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Il y a 4 ans et 235 jours

A Paris, une crèche multi accueil bien récupérée par Jean Bocabeille

Après 22 mois de travaux (dont arrêt pendant le confinement), le XXe arrondissement de Paris accueille depuis l’été 2020, sur près de 1 200 m², une nouvelle crèche multi-accueil offrant 99 berceaux et une crèche familiale de 40 places, un ouvrage signé Jean Bocabeille (BFV Architectes). Communiqué de l’entreprise générale. La réalisation est imposante et […] L’article A Paris, une crèche multi accueil bien récupérée par Jean Bocabeille est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 235 jours

Ports de Paris renforce ses contrôles et envisage des sanctions contre Lafarge

"Si l'enquête préliminaire conclut à un acte délibéré, c'est l'existence même de l'installation qui est remise en cause", met même en garde Antoine Berbain, directeur général d'Haropa-Ports de Paris. Dans ce cas, l'établissement public se portera partie civile, a-t-il ajouté."Les faits qu'on a pu constater chez Lafarge nous ont profondément choqués" poursuit-il. Au point que Ports de Paris lancera vendredi un plan d'actions qui renforce les contrôles sur la trentaine d'usines à béton installées en bords de Seine en Ile-de-France."LafargeHolcim a mis en place un plan d'action très sévère afin que ce genre de problème ne se produise plus jamais", a répondu un porte-parole du cimentier, sollicité par l'AFP."Ce plan d'action a été communiqué à Haropa, aux représentants de l'Etat et à la mairie de Paris", a ajouté ce porte-parole en précisant que "la mise en place concrète des dispositions de ce plan d'action sera vérifié par un bureau de contrôle indépendant".Le directeur général d'Haropa-Ports de Paris assure lui vouloir "tirer toutes les conséquences de cet incident. Nous allons renforcer nos exigences contractuelles. Les entreprises auront obligation de nous prévenir d'un incident dans les douze heures"."On a un dispositif de sanctions qu'on renforce", qui peut aller de sanctions financières "jusqu'à la résiliation du titre" d'exploitation. Si ce titre est résilié, l'exploitant "doit arrêter son activité et démonter ses installations", précise Antoine Berbain.Ce plan d'action met aussi en place un processus de contrôles inopinés des sites par Ports de Paris. Jusque-là, l'institution réalisait un audit annuel et l'entreprise était prévenue de la date.Enfin, le texte prévoit la création d'une adresse email, drse@paris-ports.fr, pour permettre aux riverains de signaler les incidents ou de partager leurs soupçons avec Ports de Paris, qui "s'engage à répondre dans les 48 heures aux demandes". "Ce sera aussi un moyen pour nous d'orienter nos contrôles", précise le directeur général.La Mairie de Paris a estimé auprès de l'AFP que ces décisions allaient "dans le bon sens : des règles plus strictes et des contrôles plus fréquents"."Nous demandons depuis plusieurs années à Ports de Paris de nous associer au choix des destinations de site, des opérateurs, des modalités du cahier des charges", a ajouté la Ville de Paris.Celle-ci demande une "grande consultation" avec Ports de Paris pour être "pleinement associée à la gestion de son fleuve".Elle se réserve aussi le droit de se porter partie civile dans ce dossier, ajoute-t-elle.Depuis fin août, Lafarge-Holcim fait l'objet d'une enquête du parquet de Paris pour "déversement de substances nuisibles par personne morale", "jet ou abandon par personne morale de substances nuisibles" et "utilisation de produits phytosanitaires sans respecter les conditions d'utilisation".L'Office français de la biodiversité (OFB) a constaté le 27 août une "suspicion de pollution de la Seine par une entreprise de travaux publics".Pour cette suspicion de pollution, Lafarge s'est dit "victime" début septembre, affirmant que l'écoulement en question était le fait "d'un accident exceptionnel provoqué par un acte malveillant", et n'était en rien un acte volontaire de l'entreprise.
Il y a 4 ans et 235 jours

Le parking mutualisé à Paris-Saclay livré par GaP Architectes, un DReAM ?

GaP Architectes, avec Un1on, a livré en juillet 2020 pour DReAM maître d’ouvrage un parking silo mutualisé réalisé sur le Campus urbain de Paris-Saclay. Les 317 places sont réparties sur cinq niveaux, une rampe circulaire permet aux usagers d’accéder directement à leur étage sans avoir à traverser d’autres volumes. Communiqué de l’EPA Paris-Saclay. Situé au […] L’article Le parking mutualisé à Paris-Saclay livré par GaP Architectes, un DReAM ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 236 jours

Ports de Paris : les sanctions envisagées contre Lafarge

Ports de Paris, en charge de l’attribution des concessions sur les berges de Seine, annonce le renfort de ses contrôles et fait le point sur les sanctions encourues par Lafarge.
Il y a 4 ans et 236 jours

Nouveau recours de la ville de Paris contre le projet de la gare du Nord

La Ville de Paris a déposé son recours contre le projet controversé de transformation de la gare du Nord, après la décision cet été de l'Etat de délivrer le permis de construire.
Il y a 4 ans et 236 jours

Architect@Work Paris 2020 aura bien lieu

La 13e édition d'Architect@Work Paris se tiendra les jeudi 24 et vendredi 25 septembre prochain... Cet article Architect@Work Paris 2020 aura bien lieu est apparu en premier sur Archicree - Créations et Recherches Esthétiques Européennes.
Il y a 4 ans et 236 jours

Building Beyond interroge les métiers de la ville de demain

Le festival organisé par Leonard (groupe Vinci), en partenariat avec « Le Moniteur », se tiendra à Paris fin septembre. Au programme : conférences, ateliers, pitchs…
Il y a 4 ans et 236 jours

Malgré la crise, la baisse des prix se fait attendre dans le logement ancien

"L'engouement des Français pour la pierre s'est encore confirmé, ce qui a évité une baisse des prix", a résumé jeudi le notaire parisien Thierry Delesalle lors d'une conférence de présentation des chiffres officiels de l'immobilier ancien pour le deuxième trimestre.Ces chiffres, établis de concert par les notaires et l'Insee, témoignent d'un marché plutôt résistant pendant une période marquée par le strict confinement décrété de fin mars à début mai contre la propagation du coronavirus.Pendant des semaines, aucune visite n'a pu avoir lieu. Pour autant, le nombre de ventes ne s'est pas effondré, ce qui semble indiquer un bon redémarrage du marché à la sortie du confinement.Sur la période de douze mois achevée fin juin, 1,01 million de logements s'étaient vendus, un chiffre en baisse par rapport au pic atteint fin 2019 à plus de 1,05 million.Mais il se maintient au-dessus du seuil symbolique du million, franchi en début d'année dernière, et reste donc à un haut niveau par rapport aux dernières années.Surtout, les prix, qui ne cessent d'augmenter depuis 2015, n'ont observé aucun ralentissement. Au contraire, ils ont accéléré pour progresser de 5,7% par rapport à un an plus tôt."Ce confinement, on peut dire qu'il a vraiment accentué ce goût" des Français pour l'immobilier, a insisté M. Delesalle, évoquant aussi le caractère traditionnel de valeur refuge de l'immobilier.Effondrement improbableL'essor des prix est à relativiser, car il correspond à des ventes largement négociées en début d'année, avant le gros de la crise sanitaire.Toutefois les premières tendances observées sur les mois estivaux par les notaires d'Île-de-France, qui présentent chaque trimestre ces chiffres, ne marquent pas d'infléchissement.Pendant l'été, les prix des logements se calment un peu à Paris même mais flambent de plus belle dans les départements limitrophes, la petite couronne des Hauts-de-Seine (92), de Seine-Saint-Denis (93) et du Val-de-Marne (94).Tendance notable autour de Paris, "les (prix des) maisons augmentent plus que les appartements: (...) on n'avait pas vu ça depuis 13 ans", a remarqué M. Delesalle, évoquant un "goût pour la pierre verte".Qu'en est-il pour le reste de la France? Et la résistance du marché du logement va-t-elle se maintenir alors que la crise sanitaire s'est muée en crise économique aux ramifications multiples sur l'emploi et la consommation?"On entre dans un nouveau cycle avec un arrêt de cette hausse continue des prix depuis cinq ans", avançait début septembre Thomas Lefebvre, chargé des études du site MeilleursAgents. "Mais on n'attend pas un effondrement des prix."Le site, qui réalise ses estimations à partir des données de milliers d'agents immobiliers, estime que les prix français s'inscrivent actuellement en hausse d'un peu moins de 2% par rapport à un an plus tôt. Il pense qu'ils vont baisser de 1% d'ici à un an."La demande va s'éroder avec un marché de l'emploi qui s'est affaibli", a mis en avant M. Lefebvre.A cela s'ajoutent des prêts un peu moins facilement accordés par les banques, à la suite notamment de mesures prises par les autorités financières fin 2019 pour limiter les crédits immobiliers. Mais on est, pour l'heure, loin d'effets massifs sur le marché, comme le redoutaient nombre d'acteurs.C'est bien le chômage qui "va vraiment être le principal élément bloquant (ces) prochains mois pour le marché", a jugé M. Lefebvre. Pour autant, "chaque territoire ne va pas réagir de la même manière", avec des perspectives différentes d'une grande ville à l'autre en matière d'emploi.MeilleursAgents s'attend par exemple à une nette baisse des prix à Nice, dominée par un secteur touristique très affecté, mais une progression maintenue à Lille, où l'emploi a plutôt résisté à la crise.
Il y a 4 ans et 237 jours

Reprise en douceur de visites guidées autour de Notre-Dame de Paris

Pour cette reprise, une poignée de personnes, peu rebutées par les barrières du chantier empêchant de s'approcher, est venue écouter les explications de la guide de l'association Casa (Communauté d'accueil dans les sites artistiques) sur un parvis complètement désert. Au menu de la visite: le sens historique et spirituel des sculptures des trois portails de la façade - le portail Sainte-Anne, le portail du Jugement dernier et le portail de la Vierge -, décrits devant des photos reproduites sur les palissades du parvis.Puis une étape en face de la façade sud, ce qui permet de comprendre l'avancement du chantier de consolidation du monument gothique, et enfin un dernier arrêt au chevet, d'où la guide, Odile, commente l'histoire des arcs-boutants."On a vraiment l'impression d'une cathédrale malade après le dépôt des grands vitraux et des fenêtres hautes" et avec "ces immenses sparadraps aux arcs-boutants", s'émeut celle qui a fait visiter Notre-Dame pendant 25 ans, en français et en anglais, avant l'incendie. Elle évoque aussi sa "terrible frustration" de ne plus pouvoir entrer à l'intérieur.Une centaine de guides, bénévoles, sont prêts pour recevoir des visiteurs, selon le responsable communication de la cathédrale. Les visites, gratuites, sont quotidiennes, et en dix langues possibles, en fonction de la demande. Les guides ont reçu une formation supplémentaire ces derniers temps pour pouvoir répondre aux éventuelles questions sur le chantier.Les opérations de démontage de l'échafaudage qui entourait la flèche, déformé et soudé par la chaleur de l'incendie doivent être finies d'ici fin septembre, avait assuré début juillet le président de l'établissement, le général Jean-Louis Georgelin. Ces travaux conditionnent la possibilité de démarrer la phase de restauration.
Il y a 4 ans et 237 jours

La Banque des Territoires et Bpifrance lancent un Plan Climat de 40 milliards d'euros

Continuum de solutions opérationnelles d’accompagnement, transverse aux deux entités, il vise simultanément les projets de transition verte des entreprises et des acteurs publics des territoires. Ce Plan Climat repose sur trois piliers : Accélérer la transition des entreprises et des territoires avec des solutions financières et d’accompagnement, Accompagner le développement des énergies renouvelables (ENR) et contribuer à la croissance de champions internationaux, Financer et accompagner massivement l’innovation dans les « greentechs » et dans les réseaux durables et résilients pour trouver les solutions technologiques de la TEE. Le déploiement du Plan Climat par Bpifrance et la Banque des Territoires renforce la dynamique engagée par le groupe Caisse des Dépôts suite à l’accord de Paris. Le Plan Climat rassemble de manière opérationnelle des solutions de financement et d’accompagnement à destination des collectivités locales et des entreprises des territoires. L’action conjointe de ces deux acteurs financiers publics complémentaires déclenchera un effet d’entraînement sur l’investissement et l’emploi et contribuera ainsi à la relance.« Ce Plan Climat de 40 Md€ vient matérialiser l’engagement de notre Groupe en faveur de la transition écologique et énergétique de l’ensemble des territoires. En complément de financements aux conditions fortement améliorées pour soutenir spécifiquement les investissements des territoires en matière de TEE et de résilience, la Banque des Territoires les accompagnera dans le cadre d’une approche unique de bout en bout, avec des crédits d’ingénierie et des outils numériques pour faciliter la prise de décision des élus locaux. Nous avons l’ambition, par cette approche, de contribuer à créer un véritable effet déclencheur au niveau local sur la décision d’investissements en matière de TEE ».« L’exceptionnelle dotation du Plan Climat va permettre à Bpifrance d’être un agent de transformation et d’entrainement des entreprises vers les technologies de la transition environnementale et écologique. Celle-ci constitue une opportunité majeure de création de valeur et d’emplois. » déclare Nicolas Dufourcq, Directeur général de Bpifrance. « Bpifrance, investi de longue date dans cette vaste transformation, va renforcer substantiellement son action en démultipliant les financements et l’accompagnement des entreprises vers cette transition. Amélioration de l’efficacité thermique des bâtiments, accompagnement des développeurs d’énergies renouvelables, soutien à l’innovation, décarbonation de l’industrie… ; les entreprises trouveront dans ce Plan l’ensemble des réponses opérationnelles à leurs besoins, quel que soit leur niveau d’engagement actuel dans cette transition. »-Olivier Sichel, Directeur de la Banque des TerritoiresI. Accélérer la transition des entreprises et des territoires avec des solutions financières et d’accompagnement Bpifrance et la Banque des Territoires mobiliseront 20 Md€ pour aider les entreprises industrielles à se décarboner, développer la mobilité verte et améliorer l’empreinte environnementale des bâtiments des entreprises et des collectivités dans les territoires. 14,9 Md€ seront déployés par la Banque des Territoires et Bpifrance, pour améliorer l’efficacité thermique de 22 millions de m2 de bâtiments d’entreprises, de collectivités locales ainsi que la rénovation de plus de 500 000 logements sociaux :La Banque des Territoires accordera, sur les 5 prochaines années, 10 Md€ de prêts à la rénovation, principalement énergétique, de logements sociaux.La rénovation thermique des bâtiments publics bénéficiera d’une enveloppe de 2Md€ de prêts de la Banque des Territoires (prêts GPI Ambre aux conditions améliorées avec en particulier un abaissement du taux (Livret A + 0,6 %) ou encore l’augmentation des quotités pouvant être servies) et de 500 M€ de fonds propres, avec un focus sur le bâti scolaire, et complétés par 250 M€ du PIA[1] pour la rénovation des Universités.Afin d’améliorer l’efficacité énergétique des locaux dans lesquels les entreprises exercent leur activité, Bpifrance déploiera une offre de crédit-bail immobilier pour un montant de 1 Md€, des prêts en faveur des travaux de rénovation énergétique avec une cible de 600 M€ et des financements de contrats de performance énergétique pour 150 M€, pour les bâtiments d’activité commerciale.3,5 Md€ pour développer la mobilité verte et résiliente, avec notamment le financement de 11 000 véhicules verts et 50 000 bornes de rechargeLa Banque des Territoires et Bpifrance vont combiner leurs efforts en matière de financements, en crédits ou en fonds propres, pour contribuer au développement de mobilités douces et de modes alternatifs d’alimentation en énergies (infrastructures de recharge électrique) ou encore pour la résilience des infrastructures de transport dans les territoires (pont et rail) : Bpifrance proposera aux entreprises de transports des conditions d’octroi de crédit-bail « matériel » avec une durée de 10 ans en cas d’achat de véhicules propres.La Banque des Territoires accompagnera ses clients publics dans leurs investissements en bornes de recharge de véhicules électriques pour soutenir l’essor de cette filière industrielle, mais également d’avitaillement en biogaz (près de 250 M€ de fonds propres y seront dédiés, avec un objectif de près de 400 M€ supplémentaires de prêts pour les bornes électriques et d’avitaillement hydrogène).Pour financer des flottes de matériel roulant propre (transport routier, fluvial ou ferroviaire…), la Banque des Territoires proposera également son concours en fonds propres avec une capacité globale d’action portée à plus de 350 M€ ainsi qu’un objectif de 300 M€ de prêts dédiés bénéficiant de l’amélioration des conditions de prêts aux mobilités durables (tarification ou encore quotités).En matière d’adaptation des mobilités post-Covid, la Banque des Territoires financera par ailleurs les plans de transformation des voieries des villes pour répondre aux enjeux des nouvelles mobilités (pistes cyclables, logistique urbaine durable …) et financera l’équipement en outils d’aide à la décision en temps réel. Elle dédiera 70 M€ de fonds propres à cet objectif mêlant adaptation au contexte sanitaire et ambitions de durabilité, avec un objectif de 350 M€ de prêts dédiés.La Banque des Territoires financera les investissements pour des mobilités durables et résilientes, selon des modalités améliorées, participant ainsi à la reprise dans les territoires par les chantiers locaux lancés. Elle se fixe un objectif de 1,3 Md€ de prêts pour financer l’accélération des travaux pour la durabilité et la résilience des infrastructures dans les territoires (notamment en matière de régénération du rail sur certains axes dans le cadre du Plan gouvernemental dédié ou encore la rénovation des ouvrages d’art routier et des ports). Plus globalement, et en supplément, la Banque des Territoires ambitionne d’investir 200 M€ en fonds propres dans des projets d’infrastructures régionales et locales, pour fluidifier et optimiser les flux et ainsi participer à l’ambition de réduction de l’empreinte globale. 1,5 Md€ mobilisé au bénéfice de la décarbonation de plus de 1300 entreprises industriellesBpifrance et la Banque des Territoires mobiliseront toute leur gamme de financements, et d’outils d’accompagnement, au service de la décarbonation des entreprises industrielles. Bpifrance proposera aux entreprises industrielles le Prêt Vert, à hauteur de 1,5 Md€ via un dispositif de prêt sans garantie s’adressant aux PME et ETI qui investissent pour améliorer la performance environnementale de leur process industriel ou de leurs produits, notamment via des programmes faisant suite à des dispositifs d’accompagnement en partenariat avec l’ADEME, centrés sur la TEE. En complément, le prêt Economies d’Energie de 350 M€ viendra financer via un prêt sans garantie des opérations éligibles au Certificat Economie d’Energie des secteurs « Industrie » et « Bâtiments tertiaires ».La Banque des Territoires mobilisera 250 M€ de fonds propres pour investir dans des actifs nécessaires à la transition écologique et énergétique d’industriels : production d’énergie renouvelable et locale par ces industriels (centrale biomasse, production de chaleur, de froid, hydrogène vert…) ou encore recyclage de leurs déchets.Bpifrance complète sa gamme de dispositifs d’accompagnement, avec des outils dédiés aux entreprises désireuses d’initier ou d’accélérer leur transition écologique et environnementale :Le Climatomètre, en première approche : un autodiagnostic en ligne qui permet à l’entreprise d’établir un premier état des lieux de son empreinte écologique.Le « Diag Eco Flux », en partenariat avec l’ADEME, en dispositif plus intensif pour établir une photographie des flux en matières premières, eau, énergie et déchets afin d’identifier les pistes d’économies d’énergies pour réduire l’impact environnemental de l’entreprise.La création en partenariat avec l’ADEME, de deux nouveaux Accélérateurs d’entreprises. L’un destiné aux entreprises « offreuses de solutions » de la transition verte, et l’autre visant à regrouper les entreprises menant un ambitieux projet de transition de leur mode de production.La création du VTE vert (Volontariat Territorial en Entreprise) pour des jeunes diplômés ou apprentis, cherchant une première expérience professionnelle centrée sur des projets de transition verte au sein de PME et ETI. Le VTE vert permettra à 1000 étudiants et jeunes diplômés de s’engager au sein de PME et ETI françaises pour y mener des projets de transformation en lien avec leur spécialité.La Banque des territoires accompagnera 2 500 projets ou collectivités via un partage de bonnes pratiques (en collaboration avec l’ADEME), un appui en ingénierie des territoires Cœur de ville et Petites villes de demain ainsi que Quartiers Prioritaires de la Ville, l’intermédiation de financements européens et un accompagnement spécifique aux territoires fragiles.II. Doubler les financements dédiés aux ENR et contribuer à la croissance de champions internationaux14,5 Md€ seront déployés pour la croissance des développeurs d’énergies renouvelables (ENR) avec un objectif de 8,8 GW de puissance installée, en France et à l’export, et un soutien aux secteurs nécessaires à l’innovation dans ce domaine :La Banque des Territoires investit dans la production d’ENR à hauteur de 900 M€ d’investissements dans les infrastructures sur 5 ans, dont 40 M€ pour la production d’hydrogène vert dans les territoires.Bpifrance a développé un continuum de financement, d’investissement et d’accompagnement en conseil pour booster la croissance des entreprises de la filière de 2020 à 2024 :L’activité historique de Bpifrance sur le cofinancement[1] des ENR sera doublée et complétée avec la création d’une offre spécifique pour le préfinancement de projets pour un total de 12,7 Md€ sur la période.Bpifrance renouvellera son fonds d’investissement dédié aux développeurs d’ENR (Fonds France Investissement Energie Environnement – FIEE) à hauteur de 150 M€. Les développeurs d’ENR pourront par ailleurs solliciter des crédits export pour financer leur internationalisation sur une enveloppe cible de 275 M€ d’ici à 2024.Bpifrance accompagnera la structuration de la filière Biogaz avec une enveloppe de 350 M€ de prêts, financés par le ministère de l’Agriculture et l’ADEME. En complément, Bpifrance mettra à disposition des entreprises tous les dispositifs d’Accompagnement Bpifrance, notamment les missions de conseil et la possibilité de rejoindre l’accélérateur TEE, en partenariat avec l’ADEME, ainsi que les accélérateurs transverses.Enfin, le financement de solutions techniques visant à l’autoconsommation des collectivités et des entreprises bénéficiera également de financements à hauteur de 100 M€ de prêts. III. Financer massivement l’innovation dans les « greentechs » et les réseaux durables et résilients pour trouver les solutions technologiques de la TEE La France a tous les atouts nécessaires pour faire émerger un écosystème d’offreurs de solutions et devenir un des leaders mondiaux en la matière : recherche publique et privée de qualité dans les secteurs concernés, grands groupes leaders au niveau mondial, communauté entrepreneuriale dynamique, fonds de capital-risque de plus en plus puissants et financements publics importants.Pour contribuer à cette dynamique, Bpifrance et la Banque Territoires déploieront 5 Md€ :2,5 Md€ mobilisés par Bpifrance pour soutenir l’émergence et la croissance des « greentechs » (i.e. toute solution, principalement technologique, permettant de lutter contre le réchauffement climatique, les pollutions de l’eau, de l’air et du sol et contribuant à la préservation des ressources naturelles). Près de 9 000 projets portés par des « greentechs » seront ainsi accompagnés, notamment via un continuum de financement renforcé à toutes les étapes de leur développement :Doublement des aides à l’innovation de Bpifrance, qui passent de 150 M€ par an en 2019, à 300 M€ par an à partir de 2021. Elles financeront davantage de « greentechs » et les aideront à franchir des étapes souvent plus capitalistiques de leur développement.Bpifrance va également doubler ses investissements en capital-risque (plus de 300 M€ de fonds propres injectés) et doubler ses prêts sans garantie innovation à destination des « greentechs ». Ceux-ci représenteront 600 M€ de financements sur la période.300 M€ seront confiés en gestion par Bpifrance à des fonds privés, pour créer de nouveaux véhicules d’investissements en capacité d’accompagner la montée en puissance d’offreurs de solutions favorisant la TEE.3 Md€ de soutien aux filières et aux dispositifs innovants pour l’aménagement durable et résilient des territoires seront engagés par la Banque des TerritoiresLa Banque des Territoires prend un engagement fort en faveur des dispositifs innovants locaux participant à l’émergence de nouveaux modèles pour la préservation de l’environnement et de la biodiversité. Concrètement, ce sont près de 2,8 Md€ de prêts et 200 M€ de fonds propres qui sont prévus sur la période 2020-2024 pour financer :la rénovation des réseaux d’eau et d’assainissement avec l’Aqua Prêt,le traitement des déchets,les réseaux de chaleur,le portage foncier, qui le cas échéant permettrait notamment le recyclage de surfaces, dans le cadre par exemple de grandes opérations d’intérêt national, évitant ainsi de l’artificialisation supplémentaire,la préservation de la biodiversité, par exemple pour la promotion de Sites Naturels de Compensation.[1] Programme d’investissements d’avenir [2] Les prêts de Bpifrance sont réalisés en cofinancement avec les banques privées. Les montants indiqués s’entendent hors effet de levier.
Il y a 4 ans et 237 jours

Les épineuses questions du moratoire sur les zones commerciales

Qu'est-ce qui est en jeu?Selon la Convention citoyenne pour le climat, "aujourd'hui, l'artificialisation des sols progresse d'environ 8,5% par an, soit une augmentation équivalente à un département français moyen en moins de 10 ans entre 2006 et 2015".Dans ce cadre, le gouvernement a ciblé en particulier les zones commerciales: en la matière, "la France est allée trop loin", a jugé cet été le ministre de l'Economie Bruno Le Maire.La ministre de la Transition écologique Barbara Pompili a annoncé un moratoire sur les zones commerciales de périphérie. Dans un premier temps, une circulaire signée par le Premier ministre Jean Castex a demandé aux préfets de veiller à la question dans les dossiers d'autorisation commerciale. Le gouvernement prépare en outre un projet de loi, que le secteur attend d'ici à la fin de l'année.Les commerces sont-ils les premiers responsables?Des zones commerciales vieillissantes, des parkings régulièrement aux trois quarts vides... Voilà un tableau devenu omniprésent dans la vie des Français.Pour autant, ce ne sont pas les commerces qui causent le plus d'artificialisation des sols."L'imperméabilisation des sols est d'abord liée à la construction de l'habitat", notamment les lotissements, explique Nathalie Lemarchand, professeure à l'université Paris 8 spécialisée en géographie du commerce.Selon Gontran Thüring, délégué général du Conseil national des centres commerciaux (CNCC), seules 4% des terres agricoles artificialisées ces dernières années l'ont été pour établir des commerces.Doctorante sur l'artificialisation au Centre international de recherche sur l'environnement et le développement (CIRED), Alice Colsaet nuance le tableau: les zones commerciales contribuent aussi "de manière indirecte" à l'artificialisation, "en drainant des flux de consommateurs à l'extérieur des villes et en incitant encore davantage à s'installer en périphérie". Elle pointe aussi "une surabondance des surfaces commerciales", décorrélée de l'augmentation de la population.Quel impact d'un moratoire?S'il reconnaît volontiers que l'offre du commerce alimentaire est "sans doute arrivée à un niveau certain", l'influent patron de la Fédération du commerce de détail (FCD), Jacques Creyssel, rappelle que la demande des Français est en croissance dans certains secteurs. "Pour le jardinage, le sport, il n'y a pas de raison a priori pour limiter la possibilité de créer de nouveaux magasins."En outre, un "moratoire généralisé" cristalliserait la situation existante, empêchant au commerce de s'adapter à des flux de populations par exemple. Et face à la concurrence des "grands pure player", à savoir les distributeurs présents uniquement en ligne, cela reviendrait "à donner un avantage supplémentaire à Amazon", pointe-t-il.Un argument étonnamment partagé par certaines associations de défense de l'environnement: le gouvernement "n'acte rien concernant les entrepôts de e-commerce", a protesté fin juillet l'association des Amis de la terre, très mobilisée contre Amazon, pointant une décision "incohérente alors que les entrepôts artificialisent autant de terres que les zones commerciales".Quelles autres possibilités?S'il est trop tôt pour savoir ce que contiendra le projet de loi, les suggestions sont nombreuses. "Un moratoire généralisé empêcherait le redéveloppement, la restructuration et la modernisation des équipements existants", souvent vieillissants et qui sont "des réservoirs de m2", estime Gontran Thüring. Il serait possible de les "densifier", y compris avec des programmes mixtes comprenant du logement par exemple, ce qui éviterait aussi d'artificialiser de nouvelles terres."Il faudrait dans le même temps une libéralisation extrêmement importante des règles qui pèsent sur la modernisation du parc de magasins existants" et qui "peuvent conduire à privilégier la construction d'un nouveau magasin plutôt que de rénover", abonde Jacques Creyssel."Actuellement, la régulation est très décentralisée et dépend un peu du bon vouloir de chaque intercommunalité", observe aussi Alice Colsaet, proposant "d'encadrer un peu plus sévèrement ce que l'urbanisme permet de faire".Enfin, Nathalie Lemarchand rappelle le besoin d'élargir la réflexion: "les nouvelles zones pavillonnaires ont souvent plus facilement accès aux zones commerciales périphériques dans un déplacement quotidien lié au travail qu'au centre-bourg".
Il y a 4 ans et 238 jours

Eqiom enregistre une réduction de 2.700 tonnes d'émissions de CO² de ses transports

Dès 2017, EQIOM fût le premier groupe de matériaux de construction à s'être engagé à la démarche « FRET21 - les chargeurs s'engagent » initiée par l'ADEME et l'AUTF. EQIOM affiche un bilan d'une réduction de 5% des émissions de gaz à effet de serre soit, 2.700 tonnes de C02 évitées, après 3 ans d'actions concrètes. Cette année, l'industriel continue son engagement sur les 3 prochaines années en renouvelant l'intégration de la démarche « FRET21 » dans sa stratégie de développement durable.Une source concrète d'engagement durable« FRET21 – les chargeurs s'engagent » a pour objectif d'inciter les entreprises, agissant en tant que donneurs d'ordres des transporteurs, à intégrer l'impact des transports dans leur stratégie de développement durable. Près d'une cinquantaine d'entre elles sont à l'heure actuelle engagées dans la lutte contre l'impact des transports sur le climat.De nos jours, 92% des émissions de CO² du transport sont émis par le transport routier, qui représente plus de 80% de la consommation du secteur des transports. L'initiative de l'ADEME et de l'AUTF challenge les entreprises investies au travers de différentes actions mises en place autour de quatre axes pour réduire les émissions de CO² :Taux de chargementDistance parcourueMoyen de transportAchats responsablesEn intégrant le programme, EQIOM illustre de façon concrète son engagement en matière de développement durable, cœur de sa stratégie RSE. Ainsi 5 projets EQIOM ont été initiés durant la période janvier 2017/décembre 2019 permettant une baisse de 5% des émissions annuelles de CO² et de gaz à effet de serre.80% des objectifs atteints dans un contexte pas toujours propiceL'engagement portait sur une période de 36 mois durant laquelle EQIOM s'est investit pour réduire l'impact des émissions de CO² et de gaz à effet de serre liées aux transports dans ses branches Ciments et Granulats. Pour ce faire, diverses actions ont été menées par l'industriel dont certaines ont obtenu d'excellents résultats sur la période :Mise en place du double fret pour limiter les transports à vide de nos marchandises ensachées en augmentant les retours en charge : sur 2019 en global 72% des retours à charge soit, 9% d'émissions évitéesAugmentation de la part du transport ferroviaire afin de doubler les volumes transportés : sur 2019, malgré les grèves, 89% de transports ferroviaires soit 24% d'émissions évitéesRéduction du tonnage transporté entre les différents sites en modes routiers en impliquant les usines par la réduction les distances parcourues et l'utilisation du rail et du fluvial maritime dès que possible soit, 10% d'émissions évitéesExploitation de véhicules consommant des carburants verts (GNL, GNC, Ethanol…) en nouant de nouveaux partenariats (mise en service de 4 camions à motorisation verte par gaz naturel et bioéthanol il y a un an) qui, malgré des retards de livraison, ont permis d'enregistrer une baisse des émissions de 5%Sensibilisation, challenge, incitation des transporteurs EQIOM sont autant d'actions à mettre en œuvre pour réduire des émissions pour l'obtention de Labels Eco-responsables (Charte Objectif CO², Label CO²…). Par ailleurs, EQIOM est également engagé avec l'agence de notation TK Blue pour les émissions de gaz à effet de serre.« Comme sur l'ensemble du territoire, notre activité de transports a été impactée par la situation sociale et notamment les mouvements de grèves sur les routes et dans le ferroviaire. Cependant, nous nous réjouissons des résultats obtenus pour ce premier challenge même si nous n'avons pu atteindre nos ambitions à 100%. Nous n'en sommes que plus motivés et nous impliquerons d'autant sur ces trois prochaines années. » - Jérôme Becamel, Responsable logistique chez EQIOMUne initiative reconduite et intensifiéeConscient des enjeux actuels et des nouvelles préoccupations engendrées par la crise du coronavirus (baisse de la pollution durant le confinement, reprise et accélération des grands chantiers - Jeux Olympiques, Grand Paris…), et qui vont intégrer les engagements européens déjà pris, EQIOM continue son implication dans cette démarche « FRET21 - les chargeurs s'engagent », afin de limiter l'impact de ses transports.Au plus près des mesures de celui-ci, l'industriel projette déjà, dans le cadre de son nouvel engagement « FRET21 » de nouveaux investissements et le renfort de ses actions sur les 3 années à venir notamment par l'utilisation d'un plus grand nombre de camions verts, l'exploitation de plus de trains électriques ou encore l'emploi d'énergies alternatives.Ainsi, c'est plein d'ambitions qu'EQIOM réitère sa volonté de réduire l'impact de son activité de transports sur le climat et de contribuer à la sauvegarde de notre planète.
Il y a 4 ans et 238 jours

Lhotellier 2D : « Nous ne voulons pas être des démolisseurs lambda. »

Sur le chantier des Grands Moulins de Paris, Lhotellier 2D a mobilisé 5 cordistes. [©Lhotellier] Après s’être séparé de ses branches “Environnement” et “Dépollution”, en 2018, le groupe Lhotellier a créé la même année Lhotellier 2D. Une filiale dédiée à la déconstruction et au désamiantage. Pilotée par Jean-Luc Denet, cette nouvelle agence est située à Villers-Bretonneux (80). « Notre implantation nous permet d’être à un carrefour entre les Hauts-de-France, l’Ile-de-France et la Normandie. » Aujourd’hui, Lhotellier 2D réalise 7,5 M€ de chiffre d’affaires et compte une trentaine de collaborateurs. « Le désamiantage représente environ 40 % de notre activité et la déconstruction 60 %. Nous disposons de deux structures : Sodesam et Soderec. A terme, l’idée est de proposer des solutions clefs en main, regroupant la déconstruction, la dépollution, le désamiantage et la reconstruction. »Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 238 jours

ADC Awards 2020 : Les lauréats, catégorie « Intérieur »

La catégorie « Intérieur » récompense les projets d’architecture d’intérieur les plus remarquables selon quatre sous-catégories : « Résidentiel », « Café, Bar, Restaurant », « Hôtel » et « Commerce ». Focus sur les quatre lauréats de l’édition 2020. Catégorie « Intérieur » Prix « Intérieur – Résidentiel » : Appartement Jules César, Paris (75) – Atelier StevePauline Borgia, la fondatrice de l’Atelier Steve, s’appuie sur son expérience d’architecte pour réaliser la rénovation et l’aménagement d’un appartement parisien de 90 mètres carrés. Elle imagine un intérieur coloré, fluide et lumineux, où le parquet en chevrons, les radiateurs en fonte et les cheminées historiques se marient brillamment avec des panneaux, naturels ou écologiques, hauts en couleur. Prix « Intérieur – Café, Bar, Restaurant » : Cuisine, Paris (9e) – Federico Masotto Niché dans le sud de Pigalle, rue Condorcet, l’établissement Cuisine fait peau neuve. Petite boucherie historique du 9ème arrondissement, Cuisine se réinvente en bistrot branché sous la houlette du chef japonais Takao Inazawa et de son acolyte, l'œnophile français Benoît Simon. A mi-chemin entre le troquet parisien et l’izakaya nippon, ce lieu convivial invite les gourmets à se délecter de petits plats fusion et de vins naturels dans un décor vintage signé par l’agence Federico Masotto Architecte. Prix « Intérieur – Hôtel » : Cour des Voges, Paris (2e) – Lecoadic-ScottoÉcrin de verdure luxueux de Paris, la place des Vosges se voit agrémentée d’un hôtel offrant des vues d’exception sur cette place emblématique de la capitale. Pour le « Cour des Vosges », les architectes de l’agence Lecoadic-Scotto investissent les murs de l’ancien hôtel de Montbrun et proposent une réécriture contemporaine de ces espaces jusqu’alors délabrés. Prix « Intérieur – Commerce » : Maison Damyel, Paris (17e) – Jessica Barouch et Francesco BalzanoÀ deux pas de la place des Ternes (17ème) se cache un petit boudoir où se ruent déjà tous les gourmands en quête de cadeaux sucrés. Pour sa sixième adresse parisienne, la maison Damyel a fait appel à l’architecte d’intérieur et galeriste Jessica Barouch et au designer Francesco Balzano. À la demande du chocolatier, les deux créateurs ont imaginé un écrin tout doux, où le traditionnel « trop » des chocolateries laisse place à l’épure.Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et découvrez la sélection de la catégorie « Intérieur ».La Rédaction
Il y a 4 ans et 238 jours

ADC Awards 2020 : Le lauréat, catégorie « Aménagements extérieurs & Paysage »

La catégorie « Aménagements extérieurs & Paysage » met à l’honneur des projets architecturaux divers qui valorisent le paysage urbain ou naturel. Découvrez le lauréat 2020 de cette catégorie ! Catégorie « Aménagements extérieurs & Paysage » Prix « Aménagements extérieurs & Paysage » : Capitainerie, Piriac-sur-Mec (44) – THE architectesLa capitainerie de Piriac-sur-Mer (44) fait peau neuve ! L’agence parisienne THE architectes restructure cet équipement portuaire installé dans une villa balnéaire fin-de-siècle et construit un nouveau volume : « un socle habité », qui se fond harmonieusement dans le paysage urbain. Une rénovation réussie qui valorise à la fois le patrimoine architectural et le bâti existant. Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et découvrez la sélection de la catégorie « Aménagements extérieurs & Paysage ».La Rédaction
Il y a 4 ans et 238 jours

ADC Awards 2020 : Les lauréats, catégorie « Culture »

Cette année, la rédaction de Muuuz a récompensé les réalisations architecturales les plus remarquées dans deux domaines « Musées et espaces artistiques » et « Espaces culturels et loisirs ». Catégorie « Culture » Prix « Culture – Musées et espaces artistiques » : Fluctuart, Paris (7e) – Seine DesignPremier lieu d'exposition flottant, le Fluctuart est conçu par SEINE DESIGN, agence d'architecture fluviale notamment à l'origine du Rosa Bonheur sur Seine ou du bateau-restaurant d'Alain Ducasse. Inscrit dans le programme « Réinventer la Seine » lancé par la Mairie de Paris, le projet propose une programmation d'expositions de street-artistes internationaux dans un cadre inédit. Prix « Culture – Espaces culturels et loisirs » : École de musique d'Élancourt, Élancourt (78) – Opus 5 architectes Opus 5 architectes signe la reconversion de l'ancien centre œcuménique d'Élancourt (78) en une nouvelle école de musique pour la commune. La sérénité, l'art et la transmission... voilà les notions sur lesquelles les architectes de l'agence parisienne se sont appuyés pour donner vie à ce projet.Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et découvrez la sélection de la catégorie « Culture ». La Rédaction
Il y a 4 ans et 238 jours

ADC Awards 2020 : Les lauréats

Pour la septième année consécutive, le magazine Muuuz a décerné les ADC Awards. Suite à la pondération des votes des lecteurs et d'un jury pluridisciplinaire composé d’architectes, de critiques d’architecture, de designers, les ADC Awards 2020 ont récompensé quatorze réalisations architecturales remarquables construites en France et livrées entre le 1er janvier 2018 et le 31 décembre 2019. Les lauréats ont été primés le mercredi 9 septembre au Carreau du Temple à Paris (11e), à l'occasion d’une cérémonie clôturant le salon Materials & Light. Aujourd’hui, la rédaction du magazine Muuuz est heureuse de vous dévoiler les lauréats de l’édition 2020 ! Catégorie « Lieux de travail » Prix « Lieux de travail » : Woody, Saint-Maurice (94) – Atelier du PontCatégorie « Culture » Prix « Culture – Musées et espaces artistiques » : Fluctuart, Paris (7e) – Seine Design Prix « Culture – Espaces culturels et loisirs » : École de musique d'Élancourt, Élancourt (78) – Opus 5 architectesCatégorie « Vie citoyenne » Prix « Vie citoyenne » : Office de tourisme, Plainfaing (88) – studioladaCatégorie « Enseignement » Prix « Enseignement » : Groupe scolaire, Ambrières-les-Vallées (53) – Onze04 et Tristan Brisard ArchitecteCatégorie « Logement » Prix « Logement – Individuel » : Les parapluies de Cherbourg, Cherbourg (50) – Trapèze Architecture Prix « Logement – Collectif » : 71 logements sociaux, La Courneuve (93) – JTB.architecture et MaO architectesCatégorie « Sport » Prix « Sport » : Complexe de Longueil-Sainte-Marie, Longueil-Sainte-Marie (60) – d+h Architecture EnvironnementCatégorie « Aménagements extérieurs & Paysage » Prix « Aménagements extérieurs & Paysage » : Capitainerie, Piriac-sur-Mec (44) – THE architectesCatégorie « Intérieur » Prix « Intérieur – Résidentiel » : Appartement Jules César, Paris (75) – Atelier Steve Prix « Intérieur – Café, Bar, Restaurant » : Cuisine, Paris (9e) – Federico Masotto Prix « Intérieur – Hôtel » : Cour des Voges, Paris (2e) – Lecoadic-Scotto Prix « Intérieur – Commerce » : Maison Damyel, Paris (17e) – Jessica Barouch et Francesco BalzanoCatégorie « Prix du public » Prix du public : Chai Delas, Tain-l'Hermitage (26) – Carl Fredrik Svenstedt Architecte Pour en savoir plus, visitez le site des ADC Awards et découvrez la sélection des ADC Awards 2020. La Rédaction
Il y a 4 ans et 238 jours

BIM d'or : Les nominés Projet entre 1 000 et 30 000 m² en rénovation

Le 21 septembre aura lieu à la Station F, à Paris, la 7e cérémonie des BIM d’Or. Les lauréats des 11 catégories seront dévoilés.
Il y a 4 ans et 238 jours

Paris 2024: le projet (non retenu) de Chaix & Morel et CroixmarieBourdon pour l'Arena Porte de la Chapelle

Si la scénographie d’exposition est ancienne, le métier de scénographe en tant que tel existe pleinement depuis les années 1980. Nourri de son expérience dans le domaine, Arnaud Sompairac interroge l’apport incontournable de l’architecture à la discipline, au travers de la géométrie, de la mesure et du rythme, outils […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 238 jours

La justice se penche sur le préjudice environnemental des villas Ferracci en Corse

"Lorsqu'il y a une atteinte à l'environnement, la mesure de démolition est le seul moyen de réparer le préjudice", a plaidé Me Benoist Busson, avocat de l'association écologiste corse U Levante, qui demande la "remise en état" du site naturel, ce qui implique une démolition des deux villas (plus de 500m² au sol et une piscine).Présent à la barre, M. Ferracci, PDG du groupe de conseil Alpha et président du Paris Football Club, a défendu sa "bonne foi" et le rêve d'une vie: construire une maison pour sa famille sur sa terre natale, au-dessus de la plage de Rondinara, "la plus belle d'Europe" selon l'office de tourisme de Bonifacio.En modifiant sans le déclarer le permis de construire initial, M. Ferracci s'est mis dans l'illégalité: il avait été condamné en première instance puis en appel à un million d'euros d'amende, la moitié du coût de son projet. Une peine qu'il a acceptée, qui est maintenant définitive.Mais l'association U Levante a poursuivi les démarches judiciaires en intérêts civils, estimant que seule la démolition des villas permettrait de réparer le préjudice environnemental. La cour d'appel de Bastia n'ayant pas donné suite à cette demande en 2017, elle s'est pourvue en cassation.En mars 2019, la Cour de cassation, dans un arrêt qui ne remet pas en cause l'amende infligée, a estimé que la cour d'appel de Bastia, en refusant de "statuer sur le préjudice environnemental (...), n'a pas justifié sa décision", et renvoyé l'affaire devant la cour d'appel d'Aix.Lundi, l'avocat général Pierre-Jean Gaury a demandé au tribunal d'ordonner la démolition des villas."Une double peine" a dénoncé l'avocat de M. Ferracci, Me Olivier Burtez-Doucède: "car on demande à la fois l'amende et la démolition".M. Ferracci, un proche du président de la République Emmanuel Macron, a estimé à la barre s'être "fait piéger": "On m'a laissé construire plus petit que prévu, mieux intégré, pour ensuite m'attaquer".L'homme d'affaires assure que le site était urbanisé depuis 1967, et que son projet a préservé, "voire amélioré" la présence des espèces.En décembre 2019, les villas Ferracci avaient été visées par un attentat aux bonbonnes de gaz revendiqué par le FLNC "dit du 22 octobre", qui dénonçait "l'extension exponentielle de la construction" immobilière sur l'île.Le délibéré sera rendu le 12 octobre.
Il y a 4 ans et 238 jours

A Noisy-le-Grand, la ZAC Maille-Horizon, un outil de dé-mixité ?

Pour contenter la fibre urbaine des maires de plus en plus bâtisseurs autant que le besoin des habitants et le carnet de commandes des opérateurs économiques, la fabrique du cadre de ville doit-elle nécessairement suivre l’air du temps ? A Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis, un nouveau quartier met à mal la « mixité » tant vantée. Dans la vie […] L’article A Noisy-le-Grand, la ZAC Maille-Horizon, un outil de dé-mixité ? est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 238 jours

La mairie de Paris attaque Lafarge après des rejets de béton dans la Seine

La mairie de Paris a annoncé qu'elle allait porter plainte contre Lafarge-Holcim, suite à des accusations selon lesquelles une usine du cimentier déverserait du béton dans la Seine.
Il y a 4 ans et 238 jours

La France espère trouver un projet commun avec l'Allemagne pour la production d'hydrogène

"Je serai le 11 septembre à Berlin et nous allons regarder comment conjuguer nos efforts", a-t-il déclaré dans l'émission Grand rendez-vous Europe 1/Les Echos/CNews."Nous allons regarder avec l'Allemagne comment on peut conjuguer les 7 milliards que la France met sur ce grand projet d'hydrogène, avec les 9 milliards que l'Allemagne met de son côté", a poursuivi le ministre."J'espère bien que nous arriverons à trouver un projet commun franco-allemand, puis européen, sur l'hydrogène", a-t-il précisé.Paris consacrera 7 milliards d'euros à un plan Hydrogène sur dix ans, dont 2 milliards iront au développement de la production d'hydrogène "vert", c'est-à-dire non issu des hydrocarbures, en 2021-2022, pour des applications notamment industrielles."Nous ne refaisons pas avec l'hydrogène l'erreur que nous avons faite avec les panneaux photovoltaïques (...) on a tué l'industrie du panneau solaire européenne et subventionné l'industrie du panneau solaire chinois: il est hors de question qu'on refasse la même chose", a-t-il dit."Sur l'hydrogène, nous ne finançons pas l'achat d'hydrogène, nous finançons la réalisation de produits industriels, par exemple de piles à combustibles (...), de réseaux de distribution", a dit le ministre de l'Économie.Berlin a dévoilé début juin un plan de développement de l'hydrogène propre, produit par électrolyse de l'eau avec de l'électricité issue de sources renouvelables, auquel l'Etat consacrera 9 milliards d'euros.La Commission européenne a fait du développement de cet hydrogène propre au sein de l'UE un investissement prioritaire après la crise sanitaire, afin de décarboner les secteurs les plus polluants comme la sidérurgie et les transports, dans la course vers la neutralité climatique en 2050.
Il y a 4 ans et 239 jours

Le suédois Assa Abloy acquiert le suisse Agta Record

Assa Abloy a finalisé l'acquisition de 54% du capital d'Agta Record, dont il détenait déjà 39%, selon les communiqués. Le prix d'achat s'élève approximativement à 506 millions d'euros, a précisé le groupe suédois.Assa Abloy, qui détient à présent environ 93% du capital et des droits de vote d'Agta Record, lancera une offre d'achat sur les titres Agta Record qu'il ne détient pas encore, suivie d'un retrait d'Euronext Paris où la société suisse est cotée.Assa Abloy est leader mondial des produits et solutions dans le domaine des accès (sécurité et automatismes de portes) pour le marché résidentiel et tertiaire, avec un chiffre d'affaires de 94 milliards de couronnes suédoises (9,1 mds EUR).
Il y a 4 ans et 239 jours

Paris Design Week 2020: Le Mobilier national, entre prototypes d’excellence et vision du XXIe siècle

Nés au début des années 1980 à l'initiative de l'Etablissement public d'aménagement de Cergy-Pontoise, les Ateliers de Cergy regroupent chaque année une vingtaine d'étudiants et de jeunes professionnels de toutes les nationalités et disciplines (architecture, urbanisme, ingénierie, agronomie, paysage, économie, […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 239 jours

Action Cœur de Ville, accélérateur de la relance

Les pilotes d’Action Cœur de Ville réaffirment le rôle moteur de ce programme, dans la relance de l’économie française. Cinq jours après l’annonce du plan gouvernemental, sept ministres participent, ce 8 septembre à Paris, à la troisième rencontre nationale des 222 villes moyennes en quête d’attractivité. Plus des deux tiers d’entre elles ont répondu présent.
Il y a 4 ans et 239 jours

Le mouvement HLM veut éradiquer ses passoires thermiques d'ici à 2027

ENTRETIEN. C'est un objectif ambitieux que propose l'Union sociale pour l'habitat, une semaine après l'annonce du plan de relance : l'éradication des passoires thermiques de son parc d'ici à 2027. Marianne Louis, directrice générale de l'organisation, s'explique auprès de Batiactu, alors que le 15 septembre se tiendra le colloque "Les HLM, acteurs de la relance", à Paris.
Il y a 4 ans et 239 jours

La réforme des APL entrera en vigueur le 1er janvier 2021

La réforme des APL entrera en vigueur le 1er janvier 2021, après avoir été repoussée à plusieurs reprises, a annoncé la ministre du Logement Emmanuelle Wargon dans Le Parisien.
Il y a 4 ans et 239 jours

BIM d'Or : Les nominés Projet entre 1 000 et 30 000 m² en neuf

Le 21 septembre aura lieu à la Station F, à Paris, la 7e cérémonie des BIM d’Or. Les lauréats des 11 catégories seront dévoilés.
Il y a 4 ans et 239 jours

Au-delà de l'urgence, un plan de relance pour préparer la France de 2030

"La France a tenu mais elle est incontestablement affaiblie", a souligné le Premier ministre lors de la présentation à Paris de ce plan d'une "ambition et d'une ampleur historique".Baptisé "France relance", le plan, qui devrait avoir un "effet d'entraînement sur le reste de l'économie", "produira des effets concrets et perceptibles pour le plus grand nombre", a promis Jean Castex. Avec une "priorité absolue": l'emploi, alors que 800.000 suppressions sont attendues en 2020, et un objectif "ambitieux mais à notre portée": retrouver en 2022 le "niveau de richesse d'avant la crise".M. Castex avait fixé jeudi matin sur RTL l'objectif de créer 160.000 emplois en 2021.Devant la presse, le Premier ministre en a appelé "au sens des responsabilités de tous les acteurs pour que les entreprises embauchent, à commencer par les jeunes, pour que les partenaires sociaux dialoguent et trouvent des accords, pour que les collectivités investissent aux côtés de l'État (...) et pour que les ménages investissent et consomment au lieu d'épargner".Au total, 100 milliards d'euros sur deux ans seront injectés dans l'économie, qui devrait se contracter de 11% cette année à cause de l'épidémie de Covid-19 et du confinement décidé au printemps.L'exécutif promet une exécution rapide, à moins de deux ans de l'élection présidentielle, avec un comité de pilotage, présidé par le Premier ministre.Après les 460 milliards d'euros de soutien d'urgence mobilisés depuis le début de la crise, le plan de relance est un plan d'investissement sur le moyen terme, autour de trois priorités: la transition écologique, la compétitivité des entreprises et la cohésion sociale, défend Matignon.Trente milliards d'euros seront ainsi consacrés au verdissement de l'économie, "un pas de géant", a vanté la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili. Mais les ONG dénoncent l'absence de conditions fermes aux aides versées aux entreprises.Le transport bénéficiera notamment de 11 milliards d'euros, dont 4,7 milliards pour la SNCF afin de financer le fret ferroviaire, les petites lignes et le train de nuit. Mais le ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari, a prévenu qu'elle devra envisager de céder des filiales pour retrouver sa trajectoire financière.Près de 7 milliards seront aussi alloués à la rénovation énergétique des bâtiments, serpent de mer des politiques écologiques, dont 4 milliards pour le parc public (écoles, universités, etc.) et 2 milliards dédiés aux ménages.Dans l'après-midi, M. Castex s'est rendu dans les Vosges pour montrer des effets concrets du plan lors d'une visite de l'usine Pavatex. "On va encourager ce que nous voyons ici, à savoir des matériaux biosourcés, issus du bois ou du recyclage", a-t-il affirmé.Pour réindustrialiser les territoires, le plan mise sur l'amélioration de la compétitivité des entreprises, avec 35 milliards d'euros mobilisés, dont 20 milliards pour baisser les impôts de production payés par les entreprises, malgré les protestations des maires qui en sont les principaux bénéficiaires.Le reste de l'enveloppe soutiendra les fonds propres des entreprises que la crise a mis à mal, ou encore subventionnera la relocalisation d'activités et l'innovation dans des secteurs d'avenir, comme l'intelligence artificielle ou le calcul quantique.Mais dans l'opposition, les patrons de LR Christian Jacob et du PS Olivier Faure regrettent que ce plan arrive "tard", près de quatre mois après la fin du confinement.Le Medef, en revanche, a "salué les choix du plan de relance". Pour la CGT, Philippe Martinez a regretté l'absence de contreparties pour les entreprises bénéficiaires. Résorber la detteFace à cette débauche de moyens pour les entreprises, le gouvernement veut montrer qu'il n'a pas oublié les plus modestes et tous ceux menacés de perdre ou ne pas trouver d'emploi.Si toute mesure de relance de la consommation est écartée car les revenus des ménages ont été préservés par le chômage partiel, le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a indiqué que ce dernier serait prolongé après la fin de l'année si cela était nécessaire, même si "pour l'instant ce n'est pas prévu".Et dans le plan de relance, 35 milliards d'euros sont dédiés à la cohésion sociale et territoriale, incluant 15 milliards pour l'emploi, dont 6,7 milliards déjà annoncés cet été pour les jeunes ou encore 6,6 milliards pour le dispositif d'activité partielle de longue durée.S'y ajoutent les 6 milliards d'investissement dans l'hôpital, ou encore la revalorisation de l'allocation de rentrée scolaire et les aides aux collectivités.Sur l'ensemble du plan, 80 milliards pèseront directement sur le budget de l'Etat et viendront alourdir à court terme la dette publique, attendue déjà à près de 121% du PIB cette année.L'impact du plan sur cette dette sera "presque entièrement résorbé à partir de 2025" s'il atteint son objectif de réactivation de l'activité, a fait valoir M. Castex, en confirmant qu'il n'y aurait pas de hausse d'impôts.La moitié des 80 milliards sera toutefois financée par les subventions issues du plan de relance européen et, à l'exception de la baisse des impôts de production, les dépenses engagées ne seront pas pérennes, tempère-t-on au gouvernement, même si on assume cette stratégie dépensière.
Il y a 4 ans et 239 jours

La Paris Real Estate week doit "permettre aux acteurs de se retrouver", R. Vaspart (Mipim)

INTERVIEW. Du 14 au 17 septembre aura lieu la Paris Real Estate week, un événement consacré à l'immobilier, l'innovation et la ville, visant à se substituer exceptionnellement au Mipim qui devait avoir lieu au mois de mars dernier. Ronan Vaspart, directeur du Mipim, nous en dit plus.
Il y a 4 ans et 239 jours

« La paille en construction : moins de carbone, plus d'intensité sociale »

Benoît Rougelot, architecte associé au chantier de rénovation thermique à Paris qui expérimente une ITE en paille enduite sur 7 étages revient sur ce projet spectaculaire.
Il y a 4 ans et 239 jours

Hôtel Binet à Paris

Il y a 4 ans et 240 jours

Les loyers parisiens toujours en hausse l'an dernier, malgré le plafonnement

Les loyers privés parisiens ont augmenté en 2019 à un rythme semblable à l'année précédente, a annoncé l'observatoire des loyers de l'agglomération parisienne.
Il y a 4 ans et 240 jours

BIM d'Or : Les nominés Projet international infrastructures

Le 21 septembre aura lieu à la Station F, à Paris, la 7e cérémonie des BIM d’Or. Les lauréats des 11 catégories seront dévoilés. Assistez en live à la cérémonie de remise des BIM d’or, inscription gratuite ici : https://www.lemoniteur.fr/nos-webinars/trophees-bim-d-or-100042287?
Il y a 4 ans et 240 jours

Crypte de Notre-Dame – De Victor Hugo à Eugène Viollet-le-Duc

La Crypte archéologique de l’île de la Cité, témoin de plus de 2000 ans d’histoire, a rouvert ses portes au public le 9 septembre 2020 avec une exposition hommage retraçant l’histoire de Notre-Dame de Paris au temps de Victor Hugo. Jusqu’au 30 juin 2021. Au début du XIXe siècle, la cathédrale, vieille de plus de […] L’article Crypte de Notre-Dame – De Victor Hugo à Eugène Viollet-le-Duc est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 240 jours

BIM d'Or : Les nominés Projet inférieur à 1 000 m² en neuf ou rénovation

Le 21 septembre aura lieu à la Station F, à Paris, la 7e cérémonie des BIM d’Or. Les lauréats des 11 catégories seront dévoilés.
Il y a 4 ans et 240 jours

Modernisation de la LGV Paris-Lyon : un chantier hors du commun

Le dernier TGV Paris-Lyon vient de passer et la nuit s'est abattue sur les immenses champs du tonnerrois, en pleine campagne bourguignonne, mais le silence sera de courte durée. Dans un vacarme assourdissant, un mastodonte des rails de plus de 700 mètres de long avance lentement, faisant trembler le sol de ses milliers de tonnes.Avec une facilité déconcertante, il soulève devant lui les rails comme des plumes, tout en les écartant. Tels des spaghettis, ils pendent dans le vide, tenus par des crochets, pendant qu'une "chaîne de dégarnissage", sorte de serpent formé de mini-pelles, passe sous les rails pour retirer des tonnes de ballast.Ainsi dégagées, les traverses de 320 kg chacune sont alors soulevées comme des jouets par d'immenses griffes, avant d'être hissées dans le ventre du "train-usine", tandis que, sur un autre tapis, de nouvelles traverses descendent et sont posées sur la voie. Ne reste alors plus qu'à remettre les rails, les fixer et recouvrir de ballast."On fait environ 500 mètres de rail par nuit", explique Richard Lopez, responsable de l'unité opérationnelle des travaux, qui ne cache pas sa fierté face au "P95", comme les cheminots l'appellent dans leur jargon. D'un coût de 18 millions d'euros, cette usine ambulante a été spécialement conçue pour le chantier par Colas, "une première en France et dans le monde", selon SNCF Réseau, gestionnaire des 30.000 km du réseau ferré national.C'est également "la première fois dans le monde ferroviaire à grande vitesse qu'on remplace autant de traverses", s'enorgueillit Alexandre Bertholet, directeur d'Infrapôle LGV Sud-Est, qui assure la maintenance de la ligne.Une marge de 15 minutesChaque nuit jusqu'en 2023, le P95 a pour mission de mener à bien un chantier pharaonique sans perturber le trafic et en respectant un coût supérieur à 300 millions d'euros."C'est la LGV plus circulée d'Europe", rappelle Alexandre Bertholet, directeur d'Infrapôle LGV Sud-Est, qui assure la maintenance. La ligne, qui représente un tiers du trafic national, transporte "52 millions de voyageurs en 2019" et fait circuler jusqu'à 300 TGV par jour, précise-t-il à l'AFP lors d'une visite de chantier.Pour éviter d'interrompre le trafic, les travaux ne démarrent qu'une fois le dernier TGV passé et doivent impérativement se terminer avant la circulation du premier train matinal. "Nous n'avons que huit heures, avec une marge de seulement 15 minutes", ajoute M. Bertholet.C'est une mauvaise surprise qui a rendu le chantier nécessaire. "En 2009, on a eu un incident de traverse qui nous a obligé à ralentir la ligne pendant plusieurs semaines. On a remplacé les traverses défectueuses mais le risque existe toujours, d'où ce chantier", explique le responsable.La modernisation de la LGV Paris-Lyon, qui a débuté en mai, vise ainsi à remplacer ballast et traverses sur 166 km de voie, sur les 790 de la ligne Paris-Marseille."Il s'agit de nos premiers travaux sur les LGV qui commencent à dater un petit peu", explique Jérôme Grand, directeur territorial SNCF Réseau Bourgogne-Franche-Comté, rappelant que la LGV Paris-Lyon a été inaugurée en 1981, voilà bientôt 40 ans."C'est une étape importante pour la garantie de la pérennisation de la LGV", souligne le préfet de l'Yonne, Henri Prévost.Mais, outre la maintenance, la modernisation s'inscrit dans le cadre de la construction du "réseau haute performance", un projet de 700 millions d'euros qui vise à accroître la circulation et la régularité sur les axes les plus empruntés, en passant en 2025 de 13 à 14 trains par heure puis en 2030 à 16 sur la LGV Paris-Lyon.
Il y a 4 ans et 241 jours

A Paris-Saclay, une nouvelle résidence étudiante signée A+ Samuel Delmas

A Paris-Saclay, la Maison des ingénieurs agronomes, maître d’ouvrage (promoteur : ADIM Ile-de-France), a confié à l’agence parisienne A+ Samuel Delmas architectes (concours 2019), la construction d’une résidence de logements étudiants privés de 136 lits (lot C1.2) au sein du quartier de l’Ecole polytechnique du Campus. Livraison prévue en mai 2022. Communiqué. Située à l’entrée […] L’article A Paris-Saclay, une nouvelle résidence étudiante signée A+ Samuel Delmas est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 241 jours

Zellige, covisibilité heureuse signée Tectône et Tact sur l’Ile de Nantes

Livrée en 2020 par les agences Tectône (Paris) / Tact (Nantes), avec Atelier Roberta pour l’aménagement paysager, Zellige est une opération immobilière de 6 800 m² installée sur l’île de Nantes : 100 logements, dont 15 en habitat participatif, conçus pour SNI (locatif abordable – PLS) et GHT (accession sociale et abordable). Découverte. Sur les bords […] L’article Zellige, covisibilité heureuse signée Tectône et Tact sur l’Ile de Nantes est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 242 jours

L'État sort le chéquier pour que les maires construisent des logements

Il faut construire des logements "là où on en a besoin", en premier lieu les grandes agglomérations où "il est impossible de trouver un logement à un loyer correct", résumait en août la ministre du Logement, Emmanuelle Wargon.Et, comme ces villes ne regorgent pas de terrains disponibles, "il faut qu'on accepte de construire avec quelques étages", ajoutait-elle.C'est, en effet, l'une des principales causes de la hausse persistante des prix de l'immobilier dans ces zones dites "tendues", dont la plus emblématique est Paris - et son mètre carré à plus de 10.000 euros - ainsi que son agglomération.La construction de logements neufs, au premier chef les immeubles, n'y avance pas assez vite pour répondre à la demande des habitants.La tendance a été accentuée par la crise sanitaire, qui a mis à l'arrêt les chantiers comme l'examen des permis de construire pendant des semaines. Mais elle était là avant.Les promoteurs immobiliers français, secteur qui construit les immeubles, pointaient déjà depuis des mois la timidité des élus à octroyer des permis de construire.Seulement, que peut faire le gouvernement pour infléchir une situation largement dans la main des élus locaux? Après avoir tenté un "appel" aux maires cet été, le ministère du Logement tente une autre méthode, cette fois financière.A l'occasion du plan de relance présenté jeudi, et par ailleurs bien plus axé sur la rénovation des logements que leur construction, le ministère a présenté une aide financière destinée à récompenser les élus qui construisent au-dessus d'un certain seuil.Celui-ci reste encore à fixer et dépendra de la situation selon les villes, mais l'enveloppe est chiffrée: 350 millions d'euros, qui seront versés fin 2021 sur la base des permis octroyés pendant l'année écoulée.Vaincre les "réticences"C'est un tournant pour le gouvernement actuel. Même si le président Emmanuel Macron avait dès le début du quinquennat affiché son intention de faire construire plus de logements, l'exécutif avait surtout misé sur la simplification des normes de construction.Pour autant, "ce n'est pas révolutionnaire", note auprès de l'AFP l'urbaniste Jean-Claude Driant.Lors du précédent quinquennat, celui de François Hollande, l'Etat avait effectivement déjà conçu une aide aux "maires bâtisseurs" sur le même principe. Quelque 500 communes en avaient bénéficié.Mais, depuis, le contexte a changé et "on a l'impression que cette nouvelle aide vient à contre-temps", s'étonne M. Driant.Conclues fin juin, "les élections municipales ont vu beaucoup d'argumentaires sur +Arrêtez de bétonner+", détaille-t-il.Il évoque une "convergence" entre le discours des candidats écologistes, dont plusieurs ont été élus dans de grandes villes comme Lyon, et un phénomène aux racines différentes, le "not in my backyard" ("pas de ça chez moi") qui pousse les riverains d'un quartier à s'opposer à la construction de logements près de chez eux."C'est: Je suis bien dans le cadre de vie où j'habite, ce n'est pas souhaitable qu'il y ait plus de pression sur les écoles, les équipements publics, donc ne changeons rien et surtout pas mes voisins", détaille M. Driant.Les enjeux électoraux sont évidents. L'urbaniste avance par exemple que l'édile sortant de Champigny, au sud-est immédiat de Paris, le communiste Christian Fautré, a perdu son fauteuil à cause d'une "dynamique immobilière" trop rapide.Mais c'est tout le problème, assume-t-on au gouvernement. Puisque les maires font face à des blocages locaux, il faut bien leur trouver un intérêt, en l'occurrence financier, à laisser construire."Il y a besoin de vaincre cette réticence" des élus, explique le ministère, qui espère faire émerger à terme 50.000 logements neufs à l'aide de cette prime.
Il y a 4 ans et 242 jours

Hellio fait le point sur les chantiers politiques et réglementaires de la rentrée

« Le secteur de la rénovation énergétique était une priorité de l'acte 2 du quinquennat : il le sera davantage dans l'acte 3. Cette rentrée en est la preuve, nous serons aux côtés de nos publics artisans, particuliers, territoires pour intégrer ces changements et ces opportunités. C'est le moment pour réaliser des travaux d'économies d'énergie », commente Marina Offel, responsable des affaires publiques et juridiques.1/ Projet de loi de finances 2021 : du nouveau dans les aides à la rénovation énergétique (rénovation globale, CITE et Ma Prime Rénov'…)Emmanuelle Wargon, la ministre déléguée au logement, l'annonçait dans les lignes du Parisien le 30 août 2020 : la rénovation globale deviendra une priorité pour la rénovation énergétique de l'habitat. “Un ménage de la classe moyenne qui fait une rénovation complète en divisant par près de 4 sa consommation (…) pourra prétendre à une aide d'environ 20.000 €”.De quoi donner des sueurs froides au futur projet de loi finances. En effet, comme chaque année, la rentrée de septembre rime avec loi de finances publiques. Elle a pour but de donner une ligne de conduite. Les promoteurs y seront attentifs car elle donnera des précisions quant au plan de relance de 100 milliards d'euros promis par le gouvernement, mais aussi les nouvelles modalités d'application du prêt à taux zéro.Dans une audition à l'Assemblée Nationale du 21 juillet 2020, Emmanuelle Wargon a annoncé que le dispositif Ma Prime Renov' sera accessible en 2021 à tous les ménages qui souhaitent financer leurs travaux de rénovation énergétique, et ce, sans conditions de revenus. Cela signifie que les ménages les plus aisés, qui étaient exclus du dispositif entré progressivement en vigueur le 1er janvier 2020, pourront y prétendre dès l'an prochain. Pour l'heure, seuls les ménages « très modestes » et « modestes » peuvent solliciter Ma Prime Renov'. Selon le calendrier initialement établi, les ménages aux revenus intermédiaires devaient pouvoir en bénéficier à leur tour à partir de 2021.Autre nouveauté annoncée par Emmanuelle Wargon : l'ouverture de Ma Prime Rénov' aux propriétaires bailleurs (et non plus seulement aux propriétaires occupant leur logement), ainsi qu'aux travaux en copropriété.2/ L'application de la loi sur l'encadrement du démarchage téléphoniqueCette loi,votée en juillet 2020, prévoit l'interdiction de la prospection téléphonique pour les travaux de rénovation énergétique et les travaux d'installation d'équipements produisant de l'énergie renouvelable, sauf pour les sollicitations intervenant dans le cadre de l'exécution d'un contrat en cours. Elle instaure également un identifiant d'appel obligatoire, sous forme d'un préfixe, pour toutes les démarches commerciales par téléphone. Objectif : permettre au consommateur d'identifier de façon claire, la nature de l'appel qu'il reçoit.Un décret est prévu après avis du Conseil national de la consommation. Il déterminera pour tous les autres secteurs d'activité les jours et horaires ainsi que la fréquence auxquels cette prospection est autorisée. De plus, les professionnels devront indiquer au consommateur qu'il peut s'inscrire gratuitement sur la liste d'opposition au démarchage téléphonique pour ne plus recevoir d'appels de prospection.Les sanctions ont, elles, été durcies. En effet, des amendes administratives seront prononcées par la Direction de la répression des fraudes (DGCCRF) et on comptera jusqu'à 75.000 € pour des personnes physiques, contre 3.000 € actuellement et 375.000 € pour les entreprises, contre 15.000 € aujourd'hui.3/ Une nouvelle charte « qualité » pour le dispositif Coup de Pouce IsolationDepuis le 1er septembre 2020, une nouvelle charte Coup de Pouce Isolation est entrée en vigueur. La prime pour l'isolation d'un plancher bas est désormais abaissée à 20 € par mètre carré d'isolant pour les ménages modestes et très modestes et 10 € par mètre carré d'isolant pour les autres ménages.Par ailleurs, un délai obligatoire de 7 jours est instauré entre la date de signature des devis et la pose de l'isolant et l'Attestation sur l'Honneur devra indiquer la date de la pose de l'isolant pour être valable. Pour que la facture soit conforme, elle devra contenir les dispositions nécessaires à la mise en place de l'isolation :Un coffrage ou un écran de protection autour des conduits de fumées et des dispositifs d'éclairage encastrés ;Une réhausse rigide au-dessus de la trappe d'accès ;Un pare-vapeur ou tout autre dispositif équivalent lorsqu'il est nécessaire de protéger les matériaux d'isolation thermique contre les transferts d'humidité pour garantir la performance de l'ouvrage.4/ Le renforcement des contrôles RGE pour les artisans du secteurLe label RGE est l'une des principales conditions pour le versement des aides à la rénovation énergétique (Eco PTZ, Ma Prime Rénov, Certificats d'Économies d'Énergie). La réforme du label RGE a été publiée le 6 juin 2020 par un arrêté et un décret.Elle vient donc renforcer les critères de qualification demandés pour obtenir le label afin de mieux lutter contre les fraudes. Les changements se feront en deux temps. Dès le 1er janvier 2021 la nouvelle nomenclature des travaux, et dès le 1er septembre, on notera un renforcement et une multiplication des contrôles par les organismes de qualification, une plus grande transparence sur des informations relatives aux chantiers ou encore une suspension systématique de la certification en cas de non-conformité aux règles établies.5/ La matérialisation des 149 propositions de la Convention Citoyenne pour le ClimatUn projet de loi spécifique sera présenté à la fin du mois de septembre pour donner corps aux mesures qui relèvent du législatif. À l'exception de trois « jokers », toutes les propositions seront détaillées dans le projet de loi. Celles relevant du réglementaire ont été traitées lors du Conseil de défense écologique de fin juillet, notamment l'entrée en vigueur du décret « décence » pour 2023, la fin des chaudières au fioul et au charbon, et le renforcement des aides à la rénovation.D'autres feront partie du plan de relance économique, notamment les 15 milliards d'euros supplémentaires destinés à la rénovation, la mobilité, l'industrie de demain, les énergies renouvelables, etc. Les mesures sur l'efficacité et la rénovation énergétique des bâtiments, l'urbanisme et l'artificialisation des sols ou encore les mobilités, relèvent des compétences des collectivités. Emmanuel Macron a souligné qu'elles nécessitent un dialogue avec les maires et élus locaux.
Il y a 4 ans et 243 jours

De la paille pour l'isolation par l’extérieur d'un immeuble existant en plein Paris

Paris Habitat, un bailleur social de la Ville de Paris, isole par l’extérieur le pignon d’un immeuble existant rue de la Convention, à l’aide de bottes de paille sous enduit.
Il y a 4 ans et 243 jours

Barbara Pompili annonce le contrôle des sites Lafarge sur la Seine en IDF

"Ces actes sont intolérables. J'attends des explications du groupe Lafarge et j'ai d'ores et déjà décidé de lancer une opération de contrôle de l'ensemble de ses installations qui bordent la Seine en Ile-de-France", a indiqué la ministre dans un tweet.Un peu moins d'une dizaine de sites est concernée, a précisé le ministère.Europe 1 a révélé mardi qu'une usine Lafarge située dans le quartier de Bercy, dans l'est de la capitale, rejette dans le fleuve un mélange de "particules de ciment, de liquides de traitement et des microfibres de plastique".Contacté par l'AFP, le parquet de Paris a annoncé qu'une enquête était ouverte depuis que l'Office français de la biodiversité (OFB) a constaté le 27 août une "suspicion de pollution de la Seine par une entreprise de travaux publics".Dans un communiqué, Lafarge s'est dit "victime" et affirme que l'écoulement en question est le fait "d'un accident exceptionnel provoqué par un acte malveillant", et n'est en rien un acte volontaire de l'entreprise.Toujours selon Europe 1, un deuxième site situé à Paris serait concerné et "du béton pourrait avoir été déversé depuis plusieurs années au pied du pont Mirabeau", affirme mercredi la radio, qui cite une association de riverains.