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Il y a 4 ans et 211 jours

anthropie studio : Appartement MAL

À Paris, l'architecte My-Linh Tôn , à la tête de la jeune agence anthropie studio, a rénové un appartement haussmannien de 78 mètres carrés dans un esprit minimaliste, en travaillant les couleurs et les volumes. Fondée en 2019 par l’architecte My-Linh Tôn, anthropie studio a rapidement su imposer sa vision de l’architecture grâce à des projets divers toujours travaillés de manière décloisonnée. Forte de ses expériences auprès de Lina Ghotmeh, puis de Nicolas Dorval-Bory, My-Linh Tôn défend aujourd’hui une approche transversale de l’architecture et envisage chaque espace comme un objet d’art total. Pour l’appartement MAL, elle a entièrement joué sur les volumes, travaillé les couleurs, simplifié les lignes et optimisé l’espace. Ce petit appartement haussmannien se démarque par une organisation spatiale fragmentée. Située au centre de l’appartement, la cage d’escalier le divise en deux parties distinctes : les espaces de vie et les espaces privés. Il a donc fallu tenir compte de la cage d’escalier, de la façade unique et mono-orientée et du plan rectangulaire pour repenser l’organisation spatiale, la circulation de la lumière et l’identité de l’habitation. En se réappropriant la transversalité haussmannienne de l’appartement, My-Linh Tôn a fait le choix de revaloriser la distribution en enfilade en créant un jeu de portes ouvertes et fermées, ce qui permet de réunir les espaces ou de les dissocier à sa guise. L’architecte a ainsi créé un noyau central dont les différents espaces sont délimités par une grande baie vitrée. Dessinée sur-mesure et sculptée dans un chêne massif, cette verrière sépare la cuisine de la chambre-bibliothèque tout en laissant la lumière naturelle circuler. Les tonalités blanches et naturelles se déclinent sur toutes les surfaces, et renforcent les lignes tranchées des volumes. Une deuxième galerie d’un vert olive profond signale les transitions entre extérieur et intérieur, entre espaces partagés et espaces intimes, et parachève l’identité de l’appartement. Pour en savoir plus, visitez le site et le compte Instagram d’anthropie studio. Visuels : © Juliette AlexandreLa Rédaction
Il y a 4 ans et 211 jours

Vicat réalise des ventes en hausse de 6% au 3ème trimestre et reste optimisme pour l'ensemble de 2020

De juillet à septembre, son chiffre d'affaires s'est ainsi élevé à 762 millions d'euros, soit une croissance de 12% à périmètre et changes constants."La performance du groupe Vicat sur les 9 premiers mois de l'année 2020 démontre sa résilience et sa forte capacité à saisir les opportunités de croissance qui se présentent sur ses marchés. L'impact Covid sur la rentabilité opérationnelle (...) a été gommé fin juillet", s'est félicité son PDG, Guy Sidos, cité dans un communiqué.Ainsi, alors que le cimentier s'attendait cet été à une "baisse modérée" de son excédent brut d'exploitation (Ebitda) en 2020, il espère désormais une "croissance marquée" à périmètre et changes constants.Fin septembre, cet indicateur atteignait 403 millions d'euros, soit une progression de 8,1% sur un an (+11,7% à périmètre et changes constants).Vicat explique son optimisme par "la reprise de l'activité, notamment en France et en Inde" et par le "dynamisme des régions Amériques et Afrique".Le groupe, qui a déménagé son siège social de La Défense, près de Paris, à l'Isle-d'Abeau (Isère) en octobre, met également en avant le recul des coûts de l'énergie et son programme de réduction des coûts de structure évalué à 28 millions d'euros.Sur les neuf premiers mois de l'année, son chiffre d'affaires a légèrement grimpé, de 0,3%, pour s'établir à 2,1 milliards d'euros (+2,1% à périmètre et changes constants).En France, son principal marché qui représente près du tiers de ses ventes, le chiffre d'affaires a reculé de 5,8% (à périmètre constant) de janvier à septembre à 713 millions d'euros, malgré le dynamisme du troisième trimestre (+7,7%).
Il y a 4 ans et 211 jours

Déclinaison d'acier et de reflets, un lycée à Saint-Germain en Laye par COSA et Tank

Bien plus qu'un simple aéroport, Orly, inauguré par le général de Gaulle le 24 février 1961, est un symbole. Quand elle sort de terre, la nouvelle aérogare en verre et en acier présente aux automobilistes venant de Paris une façade vitrée bleue et jaune de 200 m qui frappe les esprits par la modernité de son architecture. […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 211 jours

Équerre d'argent 2020: les nommés de la catégorie Culture, jeunesse et sport

Bien plus qu'un simple aéroport, Orly, inauguré par le général de Gaulle le 24 février 1961, est un symbole. Quand elle sort de terre, la nouvelle aérogare en verre et en acier présente aux automobilistes venant de Paris une façade vitrée bleue et jaune de 200 m qui frappe les esprits par la modernité de son architecture. […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 212 jours

Maison de la culture de Budweis, République Tchèque, par Chaix & Morel

L’agence parisienne Chaix & Morel et Associés est lauréate en juillet 2020 du concours pour l’extension de la Maison de la Culture de Budweis, en République Tchèque. Symétrie historique ? Livraison 2024. Communiqué. Pour un coût des travaux de 13 M€ HT, le programme de la restructuration et extension de la Maison de la Culture (Ville […] L’article Maison de la culture de Budweis, République Tchèque, par Chaix & Morel est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 214 jours

Face à la crise, l'activité partielle longue durée monte en puissance

Selon la ministre du Travail Élisabeth Borne, les entreprises se saisissent désormais "massivement" de ce "bouclier anti-licenciement" avec "4.300 accords couvrant plus de 300.000 salariés", dont 80% dans des PME de moins de 50 salariés.Le motoriste Safran a été dans les premiers à négocier un tel accord qui couvre 6.000 salariés sur 44.000 en France. Pour eux, la réduction d'activité est en moyenne de 20%, donc un jour par semaine, indique-t-on chez Safran. "C'est plutôt bien perçu. Quand on regarde ce qui peut se passer ailleurs, on est quand même contents de voir qu'on peut sauvegarder l'emploi", même si "on fait effectivement des sacrifices", dit-on. L'APLD autorise une réduction du temps de travail jusqu'à 40% d'heures chômées sous condition d'un accord d'entreprise ou de branche, de six à 24 mois, validé par l'administration et comprenant des engagements sur l'emploi et la formation.L'État rembourse à l'entreprise l'indemnité versée au salarié, à hauteur de 85% ou 100% suivant les secteurs. Le salarié perçoit 70% de sa rémunération brute (84% nette) sur les heures chômées. L'entreprise peut aller plus loin, comme Valeo qui a porté l'indemnisation à 80% du brut ou Bosch à 75%.Les entreprises mettent en avant la "visibilité" à moyen terme apportée par ces accords, après le chômage partiel classique utilisé par certaines "en urgence" face au Covid-19 et dont les règles fluctuent. En terme de formation, l'accord chez Safran prévoit seulement que le salarié peut se former avec l'accord de son manager, l'entreprise envisageant sur ce volet un nouvel accord "d'ici la fin de l'année"."Bémol" sur la formationFin octobre, le ministère du Travail a d'ailleurs fait état d'un "bémol" sur la formation alors que la logique du dispositif est d'y consacrer le temps chômé. "C'est pauvre sur la formation. Les accords visent davantage à se donner du temps sur l'emploi plutôt qu'à préparer le futur", déplore Jean-François Foucard, en charge de la formation à la CFE-CGC.Chez Xelians (archivage), qui vient de signer un accord pour sa principale filiale, le président Jacques Thibon explique à l'AFP que l'entreprise a pris des "engagements d'accroissement des efforts de formation". Mais il ajoute qu'"en terme de formations réelles, ça dépendra des demandes des salariés".L'accord, qui couvre environ 85% des quelque 500 salariés, prévoit "une réduction du temps de travail de 20%". Il est organisé sous la forme d'une semaine de travail ramenée à 4 jours, un dispositif "assez simple" et "plutôt bien vu" par les salariés dont la rémunération nette n'est réduite que de "3 à 4%".Pour Michel Beaugas, secrétaire à l'emploi à FO, les syndicats soutiennent l'APLD car "les salaires sont à peu près préservés" et cela "vaut mieux que des licenciements avec une prime one-shot". Mais, nuance-t-il, le succès auprès des employeurs s'explique aussi parce que "les engagements ne sont pas vraiment contraignants".De fait, un accord APLD n'interdit pas de négocier parallèlement un PSE et l'employeur n'est pas tenu de rembourser les aides si "les perspectives d'activité se sont dégradées" dans l'intervalle.Plusieurs grosses entreprises (Airbus, Air France...), confrontées à des situations différentes suivant leurs sites ou leurs métiers, ont d'ailleurs mixé l'APLD avec d'autres dispositifs. Aéroports de Paris la négocie, en même temps que des ruptures conventionnelles collectives (RCC) et un accord de performance collective (APC).Pour l'instant, seules six branches dont la métallurgie ont conclu un accord. Une trentaine d'autres sont en discussion, mais certaines n'avancent guère dans la restauration ou la coiffure. Ces accords de branche permettent aux employeurs, notamment des PME, de rédiger si besoin un document unilatéral. Ces derniers représentent déjà 44% des 4.300 accords.Pour 2021, la budgétisation de l'activité partielle (courte ou longue) est de 6,6 milliards d'euros, de quoi financer 450.000 salariés en APLD, une enveloppe indicative que le ministère espérait en septembre ne pas atteindre. Mais c'était avant le reconfinement.
Il y a 4 ans et 214 jours

Se jouer de la plasticité du béton, des bureaux à Saint-Lô par Randja

Bien plus qu'un simple aéroport, Orly, inauguré par le général de Gaulle le 24 février 1961, est un symbole. Quand elle sort de terre, la nouvelle aérogare en verre et en acier présente aux automobilistes venant de Paris une façade vitrée bleue et jaune de 200 m qui frappe les esprits par la modernité de son architecture. […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 214 jours

Équerre d'argent 2020: les nommés de la catégorie Activités

Bien plus qu'un simple aéroport, Orly, inauguré par le général de Gaulle le 24 février 1961, est un symbole. Quand elle sort de terre, la nouvelle aérogare en verre et en acier présente aux automobilistes venant de Paris une façade vitrée bleue et jaune de 200 m qui frappe les esprits par la modernité de son architecture. […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 214 jours

Ouvrages éphémères en bois : report du webinar

Initialement prévu le 19 novembre 2020, le webinar France bois 2024, ouvrages éphémères en bois est reporté. Dans la continuité de la collaboration initiée entre Paris 2024 (comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques) et France Bois 2024 (l’équipe projet chargée d’accompagner les maîtres d’ouvrage, les entreprises, relayer l’information, porter l’innovation et préparer les formations pour des réalisations exemplaires avec des bois provenant de forêts gérées durablement et, pour 50% au moins, de nos forêts) pour répondre à la capacité de la filière bois à réaliser une partie, voire la majorité des ouvrages temporaires des Jeux, France Bois 2024 a souhaité organiser un webinar ayant pour but de partager via les retours d’expériences des acteurs concernés les atouts et points d’attention à porter à l’usage du matériau bois dans les équipements éphémères en bois. Une nouvelle date sera proposée prochainement. Les visites du chantier du Grand Palais Ephémère ont également été annulées.
Il y a 4 ans et 215 jours

En pleine crise sanitaire, pas de trêve pour les expulsions locatives

Une femme enceinte de huit mois qui se retrouve à la rue, un Niçois à qui la mesure vient d'être notifiée et qui se demande si les restrictions sanitaires vont lui permettre d'y échapper..."Allô prévention expulsion, bonjour ?" A l'autre bout du fil, un assistant social appelle pour le compte d'une dame, en pleurs devant lui, dont le fils adolescent était tout seul dans son appartement lorsque l'huissier a débarqué avec la police pour les mettre dehors.Peut-elle saisir un juge ? Où vont-ils dormir ces prochains jours, on ne lui a proposé aucun hébergement alternatif. Du lundi au vendredi, chaque après-midi, juristes et bénévoles de l'association se relaient pour conseiller des personnes qui, souvent, "connaissent mal leurs droits".La ministre du Logement Emmanuelle Wargon a pourtant répété mi-octobre que la circulaire du 2 juillet continuait de s'appliquer: aucune expulsion avec le concours de la force publique ne peut avoir lieu sans solution d'hébergement ou de relogement."Globalement, cette mesure a permis de limiter fortement le nombre des expulsions, mais certaines préfectures ne l'appliquent pas, ou avec une interprétation restrictive", regrette Christophe Robert, le délégué général de la Fondation Abbé Pierre."Ils expulsent dans des délais parfois très rapides, sans proposer d'alternative, ou alors quelques nuitées à l'hôtel: ce n'est pas suffisant"."Par la fenêtre"Les hébergements d'urgence, notamment à l'hôtel, sont déjà complètement saturés, avec quelque 3.000 appels chaque soir au numéro 115 du Samu social, qui se voient rejetés.La Fondation a déjà identifié 110 ménages expulsés et à la rue depuis cet été en France. Ce qui représente "sans doute une part infime" de la réalité, précise Christophe Robert.Assia, 56 ans, veuve et handicapée depuis un accident vasculaire cérébral, a été expulsée le 9 octobre parce que son propriétaire, un particulier, veut revendre son appartement.Cette ancienne coiffeuse a toujours payé le loyer de son studio de 23m2 à la limite de l'insalubrité, dit-elle, où "les fils électriques dépassent de partout". Mais avec moins de 600 euros d'allocations par mois, sans emploi, elle n'a quasiment aucune chance de retrouver un logement en région parisienne."Je n'étais pas là ce jour-là, le propriétaire a jeté toutes mes affaires par la fenêtre dans la cour, j'étais tellement choquée, j'ai passé une semaine à l'hôpital psychiatrique", raconte-t-elle, la voix étouffée par les sanglots.Assia a beau être reconnue prioritaire au titre de la loi Dalo - le préfet de Seine-Saint-Denis avait six mois après le jugement d'expulsion prononcé en juin 2019 pour la reloger -, elle dort désormais par terre et la peur au ventre dans un hall d'immeuble à Aubervilliers. "N'importe qui peut passer par là, je ne dors plus, je suis fatiguée..." Explosion des expulsionsMoussa, lui, suivait un master 2 de droit des affaires lorsqu'il est tombé sous le coup d'une procédure d'expulsion après avoir perdu le petit boulot qui lui permettait de financer ses études.Il y a trois ans, il contracte une première dette de loyer, réussit à la rembourser, puis une deuxième d'environ 3.000 euros, l'équivalent de six mois de loyers à 479 euros. "Le bailleur - un gestionnaire du parc social - ne m'a plus lâché, ils ont continué les poursuites", raconte le jeune homme.L'autorisation d'expulsion de la préfecture tombe en novembre 2019, mais un juge lui accorde un sursis jusqu'en juillet suivant pour lui permettre de régulariser sa situation.Entre temps, l'étudiant continue de payer ses loyers sans toutefois parvenir à rembourser sa dette. Durant le confinement provoqué par la crise sanitaire, il demande à bénéficier du fonds solidarité logement, et propose des arrangements au bailleur. En vain, il n'aura pas de réponse."Dès le mois de mars, l'huissier a commencé à me harceler pour que je rende les clés", poursuit Moussa, qui squatte aujourd'hui le canapé d'une amie, en attendant de trouver mieux. "J'ai trouvé un travail (de juriste, ndlr) en juin, mais le 11 septembre, ils sont venus changer les serrures. Ils m'ont donné deux heures pour prendre mes affaires".Alors que les impayés de loyer représentaient déjà 95% des expulsions forcées avant la crise sanitaire, les associations craignent une hausse inédite du phénomène avec les pertes d'emplois générées par la crise sanitaire."Si on ne réagit pas maintenant pour trouver des alternatives, on va forcément vers une explosion des expulsions dans les prochains mois", met en garde Christophe Robert.
Il y a 4 ans et 215 jours

Le télétravail fait beaucoup moins recette pour ce deuxième confinement

"Tous ceux qui ont des tâches télétravaillables, et il y en a beaucoup, doivent télétravailler cinq jours sur cinq", a encore rappelé mardi la ministre du Travail Elisabeth Borne sur Europe 1.Une injonction que Sofia*, salariée d'un cabinet de conseil en région parisienne, aimerait voir son employeur respecter.Dans un mail adressé aux quelque 500 salariés de la société, la direction affirme souhaiter "le maintien de nos activités en mode +normal+", soit un jour télétravaillé par semaine maximum."C'est très choquant, on a l'impression qu'on ne vit pas dans le même pays. C'est juste une stratégie de contrôle des gens", déplore Sofia, qui souhaiterait éviter de prendre les transports pour se rendre en banlieue parisienne. "Pour travailler on a besoin d'un ordinateur et d'une connexion internet", assure-t-elle.Même constat pour Bertrand*, qui travaille au Crédit Agricole. Sa direction lui a adressé un message lui annonçant un maximum de deux jours de télétravail par semaine."Nos postes étaient 100% en télétravail en mars", rappelle Bertrand, qui a du mal à comprendre.Comme lui, des salariés d'offices HLM, de sociétés de dépannage informatique en ligne ou de location d'engins de BTP ont raconté à l'AFP avoir travaillé uniquement depuis leur domicile en mars-avril dernier, ce qui ne leur est aujourd'hui plus permis.Tous avancent le même argument: le refus du télétravail est lié à "une peur de perte de contrôle du salarié, avec une baisse de productivité".Chez LCL, filiale du Crédit Agricole, FO s'est ému d'un "0% télétravail" imposé à tout le réseau commercial. La branche banques du syndicat a dénoncé dans un communiqué une situation propre à ce secteur. "La profession, à de rares exceptions, exclut toujours de recourir massivement au travail à distance en particulier pour les salariés des réseaux et en contact direct du public", dénonce FO.Un protocole flouAlors que syndicats et patronat ont entamé des discussions mardi sur le télétravail, la négociatrice de la CFDT Catherine Pinchaut a évoqué "de fortes remontées" venant d'entreprises qui refusent le télétravail.Le nouveau protocole national dans les entreprises, mis en ligne jeudi par le ministère du Travail, "laisse libre court à de nombreuses interprétations", a-t-elle dénoncé. "C'est à l'appréciation pure de l'employeur, qui décide que le poste de M. ou Mme Dupont est télétravaillable ou pas", sans discussion avec le salarié, a déploré Mme Pinchaut."On voit bien qu'il y a une boulette dans la rédaction du protocole", a-t-elle regretté.De son côté, Mme Borne a relevé des "signaux positifs" comme la fréquentation en baisse des transports en commun en Ile-de-France lundi (entre 25 et 40% en moins par rapport à la normale)."Je vais continuer toute cette semaine à mobiliser les entreprises, j'ai plusieurs visioconférences avec des directeurs de ressources humaines", a-t-elle assuré, affirmant qu'une enquête allait être diligentée en fin de semaine pour "mesurer la façon" dont le télétravail a été mis en oeuvre.En attendant, Thibault*, qui travaille pour une entreprise de dépannage informatique à distance dans la région de Nantes, note une différence de taille par rapport à la situation du printemps: "contrairement au premier confinement, notre client n'a pas arrêté sa production donc il y a autant de travail, voire plus, avec plein de problèmes techniques", explique-t-il, rendant le travail à distance plus compliqué cette fois-ci.Chez Dassault Aviation, certains salariés se sont plaints de ne pouvoir travailler à 100% depuis chez eux, pour "des raisons de performance économique" selon la CFDT. Mais comme le rappelle Bernard Mathieu, délégué syndical CFE-CGC, "le président de la République a dit que les usines devaient tourner" donc "le 100% télétravail est impossible", et pas seulement pour les ouvriers.
Il y a 4 ans et 215 jours

Un nouveau président au conseil de surveillance de la Société du Grand Paris

CARNET/NOMINATION. La fonction était occupée depuis 2018 par Patrick Braouezec, président du territoire Plaine Commune, qui n'exerce plus de mandat local depuis cet été.
Il y a 4 ans et 215 jours

A Paris, 35 logements signés MAO réécrivent l’histoire

En août 2020, l’agence parisienne MAO – Mobile Architectural Office (Fabien Brissaud, Aurélien Ferry) a livré rue Charrière à Paris (XIe) une opération de construction neuve de 35 logements libres et sociaux. Une double maîtrise d’ouvrage : Emerige + Ogic. Surface : 2 419 m². Coût des travaux (HT) : 4.8 M€.   Un projet imprégné de […] L’article A Paris, 35 logements signés MAO réécrivent l’histoire est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 215 jours

Le grands fonds de soutien aux groupes français Lac 1 entre en action

Ce fonds doté de plus de 4 milliards d'euros et géré par Bpifrance a acquis une participation de 5,08% dans Arkema pour un montant de 348 millions d'euros, a annoncé mardi le directeur général de la banque publique d'investissement Nicolas Dufourcq.Lac 1, un temps baptisé Lac d'argent, a été initié début 2020 et a bouclé sa première tranche de 4,2 milliards d'euros fin mai.C'est un fonds privé mais géré par Bpifrance et outre la banque publique d'investissement qui a apporté 1 milliard d'euros, une vingtaine de souscripteurs ont participé à cette première levée de fonds: plusieurs grands investisseurs institutionnels (assurances, banques), les groupes Orange, Unibel, Financière Dassault, ou encore le fonds souverain d'Abou Dhabi Mubadala.Lors de sa création, l'objectif affiché était d'atteindre une capacité d'investissement de 10 milliards d'euros, notamment pour permettre de stabiliser le capital d'entreprises françaises cotées et les protéger contre des rachats hostiles.Par ailleurs, en pleine crise économique engendrée par l'épidémie de Covid-19, "un grand nombre de sociétés performantes, internationalisées et innovantes souhaitent stabiliser leur capital en s'appuyant sur des investisseurs de long terme", expliquait au printemps Nicolas Dufourcq.Dans le cas d'Arkema, son président "a le souci d'avoir à son capital des investisseurs de long terme", a-t-il indiqué mardi, alors que Lac 1 a la vocation d'investir sur une durée d'au moins dix ans.Une prochaine opération ?Groupe de chimie de spécialité né en 2006, Arkema est un des principaux acteurs mondiaux de la chimie de spécialité, et produit notamment des adhésifs, des matériaux avancés et des résines pour revêtement.La direction a présenté en avril un plan stratégique à cinq ans, via lequel il ambitionne de devenir "un pur acteur de la chimie de spécialité" en renforçant son portefeuille dédié, qui représentait déjà en 2019 près de 80% de ses 8,7 milliards d'euros de chiffres d'affaires."La chimie de spécialité est importante parce que nous aurons de plus en plus besoin de matériaux innovants", a expliqué M. Dufourcq pour justifier ce premier investissement de Lac 1, ajoutant que Bpifrance est déjà très présent sur ce secteur via le soutien à l'innovation et le financement de PME.Lac 1 envisage d'ailleurs "d'accroître" sa participation dans Arkema et Bpifrance devrait obtenir lors de la prochaine assemblée générale en mai un siège au conseil d'administration, a précisé par ailleurs M. Dufourcq.Peu après l'ouverture de la Bourse de Paris, l'action Arkema prenait 2,49% à 87,42 euros, dans un marché en hausse de 1,31%.Pour Lac 1, cette première opération devrait rapidement être suivie d'une autre. "Nous nous rapprochons d'une décision de lancement d'une opération d'acquisition", a indiqué M. Dufourcq, sans préciser dans quel secteur elle pourrait avoir lieu.Il a simplement avancé que cela serait plutôt dans l'industrie, conformément à l'ADN de Bpifrance.Quand à Lac 1, "nous continuons la levée de fonds", a-t-il ajouté, même si la crise sanitaire et les restrictions de déplacements ne facilitent pas les discussions avec des investisseurs potentiels.
Il y a 4 ans et 215 jours

Au Havre, entre Perret et la mer, un quai rendu à la ville par Michel Desvigne et Inessa Hansch

Bien plus qu'un simple aéroport, Orly, inauguré par le général de Gaulle le 24 février 1961, est un symbole. Quand elle sort de terre, la nouvelle aérogare en verre et en acier présente aux automobilistes venant de Paris une façade vitrée bleue et jaune de 200 m qui frappe les esprits par la modernité de son architecture. […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 215 jours

Équerre d'argent 2020: les nommés de la catégorie Espaces publics et paysagers

Bien plus qu'un simple aéroport, Orly, inauguré par le général de Gaulle le 24 février 1961, est un symbole. Quand elle sort de terre, la nouvelle aérogare en verre et en acier présente aux automobilistes venant de Paris une façade vitrée bleue et jaune de 200 m qui frappe les esprits par la modernité de son architecture. […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 215 jours

Shift , un immeuble réhabilité par ses concepteurs originels

EN IMAGES. Livré en 2019, l'immeuble de bureaux Shift, à la frontière entre Paris et Issy-les-Moulineaux, a fait l'objet d'une réhabilitation par ceux-là même qui l'avaient conçu dans les années 90, et qui l'ont remis au goût du jour.
Il y a 4 ans et 215 jours

Des menuiseries en acier au service de la conception architecturale

Réalisée par le métallier MAPS (Atelier Appert), à l’aide des profilés acier Jansen de la série VISS, cette large et somptueuse verrière est venue servir la cour intérieure de l’immeuble « Village by CA » du Crédit Agricole, situé dans le 8ème arrondissement de Paris. Grâce à la finesse des menuiseries Jansen et leurs propriétés techniques sans égales, elle offre à la cour de ce bâtiment un clair de vitrage et des performances techniques et thermiques optimales.   Photo : Abadie  
Il y a 4 ans et 216 jours

Le Grand Paris Express sur la bonne voie

EN IMAGES. Sur le chantier du Grand Paris Express, la pose des équipements ferroviaires a commencé il y a quelques mois. Fin octobre 2020, les 1.800 premiers mètres de rails étaient installés, dans l'arrière-gare de Noisy-Champs, futur terminus des lignes 15 sud et 16.
Il y a 4 ans et 216 jours

Travaux de Grand Paris Express : des rails pas comme les autres

Le chantier du Grand Paris Express entre dans une nouvelle phase de travaux avec la mise en oeuvre des systèmes de transport, symbolisée par la pose des premiers rails dans l’arrière-gare de Noisy-Champs.
Il y a 4 ans et 221 jours

Apollon et Dionysos

Lisez en intégralité l’édito d’Emmanuelle Borne, rédactrice en chef d’AA. Cet article Apollon et Dionysos est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 216 jours

Tour Triangle : la mairie de Paris visée par une plainte pour corruption

CONCESSIONS. L'association Anticor a déposé plainte contre X auprès du parquet national financier (PNF) pour favoritisme dans l'attribution du marché public d'exploitation du Parc des expositions de la Porte de Versailles, propriété de la Ville de Paris. Au coeur de cette procédure : le projet de la tour Triangle, porté par Unibail.
Il y a 4 ans et 216 jours

Un nouveau Président pour le Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique

Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique chargée du Logement et en charge de la construction, a nommé Christophe Caresche à la présidence du Conseil supérieur de la construction et de l'efficacité énergétique (CSCEE).En présence d'Emmanuelle Wargon, Christophe Caresche présidera donc une réunion exceptionnelle du CSCEE ce mercredi 4 novembre. Cette réunion sera l'occasion de faire un point sur la continuité d'activité et la mobilisation de toute la filière du bâtiment et de la construction en cette période de confinement. Elle permettra aussi de rappeler les perspectives de travail du CSCEE pour les prochaines semaines, notamment la consultation à venir du conseil sur la future réglementation environnementale des bâtiments neufs (RE2020).Christophe Caresche est engagé de longue date en faveur de la transition écologique. Fin connaisseur du monde du logement, il préside et dirige depuis 2017 l'opérateur foncier Tonus Territoires (ex-Foncière publique solidaire), filiale de la Caisse des dépôts, qui investit dans la construction de logements neufs en zones tenduesAncien député de Paris (1997-2017), Christophe Caresche succède à Thierry Repentin, maire de Chambéry, qui avait démissionné de la présidence après sa nomination à la présidence de l'Anah, le 14 octobre dernier.
Il y a 4 ans et 216 jours

La Bourse de Commerce à Paris, nouveau musée de François Pinault

La Bourse de Commerce—Pinault Collection, nouveau musée parmi le réseau de lieux et d’initiatives développés depuis 2006 par François Pinault, va ouvrir ses portes au public, le samedi 23 janvier 2021, au cœur de Paris. La Bourse de Commerce a été restaurée et transformée par l’architecte japonais Tadao Ando (TAAA –Tadao Ando Architect & Associates), l’agence NeM / Niney et Marca Architectes, l’agence Pierre-Antoine Gatier et Setec Bâtiment. Commencé en juin 2017, ce grand chantier s’est achevé en mars 2020 après un peu plus de trois ans de travaux. S’en suit, depuis lors et jusqu’à la fin de l’année 2020, une période de levée des réserves, de finitions, d’aménagements techniques, mobiliers et muséographiques, tandis qu’à l’extérieur du bâtiment sont conduits les travaux des abords du site, dont la Ville de Paris assure la maîtrise d’ouvrage. Le bâtiment de la Bourse de Commerce témoigne de quatre siècles de prouesses architecturales et techniques. Il associe la première colonne isolée de Paris, édifiée au 15e siècle pour l’hôtel de Catherine de Médicis, les vestiges d’une halle au blé à l’impressionnant plan circulaire du 18e siècle, couverte dès 1812 par une spectaculaire coupole de métal et de verre. Il a été recomposé en 1889 pour devenir la «Bourse de Commerce». Situé au centre de Paris, dans le jardin des Halles et s’ouvrant sur la rue du Louvre, ce bâtiment est emblématique de l’histoire de Paris et de son architecture. Après une restauration exemplaire qui en a sauvegardé toutes les beautés, il se tourne désormais vers la création contemporaine. Le bâtiment est aujourd’hui revivifié par le geste architectural contemporain deTadao Ando. L’architecte japonais crée les conditions d’un dialogue entre l’architecture et son contexte, entre le patrimoine et la création contemporaine, entre le passé et le présent, entre la collection et le visiteur. La Bourse de Commerce est, à ce jour, la plus importante réalisation confiée à Tadao Ando en France. Les designers français Ronan et Erwan Bouroullec ont été conviés à concevoir le mobilier du bâtiment. Le restaurant de la Bourse de Commerce, baptisé «La Halle aux Grains» a été confié aux chefs aveyronnais Michel et Sébastien Bras. La Bourse de Commerce proposera un point de vue sur la collection d’œuvres contemporaines que constitue François Pinault depuis plus de quarante ans. Comme dans les musées vénitiens (le Palazzo Grassi et la Punta della Dogana), la collection sera rendue visible au travers d’un programme permanent d’accrochages temporaires et «éditorialisés» : expositions thématiques et monographiques, mais aussi commandes, cartes blanches et projets in situ, avec la volonté d’accompagner les artistes dans leur création. La programmation d’une quinzaine de projets par an articulera ces expositions dans les espaces modulables. La première saison d’expositions et d’événements est intitulée «Ouverture». «Je me réjouis que l’ouverture de la Bourse de Commerce vienne enrichir le paysage européen des institutions qui se consacrent à la présentation de l’art de notre temps et contribue, après la dure année 2020 que traversent notre pays et le monde, à la renaissance de la vie culturelle à Paris.» François Pinault   Bourse de Commerce — Pinault Collection © Tadao Ando Architect & Associates, Niney et Marca Architectes, Agence Pierre-Antoine Gatier Photo 1 Patrick Tourneboeuf Photo 2 Marc Domage
Il y a 4 ans et 216 jours

Le Conseil supérieur de la construction a un nouveau président

CARNET/NOMINATION. Un ancien député de Paris, reconverti dans le monde du logement, prend la succession de Thierry Repentin qui préside désormais l'Anah.
Il y a 4 ans et 216 jours

Du BIM pour une rénovation lourde

Le BIM n’est pas à cantonner à la construction neuve. Pour preuve, l’importante réhabilitation d’un hôtel parisien du XVIIIème siècle confiée à l’agence Valode & Pistre.
Il y a 4 ans et 216 jours

CSCEE : Christophe Caresche remplace Thierry Repentin à la présidence

La ministre du Logement, Emmanuelle Wargon a nommé mercredi 4 novembre l'ancien député de Paris à la présidence du Conseil supérieur de la construction et de l’efficacité énergétique.
Il y a 4 ans et 216 jours

Vinci Construction France à l’honneur du Geste d’Or 2020

Chaque année, le concours du Geste d’Or récompense les chantiers dits “exemplaires” du patrimoine d’hier, d’aujourd’hui et de demain. Le 29 octobre dernier, la 10e édition s’est déroulée à la Société d’encouragement pour l’industrie nationale, à Paris. Le Geste d’Or distingue les réalisations remarquables sur plusieurs critères. Notamment, le respect environnemental, la gestion sociale et l’ingénierie financière. Comme en 2019, Vinci Construction France a fait sensation et s’est démarqué en recevant 8 distinctions. Retour sur le palmarès du leader français du BTP. Trois Gestes d’Or  Le groupe spécialisé dans le bâtiment en France se positionne sur tous les fronts. Il réalise, rénove, restructure et réhabilite. Ainsi, il a décroché 3 Gestes d’Or à travers ses filiales Bateg, Dumez Ile-de-France et GTM Bâtiment. Réalisation de La Tour Saint-Gobain. [©Augusto Da Silva / Graphix-Images] • Le Geste d’Or “Architecture, innovation et matière” a été attribué à l’opération de la tour Saint-Gobain (Paris La Défense), réalisée par Bateg. Cette tour s’élève à 165 m, sur 44 niveaux et comptabilise quelque 49 000 m2 de surface. Elle  abrite le siège du groupe Saint-Gobain. Les planchers ont été réalisés avec un béton précontraint par post-tension. Les verticaux ont été conçus un à un, de manière traditionnelle avec des banches. Par ailleurs, « l’architecture se distingue par son prisme sommital en porte-à-faux. Avec sa composition en trois parties : un pied, un corps, une tête, qui transforme la tour en personnage ». Une belle métaphore qui définit bien cet immeuble de grande hauteur (IGH) à la particularité toute “cristalline“. En effet, le socle et la tête de la tour « se parent d’un système de verre agrafé, qui a pour effet d’augmenter la luminosité́ et d’intensifier l’impression de légèreté́ ». • La restructuration du 7 rue de Madrid, à Paris, a reçu le Geste d’Or “Architecture, urbanisme et société”. Les travaux de ce bâtiment historique du XIXe siècle ont été menés par Dumez Ile-de-France. Restructuration du 7 rue de Madrid, Paris VIIIe. [©Guillaume Maucuit Lecomte] Pour les équipes, « l’enjeu principal était de valoriser ce bâtiment patrimonial édifié́ en 1876. Tout en y associant des touches de modernité́. A travers une architecture soucieuse de protéger l’existant ». Une verrière a donc été installée, ainsi que des espaces végétalisés. Ceci, dans le but d’apporter plus de lumière et de confort à l’édifice. En plus, un nouveau bâtiment de 4 étages a été construit. Et ce, tout en bois. De quoi favoriser la biodiversité. • Enfin, le dernier Geste d’Or attribué à Vinci Construction France est celui de la “Surélévation, étanchéité, chantiers” pour la réhabilitation de la résidence Beauregard, à Poissy (78). Sa filiale GTM Bâtiment a porté ce projet en deux temps. Tout d’abord, les équipes ont réhabilité 180 logements sociaux. Puis, l’entreprise s’est penchée sur la réalisation de 33 logements en surélévation. Ces maisons ont été construites grâce à des modèles 3D préfabriqués en structure bois. Réhabilitation de la Résidence Beauregard, Poissy (78). [©L’image contemporaine] Deux Care d’Or Vinci Construction France a aussi remporté 2 Care d’Or, nouveaux prix de l’édition 2020. La distinction salue « les projets offrant des nouveaux lieux de vie et ayant été pensés pour répondre au mieux aux besoins des futurs occupants ». • Le chantier de la Maison des avocats a reçu le Care d’Or “Architecture, travaux publics et grands travaux”. Cette réalisation est signée Petit, autre filiale du groupe de BTP. Construite sur le parvis du nouveau Palais de Justice dans le quartier des Batignolles, à Paris, la Maison des avocats dispose d’une surface de 7 000 m2 et compte 8 étages avec sous-sol. Les planchers sont en porte-à-faux sur plus de 25 m. Une façade en verre double peau sculpte l’ensemble. • Le second Care d’Or “Réhabilitation et restructuration” a été remis à la caserne des Minimes. Maison des Avocats, Paris XVIIe. [©Sergio Grazia pour Renzo Piano Building Workshop]Réhabilitation de la Caserne des Minimes, Paris, 3e. [©Augusto Da Silva / Graphix-Images] En dehors de ces cinq projets primés, Vinci Construction France a aussi été distinguées au concours du Geste d’Or 2020 pour : – La rénovation de la Maison Albar Hôtels Le Vendôme, Paris IXe arrondissement  (Geste d’Argent) ; – La restauration de l’église Notre-Dame-de-Lorette, Paris IXe arrondissement (Geste d’Argent) ; – La restauration de la fontaine Médicis et de ses bassins, Paris VIe arrondissement (Geste d’Argent). Rénovation de Maison Albar Hotels Le Vendome, Paris, IXe. [©L’image contemporaine]Restauration de l’église Notre-Dame de Lorette, Paris, IXe. [©Shoootin]Restauration de la Fontaine Médicis et de ses bassins, Paris, VIe. [©GovinSorel]
Il y a 4 ans et 216 jours

Neandertal aux portes de Paris

À Clichy-la-Garenne, sous plus de quatre mètres de remblais modernes, l’Inrap étudie les anciennes alluvions de la Seine. Dans les niveaux les plus anciens, ont été mis au jour plusieurs silex taillés (« méthode Levallois ») révélant la présence de Neandertal, ainsi que les vestiges d’un éléphantidé. En milieu très urbanisé, dans un espace contraint, les archéologues ont mis en œuvre une méthodologie peu courante, conjuguant une large tranchée (généralement pratiquée durant les diagnostics) et des décapages successifs. Dans les niveaux les plus anciens, la découverte de plusieurs silex taillés, notamment des outils, associés à des restes de faune, révèle la présence de Neandertal sur les rives du fleuve. Ces éclats tranchants, dans un silex local débité selon la « méthode Levallois », sont typiques du Paléolithique moyen. Cette méthode consiste à contrôler le volume du nucléus (matrice dont on extrait des produits de débitage) pour obtenir des éclats prédéterminés (éclats Levallois) pouvant être (ou non) par la suite transformés en outils. Les carrières et sablières de la boucle de la Seine, entre Clichy et Levallois, sont bien connues des préhistoriens et des géologues du Quaternaire. Entre 1860 et 1870, à l’occasion de l’aménagement du Paris haussmannien, de nombreuses découvertes y sont faites : industries lithiques, faunes mais aussi rares fossiles attestant de la présence de l’Homme dans le Bassin parisien durant la Préhistoire ancienne. Parallèlement, c’est à partir des silex taillés et retrouvés dans des carrières de Levallois-Perret que fut identifiée, à cette époque, une méthode de débitage, désormais reconnue à l’échelle internationale et appelée « la méthode Levallois ». Clin d’œil de l’Histoire, c’est aujourd’hui également dans un contexte de réaménagement péri-urbain du Grand Paris que de nouveaux « outils Levallois » ont été découverts. Source : Inrap Photo : Amas n°1 de silex taillés méthode Levallois © Inrap
Il y a 4 ans et 217 jours

Nouvelles dates pour Équipbaie-Métalexpo en 2021 et le Mondial du Bâtiment en 2022

BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMACe retour à Paris et ce nouveau calendrier biennal, en année paire, s'accompagnent d'une profonde transformation de l'évènement, avec un concept d'exposition totalement repensé et une offre digitale enrichie.Le vœu des professionnels exaucéGrâce à un travail en collaboration avec Viparis, propriétaire de Paris Expo Porte de Versailles, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pu saisir l'opportunité de revenir sur le site historique des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA. Ce retour permet de répondre aux souhaits des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l'Architecture d'un évènement plus convivial et à proximité du centre de Paris et de son offre de tourisme d'affaires.Parmi les conditions pour ce retour à Paris Expo Porte de Versailles, figurait une modification de la date de l'évènement. L'édition 2021 est ainsi reportée à l'automne 2022, ce qui devrait également minimiser les risques de décalages successifs en cas de prolongation de la pandémie actuelle, et faciliter la présence des exposants et visiteurs internationaux. Les trois salons se tiendront dorénavant tous les deux ans au mois d'octobre en année paire, en alternance avec ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, les années impaires.Un évènement plus efficace et plus sobreEn 2022, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA occuperont les espaces du Hall 1 au Hall 6, représentant une surface d'exposition de plus de 136 000 m². Cette surface étant inférieure à celle disponible au Parc de Paris Nord Villepinte, ce retour s'accompagnera par conséquent d'un chantier d'aménagement de l'offre et de la logistique de l'évènement.Ainsi, les exposants se verront proposer une nouvelle offre d'exposition, organisée autour de modules standards et de tailles de stand limitées. De plus, un projet logistique d'envergure aura pour objectif de réduire les temps de montage/démontage et de fluidifier les flux autour de la Porte de Versailles.Cette refonte de l'offre et de la logistique évènementielle apportera de multiples avantages aux exposants : choix de l'emplacement dès l'inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d'exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.L'autre enjeu est celui de l'évènement lui-même qui va devenir plus sobre et s'inscrire dans une démarche RSE, dans le cadre de la feuille de route que s'est donné Reed Expositions France. Le Mondial du Bâtiment sera le premier grand salon du secteur à mettre en œuvre une politique et des actions d'envergure pour la réduction de ses impacts : réduction et revalorisation des déchets, politique d'achats responsables, écoconception, restauration responsable….Une offre digitale de rupture « 365 jours/365 jours »Pour développer la visibilité des exposants entre deux éditions du Mondial du Bâtiment et leur permettre de préparer une rencontre conviviale et qualitative pendant les 4 jours de salon physique, les organisateurs de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA ont également conçu une offre nouvelle d'outils digitaux. Elle a pour ambition d'augmenter le nombre de contacts et la notoriété des marques des exposants sur une période élargie : la mise en relation et la visibilité, cœur de métier des salons, sont maintenant étendues entre deux éditions grâce au digital.Disponible dès la signature de participation au salon physique, cette offre en rupture avec les pratiques du métier s'articule autour d'un mix de solutions digitales : des contenus multiformes disponibles sur les blogs - livres blancs, articles, nouveautés produits… - des tables rondes en live et en replay, des émissions et podcasts sur Batiradio, des moments interactifs avec des webinars et des conversations en ligne.Bien plus qu'un simple come-back à la Porte de Versailles, c'est la fédération du plus grand nombre d'acteurs du bâtiment que nous promettent la réinvention de l'évènement et son dispositif digital. Rendez-vous début 2021 pour la feuille de route détaillée !Pour Guillaume Loizeaud, Directeur de BATIMAT : « Quel plaisir et quelle belle perspective de pouvoir écrire avec la filière cette nouvelle histoire ! Le retour de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA à Paris en 2022 s'annonce comme un grand moment de convivialité pour tous les professionnels. Complètement repensé sur le format d'exposition, en phase avec les grands enjeux, augmenté dans le temps grâce au digital, le Mondial du Bâtiment réunira le meilleur du salon et du virtuel. »Pour Yves Danielou, Président de l'Afisb : « L'Afisb, ses adhérents et tous les acteurs de la salle de bains ne peuvent que s'enthousiasmer à l'idée du futur Mondial du Bâtiment. Les conditions sont réunies pour en faire un vrai succès. Nous ressentons tous le besoin de moments de convivialité dans notre travail et nos relations professionnelles et Paris expo Porte de Versailles, en grande partie rénovée, les offre dorénavant aux visiteurs comme aux exposants. Ré enchanter ce grand rendez-vous du bâtiment suppose un véritable travail de renouvellement que le nouveau calendrier va permettre de mener. A la demande de nombreux exposants, nous allons ainsi améliorer l'offre commerciale, pour atteindre un meilleur coût/contact. »Pour François Frisquet, Président d'Uniclima : « Notre Profession se réjouit de cette nouvelle dimension que prendra la prochaine édition d'INTERCLIMA en 2022 avec un retour au cœur de Paris, en collaboration avec nos partenaires du Mondial : BATIMAT et IDÉOBAIN. Nous donnons donc rendezvous à tous les acteurs du confort et de l'efficacité énergétique pour découvrir le dynamisme croissant de notre filière. »ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPOFruit du dialogue constant avec les 6 syndicats partenaires (Groupement ACTIBAIE, FFPV, SNFA, UFME, UMB et Union des Métalliers), cette date a été choisie collectivement afin de répondre plus que jamais à l'objectif d'être le rendez-vous incontournable des professionnels de la menuiserie et de la métallerie. Elle en fera également le 1er salon de la reprise pour le secteur de la menuiserie.De nouvelles dates et une ambition renforcéePrévu en novembre 2020, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO a été reporté en raison de la pandémie de la COVID-19 et de ses conséquences sur l'activité économique à la fois des fabricants, des installateurs menuisiers et des métalliers. Il sera désormais programmé en octobre tous les deux ans, les années impaires, en alternance avec le Mondial du Bâtiment, déplacé en octobre les années paires.Initialement placée sous la thématique de « La révolution positive du digital », la prochaine édition d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO (du 21 au 24 septembre 2021) sera d'autant plus tournée vers l'avenir qu'elle incarnera la digitalisation du secteur en proposant aux visiteurs une expérience unique et inédite sur le salon et une offre digitale renforcée.Une plateforme digitale en amont du salonLes organisateurs du salon créent ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL, une plateforme d'information et d'échanges lancée dès novembre 2020. Accessible en continu, rythmée par des rendez-vous mensuels, elle a pour objectif de fidéliser et d'amener la communauté des menuisiers et métalliers à se retrouver sur le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en septembre 2021. Elle propose aux professionnels, en avant-première et en digital, de découvrir des vidéos de démonstration produits, des vidéos d'experts, des nouveaux produits et services, et des webinars proposés par les exposants du salon, dont une trentaine sont d'ores et déjà engagés sur ce nouvel outil. Autre initiative digitale, les exposants du salon sont également présents dans le tout nouvel annuaire des fournisseurs du Blog, qui vient compléter le site internet du salon.Guillaume Loizeaud commente ce choix : « Nous remercions les exposants d'ÉQUIPBAIEMÉTALEXPO qui nous ont montré leur confiance en nous suivant pendant cette période de réflexion. La rentrée de septembre 2021 devrait voir la filière rassérénée par les effets positifs du plan de relance et prête à se retrouver sur son salon. »Pour Bruno Léger, président du SNFA : « Nous sommes très reconnaissants envers Reed d'avoir négocié pied à pied pour obtenir ce magnifique résultat : le retour de BATIMAT à la porte de Versailles, les années paires, qui permet à ÉQUIPBAIE de se tenir dès l'année prochaine. ÉQUIPBAIE 2021 sera la première occasion pour toute notre profession de se retrouver autour de nos innovations. Je remercie tous nos adhérents exposants d'avoir été patients et de nous avoir fait confiance ».Pour Bruno Cadudal, Président de l'UFME : « Après des mois de crise sanitaire Covid-19, je suis heureux d'annoncer une bonne nouvelle à la profession conjointement avec mes partenaires du Pôle Fenêtre et les équipes de Reed Expo. La confirmation des nouvelles dates de la prochaine édition du salon d'ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO montre que notre filière, consciente de vivre dans un monde « d'après » Coronavirus, reste optimiste et dynamique afin que la reprise de nos activités soit durable. Les professionnels représentés au sein de l'UFME seront nombreux à se mobiliser pour le 1er salon de la menuiserie. »Pour Franck Perraud, Président de l'Union des Métalliers : « MÉTALEXPO est un des événements majeurs de la métallerie. Maintenir des liens forts avec nos partenaires et nos fournisseurs est essentiel en cette période incertaine. Je me réjouis que toute la famille de la métallerie puisse se retrouver en septembre 2021 »
Il y a 4 ans et 217 jours

Mondial du Bâtiment : retour à Paris en 2022

Pour répondre aux demandes des professionnels du bâtiment, de la construction et de l’architecture, Reed Expositions, l’Afisb et Uniclima ont décidé de réinventer les salons Batimat, Idéobain et Interclima dont la prochaine édition se tiendra pendant 4 jours, du 3 au 6 octobre 2022, à Paris Expo Porte de Versailles.
Il y a 4 ans et 217 jours

La prochaine édition d’Équipbaie-Métalexpo se tiendra du 21 au 24 septembre 2021

 Décalé en raison de la pandémie de la COVID-19, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, organisé par Reed Expositions, tiendra sa prochaine édition du 21 au 24 septembre 2021 à Paris Porte de Versailles – Hall 1. Fruit du dialogue constant avec les 6 syndicats partenaires (Groupement ACTIBAIE, FFPV, SNFA, UFME, UMB et Union des Métalliers), cette date a été choisie collectivement afin de répondre plus que jamais à l’objectif d’être le rendez-vous incontournable des professionnels de la menuiserie et de la métallerie. Elle en fera également le 1er salon de la reprise pour le secteur de la menuiserie.   De nouvelles dates et une ambition renforcée  Prévu en novembre 2020, le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO a été reporté en raison de la pandémie de la COVID-19 et de ses conséquences sur l’activité économique à la fois des fabricants, des installateurs menuisiers et des métalliers. Il sera désormais programmé en octobre tous les deux ans, les années impaires, en alternance avec le Mondial du Bâtiment, déplacé en octobre les années paires.  Initialement placée sous la thématique de « La révolution positive du digital », la prochaine édition d’ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO (du 21 au 24 septembre 2021) sera d’autant plus tournée vers l’avenir qu’elle incarnera la digitalisation du secteur en proposant aux visiteurs une expérience unique et inédite sur le salon et une offre digitale renforcée.  Une plateforme digitale en amont du salon  Les organisateurs du salon créent ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO DIGITAL, une plateforme d’information et d’échanges lancée dès novembre 2020. Accessible en continu, rythmée par des rendez-vous mensuels, elle a pour objectif de fidéliser et d’amener la communauté des menuisiers et métalliers à se retrouver sur le salon ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO en septembre 2021. Elle propose aux professionnels, en avant-première et en digital, de découvrir des vidéos de démonstration produits, des vidéos d’experts, des nouveaux produits et services, et des webinars proposés par les exposants du salon, dont une trentaine sont d’ores et déjà engagés sur ce nouvel outil. Autre initiative digitale, les exposants du salon sont également présents dans le tout nouvel annuaire des fournisseurs du Blog, qui vient compléter le site internet du salon.    > BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA auront désormais lieu en année paire.  La prochaine édition aura lieu du 3 au 6 octobre 2022  à Paris Expo Porte de Versailles. 
Il y a 4 ans et 217 jours

Batimat, Idéobain et Interclima se réinventent en 2022 !

Pour répondre aux demandes des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l’Architecture, Reed Expositions, l’Afisb1 et Uniclima2 réinventent les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA dont la prochaine édition se tiendra pendant 4 jours, du 3 au 6 octobre 2022, à Paris Expo Porte de Versailles.  Ce retour à Paris et ce nouveau calendrier biennal, en année paire, s’accompagnent d’une profonde transformation de l’évènement, avec un concept d’exposition totalement repensé et une offre digitale enrichie.  _______________________ 1 Afisb, Association Française des Industries de la Salle de Bains, propriétaire du salon IDÉOBAIN. 2Uniclima, Syndicat des industries Thermiques, Aérauliques et Frigorifiques, propriétaire du salon INTERCLIMA.  LE VOEU DES PROFESSIONNELS EXAUCÉ  Grâce à un travail en collaboration avec Viparis, propriétaire de Paris Expo Porte de Versailles, les organisateurs du Mondial du Bâtiment ont pu saisir l’opportunité de revenir sur le site historique des salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA. Ce retour permet de répondre aux souhaits des professionnels du Bâtiment, de la Construction et de l’Architecture d’un évènement plus convivial et à proximité du centre de Paris et de son offre de tourisme d’affaires.  Parmi les conditions pour ce retour à Paris Expo Porte de Versailles, figurait une modification de la date de l’évènement. L’édition 2021 est ainsi reportée à l’automne 2022, ce qui devrait également minimiser les risques de décalages successifs en cas de prolongation de la pandémie actuelle, et faciliter la présence des exposants et visiteurs internationaux. Les trois salons se tiendront dorénavant tous les deux ans au mois d’octobre en année paire, en alternance avec ÉQUIPBAIE-MÉTALEXPO, les années impaires.  UN ÉVÈNEMENT PLUS EFFICACE ET PLUS SOBRE  En 2022, les salons BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA occuperont les espaces du Hall 1 au Hall 6, représentant une surface d’exposition de plus de 136 000 m². Cette surface étant inférieure à celle disponible au Parc de Paris Nord Villepinte, ce retour s’accompagnera par conséquent d’un chantier d’aménagement de l’offre et de la logistique de l’évènement.  Ainsi, les exposants se verront proposer une nouvelle offre d’exposition, organisée autour de modules standards et de tailles de stand limitées. De plus, un projet logistique d’envergure aura pour objectif de réduire les temps de montage/démontage et de fluidifier les flux autour de la Porte de Versailles.  Cette refonte de l’offre et de la logistique évènementielle apportera de multiples avantages aux exposants : choix de l’emplacement dès l’inscription, augmentation significative du retour sur investissement (ROI) par une réduction des coûts d’exposition et du passage à 4 jours pour tous les salons.  L’autre enjeu est celui de l’évènement lui-même qui va devenir plus sobre et s’inscrire dans une démarche RSE, dans le cadre de la feuille de route que s’est donné Reed Expositions France. Le Mondial du Bâtiment sera le premier grand salon du secteur à mettre en oeuvre une politique et des actions d’envergure pour la réduction de ses impacts : réduction et revalorisation des déchets, politique d’achats responsables, écoconception, restauration responsable….  UNE OFFRE DIGITALE DE RUPTURE « 365 jours/365 jours »  Pour développer la visibilité des exposants entre deux éditions du Mondial du Bâtiment et leur permettre de préparer une rencontre conviviale et qualitative pendant les 4 jours de salon physique, les organisateurs de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA ont également conçu une offre nouvelle d’outils digitaux. Elle a pour ambition d’augmenter le nombre de contacts et la notoriété des marques des exposants sur une période élargie : la mise en relation et la visibilité, coeur de métier des salons, sont maintenant étendues entre deux éditions grâce au digital.  Disponible dès la signature de participation au salon physique, cette offre en rupture avec les pratiques du métier s’articule autour d’un mix de solutions digitales : des contenus multiformes disponibles sur les blogs – livres blancs, articles, nouveautés produits… – des tables rondes en live et en replay, des émissions et podcasts sur Batiradio, des moments interactifs avec des webinars et des conversations en ligne.  Bien plus qu’un simple come-back à la Porte de Versailles, c’est la fédération du plus grand nombre d’acteurs du bâtiment que nous promettent la réinvention de l’évènement et son dispositif digital. Rendez-vous début 2021 pour la feuille de route détaillée !  Pour Guillaume Loizeaud, Directeur de BATIMAT : « Quel plaisir et quelle belle perspective de pouvoir écrire avec la filière cette nouvelle histoire ! Le retour de BATIMAT, IDÉOBAIN et INTERCLIMA à Paris en 2022 s’annonce comme un grand moment de convivialité pour tous les professionnels. Complètement repensé sur le format d’exposition, en phase avec les grands enjeux, augmenté dans le temps grâce au digital, le Mondial du Bâtiment réunira le meilleur du salon et du virtuel. »  Pour Yves Danielou, Président de l’Afisb : « L’Afisb, ses adhérents et tous les acteurs de la salle de bains ne peuvent que s’enthousiasmer à l’idée du futur Mondial du Bâtiment. Les conditions sont réunies pour en faire un vrai succès. Nous ressentons tous le besoin de moments de convivialité dans notre travail et nos relations professionnelles et Paris expo Porte de Versailles, en grande partie rénovée, les offre dorénavant aux visiteurs comme aux exposants. Ré enchanter ce grand rendez-vous du bâtiment suppose un véritable travail de renouvellement que le nouveau calendrier va permettre de mener. A la demande de nombreux exposants, nous allons ainsi améliorer l’offre commerciale, pour atteindre un meilleur coût/contact. »  Pour François Frisquet, Président d’Uniclima : « Notre Profession se réjouit de cette nouvelle dimension que prendra la prochaine édition d’INTERCLIMA en 2022 avec un retour au coeur de Paris, en collaboration avec nos partenaires du Mondial : BATIMAT et IDÉOBAIN. Nous donnons donc rendez-vous à tous les acteurs du confort et de l’efficacité énergétique pour découvrir le dynamisme croissant de notre filière. »    Plus d’informations sur : www.batimat.com www.ideobain.com www.interclima.com   
Il y a 4 ans et 217 jours

Le Mondial du Bâtiment de retour à Paris-Porte de Versailles en... 2022 !

EVENEMENT. Programmé initialement en novembre 2021, le Mondial du Bâtiment, qui regroupe les salons Batimat, Interclima et Ideobain, aura finalement lieu en 2022. Autre nouveauté : l'événement fera son grand retour à Paris-Porte de Versailles. Quid d'Equipbaie-Métalexpo ? Pourquoi ces choix ? Éléments de réponses.
Il y a 4 ans et 217 jours

XtreeE remporte de nouveaux projets et accélère le développement de son réseau d'unités d'impression 3D

Un partenariat d'innovation pour la conception d'une passerelle en béton imprimé en 3D - une première mondialeEn prévision des Jeux Olympiques de 2024, Plaine Commune Grand Paris a confié au groupement dirigé par Freyssinet en association avec Lavigne & Cheron Architectes, Quadric, XtreeE et LafargeHolcim la conception et la réalisation d'une passerelle piétonne de 40 mètres dont le tablier sera entièrement réalisé en béton imprimé 3D structurel.Ce projet, qui combine des expertises technologiques complémentaires, ouvre la voie à la réalisation d'éléments architecturaux et structurels complexes en béton et au développement de solutions personnalisées sur mesure, à coûts et délais maîtrisés.Pour cette première mondiale, avec l'impression en 3D de béton structurel, la construction entre pleinement dans l'ère de l'industrialisation 4.0. La conception numérique de l'ouvrage, la réalisation dans des conditions industrielles des éléments de la passerelle et leur assemblage rapide sur le chantier apportent agilité et frugalité : moins de transport, suppression des coffrages, donc moins de matière consommée (objectif de réduction de 60% comparé aux ouvrages en béton) et une grande liberté dans les formes pour les architectes, dans un budget maîtrisé.Cet ouvrage, qui combine la conception numérique et la construction par impression 3D, sera précurseur d'une nouvelle typologie de conception, pouvant être déclinée en France et dans le monde… et valide pleinement le procédé d'impression 3D mis au point par XtreeE depuis 2015, date de sa création.Une technologie d'impression 3D hors site éprouvée offrant de multiples débouchésContrairement à la grande majorité des systèmes existants, le système d'impression « ouvert » développé par la startup permet d'imprimer non seulement divers types de béton - lui ayant permis de collaborer étroitement avec divers partenaires industriels (LafargeHolcim, Vicat, Heidelberg…) - mais aussi d'autres matériaux tels que les plâtres, les argiles et les géopolymères.Combinée à la préfabrication hors site, cette technologie protégée par plusieurs brevets internationaux permet d'accroître de manière significative la qualité garantie du rendu, d'abaisser les coûts, de diminuer les nuisances pour les riverains, d'augmenter la sécurité sur les chantiers et de réduire la pénibilité pour les ouvriers. XtreeE a ainsi été en mesure de démontrer la viabilité de l'impression 3D en prenant part à plus d'une quarantaine de réalisations et projets en cours, qu'il s'agisse d'éléments architecturaux, d'infrastructures ou encore de mobilier intérieur et extérieur. Parmi les plus emblématiques, on pourra notamment citer les pylônes télécoms conçus sur mesure par Art & Fact Innovation, la conception des murs porteurs des cinq maisons individuelles du projet « Viliaprint© » porté par le bailleur social Plurial Novilia, ou encore celui d'aménagement et de mobilier urbain, piloté par le Groupe Saint-Léonard et réalisé pour le compte de la ville d'Istres.La somme de ces réalisations témoigne non seulement de la croissance du marché de l'impression 3D pour la construction - estimé à près de 40 milliards de dollars US en 2027 à l'échelle mondiale - mais aussi et surtout de la maturité de la technologie développée par XtreeE, qui démontre sa capacité à passer à une dimension industrielle et internationale.L'ouverture prochaine de deux nouvelles unités d'impression 3D connectées aux États-Unis et au Japon en est la matérialisation. Elles lui permettent en outre de consolider son modèle de développement et conforte l'objectif qu'elle s'est fixé : structurer un réseau de 50 unités à l'horizon 2025.Un réseau d'unités d'impression 3D connectées pour une meilleure collaborationEn effet, après son usine pilote de Rungis, un premier système opérationnel à l'École des Ponts ParisTech (France) et l'ouverture aux Emirats Arabes Unis en juin 2019 d'une deuxième unité de production, opérée par Concreative, XtreeE accélère son déploiement pour atteindre cinq unités opérationnelles d'ici fin 2020, et en prévoit l'ouverture de deux autres dès le 1er trimestre 2021, en France notamment.Ce réseau doit permettre à terme de produire efficacement, aux quatre coins du globe, des éléments de construction structurels sur mesure, sur la base de sa technologie. « En se dotant d'une unité d'impression 3D connectée, nos clients acquièrent non seulement la capacité de produire eux-mêmes, au plus proche de leur marché, mais aussi celle de maîtriser la chaine numérique de conception de leurs réalisations en collaborant au sein du réseau que nous sommes actuellement en train d'étendre », conclut Alban Mallet.
Il y a 4 ans et 218 jours

Un gymnase-paysage à Paris, par Archi5

L'architecte portugais Eduardo Souto de Moura fonde son agence en 1980. Il collabore à ses débuts avec Alvaro Siza et, comme lui, recevra le prix Pritzker (2011). L'architecture d'Eduardo Souto de Moura, simple et ancrée dans la réalité, appartient à la deuxième génération de l'école de Porto. Dans sa […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 219 jours

La mise en scène d'un lieu, RCR Arquitectes

Quelques jours avant le confinement, RCR Arquitectes a dévoilé au Musée national d’art moderne - Centre Pompidou à Paris un dispositif polyphonique immersif mettant en scène les projets marquants et à venir de l’agence. Une manière de découvrir le parcours des Pritzker 2017 marqué par une volonté permanente de se réinventer. Cet atelier d’architecture catalan crée en 1987, partage selon le commissaire d’exposition « la vision d’une architecture épurée, inspirée par les...
Il y a 4 ans et 221 jours

Grand Paris Express : déjà 1 800 mètres de rails posés

A Noisy-Champs, à l’extrémité est de la future ligne 15 sud, les travaux du nouveau métro ont basculé, depuis plusieurs mois déjà, de la phase du génie civil vers celle de l’installation des équipements des tunnels.
Il y a 4 ans et 221 jours

Rencontre avec : Warren & Laetitia

Warren et Laetitia se sont rencontrés sur les bancs de l’université Panthéon-Sorbonne, puis sont partis étudier à l’université de Strasbourg. Après l’obtention de leur diplôme de master en design, Waren s’est formé dans l'agence de l’architecte et designer Antoine Phelouzat à Paris, Laetitia a fait ses armes auprès de la designeuse industrielle Irena Übler au Portugal. En 2018, ils décident de travailler ensemble et fondent le studio warren & laetitia. Muuuz : Quand et pourquoi avez-vous choisi de créer ensemble votre studio de design ?Warren et Laetitia : Nous avons décidé de nous associer en 2019, un an après la fin de nos études. Suite à nos expériences professionnelles respectives, nous avons ressenti le besoin de créer notre propre studio de design et eu envie de continuer à travailler ensemble comme nous avions pu le faire à plusieurs reprises durant nos études.Quels objets avez-vous commencé par imaginer et fabriquer ?Notre premier objet imaginé ensemble pour notre studio est la soucoupe pour plantes baptisée « flocflac ». Aujourd’hui édité par batch.works, cet objet n’est pas fabriqué par notre studio. Notre premier objet produit en auto-édition est le double bougeoir 2.20.Vous fabriquez principalement des objets imprimés en 3D à partir de matériaux recyclés et recyclables. Pourquoi avez-vous choisi ce mode de production ?Dans un premier temps, nous n’avions pas envisagé l’impression 3D comme un mode de production. C’est d’ailleurs pourquoi la soucoupe Flocflac a évolué entre le prototype que nous avions réalisé et l’objet produit par batch.works. Nous avons dû redessiner la soucoupe pour l'adapter à la production en impression 3D. C’est comme ça que nous avons commencé à concevoir des objets spécifiquement pour être produits en impression 3D. Ce mode de production nous permet de produire nos objets nous-même et donc de garder la main sur la qualité et le contrôle de la chaine de production.Le choix de matériaux s’est fait assez naturellement car nous ne voulions pas travailler avec des matériaux non recyclables. Assez rapidement, nous avons commencé à collaborer avec Reflow qui produit du filament pour impression 3D recyclé à 95% et recyclable jusqu’à dix fois. Cela nous semble être une bonne alternative, car le plastique est un matériau de moins en moins apprécié, on l’associe directement au plastique à usage unique qui est une énorme source de pollution. Travailler en collaboration avec Reflow, qui recycle justement du plastique à usage unique, nous permet de produire des objets en plastique recyclé à usage multiples. Cette démarche a beaucoup de sens pour nous.Quels sont les avantages de l’impression 3D ? L’impression 3D comme mode de production a différents avantages. Elle nous permet notamment de travailler avec très peu de stock et de posséder nos propres machines. Aujourd’hui, nous travaillons avec quatre imprimantes qui nous permettent de répondre assez rapidement à nos commandes d’autant plus que nous imaginons nos objets en prenant toujours en compte leur temps de fabrication afin d’optimiser au mieux notre production.Et ses inconvénients ?Selon nous, les principaux inconvénients de l’impression 3D sont liés à nos choix de conception. Nous essayons de concevoir autant que possible des objets « rapides » à produire. Les imprimantes 3D sont parfois un peu capricieuses surtout quand nous cherchons à obtenir un rendu précis. Nous passons donc beaucoup de temps à affiner les réglages de nos machines mais c’est cool et satisfaisant. C’est sûrement notre côté un peu nerd.Vous fabriquez des objets du quotidien, et proposer de les concevoir selon trois principes : la modularité, la possibilité de réglage ou d’ajustement, et l'appropriation. C'est-à-dire ?Oui, nous aimons concevoir des objets du quotidien, tout en y intégrant certains principes auxquels nous tenons beaucoup. Par exemple, le demi-vase Mimo est une extension de bocal alimentaire. Chaque demi-vase est compatible avec au moins deux diamètres de bocaux, ce qui permet une certaine flexibilité. C’est ce processus d’appropriation de l’objet qui nous intéresse. On peut choisir son bocal avec lequel on veut faire un vase et le changer ou non. La notion de choix est centrale dans notre studio car nous souhaitais laisser aux utilisateurs le choix de l’usage. Le double bougeoir est un autre exemple, c’est un seul objet pour deux usages potentiels, pas radicalement différent l’un de l’autre, mais quand même différent. Tous nos objets ne sont pas pensés en suivant systématiquement ces principes, mais dès que l’on peut on essaie de leur appliquer. C’est une méthode de travail assez intéressante parce que cela peut donner naissance à des formes nouvelles. Depuis 2019, vous travaillez avec batch.works. Comment abordez-vous cette collaboration ?Nous avons beaucoup de chance de collaborer avec batch.works car ce partenariat a commencé très peu de temps après la création de notre studio. Batch.works nous a contacté pour éditer notre premier objet : la soucoupe pour plantes Flocflac. C’est une collaboration qui s’est fait rapidement et c’était chouette car cela nous a permis de participer au London design festival en 2019.Quelle est votre démarche créative ?C’est une bonne question ! Nous dessinons assez peu surtout parce que nous avons la possibilité de prototyper très tôt et très vite grâce à l’impression 3D. La plupart du temps, nous faisons plusieurs prototypes imprimés en 3D et nous échangeons beaucoup entre nous sur les changements à apporter. C’est d’ailleurs la seule chose que nous faisons vraiment à deux, car c’est dans l’échange que nous trouvons les réponses aux problèmes qui se posent lors de la création de nos objets. De plus, le fait de passer par l’impression 3D lors du prototypage nous permet aussi d’anticiper toutes les questions liées à la production du futur objet, car nous utilisons la même machine pour prototyper et produire nos objets.Pouvez-vous nous parler de votre approche écoresponsable du design ?Nous avons un peu de mal avec l’adjectif écoresponsable, c’est d’ailleurs pourquoi nous ne l’employons jamais pour qualifier notre travail. Nous faisons des choix qui nous semblent évidents comme la production locale, les matériaux recyclés et recyclables français ou européens, et nous ne proposons pas d’expédition en dehors de l’Europe. Nous allons d’ailleurs bientôt pouvoir proposer une livraison à vélo à Paris. Mais cela ne fait pas partie d’une stratégie qu’on pourrait qualifier d’écoresponsable parce que c’est juste du bon sens pour nous et on ne se voit pas faire autrement. Le terme « écoresponsable » est polysémique et ses critères réels restent flous. Nous ne préférons donc pas l’utiliser par peur de tomber dans le champ lexical du greenwashing. Et après ?Aujourd’hui, nous avons plusieurs idées de projets auxquelles nous réfléchissons et que nous souhaiterions développer mais, comme nous travaillons souvent en autoédition, la production de nos objets nous prend beaucoup de temps. Nous aimerions beaucoup fabriquer notre propre plastique recyclé, mais c’est assez complexe surtout pour obtenir un matériau stable donc c’est plutôt de l’ordre du rêve… Sinon nous souhaiterions proposer des objets composés uniquement de matériaux recyclés. Pour certaines couleurs, nous ne trouvons pas de matériaux recyclés. Pour en savoir plus, visitez le site du studio warren & laetitia. Visuels : © warren & laetitiaLa Rédaction  
Il y a 4 ans et 221 jours

AA et Paris, 90 ans de projets

En novembre 2020, AA fête ses 90 ans ! 90 ans d’architecture, de débats, de reportages, ...En savoir plus Cet article AA et Paris, 90 ans de projets est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 221 jours

Les temps et les lieux de Jean Nouvel à Paris

Parmi les architectes contemporains, Jean Nouvel est sans doute celui qui a le plus bâti à ...En savoir plus Cet article Les temps et les lieux de Jean Nouvel à Paris est apparu en premier sur L'Architecture d'Aujourd'hui.
Il y a 4 ans et 221 jours

Gecina, peu touché par le Covid, est plutôt optimiste pour l'année

Entre janvier et septembre, Gecina a dégagé un chiffre d'affaires de 496,9 millions d'euros, soit un très léger recul (-0,7%) par rapport à un an plus tôt.Le groupe a légèrement relevé son objectif annuel de résultats. Il s'attend à un bénéfice net récurrent, son indicateur de référence, de 5,70 euros par action. Auparavant, ce n'était que la fourchette haute de prévisions données en juillet, peu après le confinement et le déclenchement de la crise sanitaire.Malgré les conséquences économiques de celle-ci, Gecina se félicite de n'avoir subi que très peu d'impayés de la part de ses locataires.Plus largement, le groupe assure de son optimisme alors même que le marché des bureaux subit une chute historique en Île-de-France depuis le début de la crise.Même si Gecina reconnaît un "attentisme" de la part de locataires potentiels, il s'estime avantagé par ses choix de localisations. Le groupe fait en effet depuis des années le pari de largement se concentrer sur Paris même ou ses abords immédiats.Or, la déprime du marché concerne surtout des emplacements plus éloignés ou le cas spécifique du quartier d'affaires de la Défense.Le "marché locatif montre donc une forme de polarisation, révélant des perspectives toujours favorables pour les zones centrales privilégiées par Gecina, et une visibilité dégradée sur les zones secondaires", se félicite le groupe.Au-delà des bureaux, le groupe fait par ailleurs part de son "ambition croissante" dans le logement. Il détient un petit portefeuille dans le secteur et compte le développer avec un récent partenariat signé avec le promoteur Nexity.
Il y a 4 ans et 221 jours

Plastor au cœur de la Grande Halle du Wip à Colombelles en Normandie

Menée dans le souci des normes de qualité environnementale, la rénovation de cet édifice du patrimoine industriel intègre principalement du béton et du bois, avec 1.600 m2 de parquet ainsi que 6 escaliers de 40 marches poncés et vitrifiés par la société Les Sens du Bois.Partenaires depuis plus de 10 ans avec Plastor, Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT, gérants de la société spécialisée dans la rénovation et la vitrification de parquets et d'escaliers, ont utilisé les produits Plastor pour réaliser les finitions de ce projet.« Nous sommes arrivés sur ce chantier grâce à la recommandation de la société Gouelle menuiserie à Sartilly (50) qui a remporté l'appel d'offre et réalisé la pose des planchers. Notre entreprise a réalisé le ponçage et la vitrification, donc toutes les finitions sur des parquets traditionnels en Douglas ainsi que sur des panneaux en contreplaqué avec une couche de massif en pin blanc. Nous devions également vernir les lisses des garde-corps des escaliers pour les protéger. La rénovation de ce bâtiment industriel exigeait le respect de normes de qualité environnementale, d'où l'importance du choix de produits à faible émissivité. Dans ce même souci, il a été décidé que les poteaux et dessous des couloirs apparents resteraient bruts. Choisir les aspects les plus naturels permettait de réduire les sources d'émission.Nous avons dû tenir les délais avec la complexité habituelle, en organisant nos zones de travail au mieux afin que tous les autres artisans et corps de métier puissent avancer rapidement. Pour ce faire, nous avons mobilisé toute notre équipe, à savoir 5 personnes. Parfois mon père et un de ses collègues nous ont rejoints, nous étions alors 7. Nous sommes parvenus à réaliser les finitions en deux semaines de travail en tout.Comme il s'agissait de parquet neuf, la matière était assez agréable à travailler. Grâce aux produits Plastor dont nous apprécions la qualité depuis maintenant 12 ans, nous avons aisément pu évaluer le temps de travail de la manière la plus précise qui soit.Pour répondre aux prérequis d'émissions de COV très limitées, nous avons choisi d'utiliser l'huile Aquanat, très faible en émissivité de solvants avec seulement 25 g de COV/L. Pour durcir la couche de ces produits assez maigres, nous avons opté pour le DUOPUR-T3 mat, compatible avec l'huile Aquanat, qui avait été validé par le service technique de Plastor. Le suivi et le relationnel que nous entretenons avec les équipes de Plastor sont pour beaucoup dans notre réussite. »Nicolas TAVARES et Franck JEUFFRAULT, Gérants de l'entreprise Les Sens du Bois (50)Les Sens du Bois - ParqueteurLieu-Dit La Cour - 50220 Ducey-Les-Chéris - Tél : 06 71 14 71 75Architectes du projet : Agence d'architectes Encore Heureux104 rue d'Aubervilliers - 75019 Paris - Tél : 01 53 19 09 36Huile AQUANATL'huile pour parquet monocomposant Aquanat de Plastor offre une excellente protection pour les parquets soumis à un trafic quotidien intense. Elle conserve l'aspect naturel du bois brut tout en le mettant en valeur.Facile d'utilisation, elle ne laisse pas de film visible et sèche en 1 à 2 h seulement entre 2 couches.Elle s'applique ainsi sans lustrage en 3 couches dans la journée et sans essuyage. Son odeur n'est pas gênante, elle dégage seulement 25 g/L de COV. Disponible en 2 effets : mat et effet brut.Rendement : 15 m2/L par coucheExiste en 1L, 5L et 10LVitrificateur DUOPUR-T 3Vitrificateur polycarbonate bicomposant en phase aqueuse pour pièces à fortes contraintes et lieux publics, le DuoPurT3 de Plastor est très agréable à appliquer. Gras, sans odeur gênante et classé A+, il donne un bon garnissant, un film non jaunissant et un temps de reprise important.Il est adapté aux parquets ou dérivés des bois intérieurs neufs ou anciens dans tous types d'essences.Appliqué directement sur bois brut, il permet de conserver la tonalité claire des bois. Il est formulé avec 0 % de NMP (N-Methyl Pyrrolidone) et NEP (N-Ethyl Pyrolidone). 3 aspects : mat, satiné et brillant.Rendement : 10 m2/L par coucheExiste en 5L (Mélange Résine 4,5L + durcisseur 0,5L)et 10L (Mélange Résine 9L + durcisseur 1L)
Il y a 4 ans et 222 jours

Disneyland Paris va se doter de la plus grande ombrière photovoltaïque d'Europe

Disneyland Paris a entamé la construction d'une centrale solaire grande comme 24 terrains de football au-dessus du parking, dont la capacité de production représentera à terme 17% des besoins en énergie du site.