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Résultats de recherche pour technique

(9934 résultats)
Il y a 7 ans et 255 jours

BTP Consultants s'offre MBA Ingénierie

Le spécialiste du contrôle technique des bâtiments, BTP Consultants a annoncé ce jeudi, l'acquisition de MBA Ingénierie, un rachat qui devrait permettre au groupe d'élargir ses offres de services et de renforcer sa présence dans un secteur en plein essor, le BIM. Présent sur le secteur depuis plus de 20 ans, BTP Consultants souhaite en effet être au plus proche des acteurs du bâtiment et les accompagner dans leur transition numérique.
Il y a 7 ans et 256 jours

Massifier la rénovation énergétique : l'appel à expérimentations de l'Ademe et du Plan Bâtiment Durable

Ouvert jusqu'au 23 octobre, cet appel intitulé "Les Expérénovations" doit permettre d'accompagner techniquement 12 porteurs de projets dans le prototypage de leur idée, leur test en situation, l'évaluation de leur pertinence et la préparation d'un éventuel déploiement.
Il y a 7 ans et 258 jours

SPIE en 1 minute

Leader européen indépendant des services multi-techniques dans les domaines de l'énergie et des communications, SPIE accompagne ses clients dans la conception, la réalisation, l'exploitation et la maintenance d'installations économes en énergie et respectueuses de l'environnement.
Il y a 7 ans et 258 jours

Forma6 : Escaliers japonais

Au c"ur d'un bâtiment de bureaux minimaliste, l'agence nantaise Forma6 conçoit, main dans la main avec l'entreprise Métalobil, spécialisée dans les réalisations en bois, un escalier original revêtu de tasseaux en bois. Une composition japonisante, qui n'est pas sans évoquer les travaux de l'architecte nippon Kengo Kuma. Au c"ur d'un bâtiment de bureaux d'une grande sobriété où matériaux " béton, verre et bois, et mobilier sont caractérisés par l'épure, se dresse, du rez-de-chaussée au second niveau, un escalier en béton au garde-corps sculptural. Inspiré du cidori, un jouet japonais regroupant des bâtonnets de bois avec des articulations uniques pouvant s'étendre à l'infini, cet habillage dynamise l'entrée de l'édifice, en même temps qu'il en rompt la sobriété architecturale de l'immeuble, également dessiné par Forma6. " Métalobil a conçu une sorte d'explosion du noyau hyper dynamique et protéiforme. " Catherine Malleret, architecte-associée de Forma6 L'assemblage de tasseaux initialement projeté par l'agence nantaise, peu stable, a bénéficié de l'expertise de Métamobil en la matière, qui ajoute autour des marches un contreventement diagonal et horizontal, suivant la technique de construction du jeu japonais . Ce procédé se retrouve dans l'habillage du plafond, renforçant l'aspect infini de l'escalier. Une réalisation permettant de réveiller l'ensemble de l'immeuble grâce à un art de construction ancestral. Pour en savoir plus, visitez le site de Forma6 Photographies : DR Métalobil
Il y a 7 ans et 259 jours

Le CSTB a accueilli le Symposium IVIS 2017, qui met les super-isolants à l'honneur

Les 20 et 21 septembre 2017 a eu lieu la 13ème édition du Symposium IVIS (International Vacuum Insulation Symposium), dédié aux " super-isolants " comme les panneaux isolants sous vides (VIP : Vacuum Insulation Panel) ou les matériaux nano-poreux de type aérogel. Ce colloque, organisé à Paris par le CSTB, a permis aux experts du monde entier de partager les dernières avancées sur ces composants innovants pour le bâtiment et d'autres secteurs industriels. Organisé depuis 2005 dans différents pays (Suisse, Allemagne, Canada, Royaume-Uni, Chine), le Symposium IVIS 2017 a eu lieu en France, à la Cité Universitaire de Paris, les 20 et 21 septembre dernier. Ce colloque, qui regroupe près de 200 inscrits de 24 nationalités différentes, a permis de dresser un état des lieux de la recherche sur les super-isolants, d'un point de vue scientifique et industriel. Les nouvelles solutions de mise en "uvre sur chantier ont notamment été évoquées. Si les participants sont majoritairement des experts de ces isolants, le symposium a également attiré des professionnels du monde de l'automobile et de l'électroménager. Ceux-ci sont intéressés par des solutions efficaces, avec un faible encombrement, pour isoler des éléments tels que les réfrigérateurs ou les batteries de voiture. À propos des " super-isolants " : ils se répartissent en deux catégories, les isolants nano-poreux comme les aérogels, et les Panneaux Isolants sous Vide (PIV). L'isolant à base d'aérogel est constitué d'air à hauteur de 98 % et de microparticules de silice. Il est doté d'une structure nano-poreuse qui réduit la mobilité de l'air emprisonné. En plus d'être très léger, sa conductivité thermique est très faible. Le PIV contient un matériau poreux, vidé de l'air qu'il contient. Pour le protéger, le panneau est emballé dans un film d'aluminium. Grâce à sa faible épaisseur, le panneau d'isolant sous vide permet un gain de place considérable. La recherche pilotée par le CSTB a permis d'aboutir à une méthode d'évaluation de ces isolants innovants. Les premiers Avis Techniques ont été publiés, et le CSTB continue d'accompagner le développement industriel de ces produits par son offre d'Évaluation. Retrouvez présentations et posters du Symposium, sélectionnés par le Comité scientifique En savoir plus : Panneaux sous vide : de premiers Avis Techniques délivrés pour ces "super-isolants" L'offre d'Évaluation du CSTB Résultats d'Avis Techniques sur le site de la CCFAT Le site du symposium IVIS 2017 La boîte chaude gardée au service des procédés d'isolation
Il y a 7 ans et 261 jours

ChartierDalix : R*Generation

Lauréate du concours lancé en 2014 par la marque automobile Renault, l'agence ChartierDalix, remodèle le Centre de design de l'iconique technopole du groupe, construit en 1996 à Guyancourt (78). Une architecture industrielle où les espaces de travail se mêlent à des zones de convivialité et d'échange. En somme, une main de fer dans un gant de velours. Si le duo d'architectes composé de Frédéric Chartier et Pascale Dalix fait aujourd'hui les gros titres pour le concours de la rénovation de la Tour Montparnasse, qu'il vient de remporter aux côtés des agences Franklin Azzi Architecture, et Hardel et Le Bihan, il mérite également d'être remarqué pour une autre rénovation : celle du centre de design de la marque Renault. Lors de la compétition lancée en 2014, le projet de l'agence parisienne s'est particulièrement distingué de ses concurrents par son respect du bâti d'origine dont les principales caractéristiques architecturales ont été conservées " structure métallique et toiture crénelée " ; mais aussi fonctionnelle " ateliers au rez-de-chaussée ; studios et circulations sur la mezzanine située à 3,6 mètres de hauteur afin de permettre le passage des véhicules. Chacun de ces services étant organisé autour d'espaces collectifs mis à disposition des collaborateurs : zones de travail informelles ou de détente. Les concepteurs se sont par ailleurs illustrés par leur démarche : le chef de projet de cette rénovation, Mathieu Terme, s'étant installé sur place trois jours par semaine durant la phase d'étude, dans le but de mieux en saisir les pratiques et usages. Les besoins actuels de la marque, ne sont plus ceux d'hier. Ainsi, la technopole, livrée en 1996, n'était plus adapté. Dans le Centre de Design, les effectifs du personnel ont par exemple doublé depuis son ouverture, passant de 260 à 500, et le nombre de marques pour lesquelles ces centaines collaborateurs officient a été multiplié par 5 " Renault, Samsung, Motors, Alpine et Lada. À nouvelles perspectives, nouvel écrin donc, nommé R*Generation. R pour Renault bien entendu, mais aussi pour " Régénérer ", " Revitaliser ", " Réactiver ", " Recréer ", " Ressourcer ", " Réaliser ", " Restructurer ", ou encore " Reconfigurer ", mots qui illustrent un changement de paradigme de la part du fabricant. " Ce projet est le reflet d'un monde professionnel qui change, qui se décloisonne et qui admet que le confort et la domesticité stimulent l'efficacité et la créativité. " Frédéric Chartier, co-fondateur de l'agence ChartierDalix Dans cette optique, la marque au losange pense dorénavant l'espace de travail comme un outil à part entière dans le processus de création ; un lieu provocant les opportunités de rencontres et de synergies entre les différents métiers que ce hangar héberge " tels designers, modeleurs, maquettistes ou experts qualité. Pour favoriser la mobilité et les interactions entre employés, les architectes ont dessiné des plateformes connectées " non-hiérarchisée " " wifi et prises électriques sont disposées un peu partout ", où tout le monde peut s'installer, tout en respectant la tranquillité de chacun par un fort travail sur les vues et l'acoustique. Outre cette attention portée sur l'intimité, ce traitement permet, dans ce qui est l'un des plus grands centres d'innovation au monde, d'assurer une certaine confidentialité des projets. Afin que cette dernière soit assurée, les concepteurs ont en outre imaginé une surface tampon positionnée à l'entrée du site, où éléments intérieurs et extérieurs peuvent interagir sans mettre en péril les secrets que l'institution renferme. Des zones ouvertes à tous sont donc disséminées un peu partout dans le Centre de Design. Elles permettent de multiples formes d'appropriation grâce à des formes et typologies variées : petites alcôves, gradins, grands plateaux et ateliers, dont le mobilier (tabourets, galettes et luminaires) et la signalétique ont été réalisés par le studio Joran Briand Associés. Entre chacune de ces aires, les architectes ont mis en place des jeux de transparences entre les cloisons. Selon les usages et la nécessité de confidentialité ces dernières sont, grâce à de la sérigraphie et une série de voilages, translucides pour une aire de rencontre ou opaques pour un local technique.Pour que tout le monde se sente comme à la maison dans ce vaste volume industriel, rideaux et panneaux de bois brut ont été installés. Ces éléments chaleureux contrastent avec la production utra-technologique du site. Les architectes ont ainsi résolu de multiples gageures en créant un lieu à la fois ouvert, pour favoriser les échanges, et fermé, afin d'assurer la discrétion nécessaire à la production industrielle. Un concept nommé " confidentialité active " par l'agence ChartierDalix. Pour en savoir plus, visitez le site de Chartier Dalix Photographies : Takuji Shimmura
Il y a 7 ans et 262 jours

Deux chantiers pour SuperGrid, centre de recherche sous haute sécurité

L’établissement de recherche pour la transition énergétique, SuperGrid Institute, construit à Villeurbanne son siège et ses laboratoires. Un défi technique pour Spie Batignolles.
Il y a 7 ans et 263 jours

Une grange normande s'offre une rénovation chaux-chanvre

CHANTIER. Au coeur de l'Eure, en Normandie, une grange du XIXème siècle a fait peau neuve grâce à une ancienne méthode : l'application chaux chanvre. Une technique qui, combinée à d'autres choix de rénovation, a permis de redonner à la bâtisse son charme d'antan. Ce chantier mené par Lafarge permettra de collecter des données rendant compte des performances du bâtiment.
Il y a 7 ans et 263 jours

Le CSTB lance le classement UPEC associé à la marque de certification QB

Lancée par le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) fin 2015, la certification " QB " Qualité pour le Bâtiment " poursuit son déploiement. Pouvant à présent être complétée par des classements spécifiques, elle apporte aux prescripteurs de la construction une aide complémentaire dans le choix des produits, en fonction de leur usage.
Il y a 7 ans et 269 jours

Le CSTB lance un nouvel espace de simulation virtuelle interactive à Paris

Pour accompagner la transition numérique dans le domaine de la construction et de l'aménagement urbain, le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) ouvre un nouvel espace de simulation virtuelle interactive, la salle Oscar Niemeyer au CSTB Paris. L'objectif est de permettre aux acteurs de mieux collaborer autour d'un projet, de se concerter, simuler, communiquer " à toutes les phases du projet.
Il y a 7 ans et 270 jours

Le CSTB fait un pas de plus en faveur de la transition numérique du bâtiment

Qu'on se le dise : la transition numérique du BTP est plus que jamais en marche, portée par l'essor des nouvelles technologies et du BIM. Souhaitant accompagner ce changement, le CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment) a récemment mis en place la salle Oscar Niemeyer, un espace de simulation virtuelle interactive. Les détails.
Il y a 7 ans et 270 jours

Le CSTB inaugure un espace de simulation virtuelle

Le Centre scientifique et technique du bâtiment a ouvert le 19 septembre à Paris une pièce conçue pour la projection d'images numériques en grand format. Cette salle de réunion est disponible à la location.
Il y a 7 ans et 271 jours

Paris-Saclay sur l'écran radar

Le vendredi 8 septembre 2017 a été inauguré le radar de Palaiseau, dans le quartier de l'École polytechnique sur le plateau de Paris-Saclay. Cet équipement de contrôle aérien est destiné à identifier et guider les avions civils en région parisienne. D'une portée de 315 kilomètres, il permettra de traiter 800 avions simultanément. Communiqué. Réalisé par […] L'article Paris-Saclay sur l'écran radar est apparu en premier sur Chroniques d'Architecture.
Il y a 7 ans et 271 jours

Industriels sur le web, êtes-vous prêts pour le mobile-first ?

Vous avez peut-être entendu parler de l'index mobile-first ces derniers temps : Google a annoncé fin 2016 un changement dans sa façon de classer les sites web dans ses résultats de recherche, privilégiant les sites mobiles, qui devrait être effectif début 2018. Vous disposez d'un site web et vous n'êtes pas sûrs de savoir ce que cela signifie pour votre positionnement ? Nous vous expliquons les détails de ce changement et vous livrons nos conseils pour vous y préparer. Qu'est-ce que l'index mobile-first ? Avec 3,3 milliards de requêtes effectuées par jour (source : Business Insider), Google possède une montagne de données concernant le comportement des internautes, notamment sur le support utilisé. Le moteur de recherche a ainsi constaté que, pour la première fois, les recherches sur mobile sont plus nombreuses que celles effectuées à partir d'un ordinateur. Ce graphique publié par StatCounter montre en effet que l'usage d'internet est désormais plus important sur mobile et tablette que sur ordinateur. Google a réagi en conséquence en réorganisant totalement sa façon de référencer les sites web. La décision ? Google ne regardera plus la version desktop (ordinateur) d'un site pour le référencement, mais sa version mobile. Concrètement, si un site mobile dispose d'un contenu différent de la version desktop, cela pourra avoir un impact sur le positionnement du site. Il faudra donc s'attendre à des surprises une fois cette mise à jour déployée. Mon site va-t-il être touché par l'index mobile-first ? Je n'ai pas de site adapté aux mobiles. Si vous ne disposez pas d'un site mobile, un internaute aura toujours la possibilité de vous trouver sur Google, car malgré ce grand changement, le moteur de recherche souhaite garder une expérience de qualité pour les internautes qui recherchent des informations sur le web. Toutefois, il faudra s'attendre à ce que votre position dans les résultats de recherche soit moins haute qu'auparavant, au profit des sites adaptés aux mobiles. Quels seront les sites les plus touchés ? Les sites les plus touchés seront ceux disposant d'un site mobile de faible qualité, où le contenu n'est pas correctement structuré et présentant une vitesse de chargement lente. Comment adapter mon site aux mobiles ? Pour que votre site soit adapté aux mobiles, le mieux est d'opter pour le responsive web design afin de rendre votre site mobile-friendly. Pour cela, vous pouvez faire appel à une agence web spécialisée dans la réalisation de sites optimisés pour le mobile-first. Si cette démarche plait à Google, elle est avant tout utile pour l'utilisateur : un site en responsive web design a l'avantage de s'adapter, quel que soit la taille de l'écran du support utilisé. Le contenu est ainsi constamment lisible avec une taille d'affichage raisonnable. Quels autres indicateurs prendre en compte pour se préparer à l'index mobile first ? Si vous disposez déjà d'un site mobile en responsive web design, il faut se pencher sur ses performances techniques. Google a en effet indiqué que les scores PageSpeed seront davantage pris en compte dans son algorithme pour positionner un site web. Pour rappel, PageSpeed sert à évaluer la vitesse de chargement d'un site et déterminer les éventuels facteurs qui peuvent bloquer l'affichage des contenus importants. En 2018, il sera alors crucial de disposer d'un site mobile performant pour satisfaire Google, mais aussi l'utilisateur.
Il y a 7 ans et 271 jours

Olivier Domergue nommé directeur général délégué France de Spie

Cette nomination, annoncée le 18 septembre par le leader européen indépendant des services multi-techniques dans les domaines de l'énergie et des communications est effective depuis le 10 juillet 2017.
Il y a 7 ans et 272 jours

Le CSTB signe l'Alliance WoodRise

Signataires de l'Alliance WoodRise, de gauche à droite : Fulvio Vittorino et Ligia Ferrari Torella di Romagnano, chercheur et directrice de la recherche à l'institut IPT du Brésil ; Etienne Crépon, président du CSTB ; Anne-Christine Ritschkoff, vice-présidente exécutive de la recherche stratégique de l'institut VTT de Finlande ; Pierre Lapointe, président de FP Innovation au Canada ; Claude Haegi, président de Lignum en Suisse et Philippe Gaudron, président du FCBA. Photo : Fred Blanpain Le premier congrès dédié au bâtiment en bois de moyenne et grande hauteur s'est tenu à Bordeaux, du 12 au 15 septembre. Nommé WoodRise, l'objectif était de réunir l'ensemble des acteurs internationaux de la filière bois autour d'une idée essentielle : le bois, incontournable de la ville durable. Une alliance internationale Jeudi 14 septembre s'est tenue la signature de l'Alliance WoodRise, dont l'objectif est la formation d'une communauté engagée autour du bois. Le CSTB pilotera cette alliance, en collaboration avec 6 autres organismes internationaux : le FCBA pour la France, le Lignum pour la Suisse, le Technical Research center de Finlande, l'organisme FP Innovation pour le Canada et l'Instituto de Pesquisas Tecnologicas do Estado de Sao Paulo pour le Brésil. Le CSTB était représenté par son président, Étienne Crépon, pour la signature de cette Alliance, qui a réuni plus d'une vingtaine d'organismes différents : États, politiques, organisations non gouvernementales, entreprises, acteurs de la construction ou du bois. Les premières actions de l'Alliance WoodRise ont été la signature d'un Mémorandum d'entente entre les 6 organismes co-fondateurs et la publication de WoodRise Paper, un livre blanc de bonnes pratiques internationales pour le développement économique, architectural, industriel et urbanistique de la filière bois, dans une démarche écoresponsable, préservant la biodiversité. Un rôle d'expert prédominant L'expertise technique du CSTB est cruciale pour mieux faire connaître les atouts de la construction bois (résistance au feu, au vent, aux aléas sismiques, aux variations climatiques et hygrothermiques). Le Congrès WoodRise a été l'occasion de mettre cette expertise en valeur avec deux conférences : " La propagation des feux de façade ", avec une conférence de Stéphane Hameury, membre du comité scientifique de WoodRise et spécialiste Bois et Feu au sein de la direction Sécurité, Structures, Feu du CSTB ; et " Les méthodes de calcul en vibration et acoustique du bâtiment ", présentée conjointement par Delphine Bard de l'université de Lund (Suède) et Catherine Guigou-Carter, direction Santé-Confort du CSTB. La partie Salon de WoodRise a réuni plus de 1 500 visiteurs et une centaine d'exposants : collectivités, aménageurs, promoteurs. Le congrès, quant à lui, a rassemblé une cinquantaine de conférenciers, dont les deux tiers de l'étranger. Ce rendez-vous est le premier d'une série qui s'exportera au Canada en 2019 et au Japon en 2021, afin que les professionnels du secteur puissent continuer à échanger bonnes pratiques et engagement d'éco-responsabilité. En savoir plus : Site du Congrès WoodRise WoodRise Paper
Il y a 7 ans et 274 jours

Tests sismiques à Bordeaux sur la future tour Silva

Quatre secousses sismiques ont été reproduites ce vendredi matin dans les locaux bordelais du FCBA, centre technique de la filière bois, afin de tester la résistance de la Tour Silva, opération de Kaufman&Broad au sein du quartier Euratlantique.
Il y a 7 ans et 274 jours

INTERMAT Innovation Awards 2018 : clôture des inscriptions le 2 octobre prochain

INTERMAT Innovation Awards, le concours de l'innovation du Salon International de la Construction et des Infrastructures (du 23 au 28 avril 2018), met à l'honneur cette année les derniers équipements, techniques et services du secteur.
Il y a 7 ans et 275 jours

Les solutions techniques de la construction bois à Woodrise

La 2e journée du congrès Woodrise s’est efforcée de répondre aux attentes en termes de construction bois de grande hauteur. Focus sur les solutions bois abordées.
Il y a 7 ans et 275 jours

Aux Antilles, Irma cède la place aux Architectes de l'urgence

Les experts des Architectes de l'urgence sont sur place aux Antilles afin de procéder à une première évaluation technique sur les infrastructures scolaires et les habitats endommagés par l'ouragan Irma?
Il y a 7 ans et 275 jours

Observ'CPE : premiers résultats

Capitaliser les enseignements des premiers projets, favoriser le développement d'une culture de la performance énergétique et le déploiement des CPE (Contrat de Performance Énergétique) en tant qu'outil de la Transition Énergétique : tels sont les objectifs de l'Observatoire des Contrats de Performance Énergétique, piloté par l'Ademe, le Cerema et le CSTB. La matinale du 20 juin dernier, organisée au CSTB Paris, a réuni plus de 90 participants de la filière bâtiment et fut l'occasion de restituer les premiers résultats de l'Observatoire, qui recense aujourd'hui près de 250 CPE. Enjeux et actualités du CPE et de l'Observatoire Un an après le lancement du projet, la matinée d'échanges a été l'occasion de présenter les dernières évolutions juridiques et techniques encadrant le CPE (Contrat de Performance Énergétique)*, de dresser une première cartographie des projets publics et privés, et de mettre en avant quelques approches innovantes observées sur le marché des CPE. « Aujourd'hui, l'objectif est la massification de la rénovation des parcs de bâtiments publics et privés, et le CPE est l'un des outils permettant cette intensification avec un engagement de résultats sur la performance énergétique. Les évolutions réglementaires sur l'obligation de rénovation du parc tertiaire devraient accélérer leur déploiement », précise Nicolas Dore, adjoint au chef de service Bâtiment de l'Ademe dans son allocution d'ouverture de la matinale. Et Jean-Christophe Visier, directeur Énergie-Environnement du CSTB, d'ajouter sur ce sujet, lors de la conclusion de cette matinale : « Nous sommes passés d'objectifs de moyens à des objectifs de résultats, du mythe à la réalité. Le CPE est une association intelligente basée sur trois piliers : juridiques, économiques et techniques, dont l'Observatoire est un miroir et un lieu d'échanges sur les retours d'expériences, bonnes et mauvaises ». ««« Garantir la performance est porteur de sens au niveau juridique et impose une obligation de résultats. Les différentes formes de CPE offrent aux maîtres d'ouvrage des outils adaptés, avec une diversité de solutions pour la rénovation de leur patrimoine " de la fourniture de services aux CPE globaux », a déclaré Olivier Ortega, avocat associé du cabinet LPA CGR lors de la première table ronde. L'importance de la mesure de la performance effective et la nécessité de la standardisation des outils et des méthodes, a été rappelée par Patrick Julian de l'IFSEE. Il a présenté les évolutions du protocole IPMVP (International Performance Measurement and Verification Protocol), dont l'usage est aujourd'hui largement déployé au niveau international et dont les formations seront prises en charge par l'AFNOR au niveau français. Les premiers résultats de l'Observatoire présentés par le Cerema et le CSTB, permettent d'établir « une carte d'identité des CPE ». En voici les cinq principaux enseignements : Une tendance à la hausse du recours au CPE depuis 2007. Une forte localisation en Rhône-Alpes (30 %), et à un degré moindre en Île-de-France (19 %). L'implication de Rhône-Alpes Énergie, de l'Ademe et la création de la SPL Oser peuvent expliquer cette situation. La maîtrise d'ouvrage publique est fortement représentée dans le panel d'acteurs du CPE. Trois secteurs dominent : les bâtiments municipaux, les logements collectifs et les bâtiments d'enseignement. Sur le plan contractuel, les marchés publics globaux (CREM/REM) sont largement majoritaires, avec une durée d'engagement fréquemment comprise entre 6 et 10 ans, et un recours massif au dialogue compétitif. Concernant les solutions techniques, les travaux sur les systèmes sont majoritaires avec un objectif moyen d'économie de 20 %, suivi par les travaux sur le bâti avec un objectif d'économie de 40 %. › Les premiers enseignements de l'Observatoire sont diffusés largement et de manière détaillée sur les sites des partenaires du projet (CSTB, Cerema, Ademe). Approches innovantes du CPE Engie Axima a proposé sa vision du développement des CPE dans le secteur privé. « Ce secteur n'a pas de culture contractuelle forte, il utilise d'autres vecteurs commerciaux et la confiance est déterminante pour la mise en place du partenariat », témoigne Marc Daura, directeur de Marché Offres Globales. Il y a une méconnaissance des CPE et une volonté d'avoir des temps de retour courts, ce qui nécessite de développer des outils contractuels faciles à comprendre et clé en main, qui couvrent l'ensemble des domaines " des solutions techniques aux possibilités de financement. Le bailleur social Habitat 76 a choisi d'établir des CPE pour l'ensemble de son parc de logements collectifs et de lancer la numérisation de son patrimoine avec un objectif de baisse des consommations de 40 % à l'horizon 2020. Pour Philippe Souchal, sous-directeur Patrimoine et Environnement d'Habitat 76, le CPE implique de nouvelles méthodes de travail, et notamment la mise en place d'une équipe projet dédiée à l'organisation et la gestion du CPE. La Direction de l'Investissement et du Développement Local de la Caisse des Dépôts a présenté l'Intracting, un dispositif de financement de la rénovation énergétique au service des patrimoines publics, déjà déployé dans six universités françaises. Perspectives Les acteurs du bâtiment des secteurs public et privé, qu'ils soient maîtres d'ouvrages, aménageurs, collectivités, opérateurs de CPE sont invités à co-construire l'Observatoire du CPE en partageant leurs expériences et en l'alimentant de données. Partagez votre expérience du CPE * Le CPE : L'article 2 (27) de la Directive 2012/27/UE du Parlement Européen et du Conseil du 25 octobre 2012 relative à l'efficacité énergétique, définit le contrat de performance énergétique (CPE) comme un « accord contractuel entre le bénéficiaire et le fournisseur d'une mesure visant à améliorer l'efficacité énergétique, vérifiée et surveillée pendant toute la durée du contrat, aux termes duquel les investissements (travaux, fournitures ou services) dans cette mesure sont rémunérés en fonction d'un niveau d'amélioration de l'efficacité énergétique, qui est contractuellement défini ou d'un autre critère de performance énergétique convenu, telles que des économies financières. »
Il y a 7 ans et 275 jours

Woodrise : la technique bois en hauteur encore dans les limbes

La 1ere journée du congrès à Bordeaux révèle un fort intérêt pour la la construction bois moderne en hauteur. Mais tout le monde cherche encore les bonnes solutions...
Il y a 7 ans et 276 jours

Le groupe Serge Ferrari voit sa rentabilité chuter de 42% au premier semestre

2,5 millions d'euros : c'est le bénéfice net que le groupe Serge Ferrari, spécialisé dans la fabrication de toiles techniques en matériaux composites, a réalisé entre janvier et juin 2017. À la même période l'année dernière, il s'élevait à 4,4 millions d'euros. L'entreprise compte toujours sur un regain d'activité au quatrième trimestre pour sauver son année.
Il y a 7 ans et 277 jours

Le géotechnicien français Géotec absorbe les sondes du n°1 belge

Le groupe Géotec, numéro trois des études géotechniques en France, poursuit sa politique d'acquisition, en Belgique cette fois. Il vient de racheter l'entreprise Verbeke, leader sur son marché.  
Il y a 7 ans et 277 jours

Chantal Sergent, responsable R&D Lorillard, nommée présidente de la commission technique de l'UFME

Fondé en 1936 à Chartres et présidé par Loïc Bréhu, le Groupe Lorillard figure parmi les leaders français de la menuiserie industrielle sur-mesure. Première entreprise indépendante du secteur, Lorillard couvre l'ensemble du marché de la fenêtre et maîtrise la fabrication de ses produits grâce à un pôle industriel intégré.
Il y a 7 ans et 278 jours

Lancement du 1er MOOC consacré à l'énergie gaz

Solutions techniques innovantes, réseaux et équipements intelligents et connectés, développement des gaz renouvelables, accompagnement des nouveaux usages et efficacité énergétique... le gaz constitue un levier indispensable de la transition énergétique. Les acteurs de la filière gaz se mobilisent et lancent le MOOC Expérience Gaz qui débute aujourd'hui.
Il y a 7 ans et 278 jours

Pulpo : Fabulously Awesome Tablescape

À l'occasion de Maison & Objet Paris et de la London Design Fair, l'éditeur allemand Pulpo présente sa nouvelle collection : Fabulously Awesome Tablescape. Réalisée en collaboration avec quatre designers, cette gamme d'accessoires de table propose des créations originales comprenant aussi bien des objets purement décoratifs que de la vaisselle ou des vases. GIRAFFE + SWAN + RHINO + DEER par Kai Linke Conçus par le designer germanique Kai Linke, ces quatre statuettes d'animaux en bronze sont à la fois traditionnelles et atypiques. Si le concept de la figurines dorées existe depuis la nuit des temps, les "uvres imaginées par l'artiste détonnent par le choix des sujets " mêler une girafe à un cerf n'étant pas commun ", mais également par l'aspect de ces derniers, tailladés, comme s'ils étaient toujours en cours de réalisation. De quoi dédramatiser une table trop sérieuse ! MONTAGNE + CONSTRUCTION + LAC par Babin Ferréol Réalisée sans croquis préalable par le designer français Babin Ferréol, cette série de trois pièces comprend un vase, un récipient et un objet décoratif, tous entièrement réalisés en céramique. Très poétique, elle recrée un univers chimérique à l'aide de formes abstraites et de couleurs vives et remet au goût du jour les décors de table en céramique, parfois tombés en désuétude.     MERIT + BOLA + MAKET + LLANO par RSW Cette collection imaginée par le studio allemand RSW est composée de quatre éléments décoratifs en céramique et de deux autres en bois de hêtre ainsi que de trois modèles de boîtes, également réalisés en faïence. Le tout est unifié par un même procédé : chaque objet étant recouvert d'une glaçure imitant la texture de la lave selon une technique développée en Allemagne de l'Ouest depuis la moitié du XXe siècle.   NEOLIT par En outre Constitué de trois éléments en mousse recouverts de céramique, cet ensemble de trois récipients n'est pas sans rappeler la physionomie des météorites. Un aspect futuriste pour une technique ancestrale, tel est le mantra du studio de design londonien à l'origine de ces créations atypiques. POTPOURRI par Meike Harde Pour compléter la collection Fabolusly Awesome Tablescape de Pulpo, le designer germanique conçoit une série " déclinée en quatre modèles et coloris ", entièrement réalisée en verre soufflé comprenant une verseuse et trois gobelets. Chaque ensemble montre l'étendu des possibilités offertes par cette technique artisanale : formes voluptueuses, transparence, opacités, surfaces polies... Le tout disponible dans des coloris éclatants permettant ainsi à ce savoir-faire antédiluvien de s'inscrire dans une démarche contemporaine.   London Design Festival, du 16 au 24 septembre 2017, Pulpo Pop-Up Store, Garden Walk 4, Londres (Angleterre). Pour en savoir plus, visitez le site de Pulpo Photographies : DR Pulpo
Il y a 7 ans et 278 jours

Reef4BIM : le CSTB lance un appel à manifestation d'intérêt autour du BIM

Le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), l'établissement public au service de l'innovation dans le secteur du bâtiment, a lancé un appel à manifestation d'intérêt en ce début de septembre dans le but d'améliorer l'accès à l'information technico-réglementaire. Faire évoluer l'accès à l'information technico-réglementaire pour suivre la transition numérique Afin de répondre aux besoins des professionnels du bâtiment engagés dans la transition numérique (BIM), le CSTB a lancé un appel à manifestation d'intérêt le 1er septembre 2017 : Reef4BIM. En effet, l'accès aux documents de référence, textes réglementaires et législatifs, documents techniques unifiés ou encore normes est une étape-clé lors de la réalisation des projets pour que ceux-ci soient correctement exécutés. Ces informations riches et volumineuses sont regroupées dans une base de données du CSTB, entretenue quotidiennement, mais qui mériterait d'être plus accessible pour en généraliser l'utilisation. Les éditeurs de logiciels (PME, start-up, grands groupes) sont alors invités à réfléchir à de nouvelles modalités d'accès à l'information avec des idées de produits/services nouveaux ou bien revisitant les outils actuels. Les dossiers sélectionnés par le CSTB pourront ensuite être étudiés selon leur potentiel d'innovation et leur intérêt. La date limite de remise des manifestations d'intérêt est fixée au 2 octobre 2017 à midi.
Il y a 7 ans et 278 jours

Et maintenant, un MOOC sur l'énergie gaz

Solutions techniques innovantes, réseaux intelligents, équipements connectés, efficacité énergétique ou nouveaux usages... Energy Formation et Mines ParisTech se sont associés aux industriels du secteur gazier pour proposer le premier MOOC consacré au gaz. Plus de 2.500 personnes ont d'ores et déjà manifesté leur intérêt.
Il y a 7 ans et 279 jours

Studio 5.5 : Atelier Tarkett

Vendredi dernier, à l'occasion de la Paris Design Week, l'Atelier Tarkett a ouvert ses portes. Un espace de présentation des produits du fabricant de revêtements de sol éponyme, mais pas que ! Au-delà de l'écrin bleu conçu par le studio 5.5 au plein c"ur du quartier du Marais, la marque propose à tous " architectes, designers, étudiants, prescripteurs, etc. ", un lieu d'échange, d'exposition et de co-création. Professionnels de l'architecture et du design, vous n'êtes pas ici dans un espace où l'on se contente de regarder. Au contraire, ici, on expérimente, s'inspire, conçoit, met la main à la patte. Vous vous trouvez dans un lieu vu par ses créateurs comme le prolongement de votre agence. Un concept qui dépasse celui du simple showroom ou de l'espace de vente. Bienvenue à l'Atelier Tarkett ! Pour rénover ces locaux de 340 mètres carrés de deux niveaux situés rue Saintonge à Paris (3e), l'entreprise a confié le projet au talentueux studio 5.5 " qui, comme son nom ne l'indique pas, est composé de quatre membres ", avec qui elle avait déjà collaboré en 2011 avec Karpett, un objet hybride situé entre le sofa, le tapis et " dérouleur de confort ". Un détournement de la matière que les designers poursuivent ici au travers de multiples objets conçus sur-mesure qui jalonnent cette ancienne manufacture de bijoux, comprenant entre autres bibliothèque, zone de casiers " dans lesquels fouiller à l'envi ", salle de réunion et ID lab " dédié au digital et à l'expérimentation ", qui bénéficient tous de leur identité et de leur matérialité. Suspensions rectilignes, bureaux et autres assises réutilisent ainsi les produits de la marque de manière extrêmement diverses. Ainsi, une superposition de dalles de moquette devient un canapé, la coupe d'un rouleau de PVC additionnée à quatre pieds en bois se mue en tabouret, des lames de parquet sont transformées en réflecteurs de lumière, etc. Il n'y a ainsi pas meilleure publicité que de montrer tout le potentiel de création offert par des matériaux qui ont parfois mauvaise réputation. " Nous sommes partis du constat que le choix du revêtement de sol est souvent fait à la dernière minute, alors qu'il peut être au c"ur du projet ", Jean-Sébastien Blanc, co-fondateur et directeur de création du studio 5.5 Une démarche cohérente pour son directeur général France, Guillaume Teixeira qui avait donné aux designers une unique contraire, formulée par une interrogation, " comment montrer différemment ? ", car " les 5.5 ont été de l'autre côté du miroir, ils sont la cible de ce type de lieux ". Outre la réalisation du mobilier, il s'agit du premier projet d'aménagement intérieur des designers qui ont choisi comme fil rouge... la couleur bleu de la marque " RAL 5013 pour les intimes ", qui fait également écho au bleu de travail, à la poudre bleue utilisée au pour marquer le sol sur les chantiers et au blue print, " plan technique " en anglais. Un concept global, allant de la réalisation d'une charte graphique à conception spatiale, qui marque la volonté du fabricant dont l'histoire remonte à 130 ans de " casser les codes " de la mise en valeurs de ses gammes et plus globalement une reconsidération des besoins de sa cible. Du sol au plafond, l'Atelier Tarkett transportera les concepteurs qui pourrons ainsi découvrir les pleines potentialités des revêtements de sol qui ont si souvent ¬" et à tort ", mauvaise réputation. Atelier Tarkett, ouvert du lundi au vendredi, 43 rue de Saintonge, Paris (3e) Pour en savoir plus, visitez le site de Tarkett Photographies : DR
Il y a 7 ans et 281 jours

Dijon métropole centralise et connecte la gestion de ses équipements publics

Dijon métropole vient d'attribuer un contrat pour la réalisation et la gestion pendant 12 ans d'un poste de pilotage connecté des équipements de l'espace public des 24 communes de la métropole. Ce projet, qui sera opérationnel dès 2018, permettra de rationaliser, d'optimiser et de mutualiser la plupart des équipements techniques (feux de circulation, éclairages, vidéoprotection, … Cet article Dijon métropole centralise et connecte la gestion de ses équipements publics est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 7 ans et 282 jours

Le palmarès des 16ème Trophées de la Construction

Mercredi 6 septembre avait lieu la cérémonie de remise des récompenses de la 16ème édition des Trophées de la Construction, organisés par Batiactu et le Groupe SMA. Lors de cette soirée, 23 lauréats ont été distingués sur les 150 projets présentés. Cette année encore, CIMBAT.COM était partenaire de l'évènement, et son créateur, Gabriel Degott, membre du jury des Trophées " Internet . Solutions en ligne ".   Crédit photo : Dominique Eskenazi Les différentes catégories du Concours Comme chaque année, les Trophées de la Construction récompense les projets du Bâtiment les plus novateurs, qui se démarquent par leur architecture, les solutions techniques ou les produits/matériaux utilisés ou encore dans leur conception et leur organisation. Le concours se divise en deux grandes catégories : Les trophées " Chantiers innovants " avec le Grand Prix du Jury, le Trophée PRO BTP " Jeune Entreprise et les Palmarès Constructions neuves, Rénovations, Solutions techniques et Métiers d'Art. Les " Trophées Internet . Solutions en ligne " qui comprennent le Grand Prix du Jury et le Palmarès du même nom. Un Grand Prix du Jury symbolique Pour cette édition 2017, le Grand Prix du Jury a été décerné à l'organisation humanitaire non gouvernementale " Fondation des Architectes de l'Urgence ", pour son projet de réhabilitation d'urgence d'un squat à Montreuil (93) qui a permis de proposer un abri temporaire, réaménagé et sécurisé, aux migrants et réfugiés. Cette récompense démontre l'engagement et les réponses concrètes que peut apporter la filière Bâtiment aux problématiques actuelles de notre société.   Crédit photo : Dominique Eskenazi Le palmarès 2017 Découvrez l'intégralité du palmarès 2017 des Trophées de la Construction en vous rendant à cette adresse : http://trophees.batiactu.com/palmares.php
Il y a 7 ans et 282 jours

L'UFME confie la tête de sa commission technique à Chantal Sergent

L'Union des fabricants de menuiseries extérieures (UFME) a annoncé ce vendredi 8 septembre la nomination de Chantal Sergent, responsable R&D au sein du groupe Lorillard, au poste de présidente de sa commission technique. L'organisme confirme ainsi son partenariat de longue date avec le spécialiste de la fabrication et de l'installation de menuiseries extérieures. Les détails.
Il y a 7 ans et 283 jours

Point de vue " Quand la référence aux normes se heurte à l'accès payant à leur contenu

La possibilité pour les acheteurs publics de renvoyer à des normes dans les spécifications techniques de leurs marchés peut susciter des difficultés. Certaines ne sont en effet pas accessibles gratuitement. Quid, alors, de l'égal accès à la commande publique ? De la mise à disposition sans frais des documents d'une consultation ? Pour Arnaud Latrèche, adjoint au directeur de la commande publique et de la valorisation immobilière du conseil départemental de la Côte-d'Or, il peut y avoir un hic...
Il y a 7 ans et 283 jours

Le fabricant de toiles pour stores Mermet revisite totalement son site

Mermet, le fabricant de textiles techniques et décoratifs pour équiper les stores de protection solaire, s'est offert une refonte de son site. Avec plus de 65 ans d'expérience dans la conception de ce type de tissus, l'entreprise a totalement revisité son internet avec pour objectifs d'améliorer l'ergonomie, de mettre davantage en valeur ses textiles et de faciliter la recherche de produits pour ses clients. Voici notre avis ! Graphismes et expérience utilisateur Tout d'abord, on remarque que le site de Mermet version 2017 se pare d'une largeur pleine page. Cette décision permet de mettre l'accent sur les réalisations présentées sur le slider, mais aussi d'utiliser une police d'écriture plus grande et donc plus lisible. D'ailleurs, le site a préféré changer son ancienne police pour du Lato, une typographie moderne et répandue conseillée par Google. Le design global du site bénéficie de quelques autres améliorations : le rouge très flashy est désormais moins présent sur le site, ce qui agresse moins l'"il. Le menu du site, auparavant en plusieurs nuances de gris, a laissé place à une seule couleur unique, de quoi rendre l'ensemble plus homogène. Toutefois, nous restons dubitatifs sur le choix d'un deuxième menu qui vient surplomber le menu principal, présentant la société, les actualités et d'autres liens comme " contact ", " votre projet " ainsi que le panier de l'utilisateur. D'autant que ce menu numéro 2 se fusionne en partie avec le menu principal lors du défilement de la page : cela crée une sorte de confusion pour l'utilisateur. Passons maintenant au catalogue du fabricant. La partie Produits du site de Mermet est bien plus intuitive que sur la version précédente. La recherche a été entièrement revue : un client peut désormais rechercher un produit par mot-clé, des filtres sont présents sur la colonne de gauche et de nouveaux critères sont apparus comme la recherche d'un tissu en fonction de ses performances thermiques et optiques. La colonne de filtres est très utilisée sur les sites de e-commerce et rappelle les sites d'habillement ou d'informatique. Autre changement, les coloris de chaque toile sont visibles d'un seul clic : plus besoin de parcourir plusieurs pages pour l'utilisateur. Les fiches produits ont également été revues : on distingue plus clairement les avantages, les propriétés et les spécifications techniques d'un produit. Performances techniques Malgré une compatibilité parfaite sur mobile, le nouveau site de Mermet n'est pas encore tout à fait optimisé selon les recommandations de Google : en effet, ses notes sur PageSpeed indiquent un score de 27/100 sur mobile et 29/100 sur PC, la faute à des photos et ressources trop lourdes qui ralentissent le chargement de la page. L'avis de la rédaction Un grand bond en avant pour la nouvelle mouture du site de Mermet. Le site gagne en modernité et se rapproche des standards du web actuels, en matière de design et d'ergonomie ; le catalogue est plus intuitif et les produits mieux mis en valeur. Il faut toutefois continuer les efforts d'optimisation technique afin de ne pas risquer d'être déclassé par Google à l'avenir.
Il y a 7 ans et 283 jours

Bureau Veritas Construction et Xinaps veulent contrôler le BIM en temps réel [Exclusif]

Le spécialiste du contrôle technique vient de s'associer au néerlandais Xinaps pour créer un module BIM de vérifications automatiques et en temps réel des maquettes numériques. Le plug-in devrait sortir début 2018.
Il y a 7 ans et 285 jours

Finances locales : les travaux de concertation des collectivités avec l'Etat commencent

A la suite de la première conférence nationale des territoires, le 17 juillet, le gouvernement et les collectivités territoriales ont attendu la fin de l'été pour plancher sur les cinq chantiers qui vont rythmer le quinquennat. Deux réunions techniques sur le volet financier et sur le pacte Etat/collectivités ont eu lieu, les 28 et 29 août.  
Il y a 7 ans et 285 jours

Patrick Rubin : Construire Réversible

Paru en avril dernier aux éditions Canal Architecture, l'ouvrage Construire Réversible pose la question de la réversibilité des constructions face à la multitude de locaux tertiaires proliférant dans des espaces où la pénurie de logements fait rage. " Qu'attendons-nous pour construire des bâtiments réversibles ? ", voilà la question que se pose l'architecte et fondateur de Canal Architecture, Patrick Rubin. S'il est vrai que l'usage multiple d'un édifice n'est pas un concept nouveau " rappelons-nous notamment de la maison Dom-ino du Corbusier (1915) ou du Däckshus d'Erik Friberger (1960) ", le contexte politique, économique et social actuel oblige les nombreux acteurs du logement à repenser la réversibilité. C'est donc autour de ce thème que s'articulent les pensées d'architectes, d'urbanistes, de designers mais également de politiciens, d'économistes, de sociologues ou encore de politologues dans le recueil de textes que propose Canal Architecture. En effet, pour répondre à cette question fondamentale sur l'avenir de la construction, Patrick Rubin ne disserte pas seul mais interroge un large panel de protagonistes de la construction, croisant ainsi les opinions de façon à mieux appréhender la nature hybride des édifices, car là où des bureaux sont laissés vides, des possibilités d'habitation existent. Car, au-delà d'être le premier art selon la classification d'Hegel, l'architecture est indéfectiblement en lien avec la vie et les ouvrages ne sont pas seulement conçus pour leur attrait esthétique mais bel et bien pour être habités : " c'est-a?-dire a? la fois se loger, travailler, étudier, se divertir, aimer et vieillir ", précise Patrick Rubin. Pour répondre aux problèmes d'hébergement dans les métropoles, la réhabilitation d'espaces inoccupés paraît être une bonne solution mais, ainsi que le souligne Jean-François Blassel, architecte-ingénieur et responsable du DPEA Architecture Post-Carbone à l'ENSA de Marne-la-Vallée (77), ne paraît pas bénéfique dans " la logique du marché actuelle, fondée sur une maximisation du profit immédiat ". Le coût donc, semble être une des premières contraintes à une seconde-vie du bâti. En effet, si aujourd'hui il est plus compliqué de louer un appartement qu'un bureau, la société semble encourager la production de locaux tertiaires plutôt que le changement d'affectation d'espaces vacants. La lenteur de l'obtention des permis de construire et l'absence de " permis bis de logements transformés avec des coûts limités ", comme le suggère l'architecte-urbaniste François Leclercq, compliquent également la mise en "uvre de tels projets. L'idée de Patrick Rubin va plus loin que la simple reconversion d'un ancien édifice ; elle consiste à lui donner une identité mixte, entre anciennes et nouvelles fonctions et apparences. La réversibilité, elle, réside dans la conception d'une structure labile dès le départ, offrant aux immeubles la capacité de se transformer et de s'adapter aisément si besoin. Les différentes possibilités d'appropriations apparaîtraient alors dès la phase d'étude, de façon à anticiper les évolutions d'un monde où la limite entre espaces privés et publics tend à se fondre. "Ce serait peut-être intéressant que le 1 % artistique ou autres, comme le pratique Patrick Bouchain dans ses architectures, passe devant la marge dans le cahier des charges. Pour que la réversibilité? ne demeure pas une solution technique mais un acte politique ", Se?bastien Thie?ry, politologue Pour étayer sa théorie, Patrick Rubin s'appuie sur sept principes de conception, allant de la réduction de l'épaisseur des bâtiments à la mise en place du procédé de construction poteaux-dalles, en passant par l'utilisation de doubles niveaux. Le tout est méticuleusement expliqué et illustré à l'aide de schémas et de plans, simplifiant la compréhension du concept. Enfin, pour conclure sa thèse et son ouvrage, l'auteur anticipe l'architecture de demain avec une fiction, montrant l'application concrète des principes et idées soulevés tout au long du livre. Construire Réversible dédramatise l'architecture en proposant des solutions qui remettent l'humain au centre de tout bâti. Pour en savoir plus, visitez le site de Canal Architecture Illustrations : DR Canal Architecture
Il y a 7 ans et 285 jours

Choisir sa maîtrise d'"uvre : les conseils de la Miqcp

Le choix de la maîtrise d'"uvre est un moment clé pour le maître d'ouvrage. Plusieurs procédures, qui diffèrent selon le montant du marché, mais aussi selon les moyens techniques de la personne publique, sont pour cela envisageables. La Mission interministérielle pour la qualité des constructions publiques (Miqcp) livre ses conseils au travers de deux fiches pratiques.    
Il y a 7 ans et 285 jours

Le CSTB lance un appel à manifestation d'intérêt autour du BIM

Les "nouvelles modalités d'accès à l'information technico-réglementaire" font l'objet d'un appel à manifestation d'intérêt lancé par le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB). Les éditeurs de logiciels sont invités à imaginer des solutions innovantes et de nouveaux usages. Détails.
Il y a 7 ans et 285 jours

BIM : le CSTB lance un appel à manifestation d'intérêt

Le centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB), établissement public au service de l'innovation dans le bâtiment a invité le 1er septembre dernier les éditeurs de logiciels à imaginer de nouvelles modalités d'accès à l'information technico-réglementaire et à son usage.
Il y a 7 ans et 286 jours

Building Translate : l'outil de traduction du BTP

Après Dicobat, le dictionnaire illustré du Bâtiment, les éditions Arcatures proposent un nouvel outil de traduction pour les expressions du BTP : Building Translate.    Tous les termes techniques du BTP disponibles en 3 langues   Le bâtiment ayant son propre jargon, nombreux sont les professionnels qui, dans le cadre de leur métier, se sont heurtés aux limites des traducteurs généralistes que l'on retrouve sur internet. L'équipe de Building Translate entend donc solutionner cela en proposant des traductions pour tous les termes techniques, tenant compte des variations selon le contexte et les métiers (électricité, maçonnerie, plomberie, etc.).   Disponibles en 3 langues " Français, Anglais, Espagnol, ces traductions s'accompagnent de visuels et vidéos. A terme, Arcatures souhaite proposer 10 langues différentes.   Un outil qui ne cesse de s'améliorer   Si l'équipe de Building Translate travaille en continu sur l'enrichissement de la base de traductions disponibles, les internautes peuvent également soumettre leurs suggestions pour faire évoluer les résultats : proposition de nouvelles expressions, corrections/modifications selon les différences régionales, etc.   Un site qui tombe donc à pic avec la reprise de la saison des salons professionnels !   https://buildingtranslate.com/
Il y a 7 ans et 286 jours

Avec Dimosim, élaborer un schéma directeur énergie pour le Pays SUD

La commune de Barcelonnette, l'association du Pays Serre-Ponçon-Ubaye-Durance (Pays SUD) et le CSTB sont associés dans un projet de recherche collaborative. Objectif : étudier la stratégie énergétique de ces territoires des Alpes-de-Haute-Provence, en utilisant Dimosim. Ce logiciel d'étude prospective du CSTB permet de simuler et comparer différents scénarios à l'horizon 2030 et 2050, pour mieux planifier l'évolution du système énergétique local. Enjeux de l'expérimentation Le projet est né de la rencontre de deux volontés. D'une part, les collectivités territoriales du Pays SUD souhaitent trouver une nouvelle dynamique économique passant par la transition énergétique. Leur économie repose aujourd'hui essentiellement sur le tourisme d'hiver des stations de ski. Les infrastructures de production et de distribution d'énergie sont dimensionnées pour répondre aux demandes lors des pics saisonniers, et le potentiel de production d'énergies renouvelables est élevé par rapport aux besoins de la population. Il s'agit donc d'identifier de nouveaux scénarios énergétiques pour les décennies à venir, qui optimisent les ressources locales. D'autre part, le CSTB a développé Dimosim. Ce logiciel propose une vision prospective de l'organisation d'un système énergétique (production, réseaux, consommation) en accord avec les ressources et contraintes d'un territoire. Fruit de 3 années de recherche et d'une thèse, cet outil peut simuler différents scénarios, en prenant en compte les interactions entre bâtiments et réseaux. Pour le CSTB, mettre en "uvre Dimosim au service du Pays Sud, constitue un terrain d'expérimentation privilégié. Ce retour d'expérience va permettre de poursuivre l'amélioration de l'outil, en lien avec les attentes concrètes des acteurs du territoire. Mise en "uvre et perspectives Pour le CSTB, la première étape de l'étude consiste à renseigner un certain nombre d'informations sur le territoire actuel dans Dimosim. Parmi elles, les caractéristiques thermiques et géométriques des bâtiments, la topologie des réseaux de distribution, les données techniques des moyens de production. En 2016, le CSTB a réalisé la collecte de ces données. Puis il a établi et calibré le scénario de référence, qui décrit la situation actuelle de deux territoires pilotes : Les Orres et Barcelonnette. Pour chacun de ces deux territoires, les collectivités et le CSTB ont engagé la définition de deux scénarios de transition énergétique : un scénario moyen terme (horizon 2030) qui envisage le déploiement des technologies les plus matures et rentables aujourd'hui, et un scénario long terme (horizon 2050) qui vise l'autonomie énergétique du territoire. Grâce à sa modularité et à ses performances de calcul, Dimosim peut explorer rapidement et à faible coût, ces différentes alternatives énergétiques offertes aux collectivités. Dès 2017, le CSTB mènera cette étude sur les deux territoires étudiés. En savoir plus : Scénarios pour améliorer la performance énergétique d'un quartier à Nice
Il y a 7 ans et 288 jours

Une serre du 19e siècle sauvée de la rouille par les ferronniers

PATRIMOINE. La serre de la Gobinière du parc Michel Baudry (Orvault, Loire-Atlantique) qui était attaquée par la rouille a failli disparaître, remplacée par un facsimilé moderne. Mais, contre toute attente, une entreprise de serrurerie-ferronnerie a entrepris de la restaurer en employant des techniques de pointe, permettant de rendre vie à cette structure plus que centenaire.