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Résultats de recherche pour technique

(9934 résultats)
Il y a 8 ans et 71 jours

Spie remporte un contrat pour la rénovation de ponts mobiles aux Pays-Bas

Spie a annoncé mardi avoir remporté le contrat pour la rénovation de deux ponts mobiles à Alkmaar aux Pays-Bas, un contrat important pour le groupe français de services techniques dans l'énergie et les télécommunications.
Il y a 8 ans et 71 jours

3 nouveaux ballons éclairants Prolutech

Prolutech, entreprise spécialisée en éclairage technique basée à Alby-sur-Chéran (Haute-Savoie) a réalisé en 2016 un chiffre d'affaires de 3,1 M¤. 2017 sera consacrée au renforcement de ses positions sur les marchés du BTP et des collectivités territoriales à travers le lancement de 3 nouveaux ballons éclairants.
Il y a 8 ans et 71 jours

" Nous pouvons fournir tous les outils du bâtiment connecté ", André Le Bihan, directeur de Siemens Building Technologies France

Parmi les industries de la construction, la gestion technique du bâtiment est la plus concernée par l'explosion des technologies numériques. André Le Bihan, directeur de la division Building Technologies de Siemens France, revient sur la stratégie de son groupe dans cette conjoncture changeante.
Il y a 8 ans et 72 jours

Forum Bois Construction 2017 : Performance énergétique et environnementale

Intervenants : Aline Duverger, architecte – co-gérante – Atelier des Vergers Architectes Christian Fanguin, responsable technique et pédagogique, BoisPE Cet article Forum Bois Construction 2017 : Performance énergétique et environnementale est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 8 ans et 72 jours

Solscope de retour à Lyon

Solscope (Salon national de la géotechnique, du forage et des fondations) revient à Lyon Eurexpo les 14 et 15 juin prochain pour une 12è édition sous les thématiques de l'avenir, la sécurité, la transition numérique et l'hydrogéologie.
Il y a 8 ans et 72 jours

Forum Bois Construction 2017 : Bois et façades

  Dominique Girard, directeur technique, Sto France François Pelissier, président, Techniwood Cet article Forum Bois Construction 2017 : Bois et façades est apparu en premier sur Planète Bâtiment.
Il y a 8 ans et 72 jours

Les citernes incendie Citerneo certifiées QB/CSTB

Le fabricant français Citerneo a décroché un avis technique favorable du CSTB (entre Scientifique et Technique pour le Bâtiment) pour ses citernes souples.
Il y a 8 ans et 73 jours

Le nouveau site web de MACO

Dernièrement, le fabricant de ferrures pour portes et fenêtres MACO a dévoilé son nouveau site web totalement refondu, plus moderne et ergonomique. Nous avons étudié cette nouvelle interface pour en tirer ses points forts et ses points à améliorer : découvrez notre avis résolument web !   Esthétisme et User Experience Commençons tout d'abord par l'esthétisme du site et l'expérience utilisateur (UX). Au premier coup d'"il, le site respire de par sa charte graphique fraîche (blanc majoritaire, bleu et gris clair) et présente un confort de lecture qui fait plaisir à voir avec une police moderne et lisible. Le fabricant a voulu jouer sur un design épuré, clair et géométrique. Le côté géométrique peut cependant être déroutant sur la longueur : hexagones, lignes droites, lignes en zigzag, bloc en flèches, etc. : le visiteur peut s'y perdre. Le menu du site, parfaitement visible, aurait pu gagner en intuitivité avec quelques animations d'affichage lorsque l'on passe la souris afin d'éviter de multiplier les clics pour trouver le bon contenu. La page " vue d'ensemble ", présente sur tous les onglets hormis contact, n'apporte pas réellement d'intérêt pour le visiteur et aurait mérité d'être liée directement aux catégories du menu.   Richesse d'information et fonction du site Parlons maintenant en termes de richesse d'information et de fonctionnalité du site. Le site est assez riche en contenu, diversifiant les supports : textes, images, vidéos, documentations en PDF? Le visiteur a le choix ! Le contenu est bien organisé dans le menu, on retrouve les pages produits, les compétences de l'entreprise ou encore la documentation en téléchargement sur la page d'accueil. Les vidéos, affichées pour la plupart en grand écran, auraient mérité d'être en lecture automatique sur fond de page pour coller aux envies de modernité de MACO. Sur les pages du site et notamment sur les pages produit, le contenu n'est pas forcément accessible au premier abord. On retrouve les blocs en flèches avec une ancre de lien " En savoir plus " qui n'apporte pas grand-chose au visiteur. De plus, la multiplicité de ces blocs en slider n'est pas recommandée pour garder une bonne UX : il est conseillé de respecter la règle des 3 éléments maximum par slider. Nous pouvons aussi noter que le site ne sur-optimise pas son contenu avec des mots-clés : le contenu est naturel et orienté visiteur, non moteur de recherche.   Score technique Passons au côté technique du site. Sur le test de vitesse de Google, celui-ci obtient un score de 57/100 sur PC et 41/100 sur mobile. Des scores en dessous des directives du moteur de recherche, notamment lorsque l'on sait que le mobile est en train de prendre une place plus importante que le PC pour le SEO. Les éléments en cause de ces scores sont la taille de la page d'accueil du site qui réduit sa vitesse de chargement, certainement dû aux images un peu lourdes et aux JavaScript trop conséquents, mais aussi aux codes HTML et CSS qui peuvent gagner en légèreté en étant compressés.   L'avis de la rédaction Au final, MACO présente un nouveau site design et dans l'ère du temps. Si quelques améliorations en termes d'UX et de technique sont toujours possibles, le site réussit son pari de faire peau neuve. En résumé : Design Points forts : clair, lisible et épuré Points faibles : Multiplicité des styles et formes géométriques, peu intuitif Contenu Points forts : richesse et diversité des éléments et supports, contenu naturel et non sur-optimisé SEO Point faible : contenu pas toujours visible au premier coup d'"il Technique Score PC : 57/100 Score mobile : 41/100   Dans la même thématique : Le fabricant URSA présente son nouveau site web
Il y a 8 ans et 74 jours

Loumio débarque sur le marché de la fibre

Loumio, entreprise française créée par deux spécialistes des télécoms et du déploiement fibre optique, fait son entrée sur le marché de la fibre optique. Elle souhaite donner aux opérateurs alternatifs les moyens de devenir indépendants techniquement.
Il y a 8 ans et 75 jours

Teaser Innovation Awards 2018

Le concours INTERMAT Innovation Awards distingue les équipements, les techniques, les services ou les produits qui contribuent au progrès de l'industrie de la construction et des matériaux.
Il y a 8 ans et 75 jours

Teaser Innovation Awards 2018

Le concours INTERMAT Innovation Awards distingue les équipements, les techniques, les services ou les produits qui contribuent au progrès de l'industrie de la construction et des matériaux.
Il y a 8 ans et 78 jours

Villa Noailles - Hyères: La Boîte De Nuit

Cette année, la Villa Noailles, à Hyères (83), dédiait son exposition annuelle d'architecture au thème des discothèques : La Boite de Nuit. Pour ceux qui auraient raté l'événement, l'exhibition se décline aujourd'hui en un livre du même nom, qui apporte du contenu inédit à la fois dans les textes mais surtout dans les images. La préface, écrite par les trois commissaires " Audrey Teichmann, Benjamin Lafore et Sébastien Martinez-Barat ", explique les recherches et les influences qui leurs ont permis de réaliser ce livre. Le texte réside ensuite en de courtes fiches techniques traitant de projets " réalisés ou non ", présentant leurs architectes ou artistes. Les auteurs se lancent alors dans des explications sur la nature des ouvrages, leurs caractéristiques et leurs impacts sur le monde de la nuit. Enfin, deux textes plus complets, écrits respectivement par l'architecte Pol Esteve et le docteur en histoire de l'art Carlotta Darò, closent l'"uvre sur des techniques et analyses spatiales plus poussés, comme en témoignent leurs titres : Du mur au stroboscope, et Night-club et discothèques : visions d'architecture. Le tout traduit en anglais pour le bonheur de nos amis anglophones.                                                                           Golden Gate, Berlin, 2010. Photographie d'André Giesemann et Daniel Schulz. Série Vom Bleiben, 2009-2017. Courtesy André Giesemann et Daniel Schulz. Page 122                                                                               Visuellement, c'est un recueil d'images d'archives croustillantes des débuts des night-clubs, avec leurs intérieurs bondés de fêtards ou leurs extérieurs plus prosaïques. Mais surtout ce sont les plans des discothèques ou de projets qui sont décrits, avec vues axonométriques et des coupes longitudinales, des croquis, des maquettes, des schémas et des montages ; tout ce qui a permis leur réalisation donc mais aussi leur réflexion. Ce qui apporte un regard précis des édifices et dans leur logique de construction. C'est donc un voyage à travers 40 ans de fête, de danse, de musique, et surtout d'architecture qui vous attend au fil de ces pages, décrivant les boîtes de nuits comme un espace complexe mêlant contraintes et liberté. Carlotta Daro, Pol Esteve, Benjamin Lafore, Sebastien Martinez-Barat, Audrey Teichmann,La Boîte de Nuit,Hyères,L'association Villa Noailles,2017,158 pages,30 euros,parution mars 2017 ,17x24,5 cm,ISBN 978 2 919290 28 4 Photographies/Illustrations :  1) Altromondo Studios, Rimini. Photographie de Giovanna Silva, 2014. Série Nightswimming. Courtesy Chiara Carpenter et Giovanna Silva. Page 47                                              2) Piper Pluriclub, Turin, 1966. Architectes : Giorgio Ceretti, Pietro Derossi, Riccardo Rosso. Photographie d'époque. Courtesy Pietro Derossi.                                                     3)                                                                                                                                                                                                                                                                                           4) L'Altro Mondo, Rimini, 1967. Architectes : Giorgio Ceretti,Pietro Derossi, Riccardo Rosso.Photographie d'époque, courtesy Pietro Derossi. Page 21                                             5) Palais Métro, Montréal, 1967. Architecte : François Dallegret. Collage. Courtesy François Dallegret. Page 73                                                                                                           6) Area club, New York. Photographie de Bill Bernstein, 1979.Courtesy Bill Bernstein. Page 54                                                                                                                                       7) La Coquille, Bouzedjar, Algérie, 1998. Architecte : Daniel Grataloup. Maquette originale. Courtesy République et Canton de Genève / Département de l'aménagement, du logement et de l'énergie / Office du patrimoine et des sites. Page 918) Plan, Voom Voom, Juan-les-Pins, 1968. Architecte : Nicolas Schöffer. Courtesy Fonds Nicolas Schöffer. Page 1309) Plan et coupe, Le Palace, Paris, 1978. Architectes : Patrick Berger et Vincent Barré. Courtesy Patrick Berger. Page 36 Pour en savoir plus, visitez le site de la Villa Noailles-Hyères                 
Il y a 8 ans et 78 jours

Barrages : un arrêté ministériel fixe la liste des documents à verser aux dossiers techniques

Publié au Journal Officiel le 23 mars dernier, un arrêté ministériel précise la liste des documents à verser dans les dossiers techniques à transmettre aux préfets avant le début des travaux de construction des barrages ainsi qu'avant et après leur première mise en eau. L'arrêté entrera en vigueur au 1er juillet prochain.
Il y a 8 ans et 79 jours

Grupo Aranea: La Casa Lude

C'est dans le village de Cehegín dans la région de Murcie (Espagne) qu'un jeune musicien a fait appel au groupe d'architectes Grupo Aranea afin de repenser son foyer. Sa particularité ? L'habitation s'installe juste au-dessus de celle de sa mère et de sa s"ur. Ainsi, l'ouvrage est constitué d'une rénovation de la partie basse et d'une surélévation de deux niveaux en béton avec entrée indépendante. La Casa Lude consiste donc en une extension par le haut de 224 mètres carrés répartie sur deux niveaux construite à même le toit de la maison familiale en R+1. Premier avantage : elle surplombe le village et profite d'un panorama à 360 degrés. Bien que cette réalisation détone dans le décor urbain plutôt traditionnel, il en respecte néanmoins la compacité et l'exiguïté. La hauteur du bâti " 7mètres ", et les fenêtres en fente limitent cependant les vis-à-vis et les surchauffes d'été, tout en permettant une quadruple orientation solaire. On observe un jeu d'interaction entre l'extérieur et l'intérieur, qui communiquent au dernier étage, dans une imbrication unique de pièces et de terrasses dont une se prolonge en gradins jusque sur la toiture-terrasse, créant une union continue entre les deux domaines. Cette habitation présente alors une manière efficace de s'adapter à son environnement, tout en limitant l'étalement urbain. Pour un projet à petit budget, on obtient un résultat percutant esthétiquement et techniquement. Photographies/Illustrations : Jesus Granada BIS Images Pour en savoir plus, visitez le site de Grupo Aranea    
Il y a 8 ans et 79 jours

Grupo Aranea: La Casa Lude

C'est dans le village de Cehegín dans la région de Murcie (Espagne) qu'un jeune musicien a fait appel au groupe d'architectes Grupo Aranea afin de repenser son foyer. Sa particularité ? L'habitation s'installe juste au-dessus de celle de sa mère et de sa s"ur. Ainsi, l'ouvrage est constitué d'une rénovation de la partie basse et d'une surélévation de deux niveaux en béton avec entrée indépendante. La Casa Lude consiste donc en une extension par le haut de 224 mètres carrés répartie sur deux niveaux construite à même le toit de la maison familiale en R+1. Premier avantage : elle surplombe le village et profite d'un panorama à 360 degrés. Bien que cette réalisation détone dans le décor urbain plutôt traditionnel, il en respecte néanmoins la compacité et l'exiguïté. La hauteur du bâti " 7mètres ", et les fenêtres en fente limitent cependant les vis-à-vis et les surchauffes d'été, tout en permettant une quadruple orientation solaire. On observe un jeu d'interaction entre l'extérieur et l'intérieur, qui communiquent au dernier étage, dans une imbrication unique de pièces et de terrasses dont une se prolonge en gradins jusque sur la toiture-terrasse, créant une union continue entre les deux domaines. Cette habitation présente alors une manière efficace de s'adapter à son environnement, tout en limitant l'étalement urbain. Pour un projet à petit budget, on obtient un résultat percutant esthétiquement et techniquement. Photographies/Illustrations : Jesus Granada BIS Images Pour en savoir plus, visitez le site de Grupo Aranea    
Il y a 8 ans et 79 jours

Spie contribue à la construction d'écoles en Flandre

Spie Belgium, fournisseur de services multi-techniques dans l'énergie et les télécoms en Belgique, participe au programme "Scholen van Morgen" (Ecoles de Demain) ayant vocation à accélérer la construction d'écoles en Flandre.
Il y a 8 ans et 80 jours

Publicité digitale : l'offre d'Architectures à Vivre

Nous mettons aujourd'hui en lumière l'offre proposée par le magazine Architectures à Vivre en matière de publicité digitale. Pour rappel, ce titre est la revue d'architecture la plus diffusée en France avec 55 000 exemplaires tirés (dont 45 000 en diffusion payante) et 9 500 abonnés. Quelle ligne éditoriale ? Traitant depuis plus de 16 ans de la maison contemporaine, du design et de la culture architecturale dans son ensemble, Architectures à Vivre se présente comme un magazine haut, s'adressant à une double cible, à la fois composée de particuliers et de professionnels : - les architectes, architectes d'intérieur et prescripteurs (30% du lectorat) - les particuliers CSP+ en phase de réalisation de leur projet d'habitat (70% du lectorat)   Elle se compose principalement de 3 types de contenus : - Des reportages détaillés présentant des projets architecturaux avec photographies, plans et fiches techniques détaillant les matériaux et les équipements utilisés lors de la construction et de l'aménagement. - Des pages thématiques " S'équiper " permettant de découvrir les nouveautés en matière de cuisine, salle de bain, chauffage, mobilier, etc. - Des pages d'actualités, des portraits d'architectes et designers et des contenus relatifs au tourisme architectural et urbain.   Quelle offre en matière de communication digitale ?   S'il est avant tout une revue papier, le magazine Architectures à Vivre existe également sur le web (https://www.avivremagazine.fr/), annonçant 28 902 visiteurs uniques au 1er semestre 2016 avec 24 145 pages vues par mois. L'offre digitale se décompose principalement autour de deux axes : le display et les newsletters.   L'offre display Pour rappel, le display adverstising désigne l'affichage de bannières et encarts publicitaires sur les sites web. Architectures à Vivre propose 4 possibilités (forfaits mensuels) en la matière : - Pavé / Droite Haut - 300 x 250 pxl " 2500¤ - Bannière Large / Gauche " 728 x 90 pxl " 1500¤ - Pavé 2ème scroll droite " 300 x 250 pxl " 1500¤ - Bannière large footer gauche " 728 x 90 pxl " 1500¤   Les 2 offres newsletters La newsletter " Solution produits " Elle permet de présenter son/sa réalisation/produit/innovation/aménagement ou équipement avec un témoignage prescripteur et une description technique. Pour un tarif de 3 000 HT, comprenant la création/rédaction du contenu et l'envoi, elle est adressée à un fichier qualifié de 20 000 à 30 000 contacts selon la cible.   La newsletter " Mise en kiosques " Elle permet d'associer sa marque lors des emails de promotion de la prochaine édition du magazine à l'ensemble de sa base comptant 64 145 mails qualifiés. Le taux d'ouverture annoncé est de 27,5% pour un taux de clics de 20,1%.
Il y a 8 ans et 80 jours

Premier pas vers le BIM pour le centre hospitalier de Brest

Pour saisir les opportunités qu'offre le BIM dans l'exploitation des bâtiments et de leurs équipements, le Centre hospitalier régional et universitaire (CHRU) de Brest a sollicité le CSTB. En 2016, celui-ci a mené un audit des logiciels techniques actuellement utilisés par le CHRU, et évalué la possibilité de les coupler à une base de données BIM. Une première étape dans la transition numérique. Le Centre hospitalier régional et universitaire de Brest gère un parc conséquent de bâtiments, répartis sur 7 sites différents. Sa direction ambitionne d'utiliser le BIM pour accélérer et faciliter ses futures opérations d'aménagement et d'extension, et surtout pour maintenir et exploiter l'ensemble de ses sites de façon plus efficace et pérenne tout en réduisant ses coûts. Enfin, elle souhaite faire du BIM, un outil d'aide à la décision et de support à des services innovants, pour les professionnels comme pour les usagers. Pour cela, la mission du CSTB en 2016 a consisté dans la définition des étapes qui jalonnent l'engagement dans le numérique du CHRU de Brest - de l'optimisation des outils informatiques actuels au déploiement de projets en BIM. Des couplages pertinents L'ensemble des logiciels métier utilisés au sein de l'hôpital, ont d'abord été analysés. Il s'agit de savoir dans quelle mesure le BIM pourrait apporter une valeur ajoutée à leur usage quotidien. Les services de l'hôpital audités ont concerné les domaines suivants : informatique, biomédical, maintenance (chauffage-ventilation-climatisation, électricité, plomberie?), travaux, qualité et logistique. Sur cette base, le CSTB a identifié de façon précise les logiciels qui mériteraient d'être couplés à la maquette numérique, et quels usages pourraient être optimisés grâce à l'usage du BIM. Parmi eux, citons la possibilité de : visualiser des maquettes à jour (plutôt que des plans désuets) ; localiser les différents réseaux et équipements dans l'hôpital ; accéder à l'ensemble de la documentation technique et aux diagnostics d'amiante depuis la maquette numérique ou coupler la maquette numérique à des logiciels d'exploitation (GMAO ou GTB). Numérisation du parc existant S'il choisit de concrétiser l'usage du BIM, le CHRU de Brest devra procéder au cas par cas, à la numérisation de son patrimoine immobilier existant dans un format IFC. Cette modélisation BIM lui permettra de bénéficier d'un socle numérique. La visualisation des bâtiments, et les données associées, pourront ainsi être partagées et modifiées à long terme par les acteurs, en utilisant une visionneuse comme eveBIM, développée par le CSTB et mise gratuitement à leur disposition. Perspectives du BIM En faisant de la maquette numérique le référentiel commun des outils de gestion de ses différents parcs (immobiliers et équipements), le centre hospitalier vise à optimiser sa gestion et à développer de nouvelles fonctionnalités adaptées aux besoins émergents, actuels et futurs. Mettre le numérique au service de l'exploitation du CHRU de Brest est également un terrain d'expérimentation privilégié pour le CSTB. Il développe son savoir-faire dans le BIM multi-échelles en exploitation, en complément de projets BIM menés en rénovation (aéroport de Faro au Portugal, parc universitaire Epaurif en Ile-de-France) et en construction (nouvel hôpital d'Ajaccio, quartier Ecocité à Champs-sur-Marne). En savoir plus : L'expertise BIM multi-échelles du CSTB
Il y a 8 ans et 80 jours

Offrir à l'ÉcoCité de Champs-sur-Marne, confort sonore et performance énergétique

Dans la Cité Descartes à l'Est parisien, une nouvelle ÉcoCité vise innovation architecturale, qualité de vie et performance énergétique. L'EPA Marne a initié ce projet dans le cadre de la démarche nationale "Ville de demain" portée par le Plan Investissement d'Avenir. Cet acteur du territoire relève le défi d'un lieu de vie agréable et ouvert, aménagé autour de voies ferrées. Pour développer des innovations adaptées, des partenaires comme Elithis et Urban Practices, Linkcity, Bouygues Bâtiment IDF, la RATP et le CSTB sont engagés aux côtés de l'EPA Marne. L'Établissement Public d'Aménagement de Marne-la-Vallée souhaite aménager les espaces urbains situés sur les talus du RER A, à proximité de la gare de Noisy-Champs. Cette bande de 100 000 m² accueillera différentes constructions : logements, bureaux, services... > Le projet en vidéo Stratégie énergétique du quartier Enjeu clé : aborder la conception du système énergétique du quartier, en amont de l'appel d'offres, organisé par lots de bâtiments auprès de différents promoteurs. Ceci offre l'avantage d'envisager globalement les besoins en énergie du quartier et les solutions d'approvisionnement optimales. C'est précisément la démarche de l'EPA Marne, soutenue par les propositions des cabinets de conseil Elithis et Urban Practices et des experts du CSTB. Les trois partenaires analysent l'opportunité de mutualiser des solutions énergétiques pour l'ensemble du quartier. Cela se concrétiserait par une boucle d'eau desservant tous les immeubles, sur laquelle se brancherait la pompe à chaleur de chacun. Pour une demande simultanée en eau chaude et eau froide, l'objectif avec un tel système mixte est d'optimiser la consommation d'énergie à la source. Simulation énergétique avec Dimosim Dès le début, la solution Dimosim a été adoptée par l'aménageur pour porter cette analyse. Ce logiciel de calcul et de simulation dynamique, élaboré par le CSTB, permet d'étudier les flux énergétiques à l'échelle du quartier. Ses résultats techniques constituent une aide à la décision pour l'aménageur. Actuellement, le CSTB procède au calcul des besoins en énergie de chaque futur bâtiment. Dimosim offre une vision de la demande en énergie au travers d'une représentation chromatique et d'une courbe horaire par bâtiment sur une année. En superposant toutes les demandes des bâtiments, le CSTB obtient les besoins en chaud et froid à l'échelle quartier. Il analyse ainsi l'opportunité d'une solution d'approvisionnement partagée et peut la prédimensionner. Prochaine étape en 2017 : simuler la future ÉcoCité dotée d'un système mixte avec Dimosim. Il s'agit de préciser la caractérisation technique du réseau (systèmes de production et stockages). Puis, les calculs de consommation permettront d'évaluer les économies d'énergie générées dans le temps avec cette solution (par rapport à un système standard). Ceci constituera une base pour l'aménageur, qui souhaite calculer l'investissement initial et le temps de retour sur investissement. Solutions pour le confort acoustique et vibratoire L'étude du futur quartier inclut également le traitement des nuisances acoustiques et vibratoires provenant du RER. Pour offrir des lieux de vie agréables, l'EPA Marne et Linkcity ont souhaité limiter l'impact du bruit aérien et des vibrations souterraines ressentis dans les immeubles d'habitation à proximité de la voie ferrée, lors du passage des trains. En 2016, le CSTB a travaillé avec l'ensemble des partenaires pour imaginer et concevoir des solutions innovantes sous trois formes : des protections vibratoires enterrées ; des dispositifs antibruit de faible hauteur proches des voies ferrées ; l'utilisation des façades pour agir sur l'ambiance sonore extérieure. Pour évaluer leur pertinence, le CSTB s'appuie sur son expertise et ses logiciels de calcul prévisionnels avancés, dont Mefissto pour le calcul des impacts vibratoires. Simulation des vibrations avec Mefissto Mefissto permet de simuler les vibrations du plancher et le niveau de bruit solidien ressentis par les occupants dans les bâtiments. Il permet ainsi d'évaluer la capacité d'une solution à réduire les vibrations, telle une double paroi installée à proximité des niveaux en sous-sol. Avant d'effectuer les simulations, le CSTB et la RATP ont effectué un important travail de mesure sur site et d'analyse, pour ensuite construire un modèle réaliste du sol. En outre, les échanges avec les partenaires ont permis de prendre en compte les contraintes de mise en "uvre et de proposer des solutions viables et reproductibles - et ce dès la phase avant-projet. Prochaine étape : en 2017, le CSTB et les partenaires du projet vont finaliser l'exploration des performances techniques et économiques de plusieurs solutions pour apporter aux équipes du projet les informations utiles à leur décision. En savoir plus : EPA Marne, lauréat de l'appel à projet ÉcoCité 2 Explorer les scénarios pour améliorer la performance énergétique d'un quartier
Il y a 8 ans et 80 jours

Noues urbaines pour améliorer la gestion des eaux pluviales

En milieu urbain, les eaux pluviales génèrent des risques de pollution et d'inondation. Une situation liée à l'urbanisation croissante, qui rend les sols imperméables. Dans le cadre d'un projet R&D partenarial, Matriochkas, avec l'Ifsttar Nantes, l'École centrale de Nantes, Nantes Métropole et l'Agence de l'eau Loire Bretagne, le CSTB s'intéresse à la « noue », un système qui permet la rétention et l'infiltration de ces eaux. Il teste cette solution grandeur nature dans sa plateforme d'essais Aquasim. Pollution et inondation : pourquoi ? Quand la pluie tombe dans un champ, l'eau s'infiltre en terre. En revanche, en milieu urbain, l'eau s'écoule. Quand elle tombe sur une chaussée, elle la lessive et embarque avec elle des micropolluants (hydrocarbures, particules...) que l'on retrouve ensuite dans les milieux récepteurs (bassins, rivières...). Problème concomitant, l'urbanisation imperméabilise les sols et augmente ainsi le risque d'inondation en cas de fortes précipitations. La gestion des eaux pluviales est donc devenue avec l'urbanisation croissante, un enjeu crucial pour les collectivités. Parmi les techniques utilisées pour résorber ces eaux, les « noues » ont fait leurs preuves. Ce dispositif permet la rétention de l'eau et son infiltration progressive. Si la technique est bien connue, ses caractéristiques physiques et son comportement le sont moins. Des noues en grandeur réelle dans Aquasim Dans le cadre du projet quadriennal Matriochkas débuté en février 2015, le CSTB a mis en place un dispositif expérimental pour tester ces noues grandeur nature dans Aquasim. Cette plateforme d'essais nantaise est dédiée à l'étude du cycle de l'eau à l'échelle du bâtiment et de la parcelle. Deux noues d'1,5 m de profondeur et de 25 m2 de superficie, chacune composée de sol naturel et de sable, ont été installées dans deux bassins étanches en béton de même dimension. Des capteurs (32 par noue) permettent de mesurer le taux d'humidité et la succion matricielle du sol (une force qui aspire l'eau dans le sol). Reproduire des pluies de différentes natures Outre la mise en place du dispositif expérimental, la première étape du projet a consisté à collecter, avec l'aide de Nantes Métropole, des eaux pluviales de différentes natures. Il a fallu aussi construire des scénarios de précipitations, fidèles à ce que l'on rencontre sur le territoire français : pluie annuelle, décennale... Grâce à des systèmes d'arrosages dédiés, ces pluies vont pouvoir être reproduites dans Aquasim. Et pour représenter au mieux les réalités naturelles, à partir de différents paramètres, il est prévu de pouvoir augmenter les doses de polluants ou de simuler une remontée de nappe. Perspectives : accompagner l'innovation Cette expérimentation menée par le CSTB va permettre de créer un système « noue » de référence, dont le comportement aura été caractérisé. Elle constitue un premier pas au service du développement d'une nouvelle filière industrielle. Si des acteurs offrent des solutions innovantes pour améliorer la gestion des eaux pluviales en milieu urbain, ils pourront désormais faire évaluer leur performance en usage de manière fiable. En savoir plus : Le projet Matriochkas L'expertise Gestion durable de l'eau du CSTB
Il y a 8 ans et 80 jours

Le BIM au service du contrôle technique

La transition numérique dans la construction, une révolution qui engage toute la chaîne des acteurs, à chaque étape d'un projet, pour que les atouts du BIM en matière de productivité et de qualité portent leurs meilleurs fruits. Dans un projet, la vérification du respect des règles de l'art par un bureau de contrôle agréé, se déroule dès la conception des ouvrages et jusqu'à la fin des travaux. Ce métier fait évoluer ses pratiques pour intégrer le BIM et contribuer à l'amélioration de la sécurité et des performances des projets. Fort de son expertise BIM multi-échelles, le CSTB accompagne les spécialistes du contrôle technique dans leur démarche numérique. Zoom sur deux collaborations lancées en 2016 avec Qualiconsult et Socotec. Mission du CSTB auprès de Qualiconsult Qualiconsult et le CSTB ont signé fin 2015 un accord pour inscrire le BIM et la maquette numérique dans les pratiques du contrôle technique et optimiser ce processus métier au bénéfice des projets. Cela suppose de connecter les outils du contrôle technique à la maquette numérique. Le CSTB a pour mission d'expérimenter la méthodologie BIM et de développer les interfaces nécessaires. La spécificité de cette démarche réside dans son caractère expérimental puisqu'elle s'est appliquée dès 2016, à une situation réelle. Qualiconsult et le CSTB se sont associés à un projet emblématique opéré en BIM : la construction de la nouvelle Ecole normale supérieure de Cachan à Saclay (Île-de-France). Confiée à Renzo Piano Building Workshop, cette opération récompensée par un trophée BIM d'OR en septembre 2015, sera livrée en 2019. Elle est un terrain privilégié pour expérimenter sur l'ensemble des phases d'un projet de construction, le couplage entre : les caractéristiques du projet, enregistrées dans la maquette numérique BIM ; et le logiciel métier de Qualiconsult, GAIA, qui intègre leur référentiel technique de vérification du respect de la réglementation et de prévention des risques. Pour cela, le CSTB finalise actuellement le développement d'un module dédié aux besoins spécifiques du contrôleur technique. Intégré à la visionneuse eveBIM développée par le CSTB, il permettra d'optimiser la gestion des données avec la maquette numérique. Ces recherches pourraient aboutir à une automatisation, en tout ou partie, de la vérification de certaines règles. Un gain de temps et d'efficacité, qui s'accompagne d'une véritable montée en compétence des équipes de Qualiconsult dans le BIM. En ce sens, le CSTB met en place en 2017, un programme de formation pour sensibiliser et accompagner les équipes de Qualiconsult dans leur appropriation des nouvelles pratiques. Mission du CSTB auprès de Socotec Sécuriser les projets de construction en BIM : un axe de développement majeur de l'innovation pour Socotec. Début 2016, il s'est associé au CSTB dans cette optique, et souhaite ainsi contribuer à l'optimisation des performances et à la maîtrise des risques dans les projets. Cette collaboration se concrétise en 2016 par la création du 1er protocole BIM pour le contrôleur technique, publié sous forme de Livre blanc. Partagé au sein du COPREC, ce protocole est désormais mis à disposition de toute la filière professionnelle. Il formalise les modalités d'intervention et de collaboration des différentes parties prenantes dans le cadre d'un projet de construction en BIM, en intégrant le rôle du contrôle technique. Déclinable par projet, il permet la sécurisation des objectifs du maître d'ouvrage, de la conception, et surtout de l'exploitation. Par ailleurs, avec le CSTB, Socotec fait évoluer l'équipement de ses collaborateurs avec des outils adaptés au BIM : tables numériques, visionneuse pour lire les maquettes numériques, tablettes?. Il dispose notamment d'eveBIM, la visionneuse développée par le CSTB. Par ailleurs, il met en place un programme de formation avec l'appui du CSTB, qui propose un panel de formations par métier dans le BIM. Trois sessions ont été proposées en 2016 et deux autres sont déjà programmées en 2017. Ces actions mettent en évidence un enjeu clé : le développement du langage BIM dans les pratiques de la construction. Ce qui se traduit par l'utilisation privilégiée du format IFC afin de favoriser l'interopérabilité des outils avec la maquette numérique. Socotec s'appuie sur ce format standard pour répondre aux demandes des différents projets qui lui sont confiés. En savoir plus : L'expertise Numérique BIM du CSTB
Il y a 8 ans et 80 jours

Favoriser la résilience des bâtiments au service du bien-être de leurs occupants

Comment expliquer mal-être, troubles physiques voire pathologies sévères chez les occupants d'un bâtiment, sans raison clairement identifiée ? Le syndrome des bâtiments malsains, identifié par l'OMS (Organisation mondiale de la Santé) depuis les années 70, est la manifestation de problèmes psychologiques et sanitaires, directement associés à un lieu construit. Le CSTB a mené des travaux sur ce phénomène complexe avec une approche multicritères, pour favoriser la restauration du bien-être et de la santé des occupants dans un cadre de vie de qualité. En 2016, les chercheurs sont intervenus dans un établissement francilien dédié à la pratique de la danse. Diagnostiquer le syndrome Professeurs et élèves de cet établissement artistique souffrent depuis plusieurs années de troubles physiques " fatigue excessive, troubles respiratoires, maux de tête, malaise, problèmes ORL... " évoluant parfois en troubles psychologiques " mal-être, dépression, malgré des travaux importants menés sur le bâtiment. La perception d'inconfort persistante de ces usagers a renforcé leur mal-être : volume insuffisant des studios de danse, vétusté, absence de lumière naturelle, gêne olfactive, sensation d'exiguïté... Enfin, la fréquentation du lieu qui a augmenté ces dernières années, a aggravé les maux et l'inconfort. Ces éléments sont caractéristiques du syndrome des bâtiments malsains (dit aussi Sick Building Syndrom - SBM). Privilégier une analyse multicritères Fort de ses travaux de recherche, le CSTB s'appuie sur la prise en compte de deux dimensions, environnementale et psycho-sociale, pour identifier les facteurs qui expliquent ce phénomène. Concrètement, il s'agit ici de conjuguer l'évaluation du niveau de confinement de l'air, l'étude de la qualité de l'air, et une analyse des plaintes rapportées par les occupants. Des mesures aérauliques ont ainsi été réalisées dans l'établissement de danse grâce à l'installation de capteurs... En complément, une cinquantaine d'entretiens a été menée auprès d'usagers volontaires pour recueillir leur perception de la situation et identifier des solutions à sa gestion. Proposer des solutions À l'issue des investigations, l'ensemble des informations recueillies a confirmé un syndrome du bâtiment malsain, manifeste au travers des répercussions sur la santé physique et le mal-être ressenti. Les facteurs environnementaux sont apparus comme des explications à l'émergence du problème, la façon de le prendre en compte a conditionné les effets psychologiques observés. Les propositions du CSTB visent à : améliorer la qualité de l'environnement thermique, physico-chimique, olfactif, visuel " et optimiser le fonctionnement de l'installation de distribution d'air ; favoriser l'adéquation du bâtiment au regard des qualités d'usage (l'apprentissage de la danse) ; prendre en compte les facteurs socio-organisationnels et considérer leur rôle dans la situation de stress (communiquer sur les décisions, mettre en place un comité de suivi intégrant les plaignants dans le processus de décision, aménager des espaces de repos). Selon le CSTB, la solution passe nécessairement par la mise en "uvre de ces actions d'amélioration techniques et organisationnelles, ou bien il faut transférer les activités sur un autre site. Publications scientifiques du CSTB : Marchand D., Laffitte J.D., Weiss K., Ramalho O., Chaventré F. et Collignan B. (2017) : « L'incertitude, un facteur explicatif de l'évolution des crises environnementales ». In : Bulletin de psychologie. Le rôle de l'incertitude dans la construction sociale des problématiques environnementales. In Press, Paris Marchand, D., Weiss, K. & Zouhri, B. (2016) : "Emerging risks and quality of life: towards new dimensions of well-being?" In: Fleury-Bahi, Navarro & Pol, Handbook of environmental psychology and QOL research. Springer. P. 531 543 Marchand D., Depeau S. et Weiss K. (2014) : L'individu au risque de l'environnement. InPress, Paris Marchand D., Brisson G. et Plante S. (2014) : « L'apport des sciences sociales à la gestion du risque sanitaire environnemental ». In : D. Marchand, S. Depeau K. Weiss (eds), L'individu au risque de l'environnement. Chap.7, p.197-228. In Press, Paris Marchand D., Weiss K., Ramalho O., Chaventré F. et Collignan B. (2013) : « Le bien-être face aux incertitudes environnementales ? ». In : APPA " Revue Pollution Atmosphérique ; n°219. Octobre 2013 Marchand D., Chaventré F., Ramalho O., Laffitte J.D., Collignan B., Weiss K. (2013) : « De l'évaluation du risque à la gestion de la crise : le cas du syndrome des bâtiments malsains ». In : Environnement Risque et Santé, 2013 ; 12 : 325-9. doi : 10.1684/ers.2013.0632 Demillac R., Kermarec F., Esvan M. et Marchand D. (2012) : « Prise en charge interdisciplinaire d'un syndrome collectif inexpliqué dans une école du centre-ville de Rennes (Ille-et-Vilaine) ». In : BEH, n°48, décembre 2012, p 552-555 En savoir plus : L'expertise Santé-Confort du CSTB
Il y a 8 ans et 80 jours

Expérimentation E+C- et son label associé : une mobilisation collective

Lancée conjointement par les pouvoirs publics et les acteurs de la filière bâtiment en novembre 2016, l'expérimentation E+C- et son label associé, est le fruit d'une préparation collective de plusieurs années. Partenaire de cette démarche, le CSTB a contribué à l'élaboration du référentiel, des critères et des seuils de performance à atteindre. Fort de sa double expertise Énergie et Carbone, il partage ses connaissances et ses services pour soutenir la mobilisation de tous dans l'expérimentation des bâtiments à énergie positive et faible empreinte carbone. Vers une nouvelle réglementation Il y a dix ans, qui s'intéressait à la performance carbone ? Dans la continuité des référentiels de certification, proposés par les associations environnementale avec l'appui du CSTB, l'expérimentation E+C- et le label associé, concrétise un tournant vers une nouvelle réglementation du bâtiment. Elle engage les acteurs dans une logique de résultats dans deux domaines, Énergie et Environnement, pour assurer la transition vers des énergies renouvelables, limiter les gaz à effet de serre du bâtiment, et réduire leur impact sur le changement climatique. Nouvelle exigence carbone Expert référent en Analyse du cycle de vie, le CSTB a participé à forger ce qui fait la nouveauté de ce label : la prise en compte de l'empreinte carbone et d'autres indicateurs environnementaux, sur l'ensemble du cycle de vie du bâtiment. Cette approche globale intègre ainsi les émissions de CO2 liées à la fabrication et au transport des produits de construction, aux consommations d'eau et d'énergie, et au chantier. L'exigence carbone s'ajoute au renforcement de l'efficacité énergétique par rapport à la RT 2012 (pour un bâtiment utilisant moins d'énergies renouvelables, voire exportateur d'énergies). Elle est aussi associée à un objectif de bien-être pour les occupants afin de faire progresser le bâtiment de demain. Expérimenter avant de déployer « L'idée, c'est d'observer avant de décider », de créer une dynamique porteuse d'innovation pour développer des solutions intelligentes. L'expérimentation E+C- prépare toute la filière aux exigences Énergie - Carbone sur le plan technique et économique, avant leur généralisation à tous les bâtiments neufs. Parmi les outils à disposition des acteurs, le CSTB partage des vidéos pédagogiques pour mieux comprendre les enjeux. Il propose également une offre de services pour accompagner les acteurs dans leur stratégie, ainsi que des formations et un logiciel de calcul " Elodie " pour appliquer la méthode du label E+C-. Plusieurs niveaux de performance sont proposés dans ce label pour soutenir les acteurs et favoriser la progression collective. Le CSTB à vos côtés pour anticiper la réglementation Énergie et Environnement de demain. En savoir plus : energiecarbone.cstb.fr L'expertise Analyse du cycle de vie du CSTB Elodie
Il y a 8 ans et 80 jours

Une nouvelle solution de parement intérieur à finition minérale

Comment associer esthétique personnalisable et résistance à toutes sortes d'agression en une seule plaque de finition murale intérieure ? En associant des matériaux denses (gypse ou ciment) à une résine minérale décorative. C'est la voie choisie par Fermacell pour développer sa dernière création, la plaque Design. Explications avec Philippe Rémy (directeur général) et Marion Diaz (assistante technique).
Il y a 8 ans et 80 jours

Le Cube : blancheur immaculée à Beyrouth

    Élue Meilleure tour du Moyen-Orient en 2016 par le CTBUH, Le Cube déploie ses quinze niveaux de béton nouvelle génération autour d'un noyau central, abritant les fonctions techniques. Ces appartements de charme, tous uniques, ajoutent une belle réalisation au portfolio Orange architectes.
Il y a 8 ans et 80 jours

Vols sur les chantiers : les parades technologiques montent en puissance

Caméras intelligentes, capteurs RFID... Le BTP peut compter sur de réels progrès techniques pour contrer la délinquance. a condition d'encerner les usages.
Il y a 8 ans et 81 jours

Alexandra Kehayoglou : Hand-Tufts Carpeted Landscapes

La créatrice argentine Alexandra Kehayoglou réalise à la main des tapis sculpturaux sur le thème de la nature, alliant art et artisanat. Pour ce faire, elle utilise comme matière première les chutes des fils de la fabrique de textile El Espartano appartenant à sa famille. Ses compositions singulières résultent d'un long processus de création manuel et technique. De taille monumentale, ces pièces peuvent recouvrir un meuble ou grimper au mur pour devenir tapisserie, conférant une atmosphère unique à l'espace qu'elles occupent. L'artiste imite tissus végétaux et textures naturelles, recréant des paysages bucoliques maritimes et forestiers où fils et fibres se transforment en mousses, herbes, eau et sable. À travers son "uvre Alexandra Kehayoglou immerge le public dans son univers et l'invite à dépasser le stade de la contemplation pour utiliser et faire vivre ses productions. Photographies/Illustrations : Alexandra Kehayoglou Pour en savoir plus, visitez le site d'Alexandra Kehayoglou
Il y a 8 ans et 81 jours

Alexandra Kehayoglou : Hand-Tufts Carpeted Landscapes

La créatrice argentine Alexandra Kehayoglou réalise à la main des tapis sculpturaux sur le thème de la nature, alliant art et artisanat. Pour ce faire, elle utilise comme matière première les chutes des fils de la fabrique de textile El Espartano appartenant à sa famille. Ses compositions singulières résultent d'un long processus de création manuel et technique. De taille monumentale, ces pièces peuvent recouvrir un meuble ou grimper au mur pour devenir tapisserie, conférant une atmosphère unique à l'espace qu'elles occupent. L'artiste imite tissus végétaux et textures naturelles, recréant des paysages bucoliques maritimes et forestiers où fils et fibres se transforment en mousses, herbes, eau et sable. À travers son "uvre Alexandra Kehayoglou immerge le public dans son univers et l'invite à dépasser le stade de la contemplation pour utiliser et faire vivre ses productions. Photographies/Illustrations : Alexandra Kehayoglou Pour en savoir plus, visitez le site d'Alexandra Kehayoglou
Il y a 8 ans et 82 jours

Quatre constructeurs majeurs s'allient pour faire progresser le BIM

Bureau Veritas, Setec Bâtiment, Agence Coste Architectures et Bouygues Construction travaillent depuis juillet 2016 sur un guide de nouveaux processus en BIM (maquette numérique). Le but ? Permettre aux contrôleurs techniques et maîtres d'"uvres d'opérer directement sur le modèle numérique. Les 4 partenaires travaillent avec MediaConstruct, association de référence pour l'openBim en France
Il y a 8 ans et 82 jours

4 constructeurs majeurs s'allient pour faire progresser le BIM

Bureau Veritas, Setec Bâtiment, Agence Coste Architectures et Bouygues Construction travaillent depuis juillet 2016 sur un guide de nouveaux processus en BIM (maquette numérique). Le but ? Permettre aux contrôleurs techniques et maîtres d'"uvres d'opérer directement sur le modèle numérique. Les 4 partenaires travaillent avec MediaConstruct, association de référence pour l'openBim en France
Il y a 8 ans et 82 jours

Le CSTB édite un guide sur les travaux de façade

Le Centre scientifique et technique du bâtiment vient d'éditer un guide qui se veut être l'ouvrage de référence sur la question des travaux de façade.
Il y a 8 ans et 82 jours

Solution technique pour circuit climatique

BWT propose une solution technique complète pour tout circuit climatique : le pack SoluTECH Réseaux climatiques comprenant les équipements et les traitements pour un traitement de l'eau complet, en neuf et en rénovation. 
Il y a 8 ans et 82 jours

Un pack de solutions pour les réseaux climatiques

BWT propose une solution technique complète pour tout circuit climatique : le pack SoluTECH réseaux climatiques comprenant les équipements et les traitements pour un traitement de l'eau complet, en neuf et en rénovation. Ce nouveau pack intègre SoluTECH Analyses Collectif, un kit de prélèvement et de bilan de l'eau pour le collectif ou le tertiaire.
Il y a 8 ans et 83 jours

ISH 2017 (08) : Quels fluides pour les pompes à chaleur ?

Japonais, Chinois et Coréens préfèrent le R32, tandis que les européens s’orientent vers le R290 et les HFO. Tout le monde a adopté la technique de l'Inverter.
Il y a 8 ans et 85 jours

Deux guides gratuits pour les travaux en hauteur

Le Syndicat français de l'échafaudage, du coffrage et de l'étaiement (Sfece) a publié deux nouveaux guides à destination des professionnels : un guide des bonnes pratiques sur les plateformes de travail se déplaçant sur mâts et un guide technique sur les systèmes d'élévation, d'accès et de travail motorisés. Zoom.
Il y a 8 ans et 86 jours

Spie prend l'industrie de la transformation " de haut "

Spie, fournisseur de services multi-techniques dans les domaines de l'énergie et des communications, s'associe au "Projet Smart Tooling", une collaboration européenne visant à développer des solutions de maintenance innovantes pour l'industrie de transformation.
Il y a 8 ans et 86 jours

Le CSTB épinglé par la Cour des comptes

Une situation financière "fortement dégradée", une gestion défaillante et une comptabilité approximative: le CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment), un organisme public qui fournit des avis techniques sur les produits de construction et les bâtiments, est épinglé par la Cour des comptes.
Il y a 8 ans et 86 jours

Le CSTB épinglé par la Cour des comptes

Une situation financière "fortement dégradée", une gestion défaillante et une comptabilité approximative: le CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment), un organisme public qui fournit des avis techniques sur les produits de construction et les bâtiments, est épinglé par la Cour des comptes.
Il y a 8 ans et 87 jours

Mur à coffrage et isolation intégrés : l'histoire de quatre sauts technologiques accompagnés par le CSTB

2016 : les industriels GBE et Lafarge ont obtenu un Avis Technique pour un mur à isolant intégré et parement béton, coulé in situ. Ce procédé vit actuellement son 4e saut technologique, vingt ans après l'émergence de la première solution du genre sur le marché. Le CSTB a accompagné l'évolution de cette innovation depuis ses débuts. Aux côtés des différents acteurs dans le cadre de leurs démarches d'évaluation, il contribue à garantir la sécurité et la stabilité de leur procédé. Innovation "3 en 1" En 1994, le CSTB instruit un Avis Technique à la demande de la société alsacienne Spurgin, pour un mur à coffrage intégré (connu sous le nom de « Prémur »). Déjà utilisé en Allemagne, ce produit fait alors son entrée en France. Le premier saut technologique a lieu l'année suivante. Ce ne sont plus deux mais trois corps d'état désormais réunis en un procédé : structure, isolation et parement de façade. Le CSTB accompagne Eurobéton dans l'évaluation de son panneau sandwich préfabriqué, constitué d'un voile béton porteur, d'un isolant et d'un parement béton extérieur. Le premier Avis Technique est délivré en 2000. Architecture et innovation Les deux techniques vont rapidement mener au développement d'un mur à coffrage et isolation intégrée (MCII). C'est le deuxième saut technologique : le poids de cette nouvelle solution est réduit en comparaison des panneaux sandwichs. Les dimensions des murs peuvent ainsi augmenter et le nombre de joints en façade diminuer. Un plus pour les architectes. Quelle que soit la maturité de leur procédé, le CSTB accompagne alors les fabricants innovants dans leur démarche d'évaluation et d'essai, tels Jousselin, H&H Technologies ou Fehr. Lors de chacune de ses analyses, le CSTB identifie les preuves nécessaires (notes de calculs, essais, simulations, etc.) pour aider les porteurs de projet à élaborer leur dossier technique. En absence de prescription réglementaire mais en s'attachant aux principes fondamentaux de sécurité des personnes, le CSTB a intégré dès le début, l'exigence de non-effondrement du parement de façade, en cas d'incendie. Mise "uvre sur chantier Troisième évolution technologique, l'entreprise Léon Grosse développe le même type de mur-façade en béton mais, cette fois, coulé sur site. Après une ATEx délivrée par le CSTB en 2009, l'Isovoile® reçoit un Avis Technique en 2013. Il n'y a plus de contrainte liée à la dimension des moyens de production des panneaux préfabriqués (12 m x 3 m maximum), ni de contrainte de transport ou de stockage sur chantier. Liberté aussi dans le choix de l'épaisseur et de la composition du parement. Léon Grosse est la seule entreprise à pouvoir mettre en "uvre cette solution sur chantier, car le procédé repose sur une méthode originale de fabrication et mise en "uvre, conçue en interne. Déploiement de l'innovation La démocratisation du procédé est l'enjeu du quatrième saut technologique. Elle se développe dès 2013 à l'initiative de GBE et Lafarge, respectivement fournisseurs de connecteurs et de béton prêt à l'emploi. Le CSTB est sollicité par les deux industriels, pour un accompagnement par étape, de la première ATEx jusqu'à l'Avis Technique qu'ils obtiennent pour leur innovation fin 2016. Son rôle a notamment consisté à vérifier que les prescriptions techniques nécessaires au niveau de sécurité requis pour ce type de procédé, sont compatibles avec les pratiques de l'ensemble des entreprises utilisatrices potentielles. À propos : à fin février 2017, les entreprises titulaires d'un Avis Technique MCII sont SORIBA, SPURGIN LEONHART, JOUSSELIN PREFABRICATION, SEAC-GUIRAUD FRERES, FEHR SA, H&H TECHNOLOGIES. Liste sur le site CSTB Évaluation En savoir plus : Panneaux sous vide : de premiers Avis Techniques délivrés pour ces "super isolants" Isolation thermique par l'extérieur, en neuf comme en rénovation Famille « Mur à coffrage et isolation intégrés » sur le site de la CCFAT Guide RAGE sur les procédés de murs à coffrage et isolation intégrés Guide RAGE Panneaux sandwichs
Il y a 8 ans et 87 jours

Expérimenter la démolition du béton et son réemploi in situ

Au sein d'un vaste programme de rénovation urbaine à Stains (Ile-de-France), le bailleur social OPH 93 et l'association d'architectes Bellastock ont expérimenté le réemploi in situ du béton. Des voiles béton, issus de la déconstruction de logements sociaux datant de 1960, ont servi à bâtir de nouveaux ouvrages urbains : bancs, pavage extérieur… Le CSTB a apporté son appui technique aux acteurs du projet au service de l'économie circulaire. L'Office Public de l'Habitat de Seine Saint Denis (OPH 93) et l'association Bellastock ont réutilisé le béton issu de la démolition de deux immeubles d'habitation collectifs, pour aménager un pavage de sol extérieur, construire des bancs, des jardinières, et les murs d'un bâtiment abritant des locaux techniques. Cette initiative s'est concrétisée en 2016 dans le cadre de l'appel à projets, « Architecture de la transformation », lancé en 2015 par la Caisse des dépôts et l'Union Sociale pour l'Habitat. Évaluation technique, environnementale et économique Le CSTB a accompagné les porteurs de ce projet innovant en qualité d'expert technique. Pour cette expérimentation du réemploi du béton, il a élaboré un guide de bonnes pratiques incluant une série d'autocontrôles et d'essais. Indispensables pour caractériser, à coût maîtrisé, les performances résiduelles du matériau et envisager son réemploi dans des domaines adaptés (revêtement de sol, mur porteur?). Par ailleurs, le CSTB a réalisé une analyse environnementale de l'ouvrage, construit à partir de béton de démolition, sur l'ensemble de son cycle de vie. L'impact environnemental peut se révéler positif à condition de prendre en compte le réemploi du béton de manière adaptée, dès la conception du bâtiment. Enfin, le CSTB a mis au point un outil d'analyse économique, permettant de comparer une solution constructive basée sur le réemploi et une solution traditionnelle. Résultats : des économies d'échelle et une optimisation du process ont été identifiées. Perspectives OPH 93, renommé Seine-Saint-Denis Habitat en décembre 2016, entend poursuivre l'expérience sur l'ensemble de l'opération de rénovation urbaine à Stains. La Caisse des dépôts et l'USH vont accompagner le développement et la réplicabilité de tels usages. Ce qui soutient les professionnels de la construction, qui ont l'obligation de valoriser 70 % des déchets de chantier à l'horizon 2020. En savoir plus : Lab « Architecture de la transformation » Expertise Analyse du Cycle de vie du CSTB
Il y a 8 ans et 87 jours

Charpente bois en escalier aux coutures invisibles

Des poutres en bois constituent la structure en escalier de l'immense chapiteau abritant l'Aqualagon, le futur parc aquatique de Marne-la-Vallée. Elles ont été fabriquées par l'entreprise Arbonis grâce à une technique d'assemblage innovante, qui a reçu une ATEx favorable début 2016. À une trentaine de kilomètres de Paris, Euro Disney et Pierre&Vacances-Center Parcs construisent un vaste complexe touristique Villages Nature®. L'Aqualagon sera l'un de ses équipements phares. Conçu par l'architecte Jacques Ferrier, ce parc aquatique couvert de 9 000 m² est surmonté d'un toit inspiré des pyramides à degrés, s'élevant à près de 30 m. La structure mixte bois-acier de ce chapiteau comprend 52 poutres rayonnantes en escalier, fabriquées par Arbonis grâce à un assemblage innovant. Assemblage original par tiges collées Chaque poutre de 15 m de haut et 40 m de portée environ, semble d'un seul tenant. Et pourtant, chacune est une combinaison de presque dix pièces de bois lamellé-collé, dont les connexions sont invisibles. Ces éléments ont été assemblés en atelier, par des tiges scellées à la résine dans le bois : 9 500 tiges, 5,5 tonnes de résine. Esthétique, cet assemblage est-il assez rigide et solide pour supporter une construction bois de grande hauteur ? Évaluer la résistance du procédé Le bureau d'études C&E Ingénierie, partenaire de Jacques Ferrier pour la conception de l'ouvrage, a très tôt consulté le CSTB pour soumettre sa technique d'assemblage hors-norme à une Appréciation Technique d'Expérimentation (ATEx). Le CSTB a vérifié le bon dimensionnement de la structure, qui échappe aux règles de l'Eurocode 5, norme européenne de calcul des structures bois. Il a également évalué la solution de renforcement proposée : l'ajout de tiges qui apportent de la raideur et renforcent les sections de bois lamellé-collé les plus sollicitées, sans qu'on ait besoin d'utiliser de matériau supplémentaire. Par ailleurs, le CSTB a examiné les méthodes de fabrication en atelier, en particulier les opérations de scellement, pour s'assurer de la bonne liaison entre bois, résine époxy et tige métallique. Et pour cela, il s'est appuyé sur les résultats d'essais mécaniques, réalisés sur les tiges elles-mêmes et sur les assemblages complets. Ces tests de rupture ont été confiés par Arbonis au Lermab, laboratoire pluridisciplinaire de l’Université de Lorraine. En savoir plus : Synerbois accompagne Sacba dans l'évaluation de son procédé bois Étude de faisabilité d'un concept de panneaux en bois, conçu par Techniwood Scellements chimiques : vers une reconnaissance mondiale du protocole d'évaluation au feu Appréciation Technique d'Expérimentation
Il y a 8 ans et 87 jours

Palmarès architecture aluminium Technal : à vos candidatures !

La 16e édition du concours est lancée. Un jury composé de six architectes de renom récompensera les réalisations françaises les plus ambitieuses tant sur le plan architectural que technique. Les candidats ont jusqu'au 30 avril 2017 pour participer. Précisions.
Il y a 8 ans et 87 jours

La cour des Comptes critique la gestion du CSTB en 2013-2014

La cour des Comptes a publié, le 22 mars, un rapport concernant la gestion du Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) pour les années 2013 et 2014. Elle pointe plusieurs dysfonctionnements. Pour le président de l'organisme, Etienne Crépon, la situation est en voie d'amélioration.
Il y a 8 ans et 87 jours

La Cour des comptes épingle le CSTB

Une situation financière "dégradée", une gestion et une comptabilité défaillantes : le Centre scientifique et technique du bâtiment est épinglé par la Cour des comptes.