Toute l’actualité du bâtiment regroupée sur un seul site

Résultats de recherche pour paris

(24655 résultats)
Il y a 4 ans et 189 jours

Les 60 nouveaux lauréats de l'appel à manifestation d'intérêt « Fabriques de territoire » annoncés

Cette annonce a eu lieu en conclusion de la réunion du Conseil national des Tiers-Lieux, réuni dans le cadre de l'événement « le choc des cultures » organisé à Roubaix (59) par la Condition Publique et la Compagnie des tiers-lieux, avec le soutien de l'Agence Nationale de la Cohésion des Territoires et de l'association France Tiers-Lieux.Cet appel à manifestation d'intérêt a été lancé par sept membres du Gouvernement en juillet 2019 à la Cité Fertile de Pantin (93) à la suite du rapport de la « mission coworking » pilotée par Patrick LEVY-WAITZ, Président de la fondation Travailler autrement, visant à soutenir le développement des tiers-lieux et la structuration et professionnalisation du réseau de ces lieux hybrides. Ces lieux appelés tiers-lieux, fablabs, friches industrielles ou culturelles, espaces publics numériques ont démontré leur utilité incontournable pendant le confinement et la crise sanitaire qui ont accéléré leur consolidation.Par ce programme « Fabriques de territoire », le Gouvernement encourage ce mouvement de fond et veut s'inscrire au côté des porteurs de projets, pour les aider à concrétiser et pérenniser leurs initiatives, en veillant à ce que tous les territoires soient concernés. Les ministères et partenaires associés ont défini une offre de services, qui s'étend de l'aide en amorçage, en investissement ou en fonds propres, à la mise à disposition de locaux ou à l'apport de recettes de fonctionnement. Cette approche originale est d'abord guidée par le souci de proposer un accompagnement sur-mesure à chaque porteur de projet.Ces 60 nouvelles fabriques rejoignent les 110 tiers-lieux déjà labellisés. Elles recevront une subvention de 150.000 euros sur trois ans afin de soutenir l'amorçage de leur projet, leur rayonnement au-delà du territoire dans lequel elles sont implantées, la constitution de leur équipe et la recherche de leur équilibre économique. Elles intègrent ainsi une communauté animée par des valeurs de partage, la production de biens communs, l'expérimentation de modèles de gouvernance participative et l'ambition de produire du lien social au bénéfice des habitants de leur territoire. Pour rappel, la ministre s'est engagée à accompagner le déploiement de 300 fabriques dont 150 dans les quartiers de la politique de la ville et 150 hors des grands centres urbains avec un accompagnement financier et d'ingénierie de 45 millions d'euros répartis sur 3 ans pour chaque lauréat.Cette sélection marque l'entrée de 8 nouveaux départements qui ne comptaient pas de fabriques jusqu'alors: l'Ardèche, le Gers, les Landes, l'Orne, les Pyrénées-Atlantiques, la Haute-Savoie, l'Indre, la Lozère et la Corse.Toutes les informations sont disponibles sur www.societenumerique.gouv.fr/tierslieuxListe des 60 lauréats de la 3ème vague de l'AMI Fabriques de TerritoireAuvergne-Rhône AlpesPANGLOSS LAB (01 - Ain)LE VESSEAUX-MERE (07 - Ardèche)LE MOULIN DIGITAL (26 - Drôme)LES TRACOLS (26 - Drôme)LE GRAND COLLECTIF (38 - Isère)BIG BANG BALLERS FRANCE (38 - Isère)RUES DU DEVELOPPEMENT DURABLE (42 - Loire)AGORA GUIERS (73 - Savoie)INNOVALES (74 - Haute-Savoie)Bourgogne Franche ComtéLA COURSIVE BOUTARIC (21 - Côte-d'Or)L'ARETE (25 - Doubs)BretagneCCI DES COTES D'ARMOR (22 - Côtes-d'Armor)LES COLS VERTS (35 - Ille-et-Vilaine)L'ARGONAUTE & CO (56 - Morbihan)DEPART IMMINENT POUR L'HOTEL DE LA GARE (56 - Morbihan)Centre-Val de LoireBANDITS-MAGES (18 - Cher)MAISON DES JEUNES DE LA CULTURE ET DES SAVOIRS (36 - Indre)COMMUNAUTE DE COMMUNES COEUR DE BRENNE (36 - Indre)CorseUNIVERSITE DE CORSE P PAOLI (2B - Haute-Corse)Grand EstLE RUCHER CREATIF (10 - Aube)LE SHED (51 - Marne)ASS FONDATION ETUDIANTE POUR LA VILLE (57 - Moselle)CENTRE D'ANIMATION SOCIAL ET FAMILIAL DE BISCHWILLER (67 - Bas-Rhin)LA CABANNE DES CREATEURS (67 - Bas-Rhin)COLLECTIF OR DU COMMUN (68 - Haut-Rhin)Hauts-de-FranceGRANDSOISSONS AGGLOMERATION (02 - Aisne)COOPERATIVE BARAKA (59 - Nord)CA DES DEUX BAIES EN MONTREUILLOIS (62 - Pas-de-Calais)Ile-de-FranceVERGERS URBAINS (75 - Paris)SALLE SAINT BRUNO (75 - Paris)VANDERLAB (78 - Yvelines)ASSOCIATION LES CHAUDRONNERIES (93 - Seine-Saint-Denis)ASSOCIATION PAS SI LOIN (93 - Seine-Saint-Denis)SCIC SA LA MAIN 9-3.0 (93 - Seine-Saint-Denis)NormandieLA COOP DES TERRITOIRES (61 - Orne)SCENE NATIONALE 61 (61 - Orne)LES COPEAUX NUMERIQUES (76 - Seine-Maritime)Nouvelle-AquitaineLA PROUE (17 - Charente-Maritime)LA SMALAH (40 - Landes)TRAVERSES PARCOURS (40 - Landes)COMMUNE DE PAU SERNAM (64 - Pyrénées-Atlantiques)LACAZE AUX SOTTISES (64 - Pyrénées-Atlantiques)LE TEMPS DE VIVRE (87 - Haute-Vienne)OccitanieCARCASSONNE AGGLO (11 - Aude)LAETIS CREATIONS MULTIMEDIAS (12 - Aveyron)PINGPONG COWORK (12 - Aveyron)LE 100E SINGE (31 - Haute-Garonne)GERS DEVELOPPEMENT (32 - Gers)ASSOCIATION LA DISTILLERIE (34 - Hérault)Lozère Développement (48 - Lozère)Ass. Léo Lagrange (81 - Tarn)PACAASSOCIATION LOGIS JEUNES PROVENCE (06 - Alpes-Maritimes)LA FABULERIE (13 - Bouches-du-Rhône)CIRCULAIRE Jeanne Barret (13 - Bouches-du-Rhône)HEKO FARM (13 - Bouches-du-Rhône)La Vallée du Gapeau en Transition (83 - Var)DELTA LAB (84 - Vaucluse)Pays-de-la-LoireBEAU-TIERS-LIEU (44 - Loire-Atlantique)ASS CTRE SOCIAL SOCIO CULTUREL CHEMILLE (49 - Maine-et-Loire)COMMUNE DE SAINT-DENIS-DE-GASTINES (53 - Mayenne)
Il y a 4 ans et 190 jours

Webinar « ouvrages éphémères en bois »

Le CNDB est en veille sur les réalisations épéhémère en bois dans le cadre du projet France Bois 2024, avec le concours des organisations professionnelles et des entreprises sollicitées lors d’un questionnaire fin 2019. Dans la continuité de la collaboration initiée entre Paris 2024 (le comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques) et France Bois 2024 pour répondre à la capacité de la filière bois à réaliser une partie, voire la majorité des ouvrages temporaires des Jeux, France Bois 2024 va organiser un webinar ayant pour but de partager via les retours d’expériences des acteurs concernés les atouts et points d’attention à porter à l’usage du matériau bois dans les équipements éphémères en bois, le 19 novembre 2024, entre 11 heures et 12h30. Inscription
Il y a 4 ans et 192 jours

"Un nouveau modèle d'habitat" dans le 13e arrondissement de Paris

RÉALISATION. Lauréats de l'appel à projets innovants "Réinventer Paris 1", les logements du programme Edison Lite ont été livrés par l'agence Manuelle Gautrand Architecture dans le 13e arrondissement de Paris. Avec l'ambition de proposer "un nouveau modèle d'habitat", cet immeuble fait la part belle aux espaces partagés et à un certain retour à la nature. Diaporama.
Il y a 4 ans et 192 jours

Paris 2024 : la justice valide un projet autoroutier contesté à Saint-Denis

AMENAGEMENT. Nouvelle étape judiciaire pour le projet d'aménagement d'échangeurs autoroutiers à Saint-Denis, qui doivent faciliter la desserte du village des athlètes durant les Jeux olympiques et paralympiques en 2024. Après une annulation par le juge des référés en mai 2020, cette fois, la Cour administrative d'appel de Paris a validé le projet.
Il y a 4 ans et 192 jours

L'aéroport de Nice ne prévoit pas de retour à la normale avant 2023 ou 2024

"A ce stade, on table sur une reprise du trafic pour 2023-2024", a indiqué M. Goldnadel, nouvellement nommé à la tête du directoire de cette société qui regroupe les aéroports de Nice, Cannes et Saint-Tropez, lors d'une conférence de presse."Mais on peut être dans le peloton de tête des aéroports qui vont recouvrer un peu plus rapidement leur activité, du fait de l'attractivité du territoire et du trafic réparti entre vols domestiques, passagers en provenance de grandes capitales européennes et trafic international pur", a-t-il ajouté.En 2020, l'aéroport de Nice devrait à peine enregistrer le tiers de son activité de 2019, soit 5 millions de passagers contre 14,8 millions, en raison de l'arrêt du trafic international et des restrictions au trafic européen: "Ici il y a peu d'alternatives à l'avion pour rejoindre les autres grandes capitales régionales, voire Paris, donc on a un trafic domestique plutôt plus dynamique", qui représentera 90% du trafic de l'année, a souligné M. Goldnadel.Du fait de cette baisse d'activité, la société des Aéroports de la Côte d'Azur, qui depuis 2016 est un groupe privé détenu majoritairement par le consortium Azzurra, va enregistrer des pertes en 2020, dont le montant n'a pas été précisé.ACA a fait appel à un prêt garanti par l'État (PGE), pour un montant non communiqué, effectué des économies de fonctionnement et usé du dispositif de chômage partiel à hauteur, actuellement, de 30% de l'activité de ses 520 employés. Au total, la plate-forme aéroportuaire de Nice emploie 8.000 personnes en temps normal.M. Goldnadel n'a pas souhaité à ce stade se prononcer sur la réouverture du terminal T1, fermé depuis la crise sanitaire, indiquant attendre les prévisions de vols des compagnies aériennes pour 2020.S'agissant du dossier de l'extension du terminal T2, engagé avant la crise sanitaire, M. Goldnadel persiste à penser qu'elle sera "nécessaire": d'ici trois ou quatre ans, on aura retrouvé le trafic de 2019. Or, rien qu'avec le trafic de 2019, cette extension aurait été nécessaire", a-t-il estimé, concédant seulement un "décalage" des travaux.Contestée en justice par des associations de défense de l'environnement, cette extension doit notamment permettre la construction de six salles d'embarquement supplémentaires.
Il y a 4 ans et 192 jours

Les opposants à la direction d'URW passent les 5% du capital

"La participation du consortium dans URW a franchi en hausse le seuil de 5% du capital social de la société", a déclaré dans un communiqué ce groupement, qui rassemble l'entrepreneur Xavier Niel et un ancien patron d'Unibail, Léon Bressler.Les deux hommes, qui revendiquaient jusqu'ici environ 4% du groupe, ont engagé la semaine dernière une bataille ouverte avec l'actuelle direction d'URW, qui détient une centaine de grands centres commerciaux comme le Forum des Halles à Paris.Ils s'opposent à un plan engagé par le groupe face à la crise sanitaire et économique du coronavirus. Celle-ci a lourdement affecté les revenus d'URW, confronté à la fermeture obligatoire de nombreux centres pendant des semaines de restrictions sanitaires.Les opposants à la direction refusent notamment la perspective d'une vaste augmentation de capital de 3,5 milliards d'euros, estimant qu'il ne s'agit que d'une stratégie à courte vue.Ils jugent que les difficultés d'URW remontent à bien avant la crise et accusent notamment la direction d'avoir fait une énorme erreur en s'implantant sur le marché américain avec le rachat en 2018 d'un autre géant, Westfield.Les opposants souhaitent revenir sur cette opération massive - une vingtaine de milliards d'euros - qui n'a de fait jamais séduit les investisseurs.Depuis son déclenchement, l'action d'URW n'a fait que décliner pour finalement chuter à un niveau jamais vu depuis les années 1990. L'offensive des activistes a un peu fait rebondir le titre, mais celui-ci rechutait de près de 7% jeudi.De son côté, la direction défend le rachat de Westfield ainsi que son projet d'augmentation de capital, jugeant très risqué de parier comme les opposants sur un recentrage européen et la vente des centres Westfield pour récupérer des fonds.En montant au capital, les activistes renforcent leur position à l'approche d'une assemblée générale, le 10 novembre, qui doit décider ou non de l'augmentation de capital.L'issue est incertaine car l'actionnariat d'URW est particulièrement éclaté et le projet nécessitera l'approbation d'au moins deux tiers des actionnaires présents.
Il y a 4 ans et 192 jours

Paris coloré, Paris transformé - Le fonds Albert-Kahn exposé à la Cité de l'architecture

Basée en Espagne, à Almenar de Soria, l'agence d'architecture, de design et de graphisme ­LiquenLAV a été fondée par Valentin Sanz. Valentin Sanz est d’abord architecte, mais il développe au cours de réalisations un intérêt particulier pour le design d’objet et de mobilier. Diplômé de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 193 jours

Un luminaire monumental en bambou pour le Novotel Porte de Versailles

L’agence Saguez Lifestyle (Saguez & Partner) a réalisé l’architecture intérieure du nouveau Novotel de 245 chambres à Paris-Porte de Versailles signé Wilmotte & associés et livré en 2019. Le design de l’aménagement s’inspire du thème « Bivouac » pour une invitation au voyage. Dans le restaurant du rez-de-chaussée, un luminaire monumental tressé en bambou fabriqué […] L’article Un luminaire monumental en bambou pour le Novotel Porte de Versailles est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 193 jours

Le Sacré-Cœur de Montmartre est désormais inscrit aux monuments historiques

L'inscription de la basilique avait été proposée par la direction régionale des affaires culturelles (DRAC) d'Ile-de-France. La commission régionale du patrimoine et de l'architecture (CRPA) a donné à l'unanimité un avis favorable le 13 octobre dernier, recevant le soutien explicite de la ministre de la Culture Roselyne Bachelot.Le dossier va être transmis à la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture (CNPA), chargée de statuer sur le classement du site: un statut encore plus favorable pour la protection d'un monument historique.Selon le code du patrimoine, un édifice inscrit monument historique peut recevoir jusqu'à 40 % de subventions de l'Etat pour ses travaux de conservation et de rénovation, tandis qu'un édifice classé peut bénéficier de subventions sans limites de pourcentages.La basilique, édifiée dans les années 1870 sur les plans de l'architecte Paul Abadie, ainsi que ses abords, sont concernés par cette procédure d'inscription et de classement: cela concerne notamment le square Louise Michel, lieu de commémoration de la Commune. C'est en partie sur la Butte Montmarte qu'elle est née il y a 150 ans et a été réprimée.Tous les signaux sont au vert pour un classement au premier semestre 2021, soulignait-on mercredi au ministère.150 ans après la Commune, ce nouveau statut a une signification symbolique de réconciliation, puisqu'il protège en même temps un lieu du culte catholique et le théâtre de la révolte du peuple de Paris, souligne-t-on encore de même source.Depuis 2012, l'Etat a entrepris d'étendre la protection des édifices religieux parisiens, et des églises comme la Trinité en ont profité.Symbolisant dans le monde entier Paris aux mêmes titres que Notre-Dame ou la Tour Eiffel, le Sacré-Cœur est visité (hors période Covid) par 10 millions de personnes par an. La basilique monumentale a longtemps enflammé le débat entre cléricaux et anticléricaux. Sa construction avait répondu à un voeu émis en octobre 1871 pour "expier" la défaite de la France face à l'armée prussienne. Mais la première pierre n'avait été posée qu'en 1874, soit après la Commune.Au total 66 églises sont protégées (inscrites ou classées) à Paris, sur 1.950 sites et édifices qui le sont. Environ 44.500 édifices sont protégés en France.
Il y a 4 ans et 193 jours

Disneyland Paris va se doter d'une centrale solaire grande comme 24 terrains de foot

Le projet déploiera ainsi au-dessus de 17 hectares de places de stationnement des ombrières photovoltaïques, sortes d'auvents recouverts de 67.500 panneaux solaires, qui abriteront du même coup les visiteurs des intempéries ou du soleil, a détaillé Disneyland Paris, dans un communiqué publié à l'occasion de la Journée mondiale de l'Énergie.Cette structure, construite en partenariat et coinvestissement avec le leader français du solaire photovoltaïque Urbasolar, "permet à la fois d'optimiser l'espace et d'améliorer le confort des visiteurs", a souligné auprès de l'AFP Damien Audric, directeur de l'aménagement de Disneyland Paris, première destination touristique privée en Europe."Cette centrale contribuera à la réduction des émissions gaz à effet de serre (GES) à hauteur d'environ 750 tonnes de CO2 par an au sein du territoire local de Val d'Europe en Seine et Marne ou le parc est implanté", a-t-il précisé.Les 31 GWH d'électricité produits à terme correspondent "à l'équivalent de la consommation énergétique annuelle d'une ville de 14.500 habitants", a-t-il expliqué.Selon Urbasolar, qui assurera la gestion et l'exploitation de cette centrale, il s'agira d'une des plus grandes à ombrières photovoltaïque en Europe."L'innovation et la préservation de l'environnement font partie de l'héritage transmis par Walt Disney et ce projet ambitieux qui fait appel à l'énergie solaire illustre l'engagement de Disneyland Paris sur le sujet", a déclaré Natacha Rafalski, présidente de Disneyland Paris, citée dans le communiqué.La construction a débuté en juillet à Disneyland Paris et "comme c'est un défi de construire tout en permettant l'usage du parking, c'est un chantier qui va se déplacer en plusieurs étapes" jusqu'en 2023, "avec une première partie opérationnelle dès le printemps 2021", a souligné Damien Audric."Clin d'oeil" à la magie Disney, a-t-il ajouté, "une tête de Mickey, illuminée par des leds sera visible la nuit depuis le ciel, ou à bord du ballon installé dans Disney Village".Ce projet s'inscrit dans la stratégie environnementale conduite ces dernières années par Disneyland Paris, a-t-il rappelé, et qui s'est traduite par une série de mesures allant de la suppression des pailles et plastiques mono-usage à la création d'une station d'épuration ou d'une centrale géothermique qui produit environ 20 GWh.
Il y a 4 ans et 193 jours

L’hôtel Le ChouChou mêle pop-culture française et bonne franquette dans le quartier Opéra à Paris

Plus qu’un hôtel 4 étoiles, Le ChouChou est un repère de bons vivants... Cet article L’hôtel Le ChouChou mêle pop-culture française et bonne franquette dans le quartier Opéra à Paris est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 193 jours

L’atelier-maison Ozenfant de Le Corbusier reçoit Zanotta

La collection 2020 de meubles Zanotta est mise en valeur à Paris, dans une exposition temporaire à l’intérieur de la maison Ozenfant. [©Zanotta] Les nouveaux produits 2020 de l’enseigne d’ameublement Zanotta sont mis en valeur à Paris. Ceci, dans une exposition temporaire à l’intérieur de la maison Ozenfant. Cette résidence-atelier a été conçue par Le Corbusier, en 1922, pour l’artiste Amédée Ozenfant.  Fondée en 1954, Zanotta est un des leaders du mobilier contemporain italien. De nombreuses collaborations ont permis à l’enseigne de créer des produits devenus des classiques du design : le tabouret Mezzadro des frères Castiglioni ou le fauteuil Lama, dessiné par le couple Ludovica et Roberto Palomba.  L’espace intérieur de la maison Ozenfant, pur et clair, met en scène les meubles de la collection 2020 “Back to Emotion”. [©Zanotta] Ainsi, l’espace intérieur de la maison Ozenfant, pur et clair, met en scène les meubles de la collection 2020 “Back to Emotion”. Zanotta s’approprie la vie de tous les jours dans une ambiance familiale. Une expérience de marque dans un contexte artistique. Un œuvre puriste de Le Corbusier Cette résidence-atelier a été conçue par Le Corbusier, en 1922. [©Zanotta] A l’angle de l’avenue Reille (XIVe arrondissement), l’atelier est composé d’une structure à ossature de béton armé avec des planchers lisses et des colonnes droites. [©Zanotta] En effet, la maison-atelier du peintre Amédée Ozenfant (1886-1966) est une œuvre moderniste de Le Corbusier.Elle est l’une des premières réalisations puristes de l’architecte, au même titre que les villas parisiennes La Roche et Jeanneret. Dans le quartier Montsouris, à l’angle de l’avenue Reille (XIVe arrondissement), l’atelier est composé d’une structure à ossature de béton armé avec des planchers lisses et des colonnes droites. Ce système libère les murs intérieurs et extérieurs de leur fonction portante. Et permet de grandes surfaces vitrées. Ces libertés sont exploitées dans la disposition des cloisons intérieures, qui se déplacent d’un étage à l’autre. Mais aussi dans les fenêtres à lamelles continues, qui contournent les murs intérieurs. Et enfin, dans l’atelier vitré où de grandes ouvertures sont adossées au poteau en béton. A l’étage supérieur, l’entrée de la lumière provient de trois côtés pour baigner l’atelier. L’accès au logement se fait par le côté. Le bâtiment comportait au départ un toit en dents de scie, qui a finalement été retiré. M. C
Il y a 4 ans et 193 jours

Exposition : Tsuyoshi Tane, Archaeology Of The Future

Du 17 octobre 2020 au 28 février 2021, le S AM Musée Suisse d’Architecture (Bâle) accueille l’exposition « Tsuyoshi Tane : Archéologie du Futur », et présente pour la première fois en Europe les réalisations de l’Atelier Tsuyoshi Tane Architects, agence d’architecture fondée en 2017 et basée à Paris. L'occasion de découvrir le travail et la démarche de son fondateur, l’architecte japonais Tsuyoshi Tane. Quel rôle l’architecture joue-t-elle dans la médiation entre passé et futur ? C’est la question à laquelle l’architecte japonais Tsuyoshi Tane (né en 1979) répond dans ses différents projets. Il débute chaque chantier par une phase de recherche, et inclut toujours l’histoire du site dans son processus de création. À rebours d’une architecture fonctionnelle, il défend une architecte référencée, envisagée comme une « archéologie du futur ». « Nous pensons que la mémoire n'appartient pas au passé mais qu'elle est une force motrice pour créer l'architecture du futur. » Tsuyoshi Tane, architecteAprès deux premières éditions, une à Tokyo (Japon) en 2018 et l'autre à São Paulo (Brésil) en 2019, c’est au tour du S AM Musée Suisse d’Architecture d’accueillir l’exposition « Tsuyoshi Tane : Archéologie du Futur ». La manifestation, qui présente treize projets à travers des maquettes, des croquis, des moodboards et des vidéos, révèle le travail de Tsuyoshi Tane, à la fois créatif, conceptuel et poétique. L’architecte japonais viendra enrichir son propos en présentant son approche originale de l’architecture lors de deux événements inédits : la conférence « Archaeology of the Future » (26 novembre 2020, 19 h, Ackermannshof, Bâle) et la table ronde « Context, Pretext, Subtext » avec Emanuel Christ (Christ & Gantenbein) et Catherine Gay (GayMenzel) (4 février 2021, 19h, SILO by TALENT, Bâle). « Exposition : Tsuyoshi Tane, Archaeology Of The Future », du 17 octobre 2020 au 28 février 2021, au S AM Musée Suisse d’Architecture, Bâle (Suisse). Pour en savoir plus, visitez le site du S AM Musée Suisse d’Architecture.Visuels : 1) Musée National Estonien, 2016. Tsuyoshi Tane et DGT Architects2) Hirosaki Museum, Japon, 2020. © Daici Ano3) Archaeology of the future. Inspiration wall. © ATTALa Rédaction
Il y a 4 ans et 193 jours

Un important chantier de rénovation débutera en novembre au Mont-Saint-Michel

Cette restauration est réalisée en raison d'une "dégradation sanitaire importante du bâtiment", avec "une altération de la pierre ainsi que des infiltrations d'eau", note le CMN dans un communiqué de presse."Certaines parties sont en effet recouvertes d'une couche très dense de lichen et de mousse, des surfaces conséquentes de parements se délitent et les ardoises des couvertures, vieilles de près de 150 ans, doivent être changées", ajoute le CMN.Pour réaliser ce chantier, d'un budget de près de sept millions d'euros, il sera nécessaire de monter des échafaudages d'une hauteur équivalente à celle de l'Arc de triomphe de Paris pour restaurer quelque 8.000 m2 de façades du bâtiment.Un ascenseur sera même installé le long de la façade afin d'accéder plus rapidement aux niveaux supérieurs du chantier, où une trentaine de compagnons interviendront.L'abbaye du Mont-saint-Michel, qui a rouvert le 15 juin après une fermeture liée à la pandémie du Covid-19, restera ouverte au public pendant la restauration."Les travaux seront réalisés par Degaine, filiale de VINCI Construction France, spécialisée dans la restauration des bâtiments classés ou inscrits à l'inventaire des monuments historiques", précisé le CMN.L'abbaye du Mont-Saint-Michel, qui a accueilli plus d'1,4 million de visiteurs en 2019, a fait l'objet de plusieurs campagnes de restauration ces dernières années, dont la statue de l'archange Saint-Michel (2016) ou le cloître (2017).
Il y a 4 ans et 194 jours

Coronavirus: des retards dans les chantiers du métro de la RATP

La crise sanitaire a entraîné des retards dans les chantiers du métro dans la région parisienne, dont les prolongements des lignes 4 à Bagneux (Hauts-de-Seine) et 12 à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis).
Il y a 4 ans et 194 jours

Le notariat élit David Ambrosiano à sa présidence, les débats relancés sur l'ouverture de la profession

"David Ambrosiano, 50 ans, notaire à Fontaine - Isère -, a été élu président du Conseil supérieur du notariat", a annoncé dans un communiqué cette institution, qui chapeaute l'ensemble de la profession en France.M. Ambrosiano, qui succède au notaire parisien Jean-François Humbert, a immédiatement demandé à suspendre l'ouverture en cours de la profession, dans la lignée des précédentes prises de position du Conseil.Cette libéralisation, très relative, a eu lieu dans le cadre de la "loi Macron", adoptée en 2015 quand l'actuel président de la République était ministre de l'Economie.Elle a, concrètement, débouché sur la création de plusieurs centaines de nouveaux offices de notaires, alors que les nouveaux arrivants devaient jusqu'alors hériter d'une étude déjà existante, à de très rares exceptions près.Cette ouverture suscite l'opposition, vive au début puis plus contenue par la suite, des instances de la profession qui craignent les conséquences économiques d'une ouverture à la concurrence jugée trop brusque."Une pause dans les créations est nécessaire pour permettre le développement des offices créés récemment, et ne pas casser notre maillage territorial unique", a demandé mardi M. Ambrosiano.Peu avant l'été, l'Autorité de la concurrence, qui fournit régulièrement au gouvernement une feuille de route pour mener cette ouverture, a déjà promis de tenir compte des effets de la crise sanitaire et économique du coronavirus sur la profession.Le notariat a, néanmoins, récemment subi une défaite juridique devant le Conseil d'Etat à ce sujet. L'institution a refusé ce mois-ci d'annuler les dernières créations d'offices, décidées fin 2018 par le gouvernement en suivant l'avis de l'Autorité de la Concurrence.
Il y a 4 ans et 194 jours

Le Sacré-Cœur bientôt un monument historique ?

Un siècle après la consécration de la Basilique, la DRAC Île-de-France a engagé le processus pour protéger le Sacré-Cœur au titre des monuments historiques. À ce jour, elle ne bénéficie d’aucune protection au titre des monuments historiques, ce qui reflète la progressive et parfois difficile reconnaissance du patrimoine du XIXe siècle. La basilique s’est pourtant imposée comme une référence en matière d’architecture religieuse au moins jusque dans les années 1950, et est devenue un édifice parisien incontournable voire iconique pour les nombreux visiteurs de la capitale. Ce projet de protection a d’abord fait l’objet d’un examen en commission régionale de l’architecture et du patrimoine d’Île-de-France le 13 octobre 2020, en vue d’une inscription au titre des monuments historiques. La commission régionale en ayant formulé le vœu, la basilique pourra ensuite être proposée au classement après consultation de la commission nationale, et sur décision de la ministre de la Culture.
Il y a 4 ans et 194 jours

Appel à projets : création de deux œuvres artistiques éphémères pour cacher les travaux du ministère de la Culture

Le ministère de la Culture met en œuvre le « projet Camus » de regroupement de ses services d’administration centrale sur trois sites au lieu de sept actuellement. Dans ce cadre, le ministère entreprend des travaux de modernisation et lance un marché pour la réalisation de deux créations artistiques éphémères sur les habillages extérieurs des installations de chantiers de l’hôtel de Valois et de l’immeuble des Bons-Enfants (Paris 1e). Chacune des deux œuvres sera installée sur la voie publique, le temps des travaux, de janvier à novembre 2021. Cette commande a aussi pour but de montrer la vitalité de la création visuelle contemporaine. Périmètres : Hôtel de Valois : deux palissades de chantier et habillage d’un échafaudage à partir de janvier 2021 (bâche tendue). Immeuble des Bons-Enfants : une palissade de chantier à partir de juin 2021 (installations situées à proximité, sans co-visibilité). Déroulé de la procédure : 1e phase : candidature sur dossier, sélection de 3 dossiers mi-novembre, 2e phase : rendu des offres mi-décembre, sélection du lauréat : courant décembre 2020 pour une installation en janvier 2021. Dépôts des candidatures sur www.marches-publics.gouv.fr Numéro de consultation : 2020-24-CAMUS Photo : ministère de la Culture, immeuble des Bons-Enfants, photographe : Mehrak Hans Lucas
Il y a 4 ans et 195 jours

L'éolien en mer sur la voie de la simplification

DECRYPTAGE. L'éolien en mer est un "secteur qui peut faire de la place parisienne" un acteur de premier plan selon plusieurs professionnels. Si sa jeune histoire a été jalonnée de difficultés, de nombreuses mesures sont venues simplifier les procédures. Et ce n'est pas fini. Les perspectives pour la filière seraient même nombreuses.
Il y a 4 ans et 195 jours

L’avenue du XXIe siècle, de part et d’autre du périphérique parisien

Comment éviter que le bonheur momentané des cyclistes parisiens ne rejoigne le malheur des automobilistes franciliens ? Une logique urbaine, et la beauté du ring. Le fait de limiter la vitesse à 50km/h sur le périphérique, bonne ou une mauvaise idée ? Nous n’en sommes plus là. Faut-il recouvrir d’un tapis vert le périphérique qui enceint Paris ? […] L’article L’avenue du XXIe siècle, de part et d’autre du périphérique parisien est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 195 jours

Des ventes exceptionnelles du patrimoine immobilier ont dopé les gains de l’État l'an dernier

Initialement, le gouvernement avait prévu que les cessions immobilières lui rapportent 320 millions d'euros en 2019, précise le gouvernement dans ce document annexé au projet de budget 2021.Cet écart s'explique principalement par la conclusion de la vente de la deuxième partie de l'Ilot Saint-Germain, situé dans le VIIe arrondissement de Paris, à la Régie immobilière de la ville de Paris, et qui a rapporté à elle seule plus de 368 millions d'euros.Ce montant est bien supérieur à ce qu'en attendait l'État, qui avait évalué ce bien "entre 198 et 222 millions d'euros".De même, la vente de l'hôtel de Seigneley dans le VIIe arrondissement, propriété du ministère de l'Économie, a rapporté à l'État 61 millions d'euros.Mais ces gains exceptionnels ne devraient pas être réédités cette année. "Pour le début de l'année 2020, la répartition par ministère des cessions 2020 subit les effets de la crise sanitaire", note le gouvernement.Ainsi entre le 1er janvier et le 3 août, 271 biens ont été cédés pour un montant de 47 millions d'euros.Le plan prévisionnel d'environ 260 millions d'euros de cessions par an pour la période 2020-2022 s'annonce ainsi difficile à tenir.Par ailleurs, depuis 2013, l'État s'est engagé à céder chaque année du foncier public avec une décote afin d'y faciliter la construction de logements sociaux.L'an dernier, 13 nouvelles cessions ont eu lieu (après 18 en 2018, 21 en 2017 et 34 en 2016). Au total, les 120 réalisées depuis 2013, doivent permettre la construction de 11.000 logements, dont 8.500 logements sociaux, représentant un effort financier de l'État de 226 millions d'euros via les décotes accordées, précise le gouvernement dans ce document.Désormais, l'État a vendu ses biens "les plus liquides" et la nouvelle stratégie de gestion de son patrimoine, établie fin 2018, prévoit de "conserver et de louer les immeubles inutiles, mais présentant un intérêt particulier, par exemple, en raison de leur situation géographique, de leur configuration, de leur valeur patrimoniale".Une dizaine de sites parisiens ont d'ores et déjà été identifiés.
Il y a 4 ans et 195 jours

Nouveau centre d’entraînement du Paris Saint-Germain à Poissy : livraison du chantier en 2022

Le futur centre d’entraînement et de formation du Paris Saint-Germain à Poissy sera mis en service en 2022.
Il y a 4 ans et 195 jours

A Paris, la Bourse de commerce réhabilitée par Tadao Ando ouvrira en janvier 2021

Reportée pour cause de pandémie, l'ouverture au public de la nouvelle antenne de la collection Pinault à Paris, la Bourse de commerce, est finalement annoncée pour le samedi 23 janvier 2021. Les passionnés d'art et d'architecture se contentaient depuis plusieurs mois des images subliminales diffusées sur le compte Instagram de la Bourse de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 196 jours

La Fédération des Ascenseurs dévoile les lauréats du concours d'architecture "La Cité des Ascensions Durables"

Ce concours était doté de 9 000 € de prix. Il s'agissait de réfléchir à la manière dont les techniques les plus pointues de l'ascensorisme et du levage, peuvent améliorer la qualité de l'environnement et des cadres de vie de demain.Grâce à ces nouvelles méthodes, les candidats ont pu proposer des pistes poétiques, réalistes et/ou futuristes, pour redynamiser les centres-villes anciens, pour mieux vivre en ville dense, pour préserver les terres agricoles, pour diminuer l'impact des voitures, pour rendre plus durables les immeubles de grande hauteur, pour favoriser l'agriculture urbaine, pour améliorer les recyclages courts et les stockages de proximité, pour simplifier les déplacements, pour économiser l'énergie et améliorer le confort ou pour installer de nouveaux artisanats en ville.Les projets montrent que la jeune génération est prête à relever les défis de l'innovation pour réfléchir autrement aux cadres de vie. Pour elle, il s'agit d'allier préservation de la planète et emploi des hautes technologies propres.Madame Emmanuelle COSSE, ancienne ministre du Logement a présidé le jury composé de Claire Bailly, architecte, enseignante, chercheure, co-fondatrice de l'Atelier Bio-numérique, Vincent Ducrey, co-fondateur et dirigeant du Digital Think Tank HUB Institute, Guillaume Fournier Favre, Président de la Fédération des Ascenseurs, Thomas Guéret, Chef de la mission prospective au Ministère de la transition écologique et solidaire, et Jean-Michel Jacquet, architecte conseil de la DGALN.La réunion du jury a été animée par Alain Meslier, Délégué Général de la Fédération des Ascenseurs et Jean Magerand, architecte, docteur, chercheur, co-fondateur de l'Atelier Bio-numérique.Les lauréats du concours1er prix : Le sens de la GravitéLouis HAREL, ENSA Lyon – 4 000 €Une utopie réaliste low tech pour logements existants, autour des cages d'ascenseur high tech, où convivialité et cycles courts sont les maître-mots. L'ascenseur devient le centre d'un tiers-lieu vertical, utilitaire et poétique. Ce lieu de rencontre et d'échange rend la vie des habitants plus écologiquement vertueuse et plus confortable.2ème prix : Flux LabGeorges SOUAID et Marina CAMACHO GALAN, ENSA PLV – 2 000 €Un projet radical pour une ville verticale généreuse, où high tech numériques et sources biologiques d'énergie se combinent pour contribuer à proposer des villes plus sereines et plus respectueuses des milieux naturels.3ème prix : Flying GardenNoémie GRATIEN, ENSA Lyon – 1 500 €La verticalité au service d'exploitations agricoles urbaines, rendues opérationnelles par des systèmes sophistiqués de dessertes automatiques horizontales et verticales.4ème prix : RélévationMona MENADI, Carrick REDDIN, Alexandra VAN MILINK, SciencesPo Paris Sciences Po Paris ; Alice DUVIVIER, Ingénieure INSA Rouen – 1 000 €Exploiter les sous-sols des villes comme un gisement d'espaces à occuper, pour densifier sans surélever. L'ascension durable est mi-aérienne, mi-souterraine, parcourant une ville compacte, laissant à la lumière naturelle les espaces de vie, et utilisant les espaces sombres pour les dispositifs de stockage, production, circulation.5ème prix : Retour à la terre en s'élevant vers le cielBaptiste MINGOIA, David LUCOT, diplômés Master d'Architecture, ENSA PVS – 500 €Une utopie pour l'équilibre entre ville et nature, avec de grandes tours multi-programmatiques, écologiques, organisées chacune autour d'un bassin vertical, qui stocke la pluie et l'eau atmosphérique, irrigue les cultures, fournit de l'énergie.Projets Mentionnés :ADN2 - Ascenseur Développeur de Nature dans la Néo-technologie, Clément BEAUQUIER, doctorant Polytechnique Paris ; Manon BELEC, Yann DODUIK, diplômés Master d'ArchitectureMention Amélioration de la biodiversité en villeTerminus Betterave - Gare agricole sur le circuit maraîcher de la Somme, Antonin DELAIRE, École d'architecture Marne La ValléeMention Transport et stockage automatiques des produits agricoles en circuits courtsLes sommets du réemploi - Mobilités et programmations innovantes en montagne, Marion SERRE, Gabriele SALVIA, docteures en architecture ; Mirella CACCIA KOSTOVIC, ENSA MarseilleMention Mobilités vertueusesHUB2O, Aude CALATAYUD, Estelle JACOB, ENSA StrasbourgMention Innovation en matière de transport urbainPerversions, Livio SPADA, Master Spatial Planning Londres, Federico PERUGINI, École d'architecture de Pavia, Nicola DRAGHI, Master Sustainable Energy Technology TU DelftMention Innovation territoriale et politique
Il y a 4 ans et 196 jours

Baromètre Domexpo : où les franciliens font-ils construire ?

En 2019, 8.557 ménages originaires d'Île-de-France ont obtenu une autorisation pour la construction d'une maison individuelle neuve. Parmi eux :6.091 ont fait construire en Île-de-France, soit 71%2.466 l'ont fait dans une autre région française, soit 29%Ces tendances restent stables par rapport au dernier Baromètre Domexpo dédié à cette thématique qui révélait également que 30% des ménages originaires de l'Île-de-France ont choisi de quitter leur région d'origine pour s'installer, principalement, dans l'ouest et le sud de la France.Quelles sont donc les zones géographiques françaises choisies par les (futurs ex) franciliens qui décident de faire construire ?Le Baromètre Domexpo révèle ainsi que, parmi les 2 466 ménages qui font construire en dehors de l'Île-de-France :30% d'entre eux choisissent la façade Atlantique (v/s 37% en 2018) ;29% optent pour un département limitrophe à l'Île-deFrance (v/s 30% en 2018) ;14% souhaitent s'installer sur la façade Méditerranéenne ou en Corse (v/s 10% en 2018).Les autres (27%) sont dispersés sur le reste de la France.« Comme pour les éditions précédentes, on constate qu'1 francilien sur 3 choisit de faire construire sa maison en dehors de l'Île-de-France, principalement sur la façade Atlantique, ou la bordure Méditerranéenne. Pour ceux qui choisissent de faire construire aux alentours de l'Île-de-France, il s'agit principalement de primo-accédants qui souhaitent bénéficier d'un coût du foncier plus abordable, tout en restant à proximité de leur région d'origine… Rappelons que cette configuration francilienne est assez atypique, car dans toutes les autres régions françaises, les ménages ne s'éloignent que très rarement de leur lieu de domiciliation initial.Toutefois, ces tendances devraient très prochainement évoluer : avant le confinement lié à la crise sanitaire, les particuliers ne souhaitaient pas trop s'éloigner de Paris, et donc de l'Île-de-France, afin d'éviter des temps de trajets trop longs pour aller sur leur lieu de travail. Mais, aujourd'hui, ils ont changé d'état d'esprit et n'ont plus peur de passer du temps dans les transports en commun ou en voiture. De plus, la généralisation du télétravail favorise cet éloignement. L'Eure (27) et l'Oise (60) deviennent par exemple des départements de plus en plus recherchés. Nous vous donnons donc rendez-vous pour l'édition 2021 du Baromètre Domexpo consacré aux franciliens qui font construire, pour constater les premières conséquences de la Covid-19 sur les départements privilégiés pour faire construire sa maison. »Daniel Lair-Lachapelle, Président de Domexpo
Il y a 4 ans et 196 jours

Kiloutou crée une nouvelle filiale spécialisée dans la signalisation & la protection des chantiers

De la demande administrative d'emprise sur voie publique au démontage des installations, les différentes étapes liées à l'organisation d'un chantier ou d'un évènement nécessitent, à la fois, des équipements spécifiques, de la flexibilité et de la réactivité.Fort de ce constat auprès des acteurs du BTP, des collectivités territoriales et des entreprises organisatrices d'évènements, KILOUTOU Signalisation a ouvert sa première agence à Génicourt (95) pour servir notamment l'Ile-de-France et les chantiers du Grand Paris.L'offre de produits la plus large du marchéAvec un catalogue de plus de 250 références, KILOUTOU SIGNALISATION propose l'offre la plus large du marché des dispositifs de signalisation routière, d'équipements d'affichage et de matériels pour sécuriser et protéger les chantiers et toutes manifestations publiques ou privées :Matériels pour le franchissement des sols : tunnel pour piéton, passerelle véhicule ou piéton, plaque de protection des sols ou passage de câbles, plaque de franchissement acier et résine…Séparateurs de voies et de protection en béton ou en PVC, plots anti-intrusion...Barrières de police, de Travaux Publics en acier ou PVC, grillagées, rampes canaliseur de foule…Panneaux de signalisation (danger/interdiction/indication/chantier), cônes et balisage (balises, feux de signalisation fixes et temporaires) avec possibilité de personnalisationMarquage au sol fixe ou temporaireProtections, clôtures et bardages de chantier : clôture bardée, palissade et portail de chantier, clôture ville de Paris… avec possibilité de personnalisation des façadesÉquipements de chantier : guérite, conteneur, WC chimique, WC PMR, toilette sèche, urinoir…Des services complémentairesKILOUTOU SIGNALISATION s'impose comme un véritable partenaire du BTP, des collectivités territoriales et de l'événementiel en proposant une gamme de services répondant concrètement aux besoins d'agilité et de réactivité :Une gestion et traitement des autorisations administratives d'emprise sur la voie publiqueLes demandes administratives permettant la pose d'éléments sur la voie publique peuvent être prises en charge par KILOUTOU SIGNALISATION en amont du montage.Un service de livraison, d'installation et de reprise assuré 24h/24, 7j/7Une reconfiguration des installations pour un suivi au plus près des différentes phases des chantiersLes équipes de KILOUTOU SIGNALISATION suivent les différentes étapes des travaux et réadaptent la disposition des éléments, tout en préservant la sécurité des installations et des personnes.Une maintenance et/ou un remplacement en cas d'éléments cassés ou manquantsIl est possible de bénéficier d'une maintenance préventive et curative des installations durant toute la durée de la location. Une équipe de monteurs dédiée intervient en cas de casse ou de vol des éléments.Une prestation pour le marquage au solPour les passages piétons temporaires ou pour des marquages de déviations de voies, KILOUTOU SIGNALISATION dispose du matériel nécessaire pour produire les réalisations demandées, y compris la pose d'éléments podotactiles.Des impressions à la demande de panneaux de communication ou de signalisationKILOUTOU SIGNALISATION propose la réalisation de panneaux de communication, telle que la signalétique évènementielle de grande taille ou des panneaux de chantiers.
Il y a 4 ans et 196 jours

Susanna Fritscher, un art de l'espace - Portrait

Reportée pour cause de pandémie, l'ouverture au public de la nouvelle antenne de la collection Pinault à Paris, la Bourse de commerce, est finalement annoncée pour le samedi 23 janvier 2021. Les passionnés d'art et d'architecture se contentaient depuis plusieurs mois des images subliminales diffusées sur le compte Instagram de la Bourse de […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 198 jours

Au S AM, Tsuyoshi Tane – Archéologie du Futur

A Bâle, le Musée d’architecture suisse (S AM) accueille l’exposition monographique Archéologie du Futur de l’atelier parisien Tsuyoshi Tane avec comme objectif de partager ce processus créatif avec le grand public. Jusqu’au 28 février 2021. Quel rôle l’architecture peut-elle jouer dans la médiation entre passé et futur ? C’est la question que l’architecte Tsuyoshi Tane […] L’article Au S AM, Tsuyoshi Tane – Archéologie du Futur est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 198 jours

Tours Habitat : 53 logements signés Atelier du Pont

L’agence parisienne Atelier du Pont (Anne-Cécile Comar et Philippe Croisier) a livré en 2019 à Tours (Indre-et-Loire) une opération de 53 logements sociaux (3 600m² SDP) répartis en trois bâtiments autour d’un îlot ouvert traversé par des venelles publiques. Coût travaux : 5 M€ HT. Communiqué. Les gabarits variés des bâtiments et leurs typologies adaptées (maisons superposées, […] L’article Tours Habitat : 53 logements signés Atelier du Pont est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 199 jours

Le secteur de la construction dispose-t'il des capacités numériques suffisantes pour la smart city ?

Finalcad, éditeur de logiciels leader du secteur de la construction, publie les résultats de son étude menée auprès de 400 dirigeants de la construction en France, en Espagne, à Singapour et au Japon dédiée à l'avenir de la construction et de la numérisation.Cette étude révèle que près de la moitié (47%) des personnes interrogées estime que le secteur de la construction ne dispose pas des capacités numériques suffisantes pour répondre aux exigences de la ville intelligente. Ce résultat interpelle alors que le développement intelligent ne cesse de prendre de l’ampleur à travers le monde. À titre d'exemple, en prévision des Jeux olympiques et paralympiques de Paris en 2024, le gouvernement français a déclaré que les nouvelles constructions et installations devraient être durables et « intelligentes ». Pour répondre à cette exigence, les sociétés de construction doivent combler leurs lacunes numériques et, en raison de l'incidence actuelle du COVID-19, accélérer leur transformation numérique dès maintenant, au risque de passer à côté d'importantes opportunités.Le défi de la transformation numérique du secteur de la constructionAujourd'hui, le secteur semble relativement prêt à affronter le défi de la numérisation : en effet, 95% des répondants indiquent que leur entreprise est « assez préparée » en matière de collecte de big data et d'adoption des technologies numériques.Des freins qui persistentCertaines barrières demeurent cependant, ainsi 68% des personnes interrogées affirment que leur principale difficulté, en termes de développement intelligent, est leur incapacité à collecter les données en temps réel. Dans ce domaine, plus d'un quart d'entre elles (28%) pointe également son inaptitude à créer l' « empreinte » numérique d'un bâtiment ou d'un actif.Surmonter ces obstacles sera essentiel pour le développement intelligent, mais aussi pour la construction « verte ». Par exemple, la Commission européenne met actuellement en place Level(s), une nouvelle structure qui permettra d'ici fin 2020 d'adopter une nouvelle approche de développement des bâtiments durables. Level(s) encourage les constructeurs, les architectes et les autorités publiques à réfléchir au cycle de vie d'un bâtiment, depuis l'achat des matériaux jusqu'à son éventuelle déconstruction et au recyclage des matériaux. Toutefois, l'étude conclut que les sociétés de construction ne sont pas encore prêtes à adopter ce type d'approche. En effet, nombre d'entre elles ne peuvent pas collecter et communiquer les données concernant la provenance des matériaux (32%) ni le pourcentage de déchets de matériaux recyclés sur un chantier (42%).« Le COVID-19 a durement touché le secteur de la construction, et le chiffre d'affaires des entreprises a absorbé le plus gros de l'impact. Notre étude montre que les marges bénéficiaires stagnaient déjà à environ 2% avant le COVID-19. Même si l'extrême difficulté qu'affronte le secteur ne fait aucun doute, elle offre aux sociétés de construction l'opportunité de passer au numérique afin d'assurer leur avenir. En privilégiant une numérisation immédiate, elles seront en mesure de tirer parti des futures tendances telles que les villes intelligentes et la construction verte. Ce faisant, elles pourront jouer leur rôle en contribuant à un futur plus durable, tout en accédant à de nouvelles sources de revenus essentielles à leur relance. »-Franck Le Tendre, PDG de Finalcad L'étude révèle également que les lacunes de compétences numériques constituent un frein à la transformation numérique pour la plupart des entreprises de construction : 96% des personnes interrogées estiment que leurs collaborateurs ne disposent pas des aptitudes nécessaires pour utiliser les applications et les outils numériques dans une certaine mesure.Vers une accélération de la numérisation pour plus de productivité et d'efficacitéPour relever ce défi, les sociétés de construction doivent investir dans des solutions intuitives privilégiant l'expérience utilisateur et la simplicité d'utilisation. Tous les collaborateurs pourront ainsi utiliser ces nouveaux outils, quelles que soient leurs compétences actuelles. En promouvant l'adoption des outils numériques grâce à cette approche, la numérisation s'accélèrera, à l'instar de la productivité, de l'efficacité et de la collaboration entre projets. Compte tenu du fait que 97% des dirigeants de la construction reconnaissent avoir certaines difficultés pour travailler de façon collaborative et partager facilement des informations, il est particulièrement important de catalyser ce changement.« La réduction des lacunes de compétences numériques jouera un rôle crucial pour contribuer à une collaboration et une communication efficaces dans le secteur de la construction. Il est par ailleurs essentiel de nous remettre des bouleversements causés par le COVID-19, qui a considérablement modifié le fonctionnement des entreprises, dans les bureaux comme sur les chantiers. La création de la première workplace numérique permettra aux sociétés de construction de jeter les bases numériques de leur future réussite. Point crucial, l'environnement de travail numérique est de surcroît bien plus attrayant pour les jeunes collaborateurs, étant donné que d'ici 2025, 75% des professionnels seront des millénials. Cette approche permettra aux entreprises de tirer parti des tendances et des opportunités commerciales post-COVID-19. »-Franck Le Tendre, PDG de Finalcad Étude Dirigeants Finalcad 2020 : « L'avenir numérique de la construction internationale » est la deuxième partie du rapport qui vise à analyser la numérisation de la construction.Pour consulter les résultats complets et télécharger le rapport, cliquez iciL'étude a été menée en février et mars 2020 pour Finalcad et réalisée par Coleman Parkes, société indépendante d'études de marché auprès de 400 personnes travaillant dans des entreprises de construction commerciale et résidentielle avec un chiffre d'affaires supérieur à 51 millions de dollars par an en France, en Espagne, à Singapour et au Japon. Au total, 200 responsables de site/directeurs gérant en moyenne 10 sites, et 200 responsables/directeurs de siège ont été interrogés. Sur les chantiers, les répondants étaient des chefs de projet, responsables d'un chantier ; aux sièges, il s'agissait de directeurs d'unité opérationnelle chargés de la construction.Pour plus de détails, consultez la section « Informations démographiques ».
Il y a 4 ans et 199 jours

Grand Prix national de l'ingénierie : Ingérop deux fois lauréat

RECOMPENSES. Ingérop a remporté deux des quatre distinctions du grand Prix national de l'ingénierie, dont l'annonce des lauréats a eu lieu le 15 octobre, à Paris.
Il y a 4 ans et 199 jours

La crise sanitaire entraîne des retards dans les chantiers du métro de la RATP

Le prolongement de la ligne 4 à Bagneux-Lucie Aubrac, sur 2,7 km avec deux stations supplémentaires, doit maintenant être mis en service "fin 2021", au lieu de mi-2021, a détaillé la compagnie publique dans un communiqué.Celui de la ligne 12 jusqu'à la mairie d'Aubervilliers, sur 1,9 km avec deux stations supplémentaires, est envisagé pour le printemps 2022, et plus fin 2021.Parmi les autres chantiers, le prolongement de la ligne 11 sur 5,4 km, avec six stations supplémentaires, jusqu'à Rosny-Bois-Perrier (Seine-Saint-Denis) est envisagé "à l'horizon 2023", selon la RATP.Quant à la mise en service du prolongement de la ligne 14 au sud d'Olympiades (Paris) à l'aéroport d'Orly (Essonne), 14 km de plus avec sept stations nouvelles, elle est toujours "planifiée en 2024 avec l'ambition maintenue d'être opérationnel pour les Jeux olympiques 2024"."Ces nouveaux calendriers des chantiers restent sous réserve de l'évolution de la situation sanitaire et économique qui peuvent nécessiter une adaptation permanente", a précisé la RATP.Dans l'immédiat, la ligne 14 doit être prolongée au nord le 14 décembre, sur 5,8 km jusqu'à la mairie de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis).Trois nouvelles stations seront ouvertes à cette occasion. La quatrième, Porte de Clichy, ne le sera qu'en janvier.
Il y a 4 ans et 200 jours

La Société du Grand Paris sécurise 50 % de la construction du Grand Paris Express

La Société du Grand Paris (SGP) a poursuivi son programme d'obligations vertes destiné à financer la construction du métro automatique qui doit faire le tour de la capitale.
Il y a 4 ans et 200 jours

Le milliardaire français Pinault ouvrira son musée parisien en avance

François Pinault va ouvrir, dès janvier, avec quelques mois d'avance, le musée en plein Paris abritant sa collection, de quoi redonner le moral à un monde de l'art déprimé par la crise sanitaire.
Il y a 4 ans et 200 jours

JO-Paris 2024: les opérateurs immobiliers du village des médias désignés

Les groupements Sogeprom, Demathieu et Bard Immobilier, ainsi qu'Ametis, Ideom et Gaïa promotion vont construire le village des médias, situé en Seine-Saint-Denis, pour les Jeux olympiques de Paris 2024.
Il y a 4 ans et 200 jours

Rupteurs thermiques Schöck pour la construction de « Biotope » à Lille

Le 27 décembre 2019, la Métropole Européenne de Lille s’est vue remettre les clés du bâtiment qui doit accueillir prochainement ses 30 000 m2 de bureaux sur 7 étages, au cœur du 3ème quartier d’affaires de France (après Paris et Lyon). Imaginé par les architectes Henning Larsen Architects (Copenhague) et Keurk Architectures (Lille), avec pour maître d’ouvrage Linkcity Nord-Est et constructeur Bouygues Bâtiment Nord-Est, le Biotope s’avère ambitieux en matière de qualité environnementale, affichant 5 certifications BREEAM, WELL, E+C-, Biodivercity et Wiredscore. Sa conception s’appuie sur la recherche du bien-être et de la performance de ses occupants, en favorisant notamment la lumière (via de grandes ouvertures donnant sur des terrasses végétalisées) et l’usage de matériaux naturels comme le bois ou la pierre. Initialement envisagé dans le cadre de la candidature de Lille à l’accueil de l’Agence Européenne des Médicaments, le bâtiment devait être réalisé en seulement un an et demi. Cette rapidité de construction est restée un objectif majeur quand la MEL s’est finalement vue confier le projet. En vue de garantir l’homogénéité thermique du bâtiment, Schöck a été retenu pas Bouygues Construction pour la fabrication et la livraison de rupteurs adaptés à la configuration de ce chantier. Autre critère qui a imposé Schöck sur le marché : le fait que ses solutions soient les seules du marché sous Avis Technique en configuration sismique en ITE, or le bâtiment, de catégorie d’importance 3, est construit en zone 2. C’est ainsi que Schöck a déployé 200 ml de rupteurs Schöck Rutherma® type K pour les balcons en porte-à-faux classiques et 100 modèles Schöck Rutherma® type K-BH pour les balcons décalés vers le haut (décalage de 30 à 60 cm par rapport au nu supérieur du plancher). 150 unités complémentaires Schöck Rutherma® module ESi, garantissant une reprise des efforts sismiques, ont été intercalées entre les éléments Schöck Rutherma® type K et K-BH. 470 m2 de prémurs isolés au rez-de-chaussée ont intégré des connecteurs thermiques Schöck Isolink® pour garantir l’homogénéité de l’enveloppe du bâtiment.
Il y a 4 ans et 200 jours

Siège de l’URSSAF, à Paris, réalisé par Anne Carcelen

Au cœur du parc tertiaire du Pont de Flandre (Paris XIX), un ensemble de bureaux signé de l’architecte Anne Carcelen est destiné à accueillir les futurs locaux de l’Urssaf, un immeuble à structure mixte bois – béton. Ce projet est lauréats des Façades2Build Awards 2020 dans la catégorie BIM. Catégorie BIMFaçades2Build Awards – LauréatSiège de […] L’article Siège de l’URSSAF, à Paris, réalisé par Anne Carcelen est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 200 jours

La Société du Grand Paris promeut une nouvelle directrice exécutive

CARNET-NOMINATION. En charge du pilotage, des méthodes et des outils, elle succède à Gérard Chérel, qui était en place depuis 2009.
Il y a 4 ans et 200 jours

URW vend un immeuble de bureaux pour 620 millions d'euros

"Unibail-Rodamco-Westfield a conclu ce jour un accord avec un consortium d'investisseurs institutionnels français (les gestionnaires d'actifs Primonial REIM et La Française et la filiale d'EDF EDF Invest) pour la vente de l'immeuble de bureaux Shift", a annoncé URW dans un communiqué.L'immeuble Shift, situé dans le quartier d'affaires d'Issy-les-Moulineaux, en région parisienne, abrite dans ses 47.200 mètres carrés le siège français du géant de l'agroalimentaire Nestlé, locataire avec un bail qui court sur 12 ans, a rappelé le propriétaire actuel.Cette transaction, encore "soumise aux conditions suspensives standards", doit être "clôturée en janvier 2021", a précisé la foncière.Elle s'inscrit dans le plan baptisé Reset, qui doit permettre à URW de dégager plus de 9 milliards d'euros afin de renforcer son bilan face à la crise liée au coronavirus et d'éviter une dégradation de sa note par les agences de notation financière.Le plan prévoit notamment des cessions de 4 milliards d'euros d'ici à la fin de l'année 2021, avait annoncé la foncière mi-septembre.
Il y a 4 ans et 200 jours

Couvre-feu à Paris et dans 8 métropoles : "Le travail va continuer", assure E.Macron

VIE ECONOMIQUE. Malgré l'entrée en vigueur d'un couvre-feu ce samedi 17 octobre, le président de la République Emmanuel Macron a assuré que la vie économique devait continuer, notamment pour "faire tourner l'industrie".
Il y a 4 ans et 201 jours

Paris-Ouest Construction digitalise ses process métiers liés à la construction et à la rénovation avec Resolving

Après le module de gestion des Réserves, c'est le Suivi de Chantier et la Gestion des Formulaires, qui sont aujourd'hui mis en œuvre : ils se verront complétés ensuite par les modules GED et BIM de la suite RESOLVING.Une culture du BIM structurée autour de 5 ans de pratiqueLe BIM a fait son apparition dans l'entreprise en 2015, à l'occasion d'une conception-réalisation qui l'imposait contractuellement à l'ensemble des prestataires, architectes et bureaux d'études. Ce qui aurait pu être vécu comme une contrainte compromettant la rentabilité d'un projet est au contraire immédiatement perçu par la direction technique et la direction générale de PARIS-OUEST CONSTRUCTION comme une opportunité, et marque le moment d'accéder concrètement à une nouvelle génération de technologies et de pratiques métiers.Et c'est dans ce contexte que PARIS-OUEST CONSTRUCTION adoptera les outils digitaux de RESOLVING de suivi de chantiers et de levée de réserves accessibles sur tablettes numériques.Une nouvelle étape avec RESOLVINGEn juin 2020, PARIS-OUEST CONSTRUCTION a choisi d'impulser une nouvelle étape et a opté définitivement, après des tests en vraie grandeur, pour la solution de Suivi des Chantiers et de gestion des réserves (OPR) proposée par RESOLVING.Plus qu'un nouvel outil, ce changement technologique en faveur de RESOLVING marque un engagement fort en faveur d'un avenir digital. C'est en effet une première brique avant le déploiement à venir de la suite complète d'outils métiers RESOLVING, en commençant en cette fin d'année par les modules complémentaires, GED et BIM.Une transformation digitale inspirée de la réalité du terrainAujourd'hui, la direction technique et de la transition numérique du bâtiment de PARIS-OUEST CONSTRUCTION est composée de 8 personnes, dont 4 sont spécialistes du BIM : des ingénieurs coordinateurs, modeleurs et développeurs. Les BIM Coordinateurs sont les agents actifs d'un futur digitalisé. Au-delà de préparer les maquettes BIM en amont, ils pilotent les partenaires externes et les utilisateurs internes dans les évolutions numériques.« Pour les 15 chantiers que nous menons en parallèle, les outils digitaux sont susceptibles d'être utilisés par 50 à 80 utilisateurs, aux profils métiers et à la culture IT divers. Mais notre rôle ne se résume pas à imposer un nouvel outil, mais bien à accompagner le changement, c'est-à-dire concrètement, tous les utilisateurs, pour engager le mouvement de transformation numérique de toute l'entreprise », explique Xavier TOURNILLON Directeur Technique et de la Transition Numérique du Bâtiment de Paris-Ouest Construction.Les consultants RESOLVING viendront ainsi en appui, pour mettre en place des méthodes de recueil, d'analyse et de standardisation des pratiques utilisateurs, phases préalables à toute digitalisation effective des méthodes et process internes.RESOLVING contribuera également à former les utilisateurs aux outils.« Nous savons que la transition numérique du bâtiment, au stade de la construction mais aussi de la gestion – avec la domotique – est une source d'optimisation énergétique globale de la filière, conclut Xavier TOURNILLON. Nous sommes très engagés en faveur de ces évolutions, et les outils de RESOLVING vont nous y aider. »
Il y a 4 ans et 201 jours

Rencontre avec : Inger Marie Jensen Hansen

En septembre dernier, l’éditeur de mobilier danois Carl Hansen & Søn a ouvert sa première boutique parisienne. Rencontre avec Inger Marie Jensen Hansen, responsable des accessoires, des boutiques et des sites de la marque. En 2017, après avoir pris sa retraite de son poste de médecin-cheffe du service des maladies rhumatismales et de directrice de la recherche à l’Hôpital universitaire d’Odense, Inger Marie Jensen Hansen, l’épouse de Knud Erik Hansen – l’actuel dirigeant de Carl Hansen & Søn – a rejoint la société. Aujourd’hui, elle est responsable des lignes d’accessoires, de tous les flagship stores et des boutiques en ligne. À l’occasion de l’ouverture de la première boutique parisienne de Carl Hansen & Søn, Inger Marie Jensen Hansen s’est confiée à la rédaction de Muuuz. Muuuz : Pouvez-vous nous raconter l’histoire de Carl Hansen & Søn ?Inger Marie Jensen Hansen : Depuis plus de 112 ans, nous sommes spécialisés dans la fabrication artisanale de meubles d’exception qui donne vie à des concepts de design visionnaires. Notre histoire remonte à 1908, lorsque l’ébéniste danois Carl Hansen ouvre un petit atelier de meubles sur l’île danoise de Fionie. Depuis lors, le succès de l’entreprise repose sur deux idées fondamentales : un engagement sans compromis en faveur du meilleur savoir-faire artisanal et des alliances avec des designers talentueux qui réinventent et affinent sans cesse le concept de design moderne. En 1934, le fils de Carl, Holger Hansen, reprend l’entreprise. À seulement 23 ans, Holger se révèle être la personne qu’il fallait, au bon endroit, au bon moment. Sa formation en ébénisterie, combinée à son ambition et au courage lié à son jeune âge, lui permet de développer l’entreprise en augmentant la productivité et en participant à des salons internationaux. En 1962, après avoir dirigé avec succès l’entreprise de son père pendant près de trois décennies, Holger meurt subitement d’une crise cardiaque. Les fils de Holger, Knud Erik et Jørgen Gerner, n’ont respectivement que 11 et 16 ans – trop jeunes pour lui succéder. La femme de Holger, Ella Hansen, prend la décision courageuse de reprendre l’entreprise familiale jusqu’à ce que ses jeunes fils atteignent l’âge adulte – une décision audacieuse pour une femme sans éducation en 1962. Le fils aîné, Jørgen Gerner, entre dans l’entreprise en 1973 et succède à sa mère en tant que directeur général en 1988. Le fils cadet, Knud Erik Hansen, prend la relève en 2002 et aujourd’hui, la petite menuiserie créée à Odense il y a plus d’un siècle est devenue une entreprise internationale de design.Quel a été le cheminement parcouru depuis la création de l’entreprise ? Aujourd’hui, quelle est sa démarche ?Depuis que Knud Erik Hansen, le petit-fils de Carl Hansen, est devenu la troisième génération à la tête de l’entreprise familiale en 2002, Carl Hansen & Søn a considérablement étendu sa présence internationale. Aujourd’hui, les meubles que nous fabriquons sont disponibles partout dans le monde et nous avons des flagship stores et des showrooms à New York, San Francisco, Tokyo, Osaka, Paris, Londres (Belgravia et Clerkenwell), Milan, Stockholm, Oslo, Copenhague et Gelsted, ainsi que des filiales commerciales en Europe, au Moyen-Orient, aux États-Unis, au Japon et à Hong Kong. Dans les années à venir, nous prévoyons d’en ouvrir d’autres dans un plus grand nombre de villes. Pourtant, malgré tous ces changements, notre engagement centenaire à produire des meubles classiques d’envergure internationale n’a pas évolué. Notre siège social se trouve maintenant dans la ville de Gelsted, sur l’île danoise de Fionie, et nous fabriquons également nos meubles dans nos sites de production voisins afin de garantir la meilleure qualité possible. Nous utilisons une combinaison de techniques traditionnelles et de nouvelles technologies pour créer un design moderne et intemporel. Depuis le début de la fabrication jusqu’au moment où nos meubles prennent place dans un nouvel espace intérieur, nous sommes guidés par le dévouement à des pratiques honnêtes et durables qui respectent l’héritage de notre fondateur et de nos designers. Quel est le processus de développement de vos meubles ?Depuis 2002, le PDG de Carl Hansen & Søn, Knud Erik Hansen a préservé l’héritage de cette dernière en matière de design, élaboré une stratégie pour les nouveaux talents et trouvé l’équilibre idéal entre artisanat et technologie. En pratique, cela signifie que Carl Hansen & Søn a automatisé le dur labeur qui épuisait auparavant les ébénistes, tout en veillant à ce que l’artisanat joue un rôle clé dans la production de classiques du design. Une fois que les machines informatisées ont découpé les différents éléments du meuble et assuré une qualité uniforme en vue du traitement ultérieur, les ébénistes prennent le relais pour assembler, polir, huiler, rembourrer, tisser et donner à chaque pièce cette finition particulière que seul un artisan qualifié peut apporter. Carl Hansen & Søn continue à respecter les traditions de l’artisanat et à s’appuyer sur les connaissances et l’expérience acquises au fil des générations. Les ébénistes et les tapissiers expérimentés continuent à exercer leurs métiers respectifs, tandis que les maîtres tisserands emploient un large éventail de techniques pour la production des sièges et des dossiers. L’étroite collaboration entre le nouveau designer et le fabricant aboutit à une culture où les défis de l’artisanat continuent à stimuler le développement de nouveaux designs.Depuis la création de l’entreprise, quelle est la relation entre Carl Hansen & Søn et les différents designers avec lesquels elle collabore ? Holger Hansen, fils de Carl Hansen, avait un œil sur Hans J. Wegner dans les années 1940, quand Wegner était encore un jeune ébéniste danois peu connu. En 1949, après avoir terminé ses dessins de nouvelles chaises, Wegner fait le trajet à bicyclette de Copenhague à Odense – une journée entière de trajet – où se trouvait l’entreprise de meubles de la famille Hansen. Une fois sur place, Wegner s’installe dans la villa de la famille Hansen, et dort dans la chambre du plus jeune fils, Knud Erik. Dès le début, les créations de Wegner sont uniques et sans précédent. Au cours de ses trois premières semaines, Wegner conçoit quatre chaises – CH22, CH23, CH24 et CH25. Wegner utilise des éléments modernes tels que des dossiers cintrés à la vapeur, des formes organiques, des bois clairs et des sièges tissés dans des constructions complexes qui aboutissent à des objets simples et élégants. La première collection de Wegner pour Carl Hansen & Søn est dévoilée en 1950 et connaît un succès immédiat. Malgré les premières réactions mitigées de la part des clients, la chaise Wishbone est ensuite surnommée « chaise nationale du Danemark », ce qui démontre la nature visionnaire du design de Wegner. L’intérêt pour la première collection ne se limite pas au Danemark et, en 1952, Holger Hansen crée un réseau de distributeurs agréés aux États-Unis. Avec ce succès commercial, Holger Hansen – qui a misé sur le jeune architecte – peut pousser un soupir de soulagement. Aujourd’hui, Carl Hansen & Søn continue à travailler en étroite collaboration avec le Hans J. Wegner Design Studio, en tant que premier fabricant mondial de meubles Wegner. Outre Wegner, Carl Hansen & Søn collabore également avec des designers et architectes célèbres tels que Kaare Klint, Børge Mogensen, Ole Wanscher, Nanna Ditzel et bien d’autres.Comment choisissez-vous les designers pour les nouvelles collaborations ? Quelles sont vos dernières collaborations ?Au fil des ans, Carl Hansen & Søn s’est attaché à préserver les classiques du design danois tout en continuant à élargir sa collection pour représenter de nouveaux créateurs influents. Notre objectif : réunir sous un même toit la crème des designs de meubles modernes les plus emblématiques. Nous nous associons également à des designers contemporains qui défendent les principes fondamentaux de la modernité danoise, à savoir la simplicité, la fonctionnalité et l’artisanat, tout en insufflant une nouvelle vie aux espaces modernes. Ces collaborations sont ancrées dans un respect commun pour une conception et une production réfléchies, et dans des perspectives qui apportent de nouvelles dimensions à notre catalogue. Notre partenariat avec le designer danois Rikke Frost, avec lequel nous avons lancé le canapé Sideways en septembre 2020, incarne ces valeurs.Et comment trouver et choisir des pièces dans les archives ?Nous recherchons dans les archives en étroite collaboration avec les proches des créateurs. Naturellement, nous tenons également compte de la demande et de notre collection, afin que le nouveau produit ait un sens. Pouvez-vous nous parler de la ligne d'accessoires ? La ligne d’accessoires Carl Hansen & Søn enrichit notre gamme de produits existante avec des articles uniques et inspirants provenant du Danemark et du monde entier. Tous les accessoires de Carl Hansen & Søn partagent un design de qualité, des couvertures tissées à la main jusqu’aux vases audacieux en verre, en passant par les chemins de table complexes cousus à la main et les miroirs fabriqués de mains d’expert. Chaque pièce est choisie avec soin pour apporter beauté, charme et chaleur aux intérieurs. Pourquoi avez-vous choisi d'installer votre flagship store à Paris ? Quels sont les défis et les objectifs de ce nouveau lieu ?Paris est un haut lieu du design. Les lignes classiques de notre collection correspondent bien au goût parisien. Aussi, comme la France est un marché émergent pour nous, avec des clients exigeant une qualité et un savoir-faire artisanal haut gamme, nous avons estimé qu’il était temps d’investir dans un lieu de vente, conformément à notre stratégie d’expansion internationale dans les grandes villes du monde, afin de pouvoir faire connaître Carl Hansen & Søn à un public plus large. Avec un flagship store, nous pouvons être en contact direct avec nos clients, ce qui nous permet de leurs offrir une expérience d’achat encore meilleure et de mieux comprendre le marché. Pour en savoir plus, visitez le site de Carl Hansen & Søn. Visuels : © Carl Hansen & SønLa Rédaction
Il y a 4 ans et 201 jours

Préventica lance “la semaine digitale de la santé-sécurité au travail”

L’édition de Préventica en présentielle de 2020 est reportée à 2021 [©Préventica] En raison de la situation sanitaire en France et suite aux mesures prises par le Préfet du Nord, Préventica Nord France est dans l’obligation de reporter son édition 2020. Cependant, afin de répondre aux besoins des acteurs de la filière, l’organisateur du salon lance “la semaine digitale de la santé-sécurité au travail”. Ainsi, du 19 au 23 octobre prochains, la plate-forme digitale est mise à disposition des acteurs économiques du Nord de la France. Cette semaine “digitale” offre la possibilité aux exposants et aux participants de se rencontrer virtuellement, grâce à un système de demandes de contact et de prise de rendez-vous en ligne. De plus, lors de cette semaine, quelque 60 web-conférences gratuites seront programmées sur les thématiques du télétravail, du stress, de l’organisation du travail … Pour retrouver l’ensemble des web-conférences et s’inscrire gratuite, rendez-vous sur le site de Préventica Nord France. Plus de 200 professionnels de la santé et de la sécurité au travail seront présents en ligne. Ceci, pour échanger et donner des conseils en direct.  La version présentielle de Préventica Nord France, est quant à elle, reportée en 2021, dans un contexte que l’on espère tous meilleur.
Il y a 4 ans et 202 jours

Les métiers du Bâtiment : stop aux idées reçues !

Le Bâtiment est ouvert aux femmes !La filière en Ile-de-France emploie 13,1% de femmes qui sont présentes dans tous les métiers et fonctions : de la production en passant par la conception, l'encadrement, l'administration ou le commercial. Elles sont employées, techniciennes ou agentes de maîtrise pour 70% d'entre elles et 26% sont ingénieures. A noter : plus d'une TPE/PME du Bâtiment sur deux est dirigée ou co-dirigée par une femme !« Les femmes s'intègrent parfaitement dans les entreprises de Bâtiment et sont également reconnues pour favoriser la fluidité des échanges qu'elles soient sur les chantiers, dans les ateliers, en bureaux d'études ou aux commandes de leurs entreprises ! », précise Isabel Talaia – Membre du Bureau de la FFB Grand Paris, Responsable de la valorisation des métiers - et gérante de l'entreprise LSP.Le Bâtiment embauche à tous les niveaux ! Les entreprises de Bâtiment sont à la recherche de profils très divers, avec des niveaux d'expériences et de qualifications variés, que l'on soit titulaire d'un CAP, brevet professionnel, bac pro, BTS ou Bac+5.L'alternance est pour les entreprises la voie privilégiée pour se former aux métiers du Bâtiment, permettant d'assurer la qualification et le renouvellement des salariés.A savoir : En Ile-de-France, le niveau de qualification est plus élevé et la proportion de cadres est deux fois supérieure au reste de la France (près de 15% contre 8,7%).« Les métiers d'encadrement et d'ingénieur connaissent une dynamique de recrutement forte en raison des transitions environnementales et numériques des entreprises. En effet, le secteur du Bâtiment a de nouveaux besoins en compétences liés à la mise en œuvre de normes environnementales, au numérique avec le BIM, l'Intelligence Artificielle, les maquettes 3D, la domotique, etc. », précise Jean-Luc Tuffier, Président de la FFB Grand Paris et de l'Union des Fédérations du Bâtiment d'Ile-de-France.Les salaires évoluent rapidement !Que l'on soit titulaire d'un CAP ou d'un diplôme d'ingénieur, les grilles de salaire dans le Bâtiment sont attractives et revalorisées chaque année.Le secteur a toujours cherché à valoriser l'apprentissage des jeunes en majorant le salaire minimum applicable aux apprentis. Ainsi, un apprenti de 16 ans qui intègre le Bâtiment sera rémunéré à hauteur de 40% du SMIC (contre 27% dans les autres secteurs). Cette différence de salaire est d'autant plus marquée au-delà de 21 ans puisque les apprentis sont payés en fonction du salaire conventionnel du Bâtiment et non en pourcentage du SMIC !« Le Bâtiment reste l'un des rares secteurs où l'on peut gravir rapidement les échelons, et même devenir chef d'entreprise. Grâce à la promotion interne, l'ouvrier de chantier peut devenir chef d'équipe puis chef d'entreprise. A l'horizon 2024, le secteur du Bâtiment prévoit de recruter plus de 9 000 personnes par an. Nous encourageons les candidats à découvrir nos métiers et à relever ce défi formidable ! », conclut Jean-Luc Tuffier.En 2019, le Bâtiment en Ile-de-France ce sont plus de 129.500 entreprises dont 35.000 comptant un ou plusieurs salariés. Elles représentent 350.000 actifs (255.000 salariés et 95.000 artisans). Le nombre d'apprentis du Bâtiment en Ile-de-France est de 9.000, soit 0,6% de plus qu'en 2018.