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Il y a 2 ans et 199 jours

Kiloutou teste Ellectramobilys, un camion-benne 100% électrique

À l’occasion du Mondial de l’Automobile 2022, Ellectramobilys présente sa solution Muses dans sa version camion-benne, actuellement testée par Kiloutou.Au sein du parc de matériel de location actuel de Kiloutou, les camion-bennes sont les engins les plus émetteurs de CO2. Kiloutou explore ainsi des solutions qui pourraient réduire leur impact. Muses d’Ellectramobilys est un véhicule utilitaire à motorisation électrique qui pourrait répondre à cette problématique, notamment rencontrée par les majors du BTP, les artisans, collectivités ou même particuliers opérant déplacements et chargements de matériels et matériaux légers en zones urbaines.Muses, un véhicule électrique agile et performant qui ouvre un champ prometteur de co-développement avec KiloutouLe véhicule Muses dispose d’une autonomie allant de 138 à 260 km selon la puissance de batterie utilisée et d’une charge utile de 670 kg. Son format compact et son faible niveau d’émissions sonores (75 dB) en font un véhicule performant et agile.Le modèle testé par Kiloutou possède, à ce stade, de nombreux atouts dont :une benne triverse (un service complet, autorisant indifféremment les déchargements par l’arrière, par la droite ou la gauche),un seuil de chargement très bas ainsi qu’un poste de conduite central qui en fait aussi un allié de prévention et de sécurité pour ses utilisateurs.Sa très grande modularité ouvre aussi un terrain de co-développement en matière de carrosserie ou de solution de recharge, des perfectionnements aussi intéressants qu’indispensables pour Kiloutou dont l’objectif est d’accélérer le développement d’une solution particulièrement adaptée aux besoins de ses clients.Ellectramobilys, un fournisseur qui va au-delà de la charte fournisseur responsable définie par KiloutouKiloutou a fait le choix de se rapprocher d’Ellectramobilys pour la qualité de sa solution, notamment sur le plan environnemental : sa conception innovante avec 40% de matière en moins nécessaire à sa fabrication, dont deux fois moins de matière (lithium, cobalt et manganèse) dans sa batterie, réduit considérablement son impact sur les ressources naturelles en comparaison avec un véhicule électrique concurrent. Il en va de même de sa consommation d’énergie en utilisation, divisée par deux par rapport aux autres véhicules utilitaires électriques. Le véhicule Muses est un levier de réduction de l’impact environnemental des chantiers et interventions urbaines.Enfin, Muses est actuellement assemblé en France et sera intégralement produit à partir de 2023 en France.Pour Audrey Miclard, Directrice Développement Durable de Kiloutou : « Notre accélération en R&D s’appuie notamment sur le développement de collaborations étroites avec de nouveaux acteurs engagés comme Ellectramobilys, dont les solutions prometteuses peuvent être testées au sein de notre Centre d’Essai. Parmi les nombreux atouts de Muses, il y a la possibilité de remplacer une batterie vide par une batterie chargée en moins de 3 minutes. Cela favorise la recharge longue, moins gourmande en énergie et protectrice des batteries, sans interrompre l’utilisation du matériel. Ces simplifications d’utilisation sont des points-clés de nos ambitions en matière de R&D. Nous innovons au service de nos clients et pour une filière des matériels durables. »Pour Damien Biro, Président de Muses Europe : « Aujourd’hui, nous présentons un véhicule dédié à un usage utilitaire bien spécifique, qui maîtrise à la fois la masse, l’équation économique et l’équation environnementale. Nous sommes ravis de pouvoir co-développer cette solution avec un acteur comme Kiloutou, aussi engagé pour l'environnement et au réseau solide. »
Il y a 2 ans et 200 jours

Premiers résultats de l'Observatoire Santé et Qualité de vie urbaine

Son principe : transposer aux habitants d’une zone urbaine les grilles d’analyse des risques psychosociaux utilisées en entreprise pour conseiller les municipalités sous l’angle de la “santé psychologique” de leurs riverains. Testées depuis début 2022 sur un échantillon de plus de 3.000 répondants dans 58 départements, les premiers chiffres de référence nationaux viennent d’être publiés, afin de pouvoir ensuite être comparés avec les villes qui souhaiteront analyser le ressenti de leurs habitants.De premiers indicateurs riches de pistes de réflexion pour les municipalitésLa création d'un Observatoire National de mesure de la Qualité de Vie Urbaine (QVU) est une première en France qui évalue de manière scientifique la perception qu’ont les habitants de leur cadre de vie. A travers 98 questions regroupées en 11 dimensions, 4 modérateurs de QVU sont estimés : facteurs de protection, de risque, levier, vigilance. Leur analyse permet de répondre à la question « comment vont les français dans leur quartier/ville » en :Identifiant les impacts négatifs comme le stress éprouvé ou la santé morale et physique perçue.Distinguant les impacts positifs, source de bien-être et de qualité de vie urbaine appréciée par les habitants.L’Observatoire National de mesure de la Qualité de Vie Urbaine permettra aux collectivités et municipalités de :Procéder à un référendum continu, puissant facteur de satisfaction pour leurs populations.Redonner de la force et de la légitimité à l'expérience citoyenne et à la vie politique locale.Les principaux chiffres de l’Observatoire Santé et Qualité de Vie Urbaine montrent que les Français évaluent positivement leur qualité de vie urbaine, avec la note de 69/100.Stress : 15,2/40Santé physique : 67/100Santé morale : 66/100QV personnelle : 70/100Au-delà de ces résultats bruts, moyenne nationale de comparaison, ces indicateurs ont pour objectif de mettre en lumière les facteurs prioritaires aux yeux de ceux qui vont le mieux, et inversement, afin que les municipalités et collectivités puissent mettre en place des projets qui visent l’amélioration continue.Pour Barbara Attia : « Pour l’heure, le questionnaire aborde l’ensemble des dimensions dont on sait, de par la littérature, qu’elles ont un impact sur la santé et la qualité de vie des habitants : sentiments de liberté, de sécurité ou d’appartenance, attachement au lieu, importance du soutien social, des souvenirs etc ; tout en évaluant leurs perceptions à propos de leur environnement urbain : l’espacement des constructions, la beauté des bâtiments, les différents espaces disponibles, l’accessibilité, l’exposition à différents risques etc. Le croisement de ces données permet de faire à la fois un état des lieux de la santé globale des riverains mais aussi de donner une définition d'un environnement urbain de qualité. »Analyse qualitative des 1ers résultats de l’Observatoire Santé et Qualité de Vie UrbaineLes impacts positifs sur la Qualité de Vie Urbaine sont :Les facteurs de protection stratégiques : la sensation d’être bien intégré dans son quartier et la réputation de ce dernier, le soutien social perçu, les contacts visuels établis dans son environnement urbain de proximité, l’offre d’activités proposée pour les enfants, le volume des bâtiments.Les leviers pour l’amélioration de la Qualité de Vie Urbaine : l’importance du tissu associatif, la facilité à d’accès aux sanitaires, la présence d’équipements médicaux, le sentiment d’être consulté et la possibilité de mener des actions en faveur de l’écologie,Les impacts négatifs sur la Qualité de Vie Urbaine sont :La gêne provoquée par les bruits de voisinage ainsi que la gêne provoquée par la gestion des ordures et des déchets, la sensation d’oppression et le risque sécuritaire sont les points de vigilance auxquels prêter la plus grande attention.Enfin, la sensation que l’on construit trop est le facteur de risque prioritaire pour la population française aujourd’hui.Analyse quantitative des 1ers résultats de l’Observatoire Santé et Qualité de Vie UrbaineGlobalement les femmes sont plus stressées que les hommes (15.9/40 vs 14.2/40).Elles ont également une forme physique et morale moins élevée que les hommes. (F=64.7/100 ; H=68.8/100) (F=63.8/100 ; H= 68.9/100)Avec l’âge le stress diminueLes jeunes âgés de moins de 20 ans présentent le score de stress le plus élevé (18.1/40), les personnes âgées entre 20 et 49 ans sont à peine moins stressées (16.8/40). Dans cette continuité, les personnes âgées entre 50 et 59 ans sont également moins stressées avec 13.2/40, ainsi que les seniors âgés de 70 ans et plus (12.3/40). Plus précisément, les données montrent que les plus stressés sont les étudiants (18.7/40) suivis des personnes en recherche d’emploi (17.6/40) et des personnes ayant signé un contrat à durée déterminée (17.6/40).Des niveaux de forme perçus hétérogènesLes étudiants montrent un niveau de forme morale assez faible (57.6/100) à la différence des cadres et catégories professionnelles supérieures (70.7/100).Les personnes en recherche d’emploi ont une forme physique et morale plutôt faible (58.2 et 57.3/100), comparé aux personnes en activité indépendante qui présentent le plus haut niveau de forme physique (71.1/100).Des retraités et des couples en forme et heureux dans leur quartierLes retraités sont ceux qui présentent le niveau de stress le moins élevé (12.3/40) et ont également le niveau de forme morale le plus élevé (69.9/100). Ce sont eux qui ont le moins l’intention de quitter leurs quartiers (33.1/100).Les personnes vivant en couple sont également peu stressées (13.5/40) et ont une bonne forme morale et physique (70.1 et 67.6/100). Cette catégorie de personne est également une de celle qui désire le moins quitter son quartier (37.6/100).Pour Barbara Attia : « Avec l’Observatoire Santé et Qualité de Vie Urbaine, mon objectif final est de parvenir à inclure le bien-être des populations dans les statistiques nationales, et ainsi compléter les données auxquelles nous avons l’habitude de nous référer, qui sont aujourd’hui trop centrées sur l’économie et trop peu sur la questionnement des usagers. L'ambition de l'Observatoire Santé et Qualité de Vie urbaine est d'apporter une analyse fine et précise des attentes des citadins, car la Qualité de Vie Urbaine est à la fois un enjeu d’utilité et de santé publiques : améliorer la qualité de vie des habitants et la perception de leur environnement urbain, de façon scientifique et responsable. Pour les collectivités locales, considérer les attentes des habitants revient à avoir une démarche proactive vers une « cité heureuse ». Donner aux populations les clés pour comprendre un projet qui les concerne revient à les y engager. »
Il y a 2 ans et 200 jours

Cochebat dévoile les premiers chiffres 2022 pour les marchés de l'hydrodistribution et du PCRBT

Pour Remi Bertsch, Président de la commission communication de Cochebat : « Nous restons prudents quant à nos projections pour l’année 2022, dans un contexte où le marché du neuf reste tendu et où de plus en plus de promoteurs immobiliers stoppent certaines opérations pour des raisons économiques (pénuries, inflation, ...). Le contexte cumulé de 2020 et 2021 a pu entraîner une déstabilisation des marchés avec des effets de stockage et déstockage en fonction des fluctuations d’approvisionnement. »HYDRODISTRIBUTION : un marché stable pour le multicouche et baissier pour le PERLe marché du multicouche est stable. La croissance conséquente de +17,5% pour les diamètres supérieurs à 32 confirme l’utilisation croissante du multicouche en colonne montante, aussi bien dans le résidentiel collectif que dans le tertiaire.Les tubes polyoléfines enregistrent une baisse de -11% au premier semestre 2022. Pour Rémi Bertsch : « L’inflexion des indicateurs de construction et de la mise en chantier de logements individuels en décembre 2021 et janvier 2022 se ressent sur les ventes de PER, qui suivent généralement cette évolution, avec le décalage des marchés sur le second œuvre. »PLANCHER CHAUFFANT RAFRAÎCHISSANT BASSE TEMPÉRATURE : Cochebat s’inquiète de la qualité des systèmes installésLe marché du plancher chauffant rafraîchissant basse température connaît une baisse de -8,6%.Cochebat s’inquiète de la tension exercée sur les prix et la pénurie croissante des produits, qui amènent les installateurs à privilégier les achats séparés de composants des surfaces rayonnantes, au détriment du système. Or, la performance des systèmes est l’un des éléments essentiels pour satisfaire les exigences de la RE 2020 en matière de consommation d’énergie. Pour répondre à ces exigences, la marque CERTITHERM de COCHEBAT valide des systèmes complets et performants.
Il y a 2 ans et 201 jours

ONDULINE renforce sa présence à l’international et élargit son offre pour protéger les bâtiments et leurs occupants par tous les temps

Depuis sa création en 1944, Onduline n’a cessé d’évoluer et d’étoffer ses gammes de produits. Son expertise et ses nombreuses innovations lui ont permis de devenir le leader mondial des solutions de toitures légères avec un éventail de produits performants : éléments de toiture, bardages, sous-toitures, écrans de sous-toitures, panneaux en polycarbonate… Qu’il s’agisse de maisons individuelles, de petits immeubles collectifs, de bâtiments publics ou privés, industriels ou agricoles, partout dans le monde, Onduline offre aux professionnels du bâtiment et aux bricoleurs un résultat de haute qualité avec des produits innovants, robustes et fiables très simples à mettre en œuvre. Autour d’Onduline, Ondura accélère sa croissance et son développement international Onduline France appartient au groupe international Ondura crée en 2021. Propriétaire d’alwitra, spécialisé dans les membranes hautes performances pour les toits plats et de l’entreprise polonaise CB, l’un des leaders européens des écrans de sous-toiture et d’accessoires de couverture pour toits en pente, Ondura dispose d’une grande expertise dans l’étanchéité à l’eau et à l’air des bâtiments et développe ses activités sur les cinq continents. Dirigé par Patrick Destang, Ondura est présent dans plus de 100 pays et emploie 1 600 personnes.S’appuyant sur la puissance d’Onduline sur les cinq continents, l’objectif du groupe est de renforcer sa présence à l’international. Ces 3 entités opèrent de manière indépendante tout en profitant des synergies commerciales et de l’accès aux gammes de leurs sociétés sœurs. En France, Flatline, la société française nouvellement créée par le groupe Ondura assure la distribution des solutions alwitra. Avec les solutions de toitures légères Onduline, les écrans de sous-toitures COROTOP® et ONDUTISS®, les membranes d’étanchéité alwitra, et les solutions d’éclairement en polycarbonate d’ONDUCLAIR®, Ondura maîtrise les technologies nécessaires aux toits en pente ou plats et elle apporte aux distributeurs une réponse unique à destination d’une clientèle de particuliers et de professionnels. Son offre de produits permet de toucher des applications en DIY et des applications professionnelles avec une plus forte composante technique, où elle s’appuie sur des couvreurs et des étancheurs via le réseau des négociants en matériaux et distributeurs spécialisés couverture.Ondura aborde aujourd’hui une nouvelle étape en rejoignant le groupe Kingspan, leader mondial de solutions hautes performances pour l’isolation et l’enveloppe du bâtiment. Le rapprochement, annoncé en février 2022 , vient en effet de recevoir la validation des autorités réglementaires. Le groupe entend accélérer les plans de croissance et d’investissement dans les pays à fort potentiel, et renforcer l’innovation des produits et services. Onduline : Une approche environnementale forte et visibleLes produits Onduline contiennent environ 50 % de matières premières recyclées et leur process de fabrication intègre une démarche respectueuse de l’environnement. Certaines usines de production Onduline, dont ONDUCLAIR® à Comines, sont certifiées ISO 14001, avec une gestion environnementale claire et un système de production propre : matières premières recyclées, circuit d’eau fermé, faible consommation d’énergie, pas de déchets dangereux, système de traitement des émissions gazeuses… De plus, les émissions de CO2 sont considérablement réduites grâce au poids allégé des matériaux, qui limite l’impact lors du transport.Pour limiter son bilan carbone et développer une production respectueuse de l’environnement, Onduline a mis en place un processus de recyclage de haute technologie qui permet de récupérer 80 000 tonnes de fibres de cellulose chaque année.La cellulose est une ressource naturelle végétale et non fossile. La transformation de cette fibre est connue pour sa faible empreinte carbone, produisant ainsi 4 à 6 fois moins d’émissions de CO2 que le métal ou le plastique. C’est pourquoi Onduline a fait le choix de cette matière première pour la base de ses tôles et tuiles. Toutes ces initiatives ont permis à l’entreprise de réduire l’empreinte carbone à 4 066 g de CO2/m2, soit bien moins que tout autre fournisseur de solutions de toiture selon Pure Projet, une entreprise française spécialisée dans les questions environnementales, en particulier dans la lutte contre la déforestation.Onduline a également développé des Déclarations Environnementales de Produit (EPD) – ISO14025 & EN15804. L’EPD fournit des données quantifiées et requises pour réaliser l’ACV (analyse du cycle de vie) des produits et ainsi quantifier l’impact du produit sur l’environnement depuis l’approvisionnement en matières premières jusqu’à la sortie des usines.
Il y a 2 ans et 201 jours

Les Français à la recherche de leur logement : entre priorités, compromis et mauvaises surprises

L’Association QUALITEL a ainsi décidé de consacrer la 6ème édition* de son baromètre annuel au parcours de recherche et de sélection du logement, avant, pendant et après : quels critères indispensables au départ, quels compromis finalement concédés, quelles [mauvaises] surprises à l’arrivée...Focus sur les principaux retours exprimés par les acquéreurs ayant changé de logement depuis moins de 5 ans (étude complète disponible ici).Maison ou appartement, ville ou campagne... : le logement idéal, au départAu tout début de leur parcours de recherche, les futurs acquéreurs envisageaient plutôt :Une maison, pour 58% des répondants, vs 38% préférant un appartement ;En zone urbaine, pour 61%, vs 30% préférant la campagne ;Dans l’ancien, pour 48%, vs 26% préférant acheter dans le neuf.Mais au-delà de cet idéal, certains critères indispensables n’auraient selon eux pu faire l’objet d’aucun compromis, à commencer par le prix et la présence d’un espace extérieur, cités par 59% des personnes interrogées, suivis par le type de logement, maison ou appartement, cité par 56%.Des priorités qui varient selon le bien acheté :Qui dit logement... dit voiture :Pour 47% des Français, propriétaires ayant acheté au cours des 5 dernières années, le parking était un critère indispensable pour la recherche de leur logement.En revanche, pour une maison comme pour un appartement, la superficie n’est citée comme critère indispensable que par 35% des répondants. Et en appartement, le nombre de pièces prime même sur l’espace.L’adaptabilité du logement aux personnes âgées ou à mobilité réduite n’est citée quant à elle comme critère indispensable que par 12% des répondants (18% des 60 ans et +). Pourtant, 59% des acquéreurs sondés déclarent avoir « acheté [leur] logement pour y rester toute [leur] vie ».* Enquête réalisée en avril 2022, auprès de 3.056 personnes, dont 1.664 ayant changé de logement au cours des 5 dernières années. Les chiffres présentés dans ce communiqué de presse portent uniquement sur les propriétaires ayant changé de logement il y a moins de 5 ans.Après le rêve... : la réalité de la rechercheUne fois le logement idéal défini, il s’agit de le trouver. C’est à ce moment que les choses se compliquent.Le parcours de recherche se fait souvent sous pression, les acquéreurs devant faire face à une concurrence forte. La prise de décision peut s’avérer stressante, en particulier pour les jeunes de moins de 35 ans, souvent primo-accédants.La prise de décision est également très rapide :84% des acquéreurs ont visité 1 à 2 fois le bien avant de faire une offre ;Pourtant, 25% auraient voulu pouvoir le visiter à nouveau avant de prendre leur décision ;89% des acquéreurs ont fait leur offre en moins d’une semaine.Et les visites ne sont pas forcément suffisamment poussées. Ainsi par exemple, de nombreux critères, dont dépend la qualité de vie dans le logement, n’ont pas été systématiquement regardés : date de construction, niveau de sécurité, classe du DPE, ventilation… Toutefois, les acquéreurs ont été particulièrement attentifs à certains critères, à commencer par les vitrages et l’état général des fenêtres, cités par 88% des répondants, la superficie des pièces (87%), leur organisation et agencement, l’état des murs (présence de fissures ou de moisissures), le type de chauffage (individuel ou collectif)..., tous cités par 86% des répondants.Enfin, à l’heure des choix, 78% des acquéreurs ont dû faire des compromis. Et dans ce cas, même les critères les plus indispensables ou importants au début de la recherche, peuvent être concernés. En tête :Le prix, pour 18% des acquéreurs, avec un prix d’achat de 12% en moyenne plus élevé que le budget initial envisagé ;La superficie de certaines pièces, pour 17% des acquéreurs, avec une perte sur la superficie globale de 16% en moyenne du nombre de m² envisagés au départ.À l'arrivée : des mauvaises surprises pour une majorité de propriétaires interrogésPlus des 2/3 des propriétaires déclarent avoir eu au moins une mauvaise surprise une fois installés : 68% se disent ainsi gênés par des aspects qu’ils n’avaient pas remarqués lors des visites. En top 5 :Le froid l’hiver, pour 17% ;Le bruit des voisins, pour 16% ;La chaleur l’été, pour 13% ;Le bruit de la rue, pour 12% ;Les charges, les dépenses, pour 11%.Des mauvaises surprises qui peuvent entraîner des travaux imprévus : sila majorité des propriétaires avait bien identifié des travaux indispensables avant l’achat (56%), plus de la moitié (52%) en ont aussi découverts après l’achat.Globalement, 66% des répondants ont réalisé des travaux d’embellissement (peintures, revêtements, etc.), 45% la réfection complète d’une ou de plusieurs pièces, 34%, la réfection ou le remplacement d’un équipement, etc.Ces mauvaises surprises ne sont pas sans conséquence :La qualité perçue : alors que le Qualiscore** est de 6,8 /10 au global, pour toutes les personnes ayant acheté leur logement il y a moins de 5 ans, il n’est que de 6 pour celles ayant eu 3 mauvaises surprises ou plus ;Le temps resté dans le logement : 44% des propriétaires souhaitent en changer, dont 28% à court ou moyen terme. Un chiffre qui monte à 61% pour ceux qui ont eu de nombreuses mauvaises surprises.Et pourtant, certaines de ces mauvaises surprises auraient pu être évitées avec davantage d’attention lors des visites. Ainsi par exemple :45% des propriétaires qui ont eu des mauvaises surprises sur les charges n’avaient pas été attentifs à la classe du DPE ;32% des propriétaires qui ont eu des mauvaises surprises sur l’isolation acoustique n’avaient pas été attentifs aux nuisances sonores.Enfin si c’était à refaire, pour un futur achat, près de la moitié des propriétaires (47%) aimeraient être accompagnés par un professionnel du bâtiment lors des visites pour évaluer l'état du bien. Une tendance qui se vérifie encore plus pour les propriétaires ayant eu plusieurs mauvaises surprises et pour ceux ayant dû réaliser des travaux imprévus (55%).Tous les résultats de l’étude ici.
Il y a 2 ans et 201 jours

Les solutions chauffage de Cheminées Poujoulat pour toutes les énergies et tous les bâtiments, en neuf comme en rénovation

Elle visent à donner la priorité à la sobriété énergétique et à la décarbonation de l’énergie, tout en diminuant l’impact carbone de la construction des bâtiments, avec en ligne de mire la disparition progressive des énergies fossiles.Innovation, performance, personnalisation, c’est sur ce triptyque que Cheminées Poujoulat s’appuie pour développer ses produits afin d’offrir des solutions de qualité en adéquation avec les besoins du marché.Le leader européen des conduits de cheminées et sorties de toit métalliques place la mixité énergétique au cœur de sa stratégie et propose un éventail complet de solutions de chauffage pour toutes les énergies – bois, gaz, électricité - et tous les bâtiments - maisons individuelles, habitat collectif - en neuf comme en rénovation.L’ensemble des produits mis au point par Cheminées Poujoulat bénéfi cient du CÉRIC Label délivré par le Laboratoire CÉRIC, référent en Europe dans les domaines de la cheminée et des énergies durables.Preuve de la reconnaissance de son expertise, Cheminées Poujoulat vient d’être récompensée par un Award de l’Innovation du Mondial du Bâtiment 2022 pour sa toute dernière solution unique sur le marché RÉNO VMC-GAZ.Au-delà de la performance énergétique, Cheminées Poujoulat a également à cœur de proposer des équipements personnalisables qui s’intègrent parfaitement à l’architecture des bâtiments.À chaque projet de fumisterie ou problématique de chauffage correspond une solution de chauffage Poujoulat ! Tour d’horizon.Des solutions bas carbone pour la maison individuelleLa récupération et la distribution d’air chaud avec AIRWOODLa dernière version d’AIRWOOD avec un nouveau système d’appoint électrique breveté, BOOSTY, offre, pour la première fois, la possibilité de faire de l’énergie bois la seule source de chauffage principal. Le système AIRWOOD récupère l’air ambiant de la pièce de vie, puis réchauffe cet air dans le conduit échangeur et le redistribue dans toute la maison de façon homogène et efficace, par des bouches de soufflage. Lorsque l’appareil de chauffage au bois n’est plus alimenté, BOOSTY prend le relais.La gamme AIRWOOD permet de réaliser jusqu’à 25% d’économies sur la facture selon l’énergie de chauffage, comparée aux énergies fossiles (fi oul, gaz, électricité) et se décline en 2 solutions pour répondre à toutes les configurations : AIRWOOD Confort+ compatible avec tous les appareils de chauffage au bois en neuf et en rénovation : foyer fermé, poêle à bois bûches ou poêle à granulés, AIRWOOD Alliance en neuf pour les poêles à granulés et la VMC double-fl ux. La gamme est valorisable dans les calculs réglementaires grâce au TITRE V Système-Conduit échangeur.EFFICIENCE, le conduit de cheminée nouvelle générationPour répondre aux exigences thermiques actuelles et à venir, et accompagner les performances des appareils labellisés Flamme Verte, Cheminées Poujoulat a innové en développant EFFICIENCE, un conduit de cheminée triple paroi « nouvelle génération » isolé en laine de roche.Solution inédite sur le marché, EFFICIENCE optimise la circulation des flux en assurant l’amenée d’air nécessaire à la combustion et l’évacuation des fumées sur un même conduit.À l’intérieur de son conduit, EFFICIENCE possède une isolation de 20 mm en laine de roche haute densité et haute température. Grâce à cette isolation, EFFICIENCE peut réchauffer l’air prélevé à l’extérieur, nécessaire pour la combustion, et optimise ainsi le rendement de l’appareil de chauffage bois. L’isolant en laine de roche favorise également l’évacuation des fumées par tirage naturel.De plus, en prélevant l’air comburant dans la partie supérieure du conduit, EFFICIENCE évite de percer le mur où est installé le poêle pour aller chercher l’air. Grâce à cette propriété, EFFICIENCE est la solution idoine pour participer à l’étanchéité à l’air de la maison neuve mais également en rénovation lorsque l’installation ne permet pas de percement ou de dépassement de faîtage.EFFICIENCE offre ainsi une grande souplesse d’installation pour tout appareil de chauffage à bois, poêle à bois bûches, poêle à granulés, insert ou foyer fermé. Il peut être installé à l’intérieur comme à l’extérieur de la maison et s’adapte à toutes les configurationsEFFICIENCE permet ainsi un positionnement sur le toit en fonction de l’emplacement de l’appareil sans avoir nécessairement à dépasser le faîtage (en principe, la loi prévoit un dépassement de 40 cm au-dessus de la ligne la plus haute de la toiture).PGI, un conduit spécifiquement développé pour les poêles à granulésLe système PGI a spécialement été développé par Cheminées Poujoulat pour l’installation des poêles à granulés. Le marché des poêles à granulés ne cessant de progresser, PGI rencontre un vif succès.Le système PGI est un conduit de fumée double paroi inox. Ce conduit haute technologie optimise la performance de l’appareil de chauffage et s’intègre parfaitement dans un habitat neuf ou existant.Sa technologie concentrique (deux tubes l’un dans l’autre) crée une lame d’air qui permet l’arrivée de l’air comburant et l’évacuation des fumées dans un même conduit.La gamme PGI offre une solution pour toutes les situations de raccordement du poêle. Le système peut être installé en conduit vertical ou horizontal, à l’intérieur ou à l’extérieur de la maison.Ce système a été conçu avec les plus grands fabricants de poêles européens pour s’adapter à tous les appareils à granulés et assurer un fonctionnement simple en toute sécurité.Opter pour ce système unique permet de réaliser jusqu’à 10% d’économies d’énergie, soit 200 à 400 kg de granulés de bois par an (selon les régions).Le plein d’accessoires pour la personnalisation des conduitsAutre marque de fabrique de Cheminées Poujoulat, l’esthétique et la personnalisation avec des conduits de cheminée et sorties de toit qui s’intègrent parfaitement à l’architecture des maisons et à la décoration intérieure des pièces de vie.Pour répondre aux attentes des consommateurs en quête de personnalisation, Cheminées Poujoulat a déjà franchi une étape en permettant aux particuliers de personnaliser leur conduit de cheminée avec des couleurs (tous les RAL), des finitions (mate ou satinée), des colliers de raccordement colorés, un régulateur de tirage design (RÉGUL’ART), une pièce de départ pour une jonction parfaite et esthétique entre le conduit THERMINOX et la buse du poêle à bois (DÉCO’START).Dernière innovation en date, la collection d’habillages ventilés DESIGN’UP combine sécurité, récupération de calories, esthétique et facilité d’installation. DESIGN’UP a été spécialement conçu pour permettre au consommateur de monter lui-même l’habillage sur son conduit de raccordement existant sans démontage préalable par simple emboîtement, au gré de ses envies et des aménagements décoratifs de son intérieur.La gamme se décline en 9 couleurs avec DESIGN’UP COLOR et en 3 décors avec DESIGN’UP DÉCO, pour satisfaire toutes les envies. Et pour un effet encore plus prononcé, ces nouveaux habillages ventilés se combinent avec des plaques de finition murales.La qualité de l’air avec VENTÉLIAAvec l’entrée en vigueur de la RE2020 depuis le 1er janvier 2022, la ventilation est devenue un élément-clé pour assurer le confort thermique été comme hiver ainsi qu’une bonne qualité de l’air intérieur.La sortie de toit spéciale ventilation VENTÉLIA se distingue par ses performances aérauliques exceptionnelles de 4 Pa qui favorisent la qualité de l’air intérieur Solution universelle, elle peut être raccordée à une VMC, une hotte de cuisine, un chauffe-eau thermodynamique, un sèche-linge...Disponible dans plusieurs fi nitions pour s’adapter à tous les types de toits et de pentes (tuiles, ardoises, toit terrasse, bac acier et toitures ondulées), VENTÉLIA s’intègre aisément dans son décor et s’installe avec la plus grande simplicité.Design d’extérieur : l’intégration parfaite des pompes à chaleur et climatisationOUTSTEEL : la solution de personnalisation des unités extérieures de pompes à chaleur et climatisationAvec sa nouvelle marque OUTSTEEL, lancée en mai 2021, Cheminées Poujoulat a étendu son terrain de jeu au marché de la pompe à chaleur et de la climatisation, plus précisément à son habillage et à sa protection.Reconnue depuis 70 ans pour son savoir-faire dans les conduits de fumée et sorties de toit métalliques, l’entreprise a mis à profit ses compétences pour proposer des solutions innovantes avec une nouvelle gamme complète de caches pompe à chaleur et climatisation en acier galvanisé, afin de protéger et dissimuler de manière esthétique ces unités techniques extérieures.Cache intégral, partiel ou simple « casquette », le produit s’ajuste à chaque modèle de pompe à chaleur ou climatisation, quel que soit le fabricant.Déjà composée de 5 modèles (Brousse, Bubbles, Colors, Cap et Cover), la gamme s’enrichit d’un tout nouveau design « Vénitian » lancé en septembre 2022.Des systèmes de raccordement pour la chaudière biomasse en maison individuelle et logement collectifDUALIS EI : une solution adaptée à tous types de chaudières à granulés étanchesParticulièrement adapté pour le remplacement de chaudière fioul, DUALIS EI est un conduit concentrique en inox polyvalent associant l’amenée d’air comburant et l’évacuation de fumée des chaudières à granulés étanches.Équipé de joints, l’assemblage se fait par emboîtement sécurisé par un collier de jonction entre chaque élément. Simple à mettre en œuvre, il s’intègre dans l’habitat neuf comme dans l’existant.Sous avis technique, le système a fait l’objet d’une série d’essais fonctionnels pour valider toute la connectique en fonction des différentes marques de chaudières étanches sous avis technique proposées sur le marché. Il optimise le rendement des chaudières basse température ou à condensation.THERMINOX pour les chaudières à bois bûches et granulés de boisTHERMINOX est un conduit double paroi isolé polycombustible adapté à tous les appareils de chauffage bois bûches ou granulés.À la fois performant et esthétique, le conduit de fumée THERMINOX convient aussi bien pour l’intérieur que pour l’extérieur des bâtiments, en maison individuelle et logements collectifs, en création comme en rénovation.Côté performance énergétique, THERMINOX garantit un fonctionnement optimal en toute sécurité, optimise le rendement de l’appareil de chauffage et réduit ainsi la consommation d’énergie. Conçu pour la traversée des murs et des planchers, il permet tous les types de montages.Les équipements pour le raccordement en habitat collectif3CE THERMO-D pour le raccordement des chauffe-eaux thermodynamiques dans le logement collectifParfaitement adaptés à la RE2020, les chauffe-eaux thermodynamiques sont en plein essor. Cet équipement destiné à produire de l’eau chaude sanitaire grâce à une pompe à chaleur complétée par une résistance électrique d’appoint permet de réduire jusqu’à 3 fois la consommation électrique en comparaison d’un chauffe-eau électrique classique.Pour permettre leur raccordement, Cheminées Poujoulat a développé le système concentrique étanche 3CE THERMO-D sous ATEx spécialement adapté aux immeubles de logements.Cette solution, rapide et facile à installer, assure l’amenée et l’évacuation d’air et optimise les performances de 1 à 6 appareils.3CE P Multi + Intérieur, le conduit collectif pour le raccordement des chaudières gaz individuelles étanchesLe 3CE P MULTI+ INTÉRIEUR est un conduit concentrique collectif permettant l’amenée d’air et l’évacuation des produits de combustion de 2 à 20 chaudières gaz individuelles étanches. Ce système allie performance, sécurité (étanchéité du système, résistance au feu et aux condensations) et installation rapide (simple emboîtement).L’étanchéité du système, assurée par des joints à lèvres, permet l’évacuation des fumées en légère pression, ce qui réduit considérablement l’encombrement du conduit (plus de 50%).Le conduit collectif est installé à l’intérieur des bâtiments, dans une gaine technique générale, regroupant également les autres réseaux.Le 3CE P MULTI+ INTÉRIEUR peut être équipé de deux terminaux verticaux différents : un terminal circulaire ou une sortie de toit, assurant ainsi une finition soignée et personnalisée en toiture.Les chaudières compatibles sont de type C4p, équipées d’un clapet antiretour sur le circuit air-fumée.RÉNO VMC-GAZ : pour le remplacement d’un appareil VMC-Gaz par une chaudière THPE à condensation dans les logements collectifsLauréat bronze d’un Award de l’Innovation du Mondial du Bâtiment 2022 dans la catégorie « Génie climatique » et récompensé par une mention spéciale dans la catégorie transversale « Bien Vivre dans la Ville en 2050 », RÉNO VMC-GAZ est la dernière innovation signée Cheminées Poujoulat.Ce système, unique en son genre à ce jour, permet de remplacer un appareil VMCGaz peu performant par une chaudière THPE à condensation dans les logements collectifs, en vue de réaliser des économies d’énergie.Il est constitué de conduits de fumée individuels en acier inoxydable et d’un terminal monté en toiture sur chaque colonne d’évacuation pour évacuer les produits de combustion et fournir l’extraction d’air nécessaire à la ventilation des logements. RÉNO VMC-GAZ est une solution brevetée (validation d’ATEx en cours). Elle sera disponible à partir de fi n 2022.Cette innovation vient compléter l’éventail de solutions permettant la rénovation et l’adaptation des conduits collectifs et individuels, qu’il s’agisse de l’évacuation des produits de combustion ou de la ventilation (AIRFLUE RÉNOVATION, RÉNOSHUNT, 3CE P MULTI+).RÉNOSHUNT pour la rénovation des conduits Shunt ou AlsaceLa solution RÉNOSHUNT présente de nombreux avantages pour la rénovation du système de chauffage dans le bâti ancien en permettant d’installer facilement, rapidement et en toute sécurité, des chaudières à condensation sur les conduits de fumée existants.Ce conduit collectif concentrique, réalisé grâce à la mise en œuvre d’un tubage dans le conduit de fumée existant, permet la rénovation et la réutilisation de conduits Shunt, lorsque ceux-ci n’assurent que l’évacuation des fumées. Jusqu’à 6 chaudières gaz à condensation peuvent être raccordées. L’air comburant circule, depuis l’extérieur, dans l’espace annulaire résiduel.Le tubage permet de canaliser les fumées vers l’extérieur, en préservant le conduit existant des condensats auxquels il ne résisterait pas. Fabriqué en acier inoxydable, RÉNOSHUNT répond à la réglementation incendie dans les immeubles de logements collectifs.Le système RÉNOSHUNT est facile à mettre en œuvre et, de ce fait, particulièrement adapté à une rénovation aux délais serrés. Le système mis au point par Cheminées Poujoulat limite les travaux par la réutilisation du conduit existant.L’action se fait par un simple tubage, réalisé essentiellement depuis la toiture, limitant de manière considérable l’intervention dans les logements.DUALIS RENODENS : une solution de rénovation pour individualiser l’évacuation des fumées en logements collectifsPour un meilleur confort thermique, des économies et un moindre impact environnemental, de plus en plus de chaudières gaz, souvent vieillissantes, doivent être remplacées par des chaudières gaz à condensation.Offre alternative à sa solution collective RENOSHUNT, le dernier né de la famille DUALIS, RENODENS est une nouvelle solution de rénovation individuelle des conduits collectifs maçonnés existants de type Shunt ou Alsace.Ce système, qui permet une évacuation individualisée des fumées pour chaque chaudière gaz à condensation, est performant et simple à mettre en œuvre grâce au « plus » Cheminées Poujoulat : le petit diamètre de son flexible en polypropylène (Ø 50 cm). Conscient que la place disponible dans un conduit maçonné de type SHUNT ou ALSACE est assez limitée, Cheminées Poujoulat a privilégié un diamètre étroit. Une différence notable en comparaison des autres flexibles disponibles sur le marché, plus gros.Ainsi, grâce à ses tubages individuels qui canalisent les fumées vers l’extérieur, DUALIS RENODENS permet à chaque chaudière gaz à condensation de fonctionner de façon indépendante. L’air comburant circule alors, depuis l’extérieur, dans l’espace résiduel. Une solution de plus en plus plébiscitée par les bailleurs sociaux notamment, pour supprimer toute interaction entre les chaudières grâce au circuit de combustions séparé.Le conduit de fumée flexible DUALIS RENODENS offre la possibilité de raccorder jusqu’à 6 chaudières individuelles gaz à condensation.Côté pratique, l’installation de DUALIS RENODENS se fait par un simple tubage réalisé essentiellement depuis la toiture. Très rapide, elle limite fortement l’intervention dans les logements et donc la gêne occasionnée auprès des occupants.Les conduits d’évacuation des produits de combustion éligibles à l’aide financière des Certificats d’Économies d’Énergie (CEE)Les Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) est un dispositif mis en place par l’État. Il oblige les fournisseurs d’énergie (Engie, EDF, Total, etc.) à inciter leurs clients à réaliser des travaux de rénovation énergétique de manière à réduire leurs dépenses énergétiques.Plus concrètement, les CEE se traduisent sous forme de primes qui permettent de réduire le montant des travaux.Cette prime est notamment octroyée pour remplacer, dans un bâtiment résidentiel collectif, un conduit d’évacuation des produits de combustion « incompatible avec des chaudières individuelles au gaz à condensation ». Il est en effet difficile de remplacer une chaudière ancienne par une à condensation si le conduit de fumée n’est pas adapté.Elle relève de la fiche d’opération standardisée CEE « BAR-TH-163 » (Conduit d’évacuation des produits de combustion). Plusieurs familles de conduits peuvent bénéficier de l’aide des CEE, selon certains critères :Dans le cas de la mise en place d’un conduit individuel, sa longueur doit être supérieure ou égale à 10 mètres ;Dans le cas de la mise en place d’un conduit collectif, ce dernier remplace un ou plusieurs conduits de fumée collectifs de type Shunt, Alsace, alvéole technique gaz pour chaudières non étanches, ou remplace des conduits collectifs pour chaudières étanches à tirage naturel (type 3CE).
Il y a 2 ans et 201 jours

Pour la CAPEB Rhône et Grand Lyon, la prévention de la santé du chef d’entreprise s’impose comme une nécessité

En cette rentrée 2022 et face au contexte économique de plus en plus stressant, la CAPEB Rhône et Grand Lyon alerte sur le nombre croissant de chefs d’entreprise en situation proche du burn out et son incidence sur le plan économique et social.Un contexte de plus en plus stressantRelations de travail, relations avec les clients, pression des délais... les artisans du bâtiment ont toujours été confrontés à des situations de stress.Mais, directe conséquence de la récente pandémie, elles se révèlent de plus en plus nombreuses avec :la pénurie des matériaux : bois, acier, aluminium mais aussi colle, plâtre, matériel électrique, de plomberie... tous les corps d’état sont désormais touchés par des stocks qui diminuent ,l’allongement des délais d’approvisionnement et de livraison jamais atteints.Avec pour résultats une augmentation des coûts qui peuvent atteindre jusqu’à + 30%, les entreprises du bâtiment se retrouvent pris en étau entre :des prix démesurés et incontrôlables qui, étant injustifiables aux clients et difficilement reportables, imposent souvent au professionnels d’absorber ces hausses et d’impacter ainsi leurs margesdes chantiers qui, dans l’incapacité d’être finis dans les temps impartis, génèrent des indemnités de retard et rencontrent de grande difficultés pour rembourser les PGE émis pendant les différents confinements.Lié :aux grands sujets de société induits par la prise de conscience de l’environnement : qualité de l’air, rénovation énergétique, problèmes de stationnement et plus récemment l’arrivée des Zones à Faibles Emissions dans les grands centres urbains...à la pénurie de main d’œuvre :Déjà sensible dès 2019, ce phénomène est encore amplifié par :un ralentissement de la formation, ce qui a fortement réduit le mécanisme de renouvellement de main d’œuvre,le blocage de la main d’œuvre venant de l’étranger,les mouvements de main d’œuvre liés aux chantages à la rémunérations,au poids des démarches administratives : outre les 142 jours de travail en moyenne consacrés chaque année dans les PME, l’annonce de nouveaux dispositifs tels Prime Rénov s’avère conçus plus pour les grands groupes que pour les artisans, le phénomène va croissant et d’autant que l’on s’approche d’une situation de quasi plein emploi avec les 6,5% de chômage déclarés dans le Rhône en août.Les solutions propres au bâtimentAujourd’hui, la CAPEB Rhône et Grand Lyon se retrouve de plus en plus confrontée à des adhérents en souffrance et constate une forte augmentation des appels de chefs d’entreprises demandant des informations en vue d’arrêter leur activité.Depuis septembre 2022, ces appels ont même été multipliés par deux.Outre les moyens existant tels :les travaux de l’Observatoire Amarok qui, au travers d’un numéro vert gratuit (0800 501 201), permet une pris en charge rapide des Travailleurs Non Salariés avec son réseau de psychologues cliniciens et prévient le risque de développer un Etat de Stress Post-TraumatiqueIris, l’Institut de Rechercher et d’Innovation sur la Santé et la Sécurité au Travail, dédié aux artisans du BTP-Paysage, qui développe des solutions et des outils adaptés et innovants pour la prévention des risques professionnelsPro BTP et ses sessions de formation ainsi que sa cellule psychologiqueLa CAPEB Rhône et Grand Lyon met ainsi en place une succession d’outils et d’accompagnement :au travers de l’ensemble de tous ses services service d’aide juridique et sociale, service emploi, service formation, service économique, service qualificationavec la présence d’administrateurs au sein de toutes les caisses sociales et autres organismes paritaires.En termes de prévention, se faire accompagner sur le plan personnel s’avère incontournable: c’est là que la plus grande force de l’organisation du bâtiment, la plus puissante du département, demeure avec l’entraide entre tous les adhérents du réseau. Les artisans et petites entreprises du bâtiment ont toujours su faire preuve d’adaptation, et encore plus ces deux dernières années. Toutefois, outre le rappel de ses revendications portées, depuis le printemps 2022, par la CAPEB Rhône et Grand Lyon rappelle que le besoin de trésorerie pour les artisans et les TPE CAPEB s’élève désormais en moyenne à 20.000 € pour le 2ème trimestre consécutif, ce qui, hors confinement n’était pas arrivé depuis 7 ans.Les revendications de la CAPEBFace aux difficultés d'approvisionnement et aux hausses de prix qui en résultent et face à la flambée des prix de l'énergie et des carburants, le Réseau CAPEB se mobilise.Rembourser, comme pour le secteur agricole et le secteur des Travaux Publics, une partie de la TICPE pour les carburants utilisés pour des véhicules professionnels ;Imposer aux banques et aux assureurs crédits qu’ils ne dégradent pas la cotation des entreprises dès lors qu’elles décident de reporter le remboursement de leur PGE ;Veiller à ce que les industriels et les négoces ou distributeurs :participent activement au Comité de crise du BTP mis en place parle gouvernement (initiative qui a permis d’inciter les acheteurs publics à faire preuve de compréhension et de souplesse dans l’application des règles des marchés publics) ;intègrent dans leurs prix le juste coût de la décarbonation ;assument les risques d’augmentation des prix avec la filière(solidarité et intérêts mutuels des acteurs : industriels, négoces, entreprises et clients) dans le cadre d’une charte de solidarité ;Exiger des fournisseurs qu’ils préviennent au moins 3 mois à l’avance les entreprises du bâtiment de toute augmentation des prix et qu’ils maintiennent une stabilité des prix également durant au minimum trois mois (en effet, les tendances pratiquées actuellement imposent parfois un paiement au comptant et des validités des prix de 24h ou 48h alors que le délai de rétractation des clients est de 14 jours) ;Accélérer la refonte du calcul des différents index BT et leurs publications dans des délais rapides au regard de la crise actuelle ;Appliquer une TVA à taux réduit de 5,5% pour l’ensemble des travaux de rénovation ;Rendre enfin automatique, en marchés publics, l’application des pénalités de retard en cas de retard de paiement aux entreprises ;Mettre en place un mécanisme de bouclier tarifaire du coût de l’énergie aux niveaux européen et français pour disposer d’une production industrielle à prix maîtrisé et permettre la continuité des politiques publiques de rénovation énergétique et environnementale, directement menacées par la flambée des coûts des matériaux.
Il y a 2 ans et 201 jours

Toitures d’exception pour la 17ème édition des Trophées Aléonard

Organisés chaque année par la Tuilerie Aléonard, les Trophées Aléonard valorisent le savoir-faire d’exception des maîtres-artisans couvreurs dans la mise en œuvre des traditionnelles tuiles plates en terre cuite. Premier chantier La couverture d’une maison individuelle en Saône-et-Loire, a été primée pour le premier chantier en tuile Aléonard pour l’entreprise Vercelli située à Sennecey-le-Grand (71). Cette catégorie récompense les entreprises réalisant pour la première fois une couverture en tuiles Aléonard. Composée de tuiles « Esprit Patrimoine » 16×27 rectangulaire Lune Cendrée, Ocre Lichen et Rouge de Mars, la qualité du panachage régulier de cette toiture de 834m2 est remarquable. Le couvreur a décidé de réaliser le panachage en atelier pour un rendu très élaboré. Les tuiles ont ensuite été réparties sur le toit en attraits. Ls faîtières ont été scellées à la chaux avec des crêtes et des embarrures. Ecornées en pieds et en tête, les tuiles de rive ont été scellées à la chaux sur le chevron de rive habillé en cuivre. Demeure Aléonard Cette catégorie récompense la réalisation d’une toiture Aléonard sur maison individuelle, maisons en bande, ou bâtiment d’habitation, neuf ou ancien. Dans cette catégorie, le lauréat est l’entreprise Nicolas Romain situé à Albon (14), pour la réalisation de la toiture d’une maison individuelle neuve construite dans l’Eure (27). Si le jury a souligné l’harmonie du mélange de quatre couleurs, il a particulièrement été séduit par la qualité technique nécessaire pour la réalisation de cette toiture de 320m2. Parmi les points singuliers, on note la qualité du faîtage scellé à crête de coq avec embarrures, les arêtiers corniers encastrés et les rives scellées (tuiles épaulées et écornées) ainsi que les lucarnes avec noues fermées permettant à cette maison neuve de s’intégrer parfaitement dans le paysage traditionnel de la region. Projet réalisé en Tuile Esprit Patrimoine 16×27. Teinte : Lune Cendrée, Rouge de mars, Vert de Lichen et Ocre Lichen Edifice & Patrimoine Cette catégorie récompense la réalisation en tuiles Aléonard d’un chantier de rénovation ou d’un bâtiment neuf, participant au Patrimoine régional ou national. C’est l’excellence du travail de Geneste-Naillier située à Clermont- Ferrand qui a été primée pour la réalisation de la toiture du Château de Montfort (63). L’ouvrage réalisé en tuiles « Saint Vincent » 16×27 Rouge Ardent, représente une surface de 500m2 dont 250 m2 ont été réalisés en tuile gironnées. Il comprend une tour octogonale et trois tours gironnées avec coyau. Le jury a salué la prouesse technique de ce chantier caractérisée par la continuité des tuiles dans les différents pans de toiture notamment au niveau des tours. Monument Historique Le lauréat dans cette catégorie est l’entreprise Pateu Robert située à Besançon (25) associée à l’Architecte Gaël Robin de l’atelier Archipat à Lyon (69) pour la rénovation du Château de Ray-sur- Saône (70). La qualité, l’harmonie et l’homogénéité du panachage en deux formats de tuiles a véritablement conquis le jury. La maîtrise technique nécessaire à la bonne réalisation de ce projet est impressionnante : le scellage de l’arêtier, le faîtage en crête de coq ainsi la noue à tranchis. C’est la continuité entre le deux pans de toiture qui a particulièrement attiré l’œil du jury. Seule une étroite collaboration entre l’architecte des Monuments Historiques et le couvreur, combiné à un savoir-faire exceptionnel des équipes, pouvaient permettre une telle qualité de mise en œuvre pour ce projet d’exception. Projet réalisé en tuiles M.H 17×27 Ocre Lichen 34%, Noir de Vigne 6%, Tuiles M.H 17×28 Noir de vigne 18%, Vert de Lichen 40%, Tuiles émaillées 2%. International La réalisation d’une maison individuelle en Belgique par l’entreprise H.E.M.B.V, accompagnée par l’agence d’architecture Rove Arcitecten a été élue par le jury qui a souligné la mise en œuvre moderne de la toiture et de la façade avec un panachage de 5 tuiles différentes. Le couvreur a réalisé divers points singuliers tel que l’angle de façade en arêtiers tranché, les rives avec des tuiles en demie ainsi que la gouttière encaissée. Le jury a salué la qualité de pose des tuiles en toiture, en bardage, ainsi que l’habillage en sous-face de débord, une technique peu utilisé en France car non encadré par les DTU. Le tout pour une architecture très moderne. Projet en tuiles Pontigny 16×27 : Rouge naturel 20%, Rouge flammé 20%, Brun flammé 20%, Vieilli naturel 20%, Ocre rose 20% Coup de cœur de l’internaute En parallèle des Trophées Aléonard, depuis 2017, les internautes passionnés du Patrimoine sont invités à désigner leur projet préféré. Du 05 septembre au 10 octobre inclus, les photos des réalisations dans les catégories Premier chantier, Demeure Aléonard, Edifice & Patrimoine et International ont été soumises à leur vote. Cette année, le « Coup de cœur » Aléonard a récompensé l’entreprise Geneste-Naillier située à Clermont-Ferrand (63), pour la réalisation pour la réalisation de la toiture du Château de Montfort dans le Puy-de-Dôme. Avec plus de 11 500 votes, cette réalisation a conquis le cœur et l’œil des internautes amoureux du patrimoine. Projet en tuiles « Saint Vincent » 16×27 Rouge Ardent, représentant une surface de 500 m2 dont 250 m2 en tuiles gironnées.
Il y a 2 ans et 203 jours

POLYGOOD les panneaux décoratifs d’intérieur 100% plastique recyclé.

Stylos, couverts à usage unique, claviers et souris d’ordinateurs, réfrigérateurs ou téléviseurs…Tous ces objets de notre quotidien sont fabriqués avec un plastique commun : le polystyrène. Une fois devenus obsolètes, plutôt que de finir dans des incinérateurs, des décharges ou dans l’océan, ces produits peuvent être recyclés et transformés en un matériau de décoration design, écologique et durable : le POLYGOOD. MODULE CARRÉ, spécialiste des revêtements de sols modulaires en PVC recyclé, bouscule les codes de l’aménagement et de la décoration d’intérieur en lançant sur le marché POLYGOOD, première gamme de panneaux décoratifs de haute qualité conçus à partir de polystyrène 100% recyclé et 100% recyclable. POLYGOOD, un matériau innovant et éco-responsable POLYGOOD est le fruit de la rencontre entre MODULE CARRÉ et The Good Plastic Company, fabricant hollandais de panneaux en plastique recyclé. Ensemble, ils se sont donnés pour objectif de valoriser les déchets plastiques en les traitant comme une ressource précieuse, durable et transformable. Chaque panneau est conçu à partir d’un seul type de plastique : du polystyrène (PS). Le processus de fabrication permet de réutiliser jusqu’à 100% de déchets plastiques et 100% des chutes sont réintégrées dans la production.Aucun liant ou traitement de surface n’est ajouté, ce qui prolonge indéfiniment son utilisation et en fait un matériau modèle de l’économie circulaire. POLYGOOD, le design durable Idéal pour l’aménagement et la rénovation, les panneaux décoratifs POLYGOOD ouvrent de nouvelles perspectives en termes de créativité et de design. Véritable source d’inspiration, ils invitent les architectes d’intérieur, les designers, les agenceurs à concevoir des décors tendances et raffinés. Affichant un design hautement esthétique, la gamme POLYGOOD se distingue par une variété de motifs, de finitions (brillante, mate ou semi-mate) et de coloris qui se déclinent à l’infini. Chaque motif pouvant être personnalisé en jouant avec la densité et la couleur des paillettes de plastique broyées. La palette de couleurs varie en fonction des approvisionnements en matériaux recyclés conférant à votre décoration un rendu unique. Une collection sur mesure aux motifs étonnants La gamme POLYGOOD joue aussi avec les différents formats. Modulable, elle s’ajuste en dimension selon les besoins et les projets : 1000x1000mm, 1400x1400mm et 1400x2800mm, soit la plus grande taille de panneaux du marché ! Une gamme polyvalente pour des usages multiples Les panneaux POLYGOOD peuvent être utilisés comme revêtement mural, comme élémentdécoratif et comme matériau de surface. Façonnable à volonté, ce nouveau matériau décoratif se plie avec talent à toutes les envies et apporte aux concepteurs une nouvelle liberté d’expression pour concevoir des meubles et autres éléments d’intérieur/extérieur : tables, chaises, étagères, tables de bar, présentoirs, façades de bar, bureaux de réception, surfaces de cuisine, oeuvres d’art et bien d’autres choses encore. Les points forts de POLYGOOD • Qualité supérieureFabriqués à partir de plastiques durs à haute rigidité, les panneaux POLYGOOD sont durables, étanches et hygiéniques. • RésistantLe polystyrène peut être transformé de très nombreuses fois, il ne perd pas ses propriétés mécaniquesessentielles. Il est reconnu pour sa robustesse et sa résistance aux chocs. Il ne nécessite pas l’ajout d’un matériau de support (ex. ossature bois) et se suffit donc à lui-même. -Densité : 1,043 g/cm3 -Résistance à la traction (rupture) : 14,29 MPa• LégerDisponible en épaisseurs de 12 et 19 mm, les panneaux POLYGOOD sont d’une très grande maniabilité et garantissent une mise en oeuvre rapide et aisée.• Facile à travaillerLes panneaux POLYGOOD peuvent être découpés à la CNC, fraisés, polis, poncés, thermoformés,percés, évidés, collés etc. Une fois usinés et prêts à être poser, ils garantissent un désordre minimum lors de l’intervention en site occupé.• Disponibilité en volumes industrielsLes panneaux sont stockés à Orléans dans le Loiret afin de garantir une livraison rapide ou sur commande en 2 ou 3 semaines. Possibilité de fournir des projets nécessitant des centaines de mètres carrés de matériaux.
Il y a 2 ans et 204 jours

Une gamme solaire complète qui répond à toutes les demandes du marché.

Pour répondre aux besoins en production d’énergie, EDILIANS a développé des solutions selon votre consommation, l’architecture de votre projet et votre budget.  EASY ROOF ACCESS Une solution fiable : résistante aux UV, à la rouille, à la grêle, à la neige et au vent. Un produit accessible : un excellent rapport qualité/prix ainsi qu’un montage rapide !   LA TUILE SOLAIRE MAX Une durabilité optimale : imputrescible, anti-corrosion et résistante, c’est la tuile en intégration la + sûre du marché ! Un modèle universel : la tuile solaire max s’adapte à tous les modèles de tuiles de couverture.   LA TUILE EN TERRE CUITE SOLAIREUne solution discrète : la tuile en terre cuite solaire s’intègre parfaitement à votre toiture et ne dénigre pas l’architecture de votre édifice.  Une pose familière : sa forme et ses caractéristiques de mise en œuvre sont identiques à leurs équivalents traditionnels en terre cuite. Pour les professionnels, c’est un réel gain de temps et de rentabilité.  
Il y a 2 ans et 204 jours

Nouvelles couleurs de Corian® Solid Surface: vivre chaque jour l’extraordinaire

S’appuyant sur des performances esthétiques qui démarquent Corian® Solid Surface des autres matérialités, huit nouvelles couleurs permettent désormais de créer le sentiment d’appartenance au lieu et la qualité d’expérience spatiale à travers un style séduisant et résolument contemporain. Le dessin des espaces de vie s’adapte aux nouvelles ambitions des espaces résidentiels et commerciaux modernes, pour […] L’article Nouvelles couleurs de Corian® Solid Surface: vivre chaque jour l’extraordinaire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 205 jours

La construction modulaire a désormais sa certification dédiée : QB Modulaire

Conçue avec et pour les professionnels de la filière, répondant aux attentes des assureurs et des contrôleurs techniques, cette nouvelle certification accompagnera le développement de la construction modulaire, valorisant et structurant les bonnes pratiques, tout en fournissant aux prescripteurs et Maîtres d’ouvrages un repère de qualité, de performance et de fiabilité.La construction modulaire : un secteur en développementLa construction modulaire, reposant sur la conception et l’assemblage de bâtiments à partir de modules préfabriqués en usines, présente différents atouts, notamment en termes :D‘environnement : limitation des déchets et des nuisances, facilitation du réemploi... ;De productivité : accélération de l’installation et de la transformation ;De qualité : réduction des aléas de mise en œuvre ;De contribution à la réindustrialisation de territoires.Ces atouts font de la construction modulaire une technique pertinente face aux défis que doit relever le secteur du bâtiment : changement climatique, mutations technologiques, évolutions d’usages, etc.Pour accompagner son développement, valoriser les réalisations, encourager et structurer les bonnes pratiques, le CSTB a développé, en concertation avec la filière, une certification dédiée : QB Modulaire.QB Modulaire : mettre en lumière les forces et atouts de l’approche modulaire et accompagner le développement de la filièreQB Modulaire est la nouvelle application de QB – Qualité pour le Bâtiment, marque de certification unique du CSTB, au service de la construction.Sur la base d’une démarche volontaire, QB Modulaire s’adresse à tous les industriels de la construction modulaire : elle atteste et certifie leurs compétences, méthodologie et organisation, au regard d’un référentiel d’exigences qualité encadrées et contrôlées par le CSTB.Son périmètre couvre :Tous les types d’ouvrages dits « définitifs » ou de « longue durée » (bureaux, établissements scolaires, établissements de santé, logements, etc.), soumis à une assurance Dommage-Ouvrage, impliquant la présence d’un bureau de contrôle et respectant les exigences réglementaires ;Toutes les étapes de la chaine de vie de la construction :1. Conception2. Fabrication des modules3. Mise en œuvre sur chantier4. Reconditionnement / reconfigurationPlusieurs niveaux de performances sur chacune des 4 étapesDeux parcours de certification possibles :En certification complète, couvrant les 4 étapes de la chaine de vie de la construction modulaire ;Pour les industriels n’intervenant pas à l’échelle de l’ouvrage, un droit d’usage de la certification uniquement pour la partie fabrication des modules.Le niveau d’exigences et la surveillance, par le CSTB, de la maitrise des risques sur l’ensemble de ces quatre étapes permettront de recourir à de nouveaux modes constructifs en toute sécurité.Ainsi conçue, répondant aux attentes des assureurs et des bureaux de contrôle, la certification QB Modulaire constitue :Un vecteur de différenciation, de reconnaissance et ainsi, de développement économique pour les industriels ;Une solution d’évaluation du domaine d’emploi des modules et de leur durée maximale d’utilisation en lien avec leurs performances ;Un outil d’accompagnement du marché, structurant les pratiques et facilitant l’assurabilité des réalisations ;Un signe de qualité, de fiabilité et de performances pour guider et conforter les prescripteurs et Maîtres d’ouvrage dans leur choix, en confiance.
Il y a 2 ans et 205 jours

Les Trophées Placo récompensent deux bâtiments historiques

La 17e éditions des Trophées Placo vient de couronner sept lauréats pour des chantiers d’exception. Parmi eux, deux chantiers concernent des bâtiments historiques. Reconstruction technique de l’hôtel de ville de la Rochelle, bâtiment classé En juin 2013, le monument historique classé de l’Hôtel de Ville de La Rochelle était partiellement détruit par un incendie, alors qu’il venait d’être restauré. Si le mobilier avait pu être sauvé, les salles d’apparat et certains salons étaient endommagés. La rénovation spectaculaire de ce bâti, au long cours, au cœur du centre historique, répond à un double objectif. À la fois la restauration des parties classées, et la restructuration des espaces contigus afin d’offrir un bâtiment plus accessible et plus fonctionnel tout en préservant ses caractéristiques patrimoniales si singulières. Une reconstruction de l’édifice comme à son origine, intégrant des nouveautés telles que la création d’un puits central et d’une nouvelle Salle du Conseil Municipal au dernier étage. Le chantier a été piloté par l’Architecte en Chef des Monuments Historiques, Philippe Villeneuve, qui dirige la reconstruction de Notre-Dame de Paris. Durant deux ans, des études préalables ont permis de finaliser les plans d’exécution avec les bâtiments historiques et d’exécuter ensuite le chantier en 18 mois. Le bâtiment a été entièrement bâché et l’approvisionnement, complexe, s’est opéré par une trappe de visite coulissante au centre de l’édifice pour dispatcher les matériaux. Cet ouvrage présente la particularité de ne jamais avoir été hors d’eau avant sa finalisation, avec la couverture de la trappe par une verrière. Tout un panel de solutions techniques a été déployé : l’ensemble des plafonds sont sur ossature Stil Prim® Tech, tous les couloirs et les coursives du hall en Rigitone® Activ’Air® 8-15-20 Super, les cloisons de distribution monoparement en Placoplatre® BA 18S et les doublages en Placoplatre® BA 25, tous de grande hauteur (12 m). Hôtel de Ville, La Rochelle (17) Maître d’ouvrage : Ville de La Rochelle Entreprise du Club Placo® : Douzille (22 salariés) Architecte : Philippe Villeneuve Dates de début et fin de chantier : septembre 2018 – février 2020 Photo : Raphaël Demaret Restauration du retable de l’église Saint-Vincent de Cabrières-d’Avignon Construite vers 1787, Saint-Vincent de Cabrières-d’Avignon a subi des dégradations importantes ayant endommagé les ornements intérieurs, les moulures et les décors en gypserie. L’Atelier Zambelli, labellisé Entreprise du Patrimoine Vivant, a été missionnée pour restaurer à l’identique le retable datant du XVIème siècle. Ce dernier se compose de sculptures en plâtre, en partie teintées par le biais d’une technique traditionnelle de stuc-marbre, qui consiste à mélanger le plâtre aux pigments naturels pour reproduire l’aspect du marbre. Un savoir-faire unique, détenu par quelques entreprises d’excellence, qu’il est essentiel de préserver. Ce type de chantier requiert une préparation minutieuse selon son état de conservation. Le projet a ainsi nécessité un travail préalable d’analyse et de compréhension de l’ouvrage à restaurer. Un travail de recherche a été effectué dans un ouvrage italien spécialisé afin d’identifier les teintes des pigments du type de marbre. Un relevé des ouvrages à reconstituer a été réalisé, des gabarits créés pour le travail in-situ, le plâtre Molda® 3 Normal mélangé aux pigments naturels, et les ouvrages restant en place consolidés. Les travaux ont ensuite consisté à « curer » les parties abîmées, à reconstituer des moulures et des sculptures en plâtre, puis à reboucher et à façonner les parties en stuc-marbre à l’aide du mélange réalisé au préalable. L’intervention s’est opérée progressivement du haut (6 m) vers le bas pour sécuriser la réalisation. Une restauration de qualité réalisée selon une technique traditionnelle, gage de longévité de l’ouvrage, et un savoir-faire exemplaire de l’entreprise au service de la sauvegarde du patrimoine. Église Saint-Vincent, Cabrières-d’Avignon (84) Maître d’ouvrage : Commune Cabrières-d’Avignon Entreprise du Club Placo® : Atelier Zambelli Patrick (1-3 salariés) Dates de début et fin de chantier : avril – juin 2020 Le Club Entreprises Placo® rassemble une communauté unie d’entreprises passionnées qui s’engagent pour porter et valoriser le savoir-faire de la filière. C’est en 1989 qu’il lançait ses Trophées Placo® qui restent uniques dans l’univers du bâtiment par leur pérennité, la qualité des ouvrages présentés et l’excellence des entreprises participantes. Ce concours bisannuel met à l’honneur l’expertise des entreprises et la noblesse des métiers du plâtre. Cette année, sept prix ont été décernés : Prix Innovation & Développement Durable : Fondation Luma, Arles (13). Entreprise du Club Placo® : Ile-de-France Plâtrerie Prix Non Résidentiel et Prix Presse : Pouponnière, Fleury-sur-Orne (14). Entreprise du Club Placo® : Orquin Prix Patrimoine et Monuments Historiques : Hôtel de Ville, La Rochelle (17). Entreprise du Club Placo® : Douzille Prix Résidentiel : Villa Guyvonney, Royan (17). Entreprise du Club Placo® : Mandon Fils Prix du Jury : Église Saint-Vincent, Cabrières-d’Avignon (84). Entreprise du Club Placo® : Atelier Zambelli Patrick Prix du Public : Maison individuelle, création d’un escalier sur voûte sarrasine. Entreprise du Club Placo® : SARL Bonnin Dugué
Il y a 2 ans et 206 jours

SWAO, la menuiserie multi-matériaux, la liberté de tout choisir

Le positionnement marchéChoix, conseil, pose des menuiseries, SWAO se positionne comme un facilitateur pour le client qu’elle accompagne de bout en bout. Celui-ci est principalement orienté vers le professionnel : artisans, constructeurs de maisons individuelles. SWAO touche aussi bien les besoins des primo accédants que le segment haut de gamme. Ses portes et fenêtres standards ou sur mesure sont conçues pour s’intégrer en neuf comme en rénovation. Engagée, SWAO défend l’innovation et la qualité française de ses produits, comme le démontrent les labels Origine France Garantie et label fenêtre alu. Swao est également le mécène de l’association Toit à moi qui défend l’accès au logement pour les personnes les plus défavorisées. La marque contribue au fonctionnement de l’association en reversant 50 cts d’euros à cette dernière pour chaque menuiserie vendue ainsi que des participations à la rénovation des appartements...Les points fortsComme un « couteau suisse » de la menuiserie, SWAO couvre tous les besoins en menuiseries extérieures. Pour cela, la marque mise sur une offre de portes d’entrées en multiples matériaux : Acier, Aluminium, Mixte, PVC (intérieur bois/extérieur aluminium) et Bois.Pour une offre vraiment complète, SWAO propose aussi des portes de garage coordonnées. Côté fenêtres, 3 gammes PVC et les volants roulants associés (traditionnels, à lames orientables, solaire) et 2 aluminium (Optimoalu et Ouvrant discret) composent le catalogue.Parmi ses innovations, SWAO fait évoluer sa gamme aluminium Ouvrant discret en 2022 pour gagner en clair de vitrage, design et qualités thermiques (présenté sur le salon), une solution qui combine les avantages de l’ouvrant visible et l’ouvrant caché. Cette exclusivité optimise l’apport lumineux tout en offrant un produit esthétique. SWAO a également conçu un coulissant ALU doté d’une chicane au design exclusif et d’une poignée ergonomique.Facile à poser, elle est également totalement compatible avec I-Secure, le système de maison connectée développé par Swao.Les chiffres clésSWAO, des modèles qui font consensusAnthony DURAND, Design manager du groupe CETIH : « SWAO est une marque située dans une forme de neutralité. Elle est très orientée sur le service et la technologie. Ses modèles de portes ont une tonalité organique, les formes tout en rondeur. Les produits sont consensuels, faciles à comprendre et à identifier ».Les nouveautés 2022Pour accompagner la progression des besoins sur le marché des produits connectés et répondre aux questions de confort et de sécurité, SWAO propose I-SECURE. Ce capteur de position autonome et invisible est intégré dans l’ouvrant de la menuiserie et permet ainsi d’en connaître en permanence la position : verrouillé, en aération, ventilé. I-SECURE a été développé en partenariat avec FERCO, fabricant de ferrures et serrures et avec Delta Dore.Le capteur est aussi compatible avec la box TYDOM pour contrôler les accès et sécuriser le domicile à distance.À compter du 1er/01/2022 une nouvelle filière « Responsabilité Elargie du Producteur » (REP) sera créée pour les produits et matériaux de construction du Bâtiment. Elle vise à responsabiliser les émetteurs sur le marché de produits ou matériaux de construction sur la gestion des déchets en versant une éco contribution.Dès 2019, CETIH pour sa marque SWAO a signé la charte d'engagement volontaire pour le recyclage des menuiseries en fin de vie et s'engage dans la marque FERVAM (Filière Engagée pour le Recyclage et la Valorisation des menuiseries).Cette charte vise à promouvoir les bonnes pratiques nécessaires à la maitrise de la qualité de collecte et de traitement des déchets de menuiseries, et à informer sur les moyens existants pour une valorisation la plus vertueuse que possible.
Il y a 2 ans et 206 jours

Raukantex scratch.protect, la nouvelle bande de chant au design mat de Rehau

Conscient des changements constants dans la production de meubles, REHAU présente RAUKANTEX scratch.protect qui, avec un niveau de brillance de 3 à 12 points, garantit un aspect mat permanent sans effet de brillance. Un autre des nombreux avantages de cette nouvelle finition est qu'elle offre une résistance particulièrement élevée aux rayures et empêche les traces de doigts.La tendance à délaisser les surfaces brillantes au profit de designs nobles et extra mats s'observe dans toute l'industrie du meuble - dans les maisons, les bureaux, les salles de bains et les cuisines, ainsi que dans les magasins et l'hôtellerie.Les bords des meubles sont souvent exposés à une usure particulièrement importante : du plaquage de la bande de chant aux contraintes et tensions auxquelles ils sont soumis dans la vie quotidienne, le risque d’usure est toujours présent.RAUKANTEX scratch.protect se distingue par sa haute qualité tout au long du cycle de vie du produit, ainsi que par sa résistance extrêmement élevée aux rayures. En termes d'entretien, il s'agit d'une solution particulièrement facile à nettoyer et résiste également aux particules de saleté.Grâce à l’évolution technologique de cette gamme, RAUKANTEX scratch.protect impressionne par sa texture lisse et son aspect mat permanent, sans aucun effet visuel d’usure ou de vieillissement. Par ailleurs, l'effet anti-fingerprint offre une finition sans jamais marquer les traces de doigt et le système anti-reflet empêche la surface de briller.Il convient de noter que grâce au procédé de fabrication de RAUKANTEX scratch.protect, aucun film protecteur n’est nécessaire ce qui permet un processus de production simplifié et stable. Tous les chants en polypropylène (PP) et en ABS dans les gammes de couleurs unies, décoratives et designo sont disponibles avec la finition scratch.protect.Avec RAUKANTEX scratch.protect, REHAU établit un nouveau standard de qualité et offre un aspect noble et mat pour les surfaces et meubles avec un effet durable. Élégantes, esthétiques et fonctionnelles, telles sont les solutions proposées par REHAU pour les meubles et l'aménagement intérieur.
Il y a 2 ans et 207 jours

14 acteurs du bâtiment demandent à l’État d'agir pour lutter contre la surchauffe des bâtiments

La problématique de la surchauffe des bâtiments n’étant pas suffisamment prise en compte dans les politiques publiques, ces acteurs alertent les décideurs sur l’urgence de mettre en place des mesures rapidement, afin d’anticiper des étés à venir de plus en plus chaud, menaçant la santé des plus fragiles en période caniculaire.« Madame la Première ministre,La chaleur est tout aussi redoutable que le froid : l’été est devenu synonyme de souffrance thermique pour de nombreux Français. En effet, ils sont 69% à souffrir des températures trop élevées dans leur logement [1]. Une situation qui ne manquera pas de s’aggraver avec le réchauffement climatique et de s’étendre à des périodes autrefois plus clémentes. Rappelons qu’en 2022, la première canicule a eu lieu au printemps. Or, aucune mesure politique n’est prise aujourd’hui pour limiter durablement, efficacement et sans surconsommation excessive d’énergie la surchauffe des logements. Nous, acteurs de la construction, avons des solutions à apporter en adéquation avec les enjeux climatiques et sociétaux. À vous, acteurs politiques, de vous en saisir pour répondre aux attentes des Français en matière de pouvoir d’achat, d’écologie et de santé publique.Atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050 est un objectif ambitieux et nous ne pouvons que le saluer. D’aucuns diront cependant qu’il est inaccessible au regard des récentes trajectoires de réduction. Or, il s’agit d’une condition sine qua non pour espérer contenir le réchauffement climatique à +1,5°C, selon le Giec. Malheureusement, l’action climatique de la France est insuffisante. Les experts du Haut Conseil pour le Climat l’ont encore rappelé récemment : la dynamique tricolore reste insuffisante pour tenir les objectifs du Pacte Vert et impose un sursaut de l’action climatique [2].Ne négligez pas le potentiel de rénovation énergétique liée au réchauffement des bâtimentsLa France doit accélérer sa mutation écologique. Si la lutte contre le réchauffement climatique se joue sur tous les fronts, la décarbonisation du secteur du bâtiment constitue un levier essentiel. Responsable de 17% [3] des émissions de gaz à effet de serre en France, le bâtiment (résidentiel et tertiaire) est le plus gros consommateur d’énergie [4]. Rénover l’existant se positionne comme une piste indispensable, si tant est qu’elle soit envisagée dans sa globalité. Le sujet du chauffage a en effet tendance à éclipser les enjeux estivaux. Or, la hausse des températures et les vagues de chaleur, qui se font plus régulières et plus extrêmes, contribuent à l’accroissement de l’inconfort thermique et des inégalités sociales. Le confort d’été, expression communément utilisée dans la réglementation thermique, n’apparaît plus adapté à la situation ; il serait plus juste de parler de souffrance thermique, au vu de l’impact sanitaire que les canicules peuvent avoir sur les Français.Neuf Français sur dix estiment qu’il est capital de trouver des solutions pour réduire le réchauffement de leur habitation [1]. Pour faire baisser la température, les Français ferment les stores et volets (82%), aèrent les pièces la nuit (77%), ferment les fenêtres (62%), utilisent un ventilateur (41%) et/ou un climatiseur (21%). Et près d’un Français sur cinq qui n’en dispose pas déjà à l’intention d’investir dans un système de rafraichissement bien souvent sans avoir recours à un professionnel qui saura l’aiguiller vers des solutions appropriées et efficaces.Le recours à la climatisation doit être raisonné et adaptéEn France, la consommation associée au refroidissement des bâtiments s’élevait en 2020 à 4,9 TWh dans le secteur résidentiel et à 10,6 TWh pour le secteur tertiaire [5].Le recours à la climatisation dans les logements a augmenté de 78% entre 2016 et 2020. Cette technologie est aujourd’hui la source de près de 5% des émissions d’équivalent CO2 du secteur du bâtiment [5].Selon le Giec, la hausse de consommation d’énergie liée au refroidissement dans les bâtiments est estimée de 31 à 73% en Europe du Nord d’ici 2050 et de 165 à 323% d’ici 2100 par rapport à 1996-2005 [6].Un recours non raisonné à la climatisation contribue à alimenter un cercle vicieux : plus il fait chaud, plus la climatisation est utilisée, plus les émissions de gaz à effet de serre augmentent, plus il faut chaud, etc. Les systèmes les moins performants – par exemple les équipements mobiles – participent directement au réchauffement des villes. À titre d’exemple, si la chaleur émise par les climatiseurs double d’ici à 2030, la température pourrait augmenter de 2°C dans Paris [7].Il est urgent d’associer sobriété énergétique et confort des ménages…Dans un contexte de tension énergétique et de contraction du pouvoir d’achat, rappelons que l’énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu’on ne consomme pas. La sobriété énergétique impose que toutes les pistes soient prises en compte. Si le recours à des systèmes de rafraîchissement actif est un besoin légitime auquel il est important de répondre, celui-ci doit être fait en utilisant des technologies performantes, de manière raisonnée et en combinaison avec les mesures passives, non consommatrices d'énergie, qui permettent d’en limiter l’impact énergétique. La consommation liée au refroidissement en sera ainsi réduite au strict nécessaire. Il est également essentiel de faire appel à un professionnel pour le bon dimensionnement et la bonne installation de l’équipement de rafraichissement.La sobriété énergétique est un objectif accessible grâce aux mesures passivesTout comme une bonne isolation permet de limiter les consommations de chauffage, de nombreuses solutions existent pour réduire la surchauffe des bâtiments de manière durable. Peu ou pas consommateurs en énergie, ces équipements et solutions techniques permettent de réconcilier habitabilité des bâtiments en période de fortes chaleurs et sobriété énergétique lorsque des systèmes de rafraîchissement sont présents.Installer des protections solaires motorisées ou automatiséesLimiter la hausse de la température intérieure de 2°C à 5°C en été est possible simplement en s’équipant de stores ou volets. Quant au pilotage automatique des protections solaires, il est loin d’être un gadget de confort : il permet une gestion optimale de ces équipements en fonction des températures et du rayonnement solaire, y compris en l’absence d’occupants.L’utilisation de protections solaires pourrait réduire la consommation d'énergie liée au refroidissement des locaux jusqu'à 60% d'ici 2050. Elle permettrait d'éviter l'émission de 100 millions de tonnes de CO2 et d'économiser 285 milliards d'euros en Europe [8].Un exemple concret avec la ville de Poissy : elle va équiper 15 établissements scolaires de protections solaires. Sur les 6 groupements scolaires déjà rénovés, les résultats sont très encourageants : en période caniculaire, la température intérieure enregistrée est inférieure de 10°C par rapport à l’extérieur et de 5°C par rapport à la même salle de classe non équipée de stores. Une installation qui permettra d’économiser environ 300.000 kWh/an, soit l’équivalent d’une facture d’électricité annuelle de 50.000 €.Améliorer l’inertie thermique des bâtimentsL'inertie thermique correspond à la capacité des matériaux des murs, toitures et isolants à absorber la chaleur ou le froid, puis à restituer le flux thermique en phase de déphasage. Plus un bâtiment a une inertie élevée, plus il sera confortable en période caniculaire. La température intérieure dans le bâtiment peut ainsi être réduite jusqu’à 3°C [9].Par ailleurs, une isolation adaptée de l’enveloppe extérieure du bâtiment contribue également, non seulement à l’efficacité en hiver, mais également à une protection en été.Automatiser l’ouverture des fenêtresComme les volets et les stores, l’ouverture des ouvrants peut être automatisée afin de rafraîchir son habitation au moment où les températures extérieures sont les plus fraîches, en soirée ou la nuit. Le potentiel de rafraichissement activable par le pilotage intelligent de l’ouverture des fenêtres en période estivale a ainsi été mesuré entre 4°C et 5°C [10], [11].D’une manière générale, une attention toute particulière doit être portée à la ventilation du bâtiment afin d’assurer la qualité de l’air intérieur.Végétaliser les bâtimentsLa végétalisation du bâti, toitures et façades végétalisées, participe doublement à l'adaptation contre le réchauffement climatique. Elle permet d’une part d'apporter de la fraîcheur à l'échelle du quartier grâce à l'évapotranspiration des végétaux qui permet de diminuer jusqu'à 3 °C la température ambiante. Ainsi, sur un toit-terrasse non végétalisé, la température de surface, sous l’effet du rayonnement solaire, peut atteindre 60°C ou 70 °C. Elle sera de 35°C voire de 32 °C s'il est végétalisé. Pour les façades, le phénomène est équivalent, avec des réductions de température mesurées de 3 à 10°C. La nuit, la végétalisation du bâti limite les effets d’ilots de chaleur [12].D’autre part, la végétalisation des toitures et façades permet davantage de confort thermique au sein même du bâtiment, notamment pour les locaux intérieurs sous-jacents.Mettre en œuvre de revêtements d’étanchéité réfléchissants sur les toitures terrassesLes revêtements d’étanchéité de couleur claire disposent d’un fort pouvoir de réflectivité et d’émissivité. Ils permettent de réfléchir le rayonnement solaire incident sans augmenter significativement la température de surface. Celle-ci dépassant rarement les 40 °C, ces revêtements contribuent à lutter contre les îlots de chaleur urbains et peuvent améliorer le confort thermique dans les lieux de vie sous la toiture [13].Valorisez (enfin) les solutions passives peu consommatrices d’énergie dans les politiques d’incitation à la rénovationPourquoi ces solutions sont-elles les grandes absentes des politiques publiques françaises de rénovation énergétique ? Pourquoi ne pas étendre les dispositifs de soutien actuellement limités à l’audit et à la réduction de consommation de chauffage ?Pour atteindre la neutralité carbone d’ici 30 ans, la France n’a pas le luxe de se priver de leviers efficaces qui sont à sa portée. D’autres pays, comme l’Italie et l’Allemagne, l’ont compris et intègre déjà des dispositifs de soutien pour l’installation de volets et stores par exemple. Des mesures fortes doivent être prises au plus vite pour adapter notre pays aux enjeux climatiques.Or, une fenêtre de tir idéale se présente devant nous pour que nous nous donnions les moyens de nos ambitions avec l’adoption avant le 1er semestre 2023 de la 1re loi de programmation quinquennale sur l'énergie et le climat (LPEC), puis avec, l’année suivante, la 3e Programmation pluriannuelle de l’énergie, de la 3e Stratégie nationale bas-carbone et du 3e plan national d’adaptation au changement climatique. Les deux ans à venir vont être décisifs : vous allez dessiner les contours précis de la Stratégie française sur l'énergie et le climat (SFEC) et engager notre pays et les générations futures pour les prochaines décennies.Ces législations doivent être le vecteur d’espoirs et de solutions pour les Français qui souffrent de la surchauffe de leur logement. Nous vous demandons donc d’intégrer au plus vite les moyens passifs d’amélioration de la performance thermique d’été dans les dispositifs d’aides à la rénovation.L’occasion est historique d’être à la hauteur du plus grand défi de l'histoire de l'Humanité. Ne la ratons pas ! » Signataires :Yannick Michon, Président du Groupement ActibaieMohamed Abdelmoumene, Président du comité technique AICVF (Association des Ingénieurs et Techniciens en Climatique, Ventilation et Froid)Jean-Pascal Roche, Président d’ICO (Ingénierie du Confort Objectif 2050)Jean-Luc Buchou, Délégué Général du Cercle Promodul INEF4Damien Racle, Président de CINOV (Fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du conseil, de l'ingénierie et du numérique),Pascal Bresso, Président de la Fédération Française de la Construction PassiveAnne-Sophie Perrissin-Fabert, Déléguée Générale de IGNESPascal Coppens, Président du SFJF (Syndicat Français de Joints et Façades)Bruno Léger, Président du SNFAChristophe Bieber, Elu de l’UMB-FFB (Union des Métiers du Bois)Pascal Housset, Président de l’UMGCCP (Union des Métiers du Génie Climatique, de la Couverture et de la Plomberie)Yannick Hervé, Président de l’UMPI-FFB (Union des Métiers du Plâtre et de l’Isolation)Yannik Beix , Président d’ADVIVET (Association des Toitures et Façades Végétales)Gérald FAURE, Président de la CSFE (Chambre Syndicale Française de l’Etanchéité) [1] Source : étude Ifop pour le Groupement Actibaie – juillet 2022[2] Source : Haut Conseil pour le Climat. Communiqué de presse – Rapport Annuel 2022 diffusé le 29 juin 2022 [3] Source : Citepa [4] Source : SDES, Bilan énergétique de la France [5] Source : Etude Ademe « La climatisation de confort dans les bâtiments résidentiels et tertiaires » - juin 2021 [6] Source : Rapport GIEC - 2022 [7] Source : Centre national de recherches météorologiques [8] Source : étude menée par Guidehouse pour le syndicat européen ES-SO - 2022 [9] Source : Cercle Promodul / INEF4 [10] Source : étude Armines ParisTech, janvier 2013 [11] Source : Rapport Technique DTS/RT/2016/ COMEPOS VELUX [12] Source : "Aménager avec la nature en ville" - Ademe - 2018, "Etude VEgDUD - Rôle du végétal dans le développement urbain durable - Impacts du végétal en ville" - Plante&Cité - 2014, Bouchie - "Rapport d'étude du CSTB pour la RT 2012" – 2011[13] Source : CWA 17890 « Guide to the implementation of cool surfaces for buildings’ envelope to mitigate the Urban Heat Island effects »
Il y a 2 ans et 207 jours

12 acteurs du bâtiment demandent à l’État d'agir pour lutter contre la surchauffe des bâtiments

La problématique de la surchauffe des bâtiments n’étant pas suffisamment prise en compte dans les politiques publiques, ces acteurs alertent les décideurs sur l’urgence de mettre en place des mesures rapidement, afin d’anticiper des étés à venir de plus en plus chaud, menaçant la santé des plus fragiles en période caniculaire.« Madame la Première ministre,La chaleur est tout aussi redoutable que le froid : l’été est devenu synonyme de souffrance thermique pour de nombreux Français. En effet, ils sont 69% à souffrir des températures trop élevées dans leur logement [1]. Une situation qui ne manquera pas de s’aggraver avec le réchauffement climatique et de s’étendre à des périodes autrefois plus clémentes. Rappelons qu’en 2022, la première canicule a eu lieu au printemps. Or, aucune mesure politique n’est prise aujourd’hui pour limiter durablement, efficacement et sans surconsommation excessive d’énergie la surchauffe des logements. Nous, acteurs de la construction, avons des solutions à apporter en adéquation avec les enjeux climatiques et sociétaux. À vous, acteurs politiques, de vous en saisir pour répondre aux attentes des Français en matière de pouvoir d’achat, d’écologie et de santé publique.Atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050 est un objectif ambitieux et nous ne pouvons que le saluer. D’aucuns diront cependant qu’il est inaccessible au regard des récentes trajectoires de réduction. Or, il s’agit d’une condition sine qua non pour espérer contenir le réchauffement climatique à +1,5°C, selon le Giec. Malheureusement, l’action climatique de la France est insuffisante. Les experts du Haut Conseil pour le Climat l’ont encore rappelé récemment : la dynamique tricolore reste insuffisante pour tenir les objectifs du Pacte Vert et impose un sursaut de l’action climatique [2].Ne négligez pas le potentiel de rénovation énergétique liée au réchauffement des bâtimentsLa France doit accélérer sa mutation écologique. Si la lutte contre le réchauffement climatique se joue sur tous les fronts, la décarbonisation du secteur du bâtiment constitue un levier essentiel. Responsable de 17% [3] des émissions de gaz à effet de serre en France, le bâtiment (résidentiel et tertiaire) est le plus gros consommateur d’énergie [4]. Rénover l’existant se positionne comme une piste indispensable, si tant est qu’elle soit envisagée dans sa globalité. Le sujet du chauffage a en effet tendance à éclipser les enjeux estivaux. Or, la hausse des températures et les vagues de chaleur, qui se font plus régulières et plus extrêmes, contribuent à l’accroissement de l’inconfort thermique et des inégalités sociales. Le confort d’été, expression communément utilisée dans la réglementation thermique, n’apparaît plus adapté à la situation ; il serait plus juste de parler de souffrance thermique, au vu de l’impact sanitaire que les canicules peuvent avoir sur les Français.Neuf Français sur dix estiment qu’il est capital de trouver des solutions pour réduire le réchauffement de leur habitation [1]. Pour faire baisser la température, les Français ferment les stores et volets (82%), aèrent les pièces la nuit (77%), ferment les fenêtres (62%), utilisent un ventilateur (41%) et/ou un climatiseur (21%). Et près d’un Français sur cinq qui n’en dispose pas déjà à l’intention d’investir dans un système de rafraichissement bien souvent sans avoir recours à un professionnel qui saura l’aiguiller vers des solutions appropriées et efficaces.Le recours à la climatisation doit être raisonné et adaptéEn France, la consommation associée au refroidissement des bâtiments s’élevait en 2020 à 4,9 TWh dans le secteur résidentiel et à 10,6 TWh pour le secteur tertiaire [5].Le recours à la climatisation dans les logements a augmenté de 78% entre 2016 et 2020. Cette technologie est aujourd’hui la source de près de 5% des émissions d’équivalent CO2 du secteur du bâtiment [5].Selon le Giec, la hausse de consommation d’énergie liée au refroidissement dans les bâtiments est estimée de 31 à 73% en Europe du Nord d’ici 2050 et de 165 à 323% d’ici 2100 par rapport à 1996-2005 [6].Un recours non raisonné à la climatisation contribue à alimenter un cercle vicieux : plus il fait chaud, plus la climatisation est utilisée, plus les émissions de gaz à effet de serre augmentent, plus il faut chaud, etc. Les systèmes les moins performants – par exemple les équipements mobiles – participent directement au réchauffement des villes. À titre d’exemple, si la chaleur émise par les climatiseurs double d’ici à 2030, la température pourrait augmenter de 2°C dans Paris [7].Il est urgent d’associer sobriété énergétique et confort des ménages…Dans un contexte de tension énergétique et de contraction du pouvoir d’achat, rappelons que l’énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu’on ne consomme pas. La sobriété énergétique impose que toutes les pistes soient prises en compte. Si le recours à des systèmes de rafraîchissement actif est un besoin légitime auquel il est important de répondre, celui-ci doit être fait en utilisant des technologies performantes, de manière raisonnée et en combinaison avec les mesures passives, non consommatrices d'énergie, qui permettent d’en limiter l’impact énergétique. La consommation liée au refroidissement en sera ainsi réduite au strict nécessaire. Il est également essentiel de faire appel à un professionnel pour le bon dimensionnement et la bonne installation de l’équipement de rafraichissement.La sobriété énergétique est un objectif accessible grâce aux mesures passivesTout comme une bonne isolation permet de limiter les consommations de chauffage, de nombreuses solutions existent pour réduire la surchauffe des bâtiments de manière durable. Peu ou pas consommateurs en énergie, ces équipements et solutions techniques permettent de réconcilier habitabilité des bâtiments en période de fortes chaleurs et sobriété énergétique lorsque des systèmes de rafraîchissement sont présents.Installer des protections solaires motorisées ou automatiséesLimiter la hausse de la température intérieure de 2°C à 5°C en été est possible simplement en s’équipant de stores ou volets. Quant au pilotage automatique des protections solaires, il est loin d’être un gadget de confort : il permet une gestion optimale de ces équipements en fonction des températures et du rayonnement solaire, y compris en l’absence d’occupants.L’utilisation de protections solaires pourrait réduire la consommation d'énergie liée au refroidissement des locaux jusqu'à 60% d'ici 2050. Elle permettrait d'éviter l'émission de 100 millions de tonnes de CO2 et d'économiser 285 milliards d'euros en Europe [8].Un exemple concret avec la ville de Poissy : elle va équiper 15 établissements scolaires de protections solaires. Sur les 6 groupements scolaires déjà rénovés, les résultats sont très encourageants : en période caniculaire, la température intérieure enregistrée est inférieure de 10°C par rapport à l’extérieur et de 5°C par rapport à la même salle de classe non équipée de stores. Une installation qui permettra d’économiser environ 300.000 kWh/an, soit l’équivalent d’une facture d’électricité annuelle de 50.000 €.Améliorer l’inertie thermique des bâtimentsL'inertie thermique correspond à la capacité des matériaux des murs, toitures et isolants à absorber la chaleur ou le froid, puis à restituer le flux thermique en phase de déphasage. Plus un bâtiment a une inertie élevée, plus il sera confortable en période caniculaire. La température intérieure dans le bâtiment peut ainsi être réduite jusqu’à 3°C [9].Par ailleurs, une isolation adaptée de l’enveloppe extérieure du bâtiment contribue également, non seulement à l’efficacité en hiver, mais également à une protection en été.Automatiser l’ouverture des fenêtresComme les volets et les stores, l’ouverture des ouvrants peut être automatisée afin de rafraîchir son habitation au moment où les températures extérieures sont les plus fraîches, en soirée ou la nuit. Le potentiel de rafraichissement activable par le pilotage intelligent de l’ouverture des fenêtres en période estivale a ainsi été mesuré entre 4°C et 5°C [10], [11].D’une manière générale, une attention toute particulière doit être portée à la ventilation du bâtiment afin d’assurer la qualité de l’air intérieur.Végétaliser les bâtimentsLa végétalisation du bâti, toitures et façades végétalisées, participe doublement à l'adaptation contre le réchauffement climatique. Elle permet d’une part d'apporter de la fraîcheur à l'échelle du quartier grâce à l'évapotranspiration des végétaux qui permet de diminuer jusqu'à 3 °C la température ambiante. Ainsi, sur un toit-terrasse non végétalisé, la température de surface, sous l’effet du rayonnement solaire, peut atteindre 60°C ou 70 °C. Elle sera de 35°C voire de 32 °C s'il est végétalisé. Pour les façades, le phénomène est équivalent, avec des réductions de température mesurées de 3 à 10°C. La nuit, la végétalisation du bâti limite les effets d’ilots de chaleur [12].D’autre part, la végétalisation des toitures et façades permet davantage de confort thermique au sein même du bâtiment, notamment pour les locaux intérieurs sous-jacents.Mettre en œuvre de revêtements d’étanchéité réfléchissants sur les toitures terrassesLes revêtements d’étanchéité de couleur claire disposent d’un fort pouvoir de réflectivité et d’émissivité. Ils permettent de réfléchir le rayonnement solaire incident sans augmenter significativement la température de surface. Celle-ci dépassant rarement les 40 °C, ces revêtements contribuent à lutter contre les îlots de chaleur urbains et peuvent améliorer le confort thermique dans les lieux de vie sous la toiture [13].Valorisez (enfin) les solutions passives peu consommatrices d’énergie dans les politiques d’incitation à la rénovationPourquoi ces solutions sont-elles les grandes absentes des politiques publiques françaises de rénovation énergétique ? Pourquoi ne pas étendre les dispositifs de soutien actuellement limités à l’audit et à la réduction de consommation de chauffage ?Pour atteindre la neutralité carbone d’ici 30 ans, la France n’a pas le luxe de se priver de leviers efficaces qui sont à sa portée. D’autres pays, comme l’Italie et l’Allemagne, l’ont compris et intègre déjà des dispositifs de soutien pour l’installation de volets et stores par exemple. Des mesures fortes doivent être prises au plus vite pour adapter notre pays aux enjeux climatiques.Or, une fenêtre de tir idéale se présente devant nous pour que nous nous donnions les moyens de nos ambitions avec l’adoption avant le 1er semestre 2023 de la 1re loi de programmation quinquennale sur l'énergie et le climat (LPEC), puis avec, l’année suivante, la 3e Programmation pluriannuelle de l’énergie, de la 3e Stratégie nationale bas-carbone et du 3e plan national d’adaptation au changement climatique. Les deux ans à venir vont être décisifs : vous allez dessiner les contours précis de la Stratégie française sur l'énergie et le climat (SFEC) et engager notre pays et les générations futures pour les prochaines décennies.Ces législations doivent être le vecteur d’espoirs et de solutions pour les Français qui souffrent de la surchauffe de leur logement. Nous vous demandons donc d’intégrer au plus vite les moyens passifs d’amélioration de la performance thermique d’été dans les dispositifs d’aides à la rénovation.L’occasion est historique d’être à la hauteur du plus grand défi de l'histoire de l'Humanité. Ne la ratons pas ! » Signataires :Yannick Michon, Président du Groupement ActibaieMohamed Abdelmoumene, Président du comité technique AICVF (Association des Ingénieurs et Techniciens en Climatique, Ventilation et Froid)Jean-Pascal Roche, Président d’ICO (Ingénierie du Confort Objectif 2050)Jean-Luc Buchou, Délégué Général du Cercle Promodul INEF4Damien Racle, Président de CINOV (Fédération des syndicats des métiers de la prestation intellectuelle du conseil, de l'ingénierie et du numérique),Pascal Bresso, Président de la Fédération Française de la Construction PassiveAnne-Sophie Perrissin-Fabert, Déléguée Générale de IGNESPascal Coppens, Président du SFJF (Syndicat Français de Joints et Façades)Bruno Léger, Président du SNFAChristophe Bieber, Elu de l’UMB-FFB (Union des Métiers du Bois)Pascal Housset, Président de l’UMGCCP (Union des Métiers du Génie Climatique, de la Couverture et de la Plomberie)Yannick Hervé, Président de l’UMPI-FFB (Union des Métiers du Plâtre et de l’Isolation). [1] Source : étude Ifop pour le Groupement Actibaie – juillet 2022[2] Source : Haut Conseil pour le Climat. Communiqué de presse – Rapport Annuel 2022 diffusé le 29 juin 2022 [3] Source : Citepa [4] Source : SDES, Bilan énergétique de la France [5] Source : Etude Ademe « La climatisation de confort dans les bâtiments résidentiels et tertiaires » - juin 2021 [6] Source : Rapport GIEC - 2022 [7] Source : Centre national de recherches météorologiques [8] Source : étude menée par Guidehouse pour le syndicat européen ES-SO - 2022 [9] Source : Cercle Promodul / INEF4 [10] Source : étude Armines ParisTech, janvier 2013 [11] Source : Rapport Technique DTS/RT/2016/ COMEPOS VELUX [12] Source : "Aménager avec la nature en ville" - Ademe - 2018, "Etude VEgDUD - Rôle du végétal dans le développement urbain durable - Impacts du végétal en ville" - Plante&Cité - 2014, Bouchie - "Rapport d'étude du CSTB pour la RT 2012" – 2011[13] Source : CWA 17890 « Guide to the implementation of cool surfaces for buildings’ envelope to mitigate the Urban Heat Island effects »
Il y a 2 ans et 207 jours

Le bloc-baie One de Soprofen certifié NF CSTB pour une garantie supplémentaire de qualité

Fabriqué en PVC recyclé à hauteur de 60%, ce coffre intégré à la pointe de la technologie a passé avec succès les évaluations et contrôles réalisés par le CSTB selon le référentiel de certification NF Fermetures (NF 202). Il répond ainsi au haut niveau d’exigence attendu par la marque NF en termes de performances sur la base de 7 critères (résistance au vent, perméabilité à l’air, isolation thermique, étanchéité à l’eau, affaiblissement acoustique,...).En parallèle, fidèle à sa démarche d’amélioration continue, SOPROFEN a mobilisé ses équipes pour encore optimiser les qualités certifiées de son bloc-baie qui offre désormais une isolation phonique de 50 dB en standard. A titre d’exemple, un coffre de 200 mm, en configuration derrière linteau équipé d’une grille de ventilation hygroréglable 45m3/h, garantit une isolation acoustique de 46 à 55 dB.De plus, l’excellente inertie du Chrono One, obtenue grâce à différentes solutions de renforts, se voit encore améliorée par l’ajout d’une nouvelle bride externe de reprise au linteau. Celle-ci confère une rigidité supplémentaire à la traverse haute. Enfin, afin d’assurer une compatibilité optimale avec tous les dormants du marché, SOPROFEN a également enrichit la gamme d’adaptateurs en aluminium.Avec cette nouvelle certification, SOPROFEN ouvre la possibilité aux fabricants de fenêtres de faire certifier NF leurs propres menuiseries équipées d’un Chrono One encore plus performant.
Il y a 2 ans et 207 jours

Les avantages des volets motorisés

Les volets sont un choix courant pour les propriétaires qui souhaitent couvrir leurs fenêtres pour obstruer la lumière ou protéger leur intimité. Leur design, leur modernité et leur élégance combinés à l’aspect durable et à la facilité d’entretien les rendent idéaux pour les habitats d’aujourd’hui. Les volets motorisés pour une meilleure isolation Les volets motorisés améliorent l’isolation thermique et l’isolation phonique de votre habitat. En effet, leurs matériaux permettent une baisse de la déperdition de chaleur quand les volets sont fermés. De plus, si vous vivez proche d’une route, les volets motorisés isoleront votre logement des bruits extérieurs. En plus de garder la chaleur, les volets motorisés peuvent s’ouvrir complètement et laisser entrer autant de lumière naturelle que possible. Ainsi, vous pouvez éteindre les chauffages et les luminaires et réaliser des économies d’énergie et budgétaires. Si vous souhaitez les ouvrir pour laisser passer le soleil sans que votre logement ne soit à la vue de tous toute la journée, vous pouvez programmer vos volets pour qu’ils s’ouvrent et se ferment à des moments précis de la journée. Les volets motorisés vous permettront de garder la chaleur dans votre salle de bain ainsi que de profiter de cet espace intime à toute heure de la journée grâce à la fermeture partielle ou totale des volets. Les volets motorisés pour un meilleur sommeil Si vous n’arrivez pas à vous endormir à cause d’une pièce qui n’est pas assez sombre ou alors que vous n’en pouvez plus de votre réveil à la sonnerie agressive, les volets motorisés sont votre solution. Vous pouvez choisir des volets motorisés avec une opacité maximale pour bloquer la lumière, votre chambre sera donc aussi sombre que possible, ce qui améliorera la qualité du sommeil. De plus, en programmant vos volets pour qu’ils s’ouvrent progressivement le matin, vous vous réveillerez lentement et naturellement plutôt que brusquement. Les volets motorisés pour éviter les vols Les paramètres d’automatisation ajoutent de la sécurité lorsque vous n’êtes pas chez vous. En effet, lorsque vous pensez à la sécurité domestique liée aux volets, vous pouvez penser qu’il s’agit de fermer les volets pour empêcher les passants de regarder à l’intérieur. Bien que cela puisse être vrai, les volets motorisés offrent une approche bien plus bénéfique que de simplement garder vos rideaux fermés. Comme les volets motorisés peuvent fonctionner automatiquement tout au long de la journée, ils donnent l’impression qu’il y a quelqu’un chez vous. Ainsi, même si vous êtes à des milliers de kilomètres, les voleurs seront moins tentés. Les volets motorisés pour une meilleure sécurité La conception sans fil offre une sécurité maximale pour les enfants et les animaux domestiques. En effet, les autres couvre-fenêtres plus traditionnels sont dotés d’un système à cordon et constituent un danger pour les jeunes enfants et les animaux domestiques. Les cordons présentent un risque de suffocation lorsque les enfants s’y emmêlent. Contrairement aux autres couvre-fenêtres, les volets motorisés sont dotés d’un système sans fil. Cela fait d’eux l’une des options les plus sûres pour les parents et les propriétaires d’animaux. Les volets motorisés pour protéger votre intérieur L’exposition directe au soleil peut entraîner une décoloration et des dommages irréversibles sur les meubles de votre maison. Les volets motorisés aident les propriétaires à protéger leurs objets de valeur en permettant une programmation automatisée pour contrôler la quantité de lumière qui entre dans la pièce et à quel moment. Un tel réglage vous permet de protéger vos meubles et décorations sans avoir à vous rappeler de les fermer vous-même. Les volets motorisés pour augmenter la valeur de votre logement Si les volets motorisés vont vous permettre de vous sentir bien chez vous, ils peuvent également ajouter de la valeur en cas de vente. Les acheteurs potentiels peuvent facilement faire la différence entre des volets motorisés installés par des professionnels et des couvre-fenêtres achetés en magasin. Lorsqu’ils vont visiter le logement, les acheteurs qui voient des volets motorisés parfaitement installés et stylisés seront plus attirés et donc plus susceptibles d’acheter.
Il y a 2 ans et 207 jours

L’ANRU lance la démarche « Quartiers résilients »

Lors de son dernier conseil d’administration, l’ANRU a détaillé la démarche « Quartiers résilients » annoncée, le 12 septembre 2022, par le ministre délégué à la Ville et au Logement, Olivier Klein. En finançant l’amélioration de la performance énergétique des bâtiments ou des dispositifs d’innovation grâce à des fonds du SGPI, l’ANRU a fait du développement durable un objectif intrinsèque du NPNRU. Cela permet de baisser la consommation énergétique des logements (divisée par 2 pour des logements rénovés et par 4 pour des logements neufs). Ces actions ont permis à 80% des habitants de logements rénovés dans le cadre du NPNRU de sortir de la précarité énergétique ; le taux passe à 100% des ménages en ce qui concerne les constructions neuves. C’est dans ce contexte que la démarche « Quartiers résilients » est née, avec l’ambition de s’assurer que les 14 milliards du NPNRU soient résilients. Pour cela, l’ANRU propose d’intervenir spécifiquement sur deux volets. Tout d’abord, un dispositif transversal pour l’ensemble des quartiers du NPNRU pour permettre la montée en qualité des projets mis en œuvre dans tous les quartiers du NPNRU. Le dispositif prévoit notamment un catalogue de ressources mobilisables, des webinaires thématiques dédiés, une journée nationale annuelle. L’objectif de résilience sera par ailleurs inscrit dans toutes les lettres d’objectifs des Préfets de département pour l’année 2023. Ensuite, un accompagnement renforcé pour 50 quartiers : les quartiers sélectionnés devront être en phase opérationnelle et présenter des fragilités territoriales significatives au regard des enjeux climatiques et énergétiques notamment. Un comité de sélection sera chargé d’examiner les projets afin d’établir la liste des 50 territoires qui seront accompagnés de manière renforcer. Ces derniers pourront bénéficier de missions d’appui territorialisées, mais également de financements d’investissements complémentaires par l’ANRU, ses partenaires (Action logement, USH, la Caisse des dépôts) ou d’autres agences et services de l’Etat, engagées pour la résilience des quartiers (ADEME, ANAH, ANCT). L’ANRU a pour sa part réservé une enveloppe de 100 millions d’euros pour accompagner ces projets. Cet accompagnement permettra de renforcer la résilience des quartiers en renouvellement urbain en travaillant par exemple sur le traitement des îlots de chaleur urbain, la gestion du cycle de l’eau, la dépendance aux énergies fossiles des immeubles de logement social, la promotion de l’économie circulaire, etc… Cet article L’ANRU lance la démarche « Quartiers résilients » est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 2 ans et 208 jours

Partenariat entre le CCCA-BTP et la fédération Scop BTP

De gauche à droite : Charles-Henri Montaut, président de la fédération Scop BTP, et Christophe Possémé, président du CCCA-BTP, lors de la signature de la convention sur le salon Batimat, début octobre dernier. [©CCCA-BTP Vincent Bourdon] Le CCCA-BTP et la fédération Scop BTP, premier réseau de PME indépendantes et participatives du bâtiment et des travaux publics, s’unissent pour une politique innovante de formation professionnelle. Un rapprochement réalisé au profit des entreprises du BTP constituées sous forme de coopérative et des jeunes générations. Scop BTP s’appuiera sur les différentes expertises et champs d’intervention du CCCA-BTP. Afin de maintenir, de développer et de promouvoir une politique ambitieuse de formation professionnelle. Cinq champs d’action ont été mis en place : a) – La réalisation des études prospectives sur les enjeux de l’apprentissage et l’évolution des attentes des jeunes générations Le CCCA-BTP réalisera des études prospectives, pour mieux analyser les enjeux de l’apprentissage, les évolutions des usages et des compétences. En particulier, sur l’impact des transitions écologique et numérique, ainsi que sur les aspirations des jeunes générations. b)- L’information et la sensibilisation des entreprises coopératives du BTP aux attentes des jeunes générations et aux nouvelles modalités d’accompagnement Le CCCA-BTP accompagnera le réseau de la fédération Scop BTP pour informer les entreprises coopératives et les sensibiliser aux attentes des jeunes générations. c)- La promotion des métiers et des formations du BTP Des actions conjointes seront organisées pour aider les jeunes qui souhaitent s’orienter vers l’entrepreneuriat coopératif. d)- L’aide des entreprises coopératives du BTP pour le recrutement et la formation des apprentis Dans un contexte de recrutement tendu, la fédération Scop BTP s’appuiera sur l’expertise du CCCA-BTP pour aider les entreprises à attirer et à former de nouveaux apprentis dans les meilleures conditions. e)- L’accompagnement de la fédération SCOP BTP dans la production et le déploiement de certifications professionnelles. Ainsi que dans la création de parcours de formation En sa qualité d’opérateur de certification pour les Commissions paritaires nationales emploi (CPNE) conjointes du bâtiment et des travaux publics, le CCCA-BTP déploiera des certifications professionnelles. Il accompagnera aussi les organismes de formation aux métiers du BTP dans la mise en œuvre des formations et des certifications nécessaires. Ceci, pour répondre aux attentes des entreprises coopératives.
Il y a 2 ans et 208 jours

Étude lumière naturelle et Bluevoûte Therm : un cas d’école

Il en a été de même pour la protection contre l’éblouissement et l’exposition à la lumière directe du soleil, autres critères de recommandations complémentaires et normatifs de ce texte. Inaugurés à l’été 2022, les bâtiments Tellier Brise-Soleil, représentent aujourd’hui un très beau showroom et un site idéal de suivi qualité des produits du Groupe Adexsi dont fait partie Bluetek.Des lanterneaux filants Bluevoûte Therm pour une lumière naturelle efficace et maîtriséeCe ne sont pas moins de 16 lanterneaux Bluevoûte Therm qui ont été posés en toiture. Voici leurs nombres et dimensions :9 unités Bluevoûte Therm corde 3 m X 5 m de longueur,5 unités Bluevoûte Therm corde 3 X 8 m de longueur,2 unités Bluevoûte Therm corde 3 X 25 m de longueur.Ces voûtes à amélioration thermique sont équipées d’un PCA d’une épaisseur de 16 mm intégrant la technologie Pearl Inside. Cette technologie permet l’apport d’une lumière naturelle maîtrisée qui diminue l’effet de serre, complétée d’une performance thermique et acoustique. Ce remplissage apporte aussi une jolie touche design par son effet cristallin.Sécurité incendie, ventilation et rafraîchissement des locauxLes lanterneaux Bluevoûte Therm sont équipés d’ouvrants Exuplus Elec. Ces modules pour le désenfumage naturel permettent, dans le cas d’un incendie, d’assurer leur fonction de DENFC. Les ouvrants permettent aussi une ventilation du bâtiment de façon automatisée ou manuelle.De plus, les ateliers bénéficient d’un Rafraîchissement d’Air par Evaporation, c’est-à-dire d’un procédé dit adiabatique, avec diffusion par gaines textile.Les employés de l’usine Tellier Brise-Soleil disent être satisfaits de ce principe de diffusion en lumière naturelle, tout comme ils le sont du confort d’été.Étude de la lumière naturelleCréé et mis à disposition par Bluetek sur son site web, l’outil de calcul lumière permet d’une façon simple et guidée d’obtenir un Facteur Lumière du Jour (FLJ) en adéquation avec la norme EN 17037.L’outil web permet un calcul simple, avec en amont certaines questions comme, par exemple :Le pourcentage d’autonomie en lumière naturelle souhaité et le nombre de lux.Le type et les dimensions précises du bâtiment.Les options de performances.En aval, l’outil permet une sélection des produits, une simulation claire et un récapitulatif des résultats.Pour l’étude des bâtiments Tellier Brise-Soleil, le choix des produits s’est fait de façon à associer éclairage naturel zénithal en façade (bandeaux lumineux) et voûtes de grandes et petites longueurs en toiture. Ces dernières ont été réparties afin d’homogénéiser au mieux la diffusion de la lumière naturelle à l’intérieur des ateliers. Dans la globalité du projet, le pilotage et la gestion de la lumière artificielle permettent une rationalisation de l’équipement.Tester l’outil lumière depuis le site Bluetek
Il y a 2 ans et 208 jours

France Air lance France Air Pur

Une sélection de solutions hautes performances pour préserver la Qualité de l’Air Intérieur La crise sanitaire a accéléré la prise de conscience générale sur l’enjeu de la Qualité de l’Air Intérieur. Offrir une véritable Qualité d’Air Intérieur dans les bâtiments est devenu un impératif. Pour accompagner ses clients dans le choix des systèmes les mieux […]
Il y a 2 ans et 211 jours

Cosentino présente son rapport RSE

Dans ce nouveau cadre, l'entreprise continue de remplir son engagement de transparence et de responsabilité en matière de durabilité économique, sociale, environnementale et éthique envers ses employés et les autres parties prenantes. De plus, conformément au standard international de la Global Reporting Initiative (GRI), le document prend également en considération la performance de l’entreprise dans sa contribution aux Objectifs de Développement Durable (ODD) de l’Agenda 2030.L’engagement majeur de Cosentino, est d’avoir le meilleur impact possible sur les personnes et le minimum d'impact sur la planète. Cosentino expose dans le rapport les leviers stratégiques, les jalons et ses réalisations dans les domaines sociaux, environnementaux et de bonne gouvernance. Ces piliers sont dirigés par un modèle d'entreprise bien établi avec une solidité financière - comme en témoignent les résultats financiers 2021 - et basé sur l'innovation et la R&D, une production efficace, l'économie circulaire, la formation, l'action sociale et surtout, la force et le haut professionnalisme des équipes qui constituent l'entreprise.Environnement : Durabilité et gestion environnementaleCosentino démontre son engagement en faveur de l'économie circulaire et la réduction de son empreinte carbone à travers une série d’actions tels que l'utilisation de 99% d'eau réutilisée, zéro perte d’eau (traitement et recirculation quotidiens de 800 000 m3 d'eau), l'utilisation de 100% d’énergie électrique renouvelable et le développement de produits durables tels que Dekton®, un produit neutre en carbone sur l'ensemble de son cycle de vie, et la technologie HybriQ+® pour les produits Silestone®.Rien qu'en 2021, Cosentino a investi près de 30 millions d'euros dans des actifs environnementaux et des coûts d'amélioration environnementale.Parmi les actions complémentaires mises en place, citons la production de plus de 3 millions de m2 de dalles à partir de matériaux recyclés ou récupérés (près d'un tiers de la production totale de l'entreprise) uniquement pour 2021. Cela a été rendu possible grâce à l’usine de traitement des déchets du groupe, qui a permis à l'entreprise de gérer 400 000 tonnes de déchets solides en 2021, dont 13% ont été récupérés, augmentant ainsi la part de matières premières recyclées utilisées à 26%.L'année dernière, Cosentino a mis en place un nouveau modèle énergétique industriel basé sur les sources d'énergie renouvelables et l'autoconsommation, qui couvre également la gestion des ressources en eau. Durant les prochaines semaines, Cosentino mettra en place la plus grande centrale photovoltaïque d'autoconsommation au sol en Espagne. La centrale aura une puissance crête de 20 MW et une capacité de production d'énergie d'environ 34 GWH/an, qui sera complétée par l'installation de panneaux solaires sur les toits des usines. Dans le même temps, Cosentino construit sa propre usine de récupération des eaux usées. Cette usine, qui devrait être opérationnelle cette année, réutilisera les eaux usées rejetées par les communes voisines.Social : Création d'emplois et contribution à la sociétéOutre l'innovation et la durabilité, l’engagement humain est la valeur fondamentale de Cosentino. Pour l'entreprise, le capital humain est son atout le plus important. En 2021, Cosentino reste attaché à l'emploi de qualité et a créé près de 700 nouveaux postes, terminant 2021 avec un effectif de 5 425 employés. L'effectif de l'entreprise est composé de 76 nationalités différentes et le pourcentage de CDI est de 91%.Cet engagement envers la prospérité et la croissance s'étend également aux communautés où Cosentino est présent, en particulier dans son environnement immédiat, dans les régions d'Almanzora et d'Almería en Espagne. Cosentino apporte une contribution pionnière à l'éducation et à la formation en faisant la promotion de programmes de formation professionnelle en alternance menés dans ses installations et à travers les activités menées par sa Fondation Eduarda Justo. L'entreprise soutient également les domaines de l'architecture, du design, du sport et de la gastronomie à travers une série de partenariats et de parrainages, et promeut l'art et la culture à travers la Fondation d'art Ibáñez Cosentino. Enfin, l'entreprise a fait de multiples dons directs à diverses organisations et associations pour un total de plus d'un million d'euros, soit 20% de plus qu'en 2020.Gouvernance : Gestion responsable et transparenteLa feuille de route de Cosentino est basée sur des critères ESG et avance sur la base d'une intégration et d'une communication transparente avec ses employés et toute sa chaîne de fournisseurs, clients et collaborateurs. Une instance de gouvernance responsable qui encourage le développement des talents à travers des programmes de recrutement et de management comme Acelera, Ingenia ou Impulsa, qui investit de plus en plus dans la santé et la sécurité et qui promeut l'égalité et la diversité, avec 22% de femmes dans les postes de direction et 50% dans son Conseil d'administration en 2021.Cette année encore, cette performance a contribué de manière proactive à l'atteinte de certains Objectifs de Développement Durable (ODD) majeurs, primaires et secondaires, tels que l'ODD 3 (Bonne santé et bien-être), l'ODD 8 (Travail décent et croissance économique) , ODD 9 (Industrie, innovation et infrastructure), ODD 12 (Consommation et production responsables), ODD 13 (Action pour le climat) ou ODD 17 (Partenariats pour les objectifs), entre autres.
Il y a 2 ans et 211 jours

Pour des rénovations énergétiques qui intègrent le confort et la santé

Dispositif de mesure standardisée de la qualité de l'airLe projet de recherche QSE propose une méthode simple pour évaluer, avant et après rénovation, la performance globale énergie-santé-confort des bâtiments. La méthode QSE constitue une première étape afin de sensibiliser et d'impliquer le plus grand nombre d'acteurs possible. Le projet QUARTET, lancé en 2022 dans le cadre du programme PROFEEL 2, s'inscrit dans la continuité du projet QSE et propose d'accompagner la filière du bâtiment dans le déploiement de cette méthode. Il prévoit notamment la mise en place d'un centre de ressources, en lien avec les outils déjà à disposition des professionnels. En parallèle, le développement des connaissances se poursuit avec la fin des instrumentations engagées via le projet QSE dans des écoles et bâtiments de bureaux. Lire la suite En savoir plus sur QSE/QUARTET En savoir plus sur l'expertise qualité de l'air intérieur du CSTB
Il y a 2 ans et 211 jours

La Fondation École Française du Béton récompense les futurs experts des industries de la construction

À l’occasion des 40èmes Rencontres Universitaires de Génie Civil 2022 à Villeneuve D’Ascq, le Conseil Scientifique de l’EFB a décerné un prix Recherche EFB à dimension RSE à Amr Aboulela afin de mettre en lumière ses compétences de futur expert face aux enjeux stratégiques de l’industrie de la construction.Le Prix Recherche EFB à dimension RSE : faire évoluer la RSE dans le monde industriel Le prix de la recherche EFB à dimension RSE accompagne les ambitions de La Fondation École Française du Béton en faveur de la valorisation de l’image des métiers du Béton et de la mise en lumière des innovations du secteur.À travers ce prix, le Conseil Scientifique de l’EFB participe à la promotion de jeunes chercheurs développant des solutions techniques pour faire face aux enjeux stratégiques de l’industrie et relever les défis du monde de demain.Ce prix a été décerné à Amr Aboulela pour la qualité de sa présentation et de ses travaux sur « L’Etude de la résistance des différents matériaux cimentaires bas carbone aux attaques biologiques dans les réseaux d’assainissement ». Analyser les conditions d’exposition des matériaux cimentaires et leur résistance à l’attaque biologiqueAmr Aboulela est Docteur en Génie Civil diplômé de l’INSA Toulouse depuis début 2022. Il réalise actuellement un post-doctorat à l’Université de Sheffield en Angleterre où il travaille sur le développement de ciments à partir des déchets de l’industrie de la construction.Dans sa thèse réalisée en partenariat avec le LMDC sous la direction de Alexandra Berton Et Cédric Patapy, Amr Aboulela s’est intéressé au Développement et à l’optimisation d’un test biologique en condition de laboratoire pour représenter les conditions d’exposition des matériaux cimentaires rencontrées dans les réseaux d’assainissement, ainsi qu’au développement d’un indicateur de performance qui pourrait classer une large palette de matériaux cimentaires selon leur résistance à l’attaque biologique.La pertinence de ce travail de recherche réside également dans sa faculté d'être rapidement duplicable à l’échelle industrielle, et à servir de manière efficace et rapide, les acteurs du secteur dans leur démarche RSE.Pour Amr Aboulela : « Le choix de ce sujet est le fruit de mes différentes expériences au sein de bureaux d’études dans le domaine du Génie Civil et du Génie des Procédés qui ont suscitées mon intérêt pour les matériaux de construction. Je souhaitais également que mon objet de recherche et les conclusions de ma thèse puissent être applicables rapidement pour aider l’industrie à développer des process plus efficients. Aussi, mon travail vient en complément des recherches déjà réalisées qui s’oriente sur la compréhension des mécanismes de détériorations des matériaux dans les réseaux d’assainissement afin de trouver des solutions plus intéressantes que ce soit sur le plan environnemental et sur le plan économique. Cette thèse m’a permis d’affiner mes aspirations. J’aimerais continuer la recherche dans le secteur des matériaux de construction et élargir mon domaine de compétence au contexte de l’économie circulaire. C’est dans cet objectif que je réalise un post-doctorat à l’Université de Sheffield où je travaille sur le développement des ciments à partir des déchets de l’industrie de la construction. J’ai par ailleurs, été très heureux de participer aux rencontres universitaires du Génie Civil de Villeneuve D’Ascq ou j’ai eu l’occasion de rencontrer de nombreux professionnels de l’industrie et des acteurs universitaires. La pertinence des échanges en font un lieu de foisonnement intellectuel majeur, j’ai apprécié évolué dans un tel environnement. »
Il y a 2 ans et 212 jours

Kaufman & Broad annonce ses résultats au 1er semestre

Nordine Hachemi, Président-Directeur Général de Kaufman & Broad, a déclaré :« Les résultats du 1er semestre 2022 sont conformes à nos attentes, avec un 2ème trimestre s’inscrivant globalement dans la continuité du précédent.Les réservations nettes en valeur progressent de 9,7 %. Elles bénéficient d’un effet mix favorable ainsi que d’une progression des prix de vente au m2. L’offre commerciale est en hausse de 20,7 %.Les tensions constatées au 1er trimestre sur les coûts de construction se sont poursuivies au cours du 2ème trimestre. Elles ont été absorbées par une politique budgétaire prudente mise en place depuis plusieurs années, associée à la rigueur dans les prises de position sur le foncier.Continuant à privilégier la rentabilité des opérations à leur volume pour préserver la croissance future, Kaufman & Broad a choisi de reporter certaines opérations dont les conditions d’achat ne permettent pas de supporter les coûts directs (foncier et construction).Cette stratégie a permis de maintenir sur l’ensemble du semestre une performance économique solide, avec une quasi-stabilité du taux de Résultat opérationnel courant (MOP). Le Résultat net part du groupe est inchangé d’un semestre sur l’autre et en légère progression rapporté au nombre d’actions.Au cours du 1er semestre, Kaufman & Broad n’a pas constaté de fléchissement de la demande des particuliers et des institutionnels, toujours soutenue par des facteurs structurels.Sur la période à venir, Kaufman & Broad sera en mesure d’adapter son offre commerciale aux nouvelles conditions de marché en s’appuyant sur son modèle économique, caractérisé notamment par des rythmes de commercialisation rapides et l’absence de stocks.Le développement de portefeuilles de résidences gérées séniors et étudiants sur la base du modèle unique de promoteur / investisseur / exploitant s’est activement poursuivi. Kaufman & Broad est désormais propriétaire de deux résidences étudiants mises en service à Gagny et Amiens. S’y ajoutent six nouveaux projets représentant un investissement en capital et dette, au cours des prochaines années, pour environ 100 M€. Ces projets sont porteurs de création de valeur à terme sur la base de leur historique d’exploitation.Le permis d’aménager du projet de Reims a été obtenu pour une surface de 82 500 m2. Il verra l’implantation d’un campus de 35 000 m² ainsi qu’une résidence étudiante et une résidence séniors, de logements et de commerces.Enfin, Kaufman & Broad fait partie des 11 sociétés françaises ayant obtenu le label « Best Managed Companies » de Deloitte, récompensant l’excellence d’entreprises qui se distinguent par la qualité de leur gestion et de leurs performances, notamment RSE. Créé il y a trente ans par Deloitte Canada, ce label a été décerné à ce jour à près de 1 200 entreprises dans 45 pays.A moyen terme, Kaufman & Broad bénéficiera de la qualité de son Backlog, de sa grande solidité financière et de sa réactivité pour tirer parti d’une demande structurelle toujours soutenue et, au-delà, des effets des grands réajustements macro-économiques en cours sur son activité et ses marchés.Sur l’ensemble de l’exercice 2022 et hors impact du programme de réhabilitation de la gare d’Austerlitz, le chiffre d’affaires devrait progresser d’environ 5 %. Le taux de Résultat opérationnel courant (MOP) ou d’EBIT devrait être supérieur à 7 %. Ces perspectives pourront, le cas échéant, faire l’objet de révisions sur les mois à venir en fonction de l’évolution de la situation économique et financière, mais aussi de la décision du Conseil d’Etat sur le dossier de la gare d’Austerlitz. »Activité commercialePôle LogementAu 1er semestre 2022, les réservations de logements en valeur s’élèvent à 624,7 millions d’euros (TTC), à comparer à 569,7 millions d’euros au 1er semestre 2021 en hausse de 9,7 %. En volume, elles s’établissent à 2 525 logements (2 780 logements sur le 1er semestre 2021), soit une diminution de 9,2 %.Le délai d’écoulement des programmes s’est établi à 5,4 mois sur le premier semestre 2022, en augmentation de 1,4 mois par rapport au 1er semestre 2021 (4,0 mois).L’offre commerciale, avec 92 % des logements situés en zones tendues (A, Abis et B1), s’élève à 2 265 logements à fin mai 2022 (1 876 logements à fin mai 2021).Répartition de la clientèleLes réservations en valeur (TTC) des primo-accédants représentent 17 % des ventes, à comparer à 10 % au 1er semestre 2021. Les secundo-accédants représentent 12 % des ventes contre 6 % pour la même période en 2021.Les réservations réalisées auprès des investisseurs représentent 37 % des ventes (dont 29 % pour le seul dispositif Pinel) comme au 1er semestre 2021. Enfin, la part des ventes en bloc est en sensible baisse pour s’établir à 33 % des réservations en valeur (TTC) contre 47 % au 1er semestre 2021.Pôle Tertiaire Au 1er semestre 2022, le pôle Tertiaire enregistre des réservations nettes de 28,5 millions d’euros TTC contre 39,5 millions d’euros TTC au 1er semestre2021.Kaufman & Broad a actuellement en commercialisation ou à l’étude environ 145 600 m² de surfaces de bureaux et environ 192 500 m² de surfaces logistiques. Par ailleurs, 65 000 m² de surfaces de bureaux sont actuellement en construction ou en démarrage dans les prochains mois, ainsi que près de 70 000 m² de surfaces logistiques. Enfin, il reste près de 88 100 m² de surfaces de bureaux à signer.Indicateurs avancés de l’activité commerciale et développementAu 31 mai 2022, le Backlog Logement s’établit à 2 326,3 millions d’euros (HT) contre 2 289,9 millions d’euros (HT) pour la même période en 2021, soit 25,5 mois d’activité contre 24,3 mois d’activité au 1er semestre 2021. À la même date, Kaufman & Broad comptait 154 programmes de logements en cours de commercialisation, représentant 2 265 logements (155 programmes et 1 876 logements au 1er semestre 2021).Le portefeuille foncier Logement représente 35 037 lots. Il est stable par rapport à celui de fin mai 2021 (+ 0,1 %) et correspond à plus de 5 années d’activité commerciale.Par ailleurs, 93 % des logements du portefeuille foncier sont situés en zones tendues, représentant 32 640 logements à fin mai 2022.Au 3ème trimestre 2022, le groupe prévoit de lancer 23 nouveaux programmes dont 9 en Île-de-France représentant 434 lots et 14 en Régions représentant 612 lots.Au 1er semestre 2022, le Backlog du pôle Tertiaire s’ établit à 1 076,1 millions d’euros HT à comparer à 1 200,4 millions d’euros HT pour la même période en 2021.Résultats financiersActivité Le chiffre d’affaires global s’établit à 574,4 millions d’euros (HT), à comparer à 605,8 millions d’euros au 1er semestre 2021.Le chiffre d’affaires Logement s’élève à 481,6 millions d’euros (HT), contre 519,1 millions d’euros (HT) en 2021. Il représente 83,8 % du chiffre d’affaires du groupe.Le chiffre d'affaires de l’activité Appartements s’établit à 461,7 millions d’euros (HT) (versus 487,2 millions d’euros (HT) au 1er semestre 2021). Le chiffre d'affaires du pôle Tertiaire ressort à 87,3 millions d’euros (HT), à comparer à 83,0 millions d’euros (HT) sur la même période de 2021. Les autres activités dégagent un chiffre d’affaires de 5,5 millions d'euros (HT) (dont 3,2 millions d’euros de chiffre d’affaires liés à l’exploitation des résidences étudiantes) contre 3,8 millions d’euros en 2021.Éléments de rentabilité La marge brute s’élève à 99,6 millions d’euros au 1er semestre 2022, à comparer à 104,7 millions d’euros sur la même période de 2021. Le taux de marge brute s’établit à 17,3 % comme en 2021.Les charges opérationnelles courantes s’élèvent à 56,8 millions d’euros (9,9 % du chiffre d’affaires), contre 58,7 millions d’euros au 1er semestre 2021 (9,7 % du chiffre d’affaires). Le résultat opérationnel courant s’établit à 42,8 millions d’euros, à comparer à 45,9 millions d’euros en 2021. Le taux du Résultat opérationnel courant s’élève à 7,5 % contre 7,6 % au 1er semestre 2021.Le résultat net de l’ensemble consolidé s’élève à 31,4 millions d'euros sur le 1er semestre 2022, à comparer à 30,6 millions d’euros en 2021. Les participations ne donnant pas le contrôle s'élèvent à 8,7 millions d’euros contre 7,9 millions d’euros sur le 1er semestre 2021. Le résultat net - part du groupe ressort à 22,7 millions d’euros tout comme au premier semestre 2021.Structure financière et liquiditéLa dette financière nette (hors dette IFRS 16 et dette put Neoresid) au 31 mai 2022 s’établit à 67,1 millions d’euros, à comparer à une trésorerie nette positive de 35,9 millions d’euros à fin novembre 2021. La trésorerie active (disponibilités et valeurs mobilières de placement) s’établit à 97,5 millions d’euros au 31 mai 2022, à comparer à 189,5 millions d’euros au 30 novembre 2021. La capacité financière s’élève à 347,5 millions d’euros à comparer à 439,5 millions d’euros à fin novembre 2021.Le besoin en fonds de roulement s’établit à 177,0 millions d’euros à fin mai 2022, soit 14,2 % du chiffre d’affaires, à comparer à 116,9 millions d’euros à fin mai 2021 (8,4 % du chiffre d’affaires).KB ACTIONS 2022Par un communiqué de presse publié le 15 juin 2022, Kaufman & Broad SA a annoncé la mise en place d’une offre d’actionnariat « KB ACTIONS 2022 » réservée aux salariés du groupe.L’objectif principal de Kaufman & Broad SA est d’associer plus étroitement les salariés du groupe à l’avenir de l’entreprise à travers la souscription d’actions à des conditions privilégiées et leur offrir l'opportunité de bénéficier du développement de la société. Les salariés du groupe font partie aujourd'hui des principaux actionnaires de Kaufman & Broad SA.Gouvernance L’Assemblée Générale Mixte du 5 mai 2022 a ratifié la nomination de Madame Aline Stickel en tant qu’administrateur représentant les salariés actionnaires. Titulaire d’un DEA de Droit Privé et du CAPA (Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat), Madame Aline Stickel a rejoint le groupe en 2000 et pris la direction des équipes juridiques opérationnelles en 2001 ainsi que de l’équipe juridique corporate à partir de 2011. Elle est membre du Conseil de Surveillance du « FCPE KB Actions » depuis 2018.Perspectives 2022 Sur l’ensemble de l’exercice 2022 et hors impact du programme de réhabilitation de la gare d’Austerlitz, le chiffre d’affaires devrait progresser d’environ 5 %. Le taux de Résultat opérationnel courant (MOP) ou d’EBIT devrait être supérieur à 7 %.Ces perspectives pourront, le cas échéant, faire l’objet de révisions sur les mois à venir en fonction de l’évolution de la situation économique et financière, mais aussi de la décision du Conseil d’Etat sur le dossier de la gare d’Austerlitz.
Il y a 2 ans et 212 jours

Assa Abloy investit pour valoriser le savoir-faire industriel français sur son site de Longué-Jumelles

Cette stratégie ambitieuse, visant à pérenniser l’activité et les emplois du site ainsi que le savoir-faire industriel français, est soutenue par le plan gouvernemental France Relance. Avec ce programme, le site deviendra un centre d’excellence pour la fabrication des produits de quincaillerie architecturale. Valoriser le site de Longué-Jumelles et le positionner comme centre d’excellence à l’échelle du groupe ASSA ABLOY Le site de Longué-Jumelles est l’un des quatre sites du groupe ASSA ABLOY en France. C’est aussi un site historique du tissu industriel français, qu’ASSA ABLOY s’attache à faire vivre, en valorisant le savoir-faire de cette usine spécialisée dans la fabrication de produits de quincaillerie architecturale : poignées et butées de portes, poignées de fenêtre, patères, protection sur sols et murs, mains courantes, etc. Autre signe distinctif, sa fonderie de zamak, l’une des plus grandes en France ; cet alliage de zinc et d’aluminium permet de réaliser des composants techniques et des pièces à la fois de qualité et esthétiques. Reste enfin à noter que le site est triplement certifié Iso : 9001 pour le management de la qualité, 14001 pour le management environnemental et 50001 pour le management de l’énergie). L’usine produit déjà pour plusieurs marques du groupe ASSA ABLOY dont Vachette et JPM. Mais ASSA ABLOY veut aller plus loin : le Groupe ambitionne de faire de Longué-Jumelles un centre d’excellence pour la quincaillerie architecturale, au sein de la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique), à travers la R&D et la Fabrication. Le Groupe s’est également engagé à relocaliser la production de ses composants zamak en France, ce qui doit contribuer à la pérennisation des emplois. Devenir centre d’excellence permettra de faire rayonner le savoir-faire du site auprès des autres entités à l’étranger. Des composants zamak pour servir les besoins du groupe ASSA ABLOY Avec un volume de production de 1.600 tonnes de zamak par an en 2021, la fonderie dispose d’une réserve capacitaire qui permet de produire à des prix très compétitifs. Capable de travailler tous les types de composants zamak qui sont aujourd’hui achetés au niveau externe, la fonderie a vocation à fournir toutes les entités du groupe ASSA ABLOY en France ainsi qu’en Finlande, en Suède et en Angleterre. Pour atteindre ses objectifs, le groupe ASSA ABLOY est en train d’investir dans un centre d’usinage pour gagner en productivité, ainsi que dans de l’outillage avec notamment la création de nouveaux moules. Soucieux des conditions de travail de ses salariés, 250 personnes dont 150 en production, le Groupe a de plus prévu de développer des moyens ergonomiques afin d’intégrer la charge. Un plan d’investissement important soutenu par France Relance Dans le cadre de la montée en compétence souhaitée pour la création de ce centre d’excellence, ASSA ABLOY qui investit chaque année 800.000 euros pour la modernisation de son site de Longué-Jumelles, déploie un plan d’investissement plus important d’un montant total de 1.247.000 d’euros. Débuté en 2022, ce plan se poursuivra sur 2023. Afin de récolter les fonds nécessaires à la réalisation de ce projet, le dossier a été soumis au plan France Relance, qui a pour vocation d’accélérer les transformations écologique, industrielle et sociale du pays. Ce plan de relance exceptionnel déployé par les pouvoirs publics vise notamment à faire de l’industrie française un pilier de la relance économique, à soutenir sa transformation et sa modernisation. Au vu de sa forte valeur ajoutée pour le territoire français, ce projet de relocalisation a été sélectionné, et sera soutenu à hauteur de 50% soit 623.500 €. Cette stratégie de relocalisation engagée par ASSA ABLOY fait écho aux ambitions du plan France Relance avec une volonté commune, faire rayonner le savoir-faire industriel français.
Il y a 2 ans et 212 jours

La 7ème édition des Journées nationales de l'architecture explore le thème : «Architectures à habiter» du 14 au 16 octobre 2022

Cette 7e édition sera placée sous le thème : « Architectures à habiter ». Une belle façon d’apprécier les qualités des architectures du quotidien pour mieux comprendre la manière dont les architectes conçoivent nos lieux de vie. La crise sanitaire a notamment mis en évidence l’importance de vivre dans un logement agréable où chacun peut s'épanouir en bénéficiant d’espaces d’intimité comme d’espaces partagés. Aussi, l’accès à la nature ou du moins à l’extérieur, à la lumière, à la proximité des commerces, ou à des lieux de convivialité au sein de son immeuble ou de son quartier, sont devenus des éléments essentiels étroitement liés à l’amélioration de la qualité de vie.Cette année, les Journées nationales de l’architecture valoriseront plus particulièrement les projets réalisés à partir de matériaux biosourcés, plus respectueux de l’environnement, qui illustrent le nouveau défi que les architectes doivent aujourd’hui relever : bâtir de manière moins énergivore et plus verte.Pour la 4 e année, l’opération « Levez les yeux ! » - en partenariat avec les ministères de la Culture et de l’Éducation nationale et de la Jeunesse - invite les élèves, de la maternelle à la terminale, à sortir de la classe le vendredi 14 octobre pour apprendre à lire l’architecture et à décrypter le paysage.Cette édition mettra également en avant les 97 projets labellisés dans le cadre de l’Appel à Manifestation d’Intérêt « Engagés pour la qualité du logement de demain », lancé par les ministères de la Culture et du Logement en 2021.Enfin, les journées « À Vivre », organisées par le magazine Architecture À Vivre et l’association 1, 2, 3 Architecte, reviendront pour faire découvrir des réalisations architecturales lors de visites guidées en compagnie d’architectes ou de maîtres d’ouvrage.La programmation complète des Journées nationales de l’architecture est à retrouver sur : https://journeesarchitecture.culture.gouv.fr/
Il y a 2 ans et 213 jours

Rockwool partenaire du CiDB aux Neuvièmes Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore 2022

En tant que partenaire historique du CiDB, acteur incontournable de la promotion de la lutte contre la nuisance sonore, ROCKWOOL a participé aux Neuvièmes Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore 2022 les 27 et 28 septembre au Centre International de Conférences Sorbonne Université. L’édition placée sous le signe de l’investissement s'est proposée d’identifier les conditions pour lesquelles le bruit peut constituer un levier ou un frein à la transition écologique, à l’économie et à l’amélioration du bien-être.ROCKWOOL acteur du nécessaire investissement dans l’environnement sonoreLe bruit est néfaste pour notre santé et selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), les personnes vivant et travaillant dans les villes sont particulièrement vulnérables. Une isolation acoustique efficace est donc primordiale dans une maison ou autres bâtiments (tertiaires ou industriels) pour créer un environnement confortable et sûr.En participant aux côtés du CiDB aux Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore, ROCKWOOL souhaite interagir avec les professionnels du secteur afin de travailler main dans la main aux solutions les plus innovantes pour se prémunir des nuisances sonores. C’est ce qu'a proposé l’événement en tant que carrefour de rencontres unique et le lieu d’échanges d’un important réseau de professionnelles de la sphère institutionnelle, des industriels et des entreprises, du monde associatif ainsi que des structures de recherche et des collectivités locales. Des solutions en laine de roche au service d’environnements intérieurs plus sains et plus silencieux pour une meilleure qualité de vieS’il n’est pas toujours possible de maîtriser les niveaux sonores à la source, une isolation acoustique de qualité peut être une solution intéressante. Le bruit extérieur provenant de la circulation routière ou des avions par exemple peut être considérablement réduit par une isolation acoustique correcte de la toiture ou de la façade.L’isolation acoustique peut aussi améliorer le confort acoustique et éviter les nuisances sonores provenant de l’intérieur d’un bâtiment Lorsqu'ils sont installés sur des planchers intermédiaires ou sur les murs intérieurs d’un immeuble d’habitation ou d’un complexe de bureaux, les panneaux d’isolation thermo-acoustique, sont particulièrement efficaces pour réduire la quantité de bruit pénétrant dans un environnement de vie ou de travail.En effet, grâce à la structure poreuse ouverte, la laine de roche ROCKWOOL est un excellent amortisseur de bruit hautement efficace par nature. De plus, grâce à leur stabilité dimensionnelle, les solutions d’isolation ROCKWOOL sont durables dans le temps et conservent leurs performances même au-delà de 55 ans, ce qui garantit un excellent confort acoustique tout au long de la durée de vie d’un bâtiment. C’est grâce à une innovation continue au cœur de sa stratégie que ROCKWOOL peut proposer des produits toujours plus performants.Avec le CiDB, identifier ensemble les axes de développement en faveur de l’amélioration de l’environnement sonorePour ROCKWOOL, Les Assises Nationales de la Qualité de l’Environnement Sonore étaient une occasion incontournable pour échanger sur les bonnes pratiques et les solutions novatrices en faveur de l’environnement sonore, mais aussi comprendre les besoins des consommateurs tels que les professionnels de la construction, les ERP, ou encore les établissements scolaires ou de santé.L’événement qui comprenait trois conférences plénières et 20 ateliers thématiques incluait également des ateliers professionnels et une exposition présentant les solutions et innovations des acteurs du secteur (métrologie, produits, logiciels, etc.). Environ 500 personnes étaient attendues sur les deux jours.Tristan Sacquet, Ingénieur Acousticien ROCKWOOL le rappelle : « En tant qu'acteur engagé du secteur du bâtiment et leader de l'isolation, ROCKWOOL a pour objectif de construire un avenir meilleur, avec des bâtiments plus sûrs, plus durables et plus résilients, notamment, sur plan acoustique. »
Il y a 2 ans et 213 jours

LA FFB et le CCCA-BTP renforcent leur collaboration pour accompagner les entreprises dans leurs besoins en formation et recrutement

Par cette convention, les deux parties s’engagent, pour la FFB, à apporter son expertise métier et sectorielle ; pour le CCCA-BTP, à apporter son expertise au service de la qualité de la formation professionnelle et notamment l’apprentissage.En effet, les changements actuels inhérents à la volonté de construire bas carbone, réhabiliter durablement le patrimoine, améliorer la performance énergétique du bâti et la promotion de la transition numérique des métiers du bâtiment font émerger de nouvelles compétences qui nécessitent de former et de recruter de plus en plus de jeunes diplômés.En mobilisant leurs structures, la FFB et le CCCA-BTP contribuent à l’évolution de la formation et donc de l’adaptation des compétences, avec un plan d’actions dès 2022 pour :mettre l’accent sur les besoins en compétences ;placer l’innovation au cœur des formations préparant aux pratiques professionnelles ;promouvoir l’enregistrement des certifications professionnelles ;favoriser l’intégration pérenne des nouveaux entrants en entreprise.Pour Olivier Salleron, président de la FFB : « Depuis 80 ans, la FFB qui a créé le CCCA-BTP avec les partenaires sociaux du BTP, participe par l’engagement de ses mandataires, à sa gestion et son développement. Le secteur a besoin des compétences nécessaires aux évolutions actuelles et à venir de ses marchés. Les enjeux climatiques sont un des moteurs des changements. Il est du devoir de la FFB de contribuer à l’évolution de l’offre de formation en partageant son expertise métiers. »Pour Éric Routier, président du CCCA-BTP : « Ce partenariat entre le CCCA-BTP et la FFB, membre de notre conseil d’administration à gouvernance paritaire, réaffirme les liens forts qui nous lient. Le développement des compétences, indissociables de la formation, est au centre des enjeux auxquels les entreprises du bâtiment doivent répondre. C’est le cœur de ce partenariat, qui s’appuie sur les expertises du CCCA-BTP, pour impulser l’innovation dans les métiers et les pratiques pédagogiques, afin de répondre aux besoins en compétences et qualifications professionnelles des entreprises du bâtiment et assurer l’excellence de la formation professionnelle, en particulier de l’apprentissage. »
Il y a 2 ans et 213 jours

Ambitieux programme de requalification urbaine "Chelles-Foch" en entrée de ville de Chelles

En lieu et place d’une friche présente depuis plus de 10 ans située avenue du Maréchal Foch, en entrée de ville, à seulement 600 mètres de la gare du RER E qui relie Paris et de la future ligne 16 du métro, du centre-ville historique de Chelles et à proximité de nombreux commerces, l’opération Chelles-Foch s’intègre dans un environnement urbain dynamique.Programme mixte ambitieux répondant aux besoins du territoire, l’opération s’étendra sur 8.750 m² SDP et accueillera :Un bâtiment de 33 logements gérés par in’li et dotés d’une double exposition (et pour certains d’une triple) offrant une grande luminosité. Chaque logement bénéficiera d’un espace extérieur (balcon ou terrasse).Une résidence pour séniors de 117 logements (T1, T2 et T3), pour le compte de l’OPPCI Esprit Pierre Résidences (Groupe Spirit), qui sera gérée par Les Girandières, filiale du Groupe Réside Etudes. Adaptée aux besoins spécifiques des séniors autonomes, elle offrira une large palette de services : restaurant, coiffeur, salon de massage, salle polyvalente, salle de gym, services de linge… Un jardin d’agrément permettra aux résidents de partager des moments de convivialité et de profiter des espaces verts. Un programme à la croisée de l’hôtel, de la résidence gérée et du logement traditionnel, issu d’une réflexion approfondie autour des usages et du bien-être. Cette résidence pour séniors, souhaitée par la Ville, vient opportunément compléter le parcours résidentiel des Chellois.Un commerce en pied d’immeuble viendra compléter l’offre de services de proximité du quartier pour le compte d'AVM Holding.Une conception architecturale dans la pure tradition chelloiseL’architecte, MAIREA Architecture a su répondre aux attentes de la Ville en reprenant les codes de l’architecture chelloise traditionnelle (toitures en pente, façades en brique et pierre, modénatures) dans la continuité du tissu urbain local tout en respectant les contraintes du terrain. Trois axes ont guidé l’écriture architecturale : marquer l’entrée de la ville, créer un profil urbain et séquencer les bâtiments.Les labellisations environnementales visées par ce projetLa résidence services pour les séniors sera labellisée E2C1 et atteindra le niveau de performance énergétique RT2012-17%, et les logements seront eux certifiés NF Habitat HQE. Ces critères environnementaux s’inscrivent dans la démarche RSE de Linkcity et de l’ensemble de ses partenaires.Pour David MARQUET, Directeur Général Adjoint Linkcity Ile-de-France : « C’est un travail de longue haleine qui a été mené, intégrant notamment la réhabilitation complète des sols. Ce projet symbolise l’esprit partenarial de Linkcity : architecte, investisseurs, exploitant, entreprises, tous associés pour satisfaire la commune de Chelles et réaliser un projet ambitieux porteur pour le territoire. »Pour Benjamin STUTZMANN et Alexandre PARVEZ, respectivement Président et Directeur des Acquisitions chez SPIRIT REIM SERVICES : « Nous sommes très heureux de cette première acquisition pour le compte de notre fonds ESPRIT PIERRE RESIDENCES. Cette résidence correspond parfaitement à notre cible, à savoir un actif de qualité, sécurisé sur le long terme avec un exploitant de premier ordre. Elle répond aux exigences de la labellisation ISR du fonds, notamment en matière de réversibilité, qui se valorisera dans la durée grâce à la transformation en cours à l’entrée de Chelles et la desserte prochaine par le Grand Paris Express. »Pour Damien ROBERT, Président du directoire d’in’li : « In’li poursuit son engagement en faveur du développement de l’offre en logements intermédiaires en zones tendues, en Ile-de-France. Le partenariat avec la ville de Chelles est en ce sens exemplaire. Il s’inscrit dans une logique territoriale alliant offre de transport, développement urbain raisonné, services et logements. C’est grâce à ce type de démarche que nous répondrons aux défis du Grand Paris de demain ! »
Il y a 2 ans et 213 jours

Le Syndicat de l’éclairage salue les annonces du Gouvernement en matière de rénovation de l’éclairage

Pour Julien Arnal, Président du Syndicat de l’éclairage : « Le Syndicat de l’éclairage se félicite du dialogue fructueux noué avec les pouvoirs publics et de leur bonne compréhension de la nécessité de rénover et moderniser l’éclairage. En rénovant l'intégralité de l'éclairage en France, nous pourrions économiser chaque année l'équivalent de la consommation des villes de Bordeaux et Marseille. » Le plan de sobriété tend vers une meilleure gestion de l’éclairage et incite à la transition vers la LED pilotable, permettant d’obtenir, simplement et immédiatement, un éclairage plus juste et plus durable tout en réalisant des économies d’énergie massives (3 fois moins de consommation énergétique). Avec la variation (programmation, détecteurs, etc.) obligatoire en rénovation, l’énergie consommée est réduite d’au moins 80%.Le syndicat souligne la qualité du travail de concertation mené par Agnès Pannier-Runacher au Ministère de la Transition Énergétique, d’Emmanuelle Wargon à la CRE et de Xavier Piechaczyk chez RTE ainsi que leurs équipes.Pour être au rendez-vous de la transition énergétique, les entreprises et les collectivités doivent rénover massivement leurs luminaires :Il faut tripler le rythme de rénovation de l’éclairage en France pour réduire notre consommation de 10 TWh en 24 mois, soit 20% de l’effort annoncé par le gouvernement sur l’électrique.Il faut inciter les entreprises et intégrer dans la loi de finances pour 2023 un sur-amortissement qui permettra aux entreprises d’abattre 40% supplémentaire de l’amortissement annuel sur le net imposable.
Il y a 2 ans et 214 jours

La loi du député Richard Ramos votée à l'unanimité dans l'hémicycle met fin à 30 ans de combat contre l'engrillagement

Après des années de lutte contre l’engrillagement des propriétés privées, les habitants des territoires touchés par ce phénomène peuvent enfin crier victoire car la proposition de loi du député Richard Ramos a été adoptée ce jour dans la niche Modem, les députés présents ont salué un texte de qualité et qui protège véritablement la biodiversité.Pour le député Richard Ramos : « Les clôtures des domaines privés vont enfin être règlementées, les animaux sauvages pourront circuler librement, passer au-dessous ou au-dessus des grillages sans s’y prendre les pattes, s’y éventrer, c’est un soulagement. Je suis heureux que ce texte ait fait l’unanimité dans l’hémicycle, c’est une loi de bon sens, qui permet à la fois de rendre toute sa beauté aux territoires touchés, notamment la Sologne, mais qui protège également la propriété privée, car les propriétaires auront toujours la possibilité de poser des clôtures moins hautes et hors du sol, ou des haies végétales. »Le député Richard Ramos a fait adopter plusieurs de ses amendements en séance, notamment le retrait de toutes les clôtures de moins de 30 ans, une grande avancée ! Également, toutes les clôtures de plus de 30 ans et en réfection devront répondre à la nouvelle règlementation, ainsi elles ne pourront pas faire plus de 1.20 mètres et seront installées à 30 centimètres au-dessus du sol. « Il reste encore une lecture du texte entre le Sénat et l’Assemblée nationale, je suis confiant, les mesures adoptées font consensus, le texte ne changera pas profondément. »
Il y a 2 ans et 215 jours

PLF 2023 : trois députés Renaissance, risquent d’accentuer la crise actuelle du logement

Dont acte ! Cette légitime réflexion aurait dû s’accompagner d’un intérêt tout aussi important porté aux entreprises impactées par chacune des décisions fiscales qui pourraient être proposées.Pour mémoire, la FPI rappelle que produire des logements collectifs neufs en PINEL présente les avantages suivants :Les logements PINEL produits à compter de janvier 2022 respectent la réglementation environnementale RE 2020 la plus exigeante au niveau européen voire mondial ;La construction de logements PINEL est pourvoyeuse d’emplois locaux (120.000 emplois par an) non délocalisables ;La vente des logements PINEL génère des ressources importantes de TVA pour l’Etat ;En accroissant le parc de logements locatifs, la production de logements PINEL participe à la mobilité nécessaire des salariés ;Être propriétaire d’un logement PINEL procure un complément de revenus non négligeable pour de nombreux ménages lors de la retraite.Or, un amendement a été déposé par les 3 députés de cette task force en vue de son examen en séance publique : il prévoit la fin du dispositif d’investissement locatif PINEL au 31 décembre 2023 au lieu du 31 décembre 2024, alors même que les évolutions apportées à ce dispositif par la précédente loi de finances pour 2022 ne sont pas encore entrées en vigueur et que les dernières modifications, par décret, datent de mars 2022.La FPI alerte sur cette initiative, qui prise sans concertation avec les professionnels du secteur et sur la base d’a priori déconnectés de la réalité, pourrait être lourde de conséquences :Elle introduit, une fois de plus, une insécurité fiscale préjudiciable au bon fonctionnement des entreprises qui ont besoin de stabilité : lancer un programme immobilier demande du temps et, en conséquence, de la visibilité que ne permet plus l’agitation fiscale actuelle.Cette insécurité fiscale est également pénalisante pour les particuliers, qui ont prévu, parfois de longue date, d’investir dans un bien de ce type en vue de le louer à un ascendant ou un descendant, faculté supprimée par l’amendement.Elle intervient au plus mauvais moment : sur le premier trimestre 2022, le nombre de logements proposés à la vente a chuté de 15% par rapport à 2021. L’effondrement que l’on constate depuis 2019 ne fait que s’accentuer en 2022. L’offre de logements neufs collectifs, aux performances énergétiques élevées, sobres en foncier et répondant aux attentes de nos concitoyens, va se réduire encore plus et amplifier une crise du logement annoncée sur l’ensemble du parcours résidentiel.Pour qu’un pays puisse se développer, il faut qu’une frange de la population soit mobile. Une offre satisfaisante sur le marché locatif permet d’y répondre et le dispositif PINEL y contribue fortement avec des logements de qualité. A l’heure où l’on parle de la réforme des retraites, la majorité des investisseurs en PINEL bénéficient d’un accroissement de revenus le jour de la retraite. Alors même que nos concitoyens peinent à se loger avec des loyers adaptés à leur budget, ce sont ainsi près de 60.000 logements destinés à être loués, sous plafonds de ressources et de loyers, par exemple à des jeunes actifs ou à des ménages à revenus intermédiaires aux activités professionnelles pourtant essentielles (infirmiers, enseignants, policiers...) qui ne verraient pas le jour si cet amendement était adopté.Outre les investisseurs et locataires directement concernés par les logements « PINEL », l’impact de cet amendement, s’il était adopté, serait encore plus massif : aujourd’hui, on retrouve en effet dans un même programme immobilier des logements PINEL, des logements en accession, des logements sociaux. Faire disparaître prématurément le dispositif PINEL empêcherait, par effet collatéral, la réalisation des programmes prévus et donc les autres logements, tels les logements sociaux que nous produisons massivement et ceux destinés au parcours résidentiel des Français.Pour Pascal Boulanger, président de la FPI : « cet amendement va à l’encontre de la stabilité fiscale tant souhaitée par tous les acteurs économiques. Je rappelle que le dispositif actuel a été modifié il y a à peine un peu plus de six mois. Comment voulez-vous que nos entreprises s’organisent dans de telles conditions et que les Français conservent leur confiance dans le pouvoir politique ? Le logement mérite mieux que de sombres tentatives de rabotage fiscal, dont les conséquences, non évaluées sur le plan économique et social, aggraveront le pouvoir d’habiter de nos concitoyens. »
Il y a 2 ans et 215 jours

Edilians enrichit sa gamme d’isolants avec FLEXIClean et SKINReflex, deux nouvelles solutions alliant économies d’énergie et confort d’été

Compte tenu de l’évolution des enjeux énergétiques et environnementaux, l’amélioration de la performance des bâtiments et leur adaptation, en neuf comme en rénovation, s’impose comme une priorité pour les rendre moins énergivores, préserver le confort d’été des occupants et limiter le recours systématique à la climatisation. Pour atteindre cet objectif, EDILIANS, soucieux de l’impact du changement climatique, enrichit aujourd’hui sa gamme d’isolants pour les couvreurs avec deux nouvelles solutions au service d’un écohabitat. FLEXIClean, l’alternative responsable pour l’isolation entre les chevrons Fabriquée en France, la laine de polyester FLEXIClean est un isolant écoresponsable obtenu grâce à la revalorisation de bouteilles plastiques d’origine européenne et française, post consommation. Outre une véritable traçabilité de la matière première utilisée, elle participe ainsi au recyclage d’une grande quantité de déchets plastiques puisque 250 bouteilles sont nécessaires à la production d’1 rouleau de FLEXIClean. FLEXIClean possède d’excellentes performances thermiques et acoustiques, certifiées par l’ACERMI et le CSTB, grâce à : – une faible conductivité thermique qui permet de réaliser des économies d’énergie, – un coefficient d’absorption acoustique α = 1 (1 correspondant à un matériau parfaitement absorbant) pour un confort optimal. Doté de propriétés imputrescible et hydrophobe, ce nouvel isolant écoresponsable possède, en outre, une excellente tenue mécanique qui évite son tassement et sa déformation dans le temps. De quoi garantir une isolation efficace et durable (durée de vie annoncée jusqu’à 50 ans par le CSTB) ! Afin de s’adapter aux profondeurs usuelles des chevrons en rénovation de toiture, FLEXIClean est disponible sous forme de rouleaux de 1,20 x 5,4 (6,48 m2) en deux épaisseurs de 80 et 105 mm. Léger, non irritant et sans dégagement de poussière, facile à découper, sa mise en œuvre s’effectue de façon simple, rapide et offre un véritable confort de pose aux artisans. Totalement sain, non toxique, et sans allergène grâce à son processus de fabrication dépourvu d’adjuvant et de liant chimiques, il bénéficie des classifications OEKO-Tex et A+ et contribue ainsi à réduire les émissions de Composés Organiques Volatils à l’intérieur des habitations et donc, à améliorer la qualité de l’air intérieur. SKINReflex, un isolant mince réfléchissant, complément d’isolation pour un confort absolu été comme hiver Produit de haute technologie breveté, SKINReflex est un complément d’isolation HPV respirant et réfléchissant destiné à améliorer les performances des isolants entre chevrons et le confort d’été. Il se compose : – d’un parement extérieur en aluminium pur réfléchissant, microperforé et armé d’un tissu de verre renforcé, – d’une membrane d’étanchéité, – d’une nappe isolante en filaments continus de verre de type E, – d’un parement intérieur en aluminium pur réfléchissant microperforé, – et d’une bande adhésive intégrée qui rend son installation facile et rapide. Cette conception unique confère à ce véritable produit respirant HPV et réflecteur de chaleur des propriétés exceptionnelles au service d’un véritable gain d’économie d’énergie, quelle que soit la période de l’année : – l’été, il laisse respirer la structure sans risque de condensation de par sa perméabilité élevée à la vapeur d’eau (Sd 0,06 m) et réfléchit jusqu’à 95% du rayonnement solaire, – l’hiver, ses fibres sont faiblement conductrices (0,029 W/mK, R = 1,70 m2.K/W selon EN 16012), – en toute saison, il protège et renforce l’isolant en sous-face (résistance à la traction R3) et assure l’étanchéité à l’eau et au vent (W1). Autant de caractéristiques qui permettent à SKINReflex de réduire les ponts thermiques jusqu’à 25% ainsi que la surchauffe de l’habitat (jusqu’à 3 fois moins de chaleur dans les combles). Proposé en épaisseur de 13 mm avec une résistance thermique de 1,7 m2.K/W, il convient à tous les types de bâtiments (maison individuelle, immeuble, construction bois). Ecran isolant, pare-pluie et non combustible (A2-s1,d0) sous avis technique du CSTB, SKINReflex d’EDILIANS constitue la seule solution pour pouvoir fermer au faîtage et à l’égout ainsi qu’autour des conduits de cheminées, et former ainsi une enveloppe continue et isolante autour de la toiture. Associés aux panneaux sarking de la gamme Sarkeo, FLEXIClean et SKINReflex permettent une rénovation performante avec un niveau de résistance thermique donnant droit aux aides de l’état, dès lors que leur résistance thermique combinée est ≥ 6. Fruit des études réalisées par EDILIANS sur l’influence de la couleur des tuiles sur la température en sous face de couverture, ces nouvelles solutions d’isolation illustrent la mission du récent Pôle Edilians Energie Environnement : créer des synergies entre les différents éléments de la toiture en développant une offre complète de systèmes. EDILIANS montre ainsi plus que jamais sa volonté de placer la toiture au cœur de l’écohabitat. www.edilians.com
Il y a 2 ans et 218 jours

Edilians : Le photovoltaïque rouge, une solution efficace et esthétique

Préservez l’esthétisme de votre toiture tout en produisant votre propre énergie avec les tuiles solaire rouge d’EDILIANS qui se divisent en 2 gammes avec la tuile solaire max et les tuiles terre cuite solaire que sont l’Alpha Solaire, la HP 10 Solaire et la Rhôna Solaire. Les tuiles terre cuite solaires  Elles sont la solution idéale qui allie le savoir-faire de la terre cuite d’EDILIANS et l’esthétisme du rouge à la technologie photovoltaïque. C’est l’accord parfait entre la qualité des argiles, l’esthétisme des toitures modernes et la performance énergétique !   Les + des tuiles en terre cuite solaire : Un esthétisme inégalé : avec une intégration parfaite et discrète  Une simplicité de pose : forme et caractéristiques de mise en œuvre identiques à leurs équivalents en terre cuite traditionnels  Un véritable gain de temps et de rentabilité pour les professionnels de la toiture Une étanchéité irréprochable héritée des propriétés inhérentes à la terre cuite Une solution évolutive dans le temps : les tuiles en terre cuite solaire s’adaptent à une toiture existante en toute facilité La longévité et la fiabilité d’un matériau durable garanti 30 ans* La Tuile Solaire Max : C’est une solution spécialement conçue pour allier performance énergétique, évolutivité et facilité de pose, tout en respectant l’esthétisme de votre toiture ! Les + de la Tuile Solaire Max : Une durabilité optimale. Imputrescible, anti-corrosion et résistante aux intempéries Une imperméabilité sans failles depuis plus de 18 ans. Universelle, grâce à son châssis unique elle s’intègre parfaitement avec tous les modèles de tuiles de couverture. Une pose simplifiée en plein carré ou à l’égout.   *Garantie 30 ans lorsque posé avec des tuiles Edilians
Il y a 2 ans et 218 jours

A la porte de la Chapelle, un quartier flambant neuf mais une encombrante réputation

De sa terrasse en bois couverte de lierre, Aurélien Fonteneau n'entend ni les voitures sur le tout proche boulevard périphérique, ni les badauds qui arpentent la rue de la Chapelle, où se croisent voitures, camions et vendeurs de cigarettes à la sauvette.D'abord hésitant à cause de l'image de ce quartier "pas forcément évident", le jeune homme de 35 ans a changé d'avis en visitant ce trois-pièces baigné de lumière, un "coup de coeur" acheté avant l'été à "un peu moins de 9.000 euros le mètre carré", en-dessous du prix moyen du XVIIIe arrondissement.La réputation de cette porte du nord de Paris reste marquée par la "colline du crack", démantelée fin 2019, et par les campements de migrants qui s'étaient installés le long du boulevard périphérique.Avec ses tours modernes, son école et sa ferme urbaine, "Chapelle International va redorer l'image de ce quartier encore trop mal jugé", promet le maire PS du XVIIIe, Eric Lejoindre.Sorti de terre sur une ancienne friche ferroviaire, le nouveau lotissement a été imaginé pour allier une "haute qualité environnementale" à des "valeurs sociales et inclusives", explique la directrice de l'aménageur Espaces ferroviaires, Fadia Karam.Sur les 1.117 logements que comprendra à terme le nouveau lotissement (dont 43% de logements sociaux), plus de 900 ont déjà été livrés. Mais tous n'ont pas encore trouvé preneur."Tous nos logements sociaux sont occupés. Mais sur 65 logements intermédiaires livrés en mai, 46 sont encore vides", explique Christine Laconde, la directrice générale de la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP), un des bailleurs de Chapelle International."Sécurité dégradée"Locataire depuis décembre 2020, Léa (prénom modifié) cherche déjà à quitter le quartier. "Sur le papier, c'est un beau projet", explique sous couvert d'anonymat la jeune femme de 36 ans dans le hall de son immeuble. "Mais la sécurité, qui s'était améliorée, s'est à nouveau beaucoup dégradée".Même son de cloche chez son voisin Arnaud Siduron, qui a emménagé à Chapelle International il y a un an et demi. "Ma compagne n'aime pas rentrer seule le soir dans ce quartier. On cherche ailleurs", affirme le jeune homme de 27 ans.Du côté de l'opposition municipale, Rudolph Granier, conseiller LR de Paris élu dans le XVIIIe arrondissement, pourfend le "bétonnage à outrance" d'un "spot de deal" où il est "encore compliqué de se balader"."C'est un quartier magnifique, en devenir, qui connaît encore des difficultés", tempère Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la maire de Paris, notamment en charge de l'urbanisme. "Ce sera un quartier en dynamique dans à peine cinq ans."Selon lui, Chapelle International connaîtra dans les prochains mois "trois gros accélérateurs": le campus Condorcet, qui regroupera plusieurs établissements d'enseignement supérieur; l'Arena, futur site des Jeux olympiques 2024; et la rénovation de l'axe qui mène au centre de la capitale, avec l'aménagement d'une piste cyclable pérenne.Face à un square que les enfants du quartier commencent à s'approprier, Valérie Grévin loue un local commercial et un petit logement à l'étage "pour quasi la moitié du prix qu'ailleurs à Paris"."C'est ça au début qui m'a convaincue. Et puis finalement, c'est très agréable de travailler ici, il y a de la vie dans la journée. Le soir, c'est encore un peu triste", raconte Valérie Grévin, qui fabrique dans son atelier des uniformes d'hôtellerie.Pour le maire du XVIIIe, "il y a dans chaque lotissement la partie urbaine et, derrière, l'esprit de quartier, qui prend un peu plus de temps à s'installer". "Ici", assure Eric Lejoindre, "une nouvelle page est entrain de s'écrire".
Il y a 2 ans et 218 jours

Appel à Manifestation d'Intêret PROFEEL QUARTET

Dans le cadre du Programme Profeel1, le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) mène le projet Quartet - l'un des 8 projets du programme - destiné à évaluer l'impact de la rénovation énergétique des bâtiments sur les aspects Santé, Confort et Énergie. Pour ce faire, Quartet va s'appuyer sur la réalisation de mesures de la qualité sanitaire, du confort des occupants et des consommations d'énergie d'écoles et de bureaux engagés dans des opérations de rénovation énergétique. Ces mesures seront réalisées par des partenaires de confiance, formés par le CSTB et sélectionnés pour leurs compétences, leur sérieux et leur discrétion, avant et après rénovation, pour qualifier l'impact de celle-ci sur la santé et le confort des occupants, ainsi que sur la consommation d'énergie. Pourquoi ces mesures ? Dans le cadre de la rénovation des bâtiments encouragée par le Plan national de rénovation énergétique, il est nécessaire de s'assurer de l'efficacité réelle des travaux de rénovation énergétique sur la performance globale des bâtiments. Les mesures réalisées permettront de s'assurer du maintien de la qualité sanitaire, du confort, du bien-être des occupants et de la réduction effective des consommations d'énergie. Le projet QUARTET permettra notamment de capitaliser les données relatives à la performance énergie-santé-confort des rénovations des bâtiments tertiaires. Modalités de participation : Vérifiez votre éligibilité : votre bâtiment doit faire bientôt l'objet de travaux de rénovation énergétique, être occupé pendant la réalisation des mesures AVANT et APRES rénovation à réaliser sur la période 2022-2024 et avoir les mêmes usages et densité d'occupation avant et après rénovation. Confirmez votre participation : la signature d'un accord de consentement de participation par la mairie et la direction des écoles ou l'entreprise occupant les bureaux est nécessaire. Organisation du rendez-vous pour les mesures : le partenaire chargé des mesures prendra contact par téléphone ou par courriel avec vous afin de fixer les rendez-vous successifs pour la pré-visite, la pose puis le retrait des appareils de mesure. Ce que vous avez à faire : les appareils de mesure fonctionnent en toute autonomie. Il vous est simplement demandé d'être présent lors de l'intervention des techniciens, de ne pas manipuler les appareils de mesure, de répondre aux questionnaires et de faciliter l'accès aux locaux techniques. La durée d'intervention varie selon les cas entre 1 et 3 heures. Vos résultats personnalisés : les résultats personnalisés pour votre bâtiment vous seront transmis à l'issue du projet, prévue fin 2024. Quels Bénéfices ? En participant à ce projet, vous contribuerez à capitaliser les données relatives à la performance énergie-santé-confort des rénovations des bâtiments tertiaires, disposerez d'indicateurs clairs et précis sur la qualité de la rénovation de vos locaux et concourrez à la politique de maîtrise de la demande énergétique, enjeu majeur porté par les pouvoirs publics. En savoir plus : Consulter l'AMI complet et candidater Consulter le guide à destination des enseignants et des occupants des bureaux QUARTET Programme PROFEEL Le programme Profeel est lauréat de la 5e période du programme des Certificats d'Économie d'Énergie (CEE)
Il y a 2 ans et 221 jours

Soubassements et murs enterrés : Knauf présente 2 nouveautés bas carbone et 100% validées

Qu’il s’agisse d’isolation semi-enterrée ou enterrée, cette nouvelle offre Knauf bas carbone (FDES à l’appui), s’avère 100% validée puisque disposant de tous les justificatifs techniques nécessaires pour son emploi en pied de façade notamment dans les ERP et les bâtiments résidentiels et industriels (classement Euroclasse du panneau selon la réglementation incendie des systèmes d’isolation par l’extérieur).Une offre aux 4 références et 2 innovations L’industriel propose ainsi aux professionnels une gamme complète, afin de répondre à chaque besoin de chantier. Cette gamme est constituée de quatre références dont deux innovations : Knauf Périboard ULTRA+, Knauf Perimaxx ULTRA, Knauf Perimaxx Resist et Knauf Therm Soubassement SE. La première nouveauté, destinée à l’isolation semi-enterrée des soubassements, Knauf Périboard ULTRA+, qui remplace Knauf Périboard ULTRA 30 SE, est parfaitement en phase avec les exigences bas carbone et revendique une nette réduction de son impact CO2 grâce à l’utilisation de PSE recyclé lors de la fabrication du panneau isolant et à la certification PEFC du bois contenu dans le parement en bois-ciment. Knauf Périboard ULTRA+ affiche ainsi seulement 9 kg CO2/m2 sur tout son cycle de vie (ép. 90 + 10 mm R = 2,90 m2.K/W), soit la valeur la plus basse observée sur le marché pour une solution de ce type ! Panneau composite (1000 x 600 mm – soit 990 x 590 mm utiles) à bords feuillurés doté d’un parement lisse à bords biseautés, Knauf Périboard ULTRA+ se destine à l’isolation par l’extérieur des pieds de façade. Il s’applique sur les murs de soubassements (des catégories 1, 2 et 3 définies selon le DTU 20.1) sur maçonnerie de petits éléments, béton banché, béton préfabriqué et prémurs béton. Autre atout du Knauf Périboard ULTRA+, le complexe, qui revendique une réaction au feu Euroclasse B-s1, d0 (jusqu’à l’épaisseur 110 + 10 mm) est un tout en 1 comprenant une plaque de parement, et ne nécessitant pas de finition complémentaire, pour un appréciable gain de temps lors de la pose. Disponible en 8 épaisseurs (40/60/70/70/90/110/130/150/175 et 195 + 10 mm), Knauf Périboard ULTRA+ affiche des performances thermiques de 1,25 à 6,25 m2.K/W. La seconde innovation de la nouvelle offre Knauf, Knauf Perimaxx ULTRA, constitue une réponse idéale et optimisée pour l’isolation et le drainage des murs enterrés sur les profondeurs d’enfouissement les plus courantes (inférieures à 4 mètres), complétant ainsi judicieusement la solution Knauf Perimaxx Resist qui, elle, peut être mise en œuvre jusqu’à 8 m de profondeur. Knauf Perimaxx ULTRA est un panneau rigide (1265 x 615 mm hors tout, soit 1 250 x 600 mm utiles) en PSE moulé de couleur grise à quatre bords feuillurés comprenant un parement filtrant en géotextile, avec des plots de drainage en forme de losange pour assurer l’écoulement des eaux de ruissellement. Mentionnons que ce drainage intégré au panneau (capacité de débit de 1,26 litres/(s.m) sous pression de 20 kPa), se substitue totalement à l’ajout d’une nappe à excroissance indépendante pour parois enterrées, ce qui réduit le temps de mise en œuvre et les coûts. De plus, Knauf indique que Knauf Perimaxx ULTRA affiche une très faible capacité d’absorption d’eau et de vapeur d’eau, une garantie pour la durabilité des performances d’isolation dans le temps de la solution (Seulement 3% d’absorption en immersion totale ou par diffusion de vapeur d’eau à long terme). Si Knauf Perimaxx ULTRA dispose également d’une réaction feu Euroclasse E (isolant seul) selon le rapport de classement CSTB n°RA21-0102, il affiche une conductivité thermique de 0,0307 W/m.K et une résistance à la compression à 10% de déformation selon EN826 de CS (10) 100, soit 100 kPa minimum. Knauf Perimaxx ULTRA justifie d’une mise en œuvre validée par une Enquête de Technique Nouvelle et ses caractéristiques sont conformes aux Recommandations Professionnelles n°2 de la CFSE et certifiées par l’ACERMI. Knauf Perimaxx ULTRA se destine à l’isolation thermique par l’extérieur, le drainage et la filtration des eaux de remblais des parois enterrées des murs de catégories 1, 2 et 3 des ERP, bâtiments d’habitation, tertiaires industriels et agricoles. Il s’applique sur murs maçonnés de petits éléments, béton banché, béton préfabriqué, prémur béton et procédé de mur en éléments de coffrage isolant en PSE disposant d’une évaluation technique.Enfin, Knauf Perimaxx ULTRA se décline en 8 épaisseurs (68/88/108/128/148/168/188/ 208 mm) pour des performances de résistance thermique allant de 1,95 à 6,50 m2.K/W.Knauf Perimaxx Resist et Knauf Therm Soubassement SE, les autres solutions Knauf Pour répondre à un maximum de configurations de chantier, Knauf Perimaxx Resist et Knauf Therm Soubassement SE restent à la gamme. Le premier s’impose pour ses qualités de drainage intégré des eaux de ruissellement et se substitue aussi à l’ajout d’une nappe à excroissance indépendante pour parois enterrées , il revendique une profondeur d’enfouissement jusqu’à 3 niveaux de sous-sols soit 8 mètres maximum, pour des résistances thermiques allant de 1,85 m2.K/W (ép. 68 mm) à 6,15 m².K/W en épaisseur 208 mm.Pour les finition enduites ou enterrées, sans besoin de drainage, Knauf Therm Soubassement SE (panneau de 1200 x 600 mm), en plus de réduire les ponts thermiques, assure aussi une protection efficace du soubassement pendant la mise en place des remblais à faible profondeur. De forte résistance mécanique, il se décline en des épaisseurs optimisées pour répondre aux exigences réglementaires, avec une profondeur d’enfouissement maximale jusqu’à 2,40 m, pour des performances thermiques allant de 0,55 à 11,25 m2.K/W (pour des épaisseurs respectives de 20 et 400 mm).Guide de choix, cctp... : les ressources knauf disponibles Comme de tradition désormais, Knauf accompagne cette offre d’un guide de choix disponible en ligne. Un outil simple et interactif qui permet de s’assurer du choix de la meilleure solution pour l’isolation des soubassements et murs enterrés selon le type de bâtiment, la catégorie de mur et la valeur de résistance thermique recherchée.Ce guide se complète aussi d’une base de descriptifs types dans une bibliothèque technique riche de plus de 2500 références à intégrer dans les CCTP et de Knauf BatiChiffrage qui estime le fourni-posé, chiffre le coût du chantier, calcule les temps d’exécution indicatifs, …Le mot du Chef de Marché, Gérard PersuyCette nouvelle offre répond aux enjeux actuels de la conception des bâtiments neufs et de leur rénovation : réduction des impacts carbone des produits de construction, réduction des consommations d’énergie des bâtiments pour les chauffer ou les rafraîchir et durabilité des performances.
Il y a 2 ans et 221 jours

Lancement du Plan piscines 2 en Seine-Saint-Denis

Ce lancement s’est fait en présence de Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis, Jacques WITKOWSKI, Préfet de la Seine-Saint-Denis, Zaïnaba SAÏD-ANZUM, Conseillère départementale déléguée au Sport, et Stéphane BLANCHET, Maire de Sevran.Ce second plan fait suite au Plan piscines 1, de 2016 à 2022, ayant contribué à la construction de 3 nouvelles piscines (dont deux sous maîtrise d'ouvrage départemental) et d’en rénover 9, pour un investissement total de 40 millions d’euros.Accélérer la création de lignes d’eauSi le premier plan a permis d’éviter la fermeture de certains équipements et d’accentuer leur fréquentation, la remise à niveau des infrastructures et la réduction des carences en matière d’offre reste un enjeu majeur, nécessitant notamment une accélération dans la création de nouvelles lignes d’eau. Avec 37 piscines actuellement (39 à l’horizon 2024), la Seine-Saint-Denis compte moins de 60m2 de bassin de natation pour 10.000 habitants, contre 160m2 en moyenne régionale et plus de 260m2 en moyenne nationale. 7 communes sur 40 n’ont aucun équipement aquatique.Doté de 35 millions d’euros, dont 15 millions d’euros financés par la SOLIDEO (Etat et Région), ce second Plan piscines permettra non seulement de financer des projets liés à l’héritage olympique, mais aussi de poursuivre l’effort de rattrapage en matière d’équipements aquatiques dans tout le département. Il pourra s’agir à la fois de projets de construction et reconstruction, de réhabilitation lourde et d’extension, ou de rénovations et d’aménagements visant le développement des usages.Les villes et EPT qui le souhaitent pourront candidater tout au long du plan, qui durera jusqu’en 2028.Une attention particulière aux territoires carencés, à la sobriété énergétique et l’accessibilité des équipements Afin d’encourager les porteurs de projets à prendre en compte les priorités de politiques publiques que porte le Département de la Seine-Saint-Denis, des financements supplémentaires seront attribués sous forme de bonus dans plusieurs cas.Les projets situés dans de szones très carencées (aucune piscine ou carence supérieure à 2 bassins) ou carencées (carence d’1 à 2 bassins).Les projets intégrant l’ensemble des enjeux environnementaux : budget carbone maîtrisé, qualité de vie garantie, valorisation et renforcement des écosystèmes.Les projets allant plus loin que les normes réglementaires en matière d’accessibilité, mais aussi pour ceux qui favorisant l’accès bassins à tout.e.s avec la création d’équipements aqua ludiques.Pour Stéphane TROUSSEL, Président du Département de la Seine-Saint-Denis : «A deux ans des Jeux, l’écart entre les besoins en matière d’équipements nautiques et la réalité des infrastructures dont nous disposons en Seine-Saint-Denis reste un sujet de préoccupation majeure. Si notre premier Plan piscines a permis d’éviter la fermeture de certains équipements, d’en rénover et d’en construire, cet effort se poursuit et s’amplifie aujourd’hui dans la dynamique des JOP. C’est tout le sens de ce second Plan piscines que nous lançons avec Zaïnaba Saïd-Anzum, Conseillère départementale déléguée au Sport, et Emmanuel Constant, Vice-président en charge des JOP, avec le soutien de l’Etat, de la Région et de la SOLIDEO. Il n’y a pas de miracle : c’est avec des moyens et des actes que nous pourrons développer l’apprentissage et la pratique de la nage, si importants en matière de santé publique, de sécurité individuelle et de vie sociale.»
Il y a 2 ans et 222 jours

Le nombre d'emplois liés aux énergies renouvelables s'élève à 12,7 millions dans le monde

Selon un nouveau rapport, le nombre d'emplois dans le secteur mondial des énergies renouvelables a atteint 12,7 millions l'an dernier, soit un bond de 700.000 de plus en un an, malgré les effets persistants du COVID-19 et la montée de la crise énergétique.Énergies renouvelables et emploi : Revue annuelle 2022 souligne que la taille du marché national est l'un des facteurs majeurs de la création d'emplois dans les énergies renouvelables, au même titre, entre autres, que le coût de la main-d'œuvre. L'énergie solaire s'avère être le secteur qui connaît la croissance la plus rapide. En 2021, il fournissait 4,3 millions d'emplois, soit plus d'un tiers de la main-d'œuvre mondiale actuelle dans les énergies renouvelables.Le nouveau rapport a été publié par l'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) en collaboration avec l'Organisation internationale du travail (OIT), à l'occasion du Forum mondial d'action pour l'énergie propre de Pittsburgh, aux États-Unis.Face aux préoccupations croissantes que suscitent le changement climatique, la relance après la pandémie du COVID-19 et les perturbations des chaînes d'approvisionnement, les pays manifestent un intérêt de plus en plus marqué pour la décentralisation de ces chaînes d'approvisionnement et la création d'emplois au niveau national. Le rapport décrit à quel point il est essentiel de compter sur des marchés nationaux solides pour ancrer une dynamique d'industrialisation des énergies propres. Le développement des capacités d'exportation de technologies renouvelables en dépend également, ajoute-t-il.Pour Francesco La Camera, Directeur général de l'IRENA : « En dépit des nombreuses difficultés, les emplois dans les énergies renouvelables restent résilients, et il a été prouvé qu'ils constituent un moteur fiable de création d'emplois. Je conseille aux gouvernements du monde entier de mener des politiques industrielles qui encouragent la création d'emplois décents dans le secteur des énergies renouvelables au sein de leurs propres pays. Le fait de stimuler une chaîne de valeur nationale ne permet pas seulement de créer des opportunités commerciales et de nouveaux emplois pour les personnes et les communautés locales. Cela renforce également la fiabilité de la chaîne d'approvisionnement et contribue à une plus grande sécurité énergétique globale. »Le rapport montre qu'un nombre croissant de pays crée des emplois dans les énergies renouvelables, et que près des deux tiers de tous ces emplois se trouvent en Asie. À elle seule, la Chine représente 42% du total mondial, suivie par l'UE et le Brésil (10% chacun), puis les États-Unis d'Amérique et l'Inde (7% chacun).Pour le Directeur général de l'OIT, Guy Ryder : « Au-delà des chiffres, une attention croissante est portée à la qualité des emplois et aux conditions de travail dans les énergies renouvelables, en vue d'assurer un emploi décent et productif. La part croissante de l'emploi des femmes suggère que des politiques et des formations dédiées peuvent considérablement améliorer la participation des femmes dans les professions liées aux énergies renouvelables ainsi que l'inclusion et, en définitive, la réalisation d'une transition juste pour tous. J'encourage gouvernements, organisations de travailleurs et employeurs à rester fermement engagés en faveur d'une transition énergétique durable, indispensable pour l'avenir du travail. »Le rapport met en lumière un certain nombre d'évolutions majeures au niveau régional et national. Ainsi, les pays d'Asie du Sud-Est sont en train de devenir d'importants centres de fabrication photovoltaïque et de gros producteurs de biocarburants. La Chine est le principal fabricant et installateur de panneaux solaires photovoltaïques, et crée un nombre croissant d'emplois dans l'éolien offshore. L'Inde a quant à elle ajouté plus de 10 gigawatts d'énergie solaire photovoltaïque, ce qui a généré de nombreux emplois dans le domaine de l'installation, mais le pays reste fortement dépendant des panneaux importés.L'Europe, qui représente aujourd'hui environ 40% de la production éolienne mondiale et est le plus gros exportateur d'équipements éoliens, tente de reconstituer son industrie de fabrication de panneaux solaires photovoltaïques. Le rôle de l'Afrique est encore limité, mais le rapport souligne qu'il existe des possibilités d'emploi croissantes dans le domaine des énergies renouvelables décentralisées, en particulier pour soutenir le commerce local et l'agriculture, entre autres activités économiques. Sur le continent américain, le Mexique est le premier fournisseur de pales d'éoliennes. Le Brésil, qui reste quant à lui le premier employeur dans le domaine des biocarburants, crée également de nombreux emplois dans les installations éoliennes et solaires photovoltaïques. Les États-Unis d'Amérique commencent à mettre en place une infrastructure industrielle à l'échelle nationale pour leur secteur naissant de l'éolien offshore.Dans le cadre d'une transition juste, le rapport insiste sur le fait que l'expansion des énergies renouvelables doit être soutenue par des mesures politiques globales, dont la formation des travailleurs, afin de garantir des emplois décents, de qualité, bien rémunérés et diversifiés.
Il y a 2 ans et 222 jours

Conjuguer construction et rénovation : le double défi des HLM

"Comment conjuguer qualité et quantité" ? En congrès à Lyon, les bailleurs sociaux n'ont pas caché mercredi la difficulté qu'ils auront pour construire massivement du logement tout en faisant en sorte que les quelque 5 millions de logements HLM répondent aux objectifs d'un parc entièrement rénové aux normes BBC (bâtiment basse consommation) en 2050.Avec moins de 180.000 nouveaux logements sociaux sortis de terre en 2021 et 2022, contre un objectif gouvernemental de 250.000, les bailleurs sociaux ratent déjà leurs objectifs actuels de construction.En cause notamment, selon eux, un désengagement de l'Etat qui réalise des économies au détriment du logement social depuis 2017, mais aussi la remontée du taux du Livret A, principal outil de financement du logement social, qui leur ferait perdre 2 milliards d'euros par an.A cela s'ajoutent des difficultés croissantes pour obtenir des permis de construire, l'envolée des prix du foncier dans les zones tendues et le renchérissement des prix des matériaux de construction."Le logement sera certainement la prochaine bombe sociale, l'Etat s'en désintéresse complètement alors qu'il faut un plan Marshall pour faire repartir la machine", avertit Hervé Legros, président d'Alila, promoteur de logements sociaux.Pour Emmanuelle Cosse, présidente de l'Union sociale pour l'habitat, qui représente les bailleurs sociaux, "il faudrait aujourd'hui faire environ 150.000 logements sociaux par an, qu'ils soient neufs ou repris sur des bâtis anciens, pour vraiment améliorer l'offre de logements abordables".Si l'Etat a perdu en ambition sur la production, selon les bailleurs, la demande n'a jamais été aussi haute."Elle a augmenté de plus de 20% en dix ans du fait de l'envolée des prix du privé, de la décohabitation des ménages ou du vieillissement", constate Marianne Louis, directrice générale de l'USH."Faire mieux et plus"Pour elle, il n'y a pas pour autant d'arbitrage à faire entre qualité et quantité "puisqu'il faut arriver à tenir les deux bouts de la chaîne", faute de quoi "on devrait choisir entre les demandeurs et les locataires".De fait, la loi oblige les bailleurs à améliorer la qualité énergétique des HLM pour éviter que les plus énergivores (classes E, F et G) ne soient interdits à la location entre 2025 et 2034.Si tous sont globalement optimistes sur la perspective d'atteindre l'objectif de 2034, ils sont plus sceptiques sur le "zéro émission nette" en 2050 voulu par la stratégie nationale bas carbone."Nous serons au rendez-vous de 2034 parce que nous n'avons qu'un million d'étiquettes E, F et G mais on aura plus de trois millions de logements D en 2034 et ce ne sera pas possible de les transformer en C en 2050 car les capacités de la filière de rénovation et les dispositifs de prêts ne sont pas là", prévient Marianne Louis.Côté financier, les bailleurs trouvent aussi la marche trop haute. "C'est un mur d'investissement qui est infranchissable aujourd'hui", assure Marcel Rogemont, président de la Fédération des offices publics de l'habitat (FOPH), qui représente la moitié des bailleurs sociaux.Selon lui, la FOPH devrait dépenser 3 milliards d'euros par an aujourd'hui pour la rénovation, alors qu'elle n'y consacre qu'un milliard.Depuis la pandémie, qualité rime aussi avec nouvelles attentes, dont la prise en compte du bien-être des occupants, avec des bâtiments plus agréables à vivre, un environnement plus vert, ou plus d'espace pour pouvoir travailler chez soi."On est dans l'obligation de faire plus et mieux. Aujourd'hui, on a une demande de mettre des terrasses sur des immeubles qui n'en ont pas, ça coûte une blinde. On a besoin d'îlots de fraîcheur, ça coûte une blinde et pourtant il faut le faire", souligne Bruno Arcadipane, président d'Action Logement, principal bailleur social.Pour lui, la solution réside dans "plus d'argent pour le logement et plus d'ingénierie".
Il y a 2 ans et 224 jours

A Paris, les trucs et astuces d'une piscine qui recycle les énergies

Inquiet, un homme demande à l'accueil si la piscine est bien ouverte le vendredi 9 septembre, pendant qu'un groupe scolaire barbote dans le bassin d'apprentissage. "C'est une rentrée compliquée", admet Christophe Gripon, le directeur de la piscine Yvonne-Godard (XXe) à qui "plusieurs dizaines" d'usagers ont demandé depuis lundi si la crise énergétique n'avait pas eu raison de l'établissement flambant neuf.En cause, l'annonce par Vert Marine, gestionnaire privé de piscines publiques pour les collectivités, de la fermeture brutale d'une trentaine de piscines lundi, l'entreprise affirmant ne plus pouvoir faire face à l'explosion des coûts de l'énergie."Cela a un vrai impact psychologique sur les gens", assure Christophe Gripon. Séchant ses cheveux bruns, Florence Saint-Marcoux confirme : "j'étais à un vernissage hier, tout le monde ne parlait que de cela, demandait: +et toi, tu vas où?+"Cette habitante de l'est parisien, qui se rend à cette piscine quatre fois par semaine, juge la situation "grave". "On pourrait peut-être fermer 20% des piscines, les plus anciennes, les moins performantes" sur le plan énergétique, juge-t-elle.Dans Le Parisien, la ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra rappelle que "la piscine est un service public essentiel" et que si, les exploitants, privés ou publics, "sont aujourd'hui dans une situation précaire", une enveloppe de 100 millions d'euros de l'Agence nationale du sport a permis, en 2021, à 30 piscines de faire des travaux et réduire leurs consommations moyennes de 40%.A Yvonne-Godard, les factures d'énergie, que M. Gripon estime à 180.000 euros par an, sont à la charge de Récréa, un concurrent de Vert Marine qui exploite le site sous une délégation de service public (DSP) et bénéficie de contrats de fourniture d'énergie bloqués jusqu'en 2023.Équipée du toit au sous-solMais c'est par un ensemble de petits "plus" que le bâtiment, réalisé par un groupement d'entreprises pour un coût de 12 millions d'euros, a reçu le "niveau exceptionnel" du label haute qualité environnementale (HQE).Ainsi des capteurs de présence permettent-ils d'optimiser le recours à la lumière, souligne M. Gripon dont la piscine a pour objectif d'accueillir pas loin de 200.000 visiteurs en 2022.Sur le toit, les 550 m2 de panneaux photovoltaïques produisent 150 mégawatt-heure par an d'électricité utilisée pour la piscine. Exposée à l'est et au sud avec ses baies vitrées, elle est baignée de lumière, ce qui "permet de moins chauffer le bassin", selon Christophe Gripon.Pour éviter une déperdition de chaleur la nuit, des couvertures thermiques recouvrent les bassins. Mais c'est surtout la chaufferie, avec son module de cogénération, qui permet de récupérer la chaleur produite par le gaz.Ce système en sous-sol "va d'abord chauffer le réseau d'eau, qui va alimenter à la fois le bassin et l'air, et le générateur qui tourne en même temps produit de l'électricité", vulgarise Zakaria Hezhaz, le responsable maintenance du site.Des pompes à chaleur permettent d'optimiser la climatisation l'été et, inversement, de déshumidifier l'air l'hiver, via une centrale d'appoint, et "une climatisation condense l'eau récupérée dans un bac tampon pour alimenter les toilettes", explique le technicien.Moitié moins d'eau nécessaireRésultat, selon la mairie : une consommation d'eau réduite de moitié, celle d'énergies réduite de 40% par rapport aux autres piscines parisiennes, et un recours aux énergies renouvelables ou de récupération à hauteur de 31%.Après avoir délégué la construction de ses deux piscines dernier cri, la mairie a débloqué 27,5 millions d'euros pour rénover 6 de ses 42 piscines, afin de faire baisser de 30 à 35% les consommations."C'est l'investissement le plus efficace", se félicite l'adjoint à la construction Jacques Baudrier (PCF), mais "on ne peut pas toutes les rénover en même temps, sinon il n'y aurait plus de piscines pour les Parisiens".