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Il y a 2 ans et 307 jours

Icade solide au 2e trimestre malgré un contexte peu propice au foncier

Le groupe, dont l'activité se divise en trois branches (foncière tertiaire, foncière de santé et promoteur), a dégagé sur le trimestre un chiffre d'affaires de 823 millions d'euros, soit 6,3% de plus qu'en 2021.Le "cash-flow net courant", son indicateur de référence est en hausse de 7,1% par rapport au même trimestre en 2021, s'établissant à 205 millions d'euros, soit 2,7 euros par action.Son résultat net bondit de 68% sur un an pour atteindre 251 millions d'euros."Nos trois métiers sont bien orientés, malgré le contexte actuel, les loyers restent stables malgré la conjoncture", a expliqué sur BFM Business son directeur général, Olivier Wigniolle.L'une des clés de cette solidité est le marché de l'immobilier résidentiel qui "se porte très bien, voire trop bien", selon le directeur du groupe."Nous avons beaucoup de clients et pas assez de produits après cette période de Covid-19, les Français cherchent à se loger bien", a t-il ajouté. Tout en confirmant ses objectifs pour 2022 (une hausse autour de 4% pour son cash flow net), le groupe d'immobilier redoute des turbulences sur le secteur foncier liées à l'inflation et à la hausse des taux d'intérêt, redoutable pour son activité foncière.Pour l'immobilier de bureau ou tertiaire, la récession historique observée pendant la période du confinement a été compensée par des cessions d'actifs. "C'est une situation à gérer", élude le directeur général d'Icade, rappelant que la "production du bureau est à l'arrêt".Dans le secteur de la Santé, le groupe qui investit dans les hôpitaux privés et cliniques n'annonce ce trimestre aucune cession de sa filiale d'immobilier de santé.Le projet annoncé avait été reporté en 2021 faute d'une levée de fonds satisfaisante.
Il y a 2 ans et 308 jours

Tout savoir pour bien choisir un constructeur de maisons individuelles

La mise en œuvre d’un projet de construction nécessite le recours à un professionnel. Sur le marché, plusieurs constructeurs proposent leurs services aux populations, avec des offres aussi flatteuses les unes que les autres. Compte tenu de la sensibilité de l’opération, il vous revient d’identifier un professionnel capable de vous offrir une habitation sure et économique. Pour réussir votre choix, nous vous invitons à découvrir dans ce billet tout ce que vous devez savoir pour bien choisir un constructeur de maisons individuelles. Analyser les offres disponibles Tout projet pour construire une maison en Rhône-Alpes avec un terrain doit commencer par une analyse minutieuse des offres disponibles. Nous vous conseillons donc de contacter plusieurs entreprises de construction de maisons individuelles, pour voir les différentes possibilités qui s’offrent à vous. Que ce soit une maison contemporaine ou traditionnelle, n’hésitez pas à demander des catalogues de réalisation mentionnant le coût global de chaque projet. En général, la plupart des propositions sont des modèles en 3D issus de logiciels de conception assistés par ordinateur. Pour un choix judicieux, vous devez pouvoir décoder les illustrations en les comparant à des photos non retouchées d’une construction réelle, ou à des souvenirs de maisons que vous avez vues par le passé. Ceci est très important, si vous ne voulez pas vous retrouver avec une maison qui ne ressemble en rien au modèle pour lequel vous avez opté. Par ailleurs, en fonction du budget requis pour la réalisation des différents projets, vous pourrez sélectionner les constructeurs à qui vous pouvez confier votre chantier. Enfin, si vous souhaitez des ajustements particuliers pour disposer de la maison de vos rêves, veuillez discuter avec les professionnels, pour identifier ceux qui sont capables de vous satisfaire véritablement. Ceci dit, un bon constructeur doit pouvoir vous dire non et s’expliquer, si vos exigences ne respectent pas les normes en matière de construction. Opter pour un constructeur de proximité Pour une mise en œuvre efficace, vous ne pouvez vous contenter du contact virtuel avec votre constructeur. Pour cela, nous vous conseillons de privilégier un professionnel de votre région avec qui vous pourrez régulièrement échanger sur les détails de l’opération. Par ailleurs, cette option vous permettra d’effectuer un suivi plus efficace de votre chantier. Enfin, le choix d’un prestataire de proximité vous permettra de gagner du temps, et d’économiser les frais de déplacement. Ce dernier point pourrait vous paraître anodin, mais n’oubliez pas que vous devrez effectuer de nombreux aller-retour entre votre maison et le bureau du constructeur d’une part, et visiter régulièrement votre chantier pour vous assurer d’une mise en œuvre conforme à vos attentes d’autre part. Opter pour un contrat de construction d’une maison individuelle (CCMI) En raison des nombreux abus constatés, la législation française prévoit depuis 1990 le recours à un contrat de construction d’une maison individuelle, appelé CCMI. Contrairement au permis de construire, et aux normes thermiques qui sont imposées, l’adoption de ce type de contrat est facultative. Ceci dit, pour être à l’abri des dépenses inutiles, le choix de ce contrat qui est devenu l’un des standards du secteur de la construction de maison serait une option judicieuse. En adoptant le CCMI, vous bénéficierez des garanties de bon achèvement des travaux, et de protection financière. Il s’agit notamment : D’une garantie de parfait achèvement et de bon fonctionnement qui oblige le constructeur d’une maison à prendre en charge la réparation ou le remplacement des éléments défectueux sur une période minimale d’un an après la livraison du chantier. Que ce soit donc pour des travaux d’envergure ou non, vous avez le droit de contacter le professionnel à qui vous avez confié votre projet de construction ; D’une garantie décennale qui obligera votre constructeur à intervenir en cas de malfaçons constatées, sur une période de dix ans, à partir de la date de livraison de votre maison ; D’une caution solidaire obtenue par votre constructeur auprès d’une maison d’assurance ou d’une banque. Ainsi, même si l’entreprise de construction tombe en faillite, elle pourra s’assurer de l’achèvement de votre projet via d’autres artisans ; Des garanties financières telles que les modalités de versement, les pénalités à appliquer en cas de retard ; Du droit de rétractation si le constructeur ne respecte pas les exigences du contrat. Toutefois, bien que le constructeur soit assuré, votre responsabilité pourrait être mise en cause dans certaines situations. En effet, le CCMI prévoit une assurance dommages-ouvrages qui protège le maître d’ouvrage vis-à-vis de tout accident ou incident se produisant sur le chantier. Tenir compte de la réputation du constructeur La réputation est un critère déterminant dans le choix de tout prestataire. Nous vous conseillons donc de contacter vos proches qui ont réalisé un projet de construction, pour avoir une idée de la qualité de prestation offerte par l’entreprise qui s’est occupée de l’exécution de leur projet. En fonction des retours, vous pourrez identifier le constructeur à qui vous pouvez faire confiance. L’autre alternative de vérification de la réputation consiste à visiter des plateformes spécialisées en ligne. En effet, que ce soit la durabilité des matériaux utilisés, la qualité de la prestation, ou le respect des prix convenus, vous pourrez repérer sur ces sites des commentaires d’usagers qui vous permettront d’identifier une entreprise capable de prendre en charge convenablement la mise en œuvre de votre projet de construction. Pour finir, toujours pour vous assurer d’une exécution impeccable, n’hésitez pas à demander à l’entreprise de construction un catalogue des projets qu’elle a exécutés ces dernières années. Vous pourrez donc vous déplacer pour voir ce à quoi ressemblent leurs réalisations, et contacter directement les propriétaires pour avoir plus de précisions sur la qualité des travaux exécutés, et le dérouler de la collaboration avec l’entreprise. S’assurer de la compétence du constructeur La réalisation d’un projet de construction ne doit pas être prise à la légère, car c’est un secteur régi par une règlementation stricte. En effet, en dehors des contraintes environnementales, la RE 2020 a renforcé les obligations en termes de consommation énergétique. Des plafonds en matière de chauffage, d’éclairage, d’eau chaude sanitaire, de ventilation ou de refroidissement doivent désormais être respectés. Vous devez donc vous assurer que votre constructeur dispose d’une équipe d’artisans compétente et rompue à la tâche.
Il y a 2 ans et 311 jours

Les 264 lauréats de la 3ème édition des fonds friches dévoilés

Dans le cadre du plan France Relance, le Gouvernement a déployé un fonds exceptionnel pour le financement des opérations de recyclage des friches. En effet, la reconquête des friches constitue un enjeu majeur d'aménagement durable des territoires pour répondre aux objectifs croisés de maîtrise de l'étalement urbain, de revitalisation urbaine et, par conséquent, de limitation de la consommation des espaces naturels, agricoles et forestiers.L’enveloppe dédiée à ce fonds s’élevait initialement à 300 M€ et a été abondée une première fois de 350M€ en mai 2021, puis de 100M€ supplémentaires en janvier 2022 compte tenu du très grand succès des deux premières éditions et des besoins exprimés par les territoires. Les deux premières éditions du fonds friches ont en effet permis de financer 1.118 projets pour 650M€, qui permettront de recycler environ 2.700 ha de friches et générer près de 5.700.000 m² de surfaces de logements (dont un tiers de logements sociaux), plus de 4.100.000 m² de surfaces économiques (bureaux, commerces, industrie…) et plus de 3.900.000 m² d'équipements publics.La 3e édition du fonds friches a été lancée le 15 février 2022 par l’ADEME (pour les friches industrielles et minières polluées) et les Préfets de région (pour les autres friches de toute nature).Cette 3e édition a suscité 1.210 candidatures pour 431 M€ de subventions demandées. Les Préfets de région et l’ADEME ont sélectionné 264 lauréats dont 4 dossiers communs pour 121 M€ de subventions attribuées après redéploiement des crédits des premières éditions.Ces lauréats contribuent à recycler près de 675 ha de friches, et à générer de l’ordre d’1 M de m² de logements - dont près de 50% seront des logements sociaux –, 179.000 m² d’équipements publics et 750.000 m² de surfaces économiques dont près de 200.000 m² de surfaces industrielles.Près de 40% des projets lauréats sont inscrits dans les dispositifs « Petites villes de demain » ou « Action cœur de ville ». Ces réalisations feront également preuve d’une grande ambition de qualité environnementale au travers de labels ou certifications en ce sens.Les modalités de la pérennisation du fonds friches, annoncée par le Président de la République, seront débattues dans le cadre du projet de loi de Finances pour 2023. La Première Ministre a annoncé le 14 juin dernier la création d’un fonds complémentaires dédié à la renaturation des villes et doté de 500M€.Pour consulter les projets lauréats, cliquez ici.
Il y a 2 ans et 311 jours

Procès requis contre l'ancien préfet Alain Gardère soupçonné de corruption

Dans ses réquisitions signées le 18 juillet, le parquet demande que M. Gardère, 65 ans, soit jugé entre autres pour abus d'autorité, corruption passive par agent public, prise illégale d'intérêts, détournements de fonds publics et blanchiment de fraude fiscale, a-t-on appris mercredi de source proche du dossier, confirmant une information du Monde.Le vice-procureur a requis également un procès pour quinze autres personnes, notamment des patrons de sociétés de sécurité ou du BTP, le maire d'Ozoir-la-Ferrière (Seine-et-Marne) et les anciens édiles de Vigneux-sur-Seine et Montgeron (Essonne).Il revient désormais à la juge d'instruction financière Aude Buresi, qui dirige cette information judiciaire ouverte en 2015, de se prononcer sur le renvoi ou non en correctionnelle des seize suspects."C'est une affaire qui est maintenant ancienne, mon client est retraité et vit en province", a réagi auprès de l'AFP Me Jean Veil, qui défend M. Gardère. Ancien commissaire proche de Nicolas Sarkozy quand il était à Beauvau puis à l'Elysée, Alain Gardère a été préfet en charge de la sécurité à Marseille en 2011, puis aux aéroports de Roissy et du Bourget (2012-2014). En 2015-2016, il a dirigé le Conseil national des activités privées de sécurité (Cnaps), sous la tutelle du ministère de l'Intérieur.Il est accusé d'avoir usé de son influence pour rendre de nombreux services en échange de cadeaux pour lui et son entourage (restaurants étoilés, travaux, places de concert, vacances...), notamment lorsqu'il était au Cnaps.L'ancien haut-fonctionnaire aurait entre autres, octroyé un emploi fictif, favorisé l'obtention illégitime d'agréments à des agents de sécurité et facilité l'obtention de marchés en matière de sécurité.Au cours de la procédure, M. Gardère, qui faisait partie du cabinet de Claude Guéant lorsqu'il était ministre de l'Intérieur (2011-2012), a été mis en examen pour plusieurs infractions en 2016, ce qui l'a contraint à quitter son poste à la tête du Cnaps en 2017.Patrimoine immobilierIl est également poursuivi pour avoir détenu deux armes sans autorisation, découvertes à son domicile lors d'une perquisition.Outre ces avantages et services, l'enquête s'est intéressée au patrimoine immobilier acquis au fil des années par Alain Gardère et son épouse, essentiellement en région parisienne, après un signalement de la cellule de renseignement financier Tracfin en juillet 2015.Entre 1989 et 2012, le couple est ainsi devenu propriétaire de dix appartements, dont cinq ayant été achetés entre 2005 et 2012 auprès de la société France Pierre dirigée par Antonio de Sousa, selon des documents d'enquête.Le promoteur immobilier, pour lequel le parquet demande aussi un procès en correctionnelle, est accusé d'avoir accordé "des réductions substantielles sur le prix d'appartements à Alain Gardère" et d'avoir fait réaliser des travaux gratuitement aux domiciles de l'ancien préfet et de sa maîtresse.Il lui est également reproché d'avoir accordé des faveurs à des élus franciliens ou leurs collaborateurs pour obtenir des décisions favorables en matière d'urbanisme.Contacté, son avocat n'a pu être joint mercredi soir.Cette information judiciaire a déjà débouché sur deux condamnations en 2020. Un patron de BTP et l'ancien bras-droit de M. Gardère au Cnaps, Pierre Cournil, ont accepté de reconnaître les faits lors d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), une sorte de "plaider-coupable" à la française.M. Cournil a été condamné à trois mois de prison avec sursis et 20.000 euros d'amende pour complicité d'abus d'autorité et complicité de détournement de fonds public".
Il y a 2 ans et 312 jours

Fonds friches : l'Etat désigne les 264 lauréats de la troisième édition

CONSTRUCTION. Le ministère de la Transition écologique vient de dévoiler les 264 projets lauréats de la troisième édition du fonds friches.
Il y a 2 ans et 312 jours

Fonds friches : le recyclage de 676 nouveaux hectares financé

La 3e édition du fonds friches, lancée le 15 février a suscité 1 210 candidatures pour 431 M€ de subventions demandées. Les Préfets de région et l’Ademe ont sélectionné 264 lauréats dont 4 dossiers communs pour 121 M€ de subventions attribuées après redéploiement des crédits des premières éditions.
Il y a 2 ans et 312 jours

Vers un accord des députés pour un "bouclier loyer" renforcé en Outre-mer

La majorité présidentielle s'apprête, en effet, à soutenir un amendement du député Charles de Courson, du groupe Libertés, indépendants, Outre-mer et territoires (Liot), selon une source LREM. "Je confirme un accord pour un plafond de 2,5%" en Outre-mer, a réagi M. de Courson auprès de l'AFP. "Des négociations ont eu lieu avec qui de droit", a-t-il ajouté sans en dire plus.Dans son amendement, le député centriste revendique une différence de traitement entre les territoires: "Il ne s'agit en aucun cas d'un passe-droit mais d'une demande fondée sur des éléments objectifs, notamment un coût de la vie" et un "taux de pauvreté plus élevés" et des "loyers qui représentent un poids nettement plus conséquent dans les dépenses totales des ménages en Outre-mer". La période concernée court pendant un an à compter de juillet 2022. En France métropolitaine, le projet de loi sur le pouvoir d'achat prévoit que l'indice de référence des loyers augmente de 3,5% en juillet puis reste bloqué à ce niveau pendant un an, une mesure présentée par le gouvernement comme un compromis entre les intérêts des locataires et des propriétaires, face à l'inflation. L'indice de référence sert de base pour réviser les loyers des logements vides ou meublés. Il fixe les plafonds des augmentations annuelles des loyers que peuvent exiger les propriétaires. LFI et communistes dénoncent une mesure "très loin du compte" en réclamant un "gel immédiat" des loyers.
Il y a 2 ans et 314 jours

Le fabricant de fermetures Provélis célèbre ses 20 ans !

Marque du groupe Estémi, Provélis concepteur et fabricant depuis 2002 de volets roulants mais également de portes de garage et de B.S.O. sur-mesure, fête aujourd’hui ses 20 ans ! Aux côtés de ses salariés, partenaires, fournisseurs et clients, Provélis a organisé une journée de festivités sur son site de Saint-Jean-Bonnefonds. L’occasion de revenir sur les […]
Il y a 2 ans et 314 jours

Knauf Ceiling Solutions lève le voile sur Adagio, sa nouvelle gamme minérale de plafonds

Certifiée Cradle to Cradle Silver et Gold pour la qualité de l’air, la gamme se décline sous quatre solutions, à poser seules ou à combiner selon les effets escomptés, afin d’offrir un large éventail de performances acoustiques selon les besoins de l’espace :ADAGIO ACOUSTIC+ADAGIO ALPHA+ADAGIO dB+ADAGIO HD+ (disponibles en 19, 30 et 35 mm).Dans une salle de classe, une cafétéria, une bibliothèque, un open-space ou encore une salle de réunion, les besoins convergent vers un même objectif : le confort des occupants pour leur rendre le quotidien agréable. Dotés des plafonds ADAGIO, ils permettent de vivre une nouvelle expérience.Avec une finition plus lumineuse et plus blanche, ADAGIO maximise la réflexion de la lumière et inonde les espaces de lumière naturelle et de chaleur. Un gage de bien-être et une source d’économie d'énergie. La flexibilité créative au service de l’émotion reste l’une des priorités de KNAUF CEILING SOLUTIONS pour permettre aux architectes, designers d’intérieur et agenceurs de signer des espaces uniques et emblématiques. Hautement résistant, ADAGIO est conçu pour des intérieurs durables.Des solutions blanches et lumineuses : sérénité et économiesSynonyme d’espaces épurés, la gamme ADAGIO permet de créer de beaux espaces grâce à sa surface blanche lisse. Sa finition blanche et brillante réfléchit 90 % de la lumière, illuminant ainsi les espaces d’une lumière naturelle et chaleureuse, porteuse de bonne humeur. Le faible taux de brillance renforce la sensation d’uniformité et procure une atmosphère élégante. L’optimisation de la réflexion de la lumière participe également à la réduction de l’usage de lumière artificielle, offrant jusqu’à 16 % d’économies d’énergie.De hautes performances acoustiques pour une atmosphère paisibleA l’instar de la lumière, le son participe pleinement à la réalisation d’un environnement sain et agréable. La gamme ADAGIO se distingue par une absorption acoustique de classe A (0,90 αw) avec des niveaux d‘atténuation latérale à 42 dB afin d’améliorer la confidentialité entre les espaces adjacents. ADAGIO offre une acoustique optimale pour chaque zone d’application, garantissant la confidentialité d’un échange dans un bureau privé ou améliorant l’intelligibilité et la concentration dans les open-spaces ou les salles de classe.Des choix esthétiques pour nourrir l’imaginationVisuellement saisissante, ADAGIO s’adapte, se configure, se combine, pour aider à imaginer de nouvelles possibilités et donner vie à la vision des architectes. Large choix de formes et de dimensions…, la gamme se caractérise également par une riche palette de détails de bords apparents, semi-cachés ou entièrement cachés, afin de créer des plafonds toujours plus contemporains.Des surfaces qui résistent à l’épreuve du tempsQualité, fiabilité et durabilité, tels sont les maîtres-mots des plafonds ADAGIO qui font face aux exigences du quotidien. Leur surface, plus résistante aux rayures, se nettoie aisément et offre une utilisation prolongée. Les bords renforcés, entièrement peints, facilitent le montage et réduisent le risque d’endommagement. Les poseurs de dalles n’appréhenderont plus la casse de matériel !
Il y a 2 ans et 315 jours

Würth France annonce la pose de la première pierre du chantier Evolog, l’agrandissement de ses plates-formes logistiques

Retour sur la cérémonieLors de cette manifestation, la société OTE a mis en place le premier pylône du bâtiment shuttle : un obélisque de 23 mètres de haut et de 21 tonnes. Il a été dressé à la verticale, réglé et scellé immédiatement. Symboliquement, une vis creuse contenant un parchemin a été placée dans une cavité du poteau en béton. Ce parchemin, signé conjointement par Claude Kopff, Président du Directoire et Claude Muller, Directeur de la Logistique de Würth France a pour objectif de remercier l’ensemble des parties prenantes au projet Evolog.Evolog : un investissement de plus de 70 M€ pour moderniser et agrandir la plate-forme logistique d’ErsteinWürth France poursuit son développement pour soutenir sa stratégie multicanale et sa croissance, tout en améliorant sa productivité et sa compétitivité. C’est pourquoi, EVOLOG, vaste projet de modernisation et d’agrandissement de ses plates-formes logistiques, a vu le jour. Il s’agit pour Würth France de l’investissement le plus important depuis sa création en 1967.Pour le premier volet de ce projet d’envergure, ce sont plus de 70 millions d’euros qui sont investis dans la plate-forme logistique d’Erstein (67). Créée en 1990, la plate-forme a déjà fait l’objet de quelques changement notamment deux extensions en 1995 et 1999.Amélioration des délais de livraison, augmentation de la productivité, amélioration de l’ergonomie des postes de travail, réactivité et meilleure maîtrise du traitement des commandes sont les principaux objectifs de ce projet. Ceci, non seulement pour améliorer la satisfaction des clients et rester compétitif sur le marché, mais également pour assurer la pérennité des emplois et la montée en compétences des collaborateurs grâce à la formation aux nouvelles technologies.Après plusieurs années de travail, c’est le système « Goods to Person » qui a été privilégié afin d’augmenter la réactivité, la productivité, ainsi que la sécurité des collaborateurs. Leurs conditions de travail seront améliorées et l’ergonomie de leurs postes repensée. Ce système permet également un meilleur traitement des commandes et des délais de livraison optimisés.Composée de 3 nouveaux bâtiments, cette extension constituera une surface additionnelle de stockage entre 12.000 m² et 15.000 m².Le shuttle, entrepôt entièrement automatisé d’une surface d’environ 1800 m² et de 24 mètres de haut, aura une capacité de stockage de 120.000 bacs qui alimenteront les différentes stations de picking grâce à une multitude de navettes automatisées ainsi qu’un système convoyage performant. Le système contribuera à la consolidation des commandes grâce au stockage tampon des colis, permettant ainsi d’expédier tous les colis d’une même commande de façon consolidée. La particularité de ce nouveau bâtiment est son système de protection incendie par atmosphère appauvrie en oxygène. En effet dans cet environnement hautement sécurisé, et qui n’est pas dangereux pour l’homme, la combustion des produits qui y seront stockés est impossible.Le bâtiment fonctionnel, d’une surface d’environ 5000 m² sur 5 niveaux, sera le point de lancement automatique des colis avec ses formeuses à cartons et contiendra une vingtaine de stations de picking haute performance.Le bâtiment d’expédition, quant à lui, fera le lien avec la plate-forme logistique actuelle. Il s’agit du nouvel emplacement du service Expédition avec d’abord en emballage automatique des colis avec réduction de hauteur par des chapeauteuses, une palettisation automatique et 12 nouveaux quais de chargement. Les quantités d’emballage et de produit de calage seront réduits et par conséquent l’impact environnemental.En plus de ces nouveaux bâtiments, c’est une grande partie de la plate-forme logistique actuelle qui sera modernisée. Le système de convoyage sera totalement rénové et de nombreux équipements viendront améliorer les conditions de travail des collaborateurs et permettront de réduire le nombre de colis expédiés par une consolidation plus poussée. Grâce à une nouvelle dimension des colis, les références convoyables seront augmentées et le nombre de colis et donc l’impact environnemental seront diminués. De plus, les livraisons de nos magasins se feront dans des bacs pliables réutilisables ce qui réduira drastiquement les déchets émis par ces derniers. Enfin, l’installation de panneaux solaires permettra de fournir une partie de l’énergie nécessaire.Les travaux de cet investissement hors norme constitueront une véritable prouesse technique puisque tout au long du chantier la plate-forme restera en activité, sous la responsabilité de Claude Muller, directeur logistique, et de Sébastien Bach, en charge du projet.Pour Claude Kopff, président du directoire : « Après 3 ans de travail conjoint avec la direction du groupe, nous avons eu fin 2020 l’accord pour lancer ce vaste projet de modernisation de notre plate-forme logistique. C’est un symbole de l’attachement de la famille Würth à notre site alsacien mais aussi une preuve de la volonté de pérennité de notre entreprise. Un investissement entièrement autofinancé grâce à une trésorerie saine et des fonds propres corrects, en somme le résultat d’une gestion de bon père de famille. Les travaux qui ont débuté en 2022 permettront une mise en service courant 2024. Tout au long de cette période, les collaborateurs de la plate-forme seront formés aux métiers de demain pour qu’ils soient parties prenantes de ce beau projet d’entreprise. » Les étapes-clés de la logistique chez Würth France : 1990 : inauguration d’une nouvelle plateforme logistique de 10.000 m² en ZI Ouest à Erstein (67) 1995 : première extension logistique de 5.000 m² 1999 : deuxième extension logistique de 13.000 m² (nouvelle gare de triage) 2002 : troisième extension logistique (nouveau palettier entièrement automatisé) 2008 : mise en service de la seconde plateforme logistique à Montélimar (26) (17.000 m²) 2021 : étude du projet EVOLOG pour la plateforme logistique d’Erstein (actuellement 34.000 m²) 2022 : début des travaux EVOLOG
Il y a 2 ans et 318 jours

Le CSTB inaugure le laboratoire Fresnel, une plateforme d’essais dédiée aux vitrages

Avec cette nouvelle plateforme d’essais dédiée aux vitrages, le CSTB met à disposition des acteurs français et européens un outil technologique inédit, visant à accompagner le développement et l’émergence de solutions innovantes, en lien avec les enjeux de performance énergétique et environnementale notamment.Le laboratoire Fresnel regroupe pour ce faire, sur un seul et même site, l’ensemble des équipements permettant d’évaluer et de tester la durabilité des performances des vitrages, ainsi que leur aptitude à l’emploi. Parmi ces équipements de pointe, trois nouvelles enceintes de vieillissement artificiel des vitrages, cofinancées par la région Auvergne-Rhône-Alpes et le Fonds européen de développement régional (FEDER).Les vitrages : une forte dynamique d’innovationFace au défi du changement climatique et de l’économie de ressources, les fabricants de vitrages, éléments-clés de la sobriété énergétique et environnementale des bâtiments, se mobilisent, adaptant la conception de leurs produits aux nouvelles exigences et tendances émergentes.Depuis une trentaine d’années, une dynamique d’innovation soutenue s’est mise en place, induisant une évolution technologique fulgurante. Une nouvelle génération de vitrages isolants a ainsi vu le jour : vitrages avec gaz, avec couche basse émissivité, warm edge (produits intégrant des intercalaires renforcés thermiquement sur la périphérie des vitrages pour éviter les ponts thermiques), etc.D’autres développements sont en cours, concourant à améliorer encore les performances actuelles, mais aussi à embarquer d’autres performances propres aux fonctions assurées par l’enveloppe du bâtiment : vitrages isolants électrochromes et thermochromes, dont les propriétés de transmissions lumineuse et énergétique peuvent être modifiées via une mise sous tension électrique pour le 1er et par la chaleur pour le 2nd ; vitrages sous-vide, technologie particulièrement prometteuse, car permettant des performances thermiques élevées, avec des vitrages moins épais, etc.Les équipes de la Direction Baies et Vitrages du CSTB, mobilisant plus de 50 ingénieurs et techniciens, répartis dans les laboratoires de Marne-la-Vallée et de Grenoble, accompagnent les fabricants dans cette dynamique d’innovation.Parmi les leviers qui leur sont pour cela proposés, les essais sont fondamentaux. Ils permettent de comprendre et caractériser les nouveaux produits et technologies à venir.En la matière, le CSTB disposait déjà de plusieurs équipements dédiés aux vitrages. Tous ont été regroupés au sein d’un seul et même site, le laboratoire Fresnel, au CSTB Grenoble. Ils ont également été complétés par de nouveaux outils scientifiques et techniques.L’accompagnement de l’innovation, au cœur des missions du CSTB : À travers ses activités de Recherche & Expertise, d’essais, d’évaluation et de certification, le CSTB accompagne les acteurs de la construction, favorisant l'émergence d'innovations fiables et sécurisées.Le laboratoire Fresnel : la nouvelle plateforme d’essais dédiée aux vitragesLe laboratoire Fresnel permet aux fabricants d’évaluer et tester la durabilité des performances et l’aptitude à l’emploi de leurs produits, dans un objectif d’évaluation et de certification notamment :2 grandes familles de produits testés :Vitrages simples : Vitrages monolithiques, en particulier trempésVitrages feuilletésVitrages isolants : Doubles et triples vitragesVitrages à store incorporéVitrages actifs (électrochromes et thermochromes)Vitrages Extérieurs AttachésVitrages à clameauxVitrages sous vide4 grandes typologies de caractéristiques étudiées :La durabilité du vitrageSes performances thermiquesSes performances mécaniquesSes performances optiquesUne très grande variété d’essais réalisés :Essais de cyclages climatiques, d’exposition à l’ensoleillementEssais d’exposition aux hautes températuresEssais d’exposition à l’humiditéEssais de fragmentationMesures d’humidité, mesures de point de roséeMesures du taux de remplissage en gazEtc.Le laboratoire Fresnel dispose de plusieurs équipements de pointe, parmi lesquels 3 nouvelles enceintes de vieillissement artificiel pour les produits :Des enceintes de qualification : 1 enceinte coffre à climat variable ;1 enceinte coffre avec UV, permettant d’exposer les vitrages aux UV et à l’humidité.1 enceinte de suivi grand format (8m3).Ces enceintes permettent d’exposer les vitrages à des températures comprises entre -15°C et 56,5°C, ainsi qu’à l’humidité avec ou sans UV.Le laboratoire Fresnel dispose ainsi de 5 enceintes permettant de tester le vieillissement des vitrages.Le laboratoire Fresnel : une plateforme d’essais au cœur d’un écosystème dédié aux produits de la baieLe laboratoire Fresnel est situé à proximité immédiate des autres infrastructures du CSTB dédiées aux baies et vitrages : le laboratoire PRE3CIE, plateforme d’essais dédiée aux produits innovants de l’enveloppe, et la plateforme de formation par le geste dédiée à la mise en œuvre des produits de la baie.Par ailleurs, les essais réalisés peuvent être croisés et / ou complétés, selon les propriétés ou performances étudiées, par des travaux menés par d’autres directions du CSTB : la Direction Enveloppe du Bâtiment ; la Direction Sécurité, Structures, Feu ; la Direction Santé, Confort, avec le Laboratoire Acoustique du Bâtiment (LABE).Le laboratoire Fresnel, en bref :Laboratoire situé au CSTB Grenoble ;Permettant aux industriels de réaliser, sur un seul et même site, l’ensemble des essais et évaluations nécessaires au développement, à la mise au point et à la vérification de la qualité et de la performance de leurs produits ;Un rayonnement international avec des essais réalisés selon les référentiels européens, accessibles à l’ensemble des fabricants européens ;Un investissement de plus d’1 million d’euros, réalisé par le CSTB, pour l’installation globale ;Dont 340.000 euros pour les 3 nouvelles enceintes, cofinancés à hauteur de 169.789 euros par la région Auvergne-Rhône-Alpes et le Fonds européen de développement régional (FEDER)
Il y a 2 ans et 320 jours

Construire plus performant avec les systèmes de chauffage et de rafraîchissement Wavin

Convaincus de la nécessité d’améliorer l’efficacité des bâtiments pour réduire la consommation d’énergie, les services Recherche et Développement de Wavin ont développé des systèmes complets de planchers chauffants rafraîchissants basse température et de plafonds climatiques très peu énergivores adaptés à l’habitat résidentiel, collectif et au tertiaire. Pré-études avant-projet, études techniques, conception, assistance chantier... Wavin accompagne ses clients à chaque étape du projet avec une offre sur-mesure. Elle inclut l’ensemble des composants et accessoires nécessaires à la pose des planchers chauffants : dalles isolantes, tubes caloporteurs, système de régulation...Durables, efficaces et invisibles, les solutions de chauffage et de rafraîchissement par rayonnement Wavin diffusent une température homogène et constituent un moyen simple d’optimiser la performance énergétique des bâtiments. Elles sont pilotées, depuis un écran tactile ou une application mobile, par le système de régulation Sentio de Wavin. Ce système comprend des unités de contrôle central et d’extension, des thermostats et des sondes, qui rendent ces solutions de chauffage particulièrement simples d’utilisation et d’installation. Les solutions de chauffage et rafraîchissement Wavin offrent ainsi aux occupants une qualité de confort inégalée, tout en assurant des performances énergétiques éprouvées.Plancher chauffant rafraîchissant basse température WavinPerformant et invisible, le plancher chauffant rafraîchissant basse température Wavin garantit une répartition uniforme de la chaleur dans toutes les pièces et permet de profiter d’une température idéale du sol. Cette solution s’intègre facilement à l’habitat résidentiel, collectif et aux bâtiments tertiaires grâce à sa discrétion et sa conception sur-mesure. Ce dispositif de chauffage et de rafraîchissement par rayonnement est particulièrement adapté pour apporter un confort thermique homogène et agréable à ses occupants et ce même dans les grands espaces. L’association d’une pompe à chaleur, économe en énergie, avec une solution PCRBT* équipé d’un système de régulation, est idéale pour améliorer la performance globale du système de chauffage et rafraîchissement. Cette combinaison offre de très bons rendements et répond aux très hautes exigences en termes de performance énergétique des bâtiments.Le système complet de planchers chauffants/rafraîchissants Wavin bénéficie à ce titre de la reconnaissance CERTHITERM, la première marque de qualité en France à garantir le niveau de performances thermiques globales des systèmes complets de planchers, murs ou plafonds chauffants/rafraichissants hydrauliques basse température.*plancher chauffant rafraîchissant basse températureDalles isolantes à plots Phonixx Grande performance acoustiqueÉléments de base de tout projet de plancher chauffant basse température, les dalles isolantes ont un rôle primordial pour assurer la bonne isolation du sol, limiter les pertes de chaleur et assurer la durabilité du système de chauffage. Avec des résistances thermiques élevées allant de 0,75 à 5,55 m2K/W, les dalles isolantes Wavin certifiées QB ou ACERMI (Association pour la CERtification des Matériaux Isolants) comptent parmi les plus performantes du marché.Parmi elles, les nouvelles dalles isolantes Phonixx Wavin qui réduisent significativement la transmission des bruits de chocs. En effet, pour un excellent confort acoustique, elles offrent une réduction des nuisances sonores et des bruits d’impacts entre étages allant jusqu’à 21 dB, une valeur record ! Elles permettent ainsi d’obtenir une meilleure efficacité sans avoir recours à une sous-couche acoustique complémentaire.Légères et faciles à manipuler, ces dalles s’installent rapidement et sans difficulté pour gagner un temps considérable sur les chantiers. De plus, leur qualité et leur rigidité permettent la circulation des personnes lors de leur installation.Enfin, la composition mono-matière des dalles isolantes à plots Phonixx facilite leur recyclage tant lors de leur mise en oeuvre (chutes de chantier) qu’en fin de vie.Une barrière anti-oxygène protectrice au coeur de la structureFiable et durable, la nouvelle génération de tubes en Polybutylène Wavin Flexius BAO intègre désormais une Barrière Anti-Oxygène. Elle permet d’éviter le développement de boues dans les circuits fermés de plancher chauffant garantissant ainsi un bon fonctionnement sur le long terme. Ordinairement placée en périphérie extérieure des tubes, la BAO est ici intégrée au coeur de la structure du tube, la protégeant de tout endommagement lié aux aléas de chantier et garantissant sa performance. Ainsi, il n’y a aucun risque de dégradation de la BAO lors de la mise en oeuvre, lui garantissant une durée de vie optimale.Disponibles en plusieurs longueurs, les couronnes de nouveaux tubes Wavin Flexius BAO répondent aux besoins de toutes les tailles de chantiers de plancher chauffant et rafraîchissant. Leur grande flexibilité a inspiré le nom de cette nouvelle génération de tubes Wavin Flexius BAO qui facilite la réalisation des boucles au sol, quelles que soient les conditions de pose : froid, espaces restreints, pas de pose serrée etc.Très résistants à l’épreuve du temps, ces tubes caloporteurs sont naturellement inertes à la corrosion, aux impacts et à l’écrasement. Ils bénéficient d’un Avis Technique et de la certification Qualité pour le Bâtiment (QB) du CSTB. Par ailleurs, dans une logique de développement durable, Wavin travaille sur un programme pour réutiliser les chutes de mise en oeuvre des tubes Flexius BAO afin de les réintégrer dans la production d’autres produits de son catalogue.Une installation intelligente, connectée et sur-mesureUne bonne maîtrise des températures est indispensable pour optimiser la performance énergétique du bâtiment. En neuf comme en rénovation, les solutions de plancher chauffant et rafraîchissant Wavin distribuent la chaleur de manière uniforme et réduisent la consommation d’énergie. Elles sont pilotées, depuis un écran tactile intuitif ou une application mobile, par le système de régulation Sentio de Wavin qui comprend des unités de contrôle central et d’extension, des thermostats et des sondes. Véritable « cerveau » de l’installation, cette solution très simple d’installation puis d’utilisation au quotidien permet un pilotage précis du confort climatique pièce par pièce, tout en limitant la consommation énergétique : jusqu’à 15% d’économies d’énergie de chauffage*.Avec sa programmation très précise, les températures sont ajustées en fonction des heures d’utilisation des pièces et du confort souhaité, des apports extérieurs… Sentio bénéficie par ailleurs d’une certification Eu.Bac qui valide sa capacité à maintenir précisément une température cible malgré l’inertie inhérente à un système de plancher chauffant : valeur de CA = 0,5 K.Enfin, Sentio de Wavin peut également optimiser le rendement énergétique de l’installation en adaptant la température du fluide caloporteur en fonction des conditions climatiques extérieures, grâce à une unité de mélange et une sonde extérieure proposées en option. Il offre ainsi aux occupants une qualité de confort inégalée et des économies d’énergie significatives puisque le générateur ne produit que ce qui est nécessaire en maximisant l’utilisation des calories.*Source Ademe 2022
Il y a 2 ans et 320 jours

EHRET fournit les protections solaires du nouveau quartier urbain Turley à Mannheim.

Des volets coulissants pliables en aluminium pour de remarquables constructions monolithiques en briques. Le projet de construction planifié par l’architecte Max Dudler à la demande du maître d’ouvrage Sebastian Wipfler sur l’ancien site de la caserne Turley Barracks à Mannheim est maintenant terminé. Deux immeubles d’habitation, une crèche et un bâtiment déjà existants, reliés par des allées, s’articulent autour d’une place centrale pour donner à cette nouvelle zone le caractère d’une ville fonctionnant en autarcie. Pour ce nouveau quartier, dont l’aspect est largement influencé par une caserne de l’époque impériale classée monument historique, l’architecte Max Dudler, plusieurs fois récompensé, convainc également par un langage architectural sobre et inspiré par les lieux. Le jeu des trois nouveaux bâtiments monolithiques ainsi que le choix délibéré des matériaux et des couleurs ont donné naissance à un ensemble fascinant d’architecture ancienne et nouvelle. Crédits EHRET Le crépi extérieur grossier, qui s’inspire du grès avec une précision chromatique, et le socle fin en grès dur rouge taillé et originaire de la vallée du Neckar, témoignent de détails parfaitement coordonnés en amont. Le choix de quelques matériaux simples, comme les briques crépies, le béton armé porteur, le bois et l’acier, renforce également l’architecture monolithique qui, en renonçant aux matériaux isolants, s’inscrit pleinement dans le cadre d’un mode de construction à la fois prometteur et traditionnel, et qui s’avère aussi judicieux sur le plan énergétique. Crédits EHRET Un design de façade charismatique souligné par les éléments en acier Les dormants circonférentiels et les volets coulissants pliables EHRET en aluminium, des ouvertures de fenêtres placées librement dans les façades, se détachent par contraste des murs massifs en briques de Poroton. Ils confèrent à la façade, en tant qu’élément de conception dominant, un caractère personnel indéniable. Le projet d’intégrer des huisseries circonférentielles sur 4 côtés avec des éléments coulissants et pliables modernes en aluminium représentait un grand défi. Le maître d’ouvrage a pu se convaincre de la longue expérience et de la compétence de la société EHRET par sa participation déterminante et son soutien dans la phase de planification. Les protections solaires EHRET pour vivre confortablement Les volets en aluminium EHRET, solution moderne de protection contre le vent, les intempéries et le soleil, ont été conçu dans un ton cuivre – couleur spéciale IGP- classic 591T – pour s’harmoniser parfaitement aux coloris des bâtiments. Ils s’ouvrent et se ferment aisément, comme un accordéon, avec un faible rayon d’ouverture et permettent un pliage extrêmement peu encombrant dans l’embrasure. Crédits EHRET ton cuivre – couleur spéciale IGP- classic 591T – pour s’harmoniser parfaitement aux coloris des bâtiments. Crédits EHRET ouverture et fermeture aisée, à la manière d’un accordéon, avec un faible rayon d’ouverture, permettant un pliage extrêmement peu encombrant dans l’embrasure. Au total, 502 volets coulissants et pliables EHRET ont été installés, avec un mélange réussi entre le modèle MATRICO-SL12, qui offre une transparence agréable en forme de filet, et le modèle PLANO-SL12, en tôle pleine et lisse, qui assure un obscurcissement complet, spécialement pour les chambres à coucher. Crédits EHRET Crédits EHRET Crédits EHRET. Au-delà des exigences esthétiques pointue, ces volets ont été choisis notamment pour les fines mailles des grilles de 62 x 25 x 9,0 x 2,0 mm du panneau « Matrico »qui assurent non seulement un climat intérieur optimal, mais créent en outre des conditions d’éclairage d’ambiance qui soulignent avec raffinement l’atmosphère des pièces intérieures. Les parquets en chevrons, les fenêtres en bois, les murs en briques lisses et les plafonds en béton armé toujours visibles créent des espaces de bien-être à l’architecture parfaite. Crédits EHRET Crédits EHRET EHRET signe une réalisation répondant en tout point au cahier des charges de l’architecte Suisse de renommée internationale, Max Dudler. Un projet à nouveau exemplaire qui marie à merveille esthétique, qualité, fonctionnalité et confort. N°1 des volets aluminium en Europe, la marque condense design et compétence pour concevoir un style de vie mouvant entre tradition et modernité. Depuis plus de 50 ans, la marque EHRET est synonyme de qualité supérieure et d’idées innovantes qui inspirent et émeuvent.    
Il y a 2 ans et 320 jours

Ecologic et le Réseau National des Ressourceries et Recycleries signent un accord-cadre pour le réemploi des équipements électriques et électroniques

Les fonds pour le réemploi prévus par la loi AGEC et renforcés par la loi Climat visent à allonger la durée de vie des produits – et éviter qu’ils ne deviennent des déchets.Dans cette perspective, Ecologic, éco-organisme historique de la filière des équipements électriques et électroniques (EEE) et le Réseau National des Ressourceries et Recycleries (RNRR) viennent de signer un accord-cadre pour développer le réemploi des équipement électriques et électroniques (EEE) et qui s’inscrit dans la continuité d’un partenariat de plusieurs années entre les deux organisations. Le réemploi des EEE : un enjeu écologique et socialDe très nombreux équipements électriques et électroniques se retrouvent dans les filières de recyclage alors qu’ils pourraient être remis en état et reconditionnés. En 2021, 6.000 tonnes d’EEE étaient réemployés. L’objectif d’Ecologic pour 2023 est de doubler le tonnage pour dépasser les 12.000 tonnes.Les ressourceries et recycleries du RNRR - acteur phare du réemploi solidaire en France - se caractérisent par une démarche à la fois écologique, sociale et sociétale. Associations loi 1901, présentes en milieu rural et urbain, elles luttent contre la surproduction, la surconsommation, le gaspillage et la pollution en offrant une nouvelle vie aux objets tout en œuvrant à l'insertion professionnelle de publics éloignés de l’emploi. Elles sont aussi des lieux de réflexion, de sensibilisation aux questions de transitions, de convivialité et de créations d’initiatives citoyennes.Pour développer le réemploi des EEE, elles ont néanmoins besoin de moyens additionnels.Un accord-cadre pour accompagner les ressourceries et recycleries du RNRRL’accord-cadre signé entre Ecologic et le RNRR constitue le premier jalon dans le processus du développement du réemploi. Pour René-Louis PERRIER, Président d’Ecologic : « Pour soutenir le développement de l’activité des adhérents du RNRR, nous allons les accompagner au travers de programmes de formations, d’acquisition de matériel et d’équipements, de mise en place d’ateliers de réparation et de reconditionnement. Notre but est d’accroître l’économie du réemploi solidaire et in fine, d’augmenter le nombre d’appareils réemployés. » Pour David Romieu, Président du RNRR : « La loi AGEC fixe des objectifs de réemploi très ambitieux qui doit atteindre 5% du poids des déchets ménagers pour 2030. Les moyens financiers qui seront déployés pour accompagner le développement de la filière des DEEE au sein des Ressourceries-Recycleries du Réseau sont substantiels et devraient permettre un effet levier important si l’ADEME et les collectivités locales maintiennent bien leur soutien à nos structures. Compte-tenu des enjeux, ces sources de financement complémentaires sont un élément clef pour favoriser l’économie du réemploi solidaire et de ses acteurs. »Le réemploi des EEE : un enjeu démocratiqueSi l’enjeu de cet accord-cadre est d’associer ambition écologique et sociale et d’essaimer et systématiser la démarche, il est aussi de démocratiser la question du tri pour que les EEE qui ont un potentiel de réemploi soient orientés vers les acteurs de l’ESS en capacité de réaliser ce réemploi de qualité. L’information auprès du grand public est donc essentielle à plusieurs titres. D’une part, pour mettre en lumière l’intérêt sociétal du réemploi mais aussi pour l’inciter à se tourner en tant que consommateur vers les EEE de seconde main.
Il y a 2 ans et 321 jours

Artificialisation : les sénateurs veulent transformer le Fonds friches en "fonds Zan"

FONCIER. La commission des finances du Sénat estime, dans un rapport publié fin juin, que tout reste à faire pour rendre le Zéro artificialisation nette (Zan) économiquement viable. Le rapport doit enrichir la "grande loi foncière" que prépare la Chambre Haute pour la rentrée.
Il y a 2 ans et 321 jours

Une nouvelle usine de semi-conducteurs sera construite près de Grenoble, un projet à 5,7 milliards d'euros

"C'est le plus grand investissement industriel des dernières décennies hors nucléaire et un grand pas pour notre souveraineté industrielle : c'est 1.000 emplois à la clé", a commenté le ministre de l'Economie, Bruno Le Maire, sur Twitter.Les projets d'investissements industriels, qui seront présentés lundi après-midi à Versailles (6,7 milliards d'euros d'investissements, "plus de 4.000 emplois créés"), tombent à point nommé pour le gouvernement, pressé par l'inflation qui pèse sur le pouvoir d'achat. La future usine de semi-conducteurs bénéficiera d'un "soutien financier important de l'Etat français", ont précisé le groupe franco-italien STMicroelectronics et l'américain GlobalFoundries.Elle s'inscrit dans le cadre du "Chips Act", le programme de l'Union européenne pour retrouver une place aux côtés de l'Asie et de l'Amérique dans la production mondiale de semi-conducteurs. Marquée par la pénurie de ces précieux composants, à la suite de la crise du Covid-19, l'Europe veut remonter sa part à 20% de la production mondiale, contre moins de 10% aujourd'hui.Les semi-conducteurs produits à Crolles, près de Grenoble, serviront notamment des marchés finaux "tels que l'automobile, l'industriel, l'internet des objets et les infrastructures de communication".Les premières productions devraient être lancées à partir de la fin 2023, avec une montée en charge progressive jusqu'à 2025/2026, selon l'Elysée. La production sera pour environ 58% destinée à GlobalFoundries, le reste étant pour STMicroelectronics, ont indiqué les deux entreprises.M. Macron se rendra mardi sur place pour présenter ce projet d'usine, qui sera à terme "le plus important site de production de puces français et l'un des plus importants d'Europe".Ces annonces surviennent dans un climat tendu, après des révélations dimanche soir par le journal Le Monde des liens qui ont uni Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie (2014-2016), et la société Uber. S'appuyant sur différents témoignages et documents, ces "Uber Files" concluent à l'existence d'un "deal" secret, visant à aider la plateforme à consolider ses positions en France, ce qu'ont vivement dénoncé des élus de gauche.AttractivitéPour l'Elysée, la participation record de patrons étrangers à "Choose France" - ils étaient 120 à 130 lors des précédentes éditions - montre un "très fort intérêt des patrons étrangers, suite à la réélection du président".Malgré la perte de la majorité absolue par le gouvernement, "il n'y a pas d'inquiétude des grands patrons" sur la poursuite d'un programme favorable aux investissements industriels en France, assure l'entourage du chef de l'Etat.Les dirigeants de Coca-Cola, Disney, Siemens, Merck Allemagne, des banques américaines Citi, JP Morgan, Morgan Stanley, du conglomérat chinois Fosun ou du groupe australien de services financiers Macquarie se retrouveront sous les ors de Versailles.M. Macron rencontrera aussi les "grands fonds souverains", comme ceux des Emirats, d'Arabie saoudite, du Koweït, du Qatar et de Corée, ainsi que des fonds canadiens.Parmi les autres projets annoncés dans le cadre de "Choose France", le spécialiste des colis express FedEx va créer 1.000 emplois permanents à Roissy (Val-d'Oise). L'espagnol Amadeus (gestion de réservations touristiques) 800 emplois, notamment à Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), le cabinet de conseil Accenture 500 en Bretagne et le vietnamien Vinfast (automobile) 350 à 400 dans des showrooms et ateliers, selon l'Elysée.Le géant britannique du médicament GlaxoSmithKline (GSK) va investir dans des essais cliniques, l'américain Collins Aerospace (avionique, systèmes d'information - groupe Raytheon) dans la recherche-développement et l'allemand Vorwerk se doter d'une deuxième usine Thermomix, en Eure-et-Loir.Le groupe néerlandais de travail temporaire Randstad va recruter par ailleurs 7.000 collaborateurs en CDI intérimaire d'ici la fin 2022. La France s'enorgueillit d'être le pays le plus attractif en Europe pour les investisseurs étrangers par le nombre de projets - 1.222 en 2021 -, leur taille étant en revanche généralement plus petite, selon le baromètre du cabinet EY.Près de 80 projets d'investissements, représentant 12 milliards d'euros et 21.000 emplois, ont été annoncés dans le cadre des sommets "Choose France" depuis 2018 : 25 ont été réalisés, 50 sont en cours et cinq ont été abandonnés ou reportés.
Il y a 2 ans et 322 jours

BEISSIER unifie l’identité visuelle de ses packagings PRESTONETT et lance de nouveaux conditionnements

Si Beissier a impulsé en 2021 une nouvelle identité visuelle pour sa gamme Prestonett en grands conditionnements, le spécialiste de la préparation des fonds confirme, pour 2022, un travail d’unification sur ses offres en petits conditionnements. Reconnaissance visuelle forte avec un facing emblématique en fond kraft, facilité d’identification comme de choix (grâce à la lettre […]
Il y a 2 ans et 322 jours

Béton[s] le Magazine 101

Daté juillet-août 2022 A LIRE DANS CETTE EDITION : EN COUVERTURE. Aménagement public et urbain TECHNIQUES & ARCHITECTURE. Les éoliennes de Fécamp ZOOM SUR. Les adjuvants pour bétons FONDAMENTAUX. Juridique. Céder un fonds de commerce – Partie II BETON D’ANTAN. L’abri conique de Villenoy. Du béton armé contre les bombes Cet article est réservé aux abonnés des revues Béton[s] le Magazine et Bâti & Isolation. Déjà abonné Mon email Mon mot de passe Oublié ? En plus de votre magazine, profitez d’un accès illimité à l’ensemble des contenus et services du site www.acpresse.fr : Lecture de l’intégralité des dossiers thématiques, reportages chantiers, fondamentaux, histoire de la construction… Consultation des indicateurs économiques (chiffres et analyses) + vos newsletters pour suivre l’info en continu Je m'abonne
Il y a 2 ans et 324 jours

A Cuba, la peur de mourir dans l'effondrement de son logement

Elisa et Lesyanis, sa fille de 12 ans, vivent dans un immeuble de la vieille ville. Il fait partie des 700 immeubles de la capitale cubaine recensés comme étant dans un état critique. Selon des chiffres officiels, 37% des 3,9 millions de logements du pays étaient fin 2020 en mauvais ou en très mauvais état."J'ai déjà perdu un enfant" de maladie, "je ne veux pas perdre ma fille", raconte à l'AFP Elisa, qui habite à "Résidence Cuba", un immeuble de 1940 situé dans le quartier de "Habana Vieja".L'immeuble de six étages, propriété de l'Etat, comme la majorité des édifices sur l'île communiste, compte 114 chambrettes et abrite 92 familles qui n'ont pas à payer de loyer.Selon les habitants du quartier, le bâtiment fut jadis un hôtel élégant. Aujourd'hui, les planchers s'effondrent, les plafonds et les coursives montrent leur squelette métallique rouillé, des fissures et des fuites sont visibles partout sur les murs.Les enfants "ne peuvent même pas jouer, parce qu'ici, de temps en temps, un morceau (du bâtiment) se détache", se désole Elisa Bacyan, les larmes aux yeux. Des immeubles s'effondrent régulièrement dans certains quartiers de La Havane. En 2020, la chute d'un balcon d'un immeuble de la vielle ville a provoqué la mort de trois fillettes, suscitant une vive émotion dans le pays.D'autres édifices continuent de résister malgré leur état déplorable. Une "esthétique miraculeuse", ironise auprès de l'AFP un expert en bâtiment ayant requis l'anonymat."Résidence Cuba" a des "défauts structurels du sol au plafond" et "il n'est pas recommandé que des gens y vivent", souligne ce spécialiste qui prédit que "des effondrements partiels vont continuer à s'y produire".Dans cet immeuble comme dans de nombreux autres, la construction de mezzanines, de salles de bains et de citernes augmentent considérablement le poids reposant sur les bâtiments.Toute habilléeLes écroulements sont aussi plus nombreux pendant la saison des ouragans de juin à novembre. Les premières pluies de juin ont provoqué 146 effondrements partiels d'immeubles et deux en totalité dans la capitale, provoquant la mort d'un sexagénaire, selon les médias officiels.Cary Suarez, 57 ans, est arrivée à "Résidence Cuba" en 1997 après que l'immeuble où elle vivait s'est écroulé. Elle amenait ses enfants à l'école mais sa mère est morte dans la catastrophe."Vivre tout ça et être sur le point de revivre un nouvel (effondrement) c'est très difficile", se désole-t-elle."Nous avons épuisé toutes les voies possibles et nous n'avons pas de réponse", explique à l'AFP Francisca Peña, 54 ans, chargée de contacter les autorités au nom des habitants. Elle reconnaît que la "crise économique que traverse le pays rend tout plus difficile".La quinquagénaire raconte qu'elle dort toute habillée au cas où elle devrait "sortir en courant" du bâtiment et qu'il est arrivé plusieurs fois que tous les locataires se précipitent dehors après avoir entendu un "bruit" suspect."J'ai des cernes sous les yeux, je ne dors pas, je vis dans l'attente qu'un pan (de l'immeuble) se détache", raconte Luvia Diaz, une assistante sociale de 50 ans qui vit entassée au dernier étage avec son compagnon, ses trois filles et un petit-fils.Les fortes pluies de début juin ont provoqué l'effondrement partiel du plafond de sa chambre, tombé sur un lit. "Si ma fille avait été en train de dormir, il y aurait eu une tragédie".Tous les habitants partagent leurs peurs mais l'histoire de "Pumpa", 31 ans, qui a refusé de révéler son identité, est la plus terrible.A deux ans, assise dans le couloir du premier étage, elle a reçu un bout de plafond sur la tête et a dû subir une opération de reconstruction crânienne."J'ai peur de vivre ici (...) parce que la deuxième fois, je ne survivrai pas", dit-elle, en nettoyant son logement.
Il y a 2 ans et 325 jours

L'objectif "zéro artificialisation nette" des sols face à toujours plus d'oppositions

Au début de l'été, deux coups ont successivement été portés à ce principe, qui vise à diminuer le rythme de grignotage des espaces naturels par la ville pour arriver à zéro en 2050.Le premier par l'Association des maires de France (AMF), qui a annoncé saisir le Conseil d'Etat contre deux des trois décrets d'application du ZAN.Le second par des sénateurs, qui ont étrillé dans un rapport son application par le gouvernement, assurant que "le modèle économique du ZAN reste à définir".L'artificialisation dégrade la biodiversité, augmente les risques d'inondations et contribue au réchauffement climatique en libérant du CO2 stocké dans les sols.En dix ans, son rythme a diminué de près d'un tiers, passant de 31.589 hectares en 2009-2010 à 22.553 en 2018-2019, selon l'Observatoire de l'artificialisation des sols.Mais il reste trop important: selon les objectifs fixés par la loi Climat et Résilience de 2021, il va encore devoir être réduit de moitié tous les dix ans pour atteindre zéro net en 2050.Ce qui braque, de longue date, des professionnels de la construction, sceptiques sur cette mesure qui menace des pans entiers de leur activité."Contre-productif"Pour la Fédération française du bâtiment (FFB), le ZAN risque "d'accentuer la pénurie foncière" et de renchérir encore les prix de l'immobilier. "Ça va avoir un double effet négatif, sur le prix et sur la qualité de vie", estime aussi François Rieussec, président de l'Union nationale des aménageurs.La Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), qui tient à Strasbourg son congrès annuel où le sujet de la "sobriété foncière" a traversé les débats, n'y est pas opposée par principe, mais souligne que la première urgence est de produire des logements.Et désormais, ce sont des élus, majoritairement de droite, qui mènent la fronde."Le gouvernement n'a pas du tout prévu la suite de l'histoire. Il est allé très vite sur ce sujet (...) mais il n'a pas prévu son financement", soutient le sénateur (LR) du Vaucluse Jean-Baptiste Blanc, rapporteur spécial d'un texte sur le ZAN.Il y préconise, entre autres, d'établir un "fonds ZAN" pour financer les efforts des collectivités ou d'orienter les aides budgétaires et fiscales vers la sobriété foncière.Il craint également que cela n'accentue les déséquilibres territoriaux, entre les métropoles qui auraient les capacités d'élaborer des solutions innovantes et les petites collectivités, plus démunies.Du côté des maires, l'AMF a fustigé dans un communiqué "une approche de recentralisation rigide" et des décrets d'application qui "accentuent les fractures territoriales en opposant les projets entre eux, et sont contre-productifs car leur application arithmétique et indifférenciée va à rebours des aménagements vertueux en matière de lutte contre le changement climatique, mais aussi des aménagements indispensables à l'ambition de réindustrialisation du pays".Friches"Comment fait une commune qui a travaillé ces dix dernières années sur ses friches ?", s'interroge également Constance de Pélichy, maire (LR) de la Ferté Saint-Aubin (Loiret), qui réclame que l'Etat prenne en compte les efforts passés des communes en matière de sobriété foncière.Pourquoi cette opposition ?"C'est normal, parce que le logiciel qu'on donne aux élus depuis longtemps, c'est la construction sur le vide", réagit auprès de l'AFP Christine Leconte, présidente du Conseil national de l'ordre des architectes."Là où l'Etat doit avancer avec les territoires, c'est en leur permettant de voir leur potentiel, qui aujourd'hui n'est pas les terres agricoles mais les friches, les petites parcelles, les dents creuses, les bâtiments en ruine", ajoute-t-elle."La principale hypothèse, c'est qu'un certain nombre d'élus n'avaient pas été sensibilisés au problème, et n'ont pas vu cette mesure arriver", juge Vincent Le Rouzic, urbaniste et directeur adjoint des études à la Fabrique de la Cité, laboratoire d'idées du groupe Vinci."Le deuxième élément, c'est qu'on a certains territoires qui ont un mode de développement territorial principalement fondé sur de l'étalement urbain progressif, par du pavillon diffus, et de ce point de vue-là, l'objectif ZAN est un obstacle", détaille-t-il.Précisément ce modèle que la loi entend limiter.
Il y a 2 ans et 325 jours

Juridique : Céder un fonds de commerce – Partie II

Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine Après l’acquisition, l’acquéreur dispose de garanties de délivrance, d’éviction, contre les vices cachés, et d’une garantie contractuelle. [©ACPresse] Comme détaillé dans la partie I, parue dans Béton[s] le Magazine n° 100, la cession d’un fonds de commerce consiste à vendre l’ensemble des éléments d’une activité. Il s’agit d’une alternative à la cession de la société toute entière, permettant une fiscalité à optimiser et l’absence de transmission des dettes antérieures à l’acquéreur. Après avoir listé les éléments à céder, répondu aux obligations d’informations préalables et fait sa promesse de cession, trois étapes finales attendent encore le cédant. Etape 4 : Cession de fonds de commerce La loi n° 2019-744 du 19 juillet 2019 a supprimé les informations obligatoires de l’article L. 141-1 du Code de commerce. Mais il est néanmoins indispensable de préciser plusieurs points : – le prix de cession du fonds, avec ventilation du prix des différents éléments ; – la date, la nature et le prix de l’acquisition des éléments par le vendeur ; – l’état des privilèges et nantissements grevant le fonds sur les dix ans précédant la vente, ou l’absence d’inscription le cas échéant ; Lire aussi : Partie I – Céder un fonds de commerce – le chiffre d’affaires et le résultat d’exploitation des trois derniers exercices comptables. Ainsi que les chiffres d’affaires mensuels entre la clôture du dernier exercice et le mois précédant la vente1 ; – le bail commercial, sa date, sa durée, le nom et l’adresse du bailleur et son information de la cession ; – les noms et adresses de tous les cédants précédents le cas échéant. Rappelons enfin que par application de l’article 1112-1 du Code civil, toute partie à un contrat qui connaît une information, dont l’importance est déterminante pour le consentement de l’autre (outre la valeur de la prestation), doit l’en informer sous peine de nullité. Etape 5 : Les formalités postérieures à la signature Les formalités suivantes sont obligatoires : – enregistrement de l’acte de cession auprès de l’administration fiscale ; – publication de la cession du fonds dans le Journal d’annonces légales2 (Jal), avec mentions obligatoires, dans un délai de 15 j à compter de la vente ; – publication au Bodacc3 dans un délai de 3 j suivant l’insertion dans le Jal, afin que les créanciers du vendeur puissent faire opposition au paiement du prix de vente à l’acquéreur (délai de 60 j pour l’administration fiscale et de 10 j pour les autres créanciers) ; – mise sous séquestre du prix de cession, qui ne sera payé qu’après désintéressement des créanciers du vendeur ; – déclarations fiscales du vendeur (déclaration de la cession dans un délai de 45 j à compter de la publication dans le Jal, de ses bénéfices et plus-values imposables au jour de la cession dans un délai dépendant de son statut juridique, et de sa TVA dans un délai de 30 ou 60 j à partir de la publication dans le Jal en fonction de son régime de TVA4). – immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés par l’acquéreur (immatriculation secondaire ou modificative). Etape 6 : Les garanties de l’acquéreur après la cession Après l’acquisition, l’acquéreur dispose de garanties de délivrance, d’éviction, contre les vices cachés et d’une garantie contractuelle (au titre des mentions obligatoires). Il est néanmoins indispensable de stipuler une garantie d’actif-passif. Par cette garantie, le vendeur s’engage à prendre en charge les dettes non déclarées dans l’acte de cession et les diminutions de l’actif net, survenant après la cession, mais et dont l’origine est antérieure. Pierre LacoinAvocat à la CourCabinet 1792 Avocats [Lien vers site du cabinet d’avocats pour la version en ligne] 1Cette information est obligatoire par application de l’article L. 141-2 du Code de commerce.2Journal d’annonces légales3Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales4La cession du fonds est exonérée de TVA si la vente porte sur l’intégralité du fonds de commerce et si l’acquéreur est lui-même redevable de la TVA. Article paru dans le n° 101 de Béton[s] le Magazine
Il y a 2 ans et 326 jours

Détails : plafonds dessinés

    Parfois qualifié de « cache-misère », le plafond concourt souvent à la neutralisation de l'espace en occultant la complexité des réseaux qu'il renferme. Pourtant, de même que les parois ou le sol, le plafond, dessiné, peut participer à l'expérience architecturale. Les concepteurs qui prennent ce […] Lire l'article
Il y a 2 ans et 327 jours

LGV Bordeaux-Toulouse : première réunion du conseil de surveillance

Ce Grand projet du Sud-Ouest (GPSO) vise à relier Toulouse à Paris en trois heures et à Bordeaux en une heure, soit un gain d'une heure sur chaque trajet, ainsi que de vingt minutes vers Dax.Le conseil de surveillance de la société du GPSO réunit les 25 collectivités territoriales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine qui participent au financement, ainsi que la SNCF.Le GPSO représente "327 km de lignes nouvelles, en incluant les aménagements au sud de Bordeaux et au nord de Toulouse", a précisé Etienne Guyot, préfet d'Occitanie et coordinateur du projet, lors d'une conférence de presse à Toulouse.La SNCF "maître d'ouvrage a présenté le planning de réalisation avec (...) un objectif de mise en service en 2032", a-t-il ajouté, annonçant un début des travaux d'aménagement en 2023.La présidente PS du conseil régional d'Occitanie, Carole Delga, a été élue à la tête du conseil de surveillance, à la suite duquel s'est tenue la première réunion du comité de pilotage du projet.Elle a souligné que le GPSO vise à "permettre une connexion à l'international, mais aussi le développement des trains du quotidien" en Occitanie, impossible selon elle en l'état des structures existantes, saturées ou en passe de l'être.Elle s'est par ailleurs engagée à faire en sorte de "gagner du temps par rapport au premier calendrier présenté" pour une mise en service plutôt en "2030-2031".Alain Rousset, président PS de la région Nouvelle-Aquitaine, a argué que la LGV est un "succès populaire" qui ne dessert pas seulement Paris, mais a "un report massif et écologique" sur les transports quotidiens et a invoqué la nécessité d'une 2e voie ferroviaire pour le fret.Le GPSO est financé à 40% par l'Etat, 40% par des collectivités locales d'Occitanie et de Nouvelle-Aquitaine, et à 20% par l'Union européenne.Fin juin, la Commission européenne a refusé le financement d'études techniques d'aménagements au sud de Bordeaux, soit 17,3 millions d'euros sur les 2,8 milliards de fonds européens attendus."Cette annonce de l'Union européenne du 29 juin 2022 ne préjuge en rien des appels à projet ultérieurs", a déclaré lundi M. Guyot, soulignant que l'UE préfère soutenir "des projets déjà en phase travaux" et "a déjà financé 39,2 millions du GPSO sur les aménagements ferroviaires au nord de Toulouse, au sud de Bordeaux".Pour les opposants à la LGV toutefois, tel Pierre Hurmic, maire EELV de Bordeaux, "il est encore temps (...) de préparer une candidature alternative" avec la modernisation des lignes existantes, avant le prochain appel à subventions prévu en septembre.
Il y a 2 ans et 328 jours

“1 immeuble, 1 œuvre” : L’importance de l’art dans la ville

L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. [©Eva Jospin] L’art ne laisse pas indifférent. On aime ou on déteste, mais il stimule les émotions. L’art et l’architecture ont toujours été intimement liés dans l’histoire. « Il n’y a pas si longtemps qu’il existe une rupture entre l’architecture et les artistes, depuis que la construction s’est industrialisée et normalisée », insiste l’artiste Eva Jospin. C’est pourquoi en 2015, le ministère de la Culture et de la Communication a lancé le programme “1 immeuble, 1 œuvre”, en lien avec la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI). Ceci, afin d’accompagner les promoteurs et sociétés foncières dans cette démarche de soutien à la création artistique et de diffusion des arts plastiques. 72 signataires actuellement « Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. [©Emerige] Ils étaient 13 signataires alors, s’engageant à commander ou à acquérir une œuvre d’art auprès d’un artiste pour tout immeuble à construire ou à rénover. En 2018, c’est l’envol du programme de commandes artistiques. Aujourd’hui, les acteurs de l’immobilier sont toujours plus nombreux à s’engager volontairement, en signant la charte ministérielle, à financer l’acquisition ou la production d’une œuvre. Ils sont désormais 72, du grand groupe immobilier comme Emerige, dirigé par Laurent Dumas, à l’initiative de la proposition ministérielle, Vinci Immobilier, Bouygues Immobilier ou de plus petits acteurs, citons Bâti-Nantes ou des bailleurs sociaux à l’instar de Toit et Joie – Poste Habitat. Tous s’engagent à faire appel à un artiste vivant, en procédant à la commande ou à l’achat d’une œuvre existante, dans le champ des arts visuels. Et à prendre à leur charge la rémunération de l’artiste, ainsi que les coûts de réalisation et d’installation de l’œuvre. 554 œuvres produites, partout en France Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction. [Interconstruction] Au final, depuis sa création, l’association a vu la commande de 554 œuvres, partout en France. A l’intérieur ou à l’extérieur des bâtiments, dans les parties communes ou sur la place publique, un véritable parcours d’œuvres se dessine sur l’ensemble du territoire. Sculptures, peintures, installations lumineuses, photographies ou créations originales de mobilier : les réalisations renouent avec une pratique historique d’un dialogue concerté entre art et architecture. Et confirment la diversité et la richesse de la scène française. Depuis le lancement de l’opération, des artistes, émergents ou confirmés, ont convié habitants et visiteurs à la réflexion, à la rêverie, à la discussion, mais aussi au débat. Parmi lesquels Daniel Buren, Johan Creten, Gloria Friedman, Fabrice Hyber, Eva Jospin, Arik Levy, Théo Mercier, Yann Lestrat ou encore Prune Nourry. Le programme s’est aussi ouvert aux propositions artistiques temporaires conduites sur le temps de chantiers. « J’ai la conviction que l’art doit infuser dans la ville par l’architecture. Pour Linkcity, il est important de développer une vision artistique dans nos réalisations architecturales. C’est une vraie volonté de Linkcity. La majorité des opérations livrées comprennent une œuvre. Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. Un cheminement piéton « Quand je suis arrivé chez Linkcity il y a dix ans, cette volonté artistique était déjà présente », insiste Philippe Da Silva, directeur d’opération maîtrise d’ouvrage d’exécution chez Linkcity, filiale de développement immobilier de Bouygues Construction. [©Linkcity] « Je suis attaché à “L’empreinte du Mammouth”, réalisée par Stefan Shankland. Cette œuvre s’inscrit au cœur du lot O8 dans la Zac des Batignolles (Paris VIIe). L’artiste a utilisé le “Marbre d’ici”, qui est le nom donné à la nouvelle matière première produite à partir du recyclage des gravats et déchets de chantier. Réduits en poudre, mélangés à du ciment et coulés en strates, ces déchets inertes ont été transformés en une ressource : un matériau noble, un béton à haute valeur patrimoniale, esthétique et écologique, pour la réalisation d’un cheminement piéton sillonnant à travers le jardin au pied des immeubles du lot O8 », explique Philippe Da Silva. Et l’artiste Stefan Shankland, de poursuivre : « Cette œuvre produit un monument ordinaire à l’effigie de la transformation de la matière et crée une continuité entre l’avant, le pendant et l’après transformation urbaine. Le chantier est un métabolisme qui transforme les ressources naturelles au cours du temps et laisse, pour trace ultime de son activité, un immeuble. Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale ». Grâce à l’art contemporain « Cette sculpture horizontale nous parle de stratification, de géologie, de gisements venus du sous-sol avant d’être érigés en architecture verticale. » ©Stefan Shankland] En 2021, Intercontruction a signé la charte “1 immeuble, 1 œuvre”, mais depuis plus de 20 ans, ce promoteur associe une œuvre d’art par construction. L’artiste est choisi en fonction du lieu et des habitants. « Derrière chaque œuvre, il y a un artiste. Comme tout chercheur, il évolue dans un processus méthodique de réflexion et d’exploration souvent long et intuitif. Nous souhaitons mettre un supplément d’âme dans nos constructions grâce à l’art contemporain. Nos chantiers les plus emblématiques ? Nous avons posé avec les artistes de Duoduo une œuvre en céramique sur un pignon d’immeubles à Vanves. Je me souviens aussi des photos de Corinne Mercadier à Courbevoie ou encore les peintures abstraites de Patrice Pantin, à Guyancourt », souligne Agnès Pezeu, directrice du fonds de dotation d’Interconstruction.En finançant l’acquisition d’œuvres artistiques dans leurs programmes immobiliers, les promoteurs soutiennent la création contemporaine et valorisent l’architecture. Cet engagement inédit améliore la qualité de vie des habitants, en permettant au plus grand nombre d’accéder à la création artistique. Aujourd’hui, le programme “1 immeuble, 1 œuvre” continue de fédérer et de mobiliser promoteurs immobiliers, sociétés foncières et bailleurs sociaux. De plus en plus nombreux à rejoindre le programme, désireux d’engager un échange et un partage autour d’œuvres d’art dans des lieux de vie ou de travail. « Depuis les années 1950, la commande artistique était l’apanage de la puissance publique notamment à travers le 1 % artistique. Des acteurs de l’immobilier commandaient des œuvres de manière individuelle. Notre objectif ? Rendre systémique et collective cette commande, d’où la charte signée le 16 décembre 2015 avec le ministère de la Culture et ses 13 premiers signataires. Ils sont désormais 72 », rappelle Artur Toscan du Plantier, président du Club “1 immeuble, 1 œuvre” et directeur de la stratégie d’Emerige. L’art et l’architecture ne font plus qu’un “Matera”, œuvre d’Eva Jospin. [©Cyrille Dubreuil] Et de poursuivre : « Les projets qui m’ont beaucoup touché ? La forêt d’Eva Jospin dans le VIIe arrondissement. Cette œuvre pour Beaupassage a été réalisée, en 2017, dans d’anciens entrepôts appartenant à Emerige, rue de Tolbiac à Paris, et qui servaient d’atelier d’artistes mis à disposition par le groupe. Telle une grande forêt immersive dans la longueur de la galerie d’accès au boulevard, “La Traversée” est apposée le long du mur, côté droit. Côté gauche, cette futaie est réfléchie par des poly-miroirs plans. La forêt de carton, matériau de prédilection de l’artiste, forme un immense haut-relief de 530 cm de long par 280 cm de haut. Bois, branches, rameaux, racines, frondaisons, cimes, troncs, ramifications, feuilles, fruits, bourgeons, greffons, buissons, arbres, arbustes, tiges, mousses… Tout ce qui forme l’enchevêtrement sylvestre, mystérieux, insondable, voire labyrinthique d’une forêt devient, dans les mains d’Eva Jospin, un paysage modelé, découpé, incisé et ciselé dans du carton ». Et Eva Jospin, de reprendre : « A Massy-Palaiseau, dernièrement je suis intervenue sur toute une façade pour le cabinet Brenac et Gonzales Associés. Et également à Bagneux pour le cabinet Lambert Lenack. Les deux étant des commandes d’Emerige. J’ai utilisé la technique du béton matricé avec des bas-reliefs en carton, moulés. Je travaille sur les façades, sur toute l’architecture. L’art crée une passerelle, un langage avec le bâtiment ». Une expo photos sur les palissades de chantier Sacha Goldberger a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. On peut être une entreprise assise sur des milliards d’euros de gestion d’actifs en Europe, en Asie et en Amérique, et faire une pause dans le temps. C’est ce qu’a fait Ardian, présidé par Dominique Sénéquier, qui a confié au photographe Sacha Goldberger, le soin de donner vie à un chantier de réhabilitation de l’ancien immeuble d’Europe 1, rue François 1er à Paris. Les noms de la rue et du chantier lui-même (“Renaissance“) l’ont inspiré pour mettre en scène les artisans intervenant sur place pour restaurer l’immeuble racheté en 2018 par Ardian Real Estate, la branche “Immobilier” du groupe. Il a habillé au sens propre six compagnons œuvrant sur le chantier avec des costumes renaissance en vue d’exposer leurs portraits sur la façade d’habillage urbain, comme s’il s’agissait d’une galerie renaissance. Chacun pose avec son outil de travail. Toutes ces réalisations témoignent du lien prégnant entre l’art et l’architecture, qui refait son apparition dans la construction et fait connaître à un plus grand nombre l’art contemporain. Muriel Carbonnet
Il y a 2 ans et 328 jours

Londres annonce des mesures de soutien pour la reconstruction de l'Ukraine

Lors de la conférence sur la reconstruction de l'Ukraine à Lugano, en Suisse, Mme Truss exposera les projets du Royaume-Uni pour soutenir le pays à court terme, à travers l'aide humanitaire, mais aussi à plus long terme pour relancer l'économie ukrainienne en apportant l'expertise financière et économique britannique, a indiqué son ministère dans un communiqué dimanche.Londres soutiendra notamment la reconstruction de la ville et de la région de Kiev, à la demande du président Zelensky, indique le Foreign office.Le Royaume-Uni compte également travailler avec Kiev et ses alliés pour accueillir la conférence sur la relance de l'Ukraine en 2023 et établira un bureau à Londres pour aider à coordonner ces efforts."Le redressement de l'Ukraine après la guerre d'agression de la Russie sera le symbole du pouvoir de la démocratie sur l'autocratie. Cela montrera à Poutine que ses tentatives de détruire l'Ukraine n'ont abouti qu'à une nation plus forte, plus prospère et plus unie", a déclaré la cheffe de la diplomatie britannique, en amont de la conférence."Nous avons été en tête en termes de soutien à l'Ukraine pendant la guerre et continuerons à être en tête du soutien au plan de reconstruction et de développement du gouvernement ukrainien", a-t-elle affirmé.Mercredi, le gouvernement britannique avait annoncé débloquer un milliard de livres (1,16 milliard d'euros) d'aide militaire supplémentaire à l'Ukraine pour répondre à l'invasion russe, comprenant des systèmes de défense anti-aérienne et des drones.Ces nouveaux fonds vont porter l'aide militaire britannique à Kiev à 2,3 milliards de livres.
Il y a 2 ans et 329 jours

Saint-Gobain cède Plafometal à M-PLB

Le groupe breton spécialisé dans la menuiserie et la métallerie a acquis au 1er juillet 2022 le fabricant de plafonds modulaires et produits métalliques.
Il y a 2 ans et 329 jours

KNAUF CEILING SOLUTIONS lève le voile sur ADAGIO, sa nouvelle gamme minérale de plafonds : Visuellement saisissante et acoustiquement performante

Knauf Ceiling Solutions dévoile sa nouvelle gamme minérale de plafonds acoustiques ADAGIO, parés des plus beaux atours pour répondre aux plus hautes exigences : réflexion de la lumière, confort acoustique, durabilité et flexibilité de design. Aspirant à la sérénité et au bien-être, ADAGIO résulte de l’expérience en design de plafonds du spécialiste, compilant le meilleur […]
Il y a 2 ans et 329 jours

Inauguration d'HLM sur un ancien terrain de la famille al-Assad à Paris

Dans un communiqué, la Ville de Paris s'est félicitée d'avoir pu acquérir ce bien "mal-acquis" par Rifaat Al-Assad, suite à une décision de justice, en 2015."C'est un immeuble qui a une histoire particulière. Nous sommes devenus propriétaire de cette friche par expropriation", a déclaré sur place Ian Brossat, adjoint à la maire de Paris en charge du logement.Sur une parcelle de 780m³, dans le très chic XVIe arrondissement, 34 logements sociaux et une crèche ont été édifiés sur l'ancienne friche. La mairie de Paris avait versé 9,5 millions d'euros d'indemnités d'expropriation à la Caisse des Dépôts. Le montant global des travaux s'élève à 6 millions d'euros, a indiqué Ian Brossat.Ces logements sociaux ont été livrés aux bénéficiaires fin mars 2022. La plupart d'entre eux attendaient depuis des années l'accès à un logement social."J'attendais depuis 26 ans. Je suis contente mais on doit se faire à l'endroit", a témoigné anonymement une locataire interrogée par l'AFP, ajoutant : "on a l'impression que nous sommes des intrus. Les gens nous regardent bizarrement"."L'objectif de ce projet était d'intégrer et de mixer plusieurs milieux et catégories sociales", a souligné M. Brossat, selon lequel le pourcentage du logement social dans le XVIe arrondissement "est passé de 1% en 2001 à 6% en 2022".En septembre 2021, l'ancien vice-président de Syrie Rifaat al-Assad, âgé de 84 ans, avait été reconnu coupable par la cour d'appel de Paris de blanchiment en bande organisée et de détournement de fonds publics syriens entre 1996 et 2016.La cour avait ordonné la confiscation de l'ensemble de ses biens immobiliers frauduleusement acquis, évalués à 90 millions d'euros, et l'avait en outre condamné pour blanchiment de fraude fiscale aggravée et pour le travail dissimulé d'employés de maison. La Cour de cassation examinera le 7 septembre le pourvoi formé par Rifaat al-Assad.Dans cette affaire, deux hôtels particuliers, des dizaines d'appartements, un domaine avec château et haras ainsi que des bureaux avaient notamment été saisis.
Il y a 2 ans et 331 jours

Appel à candidatures pour le Château des artistes à Versailles

L’appel à résidence Château des artistes est à l’initiative du fonds de dotation Verrechia et de Manifesto. A partir d’octobre 2022, le Château de la Maye à Versailles (Yvelines), accueillera des résidences destinées à réunir autour d’un projet commun des duos ou trios entre des jeunes paysagistes, architectes et artistes et ainsi faire de ce lieu […] L’article Appel à candidatures pour le Château des artistes à Versailles est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 2 ans et 332 jours

La Foncière ATLAND devient ATLAND

Partenaire immobilier des entreprises, ATLAND est un acteur global de l’immobilier de 260 collaborateurs, qui intervient sur les marchés de l’immobilier d’entreprise et du logement au travers de ses activités de gestionnaire d’actifs, de développeur d’immobilier et de plateforme digitale d’investissement.ATLAND Voisin est une Société de Gestion de Portefeuille, agréée par l’AMF, qui gère 4 SCPI pour le compte de plus de 37 000 associés et des fonds institutionnels représentant, au 31 mai 2022, un patrimoine immobilier sous gestion de plus de 3 Mds €.ATLAND Résidentiel développe actuellement près de 50 opérations de logements en Île-de-France et a réalisé plus de 1 000 réservations en 2021.Marianne Développement réalise et anime des résidences intergénérationnelles. Elle compte à ce jour 31 résidences en exploitation représentant 2 800 logements.Fundimmo est une des principales plateformes de financement participatif immobilier. Elle a financé, depuis sa création, plus de 300 projets pour un montant total de plus de 200 M€.ATLAND est cotée sur Eurolist B (FR0013455482).
Il y a 2 ans et 333 jours

PlanRadar développe une nouvelle fonctionnalité de planification pour simplifier la gestion de projets de construction

Alliant une interface collaborative et un affichage épuré, il permet aux utilisateurs de visualiser les étapes clés d’un projet et de créer des calendriers de projet sur la base du fameux modèle de Gantt.Une nouvelle fonctionnalité intuitive et accessible pour adapter la gestion de projet en temps réelLe modèle de Gantt est un outil de visualisation efficace de l'état d'avancement des différentes tâches qui constituent un projet. La fonctionnalité baptisé « Gantt View » mise au point par PlanRadar permet aux utilisateurs de planifier le déroulement du projet au détail près, générer des graphiques clairs et précis à partir des listes de tâches, définir les principaux jalons et mettre en évidence les actions prioritaires. La fonctionnalité aide à identifier les éventuels problèmes en amont de leur apparition afin d’éviter les retards et de garantir le bon déroulement du projet.Il alerte également sur les retards dans le calendrier pour y remédier rapidement, et les utilisateurs peuvent utiliser la fonction « glisser-déposer » pour mettre à jour le calendrier en un clic à mesure que le plan de projet évolue. Il permet ainsi aux chefs de projet de suivre le rythme des imprévus pour ne négliger aucun détail.Concernant le lancement de cette nouvelle fonctionnalité, Ibrahim Imam, Cofondateur et CoCEO de PlanRadar, déclare : « La réussite d’un projet dépend de la capacité de l’équipe à garder le cap. C’est d’autant plus vrai dans le domaine de la construction, où la moindre erreur ou imperfection peut avoir d’énormes conséquences. De plus, au vu de la multiplicité des acteurs intervenant dans les phases de planification, de construction et de livraison, la gestion de tous les aspects passe nécessairement par un calendrier robuste et une répartition claire des responsabilités. À défaut, les délais peuvent ne pas être respectés, et ces retards représentent un coût non négligeable. Le calendrier de PlanRadar est conçu pour éviter cela en dotant les chefs de projet d’une fonctionnalité leur permettant de suivre l’avancement du projet, tout en supervisant les équipes concernées. »Une solution issue d’une R&D collaborative avec les utilisateursAttentif aux retours de ses utilisateurs, « Gantt View » est le fruit des remontées du terrain qui permet à PlanRadar de s’adapter continuellement aux besoins de ses clients en mettant régulièrement au point de nouvelles fonctionnalités.Pour Matthieu Walckenaer, Directeur général France : « Chez PlanRadar, la R&D est pilotée en collaboration avec nos clients, grâce à un comité de pilotage qui priorise leurs demandes, puis leur traitement. Ce travail permet de concevoir et d’implémenter des fonctionnalités nouvelles dans des délais très courts, pour servir des projets spécifiques. Notre modèle SaaS permet également à tous les utilisateurs de bénéficier des nouvelles livraisons de manière automatique. La nouvelle fonctionnalité « Gantt View » illustre parfaitement cette dynamique. »Compatible avec d’autres logiciels de planification, la fonctionnalité permet aux utilisateurs d’importer des calendriers depuis Primavera P6, Microsoft Project et ASTA Powerproject.La solution proposée est ainsi accessible, collaborative et adaptée pour tous les membres d’une équipe projet. En favorisant une interface intuitive et facile à prendre en main, PlanRadar continue de promouvoir auprès de l’ensemble de la chaîne de valeur une digitalisation des projets de construction et d’immobilier efficiente et opérationnelle.Le lancement de cette nouvelle fonctionnalité vient s’ajouter à celui de la solution d’intégration « PlanRadar Connect », après une phase d’investissement de série B de 69 millions USD pour la start-up. Ces fonds, levés dans le but d’accroître les capacités de R&D de la société, ont été affectés à un vaste éventail d’innovations, dont un nouveau centre technologique et une équipe dédiée à l’innovation pour mieux accompagner la croissance et l’évolution de la plateforme.Pour en savoir plus sur cette nouvelle fonctionnalité de planification et, plus largement, sur la plateforme PlanRadar, cliquez ici.
Il y a 2 ans et 334 jours

Vestack lève 10M€+ pour devenir un leader de la construction bas-carbone

“Une révolution technologique est nécessaire pour réconcilier la construction durable et le logement abordable” affirment Sylvain Bogeat, Nicolas Guinebretière et Jean-Christophe Pierron, co-fondateurs de Vestack.Ce nouveau tour de table de plus de 10 millions d’euros est mené par le premier fonds de private equity à Impact de Mirova, affilié de Natixis Investment Managers dédié à la finance durable, accompagné de Ring Mission, le fonds VC Impact de Ring Capital, et Karista via le Paris Region Venture Fund. Il permettra à la société d’accélérer :Le développement de nouvelles fonctions de son logiciel de conception digitale,Les travaux de R&D sur le système constructif et la commercialisation de nouveaux produits,L’accroissement de la capacité de production, en finançant l’ouverture de nouveaux sites d’assemblage et en nouant des partenariats de sous-traitance.Ces développements permettront à Vestack de devenir un leader technologique de la conception-construction de bâtiments bas-carbone.Vestack avait été accompagnée par le Paris Region Venture Fund lors d’une précédente levée de fonds en 2020, qui a permis à la société de développer sa solution de conception-réalisation, et d’ouvrir un premier site d’assemblage en Seine et Marne. La société a construit ses premiers projets et a signé près d'une vingtaine de contrats dans un marché en pleine expansion sous l’effet de la réglementation RE2020.Vestack s'appuie sur une technologie de conception digitalisée et une construction modulaire pour transformer la façon dont nos villes sont construites. L’entreprise permet ainsi à ses clients promoteurs de construire des bâtiments avec une empreinte carbone trois fois inférieure, deux fois plus rapidement, et sans aucun surcoût par rapport à une construction traditionnelle. La Greentech1 construit des bâtiments dédiés à du résidentiel collectif, des logements et du tertiaire (bureaux, crèches) allant jusqu’à cinq étages. Fondée en 2019, la société compte désormais une quarantaine d’employés sur ses différents sites en Île de France.La solution développée par Vestack s’appuie sur deux innovations. D’une part, l'entreprise a développé un logiciel facilitant la conception d’un jumeau numérique du bâtiment (Building Information Model)2 qui est ensuite décliné en instructions de production. Cette démarche design for manufacturing3 permet d'anticiper les spécificités de la construction modulaire, dès les premières esquisses de l'immeuble. Le groupe réalise d’autre part la construction hors-site des modules sous forme de panneaux de planchers et de murs en matériaux biosourcés.Les gains de productivité générés par la digitalisation, l’industrialisation et la robotisation absorbent les surcoûts liés à l’utilisation de matériaux plus respectueux de l’environnement. La construction modulaire favorise également l’écoconception des bâtiments grâce à l’optimisation de l’utilisation des ressources et à la réduction des flux logistiques, comme en témoignent les multiples labels accordés à la solution. La construction hors-site réduit également les nuisances liées aux chantiers, dont la durée est divisée par deux.Joanna Parent, Directeur des investissements au sein du premier fonds de Private Equity Impact de Mirova déclare : “L’objectif de la stratégie4 de capital investissement à impact environnemental de Mirova est d’accélérer le passage à l'échelle de solutions environnementales innovantes et positivement impactantes. Un quart des émissions de gaz à effet de serre mondiales et 75 % des déchets sont liés au secteur du bâtiment5. La problématique à laquelle s’adresse Vestack est cruciale pour maîtriser nos émissions de carbone dans les prochaines années et nous sommes particulièrement heureux de les accompagner”.Charlotte Lafont, Principal, Ring Mission : “La mission de Vestack qui consiste à démocratiser la construction bas carbone en réconciliant, respect de l'environnement, impact social en réponse à la crise du logement et enjeu économique lié à la compétitivité des solutions bas carbone par rapport aux constructions traditionnelles s'inscrit parfaitement dans la thèse de Ring Mission. Nous sommes ravis de nous associer à Karista et Mirova pour accompagner Vestack dans cette ambition."Benjamin Zerbib, Directeur d’Investissement, et Yvan-Michel Ehkirch, Managing Partner, Karista : “nous sommes fiers d’accompagner depuis 2020 Vestack avec la Région Ile-de-France dans sa mission de devenir un leader de la construction bas carbone. Ces nouveaux moyens doivent permettre d’accroitre les capacités de production et confirmer le positionnement de Vestack comme acteur incontournable du secteur. Nous sommes ravis d’accueillir Mirova et Ring pour cette nouvelle phase."
Il y a 2 ans et 335 jours

J-3 : Vente d'œuvres photographiques au profit des populations ukrainiennes

En soutien aux populations victimes du conflit russo-ukrainien, l’association Photographes et Architectures organise une vente caritative de ses œuvres. Le vernissage de l’exposition Ukraine partage/échange d’épreuves se tient ce vendredi 1er juillet 2022, de 19h à 21h à la Galerie d’Architecture (Paris 4e). S’en suit la vente des œuvres le lendemain, de 11h à 19h. Venez nombreux et nombreuses ! Les fonds collectés seront reversés à la Fondation de France, en Ukraine et dans...
Il y a 2 ans et 336 jours

Construction modulaire biosourcée : nouvelle levée de fonds pour Vestack

GREENTECH. Né en 2019, Vestack, spécialiste de la construction hors-site de bâtiments en matériaux biosourcés, vient de lever plus de 10 millions d'euros pour poursuivre son développement.
Il y a 2 ans et 336 jours

Borne confortée, Macron vise un "gouvernement d'action" début juillet

Juste avant de s'envoler pour les Alpes bavaroises et le château d'Elmau, où le chancelier Olaf Scholz accueillera les dirigeants du G7, le président de la République a cherché à reprendre la main dans une situation politique compliquée depuis le revers des législatives.Il a opéré une série de mises au point, sur la base des résultats des premières consultations avec les responsables politiques menées par l'exécutif cette semaine.D'abord sur le choix du chef du gouvernement qui sera à la manœuvre. "Voyant à la fois les refus et les disponibilités" qui se sont exprimés lors des premiers échanges avec les forces politiques, "j'ai décidé aujourd'hui de confirmer ma confiance à Elisabeth Borne", a expliqué le chef de l'Etat dans un entretien samedi après-midi à l'AFP. "Elle a ma confiance dans la durée", insiste-t-il.Borne en maître d’œuvreFoin des spéculations sur son éventuel remplacement nées notamment du silence sur son sort lors de l'allocution du président mercredi: c'est bien Elisabeth Borne, avec qui Emmanuel Macron s'est entretenu samedi, qui sera, sinon l'architecte, du moins le maître d'oeuvre du nouvel édifice politique.Durant la semaine prochaine, elle va sonder les groupes politiques à l'Assemblée nationale sur un "accord de gouvernement", leur participation même à un gouvernement, leur position sur le vote de confiance à son gouvernement a priori le 5 juillet, et aussi sur le vote du budget de l'Etat à l'automne prochain."A mon retour du G7 et de l'Otan (qui se tient jusqu'à jeudi, ndlr), la Première ministre me soumettra des propositions pour une feuille de route pour le gouvernement de la France sur les prochains mois et les prochaines années, et également pour la composition d'un nouveau gouvernement d'action au service de la France que nous mettrons en place dans les premiers jours du mois de juillet", a précisé le chef de l'Etat.Ce gouvernement pourra être rejoint par des représentants de forces politiques prêtes à coopérer avec la majorité.Le "chemin" tracé "répond à ce que nous demandent les Français: du dialogue, du respect et de l'écoute pour répondre ensemble à leurs attentes et aux urgences", a aussitôt salué la Première ministre sur Twitter.Réforme des retraites toujours sur la tableAutre rappel important: le chef de l'Etat a bien précisé que la base des discussions avec la Première ministre sera le "cadre du projet présidentiel et celui de la majorité présidentielle, qui pourra être amendé ou enrichi".Et ce, avec pour ligne rouge de "n'augmenter ni les impôts ni la dette".Quitte à remettre sur la table l'épineux sujet de la réforme des retraites. Malgré son revers aux élections législatives dimanche dernier, Emmanuel Macron n'a pas renoncé à sa réforme visant à "faire travailler plus longtemps" les Français, "comme le font tous nos voisins, en tenant compte des conditions de travail et donc des règles de pénibilité, en prenant en compte les carrières longues".C'est, avec la réforme vers le plein emploi, "les deux grandes réformes que nous devons conduire dans la concertation, sans totem ni tabou, mais en gardant un cap d'ambition", estime-t-il.Dernière clarification d'importance, sur le spectre des partenaires politiques envisagés. Le chef de l'Etat a écarté le RN et LFI du champ des partis de gouvernement."Ce sera des communistes aux LR. Les Français ont accordé une légitimité aux députés RN et LFI et ces partis ont une formation politique. Je ne confonds pas les extrêmes mais par leur expression, leur positionnement - j'ai toujours été clair sur ce sujet -, ces formations ne s'inscrivent pas comme des partis de gouvernement".La patronne des députés LFI Mathilde Panot a réagi dans la soirée: "nous ne sommes pas un parti de SON gouvernement de la maltraitance sociale et de l'inaction écologique qui veut faire la retraite à 65 ans" notamment, s'est-elle élevée sur Twitter.
Il y a 2 ans et 340 jours

Parution du guide pratique CSTB "Ouvrages en plaques de plâtre"

Le Guide Pratique « Ouvrages en plaques de plâtre avec ou sans isolation » expose les précautions à prendre lors de la conception et de la réalisation d’ouvrages en plaques de plâtre en détaillant les dispositions des normes NF DTU 25.41 et 25.42 et des Documents Techniques d’Application concernés (GS9 et 20). Il commente les conditions de mise en œuvre des principaux ouvrages en plaques de plâtre vissées sur ossatures métalliques, plafonds (horizontaux ou inclinés), cloisons (de distribution ou séparatives), doublages de murs extérieurs, gaines techniques mais aussi des ouvrages collés (doublages, habillages) et des cloisons en panneaux alvéolaires. La position des isolants et des pare-vapeur est précisée sous forme de croquis de détails de mise en œuvre.Pour chaque système, différents points sont abordés : implantation et traçage, mise en œuvre, points singuliers, outillage, traitement des joints, sans oublier la réception des ouvrages, les fixations et accrochages ainsi que l’application des finitions. Cette 4e édition intègre les données complémentaires issues de la révision de la norme NF DTU 25.41 (février 2022). Cette synthèse très illustrée et très pratique sera utile à tous les professionnels qui doivent prescrire, mettre en œuvre ou vérifier des ouvrages réalisés selon les techniques précitées : entreprises, plaquistes, artisans, maîtres d’ouvrage, architectes, BET, bureaux de contrôle, etc.Pour en savoir plus, consulter l’extrait du guide et le commander, cliquer ici.
Il y a 2 ans et 340 jours

Livret A : Après une augmentation de 1,37 milliard d'euros en mai, le taux augmentera en août, indique le gouverneur de la Banque de France

La collecte nette réalisée le mois dernier par ce placement – très populaire, défiscalisé et dont les fonds sont accessibles à tout moment – est inférieure aux chiffres de 1,87 milliard d'euros d'avril et 1,81 milliard de mai 2021.Après 2020 et 2021, c'est néanmoins la troisième collecte la plus importante pour un mois de mai depuis 2009, la pandémie de Covid-19 ayant encouragé la constitution d'épargne.Le Livret de développement durable et solidaire (LDDS) a pour sa part engrangé 160 millions d'euros nets, soit moins que les 420 millions de mars, et que les 510 millions d'il y a un an.Au total, le surplus de dépôts du Livret A et du LDDS a totalisé 1,53 milliard d'euros sur le mois, ce qui a porté l'encours total à 487,4 milliards d'euros.Géré conjointement par la Caisse des dépôts et les réseaux bancaires, le Livret A sert essentiellement à financer le logement social, tandis que le LDDS est dédié à l'économie sociale et solidaire, ainsi qu'aux économies d'énergie dans les logements.Ils sont souvent considérés comme des placements refuge. L'année dernière, les Français ont déposé 15,17 milliards d'euros de plus qu'ils n'en ont retiré sur leurs Livrets A, et 3,94 milliards d'euros sur leurs LDDS.Une augmentation du taux prévue pour aoûtLe taux du Livret A connaîtra une nouvelle hausse en août, a indiqué mercredi 22 juin le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau, chargé de transmettre au gouvernement une proposition d'évolution de la rémunération du produit d'épargne préféré des Français."Il y aura une nouvelle hausse du Livret A au 1er août prochain", a affirmé le gouverneur sur RTL, sans préciser toutefois l'ampleur de cette augmentation, qui sera la deuxième depuis le début de l'année.Il est depuis le 1er février fixé à 1%, contre un plancher de 0,5% auparavant.Le taux du Livret A est calculé deux fois par an en faisant la moyenne entre, d'une part, le taux d'inflation moyen des six derniers mois et, d'autre part, la moyenne des taux interbancaires, auxquels les banques s'échangent de l'argent à court terme.Or l'inflation a fortement accéléré depuis le début de l'année, atteignant 5,2% en mai, selon l'Insee.La Banque de France est chargée de transmettre au ministère de l'Economie une proposition d'évolution du taux en fonction de cette formule. Charge ensuite au gouvernement de décider s'il accorde un coup de pouce supplémentaire ou non au résultat ainsi obtenu.
Il y a 2 ans et 341 jours

La société Néolithe réalise avec succès sa troisième levée de fonds d’un montant de 20 millions d’euros, marquant une étape clé pour son développement.

Chalonnes-sur-Loire, juin 2022_ Néolithe, jeune start-up industrielle française lauréate de la nouvelle promotion du French Tech Green20, à l’origine d’une innovation majeure dans le traitement des déchets, vient de réaliser sa troisième levée de fonds d’un montant total de 20 millions d’euros auprès de Otium Capital et d’investisseurs familiaux. Une étape supplémentaire dans le développement […]
Il y a 2 ans et 341 jours

Restructurations : moins d'entreprises aidées par l'Etat en 2021

La restructuration des entreprises pouvant s'étaler sur plus d'une année, le Ciri a traité l'an passé 82 dossiers représentant plus de 150.000 emplois, notamment en raison de "l'allongement de la durée des procédures amiables, décidé durant la crise sanitaire" ainsi que "la complexité de certains dossiers", précise le rapport.Sur ces dossiers, 25 ont connu une issue favorable, représentant 46.513 emplois, tandis que 56 dossiers pesant plus de 100.000 emplois sont toujours en cours de traitement et qu'un dossier représentant 1.750 emplois s'est soldé par un échec, détaille le comité interministériel.L'activité du Ciri reste supérieure à celle de l'avant-crise. En 2019, le comité était intervenu auprès de 64 entreprises. Le premier semestre 2021, comme l'année 2020, avait concentré des dossiers d'entreprises des secteurs plus exposés à la crise sanitaire: le tourisme, le transport aérien et le commerce de détail.Mais "le second semestre 2021 a été marqué par augmentation des saisines de dossiers industriels", rapporte le Ciri, qui précise qu'il s'agit notamment d'entreprises confrontées "aux problèmes d'approvisionnement de composants électroniques et à l'inflation du coût de l'énergie et des matières premières" avant même le début de la guerre en Ukraine.Le Ciri offre un accompagnement gratuit aux entreprises pour réaliser des audits, intervient pour aménager leurs dettes fiscales et sociales et peut à titre exceptionnel accorder des prêts du Fonds de développement économique et social (Fdes), mais l'intervention de l'Etat comme prêteur doit se faire dans des conditions analogues à celles des financeurs privés afin de respecter les règles européennes.Le plus souvent, les actions du Ciri s'inscrivent dans le cadre de procédures de prévention (mandat ad hoc ou conciliation) dont la confidentialité est garantie par le Code de commerce.
Il y a 2 ans et 342 jours

Face à la canicule, les architectes du collectif STUDIOS Architecture détaillent 10 mesures simples et concrètes pour faire de la ville verte et bas carbone

Pour STUDIOS, l’urgence est de revenir à une architecture de bon sens, qui réconcilie l’urbanisme avec les enjeux climatiques. Force de proposition, le collectif d’architectes détaille 10 mesures simples et concrètes pour faire de la ville verte et bas carbone.Végétaliser la ville et en particulier les toitures, une action à court terme qui offre de nombreux avantages : pour rafraîchir les bâtiments, pour capter l’eau des orages et réduire l’effet des pluies diluviennes qui suivent généralement les fortes chaleurs,Privilégier les couleurs claires pour limiter la captation de chaleur, avec par exemple du zinc blanc, typique de l’architecture haussmannienne dans les grandes villes,Restructurer plutôt que construire des bâtiments neufs : pour lutter contre l’artificialisation des sols et réduire l’impact carbone des structures,Rendre les bâtiments réversibles, pour cesser de construire pour déconstruire. Parce que l’architecture d’aujourd’hui doit non seulement répondre aux besoins actuels mais aussi être capable de s’adapter dans les 50 ou 100 années à venir,Développer des programmes mixtes, combinant logements / bureaux / commerces & services, qui permettent de renoncer à certains déplacements selon les préceptes de la « Ville du 1⁄4 d’heure »,Faire le choix de matériaux biosourcés localement. L’architecture durable, c’est celle qui utilise le bon matériau au bon endroit. Il nous favoriser des matériaux naturels, comme le bois ou le chanvre. Et aussi privilégier les fournisseurs français et européens, pour limiter l’impact carbone des transports,Favoriser les solutions de réemploi et de recyclage des matériaux, comme le béton déconstruit pour les fonds de route, alternative au bitume systématisé dans nos villes, Réduire la consommation d’énergie des bâtiments par une approche bioclimatique. L’énergie la plus durable est celle que nous ne consommons pas. C’est pourquoi STUDIOS défend une architecture frugale qui, dans la conception même du bâtiment tire parti de l’environnement immédiat et minimise la consommation d’énergie grâce à son orientation, son isolation, la ventilation naturelle entres les espaces. L’agence travaille activement sur le « free cooling », méthode de ventilation intensive qui consiste à refroidir un bâtiment par ventilation en utilisant l’énergie de l’air extérieur nocturne,Rendre les bâtiments auto-suffisants Si les bâtiments doivent consommer moins d’énergie, ils peuvent aussi en produire ! Nous mettons en place de nombreuses solutions, de l’installation de panneaux photovoltaïques à la récupération d’énergie dégagée par des unités informatiques.Enfin, changer nos habitudes ! Il faudra nous habituer à vivre avec quelques degrés de plus, quelques semaines dans l’année. La systématisation de la climatisation devra laisser place à des gestes de bons sens. Sommes-nous prêts à renier un peu de confort pour faire notre part pour la planète. STUDIOS Architecture est signataire du AIA 2030 Challenge depuis 20 ans, avec pour objectif la neutralité carbone des bâtiments d’ici 2030.
Il y a 2 ans et 342 jours

Heartfelt  Multipanel : pour un plafond acoustique ludique, chaleureux et polyvalent

Soucieux de créer des espaces alliant confort, praticité d’usage et esthétique, les designers et les architectes accordent de plus en plus d’importance au “cinquième mur” que constitue le plafond. Jouant avec différentes formes et matériaux, ils créent ainsi des plafonds uniques. Avec la gamme en feutre HeartFelt®, Hunter Douglas Architectural a apporté une contribution de […]
Il y a 2 ans et 346 jours

La Banque des territoires et Action Logement entrent au capital de Plateau Urbain

URBANISME TRANSITOIRE. La coopérative Plateau Urbain, qui met en oeuvre l'occupation temporaire "solidaire" des friches en attente de lancement, a intégré à son sociétariat plusieurs acteurs de la société civile, opérateurs de logement, opérateurs d'Etat ainsi que des fonds d'investissement.
Il y a 2 ans et 348 jours

Caparol lance sa nouvelle gamme de peinture intérieure mono-produit fabriquée en France PERFORM 2 en 1

Pour une qualité de finition et un rendu parfait en un minimum de temps, Caparol annonce le lancement de sa nouvelle gamme de peinture PERFORM 2 en 1, à base de résine alkyde en émulsion en phase aqueuse. La recherche de la qualité est ancrée dans l’ADN de la marque et c’est aujourd’hui à travers cette nouveauté qu’elle propose toute son excellence pour apporter praticité, confort de travail et rendu exceptionnel. Pour réaliser facilement et rapidement les travaux de peinture en intérieur, la nouvelle peinture PERFORM 2 en 1 est idéale : 2 couches peuvent suffire pour un rendu optimal. Sa facilité d’application est exceptionnelle : la peinture glisse sur le support. Elle peut être appliquée en primaire ET en finition sur les murs, les boiseries et les plafonds. Finies également les longues heures entre 2 couches : la peinture PERFORM 2 en 1 de Caparol est applicable « frais dans frais » dès matage de la première couche. 1 journée suffit pour terminer son chantier ! Pour embellir les murs, les plafonds et les boiseries, ou leur redonner une seconde vie, PERFORM 2 en 1 est l’allié parfait grâce à son excellente adhérence et à son haut pouvoir couvrant, le tout en seulement 2 couches. L’autre atout de PERFORM 2 en 1 : son temps d’ouverture et son effet de reprise limité qui permettent un travail en toute sérénité, agréable et soigné.  La peinture Caparol PERFORM 2 en 1 est lessivable, quelles que soient les teintes. Elle contient également un anti-flash rusting pour une action antirouille sur les têtes de vis des plaques de plâtre. Conforme à l’Ecolabel et classée A+ pour ses émissions de composés organiques volatils (COV), cette nouvelle gamme Caparol est respectueuse de l’environnement et de la santé. Elle est fabriquée dans l’usine française de Caparol.
Il y a 2 ans et 348 jours

Open BIM Schöck : mieux appréhender les rupteurs de ponts thermiques en amont des projets

Développé en partenariat avec l’éditeur et distributeur CYPE, Open BIM Schöck permet aux bureaux d’études, structure et thermique, de dimensionner, implanter et optimiser le traitement de ponts thermiques avec les rupteurs de plancher de la gamme Rutherma© dès la phase de conception des projets (non plus au moment de leur exécution). A la clé pour les maîtres d’ouvrages : une réponse fiable aux exigences de la RE2020 et une parfaite maîtrise de l’enveloppe budgétaire en amont des réalisations puisque l’on détermine d’emblée le linéaire de rupteurs à mettre en oeuvre en fonction des performances recherchées.Disponible gratuitement en téléchargement sur la plateforme BIMserver.center Faciliter l'optimisation technique et économique des projets de construction "Il s'avère nécessaire de construire avec toujours plus d'efficacité, d'acquérir de nouveaux réflexes de travail" postule Rémi Wirth, Chef de produits Schöck France. Dans ce sens, Open BIM Schöck permet le dimensionnement, l’implantation et l’optimisation du traitement des ponts thermiques en amont de tout projet requérant l’intégration de rupteurs de plancher Rutherma©. La saisie se fait très simplement, à partir de fonds de plans 2D ou de la maquette numérique du projet au format IFC, en implantant, sur chaque niveau, les rupteurs thermiques aux appuis de plancher ou balcon à traiter. Le logiciel réalise ensuite la sélection structurelle de la référence idéale de rupteurs avec la performance thermique associée, pour ainsi optimiser le linéaire de rupteurs thermiques en fonction des objectifs fixés par l’utilisateur (RT2012, RE2020, ou supérieurs). A l’issue de l’étude, le logiciel produit une note de calcul, des plans et offre la possibilité d'intégrer les rupteurs retenus dans la maquette numérique 3D du projet. Grâce à cette modélisation affinée obtenue par les bureaux d'études structure et thermique, le maître d'ouvrage dispose de toutes les cartes dès l'origine du projet, en conjuguant objectifs fixés en termes de sobriété énergétique et maîtrise de l'enveloppe budgétaire du traitement des ponts thermiques. Précisons qu'Open BIM Schöck intègre notamment le dernier né des rupteurs Schöck en ITI, Rutherma© type DFi, revendiquant plus de 10 fois moins de kg de CO2/Ml que la valeur indiquée sur la base INIES pour un pont thermique non traité. Avec en points d'orgue : des efforts tranchants augmentés de 22 % ainsi que la reprise des moments jusqu’à 83 % et une performance thermique encore accrue (grâce à la réduction du nombre d’aciers inox sur sa longueur d’1 mètre, sachant que moins d’aciers se traduit par moins de conductivité thermique et un prix de rupteur plus compétitif). Soulignons aussi l'interopérabilité possible entre Open BIM Schöck et les logiciels d'études réglementaires RE2020 (dont CYPERTHERM RE2020) ou autres logiciels CAO/BIM.