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Résultats de recherche pour diagnostic

(1200 résultats)
Il y a 4 ans et 250 jours

La France compterait 4,8 millions de "passoires thermiques", selon un rapport

"Sur les 29 millions de résidences principales au 1er janvier 2018, environ 1,9 million de logements (6,6% du parc) seraient peu énergivores (étiquettes A et B du diagnostic de performance énergétique, DPE)", selon ce rapport.À l'opposé, "environ 4,8 millions de logements (soit près de 17% du parc) seraient très énergivores (étiquettes F et G du DPE, regroupant les logements qualifiés de +passoires thermiques+)".Ce chiffre est inférieur à l'estimation qui avait été faite en 2013, qui évaluait la part des passoires thermiques à 31% du parc, relève le rapport. La différence s'explique notamment par "l'échantillon relativement restreint de l'enquête" de 2013."Les étiquettes D et E du DPE sont les plus fréquentes (respectivement 34% et 24% du parc)", selon le rapport.Les logements très énergivores se comptent principalement parmi les maisons individuelles, les petites surfaces et les bâtiments construits avant 1948.Ils se retrouvent plus dans des départements ruraux et montagneux, comme la Nièvre, la Creuse et le Cantal, et moins dans sur la façade atlantique et l'arc méditerranéen, où les besoins en chauffage sont moins importants. Le diagnostic de performance énergétique se base notamment sur la consommation énergétique annuelle d'un logement, où le chauffage joue un rôle important."Le parc social est sensiblement moins énergivore que le parc privé, ce qui s'explique par une forte prévalence du chauffage collectif au gaz, ainsi que par un effort de rénovation ciblé", relève le rapport. Dans le parc privé, la part des passoires thermiques où vit des ménages pauvres est plus élevée que celle occupée par des ménages aisés.La France s'est dotée en 2015 d'un objectif très ambitieux: que l'ensemble du parc immobilier soit rénové "en fonction des normes +bâtiment basse consommation+".
Il y a 4 ans et 250 jours

La France compte 17% de passoires thermiques

DIAGNOSTIC. Une nouvelle étude des services statistiques de l'Etat donne la répartition du parc de logements selon leur classe énergétique. Typologie, revenus des occupants, situation géographique : ce panorama s'avère riche d'enseignements pour les politiques de soutient à la rénovation thermique, dont l'approfondissement a été annoncée récemment.
Il y a 4 ans et 259 jours

Solliciter un bureau d’études VRD pour un projet de construction urbain

Avant la réalisation de tout projet de construction urbain, différents détails techniques doivent être étudiés avec minutie. Cette analyse est indispensable pour orienter les possibilités d’aménagement et leurs impacts. Le recours à un bureau d’études VRD à Nantes permet donc de bénéficier d’une vue d’ensemble sur tous les envers du projet pour mieux encadrer sa réalisation. Les missions d’un bureau d’études VRD Le rôle majeur d’un bureau d’études (BET) VRD est de prendre en charge la maîtrise d’œuvre d’un chantier à usage public ou privé. Dans ce contexte, il intervient pour analyser un projet de construction dans son ensemble. Cela tient compte des spécificités du terrain, mais aussi des structures existantes. En fonction des données reçues, le BET pourra avancer des solutions techniques adaptées aux besoins des bénéficiaires. Selon la construction envisagée, il détermine les réalisations à prévoir, en adéquation avec les réglementations d’urbanisme. Grâce à l’expertise et la pluralité des acteurs, les choix structurels et techniques seront alignés aux caractéristiques du projet d’aménagement. En plus de la pré-étude des travaux, le BET sera de même chargé du suivi du chantier jusqu’à la réception. Il s’acquitte de la coordination de tous les acteurs dans le but commun de répondre aux directives du cahier des charges. Le bureau d’études VRD Nantes peut également assister une collectivité ou une entreprise en prenant en charge les dossiers de subvention et les formalités réglementaires. Il assure aussi l’obtention de permis d’aménagement, de permis de construire ou de dossier ZAC. Le BET intervient à différentes échelles, comme les communes, les quartiers ou les intercommunalités. Il peut donc être sollicité pour un projet d’aménagement de bourg, de conception d’un réseau d’assainissement collectif ou d’édification d’un pont. Il assure un travail indépendant tout en contribuant de façon notable aux travaux de construction. Les avantages de faire appel à un BET VRD Le bureau d’études VRD est composé de plusieurs spécialistes issus de domaines différents, mais complémentaires. Leurs compétences concernent notamment l’urbanisme, l’ingénierie VR, mais aussi le secteur hydraulique et écologique. Ces ingénieurs accompagnent ainsi leurs clients dans les différentes phases de leur projet d’aménagement urbain ou rural, comme le traçage de rues piétonnes ou la réhabilitation d’un lieu public. Une étude technique élargie permet de soutenir la faisabilité du projet et d’en évaluer le coût de manière objective et pertinente. Cette intervention occasionne un gain de temps et plus d’efficacité pour les organismes bénéficiaires. À partir d’un interlocuteur unique, les organismes demandeurs pourront bénéficier d’un dossier complet concernant la conception d’un ouvrage donné. L’intervention du dessinateur projeteur concrétise chaque donnée à travers des plans réalistes et conformes. Grâce aux services d’un BET compétent, les aménagements paysagers permettent une meilleure valorisation de l’environnement. Les ingénieurs mettent en avant leur expertise pour proposer des solutions d’aménagement cohérentes et axées sur une politique de développement durable. La programmation des équipements publics sera modelée suivant les potentialités d’évolution de la zone concernée. Faire appel à un bureau d’études VRD est d’ailleurs bénéfique pour avoir une idée précise des impacts environnementaux du projet. En misant sur une étude écologique et un diagnostic hydraulique concret, les ingénieurs VRD inscrivent chaque construction dans une démarche écologique.
Il y a 4 ans et 264 jours

DEKRA Diagnostic rejoint la FIDI

Le Groupe DEKRA, leader européen de l'inspection, de la certification, des services et de la gestion des sinistres dans les domaines de l'automobile, du transport et de l'industrie, a décidé de rejoindre la FIDI (Fédération interprofessionnelle du Diagnostic Immobilier) à travers l’adhésion de sa branche DEKRA Diagnostic.
Il y a 4 ans et 266 jours

Diagnostiquer pour préserver le patrimoine

Société spécialisée dans les audits, les diagnostics, l’instrumentation et l’assistance à maîtrise d’ou- vrage, QCS Services propose son expertise pluridisciplinaire aux constructeurs et aux gestionnaires de patrimoines. Afin de compléter son offre, QCS Services s’est récemment dotée d’un laboratoire d’analyse de matériaux. Objectif : poser un diagnostic sûr et complet pour réaliser les mesures pré- ventives afin de pérenniser et sécuriser le patrimoine.
Il y a 4 ans et 267 jours

Une erreur de diagnostic thermique n'a pas de conséquences graves

Si ce professionnel s'est trompé dans le diagnostic de performance énergétique (DPE), il ne doit pas supporter les travaux d'isolation mais seulement une indemnité raisonnable, a jugé la Cour de cassation.Un acheteur soutenait que, pour atteindre la performance annoncée lors de la vente par ce diagnostic erroné, il lui fallait entreprendre des travaux d'isolation dont le coût devait être assumé par le responsable de l'erreur.Mais les juges ont écarté ce raisonnement. Le seul préjudice de l'acheteur est d'avoir perdu une chance de négocier un prix plus bas, ont-ils dit.Le DPE n'a qu'une valeur informative, à la différence des autres diagnostics, a expliqué la Cour. Pour cette raison, l'annulation de la vente a d'abord été refusée à l'acquéreur qui invoquait un "vice caché". En croyant que la maison était classée D quand elle aurait dû être classée G, l'acquéreur a seulement pu la payer trop cher, a estimé la Cour.Cet acheteur n'a pas d'autre préjudice, a-t-elle conclu. Mettre à la charge de l'auteur de l'erreur le coût de l'isolation serait une indemnisation excessive qui dépasserait le préjudice, selon elle. L'auteur du diagnostic a fait une erreur de constatation mais n'est pas à l'origine des déficiences de l'isolation ni des travaux nécessaires pour y remédier, avait déjà expliqué la cour d'appel antérieurement.(Cass. Civ 3, 21.11.2019, V 18-23.251).
Il y a 4 ans et 272 jours

Chaffoteaux associe la régulation connectée de série à ses systèmes de chauffage

CHAFFOLINK est pilotable par la voix avec les systèmes Google Home, Amazon Alexa ou Apple Home Kit, une fonction efficace et pratique pour tous, et en particulier pour les personnes âgées ou en situation de handicap. Pour les professionnels, il permet de superviser à distance et en temps réel le parc d'installations connectées avec la plateformeCHAFFOLINK évolued'accessibilité grâce à l'intégration de tutoriels dans toutes les fonctions de l'applicationde tranquillité d'esprit avec une chaudière ou une PAC sous contrôle permanentd'économies d'énergie grâce à de nouveaux éco-conseils personnalisés disponibles dans l'applicationd'interopérabilité avec les autres systèmesLa régulation connectée : comment ?Cette solution de pilotage à distance se matérialise par un kit comprenant une box jouant le rôle depasserelle de communication (via Wifi ou GPRS) entre la chaudière et une application mobile que l'utilisateur installe sur son smartphone, sa tablette (pour le particulier) ou son ordinateur (pour le professionnel), ainsi qu'un boîtier-thermostat permettant la régulation modulante de la chaudière. “Chaffolink a été pensé à la fois pour l'utilisateur final et pour le prestataire de service chargé de l'entretien de la chaudière” indique Benjamin d'Erceville.CHAFFOLINK : un concentré de technologies au service des particuliers et des professionnelsCôté utilisateur final : confort et simplicitéCHAFFOLINK permet un pilotage simple et personnalisé de la température. Il peut être programmé selon les plages horaires ou modifié à distance via l'application selon le scénarii souhaité. Plusieurs logements peuvent être gérés depuis le même compte et plusieurs comptes peuvent piloter le même logement grâce la fonction de gestion des invités.CHAFFOLINK étudie les habitudes de consommation pour les optimiser et l'estimation de la consommation énergétique (en kilowattheure) est accessible d'un clic.Un système de notifications en temps réel avertit l'utilisateur en cas d'anomalie et déclenche un service à distance si l'option a été retenue.CHAFFOLINK est une offre intéropérable permettant d'enrichir ses fonctionnalités autour de la sécurité, du contrôle des stores et volets, de l'efficacité énergétique… Elle est compatible avec la solution domotique Tahoma de Delta Dore et poursuit son développement avec d'autres plateformes d'intéropérabilité.Côté installateurs et prestataires de services : agilité et optimisation de la maintenanceCHAFFOLINK ouvre la voie au télédiagnostic à distance. L'application “CHAFFOLINK MANAGER” a été conçue comme une plateforme web à laquelle le professionnel accède pour superviser son parc de chaudières connectées sous contrat. Il reçoit une alerte en cas de défaut d'un équipement et, si le cas le permet, effectue le dépannage à distance et en temps réel.CHAFFOLINK offre également au prestataire la possibilité d'une maintenance prédictive grâce à l'historique des erreurs et des opérations effectuées sur la chaudière par l'utilisateur final ou un technicien. Optionnelle et payante, cette option est proposée aux clients particuliers en étant intégrée au contrat de maintenance annuel.Zoom sur ARIANEXT M : pompes à chaleur monobloc connectées de sérieLa gamme de PAC ARIANEXT M à très hautes performances énergétiques est idéale pour les maisons neuves et la rénovation. Ultracompacts et silencieux, les 4 modèles de la gamme correspondent à tout type d'habitation. ARIANEXT M s'adapte à toutes les zones climatiques pour offrir des puissances stables même dans les régions les plus froides. Connectées, les PAC ARIANEXT M sont livrées de série avec l'Expert Control Link et compatibles avec la solution de thermorégulation connectée ChaffoLink.Les pompes à chaleur connectées les plus performantes du marché :COP record jusqu'à 5,11 Efficacité énergétique saisonnière Eta s : jusqu'à 189 % (A+++)Gamme complète de solutions : puissances de 4 à 11 kW à -7 °C d'air extérieurSilencieuse : seulement 57 dB(A) de puissance acoustique à l'extérieurConnectivité ChaffoLink incluse de sérieARIANEXT M : 4 solutions adaptées à chaque besoinLa gamme ARIANEXT M se décline en deux solutions double service pour le chauffage et la production d'ECS (ARIANEXT COMPACT M et ARIANEXT FLEX M) et deux PAC monoservice pour le chauffage seul (ARIANEXT PLUS M et ARIANEXT LITE M).Les quatre solutions conviennent aussi bien aux projets de maisons individuelles neuves qu'aux projets de rénovation avec un régime d'eau chaude pour le chauffage de 20 °C à 60 °C. Les PAC sont compatibles avec tous les terminaux de chauffage : plancher chauffant ou radiateurs certifiés NF PAC pour des régimes d'eau de 25 à 55 °C.ARIANEXT COMPACT M, la solution tout-en-un ultra compacteARIANEXT COMPACT M réunit une pompe à chaleur monobloc Inverter DC et une colonne tout-en-un intégrant un module hydraulique et un ballon de stockage pour l'eau chaude sanitaire de 180 litres. Solution la plus compacte du marché avec un encombrement au sol de seulement 60 x 60 cm, ARIANEXT COMPACT M trouve sa place aussi bien dans un garage, une buanderie ou même une cuisine grâce à son format “colonne”.ARIANEXT FLEX M pour s'adapter à toutes les habitationsARIANEXT FLEX M est la solution flexible par excellence qui assure la production du chauffage et de l'eau chaude sanitaire en version chauffage seul ou chauffage et rafraîchissement.Elle combine deux solutions hautes performances : une pompe à chaleur monobloc équipée de la technologie Inverter DC et un module hydraulique compact. Elle se décline en ballon déporté de 180 ou 300 litres. La solution idéale pour des profils de soutirage XL pour la production d'ECS.ARIANEXT PLUS M : la solution grand confortSolution grand confort, ARIANEXT PLUS M est une PAC mono service au design compact, combinant une pompe à chaleur monobloc Inverter DC et un module hydraulique mural.La PAC peut être associée à un ballon thermodynamique de type AQUANEXT disponible en version 200 ou 250 litres, pour la production d'eau chaude sanitaire en grande quantité, parfait pour les habitations avec plusieurs salles de bain. La fonction rafraîchissement est assurée grâce à l'ajout d'un kit spécifique même après installation, pour un confort toute l'année. Elle peut également être reliée à des radiateurs basse et haute température et/ou à un plancher chauffant.ARIANEXT LITE M ou la PAC des installations sur-mesureARIANEXT LITE M est une pompe à chaleur monobloc ultra flexible qui a été conçue pour s'intégrer dans toutes les configurations par les installateurs. Son unité extérieure Inverter DC assure le chauffage et en option, le rafraîchissement. PAC mono service, elle s'intègre parfaitement avec l'installation existante et facilite les projets de travaux tout en optimisant le confort de chauffe. Ultra compacte, elle affiche des performances records avec un COP de 5,11.
Il y a 4 ans et 277 jours

Chiffres et tendances de la rénovation énergétique

Le Gouvernement souhaite encourager la transition énergétique en soutenant davantage les travaux d'isolation. Le but est de limiter les émissions de CO² et d'éliminer les 7 millions de foyers étiquetés F ou G, véritables passoires thermiques. Dans ce contexte, l'ensemble des aides de l'Etat -CITE, MaPrimeRenov- mais aussi celles des régions, incitent-t-elles réellement les Français à adopter un mode de consommation plus écologique ?Région par région, l'Observatoire de ProntoPro tente de répondre à cette question en analysant les requêtes enregistrées sur son portail et les tarifs pratiqués selon trois catégories : la rénovation énergétique, l'installation de systèmes de sécurité ainsi que les dispositifs domotiques de type « Smart Home ».Quels travaux ont prévu les Français cet été ?Entretien de la toiture, installation de panneaux photovoltaïques ou de panneaux solaires, double vitrage, isolation de la maison ou encore mise en place d'un système de vidéo surveillance, sont quelques exemples des travaux de rénovation les plus demandés.Combien coûte ces travaux de rénovation ?En France, le budget moyen dédié à la rénovation d'une habitation est de 24.202€.ll se décompose ainsi : 19.700€ sont consacrés à rénovation énergétique, 2.656€ à l'installation de systèmes de sécurité et 1.844€ à la domotique.La rénovation énergétique comprend l'installation de fenêtres double vitrage, l'isolation extérieure, l'entretien et l'isolation de la toiture, l'installation de panneaux solaires ainsi que la réalisation d'un diagnostic de performance énergétique. Ces travaux étant généralement coûteux, les Français bénéficient d'aides de l'Etat et de leurs régions pour réaliser leurs transitions énergétiques.A titre indicatif : L'installation du double vitrage est le chantier le plus demandé, il représente 30% des demandes au niveau national et coûterait environ 982€. En effet il s'agit d'une installation moins coûteuse que l'isolation de la toiture ou des murs extérieurs, qui permet de ralentir la transmission de chaleur et d'augmenter la résistance thermique. Suivent ensuite l'isolation extérieure (27%) et l'installation de panneaux solaires (25%).En moyenne 11% du budget dédié à la rénovation est consacré à la sécurité, soit 2.656€. Sauf en Ile de France ou en Corse, où il atteint 6%. Cela comprend l'installation d'alarme ou de système de vidéosurveillance, l'installation de détecteur de fumée et monoxyde de carbone, la réalisation de balustrade et parapet ainsi que la conformité du circuit électrique. L'installation d'un détecteur de fumée est obligatoire depuis 2015, ce service reste d'ailleurs le plus demandé dans la catégorie des dispositifs de sécurité. Le coût moyen est de 40€ par détecteur. Notons que les aides financières pour l'installation d'alarme & système de vidéosurveillance bénéficient d'un taux de TVA réduite, de 19,6% à 5%. C'est en régions PACA, Corse, Bourgogne-Franche-Comté et Hauts-de-France que les demandes d'installation d'alarme de surveillance ou vidéosurveillance sont les plus élevées (+/- 40%).Enfin les dispositifs de maison intelligente ou “smart home” rencontrent un franc succès, les Français plébiscitent de plus en plus les services de domotique. 8% du budget alloué à la rénovation est dédié à l'automatisation de la maison avec l'installation de systèmes domotiques, tels que l'automatisation de portails, la motorisation de volets ou encore l'installation de thermostats connectés. Le coût moyen pour installer tous ces dispositifs serait de 1.850€. En apportant des solutions techniques qui répondent aux besoins de confort et de communication des habitations, la domotique diminue la facture énergétique de 10% en moyenne. Une aubaine !*Dispositif d'aides financières mis en place début 2020 pour inciter à la rénovation énergétique des logements privés. Cette prime permet de financer des travaux d'isolation, de ventilation ou de changement de mode de chauffage. En 2021, les propriétaires bailleurs (et plus seulement les propriétaires occupant leur logement) pourront en bénéficier.
Il y a 4 ans et 278 jours

Travaux de toiture : l’entretien et le nettoyage

Le toit est un des éléments essentiels d’un bâtiment étant donné qu’il le protège. Il subit les différentes agressions externes. En effet, il est assujetti aux intempéries, aux pollutions, et aux parasites. À défaut d’entretien, cette pièce maîtresse de la maison se détériore. Ainsi, elle n’est plus en mesure d’assurer son rôle de protecteur. De ce fait, les agressions externes finissent par atteindre les occupants de la résidence et leurs biens. Les dégâts peuvent alors être conséquents. Il est donc primordial de préserver votre toit. Pour ce faire, vous devez effectuer un nettoyage à des fréquences régulières. Et pour qu’il soit efficace, confiez-le à une entreprise de couverture. L’entretien et le nettoyage de la toiture Il est préconisé de faire inspecter sa toiture par un professionnel. Ce diagnostic doit avoir lieu au minimum une fois par an. Le toit subit constamment diverses agressions, susceptibles d’impacter son état. Quand des mousses commencent à s’y loger, vous devez procéder sans attendre à des travaux de démoussage de toiture. En cas d’apparition de traces noirâtres, ou l’envahissement du toit par beaucoup de déchets, un nettoyage s’impose. Cependant, il s’avère incontournable de faire appel à une entreprise de couverture pour l’effectuer. Si vous décidez de tenter l’expérience de vous en occuper, voici comment vous devez procéder : Débarrassez-vous des déchets superficiels à l’aide d’un appareil nettoyeur à haute pression de type Kracher. Faites bien attention, la manipulation de ce dispositif requiert des connaissances particulières, car elle s’avère plutôt complexe. Sachez que l’utilisation de ce genre d’équipement peut endommager votre toit s’il est fait de tuiles, à défaut d’expérience. Par contre, il est d’une grande utilité pour les toits très sales. Pour enlever les saletés collantes, servez-vous de brosse et d’eau de javel. Le lavage à haute pression doit être accompagné d’un traitement afin d’éviter la réapparition des mousses et de préserver le toit. Appliquez des soins spécifiques, c’est-à-dire un produit anti-mousse. Celui-ci empêchera la réapparition des mousses pendant un certain délai. Servez-vous d’une solution d’hydrofugation pour imperméabiliser la couverture de votre toit. Sachez tout de même que l’hydrofuge ne convient pas à toute sorte de revêtement. Demandez donc conseil auprès d’une professionnel en toiture pour le choix du traitement approprié. Dans le cas où vous constateriez une faille au niveau de l’étanchéité de votre toiture, vous devriez l’améliorer. Pour ce faire, il est conseillé d’appliquer une peinture pour toit. Elle contribue à la réimperméabilisation. À la fin du nettoyage, concentrez-vous sur votre système de récupération des eaux du toit. Nettoyez-les de manière à fluidifier l’écoulement de ces eaux. Pourquoi confier ses travaux de nettoyage et d’entretien de toiture à un professionnel? Certes, c’est possible de réaliser soi-même ses travaux d’entretien de toit. Par contre, il est toujours plus bénéfique de recourir aux services d’une entreprise de couverture comme https://www.entreprise-couverture-67.fr/. D’abord,  l’intégralité de ces travaux se déroule en hauteur. Les risques de chute sont alors élevés. Ensuite, certains produits sont toxiques, en raison de leurs compositions. Leur utilisation demande donc beaucoup d’attention. Puis, vous ne disposez pas forcément de tous les outils nécessaires, contrairement aux professionnels. En engageant un couvreur, vous êtes exempté des achats et/ou des locations de matériaux. Il a déjà tout ce qu’il faut. Et enfin, le choix des produits, des méthodes, et leurs applications demandent un certain niveau de compétence. En effet, ils doivent être adaptés à votre type de revêtement. D’où, la nécessité de faire appel à un spécialiste des travaux de toiture.
Il y a 4 ans et 281 jours

ADP confie la réfection de la piste la plus longue de l'aéroport de Paris-Le Bourget à NGE

Les travaux consistent en la rénovation de la piste 03/21 sur une longueur de 1.800 ml. NGE s'appuie sur son expérience en travaux similaires sur autoroutes et mobilise sa plus grande centrale d'enrobés pouvant produire 400 tonnes d'enrobés par heure. L'ensemble des enrobés rabotés sera revalorisé dans les formulations d'enrobés et mis en œuvre autour des regards de balisage ou d'assainissement le long de la piste. Cette opération appelée la « déléthalisation » permet que les regards ne soient plus un obstacle pour le train d'atterrissage des avions et évite le sur-accident.Du fait d'un accès au chantier très sécurisé, via un Poste d'Accès Routier Inspection Filtrage (PARIF) créé spécifiquement par NGE, tout le personnel doit suivre une formation sûreté afin de valider un Titre de Circulation Aéroportuaire (TCA).L'aéroport Paris-Le Bourget est le plus ancien aéroport de Paris. Son passé historique démontre un risque de pollution pyrotechnique avéré datant de la seconde guerre mondiale. Un diagnostic pyrotechnique des sols a été réalisé avant le démarrage des travaux, le 28 juin 2020, par la société BÉRENGIER DÉPOLLUTION, filiale de NGE spécialisée en dépollution pyrotechnique et amiante, qui assurera un suivi spécifique de ces travaux.Enfin, la piste à rénover s'exécutera avec le maintien en activité des deux autres pistes. Pour sécuriser la circulation de ses engins, NGE développe, par le biais de son service innovation, une application mobile de localisation GPS (barrière virtuelle) appelée géofencing. Les engins sont géolocalisés en temps réel et reçoivent une alarme à l'approche d'une zone interdite.« Groupe ADP nous a fait confiance grâce aux compétences acquises sur nos grands chantiers autoroutiers. Mais sur une piste d’aéroport, ce sera une première pour NGE. Cette opération est donc importante pour NGE. Nous avons investi dans la formation sûreté propre aux aéroports pour tous nos collaborateurs et nous développons spécifiquement une application mobile pour sécuriser la circulation de nos engins. Enfin, dans notre démarche qualité et environnementale, un effort est fait pour le recyclage des enrobés ».- Yoann André, Directeur des travaux NGE
Il y a 4 ans et 285 jours

Les nouvelles règles de l'activité partielle de longue durée entre en vigueur vendredi

Ce décret était très attendu des entreprises intéressées par ce dispositif, principalement pour l'instant dans l'aéronautique mais pas uniquement. Le motoriste Safran a déjà négocié un accord avec ses syndicats jusqu'à la fin 2022 afin d'éviter tout licenciement en France. D'autres équipementiers et Airbus envisagent de le faire.Cette mesure, intitulée dans le décret "dispositif spécifique d'activité partielle en cas de réduction d'activité durable", est née d'une idée des partenaires sociaux de la métallurgie. Elle vise à inciter les entreprises durablement impactées par la crise "à garder leurs salariés et leurs compétences pour être prêtes quand l'activité repartira", selon la ministre du Travail Elisabeth Borne.Dans ce but, le dispositif autorise une réduction du temps de travail jusqu'à un maximum de 40% d'heures chômées, compensées par l'État plus fortement que le chômage partiel de base, sous condition d'un accord collectif au niveau de l'établissement, l'entreprise, le groupe ou la branche.Sur la base "d'un diagnostic sur la situation économique", cet accord, d'une durée de 6 à 24 mois, doit "définir les activités et les salariés concernés, la réduction maximale de l'horaire de travail et les engagements en matière d'emploi et de formation professionnelle".Sur les heures chômées, le salarié touchera 84% de son salaire net (ou 70% de son brut), calculé à partir d'une rémunération maximale de 4,5 Smic. Comme celles-ci sont au maximum de 40% de son temps de travail, cela lui garantit 93% de son salaire net.De son côté, l'entreprise recevra une compensation de 85% de l'indemnité versée au salarié, (soit 15% de reste à charge) pour un accord conclu avant le 1er octobre et 80% pour un accord conclu après.La réduction de l'horaire de travail "s'apprécie pour chaque salarié concerné sur la durée d'application du dispositif". Elle ne peut être supérieure à 40% de l'horaire légal mais une dérogation à 50% est possible dans des cas exceptionnels avec accord de l'administration.L'accord "peut" aussi prévoir "les conditions" dans lesquelles les dirigeants et actionnaires "fournissent des efforts proportionnés à ceux demandés aux salariés".Les frais de formation pendant la période pourront être pris en charge à hauteur de 80% par l'Etat et le compte personnel de formation des salariés pourra aussi être mobilisé.
Il y a 4 ans et 291 jours

Les 3 start-up lauréates du projet Numériser l'existant

Ces solutions digitales innovantes représentent une avancée technologique majeure pour accompagner les professionnels du secteur de la rénovation énergétique des bâtiments et ainsi faciliter et encourager les travaux. Un sujet plus que jamais d'actualité, évoqué lors de la dernière allocution d'Emmanuel Macron sur le plan de modernisation, ainsi que des débats de la Convention citoyenne pour le climat.Numériser l'existant : un challenge inédit pour des solutions numériques plus adaptées à la rénovation énergétique des bâtimentsParmi les thématiques des 9 projets du programme national PROFEEL, la « numérisation de l'existant » constitue le point de départ de toute opération de rénovation. Le numérique, et en particulier la modélisation 3D du bâti, est en effet un puissant outil de conception et de vente : il permet de raccourcir les process et rassurer les clients.« L'enjeu du projet est de réduire les coûts de numérisation, améliorer la qualité de la saisie et simplifier l'ergonomie des outils, pour les rendre plus accessibles aux professionnels concernés, afin de réaliser un diagnostic plus précis, rapide et économique au moment d'établir des scénarios de travaux de rénovation énergétique ». - Xavier Bernard, responsable de projets AQC, pilote du projetL'équipe du projet, porté par l'AQC et ADN Construction, a lancé à l'automne 2019 un challenge entre start-up. Celles-ci devaient proposer le développement d'une solution digitale sous la forme d'une plateforme web ou application pour smartphone ou tablette, interopérable avec les logiciels BIM, à destination des professionnels du bâtiment travaillant chez un client particulier (TPE et PME en priorité). 30 candidatures ont été reçues, dont 4 finalistes, puis 3 lauréats ont été choisis par un jury composé de professionnels du bâtiment et de l'innovation numérique, bénéficiant d'une dotation globale de 420 000 euros.Le programme PROFEEL, lancé en avril 2019 par le ministre d'Etat François de Rugy et sa secrétaire d'Etat Emmanuelle Wargon, est dédié à l'innovation technologique au service de la rénovation énergétique des bâtiments et s'inscrit dans le cadre du Plan initié par le gouvernement en 2018. Porté par 16 organisations professionnelles, il se compose de 9 projets opérationnels, qui visent à développer et apporter des outils et solutions concrètes et accessibles aux professionnels du bâtiment, en amont, pendant et après les travaux de rénovation.3 lauréats pour 3 outils innovants de numérisationBimeo et sa solution ARtoBuild, LevelS3D ainsi que WiseBim sont les 3 lauréats du challenge Numériser l'existant. Les start-up bénéficieront dans les prochains mois d'un soutien financier et technique du programme PROFEEL pour intégrer à leur solution de nouvelles fonctionnalités, qu'elles feront tester par étapes à des beta utilisateurs. Les premiers livrables des outils devraient être finalisés dès l'automne 2020, suivis de nouvelles versions ou fonctionnalités au 1er semestre 2021.Les 3 solutions lauréates :ARtoBuild de Bimeo Le scan 3D ultra rapide et précis en quelques clicsARtoBuild est une solution inédite développée par Bimeo, plateforme collaborative BIM, à destination des professionnels du bâtiment, récompensée en 2019 aux cérémonies du BIM d'Or et des Trophées de la Construction. Cette application, compatible avec le dernier iPad pro pour son capteur ultra-précis (technologie Lidar), permet de scanner en 3D simplement et rapidement n'importe quelle pièce.A partir de son interface, les pièces sont assemblées et la maquette numérique est générée au format. Le financement de PROFEEL permet à Bimeo de développer de nouvelles fonctionnalités, telles que la gestion de l'épaisseur des parois, l'ajout d'objets type radiateur, éclairage…, ou encore la possibilité d'annoter la maquette avec des cotations.S3D Capture de LevelS3D Appli, cloud et IA pour un rendu 3D completLevelS3D est une start-up fondée en 2012 par Yannick Folliard, labellisée JEI (Jeune Entreprise Innovante). Elle a conçu l'application mobile de numérisation S3D Capture, accessible et à bas coût sous forme d'abonnement ou offres à l'acte, compatible avec des smartphones et tablettes équipés d'un capteur de profondeur intégré (compatible sur l'Ipad pro). Basée sur la technologie de nuages de points, elle permet de scanner une habitation aussi facilement qu'en filmant, puis de générer automatiquement et instantanément le modèle 3D. Grâce au financement du projet, LevelS3D prévoit trois phases de développement des nouvelles fonctionnalités : prépositionnement des nuages de points, ajout de photos pour un rendu plus réaliste, et intégration d'IA pour identifier en 3D des objets et éléments du bâti.Plans2BIM de WiseBIM L'innovation unique qui transforme les plans 2D en 3DWiseBIM est une start-up issue du Commissariat à l'Energie Atomique et aux Energies Alternatives (CEA) créée en 2017 qui accompagne les gestionnaires de patrimoines immobiliers dans leur transition numérique du bâtiment vers le BIM. Plans2BIM, son logiciel en mode SaaS, en cours de déploiement, sera disponible sur abonnement ou par jetons. Basée sur des algorithmes, cette solution permet de transformer automatiquement et très rapidement en maquette 3D IFC n'importe quel plan architectural 2D, ainsi qu'éditer et enrichir la maquette, via la plateforme en ligne, sans avoir à se déplacer sur site. Le financement obtenu permet à la start-up de finaliser le développement du logiciel, dont des modules pour obtenir rapidement les dimensions d'intérêt ainsi que pour assembler les différents niveaux du bâtiment en une maquette unique.
Il y a 4 ans et 293 jours

Auditer pour prévenir

QCS Services s’est récemment dotée d’un laboratoire d’analyse de matériaux. Objectif : poser un diagnostic complet pour réaliser les mesures préventives adaptées.
Il y a 4 ans et 294 jours

Aperçu sur les différents travaux d’aménagement publics

Pour développer le tourisme dans un pays ou une ville, il est indispensable d’aménager ou de créer un certain nombre d’infrastructures. L’objectif est d’attirer un maximum de visiteurs tous les ans pour booster l’économie de la région ou du pays en question. Pour concrétiser un projet de ce genre, il est préférable de recourir à l’expertise d’une entreprise spécialisée en travaux d’aménagement public. Le terrassement : une branche des travaux d’aménagement publics Pour des projets de construction ou d’extension, par exemple, les travaux de terrassement s’imposent. Il s’agit d’une opération qui consiste à préparer un terrain destiné à l’édification d’une structure. Et donc, pour mener à bien les travaux, il faut se munir d’un parc de matériel conséquent et d’une main-d’œuvre qualifiée. À noter qu’il existe deux types de terrassements : le remblai et le déblai. Le premier consiste à déplacer des terres prélevées sur le terrain à construire afin d’uniformiser la surface, tandis que le déblai permet d’enlever des terres pour rabaisser le niveau de terrain, puis de l’aplanir. Ensuite, il va falloir charger les terres enlevées dans un véhicule afin de les déplacer pour le déblai. Terrasser signifie également préparer le sol en déplaçant des quantités importantes de terres ou de roches pour mettre le sol à niveau. Ainsi, on pourra réaliser certains ouvrages tels qu’une habitation ou une route. Avant de lancer le chantier, le terrassier effectue en amont un diagnostic. Le prestataire peut également s’occuper de la réalisation de bordures esthétiques en fonction des attentes des clients. Concernant le coût, tout dépend du type de sol du terrain, de son emplacement, de sa longueur, de la difficulté d’accès, etc. La création des réseaux divers Les travaux publics englobent également les travaux liés aux besoins primaires des consommateurs en matière d’hygiène. Cela concerne aussi bien le milieu urbain que le milieu rural. On parle ici des opérations d’assainissement et d’épuration des eaux usées. Concrètement, elles consistent à faire évacuer ces dernières ainsi que les eaux domestiques de chaque foyer par un réseau d’assainissement collectif. On cherche à dépolluer les eaux et les sols grâce à un système d’évacuation. Cette étape des travaux peut de même consister à la mise en œuvre d’un réseau d’approvisionnement en eau. Il s’agit ici de construire des structures facilitant l’acheminement de l’eau potable dans des zones, comme le quartier, la région, la ville, voire un pays entier. Certaines entreprises s’occupent de la pose de graviers pour créer des allées piétonnes, par exemple. Aussi, elles sont spécialisées dans la pose d’enrobé en vue de créer des chaussées ou une piste d’aviation. D’autres proposent leur savoir-faire dans des travaux de génie civil. Il s’agit des travaux de construction de tout type de bâtiment, allant des petits édifices aux gratte-ciels. Cela concerne également la réhabilitation et la rénovation d’une structure déjà existante. Ces travaux sont divisés en 4 parties, à savoir la construction d’infrastructures de transport, la construction de barrages, la construction d’infrastructures urbaines et de structures industrielles. Pour la concrétisation des travaux, il est recommandé de demander plusieurs devis auprès de plusieurs sociétés de construction.
Il y a 4 ans et 294 jours

Nomination de Marc Bellair au sein de Bluetek

Un parcours internationalMarc BELLAIR débute sa carrière dans le bâtiment en 1991 au sein de l'entreprise thaïlandaise Sodap Taïland Ltd, filiale du groupe Lafarge, en qualité de manager technique de production. Il y a assuré la direction de l'usine de production et la gestion des grands comptes clients internationaux.Durant 6 ans (1991-1997), Marc BELLAIR a également apporté son concours à travers diverses missions de support auprès d'unités du groupe au Pakistan, à Taïwan ou encore à Hongkong. En 1997, Marc BELLAIR intègre la filiale Lafarge Refractories, du groupe éponyme, spécialisée dans la fabrication des bétons réfractaires pour l'industrie de l'aluminium. Jusqu'en 2002, Marc BELLAIR a eu pour mission de développer le marché international des matériaux réfractaires avec un périmètre d'action couvrant pas moins de 20 pays.Fort de ces expériences, Marc BELLAIR occupera le poste de la Direction Nationale des Ventes Façade et Prescription chez Wienerberger auprès des maîtres d'œuvre, des architectes et des bureaux d'études tout en participant à la stratégie commerciale de cette branche d'activité de Wienerberger.Un nouveau challenge dans la gestion des énergies dans le bâtimentL'arrivée de Marc BELLAIR, depuis le 1er juin 2020, témoigne de la volonté d'ADEXSI de renforcer la prescription de sa filiale Bluetek en restructurant cette cellule autour des compétences et des services du groupe ADEXSI et de l'offre GENATIS, solution globale pour la gestion des énergies naturelles des bâtiments.Cette nouvelle organisation de la prescription de BLUETEK aura pour vocation d'apporter des solutions clés en mains aux maitres d'œuvres et d'ouvrage ainsi qu'aux architectes.Genatis : une solution globaleGENATIS est une marque transversale d'ADEXSI qui regroupe les produits et savoir-faire de l'ensemble de ses filiales – BLUETEK, ESSERTEC, SOUCHIER-BOULLET, TELLIER BRISE-SOLEIL, SIA – en vue de proposer une solution globale de gestion des énergies naturelles dans les bâtiments.Destinée à tous les professionnels de la construction (architectures, aux maîtres d'œuvre, aux maîtres d'ouvrage, etc.), l'offre GENATIS, est une solution avant-gardiste qui répond aux nombreux défis de la rénovation énergétique des bâtiments ainsi qu'à la future réglementation environnementale de 2020.Une offre de services spécifiquesLa solution GENATIS se complète d'une offre de services dédiés en complément des produits des filiales d'ADEXSI. Parmi ces services, GENATIS assure la gestion du rafraichissement des bâtiments grâce à des automates programmables pilotables pas les gestionnaires permettant notamment d'obtenir un confort optimisé par la gestion de la gradation de l'éclairage artificiel, l'ombrage des façades et des lanterneaux présents en toiture, la ventilation, le rafraichissement par évaporation ou la façade bioclimatique. Enfin, GENATIS propose également un service « Diagnostic ».Cette prestation fait partie des leviers clés de l'offre GENATIS qui permettront à Marc BELLAIR de professionnaliser d'avantage la prescription de BLUETEK en apportant une étude complète des bâtiments pour mieux comprendre leurs pathologies. Ceci afin de mieux appréhender les solutions - et leurs installations - les plus adaptées. Ce service, traité par le bureau d'étude d'ADEXSI, comprend l'étude d'optimisation, les travaux, l'accompagnement et la garantie de performances sur l'ensemble des solutions GENATIS.
Il y a 4 ans et 297 jours

Les concertations sur la réforme des retraites repoussées "au moins jusqu'à la fin de l'année"

L'exécutif a cependant appelé "à ne pas mettre la poussière sous le tapis et à prendre nos responsabilités en ce qui concerne le système actuel", qui devrait être en fort déficit à la fin de l'année, a ajouté M. Asselin."Nous continuons de croire qu'un système universel est plus juste mais la priorité n'est pas celle-ci aujourd'hui", a souligné le patron de la CFDT Laurent Berger. Le Premier ministre Jean Castex "a dit que c'était repoussé à des discussions plutôt en 2021", a-t-il confirmé."Ça correspond à notre volonté de ne pas faire du sujet des retraites un sujet de l'été et de l'automne, mais plutôt se laisser le temps du diagnostic pour voir d'abord comment on aura été capable de répondre ou non aux enjeux de lutte contre le chômage, de maintien de l'emploi, de lutte contre la paupérisation, avec une priorité mise en direction des jeunes", a encore salué M. Berger, estimant que "la priorité est placée au bon endroit en termes d'objectif et de calendrier, à savoir l'emploi, l'emploi, l'emploi".Par ailleurs, M. Castex "nous a rassurés sur le fait qu'il faudrait faire la distinction entre ce qui est du domaine du conjoncturel et ce qui est du structurel" sachant qu'après la crise du coronavirus "les schémas d'équilibre" financier "ne sont plus les mêmes", a précisé M. Asselin.Dans cette perspective, M. Castex a annoncé aux participants qu'il saisirait de nouveau le Conseil d'orientation des retraites (COR) afin d'évaluer la situation financière des régimes actuels. Selon une estimation provisoire du COR dévoilée en juin, le déficit pourrait approcher les 30 milliards d'euros cette année.Les partenaires sociaux demandaient unanimement le report, si ce n'est pour certains l'abandon total, de la réforme des retraites, suspendue sine die par l'épidémie de coronavirus.Jean Castex avait initialement indiqué vouloir reprendre les concertations afin de régler le dossier "à court terme". Il avait aussi assuré vouloir distinguer "très clairement" la refonte du système actuel "de toute mesure financière", comme l'allongement de la durée de cotisation, prise pour combler les déficits.
Il y a 4 ans et 299 jours

Notre Dame : prendre en compte les diagnostics et les nouveaux facteurs avant de reconstruire

L’association Restaurons notre Dame appelle à la prudence. Il faut attendre les résultats des diagnostics physiques et mécaniques de l’infrastructure avant de reconstruire, mais aussi prendre en compte de nouveaux facteurs, notamment climatiques. Par ailleurs, l’association a monté un pôle bois scientifique et technique afin de participer aux côtés de la maîtrise d'œuvre, à la conception de la charpente, flèche et toiture de Notre-Dame de Paris.
Il y a 4 ans et 299 jours

Accords et désaccords sur Notre-Dame de Paris

La flècheSymbole parmi les symboles, parce que sa chute fut l'image marquante de la soirée du 15 avril 2019, le devenir de la flèche de Notre-Dame a électrisé le débat pendant de longs mois. Au final, elle retrouvera la même forme, basée sur les plans de l'architecte Viollet-le-Duc."Cette flèche était complètement constitutive du paysage parisien, tous les spécialistes vous le disent et reconnaissent que c'est un chef d'oeuvre absolu", a argué le général Jean-Louis Georgelin, chargé de piloter la reconstruction de l'édifice, vendredi sur LCI, au lendemain de l'annonce du président Macron qu'il se ralliait à une reconstruction à l'identique.Certains comme l'architecte Jean-Michel Wilmotte ont toutefois déploré une occasion manquée de concevoir une flèche moderne, avec "un système d'éclairage exceptionnel", par exemple.La charpenteSurnommée "la forêt", la charpente de Notre-Dame, joyau de l'architecture médiévale qui a été dévorée par les flammes, sera finalement reconstruite en chêne et non en béton, comme la cathédrale de Reims, ou en métal comme le Parlement de Bretagne, deux options un temps avancées.Ce choix a fait débat au sein de la commission du patrimoine et d'architecture (CNPA) qui s'est réunie jeudi et a fini par choisir cette option, dans son avis suivi par le président Macron.Plusieurs questions ont été abordées: est-il judicieux de reconstruire la charpente en chêne, après un incendie qui a failli détruire totalement la cathédrale? Quelles mesures vont être prises pour éviter un nouveau drame ?Les défenseurs du bois, depuis le début, ont toujours fait valoir qu'une charpente à l'identique permettrait d'aller plus vite et de tenir les délais imposés par le président."Pour la charpente en chêne, nous avons demandé que le dessin soit étudié et précisé dans la future étude de diagnostic", a affirmé à l'AFP le sénateur Jean-Pierre Leleux à la tête de cette commission. Le résultat ne sera pas entièrement "à l'identique", a-t-il précisé: "on peut imaginer quelques changements avec des dispositifs incendie plus fiables".La couvertureQui dit reconstruction "dans le respect des matériaux d'origine", comme souhaitée par la CNPA, dit plomb pour la toiture de la cathédrale, ou "la couverture", constituée de 1.326 tables de 5 mm d'épaisseur pesant au total plus de 200 tonnes."Je m'attends à des combats assez difficiles" sur ce point, a admis le général Georgelin, alors que les risques de contamination liés aux particules de plomb qui s'étaient répandues dans l'atmosphère et au sol, après l'incendie du 15 avril, ont empoisonné le début des travaux, nécessitant des suspensions puis la mise en place de protocoles très stricts pour que les ouvriers reprennent le travail.Le calendrierDepuis l'incendie de la cathédrale, l'objectif du président Macron est le même: la rebâtir en cinq ans. "Nous rendrons la cathédrale au culte en 2024", a assuré le général Georgelin, mais "ça ne veut pas dire que tout sera terminé, peut-être que la flèche ne sera pas terminée".Après de multiples aléas, du plomb à la crise du coronavirus, le délicat démontage de l'échafaudage qui entoure Notre-Dame, déformé et soudé par la chaleur de l'incendie, devrait être achevé "au plus tard fin septembre". Il conditionne le démarrage des travaux de restauration à proprement parler. Une étude de diagnostic sera lancée dans les semaines qui viennent, pour "définir le programme précis de travaux permettant la réouverture au culte et à la visite", prévue en avril 2024. Rendu des travaux attendu cet automne.
Il y a 4 ans et 308 jours

Myral poursuit son développement et renforce son équipe prescription

Stéphane Cuzzaini : "Notre enjeu, proposer des choix pertinents tout en guidant vers nos solutions"Stéphane Cuzzaini, professionnel chevronné chargé du quart Sud-Est de la France croit fermement en la solution Myral. Fort d'une quinzaine d'années d'expérience dans le bâtiment, a su développer une véritable expertise technique dans le domaine de l'ITE. Quel parcours vous a mené jusqu’à Myral ?Stéphane Cuzzaini : Au départ j’ai fait mes armes au sein de l’entreprise Onduline, qui conçoit des panneaux de couverture et de bardage, essentiellement à destination du marché tertiaire (bâtiments industriels, agricoles). Cette première expérience, qui a duré 6 ans, m’a permis de développer mon expertise dans le marché de l’ITE, en visitant de nombreux bureaux d’études notamment.Les 8 années suivantes, j’ai travaillé pour Everlite Concept, société qui propose des bardages haut de gamme à l’aspect architectural marqué, dans un segment proche de celui de Myral. Durant cette période, j’ai participé à la rénovation énergétique de nombreux projets où l’apparence extérieure des bâtiments avait une grande importance : complexes sportifs, gymnases, écoles… Cela m’a permis d’effectuer un travail de prescription et de préconisation technique auprès des architectes souhaitant faire concorder leur vision avec des produits techniques. J’ai beaucoup apprécié ce travail de conseil et cette relation privilégiée que j’ai développée avec eux.Quelles compétences majeures comptez-vous apporter à Myral ?Stéphane Cuzzaini : D’abord, donc, ma capacité à accompagner la maîtrise d’œuvre sur les recommandations techniques. Mais aussi la relation avec les entreprises dans la mise en œuvre des produits. C’est une partie du travail que j’ai toujours réalisé. Chez Everlite, nous avions un bureau d’études, comme Myral, avec une personne qui pouvait se déplacer au cas-par-cas, pour autant, j’assistais moi-même beaucoup les poseurs. Je les accompagnais parfois en réunions de chantier quand il y avait des problématiques techniques, pour faire des démarrages de chantier, effectuer des diagnostics et apporter des conseils techniques… Pour moi, ce qui est important, c’est que la préconisation que j’apporte aux maîtres d’œuvre soit la plus pointue possible afin qu’elle puisse déboucher sur une réalisation pérenne et conforme à ce que j’ai proposé. L’assurance d’un rendu final de qualité, c’est participer à la renommée du produit et s’ouvrir à de nouvelles affaires.Qu’attendent les maîtres d’œuvre d’un prescripteur ?Stéphane Cuzzaini : Ils attendent des réponses à leurs différentes exigences et inspirations sans que l’on vienne remettre en cause leur vision. Après plusieurs années aux côtés des architectes, j’ai appris à faire preuve d’écoute et à m’adapter le plus fidèlement possible à leurs attentes, à « l’image architecturale » très particulière qu’ils ont de leur projet. Il faut être capable de la comprendre et de trouver des solutions adaptées à leurs désirs, et si ce n’est pas possible, trouver des alternatives efficaces qui ne trahissent pas leur signature. Leur proposer des choix qui fonctionnent tout en les guidant vers les solutions que l’on défend, c’est tout l’enjeu de notre métier !Comment avez-vous connu le groupe Myral ?Stéphane Cuzzaini : Je l’avais remarqué sur des salons professionnels. Ce qui m’avait plu c’était vraiment l’aspect visuel du produit et l’image architecturale qu’il proposait, avec de grands panneaux, une diversité d’aspects qui faisaient qu’on se demandait finalement ce que c’était ! Quand on voit l’effet aluminium brossé des panneaux « Alunatur » ou la surface parfaitement réfléchissante du « Poli Miroir », ça interpelle !Ensuite, j’ai croisé Myral sur des affaires. Pour l’anecdote, à l’époque où je travaillais pour une société concurrente, je m’étais occupé de la recommandation technique pour l’habillage des balcons des tours « Les Moulins » à Nice. Et il se trouve que Myral travaillait sur ce même projet. Nous étions en concurrence sur la partie habillage des façades en bardages ITE et c’est Myral qui a été retenu car j’étais presque deux fois plus cher ! En m’y intéressant, j’ai découvert une belle entreprise qui proposait des produits innovants.Justement, quel est le regard des clients et de la concurrence sur Myral et sa solution ?Stéphane Cuzzaini : Il y a un retour positif, aussi bien de la part des clients, que des installateurs, des maîtres d’ouvrage et des architectes… Les installateurs privilégient des produits simples et rapides à mettre en œuvre ; les maîtres d’œuvre et d’ouvrage, quant à eux, vont vouloir des produits performants, pas trop épais, esthétiques, mais aussi économiques d’un point de vue budgétaire… Dans tous ces cas de figure, la solution Myral répond parfaitement à leurs besoins spécifiques.Le groupe est aussi reconnu comme un acteur avec une expertise technique de qualité. Sa façon d’accompagner les entreprises en amont et en aval des chantiers, sa capacité d’écoute, son rôle de conseil et la forte réactivité de ses équipes en cas de problème sont bien perçues. Toutefois, la notoriété du produit est encore jeune et il y a un important travail de communication à faire…Selon votre regard, quelle est l’évolution du marché de l’ITE en France ?Stéphane Cuzzaini : Je dirais que l’on est au début du développement. Sur le marché du résidentiel qui couvre les copropriétés et les bailleurs sociaux, il y a des besoins très importants. On sent d’ailleurs maintenant une réelle volonté de lutter contre les « passoires énergétiques ». Le gouvernement a depuis peu enclenché une dynamique pour développer massivement l’isolation thermique des façades par le biais d’aides financières. Il faut dire que l’ITE est la solution idéale pour obtenir des bâtiments les moins énergivores possibles et donc réduire les dépenses énergétiques des habitants, tout en apportant un confort thermique en hiver comme en été ! En plus, on préserve la surface habitable, les chantiers sont rapides et peuvent se faire en site occupé.Et qu’en est-il des bâtiments publics et tertiaires ?Stéphane Cuzzaini : Il y a encore beaucoup à faire aussi. Aujourd’hui, sur ce marché, la plupart des bâtiments neufs sont isolés par l’extérieur… Au-delà des considérations budgétaires et des capacités thermiques, pour faire la différence, il faut être en mesure d’apporter une réponse architecturale assez forte… C’est là que les revêtements Myral entrent en jeu : pose verticale, horizontale, oblique, aspect plan, joint creux ou joint debout, un riche catalogue de finitions et de coloris… La solution Myral se décline à travers toute une gamme de rendus capable de répondre aux différentes attentes en matière d’esthétique. Je suis persuadé que sur ce plan-là en particulier, notre produit a de grandes qualités et est promis à un bel avenir.Quelle est le potentiel de votre région pour Myral ?Stéphane Cuzzaini : J’ai la chance de couvrir le quart Sud-Est de la France, notamment la région Auvergne-Rhône-Alpes qui est une belle région, très dynamique. On y trouve de gros projets et de gros acteurs du social, en particulier à Lyon… Mais je ne veux pas baser toute ma stratégie sur le social, car c’est ce que font tous nos concurrents. Je pense qu’il y a vraiment des opportunités intéressantes à saisir au niveau des marchés publics pour les écoles, les gymnases, les hôpitaux, les EHPAD… Il faut se diversifier et mener les deux de front : conserver notre position et notre part de marché sur le logement social, mais aussi aller sur le marché du tertiaire et des bâtiments publics, où l’image architecturale compte… Car je suis sincèrement convaincu qu’en terme d’esthétique, la solution Myral est capable d’apporter une vraie valeur ajoutée aux bâtiments.En outre, je vais avoir un important travail de prescription à mettre en place dans le Sud, car le recours à l’ITE y est encore peu développé pour les bâtiments résidentiels alors qu’elle permet de réduire massivement les besoins en climatisation d’un logement…Cela fait plus de deux mois que vous avez rejoint Myral. Comment avez-vous vécu votre arrivée ?Stéphane Cuzzaini : Même si elle a été perturbée par la situation sanitaire que nous subissons, je l’ai vécu de façon très positive ! Il y a vraiment un bel esprit d’équipe. J’ai pu l’observer lors d’une réunion en mars à Paris où tous les prescripteurs et les membres de l’équipe technique étaient rassemblés. Il y avait belle osmose et un esprit très participatif : les échanges entre nous ont été très féconds, que ce soit sur les supports de communication, les références chantiers… Ce qui nous a permis de déboucher collectivement sur des solutions et des améliorations. J’avais très peu d’appréhension en entrant chez Myral, mais j’ai tout de même été agréablement surpris par le professionnalisme et l’humanité de mes nouveaux collègues.Vous semblez confiant et enthousiaste de vous lancer dans cette aventure…Stéphane Cuzzaini : Je suis confiant oui, car je crois fort en notre solution d’ITE. Dans mon métier de chargé d’affaires, la réussite est vraiment liée au fait d’avoir un bon produit auquel on croit, une solution technique qui puisse répondre à toutes les réglementations aussi bien au niveau du feu, de la sismique, au niveau du type de support, que ce soit le bois, le béton… Mais aussi une solution qui entre dans des contraintes budgétaires, tout en ne lésinant pas sur la qualité des matériaux et des rendus. Le produit Myral coche toutes ces cases… Et les marchés à conquérir sont nombreux ! Alors même si la période actuelle a mis à l’arrêt le secteur, que la reprise sera progressive, et que cela nous impose de travailler différemment, je reste enthousiaste !Geoffrey Pointin : "Avec Myral j’ai tous les arguments pour répondre aux souhaits des architectes !"Geoffrey Pointin, fort de ses nombreuses années d'expérience dans le métier de la prescription d'ITE, passionné d'architecture et de design compte bien asseoir la présence de Myral dans une zone géographique jusque-là peu investie par le groupe : le quart Sud-Ouest de la France. Quel a été votre parcours professionnel avant de rejoindre Myral ?Geoffrey Pointin : Je suis dans le métier de la prescription depuis près de 15 ans. Si mon parcours professionnel est essentiellement tourné vers l’univers des façades et de l’isolation thermique, ce n’était pas le cas au tout départ. En effet, lorsque j’ai débuté dans l’entreprise Carea, mon rôle était de gérer des centrales d’achats pour vendre des éléments sanitaires aux grandes surfaces et grossiste de bricolage. Je suis entré dans la prescription d’ITE en accompagnant une collègue de l’époque dont c’était le métier ! Lorsque nous nous rendions chez les maîtres d’ouvrage, elle parlait des façades et moi de la partie sanitaire… Au fur et à mesure, passer du temps à ses côtés m’a permis de découvrir le métier de la prescription, pour lequel je me suis peu à peu passionné ! J’ai alors demandé à changer de métier et à intégrer l’équipe prescription d’ITE, où j’ai fait mes armes durant plusieurs années au contact de nombreux maîtres d’œuvre et d’ouvrage, membres de bureaux d’étude et architectes. Pendant cette période, notamment entre 2005 et 2012, j’ai eu la chance d’être sur un secteur parisien très porteur. En effet, c’était la « grande époque » des programmes en R.U. (renouvellement urbain), dont ceux de Paris intra-muros qui étaient importants en termes de volume, mais aussi très intéressants d’un point de vue architectural, parce qu’il y avait des moyens financiers… C’est une période durant laquelle j’ai pu travailler sur de très beaux projets architecturaux !Justement, vous semblez avoir une sensibilité particulière pour l’architecture… D’où vous vient-elle et comment l’avez-vous développée ?Geoffrey Pointin : J’ai toujours adoré le design et l’architecture, et même l’art en général. Au-delà du cadre professionnel, ce sont de vraies passions dans ma vie. J’ai des amis qui travaillent dans le design avec qui je passe souvent du temps, je me rends à de nombreuses expositions et j’ai la chance de voyager régulièrement, de découvrir des architectures incroyables et des projets fous sur certaines parties du globe. Au fil du temps, j’ai développé un œil acéré pour l’architecture qui m’est très utile dans mon métier de prescripteur. Il me permet d’avoir une « vision » et de saisir avec davantage de précision ce que souhaitent les architectes avec qui je collabore. Cette capacité à me projeter, je dirais que c’est ce qui fait ma particularité.Comment parlez-vous à ces architectes et comment faites-vous en sorte de respecter leur signature architecturale ?Geoffrey Pointin : Les clés ce sont : le terrain, la connaissance des dossiers locaux, la préparation des rendez-vous, la rigueur technique et une certaine capacité à se projeter, à traduire les désirs de l’architecte en solutions techniquement viables et adaptées à son projet, tout en respectant un maximum sa signature architecturale sur le plan esthétique… C’est comme ça que je vois le métier de la prescription et la relation que j’entretiens avec mes clients. En outre, ma stratégie c’est d’être présent à chaque moment, de proposer un accompagnement sur-mesure, d’être dans le conseil, la préconisation… Sans pour autant « piquer son crayon » à l’architecte ! Je fais tout mon possible pour aider ces derniers à faire de leurs projets couchés sur le papier une réalité conforme à leurs attentes, mais quand les contraintes sont trop nombreuses, mon travail m’impose aussi de savoir leur dire non et leur proposer les meilleures alternatives.Comment avez-vous connu le groupe Myral et sa solution d’ITE ?Geoffrey Pointin : Il y a quelques années, je me suis installé sur Brive-la-Gaillarde afin de travailler sur la région Sud-Ouest, avant de revenir faire des allers-retours hebdomadaires sur Paris. Et dès 2016, dans la Capitale, c’est simple : Myral était sur toutes les lèvres ! Je me suis rendu compte que les architectes parlaient énormément de la solution M32, vantant notamment sa vitesse de mise en œuvre, le fait qu’elle entre beaucoup plus facilement dans les budgets des maîtres d’ouvrage car plus économique, l’efficacité de son pouvoir isolant mêlé à la minceur record de ses panneaux… Et autant dire que j’étais bien embêté ! La solution Myral alignait tous les bons arguments, tandis que moi, chez Carea, je me retrouvais à devoir vendre une solution aux caractéristiques similaires, certes, mais bien plus chère : 30 euros du m² de plus en moyenne par rapport à ce produit. Donc quand on est sur Paris et qu’on a des dossiers qui ont entre 5 000 et 6 000 m² de façades à revêtir, si on multiplie par 30, le calcul est vite fait !Qu’est-ce qui vous a conduit d’intégrer Myral ?Geoffrey Pointin : Après plusieurs années, en tant que chef des ventes à gérer de grands comptes, j’avais le sentiment d’avoir fait le tour. L’échange avec Sylvain Bonnot (PDG du groupe Myral) a fait pencher la balance. J’étais déjà convaincu du produit et nous avons évoqué un poste où je pouvais avoir l’assurance de bénéficier d’un budget et du soutien de la hiérarchie pour développer la prescription dans ma zone géographique et une grande liberté d’action. En plus, j’étais très rassuré du fait que le patron affiche une vision et un cap, qu’il sache clairement où il veut mener l’entreprise. Le pôle R&D de Myral fournit aussi un travail remarquable, notamment autour du risque incendie et des démarches environnementales, qui sont impératives à prendre en compte aujourd’hui. Globalement le groupe nourrit de très belles ambitions et va, selon moi, dans le bon sens.Du coup, quand vous êtes entré dans la société il y a un peu plus d’un mois, avez-vous été conforté dans ce choix ?Geoffrey Pointin : Oui pas de surprise : c’est 100 % conforme à l’image humaine et professionnelle que je m’en faisais. Ce que je trouve génial avec Myral, c’est que c’est un groupe français avec un site de production basé en France, à Is-sur-Tille en Côte-d’Or. Nos lignes de production sont assez high-techs, avec une réflexion de fabrication qui est assez pertinente… Nous n’avons vraiment pas à rougir de notre solution et de nos infrastructures : je sais d’ores-et-déjà que je pourrais faire visiter une belle usine à des maîtres d’ouvrage français et leur présenter un produit innovant. Sans plébisciter Myral outre-mesure, il n’y a pas beaucoup de sociétés capables de proposer cela. En outre, bien que ce soit une « petite » entreprise, le groupe est bien structuré. Ses équipes, notamment celle chargée de la prescription, sont solidement mises en place et font preuve d’un grand professionnalisme : j’ai eu l’occasion de m’en rendre compte en allant tourner avec Pierre Guerrero (chargé de prescription dans le Grand-Est et l’Île-de-France). Au-delà de la très bonne entente qui est née entre nous lors de ce déplacement, sa connaissance impressionnante du métier m’a aussi marqué. Bref, même si je n’avais pas d’appréhension particulière avant mon entrée chez Myral, tout ça est très rassurant.Quel est le potentiel de développement dans votre secteur géographique : le Sud-Ouest de la France ?Geoffrey Pointin : Il y a encore tout à faire ! Dans le Sud-Ouest comme partout en France, le parc de réhabilitation de logements est énorme, le marché est donc très porteur pour le prescripteur d’ITE que je suis. Chez Myral nous avons un très bon positionnement pour ce qui est de la rénovation : nous proposons des bardages parmi les moins chers du marché et les plus rapides à mettre en œuvre. Au niveau du prix fourniture et pose, nos revêtements de façades se rapprochent de l’enduit mince sur isolant, notamment du fait de l’absence d’ossature, mais évidemment avec une pérennité, un rendu esthétique et une image architecturale sans commune mesure !Et en ce qui concerne la construction dans le neuf ?Geoffrey Pointin : Le potentiel-marché est tout aussi important. Bordeaux et Toulouse, les deux principaux centres urbains de mon secteur géographique, sont des villes réputées en France pour être attractives et attirer beaucoup de nouveaux habitants, par conséquent, un grand nombre de bâtiments neufs vont y être bâtis… Et je sais que grâce à la solution Myral, j’aurai tous les arguments pour me positionner sur ces nouveaux projets.Enfin, il y a des secteurs sur lesquels le groupe est encore très peu positionné, comme celui des bâtiments tertiaires. Je compte bien développer notre présence sur cette typologie de chantier, au même titre que les bâtiments publics et les logements individuels/collectifs, car là-aussi, le champ de développement est très important.À vous entendre, vous semblez assez confiant et déterminé !Geoffrey Pointin : Le métier de la prescription est exigeant certes, mais aussi très passionnant car nous avons la chance de rencontrer des gens différents tous les jours, de participer à de beaux projets auprès d’architectes talentueux. Comme je l’ai déjà dit plus tôt, le marché de l’ITE a de beaux jours devant lui partout en France, notamment dans le Sud-Ouest. Étant le premier chargé de prescription Myral assigné à cette zone géographique, le « territoire » est donc tout entier à conquérir ! Les perspectives sont vraiment enthousiasmantes et je suis d’autant plus motivé que j’ai entre les mains un produit en lequel je crois. J’ai la certitude de posséder toute une panoplie de vrais arguments pour répondre aux besoins et aux exigences des architectes, sur les plans technique, esthétique, économique, avec en plus une production Made in France : un argument qui compte à l’heure où la reprise économique post-Covid19 viendra du soutien aux entreprises nationales. D’ailleurs, j’invite les acteurs de la maîtrise d’ouvrage et de la maîtrise d’œuvre du Sud-Ouest à visiter notre usine !
Il y a 4 ans et 315 jours

La FFB verdit ses propositions pour enrayer la chute d’activité

Aujourd’hui, alors que la crise sanitaire s’estompe, 17 % des chantier du bâtiment se trouvent encore en activité réduite et 5 % toujours à l’arrêt. Pour la FFB, qui vient de publier sa dernière note de conjoncture, la cicatrice restera profonde puisque nos prévisions révisées pour 2020 tablent sur une chute d’activité bâtiment de 18 % hors effet prix et la perte d’environ 120 000 emplois. Le décrochage pourrait atteindre jusqu’à 200 000 postes en 2021 si rien n’est fait. Pour Olivier Salleron, le nouveau président de la fédération, il faut un plan à « prise rapide », pour limiter le trou d’air de septembre et les pertes d’emplois associées, qui en interdiraient la réalisation. Il convient de mobiliser le plus possible les dispositifs qui existent déjà, bien connus et maitrisés. La préoccupation écologique ressort primordiale. En matière de rénovation énergétique, la FFB propose de renforcer le couple CITE-MaPrimeRénov’, au moins pour une période couvrant la fin 2020 et l’année 2021. Elle propose : – de ramener à quelques centaines d’euros le reste à charge pour les ménages très modestes et modestes. Aujourd’hui, les aides nationales couvrent au mieux 90 % des travaux énergétiques, ce qui laisse souvent un montant bien trop important à la charge des ménages visés pour déclencher des opérations. – de restaurer l’éligibilité complète des ménages des déciles 9 et 10 de revenu, soit à partir de 50 000 euros avant impôt par an pour un couple sans enfant, avec les mêmes barèmes que les ménages intermédiaires. Ce sont eux qui ont accumulé le plus d’épargne « forcée » pendant le confinement ; l’orienter vers des travaux de performance énergétique constitue un bon moyen d’alimenter une croissance durable dans notre pays. – de relever de 150 à 400 euros/m² le forfait pour les rénovations globales, dont le coût s’approche souvent des 500 euros/m² dès lors qu’il s’agit de tendre ou d’atteindre le niveau BBC rénovation. Il s’agit d’une des mesures phares du plan FFB. Cette forte majoration doit permettre de prendre en charge une partie des gros travaux non énergétiques qui accompagnent une telle rénovation. C’est aussi un moyen efficace pour que les phases de gros travaux embarquent plus systématiquement la performance énergétique. En première analyse, nous estimons que 50 000 ménages pourraient s’inscrire dans une telle démarche à l’horizon de la fin 2021. La FFB propose même d’aller un pas plus loin, avec une prime poussée à 500 euros/m² en cas de prise en charge complémentaire de l’accessibilité. – de rendre éligibles au CITE, puis à MaPrimeRénov’ les résidences secondaires en zone de revitalisation rurale, parc dont l’importance a été soulignée par la crise sanitaire et qui permet de générer de l’activité, donc de l’emploi, sur ces territoires. – à ce que tous les travaux d’amélioration-entretien bénéficient d’une TVA réduite à 5,5 %. En ce qui concerne le neuf, la FFB propose deux améliorations au PTZ. La première se résume au retour à un prêt de 40 % du montant de l’opération sur tout le territoire. De fait, contrairement aux attentes, le rabotage à 20 % en zones B2 et C depuis 2018 n’a pas conduit les candidats à l’accession vers des zones plus urbaines ou vers l’ancien, mais plus loin des villes et villages pour y trouver un terrain à bâtir moins cher. La baisse de l’aide a donc été vecteur d’étalement urbain. Il convient de revenir en arrière. La seconde proposition correspond à une majoration temporaire à 60 % de la quotité pour les opérations affichant une performance meilleure que la règlementions en vigueur dans le neuf, avec un label « RE 2020 » à définir, ou pour des opérations associées à des travaux permettant un saut de deux classes du diagnostic de performance énergétique (DPE) dans l’ancien. Graphique : Réseau des CERC/FFB/CAPEB
Il y a 4 ans et 315 jours

Le bâtiment prévoit une chute de 18% de son activité cette année et réclame un plan de relance immédiat

En 2020, "le bâtiment devrait chuter de 18% (et) ça serait 120.000 emplois en danger", a résumé Olivier Salleron, président de la Fédération française du bâtiment (FFB), lors d'une conférence de presse.C'est la première fois que la fédération évalue aussi précisément les conséquences de la crise du coronavirus et du strict confinement décrété en France entre mars et mai pour éviter la propagation de la maladie.Contrairement à d'autres secteurs, comme la restauration, les chantiers n'ont pas été officiellement contraints de fermer. Mais ils y ont, dans les faits, été largement obligés pendant des semaines, le temps d'instaurer des mesures sanitaires.Ces mesures restent au cœur des inquiétudes du secteur, malgré la reprise quasi complète des chantiers, car elles coûtent cher.Elles "sont aujourd'hui (...) très largement supportées simplement par les entreprises" plutôt que leurs clients privés ou publics, a prévenu M. Salleron. "Aujourd'hui, les entreprises travaillent à perte, elles perdent du pognon", a-t-il insisté.Le gouvernement a pourtant pris des mesures présentées comme des aides au secteur, à l'occasion du nouveau budget de crise examiné cette semaine à l'Assemblée. Il a annulé plusieurs mois de charges pour les petites entreprises ayant subi une chute de leurs revenus - une mesure qui va d'ailleurs au-delà du seul bâtiment - mais le secteur en veut plus et exige une suppression générale cette année.Plus largement, le secteur et le gouvernement sont en désaccord sur le calendrier de mesures dédiées au bâtiment. Celui-ci les veut dès maintenant, mais l'exécutif les réserve pour un grand plan de relance à l'automne.A ce titre, la fédération a présenté mardi son propre plan, évalué à cinq milliards d'euros par an. Il prévoit surtout d'élargir les aides destinées aux particuliers en matière de rénovation et de construction.Il s'agit en premier lieu de MaPrimeRénov', qui concerne les travaux d'isolation et que la fédération veut rouvrir aux ménages les plus aisés, actuellement exclus, ainsi qu'élargir aux résidences secondaires.En matière de construction de logements, l'organisation veut notamment relever les montants du prêt à taux zéro (PTZ), une aide à l'achat dont l'État a réduit l'ampleur ces dernières années.Téléchargez la note conjoncturelle de la FFB en cliquant ici.Le plan de relance proposé par la FFBRénovation énergétiqueLa mesure phare : dynamiser très fortement les travaux de performance énergétique globale en portant CITE/MaPrimeRénov’ à 400 €/ m² pour tous les ménages.En complément dans CITE/MaPrimeRénov’ : diminution du reste à charge pour les ménages modestes (400 €) et très modestes (200 €) ;réintégration des déciles 9 et 10 ;réintégration des chaudières au gaz THPE ;ouverture aux résidences secondaires en Zone de revitalisation rurale (ZRR).Surcoût budgétaire : 1,9 Md€ par an.Rénovation énergétiqueCEE : « coup de pouce » pour la rénovation globale des maisons individuelles ⇒ aide relevée d'environ 50 €/m² à 200 €/m² ;financement d'un nouveau Contrat d'accompagnement énergétique (CAE), permettant de suivre et conseiller un client après rénovation énergétique.TVA à 5,5% pour tous les travaux (1,4 Md€ par an).Accession à la propriétéRétablir un PTZ à 40 % du montant d'opération : pour les zones B2 et C dans le neuf ;pour les zones A et B1 dans l'ancien avec travaux.Porter la quotité à 60 % toutes zones si atteinte d'une performance énergétique « supérieure » : pour les constructions : « label RE 2020 » à définir ;pour les rénovations : saut de 2 classes du Diagnostic de performance énergétique (DPE) après travaux.Surcoût budgétaire : 0,6 Md€ par an.Investissement locatif privéRemplacer fiscalité confiscatoire + dispositifs fiscaux dérogatoires par un système de droit commun général, durable, simple et lisible : amortissement du prix d'acquisition du bâti sur 50 ans (2% l'an) dans le neuf et l'existant, pour le stock et le flux + amortissement accéléré sur 20 ans (5% l'an) si atteinte du « label RE 2020 » en neuf ;amortissement des travaux sur 15 ans + amortissement accéléré sur 10 ans si saut de deux classes DPE ;déductibilité du revenu locatif brut des intérêts d'emprunt (sans limite), des petits travaux et des charges locatives ;déficit foncier imputable sans limite sur le revenu global positif.Économie budgétaire : 0,5 Md€ par an.Non résidentielSuramortissement pour la construction de bâtiments non résidentiels privés.Majoration de 1 milliard d'euros de la Dotation d'équipement des territoires ruraux (DETR), notamment pour accompagner le déploiement de centres de collecte des déchets professionnels.Lancement d'un grand plan EHPAD.Mesures d'accompagnementObtenir l'assouplissement des deux recommandations du Haut Conseil de stabilité financière (taux d'effort < 33% et prêts immobiliers < 25 ans).Définir clairement ce qui est visé dans la lutte contre l'artificialisation.Choc de simplification administrative : division par deux des délais d'instruction des permis bloqués;accélération de la dématérialisation des permis ;création d'un permis déclaratif dans un périmètre sous permis d'aménager ou en zone d'aménagement concerté ;relèvement à 100.000 euros du seuil des appels d'offre.
Il y a 4 ans et 320 jours

Nouvelle réglementation Qualité de l'Air Intérieur : l'expertise globale AC Environnement et Transitia pour les collectivités

Dans ce contexte, AC Environnement, leader du diagnostic immobilier en France et Transitia, cabinet de conseil à la surveillance de la qualité de l'air intérieur, ont noué un partenariat exclusif et ont associé leur savoir-faire pour proposer une offre globale de surveillance et de contrôle de la QAI visée par le Bureau Santé Environnement (B.S.E) de la Direction Générale de la Prévention des Risques au sein du Ministère de la Transition Écologique et Solidaire.La qualité de l'air intérieur : un enjeu majeur de santé publiqueC'est un fait, chacun passe aujourd'hui 80% de son temps dans des milieux clos (logements, entreprises, crèches, écoles, transports…) où l'air intérieur peut révéler un taux de pollution deux à cinq fois plus élevé que l'air que l'on respire à l'extérieur. Les enfants sont parmi les populations les plus vulnérables aux effets néfastes de la pollution intérieure, avec un risque immédiat ou à terme pour leur santé. Dans les bâtiments scolaires, les sources possibles d'émissions de substances polluantes sont multiples : matériaux de construction, peinture, feutres, meubles, appareils de chauffage, produits d'entretien… une mauvaise qualité de l'air intérieur peut favoriser l'émergence de divers symptômes : maux de tête, fatigue, irritation des yeux, du nez, de la gorge, de la peau, vertiges, manifestations allergiques, asthme. À contrario, une bonne qualité de l'air intérieur, et en particulier une aération suffisante des salles de classe, a des effets positifs : diminution de l'absentéisme, bien-être des occupants, meilleur apprentissage des enfants.C'est pourquoi, depuis le 1er janvier 2018, les établissements recevant des enfants de moins de 12 ans - crèches, haltes-garderies, écoles maternelles et élémentaires -, sont soumis à une obligation réglementaire de surveillance de la qualité de l'air intérieur (QAI) qui, depuis le 1er janvier 2020, concerne également les centres de loisirs et les établissements d'enseignement ou de formation professionnelle du second degré (collèges, lycées, etc.). Avant le 1er janvier 2023, cette surveillance de la QAI sera obligatoire pour tous les ERP de l'enfance, de la santé et de la justice.Surveiller la qualité de l'air intérieur (QAI) : les crèches et les écoles en retard sur cette obligation légaleLes collectivités sont en retard sur le respect de leurs obligations en QAI, seules 30% des communes sur tout l'hexagone sont en conformité avec la réglementation. Ce retard sur la mise en œuvre de la réglementation en vigueur dans les ERP inscrit la QAI comme un enjeu sanitaire et environnemental majeur et plus que jamais d'actualité.Les enjeux sanitaires et économiques liés à la qualité de l'air intérieur sont importants. En France on estime à 19 milliards d'euros le coût en dépenses de santé annuelles dû à la mauvaise qualité de l'air intérieur. Il est donc important de mettre en œuvre des actions pour améliorer la qualité de l'air intérieur, que ce soit dans les logements ou dans les établissements recevant du public comme les écoles.Qualité d'air intérieur : une offre complète et rapide pour se mettre en conformitéDans ce contexte, AC Environnement et Transitia ont travaillé de concert à une offre dédiée de surveillance des établissements recevant du public pour aider les collectivités à se mettre en conformité mais aussi à améliorer de manière continue les conditions sanitaires d'accueil.AC Environnement et Transitia ont conçu une méthode facile, rapide, avec la volonté d'accompagner, de sensibiliser et d'impliquer toutes les parties prenantes. Cette méthode comprend systématiquement, conformément au décret de 2015 :Une première phase d'évaluation de l'état des ouvrants et des systèmes d'aération par un technicien spécialisé ;Une phase d'autodiagnostic avec le concours des enseignants et personnels des établissements qui doivent renseigner des grilles de pratique réglementaires, couramment au format papier mais que Transitia et AC Environnement mettent à disposition dans le cadre d'une application digitale métier. Ce qui permet de mieux collecter les données (80% de résultats vs moins de 20% avec le papier), de mieux les analyser et de mieux les restituer ;Une phase de conseil stratégique et mesures correctives. Les résultats des investigations sur les ouvrants, les systèmes d'aération et la synthèse des questionnaires donnent lieu à la rédaction et la remise d'un rapport réglementaire sur la qualité de l'air intérieur dans l'établissement. Ce rapport est complété par un plan d'actions d'amélioration continue de la QAI dans l'établissement ;Le cas échéant, une phase de mesures de contrôle dans les pièces où des anomalies ont été constatées en QAI. Cette phase nécessite l'intervention d'un professionnel de la qualité de l'air intérieur qui établit une stratégie d'échantillonnages, réalise des prélèvements ou des mesures en continu, établit des conclusions de conformité aux seuils. Ces mesures d'air sont réalisées par AC Environnement accrédité COFRAC[1].Aujourd'hui, AC Environnement et Transitia interviennent déjà dans plus de 1 800 crèches, écoles, collèges et lycées à la demande respectivement des villes, des conseils départementaux et régionaux qui ont la responsabilité du patrimoine bâti de ces établissements.Ce choix valide la proposition unique sur le marché que constitue la digitalisation du process, gage d'une plus grande efficacité, productivité, pertinence et capacité d'exploitation des résultats associée à l'expertise globale du leader du diagnostic immobilier et des polluants du bâti.Cette digitalisation peut même franchir un cap supplémentaire en intégrant ces données sur la QAI dans une maquette numérique BIM de l'établissement scolaire concerné. De sorte que ces données sur la QAI puissent être plus lisibles et même, au moyen d'objets connectés, suivies au fil du temps pour constater l'efficacité des mesures correctives dans le cadre d'une gestion-exploitation-maintenance du bâti scolaire.C'est une démarche encore inédite et émergente. Elle s'inscrit toutefois dans un mouvement plus général vers une meilleure gestion exploitation maintenance du bâti scolaire pour de meilleures conditions sanitaires, de sécurité, de préservation et d'optimisation des dépenses inhérentes à un parc immobilier scolaire immense et coûteux dans un contexte de défis climatique, énergétique, environnemental.« Fort de notre expérience de terrain, nous pouvons constater qu'il y a un chantier énorme en matière de QAI dans les établissements d'enseignement, en raison de déficiences quant aux stratégies d'aération et de ventilation et du fait de pratiques perfectibles en matière de maintenance, d'agencement et d'entretien des établissements ».- Daniel BOTELLA, Président fondateur de Transitia[1] *AC Environnement accrédité « essai » LAB REF 30 (numéro d'accréditation 1-6001). Liste des sites et portées disponibles sur www.cofrac.fr
Il y a 4 ans et 327 jours

Du 15 juin au 31 juillet, sécurisez vos locaux professionnels grâce à l’offre exceptionnelle du réseau d’expert en sécurité Proxeo !

Cabinet, étude, commerce… votre local professionnel représente beaucoup à vos yeux et mérite d’être sécurisé contre toute forme d’intrusion. Pour envisager des absences en toute sérénité pendant l’été, le réseau d’experts en sécurité Proxeo lance sa « Promotion jamais vue », avec du 15 juin au 31 juillet 2020 inclus, deux caméras offertes pour un système d’alarme Daitem acheté, d’une valeur supérieure ou égale à 3000 € HT[1]. Couplées à l’application e-Daitem, les caméras apportent un réel complément au système d’alarme, permettant d’enregistrer les séquences vidéo et de les recevoir automatiquement en cas d’incident. En cas d’intrusion avérée, la levée de doute vidéo permet aux opérateurs de notre service de télésurveillance actif 7j/7 et 24h/24, de gagner en efficacité et de demander, le cas échéant, aux forces de l’ordre d’intervenir. Pour plus de sécurité, les séquences vidéo sont enregistrées sur les propres serveurs sécurisée de Daitem. Un système d’alarme Daitem, c’est le choix d’un matériel certifié, conçu, fabriqué et assemblé en France, en Isère. Les produits de la gamme e-Sens ont obtenu le label Origine France Garantie délivré par le bureau Veritas Certification. Les systèmes d’alarmes Daitem sont conformes aux dispositions des directives européennes et certifiés NF&A2P 2 boucliers, certification délivrée conjointement par l’AFNOR et le CNPP, garantissant un niveau de fiabilité maximale. Enfin, les produits Daitem sont garantis 5 ans, respectant les normes industrielles les plus rigoureuses, avec un contrôle de chacun de ses composants à 100%. Pour sécuriser votre local professionnel, faites appel à un expert de la sécurité Proxeo ! Proxeo, c’est le premier réseau français de distribution et d’installation de systèmes d’alarmes, avec plus de 200 agences à votre service sur tout le territoire. Expert en sécurité depuis 40 ans, le réseau a été réalisé plus d’un million d’installations de systèmes de sécurité à travers l’Europe. Votre agent Proxeo est à votre écoute pour vous proposer une prestation de qualité et des produits certifiés. Il réalise un diagnostic précis de vos besoins spécifiques et vous transmet un devis détaillé, gratuit et sans engagement. Proxeo, c’est aussi la garantie d’un service après-vente rapide, et le service d’un expert pour l’entretien et l’évolution de votre système de sécurité. Détails de la promotion  Un système d’alarme Daitem acheté, deux caméras offertes. Pour tout achat d’un système d’alarme DAITEM supérieur ou égal à 3000 € HT ou 1 caméra et/ou détecteur de mouvement images offerts pour tout achat d’un système d’alarme DAITEM supérieur ou égal à 2000 € HT, voir conditions auprès de votre expert sécurité Proxeo. Les montants s’entendent hors pose. [1] Pour l’achat d’un système d’alarme Daitem supérieur ou égale à 3000 euros HT (matériel hors pose), voir conditions auprès de votre expert sécurité Proxeo.
Il y a 4 ans et 328 jours

Réforme du DPE : deux décrets en consultation publique

RÉNOVATION ENERGETIQUE. Les deux projets de décrets réformant le diagnostic de performance énergétique (DPE) sont en consultation publique jusqu'au 10 juillet prochain.
Il y a 4 ans et 330 jours

18 acteurs s'opposent à un avantage donné au chauffage électrique en rénovation

PÉTITION. Dans un courrier adressé au Premier ministre, 18 organisations détaillent les points sur lesquels elles s'opposent à certains arbitrages gouvernementaux touchant à la réglementation environnementale, le diagnostic de performance énergétique et le niveau BBC.
Il y a 4 ans et 341 jours

"La rénovation énergétique, excellent candidat pour le plan de relance" E.Wargon

ENTRETIEN EXCLUSIF. Rénovation énergétique, label RGE, coups de pouce CEE, diagnostic de performance énergétique, réglementation environnementale, relance... La secrétaire d'État à la Transition écologique et solidaire, Emmanuelle Wargon, a reçu Batiactu au ministère pour effectuer un tour d'horizon de l'actualité.
Il y a 4 ans et 342 jours

Avec Web2vi, Unilin Insulation renforce son offre de services pour les membres du Club Unilin

Aujourd'hui, pour poursuivre son engagement sur les chemins de l'innovation, l'industriel étaye son offre pour les membres du Club en partenariat avec WEB2Vi.com, créateur d'outils numériques pour les professionnels du bâtiment. UNILIN Insulation propose deux packs pour réaliser des devis 2 fois plus vite et optimiser la gestion de l'entreprise, en prenant en charge jusqu'à 50% de l'investissement, en fonction du nombre de chantiers réalisés.WEB2VI.com, un partenaire innovantGrâce à ce partenariat, UNILIN Insulation se met au service des adhérents pour les aider à mieux gérer leur entreprise et maintenir leur savoir-faire dans un monde où le digital offre des solutions innovantes et impactantes qui couvrent toutes les étapes d'un projet.En effet, plus qu'un outil de prise de mesure et de chiffrage, WEB2Vi.com est un logiciel et une bibliothèque d'ouvrages pour couvreurs et charpentiers ainsi qu'une plateforme de gestion en ligne depuis le métré jusqu'à l'export comptable. Des référentiels de poses précis créés par des professionnels pour tous les métiers du bâtiment y sont disponibles. De plus, l'intégration du métré 3D dans le devis grâce au drone ANAFI avec prise de vue 4K (en collaboration avec Parrot) complète l'offre de solutions novatrices.Ces outils numériques permettent aux artisans de renforcer l'efficacité dans leur gestion :réalisation de maquettes 3D métrées à partir des images 4K du drone,des temps de métrés et devis divisés par 10,amélioration des diagnostics terrain et visualisation parfaite de l'état de la toiture,réduction des risques de chute, la sécurité étant une préoccupation majeure chez UNILIN Insulation,gestion des clients et négociation commerciale simplifiées.Deux packs WEB2Vi.com pour répondre aux différents besoinsUNILIN Insulation propose aux membres du Club deux packs avec une participation financière pouvant aller jusqu'à 1145 euros en fonction du nombre de chantiers Trilatte réalisés avec cet outil.Le pack métré 3DUne solution intermédiaire comprenant le logiciel de photogrammétrie, le drone PARROT ANAFI ainsi qu'une tablette, pour réaliser les maquettes 3D et les mesures et diagnostics.Le pack ProLa solution complète comprenant le Pack métré 3D ainsi que le logiciel de gestion avec les bibliothèques d'ouvrages et de matériaux de WEB2Vi.com.A travers ce partenariat, UNILIN Insulation poursuit donc sa mission d'accompagnement auprès de ses partenaires installateurs en les sensibilisant, en les formant et en leur proposant d'accéder de manière privilégiée à des solutions innovantes et simples.Le Club UNILIN est plus que jamais au service des couvreurs, charpentiers et entreprises générales pour les aider, au quotidien, à mettre en œuvre les meilleures solutions d'isolation par l'extérieur des toitures en pente.
Il y a 4 ans et 343 jours

Lippi présente Évolution : une pile élégante et compacte pour sécuriser les portails en collectif

Cette année, LIPPI® enrichit son offre avec la pile Évolution, un coffre technique prêt à poser pour équiper les portails coulissants et autoportants LIPPI®.Conçue pour les entreprises et les collectivités, cette pile au design épuré permet d'assurer la sécurité des usagers et de protéger les équipements tout en répondant aux normes les plus strictes et en offrant une installation simplifiée.Évolution : une solution fonctionnelle pour accroître la sécurité des portailsLIPPI® enrichit son offre de portails avec une solution spécialement dédiée au collectif, résidences, hôtellerie, bureaux, commerces et autres zones recevant du public soumis à un passage intensif : la pile Évolution, conçue pour sécuriser les portails coulissants et autoportants. Destinée à recevoir la motorisation et l'électronique des portails LIPPI®, cette solution technique permet en effet de préserver les équipements grâce à un boîtier étanche assurant une protection efficace contre les intempéries. Anti-choc et verrouillé par clé, le coffre permet en outre de se prémunir contre le vandalisme.Répondant aux normes de sécurité les plus strictes (normes Eurocodes - 4 zones France et Corse), la pile Évolution intègre une motorisation CARDIN et est dotée d'équipements de série permettant de garantir la sécurité des usagers : un feu clignotant, un éclairage de zone LED pour une parfaite visibilité du débattement du portail, de jour comme de nuit, un jeu de cellules et 5 barres palpeuses ou tranches de sécurité (1 sur le vantail et 4 sur la pile) offrant une protection renforcée contre les risques de cisaillement et d'écrasement. Ainsi le portail s'arrête automatiquement lorsqu'un obstacle est détecté lors de l'ouverture ou de la fermeture.Diverses solutions de contrôle d'accès sont également proposées en option permettant ainsi d'accroître la sécurité des biens et des personnes en fonction des besoins : interphone, visiophone, lecteur de badge ou clavier à code.Un produit design et simple à mettre en œuvreÉvolution, c'est une pile unique pour de multiples possibilités esthétiques : compatible avec les portails coulissants et autoportants Z®, STEM®, STEM Wall®, et AQUILON® (sauf Tivano, Aquilon Max et Practis), son design compact et ses lignes épurées offrent une alliance parfaite avec les différents univers LIPPI® et s'intègre donc harmonieusement à tous les projets architecturaux, des plus classiques aux plus audacieux. Elle se décline dans les 30 coloris standards des Univers Z et STEM et les 12 coloris de la gamme AQUILON. La pile Évolution permet également d'intégrer un logo pour des installations personnalisées.Sa compatibilité avec la majorité des modèles LIPPI® abolit par ailleurs les contraintes techniques, la pile étant adaptée aux dimensions (hauteurs et passages) des différents portails autoportants et coulissants.Câblée et testée en usine, elle constitue une solution prête à poser, offrant un réel gain de temps à la pose pour les installateurs. Son ergonomie facilite de plus l'accès aux équipements électroniques tant pour l'installation que pour la maintenance.Connectée, Évolution embarque la technologie Cardin permettant un diagnostic et un contrôle à distance via l'application CRD TWO. Très à l'écoute des besoins de ses clients, LIPPI® propose de plus avec la pile Évolution une offre complète de services dédiés aux professionnels : assistance à la pose, forfait de mise en route et contrat d'entretien. Enfin, Évolution est intégrée à la bibliothèque d'objets BIM de BimObject® afin de simplifier le travail des architectes.Une fabrication française de qualitéDistribuée via le réseau de concessionnaires LIPPI® et les revendeurs professionnels (voir liste sur le site), la pile Évolution bénéficie d'une fabrication de qualité réalisée en Charente dans les usines LIPPI® et d'une garantie de 10 ans contre la corrosion.Symbole du savoir-faire français depuis plus de 50 ans, la marque a su développer un niveau d'excellence dans la fabrication de portails et clôtures, du choix des matières premières aux traitements de protection et produits de finition. La triple certification Qualité Sécurité Environnement attribuée à la marque témoigne de la volonté de garantir des produits et services de qualité, dans le respect des valeurs managériales et environnementales de l'entreprise.Caractéristiques techniquesmatériau : acier galvaniséencombrement au sol : 570 mm x 480 mméquipements de série : motorisation CARDIN réf Sli1024Feu clignotant - 1 Récepteur radio avec antenne1 Transmetteur pour barre palpeuse5 Barres palpeuses (1 sur le vantail et 4 sur la pile)1 Jeu de cellules filaires - Borne de connexionÉclairage de zone à led - Carte électroniquePorte accès moteur avec serrure à clé2 TélécommandesHorloge hebdomadaireBatterie de secours NIMHéquipements en option : Contrôle d’accès (interphone/visiophone/lecteur de badge/clavier codé)Télécommandes supplémentaireshorloge annuelle avec jours fériés1 jeu de cellules poids lourdDisponibilité : 25 mai 2020
Il y a 4 ans et 363 jours

Économie et environnement : entre angoisse de la crise et espoir d'un monde meilleur

Économie« Cette étude révèle des enseignements forts : les Français sont unanimes sur la nécessité de faire repartir l'activité du pays et semblent même prêts à faire des sacrifices pour y parvenir. Cela démontre bien la prise de conscience de l'urgence économique. S'ils imputent la crise à des erreurs politiques, on observe une large prise de conscience des impacts du système économique globalisé sur les écosystèmes. Pour imaginer et construire ce monde d'après dont tout le monde parle, il est indispensable de poser les bons diagnostics », commente Nicolas Moulin, fondateur de VosTravauxEco, acteur majeur de la transition énergétique.« Avant d'être une crise sanitaire, politique et économique, Covid-19 trouve ses origines dans nos atteintes répétées à l'environnement. La crainte exprimée par les Français quant à la capacité de l'État à maintenir son soutien à la rénovation énergétique et à la transition écologique, témoigne des très fortes attentes sur le sujet. La crise actuelle est une caisse de résonance des enjeux environnementaux à l'échelle mondiale. Les conditions psychologiques sont réunies pour accélérer le mouvement vers une économie plus respectueuse de l'environnement, mais c'est un vrai choix de société ».Principaux enseignementsEntreprises à l'arrêt, chômage partiel, licenciements en masse... Conséquence de la pandémie de coronavirus, le cap des 12 millions de salariés au chômage partiel est désormais atteint. Alors que la France prépare activement son déconfinement et la reprise de l'activité, l'impact de la crise sanitaire sur l'économie du pays est au cœur des préoccupations. Pouvoir d'achat, consommation, emploi : comment les Français envisagent-ils l'avenir ?86% des Français s'inquiètent des conséquences de la crise sanitaire et économique sur les finances publiques. En découle une crainte importante concernant leurs possibles effets sur la fiscalité et les impôts (83%).83% des Français sont préoccupés par l'impact de la crise sur l'économie française et la capacité des entreprises à rebondir. Aussi, près de 60% se déclarent prêts à faire des sacrifices (salaires, congés, temps de travail) afin de soutenir leur entreprise et sécuriser leur poste, une proportion significative des actifs en fonction déclarant craindre pour la pérennité de son emploi (52%).82% des Français partagent largement l'impératif de maintenir l'activité économique du pays durant la crise. Pour soutenir cet effort, 88% des interviewés se déclarent prêts à privilégier les productions françaises.77% des Français sont inquiets pour leur pouvoir d'achat. Une crainte générale favorisée par l'anticipation d'une hausse des prix des produits de consommation courante (85%) ou des factures d'énergie (71%).Transition écologiqueAlors que le ministre de l'Économie Bruno Le Maire appelle à « une relance verte » face à la pandémie de Covid-19, préconisant « d'accélérer la transition écologique pour faire de notre économie la première économie décarbonée de la planète », comment les Français analysent-ils les causes de la crise sanitaire qui touche le monde et quelles évolutions majeures imaginent-ils pour le monde de demain ?Les principales causes de la propagation du covid-19 selon les Français91% des Français identifient la circulation intense des personnes et des marchandises au niveau mondial comme des facteurs importants de la diffusion de l'épidémie. 86% attribuent également un rôle important aux conditions de vie propres aux sociétés globalisées dans la propagation du virus : surpopulation mondiale et agglomérations hyper-concentrées.77% des Français désignent responsable de la crise l'évolution de nos modes de vie (extension de l'habitat humain, élevage intensif, déforestation, artificialisation des sols) qui favorisent l'augmentation des contacts entre les humains et la faune sauvage. 68% considèrent par ailleurs que la vente et la consommation d'animaux sauvages ont contribué à diffuser le virus.49% des Français considèrent que les dérèglements climatiques ont joué un rôle important dans la propagation de l'épidémie.Le Covid-19, l'occasion d'une prise de conscience positive et constructive78% des Français considèrent que du bon pourrait émerger de la crise, et en premier lieu favoriser la consommation de produits locaux et de saison.77% des Français espèrent que l'avenir passera par la relocalisation de l'appareil productif français.77% des Français saluent les nouveaux modes de travail collaboratifs pour leur impact plus faible sur l'environnement. 57% des Français citent aussi des effets positifs de la crise concernant les conséquences de l'activité humaine sur le réchauffement climatique et la qualité de l'air, mais également la réduction des voyages longue distance (56%).76% des Français s'attendent à ce que nos sociétés tirent les leçons de la crise actuelle, afin de réduire notre vulnérabilité à l'égard des conditions biologiques, environnementales et sociales.Inquiétudes quant à l'impact du Covid-19 sur la transition écologique68% des Français s'inquiètent de la capacité de l'État à maintenir les aides à la rénovation énergétique.66% des Français craignent les conséquences de la crise sur la capacité de l'État à poursuivre son action pour la transition écologique.59% des Français se déclarent inquiets de la disponibilité des artisans pour continuer et terminer les travaux de rénovation. 41% craignent de ne pas pouvoir concrétiser leurs projets en la matière.
Il y a 4 ans et 364 jours

La RE 2020 entrera en vigueur à l’été 2021

Les textes de la RE2020 seront publiés fin 2020 ou début 2021 pour entrer en vigueur à l’été 2021. [©ACPresse] Si le gouvernement a diffusé plusieurs documents sur les méthodes de la RE 2020, il annonce un report de son entrée en vigueur. La nouvelle réglementation pourrait ainsi être publiée fin 2020 ou début 2021 pour prendre effet à l’été 2021. Pour le ministère de la Cohésion territoriale, ce report, conséquence directe de la crise sanitaire, est dû à la complexité d’organiser les concertations et consultations autour de la RE 2020. «&nbsp;Ce travail de concertation est indispensable pour fixer collectivement une ambition environnementale à la fois exigeante et soutenable dans un contexte de reprise, indique le ministère dans un communiqué de presse. Dans la continuité de l’expérimentation E+C&#8211; qui préfigure la réglementation depuis 2017, l’ensemble des acteurs devra aussi bénéficier d’une période de plusieurs mois pour poursuivre l’appropriation des règles, entre leur officialisation et leur entrée en vigueur.&nbsp;» Concernant les simulations lancées autour des indicateurs, comme le label Reconnu garant de l’environnement (RGE), le Diagnostic de performance énergétique (DPE) ou encore les niveaux de performances s’achèveront en mai. «&nbsp;A l’issu de ces simulations, les ministères de la Transition écologique et de la Ville et du Logement mettront leurs résultats à disposition de tous, ainsi que l’outil qui aura été utilisé pour les réaliser.&nbsp;» Cette étape permettra aussi de lancer les concertations et de poser les bases d’un label facultatif, permettant de «&nbsp;préfigurer les bâtiments exemplaires de demain&nbsp;».
Il y a 5 ans et 0 jours

Emetteur d’Europe 1 : La cathédrale des ondes

A 317 m d’altitude, le bâtiment s’étend sur 82 m de longueur, 43 m de largeur et 16 m de hauteur maximale. [©Marco Kany] En 1954, la Sarre est toujours sous occupation française (même système économique). De fait, nombre de bâtiments sont réalisés par des architectes français. Afin de contourner la contrainte issue du système de radiodiffusion française de droit public, à l’extérieur des contours de la France naissent des radios dites “périphériques“ (Luxembourg, Monaco, Andorre et la Sarre pour Europe 1). Le projet de cet émetteur est imaginé par Jean-François Guédy (1908-1955), son premier grand projet, sorti fraîchement de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts. L’avant-projet de mars 1954 révèle une architecture futuriste dotée d’une tour d’émission massive. Si la toiture du hall, rappelant une feuille de palmier est portée par un système de raidisseurs disposé en éventail, la construction cependant n’était pas réalisable selon ce tracé de légèreté. Ainsi, les architectes Bernard Lafaille (1900-1955) et René Sarger (1917-1988) sont engagés pour revoir la copie. Flanquée de studios de télévision, de bureaux, de locaux sociaux et d’une tour-antenne, le grand hall de l’émetteur en forme de cœur et l’extraordinaire forme de toiture constituent ainsi le centre du complexe. Le bâtiment s’étend sur 82 m de longueur, 43 m de largeur et 16 m de hauteur maximale. Un “psychodrame technique”. De gauche à droite : Eugène Freyssinet prend les opérations en mains pour reconstruire la couverture. En renforçant les fondations, les ancrages périphériques, ainsi que les éléments porteurs, Eugène Freyssinet parvient à sauver le dessin et la forme mis au point par Guédy et Lafaille. La hall majestueux de l’émetteur Europe n° 1 à Feldberg. [©Marco Kany] Le choix architectural d’origine a conduit à une structure novatrice, constituée d’une coque béton à double courbure, de 5 cm d’épaisseur, bordée par une poutre ceinture en béton armé, elle-même appuyée sur les fins poteaux périphériques que l’on peut voir en façade. L’effet de voûte ne peut se mobiliser qu’en cas de blocage horizontal des ponts d’appuis (contreforts de nos cathédrales), contreforts inexistants dans le projet et supposés être remplacés par quelques tirants transversaux. L’effet de poussée des pseudo-voûtes de coque est d’ailleurs complété (et probablement dominé), par la poussée également transversale au bâtiment des arcs formant la poutre-ceinture, chargés par les effets de suspension de la coque en direction longitudinale. La combinaison en tension dans le sens de la longueur du bâtiment et en pseudo-compression dans le sens de la largeur est extrêmement difficile à évaluer dans les années 1950.  L’ouvrage ressemble au contour d’une goutte d’eau très aplatie ou d’une coquille Saint-Jacques. Eugène Freyssinet le comparait à un cœur. Les façades sont constituées de hautes vitres enserrées entre des poteaux très élancés, espacés d’environ 3 m environ et donc la hauteur va de 4,5 m vers la pointe de la goute à 9,5 m au milieu du bord opposé, en culminant à 16 m aux deux bords les plus éloignés. Les sommets des poteaux sont ainsi dans demi-plans, légèrement inclinés sur l’horizontale, formant un dièdre comme un livre ouvert, dont l’arête joint la pointe au milieu de la façade. Environ 3 000 m2 intérieurs sont couverts sans appuis intermédiaires par un voile mince en béton armé de 5 cm d’épaisseur, ayant une courbure concave vers le haut dans le sens perpendiculaire à l’axe de symétrie, et vers le bas dans le sens de cet axe. Ce voile, qui forme donc une voûte, est lié à une puissante ceinture supportée par les poteaux et donc chaque moitié, de part et d’autre de l’axe, forme dans un demi-plan une sorte d’arc prenant appui côté pointe sur un massif fixe. De l’autre sur une béquille articulée, est sous-tendu par trois puissants tirants rayonnants à partir de la pointe. La toiture suspendue en béton armé devait être sertie dans un cerclage périphérique, afin de pouvoir créer un espace libre de points porteurs. La poutre de rive devait être contenue par des tenseurs complémentaires, pour être appuyée sur trois points porteurs significatifs. Au début de l’été 1954, la construction est bien avancée. C’est alors que le directeur technique de l’entreprise chargée des travaux demande au bureau technique de lui indiquer la surélévation qu’il faut donner à chaque étai pour qu’après le décoffrage le voile, qui descend sous son propre poids, se trouve à sa cote théorique. Après plusieurs jours, il apprend que ces flèches atteignent par endroits au moins 70 cm, autant dire que l’opération de décoffrage lui paraît impossible. Au même moment, ce directeur technique dirige la construction d’un pont  franchissant la Sarre, en béton précontraint selon les procédés Freyssinet. L’idée lui vient de remplacer les armatures de béton armé, inertes, qui arment le voile et l’accrochent à la couronne, par des câbles Freyssinet traversant la couronne. Et en les tendant, de soutenir le poids du béton du voile, pour assurer le décoffrage, sans avoir à toucher aux étais. Soumis au bureau technique, ce projet est accepté. Une note technique justifiant les parties précontraintes de l’ouvrage doit être fournée…, mais elle ne le sera que partiellement (sans justification relative à la résistance de l’ouvrage). Le dossier de demande de permis de construire pour le projet fut déposé en avril 1954. Les notices de calcul jointes ultérieurement au dossier révèlent que la toiture s’affaisserait d’environ 70 cm à l’issue du décoffrage. Au vu de cette éventualité, on envisage de changer de principe constructif, en tentant d’intégrer dans le concept statique le système de béton précontraint mis au point par Eugène Freyssinet (1879-1962). Cette alliance de deux principes statiques différents échoua, et il se produisit au cours du processus de mise sous tension les 8 et 9 septembre 1954 une fissuration irréparable de la toiture.  Le “psychodrame” technique va alors débuter. Refuser de commencer les mises en retard aurait risqué de déclencher des pénalités de retard. Période de congés et précipitation de l’entreprise pour coller aux demandes d‘Europe 1 s’ajoutèrent. Et là, ultime erreur, les mises en tension commencèrent. Cela commença plutôt bien, mais le voile de béton se déchira sur toute la longueur du bâtiment. Dans le projet initial, les tirants étaient passifs. De ce fait, lors du décintrement du voile par la mise en précontrainte des câbles longitudinaux, le voile s’est déchiré parallèlement aux câbles. Et ce , en raison de la déformation de la ceinture sous l’effet de la précontrainte : les tirants non tendus ne pouvant s’y opposer, sans une déformation excessive pour le voile.Un seul recours : faire appel à des experts, qui déclinèrent, donc l’atout maître fut Eugène Freyssinet lui-même, que nul n’avait pensé déranger pendant ses vacances pour le consulter. L’homme comprend de suite ce qui s’est passé. « De toute évidence, les sollicitations imposées à la ceinture par la tension des câbles tendaient à la déformer, en l’élargissant transversalement, cette déformation devant être empêchée par l’action des tirants transversaux. […] Le directeur de l’opération crut pouvoir réussir à soulever sa voûte, en exagérant les tensions. Il accumula ainsi une énorme énergie potentielle dans les câbles et les bétons, en imposant des tractions plus fortes à sa voûte, dans une direction où elle n’était pourvue d’aucune armature efficace. »1.Pour faire simple : la mise en tension des câbles n’était pas la cause du sinistre. Elle l’avait néanmoins provoqué. Freyssinet, en renforçant les fondations, les ancrages périphériques ainsi que les porteurs, parvint à sauver le dessin et la forme mis au point par Guédy et Lafaille.  Eugène Freyssinet convainquit les experts de la pertinence de son diagnostic. Et il prit les opérations en mains pour reconstruire la couverture. Et ce, à 75 ans ! Il imposa des conditions particulièrement rigoureuses. Et il fit remercier tous les auteurs du projet de bâtiment. Les travaux se terminèrent à la fin de l’automne 1954. Une intervention lourde de rénovation a été programmée au début des années 1980, confiée à Freyssinet International. Les six gros tirants transversaux furent remplacés complètement par des tirants-butons. Les câbles de 12 fils de 5 mm longitudinaux de la coque furent changés par des paires de torons graissées de 15 mm plaqués sous la coque. L’isolation de la toiture reconstituée en face externe, sous la protection d’une nouvelle étanchéité. Grâce à son caractère unique, l’édifice a été classé monument protégé en 1999. Depuis août 2016 l’émetteur est la propriété de la Commune de Uberherrn. “Eugène Freyssinet. Une révolution dans l’art de construire”, 2004, Association Eugène Freyssinet, Presses de l’école nationale des Ponts et Chaussées. 2004. 1Revue “Travaux”, février 1956, n° 256, p. 49 à 58. “Résonnances&nbsp;: l’architecture française en Sarre après la seconde Guerre mondiale” du 11 au 13 octobre , conférence, visite de bâtiments dont l’émetteur.
Il y a 5 ans et 4 jours

Infranum lance une étude d'impact de l'épidémie de covid-19 sur ses activités

FIBRE OPTIQUE. La fédération Infranum a commandé une étude pour mesurer l'impact de la crise sanitaire sur la filière des infrastructures numériques. Un diagnostic qui doit l'aider à formuler des propositions précises et chiffrées au gouvernement dans le cadre du futur plan de relance de l'économie.
Il y a 5 ans et 4 jours

La RE2020 repoussée à l'été 2021

REGLEMENTATION. Crise du covid obligé, les pouvoirs publics ont décidé de reporter plusieurs mesures emblématiques, dont la réglementation environnementale 2020. D'autres réformes pourraient être concernées, comme le diagnostic de performance énergétique ou le label Reconnu garant de l'environnement.
Il y a 5 ans et 7 jours

Toutes les solutions d'Owatrol® pour nettoyer et protéger vos bois d'extérieur

Avec sa gamme de nettoyants bois, Owatrol maitrise tous les stades. Il suffit de bien identifier l'étape nécessaire.Rappel : comprendre l'état du boisLes bois ne vieillissent pas tous de la même façon suivant leur exposition, leur finition, leur usage. Ils subissent les UV, les intempéries, l'usure des passages répétés…Certains ont des protections, d'autres pas. Suivant leur état et leur aspect, le diagnostic est différent… L'analyse est une étape cruciale !Tips pour analyser :En présence d'un bois gris et terne ayant simplement vieilli aux intempéries : il faut dégriserEn présence d'un bois noirci, encrassé : il faut déshuilerEn présence d'un bois recouvert d'une ancienne finition très filmogène, type peinture ou lasure : il faut décaper.Actions : nettoyer ou dégriser / déshuiler / décaper : explications, les solutions d'Owatrol®Nettoyer / dégriser :Le bois présente un aspect gris sale, il a en général été laissé aux intempéries sans protection ou bien avec une finition non filmogène. Il a uniquement subi le cycle de vieillissement « eau + UV + pollution », il faut dégriser, c'est l'action du NET-TROL® qui va le faire revivre en quasi instantané !Comment : Il agit sur tous les bois, sa formule en gel facilite son application et son pouvoir ultra mouillant lui permet d'agir en 15 minutes.Le plus :NET-TROL® élimine également les coulures et les traces de tanin sur certains bois (ex : red cedar).Application / 15 minutes d'action / Rinçage à l'eau / Support impeccable comme à l'origine.Déshuiler :Le bois est noirci, encrassé car il a reçu une finition huilée en amont, souvent mal adaptée (huile de lin, voire huile de vidange… !). Les huiles appliquées cuisent sous l'action des UV et avec l'eau s'incrustent pour de bon dans le bois qui noircit en profondeur. Il faut donc désencrasser pour enlever les anciennes huiles : c'est l'action du déshuileur AQUANETT® .Comment : Il rend solubles les huiles incrustées dans le support et laisse, après rinçage et neutralisation, un bois impeccable.Application / 5 minutes d'action / Rinçage à l'eau / Neutralisation / Le support est neuf.Décaper :Dans ce cas, le bois est lasuré ou peint et doit d'abord être débarrassé de ses multiples couches pour que l'on puisse à nouveau travailler dessus. Il faut donc décaper et l'action du DILUNETT® va permettre d'éliminer toutes les anciennes couches de peinture, lasure ou vernis et d'enlever les taches récalcitrantes.Comment : La composition ultra technique du DILUNETT® lui permet d'éliminer jusqu'à 8 couches de peinture. Sans solvant, sans C.O.V, non volatil et ne desséchant pas, il reste actif longtemps garantissant l'élimination totale des différents revêtements.Le plus : DILUNETT® ne se dessèche pas et reste actif longtemps ce qui garantit l'élimination totale des différents revêtements.Il est impératif de neutraliser les supports déshuilés à l'AQUANETT® et au DILUNETT® avec du NET-TROL®.Application / Action jusqu'à 45 minutes si nécessaire / Rinçage / Neutralisation.Le plus Owatrol® : Validation du test de biodégradabilité OCDE 301F : En 2017 Durieu a choisi de valider de façon officielle que ses nettoyants pour les bois extérieurs, rinçables à l'eau, ont un impact négligeable sur l'environnement. Ainsi, NET-TROL® / AQUANETT® et DILUNETT® ont chacun validé la conformité avec le test de biodégradabilité OCDE 301F (NB : ce test, une fois validé, garantit que le rejet de ces produits au moment du rinçage est sans impact négatif pour la nature).Réussir la préparation d'un bois magnifié : choisir de dégriser, déshuiler ou décaper la solution avec les indispensables d'Owatrol® : NET-TROL®, AQUANETT® et DILUNETT®Pour en savoir plus :https://www.owatrol.com/
Il y a 5 ans et 11 jours

Consolidation du sol d'assise d'une habitation fissurée

Un pavillon victime de la sécheresseConstruite dans les années 70's, cette habitation individuelle du sud de la France présentait de multiples fissures sur ses façades et sur les murs de refends. Celles-ci, d'ampleur millimétrique à centimétrique, étaient devenues visibles sur l'extérieur et l'intérieur du bâtiment. Le phénomène s'est empiré en 2018 avec les fortes chaleurs sévissant dans la région. Les fissures se sont généralisées sur l'ensemble des murs porteurs de l'ouvrage. Résoudre ce problème par une intervention rapide, efficace, et pérenne était devenue une urgence pour les propriétaires, et la société URETEK® répondait parfaitement à ces besoins.Des injections de résine adaptées aux sols argileuxAu préalable, une étude du sol a été réalisée par le bureau d'étude d'ingénierie géotechnique OGéo. La typologie du sol, les réseaux sous terrain existants ainsi que le diagnostic sur l'origine des désordres affectant l'ouvrage ont été analysés.Le sol, de nature limono-argileuse avec des blocs calcaires, se caractérisait notamment par sa sensibilité aux phénomènes de dessiccation/réhydratation, cause principale du sinistre. Cela se traduisait alors par des tassements différentiels de fondations sous l'ensemble de l'ouvrage.Les équipes régionales d'URETEK® sont intervenues en consolidant le sol d'assise des fondations de la maison via le procédé d'injection de résine expansive, Deep Injections. Mis en œuvre sous l'ensemble de l'ouvrage, le traitement a été déployé sur 193 ml sous semelle, et jusqu'à une profondeur de 2,50 à 3,80 m par rapport au terrain aménagé. L'ampleur de cette intervention aura seulement nécessité 14 jours de travaux.L'effet des injections a renforcé les zones traitées à faible compacité et entraîné une meilleure répartition des charges pour assurer la stabilité de l'ouvrage.Au-delà d'avoir amélioré la portance moyenne du sol d'assise des fondations traitées, le traitement du sol par injection de la résine expansive URETEK® a eu pour but de limiter le phénomène de retrait/gonflement des formations à dominante argileuse :Grâce au compactage du terrain résultant de la forte expansion de la résine qui entraîne une diminution de l'indice des vides,Avec le remplissage et l'imperméabilisation des macro-vides résiduels sous fondations ainsi qu'au sein des fissures de retrait.Le chantier s'est déroulé avec un contrôle scrupuleux des injections, de 2 manières :Par un contrôle laser permanent pendant les injections, jusqu'à réaction de l'ouvrage en surface indiquant un sol devenu suffisamment porteur, Par des tests pénétrométriques réalisés avant/après les injections, pour confirmer l'amélioration de la résistance du sol traité.Le + URETEK®Dans le cadre de la période d'observation post-traitement, une injection d'appoint (prévue dans le contrat initial) a été réalisée ponctuellement pour reprendre un léger tassement différentiel localisé de fondations apparu après la première intervention.Inventeur de la technique d'amélioration des sols par injection de résine expansive.Première entreprise ayant obtenu un avis technique validé par le CSTB depuis 2015.Les bénéfices pour le sinistréTechnique peu invasive et quasiment non-destructiveAucun déménagementRéutilisation immédiate du bâtimentChantier propre, peu de poussièresSérénité budgétaireEn savoir plus :Deep Injections : cliquez iciDécouvrez les solutions URETEK® : cliquez ici
Il y a 5 ans et 13 jours

Covid-19 : L'OPPBTP aux côtés des professionnels du bâtiment

Ces outils ont pour objectif d'encourager la sécurité et la prévention sur les chantiers et sont disponibles en ligne et mis à jour régulièrement. Ils sont rassemblés dans un dossier spécial COVID-19 consultable sur le site Internet PréventionBTP de l'OPPBTP et sont accompagnés d'une « boîte à outils » regroupant de nombreuses fiches conseils, affiches, fiches pratiques…Guide de préconisation de sécurité sanitairePublié le 2 avril puis mis à jour le 10, ce guide liste les mesures urgentes et spécifiques à mettre en œuvre pour assurer les conditions sanitaires nécessaires aux personnels appelés à travailler en bureaux, ateliers, dépôts ou chantiers, en complément de toute mesure sanitaire édictée par les pouvoirs publics. La mise à jour porte plus spécifiquement sur les conditions d'utilisation des masques alternatifs en tissu. Un autre point concerne la mise en place et l'application du questionnaire de santé effectué en autodiagnostic pour évaluer l'état de santé des collaborateurs. Ce Guide sera mis à jour régulièrement en fonction des évolutions de la pandémie et des mesures à prendre. Le Guide est disponible ici.Plateforme d'entraide COVID-19Cette plateforme est destinée aux entreprises, artisans, préventeurs, maîtres d'ouvrage, partenaires, afin de converser et partager des bonnes pratiques et des conseils entre professionnels du BTP. Il s'agit d'un espace d'échanges afin de faire remonter les expériences terrain de chacun. Elle est disponible à cette adresse. Solutions chantiersL'OPPBTP, en partenariat avec des entreprises et des fabricants, mène une veille terrain qui a pour objectif d'identifier et de faire remonter les initiatives et les innovations qui peuvent avoir un impact sur la gestion du risque de pandémie. Ces observations et recueils d'informations sont actuellement en cours et les résultats seront mis en ligne sur la plateforme d'entraide, sous la forme de « solutions chantiers » afin d'être le plus pédagogiques possible et d'être immédiatement adoptées par le plus grand nombre.Référent COVID-19Les entreprises sont amenées à nommer un référent COVID-19 dont la mission sera d'adapter les recommandations et obligations sanitaires à la réalité de l'entreprise. Afin de bien comprendre son rôle, et ses objectifs, l'OPPBTP met à disposition des entreprises des outils pratiques pour les aider à appliquer cette directive. Préconisation par métierA la suite de la parution du Guide de préconisation de sécurité sanitaire, plusieurs professions ont souhaité publier leurs propres préconisations adaptées aux problématiques particulières de leurs métiers. L'OPPBTP et ses experts collaborent activement à la rédaction de ces préconisations qui seront relayées par l'Organisme au fur et à mesure de leurs parutions.
Il y a 5 ans et 25 jours

Le diagnostic environnemental, "indispensable dans tous les projets urbains"

BIODIVERSITÉ. "Il faut intégrer les compétences en biodiversité et en écologie urbaine à tous les niveaux de la fabrication urbaine", défend Marc Barra, écologue, lors d'une conférence d'Envirobat grand Est. La présence de professionnels de la nature dans tous les projets, du diagnostic environnemental à la conception des bâtiments, est "indispensable" pour ne pas répéter certaines expériences "catastrophiques".
Il y a 5 ans et 32 jours

Nouvelle gamme d’urinoirs Sphero : design, hygiène et économies d’eau

Dans les pays développés, la consommation d’eau moyenne par habitant a été multipliée par dix en un siècle et par deux sur ces 30 dernières années. Un Français consomme aujourd’hui en moyenne 148 litres d’eau par jour. A cette utilisation domestique s’ajoutent les consommations d’eau collectives (dans les hôpitaux, au bureau, &#8230;). Au total, les consommations individuelles et collectives s’élèvent à 210 litres d’eau par jour et par personne en France. Pleinement conscient de la nécessité d’économiser ce bien précieux qu’est l’eau, Porcher lance Sphero, sa nouvelle gamme d’urinoirs intelligents et connectés destinés aux collectivités, qui allient design, hygiène et économies d’eau. Un design révolutionnaire au service du confort et de l’hygiène La consommation d’eau et la durabilité sont au cœur des préoccupations environnementales actuelles. C’est de cette observation qu’est née la nouvelle gamme d’urinoirs Sphero, fruit de la collaboration avec le Studio Levien. Elle marie en toute harmonie les dernières innovations en matière d’économie d’eau avec une esthétique intemporelle. L’ingéniosité de la gamme Sphero en matière de design se fond dans une forme remarquablement simple. Ses bords fins offrent non seulement une esthétique moderne, mais également une praticité à toute épreuve. Chaque modèle arbore la même courbure arrondie. Le design circulaire et concave de tous les produits Sphero, combiné à la position basse de l’évacuation dans l’urinoir offre une géométrie anti-éclaboussures qui assure un fonctionnement confortable et hygiénique ainsi qu’une intimité optimale à l’utilisateur. « Nous voulions que chaque modèle offre la même forme caractéristique. Ce design est parfaitement coordonné tout en permettant de varier les tailles et de s’adapter à tous les types d’installations. » Robin Levien. Pour offrir un ensemble complet de solutions adaptées à tous les espaces, la gamme Sphero est disponible en 3 tailles : Mini (37 cm), Midi (55 cm) et Maxi (62 cm). Chaque taille propose plusieurs modes de chasse d’eau : Mode Hybrid, Mode Standard et Mode sans eau. Les urinoirs Sphero ont été pensés pour offrir une hygiène optimale. En répartissant l’eau sur la majeure partie de la cuvette, le diffuseur de la chasse d’eau assure une couverture de l’eau optimisée et favorise une meilleure hygiène. Le design sans rebord et les bords fins ont été conçus pour réduire la surface à nettoyer et éviter l’eau résiduelle afin de prévenir la propagation des bactéries. Les modèles sans eau contiennent une cartouche qui évite les remontées d’odeurs et garantit un air frais. Des fonctionnalités au service de la performance Au-delà de son design au service du confort et de l’hygiène, la gamme Sphero offre de multiples fonctionnalités qui répondent aux exigences de performance actuelles et futures de tous les établissements recevant du public. Economies d’eau Les 3 modes de chasse d’eau disponibles permettent de choisir celui étant le plus adapté à chaque type d’utilisation. Le système Smart Hybrid intégrant un capteur intelligent unique sur le marché détecte la salinité de l’urine et par conséquent l’utilisation de l’urinoir, sur les modèles Midi ou Maxi. Dans les environnements très fréquentés, le mode Hybrid par défaut permet ainsi d’utiliser 10 fois moins d’eau que le mode Standard ou toute autre chasse d’eau d’urinoir qui se déclenche après chaque utilisation. Dans le mode Hybrid, le capteur détecte la salinité et l’utilisation. Lorsqu’elle est détectée, une chasse d’eau unique est activée toutes les 30 minutes (ajustable à 1, 3 ou 6 heures) avec 0,85 litre d’eau par chasse (ajustable à 1,5 , 2 ou 3 litres). Une chasse d’eau d’entretien est activée toutes les 24 heures (ajustable à 12 heures) en l’absence d’utilisation. Dans le mode Sans eau, l’urinoir ne déclenche pas de chasse d’eau pour une économie d’eau maximale. La cartouche, disponible avec tous les modèles Smart Hybrid Sphero, prend le relais dans ce mode. Dans le mode Standard, la chasse d’eau est déclenchée 8 secondes après chaque utilisation détectée. Comme en mode Hybrid, une chasse d’eau d’entretien est activée toutes les 24 heures en l’absence d’utilisation. Lorsque le capteur détecte 3 utilisations à un intervalle inférieur à 1 minute, l’urinoir passe automatiquement en mode Stadium. Celui-ci permet d’activer un rinçage à quantité d’eau réduite à chaque utilisation, puis une chasse d’eau complète lors de la dernière utilisation. Un urinoir lambda utilise de 1 à 6 litres d’eau par chasse. Dans ce contexte et au vu des performances de la gamme, les modèles Hybrid offrent donc un juste équilibre entre technologie économe en eau et niveau d’hygiène supérieur. Concernant le mode sans eau, il n’y a aucune consommation d’eau quel que soit le niveau de fréquentation. En analysant les données de consommation d’eau des urinoirs de la gamme et en se référant aux niveaux de performances des écolabels BREEAM et LEED, le mode Hybrid peut prétendre à 2 ou 3 crédits BREEAM et 4 points LEED. Quant au mode sans eau, il est crédité du maximum en BREEAM (5 crédits) ainsi qu’en LEED (4 points). Installation et maintenance simplifiées De nombreuses autres exigences de performances sont au cœur des préoccupations des professionnels chargés de l’exploitation de bâtiments collectifs. Porcher les accompagne, de l’installation à la maintenance grâce aux fonctionnalités brevetées de Sphero. Pour une installation rapide et simplifiée, l’urinoir Sphero comprend une fente de nivellement et des trous pré-percés. Le joint en caoutchouc intégré protège le produit et son environnement et évite l’utilisation d’un agent d’étanchéité à base de silicone. Pour assurer la maintenance tout au long de la vie du produit, sur les modèles Mini et Midi, la sortie de la chasse d’eau et le siphon peuvent tous deux faire l’objet d’une intervention par l’avant. Le capot protecteur amovible permet alors d’accéder directement à la buse du robinet et ainsi de la nettoyer ou de la remplacer en toute simplicité. Fixé par le haut, le siphon est doté d’une clé permettant aux agents d’entretien d’y accéder simplement et rapidement en cas de besoin. Sphero Maxi bénéficie d’une autre fonctionnalité brevetée renforçant la simplicité de maintenance. En effet, grâce au support à charnière, il s’ouvre comme une porte, facilitant l’entretien et la maintenance qui peuvent donc s’effectuer sans dépose. Le capteur intelligent, peut quant à lui identifier l’obstruction du siphon, bloquant automatiquement le flux pour éviter tout débordement intempestif. Connecté pour un contrôle exhaustif Pour rendre la maintenance encore plus simple et rapide, le modèle E-Hybrid de l’urinoir connecté Sphero Maxi est également conçu pour permettre aux gestionnaires et aux propriétaires d’obtenir des informations à distance en les recevant via le module Bluetooth sur l’App SMART SENSOR urinoir SPHERO PORCHER sur Google Play et Apple. Des données en temps réel sont ainsi obtenues et des informations de diagnostic sont fournies. Cette application développée pour un contrôle exhaustif permet de consulter, depuis un téléphone ou une tablette, le statut, l’alimentation, les statistiques d’utilisation et de recevoir automatiquement une alerte de maintenance en cas de problèmes de débit ou si la batterie ou la cartouche doivent être remplacées. Elle permet également d’appliquer un modèle de profil à un certain nombre d’urinoirs. Les propriétaires de bâtiments et les responsables d’installations peuvent modifier les paramètres de plusieurs urinoirs en même temps et également suivre les appareils via un système de Gestion Technique de Bâtiment ; un véritable gain de temps et de ressources. Performante, à l’esthétique avant-gardiste et aux fonctionnalités inédites, la collection Sphero de Porcher répond à toutes les attentes des installateurs, des gestionnaires de sites et des utilisateurs. Elle est compatible avec les bâti-supports ProSys. http://www.porcher.com
Il y a 5 ans et 46 jours

La filière du diagnostic immobilier, unie, demande l'accès au chômage partiel

QUESTIONS. La filière du diagnostic immobilier et du repérage amiante, dans un communiqué commun, met en avant deux questions majeures que se posent les professionnels en cette période de confinement et de ralentissement brutal de l'activité.
Il y a 5 ans et 48 jours

Qu’est-ce qu’un repérage amiante avant démolition et travaux ?

Qu’est-ce qu’un diagnostic amiante avant travaux et démolition ? Un particulier ou un professionnel, propriétaire d’un bien construit avant juillet 1997, qui envisage de faire des travaux de rénovation ou réhabilitation, a l’obligation de faire appel à un diagnostiqueur habilité pour la réalisation d’un diagnostic amiante, également appelé repérage amiante avant travaux. Depuis juillet 2019, un nouveau décret vient officiellement lever les doutes sur la réglementation, bien que celle-ci était déjà actée par le passé. En ce qui concerne la démolition d’un bâtiment, le maître d’ouvrage est soumis aux mêmes exigences. C’est ce que nous allons vous présenter dans cet article. Que comporte un diagnostic amiante avant travaux ? Le diagnostiqueur immobilier effectue plusieurs tâches lors d&rsquo;un diagnostic amiante avant travaux, qui vous sont détaillées ci-dessous : la localisation de l&rsquo;amiante en précisant les matériaux et produits concernés l&rsquo;enregistrement et la procédure des travaux à effectuer pour retirer l&rsquo;amiante la mise en sécurité des déchets en indiquant le processus d&rsquo;élimination de l&rsquo;amiante la rédaction d&rsquo;une fiche récapitulative Tout savoir sur le repérage amiante avant démolition Le RAAD (Repérage Amiante Avant Démolition) connu aussi sous l’appellation Diagnostic Amiante Avant Démolition ou DAAD) est une contrainte réglementait concernant les bâtiments ou édifices construits avant le 1er Juillet 1997 (date d&rsquo;interdiction de l&rsquo;amiante). Attention : le diagnostic amiante relatif à la location d’un logement n’est pas un contrôle suffisamment poussé dans le cadre d’une démolition ou l’établissement de travaux ! Les diagnostics amiante réalisés pour une vente ou l’établissement d’un DTA sont notoirement insuffisants dans le cadre d&rsquo;une démolition, car portant sur l’amiante dites « accessibles ». Les inspections de matériaux susceptibles de contenir de l’amiante avant démolition exigent de contrôler ces polluants au sein même de tous les éléments de la construction, y compris par des sondages destructifs. Ce diagnostic a pour but d&rsquo;évaluer les risques liés à l&rsquo;amiante sur le chantier et mettre en place les dispositions nécessaires pour protéger les personnes intervenantes. Ainsi, les entreprises intervenantes sont en mesures d&rsquo;ajuster leurs modes opératoires ainsi que la protection et le suivi médical de leurs travailleurs sur les chantiers. Le repérage amiante porte sur une liste de matériaux plus large que dans le cas de l’inspection amiante avant vente. Par conséquent, l’ensemble des moyens à disposition doivent être déployés pour contrôler ces matériaux y compris des sondages destructifs. Ces matériaux font partie de la liste C, lesquels étant susceptibles de libérer des fibres d&rsquo;amiante lors de travaux destructifs. Ils incluent également tous les matériaux de la liste A (friables) et de la liste B (non-friables). Les recommandations de l’INRS ND 2311 – 216 – 09 et ND 2311 – 216 – 09, tout en dénonçant l’insuffisance des repérages, décrivent précisément le protocole à suivre pour ces contrôles et rappellent aux maîtres d’ouvrages et employeurs leurs responsabilités en la matière. Le diagnostiqueur immobilier se soit ainsi de fournir un rapport complet à disposition des entreprises intervenantes sur le chantier indiquant : La présence des risques sanitaires liés à la présence d’amiante dans les matériaux composant le bien immobilier. Une réévaluation des diagnostics amiante exécutés par le passé pouvant ne pas être suffisant. Le repérage complet de tous matériaux ou produits amiantés de votre chantier, comprenant leurs emplacements exacts et leurs étendu. Sanction en cas d’absence ou de non-conformité du diagnostic amiante Les articles 121-3, 221-6, 221-7, et 221-19 du code pénal spécifient les fautes punissables. Les sanctions pénales encourues peuvent atteindre jusqu’à 5 ans de prison et 75 000€ d’amende pour une personne physique ainsi que l’interdiction définitive d’exercer pour une personne morale.
Il y a 5 ans et 59 jours

Beeldi lève 1,3 millions d'euros pour numériser la gestion technique des bâtiments

Après une première année d'activité commerciale et un déploiement sur plus de 600 sites, Beeldi, la startup experte du diagnostic numérique des bâtiments, annonce une levée de fonds de 1,3 millions d'euros menée auprès de Starquest Capital et Kima Ventures.
Il y a 5 ans et 61 jours

La flèche du clocher de l’église de Saint-Trivier de Courtes détruite par un incendie

L’église de Saint-Trivier de Courtes, dans l&rsquo;Ain, a été affectée par un incendie dimanche 1er mars 2020. Malgré l’intervention rapide des pompiers, le feu a entièrement détruit la flèche du clocher. Elle est tombée sur les deux places situées de part et d&rsquo;autre de l&rsquo;édifice, occasionnant quelques dégâts sur les couvertures en tuiles de la nef et des chapelles. Les deux cloches classées au titre des monuments historiques sont restées en place dans le beffroi. Les voûtes ne sont pas atteintes. L’intérieur de l’église n’a pas subi de dommage, les objets protégés au titre des monuments historiques qui s’y trouvent non plus. D&rsquo;ailleurs, un de ces objets le plus remarquable, le tryptique du XVIème siècle l’adoration des Bergers, attribué à Grégoire Guérard, et récemment restauré, est actuellement en dépôt au monastère royal de Brou où il est exposé. Les services patrimoniaux de la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes se sont rendus sur place dés le 3 mars afin d’établir un point sur la situation de l’édifice et de réaliser un premier diagnostic sur les désordres occasionnés, en présence des parties concernées. L’intervention de sécurisation, de descente des cloches et de pose d’un parapluie au sommet du clocher seront effectuée par une entreprise qualifiée monument historique sur consultation de la mairie, propriétaire de l’église, La Conservation régionale des monuments historiques accompagnera la mairie et l’entreprise sur les conditions de l’intervention. Photos : Denis Grandclerc/DRAC Auvergne-Rhône-Alpes
Il y a 5 ans et 62 jours

Beeldi, spécialiste de la gestion technique des bâtiments, lève 1,3 M€

Après une première année d’activité commerciale et un déploiement sur plus de 600 sites, la startup experte du diagnostic numérique des bâtiments se donne avec cette levée de fonds, les moyens de recruter ses premiers profils commerciaux et d’accélérer le développement de son produit qui vise à simplifier la gestion technique du bâtiment.
Il y a 5 ans et 62 jours

Levée de fonds pour un assistant intelligent de la gestion technique des bâtiments

Après une première année d’activité commerciale et un déploiement sur plus de 600 sites, Beeldi, la startup experte du diagnostic numérique des bâtiments, annonce une levée de fonds de 1,3 millions d’euros. Après sa première année de commercialisation au cours de laquelle la startup a démontré une réelle traction commerciale avec la signature d&rsquo;une dizaine de clients comme Engie Solutions, Vinci Facilities, Poste Immo, le Musée du Quai Branly ou encore Gecina. Beeldi compte aujourd’hui treize salariés et souhaite intégrer 7 nouveaux talents d’ici la fin de l’année. Cette levée de fonds va permettre de déployer la solution auprès de clients à plus large échelle, renforcer la présence commerciale et accélérer l’amélioration continue du produit. « Beeldi, forte de plus de 10 ans d’expérience cumulée de ses fondateurs dans le secteur du bâtiment et de l’énergie, a réussi son décollage commercial avec un produit fonctionnel à forte valeur ajoutée pour l’ensemble des acteurs du cycle de vie d’un bâtiment. Nous souhaitons, par ce tour de financement, les accompagner dans leur prochaine phase de déploiement commercial, afin qu’ils s’imposent comme le leader de l’innovation sur le marché du bâtiment intelligent » déclare Arnaud Delattre, Partner chez Starquest Capital co-financeur.