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(2540 résultats)
Il y a 3 ans et 345 jours

Scanner 3D porté par un robot

Développé par Boston Dynamics et distribué en Europe par Intuitive Robots, le robot chien SPOT peut être équipé de la technologie Leica Geosystems pour offrir une solution agile à la fois autonome et précise de capture de la réalité, spécialement conçue pour les environnements difficiles d’accès, accidentés ou dangereux. Associant des technologies très abouties en matière de robotique et de capture de la réalité, il embarque le scanner 3D le plus rapide du marché, le Leica RTC360, pour offrir une solution de numérisation mobile tout particulièrement adaptée aux besoins du secteur de la construction mais aussi de l’industrie ou de la sécurité publique.
Il y a 3 ans et 345 jours

Sur le pont de Nantes, on y ‘dance’, on y ‘dance’

Dès le vendredi 4 juin 2021, le téléphone et le mail de la rédaction se sont mis à chauffer. Nantes Métropole venait d’annoncer les noms des trois groupements lauréats appelés à proposer un « ouvrage structurant un pont-place où cohabiteront tramways, automobiles, mobilités douces et piétons ». Soit l’agrandissement du pont Anne-de-Bretagne qui, dans l’ancienne capitale d’une […] L’article Sur le pont de Nantes, on y ‘dance’, on y ‘dance’ est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 346 jours

Portée par le bâtiment, la création d'emplois dans l'artisanat a bien résisté à la crise sanitaire en 2020

Si un effondrement de l'emploi était à craindre dans de nombreux secteurs, il semble que l'artisanat ait limité la casse. En 2020, les emplois salariés ont ainsi mieux résisté dans l'artisanat (+1,7% par rapport à 2019) que dans l'ensemble du secteur privé (-2%). Une tendance positive observée sur l'ensemble du territoire. Bonne surprise également du côté des indépendants : l'année a été marquée par une très légère augmentation des immatriculations (+1% par rapport à 2019) malgré la baisse d'activité des micro-entrepreneurs.Emploi salarié : il s'est maintenu sur l'ensemble du territoire malgré la criseEn 2020, malgré l'impact de la crise sanitaire et la crise économique qui en a découlé, l'emploi salarié a bien mieux résisté dans l'artisanat (+1,7% par rapport à 2019, soit 28.000 emplois créés) que dans l'ensemble du secteur privé où les effectifs ont diminué de 2% (-311.000).Évolution 2019-2020 des emplois salariés par région et par secteurToutes les régions enregistrent une légère croissance des emplois salariés mais la dynamique est moins forte dans les régions du centre-est de la France. C'est en Corse et en Provence-Alpes-Côte d'Azur que l'on observe les plus fortes augmentations (+3%). La création d'emplois a été moins forte dans le Grand-Est, en Bourgogne-Franche-Comté, en Auvergne-Rhône-Alpes, en Bretagne et en Centre-Val de Loire (+1%), mais le solde reste positif.Marielle Vo-Van Liger, Directrice Marketing et Communication MAAF : « Malgré la crise qui l'a touché de plein fouet, et qui pouvait faire craindre un effondrement de l'emploi, le secteur de l'artisanat a prouvé sa grande capacité de résistance et de résilience. Si certaines activités ont été plus pénalisées que d'autres à l'instar de la coiffure et des soins esthétiques, la faute aux multiples périodes de confinement qui n'ont pas eu les mêmes répercussions selon les secteurs, l'artisanat a réussi à maintenir ses emplois salariés dans toutes les régions, même les plus touchées par la crise. »La création d'emplois portée par le BTP et l'alimentationLa tendance positive observée à l'échelle nationale est menée par l'artisanat du BTP (+3% d'emplois par rapport à 2019, 24.100 emplois créés) et de l'alimentation (+3%, 5.100).Une croissance qui s'explique par la hausse de la demande en travaux de rénovation et de la consommation à domicile et par le retour vers les circuits de proximité. Les effectifs sont stables dans l'artisanat des services et de fabrication.Évolution 2018-2019-2020 des emplois salariés par secteurDans le détail, ce sont donc les secteurs du BTP qui sont les plus créateurs d'emplois et ce malgré l'arrêt des chantiers lors du premier confinement : maçonnerie générale/construction (+3%, soit 8.530 emplois créés en 2020), électricité / plomberie (+4%, 7.130 emplois) et travaux de finition du bâtiment (+2%, 6.760 emplois). Viennent ensuite la boulangerie-pâtisserie (+2%, 3.010 emplois), les services automobiles (+2%, 2.590 emplois) et la boucherie-charcuterie-poissonnerie (+3%, 1.610 emplois).Sans surprise, les secteurs qui ont connu les plus grandes pertes d'emplois sont les secteurs qui ont été les plus touchés par les confinements successifs : les transports (-4%, -540 emplois), la coiffure et les soins esthétiques (-2%, -2020 emplois).Une baisse des embauches à relativiser en dehors du crack du 1er confinementLes entreprises de l'artisanat ont réduit leurs embauches de 8% en 2020. Une baisse que l'on peut imputer aux mauvais résultats du 2ème trimestre 2020, période durant laquelle la France a été très strictement confinée. À cette époque, les entreprises de l'artisanat ont réduit leurs embauches de 32% par rapport à 2019. Un recul observé dans l'ensemble des secteurs : l'alimentation (-44%), les services (-35%), la fabrication (-34%) et le BTP (-23%).Toutefois, si l'on regarde les chiffres des trois autres trimestres, on observe que la dynamique de recrutement est relativement stable en 2020 par rapport à 2019 : -1% d'embauches au 1er trimestre, +2% au 3ème et –2% au 4ème.Évolution 2019-2020 des déclarations uniques d’embauche par secteurLa reprise des recrutements aux 3ème et 4ème trimestres est tirée par l'artisanat du BTP, avec des recrutements en hausse de 9% par rapport aux mêmes trimestres de l'année précédente.Dans les autres secteurs, on observe de légers reculs qui peuvent s'expliquer par une baisse d'activité, par la plus grande prudence des entreprises mais aussi par la moindre mobilité des salariés (ils ont été probablement moins nombreux à changer d'entreprise, il y a eu donc moins de remplacements à pourvoir). Seul le secteur de l'alimentation a subi une baisse importante des embauches au dernier trimestre 2020 (-18%, surtout des CDD courts).Catherine Élie, Directrice des études de l'ISM : « La baisse globale des embauches dans l'artisanat en 2020 a été fortement influencée par le coup de frein brutal porté aux recrutements dans la plupart des secteurs d'activité au 2ème trimestre, dans le contexte du premier confinement qui a mis le pays sous cloche et l'économie sur pause. Il faut donc relativiser cette baisse. Lorsqu'on regarde l'année dans son ensemble, on constate que la dynamique de recrutement s'est plutôt bien maintenue par rapport à 2019, attestant une nouvelle fois de la bonne résistance du secteur de l'artisanat face à la crise, grâce notamment aux dispositifs d'aide mis en place. »Création d'entreprises : très légère augmentation des immatriculationsÉvolution 2019-2020 des immatriculations en par trimestreBonne surprise : l'incertitude économique engendrée par la crise sanitaire n'a pas freiné la dynamique entrepreneuriale en 2020. Les immatriculations ont ainsi connu une légère augmentation d'1% sur l'ensemble de l'année.Encore une fois, c'est le 2ème trimestre 2020 qui fait exception : on enregistre à cette période un recul de 25% des immatriculations. Sur l'ensemble de l'année, la progression des immatriculations concerne surtout l'artisanat de fabrication (+4%) et le BTP (+2%). Le léger recul des immatriculations observé dans le secteur de l'alimentation (-2%) peut s'expliquer par une baisse des opérations de transmission-reprise, liée au contexte d'incertitude.Une baisse d'activité chez les micro-entrepreneursMoins couverts par les dispositifs d'aide, les micro-entrepreneurs de l'artisanat ont été sévèrement touchés par la crise. Cela d'autant plus que les chiffres d'affaires déclarés montrent une baisse moyenne de 12% de leur chiffre d'affaires, en particulier dans les activités de taxis-VTC (-57%) et de coiffure / esthétique (-32%).FOCUS : Revenus des travailleurs indépendants : ceux des micro-entrepreneurs sont deux à six fois moins élevésLes micro-entrepreneurs se distinguent des autres travailleurs indépendants par le niveau de leurs revenus, beaucoup plus faible.L'écart est le plus élevé dans les activités de l'artisanat de fabrication : en 2018, le revenu annuel moyen (charges payées) était de 3 871 € contre 33 949 € pour un indépendants du régime classique. * données 2019 non encore disponibles pour les travailleurs indépendantsTéléchargez l’étude complète en cliquant ici
Il y a 3 ans et 352 jours

Pour un éclairage des sites industriels et logistiques toujours plus efficace et encore plus économe en énergie : Sylvania lance GRANIT et SYLBAY

Soutenu par la crise sanitaire, le secteur du e-commerce est monté en puissance en France. Cet essor de la vente en ligne impacte directement les plateformes logistiques et les entrepôts dont la taille et l’importance ne cessent de croître pour  répondre à la demande. L’éclairage de ces environnements de travail hauts de plafonds, avec de grandes surfaces au sol et peu de fenêtres ne doit pour autant pas être négligé. Même dans un cadre industriel, la norme NF EN 12464-1 impose un niveau minimum d’UGR* selon les espaces (magasins, entrepôts, zones de stockage…) afin de favoriser le confort visuel des personnes qui travaillent à l’intérieur de ces bâtiments. Disposant déjà d’une large gamme de solutions d’éclairage adaptées aux secteurs logistique et industriel, Sylvania enrichit aujourd’hui son offre avec GRANIT et SYLBAY, deux nouveaux luminaires haute performance qui répondent parfaitement à ces obligations normatives.   SYLBAY, l’armature industrielle LED robuste et performante Fabriquée en Grande-Bretagne dans l’usine de Newhaven de Sylvania, la nouvelle gamme SYLBAY repousse les limites de la fonctionnalité et de la performance. Pour répondre aux exigences d’éclairage des applications industrielles et logistiques où les hauteurs sous plafond sont importantes, cette armature industrielle intègre 2 à 3 modules LED en version simple et 4 à 6 en version double. Grâce à ses optiques de grande qualité, elle offre un confort visuel optimal (jusqu’à UGR
Il y a 3 ans et 353 jours

Application PTI : quels sont ses atouts pour votre sécurité ?

Interventions sur sites isolés, conduite d’engins, manutention de matériaux... sont autant de risques d’accidents, de chutes, voire d’agressions. Découvrez comment une application PTI vous permet d’alerter et d’être secouru rapidement à partir de votre mobile.Qu’est-ce qu’une application PTI ?En cas de détresse, avec un Dispositif d’Alerte pour Travailleur Isolé (DATI) vous préservez votre sûreté. Une application PTI vous permet d’envoyer plusieurs types d’alertes très facilement depuis le bouton d’alerte manuelle notamment, et surtout quasi instantanément.Elle vous accompagne dans votre travail en détectant chute, absence de mouvement, entrée sur sites sensibles, etc.Pourquoi choisir une application PTI ?Que vous soyez artisan du bâtiment, commercial, technicien… une application PTI vous permet de réaliser vos missions plus sereinement. Vous pouvez alerter discrètement de votre mobile en cas d’agression physique et profiter de nombreux atouts.Aucune acquisition de matérielUne application PTI s’installe facilement sur votre smartphone qu’il fonctionne sous Android ou iOS.Transmission d’alarmes performante Les applications PTI se différencient sur le niveau de sensibilité de la détection de chute qui dépend de la fiabilité des algorithmes utilisés >>. L’objectif est d’éviter les fausses alertes car un déclenchement intempestif a pour conséquence une non utilisation d’un dispositif PTI.Visualisation des alarmes facile Depuis le large écran de votre mobile, vous visualisez en un coup d’œil les alertes grâce à des notifications visuelles et/ou sonores. Ce fonctionnement intuitif fait le succès des applications PTI.Appel vocal et envoi de messages Une application PTI contient les coordonnées des opérateurs en charge de votre sécurité et un raccourci pour les appeler ou leur envoyer un message. C’est ainsi que l’on peut effectuer une levée de doute qualifiée lors du déclenchement d’une alarme.Paramétrage à distanceDepuis une solution logicielle de gestion d’alertes, votre application PTI peut être paramétrée et mise à jour, si vos besoins évoluent, sans aucune action de votre part.Quelles sont les alarmes d’une application PTI à privilégier ?Pour les professionnels de la construction et du BTP, il est recommandé de choisir une application PTI dotée de l’alarme sécurité positive. Cette alarme est intéressante quand vous travaillez sur des lieux où la couverture GSM peut être perturbée, dans des bâtiments aux structures imposantes ou dans des sous-sols par exemple. Si vous perdez la liaison, la sécurité positive d’une application PTI enclenche automatiquement une alarme.Privilégiez également une application PTI avec alarme ligne de vie. Sur un chantier risqué ou non couvert par les réseaux GSM ou Wi-Fi (zones blanches), vous pourrez lancer un compte à rebours. A l’issue de celui-ci, à défaut de manifestation de votre part, une alarme sera automatiquement émise.De plus, au besoin d’assistance, une application PTI permet de vous localiser très facilement. La localisation en intérieur se fait via des balises Bluetooth. En extérieur, elle se fait via le GPS de votre smartphone. Vous avez par exemple l'application PTI VigieApp® >> qui réunit les principales alarmes indispensables à votre métier en une solution très simple d’utilisation.En définitive, l’organisation de la sécurité de travailleurs isolés exposés aux risques des chantiers demande de s’appuyer sur une analyse des risques propre à chaque mission et à ses conditions de réalisation et une procédure de secours validée. De plus, vous devez autant que possible limiter les situations d’isolement de chaque travailleur et bien entendu prévoir des solutions techniques ajustées tels que des équipements de protection individuelles (EPC, EPI d’arrêt de chute…), des dispositifs d’aide au travailleur isolé (DATI), etc. Les caractéristiques et les fonctionnalités du dispositif d’alerte choisi doivent être adaptées aux spécificités de chaque travailleur isolé.Une application PTI contribue à une prise en charge rapide des travailleurs isolés en situation de détresse comme le prévoit le Code du Travail (article L.4121-1). Installée sur smartphone, elle est une solution d’alerte toujours disponible à portée de main sur toutes vos zones d’intervention. Très facile d’utilisation, elle permet de transmettre une alerte avec une excellente fiabilité tout en restant concentré sur votre travail. De nombreux professionnels du bâtiment et de la construction ont déjà adopté une application PTI.Faites le choix d’un dispositif dédié à l’alerte : application PTI, boitier GSM, badge, médaillon… >> de manière individuelle. Vous bénéficierez ainsi d’une mise en sûreté ajustée aux besoins de votre métier.Pour une démonstration gratuite du fonctionnement d’une application PTI, nos conseillers sont à votre disposition : Contacter Neovigie.
Il y a 3 ans et 353 jours

Les collectivités locales encouragées à développer des infrastructures de recharge pour véhicules électriques

Il s’agit d’un dispositif qui donne à la collectivité un rôle de pilotage de l’offre de recharge sur son territoire, pour aboutir à une offre coordonnée entre les différents maîtres d’ouvrage publics et privés, cohérente avec les politiques locales de mobilité et adaptée aux besoins. L’Etat confirme que les territoires couverts par un schéma directeur bénéficieront jusqu’à fin 2025 d’une prise en charge à 75% des coûts de raccordement des installations de recharge ouvertes au public.Conçu pour apporter une vision stratégique de l’évolution des besoins, mais également une déclinaison très opérationnelle à un horizon de 2 à 3 ans, le schéma directeur des infrastructures de recharge comprend un diagnostic, un projet de développement et des objectifs chiffrés, un calendrier de mise en œuvre précisant les ressources à mobiliser, et un dispositif de suivi et d’évaluation.Un travail approfondi engagé au printemps 2020 associant l’ensemble des acteurs de l’écosystème de la mobilité électrique (établissements publics, collectivités locales, syndicats d’énergie, gestionnaires de réseaux d’électricité, bureaux d’étude, associations, etc.), a permis de construire à la fois l’ensemble des textes réglementaires permettant la mise en œuvre des schémas directeurs qui ont été publiés le 10 mai 2021, ainsi qu’un guide d’accompagnement destiné aux collectivités et établissements publics qui souhaiteraient réaliser un schéma directeur, dont l'élaboration a été coordonnée avec le Cerema, Enedis, l’Union Française de l’Electricité (UFE) et l’association Avere.Le guide détaille le cadre méthodologique et les étapes de réalisation, et apporte des réponses aux questions-clés concernant l’articulation entre les différents territoires et les documents de planification existants, les concertations nécessaires, l’état des lieux de l’existant, la définition d’un maillage de stations cohérent, les indicateurs de suivi ou encore les coûts associés au déploiement et à l’exploitation des bornes.Un soutien financier de l’État confortéLes territoires couverts par un schéma directeur bénéficieront jusqu’à fin 2025 d’une prise en charge à 75% des coûts de raccordement au réseau de distribution d’électricité des installations de recharge.Cette prise en charge des coûts de raccordement est cumulable avec les aides du programme « ADVENIR », prenant en charge environ 60% des coûts d’installation des bornes ouvertes au publicEnfin, la Banque des Territoires pourra cofinancer l’élaboration d’un schéma directeur lorsque celle-ci s’appuie sur un prestataire externe. En 2021, l’aide pourra cofinancer jusqu’à 80% du montant dans la limite de 30 000 €. La Banque des Territoires propose également un « prêt mezzanine » pour financer le déploiement des infrastructures de recharge ouvertes au public, qui peut atteindre jusqu'à 50 % du besoin total en fonds propres.Suite de l’accompagnementUn webinaire de présentation complète du dispositif et du guide aura lieu le jeudi 24 juin 2021. Il s’adresse à tous les acteurs, publics comme privés, concernés par les schémas directeurs.Par ailleurs, le guide sera complété très prochainement d’un modèle type de cahier des charges pour le recours à un prestataire.Toutes les informations utiles et les documents en téléchargement sont sur la page du Ministère sur la mobilité électrique.
Il y a 3 ans et 356 jours

Centre Albert Schweitzer de Dammarie-les-Lys, une exposition lumineuse signée MAO

L’agence Mobile Architectural Office (Mao) a livré en 2019 la rénovation du Centre socio-culturel Albert Schweitzer à Dammarie-les-Lys (Seine-et-Marne). La façade en verre et acier inox brossé laqué agit comme une peau rassurante et signe le retour en grâce d’un équipement de quartier sensible. Plaine du Lys, morne plaine ? Inauguré en 1996, le centre de […] L’article Centre Albert Schweitzer de Dammarie-les-Lys, une exposition lumineuse signée MAO est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 357 jours

Fasfox : Suivre, gérer et optimiser son bétonnage

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Concrete Dispatch permet de suivre et de gérer les bétonnages sur chantier [©Fasfox] Imaginé par la start-up Fasfox, Concrete Dispatch se présente comme un logiciel de gestion et de suivi des bétonnages. Il permet de contrôler le cycle de vie des bétons sur chantier. Dans la phase précédant le bétonnage, l’application sert à planifier la date souhaitée, la formulation prévue, ou encore les ouvrages et les éléments à réaliser. Concrete Dispatch offre la possibilité de gérer sa comptabilité avec les bons de livraison de la plupart des fournisseurs. Durant le bétonnage, l’application, disponible sur mobile, revêt un autre rôle. A ce stade, l’opérateur peut scanner ses bons de livraison, suivre la ventilation du bétonnage par ouvrages et éléments d’ouvrages. Mais aussi, les contrôles qualité sur chantier (température, affaissement ou étalement…). L’application de Fasfox prend ainsi en considération les prestations de pompage, les retours bétons, les retards camions. Enfin, à la fin du bétonnage, elle envoie une notification. Elle autorise la gestion des données récoltées durant le chantier : des informations qui sont stockées et qui peuvent être exportées. Avec sa solution, Fasfox promet une mise en place du dispositif en moins d’une semaine sur un projet. Dernièrement, Concrete Dispatch a été utilisée sur les chantiers franciliens de la ligne 15 Sud, du prolongement de la ligne 11 ou encore sur le lot 2 de la ligne 16, dans le cadre du Grand Paris. Aujourd’hui, Concrete Dispatch est en cours de déploiement sur le chantier du port du Havre (76).  Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 357 jours

Capremib équipe un pont de Vitry-sur-Seine

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine Le futur pont du quartier des Ardoines de Vitry-sur-Seine. [©Capremib] VAL – DE – MARNE. Situé dans la Zac Gare des Ardoines à Vitry-sur-Seine, le chantier des Ardoines est parmi les plus importants en cours de réalisation en France. Dans le cadre de ce vaste projet urbain couvrant un territoire de 300 ha en bord de Seine. Un nouveau pont ferroviaire de 160 m de long et 30 m de large jouera un rôle clef dans le développement du quartier. Il en desservira le futur pôle multimodal. Et facilitera l’accès à la gare. Il accueillera une voie de circulation automobile à double sens. Un couloir réservé au futur bus en site propre. Ainsi qu’une piste cyclable et deux cheminements piétons végétalisés. Sept types de dalles produites par Capremib La maîtrise d’œuvre a fait appel à Capremib pour la réalisation sur mesure des 4 800 m² du tablier en béton préfabriqué. L’usine de Cormicy, près de Reims, a conçu et fourni 474 dalles pleines. D’une épaisseur de 27 cm, représentant un volume de béton de 938 m3et 300 t d’acier. Le ciment utilisé est un Ciments Calcia CEM III.  Lire aussi les autres actualités en région Sept types de formats de dalles différents ont été réalisés pour ce chantier, dont les plus grands font 4,70 m x 1,30 m et 3,20 m x 2,50 m. Parmi les particularités, ces dalles ont été réalisées avec une sous-dalle en casquette. Dont la fonction est de supprimer la nécessité de coffrer les sous-faces du tablier. Cette technique, qui est issue de celles de fabrication des éléments pour les grands ouvrages d’art, fournit un important gain de temps sur le chantier. Capremib a aussi créé un peigne de positionnement des aciers, qui fait office d’arrêt de coulage, afin d’obtenir une longueur et un cintrage des aciers rigoureusement identique. La production a été achevée fin 2020, la livraison se fera à l’avancée du chantier. Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 357 jours

EMT : Une centrale mobile en front de mer

Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine EMT vient de mettre en service une nouvelle centrale à béton sur le site du chantier Mareterra, à Monaco. [©EMT] MONACO. Mareterra est le vaste projet d’extension de la Principauté de Monaco : 6 ha gagnés sur la mer grâce à la création d’une digue. Une opération sous la maîtrise d’ouvrage de la SAM l’Anse du Portier. Trois architectes – Valode et Pistre, Renzo Piano et le Monégasque Alexandre Girardi – en sont les maîtres d’œuvre.  Aujourd’hui remblayée, la nouvelle plate-forme est prête pour accueillir les nouvelles constructions. Quelque 120 000 m3de béton y doivent être mis en œuvre, d’ici à 2023 ! EMT est l’unique producteur de BPE monégasque. Tout naturellement, il s’est positionné pour être le fournisseur du chantier et a décroché ce marché. Toutefois, livrer une telle quantité de béton depuis ses centrales du centre-ville, distantes de 2,5 km, n’était pas envisageable. Car générant un flux de poids lourds trop important. « Pour répondre à cette contrainte, nous avons fait le choix d’installer une centrale à béton sur site,explique Eric Humilier, directeur d’EMT. De quoi réduire de 60 % la circulation de nos poids lourds en ville. » Un malaxeur à double arbre pour EMT L’unité s’inscrit sur une parcelle de 1 000 m2. « Nous avons choisi la centrale Amazone développée par EMCI. Cette unité intègre un malaxeur à doubles arbres horizontaux BHS Sonthofen DKXS 3.00». Elle est complétée par quatre trémies à granulats de 30 m3unitaire, alimentées par un déchargeur à plat. De quoi entreposer les deux sables 0/4 et les granulats 6/16 et 16/22, issus de la carrière Somat La Turbie (groupe Audemard). Côté ciments, quatre silos de 120 t stockent un CEM I 52,5 N (Vicat), un CEM I 425 R (Unicem Buzzi), un laitier de hauts fourneaux (Ecocem) et une cendre volante (Surschiste). Quant à l’adjuvantation, elle est assurée par Master Builders Solutions, partenaire historique d’EMT.  Lire aussi les autres actualités en région « Cette centrale est bardée dans sa totalité, avec un double capotage autour du malaxeur, conclut Eric Humilier. Elle est sans génie civil, uniquement posée sur des plaques de répartition de charge en acier. Six toupies de notre parc lui sont rattachées, car le chantier est assez étendu. » Retrouvez cet article dans le n° 94 de Béton[s] le Magazine
Il y a 3 ans et 358 jours

Baromètre emploi Synergie : les métiers qui recrutent dans le BTP

« Après une annus horribilis en 2020, marquée par l'arrêt quasi-total des chantiers au printemps et une chute de 15 % du chiffre d'affaires de la construction, le secteur retrouve du dynamisme et des perspectives. La Fédération Française du Bâtiment prévoit ainsi un rebond d'activité atteignant 11 % en 2021(2). Et le premier trimestre est encourageant. L'artisanat du bâtiment enregistre, de janvier à mars 2021, une activité en hausse de 9,5 % contre une baisse de 12 % au premier trimestre 2020 portée aussi bien par la construction neuve (+ 10 %) que par l'entretien-rénovation (+ 9 %) », souligne Virginie Gonzalez, responsable de marchés BTP, Tertiaire et Médical chez Synergie.Ce regain de forme suffit à aiguiser les tensions de recrutement sur un marché déjà pénalisé, avant la crise sanitaire, par une pénurie structurelle de main d'œuvre qualifiée, avec pour effet plusieurs dizaines de milliers de postes non pourvus chaque année. Dans sa dernière enquête, Pôle Emploi a recensé, dans la construction, près de 220.000 projets de recrutement pour 2021, dont 63% rencontrent ou anticipent des difficultés à trouver un candidat.« Dans ce contexte, l'intérim joue un rôle essentiel pour sourcer, attirer, former, accompagner les profils que les entreprises ne parviennent pas à recruter en nombre suffisant. Nous disposons, pour les fidéliser, d'outils comme le CDI intérimaire, qui associe les garanties d'un CDI et la flexibilité de l'intérim», explique Virginie Gonzalez.Parmi les métiers les plus recherchés en intérim destinataires du plus grand nombre d'offres entre janvier et avril 2021 - figurent ainsi les incontournables de la profession, qui souffrent depuis longtemps d'un manque de vocations et d'une insuffisance des filières de formation. Les électriciens, les maçons et les charpentiers se hissent aux trois premières places des profils les plus convoités, suivis par les ouvriers du BTP, les conducteurs d'engins de chantier et les couvreurs. Le Top 10 est complété par les peintres en bâtiment, les plombiers, les plaquistes et les menuisiers poseurs.« La demande est tirée vers le haut par le redémarrage de la construction neuve, par l'accélération des travaux de rénovation énergétique - avec le soutien d'aides publiques et du plan France Relance enfin par la réalisation de méga-chantiers comme la construction du Grand Paris, la préparation des Jeux Olympique 2024 ou encore la mise en œuvre de la liaison européenne Lyon-Turin », rappelle Virginie Gonzalez.En Ile-de-France, par exemple, plus de 68.000 postes seront à pourvoir, d'ici 2024, dans les secteurs du Bâtiment et des Travaux Publics. De son côté Pôle Emploi recense, pour 2021, près de 44.000 projets de recrutement en Ile-de-France, plus de 26.000 en Auvergne Rhône-Alpes, 24.000 en Bretagne et en Pays de la Loire, 19.000 en Nouvelle-Aquitaine et le même volume en Provence-Alpes-Côte d'Azur.« Au-delà des maçons, électriciens, charpentiers et autres familles professionnelles très connues, l'offre d'emplois en intérim, CDD et CDI est également très soutenue pour des métiers qui ne viendraient peut-être pas spontanément à l'esprit d'un jeune en réflexion sur son avenir. Coffreur bancheur, étancheur, grutier, serrurier-métallier, tunnelier, solier moquettiste, chauffagiste...Autant de professions où les perspectives de recrutement et de rémunération sont très favorables », détaille Virginie Gonzalez.Les offres de CDI affluent pour les cadres et ingénieurs du BTPPour répondre aux besoins récurrents du secteur, Synergie multiplie les programmes de formation sur-mesure, développe massivement les contrats d'apprentissage et de professionnalisation, élargit les passerelles de reconversion depuis certains secteurs industriels durement frappés par la crise (aéronautique, automobile...). Le groupe, enfin, accélère la féminisation des métiers, en s'appuyant sur des partenariats avec des associations de référence (Force Femmes, Elles Bougent, Femmes d'ici et d'ailleurs...) et des outils pionniers comme le forum Mix&Métiers.« Nous avons également lancé des programmes très innovants en insertion, comme le Parcours Dynamique Emploi qui transforme les clauses sociales des marchés publics en un véritable tremplin professionnel pour les personnes en situation de précarité, ou encore le dispositif 1.000 jeunes en CDII, au soutien des 16-25 ans fragilisés par la crise. Par ailleurs nous sommes très fiers de contribuer au succès de HOPE, une offre complète de formation et d'accès aux métiers du BTP, dédiée aux réfugiés, qui fédère un grand nombre de partenaires publics et privés », indique Virginie Gonzalez.Sur un marché en phase de reprise, les offres d'emplois en CDI sont elles aussi orientées à la hausse. La multiplication des grands projets d'infrastructures et d'amélioration de l'habitat a notamment stimulé la demande en profils d'encadrement. Dans le Top 10 des offres en CDI, sur les 4 premiers mois de 2021, apparaissent ainsi 5 métiers à vocation managériale : coordinateur de travaux (en 1re position), conducteur de travaux (3e), chef de chantier bâtiment (6e), chef de projet génie climatique (8e) et chef d'équipe bâtiment (10e). Le palmarès des profils les plus recherchés, en CDI, est complété par les métiers opérationnels structurellement pénuriques - électricien, maçon, couvreur, menuisier.
Il y a 3 ans et 359 jours

Quelles sont les différences entre un rafraîchisseur d’air et une clim mobile ?

Durant les périodes de canicule, un simple ventilateur ne vous suffit pas et vous êtes à la recherche d’un moyen efficace pour rafraîchir l’air intérieur de votre habitation, sans être obligé d’investir dans un appareil de climatisation fixe ? Alors, vous avez le choix entre un climatiseur mobile et un rafraîchisseur d’air. Si les deux sont fabriqués dans l’objectif de lutter contre la chaleur de l’été, ils n’ont pas le même principe de fonctionnement. Pour être sûr et certain de faire le meilleur choix, on vous invite à découvrir les caractéristiques respectives et les atouts de ceux-ci. Qu’est-ce qu’un rafraîchisseur d’air ? Connu parfois sous le nom du « climatiseur sans évacuation », le rafraîchisseur d’air se distingue d’un principe de fonctionnement complètement différent d’un système de climatisation classique. Il ne contient pas de fluide frigorigène, mais il est doté d’un réservoir d’eau et d’un ventilateur. Le rafraîchisseur d’air est un appareil qui fonctionne par évaporation : il aspire l’air chaud de la pièce et le souffle en s’aidant d’un ventilateur vers un tampon humidifié. Ce processus provoque l’évaporation et la réduction de la température. L’air frais, mais également plus humide ainsi obtenu, sera renvoyé dans toute la pièce. Selon les modèles, la fonction de l’humidification peut être désactivée et le dispositif pourrait fonctionner en mode ventilation seulement. Tout comme un climatiseur, il pourrait également être doté de filtres dans le but d’assurer la purification de l’air. Qu’est-ce qu’un climatiseur mobile ? Le système de climatisation mobile fonctionne généralement selon les mêmes principes qu’un système de climatisation fixe, sauf qu’il est équipé de roulettes et plus compact. Il s’agit d’une pompe à chaleur air-air dotée d’un circuit frigorifique avec quatre éléments principaux : un condenseur, un compresseur, un évaporateur et un détendeur. Ce système a pour rôle de capter les calories de l’air ambiant de la pièce et les rejeter dehors à travers une gaine, s’il s’agit d’un modèle monobloc ou bien à travers une unité extérieure, s’il s’agit d’un modèle split. Quant au prix, le système de climatisation mobile monobloc est moins coûteux à l’acquisition et plus facile à déplacer. C’est, alors, une solution d’appoint par excellence apte à vous suivre partout dans le foyer. En revanche, cette climatisation dispose d’un niveau sonore plus élevé en comparaison avec la climatisation split. Composé de deux unités séparées, dont l’une contenant le groupe de condensation et de compression, celui-ci s’installe impérativement à l’extérieur de l’habitation. À lire aussi: Les innovations majeures sur les climatisations   Rafraîchisseur d’air vs clim mobile : comment choisir ? Si les deux modèles de systèmes de climatisation sont prêts à l’emploi et sont faciles à déplacer, ils ont, cependant, des atouts bien différents. En fait, les rafraîchisseurs d’air sont beaucoup plus respectueux de l’environnement, parce qu’ils ne contiennent pas de liquide frigorigène. Les rafraîchisseurs d’air sont aussi disponibles à un prix très abordable et permettent de faire des économies d’énergie, alors que les systèmes de climatisation mobiles coûtent beaucoup plus cher, tout en étant plus énergivores. La mise en place des climatiseurs est également un peu plus complexe à cause de l’obligation de faire passer le tuyau d’évacuation. Cependant, quant à celle de rafraichisseurs, elle est plus autonome, car ceux-ci exigent d’être réalimentés en eau fraîche d’une manière périodique. Les rafraîchisseurs d’air, tout comme les systèmes de climatisation mobiles monobloc, font trop de bruit. Mais, si vous voulez avoir le dispositif le plus silencieux possible, il vaut mieux s’orienter vers une climatisation mobile split qui sera, alors, plus encombrante et plus compliquée à mettre en place. Il faut tenir compte que le rafraîchisseur d’air n’est pas un climatiseur et que ses performances de rafraîchissement sont assez limitées. Cet équipement peut rendre l’air plus humidifié, ce qui intensifie la sensation de chaleur. Que vous optiez pour un climatiseur mobile ou bien un rafraîchisseur d’air, il ne faut pas oublier les bons gestes permettant de maintenir votre habitation au frais durant les périodes de canicule. Par exemple, il faut veiller à bien fermer vos fenêtres et vos volets la journée et les ouvrir la nuit, quand la température extérieure commence à baisser. En cas de besoin de plus d’informations à propos de ce sujet ou en cas de la moindre hésitation, tenez à prendre toujours le conseil d’un professionnel de climatisation tel que notre société Climatisation Expert ! C’est le seul qui pourra vous aider et mieux vous orienter. Consultez notre site web pour plus d’information https://climatisation-expert.fr/sarcelles-95200 .
Il y a 3 ans et 360 jours

Le secteur du BTP a tenu la barre en 2020 et continue sur sa lancée en 2021

Ofices les a analysés, en a extrait des tendances et des objectifs chiffrés pour le BTP et la Construction, qu’ils soient perspectives économiques, adaptation au contexte sanitaire, digitalisation, RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises), QVT (Qualité de Vie au Travail), mobilité, stratégie marketing, formation professionnelle, ressources humaines, politiques d’achats, gestion financière, rôle du CSE… Le secteur du BTP entre résilience et dynamisme, en FranceAvec près de 10% des entités créées en 2020 (49 205 sur un total de 505 462), le BTP est un secteur qui compte dans l’économie française, malgré ses spécificités, d’où l’adage souvent vérifié : "Quand le BTP va, tout va !"L’impact limité (avril 2020) de la Covid-19, la confiance du secteur dans ses perspectives 2021 et le faible nombre de défaillances d’entreprises en 2020 et début 2021, en sont les meilleures illustrations, tout comme le rythme soutenu des créations d’entreprises, à l’exception d’avril 2021 (attentisme face au "vrai" déconfinement, manque de matériaux)Ainsi, 21 128 entreprises ont été créées dans le BTP, au cours des 4 premiers mois de l’année vs 18 878, en 2020 et 20 964, en 2019. Dans le même temps, il n’y a eu que 2 252 défaillances d’entreprises dans la Construction au cours des 4 premiers mois de 2021 vs respectivement 5 651 en 2019 et 3 351 en 2020.Enfin, alors que tous secteurs confondus, les entreprises sondées sont attentistes sur leurs perspectives économiques à 6 mois, le BTP est plus optimiste, avec 47% d’opinions positives (vs 30% en moyenne), 24% stables et 24% négatives. Si les voyants sont au vert pour le BTP, les priorités comme les temps ont changéLe contexte pandémique n’a pas altéré la dynamique du BTP, et l’a même accéléré sur fond d’investissements des particuliers dans l’amélioration de leur habitat, pendant les périodes de confinement, et des aides de l’Etat pour favoriser la transition énergétique.Malgré tout, d’autres tendances ont pris de l’ampleur, comme la QVT, la RSE… alors que d’autres ont été relayées à la seconde place, durablement ou temporairement. Découvrez-les, en téléchargeant l’intégralité du Baromètre du BTP, réalisé par Ofices, et ses 8 grands thèmes :LE BTP ET LA CONSTRUCTIONLA CONFIANCE DU SECTEUR DU BATIMENT POUR 2021LA GESTION DE LA COVID-19 DANS LE BTPLA DIGITALISATION DES SOCIETES DE LA CONSTRUCTION : Cybersécurité, Logiciels, ERP…L’IMAGE DES ENTREPRISES DU BTP : RSE, QVT, Achats & Fournisseurs…LA FORMATION DANS LE BATIMENTLES ENJEUX DES ENTREPRISES DE LA CONSTRUCTION : Recrutement, RH, Marketing, Finance, Mobilité & Gestion de la flotte automobile…LE ROLE DU CSE DANS LES SOCIETES DU BTP
Il y a 3 ans et 360 jours

Chronique du Geek – Les applications de mai 2021 : Spécial outils créatifs à prix doux

Pour ce mois de mai, le Geek propose une chronique spéciale « applications mobiles créatives ». Pour la conception de documents vectoriels ou bitmaps, pour la retouche, l’ajout d’éléments ou la reconnaissance de police de caractères… Cinq outils en plus très doux sur le budget de licences de logiciels.  Création vectorielle Application : Affinity Designer (pour iPad) […] L’article Chronique du Geek – Les applications de mai 2021 : Spécial outils créatifs à prix doux est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 3 ans et 360 jours

Delphine Piquard nommée nouvelle Directrice Supply Chain du Groupe Lorillard

Arrivée en juillet 2020 au sein du Groupe Lorillard, Delphine Piquard est la nouvelle Directrice Supply Chain au niveau groupe. Diplômée de l’Ecole des Mines de Nancy, Delphine Piquard a débuté sa carrière en tant qu’ingénieure logistique sur un site d’Arcelor Mittal dans le Doubs, pour évoluer vers la division automobile, en tant que responsable de la planification et des affectations des volumes sur les différentes usines du groupe. 7 ans plus tard, elle quitte l’entreprise pour rejoindre Tarkett, en août 2010, où elle pilotera la mise en place du département Prévision et Planification de la division européenne. Puis en février 2017, elle prend le poste de Directrice Supply Chain de l’usine Sophartex, une création de poste qui lui permet de concevoir la mise en place de sa fonction avec une dimension service client. 3 ans et demi passés, elle choisit le challenge Lorillard – un poste de Directeur Supply Chain au niveau Groupe avec une gestion de flux plus complexes entre les différents sites, des entités commerciales aux besoins variés et la nécessité d’harmoniser et d’homogénéiser les offres de service pour chacune. LE CLIENT AU CENTRE DE LA LOGISTIQUE… Delphine Piquard en a fait une notion indissociable, le client est au centre de toute réflexion logistique. Un aspect prioritairement intégré dans l’approche logistique qu’elle a pensée pour les différents sites du Groupe Lorillard. L’un de ses premiers objectifs – en accord avec le Directeur Industriel, Hubert Marti – a été l’uniformisation de l’offre produit sur les différents sites du Groupe, afin de produire au plus près du client. C’est donc dans une optique de proximité qu’une approche régionale a été pensée, tout en tenant compte des contraintes d’équilibrage des charges de travail entre les différentes usines. Pour ce faire, un circuit de distribution converge entre les différents sites, notamment les 4 sites de PVC (Bourges, Pralong, Chartres, Bayonne). Ainsi, chaque client bénéficie d’un point d’ancrage grâce à des navettes qui approvisionnent des menuiseries entre chaque site en région, tenant lieu de plateforme de proximité pour les clients régionaux. Et pour mieux évaluer et maîtriser ce process de proximité, un travail avec le service HSE a permis de mettre en place des indicateurs mesurant le nombre moyen de kilomètres parcourus par les camions par rapport au nombre de menuiseries expédiées. Ainsi le service logistique est en capacité de gérer précisément les affrètements de camions pour réaliser des tournées. « Dans cette même vision de proximité, pour les livraisons dans les grandes villes, un projet est en cours de réflexion à horizon 2022 », explique Delphine Piquard, « Les transporteurs rencontrent de nombreuses contraintes de livraisons liées à la circulation, aux accès difficiles aux chantiers, etc. Notre objectif c’est de mettre en place une plateforme logistique en petite couronne ; un endroit de stockage plus proche des clients finaux pour des livraison plus fréquentes. La région parisienne, notamment le quart Nord-Est entre Gennevilliers, Pantin et Montreuil, sera notre plateforme prototype avec une flotte de véhicules électriques ou au gaz naturel, nous permettant de réaliser des plus petites livraisons et plus fréquemment ». Ces plateformes serviront également de bureaux pour les conducteurs de travaux et accueilleront un stock avancé de quincaillerie. … ET DE LA TRANSFORMATION DIGITALE « La nécessité d’une stratégie de management de la chaîne logistique dans l’entreprise a depuis longtemps été intégrée par les dirigeants. Mais la transformation digitale a façonné un environnement logistique de plus en plus exigeant pour les entreprises, à tel point que l’on parle aujourd’hui de l’agilité de la supply chain » constate Delphine Piquard. Au-delà de permettre au Groupe Lorillard de gagner en performance, délais et production, la transformation digitale est, pour Delphine Piquard, un moyen de maintenir un flux d’information efficace entre les différents acteurs : fournisseurs, fabricants mais aussi les clients. C’est l’une de ses missions qu’elle s’attache à déployer depuis son arrivée au sein du Groupe en juillet 2020. Cette transformation digitale a débuté par la définition du processus et des modes opératoires communs pour tous les clients du Groupe (concessions, agences, artisans, etc.) afin d’harmoniser toutes les pratiques. « Pour ce faire, le principe réside en la mise en place d’une bonne communication entre les différents interlocuteurs. On établit des flux d’information et des notifications en temps réel. On définit des alertes pour déterminer les expéditions livrées ou retardées. Une communication efficace entre toutes les parties impliquées est impérative afin que le client puisse vivre une expérience positive » explique Delphine Piquard. En relation avec les entités commerciales, dans le cadre de la rédaction des cahiers des charges, et le service informatique, pour le développement des process informatiques, le service logistique a automatisé et informatisé la gestion des délais. « Désormais quand la commande est passée, le client reçoit un accusé de réception avec date. Et depuis mars dernier, si l’on rencontre un retard, un processus automatique d’email permet d’alerter le service Administration des Ventes qui prend contact avec le client ou le conducteur de travaux pour le prévenir. La prochaine étape consistera à avoir de la visibilité sur le suivi de la commande et de la livraison. Nous travaillons ce développement avec les transporteurs afin que ce flux d’information soit efficient d’ici 2022 ». Toutes ces évolutions induisent un changement dans les méthodes de travail mais l’automatisation des processus simplifie tout. L’un des exemples les plus parlant c’est la mise en place d’un QR code sur l’ensemble des menuiseries produites dans le Groupe. Effectif depuis mars 2021, ce QR Code simplifie les flux d’informations et permet tout à la fois de recommander un vitrage s’il est cassé, d’avoir accès aux données de la menuiserie ou encore d’ouvrir directement une demande de refabrication dans le cadre d’une non-conformité. Dernier projet pour fin 2021 : le process de gestion des travaux pour les conducteurs leur permettra, selon l’avancement du chantier, de demander la livraison des menuiseries, via leur Smartphone, quand ils en ont besoin grâce à un nouvel outil de planification. Cet outil permettra d’absorber la complexité de la gestion des différents sites ; les conducteurs de travaux des différentes entités du Groupe travaillant dans toute la France. Ils se sentiront également moins isolés et auront accès directement et temps réel aux informations de planification et de suivi de leur livraison. Opérer la transformation digitale d’un Groupe multi site est un challenge que Delphine Piquard et son équipe concrétisent. Au quotidien, ils occupent un rôle à la fois transversal et central au sein du Groupe. Leur travail implique l’encadrement, la coordination et l’animation des équipes logistiques sur chaque site. Et pour s’assurer de la satisfaction client, ils doivent en interne optimiser les processus afin de réduire les temps de production, maîtriser les délais et favoriser une gestion fluide des informations. A Chartres, aux côtés de Delphine Piquard, une équipe logistique de 15 personnes est à l’œuvre. Des recrutements sont en cours pour embaucher 2 ingénieurs supply chain qui seront en charge de la bonne mise en œuvre de tous les processus, en amont et en aval, sur les différents sites du Groupe. Plus d’information sur ces recrutements via le site Internet : http://www.lorillard.fr/recrutement/offres-d-emploi Partager la publication « DELPHINE PIQUARD, nommée nouvelle Directrice Supply Chain du Groupe Lorillard »  
Il y a 4 ans et 0 jours

80% des salariés attendent de leur entreprise un accompagnement à la mobilité professionnelle et géographique

Alors que l’éloignement géographique semble aujourd’hui constituer un réel frein pour l’emploi, l’enquête pointe avant tout de nombreux décalages : de perception entre les salariés et les dirigeants/DRH mais aussi entre ressenti et réalité en matière de prise en compte de la mobilité au sein des entreprises. Les attentes des salariés sont aujourd’hui telles que les entreprises ne semblent pas nécessairement suffisamment armées pour y répondre.L'éloignement géographique : un frein pour l'emploiStructurellement, l’éloignement géographique entre un employeur et ses salariés potentiels constitue un frein notable au recrutement. Il a déjà dissuadé 29% des dirigeants de recruter certains candidats ; et surtout, il a déjà découragé 48% des salariés de postuler à une offre. Ce résultat illustre une difficulté supplémentaire pour les entreprises : celles-ci ne peuvent pas pleinement percevoir l’impact de la mobilité professionnelle, puisque les salariés renoncent à des offres avant même d’émettre leur candidature.L’accompagnement à la mobilité professionnelle et géographique : un atout RH reconnuLa majorité des entreprises interrogées estime qu’une bonne prise en compte de la mobilité professionnelle et géographique des salariés constitue un atout indéniable en tant qu’outil de gestion et de management. Notamment lorsqu’il s’agit d’améliorer l'attractivité de leur entreprise dans le recrutement de nouveaux collaborateurs (66%), de faciliter l'accueil et l’intégration de nouveaux salariés (63%) ou encore de fidéliser leurs employés en améliorant leur qualité de vie (67%).De leur côté, les salariés témoignent d’une attente envers les entreprises. Ils sont en effet en moyenne plus de 80% à être confiants dans les effets positifs, sur chacun de ces aspects, d’une meilleure prise en compte de la mobilité géographique professionnelle. Et pourtant, seulement 26% des dirigeants jugent la mobilité géographique comme un enjeu prioritaire, même si cette proportion augmente avec la taille de l’entreprise (29% pour les entreprises de 250 à 499 salariés, 44% pour celles de 500 salariés et plus).« Parce qu’elle représente un atout de gestion et de management nécessaire pour leur permettre de s’adapter à un marché et à des besoins en évolution constante, la question de la mobilité géographique apparaît aujourd’hui comme incontournable pour les entreprises. Elle est pourtant encore souvent laissée au second plan dans la gestion des ressources humaines et, d’une manière plus générale, dans la conduite stratégique des entreprises », souligne Luc Moréna, Directeur Général de Ma Nouvelle Ville.Les entreprises face à la mobilité professionnelle et géographique : un accompagnement perfectibleSi les DRH considèrent que l’enjeu est peu prioritaire, ils sont néanmoins 71% à considérer qu’il est déjà bien pris en compte dans leur entreprise. Il existe donc un décalage entre ressenti et réalité sur la mobilité puisqu’on constate que l’accompagnement concret dans leur entreprise demeure perfectible : seuls 21% des dirigeants estiment qu’il existe dans leur entreprise une personne responsable de ces enjeux, et seulement 12% un service dédié. Et ce alors que 54% des dirigeants sont confrontés à des collaborateurs recrutés dans d’autres villes…Au demeurant, la majeure partie des dirigeants s’accordent sur les bénéfices de la mobilité professionnelle géographique, et jugent également majoritairement que l’entreprise doit jouer un rôle d’accompagnateur dans la mobilité des salariés. Ainsi, ils sont entre 54% et 69% à considérer l’accompagnement nécessaire pour des collaborateurs se trouvant dans une autre ville, ou mutés d’une autre ville ou d’un autre pays.Les salariés sont nettement plus nombreux - à hauteur de 80% - à approuver le devoir d’accompagnement des entreprises. Ils sont d’ailleurs unanimes sur la question : hommes, femmes, en zone rurale ou agglomération, d’une petite entreprise ou dans un grand groupe… les réponses sont uniformes et sans clivage.« Les attentes des salariés en matière d’accompagnement à la mobilité géographique sont particulièrement élevées dans cette enquête. Cela nous conforte dans l’idée que le sujet représente un enjeu prioritaire, que les entreprises doivent encore davantage prendre en compte dans leur stratégie RH… Notamment en vue de faciliter les recrutements et de contribuer au bien-être de leurs salariés », remarque Luc Moréna, Directeur Général de Ma Nouvelle Ville.Des aides et des services méconnus au service des entreprises et des salariés mobiles82% des DRH envisagent de faire appel à un prestataire pour les soutenir dans l’accompagnement des salariés en situation de mobilité, notamment en ce qui concerne l’aide à la recherche de logement à proximité du nouveau lieu de travail.Parmi les différentes possibilités, ils se montrent particulièrement intéressés par un accompagnement simple ponctuel (68%) et par une solution dématérialisée pour aider les collaborateurs à trouver un logement (70%). En revanche, les DRH semblent un peu moins enclins à recourir à un accompagnement complet des collaborateurs (49%), ou à une formation dédiée (30%) : ces dimensions sont sans doute perçues comme nécessitant un engagement plus important de la part de l’entreprise.Or, ces services existent déjà pour la plupart, fournis par des prestataires - communément appelés « sociétés de relocation » - prenant la forme d’entreprises spécialistes de la mobilité. Leur rôle est de fluidifier tout le processus de déménagement d’un salarié en situation de mobilité géographique, tout en tenant compte de ses aspirations.Elles proposent généralement des services à double niveau. Pour le salarié d’entreprise, une solution complète et sur-mesure d’accompagnement, allant de la recherche du logement jusqu’aux démarches administratives connexes, mais aussi dans l’appréhension de son nouvel environnement culturel et dans sa vie quotidienne (transports, vie de quartier, scolarisation des enfants, emploi pour le conjoint…). Pour l’entreprise, elles permettent de faciliter les recrutements et la mobilité de ses salariés ainsi que d’accompagner leur développement et de contribuer à leur bien-être et leur qualité de vie.« Ces sociétés de relocation, dont les équipes sont spécifiquement formées aux enjeux de la mobilité géographique et dotées d’une connaissance du marché immobilier local, peuvent constituer un allié de choix pour les services des ressources humaines. En particulier au sein des entreprises n’ayant ni le temps ni les moyens humains pour assurer cet accompagnement sur-mesure de leurs collaborateurs », souligne Luc Moréna.En outre, ces services peuvent être financés par L'AIDE MOBILI-PASS®, délivrée par Action Logement, permettant une prise en charge des frais d’accompagnement à la recherche d’un logement locatif par un opérateur spécialisé et un prêt à faible taux pour couvrir certaines dépenses liées au logement.D’autres aides relatives au logement existent pour faciliter l’installation des salariés au sein d’un nouveau territoire. C’est le cas de L'AIDE MOBILI-JEUNE® (une subvention jusqu’à 100 € par mois pour alléger le loyer des jeunes de moins de 30 ans en formation en alternance), de Visale (une garantie des loyers gratuite pour rassurer le propriétaire et faciliter l’accès au logement des salariés) et de L'AVANCE LOCA-PASS® (un prêt sans frais ni intérêt qui permet de régler tout ou partie du dépôt de garantie à l’entrée dans un nouveau logement).Méthodologie d’enquête Enquête « Dirigeants » réalisée par téléphone, du 2 au 15 octobre 2020, auprès d’un échantillon de 302 personnes, représentatif des Dirigeants / Directeurs des ressources humaines (DRH) dans des entreprises d’au moins 50 salariés (méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : taille d’entreprise et secteur d’activité). Enquête « Salariés » réalisée en ligne, du 12 au 19 octobre 2020, auprès d’un échantillon de 601 personnes, représentatif des salariés dans des entreprises d’au moins 50 salariés (méthode des quotas et redressement appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, taille d’entreprise et secteur d’activité).Cette enquête s’inscrit dans un double contexte : crise sanitaire d’une part, ayant fortement limité la mobilité de façon générale au cours des derniers mois, mais ayant également réinterrogé la perception de nombreux actifs à l’égard de leur activité professionnelle ; crise économique d’autre part, ayant entraîné une augmentation sans précédent du chômage et du nombre d’entreprises en difficulté.Nota BeneLa mobilité professionnelle se définit comme un changement dans les modalités d’exercice de l’activité professionnelle d’une personne. Dans ce baromètre, nous nous intéresserons plus précisément à la mobilité géographique, c’est-à-dire un déplacement impliquant au minimum un changement de bassin de vie - et un déménagement de plus de 70km - dû à une mobilité professionnelle.
Il y a 4 ans et 1 jours

DOMConnect® by Dény : Pour aider les bâtiments à renforcer la protection de leurs accès, Dény Sécurity repousse les limites de son écosystème de sécurité Optimal

En forte croissance ces dernières années, la taille du marché mondial du contrôle d’accès devrait progresser de près de 50% à l’horizon 2025*. Parmi les raisons expliquant ce phénomène, figure l’essor des bâtiments intelligents dans lesquels la gestion des accès joue un rôle central. Conscient de la nécessité de proposer des systèmes capables d’évoluer en fonction des usages et des technologies, Dény Sécurity complète ses solutions connectées Optimal avec DOMConnect® et offre ainsi un système global alliant une gestion simplifiée des accès et une flexibilité inégalée. Gamme DOMConnect® : un large éventail de produits connectés Complet, l’écosystème OPTIMAL de Dény Security se compose d’une large gamme de serrures connectées permettant d’installer rapidement un contrôle d’accès sur l‘ensemble des points à sécuriser dans un bâtiment. Cylindres électroniques Optimal Lock, béquilles Optimal Hand, verrous Optimal Locker pour sécuriser casiers, armoires ou vestiaires, lecteurs muraux de badges… sont autant de solutions simples à mettre en œuvre en lieu et place de verrouillages mécaniques. Ne nécessitant aucun raccordement électrique, ni tirage de câbles, ces produits totalement autonomes rendent possible le déploiement, à moindre coût, d’un contrôle en entrée et/ou sortie sur l’ensemble des portes et accès, même les plus éloignés ou inaccessibles, à l’intérieur d’un bâtiment, et ce, sans aucune modification de la structure existante. D’une grande adaptabilité, les solutions de l’écosystème Optimal de Dény Security répondent à tous les besoins de sécurisation en construction neuve. Grâce à DOMConnect®, Dény Security apporte aujourd’hui une réponse fiable et évolutive à tous les sites déjà équipés qui souhaitent renforcer leur sécurité en installant des lecteurs ou cylindres connectés supplémentaires, sans pour autant changer leur système en place. DOMConnect® : la clé pour une gestion intelligente et simplifiée des accès Puissant, DOMConnect® est un dispositif de sécurité qui, grâce à l’Optimal Box faisant office de passerelle, relie toutes les solutions connectées de l’écosystème Optimal à un logiciel de contrôle d’accès existant, quelle que soit sa marque. Une fois l’Optimal Box intégrée à ce dernier, DOMConnect® est prêt à l’emploi. Il se connecte alors automatiquement à toutes les portes et autres accès équipés des produits Dény Sécurity via une connexion sans fil ou une application dédiée. Garantissant un fonctionnement synchronisé de tous les équipements (contrôle d’accès, vidéosurveillance, anti-intrusion…), DOMConnect® permet de bénéficier d’une vue d’ensemble de la gestion de la sécurité d’un bâtiment. A partir de l’interface d’un seul et même logiciel, un gestionnaire d’établissement coordonne et contrôle ainsi deux systèmes différents encore plus facilement, sans aucune modification de son installation existante. *Source MarketsandMarkets Un système global, unique et flexible Outre transformer la sécurité d’un bâtiment en un système de verrouillage entièrement connecté et contrôlé, DOM Connect® by Dény Security offre une grande flexibilité de programmation des badges, quelle que soit leur technologie (Mifare Classic, PLUS S, Desfire…), grâce à trois modes disponibles qu’il est possible de mixer indifféremment pour une gestion de l’ensemble des accès : Data on card sous protocole ouvert (OSS) pour gérer l’ensemble de l’installation grâce aux badges dans lesquels sont conservées directement toutes les données d’autorisation. Cette technique évite toute intervention du gestionnaire sur chaque porte individuellement, Online pour une programmation en temps réel et à distance de tous les appareils connectés depuis le logiciel de contrôle d’accès, Offline directement à l’aide de l’application DOMConnect® App compatible avec tous les smartphones Android dotés de la fonctionnalité NFC. Elle s’utilise alors comme un outil de configuration et de programmation entre les dispositifs de verrouillage et le logiciel de contrôle d’accès. Il suffit ensuite de présenter le smartphone devant la serrure connectée pour mettre à jour les droits et consulter l’historique des événements. Solution globale et fiable de sécurité permettant de penser et d’organiser un système de contrôle des accès dans son ensemble, les produits de la gamme DOMConnect® by Dény Security présentent en plus l’avantage d’être compatibles avec le Pack ID by Orange. Grâce à cette solution sans contact mobile qui convertit tous types de smartphones Android et iOS, quel que soit l’opérateur mobile ; employés, clients et usagers disposent alors d’un véritable trousseau de clé virtuel sécurisé. https://www.deny-security.com/global/fr
Il y a 4 ans et 5 jours

L'entreprise innovante BluePad continue de séduire de nouveaux clients malgré la crise

Créée en 2016, la Jeune Entreprise Innovante BluePad a pour ambition d'accompagner les acteurs du BTP dans leur transition numérique. Malgré les différents obstacles dressés par la crise sanitaire du coronavirus, l'entreprise a réussi à avancer et à maintenir le rythme soutenu de son développement.L'édition et la commercialisation de solutions Web et Mobile du pilotage de projets est au cœur de son activité et s'adapte aux besoins opérationnels de ses clients, quel que soit leur secteur : construction, exploitation, industrie, maintenance.Dans le contexte sanitaire que nous connaissons, l'outil BluePad représente donc un allié dans le suivi de chantiers à distance, assurant la dématérialisation et l'optimisation de nombreux process.Début 2021, cela représente :Une augmentation de 55% du nombre d'utilisateurs en 2020Une augmentation de 100% du nombre de clients en 2020« Nos clients ont pu maintenir leur activité ! » témoigne Loïc CUERONI, Président BluePad.Par ailleurs, pour BluePad, ce bilan positif se solde par :Le recrutement de nouveaux collaborateurs : deux développeurs informatiques rejoignent BluePad pour renforcer l'équipe et accompagner la croissance de l'entrepriseUne ouverture à l'international : BluePad a notamment signé sa 1ère commande sur l'Allemagne, pour accompagner le déploiement de réseaux de Fibre Optique. L'entreprise est actuellement en négociation avec d'autres pays d'Europe, grâce à la diversité de son équipe, où le français, l'anglais, l'espagnol et le russe sont parlés couramment.300K€ d'investissements supplémentaires en R&D mobilisés sur fonds propres sans nécessité de recours à des capitaux risqueurs.En parallèle, BluePad a été sélectionné par le Club Metz Technopôle pour représenter les jeunes entreprises innovantes dans son opération « Plus fort après la crise ». Ce programme a permis aux collaborateurs volontaires de revenir sur les événements et de s'exprimer sur leur vécu. Accompagnée par un expert du club, l'entreprise a pu analyser sa gestion de crise et mettre en place de nouvelles politiques internes.« Nous restons solidaires auprès de l'ensemble des acteurs du monde de la construction qui ont traversé et traverse encore cette crise. Nous souhaitons que cette nouvelle année puisse à tous nous permettre d'avancer plus sereinement et de travailler ensemble pour la bonne santé de notre secteur. »
Il y a 4 ans et 7 jours

OpenBlue Healthy Buildings rend les bâtiments plus sûrs pour les salariés qui réintègrent leur lieu de travail

Combinant 135 ans d'expertise dans les solutions pour le bâtiment avec une technologie de pointe, ces solutions protègent et donnent confiance aux occupants et aux visiteurs des bâtiments, minimisent les perturbations en cas de test COVID-19 positif et accélèrent la ré-occupation des bâtiments en automatisant et en rationalisant les protocoles de sécurité. En outre, les clients pourront maximiser les objectifs d'occupation tout en maintenant le niveau de sécurité, comprendre comment leurs espaces sont utilisés et les réorganiser facilement sur la base de données informatiques, et aider les employés à être plus productifs lorsqu'ils sont au bureau.Les solutions OpenBlue Healthy Buildings, qui se présentent comme une suite intégrée mais peuvent également être déployées de manière modulaire, comprennent une combinaison de matériels et de logiciels - tels que des équipements intelligents, des capteurs numériques, des systèmes de sécurité, des caméras, des moniteurs, des outils d'analyses et des tableaux de bord, des dispositifs de contrôle des infections et d'autres dispositifs connectés - ainsi qu'une application mobile pour gérer les espaces et les expériences des occupants. La suite Healthy Buildings est développée en utilisant les principes de « Privacy by Design »** et prend en charge la protection des données par défaut.Les solutions pour réintégrer, se réapproprier et réinventer comprennent :Traçabilité des contacts. Les capacités de recherche automatisée des contacts constituent l'élément fondamental de cette suite de solutions et alimentent d'autres applications. De manière générale, ces solutions permettent aux responsables des bâtiments et aux employeurs de comprendre les risques d'exposition des occupants de ceux-ci. En cas de test positif d'un occupant, le système peut tracer rétroactivement les contacts de personne à personne et de personne à espace pour fournir un support presque immédiat aux équipes des ressources humaines et des services généraux afin de joindre les travailleurs à risque, de s'occuper des zones potentiellement touchées et de prendre des mesures préventives pour minimiser la propagation. En outre, la traçabilité des contacts assure la tranquillité d'esprit des employés dans le cas où une personne a été testée positive.Suivi de la distanciation sociale. OpenBlue Healthy Buildings surveillera la distanciation sociale en temps réel, en envoyant des alertes de violation si les occupants sont trop proches les uns des autres ou si les espaces sont trop occupés, ce qui permettra de faire des rapports de conformité détaillés et de modifier les comportements en temps réel pour prévenir la propagation de l'infection.Caméras thermiques. Afin d'assurer une approche holistique de la sécurité, OpenBlue Healthy Buildings comprend une solution technologique de contrôle de la température qui prend des mesures pendant qu'un individu marche pour permettre des entrées et des sorties fluides et sans contact, et participer à éviter la propagation des infections. Planification de scénarios. La solution détermine de manière proactive les liens entre les personnes et les espaces, prédisant les impacts d'éventuels événements négatifs et permettant d'intervenir avant toute perturbation et de réduire les risques.Contrôle des infections. OpenBlue Healthy Buildings crée une approche par couches pour la connectivité entre les différents systèmes qui participent au contrôle des infections. Ces systèmes comprennent, entre autres, des systèmes qui réduisent les pathogènes intérieurs et aéroportés en augmentant la ventilation de l'air extérieur, en désinfectant l'éclairage aux ultraviolets C (UV-C) et en surveillant à distance la pressurisation des pièces, les taux de renouvellement d'air, l'humidité et la température pour créer un air plus sain.Cartographie et surveillance de l'utilisation de l'espace. L'application mobile OpenBlue fournit des vues cartographiques en direct de l'état de la désinfection, des données d'occupation et des recommandations pour naviguer dans le bâtiment en toute sécurité afin de maximiser et de surveiller l'utilisation des espaces. Le système est indépendant de la plateforme et fonctionne de manière transparente avec les systèmes de gestion des bâtiments existants pour soutenir des activités telles que la réservation de salles de conférence ou de postes de travail individuels avec indication de l'état d'assainissement.Amélioration de la communication et des expériences. L'application mobile permet de faire participer les employés et les occupants en temps réel en fournissant des mises à jour sur les espaces partagés et les nouvelles politiques, le parcours recommandé pour éviter les zones encombrées, la disponibilité des espaces et les détails de sécurité, le téléphone comme accès au badge, la réponse aux appels d'urgence, le support des horaires de rotation, l'attestation de santé et les options d'auto-déclaration, et bien plus encore. Ces éléments augmentent les synergies entre la gestion des bâtiments, les ressources humaines et les employés afin de fournir des informations en temps réel et une plus grande transparence, tout en favorisant la productivité et les fonctions d'expérience, telles que l'intégration du calendrier et le contrôle du confort."Alors que de plus en plus de bâtiments accueillent à nouveau leurs employés, il est essentiel que nous déployions une technologie de pointe associée à notre expertise en matière de bâtiments pour créer les espaces et les lieux les plus intelligents et les plus sûrs pour les occupants et les visiteurs. Nous innovons avec nos partenaires et nos clients pour créer des technologies qui transformeront les bâtiments et les espaces, des caméras thermiques aux capacités de traçage des contacts : OpenBlue est une solution intégrale."Mike Ellis, vice-président exécutif, directeur du digital et de la clientèle, Johnson ControlsLa plateforme OpenBlue de Johnson Controls - lancée en juillet 2020 - a été conçue dans un souci d'agilité, de flexibilité et d'évolutivité, pour permettre aux bâtiments de devenir des espaces dynamiques. En exploitant la plateforme, les clients pourront gérer les opérations de manière plus systématique, en fournissant des bâtiments qui ont de la mémoire, de l'intelligence et une identité unique. Pour en savoir plus sur OpenBlue Healthy Buildings, vous pouvez consulter ce site.
Il y a 4 ans et 8 jours

Inquiétude des couvreurs face aux difficultés de recrutement, aux prix, et aux disponibilités de certaines fournitures

Si les carnets de commandes sont là, les inquiétudes portent désormais sur des tensions liées au recrutement, aux prix, et aux disponibilités de certaines fournitures (bois de charpente, liteaux, écrans de sous-toiture...).La FFTB a lancé en 2019 un Observatoire de la rénovation en Couverture qui interroge deux fois par an en septembre et février par téléphone 800 artisans-entreprises représentatifs du secteur. Cette quatrième enquête réalisée en février 2021 porte sur un bilan d'activité pour 2020 et sur les perspectives pour le premier semestre 2021.-2,1% : une baisse « contenue » de l'activité 2019/2020Les entreprises interrogées estiment que leur activité Travaux Couverture Rénovation Tuile a subi une diminution de -2,1% au terme de l'année 2020 comparée à l'année 2019, un bilan plutôt meilleur que l'ensemble de l'activité rénovation (en baisse de 9% par exemple selon la note de conjoncture FFB).« La bonne tenue de l'activité rénovation tuile en 2020 peut s'expliquer par plusieurs facteurs» commente Olivier Lafore, en charge de cette étude pour le groupement des tuiliers de la Fédération Française des Tuiles et Briques qui précise «on pense évidemment à la nature des travaux en extérieur qui fait que l'activité est moins impactée par les contraintes réservées aux travaux en intérieur. La rénovation en toiture est aussi plutôt du ressort de l'artisanat, plus mobile et réactif que les grosses structures. La filière a évidemment été frappée par le confinement et l'arrêt brutal des chantiers et des activités des réseaux de négoce en mars 2020. Les fabricants ont procédé à l'arrêt progressif de la majorité des lignes de production à partir de cette date mais les stocks constitués avant le confinement ont cependant toujours permis de répondre à la demande des négoces et à la reprise progressive des chantiers. » Olivier LaforeDes entreprises sereines sur leur carnets de commandesLes couvreurs se considèrent donc peu impactés par la crise dans la perspective du 1er semestre 2021 et affichent un niveau de préoccupation faible quant à leurs volumes d'activité : 1,9 sur 5 sur une échelle numérique de 1 à 5.59% des artisans et entreprises déclarent ainsi avoir traversé la crise sanitaire sans conséquence majeure sur l'exploitation. 37% expriment certes une inquiétude mais poursuivent normalement leur activité. Seul 3% de l'ensemble des structures sondées déclarent une forte inquiétude qui serait susceptible de conduire à un redressement, voire un arrêt de l'exploitation.Des perspectives 2021 dynamiquesLes prévisions pour le premier semestre s'établissent en moyenne à +1,2% par rapport au second semestre 2020. On notera cependant que l'Ile de France (-0,1) et surtout le Nord-Est (-1,6) sont nettement en décalage avec les autres régions. Le contexte sanitaire de février 2021 et les annonces de reconfinement qui émergeaient à cette période peuvent expliquer ce décalage sur deux zones denses et durement touchées en 2020.Recrutement et tensions sur certains matériaux : points d'alerteEn effet, 58% des entreprises interrogées déclarent avoir des difficultés de recrutement (+6 pts / sept. 2020) et 72% l'identifient comme un frein à leur développement. « Les difficultés de recrutement sont récurrentes pour les couvreurs et s'y ajoutent actuellement des tensions sur certaines fournitures notamment bois de charpente, liteaux... Nous redoutons que ces difficultés bloquent la reprise dont nous avons tous besoin. »Olivier Lafore
Il y a 4 ans et 8 jours

L'économie française sur les rails pour atteindre 5% de croissance en 2021, selon la Banque de France

D'une manière générale, "les entreprises sont plutôt dans une dynamique de progression de leur activité par rapport aux mois précédents", a estimé le directeur général de la banque centrale française, Olivier Garnier, lors d'une présentation à la presse.Au vu des réponses fournies par 8.500 entreprises interrogées entre le 28 avril et le 5 mai, le niveau d'activité a été en avril inférieur de 6% à celui d'avant la crise du Covid-19, soit un point de mieux que dans le résultat de la précédente enquête réalisée il y a un mois.L'impact des dernières mesures de restriction sanitaires aura donc été légèrement moindre que celui des mesures effectives au mois de novembre (-7%), malgré la fermeture des écoles.En mai, avec la réouverture programmée de tous les commerces, des terrasses, musées, cinémas et théâtres à compter du 19 du mois, l'activité devrait revenir à -4% par rapport aux niveaux de janvier et février 2020.Ce qui fait qu'en l'absence de nouveau rebond épidémique, "notre scénario de croissance" à 5% pour 2021 "est plutôt confirmé", selon Olivier Garnier.D'ailleurs l'acquis de croissance à la fin mai, c'est-à-dire la progression du produit intérieur brut (PIB) sur l'année si l'activité stagnait sur les sept derniers mois, serait déjà de "près de 4,5%", a ajouté M. Garnier.Le gouvernement a lui aussi un objectif de croissance de 5% pour 2021 et table sur un retour au niveau d'activité de l'avant-crise au premier semestre 2022.L'enquête de la Banque de France montre que les services aux entreprises ont mieux résisté en avril que les services de proximité en général et que "dans le secteur du bâtiment, l'activité est quasi stable, très proche de son niveau d'avant-crise, selon les chefs d'entreprise interrogés", avec des carnets de commandes particulièrement bien remplis qui dépassent leurs niveaux déjà très élevés de 2019.Dans l'industrie, la situation est contrastée selon les secteurs.Le taux d'utilisation des capacités de production progresse légèrement, de 80% à 81% entre mars et avril, mais recule de 81% à 77% dans l'automobile en raison notamment de difficultés d'approvisionnement qui ont frappé ce secteur au niveau mondial.Problèmes de redémarrageEn effet la reprise de l'économie mondiale "se traduit par des tensions sur certains types de matières premières ou dans des secteurs type semi-conducteurs", tensions "doublées du fait que les entreprises avaient plutôt déstocké durant la crise", a expliqué M. Garnier.Mais cette difficulté qui affecte aussi d'autres secteurs industriels ainsi que le bâtiment, vient selon lui "plus d'un problème de redémarrage que d'un problème structurel durable".Coté positif, avec une reprise économique plus précoce en Asie et aux Etats-Unis qu'en Europe, "l'activité industrielle est sans doute pas mal tirée par l'activité mondiale", a encore relevé le directeur général de la Banque de France.Sur l'inflation, il a jugé que "les hausses de coûts des intrants, surtout si elles sont transitoires, vont plutôt affecter les marges des entreprises plutôt que les prix".En matière d'emploi enfin, Olivier Garnier a estimé qu'avec la reprise, un retour des difficultés de recrutement que les entreprises connaissaient avant la crise n'était pas exclu.
Il y a 4 ans et 8 jours

Les Journées Expertise Construction du Cérib 100 % digitales

Cette année, les Journées Expertise Construction du Cérib seront 100 % digitales. [©Cérib] Cette année, point de rendez-vous à Epernon comme tous les ans. La 6e édition des Journées Expertise Construction du Cérib se déroulera dans un format digital du 28 juin au 2 juillet prochain. Et proposera de nouveaux contenus et animations qui seront disponibles en ligne jusqu’à la fin de l’année 2021. A distance, ces journées permettront de partager avec l’ensemble des acteurs de la construction les connaissances techniques et scientifiques du Cérib. Ceci, autour des grandes thématiques qui font l’actualité du secteur, en particulier la transition environnementale et écologique. Lire aussi : Oduc+ du Cérib passe en version 4.0 Visite virtuelle à 360° du Cérib Au programme de l’évènement, trois temps forts : des conférences, une visite des équipements et des laboratoires, et le village d’exposants. Chaque jour, une conférence sera accessible sur le site et la chaîne YouTube dédiés. Tout d’abord, les produits de bâtiment en béton bas carbone : de la R&D aux applications industrielles. Puis, la diminution des îlots de chaleur et la RE 2020. Là, il sera question d’accompagner les industriels, depuis l’évaluation de l’impact environnemental jusqu’au développement de produits. Et enfin, la certification des produits en béton pour répondre aux enjeux environnementaux et sociétaux. A quoi s’ajoutera le comportement au feu des façades en béton biosourcé. En parallèle, une visite virtuelle à 360° du Cérib sera organisée. Ainsi, chacun en pourra découvrir les coulisses : les différents laboratoires, les derniers équipements… Le village digital des exposants Quelque 60 exposants présenteront leurs services et produits, et leurs entreprises. Et ce, en disposant d’un e-stand diffusant leurs supports et vidéos de communication. Les visiteurs pourront entrer en relation avec eux et tous les avec tous les experts du Cérib, grâce à l’application “JEC – J’entre En Contact” à télécharger sur mobile. Ainsi, chacun pourra échanger sur ses centres d’intérêt spécifiques. Inscription ici.
Il y a 4 ans et 9 jours

Mort de l'architecte Helmut Jahn dans un accident de bicyclette

M. Jahn a été tué samedi après midi à Campton Hills, à une centaine de kilomètres à l'ouest de Chicago alors qu'il avait "omis de s'arrêter à un stop" sur une intersection, a indiqué la police.Les deux véhicules automobiles roulaient dans des directions opposées, a précisé la police, ajoutant que le conducteur de l'un d'eux avait été conduit à l'hôpital pour de légères blessures.Après avoir obtenu son diplôme à Munich en 1965, Helmut Jahn s'était installé à Chicago pour étudier à l'Illinois Institute of Technology, un établissement très lié à l'influent architecte moderniste Ludwig Mies van der Rohe.Helmut Jahn s'est fait un nom dans les années 1970 et 1980 avec des constructions à Chicago, parmi lesquelles le Thompson Center et le terminal de la compagnie United Airlines à l'aéroport international O'Hare.Il a aussi participé à la conception du siège du FBI à Washington et a ultérieurement construit le Munich Airport Center ainsi que le Sony Center à Berlin."Helmut Jahn était un des architecte de Chicago les plus inventifs dont l'impact sur la ville (...) ne sera jamais oublié", a déclaré sur Twitter la maire de Chicago Lori Lightfoot."Sa marque architecturale se fera sentir et sera visible à travers la planète pour des générations".
Il y a 4 ans et 10 jours

Ideal Standard International nomme Jonas Nilsson et Jan Peter Tewes pour diriger conjointement le groupe

Bruxelles, le 7 mai 2021 – Ideal Standard International, le premier fournisseur de solutions de salle de bains résidentielle, commerciale et médicale de haute qualité, annonce aujourd’hui son intention de nommer Jonas Nilsson et Jan Peter Tewes pour diriger conjointement le Groupe au poste de Chief Executive Officers suite au départ de Torsten Türling. Jan Peter Tewes a rejoint Ideal Standard International en octobre 2018 en tant que directeur commercial groupe et Jonas Nilsson en janvier 2019 en tant que directeur de l’exploitation groupe. À la suite d’une réorganisation de la société en segments commerciaux en septembre 2020, Jonas Nilsson a été nommé président des produits sanitaires et Jan Peter Tewes en tant que président des produits robinetterie  en plus de son rôle de directeur commercial groupe. L’organisation en Segments marque la réussite d’une transformation majeure. Jonas Nilsson et Jan Peter Tewes ont tous deux joué un rôle déterminant dans la conduite du changement. Aujourd’hui, l’entreprise est mise à niveau technologiquement, l’entreprise dans son ensemble est plus rationalisée, plus forte et mieux alignée pour répondre aux besoins de ses clients, et ses marques sont reconnues pour leur leadership en innovation et design. Le nouveau logo, introduit pour la première fois en 2017, est devenu une marque bien établie en tant que symbole de la culture «Together for better» de l’entreprise. Avant de rejoindre Ideal Standard, Jan Peter Tewes a occupé le poste de vice-président exécutif Building Europe chez Uponor, où il était membre du comité exécutif du groupe. Auparavant, il a passé plus de 10 ans chez Grohe dans divers rôles de direction. En 2012, il a été nommé directeur du marketing et membre de l’équipe de direction mondiale de Grohe. Les principaux postes occupés par Jonas Nilsson avant Ideal Standard incluent les postes de président Europe, Afrique et Amérique du Sud chez l’équipementier automobile IAC Group, président Europe et Afrique chez Autoliv AB, directeur de l’exploitation chez Franke Kitchen Systems Group et divers rôles opérationnels et de division chez Visteon Corporation et Lear Corporation. Graham Oldroyd, Président du Conseil d’administration, a déclaré: «Au nom du Conseil, je tiens à féliciter Jan Peter Tewes et Jonas Nilsson pour leurs futurs nouveaux rôles. Individuellement, chacun est déjà un leader accompli avec une feuille de route réussie. Ensemble, ils apportent une riche expérience à la direction d’Ideal Standard. »   À propos d’Ideal Standard International Ideal Standard International est l’un des principaux fabricants mondiaux de solutions de salle de bains résidentielles, commerciales et médicales de haute qualité. Basée à Bruxelles, en Belgique, l’entreprise privée emploie près de 9 500 personnes et exploite 17 sites de fabrication, desservant plus de 60 pays à travers l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique. En utilisant les dernières technologies et en travaillant avec des designers de classe mondiale, la société se concentre sur le développement de solutions de salle de bain innovantes dans plusieurs catégories de produits, notamment la céramique de salle de bain, les robinets et les raccords, le bain et le bien-être et les meubles et accessoires. Ses produits sont vendus sous de fortes marques internationales et locales telles que Ideal Standard, Armitage Shanks (Royaume-Uni), Porcher (France), Ceramica Dolomite (Italie) et Vidima (Europe de l’Est). https://www.idealstandard.fr/
Il y a 4 ans et 10 jours

Le purificateur d’air qui élimine tous les virus, aujourd’hui et demain

La Covid-19 a vidé les bureaux, mais après l’enthousiasme initial suscité par le télétravail, un sentiment de solitude s’est installé chez bon nombre de télétravailleurs. L’innovant purificateur d’air de Genano, seul appareil de purification du marché capable de réduire les particules ultra-fines à 0,003 µm, aurait pourtant pu permettre aux employés de continuer à travailler en présentiel en toute sécurité. Les décontaminateurs d’air de Genano utilisent une technologie brevetée de plasma froid basée sur une puissante purification électronique de l’air sans aucun filtre physique. Une récente étude scientifique réalisée par le Centre de recherche technique VTT, organisme de notoriété internationale implanté en Finlande, a révélé que les purificateurs éliminaient 99,999 % des bactéries et virus présents dans l’air des espaces intérieurs. « Lorsque l’épidémie de coronavirus a frappé le monde l’année dernière, nous avons continué de travailler dans nos bureaux, car nous savions que l’air de nos espaces intérieurs était protégé de tout virus grâce aux décontaminateurs d’air, explique Niklas Skogster, P-DG de Genano. On peut dire que c’est l’un des lieux de travail les plus sûrs au monde, en tout cas pour ce qui est de l’air que nous respirons. » Le virus électrocuté n’a aucune chance de survie Le principe au cœur de la technologie de Genano est simple : l’air contaminé est entraîné dans l’appareil, où les particules chargées négativement sont fixées à la surface de captage positif. Les particules sont alors détruites à l’aide de décharges coronales haute tension. Au cours de la dernière étape, un collecteur à charbon actif à trois épaisseurs élimine les odeurs et gaz COV. « Comme le montre l’étude conduite par le VTT, l’air sortant ne comporte plus de microbes, gaz nocifs, produits chimiques ou particules de quelque taille que ce soit, souligne Niklas Skogster. Les appareils ne comportent aucun filtre mécanique qui risquerait de se boucher, ce qui signifie que la circulation de l’air est continue et qu’il n’est pas pas nécessaire de recourir à des filtres coûteux. Il faut ajouter à cela que les dépenses de fonctionnement sont faibles. Par exemple, le Genano 350 de taille moyenne consomme autant d’électricité qu’une ampoule conventionnelle. » Les purificateurs d’air intégrant la technologie de Genano sont en production depuis 1999. Ils ont été initialement développés pour un usage hospitalier, mais leur utilisation s’est généralisée partout dans le monde et ils sont aujourd’hui présents dans une gamme étendue de secteurs d’activité comme dans les bureaux, établissements de santé, commerces, restaurants, zones de fabrication propres, établissements scolaires et maisons de retraite. « Évidemment, notre technologie a été améliorée au fil des années, et nos appareils sont bien plus compacts et légers aujourd’hui, explique Niklas Skogster. Le Genano 350 pèse seulement 17 kg, ce qui en fait un appareil véritablement mobile que l’on peut aisément accrocher au mur. » Retour à la normale Au cours des six premiers mois de la crise sanitaire liée à la Covid-19, nombreuses ont été les entreprises qui ont estimé que le télétravail deviendrait la nouvelle norme. Mais après plus d’un an, la lassitude et les difficultés de la situation ont changé la donne. Selon l’enquête CEO Outlook Pulse Survey réalisée par KPMG auprès de P-DG en 2021, seulement 17 % des P-DG interrogés envisagent encore de réduire définitivement l’empreinte carbone de leur entreprise. Dans un sondage semblable réalisé en août 2020, ce pourcentage était de 69 %. « La Covid-19 a entraîné une hausse considérable de nos ventes au cours des douze derniers mois, mais le monde est encore loin d’avoir retrouvé ce que l’on pourrait appeler un état ‘normal’, poursuit Niklas Skogster. Une utilisation plus généralisée de purificateurs d’air efficaces pourrait cependant accélérer la transition vers une situation de travail plus normale. » Niklas Skogster souligne que les appareils de décontamination de Genano résisteront à l’épreuve du temps et qu’ils ont le potentiel d’améliorer sensiblement la santé des employés et d’augmenter la rentabilité des entreprises lorsque la situation redeviendra plus normale. « Les virus vont et viennent, mais quelles que soient leurs caractéristiques, ils ne survivent pas aux 25 000 volts déchargés par nos purificateurs d’air, explique-t-il. Une étude réalisée par le Laboratoire national d’essai en France a montré que les microbes présents dans l’air étaient complètement détruits une demi-heure après la mise en marche de l’appareil. Ce qui importe, c’est que des gens en meilleure santé travaillent mieux. »   Légendes : Le tueur de virus mobile Le décontaminateur d’air en intérieur Genano 350 est vraiment mobile puisqu’il ne pèse que 17 kg et peut se targuer d’avoir une faible empreinte carbone. Pour commencer à l’utiliser, il vous suffit de le brancher à une prise électrique et de l’allumer, explique Niklas Skogster, P-DG de Genano. Sécurité au travail. Le personnel peut se déplacer librement dans les bureaux équipés des purificateurs d’air de Genano, puisque l’air est débarrassé des virus 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Niklas Skogster, P-DG de l’entreprise, discutant de façon informelle avec la responsable du marketing Marjo Paija. À l’arrière-plan, Antti Kinnunen, spécialiste de l’air dans les espaces intérieurs, s’entretient avec le directeur des ventes Tommi Mikkonen. Il est plus agréable de se parler démasqués que masqués. L’appareil jaune derrière la table est le modèle 350 de Genano, qui décontamine l’air en continu dans la salle de réunion, où le P-DG Niklas Skogster (de la droite) est en réunion avec le directeur des opérations Aleksi Ahti et le directeur des ventes Tommi Mikkonen.   Genano en résumé Fondé en 1999, Genano tire ses origines du monde scientifique. L’entreprise est actuellement présente dans une trentaine de pays à travers le monde. Elle est leader international de la décontamination de l’air dans les espaces intérieurs d’une gamme étendue de secteurs commerciaux. La technologie brevetée de plasma froid de l’entreprise est fondée sur une puissante purification électronique de l’air qui élimine tous les microbes vivants comme les virus et bactéries jusqu’au nanomètre près. Les décontaminateurs sont disponibles dans trois tailles : série 200, série 300 et série 500. L’entreprise a son siège social à Espoo, en Finlande, avec des succursales en Belgique, en Allemagne, en Suède, en Italie, en Chine, à Taïwan et au Canada, auxquelles s’ajoute un réseau mondial de distributeurs.   Contacts : Niklas Skogster, P-DG, groupe Genano Tél. : +358 400 167 332 Courriel : niklas.skogster@genano.com www.genano.com
Il y a 4 ans et 13 jours

Le déficit commercial français se creuse au premier trimestre avec le regain des importations d'énergie

Dans le même temps, la progression des exportations a ralenti, toujours pénalisées en particulier par les secteurs aéronautiques et automobiles, soulignent les Douanes dans un communiqué, qui notent que "les flux commerciaux n'ont pas retrouvé ce trimestre leur niveau d'avant crise"."Les exportations et les importations se situent ainsi à 93% et 94% respectivement de leur valeur trimestrielle moyenne de 2019", précise le communiqué.Durant le trimestre écoulé, les exportations ont progressé de 1,8%, après +7,4% au trimestre précédent, tandis que les importations ont "nettement" accéléré, avec une hausse de 3,7% après +0,7% au quatrième trimestre 2020.Ces dernières sont tirées par les achats d'énergie (+32,5%) dont les coûts ont renchéri avec la hausse des cours du pétrole sur la période.Hors énergie, quasiment toutes les autres grandes catégories de produits voient leur solde se détériorer. C'est le cas en particulier du déficit des matériels de transports (-0,8 milliard), mais aussi de celui des produits d'équipements mécaniques et électroniques (-0,7 milliard) ainsi que de l'excédent des produits agricoles (-0,1 milliard).L'excédent des produits pharmaceutiques s'améliore lui légèrement (+0,2 milliard) tandis que celui des industries agroalimentaires est stable.Par zone géographique, le solde commercial français se dégrade avec toutes les zones géographiques, sauf avec l'Amérique.Le déficit avec l'UE se détériore de 0,8 milliard d'euros, de même qu'avec le reste de l'Europe (-0,7 milliard), en raison "de la diminution de l'excédent avec le Royaume-Uni", précise les Douanes.Avec les pays tiers, le solde commercial français se dégrade avec l'Asie, avec une hausse des importations supérieure à celle des exportations.A l'inverse, le solde s'améliore de 0,3 milliard d'euros avec l'Amérique, poussé par les échanges avec le Mexique, notent les Douanes.
Il y a 4 ans et 15 jours

Système de pesée embarqué avec affichage en temps réel du poids du véhicule

Le système obtient les données des capteurs installés sur la suspension du véhicule et permet au conducteur de surveiller l’essieu avant, l’essieu arrière et le poids total du véhicule. Le système est extrêmement précis avec une précision de +/- 2,5% lorsqu’il est proche de la charge utile maximale. L’unité de commande principale transmet les informations via Bluetooth® à un commutateur d’affichage, un téléphone portable ou une tablette.Le panneau de commutation d’affichage, avec un écran OLED de haute qualité, est conçu pour s’adapter à la cabine du véhicule. Les commutateurs rétroéclairés permettent au conducteur de voir facilement quels accessoires sont allumés. Un téléphone mobile (iOS / Android) ou une tablette (iOS / Android) peut être utilisé en combinaison avec ou à la place du commutateur d’affichage. L’application Modul-Connect, avec des pictogrammes conviviaux, avertit le conducteur lorsque le véhicule est proche de la charge maximale.Le système de pesée embarqué du véhicule fait partie de Modul-Connect, qui est une plate-forme pour gérer tous les appareils numériques et électriques du véhicule. Il utilisera également des produits tels que des projecteurs de travail, des feux-flashs, le Tri-Flash, des barres lumineuses, des panneaux de signalisation et des onduleurs. La communication fonctionne via un signal Bluetooth® et le CAN longue portée du véhicule. La plate-forme est autonome et n’interfère pas avec le propre système électrique du véhicule. Le produit est marqué CE et E, avec une garantie limitée de 3 ans.
Il y a 4 ans et 16 jours

ARI 901 – Nouvel utilitaire électrique pour toutes les utilisations

Désormais disponible en Europe, ARI Motors présente son nouvel utilitaire électrique « ARI 901 » avec 900 kg de charge utile, et jusqu’à 260 km d’autonomie déclinés en 4 modèles. Pour la première fois sur le marché français le fabricant de véhicules électriques de Leipzig ARI Motors, commercialise un grand utilitaire électrique avec un choix de différentes structures. Les variantes plateau, benne basculante et camion sont disponibles en trois tailles différentes. La zone de chargement maximale est de 5 m², le volume de chargement maximal est supérieur à 7,5 m³, le camion peut également être équipé d’une unité frigorifique. Il existe également une variante disponible en tant que fourgon. « Cela signifie qu’il existe enfin un utilitaire flexible pour tous les besoins en France, que ça soit pour les entreprises ou à des fins municipales », déclare Thomas Kuwatsch cofondateur et Directeur Financier d’ARI.   UN UTILITAIRE EFFICACE ET A MOINDRE COUT. L’ARI 901 peut être chargé avec 900 kilogrammes. Il joue donc dans la catégorie des grands utilitaires. Le prix d’achat de la version de base est d’un peu moins de 30.000 € (bonus écologique non déduit). Chaque kilo de charge utile ne coûte que 33 €. « La plupart des fourgons avec une charge utile similaire sont proposés pour environ 50.000 € et disposent d’une autonomie équivalente au ARI 901 », déclare Thomas Kuwatsch. S’ajoute ici la déduction du bonus écologique sur le prix d’achat, 6.000€ pour les professionnels et jusqu’à 7.000€ pour les particuliers. Le véhicule est propulsé par un moteur électrique de 60 kW. La vitesse de pointe de l’utilitaire est de 100 km/h. La batterie lithium-ion de 40 kWh permet au 901 de parcourir jusqu’à 260 kilomètres, comme cela a été démontré lors d’un essai sur plus de 10.000 kilomètres. Le temps de recharge de 6 à 8 heures via une prise de type 2 peut être réduit de moitié grâce à une fonction de charge rapide CCS. Un accessoire particulièrement pratique : un panneau solaire, offre une autonomie supplémentaire de 70 kilomètres sous un ensoleillement optimal. L’équipement standard de l’ARI 901 comprend des vitres électriques, une radio et un verrouillage centralisé. Sur demande l’utilitaire peut être équipé de la climatisation et d’une caméra de recul. En outre, des accessoires de transport pratiques tels que des portes supplémentaires pour le corps de coffre ainsi que des œillets d’arrimage, une grille de vantail ou une structure de bâche pour la zone de chargement sont disponibles. Le délai de livraison est de 4 à 14 semaines selon le modèle et les options choisies. Pour ARI Motors, qui adapte les véhicules chinois au marché européen, le lancement sur le marché français d’un utilitaire électrique représente la prochaine grande étape dans l’histoire de l’entreprise qui a presque 5 ans. Jusqu’à présent, l’entreprise de Leipzig commercialisait majoritairement des véhicules utilitaires électriques plus petits. « De nombreux clients nous ont demandé à maintes reprises un fourgon électrique encore plus puissant », explique Thomas Kuwatsch. « Désormais, nous en avons un qui représente une réelle concurrence, même pour les modèles de très grands fabricants ». ARI Motors GmbH propose des véhicules électriques intelligents et abordables sur le marché allemand depuis 2017, et des véhicules électriques ont récemment été également disponibles en Autriche via la vente directe. L’entreprise propose des essais routiers, organisés sur place, pour tester de manière plus approfondie le véhicule. En plus des partenaires de service, chaque garage automobile “conventionnel” peut prendre en charge l’inspection et la réparation des véhicules ARI Motors, puisque des schémas de circuits et des instructions de réparation sont disponibles.
Il y a 4 ans et 17 jours

Les départements très inégaux face à l'impact économique de l'épidémie

Si les mesures de lutte contre l'épidémie ont touché tout le territoire, notamment lors du confinement strict du printemps 2020, "l'intensité" de la baisse d'activité est "variable selon les départements", note l'Insee dans cette étude issue d'un ouvrage sur La France et ses territoires."Les départements qui sont les plus affectés, sont les départements touristiques, du sud, de montagne, les Dom, selon le moment du confinement (...), ainsi que les départements urbanisés, et là aussi c'est une nouveauté", car ils sont traditionnellement moteurs de l'emploi avec leurs activités de service, souligne Christine Charton, co-autrice de l'étude."A l'inverse, les départements ruraux du centre, finalement peu touristiques, ou ceux de l'ouest, orientés vers des industries agro-alimentaires ont été davantage préservés", ajoute-t-elle.L'institut a analysé l'évolution du volume d'heures rémunérées, du recours au chômage partiel, des transactions par cartes bancaires ou des mouvements de population depuis le début de la crise.D'abord, le confinement du printemps a touché les départements de montagne, en mettant fin "brutalement" à la saison touristique hivernale, et "les départements industriels où est implantée la fabrication de matériels de transports", comme le Haut-Rhin, le Doubs (automobile) ou la Haute-Garonne (aéronautique), souligne l'Insee.L'activité plonge aussi dans les départements touristiques du littoral sud-est. Même chose en Ile-de-France, par exemple en Seine-et-Marne où se situe Disneyland Paris, et dans la capitale, où se ressent l'absence de touristes internationaux et l'arrêt des voyages d'affaires.L'été sera un interlude plus dynamique pour les territoires touristiques, avec des exceptions, comme la Corse, certains Dom ou Paris "où de nombreux étudiants ne sont pas revenus et où les touristes d'affaires ou de loisirs restent rares", détaille l'Insee.Le Doubs et la Haute-Garonne restent affectés par le ralentissement de la fabrication de matériels de transports.Le deuxième confinement décidé fin octobre continue de toucher particulièrement Paris et replonge les départements de montagne dans la difficulté. Le Haut-Rhin et le Bas-Rhin sont eux victimes de l'annulation des marchés de Noël.Dans les départements les moins affectés par la crise, "les handicaps d'hier, comme le vieillissement de la population ou la faible densité de peuplement, ont paradoxalement amorti les effets de la crise", estime l'Insee.
Il y a 4 ans et 19 jours

L'économie française est repartie début 2021, à l'inverse des voisins européens

Au premier trimestre, le produit intérieur brut (PIB) a légèrement rebondi, avec une croissance de 0,4% par rapport au trimestre précédent, selon une première estimation publiée vendredi par l'Insee.La France s'inscrit clairement à contre-courant des autres grandes économies européennes, l'Allemagne (-1,7%), l'Espagne (-0,5%) et l'Italie (-0,4%) ayant vu leur PIB se contracter au premier trimestre. Dans son ensemble la zone euro se contracte de 0,6%.Cela s'explique surtout par une évolution différente de la pandémie, ces pays ayant moins souffert que la France en fin d'année 2020, avant d'être contraints d'adopter des mesures plus restrictives début 2021.Mais loin de la reprise dynamique à l'oeuvre aux Etats-Unis (+6,4%) grâce à la relance massive engagée par Joe Biden, le rebond français reste "limité", souligne l'Institut national de la statistique, le PIB se situant encore 4,4% sous son niveau de fin 2019."C'est un trimestre qui reste très marqué par les restrictions sanitaires, qui se sont durcies au fil des mois", a souligné à l'AFP Julien Pouget, chef du département conjoncture de l'Insee.Le ministre des Comptes publics Olivier Dussopt a lui salué sur Twitter des chiffres "encourageants", signe de la "résistance" de l'économie et de "l'efficacité" des mesures de soutien et de relance prises par le gouvernement.Après le recul de 1,4% du PIB enregistré au dernier trimestre 2020, la reprise de l'économie vient notamment du léger redressement de la consommation des ménages (+0,3%), même si elle est toujours contrainte par les restrictions sanitaires (couvre-feu, fermeture des grands centres commerciaux, des restaurants, des lieux culturels...).Sur le trimestre, elle se situe d'ailleurs encore très en dessous (-6,4%) de son niveau d'avant-crise, souligne l'Insee. Mais cette reprise "timide, sans phénomène de désépargne à ce stade, donne une idée du potentiel de rebond" une fois les contraintes levées, selon Emmanuel Jessua, économiste à l'institut Rexecode.La "très bonne surprise" vient de l'investissement des entreprises qui a accéléré en début d'année, selon Selin Ozyurt, économiste chez Euler Hermes. "Grâce notamment aux aides de l'Etat, les entreprises ont pu renforcer leur trésorerie et cela permettra de soutenir le rebond de l'économie dans les prochains mois", explique-t-elle à l'AFP.Du côté de la production, l'activité est surtout tirée par la construction (+4,2%), tandis que la production de biens est repartie à la baisse. "Le début d'année a été très perturbé, avec des problèmes de fret maritime, les pénuries de matières premières et de semi-conducteurs dans l'automobile", explique Selin Ozyurt.Déconfinement en ligne de mireGlobalement, la production totale (services, industrie, construction) se rapproche légèrement de son niveau d'avant crise, avec un écart de -4,3%. Mais les disparités sectorielles demeurent, avec des services marchands très pénalisés par les restrictions et qui restent davantage éloignés de leur niveau d'avant crise.Enfin, "point noir" du trimestre, selon Emmanuel Jessua, le net repli des exportations au premier trimestre, pénalisées par les perturbations dans l'industrie et par le Brexit en tout début d'année.Même si le deuxième trimestre s'annonce encore en demi-teinte, avec un mois d'avril et une partie du mois de mai marqués par le reconfinement, le calendrier du déconfinement annoncé jeudi par Emmanuel Macron laisse entrevoir une accélération de la reprise.D'autant que l'exécutif a assuré qu'il maintiendrait encore plusieurs mois les aides aux secteurs en difficulté, gonflant aussi le coût de la crise pour l'Etat."La confiance des ménages est là, il y a une épargne élevée, les entreprises sont assises sur d'importantes liquidités, donc si le gouvernement arrive à vacciner rapidement, nous pourrons voir un très fort rebond", estime Selin Ozyurt, qui juge atteignable la prévision du gouvernement d'une croissance de 5% cette année."On peut s'attendre à une sortie progressive de la crise au second semestre avec le succès du plan de vaccination", prévoit aussi Emmanuel Jessua.A ce stade, l'acquis de croissance, qui correspond à la croissance que l'on aurait fin 2021 si l'activité restait au niveau actuel jusqu'à la fin de l'année, s'établit à 4,1%. La Banque de France table sur une croissance de 5,5% cette année, et l'OCDE de 5,9%.
Il y a 4 ans et 20 jours

RESISTO de Sylvania : une gamme complète de luminaires étanches tout simplement irrésistible

Dans les parkings, zones de stockage, entrepôts et sites industriels, les solutions d’éclairage sont soumises à rude épreuve de par leur exposition aux chocs et à la poussière. Pour s’adapter à ces environnements, Sylvania lance RESISTO, une gamme complète de luminaires étanches développée en Allemagne. Riche de plus de 45 références, elle allie hautes performances et facilité d’installation. RESISTO, une offre irrésistiblement riche Avec plus de 45 références, la gamme RESISTO se décline dans de nombreuses versions pour répondre à tous les besoins : • trois dimensions (600, 1200 et 1500 mm), • trois températures de couleur (3000, 4000 et 6500 K) dont l’une (3000 K) permet d’être en conformité avec l’arrêté du 27 décembre 2018 relatif à la prévention, à la réduction et à la limitation des nuisances lumineuses dans les applications de type parkings semi-couverts, • une offre de flux lumineux allant de 1.600 à 9.700 lm, • et toujours la possibilité de proposer un produit sur-mesure adapté à une demande spécifique. RESISTO, à chaque besoin une solution de gestion d’éclairage Pour une performance énergétique optimale, et s’adapter à toutes les exigences, Sylvania propose les luminaires étanches RESISTO avec 3 systèmes de gestion d’éclairage, de la solution la plus simple à la plus avancée : . avec détection à hyperfréquence, RESISTO MW s’allume uniquement lorsqu’il détecte un mouvement. Il peut également prendre en compte le niveau d’éclairage naturel pour ne s’allumer que si ce dernier est insuffisant. Autre atout, grâce à une installation possible en « maître – esclave », un luminaire équipé du capteur MW peut en contrôler jusqu’à 2 autres sans capteur. . en version SylSmart Standalone pour une gestion complète en Bluetooth via une application mobile dédiée (création de groupes de luminaires, temporisations, horaires d’allumage, niveaux d’intensité …). . en version SylSmart Standalone PIR à laquelle s’ajoute, en plus de tous les avantages offerts par SylSmart Standalone, la détection de mouvement et la prise en compte de la lumière naturelle. De quoi garantir un éclairage fiable et éco-énergétique en toutes circonstances ! RESISTO, des luminaires irrésistiblement faciles à poser La platine LED et la vasque sont fixées ensemble et permettent ainsi un accès rapide et direct au système de connexion. Grâce à des étriers inox coulissants, des clips de fixations et un connecteur rapide et repiquable LiLo (Loop-in Loop-out), l’installation est simple et facile, assurant ainsi un véritable gain de temps sur les chantiers. RESISTO, une gamme irrésistiblement performante Spécialement développés en Allemagne par le centre R&D de Sylvania d’Erlangen, les luminaires LED étanches de la gamme RESISTO bénéficient d’une conception d’une grande robustesse. Leur corps en polycarbonate et leur diffuseur en polycarbonate traité anti-UV leur confèrent une protection IP66 et IK08. Pouvant fonctionner sur des plages de température entre -20° et +40°C, RESISTO offre une durée de vie de 69.000 heures (L80B20). Dans sa version haute performance, il atteint une efficacité lumineuse jusqu’à 161 lm/W pour fournir un éclairage agréable et homogène (SDCM
Il y a 4 ans et 21 jours

Découvrez les nouveautés Massia-Laboratoire

Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, Massia-Laboratoire est le nouveau logiciel d’Arcade pour le contrôle qualité des matériaux de construction et de leur mise en œuvre. Il se décline en plusieurs métiers : bétons, granulats, enrobés, TP, Terrassement, … Vous l’ajustez au plus proche de votre activité, en choisissant de n’en prendre qu’un ou d’en concilier plusieurs. Il est entièrement paramétrable et modulable ce qui apporte une force d’adaptation et d’évolution.  Massia-Laboratoire propose aussi des fonctionnalités transverses, telles que : la métrologie : gestion des appareils de mesure ; suivi de leurs interventions d’entretien et de maintenance ; lien avec les essais réalisé,les calendriers : planification de la réalisation des essais, des interventions métrologiques et de toute autre tâche ; actualisation automatique avec ce qui a été fait : en lien avec des journées travaillées, des jours ou des volumes de production,les certifications et accréditations : gestion des accréditations et certifications sites (ISO 9001 par exemple), produits (marque NF, marquage CE par exemple), essais (COFRAQ par exemple) ; mise en évidence des éléments certifiés ou accrédités. Afin de faciliter et fiabiliser l’insertion des données, Massia-Laboratoire, s’interface avec différents appareils de mesure et outils de production. Sans oublier Massia-Labo Mobilité, l’application mobile pour saisir depuis votre smartphone ou tablette vos prélèvements et les retrouver automatiquement dans Massia.  Enfin, dernière nouveauté, après les métiers granulats et bétons, c’est le métier enrobés qui entre en matière ! Présent, aujourd’hui chez une trentaine de clients, l’éditeur de logiciel projette que d’ici la fin de l’année, Massia-Laboratoire équipera plus de 200 sites.  Pour plus d’informations, n’hésitez pas à contacter Arcade. Pour cela plusieurs canaux possibles : En visitant le site web d’Arcade où vous retrouverez des informations sur les logiciels ainsi qu’un formulaire de contact : https://www.arcade.fr/.En contactant directement le service commercial : par e-mail a.ladet@arcade ou par téléphone 04 67 77 52 50. Pensez à suivre la page LinkedIn d’Arcade afin d’être tenu au courant des actualités de l’entreprise.
Il y a 4 ans et 21 jours

Fliegl Baukom, la centrale en libre service !

La société Fliegl, fabricant de matériel agricole, de travaux publics et routiers depuis 1970, propose une gamme complète de malaxeurs à béton (300 l à 1400 l), ainsi que des centrales mobiles (1400 l à 2500 l) et centrales autonomes BTS (15 m³ à 25 m³/h).La centrale autonome BTS utilise un principe de fonctionnement simple, en libre-service pour les particuliers et professionnels. Grâce à un approvisionnement rapide des clients et la possibilité de créer jusqu’à 100 formules de béton spécifique, en petite quantité de (150 l jusqu’à 3 m³), la centrale BTS permet de convenir au besoin du plus grand nombre. De plus, les différentes possibilités d’automatisation et de configuration rendent le fonctionnement de la centrale polyvalente afin de répondre à chaque objectif stratégique et commercial.
Il y a 4 ans et 21 jours

France Fermetures facilite le chiffrage et la commande de ses produits avec les nouveaux configurateurs 3CPRO Full Web

Dans tous les secteurs, l’essor du digital est incontestable. Les professionnels de la fermeture n’y échappant pas, France Fermetures fait évoluer ses configurateurs pour offrir à ses clients un outil à l’interface plus ergonomique, et toujours à portée de main. Pour chaque gamme de produits (volets, portes de garage, persiennes, …), les nouveaux configurateurs mobiles 3CPRO Full Web de France Fermetures leur permettent de réaliser facilement leur devis et passer leurs commandes rapidement où qu’ils soient. Une interface plus ergonomique en ligne… Afin d’améliorer l’expérience client, les nouveaux configurateurs 3CPRO Full Web de France Fermetures, accessibles depuis l’espace Pro du site internet du fabricant, sont dotés d’une interface graphique plus ergonomique désormais disponible en plein écran sur PC pour un confort de travail accru. Modèles, dimensions, caractéristiques, couleurs… grâce à l’accès direct à toutes les fonctionnalités, le chiffrage est encore plus simple et plus rapide. Dans le cas de commandes de plusieurs références, un raccourci permet à l’installateur d’accéder à un récapitulatif pour modifier une valeur, par exemple, avant d’éditer son devis et d’envoyer sa commande en ligne. Un bouton lui permet d’avoir différentes vues du produit (face, dessus, multiple). … Et en version mobile Une interface responsive est également disponible en version mobile sur tablettes et smartphones pour faciliter le chiffrage et la commande, n’importe où et à tout moment. Une grande partie des clients de France Fermetures utilisant déjà cet outil pour passer leurs commandes, les nouveaux configurateurs mobiles 3CPRO Full Web vont leur faire gagner encore plus de temps puisqu’ils peuvent désormais configurer, chiffrer et commander plus simplement, plus rapidement et à tout moment. http://www.france-fermetures.fr
Il y a 4 ans et 21 jours

PORTALP RS : la nouvelle génération de portes automatiques piétonnes connectées

Passant presque inaperçues, les portes automatiques piétonnes équipent une grande diversité d’établissements recevant du public (commerces, administrations, centres hospitaliers…). Elles jouent pourtant un rôle essentiel en matière d’accessibilité, de sécurité, et de performance énergétique des bâtiments. Dans le contexte sanitaire actuel, elles contribuent plus que jamais à limiter la propagation des virus. Acteur français reconnu dans ce domaine, Portalp innove avec Portalp RS, une nouvelle génération de portes automatiques piétonnes connectées, polyvalentes et personnalisables pour répondre à tous les usages. Esthétique et modulaire Fabriquée sur-mesure en France, la gamme Portalp RS se distingue par le design compact et épuré de son caisson, d’une hauteur de 120 mm, aux lignes douces et contemporaines. Autorisant des largeurs de passage étroites (à partir de 700 mm) ou très larges (jusqu’à 4500 mm), elle offre une grande liberté de personnalisation pour répondre à toutes les contraintes d’espaces et d’installation grâce à : • 4 solutions de caissons répondant à la configuration et au poids des vantaux (standard 120 x 197 mm, renforcé 120 x 236 mm, télescopique 2 vantaux 120 x 296 mm, télescopique 3 vantaux 120 x 357 mm), • plusieurs configurations d’ouverture (coulissante simple ou double, télescopique à 2 ou 3 vantaux, antipanique), • différents types de vitrages (simple, isolant double ou triple, anti-effraction…), jusqu’à 26 mm d’épaisseur, • un large choix de coloris, finitions et accessoires. Installée en applique, entre-murs ou sur poteaux, la nouvelle génération de portes automatiques connectées piétonnes Portalp RS s’adapte à tous les projets, en neuf comme en rénovation. Une solution connectée Dotée d’une nouvelle technologie, la gamme Portalp RS intègre un module radio. Ce dernier permet à l’installateur comme à l’utilisateur (propriétaire d’un petit commerce, gestionnaire de bâtiment, responsable sécurité…) de paramétrer et contrôler ses portes à distance sur leur smartphone, via une connexion Bluetooth faible consommation (Bluetooth Low Energy). À l’interface graphique intuitive et multilingue, s’ajoutent deux applications mobiles sécurisées, téléchargeables sur plateforme Android, iOS et/ou AppGallery : • Autodoor Master dédiée aux poseurs et techniciens de maintenance. Elle les guide méthodiquement dans toutes les étapes de paramétrage de la porte jusqu’à sa mise en route grâce à la détection automatique des périphériques ou encore le diagnostic de défauts éventuels (uniquement sous Android), • Autodoor Pilot pour les utilisateurs et exploitants. Elle permet de créer des clés virtuelles pour paramétrer jusqu’à 32 utilisateurs par porte ; chacun ayant un profil pour piloter la porte (4 fonctions de commande). Outre le mode verrouillage/déverrouillage, ouverture prioritaire, ouverture automatique, l’application propose un sélecteur 6 modes (ouvert, fermé, automatique, entrée, sortie, libre). Intelligente, elle récolte également l’ensemble des données relatives au fonctionnement de la porte (compteur de cycles, état de la porte, historique des défauts…) ce qui permet, si nécessaire, de notifier une défaillance en temps réel au support technique de Portalp pour une intervention rapide. Innovante et fonctionnelle grâce à cette intelligence embarquée, la gamme Portalp RS est conçue pour s’adapter à chaque application et faciliter l’expérience utilisateur. Une installation rapide et une maintenance facilitée La nouvelle génération de portes automatiques piétonnes connectées Portalp RS est dotée d’une combinaison inédite de technologies au service d’une grande adaptabilité : • une alimentation à découpage (100-230 V) pour une faible consommation. Universelle, elle permet de couvrir tous les territoires avec une mise en œuvre quelle que soit la tension d’entrée, • une motorisation brushless associée à un chemin de roulement garantissant dans le temps un déplacement fluide et silencieux des vantaux, • 2 BUS CAN dissociés pour faciliter le câblage et l’installation des périphériques (détecteur par exemple), la communication de la porte avec l’application et l’identification des défauts, • une batterie de secours qui prend le relais en cas de coupure de courant. Conforme aux normes en vigueur et notamment la EN16005, la gamme Portalp RS inclut enfin un dispositif d’issue de secours intégré, de sécurité usagers sur passage et à l’ouverture. Elle bénéficie d’une garantie 2 ans, étendue à 5 ans en cas de souscription d’un contrat de maintenance auprès de Portalp. http://www.portalp.com
Il y a 4 ans et 21 jours

L'Insee dévoilera vendredi si l'économie française a résisté en début d'année

L'économie française est-elle repartie début 2021, ou faudra-t-il encore attendre une nette amélioration sur le front sanitaire pour tourner le dos à la récession?Début mars, l'Insee tablait sur une croissance de 1% pour le premier trimestre, après la récession record de 8,2% en 2020, et un recul du produit intérieur brut (PIB) de 1,3% sur le seul dernier trimestre.La France se situe sur "une ligne de crête" sanitaire et économique, estimait alors Julien Pouget, chef du département conjoncture de l'Insee.C'était avant le durcissement des restrictions imposé mi-mars dans 19 départements, dont ceux d'Ile-de-France, suivi par l'annonce d'un troisième confinement dans toute la France.Depuis, l'Insee n'a pas actualisé sa prévision, mais la Banque de France a dit s'attendre à une "légère croissance" du produit intérieur brut (PIB) au premier trimestre, inférieure à 1%. Le consensus d'analyste compilé par Factset table sur +0,1%.Fin 2020 et début 2021, "globalement ce sont des trimestres perdus, qui n'ont pas fait avancer l'activité par rapport au retard accumulé en 2020", juge Philippe Ledent, économiste chez ING, qui table sur une stabilité du PIB.Ainsi, selon la Banque de France, le PIB français serait ainsi en mars encore 4% en dessous de son niveau d'avant crise (en janvier et février 2020), contre -5% environ en décembre."On a toujours une image très hétérogène", de l'économie, avec des secteurs "qui restent très directement affectés par les mesures sanitaires" comme l'hôtellerie-restauration, l'évènementiel, les activités récréatives, les services de transports et la fabrication des matériels de transport (aéronautique, automobile), détaille Hélène Baudchon, économiste chez BNP Paribas.A l'inverse, certains sont plus proches de leur niveau d'avant-crise, comme l'immobilier et les services publics non marchands, ajoute-t-elle.L'industrie en particulier semble s'être bien repris, tirée par la demande internationale, à en croire différents indicateurs publiés ces dernières semaines.Rebond reporté mais pas perduLa consommation des ménages, moteur traditionnel de la croissance française, ne devrait en revanche pas beaucoup progresser par rapport à fin 2020."Au premier trimestre, il n'y avait pas encore l'effet psychologique de la vaccination. On était plutôt dans l'attente et la peur d'une troisième vague", estime Philippe Ledent.La France devrait toutefois afficher de meilleurs résultats trimestriels que ses principaux voisins européens. Une comparaison flatteuse seulement due au "timing de la gestion de la pandémie", selon Philippe Ledent, avec un durcissement des restrictions décalé en janvier en Allemagne par exemple.En revanche, le deuxième trimestre sera sans doute encore mitigé, avec le reconfinement censé durer jusqu'à la mi-mai. "On va en sortir sans doute encore plus progressivement que du précédent, donc cela va continuer de contraindre l'activité sur une bonne partie du deuxième trimestre", avance Hélène Baudchon.Ce début d'année difficile, recule donc la perspective du rebond de l'économie française, que le ministre de l'Economie Bruno Le Maire prédit "très fort" à partir de l'été, visant une croissance de 5% sur l'ensemble de 2021.La Banque de France table elle sur 5,5%, une progression supérieure à la moyenne attendue pour la zone euro."Le rebond est reporté", mais si la vaccination se passe bien, "le potentiel de rebond ne sera pas remis en cause", estime Hélène Baudchon.A condition qu'aucun nouveau variant ne vienne menacer la sortie de la crise sanitaire. La France n'aura alors pas totalement tourné le dos à la crise, mais commencera doucement à voir le bout du tunnel.
Il y a 4 ans et 23 jours

Une étude souligne la nécessité d'accélérer l'innovation des technologies énergétiques propres

Le rapport, intitulé Brevets et transition énergétique, Technologies énergétiques propres : tendances mondiales en matière d'innovation, indique que, à l'exception d'un fléchissement constaté entre 2014 et 2016, le nombre de brevets internationaux en technologies bas carbone est en augmentation depuis une vingtaine d'années. Ce qui tranche avec le recul observé dans le domaine des énergies fossiles depuis 2015. Cependant, le taux de croissance annuel moyen des innovations liées aux énergies sobres en carbone est environ quatre fois plus faible depuis 2017 que sur la période 2000-2013, où il s'élevait à 12,5%.Ce qui signifie qu'une intensification de l'innovation, soutenue par une action politique conjointe, dans tous les domaines de l'énergie bas carbone (de la production de l'énergie à la transmission, en passant par le stockage et les utilisations finales) est nécessaire pour accélérer la disponibilité et la diversité des technologies, et ainsi en abaisser les coûts.Certaines de ces technologies sont déjà utilisées au niveau industriel, tandis que d'autres ne sont qu'au début de leur développement et de leur déploiement. Selon l'IEA, les objectifs climatiques actuels ne peuvent être atteints que par une accélération majeure de l'innovation en matière d'énergie propre, car bon nombre des technologies nécessaires dans les décennies à venir pour réduire les émissions de CO2 ne sont aujourd'hui qu'au stade du prototype ou de la démonstration.« La transition énergétique nécessaire pour faire face au changement climatique représente un défi d'une ampleur et d'une complexité considérables », a déclaré António Campinos, le Président de l'OEB. « Ce rapport incite à agir pour intensifier les efforts de recherche et d'innovation en faveur des technologies énergétiques propres et améliorer les technologies existantes. D'un côté, ce rapport révèle des tendances encourageantes dans plusieurs pays et secteurs industriels, y compris dans celui, crucial, des technologiques transversales. Mais d'un autre côté, il souligne la nécessité d'accélérer encore l'innovation dans les énergies sobres en carbone, dont certaines sont tout juste en train d'émerger ».« Près de la moitié des réductions d'émissions, permettant d'atteindre un niveau zéro d'ici 2050, devraient provenir de technologies qui ne sont pas encore sur le marché »a déclaré Fatih Birol, directeur exécutif de l'IEA. « Cela demande de faire un pas de géant en matière d'innovation, mais jusqu'à présent les informations sur les progrès réalisés étaient plutôt limitées. En combinant les atouts complémentaires de l'IEA et de l'OEB, ce rapport fournit une base plus solide pour identifier et suivre l'évolution des forces et faiblesses du brevetage des technologies bas carbone. Ce qui nous donne une meilleure vision de l'état d'avancement de la transition énergétique ».Le milieu de l'innovation énergétique en constante évolutionLe rapport présente les tendances principales de l'innovation dans les technologies bas carbone entre 2000 et 2019, mesurées en termes de familles de brevets internationales (FBI). Chacune de ces familles représente une invention de grande valeur pour laquelle des demandes de brevet ont été déposées dans deux offices de brevets au moins dans le monde. Les demandes de brevet étant déposées des mois voire des années avant la commercialisation du produit, elles sont souvent considérées comme un premier indicateur des futures tendances technologiques.Depuis 2000, des entreprises du monde entier ont déposé plus de 420.000 FBI dans le domaine des technologies sobres en carbone. Celles-ci recouvrent des inventions de trois catégories : des technologies de production d'énergie sobre en carbone (comprenant les énergies renouvelables, comme l'énergie solaire, éolienne, géothermique ou hydroélectrique) ; les technologies favorisant un usage de l'énergie plus efficient ou le passage à des énergies plus durables (par ex. une électricité bas-carbone) dans des utilisations finales telles que les transports, les infrastructures ou la production industrielle ; et les technologies habilitantes, transversales sur l'offre et l'utilisation finale et qui renforcent des infrastructures pour obtenir un meilleur niveau d'énergies propres (incluant les batteries, l'hydrogène, les réseaux intelligents ainsi que le captage, l'utilisation et le stockage du carbone).L'étude conclut que le brevetage relatif aux technologies d'approvisionnement en énergies, dont les énergies renouvelables, est en baisse depuis 2012. Ce phénomène reflète la maturité commerciale toute récente de ces technologies, dont l'énergie solaire, qui n'a pas encore été suivie d'une nouvelle vague d'amélioration d'autres énergies renouvelables, comme les biocarburants ou l'énergie marine. En 2019, les technologies d'approvisionnement en énergies ne représentaient que 17% de l'ensemble des inventions en LCE.Les technologiques relatives aux secteurs d'utilisation finale sont restées plutôt stables au cours de ces dernières années, et représentent la majorité (60%) de l'ensemble des inventions en technologies bas carbone sur les cinq dernières années ; ce qui reflète le défi majeur que représente le ralentissement de la demande en énergie dans l'économie. Les principaux secteurs d'utilisation finale ayant déposé des brevets en énergies sobres en carbone à l'échelle mondiale entre 2000 et 2019 sont les transports (avec un total de 116.000 FBI sur cette période), suivis des technologies d'efficacité énergétique pour la production industrielle (86.000 FBI). Certains domaines, difficiles à décarboner, comme la métallurgie (par ex. la production d'acier) se sont montrés particulièrement dynamiques ces dernières années.Le rapport explique que ce sont les technologies habilitantes transversales (batteries, hydrogène, réseaux intelligents, captage du carbone) qui ont connu la plus forte croissance globale depuis 2017. Leur part est passée de 27% (sur l'ensemble des FBI de technologies d'énergies propres) en 2000 à 34% en 2019. Ces technologies transversales jouent un rôle de plus en plus important dans les transitions énergétiques, en mettant en relation diverses solutions d'énergies propres, rendant ainsi le secteur de l'énergie plus flexible.Le succès des véhicules électriques dynamise l'innovationUn des moteurs principaux de l'innovation a été l'essor des technologies relatives aux véhicules électriques, portées par des progrès considérables réalisés sur les batteries au lithium-ion rechargeables (voir l'étude commune OEB-IEA sur l'innovation dans le domaine des batteries et du stockage de l'électricité). Cette tendance se reflète également dans le classement des plus grandes entreprises de technologies d'énergies propres depuis 2000,qui comprend six groupes automobiles et six de leurs principaux fournisseurs de batteries.Pour les technologies d'utilisation finale aussi, le nombre de FBI dans les véhicules électriques distance depuis 2011 les technologies liées à d'autres énergies propres pour les véhicules routiers (y compris celles destinées à améliorer l'efficacité des moteurs à combustion, ou de l'aérodynamique, à réduire le poids ou encore à obtenir des composants et des sous-systèmes plus efficaces énergétiquement).L'Europe, le Japon et les États-Unis en tête, avec des spécialisations différentesEn s'intéressant aux principales tendances d'innovation par région, l'étude montre que, depuis 2000, les entreprises et instituts de recherche européens sont en tête du classement des brevets en inventions LCE, avec une part de 28% (dont 12% pour l'Allemagne) sur l'ensemble des FBI pour ce type de technologies, entre 2010 et 2019. L'Europe est suivie du Japon (25%), des États-Unis (20%), de la Corée du Sud (10%) et de la Chine (8%).Tandis que l'Europe occupe la première place du classement dans la plupart des domaines relatifs aux énergies renouvelables et est particulièrement présente dans certains secteurs d'utilisation finale, comme le transport ferroviaire ou l'aviation, le Japon se démarque par ses technologies de véhicules électriques, de batteries et d'hydrogène. Les États-Unis sont à la pointe en aviation, biocarburants et captage, séquestration et utilisation du carbone. Les atouts de la Corée du Sud se retrouvent dans les batteries, la technologie photovoltaïque, l'efficacité énergétique pour la production industrielle et le secteur des TIC ; la Chine est également spécialiste des TIC.Le rapport confirme également que les pays (en particulier les États-Unis et les pays européens) mettent en place une collaboration transfrontalière pour développer leurs technologies énergétiques propres, ce qui met en exergue le potentiel d'une coopération internationale et de partage des connaissances pour pouvoir intensifier les efforts en R&D. Au global, la part des FBI en énergies sobres en carbone générées par des instituts de recherche (universités et organismes de recherche publiques) a progressé, passant de 6,6% entre 2000 et 2009 à 8,5% entre 2010 et 2019. Les instituts de recherche sont particulièrement actifs dans les technologies bas carbone (carburants alternatifs, énergie nucléaire et quelques énergies renouvelables), ainsi que dans les technologies transversales comme le captage du CO2 et l'hydrogène.Tendances françaises en matière d'innovation dans les énergies propresAvec 17 487 FBI sur la période 2000-2019 (une croissance de plus de 7% par an moyenne), la France est le 2e pays européen en matière d'innovation dans les énergies bas carbone et 6e pays au niveau mondial. Elle se place derrière l'Allemagne (3e mondial), champion européen et devant le Royaume-Uni (7e).Les innovations françaises représentent plus de 4% des innovations mondiales dans le secteur.L'innovation française dans le secteur se distingue par la diversité de ses origines. Parmi les dix premiers déposants : trois organismes publics de recherche, plusieurs entreprises automobiles (PSA, Renault, Valeo) et une entreprise aérospatiale (Safran). On retrouve également Total qui, outre son activité pétrolière et gazière, innove dans l'énergie solaire.Safran comme champion français (1 997 FBI), suivi sur le podium par le CEA (1 772) et PSA (1 112).Le CEA est le premier organisme public de recherche mondial pour les technologies bas carbone. Avec l'IFP Energies Nouvelles et le CNRS, la France compte trois représentants dans le top 10 mondial des organismes publics de recherche dans ces technologies.Une spécialisation française dans l'aviation (15% des inventions bas carbone du secteur), les transports ferroviaires (12%) et le nucléaire (11%)Top 3 des secteurs où la France a le plus de FBI relatives aux énergies bas carbone : aviation (1 870), automobile (1 614) et véhicules électriques (1 459)Pour plus d'informations :Lire la synthèse de l’étude (FR)Lire la version intégrale de l’étude (EN)
Il y a 4 ans et 23 jours

Hager et Comelit associent leur expertise du logement connecté

Hager et Comelit associent leur savoir-faire sur le marché français pour déployer une solution intégrée et connectée, simple à mettre en oeuvre, répondant aux attentes des promoteurs et des bailleurs sociaux de faire bénéficier aux futurs résidents de logements collectifs de solutions connectées enrichies. Ce partenariat s’appuie sur les solutions éprouvées des deux marques : le contrôleur domotique connecté coviva de Hager et le vidéophone Maxi avec Android de Comelit. Une expérience de connectivité enrichie La solution proposée permet d’intégrer nativement l’application coviva de Hager dans le moniteur Maxi de Comelit, généralement installé à l’entrée d’un logement. Cette intégration centralise ainsi toutes les fonctionnalités connectées du logement sur un écran ergonomique de 7’’ tactile au design moderne, facilitant leur usage par les résidents, avec un passage intuitif d’une fonction à une autre. Depuis la même dalle tactile, l’utilisateur pilote avec coviva, son éclairage, ses volets et stores électriques, son chauffage et son système d’alarme, son assistant vocal, et avec la platine d’appel extérieur Switch, son système de vidéophonie. Moniteur Maxi 7’ de Comelit intégrant l’application coviva de Hager   L’éco-système coviva Pour accompagner le marché de la maison connectée en pleine croissance, Hager a créé, en 2016, la gamme coviva : une solution radio (sans fils) dotée d’une application mobile. Le contrôleur coviva a depuis vu grandir son éco-système et poursuit son ouverture, avec l’intégration de nombreuses fonctionnalités et de nouvelles solutions de fabricants1. Sa technologie radio sans fil permet une mise en oeuvre très simple, sans travaux, en proposant une solution connectée, en neuf comme en rénovation. Un marché porteur Avec une croissance estimée à 70 % entre 2019 et 20222, le marché du logement connecté est un marché porteur. Dans le secteur du logement collectif, la tendance est aussi à la connectivité, avec des programmes immobiliers incluant de plus en plus régulièrement des offres connectées pour les futurs résidents. Ainsi, en mai 2019, 76% des acquéreurs d’un logement 3 souhaitaient, ou appréciaient, que le promoteur propose une solution connectée en standard et/ou en option. Un partenariat, des valeurs communes Le partenariat entre la marque franco-allemande Hager et la marque italienne Comelit s’est construit autour de valeurs communes. Les deux entreprises familiales et indépendantes disposent toutes deux d’une forte expertise dans les solutions connectées, avec des offres complémentaires sur le marché résidentiel individuel ou collectif.   1 En 2021, Hager et Bubendorff ont lancé Link, une clé pour connecter et piloter facilement la plupart des volets radio Bubendorff avec le contrôleur domotique connecté coviva de Hager. 2 Etude smarthome GFK2017.
Il y a 4 ans et 27 jours

Un nouveau gérant de la filiale française du Groupe SCM

Le Groupe SCM est leader mondial dans la production de machines-outils pour l’usinage du bois et d’autres matériaux ainsi que dans la production de composants industriels.  L’ingénieur franco-italien Fabrizio Anzalone est depuis le 16 mars 2021 le nouveau gérant de la filiale française. Il a pour mission de développer et consolider la croissance de SCM sur le marché français. Fort de plus de vingt années d’expérience dans le secteur automobile ainsi qu’à l’international, il intègre la grande famille SCM avec la volonté de mettre à disposition toute son expertise en développement commercial et en marketing stratégique ainsi que ses qualités de meneur d’hommes. 
Il y a 4 ans et 30 jours

Chronique du Geek – Les applications mobiles d’avril 2021

Parmi les multiples facettes du métier d’architecte, c’est au bâtisseur que le Geek propose ce mois-ci cinq applications mobiles techniques ayant trait aux calculs d’isolation thermique, de conception en bois, d’estimation de coût de matériaux et le dimensionnement des escaliers.  L’isolation thermique Thermal Transmittance Calc Éditeur : Alexey Kozlov Captures d’écrans Description Calcul de la […] L’article Chronique du Geek – Les applications mobiles d’avril 2021 est apparu en premier sur Chroniques d‘architecture.
Il y a 4 ans et 30 jours

Décryptage d'expert : Le BIM, un levier pour améliorer le bilan carbone des bâtiments

Plus qu'une technologie, il s'agit d'une méthode de travail reposant sur le partage d'informations fiables tout au long de la durée de vie d'un bâtiment ou d'infrastructures, autour d'une maquette numérique en 3D.Parmi ses nombreux atouts, le BIM devrait aussi permettre d'améliorer le bilan carbone des bâtiments et de favoriser la rénovation énergétique. Le point sur ces enjeux avec Matthieu FERRUA, directeur de la BIM Factory chez ENGIE Solutions.Pouvez-vous rappeler en quoi consiste concrètement le BIM ?Le BIM est une technologie de maquette 3D qui intègre des données sur tout le cycle de vie du bâtiment, de la conception jusqu'à la déconstruction, en passant par la construction, l'exploitation et la maintenance.Conceptualisé depuis les années 70/80, le BIM a pris son essor dans les années 2000 dans le domaine de la construction industrielle et via certains architectes novateurs comme Frank Gehry, pour faciliter la création de formes architecturales complexes. Ce type de modélisation existait déjà dans l'industrie aéronautique et automobile, mais n'a été utilisé que tardivement dans le secteur du bâtiment, où il s'impose progressivement depuis le milieu des années 2010.Le principal avantage du BIM est qu'il permet de coordonner les données de différents corps de métiers intervenant sur un même bâtiment, qu'il s'agisse de l'architecture, de la plomberie, du génie climatique, de l'électricité...C'est tout l'enjeu du « BIM Management » de s'assurer que ces données, géométriques et d'informations, soient cohérentes, bien ordonnées et partagées le plus en amont possible. Cette mise en commun permet d'anticiper, de mieux visualiser et de s'approprier les ouvrages.Pour le secteur du bâtiment, le BIM est la porte d'entrée dans l'ère de la digitalisation. Il s'agit de rattraper un certain retard car, en comparaison à d'autres secteurs industriels, le monde du bâtiment s'est peu transformé depuis les années 1950. Le BIM est en effet un immense atout pour améliorer la rapidité, la qualité et la modularité des constructions. C'est aussi une composante clé des jumeaux numériques de demain. Nous commençons seulement à en mesurer les bénéfices.En quoi le BIM peut-il améliorer le bilan carbone d'un bâtiment ?Le BIM est un formidable outil pour calculer le bilan carbone d'un projet.Concrètement, la technologie BIM permet de modéliser des « objets BIM », comme une prise, une vanne ou un pan de mur, en y intégrant de l'information, notamment la quantité de carbone associée.Chez ENGIE Solutions, nous avons commencé à utiliser cette technique, au travers de l'offre ValoBIM©, pour optimiser le potentiel de réemploi des composants de bâtiments existants et enrichir les écosystèmes d'économie circulaire.En amont de la phase de déconstruction, un diagnostic des ressources est effectué et intégré dans un modèle BIM, ce qui nous permet de réaliser un rapport exhaustif incluant une mesure du bilan carbone de chaque objet/ressource, afin les valoriser au mieux : réemploi, recyclage, ou récupération d'énergie par incinération. Cette qualification des composants, localisés et quantifiés, nous permet d'élaborer des scénarios de réemploi et d'optimiser le bilan carbone total du projet. Par exemple, sur le projet ENGIE Campus, des économies de 41 tonnes de CO2, soit 304 allers-retours entre Paris et New York, ont été identifiées sur une partie de la phase déconstruction, et plus de 7 372 tonnes d'économies potentielles sur le projet futur, soit 28 424 allers-retours Paris-Londres en avion.Nous utilisons également cette technologie en phase de conception des ouvrages, pour déterminer les gains carbone liés au choix des composants (béton bas carbone plutôt que béton classique, par exemple), de manière à la fois rapide et précise. Pour le dire autrement, le BIM nous aide à identifier les gisements d'économies carbone possibles et donc à faire les choix les plus pertinents d'un point de vue économique et environnemental.Tout ceci est encore très récent. Nous travaillons actuellement avec le SERCE[1] sur l'intégration de cette donnée carbone à l'ensemble de la chaîne BIM. Doit-on calculer le carbone du composant tel qu'il est vendu par le fournisseur ? après transport ? Quid de sa mise en œuvre, de son cycle de vie et de son potentiel de recyclage ? Autant de questions qui méritent des réponses harmonisées entre les différents acteurs du bâtiment.Qu'en est-il de la rénovation énergétique ?C'est un autre atout du modèle BIM pour la transition énergétique du bâtiment. Il permet de réaliser de manière très précise le bilan thermique d'un bâtiment existant ou projeté, à partir de calculs thermiques dynamiques alimentés par le modèle. En les intégrant à la maquette 3D, nous pouvons identifier facilement les travaux les plus pertinents pour améliorer les performances d'un bâtiment. Il s'agit par exemple d'identifier une zone de défaillance thermique ou bien une pièce où l'isolant est mal réparti.Cette méthode d'optimisation énergétique est encore en phase de recherche et développement. Nous l'avons pour le moment testée sur des bâtiments tertiaires d'ENGIE Solutions et les résultats sont prometteurs. Le développement de cette technologie à grande échelle devra prendre en compte les contraintes et spécificités propres à chaque bâtiment et la nouvelle réglementation thermique. Le BIM ouvre de belles perspectives pour l'avenir de la rénovation énergétique !
Il y a 4 ans et 36 jours

Projet de loi Climat & Résilience : Le gouvernement poursuit le verdissement du parc automobile

Concernant le verdissement du parc automobile, les députés ont adopté 3 avancées supplémentaires majeures :Un jalon à l’horizon 2030 pour les ventes de véhicules particuliers neufs. La loi d’orientation des mobilités (LOM) prévoit la fin de la vente des véhicules légers utilisant des énergies fossiles d’ici 2040. Le projet de loi Climat & Résilience permet de fixer un point de passage en 2030, en prévoyant qu’à cet horizon seuls 5% des véhicules neufs vendus émettront plus de 95 gCO2/km alors qu’aujourd’hui cela concerne plus de 50% des véhicules neufs. Un objectif de fin de vente des poids lourds utilisant majoritairement des énergies fossiles en 2040. L’amendement voté permet de compléter les dispositions de la LOM qui ne couvrait pas ce type de véhicules. Il s’agit d’une avancée majeure permettant de donner un horizon clair sur ce segment afin de construire une trajectoire de verdissement pour les camions, les bus et les cars.Une obligation de renouvellement des flottes (État, collectivités, entreprises) avec 70% de véhicules faibles émissions en 2030. Un renforcement de la trajectoire mise en place par la LOM pour les renouvellements des flottes de l’État, des collectivités et des entreprises gérant des parcs de plus de 100 véhicules a été voté. En 2030, 70% des véhicules renouvelés devront être des véhicules électriques ou hybrides rechargeables. Concernant le déploiement des bornes de recharge pour véhicules électriques, pendant nécessaire du verdissement des flottes, ces mesures ont fait l’objet de nombreux échanges avec les parlementaires depuis la commission spéciale. Elles étaient en effet très attendues tant par les acteurs du secteur que les usagers et les collectivités. Elles sont le signe d’une grande avancée collective : Facilitation du déploiement des bornes de recharge dans les copropriétés en passant les décisions d’en installer à un vote à la majorité simple et en proposant des dispositifs de financement : la décision d’équipement d’une infrastructure de recharge collective pourra être prise à la majorité simple des copropriétaires à partir du moment où un dispositif de financement permet de ne pas faire peser la charge financière sur la copropriété mais uniquement sur les futurs utilisateurs. Les copropriétés pourront en effet choisir de passer par le réseau public de distribution sans avance de frais, l’infrastructure étant « remboursée » au fur-et-à-mesure par les contributions des seuls utilisateurs des bornes de recharge. Amplification du déploiement des bornes de recharge rapide sur voies express et autoroutes avec la prise en charge des coûts de raccordement à 75% jusqu’à 2025 : la loi d’orientation des mobilités (LOM) prévoyait la prise en charge à 75% des coûts de raccordement des infrastructures de recharge jusqu’à fin 2021, celle-ci sera prolongée jusqu’à fin 2025 afin de pouvoir équiper l’ensemble des aires de service du réseau en bornes de recharge rapide permettant des déplacements longue distance. Accélération du déploiement des bornes de recharge ouvertes au public en rendant obligatoire l’équipement des parkings publics : l’ensemble des parcs de stationnement gérés en délégation de service public, en régie publique ou via un marché public de plus de 20 emplacements devront être équipés en points de recharge pour véhicules électriques.Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, a déclaré : « La loi Climat & Résilience nous permet d’aller plus loin et plus vite dans nos actions pour verdir le parc automobile français. Electrifier les véhicules pour décarboner le secteur du transport est bien entendu essentiel, mais ne saurait s’envisager sans un maillage complet du territoire en bornes de recharge électriques. Les avancées votées par les députés vont permettre d’accélérer le déploiement d’un réseau de bornes denses et accessibles au plus grand nombre. »Jean-Baptiste Djebbari, ministre délégué chargé des Transports, a déclaré : « Le marché du véhicule électrique décolle avec 2% de part de marché en 2019, 6% en 2020 et plus de 8% en mars 2021. Le Gouvernement souhaite poursuivre l’accompagnement de cette dynamique et les mesures votées aujourd’hui permettront à la fois de renforcer et de simplifier le déploiement des bornes de recharge pour véhicules électriques. Je salue également l’inscription d’un objectif en 2040 pour le secteur des acteurs des poids lourds qui permettra de donner une trajectoire et la visibilité nécessaires à l’ensemble de la filière. »