de moitié dès le 1er juillet 2021. Concrètement, les primes devraient ainsi passer d'une moyenne de 20 € par mètre carré actuellement, à une fourchette comprise entre 8 à 12 € (sur un coût compris entre 20 et 25 € par mètre carré de surface isolée).Concernant le chauffage, le cumul entre les primes CEE et MaPrimeRénov' qui permettaient des offres à 1 € pour l'installation d'équipements de chauffage (gaz, pompes à chaleur, chaudière biomasse…) était déjà conditionné à un reste à charge obligatoire depuis janvier 2020 : de 10 % du coût des travaux pour les ménages très précaires à 60 % pour les revenus plus élevés. Un moyen aussi de responsabiliser les consommateurs qui seront sans doute plus vigilants dans le choix de leur entreprise. Car débourser plusieurs milliers d'euros induit d'être davantage attentifs à la qualité des travaux. Le reste à charge pour une chaudière gaz sera donc plus important à partir du 1er juillet 2021, en fonction des revenus du ménage : entre 1 600 et 2 000 € contre 500 à 600 € avant.Les barèmes d'aides restent en revanche inchangés pour la chaudière à granulés de bois et la pompe à chaleur (air/eau ou eau/eau ou hybride) qui continuent de bénéficier du Coup de pouce Chauffage.1 Le dispositif des Certificats d'Économies d'Énergie, appelés CEE, a été mis en place par l'État en 2006 pour financer la transition énergétique. Ce dispositif oblige les fournisseurs d'énergie à inciter les consommateurs à réaliser des économies d'énergie avec des objectifs à respecter pour des périodes données. Les ménages aux revenus modestes à très modestes peuvent bénéficier d'un soutien renforcé. Afin d'obtenir des Certificats d'Economies d'Energie (CEE), les fournisseurs d'énergie peuvent distribuer des aides financières aux particuliers pour financer partiellement ou totalement leurs travaux d'économies d'énergie.
Il y a 3 ans et 313 jours

Raupur Acoustic, la plaque isolante associant confort thermique et isolation acoustique

57 % des français s’estiment aujourd’hui plus sensibles à la qualité de l’environnement sonore qu’auparavant*. Déjà en 2017, 77 % des Parisiens déclaraient avoir été réveillés la nuit par des bruits de voisinage**.C’est pourquoi REHAU a mis au point un produit unique qui associe le confort thermique et le confort acoustique lors de l’installation de plancher chauffant-rafraîchissant : la plaque isolante RAUPUR ACOUSTIC. La sous-couche acoustique mince de 3 mm (SCAM) est directement intégrée sous la plaque REHAU classique en polyuréthane RAUPUR. Le poids reste léger, la plaque maniable et la hauteur de réservation inchangée.Faisant partie des produits les plus performants du marché, RAUPUR ACOUSTIC assure une atténuation de 23 dB aux bruits de chocs entre étages, c’est-à-dire principalement les bruits de pas et de chute d’objets.En allant plus loin que les exigences actuellement demandées dans la construction de logements collectifs et individuels accolés (généralement de l’ordre de 20-21 dB d’atténuation), RAUPUR ACOUSTIC contribue donc au confort des utilisateurs en réduisant les nuisances sonores et les bruits de voisinage.« Lorsqu’un objet tombe, les ondes vont se transmettre jusqu’à l’ossature du bâtiment par les murs.L’intérêt de poser une sous-couche acoustique, est d’étouffer ce bruit avant qu’il n’atteigne les parois » commente Franck Delaboissière, délégué technico-commercial REHAU pour les régionsRhône Alpes et Languedoc Roussillon.* Source : Centre d’information et de documentation sur le bruit, juillet 2020.** Source : Baromètre Qualitel.Destinée à la construction neuve et à la rénovation, la plaque isolante RAUPUR ACOUSTIC est idéale pour les logements collectifs, mais aussi les hôtels, les immeubles de bureaux, les établissements de santé ou d’enseignement où elle contribue à réduire les bruits de chocs et de pas liés aux allées et venues constantes. Enfin, en maison individuelle, RAUPUR ACOUSTIC s’avère être un allié pour limiter les bruits et favoriser la tranquillité à chaque niveau de l’habitation.« RAUPUR ACOUSTIC séduit les bureaux d’études, les architectes et les constructeurs par sa facilité d’utilisation et sa multi-compatibilité. Ce produit tout en un leur permet de garantir une pose parfaite de la sous-couche acoustique sur la totalité du sol et de gagner du temps sur les chantiers. » complète Franck Delaboissière.Combinant une large palette de bénéfices dont des économies de transport, de manutention et de temps de pose grâce à sa fonction 2 en 1,RAUPUR ACOUSTIC est un matériau idéal tant pour les professionnels qui le mettent en œuvre que pour le consommateur final au quotidien.
Il y a 3 ans et 314 jours

Réalisation d'un éco quartier avec des logements à haute performance énergétique à Lunéville

Le 15 avril dernier, les premiers habitants de l’éco quartier Libération, à Lunéville (Meurthe-et-Moselle), emménageaient dans leur logement. Entre l’avenue de la Libération et l’allée des Lilas, sur un peu plus d’un hectare, une ancienne pépinière a laissé la place à un programme de construction neuve de 31 logements à haute qualité environnementale conduit par l’Office Public de l’Habitat (OPH) de Lunéville à Baccarat.Énergie positiveCe nouvel espace d’habitat social alliant urbanisme durable et performance énergétique combine habitat individuel et collectif tout en favorisant une forte mixité sociale. Il compte vingt maisons individuelles et un immeuble abritant onze appartements.« La performance énergétique est notre cheval de bataille, souligne Adrien Kremer, chargé d’opérations à l’OPH. Lorsque nous avons lancé le concours de conception-réalisation, notre cahier des charges imposait une consommation d’énergie inférieure de 20 % aux exigences de la réglementation en vigueur RT 2012. En option, nous envisagions une cibleRT2012 -50 %. Nous avons eu l’opportunité de répondre à l’appel à projetE+C- pour des bâtiments à énergie positive et faible empreinte carbone répondant à la future réglementation environnementale RE 2020. Le bâtiment collectif est labellisé avec un niveau E3C1. »Pour assurer la maîtrise des charges locatives, le bailleur social vise aussi la pérennité des performances. Celle-ci passe par l’utilisation de matériaux durables, recyclables et réutilisables. Adrien Kremer rejette tout gadget sophistiqué et favorise les solutions simples ayant fait leurs preuves, comme l’isolation thermique par l’extérieur (ITE) pour une enveloppe de bâtiment pérenne et performante.Haute isolationL’ITE est la solution retenue pour assurer une haute isolation à l’immeuble collectif par l’équipe lauréate du dialogue compétitif, conduite par Eiffage Construction Lorraine. Pour abriter les onze logements, les architectes de l’agence Bagard & Luron et le bureau d’études Huguet conçoivent un bâtiment R+2 constitué de deux ailes encadrant les circulations verticales.« Cette partie centrale n’étant pas chauffée, les deux ailes nord et sud sont traitées comme des bâtiments séparés dotés chacun de leur enveloppe », décrit Jérôme Guillaumond, l’architecte de l’agence en charge de l’opération. Les deux parallélépipèdes construits en blocs de béton, simples et compacts, sans décrochements autres que les dalles de balcons, sont enveloppés d’une ITE sous enduit. Les façades sont animées par un jeu de contrastes entre des corps de bâtiments blancs et des pignons gris foncé.Label E+CCette conception simple du bâtiment et de son enveloppe s’avère très efficace, comme le confirme l’étude thermique réalisée par le bureau d’études Huguet. En effet le coefficient Bbio (besoin bioclimatique conventionnel), qui mesure la performance thermique du bâtiment indépendamment des systèmes énergétiques mis en œuvre, est ici très favorable. Il est de 45,3 pour l’aile nord et 38,6 pour l’aile sud, soit respectivement 46,1 % et 54 % de moins que le Bbio maximum fixé par laRT 2012 (84) pour tous les bâtiments neufs.Autre exigence de la réglementation thermique RT 2012, la consommation d’énergie primaire conventionnelle est limitée à 76,1 kWh/m2.an pour l’aile nord et 77,9 kWh/m2.an pour l’aile sud. Or, elle n’atteint respectivement que23,7 kWh/m2.an (soit - 68,9 %) et 27,2 (soit - 65,1 %) pour les deux parties du bâtiment dotées de chaudières à gaz.Pour compléter ces excellents résultats, une quarantaine de mètres carrés de panneaux solaires posés sur le toit de l’immeuble fournissent suffisamment d’électricité pour offrir au bâtiment un bilan énergétique positif : il produit plus d’énergie qu’il en consomme. L’objectif du label E+C- est ainsi atteint avec un niveau E3C1.Des produits de qualité bien mis en œuvreL’application de l’ITE sur les façades de l’immeuble a été confiée à la société Enduiest. Depuis une trentaine d’années, cette entreprise familiale réalise des chantiers de ravalement et d’ITE en Lorraine et en Champagne. Recruté il y a deux ans et demi pour développer l’activité dans les bâtiments neufs, le chargé d’affaires Sébastien Piernot a suivi le chantier du quartier Libération de Lunéville depuis le chiffrage jusqu’à la réception. L’ITE prescrite sur cette opération est le StoTherm Vario 1. « Nous sommes très vigilants quant au choix des produits employés et la gamme Sto offre une solution complète permettant de répondre qualitativement à ce type d’opération. Mais un produit de qualité doit aussi être bien mis en œuvre.Pour cela le site internet de Sto est une aide appréciable, il permet de consulter les différents carnets de détails, les guides d’applications, etc…Toutefois, lorsqu’il y a une interrogation technique nous sollicitons l’avis du conseiller technique Sto, pour cette opération nous avons eu recours à lui deux fois, ce dernier a été très réactif et nous a apporté les solutions. »Système d’ITE hydrauliqueLes panneaux de polystyrène expansé Sto-Panneau PS 15 SE de 200 mm d’épaisseur sont d’abord collés sur les 650 m2 de façade en blocs de béton au moyen de Sto-Mortier Colle B. Puis est appliqué le sous-enduit minceStoLevell Uni armé d’un treillis Sto-Fibre de verre standard. Ce sous-enduit est obtenu en mélangeant une poudre à base de liant hydraulique avec de l’eau. « Le StoTherm Vario 1 est un système d’ITE que nous connaissons bien puisque l’entreprise Enduiest l’utilise sur 80 % de ses chantiers d’isolation thermique par l’extérieur. Habitués au gâchage de produits en poudre, nos compagnons enduiseurs apprécient le sous-enduit hydraulique livré en sacs », précise Sébastien Piernot.Afin de protéger des chocs les parties basses de l’immeuble, l’entreprise aposé sur toute la hauteur du rez-de-chaussée un treillis d’armature complémentaire renforcé en fibre de verre, le Sto-Fibre de Verre Blindaget. Cette armature est marouflée dans l’enduit StoLevell Uni avant une deuxième passe armée du treillis Sto-Fibre de verre standard.Couleurs contrastéesLa finition est enfin assurée par un enduit organique taloché prêt à l’emploi à base de résine acrylique Stolit K 1.5. Blanc sur les trois quarts de la façade, l’enduit est teinté d’un gris soutenu sur trois murs. Afin d’éviter l’absorption de chaleur qui pourrait réduire la durabilité du système en provoquant des fissures ou des déformations, cet enduit foncé est doté de la technologie X-black développée par Sto.Il ne reste plus aujourd’hui qu’à terminer l’aménagement du parc pour favoriser les rencontres entre les habitants et mettre en valeur les nouveaux bâtiments.
Il y a 3 ans et 319 jours

Ouverture de MaPrimeRénov' aux propriétaires bailleurs

Lutter contre les passoires thermiques dans le parc locatif privé : un enjeu majeurLa rénovation énergétique des 8 millions de logements du parc locatif privé, parmi lesquels 1,5 millions sont considérés comme énergivores, constitue un enjeu majeur dans la lutte contre la précarité énergétique et la lutte contre le réchauffement climatique. Le projet de loi Climat et Résilience envisage d'ailleurs d'accélérer le calendrier d'interdiction à la location des passoires thermiques à l'horizon 2028.Avec MaPrimeRénov', les propriétaires ont donc l'opportunité d'engager des travaux de rénovation énergétique, qui leur permettront de réduire la consommation énergétique de leur logement, valoriser leur bien et faciliter sa mise en location.Les propriétaires bailleurs peuvent déposer leur dossierA partir d'aujourd'hui, les propriétaires bailleurs deviennent donc éligibles aux mêmes forfaits d'aides que les propriétaires occupants, dans les mêmes conditions de revenus. Ils peuvent bénéficier de MaPrimeRénov' pour rénover jusqu'à trois logements locatifs que cela soit en maison individuelle ou sur les parties privatives d'un appartement. Pour cela, ils doivent s'engager à louer le logement rénové pour une durée minimal de 5 ans et, en cas de réévaluation du loyer, déduire l'aide qu'ils ont perçue du montant des travaux justifiant la réévaluation.Pour les travaux dans les parties communes dans une copropriété, les propriétaires bailleurs peuvent déjà bénéficier de MaPrimeRénov' Copropriétés, via leur syndicat de copropriétaires. Depuis son lancement le 1er janvier 2021, MaPrimeRénov' rencontre un véritable succès auprès des Français, plus de 350.000 demandes ont été déposées en 2021.
Il y a 3 ans et 319 jours

Une nouvelle gamme d’isolants pour soubassements

ISOVER s’associe à Placo et Jackon Insulation pour lancer Peritherm. Ce système est dédié à l’ITE et à la protection mécanique des parties apparentes des murs de soubassements. Il est recommandé pour l’isolation de la partie semi-enterrée extérieure des maisons individuelles, logements collectifs et bâtiments tertiaires. Il est idéal en construction neuve pour atteindre le label BBC. En rénovation, il permet un gain substantiel en limitant les ponts thermiques entre la dalle porteuse et le mur extérieur. Il permet également de limiter les déperditions thermiques des murs extérieurs de soubassement et une protection pérenne de l’étanchéité. C’est un panneau associant un isolant en polystyrène extrudé Jackodur® Plus 300 SF (certifié ACERMI) et un parement en plaque de ciment Placo® haute dureté.
Il y a 3 ans et 321 jours

Effy démocratise le photovoltaïque en maisons individuelles

Avec 4 offres clés en mains de 2,4 à 9 kWc, Effy veut gommer les difficultés tant techniques qu’administratives et faciliter l’accès à l’autoconsommation PV en maison individuelle.
Il y a 3 ans et 322 jours

Quelle sera la place des biosourcés dans la construction horizon 2030 ?

Les récents arbitrages de la RE2020 ont mis sur le devant de la scène les matériaux biosourcés : mais quelle sera la place des biosourcés dans la construction horizon 2030 ? Les filières sont-elles suffisamment mâtures et développées pour répondre à la trajectoire attendue ? Saurons-nous faire place à ces matériaux (pour certains issus de pratiques ancestrales), dans une équation coût carbone cohérente ?Le hub des prescripteurs bas carbone a cherché à apporter des réponses à ces questionnements en analysant les enjeux de comptabilité carbone, et en dressant un panorama objectif des filières biosourcés, de leur potentiel de décarbonation et des meilleures pratiques.Un appel à innovation a par ailleurs été lancé pour proposer un véritable book innovation de filière.Les messages clés du brief de filière sur les biosourcés ainsi que les résultats de l’appel à innovations seront partagés le 29 juin de 14h30 à 16h30 lors d’un webinaire grand public. Déjà plus de 1000 inscrits.Une transformation des pratiquesLe développement des biosourcés est d’abord une affaire de pratiques. L’industrie du bâtiment s’est structurée ces dernières années principalement autour de quelques matériaux, par exemple le bois occupe aujourd'hui environ 8% des parts de marché de la construction en France. Pour faire une place aux biosourcés, c’est toute une industrie et donc l’ensemble de la chaine de valeur qui va apprendre à concevoir, réaliser et exploiter différemment. Un challenge collectif qui met en lumière l’importance de ne pas opposer les matériaux, mais plutôt de viser une performance plurielle : technique, économique et bas carbone. Les biosourcés, champions du bas carbone par effet de substitutionIssus de procédés peu intensifs en énergie et en carbone, le recours aux matériaux biosourcés dans la construction permet un bénéfice carbone très significatif par effet de substitution par rapport à des produits conventionnels (et cela sans tenir compte de l’effet de stockage du carbone, ni de l’avantage méthodologique lié à l’ACV dynamique). Leur utilisation permet en effet un moindre recours à des matériaux énergivores et des énergies fossiles.Le second bénéfice carbone associé aux matériaux biosourcés est sa séquestration temporaire de carbone. Pour exemple, le bois stocke ainsi environ 1 tCO2e/m3 de bois. Toutefois, l’impact des matériaux biosourcés sur les puits de carbone varie en fonction de la gestion de la ressource, de la durée de vie des matériaux et de l’horizon temporel étudié. Des critères sur la gestion de la ressource et sur l’usage des matériaux permettent d’optimiser l’effet puits. La réussite de la SNBC reposera sur un travail d’équipe entre les secteurs : bâtiment, industrie, forêt-bois-biomasse…La SNBC a fait le choix de mobiliser le bois énergie et les biosourcés dans le bâtiment, afin de multiplier par deux le réservoir carbone (terres et matériaux) et diviser par 6 les émissions GES. En cohérence avec cette stratégie, la RE2020 a pris des arbitrages qui induisent "un recours plus fréquent au bois et aux matériaux biosourcés ". Le hub des prescripteurs bas carbone a étudié qu’un bâtiment s’inscrivant dans une trajectoire SNBC stockera en 2030 en moyenne entre 60 et 70 kgCO2e séquestré par m² construit (logement collectif et bureaux).De multiples applications, des niveaux de maturité variablesLes matériaux biosourcés ont de multiples applications : isolants, peinture, composants de panneaux, béton... Ces matériaux présentent néanmoins des enjeux opérationnels qui doivent être pris en compte dans la prescription (coût, caractéristiques techniques, disponibilité, assurabilité).L’appel à innovation mené montre que des solutions matures, disposant de l’ensemble des documents nécessaires (Avis technique ou ATex, FDES ), sont déjà nombreuses sur le marché. A2C Préfa a par exemple conçu un plancher préfabriqué mixte en bois-béton permettant de diminuer l’empreinte carbone du plancher. Gramitherm utilise une ressource abondante pour fabriquer un isolant à base d’herbe. Vicat propose un béton alternatif intégrant du chanvre.Des ressources disponibles et un développement à accompagner1er producteur de plantes à fibres, et 3ème ressource forestière d’Europe, la France bénéficie d’un fort potentiel sur son territoire. La France est un véritable réservoir de ressources qui ne demande qu’à être encouragé et se développer. L’analyse de la disponibilité de cette ressource et du niveau de structuration des filières nécessite de distinguer deux grandes catégories : les fibres végétales et le bois.La disponibilité des ressources en fibres végétales est, à dire d’expert suffisante, pour faire face à une hausse significative ; les matériaux utilisant dans la grande majorité des cas un co-produit qui est peu voire non exploité. L’enjeu majeur de la filière bois est l’articulation entre les acteurs de la première et deuxième transformation pour un approvisionnement dans de bonnes conditions sur le territoire français (coûts, qualité et délais). L’augmentation des demandes en bois d’œuvre est également susceptible de poser des enjeux de disponibilité de la ressource. Pour limiter les importations et valoriser les ressources françaises, la filière pourrait se structurer autour du bois feuillu (représentant ¾ des essences françaises) en complément du bois résineux, et les prescripteurs devront s’orienter vers ces essences.Outre les enjeux de ressources et transformation, la question de la formation des acteurs ressort comme un axe majeur pour assurer un emploi optimal de ces matériaux. Construire en biosourcé nécessite en effet une connaissance et une maitrise de leurs spécificités, pour exploiter leurs atouts tout en assurant une conception optimisée tant sur le plan qualitatif qu’économique.Des pratiques nouvelles à assimiler pour une optimisation des coûtsPlusieurs études ont été menées par le Hub sur l’équation coût-carbone des biosourcés. Celles-ci ont permis de constater certaines tendances économiques notamment pour la construction bois : Des maisons individuelles sans tendance de surcoûts constatée (on constate néanmoins que les prestations des maisons en construction bois sont parfois avec des niveaux prestations très qualitatives, ce qui peut générer des biais dans les comparaisons), Des logements collectifs avec des surcoûts de 5 à 10 % mais pouvant aller jusqu’à 15-20% selon la hauteur du bâtiment.Des coûts en bâtiments tertiaires difficiles à extrapoler, compte tenu de la diversité des projets et de leurs caractères emblématiques ne permettant pas d’identifier des règles généralisables.Le recours à des constructions mixtes ou tout bois peut être considéré comme une pratique nouvelle, avec des parts de marchés et un nombre d’initiés encore restreint. Construire en biosourcé nécessite une connaissance et une maitrise de leurs spécificités pour exploiter leurs atouts tout en assurant une conception, une réalisation et une exploitation maitrisées. La formation des acteurs est donc un axe majeur pour assurer un emploi optimal de ces matériaux. Celle-ci est nécessaire à tout niveau : maîtres d’ouvrages, architectes, bureaux d’études, entreprises, …L’assimilation des pratiques par un nombre grandissant d’acteurs permettra d’accroître le recours à ces matériaux dans la construction, et leur compétitivité sur l’ensemble de la chaîne de valeur (économie d’échelle pour les coûts de production, optimisation de la conception et de la mise en œuvre), qui devrait permettre à la filière d’être d’autant plus compétitive sur une approche coût-carbone.Selon Christophe Rodriguez, directeur général adjoint à l’IFPEB, « La RE2020 est une réglementation inédite qui propulse la construction sur le chemin vers la neutralité carbone. Le hub des prescripteurs bas carbone est une communauté qui souhaite partager, se doter d’outils opérationnels et apprendre pour anticiper et faire de ces évolutions un succès pour toutes les filières du bâtiment. Les analyses que nous menons nous montrent que les cartes seront rebattues mais également que chaque solution, chaque matériau pourra jouer un rôle. La condition de notre transition environnementale sera la capacité d’innovation des filières. Nos prochains briefs concerneront les lots techniques et l’enveloppe du bâtiment. » Les messages clés du brief béton ainsi que les résultats de l’appel à innovations seront partagés le 29 juin de 14h30 à 16h30 lors d’un webinaire grand public.