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Résultats de recherche pour technique

(9934 résultats)
Il y a 8 ans et 19 jours

Milliken : Colour Compositions

L'entreprise américaine Milliken réalise Colour Compositions, une collection en format " planche " inspirée du Colorfield Painting, style pictural expressionniste-abstrait américain. Cette nouvelle forme de dalles de moquette permet à la marque d'explorer des échelles, des rythmes et des coloris nouveaux. Pour sa première collection en format " planche " " dalles de moquette rectangulaire de 25 x 100 centimètres ", Milliken crée une gamme de revêtements de sol invitant à l'expérimentation et à la composition. Chaque bande est ainsi déclinée en plusieurs motifs et coloris, tous semblables à des tableaux de Rothko, pouvant être associés les unes aux autres, créant un sol unique et personnalisable. Imaginé à partir du système breveté Millitron®, une technique d'impression numérique haute résolution permettant de créer des thèmes complexes, Colour Compositions possède des mélanges de couleurs inédits. Les motifs naturellement dégradés facilitent l'assemblage des lames entre elles, offrant à ses propriétaires la chance de réaliser un revêtement personnalisé. Produites à l'aide de fils de nylon régénéré, les lames de Colour Compositions contiennent 26 % de matériaux recyclés et peuvent être fournies avec le système TractionBack® , revêtement à coefficient de frottement élevé appliqué lors de la conception améliorant la solidité du produit et la qualité de l'air intérieur. La société a également mis un place le programme Carpet Take Back permettant aux utilisateurs de renvoyer leurs dalles usagées qui sont ensuite recyclées. Pour en savoir plus, visitez le site de Colour Compositions À propos de MillikenFondée en 1865 aux États-Unis, Milliken est une entreprise spécialisée dans les revêtements de sols pour architectes d'intérieur et designers. Possédant plus de 7 000 collaborateurs, la société dispose de 41 usines de production réparties sur l'ensemble des continents " États-Unis, Australie, Inde, Chine, en France, en Belgique et au Royaume-Uni, où se trouve leur siège européen. Milliken place le développement durable au c"ur de sa production. Colour Compositions est lauréat des MIAW 2017 dans la catégorie Matériaux / MoquettePour en savoir plus, visitez le site de Milliken Le choix de la rédactionColour Compositions est un produit unique, personnalisable et moderne aux motifs complexes, mettant le numérique au service de la conception. Sa recherche de qualité et d'innovation font de Colour Composition le lauréat des Miaw International Awards 2017, dans la catégorie Matériaux / Moquettes.
Il y a 8 ans et 19 jours

Fermob : Collection Croisette

Lancée par Fermob, l'un des leaders sur le marché du mobilier d'extérieur, Croisette est une gamme de salon de jardin colorée revisitant la technique traditionnelle du cannage. Accessible et confortable, cette série est composée de tables basses, de chaises et de bancs dessinés par Pascal Mourgue, permettant à ses utilisateurs de créer un espace de vie extérieur des plus agréables. Avec leurs matériaux légers " acier pour les tables basses, fibre synthétique outdoor et aluminium pour les meubles à assise, les produits de la collection Croisette, dont le poids n'excède pas les 4 kilogrammes, se déplacent et se manipulent avec une grande facilité. Leur utilisation est également simplifiée par leur hauteur (maximum 83 centimètres) et l'inclinaison du dossier, calculées pour augmenter le bien-être de ses propriétaires. Ce mobilier est uniquement réalisé dans des couleurs vives à la peinture poudre déposée électro-statiquement, modernisant ainsi l'aspect tressé classique. Cette recherche perpétuelle de coloris nouveaux est en effet une des marques de fabrique de la société. En diversifiant leur nuancier, les créateurs et fabricants français de Fermob cherchent à obtenir l'éventail de possibilité le plus large pour leur client, dont l'aspect sera pérenne et intemporel. L'entreprise dispose d'une des chaînes de peinture intégrée les plus performantes d'Europe au sein de leur usine de Thoissey leur permettant de contrôler la moindre nuance de leur produit mais également leur finition " mat, brillantes, texturées, pailletées... Cette collection outdoor est conçue, comme tous les produits de la marque, dans le respect de l'environnement et du développement durable. Les modèles de la gamme sont également anti-uv, les protégeant ainsi des caprices de la météo et leur assurant une grande durabilité. Pour en savoir plus, visitez le site de Croisette À propos de FermobFermob est une entreprise française fondée en 1989 qui produit et distribue du mobilier d'extérieur coloré en métal. Leur usine compte aujourd'hui plus de 200 employés et leurs collaborations avec de grands noms du design " Patrick Jouin, Jean Charles de Castelbajac ou encore Andrée Putman, font de Fermob une des sociétés de mobilier outdoor les plus influentes du monde qui a notamment réalisé les chaises de jardin du Luxembourg et de Time Square à New York (USA) ou encore celles du siège de Google en Californie (USA). Croisette est lauréate des MIAW 2017 dans la catégorie Outdoor / Mobilier d'extérieurPour en savoir plus, visitez le site de Fermob. Le choix de la rédactionAvec cette gamme aux nuances vives, Fermob réussit le pari de l'alliance du cannage traditionnel et modernité. Son esthétique rafraîchissante et sa facilité d'utilisation et d'entretien font de la collection Croisette une série améliorant le confort de ses utilisateurs de façon simple et efficace dont la rédaction de Muuuz est fière de compter parmi ses lauréats dans la catégorie Outdoor / Mobilier d'extérieur.
Il y a 8 ans et 21 jours

Tunnel ferroviaire Lyon-Turin : le maître d'ouvrage lève le voile sur les appels d'offres

Tunnel Euralpin Lyon-Turin (TELT), le maître d'ouvrage en charge de la réalisation et de la gestion du tunnel de la liaison ferroviaire Lyon-Turin, commence à détailler les aspects techniques, financiers, réglementaires? des appels d'offres, ainsi que les différents lots de chantier du futur tunnel de 57,5 km. D'ici à 2019, ce sont l'équivalent de 5,5 Mds ¤ de marchés qui seront attribués.
Il y a 8 ans et 22 jours

Thomas Bregman, architecte : " Il faut être à l'écoute de la matière "

L'atelier b29 architectes est fondé en 2009 à Genève par Thomas Bregman, architecte diplômé de l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne, membre de la Société des Ingénieurs et Architectes suisse (SIA).
Il y a 8 ans et 22 jours

Polyrey dévoile sa nouvelle gamme de panneaux décoratifs Monochrom Vibration

Pour chacune de ses collections, Polyrey, spécialiste depuis 60 ans du stratifié décoratif de haute qualité, destiné à l'aménagement intérieur comme extérieur, prend soin de développer des solutions dont les performances techniques s'agrègent à une recherche esthétique affirmée.
Il y a 8 ans et 22 jours

Valentin, la succes-story française du vidage sanitaire, s'est relocalisée en France

Valentin est une société française spécialisée dans les produits de vidage, de douche et d'hydrothérapie depuis plus de 70 ans. La société a vécu, comme beaucoup d'autres, les évolutions techniques et commerciales du secteur du sanitaire et de la plomberie, dont une délocalisation partielle de son appareil de production en Tunisie. Mais depuis quelques années, Valentin a encore une fois évolué, pour répondre aux attentes de son marché. Et c'est Jacques Spicker, directeur commercial et marketing de Valentin depuis 2016, qui en parle le mieux.
Il y a 8 ans et 23 jours

Le stockage gravitaire océanique, la solution à l'intermittence des EnR ?

Techniquement industrialisable, efficace et peu coûteux, le stockage d'électricité grâce à des masses de béton en mouvement serait-il la réponse idéale à l'intermittence des énergies renouvelables ? C'est ce que pense Christopher Stevens, le fondateur de Sink Float Solutions, qui nous dévoile les dessous de son système océanique qui associe barge, treuil et lests auto-flottants.
Il y a 8 ans et 24 jours

Le premier bâtiment Bepos-effinergie 2017 déjà labellisé !

Lancé en mars dernier, le label Bepos-effinergie 2017 a d'ores et déjà été remis à un premier bâtiment : une maison individuelle réalisée par Ecolocost. En outre, cette dernière avait déjà été l'un des sept premiers projets récompensés du label E+C- par Emmanuelle Cosse en mars dernier. Autant de distinctions qui témoignent des éléments techniques de qualité déployés par le constructeur, de l'isolation au confort acoustique, en passant par les équipements.
Il y a 8 ans et 25 jours

Les artisans du bâtiment se forment en priorité à la technique

Les formations à la technique ont pris la première place du podium des matières auxquelles les artisans du bâtiment se forment le plus. Un effet de l'entrée en application du dispositif Reconnu garant de l'environnement.
Il y a 8 ans et 25 jours

Blastrac fait son tour de France

Blastrac France organise pour la première fois un tour de France pour aller à la rencontre des entreprises et présenter l'ensemble de ses produits et techniques. Le camion Blastrac fera étape à Nantes, Paris et Arras du 12 au 16 juin prochains.
Il y a 8 ans et 25 jours

LA VIGNETTE DE LA SEMAINE - Alien VS JCB !

Le placement produit est une technique courante au cinéma. Tout le monde se rappellera de Daniel Craig alias 007 aux prises avec une pelle Caterpillar 320D dans le film Skyfall en 2012. Cette année, c'est le constructeur JCB qui fait son cinéma dans le dernier Alien (Convenant) de Ridley Scott. On y voit une vingtaine de skid steers, de télescopiques et de pelles dans la scène finale... Une scène qui a grandement inspiré notre dessinateur Pino pour la vignette de la semaine !
Il y a 8 ans et 26 jours

Rheinzink partenaire de l'édition 2017 des Défis du Bois 3.0

Pour la deuxième année consécutive, RHEINZINK, premier fabricant mondial de zinc-titane pour le bâtiment, a apporté son soutien matériel et technique aux Défis du Bois 3.0 de l'Enstib (École Nationale Supérieure des Technologies et Industries du Bois).
Il y a 8 ans et 28 jours

Le contrôle technique de A à Z

OUVRAGE. L'OGBTP vient de publier un dossier spécial consacré au contrôle technique. Etat des lieux, retours d'expérience, missions... tout ce qu'il faut savoir sur le sujet.
Il y a 8 ans et 29 jours

La journée technique Afoco en images

La journée technique Afoco en images.
Il y a 8 ans et 29 jours

" Face au risque incendie, ce n'est pas tant le matériau qui est important, c'est la façon de construire ", Benoît Vion-Dury, Envirobat BDM

L'association EnvirobatBDM  vient de publier le guide " Construire durable en zone à risque d'incendie de forêt. Techniques adaptées à la mise en "uvre de matériaux bois et biosourcés ". Benoît Vion-Dury, chargé de projet au sein de l'association, présente les grandes lignes de l'étude et du guide, téléchargeable gratuitement, réalisé par Jean-Brice Cordier, ingénieur bois, et Olivier Gaujard, spécialiste de la construction en matériaux biosourcés et de la sécurité incendie.
Il y a 8 ans et 30 jours

L'UFME publie 3 fiches techniques à l'attention des professionnels de la menuiserie

Toujours aussi engagée auprès des experts de la menuiserie, l'UFME (Union des fabricants de menuiseries extérieures) a récemment dévoilé 3 nouvelles fiches techniques pour " tout savoir et comprendre sur l'acoustique des menuiseries extérieures ". Destinées aux professionnels du secteur, ces dernières visent avant tout à les informer au mieux afin d'éviter les éventuelles erreurs lors de la prescription des fenêtres. Détails.
Il y a 8 ans et 30 jours

Stanley Saitowitz / Natoma Architects : Center for Jewish Life

Dissimulé derrière un revêtement en brique rouge typique de la région, le Center for Jewish Life prend place au sein du campus de la Drexel University de Philadelphie (USA). Conçu par l'architecte Stanley Saitowitz de l'agence Notma Architects basée à San Francisco, le bâtiment a été réalisé dans le but de rassembler une communauté à travers des rencontres, des sessions d'apprentissage et des cérémonies. L'édifice de près de 1 300 mètres carrés est construit sur le modèle de la menorah, candélabre rituel à neuf bougies, symbole du mythe de la création. Les différentes activités du Centre y sont disposées sur trois niveaux, le sous-sol étant utilisé pour les cuisines, stockages et les zones techniques. Le rez-de-chaussée est dédié à l'action communautaire et à la vie quotidienne. L'espace est organisé de sorte à faciliter les rencontres et les conversations, avec des canapés placés face à face et de grande baies vitrées qui, associées aux boiseries et aux revêtements muraux, créent un lieu chaleureux propice aux discussions. Toujours dans le but de développer la communication entre personnes, se trouvent un amphithéâtre et un auditorium disposés au même niveau. Un escalier en bois, positionné au centre du bâti relie quant à lui cette zone polyvalente à l'étage supérieur, dédié à la formation et à l'apprentissage, où les bureaux de planification côtoient des salles d'études. Le dernier étage est de son côté consacré au culte et divisé en trois synagogues reliées entre-elles par un patio circulaire. Il accueille aussi bien les conservateurs que les réformistes ou les orthodoxes. Une bibliothèque théologique s'ajoute à ces différents lieux de culte pour un apprentissage et une pratique complète de la religion. " À l'heure où tant de bâtiments de notre ville sont devenus implacablement génériques, c'est un plaisir d'en voir un envahi d'histoire et de sens ". Inga Saffron, critique d'architecture Cet ouvrage, qui s'inscrit dans un projet de développement architectural de l'université, permet d'associer savoir et croyance au sein d'une réalisation à la fois traditionnelle et allégorique. Photographies : Stanley Staitowitz Pour en savoir plus, visitez le site de Stanley Staitowitz
Il y a 8 ans et 30 jours

Le Lieu Unique : Mégastructures

Il ne vous reste plus que quelques jours pour visiter l'exposition " Mégastructures, Dimensionner l'avenir, les figures de la démesure " présentée au Lieu Unique à Nantes (44). Un événement organisé à l'occasion des 40 ans du Centre Pompidou, dont le bâtiment est lui-même une mégastructure. Retour sur une architecture et une philosophie qui ont marqué les années 1960. Dans Megastructure : urban futures of the recent past (1976) l'auteur et critique Reyner Banham définit le terme de mégastructure : " De grande taille, la Mégastructure était construite d'unités modulaires ; elles étaient capables d'extensions grandes, voir illimitées ; un réseau structurel à l'intérieur duquel de plus petites unités structurelles (par exemple des pièces, des maisons, ou de petits bâtiments, entre autres) peuvent être construites - ou même "pluggées" ou "clippées" après avoir été préfabriquées ailleurs ; une trame structurelle prévue pour atteindre une durée de vie bien plus longue que les petits éléments qu'elle peut supporter ".   On assiste ici à une immersion au c"ur de ces objets, fruits des fantasmes architecturaux d'une époque, mis en valeur par la scénographie aérienne de Laurence Fontaine et Antoine Lichtenberg. Les commissaires de l'exposition, Aurélien Lemonier (directeur du Musée national de l'histoire de l'immigration) et de Gwenaël Delhumeau (enseignant-chercheur, Ensa Versailles), proposent ainsi aux visiteurs de découvrir ce courant de pensée par le biais de de dessins et de maquettes répartis en six grandes thématiques.   Le projet central Standardiser à l'infini de Konrad Wachsmann, disposé au coeur de l'espace de présentation, est une installation produite spécialement pour l'occasion et réalisée par des étudiants de l'École nationale supérieure d'architecture de Versailles. Cette structure tridimensionnelle suspendue est le fruit des recherches de l'architecte allemand Konrad Wachsmann qui a travaillé dès les années 1950 sur le développement d'un procédé structurel universel en trois dimensions, dont les éléments seraient liés par un connecteur.   Cinq autres zones organisées autour de ce projet complètent le propos : " Jeu d'espaces ", " Action : le réel et son double ", " Vision et prévisions ", "Processus techniques et métaphores technologiques " et " Les récitants : mythes et liturgie d'un mode moderne ".   Le visiteur est alors amené à questionner trois thématiques : les limites d'un monde infini instaurées par ces projets mégastructurels, leurs effets sur l'architecture et la société, ou encore le rapport au temps. Afin d'articuler ces sujets de réflexion, trois pistes de réflexion complémentaires sont proposées. La première se penche sur l'approche technique des mégastructures, aussi connues sous le nom de space frame, " n"ud d'articulation " de structures tridimensionnelles. La seconde aborde leur médiatisation et leur diffusion par des critiques ; et la dernière rend hommage au Centre Pompidou qui constitue une des rares mégastructures à avoir été construite.   Les projets d'architecture présentés, par leur variété, tant par la fascination ou l'angoisse qu'ils exercent, que par l'excitation ou la déception qu'ils inspirent, suggèrent tous un état de crise de l'habitat, qui s'applique finalement encore aujourd'hui.   " Mégastructures ", jusqu'au 21 mai 2017, Le Lieu Unique, Nantes (44)   Illustrations : 1) Paul Maymont , Etude extension de Paris 2) Yona Friedman , Paris spatial 3) Yona Friedman , Etude de la ville spatiale  Photographies  : Martin Argyroglo   Pour en savoir plus, visitez le site du Lieu Unique 
Il y a 8 ans et 31 jours

ITER : le chantier poursuit son petit bonhomme de chemin

Le chantier de construction du futur réacteur thermonucléaire expérimental ITER (" le chemin ", en latin) se poursuit. Des travaux d'envergure sont aujourd'hui en cours, comme la création des infrastructures de réseaux " électricité, télécommunication, voiries, etc. " de la future installation. Plusieurs kilomètres de galeries techniques enterrées doivent, entre autres, être réalisés. Un chemin semé d'embûches.
Il y a 8 ans et 31 jours

Batirama.com s'offre un lifting et ça claque !

4ème média BTP en ligne termes d'influence (entre 305 000 et 378 000 visites/mois " Source : OJD Numérique), Batirama.com s'offre une nouvelle jeunesse avec un design plus épuré et dans l'air du temps. Cette évolution est-elle une réussite totale ou certaines ombres viennent-elles ternir le tableau ? Découvrez-le tout de suite dans notre analyse. Esthétisme et Expérience Utilisateur D'emblée, le nouveau Batirama.com apparait comme beaucoup plus moderne grâce à une mise en page épurée et la mise en avant de visuels : et cela passe tout d'abord par son nouveau logo, débarrassé du cube et de sa baseline. Par rapport à l'ancien site, nous sommes passé d'un format " boxed " (soit avec le contenu centré et de grandes bandes vides sur les côtés) à un format plein écran. Cela a permis de gagner en visibilité avec des polices et des visuels plus grands. Les polices ont d'ailleurs elles aussi évolué vers quelque chose de plus moderne, de plus rond : ce qui invite davantage à la lecture et à l'exploration du site. Cette clarté est également, et en grande partie due au passage d'un fond gris (avec des cadres de contenus blancs) à un fond entièrement blanc. On notera cependant un petit " couac " au niveau de la taille des images d'en-tête des anciens articles, que ce soit dans la rubrique " Actualité " ou " Produits ". En effet, ce nouveau format de site prévoit des illustrations d'en-tête de grandes dimensions alors que la précédente mouture du site ne demandait que des miniatures de moins de 300 pixels de large. Capture d'écran de la nouvelle version de Batirama.com   Capture d'écran de l'ancienne version de Batirama.com Score technique Après une rapide analyse sur Google PageSpeed, Batirama.com en ressort avec des notes de 62/100 pour sa version " ordinateur " et 68/100 pour sa version mobile. Ces résultats sont bas, et traduisent les résultats d'un site encore peu optimisé au niveau technique, d'où une navigation lourde, avec des chargements de page lents. Des interventions sont ainsi nécessaires pour améliorer ces performances et offrir une meilleure expérience aux visiteurs : optimisation de la taille des images, exploitation de la mise en cache navigateur, réduction de la taille des ressources javascript et du temps de réponse du serveur, etc. L'avis de la rédaction Il est certain que les habitués de l'ancien site seront surpris de la nouvelle disposition de la home page lors de leur première visite mais ils s'en accommoderont facilement.  Les grandes images et les titres plus lisibles font ainsi gagner le site en attractivité. Cependant, au niveau technique, il sera nécessaire d'effectuer un certain nombre d'optimisations afin de fluidifier la navigation et, très certainement, améliorer le nombre de pages vues par les internautes durant leurs visites. A part quelques imperfections de jeunesse pour un lifting peu évident à réorganiser (le site est dense) et dont on peut être sûr qu'elles seront corrigées, la nouvelle mouture de BATIRAMA donne un vrai coup de fouet et se hisse directement au niveau des tout meilleurs de la profession.   Pour découvrir cela de vos propres yeux, c'est par ici : http://www.batirama.com/ 
Il y a 8 ans et 32 jours

A Paris, cette piscine se chauffe à l'énergie numérique

Une start-up a conçu un système de récupération de chaleur de serveurs, implantés dans le local technique de la piscine de la Butte-aux-Cailles (Paris XIIIe). Un dispositif inauguré lundi 15 mai.
Il y a 8 ans et 32 jours

Trois fiches techniques dédiées à l'acoustique des menuiseries extérieures

L'Union des Fabricants de Menuiseries Extérieures (UFME) présente trois nouvelles fiches techniques dédiées à l'acoustique et l'isolement phonique des menuiseries. Destinées aux professionnels, elles rappellent des notions essentielles quant à la prescription des bons produits.
Il y a 8 ans et 33 jours

" Le bâtiment connecté expose le secteur au risque du rançonnage informatique "

L'attaque informatique massive que subissent 150 pays rappelle à quel point l'évolution numérique expose les acteurs en termes de cybersécurité. Christophe Auberger, directeur technique France de Fortinet, fournisseur de solutions de sécurité informatiques, fait le point sur le cas particulier des bâtiments connectés.
Il y a 8 ans et 35 jours

Echafaudages : les précautions à prendre pour éviter les accidents

SECURITE. Les effondrements d'échafaudages sont rares en France. Pourtant, c'est ce qui vient de se produire en plein coeur de Paris ce 10 mai. Rappel des règles à respecter pour l'installation et l'utilisation de ces structures avec Gabriel Staniul, responsable technique du Syndicat Français de l'Echafaudage du Coffrage et de l'Etaiement (SFECE).
Il y a 8 ans et 37 jours

Bruel-Delmar et JAM pour le quartier du Moulon à Saclay

L'EPA Paris-Saclay vient d'annoncer les lauréats de la consultation de maîtrise d'"uvre urbaine pour l'un des quartiers majeurs du campus urbain en mutation : la ZAC du Moulon. L'atelier de paysages Bruel-Delmar, mandataire du groupement, associé à JAM architecte-urbaniste, Agathe Argot-Scène publique, concepteur lumière, et Artelia, bureau d'études techniques, a été retenu pour cette mission d'une durée de 6 ans. Depuis 2011, l'aménagement de la ZAC du Moulon à Gif-sur-Yvette...
Il y a 8 ans et 37 jours

Accor Hotels Arena : la nouvelle patinoire qui gagne en techinicité

SOLUTION TECHNIQUE Alors que l'équipe de France de hockey-sur-glace aiguise depuis le 6 mai ses patins contre les meilleures équipes du monde sur la patinoire de l'Accor Hotels Arena de Paris-Bercy? Batiactu rappelle quelles sont les 25 étapes de construction pour réaliser une patinoire de glace.
Il y a 8 ans et 37 jours

Des voiles porteurs isolants et courbes en béton préfabriqué foncé

C'est sur un vaste terrain triangulaire coincé entre la voie ferrée et la rue Cugnot à Paris (18ème) que la SNCF a réalisé, en lieu et place des bâtiments techniques vétustes et inutilisés depuis plusieurs années, un ensemble immobilier comprenant 83 logements sociaux et un centre de formation au rez-de-chaussée de la résidence.
Il y a 8 ans et 37 jours

Vient de paraître : "Plâtre. Sols et couvrements intérieurs, du XIIIe au XIXe siècle"

Une somme technique et esthétique de près de 400 pages, pour un matériau écolo qui suscite un regain d'intérêt?
Il y a 8 ans et 38 jours

Un homme du BTP président du réseau des CTI

Stéphane LE GUIRRIEC a été élu Président du Réseau CTI par le Conseil d'Administration de l'association qui fédère 16 Centres Techniques Industriels et Comités Professionnels de Développement Économique. Il succède à Christophe MATHIEU qui a présidé le Réseau CTI pendant 5 ans.
Il y a 8 ans et 38 jours

Rencontre avec : Patrick Jouin

Il y a 20 ans commençait la carrière " en solo " du designer Patrick Jouin, propulsé sur le devant de la scène par sa participation au Salone de Milan. Retour sur les débuts de cette ancienne jeune pousse du design, dont le talent n'est aujourd'hui plus à prouver et qui, pourtant, se réinvente à chaque collaboration. Muuuz : Il y a vingt ans vous obteniez votre premier stand au Salone del Mobile de Milan. Quel souvenir gardez-vous de vos débuts en tant que designer indépendant ?Patrick Jouin : Avant le Salone, il y a d'abord eu un premier tremplin dans ma carrière qui a été le VIA (Valorisation de l'Innovation dans l'Ameublement) en 1996, qui m'avait attribué sa bourse appelée " appel permanent ". J'avais alors réalisé une petite chaise pour Fermob. La marque est ainsi devenue mon premier éditeur, alors que j'étais encore designer chez Starck à l'époque. Puis le VIA m'a attribué sa Carte blanche, qui n'existe plus maintenant, aux côtés des frères Bourroulec.Par la suite, c'est ma cons"ur Matali Crasset qui m'a parlé du SaloneSatellite [l'une des premières plateformes de lancement de jeunes designers, ndrl] du Salone del Mobile de Milan, auquel elle participait. C'était les tout débuts de l'événement, ce n'était pas du tout ce que c'est maintenant ! À l'époque il avait lieu dans la ville, sur un site qui a depuis été rasé. J'ai alors réservé le dernier stand disponible. " J'ai rassemblé mes travaux dans ma Fiat Punto et dépensé tout mon argent dans la réalisation de prototypes et dans le voyage jusqu'à Milan. Je prenais concrètement mon envol. Je n'ai jamais été aussi fatigué de ma vie mais j'étais empreint d'une excitation phénoménale ! " Je n'avais préparé que 50 cartes de visite et quelques diapositives pour montrer mes réalisations. Elles sont parties en une journée et je ne savais même pas à qui je les avais données. Les éditeurs comme Cappellini ou Flos se sont tous montrés très curieux de ma démarche et j'ai immédiatement été publié. C'est à ce moment que j'ai quitté le studio de Philippe Starck. Que représente pour vous cette plateforme de lancement qu'est le SaloneSatellite ?Il s'agit d'un endroit très excitant, où se réunissent une série de créateurs et leurs " visions ", qui matérialisent un ou deux ans de travail. Il y a là des échecs, des envies, des passions. On y voit de la compétition, des égos... c'est un côté qui peut faire peur. On peut se dire " jamais je ne rencontrerai les éditeurs ".... Mais cela peut se produire, à condition de travailler pour. C'est comme l'amour ou le mariage : on ne peut pas savoir au préalable quand et comment cela va se dérouler ! De fortes histoires se nouent, d'autres se délitent, et il y a aussi parfois des divorces. Quelles sont les nouveautés que vous exposez cette année au Salone ?En tout, je propose sept projets conçus avec cinq éditeurs, utilisant des techniques et matériaux différents. Comme cette année célèbre les 20 ans du SaloneSatellite, l'organisme a demandé aux éditeurs de montrer des pièces spéciales : Fermob a ainsi présenté la chaise Facto réalisée à mes débuts et éditée depuis 20 ans.J'ai également révélé le complément de la gamme Ester, initiée il y a deux ans avec la marque Pedrali, à laquelle nous avons ajouté une barre en aluminium injecté, léger et résistant particulièrement adapté aux fonctions et usages des restaurants. Pour la même marque, nous avons développé le canapé outdoor Reva de 1,5 et 3 places. Son cadre, réalisé dans le même matériau, sur lequel est tendu de la toile Batyline [tissu technique, ndrl], lui permet de sécher rapidement s'il est mouillé. Cela crée une sorte de cage où l'on pose des coussins. À l'attention de Kartell, j'ai réalisé un prototype de lampe/bougeoir en plastique, Candy candle, détournement du bougeoir traditionnel ; et pour Cassina la table Lebeau, allégorie de l'arbre. Concernant la marque Fiam j'ai manipulé le verre cuit. On vient à rebours en recuisant une dalle de verre à laquelle on applique un moule texturé. Quelque part garde la trace du feu. De produit fini à produit artisanal. Avec Porada et la chaise Ella, je me suis penché sur l'utilisation du bois massif en France qui avait en effet quasiment disparue car la matière coûte chère, mais surtout sa mise en "uvre. Certaines grandes maisons le travaillaient toujours, mais la révolution digitale et celle de l'usinage ont vraiment changé la donne, et ont permis de réinvestir le matériau. Ici, chacune des 17 pièces de noyer a ainsi nécessité un réel travail d'ébénisterie. Il s'agit d'un des matériaux qu'on peut utiliser à l'infini. Cela me fascine. Afin de faire la promotion de cette collection, nous avons réalisé une série de photographies de la chaise devant un arbre de la forêt de Fontainebleau, dont les spécimens ont 50 ou 100 ans, parfois 200. Une partie de cette zone est encore utilisée pour la récolte. C'est extraordinaire : afin que les plants ne soient pas tordus par le vent ou mangés par les sangliers ou par les cerfs, ou qu'ils ne souffrent pas de sécheresse, on les protège durant 30 ans. C'est le travail de toute une vie d'un forestier, qui sera récupéré par un autre, puis un autre, qui pourrait être son petit-fils ! Comment choisissez-vous vos collaborations ?Elles sont font naturellement, car je traite avec gens que je connais au sein des grandes maisons d'édition. Je les connaissais déjà un peu à mes débuts grâce à mon travail chez Philippe Starck, qui m'avait mis le pied à l'étrier. Vous avez travaillé plusieurs années pour Philippe Starck, vous semblez pourtant très différents..." En effet, je suis presque l'opposé de Philippe Starck ! On ne peut pas tricher. Par exemple, jouer la star, ce ne serait pas moi. Lui il ne triche pas et le copier serait une catastrophe. " Cela ne sert à rien de regarder avec envie ce qu'on ne peut pas être. Le design est parfois une société de spectacle, certains se déguisent en " super-moi " pour être repérés, alors qu'il y a plein de manières d'y arriver. D'autant plus que tous les éditeurs ne sont pas à l'aise avec ce genre de postures. En définitive, le design est un monde qui reflète plein de manières d'être. C'est une folie de croire qu'on a besoin d'être imbuvable ! Depuis vos premières aventures milanaises, vous revenez souvent dans cette terre du design. Quel est votre attachement à cette zone ?Non loin de Milan, la province de la Brianza, spécialisée dans l'industrie du meuble, est des endroits les plus riches d'Europe. Elle est fondée sur une manière de travailler ensemble dans la compétition mais aussi dans l'entre-aide. Il y a un décalage avec l'Hexagone. Chez nous, on essaie à tout prix de contrôler le savoir-faire à la française, de tout pouvoir faire, du coup nous n'avons pas toujours les meilleures machines. En Italie, c'est différent : chacun est spécialiste d'une technologie. Il y a donc un assemblage des meilleurs savoir-faire pour mener à bien un projet. Finalement, combien de projets traitez-vous simultanément à l'agence ?Environ 45, traités par deux entités distinctes, deux " marques " : il y a Jouin Manku, qui se charge des projets d'architecture et d'architecture d'intérieur ; et Patrick Jouin ID, pour Industrial designer, nom trouvé par l'auteur Pierre Doze. Pourtant aucun de tous vos projets ne se ressemble ! Y a-t-il un " Style Jouin " ?J'essaie d'éviter de faire la même chose. J'ai l'obsession du confort, de la sensualité.On passe longtemps à dessiner les choses, à les utiliser. L'impact visuel ne représente qu'une petite partie. Si au bout 3 heures on est mal sur une chaise : c'est non pour nous !Il s'agit là de mon savoir-faire. Photographies :1) Patrick Jouin, © Benoit Linero2) Reva, Pedrali3) Ella, Porada4) Facto, Fermob5) Reva, Pedrali6) Ester, Pedrali7) Candy Candle, Kartell, © Kartell8) Lebeau Wood, Cassina9) Magma, Fiam10) Ella, Porada11) Louis, Porada Pour en savoir plus, visitez le site de Patrick Jouin
Il y a 8 ans et 38 jours

Rencontre avec : Patrick Jouin

Il y a 20 ans commençait la carrière " en solo " du designer Patrick Jouin, propulsé sur le devant de la scène par sa participation au Salone de Milan. Retour sur les débuts de cette ancienne jeune pousse du design, dont le talent n'est aujourd'hui plus à prouver et qui, pourtant, se réinvente à chaque collaboration. Muuuz : Il y a vingt ans vous obteniez votre premier stand au Salone del Mobile de Milan. Quel souvenir gardez-vous de vos débuts en tant que designer indépendant ?Patrick Jouin : Avant le Salone, il y a d'abord eu un premier tremplin dans ma carrière qui a été le VIA (Valorisation de l'Innovation dans l'Ameublement) en 1996, qui m'avait attribué sa bourse appelée " appel permanent ". J'avais alors réalisé une petite chaise pour Fermob. La marque est ainsi devenue mon premier éditeur, alors que j'étais encore designer chez Starck à l'époque. Puis le VIA m'a attribué sa Carte blanche, qui n'existe plus maintenant, aux côtés des frères Bourroulec.Par la suite, c'est ma cons"ur Matali Crasset qui m'a parlé du SaloneSatellite [l'une des premières plateformes de lancement de jeunes designers, ndrl] du Salone del Mobile de Milan, auquel elle participait. C'était les tout débuts de l'événement, ce n'était pas du tout ce que c'est maintenant ! À l'époque il avait lieu dans la ville, sur un site qui a depuis été rasé. J'ai alors réservé le dernier stand disponible. " J'ai rassemblé mes travaux dans ma Fiat Punto et dépensé tout mon argent dans la réalisation de prototypes et dans le voyage jusqu'à Milan. Je prenais concrètement mon envol. Je n'ai jamais été aussi fatigué de ma vie mais j'étais empreint d'une excitation phénoménale ! " Je n'avais préparé que 50 cartes de visite et quelques diapositives pour montrer mes réalisations. Elles sont parties en une journée et je ne savais même pas à qui je les avais données. Les éditeurs comme Cappellini ou Flos se sont tous montrés très curieux de ma démarche et j'ai immédiatement été publié. C'est à ce moment que j'ai quitté le studio de Philippe Starck. Que représente pour vous cette plateforme de lancement qu'est le SaloneSatellite ?Il s'agit d'un endroit très excitant, où se réunissent une série de créateurs et leurs " visions ", qui matérialisent un ou deux ans de travail. Il y a là des échecs, des envies, des passions. On y voit de la compétition, des égos... c'est un côté qui peut faire peur. On peut se dire " jamais je ne rencontrerai les éditeurs ".... Mais cela peut se produire, à condition de travailler pour. C'est comme l'amour ou le mariage : on ne peut pas savoir au préalable quand et comment cela va se dérouler ! De fortes histoires se nouent, d'autres se délitent, et il y a aussi parfois des divorces. Quelles sont les nouveautés que vous exposez cette année au Salone ?En tout, je propose sept projets conçus avec cinq éditeurs, utilisant des techniques et matériaux différents. Comme cette année célèbre les 20 ans du SaloneSatellite, l'organisme a demandé aux éditeurs de montrer des pièces spéciales : Fermob a ainsi présenté la chaise Facto réalisée à mes débuts et éditée depuis 20 ans.J'ai également révélé le complément de la gamme Ester, initiée il y a deux ans avec la marque Pedrali, à laquelle nous avons ajouté une barre en aluminium injecté, léger et résistant particulièrement adapté aux fonctions et usages des restaurants. Pour la même marque, nous avons développé le canapé outdoor Reva de 1,5 et 3 places. Son cadre, réalisé dans le même matériau, sur lequel est tendu de la toile Batyline [tissu technique, ndrl], lui permet de sécher rapidement s'il est mouillé. Cela crée une sorte de cage où l'on pose des coussins. À l'attention de Kartell, j'ai réalisé un prototype de lampe/bougeoir en plastique, Candy candle, détournement du bougeoir traditionnel ; et pour Cassina la table Lebeau, allégorie de l'arbre. Concernant la marque Fiam j'ai manipulé le verre cuit. On vient à rebours en recuisant une dalle de verre à laquelle on applique un moule texturé. Quelque part garde la trace du feu. De produit fini à produit artisanal. Avec Porada et la chaise Ella, je me suis penché sur l'utilisation du bois massif en France qui avait en effet quasiment disparue car la matière coûte chère, mais surtout sa mise en "uvre. Certaines grandes maisons le travaillaient toujours, mais la révolution digitale et celle de l'usinage ont vraiment changé la donne, et ont permis de réinvestir le matériau. Ici, chacune des 17 pièces de noyer a ainsi nécessité un réel travail d'ébénisterie. Il s'agit d'un des matériaux qu'on peut utiliser à l'infini. Cela me fascine. Afin de faire la promotion de cette collection, nous avons réalisé une série de photographies de la chaise devant un arbre de la forêt de Fontainebleau, dont les spécimens ont 50 ou 100 ans, parfois 200. Une partie de cette zone est encore utilisée pour la récolte. C'est extraordinaire : afin que les plants ne soient pas tordus par le vent ou mangés par les sangliers ou par les cerfs, ou qu'ils ne souffrent pas de sécheresse, on les protège durant 30 ans. C'est le travail de toute une vie d'un forestier, qui sera récupéré par un autre, puis un autre, qui pourrait être son petit-fils ! Comment choisissez-vous vos collaborations ?Elles sont font naturellement, car je traite avec gens que je connais au sein des grandes maisons d'édition. Je les connaissais déjà un peu à mes débuts grâce à mon travail chez Philippe Starck, qui m'avait mis le pied à l'étrier. Vous avez travaillé plusieurs années pour Philippe Starck, vous semblez pourtant très différents..." En effet, je suis presque l'opposé de Philippe Starck ! On ne peut pas tricher. Par exemple, jouer la star, ce ne serait pas moi. Lui il ne triche pas et le copier serait une catastrophe. " Cela ne sert à rien de regarder avec envie ce qu'on ne peut pas être. Le design est parfois une société de spectacle, certains se déguisent en " super-moi " pour être repérés, alors qu'il y a plein de manières d'y arriver. D'autant plus que tous les éditeurs ne sont pas à l'aise avec ce genre de postures. En définitive, le design est un monde qui reflète plein de manières d'être. C'est une folie de croire qu'on a besoin d'être imbuvable ! Depuis vos premières aventures milanaises, vous revenez souvent dans cette terre du design. Quel est votre attachement à cette zone ?Non loin de Milan, la province de la Brianza, spécialisée dans l'industrie du meuble, est des endroits les plus riches d'Europe. Elle est fondée sur une manière de travailler ensemble dans la compétition mais aussi dans l'entre-aide. Il y a un décalage avec l'Hexagone. Chez nous, on essaie à tout prix de contrôler le savoir-faire à la française, de tout pouvoir faire, du coup nous n'avons pas toujours les meilleures machines. En Italie, c'est différent : chacun est spécialiste d'une technologie. Il y a donc un assemblage des meilleurs savoir-faire pour mener à bien un projet. Finalement, combien de projets traitez-vous simultanément à l'agence ?Environ 45, traités par deux entités distinctes, deux " marques " : il y a Jouin Manku, qui se charge des projets d'architecture et d'architecture d'intérieur ; et Patrick Jouin ID, pour Industrial designer, nom trouvé par l'auteur Pierre Doze. Pourtant aucun de tous vos projets ne se ressemble ! Y a-t-il un " Style Jouin " ?J'essaie d'éviter de faire la même chose. J'ai l'obsession du confort, de la sensualité.On passe longtemps à dessiner les choses, à les utiliser. L'impact visuel ne représente qu'une petite partie. Si au bout 3 heures on est mal sur une chaise : c'est non pour nous !Il s'agit là de mon savoir-faire. Photographies :1) Patrick Jouin, © Benoit Linero2) Reva, Pedrali3) Ella, Porada4) Facto, Fermob5) Reva, Pedrali6) Ester, Pedrali7) Candy Candle, Kartell, © Kartell8) Lebeau Wood, Cassina9) Magma, Fiam10) Ella, Porada11) Louis, Porada Pour en savoir plus, visitez le site de Patrick Jouin
Il y a 8 ans et 38 jours

Mermet réinvente la gestion de la lumière grâce un système de protection solaire innovant

Sollicité par Pitch Promotion et l'Agence Fontani, le fabricant de tissu technique Mermet a récemment doté un bâtiment de bureaux appartenant à l'Union notariale financière d'un vaste " bouclier thermique ". Ce dernier prend la forme d'un tissu en fibres de verre, le Satiné 5500 Low E, notamment réputé pour sa faible émissivité et le confort visuel qu'il offre. Les détails du projet.
Il y a 8 ans et 39 jours

La Seine Musicale : à prouesses architecturales, solutions innovantes et collaborations expertes

La Seine Musicale a ouvert ses portes en avril 2017 au c"ur du plan urbain de Jean Nouvel, à la pointe de l'île Seguin à Boulogne-Billancourt (92). Conçu par l'architecte Shigeru Ban associé à Jean de Gastines, ce lieu culturel se compose d'un auditorium et d'une salle de spectacle modulable, qui accueilleront concerts et événements pour tout public. En phase conception de cette architecture unique, le CSTB a accompagné les acteurs dans leurs défis techniques. D'une part, les experts en aérodynamique ont mené l'étude de dimensionnement au vent du bâtiment et de la voile solaire ; d'autre part, les instructeurs ont réalisé l'évaluation de la toiture végétalisée et de la façade vitrée. D'une superficie de 35 000 m², la Seine Musicale se distingue par plusieurs prouesses architecturales : une grande voile équipée de panneaux photovoltaïques, qui suit la course du soleil ; une toiture végétalisée en pente raide, espace vert pour les piétons et refuge pour la biodiversité ; une façade vitrée de 4 000 m² sur une forme ovoïde. Dimensionner au vent la voile solaire mobile Le bureau d'études RFR (Artelia), missionné par Bouygues Construction, s'est appuyé sur l'expertise du CSTB pour mener des études aérodynamiques sur mesure. 1ère étape : représenter l'environnement aérodynamique de la Seine Musicale. À partir de données métrologiques et topographiques locales, le CSTB a défini par simulation CFD (mécanique des fluides numérique), les vitesses du vent sur le site pour toutes les incidences. Les mesures obtenues ont été affinées en souffleries atmosphériques grâce à une reproduction du site au 1/500ème prenant en compte les effets des bâtiments les plus proches. 2ème étape : optimiser le dimensionnement au vent de la voile via une campagne expérimentale (tests sur maquettes au 1/250ème et 1/75ème en soufflerie). Le CSTB a d'abord testé la voile mobile dans plusieurs positions. Il a aussi considéré l'impact de l'environnement actuel et envisagé par Jean Nouvel. Puis, il a mesuré les efforts locaux et globaux du vent sur les panneaux photovoltaïques (1 000 m²) et la structure support pour optimiser le chargement au vent sur cette voile. Sécuriser la toiture végétalisée en pente raide Ses pentes sont inclinées à 76 % et pourtant la toiture de la Seine Musicale accueille un jardin public et offre un refuge à la biodiversité. Cette innovation a bouleversé les codes du monde de la construction végétalisée. Le CSTB a accompagné l'entreprise AMC Étanchéité dans l'évaluation de cette toiture végétalisée aux pentes hors normes. Celle-ci a porté sur la conception des ouvrages : d'isolation et de protection jardin : la structure porteuse comporte des butées de retenue (bacs collaborants en béton armé) ; d'étanchéité : des gabions métalliques assurent le compartimentage et le maintien en place de la terre elle-même et du couvert végétal. Le comité d'experts multidisciplinaires " construction, paysage, horticulture " a formulé en 2015, une Appréciation Technique d'Expérimentation (ATEx) favorable, assortie de recommandations (méthode de mise en "uvre, contrôles d'exécution, conditions d'accès et de sécurité, prescriptions d'entretien). Évaluer une façade vitrée dans une charpente en bois inclinée L'auditorium de la Seine Musicale est niché au c"ur d'un "uf de bois tressé, aux formes arrondis recouverte d'une peau en verre. Le CSTB a été sollicité par la société Mtech pour évaluer son procédé innovant de verrière et de façade en devers (+15°) composée de vitrages isolants. Des réunions préparatoires à l'ATEx ont porté sur les conditions de mise en "uvre des vitrages sur la charpente en bois non plane. Sur la base de contre-calculs, le CSTB a défini les protocoles d'essais à réaliser (étanchéité à l'eau et à l'air ; résistance au vent, aux chocs ; sécurité des personnes). Les résultats de ces tests ont permis, lors de l'évaluation proprement dite, de valider la stabilité à froid et la durabilité de l'ouvrage. Par ailleurs, sa faisabilité a été évaluée grâce à la fabrication d'un prototype sur site et à la mise en "uvre des premiers remplissages. Une ATEx favorable a été délivrée à Mtech pour sa solution en juillet 2016. En savoir plus : Expertise Aérodynamique du CSTB Savoir-faire dédié aux Grands ouvrages Appréciation Technique d'Expérimentation (ATEx) Grand Musée de l'Afrique à Alger?: innovation, élégance et performance
Il y a 8 ans et 42 jours

MyLight Systems amène de l'intelligence dans l'autoconsommation

SOLUTION TECHNIQUE. L'autoconsommation d'électricité photovoltaïque va connaître un grand essor. Pour améliorer l'autonomie des installations, la startup MyLight Systems a développé une solution qui les pilote finement et permet de mieux exploiter la production solaire. Ondine Suavet, co-fondatrice de la société, nous explique le fonctionnement de cet objet connecté.
Il y a 8 ans et 42 jours

Révélations : Biennale Internationale des Métiers d'Art et de la Création

Pour sa troisième édition et suite au succès des deux premières, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, réinvestit le Grand Palais pour un salon entièrement dédié à la création contemporaine. Depuis 2013, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, créée par le groupe professionnel Ateliers d'Art de France, a lieu au Grand Palais la première semaine de mai de chaque année impaire " alternant avec Monumenta. Elle rassemble collectionneurs, architectes et galeristes internationaux. Révélations est ainsi avant tout un rendez-vous culturel où le savoir-faire et la création sont mis à l'honneur. Avec plus de 400 exposants (artisans d'art, designers, galeristes, maisons, écoles et fondations), sélectionnés par un Comité d'orientation artistique composé de personnalités internationales et présidé par Serge Nicole, l'événement permet aux créateurs et fabricants de bénéficier d'un véritable tremplin et à tous de découvrir des "uvres d'une grande diversité. Pour cette édition, on retrouve ce qui a fait le succès de Révélations : une scénographie soignée, signée cette année du Studio Gradère, des expositions, et la mise en avant d'un pays, invité d'honneur. Après la Norvège et la Corée du Sud, cette année, c'est le Chili qui est sélectionné pour en être la nation vedette présentée sur un stand conçu par les artistes Nury Gonzàlez et Pablo Nuñez, sur le modèle des maisons traditionnelles de ce territoire. Le pays présente alors un florilège de créateurs de métiers d'art tous novateurs et stimulants, et rend hommage à sa compatriote Violeta Parra, artiste mondialement connue, à travers un projet manifeste. Les techniques traditionnelles de cette contrée, souvent ancestrales, sont ici revisitées par des joaillers, créateurs textiles, sculpteurs et autres artistes et artisans. L'exposition internationale " Le Banquet " prolonge cette invitation au voyage à travers neuf autres pays sélectionnés " l'Allemagne, la Suisse, la Belgique, le Luxembourg, la Corée du Sud, la Russie, la Chine, Le Sénégal et le Togo ", qui révèlent une série d'"uvres chacune spécialement élaborée pour la biennale. L'Allemagne présente par exemple l'une de ses céramistes contemporaines phares, Claudia Biehne, tandis que pour la Russie, grâce à Urban Art Nations " une plateforme réunissant designers et artisans d'art ", nous dévoile " Black Stuff " de Maria Koshenskova, une "uvre traitant de la question de l'identité. L'occasion de découvrir les techniques et les arts d'autres cultures tout en traitant de questions actuelles. L'exhibition promeut également des pièces d'une grande dextérité par la représentation d'ateliers et d'artistes plus que prometteurs. Nous pouvons donc découvrir le travail des Ateliers Amea Estampille 52 et plus précisément de l'ébéniste Adrien Ancel excellant dans la fabrication de sièges sur ressorts sculptés en bouleau ou encore celui de Luce Couillet, diplômée en Design Textile à l'École nationale supérieure de création industrielle de Paris. Inspirée du tissage artisanale, cette dernière réalise ici une série de mobiles tissés en bois ou en papier. Durant quatre jours, il est également possible de découvrir l'exposition " Péri'Fabrique ", issue d'un programme de co-création mis en place par les D'Days et soutenu par la Fondation Bettencourt Schueller et le territoire d'Est Ensemble Grand Paris. Cette initiative réunit artisans d'art et designers, qui perçoivent une bourse qui permet de financer la création d'"uvres expérimentales. L'approche est originale : l'artisan choisit le designer avec lequel il souhaite collaborer et ne voit aucun dessin avant le début du processus de création. Les travaux issus de ces rencontres sont visibles sous la verrière du Grand Palais durant toute la durée du salon. Révélations, en partenariat avec Muuuz, vous invite du 4 au 8 mai à voyager et à découvrir savoir-faire et techniques des artistes et artisans de demain. Photographies : PhotoproeventPour en savoir plus, visitez le site de Révélations 3) Allemagne " Claudia Biehne © DR4) Russie " Denis Milovanov © Artyom Ibatullin5) Adrien Ancel, Ateliers Amea Estampille © Alpha Re6) Luce Couillet © Baptiste Heller7) Paravent-Ara Grégoire de Lafforest et Mireille Herbst © Jérome Galland
Il y a 8 ans et 42 jours

Révélations : Biennale Internationale des Métiers d'Art et de la Création

Pour sa troisième édition et suite au succès des deux premières, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, réinvestit le Grand Palais pour un salon entièrement dédié à la création contemporaine. Depuis 2013, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, créée par le groupe professionnel Ateliers d'Art de France, a lieu au Grand Palais la première semaine de mai de chaque année impaire " alternant avec Monumenta. Elle rassemble collectionneurs, architectes et galeristes internationaux. Révélations est ainsi avant tout un rendez-vous culturel où le savoir-faire et la création sont mis à l'honneur. Avec plus de 400 exposants (artisans d'art, designers, galeristes, maisons, écoles et fondations), sélectionnés par un Comité d'orientation artistique composé de personnalités internationales et présidé par Serge Nicole, l'événement permet aux créateurs et fabricants de bénéficier d'un véritable tremplin et à tous de découvrir des "uvres d'une grande diversité. Pour cette édition, on retrouve ce qui a fait le succès de Révélations : une scénographie soignée, signée cette année du Studio Gradère, des expositions, et la mise en avant d'un pays, invité d'honneur. Après la Norvège et la Corée du Sud, cette année, c'est le Chili qui est sélectionné pour en être la nation vedette présentée sur un stand conçu par les artistes Nury Gonzàlez et Pablo Nuñez, sur le modèle des maisons traditionnelles de ce territoire. Le pays présente alors un florilège de créateurs de métiers d'art tous novateurs et stimulants, et rend hommage à sa compatriote Violeta Parra, artiste mondialement connue, à travers un projet manifeste. Les techniques traditionnelles de cette contrée, souvent ancestrales, sont ici revisitées par des joaillers, créateurs textiles, sculpteurs et autres artistes et artisans. L'exposition internationale " Le Banquet " prolonge cette invitation au voyage à travers neuf autres pays sélectionnés " l'Allemagne, la Suisse, la Belgique, le Luxembourg, la Corée du Sud, la Russie, la Chine, Le Sénégal et le Togo ", qui révèlent une série d'"uvres chacune spécialement élaborée pour la biennale. L'Allemagne présente par exemple l'une de ses céramistes contemporaines phares, Claudia Biehne, tandis que pour la Russie, grâce à Urban Art Nations " une plateforme réunissant designers et artisans d'art ", nous dévoile " Black Stuff " de Maria Koshenskova, une "uvre traitant de la question de l'identité. L'occasion de découvrir les techniques et les arts d'autres cultures tout en traitant de questions actuelles. L'exhibition promeut également des pièces d'une grande dextérité par la représentation d'ateliers et d'artistes plus que prometteurs. Nous pouvons donc découvrir le travail des Ateliers Amea Estampille 52 et plus précisément de l'ébéniste Adrien Ancel excellant dans la fabrication de sièges sur ressorts sculptés en bouleau ou encore celui de Luce Couillet, diplômée en Design Textile à l'École nationale supérieure de création industrielle de Paris. Inspirée du tissage artisanale, cette dernière réalise ici une série de mobiles tissés en bois ou en papier. Durant quatre jours, il est également possible de découvrir l'exposition " Péri'Fabrique ", issue d'un programme de co-création mis en place par les D'Days et soutenu par la Fondation Bettencourt Schueller et le territoire d'Est Ensemble Grand Paris. Cette initiative réunit artisans d'art et designers, qui perçoivent une bourse qui permet de financer la création d'"uvres expérimentales. L'approche est originale : l'artisan choisit le designer avec lequel il souhaite collaborer et ne voit aucun dessin avant le début du processus de création. Les travaux issus de ces rencontres sont visibles sous la verrière du Grand Palais durant toute la durée du salon. Révélations, en partenariat avec Muuuz, vous invite du 4 au 8 mai à voyager et à découvrir savoir-faire et techniques des artistes et artisans de demain. Photographies : PhotoproeventPour en savoir plus, visitez le site de Révélations 3) Allemagne " Claudia Biehne © DR4) Russie " Denis Milovanov © Artyom Ibatullin5) Adrien Ancel, Ateliers Amea Estampille © Alpha Re6) Luce Couillet © Baptiste Heller7) Paravent-Ara Grégoire de Lafforest et Mireille Herbst © Jérome Galland
Il y a 8 ans et 43 jours

L'ossature bois décryptée

Un guide à vocation technique et pédagogique sur la conception technique et la mise en "uvre de l'ossature bois vient d'être publié. Un inventaire des différentes étapes à suivre.
Il y a 8 ans et 43 jours

Rénovation du parking souterrain d'une résidence de luxe

Un parking de la banlieue londonienne comprenant 24 places, un local technique et des espaces de rangement pour les résidents ont été rénovés dans le cadre de la création d'un projet immobilier de luxe. La société en charge de la réhabilitation a fait appel à l'expertise de Watco.
Il y a 8 ans et 43 jours

Equipements à Partager : le BlaBlacar du matériel de BTP

Fondée en 2016 par Kévin Legault, la start-up d'Amiens www.equipementsapartager.com propose aux professionnels de louer leur matériel de BTP. Partant du constat qu'une machine sommeille en moyenne 120 jours par an entre deux chantiers, Equipements à Partager optimise le taux d'occupation de ce matériel en mettant en relation les propriétaires et les demandeurs.   Comment fonctionne Equipements à Partager ? Comme intermédiaire entre les propriétaires et les locataires, la start-up offre aux possesseurs de matériel de BTP la possibilité de créer gratuitement des annonces de location pour leurs équipements en fixant librement leur prix et leur disponibilité.  Les demandeurs, quant à eux, ont la possibilité de rechercher précisément et localement le matériel qu'ils souhaitent. La transaction est assurée par AXA via un contrat qui protège les deux parties en cas de casse, vol, incendie, etc. Ce modèle de location " gagnant-gagnant " permet aux demandeurs de louer du matériel à bas prix, tandis que les offreurs peuvent amortir leurs charges en se servant de leur matériel non utilisé. Une location de matériel en toute transparence E.A.P. mise sur la confiance et la transparence : d'une part, grâce à l'assurance AXA, mais aussi grâce à des fiches de profil propriétaire et locataire détaillées et évaluables après chaque transaction. Les informations des membres telles que leur numéro de téléphone, leur e-mail ou leur carte d'identité sont vérifiées, ce qui peut exclure les faux profils. Les fiches matériels, quant à elles, comprennent tous les détails d'utilisation du matériel (énergie, performances?) et ses informations techniques (marque, modèle, date de dernière révision, date de mise en service?). Les équipements ont eux aussi la possibilité de recevoir des commentaires des utilisateurs. Un développement national envisagé Aujourd'hui, la start-up recense près de 400 annonces de tous types de matériels (nacelles élévatrices, mini pelles, grues bétonnières, tondeuses à gazon, etc.) disponibles dans 5 départements français et compte une centaine d'utilisateurs. L'entreprise vise dans un premier temps le nord de la France, avant de s'étendre au niveau national. Pour appuyer son développement, la jeune entreprise a même reçu le lauréat de la bourse French Tech qui vise à aider les start-ups innovantes. Pour sa communication digitale, la start-up a déployé une stratégie de contenu en tenant un blog sur son site et de présence sur les réseaux sociaux principaux à savoir Facebook et Twitter, mais aussi LinkedIn, Instagram et Google Plus. Bien que Google Plus ne soit plus vraiment d'actualité malgré des nouvelles fonctionnalités présentées en ce début d'année, il semble que cette présence sociale profite davantage à la page Facebook d'E.A.P. avec presque 600 abonnés au compteur.
Il y a 8 ans et 43 jours

La santé, victime ou moteur d'innovation du bâtiment ?

XPAIR. La prise en compte de la santé dans le bâtiment est souvent vue comme une contrainte et non comme une possibilité d'innover. Or, concevoir, construire, exploiter des bâtiments afin qu'ils soient biocompatibles impulse des améliorations techniques. Le docteur Suzanne Déoux, de Médieco, spécialiste de l'ingénierie de la santé dans le cadre du bâti, livre son sentiment.
Il y a 8 ans et 43 jours

" Construisons Positif et Bois " : des rencontres techniques en Bretagne

Les professionnels de la construction bois en Bretagne se sont retrouvés à Locminé, le 28 avril, pour une 6ème journée technique " Construisons Positif et Bois " à l’invitation d'Abibois, le réseau des professionnels du bois en Bretagne. Cette journée s'est organisée autour de conférences, d'ateliers, d'échanges et de temps conviviaux. " C’est l'occasion de … Cet article " Construisons Positif et Bois " : des rencontres techniques en Bretagne est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 8 ans et 43 jours

Révélations : Biennale Internationale des Métiers d'Art et de la Création

Pour sa troisième édition et suite au succès des deux premières, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, réinvestit le Grand Palais pour un salon entièrement dédié à la création contemporaine. Depuis 2013, la Biennale internationale des métiers d'art et de la création, Révélations, créée par le groupe professionnel Ateliers d'Art de France, a lieu au Grand Palais la première semaine de mai de chaque année impaire " alternant avec Monumenta. Elle rassemble collectionneurs, architectes et galeristes internationaux. Révélations est ainsi avant tout un rendez-vous culturel où le savoir-faire et la création sont mis à l'honneur. Avec plus de 400 exposants (artisans d'art, designers, galeristes, maisons, écoles et fondations), sélectionnés par un Comité d'orientation artistique composé de personnalités internationales et présidé par Serge Nicole, l'événement permet aux créateurs et fabricants de bénéficier d'un véritable tremplin et à tous de découvrir des "uvres d'une grande diversité. Pour cette édition, on retrouve ce qui a fait le succès de Révélations : une scénographie soignée, signée cette année du Studio Gradère, des expositions, et la mise en avant d'un pays, invité d'honneur. Après la Norvège et la Corée du Sud, cette année, c'est le Chili qui est sélectionné pour en être la nation vedette présentée sur un stand conçu par les artistes Nury Gonzàlez et Pablo Nuñez, sur le modèle des maisons traditionnelles de ce territoire. Le pays présente alors un florilège de créateurs de métiers d'art tous novateurs et stimulants, et rend hommage à sa compatriote Violeta Parra, artiste mondialement connue, à travers un projet manifeste. Les techniques traditionnelles de cette contrée, souvent ancestrales, sont ici revisitées par des joaillers, créateurs textiles, sculpteurs et autres artistes et artisans. L'exposition internationale " Le Banquet " prolonge cette invitation au voyage à travers neuf autres pays sélectionnés " l'Allemagne, la Suisse, la Belgique, le Luxembourg, la Corée du Sud, la Russie, la Chine, Le Sénégal et le Togo ", qui révèlent une série d'"uvres chacune spécialement élaborée pour la biennale. L'Allemagne présente par exemple l'une de ses céramistes contemporaines phares, Claudia Biehne, tandis que pour la Russie, grâce à Urban Art Nations " une plateforme réunissant designers et artisans d'art ", nous dévoile " Black Stuff " de Maria Koshenskova, une "uvre traitant de la question de l'identité. L'occasion de découvrir les techniques et les arts d'autres cultures tout en traitant de questions actuelles. L 'exhibition promeut également des pièces d'une grande dextérité par la représentation d'ateliers et d'artistes plus que prometteurs. Nous pouvons donc découvrir le travail des Ateliers Amea Estampille 52 et plus précisément de l'ébéniste Adrien Ancel excellant dans la fabrication de sièges sur ressorts sculptés en bouleau ou encore celui de Luce Couillet, diplômée en Design Textile à l'École nationale supérieure de création industrielle de Paris. Inspirée du tissage artisanale, cette dernière réalise ici une série de mobiles tissés en bois ou en papier. Durant quatre jours, il est également possible de découvrir l'exposition " Péri'Fabrique ", issue d'un programme de co-création mis en place par les D'Days et soutenu par la Fondation Bettencourt Schueller et le territoire d'Est Ensemble Grand Paris. Cette initiative réunit artisans d'art et designers, qui perçoivent une bourse qui permet de financer la création d'"uvres expérimentales. L'approche est originale : l'artisan choisit le designer avec lequel il souhaite collaborer et ne voit aucun dessin avant le début du processus de création. Les travaux issus de ces rencontres sont visibles sous la verrière du Grand Palais durant toute la durée du salon. Révélations, en partenariat avec Muuuz, vous invite du 4 au 8 mai à voyager et à découvrir savoir-faire et techniques des artistes et artisans de demain. Pour en savoir plus, visitez le site de Révélations Photographies :  1) Visuel officiel Révélation 20172) © Photoproevent3) Allemagne " Claudia Biehne © DR4) Russie " Denis Milovanov © Artyom Ibatullin5) Adrien Ancel, Ateliers Amea Estampille © Alpha Re6) Luce Couillet © Baptiste Heller7) Paravent-Ara Grégoire de Lafforest et Mireille Herbst © Jérome Galland8) © Photoproevent9) © Photoproevent
Il y a 8 ans et 44 jours

" Une majorité de matériaux est éligible à une seconde vie "

Donner une seconde vie aux matériaux et produits de construction est un enjeu crucial pour le secteur du bâtiment. L'architecte Julien Choppin (du collectif Encore Heureux) démontre les possibilités du réemploi dans le n°359 des Cahiers techniques du bâtiment.
Il y a 8 ans et 44 jours

Cibetec fabrique 112 brises-soleil pour le Lycée international de l'Est Parisien

112 " c'est le nombre de colonnettes faisant office de brises soleil qui ornent le Lycée international de l'Est Parisien. De quoi donner toute sa singularité au bâtiment, imaginé par l'agence d'architecture 2/3/4. Censées assurer la luminosité à l'intérieur de l'édifice, ces structures présentent également des aspects technique et esthétique indéniables qui témoignent du savoir-faire de la société Cibetec, chargée de concevoir les poteaux.