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Il y a 4 ans et 284 jours

La crise sanitaire démultiplie les demandes de locations de logements

Le rush a démarré dès le déconfinementDès le début du déconfinement, la location a repris très rapidement sur PAP.fr : les recherches ont progressé de +50% au mois de mai. « Nous avons immédiatement constaté un afflux d'offres et de demandes, mais nous pensions qu'il s'agissait d'une conséquence d'un rattrapage des mois précédents pendant lesquels le marché locatif avait été complètement bloqué. » explique Corinne Jolly.Mais au fil des semaines, loin de se tasser, la hausse des recherches s'est amplifiée : +75% en moyenne en juin 2020*. « Là, il n'y a pas de doute, on est au-delà du rattrapage : c'est la saison estivale qui démarre en avance pour les locations. » poursuit la Présidente de PAP.fr.Les étudiants ont démarré leurs recherches dès le mois de Juin 2020, ils représentent aujourd'hui 29% des dossiers déposés sur PAP.fr, contre 21% en mai 2019. Mais ils sont fortement concurrencés par les travailleurs, qui veulent également déménager cet été et qui représentent encore 71% des dossiers*.* Résultat d'une étude menée par PAP.fr sur les recherches de location réalisées sur son site du 1er au 30 juin 2020 comparé au 1er au 30 juin 2019Un afflux d'offres, notamment en location meubléeDeuxième grande tendance, les offres de logements proposées à la location sont plus nombreuses : +39% d'annonces en juin 2020 *, par rapport à juin 2019.De nombreux logements ont été libérés plus tôt par les étudiants cette année, notamment lorsqu'il a été annoncé que les études supérieures se dérouleraient à distance jusqu'à la prochaine rentrée.D'autre part, on observe que les locations meublées représentent, en ce moment, 56% de l'offre des locations, alors qu'elle ne représentait que 47% de l'offre avant le confinement. Deux phénomènes peuvent l'expliquer :Les logements libérés en avance sont surtout des logements étudiants, et donc des logements meublés.Les propriétaires de logements en location vacances ont décidé de passer leur logement en location meublée, au moins le temps de voir comment évolue la situation.Les recherches évoluent aussi : + de demandes, + d'espaces verts + de maisonsComme pour l'achat, la tendance est à la recherche de biens avec espaces verts. Les recherches de maison progressent de 96%, tandis que les recherches d'appartement de 68%.Malgré cela, le phénomène est moins marqué et moins significatif que pour les acquisitions. En effet, les recherches de maison ne représentent encore que 15% des recherches de location.En Ile-de-France : Explosion des recherches de location surtout pour la Grande CouronneTous les départements d'Ile-de-France, comme pour l'achat, connaissent une forte hausse de recherches de biens à louer. La hausse de recherches de locations des départements de la Grande Couronne est également plus importante que celle de la petite Couronne et Paris a la progression la plus faible : + 63%.*La Seine-et-Marne connaît la plus forte hausse : +140%, suivie du Val d'Oise : +113%, des Yvelines : +110%, de l'Essonne : +104%.L'Oise, département limitrophe de l'Ile-de-France progresse également fortement avec +97%*.On constate donc également pour la location, une demande des franciliens de s'éloigner de la petite couronne pour bénéficier de logements avec plus de superficie, si possible d'espaces verts et de maisons. Les locataires cherchent, comme les propriétaires, plus de verdure et plus d'espace. Ces nouvelles recherches sont le résultat du confinement passé dans des appartements trop étroits sans extérieur. Les aspirations des franciliens évoluent même en location.En Province : Ruée vers les demandes de location : +117% à Grenoble, +101% à Rennes !En Province, ce phénomène d'éloignement des métropoles est moins visible, probablement car les prix Immobiliers permettent de mieux se loger tout en restant en ville. Mais toutes les grandes métropoles françaises voient leurs recherches de biens à louer exploser. Grenoble et Rennes sont à + de 100%, Poitiers, Bordeaux, Nantes, à + de 70%. Il va être dur de se loger cet été. Les familles avec enfants qui ont été mutées cet été, les jeunes travailleurs qui cherchent leur premier logement et les étudiants, vont devoir jouer des coudes pour trouver leur cocon.On constate cependant que la situation est très disparate selon les différentes villes. Ainsi, Toulouse enregistre la progression la plus faible, certainement en raison des difficultés liées au secteur aéronautique qui commencent à se faire sentir sur le marché Immobilier.* Résultat d'une étude menée par PAP.fr sur les recherches de location réalisées sur son site du 1er au 30 juin 2020 comparé au 1er au 30 juin 2019
Il y a 4 ans et 284 jours

Dossier : 5 intérieurs lumineux

Des architectes travaillent sur la lumière, et mettent ainsi au cœur de leurs projets l’éclairage. Cette semaine, la rédaction de Muuuz vous propose de découvrir cinq intérieurs fonctionnels parfaitement éclairés. Giada Forte x Robert Vattilana : Forte ForteLa griffe italienne Forte Forte a investi la rue de Grenelle (7ème arrondissement) pour sa toute première adresse parisienne pensée par sa fondatrice Giada Forte ainsi que son compagnon, le directeur artistique Robert Vattilina. Une boutique de 100 mètres carrés aux allures de boudoir qui irradie de lumière. . Ivy Studio : Les Nettoyeurs White’sSitué dans le quartier de Boucherville à Montréal (Canada), cet écrin de marbre et de laiton cache en réalité une blanchisserie haut de gamme au décor inspiré des appartements parisiens des beaux quartiers. Caractérisé par une esthétique minimaliste et léchée, l'établissement rénové par Ivy Studio reprend les codes des logements haussmanniens typiques de la capitale française en y ajoutant une touche de sophistication contemporaine. . Collectif Weekends : Le MalroTerre du cool parisien, le quartier du Marais accueille un nouveau spot gastronomique aux impressionnants volumes. Nommée le Malro, en hommage à André Malraux, l'adresse propose une carte méditerranéenne dans un cadre d'inspiration californienne, chic et lumineux. . Miguel Ángel Aragones : Rombo IVBien souvent guidées par un désir d'esthétique intemporelle et d'épuration presque totale, les résidences minimalistes ont parfois tendance à tomber dans une uniformisation froide, redondante. Un constat fait par l'architecte mexicain Miguel Ángel Aragones qui tente, dans son pays d'origine, de conjuguer design moderniste et folie contemporaine à travers Rombo IV, une villa de 1 102 mètres carrées caractérisée par une grande mise en valeur de la lumière naturelle, le jour, et un éclairage complexe composé de néons bleus, oranges, violets, roses et rouges, la nuit. . Archiee : EN SpaLa douceur nippone n'a pas encore dévoilé tous ses secrets... La première boutique de cosmétique EN Spa est un havre de paix japonais en plein cœur de Paris. Le rez-de-chaussée est divisé en deux parties : l'entrée, qui se fait par la porte est de la boutique, est directement prolongée par un escalier rétroéclairé menant au sous-sol, tandis que l'espace dédié aux soins et aux conseils prend place à l'ouest. Les différents luminaires qui ponctuent les différentes pièces confère à la boutique la quiétude attendue par sa clientèle en quête de relaxation. La Rédaction
Il y a 4 ans et 284 jours

Dimensions of Reality : Female Minimal

À la Galerie Thaddaeus Ropac de Pantin, l’exposition Dimensions of Reality : Female Minimal met à l’honneur quatorze artistes femmes pionnières de l'abstraction géométrique, qui sont longtemps restées dans l’ombre de leurs confrères masculins. Replacer ces artistes femmes dans l’histoire de l’art abstrait, et plus largement dans l’histoire de l’art, tel est l’objet de cet événement inédit. L’exposition Dimensions of Reality : Female Minimal réunit quatorze artistes femmes du XXe siècle mues par le même désir d’émancipation, qui ont contribué à bouleverser l'abstraction géométrique telle qu’elle a été portée par les hommes, mais qui ont été évincées de l’histoire de l’art et sont encore méconnues du grand public. À travers une sélection réfléchie d'œuvres datant des années 1920 au début des années 1980, les commissaires Anke Kempkes et Pierre-Henri Foulon ont choisi, d’une part, de différencier le « minimal » de « l’art minimal » pour élargir le cadre spatiotemporel habituel de ce mouvement né dans les années 1960 aux États-Unis, et, d’autre part, de contester les discours d’une histoire de l’art canonique masculine, en rendant visibles plusieurs artistes femmes remarquables qui ont joué un rôle central dans l’évolution de l’art abstrait en Europe et en Amérique. Malgré la pluralité des contextes historiques, géographiques et culturels dans lesquels chacune de ces artistes a créé, les œuvres présentées à la galerie donnent à voir un ensemble cohérent, qui révèle la dimension « émancipatrice » de leur approche de l’art abstrait tout en s’intéressant à des aires géographiques, qui avaient été jusque-là négligées, comme l’Europe de l'Est et l’Amérique latine. Au fil du parcours, le public découvre avec émerveillement les œuvres de Feliza Bursztyn, Rosemarie Castoro, Maria Lai, Liliane Lijn, Verena Loewensberg, Mary Miss, Kazuko Miyamoto, Vera Molnár, Marlow Moss, Lucia Moholy, Lydia Okumura, Loló Soldevilla, Magdalena Więcek et Shizuko YoshikawaL’exposition Dimensions of Reality : Female Minimal appelle à en finir avec une histoire de l’art discriminante, et a donc le mérite de réhabiliter quatorze artistes femmes qui sont injustement moins connues que les figures les plus célèbres de l’art minimal, telles Carl Andre, Dan Flavin, Donald Judd ou encore Sol LeWitt. L’initiative de la Galerie Thaddaeus Ropac de Pantin témoigne de la volonté récente de plusieurs lieux culturels de réévaluer la contribution des artistes femmes à la création en les inscrivant enfin dans une histoire de l’art décloisonnée. Dimensions of Reality : Female Minimal, du 22 février au 25 juillet 2020, à la Galerie Thaddaeus Ropac de Pantin (93500). Pour en savoir plus, visitez le site de la Galerie Thaddaeus Ropac. Photographies : © Charles Duprat, Courtesy Galerie Thaddaeus Ropac London · Paris · SalzburgLéa Pagnier
Il y a 4 ans et 284 jours

Artificialisation des sols en Île-de-France et habitat collectif neuf

A l'heure de la relance, il s'avère impératif de conjuguer les nouveaux besoins accentués par cette crise inédite et croissance verte. Pour accélérer l'émergence d'une ville durable et résiliente, il faut la (re)construire car, bien qu'indispensable, rénover le tissu existant ne pourra suffire. L'Île-de-France, figure d'excellence pour la faible artificialisation des solsDepuis le Plan biodiversité de 2018, le Gouvernement français s'est fixé l'objectif « Zéro artificialisation nette », également appelé « ZAN ». Il s'inscrit dans un objectif de neutralisation des impacts des villes sur la biodiversité et le changement climatique.Région dense par excellence, l'Île-de-France fait pourtant figure d'exception vertueuse en matière d'artificialisation des sols, comme en témoigne l'étude menée par l'Institut Paris Région* et publiée en janvier 2020. Ainsi, en Île-de-France, seulement 590 hectares nets ont été consommés en 2017, correspondant à 840 hectares brut artificialisés auxquels doivent être soustraits les 250 hectares renaturés. Il est important de noter que l'Île-de-France a la plus faible artificialisation de France au regard de l'activité accueillie : 133 m² étaient artificialisés par habitants et emploi en 2015 pour une moyenne nationale de 460 m² (hors Île-de-France). A contrario, la région Centre Val-de-Loire artificialisait 606 m² par habitant et emploi la même année. L'habitat collectif neuf, réduction de l'artificialisation des sols et accélération des transformations Toujours selon l'étude de l'Institut Paris Région, sur les 840 hectares artificialisés en 2017, seulement 3% étaient destinés à l'habitat collectif contre 42% destinés aux carrières, décharges et chantiers, 23% aux espaces ouverts artificialisés, 14% à l'activité et 10% à l'habitat individuel. Comment conjuguer la sobriété foncière, qui s'impose comme un impératif environnemental, et le besoin en logements considérable, tout particulièrement en Île-de-France, véritable locomotive économique et territoire le plus attractif de France voire d'Europe ? Outre les enjeux de préservation des sols et de la biodiversité, car elle est souvent en elle-même créatrice de jardins et facteur de renaturation, la construction neuve apporte également des réponses à de nombreux enjeux en étant facteur de cohésion et de durabilité. Les performances environnementales des logements neufs répondent à des standards très élevés qui se renforcent encore avec la future RE 2020. La construction d'aujourd'hui et de demain répondra aux besoins des ménages et accélérera la transition vers une société décarbonée. Construire dense, c'est aussi tendre vers une urbanisation plus sobre en consommation d'espace laissant ainsi plus de place à la nature, à l'extérieur et à l'intérieur de la Ville.Pour Marc VILLAND, Président de la FPI IDF : « Le débat autour de l'artificialisation des sols est tronqué. Il est urgent de dédiaboliser la ville et démystifier la densité. Un changement de paradigme s'impose pour faire avancer durablement notre société et apporter des réponses concrètes aux besoins des franciliens en matière de logement et d'urbanisme ». *Source : L'institut Paris Région 2020 - MOS 1982 à 2017, présenté à l'occasion des ateliers du ZAN
Il y a 4 ans et 284 jours

Coffrages spéciaux ou les formes du chantier

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine. Coffrages du chantier “Morland Mixité Capitale”, à Paris, fournis par CMC. [©CMC] Travail de l’ombre, la conception et la production de coffrages sur mesure donnent forme aux idées parfois surprenantes des architectes. Un savoir-faire qui allie précision, inventivité et adaptabilité. Portraits de quelques-uns des acteurs du marché. Dossier préparé par Yann Butillon Prolongez votre lecture Pour lire la totalité de cet article, inscrivez-vous gratuitement Déjà inscrit ?Je m'inscris Mon email Mon mot de passe Oublié ? M.Mme**SociétéParticulierNom société**** Code promoJe m'inscris aux newsletters (facultatif) : Bâti & Isolation CBPC Béton[s] Chapes Les information collectées à partir de ce formulaire permettent aux éditions AvenirConstrution de gérer ses contacts et ses clients. 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Il y a 4 ans et 284 jours

Engie Solutions installera les portes palières de 3 lignes du Grand Paris Express

CONTRAT. La RATP et la Société du Grand Paris ont choisi un groupement réunissant Engie Solutions et Portalp pour installer ces équipements, plus de 670, sur les quais des lignes 14, 16 et 17.
Il y a 4 ans et 284 jours

Chronologie et ambitions du projet de rénovation de la gare du Nord à Paris

2017-2020 : Les dates-clé du projetLe projet autorisé le 6 juillet 2020 a été déclaré d'intérêt général au terme d'un processus démocratique et en respectant toutes les obligations légales qui s'imposaient :Février 2017 : loi sur le Grand Paris. La loi autorise expressément SNCF Gares & Connexions à procéder à la rénovation de la Gare du Nord en faisant appel à un investisseur privé. Il est spécifié qu'il n'y aura pas de mobilisation d'argent public et que cet investisseur privé supportera seul le financement et les risques de l'opération qui mobilise des investissements à hauteur de 600 millions d'euros.Mai 2017 - Février 2019 : Lancement et déroulement d'un appel d'offres public européen. Au terme de cette procédure concurrentielle, qui est aujourd'hui définitive car elle n'a pas été contestée, SNCF Gares & Connexions a désigné Ceetrus comme co-investisseur pour créer la SA Gare du Nord 2024.Juin - Juillet 2017 : Déroulement de la première concertation publique, prévue par les dispositions applicables au projet.9 Juillet 2018 : Présentation à la presse du projet par SNCF, Ceetrus et la Ville de Paris.24 Octobre 2018 - 26 février 2019 : Ouverture de la procédure de droit d'initiative permettant de demander l'organisation d'une concertation préalable au titre du code de l'environnement par la commission nationale du débat publique.Mars - Avril 2019 : Seconde concertation publique organisée volontairement par la SA Gare du Nord 2024.Octobre 2019 : Avis favorable de la Commission Nationale d'Aménagement Commercial.Novembre 2019 à Janvier 2020 : Déroulement de l'enquête publique, au terme de laquelle la Commission d'enquête publique a rendu un avis favorable au projet le 25 février 2020.6 Juillet 2020 : Délivrance du permis de construire par le Préfet de la Région d'Ile-de-France Le dossier de permis de construire a donc reçu l'avis favorable de la commission d'enquête publique et des services instructeurs, des architectes des bâtiments de France, des responsables des monuments historiques mais aussi de la Préfecture de police de Paris.Une méthode concertée avec les parties prenantes dont la ville de ParisDès le lancement du projet en mai 2017, un comité de coordination partenarial a été mis en place, réunissant l'Etat, la Ville de Paris, la Mairie du 10ème arrondissement, Ile de France Mobilités et la RATP. Il a donc permis d'associer étroitement l'ensemble des acteurs à chacune des étapes du projet.La Ville de Paris, à l'instar des participants au comité partenarial a été consultée dans la définition du programme. Pendant la phase d'analyse des projets, plus de 200 réunions ont été organisées avec l'ensemble des services de la Ville. Elles ont abouti à plusieurs accords structurants.Un Projet Urbain Partenarial conclu le 9 mai 2019 entre la Ville de Paris et la SA Gare du Nord 2024 porte sur l'amélioration des espaces publics dans le quartier de la Gare du Nord et l'amélioration de la desserte de la gare. La SA Gare du Nord 2024 s'est engagée à financer à hauteur de 6.509.375 euros TTC (soit 75 % du coût total estimé des travaux, soit 8,7 millions d'euros) les équipements publics autour de la gare du Nord.Un protocole signé en juillet 2019 entre la Ville de Paris, la SA Gare du NORD 2024 et SNCF Gares & Connexions acte des accords stratégiques sur la solidarité, l'intermodalité (notamment la création de 2.000 places de stationnement pour vélos en plus du nombre équivalent de places créées directement par la Ville de Paris), la qualité de la programmation commerciale et culturelle, les dimensions du bâtiment ou encore sur les apports et innovations écologiques de la future Gare du Nord.La SA Gare du NORD 2024 a également pris l'engagement de mettre en place des modalités de concertation avec la mairie de Paris et la mairie du 10ème arrondissement et d'information transparente et régulière des riverains sur les avancées du projet. Dans une lettre transmise à SNCF Gares & Connexions le 7 mai 2020, la Ville de Paris a formulé le souhait de travailler autour des 5 chantiers suivants : « un calendrier phasé selon les priorités et contractualisé entre les parties prenantes » ;« l'abandon de la séparation des flux d'entrée et de sortie » ; « la dé-densification du projet » ; « une plus grande ouverture sur le quartier » ; « l'amélioration de l'intermodalité ».De nombreuses réunions organisées en mai et juin 2020 regroupant les services de la Ville de Paris, Ceetrus et SNCF Gares & Connexions ont débouché sur des propositions d'évolution saluées par l'ensemble des parties prenantes du projet lors d'une réunion tenue sous l'égide du Préfet de la Région d'Ile-de-France le 23 juin 2020 en présence des représentants de la Ville de Paris, de la mairie du 10ème arrondissement, de Ceetrus, de la SA Gare du Nord 2024 et de SNCF Gares & Connexions. La Ville de Paris n'a toutefois pas signé le protocole qui actait l'accord des parties.SNCF Gares & Connexions et la SA Gare du Nord 2024 souhaitent poursuivre le dialogue avec la Ville de Paris pour aboutir à un nouvel accord acceptable par toutes les parties.A l'issue de ce processus, le Préfet de la Région d'Ile-de-France, fort de la parfaite régularité du dossier et de son instruction, a délivré le permis de construire le 6 juillet 2020.Les points forts du projet de rénovationD'après les enquêtes clients menées par SNCF Gares & Connexions, les voyageurs comme les riverains font face à de sérieuses difficultés aussi bien à l'intérieur (inconfort de l'attente, manque de lisibilité des espaces) qu'à l'extérieur de la gare (insécurité, malpropreté, multiplication des trafics illicites).Le projet a pour objectif de placer la gare du Nord au niveau des autres grandes gares européennes, tant en termes d'équipements, d'accessibilité, d'intermodalité que de capacité. Et, ce avec une perspective d'une entrée en service pour les Jeux Olympiques de 2024.La modernisation de l'infrastructure ferroviaire : La Gare du Nord est une infrastructure vitale pour Paris, l'Île-de-France, les Hauts de France et le Nord de l'Europe. Rénovée en 2001 pour accueillir 500 000 visiteurs, elle se trouve être largement saturée aujourd'hui avec plus de 700 000 personnes la fréquentant chaque jour. Les estimations montrent que la fréquentation de la gare du Nord devrait progresser pour atteindre près de 900 000 personnes par jour en 2030 (en raison de l'augmentation annuelle de fréquentation des RER B et D, des reports attendus suite au prolongement du RER E vers l'Ouest, ainsi que de l'augmentation continue des déplacements par TGV, Eurostar et Thalys). Le projet va améliorer les liaisons entre la gare de surface TRANSILIEN et la gare souterraine banlieue. Il est vital pour le développement du transport ferroviaire en Ile-de-France comme vers l'Europe du Nord.Le renforcement de l'intermodalité : Le projet renforce la place accordée vélo (+ 2.000 places en plus de celles que la Ville de Paris s'est engagée à créer).Un modèle de développement durable : Le Projet entend s'affirmer comme un modèle de développement durable, ancré dans le souhait de relance verte des Français. Il a ainsi été conçu pour limiter au maximum son impact sur l'environnement et mettre en œuvre une démarche développement durable ambitieuse tout au long de sa vie.La SA Gare du Nord 2024 ambitionne une construction bas carbone, qui se traduira notamment par l'obtention de 4 certifications parmi les plus exigeantes : BREEAM Outstanding, Well Gold, Label Énergie Carbone (E+C-) niveau E3C1 et Biodiversity.Afin de réduire la consommation en ressources et en énergies, le projet aura recours à des panneaux photovoltaïques et à au nouveau système de récupération des eaux de pluie.Une fois rénovée, la gare offrira aux habitants du quartier un nouvel espace vert de 11.400 m² dont 6.000 m2 accessibles à tous. Ce parc paysager en toiture représentera un îlot de fraicheur au sein de la Gare et du quartier. Il permettra de créer une zone perméable et favorisera le retour de la biodiversité avec plus de 10.000 m² de végétaux, dont 150 arbres nouvellement plantés.Une nouvelle vie dans la gare pour les voyageurs et les habitants du quartier.En 2018, lors de la présentation du projet, la Ville de Paris indiquait que la gare du Nord « sera plus accueillante, plus verte, plus sûre, et mieux intégrée à son quartier ».A ce titre, la gare du Nord :améliorera l'accueil de tous les voyageurs, avec une priorité pour ceux atteints de handicaps, notamment grâce à la création de plus de 100 nouveaux ascenseurs et escalators ;comprendra une offre de services et de commerces de proximité de qualité, complémentaires de ceux existants dans le quartier ; par ailleurs, l'organisation de la gare du Nord facilitera l'accès aux services essentiels comme un cabinet médical, La poste, ou à ceux correspondant aux nouveaux besoins des voyageurs, comme un atelier de réparation de vélo ou encore des vestiaires ;comprendra des jeux pour les enfants, de terrains de sport et de tables de pique-nique, ainsi que des fontaines à eau ;offrira une programmation culturelle de qualité.Un projet permettant la création de 800 emplois pendant la phase des travaux et de plus de 2.000 emplois dans la phase d'exploitation de la gare du Nord rénovée.
Il y a 4 ans et 284 jours

Aéroport d’Orly : La seconde vie de la piste 3

Retrouvez cet article dans le numéro 86 de Béton[s] le Magazine La reconstruction de la piste 3 de l’aéroport d’Orly a vu la valorisation de quelque 200 000 t de béton de l’ancienne piste démolie. [©ACPresse] Reconstruire en quasi-totalité l’une des pistes principales d’un aéroport international en fonctionnement est loin de s’inscrire dans un concours d’improvisation. Située au Sud de Paris, la plate-forme d’Orly a vu le jour à la toute fin de la Première Guerre Mondiale. Mais son essor en tant l’aéroport civil ne commence qu’au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, tandis, qu’Air France quitte Le Bourget pour rejoindre Orly en 1952. Orientée Est/Ouest, longue de 2 000 m, la piste 08-26 – dite piste 3 – a été construite en 1947, ainsi qu’une aérogare provisoire. Elle est rallongée vers l’Ouest en 1959 pour atteindre ses 3 320 m actuels. Longeant l’aérogare Sud (devenue Orly 4 depuis peu), la piste 3 croise le tracé de la piste n° 2 à la moitié de sa longueur. Au début des années 1990, elle a subi plusieurs cycles de maintenance pour en prolonger la durée de vie. Avec le temps, Aéroports de Paris constate une dégradation de plus en plus importante des dalles en béton constituant la structure de la piste 3, sur une bonne partie de sa longueur. En fait, les deux tiers Ouest sont concernés, selon une expertise, dont le risque pourrait d’être de réduire la sécurité des vols. Des travaux lourds s’imposent… Ils se sont déroulés durant la seconde moitié de l’année 2019, entre le 28 juillet et le 2 décembre, soit 18 semaines en continu. Un scénario préféré à une option, plus courte d’une semaine, mais nécessitant deux interventions. Tout le trafic reporté sur la piste 4 Les dalles en béton du taxiway W 31 ont été fragmentées pour en neutraliser le battement. [©ACPresse] Le chantier a été divisé en Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 284 jours

26 maîtres d’ouvrage exemplaires

L’appel à projets « 50 maîtres d’ouvrage exemplaires » a été lancé le 12 mars 2020 sur la plateforme DÉMOCLÈS. Co-financé par l’ADEME et ecosystem, il va permettre à 50 maîtres d’ouvrage d’acquérir des pratiques d’exemplarité dans leurs futurs chantiers en matière de gestion et de valorisation des déchets lors des opérations de démolition et de réhabilitation de bâtiments. 26 premiers maîtres d’ouvrage ont été retenus et entament progressivement leur programme d’accompagnement. La seconde session de recrutements pour cet appel à projets est d’ores et déjà ouverte avec une date limite de dépôt des dossiers de candidature fixée au vendredi 18 septembre 2020. Deux types d’accompagnements au choix sont proposés : – Avec une « approche globale » Il s’agit d’accompagner le maître d’ouvrage dans l’évolution de ses pratiques pour l’ensemble de ses futurs chantiers, indépendamment de tout chantier en cours. – Autour d’un « chantier exemplaire » Il s’agit d’accompagner le maître d’ouvrage sur une opération spécifique de démolition ou de réhabilitation qui lui servira de démonstrateur en vue d’une généralisation de ses pratiques. 18 maîtres d’ouvrage retenus ont fait le choix d’un accompagnement global : – BREST METROPOLE HABITAT – FRANCE LOIRE – LOIRE HABITAT – MISTRAL HABITAT – REGIE IMMOBILIERE DE LA VILLE DE PARIS (RIVP) – VALOPHIS HABITAT OPH 94 – NEOTOA – REGION AUVERGNE-RHONE-ALPES – VILLE DE PARIS – ÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER D’AUVERGNE – ÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE L’ÎLE-DE-FRANCE – ÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE NOUVELLE AQUITAINE – ASSISTANCE PUBLIQUE – HOPITAUX DE PARIS – SNCF GARES & CONNEXIONS – SNCF IMMOBILIER – NEXITY – LA FABRIQUE DES QUARTIERS LILLE – SPL ENSEMBLE 8 maîtres d’ouvrage retenus ont fait le choix d’un accompagnement sur un chantier test : – 1001 VIES HABITAT – ETABLISSEMENT PUBLIC FONCIER NORD PAS DE CALAIS – OPAC 36 – OPALY – SARTHE HABITAT – CONSEIL REGIONAL CENTRE VAL DE LOIRE – GRENOBLE-ALPES METROPOLE – SOLIHA PAYS BASQUE
Il y a 4 ans et 285 jours

iQspot réduit la consommation énergétique des bâtiments tertiaires de 15% !

iQspot réduit la consommation énergétique des bâtiments tertiaires de 15% ! 95% du parc de bâtiments tertiaires (bureaux professionnels, commerces, établissements d’enseignement, établissements de santé, locaux sportifs, locaux culturels, entrepôts,…) n’est pas équipé de moyens d’analyse en temps réel des consommations énergétiques. Pourtant, tous les ans, les réglementations RSE contraignent les propriétaires et les locataires à fournir des reportings de plus en plus exigeants. Et la tendance est à la hausse selon les dernières directives du décret tertiaire ! Pour répondre à ce besoin réglementaire et environnemental, iQspot a développé une solution clé en main qui permet d’avoir accès aux consommations énergétiques des parcs immobiliers et d’être alerté en temps réel des anomalies de consommation pour mieux en maîtriser la performance. Après trois années d’utilisation de la solution, Imodam revient sur une collaboration efficace qui lui a permis de réaliser 15% d’économies dès la première année. Le seul acteur sur le marché à collecter les données multi-fluides en temps réel. Depuis 2015, iQspot a développé une solution légère et clé en main par abonnement destinée aux foncières et gestionnaires immobiliers pour collecter en temps réel les données énergétiques de leur parc de bâtiments et ainsi faciliter les diminutions de consommation. La solution capte et agrège en continu les données émises par des capteurs basse consommation installés sur les compteurs (eau, gaz, électricité, réseaux chaud/froid…), puis les algorithmes analysent les données pour mieux piloter l’activité des bâtiments et alerter les gestionnaires en temps réel. iQspot détecte ainsi automatiquement les consommations inhabituelles, mesure l’impact des travaux de réparation ou d’amélioration et étudie le comportement des bâtiments en fonction de la météo, pour agir efficacement en faveur de la transition énergétique immobilière. A date, c’est le seul acteur en France à proposer un suivi aussi complet  tous fluides en temps réel. « iQspot est la seule solution du marché, à notre connaissance, permettant réellement une lecture instantanée des consommations. Les autres solutions examinées proposaient au mieux un relevé journalier, au pire des factures mensuelles : inopérant dans tous les cas pour analyser ce qui se passe et agir sur le terrain.” précise Cédric Jounel, Directeur Technique d’Imodam Une solution qui répond à une obligation réglementaire et qui crée de la valeur. Suite à la publication du décret tertiaire en juillet 2019, tous les bâtiments à usage tertiaire d’une superficie supérieure ou égale à 1000m² ont l’obligation de réduire de -40% d’ici 2030 (puis -50% d’ici 2040 et -60% d’ici 2050), leur consommation d’énergie finale. Le 10 avril 2020, un nouvel arrêté est paru précisant notamment les modes de calcul pour réduire la consommation en fonction de l’année de référence choisie par l’assujetti. En cas de non-atteinte des objectifs, une mise en demeure sera effectuée entraînant une amende pouvant aller jusqu’à 7500€. Les sanctions reposent également sur le « Name & Shame », qui va répertorier le nom des sociétés qui ne se seraient pas acquittées de leurs obligations. Un dispositif qui aura un réel impact sur la valorisation des actifs d’une entreprise. Ces mesures drastiques correspondent en outre à une pression de plus en plus forte des preneurs à bail et obligent les foncières et gestionnaires immobiliers à muscler leurs actions pour répondre aux obligations et à améliorer la performance de leurs bâtiments. [Zoom sur le Business Case iQspot x Imodam] 15% d’économies d’énergie sur le parc d’actifs d’Imodam réalisées dès la première année d’utilisation de la solution d’iQspot. Le cabinet Imodam gère le patrimoine immobilier de nombreux fonds et investisseurs (immeubles de bureaux, commerces et habitations de standing…), soit environ 70 actifs sur Paris et la région parisienne. Afin de certifier et améliorer la note BREEAM In-Use de ses actifs, Imodam cherchait un outil de suivi et de pilotage des fluides (énergie, eau) qui relève les consommations et surveille les données en temps réel. Il souhaitait pouvoir prévenir avec beaucoup de réactivité ses équipes et acteurs sur le terrain (facility, agents CVC, plombiers…) de la présence éventuelles d’anomalies de consommation. Imodam a fait appel à iQspot, seul acteur du marché à proposer un pilotage des données multi-fluides en temps réel. Dès la première année, 15% d’économies avaient été réalisées, grâce à la détection de chasses d’eau qui fuyaient ou par le remplacement des éclairages des parties communes par des LED par exemple. Outre ces économies très significatives, Imodam a également été satisfait de pouvoir rendre compte aux locataires des économies effectuées et de l’intérêt des investissements réalisés. Cédric Jounel, Directeur Technique d’Imodam ajoute même : « Nous avons équipé notre premier immeuble en 2017, puis avons continué chaque année depuis. Nous avons commencé par installer la solution pour relever les consommations d’électricité, puis celles d’eau, et enfin celles des réseaux urbains. Nous avons donc pris une grosse avance sur le décret tertiaire à venir et les déclarations à faire sur la plateforme OPERAT.” _______________________________________________________________________________________________________________ À PROPOS iQspot est le fruit de la rencontre entre deux ingénieurs Julien Bruneau et Quentin Enard. Deux docteurs convaincus que la technologie peut servir de grandes ambitions écologiques, notamment dans le domaine de l’immobilier, responsable de 40% des consommations énergétiques et de 20% des émissions de gaz à effet de serre (GES). En 2015, ils créent iQspot, une solution pour faciliter et valoriser les diminutions de consommations dans les bâtiments à usage tertiaire. En savoir plus : www.iqspot.fr
Il y a 4 ans et 285 jours

Paris-Berlin en 4 heures: le plan de relance européen passe par le rail

Créer un train à grande vitesse permettant de relier Paris à Berlin en quatre heures : l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) dévoile son plan de relance pour l'Union européenne.
Il y a 4 ans et 288 jours

La Ville de Paris préempte le Lavoir moderne parisien à la Goutte d'Or

La municipalité dirigée par la socialiste Anne Hidalgo, qui vient d'être reconduite pour un nouveau mandat, "s'engage pleinement aux côtés des acteurs culturels pour sauvegarder ce bâtiment historique et maintenir son ambition culturelle", selon un communiqué."Elle proposera un projet ambitieux pour ce lieu devenu mythique de par les combats qui y sont rattachés". Une initiative portée par Christophe Girard, adjoint à la culture, Ian Brossat, adjoint au logement, et Eric Lejoindre, maire PS du 18e.Décrit par Emile Zola dans son roman "l'Assomoir", le mythique lavoir de la rue Léon, construit en 1870, fut exploité jusqu'en 1953. En 1968, après des années d'abandon, il a été transformé en salle de théâtre. Il est aujourd'hui géré par l'association "Graines de soleil", soutenue par la Ville.La municipalité s'est positionnée à plusieurs reprises en faveur de la conservation de la partie historique du bâtiment et du maintien de l'activité théâtrale, qui permet de soutenir de jeunes compagnies aux esthétiques variées."La préemption permettra de sauvegarder ce bâtiment représentatif de l'architecture faubourienne. (...) Elle permettra également la réalisation à cette adresse de logements", en plus de la partie artistique, a annoncé la mairie.Le Lavoir moderne parisien a été pendant plus de 30 ans un lieu de culture et de rencontres artistiques pluri-disciplinaires avec une orientation fortement marquée vers les jeunes auteurs."Le lavoir moderne Parisien est un lieu dédié à la création contemporaine résolument ancré sur son quartier. Son pari est de faire confiance aux jeunes compagnies, de promouvoir et de produire des formes et des écritures nouvelles", indique-t-il sur son site internet.
Il y a 4 ans et 288 jours

L’Union sociale pour l’habitat annonce le report en septembre 2021 de son 81ème Congrès

 L’Union sociale pour l’habitat a décidé de reporter la tenue de son 81ème Congrès, initialement prévu du 22 au 24 septembre 2020 au parc des expositions de Bordeaux.  Le décret n°2020-860 pris en application de la loi du 9 juillet 2020 organisant la sortie de l’état d’urgence sanitaire pour la période du 11 juillet 2020 au 30 octobre 2020 inclus, alors qu’il autorise de nombreuses formes de manifestations, notamment sportives ou culturelles, dispose en effet que les Etablissements recevant du public (ERP) de type T (établissements à vocation commerciale destinés à des expositions, foires-expositions, salons ayant un caractère temporaire, salles d’exposition à caractère permanent n’ayant pas une vocation de foire ou de salon) ne peuvent accueillir de public. Le Congrès Hlm, qui accueille chaque année plusieurs milliers de congressistes et de visiteurs et plus de 300 structures exposantes, entre dans cette catégorie.  Cette situation est sans précédent pour l’USH, et la contraint par conséquent à reporter le 81ème Congrès Hlm qui se tiendra donc du 28 au 30 septembre 2021 à Bordeaux.  Ce report, historique et rendu nécessaire par les circonstances, ne privera pas le Mouvement Hlm de sa capacité à faire connaitre ses propositions et ses projets pour la relance économique, et à peser dans le débat public, alors même que la question du logement a retrouvé, dans le contexte de la crise que nous connaissons, toute son importance. L’Union sociale pour l’habitat organisera donc à l’automne, à Paris, une journée consacrée aux objectifs de la relance, et aux moyens nécessaires pour construire, collectivement, une relance juste et durable.  Pour Jean-Louis Dumont, président de l’Union sociale pour l’habitat, « Le Congrès Hlm est un événement politique et économique majeur pour un secteur – le logement social – qui comprend 80.000 salariés et administrateurs, loge 11 millions de personnes, construit chaque année plus de 100.000 logements et investit près de 18 milliards d’euros dans l’économie française. C’est avec tristesse, mais aussi avec responsabilité et gravité que nous avons pris la décision de ce report. Le 81ème Congrès Hlm se tiendra donc à Bordeaux, en septembre 2021, et le Mouvement Hlm y donne d’ores et déjà rendez-vous à ses partenaires politiques, associatifs, économiques ».  Plus d’infos sur : https://www.union-habitat.org
Il y a 4 ans et 288 jours

Une exposition sur les travailleurs de Notre-Dame de Paris

HOMMAGE. Près de la cathédrale Notre-Dame de Paris, sont exposées plusieurs photos mettant en valeur les corps de métiers en action pour sécuriser l'édifice.
Il y a 4 ans et 288 jours

Chantier arrêté pour cause de maternité

Une bergeronnette grise a choisi de faire son nid dans un coffrage métallique sur un des chantiers de la ligne 17 du Grand Paris Express… [©Nicolas Fayet] Non, le confinement n’aura pas été vécu de la même façon que l’on soit des humains, des chiens ou des oiseaux. Les premiers devaient se munir d’une autorisation pour sortir de chez eux. Et si les seconds “promenaient” très souvent leurs maîtres, les troisièmes en ont profité pour investir des lieux inhabituels… Comme un chantier laissé à l’abandon, pandémie oblige ! Ainsi, sur la ligne 17 du Grand Paris Express où Ingérop a une mission de maîtrise d’œuvre des infrastructures, la nature a repris ses droits. En effet, une bergeronnette grise a décidé de faire son nid dans le coffrage de la poutre de couronnement du futur puits d’attaque du tunnelier. En réinvestissant le chantier, début mai, les compagnons ont eu la bonne surprise d’entendre le gazouillis des oisillons tout juste nés. « Nous avons découvert le nid grâce au bruit des petits », raconte un des compagnons. Le chantier a tout de suite contacté l’écologue de biotope, afin qu’il prenne les mesures nécessaires pour protéger le nid. A savoir délimitation de la zone avec de la rubalise et affichage d’information. Pour Paul Cassagnes, un des écologues d’Ingérop, « la bergeronnette grise est une espèce que l’on ne trouve pas souvent en Ile-de-France. Elle aime bien les milieux perturbés comme les chantiers. Notre mission maintenant, est de la protéger ». L’anecdote a fait beaucoup parler sur le chantier, car les compagnons ont l’habitude des arrêts pour cause d’intempéries ou de défaut de livraison. Mais c’est la première fois que le site était mis en pause (ou en tout cas une partie) pour… maternité. Le nid une fois vidé de ses occupants, qui ont pris leur envol, le chantier a pu redémarrer. Un petit peu de légèreté dans ce monde de brutes… M. C.
Il y a 4 ans et 288 jours

Gecina se maintient au premier semestre

RÉSULTATS. Le groupe immobilier français Gecina, spécialiste des bureaux parisiens, n'a pas particulièrement été touché par le confinement et a enregistré un bénéfice quasi stable au premier semestre.
Il y a 4 ans et 288 jours

Eiffage, Saferail et Systra assureront la nouvelle signalisation de la LGV Paris-Lyon

Le contrat d'un montant de 52,5 millions d’euros décroché par le groupement mené par Eiffage Energie Systèmes porte sur le marché d’études, de travaux et de vérifications techniques pour le remplacement de la signalisation sur plus de 500 kilomètres de voies de la ligne dans le cadre de la modernisation et de la fiabilisation de l’infrastructure.
Il y a 4 ans et 288 jours

Une crèche à la façade recyclée dans le 20e arrondissement de Paris

C’est sous la direction artistique de l’architecte Jean Bocabeille du cabinet BFV Architectes que les équipes de Spie batignolles boyer sont arrivées au terme d’un chantier singulier, inscrit dans les exigences du Plan Climat de la Ville de Paris. Les enjeux relatifs à cette opération ont été nombreux pour l’ensemble des parties prenantes de cette opération, parmi lesquels le constructeur Spie batignolles boyer, et ont permis de véritables prouesses en matière d’économie circulaire, notamment au travers de la réutilisation de matériaux. Les équipes de Spie batignolles boyer ont réalisé un bâtiment béton à l’aide d’éléments préfabriqués de type prémurs isolés (isolant intégré dans les prémurs pour une conformité thermique garantie) en façade, en conservant son effet brut d’origine via une lasure gris béton sur la façade extérieure et un bouche pore incolore en intérieur. Les dalles ont été coulées sur place. Ce sont ces prémurs qui assurent la portance de l’ensemble du bâti et permettent de s’affranchir de la pose de nombreux éléments porteurs dans les différentes pièces pour gagner en espace de vie. La réflexion des différentes parties-prenantes engagées dans cette opération s’est appuyée sur la théorie de Pareto selon laquelle 80 % des conséquences sont le résultat de 20 % des causes, ou autrement dit « faire le plus avec le moins ». Les matériaux utilisés pour la construction du bâtiment témoignent de la pugnacité des différents acteurs à inscrire le projet dans un modèle d’économie circulaire locale notable et dans un cadre budgétaire réduit. Ainsi, la réutilisation de matériaux a été privilégiée, notamment pour la conception de la façade bois issue de la transformation de 600 portes palières en chêne massif, lesquelles étaient à l’origine installées dans les immeubles de logement de la RIVP en rénovation dans le même quartier et destinées à être détruites. Conçue telle une vêture en forme de V, celle-ci vient recouvrir la première enveloppe du bâtiment réalisée en béton donnant sur rue et sur la résidence Paris Habitat pour apporter une touche de chaleur et de nature à l’ensemble. Elle a également vocation à préserver l’intimité des enfants de l’extérieur et à apporter un confort l’été en servant de brise-soleil. Les panneaux bois viennent prendre appui sur une ossature en acier galvanisé constituée de montants verticaux et de traverses horizontales. Tous les étages disposent de balcons filants aménagés, les uns sous les autres, entre la structure même du bâtiment et la vêture en bois. Un filet en maille inox faisant office de garde-corps a été disposé derrière les balcons, pour garantir la sécurité des enfants. L’angle du bâtiment reçoit un grand escalier balancé desservant l’ensemble des étages, aménagé pour répondre aux normes de sécurité de l’immeuble. Maître d’ouvrage : Direction des Constructions Publiques et de l’Architecture de la Ville de Paris Photo : Bocabeille
Il y a 4 ans et 289 jours

Georgelin promeut les métiers d'art sur les palissades de Notre-Dame

Le président de l'Etablissement public présentait sur les palissades de la rue du Cloître, le long de la cathédrale, une exposition de photos, "Les bâtisseurs d'aujourd'hui : les corps de métiers au coeur du chantier de sécurisation de Notre-Dame"."La loi me demande à moi de valoriser les métiers d'art. Nous espérons le faire en montrant l'excellence, en suscitant des vocations", a-t-il argué, soulignant qu'il y a "sûrement un gisement important d'emplois". Plus de quarante entreprises interviennent sur le chantier.L'acceptation par l'Elysée d'une reconstruction à l'identique et l'abandon du geste architectural novateur qu'Emmanuel Macron avait souhaité, est le choix du "bon sens, de la fidélité, de la loyauté et de l'amour de l'art gothique", a-t-il plaidé."C'était le voeu des donateurs, de la quasi-totalité des grands architectes, et des Français dans leur immense majorité, si on avait fait un réferendum", a-t-il argué."Nous entrons dans une nouvelle phase, car nous savons maintenant que nous reverrons la flèche de Viollet-Le-Duc, nous allons rebâtir la charpente selon des modalités qui restent encore à préciser et nous reconstruirons la couverture du grand comble en plomb, quels que soient les combats qu'il faudra mener", a-t-il martelé."Entre 150 à 180 personnes travaillent sur le chantier qui connaît un dynamisme qu'il n'avait jamais connu avant, et nous allons monter en puissance. Très vite nous allons passer à 300/450 personnes d'ici la fin de l'année", a-t-il estimé.Il a défendu le plomb pour "la couverture du grand comble": "tous les toits des grands monuments de Paris et des grandes cathédrales françaises sont en plomb". Et "il y a des moyens de traiter le plomb de façon à ce qu'il ne soit pas une atteinte à la santé".Quant à la charpente en chêne, cela "représente 1.000 à 2.000 arbres, c'est à dire 0,0125 de la production française de chênes", a-t-il argumenté.L'exposition montrant les diverses phases et aspects du sauvetage de la cathédrale, réalisées par le photographe Patrick Zachmann (Magnum), met en valeur quelques-uns des corps de métiers -charpentiers, cordistes, échafaudeurs, grutiers, maîtres verriers, tailleurs de pierre et maçons.
Il y a 4 ans et 289 jours

La Ville de Paris préempte le Lavoir moderne

La Ville de Paris a annoncé, le 21 juillet, qu'elle préemptait le Lavoir moderne parisien, ancien lavoir décrit par Zola et aujourd'hui théâtre pour la jeune création, dans le quartier populaire de la Goutte d'Or (18e arrondissement). Des logements doivent y être créés.
Il y a 4 ans et 290 jours

Le prolongement nord de la ligne 14 ouvrira mi-décembre

Ce chantier, qui prolonge la ligne du métro parisien entièrement automatisée au delà de la gare Saint-Lazare, avec quatre nouvelles stations jusqu'à Mairie de Saint-Ouen, a été ralenti d'abord par le confinement puis par les nouvelles règles sanitaires applicables sur les chantiers.
Il y a 4 ans et 290 jours

La sécurité des cathédrales n'est "pas seulement une question d'argent"

"L'urgence va être de faire en sorte que toutes les installations électriques soient vérifiées et que les cathédrales soient toutes dotées de systèmes de détection d'incendie et de détection de fumée, que les plans d'évacuation des œuvres soient mis en œuvre et parfaitement cohérents", a-t-elle argumenté lors de la séance de questions au gouvernement à l'Assemblée Nationale."Mais ne nous faisons pas d'illusions, ce n'est pas seulement une question d'argent: la mise en sécurité des cathédrales est quelque chose de complexe, parce que ce n'est pas un musée, pas un château qu'on visite: c'est un lieu de culte, de prière, de partage, dans lequel on rentre évidemment sans discrimination et en toute liberté", a-t-elle souligné."Comment mettre en sécurité, avec des détecteurs de fumée, une nef qui fait 37,5 mètres de hauteur... C'est la responsabilité de tous et de toutes de garder la sécurité de nos cathédrales", a insisté Mme Bachelot.La ministre de la Culture était interrogée sur le plan "sécurité cathédrales" de son ministère qui concerne 89 édifices cultuels dont l'Etat est propriétaire. Adopté après l'incendie, en avril 2019, de Notre-Dame de Paris par l'ancien ministre Franck Riester, ce plan est doté de 2 millions d'euros en 2020, en sus des 40 à 45 millions d'euros affectés annuellement aux cathédrales.Les investigations de la police judiciaire se poursuivent à Nantes pour tenter de déterminer l'origine du sinistre qui s'est déclaré samedi matin. L'enquête a révélé l'existence de trois points de feu distincts.L'un des pistes envisagées par le sacristain de la cathédrale est celle d'un court-circuit électrique.La plupart des incendies qui se déclarent chaque année dans les églises et cathédrales ne sont pas la conséquence d'actes criminels. Les installations électriques défectueuses sont à l'origine de quelque 30% des sinistres, selon les experts du patrimoine.
Il y a 4 ans et 290 jours

A Paris, l'agence Itar crée un front urbain sur les maréchaux

EN IMAGES. Avec ce projet de densification d'un foncier appartenant à CDC Habitat, Ingrid Taillandier, fondatrice de l'agence Itar, a réussi à créer un front urbain sur le boulevard Ney, dans le nord de Paris, et à faire un clin d'oeil aux HBM nombreux sur la ceinture extérieure de Paris, tout en respectant les trois "grands principes" d'un habitat de qualité.
Il y a 4 ans et 290 jours

CSTB’Lab : A la recherche des bâtiments de demain

Retrouvez cet article dans le n° 89 de Béton[s] le Magazine. Rémi Bouchié a pris la direction du CSTB’Lab au mois d’avril dernier. [©CSTB] Fondé il y a 3 ans, en partenariat avec Impulse Partners, le CSTB’Lab s’intéresse aux start-up qui s’inscrivent dans l’exploration du bâtiment durable, responsable et connecté. En bref, le bâtiment de demain. Une thématique qui colle parfaitement à la feuille de route du CSTB. « Le Centre oriente ses travaux de recherche autour des enjeux stratégiques que sont notamment l’économie circulaire, le bas carbone, ou encore le réemploi ou la qualité de l’air intérieur », explique Rémi Bouchié, directeur du CSTB’Lab. C’est donc de façon naturelle que le CSTB accompagne les innovations dans ces domaines. « Depuis 2017, nous avons accueilli environ une trentaine de start-up. Nous proposons 3 à 4 sujets thématiques par an. » Une fois les grands thèmes dessinés, le CSTB’Lab, grâce à sa veille, repère les start-up susceptibles d’être accompagnées par son accélérateur. « Les entreprises peuvent aussi candidater de manière spontanée, notamment via notre site Internet ou les réseaux sociaux. » Un accès aux connaissances techniques et scientifiques du CSTB Les start-up disposent des locaux de l’incubateur du CSTB à Paris dans le XVIe arrondissement. [©CSTB] La sélection des start-up est réalisée sur dossier par un jury de professionnels du CSTB. Le but n’étant pas de retenir un nombre de start-up précis, mais de s’assurer que la collaboration soit bénéfique pour les deux parties. « Nous auditons une dizaine d’entreprises. Nous regardons le côté disruptif de leur projet et ce que le CSTB peut apporter. » Le CSTB’Lab se positionne entre la phase de prototypage et la phase industrielle et commerciale. « Nous visons l’accélération avant la massification. » Les start-up disposent des locaux de l’incubateur du CSTB à Paris dans le XVIe arrondissement. Rémi Bouchié réalise un entretien personnel avec chacune d’elles, afin de spécifier quel est son objectif, de prioriser les axes d’accompagnement et enfin de désigner un parrain. « Pendant un an, elles disposent d’un parrain issu des équipes de chercheurs du CSTB. » Son rôle consiste à informer, conseiller, mais aussi mettre en relation les start-up et les interlocuteurs adéquats à l’évolution de leur projet. C’est aussi à travers ce parrain que les entreprises ont accès aux connaissances scientifiques et techniques du CSTB. Si les projets de digitalisation et de traitement des datas sont bien représentés, le CSTB’Lab accueille aussi des solutions constructives concrètes. « Nous souhaitons co-construire et co-développer avec les start-up que nous accueillons. L’objectif à l’issue de l’accompagnement est d’aboutir à des partenariats et à des collaborations sur le long terme et d’explorer de nouveaux sujets de recherches », conclut Rémi Bouchié. En ce moment, 18 start-up bénéficient de l’accélérateur. Juillet 2020
Il y a 4 ans et 291 jours

La beauté du patrimoine d’Outre-mer

Les 12 régions et collectivités plurielles qui forment l’Outre-mer sont dotées d’un patrimoine riche et diversifié. On y retrouve de magnifiques paysages et une architecture hors-du-commun. Découvre certains de ses édifices portés par les projets du Loto du patrimoine  sélectionnés lors de la Mission Stéphane Bern.   L’habitation Zévallos au roule  ©Fondation du patrimoine Construite en 1850, cette maison réunit des codes des bâtisses des Cajuns de Louisiane avec sa structure en brique et en fer. Aujourd’hui, elle est au cœur d’un vaste projet de développement et de valorisation : les savoir-faire ancestraux seront employés pour sa restauration mais l’objectif est également d’y édifier un musée et d’y organiser des spectacles. Projet emblématique de la Guadeloupe pour cette année, l’habitation Zévalos retrouvera son aspect d’origine une fois le chantier achevé. Découvrir le projet >             Le Pont suspendu de la rivière de l’Est ©Fondation du patrimoine Perdu au milieu de la végétation, ce pont suspendu date de 1893. L’objectif était alors de relier la région Est à celle du Nord et de développer l’industrie sucrière par le transport des cannes. Aujourd’hui, ce patrimoine aux airs de décor de cinéma est dans un état préoccupant. Projet emblématique de La Réunion, sa restauration permettra de le rendre de nouveau accessible au public mais également d’en faire un pôle d’attractivité touristique et économique favorisant le commerce d’artisanat et de produits locaux. Découvrir le projet >               L’église du Sacré-Cœur de Balata ©Fondation du patrimoine Le projet retenu pour la Martinique est l’église du Sacré-Cœur de Balata. L’architecture de l’édifice évoque le monument éponyme parisien tout en proposant une adaptation tropicale du style romano-byzantin. Il s’agit d’un lieu de culte mais également d’un site touristique ouvert au public au sein duquel sont organisés des concerts et des spectacles. La restauration de l’église permettra de la sauvegarder et de lui permettre de résister au climat local et aux infiltrations. Découvrir le projet >             L’église Saint-joseph d’Iracoubo  ©Fondation du patrimoine En Guyane, l’église Saint-Joseph d’Iracoubo est le témoin d’une mobilisation des habitants. En effet, les travaux débutent en 1887 grâce aux dons des villageois. Elle conserve entre ses murs un décor peint réalisé par le bagnard Pierre Huguet, entre 1892 et 1898, ce qui ajoute au caractère exceptionnel des lieux. Les affres du temps et notamment l’humidité fragilisent cette église qui a désormais besoin d’une restauration. Les abords seront également mis en valeur. Découvrir le projet >             Soutenez d’autres projets sur : le site internet
Il y a 4 ans et 291 jours

Boulogne-Billancourt : Mille colonnes en soil-mixing soutiennent la gare

Retrouvez cet article dans le numéro 89 de Béton[s] le Magazine. La future gare Pont-de-Sèvres se situera en bordure de Seine, juste en face de la Seine Musicale. [©Caroline Kim] Conçue par Soletanche Bachy et baptisée Fundex F5000, la plus grande foreuse d’Europe a travaillé sur le chantier de la future gare Pont-de-Sèvres entre septembre 2019 et mars 2020. Sa mission : renforcer le sol sous le futur terrassement. En effet, la gare sera située en bord de Seine. Le sous-sol est composé de sable sur craie. A une profondeur allant de 15 m à 39 m, la craie a été jugée trop fragile pour accueillir l’infrastructure. La Société du Grand Paris, maître d’ouvrage de l’opération, a donc retenu la solution de soil-mixing proposée par le groupement Horizon, qui réalise le lot T3A (le tunnel de l’Ile de Monsieur à Sèvres jusqu’à la gare de Fort-d’Issy – Vanves – Clamart, deux gares – Pont-de-Sèvres et Issy-RER – et quatre ouvrages annexes).  Le soil-mixing consiste à Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 4 ans et 291 jours

Pour Paris, ville d’histoire, il faut une flèche

Une solution radicale permettant de régler le problème des embouteillages et de la pollution à Paris serait-elle susceptible de réconcilier un président de la République nostalgique et une maire de la capitale allergique à l’automobile, tous deux œuvrant de concert à la ville-musée ? Le 9 juillet dernier, avec sa décision de restaurer Notre-Dame à l’identique, […] L’article Pour Paris, ville d’histoire, il faut une flèche est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 291 jours

Gare du Nord : "le lancement des travaux aura lieu" (E. Wargon)

GRANDS PROJETS. Le Gouvernement a confirmé, devant les sénateurs, son intention de lancer la rénovation de la Gare du Nord en l'état, malgré l'opposition de nombreux acteurs, dont la mairie de Paris, et plusieurs architectes de renom.
Il y a 4 ans et 291 jours

Roadshow nouvelle gamme de volets extérieurs : SOPROFEN se met en route !

En cette période inédite marquée par le report de nombreux salons professionnels, les industriels doivent rivaliser d’ingéniosité pour dévoiler malgré tout leurs nouveautés. Souhaitant vivement trouver une alternative, SOPROFEN part ainsi sillonner les routes de France et de Belgique, du 2 septembre au 30 octobre 2020, pour présenter une innovation exclusive qui rend sa gamme de volets roulants extérieurs encore plus performante.   Pour ce roadshow de 15 étapes, le concepteur gammiste de volets roulants et acteur majeur de la fermeture invite ses partenaires revendeurs et fabricants à vivre une expérience unique. Après une première escale parisienne dans le mythique Olympia le mercredi 2 septembre 2020, le roadshow s’arrêtera dans des lieux insolites ou symboliques :   en France, • Paris : le mercredi 2 septembre • Rennes : le jeudi 10 septembre • Nantes : le vendredi 11 septembre • Toulouse : le jeudi 17 septembre • Bordeaux : le vendredi 18 septembre • Montpellier : le jeudi 24 septembre • Marseille : le vendredi 25 septembre • Grenoble : le jeudi 1er octobre • Lyon : le vendredi 2 octobre • Besançon : le jeudi 8 octobre • Strasbourg : le vendredi 9 octobre • Rouen : le jeudi 15 octobre • Le Mans : le vendredi 16 octobre   ainsi qu’en Belgique, • le jeudi 29 octobre à Namur • le vendredi 30 octobre à Gent.   A l’issue du tour de France, un webinar sera organisé afin de permettre à tous les partenaires qui n’auraient pu être présents sur le roadshow, ainsi qu’aux prospects, de découvrir la nouvelle gamme de volets extérieurs de SOPROFEN.   En allant à la rencontre de plusieurs centaines de professionnels de la menuiserie, SOPROFEN se démarque une nouvelle fois par sa volonté de conserver, en toutes circonstances, une relation de proximité avec ses clients.   Plus d’informations et inscription sur le site internet www.soprofen.fr
Il y a 4 ans et 291 jours

Le prolongement au nord de Paris de la ligne de métro 14 ouvrira en décembre

Ce chantier, qui prolonge cette ligne de métro entièrement automatisée au delà de la gare Saint-Lazare, avec quatre nouvelles stations jusqu'à Mairie de Saint-Ouen, a été ralenti d'abord par le confinement puis par les nouvelles règles sanitaires applicables sur les chantiers."Grâce aux essais concluants de circulation de trains (...) réalisés le week-end des 4 et 5 juillet, la RATP vise une mise en service du prolongement de la ligne 14 au nord pour mi-décembre 2020 avec l'ouverture de trois nouvelles stations (Pont Cardinet, Saint-Ouen, Mairie de Saint-Ouen) et une ouverture de la station Porte de Clichy en janvier 2021", a indiqué la RATP, dans un communiqué.La régie des transports franciliens estime que "le maintien d'une ouverture quasi-totale en 2020 (par rapport au calendrier précédent qui prévoyait une mise en service mi-septembre) résulte à la fois des efforts déployés par la RATP, les équipes de la maitrise d'oeuvre et l'ensemble des entreprises mobilisées"."La station Porte de Clichy, plus étendue que les trois autres stations (...) sera achevée avec un léger décalage et sera maintenue fermée en décembre", précise la RATP.Elle souligne aussi que le nouveau calendrier prévisionnel "reste lié au bon déroulement des prochaines étapes du chantier et de la fourniture des automatismes et matériels roulants, ainsi, bien sûr, qu'à l'évolution de la crise sanitaire".
Il y a 4 ans et 291 jours

Rénovation d'un immeuble de bureaux à Paris, par DATA et DTACC

Procédures enlisées, pertes d'exploitation et organisation compliquée de la reprise des chantiers... Durement éprouvés par l'incertitude économique actuelle, les architectes connaissent des temps difficiles et les mois qui viennent n'annoncent pas d'éclaircie dans les agences. Pour faire face à la crise, […] Lire l'article
Il y a 4 ans et 292 jours

Equipbaie-Metalexpo dévoile son salon digital

EVENEMENTIEL. Le salon Equipbaie-Metalexpo, qui devait avoir lieu du 17 au 20 novembre prochain à Paris Expo Porte de Versailles, a été reporté. Afin de maintenir le lien avec les visiteurs et exposants, la manifestation a décidé de proposer une alternative digitale.
Il y a 4 ans et 292 jours

François de Gliniasty, prescripteur technique et commercial chez HGCT

François de Gliniasty aura pour mission de faire référencer les technologies innovantes développées par HGCT. [©HGCT] François de Gliniasty devient le nouveau prescripteur technique et commercial pour l’Ile-de-France de Hoffmann Green Cement Technologies(HGCT). « C’est avec enthousiasme que j’intègre les équipes Hoffmann Green aujourd’hui. Afin de prendre en charge le développement de la société dans la région Ile-de-France. En plus de rejoindre une société portée par un plan de développement ambitieux, il s’agit avant tout d’une aventure humaine collective. Ceci, marquée par la volonté de construire les villes durables de demain. Ensemble, nous mettrons en œuvre la stratégie commerciale adéquate pour renforcer le leadership de Hoffmann Green. Ceci, sur le marché des ciments décarbonatés. Avec un maillage progressif du territoire », indique François de Gliniasty. En effet, celui-ci aura pour mission de faire référencer les technologies innovantes développées par HGCT. Et de les faire inscrire dans le cahier des charges des projets de construction. Basé entre la Vendée et la région Ile-de-France, il devra aussi élaborer. Et coordonner des études techniques et de prix avec les différents partenaires de la société. Parcours de François de Gliniasty François de Gliniasty, 45 ans, dispose de plus de 25 ans d’expérience dans le pilotage de stratégies de prescription, de vente et de logistique. Il a débuté sa carrière chez Lapeyre (groupe Saint-Gobain) dans la vente auprès des professionnels du bâtiment, puis y occupe le poste de responsable logistique de 2000 à 2005. Il est ensuite nommé responsable organisations pour les régions Rhône-Alpes et Provence – Alpes – Côte-d’Azur où il pilote les stratégies de vente, des procédures de stockage et de gestion informatique. Depuis 2008, François de Gliniasty occupait le poste de développement commercial pour sur la région parisienne au sein de Wedi France. Société spécialisée dans les matériaux de construction innovants prêts à l’emploi.
Il y a 4 ans et 295 jours

Aéroport de Roissy : la crise remet en cause le terminal 4

AÉROPORTS. Le terminal 4 de Roissy-Charles de Gaulle, projet d'extension doté d'une capacité de 40 millions de passagers, verra-t-il le jour? La crise sanitaire mondiale contraint Aéroports de Paris et l'Etat à revoir leur copie, sévèrement critiquée par l'Autorité environnementale.
Il y a 4 ans et 295 jours

Laure Prouvost : Le bleu lui va si bien…

[©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua] Depuis le week-end du 13 juin, les visiteurs du musée toulousain des Abattoirs peuvent à nouveau découvrir l’exposition de Laure Prouvost “Deep See Blue Surrounding You”/“Vois ce bleu profond te fondre L’artiste conceptuelle Laure Prouvost, 42 ans. [©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua] En effet, jusqu’au 20 septembre prochain, première étape de la tournée de l’exposition de Laure Prouvost au Pavillon français, présentée à la 58e Biennale de Venise (printemps 2019). Qui est accueillie au Frac Occitanie – Les Abattoirs de Toulouse. Cette installation se veut une exposition immersive et onirique. Sous forme de film, c’est un voyage initiatique, une joyeuse épopée tournée lors d’un road-trip à travers la France. De la banlieue parisienne au Nord de la France, du Palais du Facteur Cheval à la mer Méditerranée, jusqu’à Venise. Les dialogues sont portés par l’interprétation d’une douzaine de comédiens d’horizons et d’âges divers. Chacun d’entre eux possède des talents bien à lui : magie, danse, musique… Pendant le tournage, cette troupe a constitué une sorte de cirque ambulant. Ce film est basé sur un script co-écrit par Laure Prouvost et divers contributeurs. En français et en anglais, avec des passages en italien, en arabe ou en néerlandais. Une installation sculpturale in situ en béton, adaptée aux espaces d’exposition des Abattoirs, vient enrichir et développer leurs propos. Ceci, avec des procédés propres à l’artiste comme des objets vestiges du film : du béton, de la résine, de la terre, du verre…  [©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua][©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua][©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua][©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua][©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua][©Laure Prouvost, Deep See Blue Surrounding You/Vois Ce Bleu Profond Te Fondre, Pavillon français à la 58e Biennale d’art de Venise, 2019.©Giacomo Cosua] Annabelle Ténèze, commissaire de l’exposition et directrice des Abattoirs. [©Boris Conte] « C’est un film qui raconte la vie d’aujourd’hui. L’identité, l’errance… L’installation qui le nourrit voit trois fauteuils en forme de sculpture se dresser face à la projection sur les murs des Abattoirs. Ce sont des œuvres qui vont avec le film. Ces sculptures maniérées ont été mises en œuvre en béton. Les spectateurs peuvent s’y asseoir. Dans ce même matériau, elle a écrit quelques mots comme sur des stèles romaines. Le béton fait partie de son univers, de sa vie, de ce qu’elle filme », indique Annabelle Ténèze, commissaire de l’exposition et directrice du musée. L’installation de Laure Prouvost étonne. L’artiste mêle technologies modernes, comme la vidéo, et savoir-faire traditionnels – béton, céramique, tapisserie… Tout en ayant un goût prononcé pour le loufoque. Une imagination débordante qui interpelle.  Deuxième étape de l’installation prévue au LaM de Villeneuve-d’Ascq, du 15 octobre 2020 au 17 janvier 2021.  Retrouvez l’univers de Laure Prouvost aux Abattoirs.
Il y a 4 ans et 295 jours

Un "Grand Palais éphémère" en montage sur le Champ-de-Mars, à Paris

Construit pour l'Exposition universelle de 1900 et dédié "à la gloire de l'art français", le Grand Palais doit bénéficier d'une importante rénovation jusqu'en 2024 afin de "faire entrer pleinement le monument dans le XXIe siècle".Le "Grand Palais éphémère", bâtiment provisoire d'environ 10.000 m² conçu par l'architecte Jean-Michel Wilmotte, accueillera d'ici là les manifestations artistiques et culturelles, ainsi que les événements liés à la mode, à la gastronomie et au sport habituellement organisés dans la Nef. Une grande partie du Champ-de-Mars restera accessible aux promeneurs.Une fois ces travaux de rénovation achevés, le Grand Palais historique accueillera à l'été 2024 les épreuves d'escrime et de taekwondo des Jeux olympiques, puis d'escrime fauteuil et de para judo des Jeux paralympiques.Le "Grand Palais éphémère" abritera au même moment les compétitions de judo et de lutte des JO, puis celles de tennis de table paralympiques.
Il y a 4 ans et 295 jours

Dossier : 4 musées à l'architecture minimaliste

Des lieux culturels affichent une architecture minimaliste et font ainsi la part belle aux arts et aux œuvres présentés. Cette semaine, la rédaction de Muuuz vous invite à découvrir quatre nouveaux lieux culturels, musées et centres d’art, qui se démarquent par leur architecture épurée. Le Centre d’interprétation de l’art romanLe studio portugais d'architecture et de design Spaceworkers, fondé par les architectes Henrique Marques et Rui Dinis, et par la consultante financière Carla Duarte, conçoit un bâtiment tout en béton pour accueillir le Centre d’interprétation de l’art roman. Installée dans la ville de Lousada au Portugal, cet édifice est une réinterprétation du vocabulaire traditionnel de l’architecture romane. . Le Centre Pompidou x West Bund Museum ProjectAprès une implantation à Malaga, puis à Bruxelles, le Centre Pompidou s’exporte à Shanghai en Chine. Suite à l’inauguration de l’édifice construit par David Chipperfield, le musée vient d’ouvrir ses portes au public samedi dernier. Retour sur la genèse d’un projet d’ampleur favorisant les échanges culturels et économiques entre la France et la Chine. C’est sur la rive nord du fleuve Huangpu que s’élève l’écrin de verre réalisé par l’architecte britannique David Chipperfield. Installé sur une esplanade surélevée bordée par un parc, le bâtiment de 25 000 mètres carrés se divise en trois volumes, distincts et linéaires, organisés autour d’un hall central avec un atrium à double hauteur. . Le Musée Cantonal des Beaux-Arts de LausanneAlors qu’il occupait jusqu’alors le Palais de Rumine, le MCBA – Musée Cantonal des Beaux-Arts de Lausanne (Suisse) bénéficie désormais de son propre bâtiment, un monolithe aux accents brutalistes signé Barozzi-Veiga. Installé en centre-ville, l’ensemble vise à donner naissance à un nouveau quartier des arts : Plateforme 10, qui devra rassembler à terme le MCBA, le Musée de Design et d’Arts appliqués (MUDAC) et le musée de l’Élysée, un établissement dédié à la photographie. . La MÉCALe trio d'architectes parisiens Freaks et les équipes du studio danois Bjarke Ingels Group emporte la ville de Bordeaux (33) dans une spirale créative avec la MÉCA, un centre culturel néo-aquitain de 18 000 mètres carrés posé sur la rive gauche de la belle endormie. Bordeaux s'enivre ainsi de culture avec la MÉCA, son tout nouveau temple de l'art. Investie par le Fond Régional d'Art Contemporain et deux agences dédiées au théâtre ainsi qu'au cinéma, cette Maison de l'Économie Créative et de la Culture en région Nouvelle-Aquitaine doit son imposante bâtisse à l'agence danoise BIG, réalisée en collaboration avec le studio français Freaks.La Rédaction
Il y a 4 ans et 295 jours

Découvrez les 30 réalisations sélectionnées pour le Prix d'a 10 + 1

Le 6 juillet, le jury a tenu une première délibération à L’institut National d’Histoire de l’Art à Paris. Il a présélectionné 30 réalisations remarquables parmi lesquelles seront choisies les 10+1 lauréats du Prix d’architectures le 17 septembre. Découvrez les 30 réalisations sélectionnées sur : https://prixdarchitectures.com/index.php/laureats...
Il y a 4 ans et 296 jours

La justice donne raison aux notaires et retoque la "déesse du foyer" de la Fnaim

Les notaires, qui avaient saisi le Tribunal judiciaire de Paris, souhaitaient faire interdire l'utilisation par les agents immobiliers d'un logo spécifique témoignant de leur statut officiel et qui représentait la silhouette d'une déesse romaine, Vesta.Or, cette déesse ressemblait un peu trop à la figure représentant traditionnellement les notaires (une autre figure féminine mythologique portant une couronne), a estimé le Conseil du notariat, jugeant qu'il y avait là un risque de "pratiques commerciales trompeuses".Les deux symboles présentent "d'évidentes similitudes", a tranché vendredi le tribunal des référés, jugeant que "l'adoption et l'utilisation par ses promoteurs du signe +Vesta+ constitue un trouble manifestement illicite"."Le #CSN poursuivra avec détermination tous les braconniers du sceau qui misent sur la confusion. L'emblème de la #République ne saurait être galvaudé", a tweeté mercredi son président, Jean-François Humbert, en réaction à cette décision de justice rendue en procédure rapide."Il est le symbole des seuls officiers publics et agents qui représentent l'Etat, et de la puissance publique qui les a nommés", a ajouté le dirigeant. Il a par ailleurs cité auprès de l'AFP un sondage montrant que "les personnes interrogées pensaient aux notaires lorsqu'elles voyaient ce signe", en référence à la déesse choisie par la Fnaim.Le tribunal a expliqué avoir notamment fondé sa décision sur des détails précis pouvant prêter à confusion, notamment la forme ovoïde des deux logos et le drapé porté par les deux femmes représentées.Première victoireIl s'agit là d'une première victoire pour le CSN, qui cherchait à travers cette action en justice à éviter tout risque de confusion entre le rôle d'authentification de transactions dévolu aux notaires, et celui des agents immobiliers servant d'intermédiaires entre vendeurs et acheteurs de biens.Une première victoire -- car la Fnaim, contrainte par la justice de faire retirer sous huit jours l'ensemble des supports utilisés par toute personne, sous peine d'une astreinte de 500 euros par jour et par infraction, a d'ores et déjà annoncé son intention de faire appel.La première organisation d'agents immobiliers veut conserver ce choix de déesse du foyer comme "le symbole d'une profession réglementée"."Nous n'avons pas conçu ce caducée contre les notaires, mais pour affirmer notre identité d'agents immobiliers qualifiés, titulaires d'une carte professionnelle", a affirmé son président Jean-Marc Torrollion dans une déclaration transmise à l'AFP."Je déplore le mépris affiché une nouvelle fois par le Conseil supérieur du Notariat vis-à-vis des professionnels de l'immobilier", a-t-il ajouté.M. Torrollion réclame par ailleurs un "arbitrage politique" de cette affaire, estimant avoir reçu le soutien de Julien Denormandie, ancien ministre de la Ville et du Logement --passé entre-temps au portefeuille de l'Agriculture à la faveur du remaniement ministériel.Loin d'être simplement une querelle de voisinage, cette bataille en justice est l'expression d'un malaise plus profond entre ces deux maillons de l'immobilier français: les deux organisations ont difficilement cohabité lors du récent confinement pour cause de coronavirus.Dès les premiers jours, la Fnaim a reproché aux notaires d'être nombreux à fermer leurs études et à ne plus authentifier les opérations immobilières, une étape essentielle pour les mener à bien et permettre aux professionnels d'être payés.Le gouvernement a tenté de résoudre le conflit en servant d'intermédiaire. Rapidement, il a pris un décret pour faciliter la signature virtuelle de documents auprès de notaires. Mais la mesure, difficile à généraliser techniquement, n'a guère débloqué la situation.Les notaires ont de leur côté attaqué début avril la Fnaim, lui reprochant des "chiffres fantaisistes et trompeurs" sur le nombre de projets immobiliers bloqués.
Il y a 4 ans et 296 jours

RATP: le prolongement nord de la ligne 14 ouvrira en décembre

GRAND PARIS EXPRESS. Le prolongement de la ligne de métro 14 au nord de Paris devrait pouvoir être mis en service en décembre, avec environ trois mois de retard en raison de la crise sanitaire, a annoncé, le 16 juillet, la RATP.
Il y a 4 ans et 296 jours

Notre Dame : prendre en compte les diagnostics et les nouveaux facteurs avant de reconstruire

L’association Restaurons notre Dame appelle à la prudence. Il faut attendre les résultats des diagnostics physiques et mécaniques de l’infrastructure avant de reconstruire, mais aussi prendre en compte de nouveaux facteurs, notamment climatiques. Par ailleurs, l’association a monté un pôle bois scientifique et technique afin de participer aux côtés de la maîtrise d'œuvre, à la conception de la charpente, flèche et toiture de Notre-Dame de Paris.
Il y a 4 ans et 296 jours

Projet gare du Nord: la Mairie de Paris accuse le gouvernement de "passer en force"

La décision de l'Etat de délivrer le permis de construire au volet commercial du projet de la Gare du Nord est "incontestablement un déni de démocratie", a fustigé le premier adjoint à la Mairie de Paris .
Il y a 4 ans et 296 jours

Accords et désaccords sur Notre-Dame de Paris

La flècheSymbole parmi les symboles, parce que sa chute fut l'image marquante de la soirée du 15 avril 2019, le devenir de la flèche de Notre-Dame a électrisé le débat pendant de longs mois. Au final, elle retrouvera la même forme, basée sur les plans de l'architecte Viollet-le-Duc."Cette flèche était complètement constitutive du paysage parisien, tous les spécialistes vous le disent et reconnaissent que c'est un chef d'oeuvre absolu", a argué le général Jean-Louis Georgelin, chargé de piloter la reconstruction de l'édifice, vendredi sur LCI, au lendemain de l'annonce du président Macron qu'il se ralliait à une reconstruction à l'identique.Certains comme l'architecte Jean-Michel Wilmotte ont toutefois déploré une occasion manquée de concevoir une flèche moderne, avec "un système d'éclairage exceptionnel", par exemple.La charpenteSurnommée "la forêt", la charpente de Notre-Dame, joyau de l'architecture médiévale qui a été dévorée par les flammes, sera finalement reconstruite en chêne et non en béton, comme la cathédrale de Reims, ou en métal comme le Parlement de Bretagne, deux options un temps avancées.Ce choix a fait débat au sein de la commission du patrimoine et d'architecture (CNPA) qui s'est réunie jeudi et a fini par choisir cette option, dans son avis suivi par le président Macron.Plusieurs questions ont été abordées: est-il judicieux de reconstruire la charpente en chêne, après un incendie qui a failli détruire totalement la cathédrale? Quelles mesures vont être prises pour éviter un nouveau drame ?Les défenseurs du bois, depuis le début, ont toujours fait valoir qu'une charpente à l'identique permettrait d'aller plus vite et de tenir les délais imposés par le président."Pour la charpente en chêne, nous avons demandé que le dessin soit étudié et précisé dans la future étude de diagnostic", a affirmé à l'AFP le sénateur Jean-Pierre Leleux à la tête de cette commission. Le résultat ne sera pas entièrement "à l'identique", a-t-il précisé: "on peut imaginer quelques changements avec des dispositifs incendie plus fiables".La couvertureQui dit reconstruction "dans le respect des matériaux d'origine", comme souhaitée par la CNPA, dit plomb pour la toiture de la cathédrale, ou "la couverture", constituée de 1.326 tables de 5 mm d'épaisseur pesant au total plus de 200 tonnes."Je m'attends à des combats assez difficiles" sur ce point, a admis le général Georgelin, alors que les risques de contamination liés aux particules de plomb qui s'étaient répandues dans l'atmosphère et au sol, après l'incendie du 15 avril, ont empoisonné le début des travaux, nécessitant des suspensions puis la mise en place de protocoles très stricts pour que les ouvriers reprennent le travail.Le calendrierDepuis l'incendie de la cathédrale, l'objectif du président Macron est le même: la rebâtir en cinq ans. "Nous rendrons la cathédrale au culte en 2024", a assuré le général Georgelin, mais "ça ne veut pas dire que tout sera terminé, peut-être que la flèche ne sera pas terminée".Après de multiples aléas, du plomb à la crise du coronavirus, le délicat démontage de l'échafaudage qui entoure Notre-Dame, déformé et soudé par la chaleur de l'incendie, devrait être achevé "au plus tard fin septembre". Il conditionne le démarrage des travaux de restauration à proprement parler. Une étude de diagnostic sera lancée dans les semaines qui viennent, pour "définir le programme précis de travaux permettant la réouverture au culte et à la visite", prévue en avril 2024. Rendu des travaux attendu cet automne.
Il y a 4 ans et 296 jours

Agru, réhabilitation des égouts de Paris par plaques à crampons

  Agru, étanchéité de cunettes dans les égouts de Paris. [©Agru]  La plaque à crampons ULTRA GRIP d’Agru permet de protéger le béton des agressions chimiques. On utilise cette plaque en travaux neufs ou en réhabilitation: cuves, bassins, aqueducs, égouts STEP… L’ULTRA GRIP est disponible en PEHD, PP, PVDF et ECTFE selon la nature chimique des polluants, leur concentration et la température de stockage. La plaque à crampons ULTRA GRIP est insensible aux micro-fissurations du béton. Disponible en plaque ou en rouleaux jusqu’à 5 m de largeur et 50 m de longueur limitant ainsi le nombre de soudure sur chantier. La forme des crampons permet un ancrage maximal au béton : résistance à l’arrachement de 80 t/m2. Le procédé ULTRA GRIP permet de protéger le béton : de la corrosion – des nappes phréatiques – d’améliorer le coefficient de glissance – d’assurer la qualité des produits transportés (eau potable par exemple). Pas de protection particulière pour les poseurs et les soudeurs. Toutes les soudures sont contrôlables à 100%.   A propos d’AGRU : Présente depuis 70 ans, AGRU est une entreprise mondiale qui fabrique une des plus large gamme de Géosynthétiques pour les Travaux Publics, le Génie Civil et l’Industrie. Les géomembranes, les collecteurs, les raccords et les drains, en passant par les étanchéités d’ouvrages béton, font la renommée de cette société à la pointe de la technologie. Depuis 25 ans, AGRU France distribue la gamme AGRU en conseillant ses clients en fonction de leurs applications et des caractéristiques recherchées.