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Il y a 3 ans et 273 jours

3 nouvelles start-up intègrent l’accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP »

4 entreprises ont présenté leurs projets le 5 juillet dernier, devant un jury composé de professionnels du BTP et de la prévention et en présence des partenaires fondateurs, le CCCA-BTP, l’OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA. Leurs projets ont été évalués sur la base de cinq critères :Le caractère innovant de leur technologie ou service ;L’accessibilité du marché visé ;L’équipe (les compétences et expertises mobilisées, la capacité à porter le projet) ;La fiabilité du business model ;L’adéquation de la start-up avec les thématiques santé et prévention de l’accélérateur.Cette douzième édition a permis à trois start-up ayant présenté leurs innovations de convaincre les membres du jury. Celles-ci ont donc été retenues pour intégrer l’accélérateur « Santé – Prévention dans le BTP » :> APPI Technology développe des systèmes autonomes de communication mains-libres conçus pour les équipes travaillant en milieux hostiles, bruyants ou confinés. Ces équipements, compatibles avec tout EPI, permettent de maintenir un dialogue entre les intervenants, de détecter des situations de danger et de relayer des alertes de sécurité aux opérateurs.« Dans le cadre de nos travaux de recherche pour le stockage en grande profondeur de déchets radioactifs, nos équipes sont amenées à travailler dans des galeries à 500 m de profondeur. La solution Appi nous permet de rendre aux opérateurs l’usage de leur voix et de leurs mains, notamment lorsqu’ils se trouvent en situation de stress dans des endroits à fort enjeu de sécurité. Nous avons également fortement gagné en distance puisque la solution nous permet d’établir une communication jusqu’à plus de 200 m de distance malgré la profondeur et l’encombrement, contre seulement 7 m auparavant. » témoigne François Laumann, de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).> Come in VR est un créateur de contenus de formation immersive en réalité virtuelle (VR) ou PC. La start-up propose notamment des solutions pédagogiques pour les organismes de formation ou les entreprises dans les secteurs de la logistique, du BTP et de la santé. Ces expériences immersives permettent de favoriser la formation des équipes et de valoriser leurs compétences.« Nous utilisons le module de formation virtuelle de Come in VR dédié à l’élingage, une opération de levage très classique dans les travaux publics mais accidentogène lorsqu’elle est mal réalisée. Grâce à ce module, nous avons permis à l’ensemble de nos apprenants en formation initiale ou continue d’acquérir les bons gestes pour être plus aguerris sur toute la partie pratique concernant cette opération, et ce de manière ludique et compréhensible par tous. » témoigne Jean-François Chabaud, Directeur de l’Ecole de la Construction des Infrastructures et Réseaux.> Recap développe une application qui permet de développer, documenter et superviser la transmission des consignes et des bonnes pratiques dans le domaine de la santé – sécurité au travail, bien souvent données à l’oral. Cela permet d’améliorer la sécurité des opérateurs sur le terrain, du responsabiliser les managers et de favoriser la justification du respect de l’obligation de sécurité tout en anticipant les risques de responsabilité.« Les premiers retours que nous avons reçus des entreprises du BTP ayant testé la solution font état d’un véritable intérêt commercial. En effet, l’application permet de prouver en direct, régulièrement et très facilement au donneur d’ordre d’un chantier que les engagements pris en termes de sécurisation du chantier et des salariés, dans le cadre du contrat, sont bien tenus au jour le jour. » confirme Arnaud Rimbert, avocat en droit du travail.Ces start-up bénéficieront de l’expertise et des retours d’expériences des quatre partenaires fondateurs, CCCA-BTP, l’OPPBTP, PRO BTP et la Fondation EXCELLENCE SMA, pour faire monter en puissance la performance des entreprises en matière de santé et prévention. Les partenaires s’engagent également à faciliter les échanges et la visibilité des start-up auprès de leurs entreprises adhérentes, notamment au travers de leurs sites web, leurs réseaux sociaux et leurs médias respectifs, ainsi qu’à l’occasion des événements auxquels ils sont susceptibles de participer.
Il y a 3 ans et 275 jours

Atlantem accélère sa transformation

Atlantem a bien démarré l’année avec une croissance dynamique grâce, notamment, à la montée en puissance de son usine AM-X de Saint-Sauveur-des-Landes. L’industriel breton entend poursuivre sur cette lancée en misant sur l’outil de production, mais aussi la sécurité et le bien-être au travail.
Il y a 3 ans et 276 jours

La vis de fondation pour les chantiers de terrasse bois

Pour vos chantiers de terrasse en bois avec des sols meubles, la vis de fondation vous permet de créer une structure stable prête à accueillir les lambourdes de la terrasse bois. On vous dit tout sur ce produit innovant et très pratique. Qu’est-ce qu’une vis de fondation ? C’est une grosse vis en acier galvanisé de 80 à 120 cm de hauteur qui s’enfonce dans le sol grâce à sa pointe harpon et qui a pour but de remplacer une dalle en béton. Elle va remplacer la structure de la terrasse en bois. Les avantages d’une vis de fondation La vis de fondation est révolutionnaire dans le sens où elle va vous permettre d’économiser un temps précieux sur vos chantiers de terrasse en bois. Grâce aux vis de fondation, il ne faudra plus attendre le séchage de la dalle en béton. De plus, vous éviterez cette étape fastidieuse qu’est la pose d’une dalle en béton avec toute la manutention et logistique qu’elle comporte. Vous diminuerez par deux le temps nécessaire à vos chantiers terrasse et vous pourrez directement enchainer la pose de slames de terrasse bois après la pose des vis de fondation. Ainsi, au lieu de diviser le chantier en deux temps, vous pourrez le finaliser d’une traite. Chaque vis de fondation peut supporter une charge allant jusqu’à 450 kg ! Comment calculer le nombre de vis de fondation nécessaire ? Comptez environ 1,5 vis de fondation par mètre carré de terrasse bois posée. Soit 3 vis de fondation pour 2 mètre carré de terrasse. Le poids d’une vis de fondation est d’environ 5kg. La hauteur est réglable avec une hauteur hors sol entre 25 et 55 cm. Comment poser une vis de fondation ? Deux types de pose sont possibles, la pose manuelle ou avec une boulonneuse : La pose avec outil manuel : une barre de vissage réglable et un mat pré-percé vous permettent de régler l’outil et d’enfoncer la vis de fondation manuellement. 2 personnes sont nécessaires pour la pose manuelle (une personne de chaque côté de la barre de vissage). Comptez 5 minutes par vis de fondation avec ce type de pose. La pose avec boulonneuse : un adaptateur à douille est disponible à fixer sur une boulonneuse. Cet adaptateur de 41 mm de diamètre est spécialement conçu pour les vis de fondation. La boulonneuse doit avoir une puissance minimale de 700 watts. Un kit est fourni avec l’adaptateur pour la fixation. Avec ce type de pose, une seule personne est nécessaire. Comptez également 5 minutes par vis. Combien coûte une vis de fondation ? Comptez entre 40 et 50€ HT par vis de fondation. Bien que plus chères qu’une dalle béton, le temps de pose pour vos chantiers de terrasse bois sera grandement diminué et vous vous y retrouverez rapidement. Différentes utilisations possibles Pour utiliser la vis de fondation comme structure de lambourdes, un support en L est fourni avec les vis. Il existe également un support carré pour pouvoir y fixer d’autres structures comme des poteaux de caports ou de clôtures…
Il y a 3 ans et 280 jours

Wilo-Medana CV1-L, conception robuste et surpression haute performance

La Wilo-Medana CV1-L est une pompe multicellulaire non auto-amorçante en construction verticale avec raccords en ligne, en acier inoxydable. Elle remplace la gamme actuelle de Wilo-Multivert MHIL.Sa conception compacte et robuste mais aussi ses hautes performances hydrauliques permettent l’utilisation de cette nouvelle gamme de Wilo-Medana CV1-L dans un large domaine d’applications telles que les installations de protection contre l'incendie, l’irrigation ou encore la distribution d'eau et la surpression collective mais aussi la récupération d’eau de pluie pour les hôtels et les bâtiments collectifs.Intégration système efficace et haut rendementLa Wilo-Medana CV1-L s’adapte à des températures ambiantes pouvant atteindre 50 °C et pour un domaine d'application élargi, notamment pour l'intégration systèmes. De plus, elle convient aux applications d'eau potable et aux applications spéciales grâce à sa construction en acier inoxydable.En plus de son rendement élevé grâce à ses hautes performances hydrauliques, Wilo-Medana CV1-L possèdent des caractéristiques techniques apportant aux clients de nombreux bénéfices additionnels, tels que la facilité d’installation et de maintenance. En effet, la mise en service et l’entretien sont facilités grâce à une conception de la pompe compacte et peu encombrante. Aussi, sa conception robuste et ses matériaux résistants à la corrosion font de la Wilo-Medana CV1-L un réel investissement sur le long terme.Plus performantes que les gammes précédentes, elles sont en lignes avec les nouvelles exigences de la réglementation ErP. La Wilo-Medana CV1-L dispose également d’un certificat ACS, pour les applications avec eau potable.Variante : Version pompe verticale multicellulaire non autoamorçanteRendement élevé grâce à la puissance hydraulique élevéeMise en service/entretien simple et rapide grâce aux grandes ouvertures pour le remplissage et la vidange des pompesFiabilité élevée se traduisant par une robustesse et un développement de bruits peu importantUtilisable à température ambiante jusqu'à 50 °CPréconisée pour les applications avec de l'eau potable
Il y a 3 ans et 289 jours

Scies sur tables TS244 / 360XR / MS362

Trois modèles sont disponibles suivant le besoin de l’utilisateur. La grande innovation de ses produits ? Ce sont les seules scies sur table au monde avec un système d’aspiration intégré. Elle permet une coupe à sec et sans poussière et donc de travailler en intérieur et en extérieur.Grâce à ce nouveau système l’utilisateur sécurise ses voies respiratoires, garde son champ de vision dégagé et travaille plus rapidement. De plus, les scies sont simples à transporter et l’utilisateur n’aura plus de nettoyage à effectuer en fin de chantier. De quoi changer la vie de beaucoup d’entreprises. Les avantages : Un aspirateur intégré captant 99.5 % des poussièresMontage simple, pas d’eau ni de poussière. Plus d’installation de protection de chantier et de nettoyage dus à l’utilisation de l’eauTransport simple Coupe précise, nette et rapide Pas de laitance et d’eau contaminée dans la nature et les canalisationsL’utilisateur ne respirera plus de la siliceLe disque reste froid ce qui permet d’avoir une plus grande durée de vie du matériel et consommable.Les caractéristiques :TS244Coupe tout type de carrelage, pierre naturelle etc..Capacité de coupe standard : 25 mm d’épaisseur et 610 mm en longueurDimensions (en mm) : 685 x 711 x 864Tension : 230 VPuissance : 2000 WPoids : 42 kgDiamètre du disque : 255 mmAspirateur : 47 dm3/sCapacité bac à poussière : 5 kgAccessoires :Support X – Guide d’onglets – Kit de tuyau d’aspiration360XR Coupe la pierre, la brique, des pavés etc.. Capacité de coupe : 95 mm d’épaisseur et 305 mm en longueurDimensions (en mm) : 432 x 762 x 508Tension : 230 VPuissance : 2300 WPoids : 30 kgDiamètre du disque : 355 mmAspirateur : 47 dm3/sCapacité bac à poussière : 22 kgAccessoires :SmartCartMS362Coupe du béton, pierre, maçonnerie etc..Capacité de coupe : 140 mm d’épaisseur et 610 mm en longueurDimensions (en mm) : 432 x 762 x 508Tension : 230 VPuissance : 2300 WPoids : 68 kgDiamètre du disque : Q-drive 420 mmAspirateur : 47 dm3/sCapacité bac à poussière : 18 kgPoids maxi sur la table : 25 kg
Il y a 3 ans et 295 jours

Deux motorisations, nouvelle génération, pour volets roulants

elero, marque du groupe Nice spécialisée dans les solutions complètes pour l‘automatisation des volets roulants, des stores extérieurs et intérieurs et des brise-soleil orientables, lance deux nouvelles motorisations, permettant de contrôler l’ouverture et la fermeture des volets roulants : RolSolar et RolMotion. RolSolar fonctionne uniquement grâce à l’énergie solaire, sans branchement au réseau électrique. Sa batterie permet un fonctionnement totalement autonome durant 30 jours, à raison de 2 cycles d’ouverture et fermeture en cas d’absence totale d’ensoleillement. Le moteur est équipé de la technologie de communication radio bidirectionnelle, permettant à l’utilisateur d’avoir l’assurance que son ordre a bien été reçu par le moteur. L’utilisateur a la possibilité de pré programmer 2 positions préférentielles d’ouverture et de fermeture. RolMotion est la solution d’automatisation des volets la plus silencieuse et évoluée présente sur le marché. Disponible en 3 puissances différentes – 6, 10 et 20 Nm, RolMotion est décliné en version filaire, avec une commande placée sur le mur, ou en version radio, grâce à sa télécommande portative.  Cette nouvelle motorisation, révolutionnaire, est dotée d’un frein moteur électromagnétique (brevet elero) ainsi que de la technologie Soft Start – Soft Stop, le rendant parfaitement silencieux (35dB). Il est possible de lui programmer 2 vitesses d’ouverture ainsi que 2 positions d’arrêt préférentielles, et ce, en mode manuel ou automatique. La tête moteur de forme étoilée, permet de s’adapter à l’immense majorité des supports existants. 
Il y a 3 ans et 297 jours

Chiffres et tendances du marché de l'immobilier au 1er semestre 2021

Une concordance des tendances qui donne aux citadins l'envie de s'éloigner des centres-villes pour acquérir des mètres carrés en plus, voire d'acheter une résidence secondaire. Les villes moyennes profitent pleinement de cet emballement et voient leurs prix décoller avec l'arrivée de nouveaux habitants au pouvoir d'achat plus élevé. L'embellie est telle que le volume de transactions constaté au sein du réseau Laforêt pourrait bien détrôner celui, pourtant record, de 2019. Enfin, si les primo-accédants sont toujours dans la course, les conséquences d'une offre faible conjuguée à une forte demande pourraient réduire leur influence sur le marché de l'immobilier ancien.Une demande en forte hausse à +30%La demande dans l'immobilier ancien accélère très fortement au premier semestre 2021 par rapport à la même période de l'an dernier, et de façon continue depuis janvier. Ainsi, elle atteint +30% au national. L'immobilier conserve son rôle de valeur refuge dans un contexte troublé.Sans surprise, la demande pour les maisons progresse clairement (+39%), alors que la hausse sur les appartements est plus modérée (+19%). Là encore, la préférence va aux grandes superficies et aux extérieurs.Paris reprend des couleurs avec une augmentation de 21% de la demande. À l'heure de la reprise, le « désintérêt » pour la capitale, issu du premier confinement, semble déjà loin et la ville retrouve son attractivité. En Île-de-France (+24%), les maisons avec jardin et les grands appartements avec terrasse, balcons ou extérieur sont pris d'assaut, même si pour trouver son bonheur, il faut désormais passer de la première à la seconde couronne.Déjà forte en 2020, la demande en région (+33%) se concentre principalement dans les villes moyennes et en périphérie des grandes agglomérations. L'achat de résidences secondaires ou semi-principales dynamise les territoires grâce, notamment, à l'instauration durable du télétravail dans de nombreuses entreprises.Une offre sous une pression toujours plus forte : -19%Au 1er semestre 2021, l'offre, c'est-à-dire les biens disponibles sur le marché, continue de s'assécher au national (-19%). Sans pour autant être remis en cause, de nombreux projets de vente ont été suspendus du fait d'une visibilité insuffisante. Toutefois, cette situation est loin d'être homogène sur l'ensemble du pays. En effet, si les régions accusent un recul de 23% de l'offre, Paris voit en revanche son stock se reconstituer (+37%).Cette tendance doit néanmoins être relativisée, puisque depuis 2019 et même un peu avant, le volume de biens à la vente était historiquement bas.En Île-de-France, le retour des ventes de confort permet à l'offre de rester positive (+3%). Les Franciliens vendent pour acheter plus grand ou mieux, ce qui permet une rotation plus équilibrée. Enfin, les villes les plus attractives voient leurs stocks fondre à vitesse grand V, notamment sur les maisons (-30%).Un volume de transactions toujours en forte hausseLe premier semestre 2021 ne peut évidemment pas être comparé de façon rigoureuse à celui de 2020, qui avait connu un arrêt brutal de l'activité immobilière entre mars et mai, avec l'impossibilité de faire visiter les biens. Logiquement, le volume de transactions est donc plus favorable (+41%). Cependant, si on le compare au premier semestre 2019, il est là aussi sur une tendance haussière (+7%), ce qui laisse envisager une nouvelle année record.Les ventes de maisons accélèrent (+45%), tandis que celles des appartements progressent de 39% par rapport au premier semestre 2020. Paris retrouve une activité positive : +44% de progression des volumes de transactions, tandis que l'Île-de-France poursuit sur sa belle lancée (+42%). Les régions elles aussi profitent pleinement de cette forte reprise (+41%).Si la majorité des transactions concernent toujours la résidence principale, l'investissement locatif représente désormais 27% des acquisitions. Autre phénomène significatif : les résidences secondaires ont représenté plus de 6% des transactions au premier semestre 2021.Sauf à Paris, les prix grimpent : +4,4% au nationalReflet d'une demande en très forte hausse et d'une offre qui ne parvient pas à se reconstituer, les prix augmentent un peu partout (+4,4% au national), sauf à Paris (-1,9%) où il s'établit à 10 324 euros/m². Là encore, il s'agit d'une baisse relative, le mètre carré ayant dépassé les 10 000 euros partout dans la capitale, à l'exception des 19e et 20e arrondissements.La raréfaction de l'offre en région, elle aussi, fait mécaniquement monter les prix (+6,1%), d'autant que les nouveaux arrivants ont un pouvoir d'achat souvent important. Enfin, en Île-de-France, où les Parisiens migrent pour trouver de l'espace, là aussi les prix décollent : +5%.Un délai de vente qui baisse de 2 semaines !Conséquence logique d'un marché extrêmement tendu, les délais de vente se réduisent, passant sous la barre des 3 mois dans les régions à 85 jours, soit 18 jours de moins par rapport au 1er semestre 2020. Les acquéreurs se montrent moins sélectifs et sacrifient quelques critères, craignant la flambée des prix et contraints par la raréfaction de l'offre.Si la moyenne au national est de 80 jours, soit 2 semaines de moins que l'an dernier, Paris remonte de 4 jours pour s'établir à 76 jours, tandis que l'Île-de-France passe à 65 jours : du jamais-vu !Des écarts de prix relativement faiblesSur un marché aussi dynamique, le temps n'est pas vraiment à la négociation. Ainsi, si l'écart est de 4,5% au national entre le prix de vente et le prix d'acquisition, il n'est que de 3,05% dans la capitale. En Île-de-France, il tombe même à 2,9%, tandis qu'il atteint 4,80% en région. Les offres d'achat se font souvent au prix affiché et sont parfois multiples sur un même bien. Ainsi, le vendeur a parfois le luxe de choisir la meilleure offre.Conclusion de Yann Jéhanno, président du réseau LaforêtSi le manque de biens disponibles à la vente continue de tendre le marché, celui-ci reste très dynamique en ce qui concerne les volumes de transactions. Le risque de remontée des taux d'intérêt lié à une possible inflation n'est cependant pas à exclure. C'est sans doute l'une des raisons qui conduisent les acquéreurs à ne pas trop retarder leur prise de décision.De plus, les habitudes de vie ont été bouleversées de façon durable du fait de l'ampleur et de la durée de la crise sanitaire et de ses effets. La généralisation du télétravail et la montée en puissance de l'entrepreneuriat génèrent aujourd'hui des envies d'ailleurs, accentuées par la hausse des prix de l'immobilier dans les centres-villes des grandes agglomérations, qui rendent ces secteurs difficiles d'accès pour les primo-accédants.Les résidences secondaires ou semi-principales redeviennent tendanceL'impact de la crise sanitaire sur le choix de la localisation et le format de son futur logement est particulièrement sensible en ce début d'année. La recherche de logements spacieux, même dans des communes éloignées des centres économiques, favorise les transactions immobilières et notamment la vente de maisons, qui sont particulièrement recherchées. En parallèle, les banques restent accommodantes, jouant pleinement leur rôle de financeur. À cette date, nos indicateurs laissent penser que nous nous dirigeons vers une nouvelle année record ! » conclut Yann Jéhanno, président du réseau Laforêt.
Il y a 3 ans et 298 jours

Le crowdfunding immobilier retrouve au premier semestre 2021 un rythme d'avant crise

« Si on se réfère aux principaux chiffres et enseignements de ce nouveau baromètre, le secteur du crowdfunding immobilier a connu une belle dynamique durant ce premier semestre, retrouvant celle qui était la sienne avant la crise sanitaire. Au-delà de la forte croissance de la collecte, les principaux indicateurs financiers montrent une stabilité de la durée moyenne de placement et un rendement annuel moyen toujours au-dessus de 9%. Le projet moyen financé est en hausse et se rapproche peu à peu du million d'euros, une progression qui va dans le sens de l'histoire.Les plateformes ont démontré leur capacité à lever d'importantes sommes dans des délais très courts, en phase avec les attentes d'acteurs immobiliers de taille plus conséquente et portant des projets de plus grande ampleur. Autre signe positif, cette augmentation de la taille des projets s'accompagne également d'un nombre d'opérations financées plus important, témoignant de l'installation du crowdfunding immobilier dans le paysage des outils de financement de projets immobiliers pour les professionnels. Ce semestre a également été marqué par le rapprochement entre de grandes banques et des plateformes de financement participatif pour déployer des offres de financement communes. Un nouveau signal très encourageant sur la reconnaissance du crowdfunding immobilier comme une solution de financement complémentaire aux prêts bancaires traditionnels. Si les grands indicateurs du marché sont positifs, il convient toutefois de rester prudent dans l'analyse de l'ensemble des chiffres. Le second semestre apportera des réponses à quelques questions, et notamment la durabilité de cette reprise alors que la crise sanitaire n'est pas encore totalement derrière nous. Les promoteurs ont encore parfois certaines difficultés à lancer de nouvelles opérations, avec un foncier rare et cher dans certaines zones et des collectivités qui peinent parfois à accorder les autorisations nécessaires. Il sera également intéressant de surveiller dans les mois et années qui viennent les impacts de la crise sur la nature des opérations financées, que ce soit en termes de localisation ou de prise en compte des critères environnementaux toujours prégnants pour toutes les parties prenantes du marché » analyse Jérémie Benmoussa, Président du Directoire de Fundimmo.Les records de collecte et de remboursements à nouveau battus408,1 millions d'euros collectés sur les 6 premiers mois de l'année 2021, soit plus du double des sommes investies en crowdfunding immobilier par rapport à la même période l'an dernier (184 millions d'euros). Ce montant record illustre le dynamisme du secteur durant le premier semestre, tout comme la très forte croissance du nombre d'opérations immobilières financées (468 au total, en hausse de +104%).Les montants remboursés sont également en hausse : 115,2 millions d'euros au S1 2021 contre 76,6 millions d'euros au S1 2020, soit une hausse de 50%. Le nombre de projets remboursés est également en hausse, passant de 139 au S1 2020 à 188 en au S1 2021 (+35%).Un produit qui poursuit sa démocratisationLe montant moyen financé par projet au S1 2021 était de 872 074 euros, contre 803 570 euros au S1 2020. Cette augmentation de 8,5% s'explique par un recours grandissant au crowdfunding immobilier par des opérateurs de taille plus importante, avec des projets de plus grande ampleur. Les projets compris entre 5 et 8 millions d'euros représentent 17% de la collecte total au premier semestre 2021, contre 15% sur l'année 2020.La durée moyenne de placement reste quant à elle globalement stable, 20,5 mois au S1 2021 contre 21 mois au S1 2020.En se basant sur les données publiées par 40 plateformes*, on constate que les investisseurs sont en moyenne 302 par collecte, avec un placement moyen de 2.888 euros.Le taux de rendement moyen reste globalement stable (9,2% par an contre 9,4% au S1 2020).*sur les 40 plateformes étudiées, 11 d'entre elles n'ont pas collecté d'argent et ont uniquement procédé à des remboursementsIle-de-France, Région Sud, Auvergne-Rhône-Alpes : toujours orienté sur le résidentiel, la concentration du marché se confirme dans trois régionsSi l'Ile-de-France est toujours en tête des régions ayant enregistré les plus fortes collectes (179 millions d'euros, en hausse de +101% par rapport au S1 2020), c'est bien un trio qui se détache assez nettement dans ce classement. La Région Sud (77,9 millions d'euros) se retrouve en deuxième position du classement grâce à une croissance de +419%, doublant la région Auvergne-Rhône-Alpes (65,2 millions d'euros, +179%). La hausse importante enregistrée dans la région Sud s'explique notamment par le financement de plusieurs grosses opérations concernant des villas de luxe sur la côte méditerranéenne.Si elles sont plus loin dans le classement, d'autres régions ont enregistré des hausses de collecte assez spectaculaires par rapport au premier semestre 2020. C'est notamment le cas du Centre-Val-de-Loire (collecte multipliée par 15), de la Bretagne (+136%) ou encore de la Bourgogne-Franche-Comté qui passe de 0 au S1 2020 à 3,6 millions d'euros sur les 6 premiers mois de 2021. Parmi les 468 projets financés au S1 2021, 76,6% étaient des projets orientés sur le résidentiel, loin devant les bureaux (8,5%), les commerces (6,3%), les hôtels (3,9%), les projets d'aménagement (2,8%), et la logistique/activité (1,5%).Les opérations de marchands de biens (achat de biens qui sont ensuite valorisés puis revendus avec une plus-value) continuent leur montée en puissance : elles représentent 52,1% de la collecte totale sur le premier semestre 2021, contre 38,8% en 2020, et 23% en 2019.En 2020, le « projet moyen » financé par le crowdfunding immobilier était une opération résidentielle de 43 logements en Ile-de-France, représentant un chiffre d'affaires d'environ 11 millions d'euros.Une solution pour permettre aux professionnels de l'immobilier de continuer à développer leur activitéDans une période marquée par un allongement de la durée des opérations immobilières en lien avec la crise sanitaire, la capacité des plateformes de crowdfunding immobilier à lever des sommes importantes sur des durées très courtes séduit de plus en plus de professionnels de l'immobilier. Avantages perçus : la capacité à dégager de nouveaux fonds propres nécessaires au lancement de chaque nouvelle opération, et continuer à développer leur activité sans peser sur leur trésorerie. C'est ainsi que 961 opérateurs se sont laissé convaincre par ce mode de financement depuis la création du marché, dont 181 nouveaux sur ce premier semestre 2021.Le marché du financement participatif de l'immobilier reste à date concentré autour de 3 plateformes majeures (dont Fundimmo), qui représentent plus de la moitié de la collecte totale du marché. Suivent ensuite 5 plateformes de taille intermédiaire qui en représentent environ 1/3. 13 plateformes représentent 15% de part de marché, et 3 plateformes moins de 1%. Les plateformes restantes n'ont pas fait de collecte sur le semestre, uniquement des remboursements.Légère hausse des retards de remboursements, stabilité du taux de défaut moyenComme anticipé, à la suite des confinements et ralentissements du marché, le taux de retard augmente de façon significative pour les retards de moins de 6 mois passant de 4,4% pour l'année 2020 à 7,1% sur ce premier semestre et de façon plus maitrisée pour les retards de plus de 6 mois (de 5,7 à 6,2%). Il s'agit toutefois de moyennes qui recouvrent des disparités significatives, dans le détail quelques acteurs concentrent des retards conséquents. Rappelons que les investisseurs qui subissent ces retards bénéficient des intérêts additionnels correspondants.Le taux de défaut moyen, calculé sur la base de projets ayant subi une perte en capital et/ou une perte des intérêts depuis 2012, est évalué à 0,10%, est en baisse de 0,06 point par rapport à l'année 2020. Dans une démarche de transparence, l'agrégateur de projets HelloCrowdfunding actualise tous les mois les données sur le déroulement des différents projets, permettant ainsi d'identifier les projets en retard.*Plateformes ouvertes ou ayant financé des projets immobiliers, et immatriculées auprès de l'AMF ou de l'ACPR (données analysées sur la période de janvier à juin 2021) : Anaxago, Axymo, Baltis Capital, Beefordeal, Citesia, Clubfunding, Credit.fr, Crowdstone, Euroraiser, Feedelios, Find_and_Fund, Finple, Fundimmo, Gwenneg, Hexagone, Homunity, Immocratie, Immovesting, Inidev, Koregraf, La_première_brique, Lendopolis, Les entrepreteurs, Lita.co, Look_and_fin, Lymo, Monego, My_capital_immo, October, Pretup, Proximea, Raizers, Stoneraise, Tributile, Tylia, Upstone, Vatel_direct, Weeximmo, Wesharebonds, Wiseed.
Il y a 3 ans et 298 jours

Le Groupe Atlantic confirme son développement dans les technologies vertes avec l’acquisition de Hautec

Le groupe Hautec est reconnu en Allemagne pour ses pompes à chaleur géothermiques (Eau glycolée/Eau) fonctionnant avec du fluide frigorigène R290 (gaz propane), qui a le plus faible potentiel de réchauffement climatique (PRP) et donc le meilleur impact carbone sur le marché. Les pompes à chaleur Hautec sont connectées à une source d’énergie extérieure captée soit horizontalement : avec un réseau installé par exemple sur une clôture, ce qui est très innovant ; soit verticalement, par implantation dans le sol.Les pompes à chaleur Hautec sont conçues pour les marchés résidentiels (individuels et collectifs) et tertiaires. Les pompes à chaleur Hautec peuvent également être utilisées pour refroidir une maison si l’installation intérieure comprend des émetteurs réversibles comme des ventilateurs ou des radiateurs de pompe à chaleur. L’offre de Hautec est principalement basée sur la gamme CARNO, pompes à chaleur géothermiques pour des applications individuelles et collectives avec des puissances de 3 à 235 kW. La gamme est notée A++ selon l’ERP, avec cop > 5,0 et température de débit de 65°C pour les modèles R290.Damien Carroz, directeur M&A du GROUPE ATLANTIC : « Les pompes à chaleur Hautec enrichissent notre gamme de solutions d’énergies renouvelables. La performance écologique du R290 (gaz propane) correspond parfaitement à notre défi de réduire l’empreinte environnementale de nos solutions ».Karl-Heinz Wiegersma, CEO Du Groupe Hautec : « L’implantation commerciale de GROUPE ATLANTIC va nous permettre d’accélérer très rapidement le développement des ventes de pompes à chaleur Hautec en Europe ».
Il y a 3 ans et 302 jours

La loi Climat-Résilience facilite la recharge des véhicules électriques dans les immeubles collectifs

Il lève ainsi une contrainte forte au développement de l'automobile zéro émission et s'inscrit pleinement dans la concrétisation du plan de relance évoqué par le président de la République dans son allocution aux Français le 12 juillet dernier.Pour Brice Lalonde, président de l’association Équilibre des Énergies et ancien ministre de l’Environnement: « C’est une très bonne nouvelle, aujourd’hui, la majeure partie des freins à la recharge des véhicules électriques dans les logements est levée. Maintenant, il faut penser au coup d’après et inciter sans plus attendre les Français à s’équiper de bornes de recharge intelligentes ». Vers un équipement des immeubles en bornes de rechargeAvec près de 45% des Français vivant en logement résidentiel collectif, et la moitié d’entre eux disposant d’un parking, la question de l’équipement en bornes de recharge est essentielle pour assurer le développement du véhicule électrique. Or, malgré les lois environnementales votées ces dernières années, installer une borne de recharge dans un immeuble collectif restait un processus complexe, long et coûteux pour ceux qui souhaitaient exercer leur droit à la prise.Dans ce contexte, Équilibre des Énergies se réjouit de l’article 26 bis qui crée un mécanisme de financement pour copropriétés qui choisiront d’installer une infrastructure collective de recharge. Grâce à cette dernière, chaque occupant pourra alimenter sa borne de recharge individuelle, rapidement et quand il le souhaite. Du côté de la copropriété, le mécanisme de financement permettra d’éviter d’avancer les frais et de faire contribuer ceux qui n’ont pas besoin de borne de recharge.La recharge intelligente : un gagnant-gagnant à encouragerL’accélération sensible du déploiement de la mobilité électrique que notre pays connait depuis le premier déconfinement amènera de plus en plus de Français à acquérir une borne de recharge.Désormais, cette dernière peut être intelligente, c’est-à-dire qu’elle est en capacité d’opérer la recharge du véhicule au meilleur moment dans l’intérêt du consommateur et du système électrique. Généralement, la recharge se fera au moment du pic de production d’électricité renouvelable ou la nuit lorsque la demande est au plus bas. Ainsi, en plus de diminuer les factures des consommateurs, la recharge intelligente permet valoriser les énergies renouvelables et de réduire la puissance appelée sur le réseau.Équilibre des Énergies invite les pouvoirs publics à encourager l’équipement des Français en bornes de recharge intelligentes en augmentant, dans la prochaine loi de finances (PLF 2022), le crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE) alloué à ce type d’équipement.
Il y a 3 ans et 302 jours

Hager lance une nouvelle version de son serveur domotique domovea

Entièrement repensée, la deuxième génération de domovea, apporte trois évolutions majeures : une déclinaison en deux niveaux de fonctionnalités, basic ou expert, un nouvel outil de paramétrage intégré et une nouvelle interface totalement personnalisable par l’utilisateur. Basée sur le standard KNX, la solution de connectivité de Hager répond à tous les projets, de la maison individuelle au bâtiment tertiaire, en passant par les petits commerce.Une nouvelle version, trois évolutions majeuresLa déclinaison en deux niveaux de fonctionnalités, basic ou expert, permet d’adapter encore mieux la solution au besoin du client ;Le nouvel outil de paramétrage intégré au produit est dédié à l’installateur. Il simplifie de manière significative le paramétrage et ouvre l’accès à plus de fonctions ;La nouvelle interface est totalement personnalisable par l’utilisateur pour s’adapter à ses exigences et à ses besoins.domovea, vers plus de connectivitédomovea est le centre névralgique pour piloter toutes les fonctions intelligentes du bâtiment et les composants connectés en KNX : éclairages, ouvrants, alarme, caméras, chauffage, compteur énergétique… domovea est compatible avec les principaux objets connectés (IoT) du marché : Sonos, Philipps Hue, Netatmo, Tado, Google ou Amazon. Installés en natif, ils peuvent être configurés facilement et sont tous pilotables sur smartphone et tablette depuis l’application domovea.Une interface entièrement personnalisableEn choisissant domovea, l’utilisateur opte pour une solution de connectivité sur mesure qui lui permet de piloter son installation selon ses besoins et son mode de vie. La nouvelle version va encore plus loin, avec la possibilité de personnaliser entièrement le design de son interface pour l’adapter à ses envies et à ses usages. En version basic, il peut créer lui-même des scénarios simples, les domograms, directement dans l’application. En version expert, c’est l’installateur qui programme pour son client des séquences complexes et des fonctions logiques, grâce notamment à la passerelle IoT intégrée nativement.Plus de fonctionnalités et un mode de configuration simplifiéLe nouveau serveur domovea s’installe dans le tableau électrique et fonctionne toujours en local, sans cloud. Pour répondre à tous les projets, domovea s'interface via des produits hager avec le protocole Dali, mais aussi, grâce à la puissance du KNX,avec Zigbee, Enocean ou encore le Modbus.Deux modes de configuration sont possibles : le mode « KNX easy », utilisant l’outil intégré, Hager Pilot ou le mode KNX standard nécessitant l’utilisation du logiciel ETS.Le mode de configuration simplifié « easy » permet de paramétrer facilement l’installation. Les fonctions sont pré-paramétrées. L’installateur doit simplement configurer les composants de l’installation sur l’interface simplifiée Hager Pilot.Caractéristiques techniquesBasic :5 caméras ONVIFDomogramsProgrammation en localInterface KNX/IP localExpert :50 caméras ONVIFJusqu'à 10 régulateurs virtuelsAutomatisme complexes, jusqu'à 100 Programmation en local et à distanceAvec la nouvelle version de sa solution domovea, Hager offre une solution sur-mesure, entièrement personnalisable à ses utilisateurs. Pour les installateurs, deux niveaux de fonctionnalités facilitent la configuration de la solution pour répondre à tous les projets résidentiels et tertiaires.
Il y a 3 ans et 304 jours

Nouveau panneau solaire à fort rendement

REC Group annonce le lancement du REC N-Peak 2, la deuxième génération de ses panneaux solaires à base de cellules TOPCon de type n. Fort du succès de son prédécesseur, le REC N-Peak 2 améliore la densité de puissance et le rendement énergétique par m2 pour permettre aux consommateurs de réaliser des économies sur leurs factures d’électricité et leurs émissions de carbone. Ce panneau utilise 120 demi-cellules monocristallines de type N pour produire jusqu’à 375 Wc de puissance. Il possède le même cadre et les mêmes barres de support emblématiques, extrêmement résistantes et minces, que REC utilise dans ses autres panneaux solaires de pointe. Il peut supporter des charges allant jusqu’à 7 000 Pa. La production du REC N-Peak 2 devrait commencer en août 2021, et les livraisons aux clients du monde entier débuteront en octobre.
Il y a 3 ans et 304 jours

Le Sénat dote le projet de loi Climat-Résilience d'un volet énergétique plus adapté au défi climatique

Alors que le projet de texte initial était étonnamment muet sur l'énergie, le Sénat l'a doté d'un volet très substantiel, d'une quinzaine d'articles, en faveur de la décarbonation.Pour éviter les risques de black‑out, comme l'hiver dernier, le Sénat a obtenu que tout éventuel arrêt de réacteur nucléaire visant à réduire la part du nucléaire dans notre mix énergétique tienne compte, au préalable, non seulement de la sûreté nucléaire mais aussi de la sécurité d'approvisionnement et de la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES).Pour Daniel Gremillet, « c'est une reconnaissance majeure de la nécessité et de la pertinence de l'énergie nucléaire : fournissant les trois quarts de notre mix électrique et n'émettant que 6 grammes de dioxyde de carbone par kilowattheure, elle demeurera le levier central de l'atteinte de l'objectif de "neutralité carbone" d'ici 2050 ».Autre apport important, le Sénat a fait adopter une dizaine de dispositions issues de la proposition de loi tendant à inscrire l'hydroélectricité au cœur de la transition énergétique et de la relance économique, votée par lui, à l'initiative du rapporteur, le 13 avril dernier. Notre cadre stratégique sera consolidé, avec une pleine intégration de la production et du stockage hydrauliques dans les prochaines « loi quinquennale » et programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE). Plusieurs procédures seront simplifiées, à commencer par les augmentations de puissance ou les sociétés d'économie mixte hydroélectriques (SEMH). Dans le même esprit, les porteurs de projets ou les gestionnaires d'installations hydrauliques bénéficieront, à leur demande, d'un portail numérique et d'un médiateur. Quant aux élus locaux, ils seront mieux associés aux comités de suivi des concessions situées sur leur territoire et informés de toute évolution dans l'organisation de ces dernières.Pour Daniel Gremillet, « couvrant un dixième de notre production d'électricité, et la moitié de celle renouvelable, l'hydroélectricité constitue notre première source d'énergie renouvelable : il est donc essentiel de rehausser les objectifs, faciliter les projets et associer les élus locaux dans ce secteur, trop souvent négligé ».Le Sénat a fait aboutir d'autres dispositifs de soutien en faveur des énergies renouvelables : s'agissant de l'hydrogène renouvelable et bas‑carbone, il sera intégré à la « loi quinquennale », pourra être promu par les sociétés de production d'énergies renouvelables locales, disposera de souplesses pour l'installation sur le domaine public de l'État et bénéficiera aux groupements de communes via les garanties d'origine ; quant au biogaz, il disposera d'un taux de réfaction de 60% et de « certificats de production » et bénéficiera également aux groupements de communes via les garanties d'origine ; pour le photovoltaïque, seront appliqués des taux de réfaction de 60 à 80% ; concernant enfin les biocarburants, ils pourront déroger à l'interdiction de la publicité sur les carburants et seront promus dans le cadre des travaux sur l'évolution de la fiscalité énergétique applicable aux transporteurs routiers et des plans d'action afférents à la réduction des émissions de GES des activités de transport[1].Complémentairement, le Sénat a prévu le rétablissement du critère du « bilan carbone » dans la sélection des projets d'énergies renouvelables soutenus par appels d'offres et l'évaluation de leur extension à ceux soutenus par guichets ouverts : c'est un dispositif essentiel pour protéger nos industriels, français et européens, du dumping environnemental.Soucieux de trouver un équilibre entre transition énergétique et acceptabilité sociale, le Sénat a obtenu que l'avis des collectivités territoriales situées sur le littoral des façades maritimes soit requis, dans le cadre du développement des projets d'éolien offshore.Pour favoriser l'implication des citoyens dans la transition énergétique, il a étendu la faculté pour les bailleurs sociaux de développer des opérations d'autoconsommation collective.Parce que la transition énergétique doit bénéficier à l'ensemble des territoires, il a prévu l'évaluation des PPE spécifiques aux zones non interconnectées tous les vingt‑quatre mois.Enfin, au‑delà des professionnels, le Sénat a veillé à protéger les consommateurs : ils seront informés des contrats à tarification dynamique, par une campagne nationale et le comparateur d'offres, et pourront porter des différends sur les opérations d'autoconsommation individuelle devant le Médiateur de l'énergie (MNE).Ce faisant, le Sénat a fait adopter une dizaine de dispositions issues du rapport d'information sur l'application de la loi « Énergie-Climat » et de la proposition tendant à conforter l'application de la loi « Énergie-Climat » et l'atteinte de son objectif de « neutralité carbone », présentés par le rapporteur, le 5 mai dernier.Pour Sophie Primas, présidente de la commission des affaires économiques, « en définitive, notre commission a nettement rehaussé l'engagement du texte en direction de la décarbonation, en mettant l'accent sur trois aspects trop souvent délaissés de la politique énergétique du Gouvernement : l'énergie nucléaire, l'hydroélectricité et l'hydrogène. Je me réjouis que nous ayons abouti, pleinement et concrètement, sur ces enjeux fondamentaux pour notre souveraineté et notre transition énergétiques ».[1] Les dispositions relatives aux sociétés de production locales pour l'hydrogène, aux certificats de production pour le biogaz et aux taux de réfaction tarifaire sur le photovoltaïque sont issues d'amendements du Gouvernement, sous‑amendés par le rapporteur. Les autres dispositions sont issues d'amendements du rapporteur.
Il y a 3 ans et 305 jours

Barbara Pompili signe un arrêté pour faciliter l'accès aux énergies renouvelables via les réseaux publics d’électricité

Par ailleurs, le ministère publie une décision prise en application du dispositif réglementaire d'expérimentation instauré par la loi relative à l’énergie et au climat du 8 novembre 2019 portant sur l’optimisation du dimensionnement des postes de transformation du courant pour le raccordement au réseau de distribution des installations de production d’énergies renouvelables. Cette décision permettra à Enedis de déroger temporairement, à titre d’expérimentation, aux règles de dimensionnement des installations de réseau électrique pour dégager de nouvelles capacités de raccordement sans modification d’infrastructure et accélérer, là encore, les raccordements.Les installations de production d’électricité sont raccordées aux réseaux publics d’électricité pour pouvoir injecter l’énergie produite dans le réseau.Les gestionnaires du réseau public d’électricité doivent proposer une offre de raccordement qui leur garantit de pouvoir injecter à tout moment la totalité de l’électricité produite. Cependant, dans certains cas, des raccordements « alternatifs » pourraient être moins chers ou plus rapides à réaliser alors sans offrir la garantie de pouvoir injecter à tout moment toute l’énergie produite. L’énergie produite pourrait, de manière très ponctuelle, être écrêtée, dans des limites prévisibles et contractualisées entre le producteur et le gestionnaire de réseau.Des expérimentations ont été menées par Enedis en lien avec des producteurs d’énergie renouvelable et ont montré un retour d’expérience positif, permettant des économies substantielles pour les producteurs et une accélération des raccordements.Les offres de raccordement alternatives sont ainsi un moyen efficace et innovant pour simplifier et accélérer le déploiement des énergies renouvelables. Elles constitueront une option nouvelle pour les producteurs qui seront libres de les retenir ou d’opter pour le raccordement dit « de référence ».Le ministère de la Transition écologique estime qu’elles pourraient permettre de déployer de l’ordre de 750 MW de puissance supplémentaire de manière anticipée d’ici à 2030.La généralisation de ces offres de raccordement ne doit néanmoins pas conduire à limiter les investissements dans les réseaux, ce qui serait préjudiciable à l’atteinte des objectifs français de politique énergétique. L’arrêté fixe ainsi des limites d’écrêtement.Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, déclare : « Ces mesures s’inscrivent pleinement dans notre politique d’accélération du déploiement des énergies renouvelables en France, qui nous met sur la voie pour atteindre nos objectifs de politique énergétique. Elles permettent en effet de raccourcir et diminuer le coût du raccordement des installations de production d’énergie renouvelable. L’expérimentation menée par Enedis est par ailleurs l’illustration du développement des flexibilités qui nous permettront de réduire encore le coût des énergies renouvelables et de construire le système électrique de demain. » Pour en savoir plus consultez l'arrêté
Il y a 3 ans et 308 jours

Après la relance, la nécessité de "changer de système" pour répondre à l'urgence climatique

Une urgence en chasse une autre : pour l'économiste et directrice générale adjointe d'Engie Claire Waysand, le réchauffement climatique ne se traite pas par "un réglage macroéconomique" à l'image des plans de "relance de l'activité" mis en place pour l'après pandémie, mais par une refonte "structurelle", qui nécessite de "réorienter" sur le long terme des investissements "absolument considérables".Selon Michel Frédeau, expert sur le climat pour le cabinet Boston Consulting Group (BCG), qui conseille des multinationales et la prochaine conférence mondiale sur le climat (COP 26), assurer la "transition des systèmes électriques et énergétiques" à l'échelle globale nécessiterait d'investir jusqu'à "4.000 milliards de dollars par an jusqu'en 2050".Selon lui, "avec les technologies existantes, on pourrait réduire 70 à 80% des émissions actuelles", mais la moitié de ces technologies restent aujourd'hui trop onéreuses, comme "le stockage des énergies renouvelables". Ces financements massifs permettraient de les rendre rapidement plus compétitives, explique-t-il à l'AFP à l'occasion des Rencontres économiques d'Aix-en-Provence.Prix carboneMais la solution technologique seule ne suffira pas, pour décarboner, "c'est tout le système qu'il faut changer", de "l'ensemble des chaînes de valeur" à la demande des consommateurs, alerte-t-il.La transition passe par "une transformation profonde de nos économies" note également Laurence Boone, la cheffe économiste de l'OCDE, qui propose de fixer "un prix sur le carbone" pour donner de "la visibilité" aux entreprises pour encourager leurs investissements de long terme vers l'innovation.Une mise en place de règles par la puissance publique doit aussi permettre d'interdire les modes de consommation les plus émetteurs, en "nous poussant à changer de voiture par exemple" pointe Mme Waysand. Du côté de l'offre, de nouvelles réglementations ciblées feraient prendre en compte des coûts jusqu'ici ignorés, en obligeant les entreprises à intégrer "un comptabilité carbone" dans leur bilan, comme elle le font aujourd'hui avec "des normes comptables standardisées", imagine M.Frédeau.RelanceQuant aux plans de relance actuels, leur déploiement doit mettre l'accent sur les "infrastructures" et "les secteurs bas carbone", plaide la membre du Haut Conseil pour le climat, Valérie Masson-Delmotte.Dans les pays de l'OCDE, les investissements ne sont pourtant "pas à la hauteur des enjeux", puisque la part de financement "favorable au climat" est aussi élevée que celle soutenant le recours aux énergies fossiles, très émettrices de gaz à effet de serre, estime-t-elle sur la base d'un rapport du Haut Conseil pour le climat.Sans baisse rapide des émissions de gaz à effet de serre, la trajectoire actuelle conduirait à un réchauffement de 2°C en 2050 et "autour de 3°C" en 2100, indique cette paléoclimatologue.Selon les chiffres du Global carbon project (GCP), les dernières baisses significatives des émissions mondiales sont survenues temporairement lors de périodes de crise : en 1945 - fin de la Seconde guerre mondiale et effondrement industriel des pays vaincus, en 2009 - récession liée à la crise financière - et en 2020 - crise économique provoquée par la pandémie.Pour Laurence Boone, la "décroissance" de l'économie ne peut pourtant pas être la solution à l'urgence climatique, car "si on décroit on va faire aussi décroitre le nombre d'emploi", déclare-t-elle à l'AFP.Mais si cette décarbonation de l'économie n'accélère pas, le "déclin irréversible" de la production de pétrole qui pourrait survenir dès 2030 chez les fournisseurs de l'UE, agirait comme "la voiture-balai" de ces "politiques climat", fragilisant encore plus des économies toujours pas sevrée d'énergies fossiles, avertissait une étude du think tank the Shift Project, publiée fin mai.Si la date de franchissement d'un pic de production de pétrole reste largement débattue, elle demeure "une opportunité" de changement, estime Michel Frédeau de BCG."S'il n'y pas plus de fossiles, on va accélérer les innovations". Et selon lui, comme l'ont prouvé le développement du photovoltaïque et de l'éolien, devenus compétitifs "avec 10 ans d'avance", quand "les énergies humaines se mobilisent, on y arrive plus vite, plus fort, à chaque fois" conclut-il, résolument optimiste.
Il y a 3 ans et 308 jours

Hydrogène de France fait son entrée à la Bourse de Paris

L'entreprise, valorisée jeudi 425,7 millions d'euros, a levé 132,2 millions d'euros. Le prix des actions a été fixé à 31,05 euros.Créée en 2012, Hydrogène de France ambitionne de devenir un leader mondial dans le développement de centrales de production d'électricité continue ou à la demande, à partir d'hydrogène et d'énergies solaires et éoliennes.Son introduction à la Bourse de Paris doit lui permettre de poursuivre sa stratégie de développement, axée notamment sur l'essor de ses capacités de fabrication et sur son avantage technologique dans les piles à combustible de forte puissance.Selon Euronext, l'offre a connu jeudi "un succès retentissant auprès des investisseurs institutionnels, internationaux et individuels".Le placement global adressé aux investisseurs institutionnels a été sursouscrit 1,5 fois, et l'offre destinée aux actionnaires particuliers a été sursouscrite 3,1 fois."13.000 comptes particuliers se sont inscrits, ce qui représente un nombre très important", s'est félicité Damien Havard, PDG et fondateur de Hydrogène de France, dans un entretien auprès de l'AFP.Jeudi soir au marché gris, avant la première cotation qui interviendra vendredi, les titres apparaissaient en hausse de 4,5% par rapport au prix d'introduction, a-t-il ajouté."Avec cette opération, la société s'est dotée de moyens financiers pour accélérer son développement sur le marché de l'hydrogène-électricité, en plein essor dans toutes les régions du globe", a-t-il ajouté.L'entreprise a notamment signé des "partenariats stratégiques" avec Rubis et Teréga Solutions, qui comptent désormais parmi ses actionnaires.Rubis, spécialiste des infrastructures de stockage et de distribution d'énergie, est même devenu le deuxième actionnaire de HDF (17% du capital) en investissant 78,6 millions d'euros.Il "bénéficiera, pour une durée de cinq ans, d'une priorité pour investir majoritairement dans les projets que HDF Energy envisage de développer en Afrique/océan Indien, dans les Caraïbes et en Europe", a-t-il précisé dans un communiqué distinct.Projets de piles à combustibleLe site industriel de Blanquefort dans la banlieue bordelaise, abandonné par Ford après la fermeture de son usine en 2019, doit servir de base pour la première usine de fabrication d'électricité du groupe à partir d'hydrogène vert, dès 2023."C'est la première usine au monde à faire ça, nous allons industrialiser un procédé de pile à combustible développé par le canadien Ballard Power System, notre fournisseur sous licence, qui est le leader mondial des piles à combustibles permettant de produire des énergies renouvelables non intermittentes", a ajouté M. Havard.Hydrogène de France a négocié un contrat d'exclusivité pendant sept ans avec le canadien."Nous sommes pionniers mondiaux sur le stockage longue durée, nous venons ouvrir un nouveau marché de l'énergie, celui des énergies renouvelables non intermittentes", a-t-il dit. Pour l'instant, seuls des stockages au lithium existent pour l'énergie éolienne ou solaire. "Ce sont des stockages à très court terme".M. Havard a indiqué travailler aussi sur des projets de piles à combustible pour "les bateaux, les trains et les data centers".Côté emploi, il estime que les levées de fonds vont permettre immédiatement d'employer une centaine de personnes sur le site de Blanquefort. "Ensuite, cela peut aller très vite, cela dépendra de la volonté politique de créer des emplois industriels autour de l'hydrogène, liés à l'exportation", a dit M. Havard.Au Mexique, en Australie, en Indonésie et aux Philippines notamment, le groupe travaille surtout sur l'élaboration et la construction de centrales d'énergies renouvelables stables et en continu, grâce aux piles à combustible."Grâce à des parcs photovoltaïques, et à l'électrolyse, nous produisons de l'hydrogène pendant huit heures le jour, et pendant 14 à 16 heures d'obscurité, les piles à combustible produisent de l'électricité", a expliqué M. Havard."Nous avons un modèle atypique pour la France, nous avons choisi d'industrialiser des procédés technologiques fiables plutôt que de repartir sur de la recherche et développement, il sera intéressant de voir si nous pouvons obtenir un soutien public dans le cadre des plans de relance afin de développer l'emploi industriel tourné vers l'exportation", a ajouté le dirigeant.
Il y a 3 ans et 311 jours

Fit®, la nouvelle gamme de chaudières murales gaz à condensation de Saunier Duval

Fit® : la nouvelle gamme de chaudières à condensation Saunier DuvalPensées à la fois pour l’installateur et le particulier, les chaudières Fit® allient performance, design et technologies innovantes. Saunier Duval fait ainsi évoluer 4 de ses chaudières existantes : Thema AS Condens, ThemaPlus Condens, IsoTwin Condens et IsoMax Condens, et complète son offre avec 4 nouveaux modèles : ThemaPlus H-Condens, ThemaFast M-Condens, ThemaPlus M-Condens et IsoTwin M-Condens.L’objectif est d’offrir aux professionnels et particuliers la solution la plus adaptée, quels que soient la configuration et les besoins : chauffage seul, mini-accumulation, accumulation dynamique, conduit individuel (C13, C33, B23p / C93) ou encore conduit collectif 3CEp (nouveauté)… Zoom sur les nouvelles technologies de la gamme.FlameFit®, la combustion optimiséeFlameFit® assure en permanence l’ajustement de la combustion de la chaudière afin de garantir aux utilisateurs une consommation minimale et une compatibilité gaz simplifiée :installation rapide : choix du gaz directement depuis l’interface de la chaudièreflamme optimisée et économies d’énergie : analyse en continu de la combustioncompatibilité avec le gaz naturel, le gaz de Groningue et le gaz propaneconfort maintenu : intégration d’un mode secours en cas de panne pour assurer aux utilisateurs du chauffage et de l’eau chaude en attendant l’intervention d’un professionnelchaudières prêtes pour le futur : compatibilité avec les gaz vertsDisponible sur les chaudières Thema AS Condens, ThemaPlus Condens, IsoTwin Condens et IsoMax Condens.IsoDyn3, le confort en eau chaude pour les plus exigeantsIsoDyn3 est l’évolution de la technologie IsoDyn2, à savoir 2 ballons de 21 litres en inox avec un rechargement en seulement 5 minutes. Si cette technologie bénéficie des avantages de l’existante, elle dispose de nouveautés qui assurent encore plus d’économies d’énergie et une longévité accrue de la chaudière à ses utilisateurs :• adaptation au rythme de vie grâce à l’apprentissage ECS (eau chaude sanitaire) : la chaudière démarre aux meilleurs moments de la journée• détection des petits puisages : à l’aide du capteur de débit ECS placé à la sortie des ballons, la chaudière ne démarre pas lors de faibles demandes en eau chaude• jusqu’à 7 fois moins de démarrages qu’une chaudière standard à ballon !Disponible sur les chaudières IsoMax Condens, IsoTwin Condens et IsoTwin M-Condens.H-Condens, la condensation sur le chauffage ET sur l’eau chaude sanitaireLe corps de chauffe en inox H-Condens offre une condensation à la fois sur le chauffage ET sur l’eau chaude sanitaire grâce à une spire supplémentaire :nouveau corps de chauffe innovant développé pour Saunier Duvalpréchauffage de l’arrivée d’eau froide entre 3 et 5 °C permettant une réduction de la consommation de gaz8 % d’économies d’énergie sur le sanitaireréduction des émissions de CO2Disponible sur la chaudière ThemaPlus H-Condens.Des fonctionnalités et des équipements pensés par et pour le professionnelLa gamme Fit®, c’est aussi un ensemble de fonctionnalités et d’équipements communs à toutes les chaudières :régulation et connectivité en un clic : technologie Clic Express avec boîtier radio et/ou de connectivité intégrables directement sous la chaudièrebouton ON / OFF intégré : protection de la carte électronique lors des interventions pour une maintenance facile et sécuriséeremplacements facilités grâce aux nouveaux kits de remplacementsinterfaces tactiles et intuitives : choix du gaz lors de l’installation, affichage des consommations, assistant intégré (IsoMax Condens)cache-tubulures magnétique et nouveau panneau acoustique anti-vibratileMiSet & MiPro Sense, les régulations connectables compatibles avec Fit®MiSet et MiPro Sense, ce sont deux régulations disponibles en versions radio et filaire. Compatibles avec toutes nos chaudières de la gamme Fit®, la première est idéale pour assurer le confort en appartement pour 1 zone de chauffage et la deuxième pour le confort de la maison avec la gestion de 1 à 3 zones.MiSet & MiPro Sense s’accordent parfaitement avec les nouvelles chaudières Fit® : interface design et tactile et assistant utilisateur de série pour la programmation des plages horaires. Ces régulations sont également connectables avec le nouveau MiLink V3 pour permettre un pilotage du chauffage à distance par les utilisateurs avec l’application MiGo Link. Pour les professionnels, un site internet et une application MiGo Xpert sont disponibles pour suivre le parc de chaudières à distance.M-Condens, les chaudières dédiées au 3CEpLa nouvelle gamme M-Condens (ThemaFast M-Condens, ThemaPlus M-Condens et IsoTwin M-Condens), dédiée aux conduits 3CEp, a été développée dans l’optique de faciliter et sécuriser la mise en œuvre et l’entretien sur ces conduits collectifs.Les avantages :données de combustion optimisées pour un dimensionnement au plus justegamme prête pour la nouvelle méthode de dimensionnement (EN 13384-2 : A1)gain de temps à l’installation avec l’assistant de démarrageadaptation automatique de la puissance de la chaudière en fonction de la configuration entrée par le professionnel, directement sur l’interfaceinstallation et entretien facilités : clapet anti-retour intégré de série au bras de mélangemaintenance simplifiée : coude avec trappe de visite permettant le blocage des retours de fuméesQuelle est la différence entre une chaudière à condensation et une chaudière non-condensation ?Dans une chaudière gaz non- condensation, le circuit d’eau de chauffage est réchauffé grâce à la combustion de gaz (naturel, propane ou de Groningue). C’est en passant dans le brûleur que ce dernier produit de la chaleur qui est ensuite transmise à l’eau ou à un fluide caloporteur. Depuis 2018, les émissions de NOx d’une chaudière non-condensation doivent être ≤ 56 mg / kWh.Dans une chaudière gaz à condensation, le circuit de chauffage est alimenté par la combustion du gaz (naturel, propane ou de Groningue) mais aussi par les fumées produites par cette dernière. Elles sont refroidies afin d’en récupérer la chaleur. Ce procédé permet ainsi d’économiser jusqu’à 30 % d’énergie par rapport à une chaudière de 25 ans.Une fabrication françaiseCes nouvelles chaudières à condensation sont fabriquées en France au cœur de l’usine Saunier Duval à Nantes. Avec plusieurs lignes de production dédiées aux chaudières à condensation, la marque confirme sa volonté de promouvoir le savoir-faire français sur le territoire et à l’international.Site historique, l’usine de Nantes est labellisée « Vitrine Industrie du Futur » grâce notamment à l’automatisation de sa ligne d’assemblage de chaudières murales gaz à condensation et à sa digitalisation et utilisation en temps réel des données.
Il y a 3 ans et 311 jours

Bosch frappe fort avec ses nouveaux marteaux-perforateurs Biturbo

Les nouveaux marteaux-perforateurs se distinguent par leur côté à la fois pratique et performant. [©Bosch] Bosch a lancé sa nouvelle gamme de marteaux-perforateurs Biturbo. Trois modèles retiennent l’attention : le GBH 18V-34 CF Professional, le GBH 18V-36 C Professional et le GBH 18V-45 C Professional. Chacun, avec ses propres caractéristiques. Leurs performances varient en fonction du modèle. Pour le premier, sa puissance est de 5,8 J et peut percer des trous de 12 à 30 mm. Le deuxième dispose d’une puissance de 7 J et est capable de perforer un mur de 14 à 36 mm. Le dernier – le plus puissant – offre une force équivalente à 12,5 J, permettant de forer des trous de 20 à 40 mm.  Un outil performant et compact Les nouveaux marteaux-perforateurs se distinguent par leur côté à la fois pratique et performant. En effet, le moteur Biturbo Brushless profite d’une excellente puissance pour offrir une efficacité maximale sur les matériaux les plus exigeants comme le béton, la brique ou la pierre. Rajoutez la nouvelle batterie ProCore18V et vous obtiendrez un outil avec une autonomie très satisfaisante.  Autre atout : leur faible poids, qui varie entre 4 kg et 8 kg. Quelque 20 % plus compacts que les produits existants sur le marché, les marteaux-perforateurs Biturbo offrent un rapport poids/puissance équivalent à un outil filaire. Leur légèreté et leur efficacité vont révolutionner les travaux de perçage et de burinage.  La sécurité et l’utilité avant tout Bosch a misé sur l’aspect utile et sécurisé. En effet, les marteaux-perforateurs Biturbo sont dotés d’un affichage interactif et de fonctions de connectivité Bluetooth via smartphone. Cela a pour objectif de vérifier l’état de la batterie, de contrôler la machine et d’adapter l’outil en fonction de ses besoins. Les Biturbo disposent de trois modes de travail différents :  • Le mode “Auto” pour des performances maximales, par exemple lors du perçage du béton ; • Le mode “Doux” pour le travail sur des matériaux fragiles, tels que les carreaux ou la maçonnerie ; • Le mode “Favoris” dans lequel les performances de perçage peuvent être définies via l’application.  Enfin, les marteaux-perforateurs contiennent la fonction Soft Start qui permet un démarrage progressif pour le perçage et le burinage. Bosch a ainsi conçu un outil programmé pour allier la puissance et la légèreté, mais aussi l’utile à la sécurité.
Il y a 3 ans et 312 jours

Plus de 2500 tronçonneuse thermique 695XL-PG sur le marché français et zéro accident

La 695XL-PG se distingue par son rapport poids/puissance exceptionnel. Elle est conçue pour découper jusqu’à 40 cm de profondeur, la fonte ductile, le PVC, PEHD etc... Cette découpeuse permet à l’opérateur de rester en sécurité tout en réduisant la taille des excavations. Grâce à la 695XL-PG l’utilisateur peut maintenant couper sur le côté et en un seul passage sans risque de rebond. Avantages : Coupe de la fonte ductile, plastique, PEHD ... Aucun effet rebond Pas de projection d’éclat Meilleur contrôle de la coupe Sécurité maximale Excavation minimale Réduction de l’effort de l’opérateur
Il y a 3 ans et 316 jours

Marne : Flypump étoffe son offre

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine Jean-Marc Wattebled est le gérant de Flypump, représentant de Hyundai Everdigm Corp. [©ACPresse] Le constructeur coréen Everdigm affiche désormais le nom de Hyundai Everdigm Corp. Concrétisant dans son appellation l’intégration effectuée en 2015. Au quotidien, notamment en Europe, les conséquences sont plutôt cosmétiques. « La marque Hyundai est bien implantée sur le marché des camions pour la construction en Asie, explique Jean-Marc Wattebled, gérant de Flypump, représentant de la marque en France. Dans d’autres parties du globe, les synergies des deux groupes vont se faire naturellement. En revanche, nous bénéficierons de la puissance du groupe Hyundai, notamment en matière de développement de solutions. » Lire aussi les autres actualités en région Dans le même temps, pour la France, Flypump a travaillé à étoffer sa gamme, afin de répondre aux besoins de ses clients. « Nous avons détecté un besoin de plus en plus important pour les petites pompes. C’est pourquoi, nous sortons une City pompe, la 20 ZX, qui a été dessinée pour se stabiliser sur la largeur d’une voie. Et pouvoir circuler sur des espaces urbains. La première a été vendue et livrée en juillet 2021 chez ACM Equipement. Une deuxième est déjà vendue. » Dans le même ordre d’idées, une nouvelle pompe de 33 m est aussi disponible à l’achat dans le catalogue de la marque.« C’est une pompe adaptée au marché français, qui a été conçue pour sa grande polyvalence. Elle peut répondre aux besoins des chantiers du quotidien. » Ce qui porte les capacités de la marque de pompes allant de 20 à 59 m.  Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 317 jours

Gironde : L’électrique, c’est fantastique

Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine A Bordeaux, MBT a mis en service la première toupie électrique sur semi-remorque aux couleurs d’Edycem BPE. [©Herige] MBT est un spécialiste du transport du BPE, implanté sur la région toulousaine. En parc, pas moins de 43 toupies, exploitées à 50 % en spot et via des contrats permanents, pour l’autre moitié. Man et Scania constituent les deux marques de porteurs et de tracteurs privilégiés par MBT. Et, côté équipements, on retrouve, à parité, les constructeurs Liebherr et Schwing Stetter. Aujourd’hui, MBT s’est engagé sur la voie de l’hybridation. A savoir, la combinaison entre un porteur ou tracteur à motorisation au gaz et un équipement électrique. « Le 100 % gaz en toupie manque encore un peu de puissance », estime Bruno Martin, président de MBT.  Pour une utilisation à 100 % urbaine C’est dans ce cadre de ce développement que vient d’être mis en service sur l’agglomération bordelaise un ensemble comprenant un tracteur Scania de G410 A4x2NA roulant au GNC et une toupie électrique LiebherrETM 1204 sursemi-remorque. Ce matériel est aux couleurs d’Edycem BPE (groupe Herige), qui en a fait la demande, pour une utilisation à 100 % urbaine. « Cela s’inscrit dans notre démarche RSE, indique Wilfried Decombredet, directeur régional Edycem. Sur chantier, il y a zéro émission de CO2, le moteur du tracteur étant coupé et l’entraînement de la cuve assuré par une motorisation indépendante électrique». Le bruit est aussi réduit à sa plus simple expression. Un plus pour les livraisons le matin.  Lire aussi les autres actualités en région MBT a passé commande de deux ensembles similaires, qui doivent entrer en service chez LafargeHolcim, toujours à Bordeaux, et chez Point.P, sur Toulouse. Et d’ici à 2022, le prestataire devrait aussi proposer un dispositif 100 % électrique. La toupie sur semi-remorque sera une Liebherr. Quant au tracteur, il est construit sur la base d’un Volvo thermique, mais transformé en électrique en Suisse. « Ce véhicule offre une autonomie de 340 km, soit environ 12 h de travail, et peut être rechargé à 80 % en moins de 45 mn », conclut Bruno Martin. Article paru dans le n° 95 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 317 jours

Syndicats et patronat reçus à l'Elysée pour un point sur la situation sanitaire, économique et sociale

La rencontre entre les huit dirigeants des grandes centrales syndicales (CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC) et patronales (Medef, CPME, U2P), en présence aussi du Premier ministre Jean Castex et des ministres Bruno Le Maire (Economie) et Elisabeth Borne (Travail) aura duré environ 3 heures.A la sortie, les partenaires sociaux ont notamment évoqué la "montée en puissance" du variant Delta jugée "préoccupante" et le sujet de la vaccination, alors que Jean Castex consultera les élus locaux jeudi sur une possible obligation pour les soignants.Le patron du Medef Geoffroy Roux de Bézieux a plaidé qu'"il faut se vacciner et pas exclure de rendre la vaccination obligatoire" dans certains cas, là où pour Philippe Martinez (CGT) "la rendre obligatoire c'est contraindre sans convaincre". Pour Laurent Berger (CFDT), "il faut une politique d'impulsion très forte", seule "solution pour en sortir".Autre point sur lequel l'exécutif était très attendu: la réforme des retraites, sujet remis sur la table par le chef de l'Etat lors d'un déplacement dans le Lot début juin, mais que l'exécutif ne semble plus si pressé de pousser.Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a souligné cette semaine qu'une décision politique sur le sujet devrait être prise "notamment en fonction de l'épidémie et de l'ampleur de la reprise"."Si le redécollage économique se confirme cet été et à la rentrée, et que la situation épidémique est maîtrisée, il est possible d'agir et d'enclencher un mouvement", a-t-il insisté.Lors de la réunion, le sujet a été évoqué "sans que le président ne nous ait dévoilé ses intentions", a indiqué le patron du Medef, en s'interrogeant "sur le timing, surtout avec le variant Delta et la recrudescence" de l'épidémie de Covid-19."Risque social"Laurent Berger (CFDT) a lui prévenu qu'il n'y avait "pas de voie de passage" sur une mesure d'âge à l'automne prochain. Une réforme des retraites en l'état actuel de la situation serait "hors de propos", a-t-il insisté, pointant du doigt "un risque social et démocratique".Son homologue de la CGT Philippe Martinez a relevé pour sa part que le président avait dit qu'il allait "réfléchir, consulter" et qu'"en même temps, il nous proposait de prolonger le travail engagé en 2019 pour voir les conditions dans lesquelles on pourrait faire les choses". Disant ne pas avoir "bien compris" la position du chef de l'Etat, il a lui aussi relevé que "tout le monde a insisté sur les risques de tension sociales".Yves Veyrier (FO) a également redit son "total désaccord" sur la nécessité de réformer et Cyril Chabanier (CFTC) a "bon espoir" que les discussions reprennent. Le président a dit que "quelle que soit la décision qu'il prendra, il faut en tout cas que les prochains mois ne soient pas des mois inutiles", a-t-il rapporté.L'Elysée avait indiqué en amont de la réunion que les échanges devaient porter "sur la situation économique et sanitaire après plus d'un an de crise" et, "à la suite notamment du rapport Blanchard-Tirole", sur "les solutions devant être apportées aux grands défis tels que la croissance durable et la transition écologique, la lutte contre les inégalités économiques ou encore le défi démographique".Manière de dire que les retraites seraient en filigrane des discussions, alors que le rapport estime "inévitable" de réformer le système français, notamment en retardant l'âge de départ.Une prise de parole du président de la République est attendue d'ici la mi-juillet, plusieurs responsables syndicaux évoquant mardi "la semaine prochaine", sans plus de précisions. Elle doit permettre de définir le cap de la fin du quinquennat, en particulier sur les réformes qu'il souhaite lancer.
Il y a 3 ans et 319 jours

RTE lance le 1er réseau "au monde" de stockage d'électricité piloté par robots

Le soleil brille de tous ses feux, le vent souffle à décorner les boeufs: la production des éoliennes ou des fermes solaires connaît parfois des pics de production qui se moquent des besoins de consommation.Que faire de ce surplus d'énergie? "Aujourd'hui, il est perdu: on demande alors d'arrêter une éolienne par exemple", explique Christian Poumarède, attaché de direction chez RTE. Pourtant, à des centaines de kilomètres de l'éolienne ou des panneaux photovoltaïques, une ville a des besoins.Mais, pour y acheminer l'électricité depuis les régions rurales où sont généralement installés les champs éoliens ou solaires, il faudrait augmenter la capacité des lignes à haute tension, dont le coût, déjà élevé, serait d'autant moins justifié que ces surplus de production n'interviennent que "200 à 300 heures par an", selon M. Poumarède.La solution s'impose donc d'elle-même: il faut stocker le surplus "le temps qu'une capacité se libère dans la ligne", indique Mathieu Pafundi, chef de projet chez RTE.Bref, c'est un problème "de tuyaux", résume Christian Poumarède. "On crée comme un bassin de rétention (...) qui permet de ne pas engorger les tuyaux".D'où "Ringo", un réseau de stockage sur batteries, d'un coût de 80 millions d'euros, sur trois sites: Fontenelle (Côte d'Or), Bellac (Haute-Vienne) et Ventavon (Hautes-Alpes).Les trois centres regroupent au total 16.800 batteries, d'une capacité "cinq fois supérieure à une batterie de voiture", précise le président du directoire de RTE Xavier Piechaczyk.Ce n'est pas le plus important réseau sur la planète, mais la "première mondiale" réside dans le fait qu'il est entièrement piloté par des robots, assure le patron de RTE devant les conteneurs emplis de batteries de Fontenelle, près de Dijon, installés en plein champ, non loin d'éoliennes.Appelé NAZA (Nouveaux automates de zones adaptatifs), le robot informatique déclenche automatiquement le stockage et le déstockage de l'électricité sur les batteries de tel ou tel site.Et ce, "en moins d'une seconde", relève Franck Girard, PDG de Nidec ASI, la société du groupe nippon Nidec qui a développé le site de Fontenelle. Chaque centre de stockage a une puissance de 12 mégawatts, soit la production de 5 éoliennes ou la consommation d'une ville de 10.000 habitants pendant deux heures l'hiver.Ringo sera testé pendant trois ans, le temps nécessaire, selon le patron de RTE, d'apprendre comment "piloter mieux" les énergies renouvelables.
Il y a 3 ans et 319 jours

GR20B conjugue puissance et autonomie dans une seule découpeuse

Dotée d’une batterie performante et puissante de 24V Li-ion - 6A/h la découpeuse de fer à béton possède une grande autonomie qui permet à l’utilisateur de faire plus de 120 coupes par charge. Axée sur la sécurité, la coupe se fait sans étincelle et sans effet rebond. De plus, la tête complètement fermée de la GR20B protège l’utilisateur. Les avantages : Coupe jusqu’à 20mm de diamètreLégère et maniable : 3,5kg Batterie 24V Li-ion – 6A/h : Puissante avec une grande autonomieCarter plat pour des coupes affleurantes. Coupe sans étincelle et sans effet rebond - Sécurité accrueLivrée complète : Mallette de transport rigide, 2 batteries, 1 chargeur et 2 disques.
Il y a 3 ans et 321 jours

Le Togo inaugure la plus grande centrale solaire en Afrique de l'Ouest

"S'inscrivant dans notre ambition de faciliter un accès universel à l'électricité et de desservir tous les ménages togolais en énergie propre et renouvelable, cette centrale va desservir 158.333 ménages togolais et permettra d'économiser plus d'un million de tonnes d'émissions de CO2 tout au long de sa durée de vie", a déclaré mardi soir le président Faure Gnassingbé sur son compte Twitter. "Je me réjouis de cette réalisation effectuée en un temps record (18 mois, ndlr)", a-t-il ajouté.Construite par AMEA Togo Solar, une filiale d'AMEA Power, géant des Emirats arabes unis, cette centrale solaire est érigée sur une superficie de 92 hectares, se compose de 127.344 panneaux solaires pour une puissance installée de 50 MW et une production d'environ 90.255 MWh d'énergie par an. Il s'agit pour l'instant de la plus grande centrale solaire de la région, devant la centrale de Kita au Mali, et elle s'inscrit dans une série d'investissements du groupe AMEA Power en Afrique et dans la politique de développement de l'énergie solaire au Togo.Baptisée "Cheikh Mohammed Bin Zayed" (nom du prince héritier d'Abou Dabi), elle a été financée à plus de 35 milliards de francs CFA (53.356 millions d'euros) par des prêts concessionnels de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) et par le fonds d'Abu Dhabi Fund pour le Développement (ADFD).20 MW supplémentaires devraient être construits sur le même site, avant la fin de l'année. Cette centrale photovoltaïque sera exploitée pendant 25 ans par AMEA Togo Solar. Le Togo, qui importe plus la moitié de l'énergie dont il a besoin du Nigeria et du Ghana, mise notamment sur le solaire pour développer avec des start-up l'accès à l'électricité de ses huit millions d'habitants jusque dans les zones les plus reculées du pays.
Il y a 3 ans et 322 jours

Quand les petites îles "vertes" de Grèce veulent donner l'exemple sur l'autonomie énergétique

"C'est l'avenir de ne plus dépendre du pétrole", s'exclame Vassilis Oikonomou, dans son café bar du port. Comme la plupart des 780 habitants de Tilos, le quadragénaire se félicite que son "île soit autonome" pour ne plus "dépendre des îles alentours" en énergie.Dans l'archipel du Dodécanèse, face aux côtes turques, cette terre reculée de 65 km2 est la première de Méditerranée à produire la quasi-totalité de son électricité à partir d'énergies renouvelables, grâce à 11 millions d'euros de fonds européens et 4 d'investisseurs privés grecs.Tilos a remporté cette semaine le 3e prix européen de la meilleure transition énergétique après des îles danoise et espagnole."Tilos a donné l'exemple et c'est la solution pour les petites îles de notre pays", s'enorgueillit la maire de Tilos, Maria Kamma. "Tous les habitants sont gagnants, le coût de l'énergie est réduit et il y a moins de coupures électriques qu'avant", dit-elle à l'AFP.Reliée par un câble sous-marin à l'île voisine de Kos, Tilos est "100% indépendante énergétiquement la majorité du temps, mais au pic de la saison touristique, on est plutôt à 70%", reconnaît l'édile.Bénéficiant du soleil et du vent, Tilos, dotée "officiellement de la première centrale électrique hybride" de Grèce, "produit et stocke l'énergie", se félicite Spyros Aliferis, ingénieur d'Eunice Energy, spécialiste grec des renouvelables qui a fourni l'éolienne et les panneaux solaires.Avec ses panneaux d'une capacité de 400 kilowatts et son éolienne d'une puissance de 800 kW, "le projet fonctionne parfaitement depuis deux ans", estime l'ingénieur, en désignant les batteries de stockage."C'est l'exemple qu'une petite île peut fonctionner uniquement avec des énergies renouvelables", dit-il à l'AFP.Astypaléa et bientôt ChalkiA une centaine de km à l'ouest, l'île d'Astypaléa a relevé le défi, espérant atteindre "70% de ses besoins énergétiques d'ici 3 à 4 ans", explique à l'AFP le vice-ministre grec des Affaires étrangères Kostas Fragkogiannis, initiateur du projet gouvernemental.Sur cette terre en forme de papillon, à cheval entre l'archipel du Dodécanèse et celui des Cyclades, les quelque 1.300 insulaires doivent à terme être débarassés des générateurs diesel qui alimentent encore leurs foyers, et être dotés d'éoliennes et de panneaux solaires.Mais à la différence de Tilos, le projet de 10 millions d'euros, dont 6 de fonds gouvernementaux, prévoit de passer à une circulation automobile tout électrique, en partenariat avec l'allemand Volkswagen.Au pied de la citadelle vénitienne et des petites maisons blanches qui dévalent vers le port, on trouve déjà des bornes de rechargement pour les premières voitures électriques."Un modèle pour le monde"L'ensemble du projet prévoit une réduction des émissions de CO2 de 70% et une baisse des coûts d'énergie de 25%. "A nos yeux, c'est un modèle pour le monde", renchérit M. Fragkogiannis.Le parti d'opposition Syriza a critiqué cette "campagne publicitaire" de Volkswagen sur la "scène exotique" d'Astypalea."Ce n'est pas une île Volkswagen", insiste le vice-ministre, "tous les constructeurs automobiles peuvent s'impliquer et vendre leurs propres véhicules". L'homme politique assure qu'"il n'y aura pas d'exclusivité, ni à Astypaléa ni à Chalki".Car la prochaine étape du plan vert du gouvernement grec se situe sur la minuscule île de Chalki, à l'ouest de Rhodes, avec des fonds européens, en collaboration cette fois avec le constructeur automobile français Citroën, selon des sources au ministère grec de l'Energie et de l'Environnement.Volkswagen comme Citroën cherchent à tourner la page du scandale des moteurs diesel truqués.Le français Vinci Energie et le grec Akuo Energy doivent également participer à l'installation d'une centrale hybride sur l'île de 26 km2 bordée de maisons aux couleurs de l'arc en ciel.L'accord franco-grec à Chalki doit être dévoilé vendredi prochain mais "l'idée est de suivre les pas de Tilos et Astypaléa", selon les mêmes sources.Objectif ici aussi: devenir autonome en énergies renouvelables.Même si pour l'instant, les îles qui se mettent au vert n'ont guère de recul.Pour Prodromos Trikilis, un cafetier de Tilos, "c'est un peu tôt pour juger de cette tentative de rendre l'île énergétiquement indépendante". "Il faut être patient", dit-il à l'AFP, "cela finira par avoir des résultats".
Il y a 3 ans et 323 jours

Dény Security lance Le Club Dény Priority

Leader français de l’organigramme, Dény Security est depuis de nombreuses années l’interlocuteur privilégié des sites à forte implication sécuritaire, soucieux d’assurer une condamnation sécurisée de leurs accès. Aujourd’hui, l’entreprise met son expertise au service de tous les acteurs du secteur et crée Le Club Dény Priority, un réseau national de partenaires professionnels.   Des partenariats locaux solides Outre la création d’organigrammes de clés pour sa clientèle historique composée de grandes organisations et sites à risques, Dény Security souhaite aujourd’hui faire bénéficier de son expertise, et de sa gamme de cylindres dédiés, l’ensemble des acteurs du secteur. Telle est l’idée principale du Club Dény Priority dédié aux menuisiers et installateurs, amenés à commander des organigrammes dans le cadre, entre autres, d’appels d’offres. Pour développer ce réseau de partenaires, Dény Security s’appuie sur sa force de vente composée de 15 commerciaux répartis sur le territoire national. Afin de nouer avec chacun une relation privilégiée, de leur offrir un accompagnement personnalisé et de pouvoir les orienter sur des affaires par secteur géographique, l’objectif de Dény Security est de capitaliser sur un nombre raisonnable d’adhérents. « Afin que chacun ait l’assurance de pouvoir compter sur la présence et l’assistance du responsable de sa zone géographique, de la création d’un organigramme à la réception des produits, notre ambition est d’atteindre d’ici 2 ans, 1 à 2 partenaires par secteur commercial », explique Antoine Douville, Directeur des Ventes.   De nombreux avantages à la clé pour les adhérents Pour inciter les professionnels à rejoindre le Club Dény Priority, Dény Security s’engage à leur fournir un ensemble de services premium : • un délai de fabrication prioritaire express, pour toute création d’un nouvel organigramme, à partir de 72 heures selon le nombre de cylindres commandés, • un tarif unique particulièrement avantageux sur les cylindres et les clés. Simplifiée, cette liste de prix est garantie sans mauvaise surprise. En effet, quels que soient la complexité de l’organigramme et les besoins en terme de puissance combinatoire, le tarif reste toujours identique. Un atout non négligeable pour les adhérents qui sont ainsi parfaitement autonomes pour établir leur chiffrage au moment de répondre à des appels d’offres, • une procédure de validation de l’organigramme allégée mais toujours sécurisée, afin de faciliter son enregistrement et son lancement en production, • un interlocuteur unique dédié en charge du suivi de la commande jusqu’à l’expédition, • un système exclusif de récompense qui permet aux adhérents de cumuler des points à chaque euro dépensé et de les échanger contre des chèques cadeaux privilèges ou des prestations sur-mesure. Parmi elles, figure la possibilité de faire appel au chargé de prospection de Dény Security pour réaliser une veille du marché, à l’échelle d’un département ou sur une cible de client spécifique. Chaque année, un challenge du plus grand nombre d’organigrammes ouverts récompensera le membre du Club Dény Priority le plus actif, • une gamme de trois cylindres à profils européens (Satyx Twin, Flat Twin, cylindre D.F.). A forte technicité, ils sont spécialement conçus pour répondre aux exigences sécuritaires élevées des bâtiments tout en garantissant une forte capacité combinatoire. Tous sont systématiquement fournis avec des clés protégées, assurant ainsi la pérennité de l’organigramme.   En complément, les adhérents du Club Dény Priority peuvent également, si besoin, recourir à l’expertise technique des chefs produits Dény Security et faire bénéficier de l’accès au portail web Logiclés à leur client utilisateur final, le service associé mis en place par Dény Sécurity pour consulter et gérer son organigramme en ligne. Autant d’avantages qui ont d’ores et déjà convaincu les premiers adhérents, à l’image du fabricant de portes Doortal et de l’entreprise de menuiserie Dupré dont le Directeur Hervé Keller affirme « au-delà des outils mis à notre disposition, en particulier la veille du marché et le tarif compétitif, nous avons souhaité rejoindre le Club Dény Priority pour travailler en étroite collaboration avec un fabricant français ayant une présence locale sur le terrain. La motivation de Dény Security et son accompagnement pour nous aider à nous positionner sur des dossiers en cours marquent le début d’un véritable partenariat gagnant-gagnant ». Nul doute qu’avec un tel engouement de ses membres, le Club Dény Priority, qui compte d’ores et déjà 8 adhérents, atteindra sans difficulté son objectif de 15 partenaires d’ici à la fin de l’année. http://www.deny-security.com
Il y a 3 ans et 324 jours

fischer France : 60 ans d’innovations pour un acteur devenu incontournable sur le marché de la fixation

Si fischer est devenu le leader mondial des systèmes de fixation, ce n’est pas un hasard. Son parcours, marqué par de nombreux succès, son esprit d’innovation et sa volonté de toujours devancer les besoins du marché et des utilisateurs lui ont permis d’atteindre cette position. Acteur incontournable dans le domaine des systèmes de fixation, fischer France célèbre cette année « 60 ans d’innovations » avec à sa tête depuis 2018, Jean-Marc Berg. Créée en 1961 et basée à Strasbourg, fischer France est la 3ème filiale du groupe fischer. Avec près de 100 salariés et un chiffre d’affaires de 49,3 millions d’euros, l’entreprise n’a cessé depuis plus de 6 décennies de bousculer le marché français de la fixation avec de nombreuses innovations. Aujourd’hui, les produits fischer sont plébiscités aussi bien par les professionnels que les bricoleurs. Le savoir-faire, l’étendue des gammes et des services proposés, les technologies de pointe utilisées et les techniques de fixations d’avant-garde développées pour le domaine du bâtiment et de l’industrie ont permis à fischer de se forger une solide réputation de spécialiste des techniques de fixation. L’entreprise participe ainsi régulièrement à la construction de grands ouvrages : la Grande Arche à Paris, la Tour 2BA et Mozart à Paris, les tunnels du Mont Blanc, de la Défense, de la Croix Rousse, du Puymorens, BPNL, le projet Grand Paris Express…   Jean-Marc Berg, Président fischer France depuis 2018 Après plus de 12 ans passé au sein de la société aux postes de Directeur Technique Marketing, Directeur de la division Systèmes dédiés, Directeur Général Adjoint et Directeur Général, Jean-Marc Berg, a à coeur de poursuivre la digitalisation des solutions techniques, de développer les offres produits et services connexes, tout en privilégiant l’investissement dans la R&D et les innovations.   fischer France : Une expertise reconnue Créateur de solutions, fischer France est devenu au fil des décennies un acteur moteur sur le marché de la construction. Bénéficiant de l’expertise et de la puissance d’un groupe international (avec 50 filiales et une distribution mondiale des produits), l’entreprise sert en France plus de 11000 clients. Avec plus de 14000 références, fischer permet de répondre aux particuliers comme aux professionnels des différents corps de métier. De la fixation (acier, nylon, chimique, supportage, isolation), la chimie du bâtiment (mousse, mastic, silicone, colle), la visserie, les forêts, la protection incendie aux accessoires de terrasse, fischer couvre l’ensemble des besoins en termes de solutions de fixations pour différents domaines d’applications et dans tous les matériaux de construction. L’entreprise, qui développe et fabrique elle-même ses produits, a su, grâce à son savoir-faire et sa capacité d’innovation, imposer de nouvelles références en matière de solutions de fixation. – La 1ère cheville à expansion en 1956, – le 1er scellement chimique par injection mis sur le marché en 1975, – le 1er ancrage à verrouillage de forme en 1978, – la nouvelle génération de chevilles en nylon SX en 2000, – ou encore, la 1ère cheville nylon bi-matière DUOPOWER en 2016, sont autant de solutions qui ont marqué le marché de la fixation.    
Il y a 3 ans et 326 jours

EAS SOLUTIONS PROPOSE AUX PROFESSIONNELS DES SOLUTIONS LOCATIVES INNOVANTES D’ÉCLAIRAGE LED INTELLIGENT

EAS SOLUTIONS, spécialiste de l’éclairage LED professionnel, innove avec LES SOLUTIONS LUMIÈRE NOUVELLE GÉNÉRATION, une offre locative sur 5 ans qui porte sur des produits LED intelligents ayant une durée de vie de plus 100 000 heures et garantis 10 ans  ! 10 ans de garantie Cette offre locative nommée « Solution Lumière Nouvelle Génération », d’une durée de 5 ans, porte majoritairement sur les solutions d’éclairage intelligent de Digital Lumens (an Osram business) garanties 10 ans. En plus de réduire d’au moins 75 % les dépenses énergétiques en éclairage, l’éclairage LED intelligent avec la supervision SiteWorx optimise les autres consommations en énergie et améliore l’efficacité, la productivité et la sécurité au sein d’un bâtiment. L’éclairage intelligent augmente également la durée de vie des luminaires, et ce jusqu’à plus de 200 000 heures, permettant ainsi à EAS SOLUTIONS d’offrir 10 ans de garantie commerciale. Des avantages immédiats Pour le bénéficiaire, les avantages sont immédiats. Ils sont tout d’abord inhérents aux économies d’énergie, de maintenance et de stockage qu’ils occasionnent instantanément. Ainsi, pour les professionnels dont les équipes travaillent en 2X8 et 3X8, le montant des économies d’énergie générées par les nouvelles installations intelligentes permet l’autofinancement de leur location. Cette pratique qui consiste à louer plutôt qu’acheter a tendance à se généraliser et présente de nombreux avantages financiers pour les professionnels. Les loyers sont des dépenses d’exploitation et non des dépenses d’investissement dont le processus de décision est souvent plus long. La location n’alourdit pas l’endettement avec de nouvelles lignes de crédit et n’apparaît ni au bilan ni en annexe. Elle préserve les ressources financières, les liquidités et l’équilibre du bilan de l’entreprise qui n’est pas impacté. Enfin, le montant du loyer est fixe sur la durée de la location. Il n’y a pas d’inconnus et tout est inclus : la fourniture, l’installation (en option) et la garantie des sources lumineuses. Des conditions de rachat attrayantes  A l’issue des 5 années du contrat de location, le professionnel qui le souhaite peut pour le coût symbolique d’une mensualité supplémentaire, devenir propriétaire de ses solutions d’éclairage LED intelligent dont la garantie décennale va se poursuivre encore 5 ans. Ainsi pour une 61ème mensualité de location, le locataire acquiert auprès d’EAS SOLUTIONS, la propriété de son installation encore garantie 5 ans et qui, à cet effet, aura fait l’objet d’un audit et d’une révision totale avant cession.   Etude de cas portant sur l’offre locative SOLUTION LUMIÈRE NOUVELLE GÉNÉRATION d’EAS SOLUTIONS concernant le relamping d’un entrepôt logistique : L’entrepôt logistique d’une superficie de 80 000 m2, est en activité 6 jours par semaine et 24h/24 toute l’année. Il est équipé de 960 luminaires Sodium 460 W, y compris le Ballast, soit une puissance totale de 441,6 kW. Cette installation nécessite une maintenance dont le coût est de 22 000€ H.T /an. Le relamping de l’entrepôt comprend la mise en place de 1025 luminaires LED intelligents 147 W dont le coût d’installation avec la pose s’élève à 709.500€ H.T. Ce relamping qui améliore considérablement la qualité de l’éclairage du site est l’occasion de répondre à une demande d’éclairage supplémentaire émanant de certains postes de travail comme le « picking » avec l’ajout de 65 luminaires LED intelligents.  L’installation des nouvelles solutions d’éclairage LED intelligent avec capteurs de présence et de luminosité, génère instantanément des économies substantielles qui se traduisent par :   une diminution de la facture d’électricité de 317.700€ H.T /an soit 26.475€ H.T /mois la suppression de la maintenance annuelle de 22.000€ /an. L’investissement de la nouvelle installation est ainsi amorti en seulement 2,1 année.  Avec l’offre locative sur 60 mois « Solution Lumière Nouvelle Génération » d’EAS SOLUTIONS, les mensualités du relamping s’élèvent à 13.274,75€ H.T entraînant une économie nette par mois réalisée juste sur les dépenses en électricité (hors économie sur la maintenance) de 13.200,25€ H.T.  Sur les dix années de garantie des luminaires LED intelligents, le coût total de location avec le rachat de l’installation au bout de 5 ans s’élève à 809.760€ H.T. Le montant net global des économies d’énergie et de maintenance réalisées sur cette décennie est ainsi de 2.587.240€ H.T. En rachetant, pour le montant d’une 61ème mensualité, l’installation à EAS SOLUTIONS au terme des 5 ans du contrat de location, l’entreprise devient propriétaire de solutions d’éclairage intelligent de très grande qualité qui sont encore garanties 5 ans et dont les performances sont régulièrement contrôlées par EAS SOLUTIONS.   A propos d’EAS SOLUTIONS EAS SOLUTIONS, spécialiste des éclairages LED professionnels depuis 2009, innove auprès de grands groupes de l’industrie, du tertiaire, de la distribution et de l’agroalimentaire avec des solutions d’éclairage LED à forte valeur ajoutée technique et des gammes de produits technologiques de haute fiabilité qui permettent d’économiser jusqu’à 90 % d’énergie. S’appuyant sur une équipe ayant 30 ans d’expérience dans les composants électroniques, l’entreprise et ses bureaux d’étude accompagnent les clients dans le choix et l’installation de produits d’éclairage LED intelligents. Pour répondre aux besoins de sa clientèle, EAS SOLUTIONS sélectionne auprès de fabricants leaders mondiaux, les systèmes d’éclairage LED les plus performants et, parallèlement, développe et fabrique près de Bordeaux des produits LED « Made in France » de haute qualité avec des solutions de gestion d’éclairage adaptées, notamment pour les installations fonctionnant 24H/24. www.eas-solutions.fr
Il y a 3 ans et 331 jours

Eirich : Bien mesurer la consistance et la rhéologie dans les malaxeurs

Malaxeur Eirich installé au sein d’usines de production de liants et de ciments. [©ACPresse] La consistance du béton frais est une mesure de sa rigidité et de sa maniabilité. Dans les normes européennes, elle est divisée selon plusieurs classes : très rigide, rigide, plastique, souple, très souple, fluide et très fluide. Ces classes dites de “consistance” sont décrites en utilisant les classifications indiquant le degré de compactabilité C ou F. Dans le premier cas, il va de C0 (très rigide) à C3 (souple). Dans le second cas, on parle de classes d&rsquo;étalement, qui vont de F1 (rigide, étalement < 340 mm) à F6 (très fluide, étalement ≥ 630 mm). Aujourd’hui, F6 est suivie par la classe SCC (béton auto-plaçant), qui a un étalement > 700 mm.&nbsp; Lorsque le béton est produit au sein d’une usine de préfabrication, il est essentiel que la consistance spécifique à la recette reste constante sur une longue période. Mais lorsqu’il s’agit de mettre au point de nouveaux types de bétons, il est aussi important de comprendre l’impact relatif des additifs et des adjuvants sur le béton, par exemple. Le constructeur de malaxeurs Eirich dispose de solutions parfaites pour les deux scénarios. Evaluer les imprécisions du dosage en eau Dans un malaxeur Eirich, la cuve tourne pour ramener la matière première vers le rotor de mélange qui tourne à grande vitesse. [©ACPresse] Dans le cas de la préparation du béton dans la production de pièces préfabriquées, une consistance constante joue un rôle prépondérant. Les variations de la teneur en humidité n’affectent pas seulement l&rsquo;ouvrabilité, mais aussi l’intensité de la couleur des surfaces. Les granulats apportent souvent des quantités d’eau différentes et changeantes. Les analyseurs d’humidité peuvent être utilisés dans les systèmes de transport et les malaxeurs pour garantir que la teneur en eau du béton préparé est toujours constante. Or, cela ne peut pas compenser en totalité les variations des propriétés des granulats ou les imprécisions dans le dosage des constituants. En conséquence, le béton peut sembler avoir la bonne teneur en eau, tout en affichant une “mauvaise” consistance. C’est pourquoi, de nombreux industriels du béton utilisent la consommation d’énergie du malaxeur comme paramètre indicateur de la consistance du béton.&nbsp; Toutefois, cette méthode est très imprécise, lorsqu’elle est utilisée avec des turbo-malaxeurs (à cuve annulaire), des malaxeurs planétaires ou des malaxeurs à doubles arbres horizontaux. En effet, les outils de mélange de ce ces types de malaxeurs fonctionnent à proximité de la paroi ou du fond de la cuve. Tout matériau piégé génère un frottement et une partie de la puissance absorbée est donc perdue.&nbsp; Des analyseurs de consistance externes Avec le temps, les outils de mélange s’usent et les distances par rapport à la paroi ou au fond augmentent, ce qui modifie la proportion de la puissance absorbée perdue par frottement. Cela signifie qu’il n’est pas possible d’obtenir une consistance constante du béton à long terme, en analysant la consommation d’énergie du malaxeur. Consistance d’autant plus importante pour le béton à hautes performances&#8230; C’est pourquoi, dans des cas isolés, certains malaxeurs sont équipés d’analyseurs de consistance, tel un bras de sonde. Toutefois, ce type d’équipements ne peut être utilisé que dans les turbo-malaxeurs ou les malaxeurs planétaires. Et ne sont pas compatibles avec les malaxeurs à doubles arbres horizontaux. Les préfabricants qui travaillent avec les malaxeurs Eirich n’ont pas besoin d’installer des composants supplémentaires dans la cuve de mélange pour mesurer la consistance de leur béton. Le système de malaxage de la marque est une évolution du malaxeur annulaire et planétaire. Mais contrairement à ces outils, une cuve rotative transporte le matériau traité vers la turbine de mélange, appelée rotor. En combinaison avec un déflecteur de matériau fixe positionné le long de la paroi de la cuve, un flux de matériau tridimensionnel intensif s’établit dans la chambre de mélange. Le rotor n’a besoin que de deux petites pales de nettoyage du fond pour éviter toute accumulation de dépôts.  Les exigences particulières des mélangeurs de R&D Cela permet de minimiser la friction et l’usure par rapport aux autres systèmes de mélange. Par conséquent, il est possible d’établir une équivalence approximative entre la puissance absorbée et le travail de mélange effectué. Les zones mortes du type de celles qui peuvent se produire sur d’autres systèmes de mélange sont évitées, car chaque volume partiel de la matière à mélanger est acheminé vers le rotor. Par conséquent, sur les mélangeurs Eirich, la consommation d’énergie peut être considérée comme un paramètre de consistance, ce qui exclut la nécessité d’un équipement de mesure supplémentaire dans la cuve de mélange. Cet aspect n’est pas seulement important pour l’industrie du béton&nbsp;: il existe bien d’autres industries où les processus de mélange sont contrôlés par l’intermédiaire de la puissance absorbée.&nbsp; Les mélangeurs utilisés dans la recherche et le développement ont des exigences particulières. Ici, l’uniformité de la consistance n’est pas le seul point intéressant.&nbsp;&nbsp;Il est tout aussi important de comprendre l’impact des différents agents de liaison, des granulats et des régimes de mélange sur la consistance et la maniabilité. C’est pourquoi, des échantillons sont prélevés après le mélange afin que les données rhéologiques puissent être déterminées dans des rhéomètres à béton. Il est souvent instructif de voir ce qui se passe sur une plus longue période. Le béton est brièvement mélangé à nouveau, après un certain temps, et un autre échantillon est prélevé pour le rhéomètre. Rotor de mélange d’un malaxeur Eirich. [©Eirich] Développé avec les chercheurs des universités En 2005, Eirich a développé le “mélangeur avec automatisation des séquences et contrôle des données de processus” pour l’utiliser dans la recherche et le développement. Ce système de contrôle est actuellement proposé sous le nom de Premium Touch Control. Il enregistre, non seulement, le travail de mélange effectué, mais permet de pré-sélectionner les tâches de malaxage. Quant au “système de contrôle universitaire”, il a été développé en étroite collaboration entre les ingénieurs Eirich et les chercheurs des universités. Ce système enregistre tous les paramètres de la machine (vitesse de rotation de la cuve, du rotor, consommation d&rsquo;énergie de la cuve, du rotor, et températures du mélange). Et, en parallèle, il détermine la puissance absorbée pertinente dans le mélange. La procédure de mélange est ainsi documentée et reproductible à 100 %. En surveillant la courbe de puissance caractéristique, il est possible de savoir, visuellement, quand le béton est “prêt”. Pour les versions “Premium Touch” des mélangeurs R05, R08&nbsp;&nbsp;et R09 (de 40 à 150 l de capacité), une nouvelle mise à niveau de la commande est maintenant disponible. Cette extension du système existant facilite la collecte et l’enregistrement des données rhéologiques. En termes de conception, le mélangeur Eirich est similaire aux rhéomètres rotatifs basés sur le principe de Searle, sur lequel le récipient de mesure est fixe et l’outil de mesure tourne. Ainsi, dans le mélangeur Eirich, il est possible de déterminer la contrainte de cisaillement, via le couple d’entraînement du rotor, et le taux de cisaillement, via la vitesse circonférentielle du rotor.&nbsp; Des paramètres pertinents calculés automatiquement Malaxeur de laboratoire Eirich. [©Eirich] Les mesures sont effectuées suivant un profil en escalier ou en rampe, les charges ascendantes et descendantes étant déterminées pour chacun. La visualisation montre les paramètres rhéologiques du matériau pour les modèles rhéologiques pertinents selon Bingham et Herschel-Bulkley. Ici, le modèle de Bingham montre les valeurs caractéristiques pour la limite d&rsquo;élasticité dynamique, ainsi que pour la viscosité dynamique à partir du profil descendant. En outre, en tenant compte du profil ascendant avec le modèle Herschel-Bulkley, il est possible de tirer des conclusions sur la composition structurelle du béton et sa limite d’élasticité statique. Une évaluation combinée des profils ascendants et descendants permet une analyse de la thixotropie. Tous les paramètres pertinents sont automatiquement calculés et édités par le système de contrôle. Cela signifie qu’aucune évaluation manuelle compliquée de grands volumes de données n’est nécessaire. Dans le processus, les propriétés rhéologiques ne sont pas déterminées en valeurs absolues. Les valeurs relatives obtenues permettent cependant de tirer des conclusions sur les propriétés rhéologiques du mélange. La nouvelle technologie est déjà utilisée dans les laboratoires de R&D pour les matériaux de construction. On peut supposer que les mesures de consistance dans le mélangeur seront également intéressantes pour de nombreuses autres industries, ainsi que pour le béton.
Il y a 3 ans et 333 jours

Loi Climat-Résilience : pour Équilibre des Énergies, le remplacement des chaudières au fioul ne doit pas faire oublier celui des vieux convecteurs électriques

« La rénovation thermique de plus de deux millions de logements classés « passoires thermiques » équipés de vieux convecteurs électriques représente un défi majeur à la fois pour la transition énergétique et pour l’urgence sociale. Or, le rythme de rénovation de ces logements est insuffisant. Les pouvoirs publics doivent se saisir de ce sujet au cours de l’examen du projet de loi Climat-Résilience au Sénat ». Brice Lalonde, président de l’association Équilibre des Énergies et ancien ministre de l’Environnement.Remplacer les convecteurs pour atteindre les objectifs de transition énergétiqueLa réhabilitation des « passoires thermiques » est une nécessité Mais, si le remplacement des chaudières aux énergies fossiles, et en premier lieu de celles qui utilisent le fioul, est bien engagé avec des aides financières importantes, la rénovation des logements équipés de vieux convecteurs électriques rencontre d’importantes difficultés.Cette situation est préoccupante. Ces vieux convecteurs, parce qu’ils sont très robustes, sont encore présents dans de très nombreux logements. Ils engendrent des surconsommations avec des factures élevées, génèrent de l’inconfort, et ont un impact notable sur la puissance appelée à la pointe. Aujourd’hui, on évalue à entre 6 et 7 millions le nombre de logements équipés de vieux convecteurs, avec une forte prévalence dans des « passoires thermiques » où ils représentent environ 2 millions des 4,8 millions de logements classés en F ou en G dans le nouveau diagnostic de performance énergétique – DPE1.Un angle mort de la politique de rénovation Pour une grande partie de ces logements, et à plus forte raison dans les immeubles, il serait quasiment impossible, en l’absence de circuits d’eau, de remplacer les vieux convecteurs par des pompes à chaleur ou des réseaux de chaleur. Dans ces cas, la seule solution pour moderniser le système de chauffage est d’installer des radiateurs performants en les accompagnant des gestes d’isolation nécessaires.Mais aujourd’hui, même lorsqu’ils permettent d’améliorer l’efficacité énergétique et de réduire les factures, les radiateurs performants ne sont soutenus par aucune aide publique. Les radiateurs performants restent injustement confondus avec les vieux convecteurs alors que le progrès technique a fait des radiateurs performants une solution décarbonée en adéquation avec les différents objectifs de transition énergétique (cf. annexe) 2. Lors de la vague de froid de 2018, le suivi en temps réel de 50 000 radiateurs connectés a montré qu’ils contribuaient à la maîtrise des consommations et des factures. En effet, les fonctionnalités de ces radiateurs ont permis de maintenir la température moyenne de chauffage des logements à 17C°, soit deux à trois degrés de moins que la température de consigne usuellement relevée. D’autre part, outre l’utilisation de l’électricité décarbonée, les radiateurs performants sont des compléments pertinents aux solutions utilisant les énergies renouvelables telles que le chauffage au bois, les chauffe-eau thermodynamiques ou les panneaux photovoltaïques. Équilibre des Énergies invite les pouvoirs publics à remédier à cette lacune de la politique de rénovation en mettant en place une aide financière dédiée aux radiateurs performants afin de soutenir la rénovation des deux millions de logements classés en passoires thermique équipées de vieux convecteurs. La création d’une telle aide combinée aux aides existantes, pour renforcer l’isolation ou pour moderniser le mode de production d’eau chaude, incitera les Français à engager des rénovations exemplaires tant sur les émissions de CO2 que les consommations d’énergie.1 source : Dossier de presse DPE, ministère de la Transition écologique, 20212 Voir aussi la fiche Équilibre des Énergies - Les radiateurs électriques ont leur place dans la transition énergétique
Il y a 3 ans et 336 jours

Bpifrance et l'Ademe présentent les 20 entreprises de la deuxième promotion de l'Accélérateur Transition Énergétique

Bpifrance et l’ADEME ont souhaité renouveler leur soutien en faveur des entreprises du secteur de l’énergie, en lançant la deuxième promotion de l’Accélérateur Transition Energétique. Ce programme d’accompagnement personnalisé de 12 mois a pour ambition d’accompagner les entreprises dans leur croissance au service des enjeux de la transition énergétique.Cette nouvelle promotion de l’Accélérateur Transition Énergétique est composée de 20 entreprises disposant de 29 collaborateurs en moyenne et d’un chiffre d’affaires compris entre 2 et 54 millions d’euros.Durant leur accompagnement, les dirigeants auront l’occasion d’échanger avec des pairs et afin de mieux appréhender les chaînes de valeurs, écosystèmes et équipements français pour identifier les synergies et saisir les opportunités du marché. Cet Accélérateur leur apportera une meilleure connaissance des projets collaboratifs axés sur la transition énergétique développés sur le territoire et leur permettra de renforcer leur positionnement à l’international.Durant les 12 mois du programme, les dirigeants de cette promotion bénéficieront d’un accompagnement innovant, sélectif et personnalisé, axé sur les enjeux de la filière :Conseil : Dès les premiers mois, réalisation d’un diagnostic 360° de l’entreprise et un accès à des journées de conseil pour établir une feuille de route personnalisée ;Formation : Cinq journées de séminaires en partenariat avec l’école Audencia, permettant aux entreprises de renforcer leurs compétences, nourrir leurs réflexions stratégiques et travailler entre pairs au sein d’atelier thématique ;Mise en réseau : un accès privilégié au réseau des entrepreneurs et partenaires Bpifrance et filière.« Accompagner les entreprises prometteuses du secteur de la croissance verte et contribuer à la montée en puissance de champions internationaux est un enjeu majeur pour Bpifrance, dans le cadre de son Plan Climat. En partenariat avec l’ADEME, nous avons conçu cet Accélérateur dédié à la filière de l’énergie pour apporter aux entreprises tous les outils nécessaires dans le but de les aider à se développer plus rapidement et renforcer leur positionnement à l’international pour ainsi favoriser l’énergie verte. Nous sommes fiers de lancer cette deuxième promotion qui témoigne de l’engouement des dirigeant.e.s pour ce dispositif. » déclare Guillaume MORTELIER, Directeur exécutif en charge de l’Accompagnement chez Bpifrance.« Les entreprises du secteur de la transition énergétique ne s’identifient pas toujours à celui-ci. Pourtant les enjeux sont là, avec un marché de plus de 80 milliards d’euros, qui progresse de 130% dans les dix dernières années. Avec cette deuxième promotion de l’Accélérateur transition énergétique, l’ADEME aide au soutien de l’accélération de la transition des PME de la promotion et plus globalement soutient la structuration de cette filière qui représente plus de 350 000 emplois en France. » souligne Baptiste PERRISSIN FABERT, Directeur Exécutif de l’Expertise et des Programmes de l’ADEME.Les 20 entreprises de la deuxième promotion de l’Accélérateur Transition Énergétique :
Il y a 3 ans et 337 jours

Reed Expositions France et Reed Midem unissent leurs forces sous le nom de RX France

La nouvelle entité réunit désormais des événements leaders sur une vingtaine de marchés différents. Parmi les salons emblématiques de RX France et incontournables sur le plan international, figurent notamment MIPIM, MAPIC, MIPCOM, MIPTV… issus de Reed MIDEM, et Batimat, Pollutec, EquipHotel, FIAC, Paris Photo… issus de Reed Expositions France. Maison&Objet est organisé par la SAFI, filiale de RX France*.Michel Filzi, Président de Reed Expositions France depuis 2014 et de Reed MIDEM depuis octobre 2020, assure la présidence de la nouvelle entité.« Unir nos deux entreprises, Reed Expositions France et Reed MIDEM, c’est unir à la fois nos portefeuilles de marques, toutes leaders sur leur marché, et les compétences et l’expérience des équipes. C’est une grande opportunité, nous permettant de renforcer notre présence auprès de nos clients et notre capacité à les accompagner dans leur développement stratégique et commercial, et à leur proposer des événements toujours plus innovants et efficaces. Nous avons à cœur d’aider nos clients à croître grâce à la puissance de nos événements physiques et aux solutions digitales que nous déployons », commente Michel Filzi.*SAFI est la filiale de RX France et Ateliers d’Art de France.
Il y a 3 ans et 339 jours

Photovoltaïque : la puissance, la durée de vie et la qualité des panneaux continuent d’augmenter

Trina Solar, LONGi et LG Electronics, introduisent de nouveaux panneaux photovolta&iuml;ques plus puissants, d&#39;un meilleur rendement et avec une plus grande dur&eacute;e de vie garantie.
Il y a 3 ans et 340 jours

Nouvelle gamme de Climatisation Air Flux 6300 à récupération de chaleur de Bosch Thermotechnologie

Dédiée aux hôtels, bureaux, maisons de santé, cliniques, Immeubles de Grande Hauteur, salles de fitness, boutiques, etc., elle se distingue par de nombreux atouts :des puissances étendues avec 6 modèles monoblocs de22 kW à 50 kW et des cascades de 3 unités pouvantatteindre 150 kW,des plages de fonctionnement jusqu’à - 25°C en modechaud, et + 52°C en mode froid,l’ouverture vers l’Eau Chaude Sanitaire haute températurejusqu’à 80°C, avec le nouveau module hydraulique AF-HB,le plus compact et léger du marché,des performances élevées en modes réversible,récupération de chaleur et ECS (SEER jusqu’à 7,26 et SCOPjusqu’à 4,59),la possibilité de raccorder jusqu’à 36 unités intérieuresà une seule unité extérieure,une uniformité de gamme au niveau design, installation,réglages, paramétrages et maintenance, gage de confortoptimal pour l’installateur,une gamme certifiée EUROVENT.Dernières nées de la gamme Bosch VRF Air Flux, les unités extérieures Air Flux 6300 permettent de proposer une offre toujours plus complète. Elles viennent enrichir les unités extérieures réversibles Mini VRF MDCI et VRF Air Flux 5300 (entre 7 kW et 270 kW). Air Flux 6300 est compatible avec l’ensemble des unités intérieures et accessoires Air Flux. Cassettes 1, 2 ou 4 voies, gainables compacts haute ou moyenne pression statique, consoles, muraux..., toute une panoplie d’unités intérieures est proposée pour s’adapter à tous les environnements collectifs et tertiaires. Les régulations individuelles et centralisées tactiles permettent de piloter le système intégralement et facilement. Le raccordement à divers systèmes de Gestion Technique est également possible via des passerelles de communication.Une solution confortable et économe en énergieCette gamme offre, en un seul système, un fonctionnement simultané de refroidissement et de chauffage. La récupération d’énergie et de chaleur est obtenue en transférant la chaleur extraite dans certaines pièces vers les zones ayant besoin de chauffage. Elle se révèle pratique et indispensable pour le confort des occupants, particulièrement en demi-saison, lorsque les façades Nord d’un bâtiment peuvent avoir besoin de chauffage, tandis que les pièces orientées Sud sont rafraîchies.Le [+] : nouveaux boîtiers de répartition SBOX AF-SBLes boîtiers de répartition SBOX AF-SB facilitent lefonctionnement du système à récupération d’énergie. Le boîtier contrôle chaque groupe d’unités intérieures (jusqu’à 12 par SBOX), afin d’obtenir simultanément un mode chauffage et climatisation dans un système régulé par un boîtier SBOX. Les unités intérieures raccordées à un même boîtier SBOX peuvent fonctionner indépendamment, en mode refroidissement ou chauffage. Gage de sécurité, un boîtier surveille en permanence la quantité de fluide par pièce, et assure la sécurité requise par la norme EN378, notamment en ce qui concerne la détection de fuite de fluides.Le niveau sonore des unités peut être abaissé de 4 dB(A) à 8 dB(A), en ajustant la vitesse des ventilateurs et la fréquence des compresseurs. Six programmes « Silence » sont paramétrables, une source de confort supplémentaire qui favorise la concentration et le bien-être au travail.Quand Bosch Thermotechnologie accroît le champ des possiblesCompatible avec les nouvelles unités extérieures Air Flux 6300, le nouveau module hydraulique AF-HB assure la production d’Eau Chaude. Il offre une plage de température de production d’eau chaude allant de 25°C à 80°C (puissance nominale de 14 kW). Grâce au positionnement du module en amont des boîtiers de répartition (SBOX), le nombre d’unités intérieures après les SBOX peut être augmenté selon les besoins, et le foisonnement atteint jusqu’à 200 % de la puissance totale de l’unité extérieure. Sa compacité (80 cm de hauteur) et sa légèreté (58 kg) facilitent l’installation et permettent un agencement discret. Autre avantage, il peut aussi s’utiliser pour le chauffage : plancher chauffant, radiateurs et ventilo-convecteurs. Au quotidien, ses fonctions sont nombreuses : désinfection thermique, vacances, programmation hebdomadaire, mode Silence... Plusieurs modules hydrauliques peuvent être installés en cascade pour multiplier la puissance ECS disponible !Un condensé de technologieLa gamme à récupération de chaleur Air Flux 6300 se dote d’un nouveau compresseur à injection de vapeur qui optimise les performances de chauffage. Il garantit un fonctionnement stable jusqu’à - 25°C ainsi qu’un sous-refroidissement optimisé. Il offre une plage de fréquence jusqu’à 140 Hz, et une montée en température plus rapide et efficace à charge partielle (à partir de 15 Hz). En cas d’unités en cascade, cette technologie offre un équilibrage efficace entre les compresseurs. Le moteur sans balais réduit les frottements et améliore l’efficacité aux charges faibles et partielles, ainsi que la durée de vie globale de l’équipement.GarantiesCette gamme est garantie 5 pièces pour toutes les pièces détachées et 5 ans compresseurs. Si la mise en service est réalisée et validée par le Service Après-Vente Constructeur du Fournisseur, la main d’œuvre est incluse pour les deux premières années.
Il y a 3 ans et 351 jours

Solaire : Le projet de baisse des tarifs d'achat d'électricité inquiète la filière

Cette mesure avait été votée en décembre par le Parlement. La filière, très remontée, a reçu mercredi le projet de texte d'application et a deux semaines pour y répondre, avant publication et entrée en vigueur en octobre: elle a d'ores et déjà exprimé mercredi sa "stupeur et son incompréhension", évoquant "l'ampleur injustifiée de la réduction tarifaire".Les députés avaient approuvé cette mesure, contrairement aux sénateurs, au regard d'une rémunération de ces contrats jugée "excessive" du fait de la chute des coûts. Elle vise les installations d'une puissance supérieure à 250 kilowatts, et dont les détenteurs ont signé un contrat avec l'Etat entre 2006 et 2010 devant leur assurer un prix de rachat fixe pendant vingt ans.Quelque 1.000 parcs sont concernés, mais tous ne devraient pas connaître une baisse de tarifs, indique-t-on au ministère de la Transition écologique et à Bercy.Le texte d'application définit la notion de rémunération "raisonnable": celle permettant à chaque installation d'atteindre un taux de rentabilité interne (entre 10 et 15% avant impôt), sur la base de ses coûts d'investissement de l'époque, charges d'exploitation, production d'énergie, etc.Chaque acteur pourra déclencher une "clause de sauvegarde", permettant examen au cas par cas: la mesure "ne doit mettre en péril aucune entreprise", assure-t-on dans les ministères.Sur les 1.000 installations entrant dans le périmètre de la réforme, "plus de 700 seront concernées par la modification du tarif de rachat", précise-t-on. Quant au niveau moyen de réduction, ce sera environ une baisse de moitié.Mais la filière s'alarme d'"une méthodologie erronée", avec "un barème de révision (qui) s'appuie sur des données théoriques éloignées de la réalité économique (...) en sous-estimant les coûts d'investissement et d'exploitation"."La clause de sauvegarde n'apporte aucune sécurité, elle ouvre une période d'incertitude de plus d'un an, correspondant à la période d'instruction par le régulateur de l'énergie et dont l'issue sera incertaine", jugent Enerplan, le Syndicat des énergies renouvelables (SER) et Solidarité Renouvelables.Pour eux, le projet, "s'il était appliqué en l'état, mettrait en danger les producteurs concernés et aurait des impacts majeurs à la fois sur la solidité de nombreuses PME, l'emploi et l'atteinte des objectifs climatiques du pays".Le gouvernement attend de cette mesure quelque 4 voire 5 ou 6 milliards d'euros d'économies sur 10 ans (le temps restant à couvrir jusqu'à échéance de ces contrats).L'Etat a prévu sur les 20 ans à venir quelque 120 milliards d'euros de soutien aux énergies renouvelables, solaire mais aussi éolien ou biométhane, pour l'ensemble des contrats signés à fin 2020.
Il y a 3 ans et 352 jours

Pour un éclairage des sites industriels et logistiques toujours plus efficace et encore plus économe en énergie : Sylvania lance GRANIT et SYLBAY

Soutenu par la crise sanitaire, le secteur du e-commerce est monté en puissance en France. Cet essor de la vente en ligne impacte directement les plateformes logistiques et les entrepôts dont la taille et l’importance ne cessent de croître pour  répondre à la demande. L’éclairage de ces environnements de travail hauts de plafonds, avec de grandes surfaces au sol et peu de fenêtres ne doit pour autant pas être négligé. Même dans un cadre industriel, la norme NF EN 12464-1 impose un niveau minimum d’UGR* selon les espaces (magasins, entrepôts, zones de stockage…) afin de favoriser le confort visuel des personnes qui travaillent à l’intérieur de ces bâtiments. Disposant déjà d’une large gamme de solutions d’éclairage adaptées aux secteurs logistique et industriel, Sylvania enrichit aujourd’hui son offre avec GRANIT et SYLBAY, deux nouveaux luminaires haute performance qui répondent parfaitement à ces obligations normatives. &nbsp; SYLBAY, l&rsquo;armature industrielle LED robuste et performante Fabriquée en Grande-Bretagne dans l’usine de Newhaven de Sylvania, la nouvelle gamme SYLBAY repousse les limites de la fonctionnalité et de la performance. Pour répondre aux exigences d’éclairage des applications industrielles et logistiques où les hauteurs sous plafond sont importantes, cette armature industrielle intègre 2 à 3 modules LED en version simple et 4 à 6 en version double. Grâce à ses optiques de grande qualité, elle offre un confort visuel optimal (jusqu’à UGR
Il y a 3 ans et 354 jours

Renouvelables : boom des raccordements de panneaux solaires au premier trimestre 2021

PHOTOVOLTAÏQUE. Avec une puissance installée de 11,5 gigawatts à la fin du mois de mars 2021, le parc solaire français a enregistré pas moins de 546 mégawatts de raccordements supplémentaires sur les trois premiers mois de l'année, un chiffre qui explose par rapport à la même période en 2020. Cela s'explique par un plus grand nombre de centrales de fortes puissances qui ont été branchées sur le réseau national.
Il y a 3 ans et 357 jours

Nouveaux marteaux-perforateurs Biturbo – La liberté du sans-fil et la puissance du filaire

Des outils extrêmement compacts et puissants Dans la gamme d&rsquo;outils BITURBO Brushless, Bosch lance de nouveaux perforateurs sans-fil, les plus puissants de leur catégorie : le GBH 18V-34 CF professional (SDS plus 4kg), le GBH 18V-36 C Professional (SDS Max 5kg) et le GBH 18V-45 C Professional (SDS-Max 8kg). Ils ont été optimisés pour offrir une efficacité maximale. Le moteur sans charbon haute performance BITURBO Brushless, associé aux nouvelles batteries ProCORE18V (5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah), permet de disposer d&rsquo;une puissance et d&rsquo;une autonomie sans précédent pour couvrir les applications les plus exigeantes dans le béton, la brique, la pierre&#8230; Plus légers, grâce à un système d&rsquo;entraînement optimisé, et 20 % plus compacts que les perforateurs de même catégorie, les perforateurs BITURBO Brushless, offrant le même rapport poids/puissance qu&rsquo;un outil filaire la mobilité en plus, vont révolutionner les travaux de perçage et de burinage. Des performances de forage élevées Les perforateurs sans-fil BITURBO Brushless Bosch se distinguent par leur puissance. Le GBH 18V-34 CF SDS Plus Professional dispose d&rsquo;une force de frappe de 5,8 Joules, pour percer des trous de 12 à 30 mm, et le GBH 18V-36 C SDS Max Professional d&rsquo;une force de frappe de 7 Joules pour percer des trous de 14 à 36 mm. Enfin, le GBH 18V-45 C SDS Max Professional déploie 12,5 Joules, permettant de forer des trous de 20 à 40 mm. Ces performances de forage (GBH 18V-45 C Professional) ont été confirmées par un institut indépendant : avec une seule charge de batterie, il couvre une distance moyenne de forage de 4,27 m avec un Ø de foret de 25 mm. Aucun autre perforateur sans-fil de cette catégorie n&rsquo;égale cette endurance. Outre leur puissance, les perforateurs BITURBO Brushless Bosch sont plus légers et bénéficient d&rsquo;une conception à la fois robuste et compacte. Le mécanisme de transmission optimisé contribue à réduire le poids des machines, les rendant plus légères que les outils filaires comparables, et ce même avec une batterie ProCORE18V 12,0 Ah. Connectivité et nouvelle interface utilisateur Avec les perforateurs BITURBO Brushless Bosch, électriciens, plombiers, chauffagistes, artisans du bâtiment&#8230; disposent d&rsquo;outils intelligents. Grâce à un affichage interactif sur l&rsquo;outil et des fonctions de connectivité Bluetooth via Smartphone, ils peuvent contrôler leur machine, l&rsquo;état de la batterie et adapter l&rsquo;outil à leur besoin en personnalisant leur réglage via 3 modes de travail différents : &#8211; Le mode «Auto» pour des performances maximales, par exemple lors du perçage du béton, &#8211; Le mode «Doux» pour le travail sur des matériaux fragiles tels que les carreaux ou la maçonnerie, &#8211; Le mode «Favoris» dans lequel les performances de perçage peuvent être définies via l&rsquo;application. Des protections élevées pour l&rsquo;utilisateur De nouvelles fonctions électroniques sont également disponibles et peuvent être configurées sur les perforateurs BITURBO Brushless Bosch. La fonction Soft Start permet un démarrage progressif pour le perçage via l&rsquo;«Electronic Precision Control» (EPC) mais aussi pour le burinage avec l&rsquo;«Adaptive Speed Control» (ASC). Les artisans peuvent ainsi travailler de manière plus précise lors des travaux de perçage comme de burinage. Les perforateurs sans-fil BITURBO Brushless offrent une protection élevée de l&rsquo;utilisateur grâce aux fonctions «Vibration Control» et «KickBack Control», qui arrête automatiquement le moteur en cas de blocage soudain de l&rsquo;accessoire dans le matériau. Cela évite un rebond inattendu et réduit le risque de blessure. Enfin, le verrou d&rsquo;interrupteur pour les applications continues en mode burin sert également de verrou de transport. Compatibles avec le système 18V Bosch Les perforateurs BITURBO Brushless Bosch fonctionnent de manière optimale avec les batteries ProCORE18V haute performance de 5,5 Ah, 8,0 Ah et 12,0 Ah. Avec le Professional 18V System, Bosch assure la compatibilité avec ses anciens outils électroportatifs et chargeurs de même catégorie de voltage. Dans la gamme BITURBO, Bosch propose également des meuleuses d&rsquo;angle et des scies, capables désormais de couvrir des applications réservées aux outils filaires jusqu&rsquo;ici. Prix de vente conseillés : GBH 18V-34 CF : à partir de 599 euros H.T GBH 18V-36 C : 649 euros H.T GBH 18V-45 C : 979 euros H.T Points de vente : Négoces en matériaux, Fournitures industrielles
Il y a 3 ans et 357 jours

Emploi : quels sont les métiers qui recrutent le plus dans le BTP en 2021 ?

RECRUTEMENT. Trois métiers semblent particulièrement concentrer les besoins d'embauche, selon un baromètre du groupe Synergie. Les cadres et ingénieurs bénéficient quant à eux d'un important afflux de CDI. D'une manière générale, la montée en puissance des chantiers de rénovation énergétique et des grands projets d'infrastructures stimule la demande.
Il y a 3 ans et 357 jours

Jean-Michel Boulaire : Brutale minutie

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le goût du plasticien Jean-Michel Boulaire pour l’architecture se manifeste dans son œuvre sculptée. L’artiste parisien introduit une certaine abstraction, afin de parvenir à une forme épurée, empreinte d’une mystérieuse poésie brute. C’est la texture même du matériau, ici le béton, qui commande la forme, qui doit sortir de la matière. Jean-Michel Boulaire est breton d’origine. De son enfance sur le littoral, il a gardé un souvenir, à la fois rassurant et anxiogène, pour les bunkers. Qui jalonnaient la côte. «&nbsp;Ces châteaux forts en péril, c&rsquo;était des lieux de théâtre pour mon imaginaire. Où j&rsquo;inventais du drame et des tensions. Qui habitent toujours mes volumes aujourd&rsquo;hui&nbsp;», se souvient Jean-Michel Boulaire. L&rsquo;œuvre de Jean-Michel Boulaire est en dialogue constant avec l&rsquo;architecture. [©Lucie Nicolas] Paul Virilio, auteur de l’ouvrage “Bunker Archéologie”, décrit très bien ces tensions,&nbsp;«&nbsp;l&lsquo;épaisseur de ses parois signale la puissance probable de l&rsquo;impact ». Le littoral breton jonché de bunkers Paul Virilio compare les ouvertures réduites au&nbsp;«&nbsp;plissement d&rsquo;une paupière&nbsp;», cherchant à protéger ses yeux. Monuments du péril d&rsquo;une époque lointaine où l&rsquo;Europe s&rsquo;enfermait de toutes parts. Les blockhaus sont toujours là, impressionnants, carapaces de béton aux allures fantomatiques. Les escapades de Jean-Michel Boulaire sur le littoral breton ont été marquées par la présence. D&rsquo;abord mystérieuse de ces masses de béton ouvragé, plus tout à fait menaçantes, mais toujours pas vraiment rassurantes. Objets à explorer et redouter, peut-être, à la fois. Tout un programme… C’est ainsi que Jean-Michel Boulaire, à l’aide coffrages réalisés en bois recyclés et d’une recette de béton maison (il y ajoute même du laiton, de l&rsquo;aluminium, du fer…), fait naître des sculptures miniatures aux formes architecturales épurées. Des formes géométriques habitées Certains diront que ce sont des formes géométriques habitées, d’autres se demanderont à quoi elles correspondent.&nbsp;« La série “Points de vue” est une proposition, mettant en valeur les qualités plastiques du modèle de bunkers M272 de la marine allemande. Je l’ai choisi parmi des dizaines que j’ai observées. Il est conçu selon un axe de symétrie. J’ai conservé la moitié droite pour en extraire l’essentiel. L’ouverture du bâtiment est ici obturée pour le déposséder de sa fonction originale et pour en faire un vrai sujet de sculpture. L’alternance de surfaces saillantes très affirmées et de surfaces lisses en font un objet sculptural fort. Et les quatre exemplaires en béton permettent une multitude de combinaisons de mise en exposition et de points de vue sur ces composants formels. C’est un objet différent à chaque regard »,explique Jean-Michel Boulaire. Ici, l&rsquo;oxymore “Brutale minutie” prend tout son sens. [©Jean-Michel Boulaire]Ici s&rsquo;exprime toute la minutie de l&rsquo;artiste. [©Jean-Michel Boulaire]Les escapades de Jean-Michel Boulaire sur le littoral breton ont été marquées par la présence, d’abord mystérieuse de ces masses de béton ouvragé, plus tout à fait menaçantes, mais toujours pas vraiment rassurantes. Objets à explorer et redouter, peut-être, à la fois. Ici, les Points de vue reprennent l&rsquo;imagerie des bunkers. [©Jean-Michel Boulaire]Le plasticien Jean-Michel Boulaire essaie de plus en plus de se libérer de la tentation de la précision pour faire des pièces plus spontanées, où l&rsquo;imprévu et l&rsquo;accident apportent plus d&rsquo;expressivité. [©Jean-Michel Boulaire] Une recette béton maison De taille réduite, ses œuvres aux formes géométriques invitent le spectateur à questionner son point de vue. Ainsi que son rapport à l’espace.&nbsp;« Les formes de la série des monotypes ont été conçues pour être vues verticalement dans les deux sens. On peut donc les retourner à souhait pour renouveler notre regard. Elles ne sont donc pas statiques. Ce sont de lourds monolithes massifs et denses, mais comme ils flottent au milieu de la feuille, ils deviennent aériens et légers. Ils contiennent ainsi. Comme c’est le cas dans certaines de mes pièces, leurs contraires et surtout la possibilité, même minime, de ne pas être figée par un seul regard, un seul point de vue. Et je n’aime pas que les choses ne soient pas possibles. C’est pourquoi les “pierres” en béton (elles ne sont pas en béton) peuvent s’ouvrir et leurs parties s’articuler. » Ce monolithe architectural a une fonction défensive. Il protège celui qui s&rsquo;y dissimule, mais il l&rsquo;enferme aussi. ET en même temps, il concentre l&rsquo;attention sur l&rsquo;intérieur, un intérieur protégé et un extérieur “répulsif” pour reprendre le mot de Claude Parent. [©Jean-Michel Boulaire]Dans la série des dessins “Dissections”, sont projetées sur la pierre des lignes bleues à l&rsquo;aide d&rsquo;un cordeau à tracer de maçon. [©Jean-Michel Boulaire]Moulage en béton du bras de Cyrille Borgnet, artiste peintre, ayant reçu 3 balles dans les mains et bras, lors des attentats du Bataclan, à Paris, en 2015. [©Jean-Michel Boulaire]Jean-Michel Boulaire met en avant les noms de ces œuvres qui visent à rapprocher deux termes avec une figure de style. [©Jean-Michel Boulaire]Les formes de la série des monotypes ont été conçues pour être regardé de tous les sens. [©Jean-Michel Boulaire] Jean-Michel Boulaire accorde beaucoup d’importance au titre de ses œuvres. Il met en exergue l’oxymore, cette figure de style qui vise à rapprocher deux termes (un nom et un adjectif) que leurs sens devraient éloigner, dans une formule en apparence contradictoire. Muriel Carbonnet Plus d&rsquo;information sur l&rsquo;artiste ici Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 358 jours

Kone intègre des services connectés à l’ascenseur pour répondre aux besoins d’évolutivité et de durabilité des bâtiments

KONE annonce la mise à disposition de la première plateforme digitale de services connectés pour tous les ascenseurs existants, quelles que soient leurs marques. Un an après le lancement de sa gamme d’ascenseurs avec connectivité native, KONE DX, pour bâtiments neufs, KONE accélère la transformation de l’ascenseur vers un modèle serviciel.Désormais, les 590.000 ascenseurs du parc français peuvent être équipés de la plateforme digitale les transformant en ascenseur augmenté avec des services associés. Gestion des flux de personnes, appel de l’ascenseur à distance, écran interactif en cabine, musique personnalisable… ces services sont déjà une réalité et sont activables à tout moment, en fonction des besoins de l’immeuble.Cette révolution pour l’ascenseur prend tout son sens dans le contexte actuel où les bâtiments doivent s’adapter avec agilité pour répondre aux enjeux de durabilité, de nouveaux usages (télétravail, mixité…) et aux mesures sanitaires (déplacements des personnes, sans contact).KONE poursuit sa transformation digitale et monte en puissance sur les services connectésAprès le lancement en 2017 de la première offre de maintenance prédictive sur le marché et l’annonce du premier ascenseur nativement connecté fin 2019, KONE accélère aujourd’hui encore sur la transformation digitale des services proposés à ses clients et aux utilisateurs.Le groupe finlandais devient le premier acteur de son marché en mesure de faire évoluer tous les ascenseurs, sans distinction de marque, des bâtiments existants en plateforme de services connectés. Les 590.000 ascenseurs installés en France1 peuvent bénéficier de cette évolution. Via la plateforme digitale, l’ascenseur devient ainsi un véritable objet connecté avec un bouquet de services personnalisables et activables à la demande pour améliorer le confort, la sécurité et l’expérience utilisateur : c’est l’avènement de l’ascenseur augmenté.« On parle de mobility as a service : l’ascenseur, qui est le premier moyen de transport dans le monde, n’échappe pas à la règle ! Pour KONE, l’ascenseur est une plateforme de services, c’est un nouveau standard que nous avons introduit sur le marché. Aujourd’hui, ce standard concerne aussi le marché de l’existant : n’importe quel bâtiment peut devenir "smart" en connectant son ascenseur. KONE a toujours été pionnier sur l’innovation et propose, aujourd’hui, une solution pour anticiper les évolutions des bâtiments et les besoins de leurs utilisateurs. » explique Guillaume Fournier-Favre, DG de KONE France.KONE place plus que jamais les besoins des propriétaires, gestionnaires d’immeuble et leurs utilisateurs au centre de toutes ses réflexions pour améliorer l’expérience de déplacement. La fine compréhension des besoins présents et futurs est indispensable afin de proposer des services adaptés et même de les anticiper. L’ère du « smart and sustainable building » est maintenant à portée de main de tous les bâtimentsUne réponse apportée aux enjeux de réversibilité et durabilité des bâtimentsTout au long de sa vie, un bâtiment peut connaître un ou plusieurs changements de destination avec comme conséquence des évolutions dans les usages et besoins de ses occupants. Des résidences d’habitation sont susceptibles de se transformer en immeubles de bureaux modifiant la fréquentation et les flux de déplacement au sein de celui-ci. Les services dispensés doivent alors s’adapter à cette nouvelle donne.Ainsi anticiper les transformations et les besoins des futurs utilisateurs devient crucial pour inscrire le bâtiment dans la durabilité. La plateforme digitale KONE confère aux ascenseurs agilité et adaptabilité, à toutes les configurations et impératifs de mixité des usages, tout au long du cycle de vie du bâtiment.La plateforme digitale KONE DX : un écosystème de services innovants et sur-mesureGrâce à cette plateforme digitale opérée par KONE, les gestionnaires et propriétaires d’immeubles peuvent accéder à un écosystème de services innovants, activables sur simple demande, mais aussi connecter leurs propres applications déjà existantes pour leurs besoins de gestion du bâtiment. L’ascenseur devient un système ouvert communiquant avec d’autres services et applications du bâtiment, pour faciliter le pilotage des installations et améliorer la fluidité, le confort et la sécurité.
Il y a 3 ans et 359 jours

La 1ère usine au monde de panneaux photovoltaïques en pérovskites ouverte en Pologne

"On change d'échelle, on passe du laboratoire à l'industriel", a déclaré à l'AFP Olga Malinkiewicz, la fondatrice de la société, se félicitant d'ouvrir "la première usine au monde de cellules photovoltaïques en pérovskites".Les modules pérovskites permettent de fabriquer des panneaux photovoltaïques légers, souples, ayant des taux de transparence, des teintes mais aussi des formes variables et qu'on peut poser facilement sur un ordinateur portable, une voiture, un drone, un engin spatial ou un bâtiment, même à l'ombre et à l'intérieur.Les pérovskites sont des structures atomiques répandues dans la nature mais qui peuvent être facilement obtenues en laboratoire. L'efficacité de nouveaux modules est comparable à celle des panneaux traditionnels en silicium.Les coûts de leur fabrication sont réduits par rapport au procédé de simple impression à jet d'encre inventé par Olga Malinkiewicz, 38 ans, qui permet de les produire à des températures ambiantes.La chercheuse a inventé sa technologie il y a huit ans, alors qu'elle était doctorante à l'Institut des sciences moléculaires (ICMol) de l'Université de Valence, en Espagne.Sa découverte, remarquée par la revue Nature, lui a valu notamment le prestigieux prix du concours Photonics 2, organisé par la Commission européenne, et un autre de la MIT Technology Review.L'usine est située à Wroclaw, dans le sud-ouest de la Pologne. Selon Olga Malinkiewicz, d'ores et déjà "la demande dépasse les capacités de production" de la chaîne estimées initialement à 40.000 m2 par an.Petits ou grandsLes premières commandes commerciales sont venues du secteur de l'internet des objets et du bâtiment où les nouveaux modules s'intègrent facilement aux façades et surfaces différentes.La technologie de production consiste à imprimer sur des feuilles de plastique transparent des couches successives de modules photovoltaïques, dont celle de pérovskites, formant un ensemble aux paramètres techniques, formes, tailles et couleurs prédéfinis.Ces modules peuvent être très petits ou grands, ils peuvent être aussi découpés ou, au contraire, collés entre eux pour obtenir de très grandes surfaces si nécessaire."Nous utilisons des pérovskites synthétiques qui peuvent atteindre l'efficacité et la puissance considérables, et qu'on n'a pas besoin d'extraire de la nature", a précisé Mme Malinkiewicz lors de l'inauguration de son usine.Dans l'Himalaya et dans l'espaceLes modules pérovskites ont été testés, "avec d'excellents résultats", dans des simulateurs des conditions dans l'espace extra-atmosphérique, a souligné la chercheuse à l'AFP.Un module pérovskite de surface d'une double feuille A4, souple et pliant, a "fait ses preuves comme chargeur de téléphone et d'autres équipements électroniques lors d'une expédition dans l'Himalaya, dans les conditions météorologiques extrêmes", a-t-elle ajouté.La société Saule Technologies, du nom d'une déesse païenne balte régnant sur le soleil, la terre et le ciel, est contrôlée par des investisseurs privés polonais, dont Columbus Energy, leader du photovoltaïque et énergie verte dans le pays, et japonais, avec le multimillionnaire Hideo Sawada.La société, dont l'équipe compte 70 personnes de 15 pays différents, prépare sa prochaine introduction à la Bourse de Varsovie et songe déjà à la construction de nouvelles usines "en Europe ou peut-être au Japon"."Sur l'ensemble des installations photovoltaïques en Europe, seulement 4% sont fabriquées sur le continent. Nous sommes d'accord avec l'Union européenne pour dire qu'il est important de se mettre à les fabriquer" dans l'UE, a déclaré Mme Malinkiewicz.
Il y a 3 ans et 359 jours

Un chantier vert pour une énergie verte à Saint-Gervais

Un projet de développement durableLa production d'énergie verteLa commune de Saint-Gervais multiplie les projets visant à produire de l’énergie propre pour ses besoins et pour l’export.Panneaux solaires et centrale photovoltaïqueAvec ses panneaux solaires installés sur le toit de la piscine et sa centrale photovoltaïque sur celui de la patinoire qui se dotera prochainement de cellules supplémentaires pour augmenter sa production d’électricité, la commune produit de l’énergie pour faire fonctionner ses installations sportives et fournit chaque année l’équivalent de la consommation électrique de 37 logements.Centrales hydroélectriquesTrois centrales hydroélectriques sont exploitées au Fayet, à Bionnay et au Râteau faisant de la commune un territoire à énergie positive puisqu’elle produit ainsi cinq fois plus d’énergie que la population saint-gervolaine n’en nécessite.Cet automne, ce sont les travaux pour la construction d’une nouvelle centrale qui turbinera les eaux du torrent de Miage qui vont démarrer avec une prise d’eau sur le torrent de Miage, une conduite forcée et un bâtiment usine. Fonctionnelle en 2023, elle sera exploitée par la SARL CH Miage.Un chantier propre et respectueux de la naturePréserver la ressource en eauAfin de ne pas perturber la ressource en eau des habitants de Miage, des agriculteurs et du bétail, la prise d’eau se fera en aval du village. Ces travaux seront aussi l’occasion de raccorder le village au réseau des eaux usées. Les habitants gagneront donc en qualité de vie et le site en propreté.Transport par câble : blondinLe Maire de Saint-Gervais et le Conseil Municipal ont été rapidement enthousiasmés par le projet proposé en 2016 saisissant l’intérêt pour leur commune et plus largement pour l’environnement de produire, grâce aux ressources locales, une énergie renouvelable qui n’émet pas de gaz à effet de serre. Mais le dossier a tardé à aboutir car il était impératif pour Jean-Marc Peillex de valider le meilleur projet respectant la nature environnante : « Produire de l’énergie propre, c’est très bien, mais si ça nécessite 3.000 rotations d’hélicoptère pour y arriver, ça ne vaut pas la peine ! J’ai tenu à ce que les travaux nécessaires à ce projet de turbinage engendrent le moins de pollution possible et j’ai demandé à CH Miage de nous proposer un chantier ‘vert’ ». C’est donc une technique de transport par câble appelé « blondin » qui a été privilégiée.Intégration paysagèreLe bâtiment de la centrale hydroélectrique de Miage qui sera situé dans le secteur de la Gruvaz va se fondre de manière harmonieuse au sein de cet environnement boisé naturel à flanc de montagne. Les chemins nécessaires seront réalisés en bois ou en pierres locales, les façades seront en parties enterrées, l’ouvrage en lui-même sera dissimulé par des arbres, arbustes, plantes et fleurs afin de diminuer son impact visuel…Le blondin – Késako ?C’est un transport par câble téléphérique qui permet d’acheminer le matériel de chantier et les matériaux notamment en zone montagne où les pentes sont fortes et les obstacles à franchir nombreux. Cette solution technique est très respectueuse de l’environnement puisqu’elle ne nécessite pas de carburant.Signature du bailCe vendredi 21 mai, le bail à construction du turbinage des eaux de Miage a été signé en mairie de Saint-Gervais entre la commune et la SARL CH Miage autorisant cette dernière à construire et exploiter la centrale hydroélectrique pour une durée de 60 ans soit jusqu’en 2081.La puissance de l’usine est estimée à 3.190 KW. La SARL devra payer une redevance annuelle à la commune basée sur son chiffre d’affaires et lui verser près de 40 000 € d’indemnités foncières sur la durée de l’’exploitation pour l’occupation des terrains communaux.